Élections législatives anticipées de 2024, Masterclass de Macron ou But contre son camp? Options

[Raptor39]

Le RN est clairement contre le fait de faire venir des étrangers en France pourtant, non?

les précédents messages me semblent vrai, ça dépend de l'origine
et je rajoute une subtilité, les RNs feraient venir les polonais et autres docs des pays de l'est
MAIS en les renvoyant au pays au fur et à mesure qu'on forme des docteurs FRANCAIS

[Vasco]

https://twitter.com/GuillaumeGrlt/status/1808803631333859686

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

au moins elle s'est présenté sur le plateau Il y avait un sujet ce matin sur France Info parlant de candidats du RN qui refusaient la confrontation et restaient bien planqués. Quand on voit cette dame, on peut comprendre qu'il est parfois préférable de ne rien dire.

[Oyé Sapapaya]

Le tract de Ruffin, le groupe vie bien

[Vasco]

Interview intéressante dans le Point

Spoiler :

Le géographe Christophe Guilluy a prophétisé, il y a vingt ans, la notion de « France périphérique » pour décrire la fracture grandissante entre les métropoles mondialisées et le reste du territoire. Ses travaux, longtemps marginalisés, mais repris dans le monde entier, apparaissent aujourd'hui prophétiques.

L'essayiste a su identifier et conceptualiser les effets politiques de la montée d'un ressentiment dans les classes populaires et moyennes qui vivent en périphérie d'un modèle économique centré sur les grandes villes. Il a aussi mis en lumière l'émergence d'une nouvelle géographie sociale et électorale transcendant les clivages traditionnels. Un éclairage précieux pour comprendre les défis qui attendent la France.


Le Point : En étudiant la carte électorale, on a l'impression qu'il existe désormais une cohérence géographique, sociologique et politique très puissante en France. Comment l'expliquez-vous ?

Christophe Guilluy : Il y a effectivement une cohérence absolue sur l'ensemble des territoires, quelle que soit leur histoire. On est passé d'une géographie sociale héritée des XIXe et XXe siècles à une nouvelle géographie sociale centrée autour des grandes métropoles mondialisées. Aujourd'hui, la carte est chimiquement pure.

D'un côté, des métropoles-citadelles où se rétractent la macronie et la gauche ; de l'autre, une France majoritaire et périphérique qui est devenue le cimetière de l'ancienne classe moyenne occidentale. C'est sur ce terreau que prospère un mouvement existentiel, celui des dépossédés. Ce mouvement, perceptible partout en Occident, est inarrêtable car il est porté par l'instinct de survie de la société. Cette réalité géographique, économique et sociale a des conséquences culturelles et politiques évidentes.

Fabien Roussel a été battu dès le premier tour, François Ruffin est en mauvaise posture. Tous deux ont essayé de s'adresser à un électorat plus périphérique, plus rural… Comment expliquez-vous leur échec ?

La grosse épine dans le pied, c'est le refus d'entendre la demande de régulation des flux migratoires. La gauche a complètement intégré l'idée que parler de régulation des flux migratoires équivaut à être raciste. Elle n'arrive pas à penser autrement. Or, c'est très important pour les classes populaires, y compris celles issues de l'immigration.

Ce n'est pas du racisme que de refuser de se sentir en insécurité culturelle mais une réaction universelle des plus modestes. En réalité, sur le sujet, si on met de côté les postures, 100 % des Français sont d'accord avec cette idée de régulation, les postures politiques ne diffèrent qu'entre ceux qui pratiquent l'évitement résidentiel et scolaire et ceux qui n'en ont pas les moyens.

Comment expliquez-vous que l'immigration et la sécurité, thèmes traditionnels du RN, n'aient pas été au centre de la campagne ?

Je crois que les gens n'ont plus besoin d'en parler. Cela fait quarante ans qu'ils ont identifié ce parti comme portant ces thématiques, puisque les autres ne les portaient pas. De plus, il y a eu une autonomisation culturelle des classes populaires et moyennes. Les gens n'écoutent plus les débats télévisés, ni les intellectuels, ni la presse. Ils ont fait leur propre diagnostic, car la crise ne date pas d'hier.

Cette autonomie culturelle est une réaction à vingt ou trente ans d'invisibilisation et d'ostracisation. Il faut bien comprendre que, contrairement à ce qu'on lit, la France périphérique n'est pas une France 100 % blanche, hétéro, antisémite et homophobe. Il faut sortir de Paris ! C'est une France diverse, multiethnique, multiconfessionnelle, et surtout inscrite dans la modernité.

On y trouve aussi des ménages éclatés, des femmes seules, des couples homos, etc. Et ils utilisent les réseaux sociaux, ils n'ignorent rien de ce qui se passe dans ce pays ! C'est une France qui est dans la modernité, dans l'évolution culturelle et technologique du moment. Simplement, elle ne supporte pas de ne pas avoir sa place dans le modèle économique et culturel actuel.

Vous critiquez souvent les élites. Êtes-vous anti-élite ?

Absolument pas ! Je donne souvent l'exemple des élites économiques et politiques de l'après-guerre, les gaullistes et les communistes. C'étaient des gens qui avaient en tête le bien commun et qui ont réindustrialisé la France. On peut aussi évoquer l'élite culturelle et intellectuelle qui, jusqu'aux années 1960, a porté des représentations valorisantes de la majorité ordinaire.

Or une société fonctionne avec le haut et le bas ensemble… et non pas avec un bas contre le haut, ou inversement. Ce mouvement de défiance va se poursuivre, indépendamment du microcosme politique. Peu importe le résultat du RN demain, les demandes sont sur la table et ça ira en s'accroissant.

Comment se manifeste la déconnexion des élites dont vous parlez ?

Il y a à la fois méconnaissance et mépris. Les élites actuelles sont enfermées dans une forme d'infantilisme et d'immaturité qui leur interdit de prendre en charge la réalité. Quand elles ont des résultats qui ne leur conviennent pas, elles tapent du pied comme des enfants. Elles sont dans un fantasme absolu de ce qui se passe réellement dans le pays. C'est pour cela que la question des représentations géographiques est si importante.

Quel rôle joue l'État providence dans cette dynamique ?

C'est un point crucial. Aujourd'hui, ce qui tient encore le pays, c'est l'État providence, mais on voit que c'est la prochaine étape de la fragilisation. Les gens ont parfaitement compris que le prochain plan social, ce ne sera plus l'industrie, mais plutôt la fonction publique. C'est ce qui est en jeu. Ce qui tient encore le pays, c'est l'État providence, mais c'est un fantôme puisqu'il ne vit que par l'endettement.

Vous semblez pessimiste sur la capacité des partis traditionnels à répondre à ces enjeux…

Les partis traditionnels n'ont plus le choix. Soit ils acceptent que la France périphérique majoritaire existe, et ils s'adaptent à la demande, soit ils disparaissent. La gauche, par exemple, est encore très idéologique, avec cette idée sous-jacente qu'elle devrait guider le peuple. Mais les gens sont désidéologisés, ils pensent par eux-mêmes, ils ont leur propre diagnostic et c'est ce diagnostic qu'ils veulent faire passer.

Ils n'attendent ni un homme politique ni un intellectuel pour les guider. C'est pour cela que je dis que se positionner encore sur le clivage gauche-droite à un moment où les gens l'ont complètement abandonné est complètement stupide.

Vous parlez depuis longtemps de « France périphérique ». Ce concept a-t-il été mal compris ?

L'idée de la France périphérique, expression interdite par certains universitaires, visait à isoler les grandes métropoles mondialisées et globalisées du reste du pays, des villes moyennes, des petites villes et des zones rurales. Il s'agissait de voir comment la société évoluait en dehors de l'hypercréation de richesses.

Conclusion : ça se passe plus ou moins mal selon les endroits, mais il y a des traits communs à tous les pays occidentaux. Aux États-Unis, par exemple, les gens de New York ne comprennent rien à ce qui se passe dans l'Ohio. En Grande-Bretagne, ceux de Londres ne saisissent pas ce qui se passe dans le Yorkshire. On est vraiment sur deux planètes différentes : la planète Métropolia et la planète Périphéria. C'est un schisme culturel qui se reproduit à l'infini en Occident.

[Parisian]

Il est de la famille de Ludovic non ?

[ramutcho]

https://twitter.com/GuillaumeGrlt/status/1808803631333859686

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Après, un député de la majo sert juste à voter de ce que fait le gouvernement...

Dans le genre nullarde, Tondelier semble pas mal aussi vu son rang.

Visiblement, c'est le niveau seconde en économie.

https://twitter.com/Cobra_FX_/status/1808727999665053992

[jp.sorin]

Interview intéressante dans le Point

Spoiler :

Le géographe Christophe Guilluy a prophétisé, il y a vingt ans, la notion de « France périphérique » pour décrire la fracture grandissante entre les métropoles mondialisées et le reste du territoire. Ses travaux, longtemps marginalisés, mais repris dans le monde entier, apparaissent aujourd'hui prophétiques.

L'essayiste a su identifier et conceptualiser les effets politiques de la montée d'un ressentiment dans les classes populaires et moyennes qui vivent en périphérie d'un modèle économique centré sur les grandes villes. Il a aussi mis en lumière l'émergence d'une nouvelle géographie sociale et électorale transcendant les clivages traditionnels. Un éclairage précieux pour comprendre les défis qui attendent la France.


Le Point : En étudiant la carte électorale, on a l'impression qu'il existe désormais une cohérence géographique, sociologique et politique très puissante en France. Comment l'expliquez-vous ?

Christophe Guilluy : Il y a effectivement une cohérence absolue sur l'ensemble des territoires, quelle que soit leur histoire. On est passé d'une géographie sociale héritée des XIXe et XXe siècles à une nouvelle géographie sociale centrée autour des grandes métropoles mondialisées. Aujourd'hui, la carte est chimiquement pure.

D'un côté, des métropoles-citadelles où se rétractent la macronie et la gauche ; de l'autre, une France majoritaire et périphérique qui est devenue le cimetière de l'ancienne classe moyenne occidentale. C'est sur ce terreau que prospère un mouvement existentiel, celui des dépossédés. Ce mouvement, perceptible partout en Occident, est inarrêtable car il est porté par l'instinct de survie de la société. Cette réalité géographique, économique et sociale a des conséquences culturelles et politiques évidentes.

Fabien Roussel a été battu dès le premier tour, François Ruffin est en mauvaise posture. Tous deux ont essayé de s'adresser à un électorat plus périphérique, plus rural… Comment expliquez-vous leur échec ?

La grosse épine dans le pied, c'est le refus d'entendre la demande de régulation des flux migratoires. La gauche a complètement intégré l'idée que parler de régulation des flux migratoires équivaut à être raciste. Elle n'arrive pas à penser autrement. Or, c'est très important pour les classes populaires, y compris celles issues de l'immigration.

Ce n'est pas du racisme que de refuser de se sentir en insécurité culturelle mais une réaction universelle des plus modestes. En réalité, sur le sujet, si on met de côté les postures, 100 % des Français sont d'accord avec cette idée de régulation, les postures politiques ne diffèrent qu'entre ceux qui pratiquent l'évitement résidentiel et scolaire et ceux qui n'en ont pas les moyens.

Comment expliquez-vous que l'immigration et la sécurité, thèmes traditionnels du RN, n'aient pas été au centre de la campagne ?

Je crois que les gens n'ont plus besoin d'en parler. Cela fait quarante ans qu'ils ont identifié ce parti comme portant ces thématiques, puisque les autres ne les portaient pas. De plus, il y a eu une autonomisation culturelle des classes populaires et moyennes. Les gens n'écoutent plus les débats télévisés, ni les intellectuels, ni la presse. Ils ont fait leur propre diagnostic, car la crise ne date pas d'hier.

Cette autonomie culturelle est une réaction à vingt ou trente ans d'invisibilisation et d'ostracisation. Il faut bien comprendre que, contrairement à ce qu'on lit, la France périphérique n'est pas une France 100 % blanche, hétéro, antisémite et homophobe. Il faut sortir de Paris ! C'est une France diverse, multiethnique, multiconfessionnelle, et surtout inscrite dans la modernité.

On y trouve aussi des ménages éclatés, des femmes seules, des couples homos, etc. Et ils utilisent les réseaux sociaux, ils n'ignorent rien de ce qui se passe dans ce pays ! C'est une France qui est dans la modernité, dans l'évolution culturelle et technologique du moment. Simplement, elle ne supporte pas de ne pas avoir sa place dans le modèle économique et culturel actuel.

Vous critiquez souvent les élites. Êtes-vous anti-élite ?

Absolument pas ! Je donne souvent l'exemple des élites économiques et politiques de l'après-guerre, les gaullistes et les communistes. C'étaient des gens qui avaient en tête le bien commun et qui ont réindustrialisé la France. On peut aussi évoquer l'élite culturelle et intellectuelle qui, jusqu'aux années 1960, a porté des représentations valorisantes de la majorité ordinaire.

Or une société fonctionne avec le haut et le bas ensemble… et non pas avec un bas contre le haut, ou inversement. Ce mouvement de défiance va se poursuivre, indépendamment du microcosme politique. Peu importe le résultat du RN demain, les demandes sont sur la table et ça ira en s'accroissant.

Comment se manifeste la déconnexion des élites dont vous parlez ?

Il y a à la fois méconnaissance et mépris. Les élites actuelles sont enfermées dans une forme d'infantilisme et d'immaturité qui leur interdit de prendre en charge la réalité. Quand elles ont des résultats qui ne leur conviennent pas, elles tapent du pied comme des enfants. Elles sont dans un fantasme absolu de ce qui se passe réellement dans le pays. C'est pour cela que la question des représentations géographiques est si importante.

Quel rôle joue l'État providence dans cette dynamique ?

C'est un point crucial. Aujourd'hui, ce qui tient encore le pays, c'est l'État providence, mais on voit que c'est la prochaine étape de la fragilisation. Les gens ont parfaitement compris que le prochain plan social, ce ne sera plus l'industrie, mais plutôt la fonction publique. C'est ce qui est en jeu. Ce qui tient encore le pays, c'est l'État providence, mais c'est un fantôme puisqu'il ne vit que par l'endettement.

Vous semblez pessimiste sur la capacité des partis traditionnels à répondre à ces enjeux…

Les partis traditionnels n'ont plus le choix. Soit ils acceptent que la France périphérique majoritaire existe, et ils s'adaptent à la demande, soit ils disparaissent. La gauche, par exemple, est encore très idéologique, avec cette idée sous-jacente qu'elle devrait guider le peuple. Mais les gens sont désidéologisés, ils pensent par eux-mêmes, ils ont leur propre diagnostic et c'est ce diagnostic qu'ils veulent faire passer.

Ils n'attendent ni un homme politique ni un intellectuel pour les guider. C'est pour cela que je dis que se positionner encore sur le clivage gauche-droite à un moment où les gens l'ont complètement abandonné est complètement stupide.

Vous parlez depuis longtemps de « France périphérique ». Ce concept a-t-il été mal compris ?

L'idée de la France périphérique, expression interdite par certains universitaires, visait à isoler les grandes métropoles mondialisées et globalisées du reste du pays, des villes moyennes, des petites villes et des zones rurales. Il s'agissait de voir comment la société évoluait en dehors de l'hypercréation de richesses.

Conclusion : ça se passe plus ou moins mal selon les endroits, mais il y a des traits communs à tous les pays occidentaux. Aux États-Unis, par exemple, les gens de New York ne comprennent rien à ce qui se passe dans l'Ohio. En Grande-Bretagne, ceux de Londres ne saisissent pas ce qui se passe dans le Yorkshire. On est vraiment sur deux planètes différentes : la planète Métropolia et la planète Périphéria. C'est un schisme culturel qui se reproduit à l'infini en Occident.

Tres Interessant en effet, merci du partage

[Oyé Sapapaya]

Après, un député de la majo sert juste a voté de ce que fait le gouvernement...

Dans le genre nullarde, Tondelier semble pas mal aussi vu son rang.

Visiblement, c'est le niveau seconde en économie.

https://twitter.com/Cobra_FX_/status/1808727999665053992

Il parait que c'est une grosse connerie cette courbe de Laffer

[ramutcho]

Connerie ou pas, elle aspire à de hautes responsabilités et, visiblement, elle n'en a jamais entendu parlé. Il est là le problème.

[Vasco]

Après, un député de la majo sert juste à voter de ce que fait le gouvernement...

Ils ont un autre rôle que de lever la main une fois par mois...

[ramutcho]

Ils ont un autre rôle que de lever la main une fois par mois...

En théorie oui mais on ne l'a pas trop vu ces dernières années.
Il y a des députés macronistes qui on dû manger leur chapeau sous Macron.

[Vasco]

Après, un député de la majo sert juste à voter de ce que fait le gouvernement...

Dans le genre nullarde, Tondelier semble pas mal aussi vu son rang.

Visiblement, c'est le niveau seconde en économie.

https://twitter.com/Cobra_FX_/status/1808727999665053992

je connaissais pas (cette notion de seconde ).

J'espère qu'on lui confiera pas Bercy...

[tonato]

Il parait que c'est une grosse connerie cette courbe de Laffer

C'est comme Phillips, ce sont des théories descriptives qui ont maintenant 50ans.

[Philo]

pour les docs, mon avis c'est que déjà on devrait faire venir plus de médecin étranger, parce que y'a qu'en France qu'on est en pénurie

et pour les zones blanches : obliger la localisation non, mais faire le même système que pour les taxis.
Attribuer tant de places de doc par secteur, et si on veut s'installer à Nice, il faut racheter la place à celui qui veut bien la vendre.

Absolument pas
C'est même tout le contraire, il en manque partout.

[_HHH_]

Il parait que c'est une grosse connerie cette courbe de Laffer

Il y en a qui ont essayé, de pratiquer des hausses d'imposition comme si l'effet Laffer n'existait pas.

Ils se sont tous pris le mur de la réalité.

C'est comme Phillips, ce sont des théories descriptives qui ont maintenant 50ans.

Laffer / Phillips n'ont vraiment rien à voir.

[Vasco]

Il y en a qui ont essayé, de pratiquer des hausses d'imposition comme si l'effet Laffer n'existait pas.

Ils se sont tous pris le mur de la réalité.

et c'est pas étonnant. Je connais peu de gens qui aiment travailler gratuitement, surtout quand ils ont déjà été gentiement prélevé.

[Alain Miamdelin]

Il parait que c'est une grosse connerie cette courbe de Laffer

La recherche d'origine est pas claire et pas très rigoureuse apparemment. Et de mémoire Laffer était un gros supremaciste qui essayait de prouver des choses cheloues.

Maintenant à ma connaissance aucune critique sérieuse de la théorie (ou théorie alternative) n'existe non plus.

Empiriquement on peut constater assez facilement que 100% d'impôt pourrait nuire à l'effort et que 0% nuirait aux financements des services publics.
Mais personne ne connaît le fameux seuil. Qui doit d'ailleurs pas être le même selon les cultures et l'attractivité/productivité du pays.

[tonato]

Absolument pas
C'est même tout le contraire, il en manque partout.

Arrete Philo, tu casses le rêves que tous les problèmes français n'existent strictement QUE en France !

Plus serieusement, en Allemagne aussi c'est un sujet maintenant, apparement moins qu'en France car les caisses allemandes sont prêtes à debourser plus (vu les taux de cotisations astronomiques en même temps...), mais ça revient regulièrement dans la presse depuis quelques années. Les médicaments c'est un sujet européen pour moi, pas seulement un sujet national, vu que la production est au niveau du continent entier.

Laffer / Phillips n'ont vraiment rien à voir.

Pas sur le sujet étudié bien sur, mais sur l'ancienneté de ces théories descriptives et donc les lacunes à cause des grands changements depuis cette époque.

[Aphasie]

Arrete Philo, tu casses le rêves que tous les problèmes français n'existent strictement QUE en France !

Plus serieusement, en Allemagne aussi c'est un sujet maintenant, apparement moins qu'en France car les caisses allemandes sont prêtes à debourser plus (vu les taux de cotisations astronomiques en même temps...), mais ça revient regulièrement dans la presse depuis quelques années. Les médicaments c'est un sujet européen pour moi, pas seulement un sujet national, vu que la production est au niveau du continent entier.

Ils ont pas siphonné les médecins de Hongrie en Allemagne d’ailleurs ?

[Pathfinder]

pour les docs, mon avis c'est que déjà on devrait faire venir plus de médecin étranger, parce que y'a qu'en France qu'on est en pénurie

Non, en Suisse aussi c'est une galere sans nom pour trouver un medecin et pourtant niveau salaire, c'est le jour et la nuit avec la France. Mais on est en galere quand meme, malgre la venue de nombreux medecins etrangers.