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[Picollo]

https://twitter.com/ViolaineJ/status/1277573420511834113

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Concernant BFM, qu'ils parlent donc des peines pour ce genre de delits à l'etranger et notamment en Asie pour comparer.

[macbath]

C'est justement parce qu'il est sans parti qu'il est populaire

J'ai quand même du mal à voir sa "popularité" s'installer.
C'est quand même lui qui a validé le 80 km/h "pour sauver des vies", c'est dire s'il est en décalage avec l'électorat rural de LR. Et pendant le Covid il a eu l'intelligence de ne pas trop se mettre en avant pendant que le PR, les ministres et le DGS prenaient cher pour leur gestion de la crise, c'est assez miraculeux quand on y pense.

BFM qui débat sur la sévérité du jugement fillon

Quandf tu détournes 1M€ de denier public, 2ans ferme 3 ans de sursis et 375 000€ d'amende ça me semble justifié. Je ne vois pas ce qu'il a de choquant. Sio un lambda faisait ça, il aurait surement été condamné à plus.

C'est sévère parce que pleins de députés faisaient ça depuis des décennies, sous forme de caisse en liquides à une époque ou de faux assistants ensuite. C'était largement considéré comme un complément de rémunération et il a pas compris que le vent tournait sur ces pratiques par rapport aux années 80. C'est surtout l'histoire d'un mec déconnecté et incompétent qui a laissé un point faible sur lequel se faire attaquer politiquement, pas une histoire de grand banditisme.

[Guest_M4URIC3_supprimé]

BFM qui débat sur la sévérité du jugement fillon

Depuis que je suis rentré en France, j'ai tenté un peu de BFM et CNews pour me faire un avis et en fait t'as très très peu d'info. Ça couvre un nombre de sujets très restreints et le reste c'est du "débat" (ou plutôt de la polémique). LCI j'imagine que c'est la même chose ?

J'ai essayé la chaîne France info et t'as quand même plusieurs crans de différence niveau qualité pour le coup. Une couverture plus large des informations et y a même quelques débats intéressants j'ai l'impression.

Bon après ça m'a surtout convaincu de continuer sans TV dés que j'ai mon logement définitif. On s'en passe quand même très facilement.

[Miles]

C'est sévère parce que pleins de députés faisaient ça depuis des décennies, sous forme de caisse en liquides à une époque ou de faux assistants ensuite. C'était largement considéré comme un complément de rémunération et il a pas compris que le vent tournait sur ces pratiques par rapport aux années 80. C'est surtout l'histoire d'un mec déconnecté et incompétent qui a laissé un point faible sur lequel se faire attaquer politiquement, pas une histoire de grand banditisme.

Ça n'a pas de sens

[Bab]

Concernant BFM, qu'ils parlent donc des peines pour ce genre de delits à l'etranger et notamment en Asie pour comparer.

[witchfinder]

Ça n'a pas de sens

Je vois pas en quoi on pourrait pas débattre de la sévérité de cette peine vu tout ce dont on débat habituellement.

[Miles]

Je vois pas en quoi on pourrait pas débattre de la sévérité de cette peine vu tout ce dont on débat habituellement.

C'est pas ça qui n'a pas de sens, tu débats de la sévérité par rapport à ce qu'il risquait et la loi ou d'autres jugements similaires, c'est pas sévère parce que d'autres le font.

[psycraft]

J'ai quand même du mal à voir sa "popularité" s'installer.
C'est quand même lui qui a validé le 80 km/h "pour sauver des vies", c'est dire s'il est en décalage avec l'électorat rural de LR. Et pendant le Covid il a eu l'intelligence de ne pas trop se mettre en avant pendant que le PR, les ministres et le DGS prenaient cher pour leur gestion de la crise, c'est assez miraculeux quand on y pense.

En retrait pendant la crise du Covid mais La décision de maintenir le premier tour des municipales c'était de son fait. Après oui, le seul truc qui plaide pour lui et qui participe à sa momentanée pseudo cote de popularité auprès des instituts de sondage c'est de ne pas avoir été sous le feu des projecteurs ces derniers mois, ça en dit long sur l'épaisseur du bonhomme.

[Miles]

https://twitter.com/Brevesdepresse/status/1277674338674712577?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Le président est toujours protégé par son statut ou le pnf rebat les cartes ?

[stoner_man]

Le président est toujours protégé par son statut ou le pnf rebat les cartes ?

Le PNF est au service du président.

[Kaelas]

Que ce soit leur taf je suis d'accord Kaelas mais (je me répète) comment tu interviens face a des mecs en motocross sans protections, non casqués et qui ne s’arrêtent jamais ?
Ca ne peut que mal se passer. Moi je suis plutôt du genre "tu joues, tu peux perdre" donc qu'ils assument. Mais je comprends parfaitement les flics, pour ce cas là, qu'ils soient réticents a intervenir.

J'en sais rien c'est pas mon taff

Les moyens il y en a plusieurs, le renseignement (planque + photos des individus + prises plaques ) étant surement le meilleur moyen, la nasse, j'en sais pas trop plus je suis pas flic.

Je pense que le problème c'est surtout la volonté politique, le manque d'effectif et l'arsenal juridique plus que les moyens d'intervenir.

[witchfinder]

J'en sais rien c'est pas mon taff

Les moyens il y en a plusieurs, le renseignement (planque + photos des individus + prises plaques ) étant surement le meilleur moyen, la nasse, j'en sais pas trop plus je suis pas flic.

Je pense que le problème c'est surtout la volonté politique, le manque d'effectif et l'arsenal juridique plus que les moyens d'intervenir.

Les moyens c'est simple: une mustang avec un pare-buffle.

[Val d'eau]

https://twitter.com/Brevesdepresse/status/1277674338674712577?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Le président est toujours protégé par son statut ou le pnf rebat les cartes ?

Le président est toujours protégé durant et après son mandat des actes commis.
Seule la Cour pénale internationale peut lui chercher des noises pour des crimes bien spécifiques, génocides, crimes de guerre etc etc.

[macbath]

Nucléaire : comment Aubry et Hollande scellèrent le sort de Fessenheim
RÉCIT. À quelques mois de la présidentielle de 2012, les socialistes cèdent aux écologistes sur la fermeture de la centrale du Haut-Rhin, effective ce 30 juin.

Michel Sapin est un peu surpris. Le futur ministre de l'Économie vient de recevoir une invitation à déjeuner très pressante. Henri Proglio, le patron d'EDF, l'invite dès le lendemain dans une des salles à manger du siège, un bel immeuble situé avenue de Wagram, tout près de la place de l'Étoile. Sapin se doute un peu du menu des discussions. La veille, le 15 novembre 2011, le bureau national du PS a validé son accord législatif avec les Verts.

Les écologistes ont été gourmands. Ils ont obtenu quelques engagements de taille si d'aventure le candidat socialiste, François Hollande, gagnait la présidentielle, quelques mois plus tard. Parmi ceux-ci, la réduction de 75 à 50 % en 2025 de la part du nucléaire dans la production d'électricité en France et la fermeture de 24 réacteurs. Les marchés n'ont pas aimé. Le lendemain de l'accord, l'action EDF plonge d'environ 5 %. Proglio n'est, lui non plus, pas content, et il veut le faire savoir à Michel Sapin, négociateur en chef de François Hollande. « Il était fou furieux », se souvient Sapin.

Henri Proglio sait que le coup risque d'être rude pour EDF. Avec cet accord, c'est tout le modèle économique de l'électricien qui se trouve chamboulé. Et les Verts, qui militent pourtant pour une énergie décarbonée, veulent tout de suite un trophée : la centrale de Fessenheim, dont ils exigent la fermeture sans attendre, au motif qu'elle est la plus ancienne de France. L'ASN, le gendarme du nucléaire, la classe pourtant, aujourd'hui encore, comme l'une des plus sûres de France, mais les écologistes ne veulent rien entendre. Fessenheim est condamnée. Près de dix ans plus tard, le 22 février 2020, le premier réacteur est mis à l'arrêt, alors que le second l'est ce 30 juin.

« Les écologistes veulent tout recycler, sauf le nucléaire »
L'offensive contre le nucléaire français commence au début de l'été 2011. Martine Aubry est alors la première secrétaire du Parti socialiste. Elle lance des discussions avec EELV, dirigée par sa bonne amie, Cécile Duflot. On débat, lors de tables rondes, d'un accord électoral en vue des législatives de 2012 – à toi telle circonscription, à moi telle autre –, mais aussi de sujets de fond. Il faut bien s'entendre sur un programme. Le nucléaire en est un, assez sérieux. Les écologistes sont ambitieux.

L'objectif de 50 % d'électricité nucléaire en 2025, c'est leur idée. Elle n'est pas tombée du ciel. Selon un bon connaisseur du sujet, cette réduction de 75 à 50 % correspond pile à la production des centrales les plus anciennes (les 900 MW), qui utilisent du MOX, ce produit de recyclage du plutonium. En tarissant ce débouché pour le MOX, ils entendent couper l'activité du site Areva de la Hague, qui le produit, et stopper le programme de réacteurs de quatrième génération, conçus pour l'utiliser. Une sorte de théorie des dominos à la façon des écolos. « Avec cette baisse de la production à 50 %, les écologistes voulaient étouffer toute la filière. Ils veulent tout recycler, sauf le nucléaire ! » explique-t-on à EDF.

Au début des négociations, les deux parties s'entendent plutôt bien. Les Verts misent sur Aubry, quasi certains qu'elle sera candidate à l'Élysée. « On pensait qu'elle gagnerait, on fait donc monter les enchères », confirme aujourd'hui un négociateur écolo. De son côté, la maire de Lille est plutôt conciliante. « Elle lâche tout, elle veut alors attirer les électeurs écolos pour la primaire ! » peste Michel Sapin, tout en reconnaissant qu'elle laisse quelques options ouvertes afin de ne pas complètement lier celui qui sera désigné par la primaire de la gauche, à l'automne.

L'absence des hollandais
Mais rien ne se passe vraiment comme prévu. D'abord, à la fin de l'été, quelques Verts s'inquiètent. Seules les équipes d'Aubry négocient avec eux. Et si elle perdait malgré tout la primaire qui se profile, que deviendrait l'accord ? Pascal Durand, l'un des négociateurs, sent le danger. Il appelle Stéphane Le Foll à la fin de l'été. Il demande au lieutenant de Hollande de participer, avec ses proches, aux discussions. « Il a très bien compris, mais personne n'est jamais venu. Je me demande si les hollandais ne l'ont pas fait exprès pour éviter d'être liés par l'accord », raconte Pascal Durand. Les aubrystes continuent seuls à négocier. Avant la primaire, qui se déroule en octobre, un préaccord est signé. Il prévoit donc la réduction de la part du nucléaire, la fermeture des 24 réacteurs et diverses dispositions comme l'abandon du projet de l'aéroport à Notre-Dame-des-Landes.

Le 16 octobre 2011, les écolos déchantent. Hollande a gagné la primaire. Le candidat à l'Élysée n'est pas un farouche antinucléaire. Il entend bien renégocier quelques éléments du préaccord. Dans son bureau de l'Assemblée, le député de Corrèze entame donc avec les émissaires de Duflot les négociations pour les législatives. La cuisine électorale, il adore, et laisse Michel Sapin rediscuter avec les négociateurs Verts de l'accord programmatique signé par Aubry. « La question du nucléaire était l'un des principaux points de friction. La baisse à 50 %, par exemple, était, pour nous, une résultante des économies d'énergie et d'une montée en puissance des énergies renouvelables ; pour eux, c'était un principe », explique Sapin. Les Verts refusent de reculer. « Ça s'est fait avec Martine ! » se défendent-ils. « Oui, mais elle n'est pas candidate », rétorquent les hollandais.

Le marché est conclu un soir d'automne, dans une salle du Sénat. Il y a là une escouade de négociateurs écologistes, dont Denis Baupin, Jean-Vincent Placé, Stéphane Sitbon-Gomez, et les amis du futur chef de l'État, Michel Sapin, Manuel Flam, mais aussi l'aubryiste François Lamy. La sortie du nucléaire est toujours un préalable posé par les Verts. Il doit figurer dans l'accord final, avec l'abandon de l'EPR de Flamanville. « Cécile Duflot avait prévenu : on ne signe pas si ça n'est pas inscrit dans le texte », se souvient un des émissaires écolos. Les hollandais regimbent. Les discussions se tendent.

Dans la soirée, Michel Sapin, Jean-Vincent Placé et Stéphane Sitbon-Gomez sortent de la salle. Ils s'isolent. Ils ont un coup de fil à passer. Le premier appelle François Hollande, les seconds Cécile Duflot. Les deux leaders politiques se trouvent au même endroit, chez Valérie Trierweiler, dans son appartement du 15e arrondissement. Au bout du fil, Sapin expose les blocages. Hollande, comme souvent, coupe la poire en deux. Il est d'accord pour garder l'objectif de réduction du nucléaire, avec la fermeture rapide de Fessenheim, mais suggère de sortir de l'accord la question de l'EPR de Flamanville (ainsi que celle de Notre-Dame-des-Landes). Duflot tope. « Pour sauver Flamanville, Hollande sacrifie Fessenheim », observe un négociateur des Verts.

« Moxou » intervient et Jean-Vincent Placé s'emporte
L'accord est en bonne voie. Le bureau national du PS doit l'entériner quatre jours plus tard. Mais, ce 15 novembre 2011, le théâtre socialiste est le cadre d'un nouveau coup. Un paragraphe a disparu de l'accord. Il concerne le désormais fameux MOX, ce produit du recyclage du plutonium. Les Verts voulaient la disparition de toute la filière, les socialistes ne l'ont pas entendu de cette oreille. Un homme a entre-temps mis son nez dans l'accord. Bernard Cazeneuve, c'est lui, est alors le député-maire de Cherbourg. L'usine Areva de La Hague est toute proche. Ayant eu vent de l'accord, Areva a alerté le futur Premier ministre des conséquences pour la région et pour toute la filière d'une disparition du MOX.

Cazeneuve, qui réfute l'idée d'avoir été l'intercesseur d'Areva, intervient pour que le paragraphe incriminé soit retiré. Les Verts sont fous de rage. « Puisque c'est comme ça, il n'y aura pas d'accord ! » s'emporte Jean-Vincent Placé. Les heures qui suivent donnent lieu à un spectacle rocambolesque, socialistes et écologistes jurant tour à tour que le paragraphe figurera, ou pas, dans l'accord. Il n'y figurera pas. La filière MOX est sauvée, et Bernard Cazeneuve gagne un surnom, attribué par Cécile Duflot : « Moxou ».

Pour services rendus au PS, la patronne d'EELV atterrira dans une jolie circonscription de l'Est parisien, avant d'être nommée ministre. C'est pourtant Ségolène Royal, ministre de l'Écologie à partir de 2014, qui lancera la fermeture des réacteurs de Fessenheim, réellement engagée en 2018. Henri Proglio avait raison d'être inquiet.

Le Point

Moi qui pensais naïvement que les Verts étaient anti-nucléaire par ignorance scientifique... En fait ils avaient un plan bien en tête pour faire péter toute la filière, y compris les développements futurs, avec leur objectif de 50% de nucléaire dans le mix d'énergie produite. Et là c'était les Verts light à la Duflot, Placé et compagnie, ça va être encore un autre niveau avec les tarés à la Bayou qui ont été biberonnés à ces conneries.

Et le PS qui a entériné tout ça pour gratter 3% de votes en plus

[Nikos B.]

Le Point

Moi qui pensais naïvement que les Verts étaient anti-nucléaire par ignorance scientifique... En fait ils avaient un plan bien en tête pour faire péter toute la filière, y compris les développements futurs, avec leur objectif de 50% de nucléaire dans le mix d'énergie produite. Et là c'était les Verts light à la Duflot, Placé et compagnie, ça va être encore un autre niveau avec les tarés à la Bayou qui ont été biberonnés à ces conneries.

Et le PS qui a entériné tout ça pour gratter 3% de votes en plus

Je comprends pas le but de tuer le nucléaire en France. Dépendre des russes pour le gaz? refaire des centrales à charbon?
Derrière tout le monde se plein que l'on n'ait pas assez d'indépendance au niveau des usines.
C'est incompréhensible.

[witchfinder]

Je comprends pas le but de tuer le nucléaire en France. Dépendre des russes pour le gaz? refaire des centrales à charbon?
Derrière tout le monde se plein que l'on n'ait pas assez d'indépendance au niveau des usines.
C'est incompréhensible.

Va falloir finir par comprendre que le but des écolos n'est pas de remplacer une source d'énergie par une autre mais la décroissance. Tous ceux qui pensent voter pour de gentils experts en énergies renouvelables votent en fait pour la régression.

C'est un point de vue, mais faut le savoir.

[Parisian]

Va falloir finir par comprendre que le but des écolos n'est pas de remplacer une source d'énergie par une autre mais la décroissance. Tous ceux qui pensent voter pour de gentils experts en énergies renouvelables votent en fait pour la régression.

C'est un point de vue, mais faut le savoir.

Je ne suis pas sur, je pense vraiment qu'ils imaginent des immeuble autosuffisant avec des panneaux solaires partout, des éoliennes qui produisent H24 avec le rendement du nucléaire, tout le monde en voiture électrique (du coup faut augmenter la production d'électricité )

Ce sont juste d'énormes débiles.

[witchfinder]

Je ne suis pas sur, je pense vraiment qu'ils imaginent des immeuble autosuffisant avec des panneaux solaires partout, des éoliennes qui produisent H24 avec le rendement du nucléaire, tout le monde en voiture électrique (du coup faut augmenter la production d'électricité )

Ce sont juste d'énormes débiles.

Pour moi il y a une forte part d'idéologues issus d'Attac et cie qui ont remplacé les gentils hippies des années 70 à 90 et pour qui l'écologie n'est qu'un autre moyen d'arriver à leurs fins.

[Nemeto]

Homer, chope le mec armé à la Defense là stp, jvais etre grave en retard à force

[Nikos B.]

Va falloir finir par comprendre que le but des écolos n'est pas de remplacer une source d'énergie par une autre mais la décroissance. Tous ceux qui pensent voter pour de gentils experts en énergies renouvelables votent en fait pour la régression.

C'est un point de vue, mais faut le savoir.

Non mais le pire c'est que je peux comprendre la décroissance, mais là on parle du mix électrique pas énergétique. On pourra quand même polluer comme des porcs niveau énergie avec le pétrole. Le nucléraire c'est 15-20% niveau énergies.

Et pour l’électrique, si on utilise que les énergies "vertes" il faudrait baisser par 5 notre consommation. C'est à dire les pauvres n'auraient plus accès au chauffage ou à l'eau chaude.