[LDC] Paris Saint-Germain - Inter Milan, FINALE, Samedi 31 mai - 21h00 - M6 & Canal + - CHAMPIONS D'EUROPE Options

[Sarconzie]

Plus que 25h, je vais très mal dormir

Il existera peut-être demain soir, mais pour moi le monde où on ne soulève pas cette putain de coupe demain soir n'existe pas.

[JeromeTouboulArn...]

Joao je viens de faire un malaise

[JeanGabin]

Joao je viens de faire un malaise

Idem, je zappe sur le vidéo ....

[skrubs]

Demain c’est la fête du football. Le dernier matche d’une saison exceptionnelle où on a tout vécu: très moyen, puis une équipe est née en 2025 avec un collectif fort et un entraîneur incroyable.
Je serai bien sûr déçu si défaite il y a. Mais pleins d’espoir pour l’avenir. On a jamais été aussi fort. On espère tous la consécration ultime demain, mais avec ce staff, je sais qu’on sera encore meilleur l’an prochain.
Bref, beaucoup d’excitations car je suis convaincu qu’on peut le faire. Mais si jamais ça ne tourne pas en notre faveur, je serai très rapidement tourné vers la saison prochaine en espérant un gros mercato pour améliorer l’équipe, et la profondeur de l’effectif en premier lieu. Excité donc, mais pas paniqué, car encore une fois ce staff, cette équipe, nous ont prouvé qu’on pouvait être fier d’eux et plein d’enthousiasme quand on regarde le futur.

[Stean]

Je suis en train de mater tous les highlights des matchs de l'AC Milan contre l'Inter cette saison (5 matchs, 3 défaites et 2 matchs nuls pour l'équipe d'Inzaghi, wtf ?), l'impression que l'Inter était impuissant par moments dans certaines rencontres. Y a peut-être un truc à checker de ce côté

[DelSpooner]

Joao je viens de faire un malaise

Putain je viens de voir

Le coup de flippe

[corto-news]

Putain je viens de voir

Le coup de flippe

Il s'est passé quoi?

[Vinz14]

Putain je viens de voir

Le coup de flippe

Il s'est passé quoi ?

[Sarconzie]

Il s'est passé quoi ?

Rien, il y a eu un contact il a boîtillé vite fait, il courait comme un lapin 10s après

[Vinz14]

Rien, il y a eu un contact il a boîtillé vite fait, il courait comme un lapin 10s après

Merci

Personne regarde l'inter pour porter l'oeil ?

[DelSpooner]

La réalisation faut aller se faire foutre on s’en balek de ton stade enculé

[BenBecker]

Ça fait deux jours avec la chaleur je suis en mode chiasseux, mais en fait c'est pas la chaleur, c'est le match qui approche

J'ai fait un cauchemar cette nuit, le match était interrompu par l'orage

Vivement demain le coup d'envoi !

[Ozzy Ryss]

J'ai (re)maté les 1/4 et 1/2 de l'Inter pour passer le temps ces derniers jours, et je trouve que c'est compliqué de livrer un pronostic. On ne peut que lister les forces et faiblesses de chaque côté.

Les forces côté Inter : une organisation défensive remarquable, avec une capacité à défendre bas en serrant bien les lignes, un jeu de sortie de balle/transition rapide bien rôdé avec Calhanoglu et Mkhitaryan en rampes de lancement, souvent Lautaro en relais (grosse qualité de protection de balle).

L'axe est bien bloqué, quasi impossible de passer par là. Il me parait probable qu'ils nous laisseront la balle pour placer des contres. Ce n'est pas une équipe qui presse haut, mais qui peut presser par séquence (plus ou moins vers la ligne médiane) pour récupérer le ballon et lancer une attaque rapide en passant par l'autre côté du terrain. Évidemment, ils sont forts sur CPA, surtout grâce aux tireurs d'ailleurs. Calhanoglu est un tireur de CPA d'élite, très sous-coté. Leur réalisme est aussi notable, puisqu'ils ont scoré sur des demi-occasions, sans s'en créer énormément.

Dans leurs faiblesses, je dirais les latéraux qui peuvent galérer dans l'aspect défensif, en particulier Di Marco. Le côté second poteau souvent laissé libre sur les centres. Globalement, que ce soit contre le Bayern ou l'Inter, ils ont concédé peu d'occasions mais ils en ont quand même concédé, et des grosses...

Je pense que le PSG sera un peu plus prudent dans sa possession que le Bayern et le Barça, qui défendaient archi-mal. On a les armes sur les côtés pour leur faire très mal, mais il faudra être réaliste parce qu'il n'y en aura pas 10 non plus.

Côté individualités on est globalement supérieurs, c'est un facteur important en finale, où ce sont souvent les grands joueurs qui font basculer le rapport de force. La seule équipe pouvant ressembler à l'Inter qui s'est imposée dans un passé récent, c'est Chelsea en 2021.

[Sarconzie]

C'est quoi ce bidon et ces seins El Magnifico ?

[Sakavomi]

C'est quoi ce bidon et ces seins El Magnifico ?

L'abus

Il a quasi 60 piges, il se porte encore pas mal vu son âge.

[Zul]

D'un côté j'ai le sentiment qu'il y a jamais eu autant de raisons d'y croire, de l'autre je peux pas m'empêcher d'avoir la crotte au cul. On a un tel historique de foirages, là en plus l'effectif est jeune et n'a pour la plupart jamais connu de finale, l'un des rares à en avoir connu est un fiotteur notoire... y a plein de raisons pour que ça tourne bien mais aussi pas mal pour que ça finisse en déception.

La raison te dit qu'on peut le faire mais le coeur te rappelle à quel point notre ADN peut tout détruire.

L'ironie serait que l'artisan de notre pire humiliation soit celui de notre plus grand bonheur. Ce serait une belle histoire, une légende pour des générations de supp.

Qu'importe le résultat on va chialer, l'attente est insoutenable.

Si demain on gagne cette victoire elle sera pour vous tous ici car ça fait des années que je vous lis après chaque défaite/déconvenue et je sais a quel point vous respirez pour ce club.

On a trop souffert, notre jour doit arriver.

Et puis le parcours de notre équipe est beaucoup trop beau pour finir avec une médaille d'argent.

Union sacrée.

Bon retour the revenant.

[M`P]

Demain à cette heure ci on y sera les potos. On a tellement attendu ce matin, c'est complètement irréel de se dire qu'on pourrait le faire

[Sarconzie]

Ozzy pourquoi tu dis que Calhanoglu est sous-coté comme tireur de CPA ? Pour moi il n'est pas sous-coté, tout le monde sait qu'il est très fort dans cet exercice.

[Philo]

C'est protocolaire avant tout.

D'ailleurs, j'ai un podcast de preview avec l'équipe ce soir à partir de 21h, les confs sont à 20h15, quelqu'un pourrait m'assurer les transcripts de Marquinhos et Dembélé svp ? Ou même juste l'un des deux ?

Le lien pour regarder sera sur le site.

J'ai pu générer ce transcript par IA, quelqu'un peut me le relire/mettre au propre svp ?

Spoiler :

Giovanni Castelli, la chaîne L'Équipe. Qu'est-ce que ça représente pour vous d'être en finale de Ligue des Champions ? Cette saison a été parfois compliquée, notamment en début de saison, sur le parcours en Ligue des Champions. Est-ce que vous pouvez nous raconter un peu comment vous vivez cette finale ? Merci.
Bonjour. Déjà, comme je l'ai dit, je le répète souvent en ce moment, beaucoup de fierté d'être ici en finale. On a énormément travaillé. Ça n'a pas été facile, surtout en début de saison en Ligue des Champions.
Mais on a su changer cette dynamique, surtout dans cette deuxième partie de saison. C'est esseptionnel d'être ici à Munich en finale de Ligue des Champions.
C'est que du plaisir parce que tu ne sais pas si tu vas revivre des moments comme ça. On va le prendre avec beaucoup de sérieux, mais aussi beaucoup de joie.
Bonsoir, Ousmane. Ici, Loïc Tanzy pour l'équipe. Je pense qu'on doit vous en parler tous les jours, mais ce match a une importance capitale aussi pour vous personnellement,
pour la quête de ce ballon d'or. Est-ce que c'est quelque chose à laquelle vous pensez ? Est-ce que même si forcément gagner ce titre, c'est plus important que gagner le ballon d'or ?
Mais est-ce que vous pensez quand même à cette quête individuelle ?
Comme je me répète, surtout ces dernières semaines, la chose la plus importante, surtout quand tu es un joueur du Paris Saint-Germain, c'est gagner surtout cette Ligue des Champions.
Je suis focalisé surtout sur l'équipe et pas sur les trophées individuels.
Après, bien sûr, ça peut te travailler un peu l'esprit, mais j'enlève tout ça de ma tête et je pense surtout au collectif.
Bonsoir, Ousmane.
Bonsoir, Ousmane.
Alice Lefebvre pour l'AFP. Au mois de novembre, ici même, vous aviez été expulsé et quelques semaines avant, vous n'aviez pas été convoqué à Arsenal.
Qu'est-ce qui a changé pour vous depuis ce match de Bayern ? Merci.
Oui, c'était un match difficile face au Bayern Munich, surtout dans ce stade. J'ai toujours eu des matchs compliqués.
Mais oui, c'est comme ça, ça fait partie du football. Ça a été une période compliquée, un peu difficile pour moi, même sur mes performances.
Mais après, il fallait changer la dynamique. L'équipe a aussi élevé son niveau. Moi-même, j'ai élevé mon niveau.
Et voilà, je suis content de ce qu'on a fait depuis le mois de janvier, surtout. On a changé cette mentalité.
Et puis voilà, on essaie de continuer. On a allé jusqu'à la victoire.
Bonsoir, Ousmane. Ici, Stéphane Bianchi, Parisien. On parle beaucoup de la gestion des émotions durant une finale.
Il y en aura sans doute beaucoup dans votre équipe demain. Qu'est-ce qu'il, vous, à titre personnel, faudra faire ?
Faudra les libérer, ces émotions, ou justement les contenir ?
C'est une bonne question. Après, je pense qu'il va falloir contrôler ces émotions.
Parce qu'on sait qu'il y a énormément d'excitation sur cette finale de Ligue des Champions.
Nous-mêmes, on est excités. Mais comme on se l'a répété durant cette semaine, il va falloir contrôler ces émotions.
Avec calme, avec sérieux aussi, et le sourire. Parce que c'est des moments incroyables.
Mais il va falloir contrôler toutes ces émotions-là. Et puis, je pense que c'est l'une des clés demain pour...
pour le match.
Bonsoir, Ansemane. Julien Fromand pour Radio France, à votre gauche.
Vous allez retrouver des partenaires qui jouent en bleu avec vous, notamment Benjamin Pavard.
Est-ce que c'est un avantage ou un inconvénient, justement, de se retrouver face à lui demain soir ? Merci.
Oui, je suis content de les retrouver. Surtout en finale, eux aussi, ils ont eu une très belle année. Et comme je l'ai dit, je le répète, Benjamin Pavard, c'est un très très bon joueur. Difficile à passer. Très très intelligent aussi.
Mais voilà, j'espère que demain, ça ne va pas être son jour. Et j'espère que ça va être notre jour à nous. Et ça fait plaisir de les voir en finale.
Bonsoir, Ousmane. Philippe Sanfourche pour RTL. J'imagine que vous avez beaucoup travaillé sur l'adversaire. Vous les avez vus tout au long de la saison.
Qu'est-ce que cette équipe a de différent, par exemple, par rapport à tous les adversaires que vous avez rencontrés ? Sur quoi est-ce qu'il faudra être peut-être plus fort que tout au long de la saison pour pouvoir les battre ?
Comme je l'ai dit, l'Inter, c'est une très belle équipe. Ils méritent d'être ici en finale. Ça fait 4-5 ans qu'ils jouent ensemble. Ils se connaissent par cœur.
C'est une équipe très physique, qui joue aussi très bien au ballon, qui savent défendre, qui savent bien attaquer, qui savent faire le dos rond aussi pendant le match.
Et comme je l'ai dit, il va falloir être sérieux jusqu'au bout. Rien leur laisser parce qu'un petit moment de déconcentration, tu peux le payer cash.
Et il va falloir y concentrer jusqu'à la fin parce que c'est une très très grande équipe.
Bonjour Ousmane. Fabrice Wikins, RMC Sport. Tu as joué d'autres grandes finales, notamment avec l'équipe de France 2018.
2022, notamment. Qu'est-ce que tu as appris de ces expériences et comment est-ce que tu as préparé justement cette semaine ?
Il y a eu une finale en 2018 où tout s'est très bien passé pour l'équipe de France. Une autre où j'ai été très mauvais.
Après, c'est des choses qui arrivent dans le football, mais je la prépare très bien cette finale de Ligue des Champions.
Depuis tout petit, je rêve de jouer ce genre de match-là. Et comme je l'ai dit, je la prépare avec calme, beaucoup de sérieux, beaucoup de concentration.
Mais voilà, c'est des moments que je n'oublierai pas. Et il va falloir que je reste concentré sur le jeu, sur l'équipe, pas que sur moi.
Et comme je l'ai dit, je le prépare très bien avec tout le groupe. Et j'espère faire un grand match.
Tadne Shahoshazep, Altranus, de Georgia.
Bonjour.
Qu'est-ce que vous pouvez parler de votre stratégie de demain ?
Comment vous allez remporter ce match demain ?
Et est-ce que vous pouvez parler de Kivali Gingia ?
Qu'est-ce que ça vous fait de jouer à la fin ?
Je vais parler un peu de votre stratégie de demain. Merci.
De la stratégie, on ne va pas en parler ici en conférence de presse.
Gwara Skelia, c'est un super joueur.
Il s'est très bien adapté à l'équipe.
Après, je pense aussi que ce n'est pas difficile de s'adapter dans cette équipe.
C'est un joueur avec beaucoup de talent.
C'est quelqu'un de très sérieux aussi, qui comprend vite les choses.
On l'a très bien accueilli dans l'équipe.
Après, les clés de demain, comme je le répète, ça va être un match avec beaucoup de tension, je pense.
Mais il va falloir contrôler ses émotions.
Surtout dans une finale de Ligue des Champions.
On sait que c'est toute l'excitation qu'il y a pour le peuple parisien pour cette finale.
Mais comme je l'ai dit, depuis le début de la semaine, il va falloir contrôler ses émotions et jouer notre jeu.
Bonsoir, Ousmane.
Je voudrais savoir, tactiquement, après le départ de Kylian Mbappé, est-ce que le jeu du Paris Saint-Germain est devenu plus facile pour vous ?
Et peut-être pour d'autres joueurs aussi ?
Non, je me le répète souvent aussi.
Peut-être avec Kylian Mbappé, cette saison, on sera encore plus fort.
On ne sait pas ce qui pouvait se passer.
Après, comme je l'ai dit, Kylian Mbappé, il avait un rêve dans sa carrière, c'était de jouer au Real Madrid.
Et puis, voilà, le Paris Saint-Germain a continué son chemin.
Il y a un après, il y a un avant aussi Kylian Mbappé.
Et comme je l'ai dit, on lui sait de bonne chance.
Et nous, on s'est concentrés surtout sur nous, sur l'équipe et sur la saison qu'on voulait faire.
Une question en espagnol, si vous me permettez.
Je voulais te demander quelle influence a eu Louis-Enrique pour arriver à cette nouvelle version d'Ambélié qu'on a aujourd'hui.
Quel a fait Louis-Enrique pour le mode, Kylian Mbappé, et arriver à cette version que nous voyons aujourd'hui ?
Comme je l'ai dit, depuis le début que j'ai rencontré, que j'ai parlé avec Louis-Enrique, j'ai toujours eu sa confiance.
Après, sur cette position de numéro 9.
Ah merde !
C'est une position un peu axiale que je connais depuis que j'ai débuté en professionnel.
Il a fait un énorme pipi.
Je m'adapte très bien à cette position-là.
J'essaie d'aider l'équipe.
Après, le coach me laisse énormément de liberté d'aller à gauche, d'aller à droite, de dézoner.
C'est quelque chose que j'aime beaucoup.
J'essaie de créer du déséquilibre.
Mais il faut le relaver ?
Être malin aussi dans cette position.
Parce que c'est une position où tu es devant les défenseurs, derrière les défenseurs, devant le milieu, derrière.
Il faut les rendre un peu fous et se déplacer.
C'est une position que je connais très bien.
Je me suis très bien adapté.
On va passer aux questions pour Marquinhos.
Bonjour.
José Barozo, l'équipe.
Bonjour Marquis.
Tu as déjà connu une finale avec le PSG.
Et tu as connu surtout beaucoup d'émotions avec ce club.
Comment fait Luis Enrique et son staff pour aborder justement l'aspect émotionnel ?
On sait que le PSG, ça n'a pas toujours été simple à ce niveau-là, avec des retournements de situation, etc.
On insistait beaucoup sur l'aspect émotionnel.
Est-ce que lui a une recette un peu miracle justement pour aborder avec...
Je ne sais pas si c'est le calme qu'il faut pour ce type d'événement, mais qu'est-ce qu'il fait justement pour vous mettre dans les meilleures conditions pour un événement aussi important ? Merci.
Bonsoir, bonsoir à tous.
Luis, il a un rôle très important dans cette équipe.
Depuis le premier jour qu'il est arrivé, il a toujours travaillé pas que l'aspect tactique, pas que l'aspect physique, mais aussi l'aspect mental de cette équipe.
Savoir gérer les émotions, savoir gérer le temps de match, surtout avoir un bon... gérer les émotions pour réussir à amener ce match où on veut, où on est fort.
Et c'est ça qui, lui, il a beaucoup travaillé depuis qu'il est arrivé.
Et c'est ça qui nous a amené jusqu'ici aujourd'hui.
Je pense que si on voit la saison qu'on a eue, les matchs difficiles qu'on a eus, les moments difficiles qu'on a affrontés dans un match, on a réussi à renverser la situation.
Ça passe aussi par là, ça passe aussi par tout ce travail qu'il a fait, qu'il nous a amené depuis qu'il est arrivé.
Et voilà, cette semaine encore, il a beaucoup parlé avec nous, il nous a bien préparé.
Tous les plans.
Et je pense que nous, on arrive pour cette finale prêt, pour tout ce qui peut se passer dans ce match.
C'est vrai qu'on veut gagner, on veut aller chercher cette victoire depuis le premier minute de match.
Mais il y a tout qui peut se passer dans ce genre de match, dans ce genre de confrontations.
Et nous, on est prêts pour ça et pour tout ce qui peut se passer dans ce match.
Bonsoir, Marquinhos. Julien Frommand pour Radio France.
On met beaucoup en avant le collectif du Paris Saint-Germain cette saison.
Mais votre coéquipier qui est à côté de vous, Ousmane Dembélé, quel rôle il peut jouer, justement, demain soir.
dans cette finale. Merci beaucoup.
Lui, il connaît son rôle. Il a un rôle très important.
C'est un des leaders de l'équipe.
Leader pas qu'offensive, mais aussi dans le vestiaire, dans son état, dans son discours, dans sa manière d'aller chercher les choses.
On a vu cette saison, comment il a pris très bien son rôle. Et voilà, il n'y a rien qui change. Après, sur le terrain, vous le savez déjà comment il est, ce qu'il est capable de faire.
Moi, l'entraînement, je le vois tous les jours. Vous pouvez voir pendant les matchs. Et je suis très, très heureux d'avoir un joueur comme ça, intelligent, qui, comme lui-même, il a dit dans cette position, il faut être très malin. Il faut être très intelligent.
bien comprendre les espaces, bien comprendre les espaces libres que l'équipe adversaire laisse. Et c'est un joueur très difficile à défendre. Et nous, on va l'utiliser de la meilleure manière.
Mais voilà, il n'y a pas que Ousmane sur le terrain demain. Nous, on dit toujours le collectif. Si le collectif l'effort, le collectif l'est costaud. Nous, individuellement, parlons-nous d'abord. Après, Ousmane, après les autres. On va s'en sortir plus facilement. Et c'est ça qui est le coach. C'est ça que notre groupe vit tous les jours à l'entraînement et tous les matchs qu'on a faits. C'est toujours le collectif d'abord et après les individualités.
Bonjour, Marquinhos. Giovanni Castali, la chaîne L'Équipe. Je ne vais pas vous demander si c'est la plus grande équipe du Paris Saint-Léon dans laquelle vous avez joué.
Mais juste en termes de plaisir, Marquis, est-ce que ce n'est pas cette équipe où vous prenez le plus de plaisir ? Je ne parle pas de juger les valeurs, etc. Juste en termes de bonheur au quotidien.
C'est une des plus. Je pense que beaucoup de gens me font cette question. Les gens font beaucoup de comparaisons pour toutes les années que j'ai passé ici, toutes les équipes que j'ai eues.
Mais cette équipe, vraiment, elle prend plaisir tous les jours au quotidien, tous les matchs. On le voit et comment on cède, comment on court tous ensemble, comment on sait, comment on se comprend déjà sur le terrain.
Je pense qu'il y a cette influence dans le résultat d'aujourd'hui de cette équipe. Je suis vraiment amoureux de cette équipe, de ce qu'on fait sur le terrain, de tous ceux qui ont fait un pour l'autre.
Et ça fait vraiment plaisir de faire partie de cette équipe.
Bonsoir Marquis. Adrien Chantogrelé du Parisien. On sait que les heures avant une finale peuvent être un petit peu longues. Comment toi, tu t'es occupé l'esprit en 2020 avant cette finale ? Est-ce que tu as prévu d'aborder, avoir la même routine, de faire le même programme ? Est-ce que tu vas avoir un peu un rôle de conseiller auprès des jeunes qui découvrent ce que c'est une finale de Ligue des Champions ? Merci.
C'est un contexte différent de cette dernière finale que j'ai jouée. C'était un moment différent socialement aussi. Il n'y avait pas de public. C'était une compétition totalement différente que celle-là.
Mais moi, personnellement, je sais que les choses qui me font bien, qui me laissent bien, qui me laissent prêt, préparer bien pour ce match. Il n'y a pas beaucoup de secrets. Bien manger, bien dormir, faire les soins avant de dormir pour être bien.
Le lendemain, le jour même, parler avec mes coéquipiers, voir ce qu'on peut ajouter au dernier moment. Mais je pense que les détails sont prêts déjà.
Tout le monde est prêt. Tout le monde a plus grand chose à faire. Il y a juste arrivé le moment. Ce match commence à 21h. Il ne faut pas trop mettre de pression aussi sous les côtes de nos joueurs.
Je pense que la meilleure des choses, c'est d'être bien équilibré. Il ne faut pas avoir la motivation de plus, de plus, de plus parce qu'on peut se tromper sur ça aussi.
Je pense qu'on ne va pas avoir un joueur qui n'est pas motivé pour ce genre de match. C'est pour ça que j'ai dit que tout le monde est prêt. Tout ce qu'on a passé pendant cette saison et l'année dernière aussi, avec ce coach, nous a préparé pour arriver jusqu'ici.
Il n'y a plus grand chose à faire. Il y a juste que ça arrive le moment et on va tout faire pour acheter ce titre.
Bonsoir, Marc Inos. Philippe Sanfourche pour RTL. Tu parlais de pression à l'instant. Ça fait 12 ans que tu es au Paris Saint-Germain. On sait que le but ultime, c'est de gagner cette Ligue des champions.
Par le passé, il y a certaines saisons où on sentait que cette pression vous a peut-être un petit peu empêché d'aller au bout de vos performances en fin de compétition.
Est-ce que tu dirais qu'avec le temps, le club, dans sa manière d'aborder la compétition, a pris de la maturité ? Est-ce que tu sens qu'il y a peut-être moins de pression négative avec les années ?
Oui, je pense que de plus en plus, le club comprend la manière d'aborder ce genre de confrontation. Le club a compris ce qu'il fallait faire, ce qu'il fallait investir, le nouveau centre d'entraînement, les nouvelles gens qui ont arrivé pour travailler.
Je pense qu'il y a tout un travail tout au long de toutes ces années depuis que je suis là, que je vois comment le club a amélioré, il a grandi.
Il y a aussi tout un travail collectif de staff, de la dirigeance, qui ont fait aussi qu'on puisse être dans les meilleures conditions pour arriver jusqu'à là.
Nous, on a un coach qui est esseptionnel ici, il nous a bien préparé pour qu'on puisse être aussi, même si on n'a pas beaucoup d'âge, si on a une équipe très jeune, on voit comment on est prêt sur ce genre de confrontation,
comment on est prêt pour aborder ce genre de match. Je pense qu'il y a tout un mélange des choses qui nous ont fait arriver dans ce moment dans les meilleures conditions.
Le club qui a grandi, l'incroyable coach qu'on a, le travail de la dirigeance qu'ils ont fait, les nouveaux joueurs de qualité qui sont arrivés. Je pense que c'est pour ça que nous, on est dans ce moment aujourd'hui.
Bonjour Baptiste Becker de l'AFP. Demain contre l'Inter Milan, vous allez jouer pour la première fois, il me semble, cette saison contre deux attaquants Axio. Qu'est-ce que ça change pour vous, Marquinhos et votre comparse William Pacho ?
On a travaillé pendant la semaine, quelque chose pour qu'on puisse bien confronter ce petit détail de l'équipe adversaire. Mais nous, on est prêts pour toutes les étapes défensives de ce match.
Je pense que nous, on n'a pas juste un système à défendre. Je pense que nous, on a beaucoup travaillé, on a beaucoup amélioré depuis que le coach est arrivé. Lui, il travaille beaucoup avec ce changement des schémas de l'adversaire.
Même nous, à l'entraînement, on se met en difficulté une équipe contre l'autre pour trouver et savoir comment il faut défendre, comment il faut s'adapter.
Si une équipe vient à deux, si une équipe vient à trois attaquants, s'il y a juste un attaquant, et nous, on essaie des choses qu'on a faites.
On a affronté quelques équipes, peut-être pas comme cette qualité qu'ils ont ces deux attaquants-là et cette équipe d'Inter de Milan.
Mais il y a des équipes qui ont joué contre nous avec deux attaquants et nous, on sait ce qu'il faut faire.
Il y a juste des petits détails qu'on va mettre en place, mais il n'y a pas grand-chose qui va changer.
On va ramener ce match où on est meilleur. On sait que c'est notre force.
On va essayer d'annuler ces petits détails de l'équipe d'Inter de Milan.
Ça va être un bon match. Ça va être un bon match avec Milan qui a sa philosophie, nous qui a notre philosophie.
Ils vont essayer de nous annuler et nous, on va essayer de les annuler.
On va tout faire pour que ça puisse se tourner pour nous, positif pour nous demain.
Bonsoir, Marc Ineos, Jean-François Pérez, ce qui est en face de toi. Je poursuis un peu sur ce thème-là.
Est-ce que tu serais d'accord avec moi pour dire que l'Inter Milan, c'est une équipe, un type d'adversaire, d'adversité que vous n'avez pas encore rencontré cette saison ?
Des joueurs très expérimentés qui ont déjà joué une finale de Ligue des Champions il y a deux ans et qu'à ce titre, avec toutes ces qualités-là, ça fait peut-être l'adversaire le plus dangereux que vous ayez joué cette saison.
Merci.
Nous, on a tout vécu cette saison déjà. Peut-être pas exactement avec ce système-là, mais on a eu toutes les difficultés, tous les bons moments, tous les moments difficiles qu'on a eus.
Je pense qu'ils nous ont préparés pour ce genre de situation.
Nous, on est prêts. On sait de la force d'Inter de Milan. Vous parlez beaucoup de ce schéma de l'Inter, mais je suis sûr aussi que l'Inter, ils sont beaucoup préoccupés aussi avec notre système de jeu, avec cette mobilité qu'on a, cette équipe, avec cet attaquant ici qui essaie toujours de trouver les espaces, venir décrocher, prendre la profondeur.
Après, il y a des attaquants qui arrivent, des attaquants qui vont. Ça, c'est le foot. Nous, le coach nous a très bien préparés. Il y a encore un jour demain qui va nous montrer des petits détails, des petits derniers détails pour qu'on puisse arriver à 100% demain.
Comme je l'ai dit, on va beaucoup plus appuyer sur notre force, sur ce qu'on peut faire, sur ce qu'on va faire sur le terrain pour qu'on puisse valoriser nos points positifs.
Il y a des choses à mettre en place pour qu'on puisse essayer d'annuler cette équipe de l'Inter.
Dernière question pour Marquinhos.
Marquinhos, Andesinio Sport TV Portugal, en Italiano.
Italiano, aussi.
Volevo chiederti la question Colmice.
Quest'anno, lui a cambiato complètement la direction du groupe.
Je voulais que tu racontasse un peu, anche pour les collègues italiani,
qu'il y a eu un peu de quoi a été changé cette année, les victoires, et surtout ce qu'il t'aspecte pour demain.
Qu'est-ce qu'il a fait Louis-Sénrique au cours de la saison, et quelles sont vos attentes pour demain ?
Je vais répondre en français.
Je vais répondre en français.
Désolé les amis italiens.
Je pense que je suis ici, ça fait un moment, c'est vrai, au Paris Saint-Germain.
Il y a beaucoup de choses qui ont changé depuis mon arrivée.
Je pense que l'équipe a beaucoup grandi.
On a vécu des moments, des bons moments, des moments difficiles.
Demain, on a une très belle opportunité de faire une très belle chose pour l'histoire du club,
pour l'histoire de tous les joueurs qui sont ici.
Moi, particulièrement, j'ai une deuxième opportunité dans une finale de Champions League.
Et moi, je ne veux pas laisser cette opportunité passer.
Je pense que tous les joueurs sont prêts, tous les joueurs sont très motivés pour faire le meilleur match de leur vie,
prendre le plaisir un maximum sur le terrain, parce que c'est très difficile.
Il faut beaucoup de travail pour arriver dans une finale de Champions League.
Nous, on a fait le maximum pour arriver.
Et nous, c'est arrivé le meilleur moment de la saison, qu'on voulait y être, qu'on voulait participer.
Et c'est à nous maintenant de faire ce qu'il faut pour finir cette saison en beauté,
et ramener ce trophée à la maison, à Paris, pour tous nos supporters, pour toute notre famille qui était avec nous pendant toute la longue de cette saison.
Et je pense que le club, il a beaucoup évolué.
Je suis très heureux et très content de voir comment le club a grandi.
Et tous les moments qu'on a passé ensemble, moi aussi, j'ai beaucoup évolué avec le club.
C'est pour ça qu'il y a beaucoup de respect et beaucoup d'histoires en commun avec moi et le club.
Et voilà, le moment, il est là.
C'est à nous maintenant d'arracher ce trophée et ramener à la maison.

https://www.youtube.com/watch?v=-8VHTJznOr8 le lien vidéo

[Sarconzie]

J'attendais la conf comme un con sur Canal

Pourquoi ils diffusent pas ces clowns ?