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[Anciens] Revue de presse, Seulement les articles de la presse, aucun commentaire
Teichi
posté 25/01/2014 12:36
Message #841


Dieu tout-puissant
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Kebano, l’or noir des Zèbres

Neeskens Kebano est passé du 5e club plus riche d’Europe à un des plus petits budgets belges.

Débarqué du PSG à la fin du mercato d’été, Neeskens Kebano (4 buts) est, à 21 ans,un des atouts les plus précieux des Zèbres.

Il y a des footballeurs qui choisissent d’effectuer la diabolique «quenelle». Neeskens Kebano, lui, a opté pour une autre figure. Les coudes à angle droit, les poings serrés, et on croise de haut en bas. C’était en quittant le terrain lors d’un match à Zulte, en hommage au rappeur français Kaaris dont ce geste est la marque de fabrique. «Je suis fan, explique le médian carolo. C’était un clin d’œil, à destination des amis et de la famille présents au stade, comme à chaque fois».

L’artiste d’origine ivoirienne a secoué la scène hexagonale avec son «Or noir». «Si j’devais choisir entre tout ce biff et toutes ces bitches. Je prendrais le gros chèque, parce que l’oseille est la plus bonne des Scheks. Et j’suis fait d’or noir comme le pétrole…» Des paroles qui filent, qui percutent, qui vont au but. Sans trop de détour. Et qui collent à la peau et au style du jeune Parisien.

À partager,un jour, avec le PSG

D’ailleurs, au Mambour, justement, s’il y a eu en son temps du charbon sous la pelouse, on n’y a jamais trouvé de pétrole. Par contre, il y pousse des idées. L’or noir, c’est Kebano. Venu du PSG pour trois grains de sable, il rapportera quelques cailloux bien taillés, même si les Carolos, le jour de la revente, devront faire fifty-fifty avec les Parisiens.

Et en parlant de «gros chèque», comme dans le morceau, Neeskens Kebano, pour le moment, s’en passe. «J’avais signé un contrat pro de quatre ans à Paris, souligne-t-il. J’aurais pu rester jusqu’en 2016, au calme, à attendre de palper l’argent à chaque fin de mois. Mais au bout de compte, à 24 ans, j’en aurais été où dans ma carrière?» Sans doute pas à Charleroi. Car même si cela en a surpris plus d’un, c’est en passant la frontière, en troquant la Ville Lumière pour le Pays Noir que l’ancien Espoir de l’équipe de France a choisi de se relancer.

La blessure avec Marcq, les massages avec Pollet

Aussi parce qu’entre-temps, un prêt à Caen, s’est soldé par un échec cuisant. «Au PSG, j’ai joué une dizaine de matches, raconte-t-il. L’entraîneur, Antoine Kambouaré, comptait sur moi. Je voyageais de la réserve à l’équipe première. Après, Carlo Ancelotti m’a conseillé de rester, de travailler. J’ai beaucoup appris en m’entraînant régulièrement avec les stars qui débarquaient au club. Je suis tout de même parti à Caen pour obtenir du temps de jeu. Mais en Normandie, la poisse s’est acharnée. Il fallait digérer l’impact physique de la L2. J’ai eu une blessure au genou, au ménisque. Et puis plusieurs petits pépins comme une entorse à la cheville ou une béquille, un coup direct à la hanche… offert par Damien Marcq, que j’ai retrouvé à Charleroi! Bref, l’aventure n’a pas été concluante. Ensuite, de retour au PSG, je me suis vite rendu compte que le club ne comptait pas sur moi pour rivaliser, par exemple, avec un Cavani. Il y a eu pas mal de propositions. Dont celle de Charleroi. Après une semaine de réflexion, j’ai pris ma décision sur le fil, à la veille de la clôture du mercato d’été. »

Chez les Zèbres, Neeskens Kebano, est devenu le meilleur ami des kinés… juste après David Pollet, sans doute le plus fervent carolo de la table de massage. «J’ai compris que je devais me soigner, beaucoup travailler la prévention. Et cela fonctionne. Depuis mon arrivée, je suis quitte de tous ces petits soucis physiques. Car ici, il faut tenir le coup. Moi qui aime que les choses soient claires et cash, j’ai été servi en disputant mon premier match à OHL. Cela m’a donné de suite une idée du style de la plupart des matches de ligue belge et de ses duels.»

À 170 km/h…

Pourtant, issu de Seine et Marne où il a vu le jour en mars 1992, Kebano n’a pas attendu son transfert pour découvrir la Belgique. «J’y venais déjà régulièrement car j’ai de la famille et des amis un peu partout dans votre pays. De Nivelles à Courcelles en passant par… Dendermonde. Mais de Charleroi, je ne connaissais que la gare de Charleroi Sud.» D’ailleurs Neeskens n’en a pas complètement fini avec le train, lui, qui s’est fait sécher son permis depuis une pointe à 170 km/h entre Paris et Caen. Le prochain coup d’accélérateur, ce devra être pour sa carrière, à Charleroi, où on ne va pas traîner non plus à lever l’option qui fera passer la fin de contrat de 2015 à 2017. «Depuis la cour au couloir, j’ai dû courir pour tout avoir », déclame Kaaris.

(L'Avenir.net)
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Homer
posté 26/01/2014 09:56
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Beckham attendu à la soirée de la Fondation PSG

Mille euros le dîner. Voilà ce que vont débourser les convives de la soirée de charité de la Fondation PSG, qui se déroulera mardi au Pré Catelan dans le bois de Boulogne. Ils partageront ce repas de gala aux côtés d’Ibrahimovic et ses partenaires. Un invité exceptionnel pourrait aussi être de l’événement. Il s’agit de David Beckham. Nasser al-Khelaifi, le président du PSG et aussi de la fondation, a invité le Spice Boy mais, hier, celui-ci n’avait pas encore confirmé sa présence. En revanche, Raï, ancien capitaine du PSG, sera bien là, ainsi que plusieurs personnalités du sport.

Au cours de la soirée, une vente aux enchères aura lieu. Les participants pourront acquérir différents objets de l’univers du PSG, comme la paire de chaussures d’Ibrahimovic avec laquelle il avait marqué deux buts contre Marseille la saison dernière, le ballon officiel de PSG - Barcelone en Ligue des champions ou, plus original, une partie de golf avec Laurent Blanc. La mise à prix est de 500 € pour chaque lot. L’argent récolté servira à des projets menés par la Fondation PSG auprès d’enfants en difficulté ou malades.


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Jean Francisco
posté 27/01/2014 10:17
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Gameiro, par ici la sortie

Une semaine après avoir ramené un point de son déplacement à Vicente-Calderon, contre l’Atlético (1-1), le FC Séville est tombé de haut, samedi, en chutant à domicile face à Levante (2-3). Titulaire - une première depuis le 5 janvier-, Kevin Gameiro est resté muet pendant 90 minutes, comme lors de ses sept dernières apparitions avec les Sévillans. L’ancien attaquant du PSG reste bloqué à cinq buts en vingt apparitions en Liga. Il n’a plus marqué depuis le 1er décembre, contre Grenade (2-1). Surtout, c’est son manque de complémentarité avec le Colombien Carlos Bacca (neuf réalisations), meilleur buteur de Séville, qui interpelle. Depuis deux jours, la presse espagnole bruisse d’ailleurs d’une rumeur qui enverrait Gameiro à Monaco dès cet hiver, pour pallier la blessure d'un autre Colombien, un certain Radamel Falcao.

L'équipe.fr
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Philo
posté 27/01/2014 16:28
Message #844


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A été retweeté par Gianluca Di Marzio, PRINCE des transferts, PAPE des rumeurs, OMNISCIENT du mercato, le dimanche 2 août 2015 à 00h35.

"Derrière chaque surfeur se cache un requin".

"ptit binoclard webmaster pour Footix qui occupe son célibat comme il peut ! cousin de dubdadda !"
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corto-news
posté 28/01/2014 18:55
Message #845


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Dja Djédjé à l'OM, ça brûle

Annoncée il y a quelques jours, l'arrivée de Brice Dja Djédjé à Marseille n'est plus qu'une question d'heures. Le latéral droit de l'Evian-TG, en fin de contrat en juin, a trouvé un accord pour rejoindre le club phocéen pour une somme estimée entre 500 000 et 1 million d'euros.

Le départ de l'ancien joueur du PSG ne dépend plus que de la finalisation d'un autre transfert en sens inverse, celui du Marseillais Kassim Abdallah. Après s'être montré réticent à un départ, ce dernier se serait résolu à quitter l'OM et rejoindrait le club haut-savoyard pour un contrat d'un an et demi minimum. Quelques détails restent à régler pour conclure l'opération.


http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/...ca-brule/435971


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Homer
posté 09/02/2014 09:13
Message #846


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Gameiro, profession joker

Arrivé du PSG l'été dernier afin de retrouver un rôle important, Kevin Gameiro est devenu le douzième homme du Séville FC depuis trois mois. Début janvier, l'ancien Lorientais, qui reçoit le Barça ce dimanche (21h00), rêvait pourtant encore de Coupe du monde.

Ce dimanche, au moment de sortir du vestiaire pour affronter le FC Barcelone (21h00), Kevin Gameiro devrait être en survêtement, pas en short. Depuis le mois de novembre, l'avant-centre du Séville FC est cantonné la plupart du temps à un rôle de remplaçant (sept entrées en jeu et deux titularisations lors des neuf dernières journées). Un statut de joker qu'il espérait laisser derrière lui après deux saisons compliquées à Paris et dans l'espoir de se refaire une place en équipe de France. Mais l'ancien Lorientais n'a inscrit que cinq buts en Liga, et le dernier date du 1er décembre. Son entraîneur Unai Emery, qui s'appuie sur un 4-2-3-1 avec Bacca (10 réalisations) en pointe à l'extérieur et face aux gros, ne devrait pas changer son fusil d'épaule face à l'armada catalane. D'autant qu'il a insisté sur l'importance d'une «base défensive forte» avant cette rencontre, l'équipe andalouse ayant concédé six buts lors des deux dernières journées.

«J'espère jouer la Coupe du monde avec ma sélection», lachaît-il début janvier Pourtant, il y a tout juste un mois, Gameiro affichait sa confiance face à la presse, s'attribuant la note de 7 sur 10 pour sa première partie de saison (il a également marqué trois fois en quatre matches de Ligue Europa). «J'espère jouer la Coupe du monde avec ma sélection», avait-il également lâché. Un objectif qui paraît pourtant bien éloigné au vu de son temps de jeu et de son efficacité. Le week-end dernier, le joueur de 26 ans (devenu papa d'un deuxième garçon il y a deux semaines) était entré à la pause sur le terrain de Malaga, mais n'avait pas tiré une seule fois au but. S'il espère faire réfléchir Didier Deschamps à son sujet, Kevin Gameiro n'a plus franchement de temps à perdre. Face au Barça, le joker andalou abat sans doute l'une de ses dernières cartes.


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Kirk
posté 13/02/2014 12:54
Message #847


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M'Bami signe en Colombie

Modeste M’Bami, ancien milieu défensif du Paris Saint-Germain et de l’Olympique de Marseille, s’est engagé avec l’équipe colombienne des Millonarios de Bogota. « Le Camerounais Modeste M’Bami a officialisé son contrat de nouveau joueur des Millonarios. Le joueur a déjà été dirigé par Juan Manuel Lillo à Almeria. Cela fait une semaine et demi qu’il s’entraîne avec l’équipe », a confirmé le club via un communiqué.
Âgé de 31 ans, l’ex-international camerounais va connaître le huitième club de sa carrière après des expériences en France (Sedan, PSG, OM), en Espagne (Almeria), en Chine (Dalian Aerbin, Changchun Yatai) ainsi qu’au Moyen-Orient (Al-Ittihad).


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Homer
posté 14/02/2014 11:56
Message #848


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Leonardo, neuf mois plus tard

Récemment, Leonardo avait affirmé qu'il regardait tous les matchs de Paris. S'il jette un oeil à PSG - Valenciennes ce soir, l'ancien directeur sportif du club se remémorera certainement ce coup d'épaule à l'arbitre Alexandre Castro qui a précipité son départ de Paris. C'était après un autre PSG - VA (1-1), et neuf mois plus tard, Leo a complètement coupé les ponts avec la France.

Le Brésilien a cédé l'appartement qu'il occupait près de l'Odéon et on ne l'a plus revu au Parc des Princes, ni pendant ni en dehors d'un match. Il est retourné vivre à Milan, auprès de sa femme, la journaliste Anna Billo qu'il a épousée le 7 septembre dernier, et de leur fils Tiago. La famille a repris ses habitudes dans le quartier de la Porta Garibaldi où elle résidait avant son installation à Paris dans le courant de l'été 2011.

En contact régulier avec Nasser al-Khelaifi

Là-bas aussi, Leonardo se montre relativement discret. Personne ne l'a croisé au stade San Siro où jouent l'AC Milan et l'Inter. C'est pourtant dans ce dernier club, où il a déjà occupé les fonctions d'entraîneur (décembre 2010-juillet 2011), que l'ancien défenseur pourrait rebondir.

Selon Mediaset, Leonardo a dîné récemment avec le nouvel actionnaire majoritaire, l'Indonésien Erick Thohir. En tête d'une liste où figure également Gian Paolo Montali, un ancien dirigeant de la Juventus et la Roma, le Brésilien est pressenti pour occuper le poste de directeur technique laissé vacant après le départ de Marco Branca samedi dernier. « En revanche, revenir à l'AC Milan est impossible, note Enrico Curro journaliste sportif à la Repubblica. Ses relations avec la famille Berlusconi (NDLR : propriétaire du club) n'étaient pas bonnes. » En outre, la puissance économique des Rossoneri a fondu depuis deux saisons.

Leo est libre de s'engager avec le club intériste depuis que le tribunal administratif de Paris a levé, en octobre dernier, la sanction de quatorze mois le privant de toutes fonctions officielles jusqu'en juin 2014. Cependant, il semble que si cette nomination devait être effective, ce ne serait pas avant la saison prochaine.

L'année dernière, Leo avait également clamé son envie de Premier League. En fonction des propositions, il pourrait donc se laisser tenter par une nouvelle expérience à l'étranger, mais certainement pas à Paris. Même s'il entretient des rapports réguliers avec Nasser al-Khelaifi, qu'il conseille à distance sur certains dossiers, un retour dans la capitale n'est pas d'actualité.


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Les anciens jouent les animateurs en loges

C'est un reproche que tous les propriétaires du PSG ont entendu au moins une fois. Et ce quelle que soit leur époque. De Canal + à Qatar Sports Investments, en passant par Colony Capital, il leur a souvent été reproché de ne pas assez faire appel aux anciens joueurs du club. Voire de les mépriser et de les tenir volontairement à l'écart malgré leurs offres de service.
Les dirigeants actuels ne sont pas restés insensibles à ces propositions. Le service marketing du club, en collaboration avec Alistair Spiers, le directeur des opérations hospitalité, gère cette initiative.

1 000 € chacun par match

Depuis la réception de Lille le 22 décembre, d'anciennes gloires du PSG, regroupées sous l'appellation Club des légendes, viennent faire des animations les soirs de match auprès des 2 700 VIP qui suivent les matchs dans les différentes loges. Ils sont cinq pour l'heure mais, à terme, la petite équipe devrait s'étoffer. Aujourd'hui, les légendes s'appellent Ludovic Giuly, Edouard Cissé, Jérôme Alonzo, Amara Simba et Laurent Fournier. Pour leur prestation, ils touchent environ 1 000 € chacun par match plus les défraiements liés à leur venue à Paris pour ceux qui résident en province. « J'adore tchatcher, c'est fait pour moi, rigole Jérôme Alonzo, l'ancien gardien de but parisien, actuellement à Sotchi pour France Télévisions. Je suis très flatté d'avoir été choisi. C'est la preuve que l'on a vécu la même histoire, c'est très gratifiant et sympa de mettre un pied dans ce superbe projet. »

En quoi consistent les interventions des anciens ? « On parle du match, du contexte, de l'adversaire, de nos expériences et du club, explique Amara Simba, spectaculaire attaquant parisien entre 1986 et 1993. On donne aussi notre avis et on remet des cadeaux aux vainqueurs des jeux-concours. Puis on signe des autographes et on pose pour des photos. » « J'ai demandé à couvrir le plus souvent possible les rencontres face aux clubs où j'ai joué aussi, comme face à Nantes le 19 janvier, poursuit Alonzo. J'ai ainsi pu parler de Kita et des Canaris. » Cette nouveauté est appréciée par les clients VIP du PSG. « C'est une bonne idée, confirme Nicolas, un habitué des loges du Parc. C'est toujours fort de côtoyer une ancienne gloire du club et de bénéficier de son analyse technique. C'est plus valorisant qu'avant, où ça faisait café du commerce avec un speaker. Dans tous les grands clubs européens, ça se fait. C'est bien que le PSG s'y mette. » A terme, le club souhaite diversifier les interventions des membres du Club des légendes en les associant, par exemple, aux actions de la Fondation PSG.


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Varino
posté 20/02/2014 10:40
Message #849


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« Au bout de six mois, j’avais envie de rentrer »

FRANCK DJA DJÉDJÉ, l’ancien attaquant niçois, a atterri un peu par hasard à Odessa. Une escale qu’il a mis du temps à apprécier.


SON TRANSFERT en Ukraine, décidé le dernier jour du mois d’août 2012, ressemble à un second déracinement. Parti de Côte d’Ivoire à l’âge de neuf ans pour rejoindre sa mère en banlieue parisienne, Franck Dja Djédjé a dû quitter Nice pour une ville côtière plus orientale, Odessa. « Le président (Jean-Pierre Rivère) m’a dit : “On a une offre, on aimerait que tu acceptes, sinon tu joueras moins”, raconte le cousin de Brice, passé cet hiver de l’ETG à l’OM. Tu ne peux rien dire. Juste t’arranger avec le club qui te veut, même si ce n’est pas celui de tes rêves. »

Avec Tchernomorets, l’ancien attaquant du PSG découvre une autre culture, le « brief tactique » quotidien à 11 heures du matin, et ne résiste pas au spleen. « C’était vraiment dur, la première année. Tu ne parles pas la langue, tu es loin de la France, c’est un football différent... Au bout de six mois, j’avais envie de rentrer. » Soutenu par le Brésilien Leo Matos, francophone après son passage à Marseille (2004-2006), Dja Djédjé s’accroche et apprivoise le mode de fonctionnement de l’entraîneur, Roman Grigortchouk. « Maintenant, je suis très content, assure-t-il. Mais aller tôt à l’étranger, ce n’est vraiment pas facile. Moi, j’avais vingt-six ans... »

EN UKRAINE, IL A REPRIS LES ÉTUDES

L’ex-Grenoblois (2006-2009) compte désormais un printemps de plus et une réputation établie en Ukraine. Utilisé comme milieu offensif gauche à Odessa, il a marqué 3 buts en 12 matches de Ligue Europa et autant en 16 matches de Championnat. C’est en Premier League, où Tchernomorets occupe la cinquième place, que le Franco-Ivoirien a réussi son plus beau coup : un enchaînement contrôle de la poitrine-bicyclette contre Oujgorod (2-1, le 27 octobre 2013), le club de Damien Le Tallec. « Sincèrement, c’est l’un des buts de l’année », juge le Français. « Celui-là, il fait plaisir, sourit Dja Djédjé. C’est un geste que tu ne tentes jamais. Normalement, ça part dix mètres au-dessus et tu retombes mal sur le dos !»

La prestation du numéro 23 d’Odessa contre Carpates Lviv, en mars 2013, a aussi favorisé son intégration. « Le directeur sportif m’avait fait comprendre qu’il fallait les battre car c’était une sorte de derby. On a gagné 2-1 et j’ai marqué le but de la victoire. » En Ukraine, Dja Djédjé a élargi son horizon. Titulaire d’un BEP, il a repris les études, par correspondance. « Je dois penser à ma reconversion. On ne va pas se mentir, au sport-études du PSG (1999-2003), je faisais acte de présence. » Il vise d’abord un bac et aimerait retrouver cette modestie chez ses adversaires lyonnais : « J’ai vu à la télé qu’ils disaient qu’Odessa était un bon tirage... Il ne faut pas crier victoire trop vite. »

L'Equipe


Le but en question:


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giovanni pontano
posté 28/02/2014 10:45
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Carlo Ancelotti fait tomber un nouveau record avec le Real Madrid

Après avoir dépassé le nombre de victoires consécutives de Fabio Capello, Carlo Ancelotti a fait tomber un nouveau record avec le Real Madrid...

Leader de la Liga avec 63 points, le Real Madrid est en passe de battre son record de 100 points atteints en fin de saison. Il est d'ailleurs le seul club encore en lice pour atteindre ce total. Mais après avoir battu le nombre de victoires consécutives toutes compétitions confondues de Fabio Capello (25), Carlo Ancelotti est devenu le "nouvel" entraîneur le plus prolifique (la meilleure recrue en somme) de l'histoire du club merengue. Avec 63 points pris sur 75 possibles (20 victoires, 3 nuls et 2 défaites) il dépasse ainsi le technicien chilien Manuel Pellegrini (2009-2010).

A noter que seuls Miguel Muñoz et José Mourinho avaient fait mieux que "Carletto" lors des saison 1969-70 et 2011-12 avec respectivement 68 et 67 points. Désormais, l'ancien entraîneur du Milan chasse le record de Leo Beenhakker qui lors de la saison 1988-1989 avait établi le formidable record de 34 victoires consécutives.

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Alex177
posté 19/03/2014 15:05
Message #851


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Stéphane Pédron : « J’ai deux clubs : Saint-Étienne et Paris »
À mi-chemin entre Paris et Saint-Étienne, il y a Stéphane Pédron. Un homme qui a connu Rudy Garcia à 35 ans, Frédéric Déhu avant son coming out et le Paris de Fernandez et Ronaldinho. Un mec qui bosse à Lorient, mais qui supporte Saint-Étienne. Bref, un Breton égaré, mais diablement concerné par le choc de cette avant-soirée entre Paris et Sainté.

Sainté, Lens et puis Paris. Après Goeffroy-Guichard puis Bollaert, le Parc, c’est presque décevant, non ?
J’ai eu la chance de connaître des supers ambiances. C’est clairement ce qui se faisait de mieux à l’époque. J’ai été gâté. Saint-Étienne, je me rappellerai toujours la première fois que j’étais arrivé là-bas pour signer mon contrat à Geoffroy-Guichard. C’était vraiment particulier, parce que malgré le fait que j’étais breton et que j’aurais pu supporter Rennes ou Nantes, mon club c’était Sainté. Ça a toujours été Sainté. C’était le club de mon enfance. C’est mon père qui m’a fait tomber dedans. Du coup, la première fois que j’arrive là-bas, ça reste un grand souvenir. Par contre, étonnamment, je me souviens très bien de mon premier match avec Sainté, mais pas de mon premier match à Geoffroy-Guichard. Ce qui m’a marqué, c’est la première fois que j’ai enfilé le maillot vert. C’est un sentiment particulier qui te donne la chair de poule, c’est difficilement explicable avec des mots, mais c’était un sentiment rare. Ce qui va vous faire rire, c’est que c’était à Louis-II. Mais ça reste quand même un grand souvenir. C'est marrant, je me souviens pas de mon premier match au Parc, ni à Bollaert, mais je sais que mon premier match avec les Verts, c’était à Monaco. Parce que revêtir le maillot de ton club de cœur pour la première fois, ça reste un moment unique. Tu deviens un acteur du club de ta jeunesse, c’est incroyable. Ce maillot que j’ai porté contre Monaco, je l’ai encore. Pour les joueurs de ma génération, jouer à Saint-Étienne, c’est incroyable. C’était surtout de la fierté.

À l’époque, t’étais plus mégapole parisienne ou banlieue lyonnaise pépère ?
Paris, j’y ai joué que six mois et ma femme venait d’accoucher, donc avec un enfant en bas âge, j’ai pas pu profiter de la vie parisienne comme on peut le penser.Je suis resté six mois tranquillement à Saint-Germain. Après, quand tu viens de Saint-Étienne et de Lens, c’est sûr que ça fait quand même un gros changement.

Robert Nouzaret, le Gallois John Toshack ou l’improbable doublette J.G. Wallemme et Rudi Garcia, t’en as connu du monde à Sainté. Qui t’a le plus marqué ?
J’ai envie de citer Robert Nouzaret, parce que c’est lui qui m’a voulu au club, donc voilà, c’est aussi avec lui que j’ai passé plus d’une année et demie. Après, c’est vrai qu’en l’espace de six mois, on a eu Toshack qui a dû rester deux mois, et puis Wallemme et Garcia qui ont fait la fin de saison, mais c’était vraiment compliqué parce qu’on était en pleine affaire des faux passeports (cette année-là, l’ASSE sera pénalisé de sept unités, terminera 17e et sera rétrogradé en deuxième division, ndlr), donc voilà. Nous, en tant que joueurs, quand on apprend qu’on prend dix points dans la vue, c’est forcément dur à accepter. On sait que derrière, y a le risque de descendre. Moi, j’aurais voulu rester plus longtemps dans ce club-là, donc ça me faisait d’autant plus mal.

Il était comment Garcia à 35 ans ?
C’était un jeune entraîneur à l’époque. Il était le numéro 1 bis de Jean-Guy Wallemme qui était encore joueur. C’est pas évident quand il y a deux personnes comme ça pour entraîner une équipe. Ils ont fait ce qu’ils pouvaient, mais ça n’a pas vraiment marché. On avait trop de points de retard pour sauver le club. Ce serait trop facile de dire maintenant qu’on savait tous qu’il allait réussir, mais moi, je l’ai d’abord et surtout connu comme adjoint de Robert Nouzaret et c’était déjà un grand professionnel au niveau de la préparation physique et tout ça. Il était très proche des joueurs. On voyait qu’il aimait ça, qu’il avait envie de continuer dans ce domaine-là. De là à dire qu’il avait les capacités pour aller jusque-là ou il est maintenant…

Qu’est-ce qui t’a donné envie de rejoindre Paris ?
C'est tout simplement parce que je jouais beaucoup moins à Lens cette année-là et que Paris avait besoin d’un gaucher à cause de ses nombreux blessés. Du coup, ils ont pensé à moi. Moi, j’ai pas hésité une seconde. Paris, ça attire et puis participer à l’aventure d’un club comme celui-là, ça me plaisait beaucoup. Même si je suis pas resté longtemps, j’ai pu jouer une finale de Coupe de France (perdue 2-1 contre l’AJ Auxerre de Djibril Cissé et Boumsong, ndlr).

C’est comment l’ambiance dans un vestiaire quand c’est Fred Déhu ton capitaine et Luis Fernandez ton entraîneur ?
Je me rappelle de mecs très sympas. Fred Déhu, Hugo Léal, Pochetinno, Gabi Heinze, Ronaldinho. Des mecs très pros aussi. Franchement, je me suis régalé pendant ces six mois. C’était exceptionnel. Le Parc, une super ambiance, bon ben voilà, j’étais comblé. Après les résultats en championnat n’étaient pas terribles à l’époque ( Paris terminera onzième lors de la saison 2002-2003, ndlr), mais la coupe a compensé. Bref, un excellent souvenir de l’ambiance et des coéquipiers. Et puis il y avait Ronaldinho. Un joueur hors norme qui faisait des choses incroyables à l’entraînement. J’avais jamais vu ça avant, et c’est quelque chose qui marque. Comme son fameux match à Marseille où il plante trois buts. C’était son match. Il était archi motivé ce jour-là. Et puis il a été le meilleur joueur du monde quand même.

C’est possible de s’intégrer dans un vestiaire en six mois ?
Ça a été étonnement facile. Déhu était très sympa. Lionel Potillon, je l’avais connu à Saint-Étienne et quand tu connais un mec comme Lionel, c’est plus facile pour s’intégrer. C’est un des rares avec Jérôme Alonzo que je revois encore quand je repasse à Saint-Étienne. Mais après, j’ai joué rapidement et quand tu arrives d’un autre club et que tu t’imposes rapidement dans le onze, ça facilite quand même les choses. Après, je suis pas resté parce que j'étais prêté et encore sous contrat avec Lens. Puis, le fait que Luis Fernandez quitte le club n'a rien arrangé. Halilhodžić est arrivé et, logiquement, il avait envie de construire son équipe et il est parti sur autre chose. Moi, après, je suis même pas revenu à Lens finalement, parce que j’ai été à Lorient pour finir ma carrière.

« HEINZE ÉTAIT IMPRESSIONNANT. C’ÉTAIT UN EXEMPLE AU NIVEAU DU MENTAL »

Frustrant ou soulageant de n’avoir jamais rejouer contre les Verts avec Paris ?
Saint-Étienne, je les ai rejoués une fois avec Lorient lors de ma dernière année de carrière. J’étais remplaçant, mais Chrisitan Gourcuff m’avait pris dans l’effectif. Ça m’avait fait plaisir de retourner là-bas. S’il avait fallu rejouer contre Saint-Étienne, je l’aurais fait, j’aurais même pris du plaisir, mais par contre je n’aurais pas été homme à fêter mon but. Ça doit être un moment particulier.

Le joueur le plus fou que t’ait côtoyé, il est stéphanois ou parisien ?
Ben à Saint-Étienne, c’était surtout un collectif, même si on avait des gars comme Alex ou Aloísio. À Paris, ben, c’est inévitablement Ronaldinho, mais un mec comme Heinze était impressionnant aussi. C’était un exemple au niveau du mental.


Avec le temps, tu restes plus Sainté que Paris ?
J’ai deux clubs, c’est Sainté et Paris. Je supporte complètement Paris surtout avec les joueurs qu’ils ont. C’est un plus pour le championnat. Et puis la façon dont ils jouent, c’est quand même génial. En France, on n’est peut-être pas habitués à avoir une grosse équipe qui domine, mais c’est le cas dans beaucoup de championnats et moi, ça ne me gêne pas du tout. Après, je suis aussi pour Lorient parce que j’y travaille et que c’est mon club. Mais Saint-Étienne, c’est mon club de cœur devant Paris. Et puis, il y a encore Lens après, parce qu’on supporte toujours les clubs dans lesquels on a joué.

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giovanni pontano
posté 19/03/2014 15:36
Message #852


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Sakho a mis la pression pour Heinze

L'historien du PSG Michel Kollar a révélé mardi soir au micro de France Bleu 107.1 FM la véritable raison du retour avorté de l'Argentin au PSG lors de l'été de l'été 2009 "Il faut que les vrais supporters du PSG le sachent: Heinze aurait dû revenir au PSG. Le contrat était presque signé et c'est Mamadou Sakho qui avait mis son départ en balance en expliquant que si Heinze venait à Paris il ne resterait pas au club. Le contrat a donc été annulé. Si Heinze a choisi l'OM, c'est tout simplement parce qu'il n'avait pas d'autre proposition. je ne veux pas le défendre, mais cela reste un grand homme, car lorsqu'il est venu au Parc avec le maillot de l'OM sur les épaules il a salué tous les anciens salariés du club ce que très peu de joueur ont eu la classe de faire. C'est un grand Monsieur et j'espère qu'un jour ceux qui aiment le PSG se rendront compte que ce joueur est un homme remarquable."

Ne souhaitant pas se mettre à dos les supporters du PSG amoureux de Mamadou Sakho, Sébastien Bazin, président du club à l'époque, à donc souhaité mettre fin aux négociations avec l'Argentin pour conserver le défenseur parisien issu du centre de formation. À noter que Mamadou Sakho a également mis la pression l'été dernier sur Nasser Al-Khelaïfi pour la venue de Marquinhos, mais le dirigeant parisien n'a finalement pas cédé au caprice de l'international français qui a finalement rejoint Liverpool.

Paristeam
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molesting
posté 19/03/2014 19:45
Message #853


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Yannick Noah face au PSG

Un match de foot opposera le dimanche 6 avril (14h30), au Parc des Sports de Feucherolles (78), d'anciens joueurs du PSG à Yannick Noah et ses amis. L'objectif : recueillir un maximum de fonds pour l'association "Les enfants de la terre" - créée par la mère du chanteur et ex-tennisman, Marie-Claire, décédée en octobre 2012 -, qui vient en aide aux enfants défavorisés. Sont annoncés : Habib Beye, MC Solaar, Luis Fernandez, Vincent Guérin, Amara Simba, Laurent Fournier et Patrick Proisy. Un tournoi ouvert à tous sera également organisé tout au long de la journée (10h-17h).

Plus d'informations sur : http://enfantsdelaterre.net/


http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/...e-au-psg/450437
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Alex177
posté 25/03/2014 12:19
Message #854


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Laurent Robert : « 'Putain papa, t’as fait la même figure que dans Tekken' »
Le teint toujours aussi bronzé, les cheveux légèrement plus grisonnants et la voix posée, Laurent Robert est un retraité comblé. Désormais retiré dans le Sud, à Montpellier, le Réunionnais, bientôt 39 piges, partage son temps libre entre le golf et des parties de foot en indoor. De passage à Paris, une ville qu’il l’a profondément marquée, l’ancien Montpelliérain et Magpie en a profité pour jeter un regard lucide sur une riche carrière. Confessions sans ambages de l’une des plus belles pattes gauches françaises du début du XXIe siècle.

Les extraits sur Paris :
Vient ensuite le Paris Saint-Germain. Tu n’y as passé que deux saisons mais on sent encore que c’est un club qui a compté pour toi, non ?
C’est vrai. Je quitte Montpellier parce que je souhaitais franchir un palier et c’était aussi une belle affaire pour eux puisque, c’était un transfert de près de 50 millions de francs à l’époque. Bravo à Nicollin, hein (rires). Paris, ce n’était pas dit parce que j’avais d’autres clubs qui étaient intéressés, notamment Marseille, Lens et Monaco. Pourquoi Paris ? Parce que c’était la capitale. Je me disais que si j’avais vraiment envie de me lancer et d’être médiatisé, c’était le club parfait. Puis le discours de Laurent Perpère, le président, et Jean-Luc Lamarche, directeur sportif, m’a séduit. Ils voulaient construire l’avenir et aller en Champions League dans les deux-trois années qui arrivaient. C’est pourquoi j’ai fait ce choix. Je signe à Paris et deux mois après je suis appelé en Équipe de France…

Raconte-nous ce match historique contre Rosenborg BK (7-2) en C1 où tu es à l’origine de 6 des 7 buts.
Je fais un gros gros match au cours duquel je marque un but. Je me suis mis une telle pression sur ce match. On était déjà qualifié pour le deuxième tour de la Ligue des champions parce qu’à l’époque il y avait le deuxième tour. Le soir qui précédait la rencontre, je n’ai même pas réussi à dormir à l’hôtel. Chez eux, on avait perdu ou fait match nul, une connerie comme ça. À l’aller, j’avais un mec devant moi que je pouvais manger. Pour le match retour, je me disais qu’il allait falloir que je le fracasse. Et ça s’est bien passé. J’avais la pression, mais une fois le coup de sifflet donné, je me suis lâché. Tout ce que je faisais, ça marchait. Ça a vraiment été un match exceptionnel.

Après un début de saison 2000-2001 prometteur, les résultats ne suivent plus. Souvent, tu as mis en cause la gestion de Luis Fernandez qui avait l’habitude de t’appeler « petit »…
Avec moi, cela s’est passé comme ça mais avec d’autres joueurs également. Après moi, il y a eu Benarbia, Anelka, Ronaldinho, Heinze… Tous les grands, tous les joueurs qui avaient une notoriété supérieure à lui, il n’aimait pas ça. Il a été un grand joueur, il n’y a rien à dire là-dessus. Maintenant, j’en rigole aussi avec lui. Mais c’est vrai qu’à l’époque, c’était très compliqué de travailler avec lui. À un moment de ma carrière, il m’a sorti carrément de l’équipe. J’étais seul, je jouais en CFA avec Antoine Kombouaré. J’étais meilleur buteur du championnat quand même avec 12 buts. Le mec arrive et il te sort. Les raisons, c’était que je ne voulais pas travailler ou je faisais ma star. Ce sont toujours les réponses d’un entraîneur qui ne peut pas te saquer. Ou il allait dire au président que je ne voulais pas jouer, que je me la pétais. C’est facile de parler ainsi. T’arrives, tu veux monter ton équipe. Peut-être que ma tête ne lui plaisait pas. Ça n’a pas bien démarré mais il a vu après que, comme il n’avait pas de résultats, il était obligé de me reprendre. Je finis quand même la saison à 15 buts et meilleur buteur du club. Et il ne voulait plus me laisser partir ensuite mais mon choix était fait. J’avais quatre ans de contrat. J’étais aimé, adulé, je me sentais bien, on avait une grosse équipe. Sauf que le club avait, à un moment donné, besoin d’argent. Ça a été un bon deal, ils m’ont vendu 120 millions de francs pour Newcastle.

À cause de ces relations conflictuelles, le PSG a donc raté un éventuel quatuor offensif composé de toi, Okocha, Ronaldinho et Anelka ?
Eh oui… Je jouais en neuf et demi avec Nico la deuxième année. On s’entendait tellement bien sur le terrain... C’est pourquoi je marquais autant de buts. Avec Heinze et Pochettino derrière, on avait une équipe de malade. C’est vrai que ça aurait fait mal. La faute à Luis…

Aujourd’hui, le club de capitale a pris une nouvelle dimension. Quel regard portes-tu sur sa trajectoire ?
C’est magnifique pour le football français et les spectateurs. Il y a encore trois-quatre ans, on voyait toutes les stars qui sont là aujourd’hui à la télé dans les autres championnats européens. Ils sont chez nous désormais. Non, c’est super top. Des mecs de l’envergure de Zlatan, Thiago Silva ou Falcao veulent venir en France. On a un bon championnat. Je suis vraiment content que les Qataris aient repris le PSG. Cette saison, le titre de champion national, c’est fait. En Ligue des champions, ils veulent faire mieux quel’année dernière, ce qui veut dire au moins les demi-finales. Quand j’entends tous les discours de Laurent Blanc, il a la tête sur les épaules. C’est un gars qui a de la bouteille, qui a été champion du monde et qui sait ce que c’est le haut niveau. Il sait quand faire reposer ses joueurs et a un adjoint exceptionnel, Jean-Louis Gasset, que j’ai connu au PSG et à Montpellier.

Et trouves-tu aussi que le public s’est embourgeoisé, toi qui as connu l’ambiance incandescente du Parc des Princes avec Boulogne et Auteuil…
À l’époque, il y avait des fumigènes, c’était vraiment le feu au Parc. Je ne sais pas trop quoi te répondre là-dessus. Je vois qu’il n’y a plus de bagarres et que c’est plus sain. L’ambiance va peut-être revenir. Mais profitons aussi de ces moments-là parce qu’il y a eu tellement de moments dramatiques. Venir au foot pour se frapper, non, ce n’était plus possible. Mieux vaut rester chez soi. En Angleterre, c’était bien pire avant et il y a de l’ambiance maintenant. Ça met un peu de temps mais je pense que ça va revenir.
So Foot

lien vers l'ITW
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allezalex
posté 25/03/2014 21:48
Message #855


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PSG : altercation entre Ménez et un jeune de la CFA


Mardi matin, les remplaçants habituels du PSG ont affronté des jeunes de la réserve parisienne. Au cours de cette opposition, une altercation a opposé brièvement Jérémy Ménez à un jeune de l'équipe de CFA. Après un contact, l'international a demandé au réserviste de se calmer. Ce dernier s'est alors emporté et le ton est monté.
Laurent Blanc a mis fin au souci en renvoyant le pensionnaire du centre de formation.
L'entraînement s'est parfaitement déroulé pour le reste du groupe. Van der Wiel est resté aux coins et Thiago Silva s'est contenté d'un footing. Les titulaires habituels se sont opposés sur terrain réduit.


LEPARISIEN
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Alex177
posté 26/03/2014 10:40
Message #856


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Deuxième partie de l'itw de Laurent Robert dans So Foot : « France 98, c’était un clan impossible à bouger »
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Homer
posté 29/03/2014 12:48
Message #857


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Vasseur menacé

Battu coup sur coup par Auxerre (0-2) puis le CA Bastia (1-3), Créteil se trouve en position de relégable pour la première fois de la saison. Selon nos informations, cela pourrait être fatal à Jean-Luc Vasseur. En effet, les dirigeants cristolliens auraient décidé de le remplacer.


L'Equipe.fr


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Hiso
posté 03/04/2014 20:30
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Nicolas Anelka : "Tout le peuple français insultait Domenech"


EXCLUSIF – Le taiseux, celui qui exècre les médias et dont la parole à valeur de gouttes d'eau dans le désert a accepté de parler de son avenir, de son passé, de son actualité et de son image de bad boy du football français, du football tout court. Fidèle à lui-même, aimé et encore plus détesté, il se livre sans langue de bois. Une hérésie dans le monde aseptisé du ballon rond.


Le 14 mars, le jour de vos 35 ans, vous avez annoncé sur Twitter que vous mettiez un terme à votre contrat avec West Bromwich Albion. Etes-vous toujours footballeur ?
Je suis d’abord un homme libre, qui profite enfin de ses enfants, notamment de ma fille (Lina Liù, Ndlr), née en octobre. Je ne suis pas spécifiquement à la recherche d’un club mais je reçois des propositions. La moindre des choses est de les étudier. Je n’ai pas encore décidé. Mon contrat avec West Brom a officiellement pris fin le 29 mars. A moins d’un miracle, pas de nouveau défi avant la saison prochaine. Que ce soit en Europe ou dans les pays exotiques, j’ai envie de kiffer le foot comme lorsque j’étais jeune, de renouer avec l’insouciance et l’amour du jeu de mes débuts. En attendant, je cours, je m’entretiens. Je connais mon corps, je sais ce dont il a besoin pour être prêt le moment venu. Car il existe de bonnes chances pour qu’on me voie encore sur les terrains.

"Domenech n'a pas respecté le meilleur buteur de l'histoire du football français"

La Coupe du monde au Brésil approche. Repensez-vous à la précédente, la seule que vous ayez disputée, en Afrique du Sud, et dont vous avez été exclu pour avoir insulté Raymond Domenech ?
Non je n’y repense pas du tout. Ce qui est arrivé devait arriver ! L’insulte dans le vestiaire – et ce ne sont pas les mots mentionnés à la une de L’Equipe – , est la conséquence de notre dialogue quand il m’a rendu visite à Londres. En Afrique du Sud, on savait très bien qu’on allait droit dans le mur. On a provoqué assez de réunions avec lui pour qu’il procède à des changements tactiques. Mais il n’en a fait qu’à sa tête et tout me monde a subi... Quand je l’entends se poser en victime en disant qu’il ne pouvait rien faire, ça me fait tellement rire. Mais bon, pour vendre son livre, il devait bien faire du sensationnel !

Regrettez-vous ce qui s’est passé ?
Non. J’ai insulté dans un vestiaire un coach que tout le peuple français insultait déjà, un coach qui n’a jamais rien gagné à part un titre de champion de D2 et le Tournoi de Toulon ! Il ne connaît pas la gagne. Je respecte l’homme car je pense que c’est une bonne personne mais je n’ai aucun respect pour l’entraîneur. Il n’est pas à la hauteur. Quand tu as été dirigé par Ancelotti et d’autres grands, il est très dur de l’être par Domenech ! Cette Coupe du monde n’est pas une cicatrice et j’assume tout ce qu’il s’est passé. Si je devais le refaire, je le referais car il le méritait à ce moment-là ! Un coach qui demande le respect mais qui est incapable de respecter le meilleur buteur de l’histoire du football français (Thierry Henry, ndlr) ne mérite aucun égard.

"Pogba est un joueur extraordinaire"

Que vous inspire Didier Deschamps, l’actuel sélectionneur de l’équipe de France ?
C’était un gagneur comme joueur, il l’est aussi comme entraîneur. Ce n’est pas le hasard. Cela facilite les choses et inspire le respect du groupe. Il a été capitaine, il sait parler aux joueurs, réagir dans les moments délicats. Il faut lui faire confiance. En plus, il entretient de bons rapports avec le président de la Fédération.

La nouvelle vague Bleue est incarnée par Paul Pogba, tout juste 21 ans, avec qui vous avez joué à Turin...
On a disputé des matches amicaux ensemble et on s’est bien amusés ! A la Juve, il est au-dessus. On a beaucoup discuté en Italie. C’est un joueur extraordinaire, technique et mature. C’est un leader, intelligent sur et en dehors du terrain.

Quels joueurs vous font rêver aujourd’hui ?
Je regarde peu de matches et il n’y a qu’un seul joueur que j’apprécie vraiment : Ronaldo, El Fenomeno. Mais Messi et Cristiano Ronaldo sont deux extra-terrestres. Du jamais-vu. Des joueurs qui marquent 50 buts par an, ça n’existe pas !

"Si c'était à refaire, je recommencerais"

Qu’avez-vous pensé de la victoire du PSG mercredi soir contre Chelsea (3-1) en, quart de finale de la Ligue des champions ?
C’est bien pour Paris et surtout pour le football français. Mais attendons le match retour parce que Chelsea est très fort et ils vont marquer à Stamford Bridge, c’est certain. Gagner la C1 est possible. Paris est le club numéro un en France. Il n’a déjà plus d’adversaire. C’est aussi un risque d’écraser la concurrence.

A la lueur de votre trajectoire et de votre potentiel, avez-vous le sentiment d’un gâchis ?

Dans un parcours, certains choisissent la difficulté. C’est mon cas. Je peux me regarder dans un miroir, je suis fier de moi, de mon chemin. Si c’était à refaire, je recommencerais. Les titres, c’est bien, mais on ne les emporte pas dans la tombe ! Je n’ai aucun regret. J’aurais pu être lisse, faire plaisir à tout le monde, notamment à la presse, mais ce n’est pas mon caractère. Malgré toutes les barres de fer que j’ai eu dans les roues – à ce niveau, ce ne sont plus des bâtons ! –, malgré tous ceux qui dès 17 ans quand j’ai quitté Paris pour Arsenal prédisaient que je ne réussirai jamais, je suis toujours debout, avec la même ligne de conduite et les mêmes valeurs. J’ai toujours cru en ce que je faisais. Et je n’ai jamais mis un genou à terre !


PROPOS RECUEILLIS PAR ARNAUD RAMSAY À LONDRES


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11G
posté 06/04/2014 10:15
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Anelka va signer dans le club de Ronnie d'après son président
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Homer
posté 08/04/2014 12:08
Message #860


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Hoarau cambriolé

Alors qu'il avait inscrit un but lors de la rencontre Bordeaux-Rennes (2-2) samedi soir, Guillaume Hoarau a eu une bien mauvaise surprise en regagnant son domicile. L'attaquant des Girondins a en effet été cambriolé au cours de la rencontre. Les malfaiteurs, qui sont entrés par effraction, ont dérobé des «bijoux» et des «vêtements de marque», a précisé la police, confirmant une information du quotidien Sud-Ouest. Si le montant du préjudice n'est pas encore connu, il semblerait qu'il soit important. En décembre dernier, un autre joueur des Girondins, Lamine Sané, avait déjà été victime d'un cambriolage à l'occasion du déplacement de son équipe à Marseille.


L'Equipe.fr


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