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06/10/2013 11:47
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#821
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation « Je ferais n’importe quoi pour le PSG » Discret depuis son départ, l’ancien directeur sportif parisien a choisi le JDD pour se confier longuement. Sa suspension le mine, le départ d’Ancelotti l’a surpris, le niveau du foot français le désole. Mais il trouve « son » club plus fort que jamais, Ce soir à Milan, Leonardo regardera le clasico devant sa télé. Comme tous les matches du PSG depuis son départ mi- juillet, assure-t-il. Mardi, il se rendra au tribunal administratif de Paris pour tenter de faire annuler sa suspension de quatorze mois de toutes fonctions officielles, infligée par la Fédération française à la suite de son coup d’épaule sur l’arbitre de PSG- Valenciennes (1-1, 5 mai), M. Castro. L’enjeu est de taille : l’ancien directeur sportif parisien est sous la menace d’une extension internationale de la sanction. Quel bilan faites- vous de vos deux saisons au PSG ? C’était une expérience extraordinaire. Il n’y a pas d’autre projet comme ça dans le monde. J’ai eu beaucoup de liberté de la part des propriétaires. Je leur en suis très reconnaissant. En 2011, ils m’ont dit : on a un rêve et on veut que tu ailles le réaliser. En deux ans, on a presque atteint nos objectifs. Je regrette simplement de ne pas avoir pu rester plus longtemps. À cause de la suspension ? C’est l’unique raison de votre départ ? Bien sûr, puisqu’elle m’empêchait d’assumer certaines responsabilités de ma fonction. Je ne pouvais pas continuer dans ces conditions. Quand Carlo Ancelotti a annoncé qu’il partait, je devais même devenir entraîneur. Là, ça devenait impossible. Je ne suis pas parti pour me rapprocher de ma famille, comme il a été dit. D’ailleurs, je ne sais même pas si je vais rester à Milan… Aujourd’hui, je suis bloqué, je n’ai plus le droit d’exercer mon métier où que ce soit. Cette suspension est injuste. C’est pour ça que je me bats pour la faire annuler. D’autant que, je le répète, je n’ai pas fait exprès de bousculer l’arbitre. Les images sont quand même accablantes… Ce sont celles du diffuseur. Elles ne montrent pas tout. C’était une bousculade involontaire dans un endroit exigu où il y avait beaucoup de monde. Quand vous voulez vraiment bousculer quelqu’un, vous ne vous y prenez pas de cette manière : on y va avec la main, on pousse, on ne donne pas un petit coup d’épaule. Mais quand cette séquence tourne en boucle pendant cinq mois, c’est difficile de prouver le contraire. Mon tort, c’est de m’être retrouvé là. Mais le foot sans passion, ça n’existe pas. Votre image s’est grandement détériorée en France… Si tu penses à ton image, tu ne gagnes pas de titres. On est venu me chercher pour gagner la Ligue des champions en cinq ans. J’ai accepté ce défi et je m’y suis entièrement consacré. Oui, j’ai été obligé d’être agressif parfois dans mon discours. Il fallait changer les mentalités pour viser l’excellence, y compris au sein de l’équipe. Ça ne se fait pas sans heurts. Ce n’est pas mon rôle le plus sympathique, mais je l’ai assumé. Comme j’assume toutes les choses que j’ai dites et qui n’ont pas été bien prises. Sur « le niveau vraiment bas » de la préparation des joueurs et des entraîneurs en France, par exemple ? Cette polémique est issue d’un séminaire privé [à l’UCPF, en mars 2012]. Je m’adressais aux acteurs du football, pas au public. Ce sont des images volées par Canal + sur une petite partie de mon intervention. Je disais juste que, avec tous les moyens dont dispose la France, il était possible de faire plus et mieux. Ce n’est pas seulement une question d’argent. Regardez les derniers résultats en Coupe d’Europe : c’est incroyable de jouer comme le font les clubs français. C’est aussi incroyable de ne plus avoir un seul arbitre français à partir des huitièmes de finale de Ligue des champions. Autre exemple révélateur : la dernière journée du championnat était fixée le même weekend que la finale de la Ligue des champions… Soit c’est un manque d’intérêt pour le football, soit c’est un manque d’ambition et de travail. En tant que responsable d’un projet ambitieux, il était de mon devoir de faire bouger les choses. Je croyais faire partie de la famille du foot français. Je me rends compte que ce n’était pas le cas… Les Français sont- ils méfiants ou injustes avec ce qui vient de l’étranger : l’argent, les hommes ou les idées ? La France a toujours été indépendante culturellement, économiquement, politiquement. Mais le monde a changé. Ne pas s’ouvrir, c’est risquer de rester sur le bord de la route. Quand on est bon et fort, on n’a peur de rien. Quand vous dites, après la défaite à Reims (0-1, en mars), que le PSG « a une équipe faite pour l’Europe, pas pour ce genre de matches » , c’est maladroit, non ? Ce n’était pas péjoratif ou insultant pour Reims. On a bâti une équipe pour gagner la Ligue des champions, pour jouer contre des équipes qui ouvrent le jeu. En France, c’est plus fermé. C’était aussi une manière de dire à mon équipe qu’on devait trouver la solution pour gagner ce genre de matches. C’est à Reims qu’Ancelotti a décidé de quitter Paris, mécontent de la colère de Nasser Al-Khelaifi après la défaite. Comment vous l’a-t-il annoncé ? Déjà, il n’y a pas eu de colère de Nasser. Il dit toujours les choses calmement… Le lendemain, Carlo m’a effectivement dit qu’il n’était pas content. Mais ce n’était pas la première fois. Dans une histoire, on passe toujours par des hauts et des bas… Je trouvais incohérent qu’il m’annonce son départ en mars alors qu’il lui restait un an de contrat. En pareil cas, soit tu négocies pour rester, soit tu présentes une offre. Donc, vous n’avez pas cru ni anticipé son départ ? Non. Dans ma tête, on allait gagner le championnat et ça changerait tout, il allait revenir sur sa décision. C’est devenu clair après le titre, quand il nous a dit qu’il voulait vraiment partir et qu’il y avait le Real Madrid. À partir de là, on est entré dans un processus normal de négociation. Avez-vous tout fait pour le retenir ? Oui. J’ai toujours dit que c’était l’entraîneur idéal. Ce n’est pour rien que le Real est venu le chercher. Pour le remplacer, le premier choix c’était vous ou un entraîneur prestigieux ? Je n’ai rien demandé. C’est Nasser qui m’a demandé de prendre le poste. Si on m’offre quelque chose, je prends. Et le PSG est tellement ancré en moi que je ferais n’importe quoi. Moi, je voulais José Mourinho. Mais il était presque engagé avec Chelsea. Après, on a étudié d’autres solutions, mais ma suspension a compliqué les choses. C’était difficile de demander à quelqu’un de venir alors que j’étais moi- même sur le départ. Mais on n’a pas appelé dix mille entraîneurs. Et, contrairement à ce qui a été dit, Laurent Blanc n’était pas le dixième choix. Il était libre et faisait partie de notre short list, mais il fallait déjà régler la situation avec Carlo. Laurent, c’est un mélange entre la culture française et une très grande expérience internationale. Il est très intelligent et utilise de la meilleure manière les joueurs dont il dispose. Je suis très content de son travail. Alors qu’il n’était pas votre premier choix au départ… Vous croyez qu’on aurait pu le recruter si je n’avais pas été d’accord ? C’était le choix de tout le monde, donc le mien aussi. Vous savez, nous avons toujours été très unis avec Nasser et le prince Tamim, qui est aujourd’hui l’émir. J’ai toujours respecté la hiérarchie. Mais Nasser est aussi devenu un ami. Il était à mon mariage le mois dernier. Carlo était aussi invité mais il n’a pas pu venir. Comment envisagez- vous votre avenir ? Je m’imagine manager à l’anglaise ou entraîneur. Une chose est sûre : je ne veux plus occuper un rôle politique. Je ne veux plus parler que de football. À Paris, mon rôle était de construire une équipe, mais ce n’est pas anodin de représenter un actionnaire aussi puissant que le Qatar. C’était exigeant et usant car tout était surinterprété. On a dit que Beckham était un choix politique. Faux ! Je lui ai vendu un projet sportif et il est venu pour ça, et pour finir sa carrière en beauté. Pourriez- vous revenir au PSG un jour ? Je pense que ça sera difficile. Mais, c’est bizarre, j’ai toujours l’impression de faire partie de l’aventure. Je suis venu à Paris parce que j’y avais passé quatorze mois inoubliables en tant que joueur. Je viens de vivre deux années très fortes émotionnellement. Ce que je garde en moi, c’est l’image du Parc les soirs de match. Je ne manque pas une rencontre du PSG. Comme Nasser, trouvez- vous aussi que l’équipe joue mieux que la saison passée ? Oui, mais c’est normal. La première saison, on a changé d’entraîneur à Noël. La deuxième, on a gagné le championnat. Quand on ôte le poids de dix- neuf ans de disette, ça libère. Pour certains joueurs, c’est leur troisième saison ensemble. Je tiens à préciser qu’on n’a pas jeté l’argent par les fenêtres. On n’a pas plus dépensé que le Real ou les autres grands clubs européens. On s’est tenus à notre stratégie de départ. La première étape était d’être en Ligue des champions pour la visibilité et les recettes. On a acheté huit joueurs dans cette optique. Pastore, tout le monde le voulait : il a beaucoup payé le fait d’être le premier transfert de ce niveau. Après, on a décidé d’investir 150 M€ sur des joueurs de Ligue des champions pour y être compétitif : Ibra, Thiago Silva, Thiago Motta, Lavezzi… On a ajouté de jeunes joueurs comme Verratti, Lucas, Digne ou Marquinhos, et un grand buteur, Cavani. L’idée, ce n’est pas de mettre 100 millions chaque année pendant dix ans. Maintenant, c’est d’équilibrer. Ibrahimovic, Thiago Silva, Verratti ont été prolongés et augmentés. Au PSG, quand on réclame, on a ? Non, c’est la réalité des grands clubs européens, et le PSG doit s’y adapter. Tout le monde veut ces joueurs. On les rémunère au niveau de ce qui se pratique ailleurs. Sinon, ils s’en vont. Mais il n’y a pas un joueur au PSG avec un salaire supérieur à ce qu’il aurait pu avoir ailleurs. Si, peut-être Ibra. Mais dans le monde, il y a Messi, Cristiano Ronaldo et lui. Il est à ce niveau-là, il a donc le salaire qui va avec. Son association avec Cavani fonctionne-t-elle ? Elle est parfaite ! C’est moi qui les ai fait venir, je ne vais pas dire le contraire… Ce sont des joueurs différents, très complémentaires. Il faut encore trouver une manière de les associer. L’idée, c’est qu’on ne pouvait pas continuer à avoir un buteur à trente réalisations et un autre à huit. Il faut que ce soit mieux réparti. Un grand club se doit d’avoir deux grands buteurs. Que vous inspire le nouveau dérapage de Jérémy Ménez ? C’est difficile de commenter quelque chose que je n’ai pas vécu. Jérémy, je l’adore. Quand on l’a recruté, il m’a dit : « Je viens pour toi, Léo. » C’est un joueur fantastique, le buteur du titre à Lyon. Donc, c’est dommage. La clé pour devenir un grand, c’est qu’il change ce caractère. Le PSG ne vous a pas remplacé. Doit-il le faire ? C’est à Nasser de choisir. Aujourd’hui, il maîtrise l’environnement. La structure autour de lui fonctionne bien. Le club a recruté 20 joueurs au cours des deux dernières années. L’entraîneur est en place. Il n’y a pas d’urgence. Paolo Maldini a-t-il le bon profil pour le poste ? Paolo a le profil pour faire ce qu’il veut, mais il n’a pas encore défini ce qu’il voulait faire… C’est un ami, un proche de Carlo, et il a fait connaissance avec Nasser, mais il n’y a rien de définitif. Ça reste juste une rumeur. le JDD -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
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08/10/2013 08:56
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#822
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 874 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 153 Tribune : Canapé |
Citation Mamadou Sakho : « Il fallait quitter Paris pour retrouver les Bleus » Transféré du PSG à Liverpool, Mamadou Sakho a retrouvé sa place chez les Bleus. Vendredi, il devrait jouer contre l’Australie… au Parc des Princes. Détendu, presque apaisé, Mamadou Sakho semble transformé. Depuis sa signature cet été à Liverpool, l’ex-défenseur du PSG a l’impression de revivre. Déjà quatre fois titulaire sous le maillot des Reds, il s’est lancé à la recherche du temps perdu en Bleu. A 23 ans, il devrait honorer, vendredi, sa quinzième sélection sur la pelouse du Parc des Princes. Comme un symbole qu’il ne quittera jamais tout à fait Paris. Vous revoilà en Bleu. Cela vous donne-t-il raison d’avoir quitté le PSG pour Liverpool ? Mamadou Sakho. Quand il était joueur, Laurent Blanc aussi a fait des choix en fonction de la sélection. Là, je ne peux être que très content de revenir à Clairefontaine. Il fallait quitter Paris pour retrouver les Bleus. Car tout joueur de haut niveau travaille pour ça. Je sais qu’on a beaucoup parlé sur moi. Mais être sélectionné de nouveau prouve beaucoup de choses. Quoi par exemple ? Que j’ai toujours le niveau. Surtout, que je ne suis pas parti dans un grand club à cause de la concurrence. A Liverpool, il y a aussi de très bons joueurs à mon poste. Mais cette concurrence est saine. A Paris, c’était devenu plus compliqué. Parce que vous êtes un joueur français ? Je ne veux casser du sucre sur le dos de personne. Sur Paris, je pourrais dire pas mal de choses sur certains dirigeants mais cela ne servirait à rien. J’ai mis cela derrière moi et j’ai refermé la porte. Le jour où j’ai décidé de quitter le PSG, j’ai foncé tête baissée. Le déclic, est-ce votre non-sélection pour Belgique - France en août ? Pas spécialement. Il y a eu d’autres événements avant. Ma décision a été mûrement réfléchie. J’ai vu beaucoup de choses qui heurtaient mes principes. Avant d’être des joueurs de foot, nous sommes des hommes. A Paris, je n’ai pas toujours senti du respect. Je ne voulais plus me sentir comme un numéro qu’on met dans un coin pour faire joli et « made in PSG ». Et je rajoute que je n’ai pas fait un choix financier. Sinon, j’aurais attendu janvier pour partir libre. Mais personne ne pouvait acheter mon plaisir de jouer. Liverpool a mis 19 M€ pour vous enrôler. Vous attendiez-vous à « valoir » autant à un an de la fin de votre contrat ? Ce chiffre m’a un peu surpris. Mais vous savez, je suis croyant. Il y a un destin qui m’attend et comme j’ai toujours été sérieux dans mon travail, je devais m’en sortir par le haut. Auriez-vous pu réagir comme Gameiro l’an passé ou Ménez cette année et pester sur le banc de touche de ne pas jouer ? Cela m’a traversé l’esprit mais j’ai géré différemment. Avec plus de recul mental. Avez-vous un message pour les supporteurs parisiens ? Je ne cherche pas à être compris des gens. J’ai quinze ans de carrière devant moi et je veux les savourer. A partir du moment où cela ne colle plus, il fallait passer à autre chose. Vos larmes avant PSG - Monaco au moment de votre discours d’au revoir ont marqué les esprits… Certains ont dit que je n’aurais pas dû faire ça vis-à-vis de Liverpool. (Ironique.) A eux, je m’excuse d’avoir passé la moitié de ma vie à Paris, d’avoir eu des éducateurs qui m’ont aidé à grandir en tant qu’homme. Plus sérieusement, il est évident que j’ai un lien très fort avec le PSG et que je ne pars pas sans émotion. Surtout que… Je ne sais pas si je dois le dire… Allez-y… Au moment de ce discours, j’ai pensé très fort à mon père Souleymane qui est parti quand j’avais 13 ans… (Silence.) Ma mère était dans les tribunes et je me suis dit que j’aurais aimé aussi voir mon père me regarder à cet instant. Je sais qu’il aurait été fier de son fils. Et là, les larmes ont coulé. Vous avez aussi dit : « L’histoire n’est pas finie ». Comptez-vous rejouer un jour au PSG ? Quoi qu’il arrive, je reviendrai vivre à Paris. Quand je suis parti, Nasser (NDLR : al-Khelaifi) m’a félicité et dit que la porte serait toujours grande ouverte pour moi au PSG. Mais mon présent, c’est Liverpool. Comment se passe votre intégration là-bas ? Je viens de trouver ma maison dans la banlieue de Liverpool, pas loin de celle de Steven Gerrard. Concernant la conduite, je me suis retrouvé une ou deux fois à droite (sourire). Mais je vais prendre un chauffeur. Ce sera plus facile. Je prends des cours d’anglais. Quant au foot, il n’est pas vécu de la même façon. Je suis en apprentissage et j’écoute les consignes du coach. C’est drôle, il m’appelle Killer (NDLR : « tueur ») ! Sur le terrain, j’essaie de m’adapter à mes coéquipiers. Et ça va de mieux en mieux car j’ai besoin de communiquer. Aucun regret d’être parti là-bas ? Pas un seul! Je suis fier de ce choix. Ne vous dites-vous pas qu’avec la blessure de Thiago Silva vous auriez eu du temps de jeu à Paris ? Non, c’est du passé. Je ne pouvais plus porter ce maillot cette saison donc je ne raisonne pas ainsi. Mais je reste un supporteur à vie de Paris. J’ai vu le match contre l’OM dans un restaurant. A chaque but, je me suis levé pour chanter « Ici c’est Paris ». Vendredi, vous allez retrouver le Parc sous le maillot bleu. Est-ce symbolique pour vous ? Un peu, mais je ne veux pas m’imaginer en train de jouer ou pas ce match. Le coach fait des choix et je n’ai pas à avoir d’exigences sous prétexte que c’est le Parc. Le plus important est ailleurs. Aujourd’hui, je suis tout simplement heureux. J’ai l’impression de revivre mes débuts. J’avais l’esprit pollué par trop de choses. C’est un nouveau départ avec les Bleus. Je revis. Il n’y a plus personne pour me mettre des bâtons dans les roues et stopper ma progression. Le Parisien |
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16/10/2013 08:49
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,534 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation Jérôme Rothen va résilier son contrat Jérôme Rothen a rendez-vous mercredi avec son président pour résilier son contrat. Il pourrait rebondir à Auxerre. Alors qu’il s’était engagé un an avec une option pour une saison supplémentaire avec le Stade Malherbe de Caen lors du dernier mercato, Jérôme Rothen a rendez-vous ce mercredi avec Jean-François Fortin, le président caennais, pour discuter de la résiliation de son contrat. Le dernier match du milieu remonte au 27 septembre 2013 lors de la réception du Havre (1-0). En froid avec Patrice Garande, son entraîneur qui l’a sorti à la 67e, Rothen a quitté Caen depuis et ne s’est plus entraîné. Jean-François Fortin a tenté réconcilier les deux hommes, mais il n’y est pas parvenu. Selon nos informations, plusieurs clubs auraient déjà sondé Rothen dont Auxerre, où Bernard Casoni cherche un joueur expérimenté au milieu. Le club bourguignon avait déjà approché l'ancien joueur de PSG l'été dernier. léquipe.fr |
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23/10/2013 16:35
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Kombouaré : «Le but d'une génération» Antoine Kombouaré, actuel entraîneur de Lens, est le dernier buteur du PSG sur la pelouse d'Anderlecht, en novembre 1992 (1-1). Il revient pour nous sur ce huitième de finale retour de Coupe de l'UEFA. «Antoine Kombouaré, quels sont vos souvenirs du match retour de Coupe UEFA (1-1) Anderlecht-PSG ? Un très grand souvenir. J’ai inscrit ce but qui nous apporte la qualification. On avait fait 0-0 à l’aller et on était menés. On a eu beaucoup de joie. Je me souviens d’un temps froid, brumeux. Du Nord, quoi. On avait arraché une qualification difficile en toute fin de rencontre. Le but vient d’un corner de Valdo côté droit. Je l’ai revu à la télé, il est improbable. Le ballon se loge dans la lucarne opposée malgré la présence d’un joueur sur la ligne. Cette tête, je peux la refaire mille fois, elle ne rentrera pas. Ce but nous a libérés. On savait que ce serait un match compliqué. A l’époque, Anderlecht était un adversaire redoutable. Ce n’est plus la même équipe, le même club aujourd’hui. A l’époque, Anderlecht était une grosse équipe sur la scène européenne. «J'avais beaucoup de rage en moi, de détermination pour marquer ce but. Je voulais prendre ma revanche. J'en voulais beaucoup à l'entraîneur de l'époque» Cette égalisation vous a fait connaître auprès du grand public… C’est un but important qui nous a permis de nous mesurer au grand Real Madrid en quart de finale. A l’époque, j’évoluais aux côtés des stars Weah, Ginola, Ricardo, Valdo, Raï. C’est la première fois que je me retrouvais sur la scène médiatique, que j’étais reconnu. On n’était pas parvenu à devenir champions d’Europe mais c’est le but de toute notre génération, la génération Denisot (ex-président délégué du PSG). A titre personnel, quelles ont été vos émotions sur le terrain ? Je n’étais pas titulaire et j’étais entré en cours de rencontre sur le flanc droit. J’avais beaucoup de rage en moi, de détermination pour marquer ce but. Je voulais prendre ma revanche. J’en voulais beaucoup à l’entraîneur de l’époque (Artur Jorge). J’avais le sentiment de vivre une injustice. Cela m’a donné des forces. C’est le début de l’histoire. «Il y a eu des moments forts» Et c’est votre plus beau souvenir de joueur ? Mon plus beau souvenir, c’est la campagne européenne cette saison-là. Et puis mon but au tour suivant contre le Real Madrid (1-3, 4-1). Il y a eu des moments forts. Je n’étais qu’un bon joueur parmi les stars. Ca été mon petit moment de gloire à moi. Les supporters du PSG, les purs, s’en souviennent. Même les Belges m’en reparlent quand je les croise en vacances. Anderlecht a-t-il une chance ce soir contre le PSG ? Je vais être honnête, je ne connais pas trop cette équipe. J’ai juste récupéré dans mon effectif l’Argentin Pablo Chavarria qui y évoluait. Il m’a parlé d’Anderlecht, mais assez vite. Il n’avait pas du tout envie d’évoquer son entraîneur (Ariël Jacobs, actuellement à Valenciennes, qui ne lui a pas donné sa chance). Sinon, j’en ai discuté avec Gervais (Martel, son président). C’est une formation très jeune. Si je pars du principe qu’ils se sont inclinés face à l’Olympiakos (0-3) et que le PSG s’est imposé devant ces mêmes grecs (4-1)… Sur sa valeur, Paris n’a donc rien à craindre. Car les Belges n’ont pas beaucoup d’expérience européenne. Je ne vois pas le PSG embêté. Mais sur un match, tout reste possible.» L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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23/10/2013 19:38
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#825
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![]() Léon Marchand de CulturePSG ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 8,495 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 490 Tribune : Non précisée |
Citation Rencontre avec Benachour le globe-trotter C’est une surprise de vous retrouver à Nicosie… Selim Benachour. Oui, je suis là depuis un an. Ça se passe bien. Je me sens bien dans cette ville. Par rapport à l’Espagne, la France et le Portugal, les autres championnats dans lesquels j’ai joué, c’est évidemment plus faible. Il y a quatre ou cinq équipes qui se détachent, qui sont de bon niveau, comme Apollon, Omonia, Anorthosis et nous. Le plaisir, pour nous, c’est d’affronter ces formations-là. En général, on se retrouve en play-offs. On vous avait laissé au PSG en 2005… À l’issue de la saison 2004-2005, je suis parti à Guimaraes, au Portugal, puis à Rubin Kazan en Russie où je suis resté un an et demi. Oui, je sais, c’est surprenant mais c’était une belle proposition. La fin du mercato approchait et je n’avais toujours rien. Je suis donc parti. Certes, là-bas, au niveau du foot, je n’ai rien vécu d’extraordinaire et la vie quotidienne n’était pas facile, surtout en hiver. Je ne me suis pas très bien adapté. On a fini 5e la première saison et je suis parti au bout de six mois pour Al Qadisiya, au Koweït lors de la deuxième saison. Pourquoi le Koweït ? Je ne vous cache pas que financièrement, c’était très intéressant. Ma femme et moi avons beaucoup aimé la vie là-bas et la culture, la même que la mienne. Le fait d’être musulman m’a beaucoup aidé. Une fois encore vous partez au bout d’un an et demi… Parce qu’au niveau du football, c’était quand même moyen et que j’avais une proposition de Malaga en Liga espagnole. Ce fut incontestablement la plus belle expérience que j’aie vécue chez les pros. La ville était magnifique. Au niveau du football, le championnat d’Espagne est pour moi le meilleur du monde. Malheureusement, alors que je m’en faisais une fête, j’étais suspendu pour le match aller au Camp Nou contre le Barça puis blessé pour le retour ! En revanche, j’ai pu jouer les deux matches contre le Real. Ensuite, je suis retourné au Portugal, puisque j’ai signé pour Maritimo où, après une première saison intéressante, nous nous sommes qualifiés pour l’Europa League l’année d’après. Mais je suis parti pour Nicosie à l’été 2012 avant de pouvoir rencontrer les Girondins (en Ligue Europa la saison dernière NDLR). Qu’éprouvez-vous, cette fois, à l’idée de les affronter ? Je suis très heureux de jouer contre une équipe française. En outre, je vais retrouver mon ami Fahid (Ben Khalfallah), que j’ai beaucoup apprécié en sélection. J’espère sincèrement qu’il jouera contre nous. Je vais l’appeler pour le chambrer un peu ! Vous vivez une saison un peu mouvementée avec l’Apoel… Nous avons mal démarré, en ratant la qualification pour la Ligue des Champions contre Maribor. Un échec difficile à digérer car on avait beaucoup misé sur cette compétition. On avait concédé le nul 1-1 chez nous, puis 0-0 en Slovénie, dans un match où l’arbitre nous a oubliés deux ou trois penalties pourtant évidents. Cela nous a plombés et nous l’avons payé lors de la qualification pour l’Europa League contre Zulte Waregem (1-1, 2-1). On a été repêché grâce à l’exclusion de Fenerbahce (pour des paris truqués NDLR). C’est sûr que l’on a des résultats mitigés en championnat (7e), ce qui a coûté sa place à notre entraîneur Paolo Sergio, remplacé par Giorgos Donis. Qu’espérez-vous de l’Europa League ? L’Eintracht Francfort est au-dessus du lot mais tout reste ouvert pour la deuxième place. A priori, cela va se jouer entre le Maccabi et nous, mais il ne faut pas condamner les Girondins. On va donc essayer de faire un bon match à Bordeaux et de rapporter quelque chose. Mais on sait que cela ne va pas être facile. Suivez-vous le PSG depuis Nicosie ? Bien entendu. Paris, c’est mon club de cœur. Je suis fier de ce qu’il est devenu, de ce qu’il réussit. C’est devenu un gros club au niveau mondial. J’ai une parabole chez moi et j’essaie de ne rater aucun match. sudouest.fr |
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28/10/2013 11:46
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Anderlecht teste Momo Sissoko Sans club depuis son départ du PSG, Momo Sissoko s'entraînait dernièrement avec Monaco. Mais le futur du milieu international malien pourrait passer par la Belgique. En effet, Anderlecht l'a pris en test «pour quelques semaines» comme indiqué sur son site internet. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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08/11/2013 19:23
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#827
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Marco Simone à Lausanne Ancien entraîneur de Monaco, Marco Simone a pris la tête de Lausanne Sport (dernier du championnat suisse). N'ayant pas encore la licence permettant d'entraîner en Suisse, il a choisi de confier le rôle de coach au Français Henri Atamaniuk. Le club était coaché par Laurent Roussey jusqu'au 21 octobre dernier. L'Equipe.Fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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09/11/2013 13:21
Message
#828
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 26,526 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 165 Tribune : Canapé |
Citation Ginola débarque sur Canal+ David Ginola (46 ans) va commenter des matches de Premier League sur Canal+, confirme l'ancien international au Parisien - Aujourd'hui en France, samedi. Le nouveau consultant de la chaîne cryptée débute dès ce dimanche par le match Tottenham - Everton (13h00), deux clubs pour lesquels l'ancienne star du PSG (1992-1995) a joué lors de sa carrière anglaise (1995-2002). L'équipe.fr |
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12/11/2013 22:40
Message
#829
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 26,526 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 165 Tribune : Canapé |
Citation Kebano : « J’ai donné une priorité au temps de jeu sur mon salaire. » Il fait partie des sacrifiés du PSG version qatarie. Neeskens Kebano, milieu de terrain aussi atypique que son patronyme, a choisi de s'exiler après une saison en prêt à Caen. En Belgique, le joueur de 21 ans a regagné en temps de jeu et régale désormais les habitants de Charleroi. Sans jamais oublier le club de son cœur, Neeskens raconte ses premiers pas dans une ville qui l'a déjà adopté. Quel a été ton parcours avant de rejoindre le Sporting Charleroi ?J’ai commencé par évoluer dans le club de mon quartier, à Montereau, de 6 ans à 13 ans. Ensuite j’ai été repéré par plusieurs clubs de Ligue 1 pour intégrer les centres de formation. Il y avait Rennes, Sochaux, Strasbourg, Auxerre ou encore Bordeaux. Mais j’ai choisi Paris, car c’est mon club de cœur. J’y suis resté de mes 13 ans jusqu’à 21. Comment tu t’es retrouvé dans ce club ?J’ai appris qu’ils étaient intéressés par mon profil. Ils m’ont présenté le projet, ce qu’ils voulaient faire, et j’ai décidé de venir car j’étais en recherche de temps de jeu. Tu connaissais déjà la Belgique ? Oui, je connaissais pas mal car j’ai passé quelques vacances dans le pays. J’ai beaucoup de famille qui réside dans le coin dont quelques cousins et ma tante. Avec le PSG, j’avais également joué contre Anderlecht lors d’un tournoi au Portugal. Parle-nous un peu de la ville.Je me suis installé en centre-ville. Il faut dire que j’y étais un peu obligé. J’ai perdu mon permis à Caen l’an passé donc il fallait que je ne sois pas trop loin des installations ! (rires). Sinon, l’ambiance est très sympa. Le peu de fois où je me suis baladé, j’ai rencontré des gens qui m’ont souri, m’ont salué. Ils sont très respectueux des joueurs de leur équipe et n’hésitent pas à te glisser un petit mot d’encouragement. Pour moi évidemment, ce qui revient le plus souvent c’est « J’espère que tu vas marquer ! ». Comment s’est passée ton intégration dans ta nouvelle équipe?Super. Au début, je suis resté un peu dans mon coin à observer les autres membres de l’effectif, sans faire de vagues. Petit à petit, les gens sont venus vers moi. Comme je suis quelqu’un d’assez sociable en général, ça a été plutôt facile une fois le contact établi. En plus, il y a beaucoup de Français dans l’équipe, dont Parfait Mandanda que je connaissais, ce qui est forcément est un avantage. Le championnat belge est-il d’un bon niveau ?C’est clairement inférieur à la Ligue 1. C’est un championnat moins homogène avec des petites équipes et d’autres qui se débrouilleraient si elles évoluaient en France. Je pense que le Standard, Anderlecht ou Zulte y auraient leur place. A Charleroi, on ne prétend pas être aussi forts que ces équipes mais depuis le début de saison, on a obtenu de bons résultats contre ces « gros ». Après le match aller d’Anderlecht face à Paris (5-0), les gens ont pu penser que l’écart était énorme. Mais au retour, ils se sont donnés à 200%. Le PSG, qui n’a sans doute pas abordé la partie de la meilleure des façons, n’a pas pu ramener mieux qu’un match nul, ce qui prouve que les clubs belges peuvent aussi bien jouer. Comment se déroule un derby contre le Standard ?Les supporters de Charleroi sont venus nous voir avant le match pour nous demander de tout donner. L’an passé, l’équipe a mangé 6-2 à l’aller et 6-1 au retour. Il y avait une envie de revanche. On a finalement réussi à décrocher 2-2. Au retour du match, quand le car est arrivé dans Charleroi, il y a eu un énorme accueil avec des chants et une foule amassée. J’ai vu à quel point le derby était important pour le staff, les supporters. Rien qu’à voir les têtes après la rencontre, j’ai su qu’on venait de faire quelque chose de grand. Ça reste mon meilleur souvenir depuis mon arrivée. En dehors de ce contexte particulier, la ferveur est-elle la même ?Si je compare ça à la France et en particulier à Paris, je dirai que c’est extrêmement différent. Les supporters peuvent plus s’approcher des joueurs, rien qu’aux entrainements. Au PSG, tu es scruté pour tes moindres faits et gestes et c’est plus sur ta vie privée qu’on t’embête. Après, sur le plan strictement footballistique, tu trouves la même chose. A Charleroi, il commence à y avoir une superbe ambiance et grâce à une série de bons résultats, le stade s’est rempli. Au final, c’est à peu près la même ferveur qu’en Ligue 1 si on parle uniquement de football. Et question salaire, tu t’y retrouves ?La différence est colossale. Mais l’obligation pour moi, c’est d’être sur le terrain. J’ai donné une priorité au temps de jeu sur mon salaire. Après, les gros clubs belges n’ont rien à envier aux clubs de Ligue 1. Ressens-tu la division du pays autour du conflit Wallons-Flamands ?Je dois avouer que je ne m'y intéresse pas plus que ça. D’ordinaire, je suis quelqu’un d’assez casanier et je me concentre beaucoup sur mon jeu. Alors mise à part la langue à laquelle je ne comprends rien (rires), les seules choses que j’ai pu observer concernant le sujet, c’était lors des rencontres face aux clubs flamands. Tu ressens la rivalité, les rencontres sont beaucoup plus engagées et accrochées. « Ne plus avoir cette étiquette de jeune joueur du PSG » La rapport au foot a-t-il évolué avec l’éclosion de la nouvelle génération belge ?L'équipe de Belgique a eu une influence. Les gens ici ne regardent pas autant les émissions consacrées au foot ou les matches à la télé mais c’est en train de changer. La popularité de ce sport augmente depuis que les Diables Rouges cartonnent. Personnellement, je suis sûr que c’est une génération qui est promise à un bel avenir et je ne suis pas le seul à le penser. C’est une équipe en devenir qui peut accrocher par exemple une demi-finale lors du prochain Mondial. Revenons un peu à la France. Comment s’est passé ton départ de Paris ?Il me restait 3 ans de contrat, j’aurais pu rester même si j’allais très peu jouer et me contenter de bouts de matches. Mais je voulais sortir du nid et voir ma propre image ailleurs, ne plus avoir cette étiquette de jeune joueur du PSG. Tu étais un espoir du club. L’arrivée des Qataris a-t-elle changé la donne ?Si les Qataris n’étaient pas arrivés, ça aurait fait plus de place pour moi ou des mecs comme Bahebeck. D’un autre côté, j’étais supporter du club avant d’en être joueur, donc de ce point de vue-là, c’est une bonne chose. Et puis j’ai quand même côtoyé des joueurs d’une autre trempe. Mais en tant que footballeur, je me devais de partir. Quel regard tu portes sur le changement de dimension du club ?Je les suis toujours, je regarde les matches. Je parle encore avec certains de là-bas. J’étais bien pote avec Sakho, Jallet, Sissoko, Néné. Il ne reste plus que Christophe d’ailleurs. Le départ de Mamadou Sakho, ça marque vraiment un tournant de l’histoire du PSG. C’était l’emblème du club et perso, j’étais dégouté. J’ai pu discuter avec lui des conditions de son départ, mais ça reste entre nous. Comment s’annonce ton avenir à Charleroi ?Je ne sais pas du tout. Je resterai le temps qu’il me sera donné. L’important pour moi, c’est vraiment le temps de jeu, qu’importe le club ou le championnat. Sofoot.com |
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23/11/2013 10:09
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Citation Leonardo veut redevenir entraîneur Ancien directeur sportif du PSG (2011-2013), Leonardo a vu sa suspension être levée par le tribunal administratif de Paris. Le Brésilien peut donc de nouveau exercer et celui qui a entraîné l'AC Milan et l'Inter Milan entend retrouver un banc plutôt qu'un siège réservé aux dirigeants dans les tribunes. «Je ne veux pas rester hors-jeu trop longtemps, a-t-il expliqué vendredi dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport. Un poste de dirigeant implique un travail politique et ce côté de la question ne me plaît pas. Je veux vivre le sport et donc redevenir entraîneur, pourquoi pas ?» L'équipe.fr |
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01/12/2013 18:38
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
Citation Landreau : « J'éprouve une fierté d'écrire une page » lemonde.fr
Le 6 octobre 1996, au stade Armand-Cesari, un jeune garçon de 17 ans, arrêtait un pénalty pour son premier match en Première division et offrait le point du match nul à Nantes, son club formateur, sur la pelouse de Bastia. 17 ans et 602 matchs plus tard, Mickaël Landreau est toujours dans les cages au stade Armand-Cesari mais avec le brassard de capitaine du club corse pour la réception, dimanche 1er décembre, d'Evian-Thonon pour le compte de la 15e journée de Ligue 1. Un match qui permet à Mickaël Landreau, 34 ans, d'égaler le record de Jean-Luc Ettori, l'ancien gardien de Monaco et de l'équipe de France. Un record que le troisième portier des Bleus devrait porter à 603 matches, mercredi, lors du derby face à Ajaccio. Entretien Le 4 décembre, vous battrez le record de matchs en Ligue 1 que détenait seul Jean-Luc Ettori. Que vous inspire ce record ? Derrière ce record, il y a plein de choses : de la régularité, une remise en question, beaucoup de travail, une présence au plus haut niveau. Si tu n'es pas performant, tu passes ton tour. Je vais préparer ce match comme j'en ai préparés 600 autres. J'éprouve une fierté, un plaisir d'écrire une page. Si je réussis ma carrière, c'est parce que je n'ai jamais sous-estimé un match. Pour un gardien de but, on ne peut pas se permettre de le faire, sinon on le paye cash. Je ne cherche pas à rendre ce record imbattable. Je suis d'abord un passionné. J'arrêterai lorsque cette flamme-là sera différente. Un gardien doit être présent tout le temps psychologiquement et avoir un impact sur sa défense. Et physiquement, je me sens super bien. Quel est votre meilleur souvenir en Ligue 1 ? J'ai disputé tant de matchs. Je pourrai parler de ma première rencontre. Mon premier titre. J'ai joué le maintien dans la dernière journée en 2000. J'ai vécu des moments très difficiles. J'ai apprécié d'être champion avec Lille au Parc des Princes en 2011. C'était tout un symbole. A tout moment, je me suis donné à fond et me suis remis en question. C'est peut-être pour ça que j'ai duré aussi longtemps. Pourquoi avoir choisi de rejoindre en décembre 2012, Bastia, club moins exposé ? Par rapport à ce que m'avait dit Didier Deschamps, c'était important à ce moment-là que je continue de jouer en Ligue 1. On m'avait prévenu que j'allais vivre une expérience marquante. Je suis servi. C'est un club où il y a beaucoup de passion. Médiatiquement, on ne retranscrit pas tout le temps ce qu'il se passe réellement. J'ai découvert beaucoup de ferveur. C'est un club qui avance et progresse. Comme Nantes, ce n'est pas un cocon. J'ai toujours été dans des clubs où je sentais le projet collectif. Des opportunités à l'étranger se sont présentées mais cela ne s'est pas fait. On ne serait pas ici aujourd'hui en train de parler si j'étais parti à l'étranger. Cela fait partie des choix de vie. Le FC Nantes est actuellement 6e du championnat. Ça vous fait plaisir ? Oui, cela me fait plaisir. Mais Paris est premier, Lille deuxième, Nantes quatrième et Bastia est dans les dix premiers. Donc je suis content. Quand on passe longtemps dans les clubs, on fait de belles rencontres et on a envie de voir les gens heureux. J'ai été super content de voir les supporteurs nantais heureux à Bordeaux après la victoire (3-0). J'entends "antinantais" à Bordeaux. Alors quelque part cela me fait plaisir quand Nantes gagne là-bas. A Rennes, je me fais encore siffler. Donc ça me fait plaisir quand Nantes gagne là-bas. A la fin de votre carrière, souhaiteriez-vous revenir dans votre club formateur ? Aujourd'hui, je ne me pose pas la question. Comme dans tous projets, il faut être sur la même longueur d'onde. Tout dépend du poste. En tant que gardien, je finirai à Bastia. A l'aune de votre précocité, estimez-vous avoir eu la carrière que vous méritiez en sélection ? J'estime qu'on mérite toujours ce que l'on a. En tant que sportif de haut niveau, on a des périodes où on est en haut et d'autres où on est plus bas. J'ai une carrière qui me correspond. Les regrets que je pourrais éventuellement avoir en sélection sont sur le plan humain. J'aurais aimé qu'on gère certaines choses différemment avec moi. Le reste… j'ai gagné tous les trophées que je devais gagner en France. Finir avec les Bleus au Brésil, ce serait un sacré accomplissement, non ? Ce serait idéal. Mais j'ai payé pour apprendre qu'être sélectionné, c'est à chaque fois être remis en question. Si je dois y être, j'y serai à fond. Si je n'y suis pas, je serai quand même supporteur des Bleus. Et ma vie continuera. |
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13/12/2013 08:20
Message
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Raï chevalier de la Légion d'honneur Les Brésilien Raï, ambassadeur de L'Equipe pour la Coupe du monde 2014, a été fait chevalier de la Légion d'honneur par François Hollande jeudi. Le président de la République a décoré l'ancien joueur du PSG (1993-1998) devant la communauté française de Sao Paulo, lors de sa visite d'Etat au Brésil. «Raï n'est pas simplement un grand footballeur, il est aussi un homme engagé sur la plus belle cause qui soit, l'éducation des plus fragiles et des plus pauvres», a souligné le chef de l'Etat à propos de l'ex-international brésilien (49 sélections, 17 buts), aujourd'hui à la tête de la fondation Gol de Letra, qui oeuvre en faveur de l'éducation des enfants. Retraçant sa carrière, François Hollande a souligné qu'il avait su «séduire le public parisien, un public très difficile. (...) Mais son élégance, son talent et sa gentillesse ont fait que, partout où il est allé avec la maillot du Paris-Saint-Germain sur tous les stades de France, il a été à chaque fois acclamé» L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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28/12/2013 22:31
Message
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Entretien avec... Jay Jay Okocha : « Je garde le PSG au plus profond de mon cœur » Joueur à la technique sans faille, Jay Jay Okocha a donné bien des maux de tête à ses adversaires tout au long de sa carrière, auteur de buts et autres gestes de classe qui lui ont valu une réputation exceptionnelle. Pour Foot Mercato, l'ancien joueur du PSG vous donne de ses nouvelles, évoque son passage dans la capitale, et la sélection du Nigeria. Jay Jay, vous êtes retraité depuis 2008. Que devenez-vous ? J’ai quelques affaires, et surtout ma famille, qui occupe la grande majorité de mon temps. Mais je continue de jouer au football avec amis dès que le temps me le permet, mais seulement pour le fun. Je suis aussi membre du Comité technique de la Fédération Nigériane de Football. Certains joueurs ont du mal à trouver une reconversion. Qu’en était-il pour vous ? Je ne dirais pas exactement que ça a été difficile, mais quand tu fais constamment la même chose pendant longtemps, comme te lever à la même heure, ça peut être compliqué. Mais je me suis maintenant habitué à mon nouveau mode de vie, j’apprécie car j’ai maintenant plus de temps pour mes proches. Beaucoup d’anciens joueurs tentent de devenir consultants, ou agents. Est-ce quelque chose qui peut vous plaire ? Non, je ne pense pas être capable de faire ce genre de choses. Vous, journalistes, avez un travail très difficile, que je ne pense pas être capable de faire. Quant aux agents, vu mon expérience, je pense aussi que c’est un travail difficile. Pour le public français, votre nom est forcément lié à celui du PSG. Comment jugeriez-vous vos quatre saisons au sein de ce club ? J’ai apprécié mon passage au PSG. C’est un club que je garde au plus profond de mon cœur. On n’était pas le club dominant en France, mais personne ne pouvait nous prendre de haut, pas même Lyon ou Marseille. J’ai vraiment apprécié ce passage, j’ai connu des coéquipiers fantastiques, et ensemble on a pratiqué le plus beau football du championnat. Vous avez notamment évolué aux côtés de Ronaldinho. Est-ce le meilleur joueur que vous avez côtoyé ? C’est une question difficile, dans la mesure où j’ai évolué avec des joueurs exceptionnels comme Djorkaeff ou Nwankwo Kanu. Mais Ronaldinho est un joueur fantastique, avec de grandes qualités. Le football est fait pour s’amuser et faire plaisir, et il jouait avec beaucoup de joie, de passion. C’est comme ça que j’aime aussi jouer. Les supporters aiment ce genre de joueurs, mais certains coaches ont un autre avis, pour des raisons évidentes. Mais on s’est bien amusé tous les deux au PSG. On a coutume de dire que les supporters du PSG sont parmi les meilleurs de France. Quels souvenirs gardez-vous du Parc des Princes ? Je ne sais pas ce qu’il en est maintenant mais, à mon époque, je peux dire qu’on avait les meilleurs supporters de France. Le Parc des Princes était un cauchemar pour nos adversaires, l’atmosphère y était incroyable. Ce n’est pas un endroit pour les faibles, car les supporters ne tardent pas à te faire savoir ce qu’ils pensent de toi. Ils peuvent parfois être un peu fous, mais c’est aussi pour ça que c’est un club génial. Que pensez-vous du PSG actuel ? Je regarde toujours leurs matches, la plupart du temps à la télévision. Je pense qu’ils ont la meilleure équipe en France, et que leur coach fait un très bon travail. Si vous aviez été encore joueur, auriez-vous aimé évoluer aux côtés d’Ibrahimovic, Cavani, ou Thiago Silva ? Ce ne serait pas une mauvaise idée ! Ce sont tous de très bons joueurs. Zlatan est l’un des meilleurs joueurs du monde, et quand il joue bien, c’est toute l’équipe qui joue bien. Cavani et Thiago Silva sont également de bons joueurs, ce sont tous des joueurs fantastiques. Pensez-vous le PSG capable de remporter la Ligue des Champions dès cette saison ? La Ligue des Champions est une compétition très difficile à remporter. Parfois, avoir les meilleurs joueurs ne suffit pas pour gagner, c’est aussi une question de chance, surtout au niveau du tirage. Mais oui, je les pense capables de l’emporter. Durant toute votre carrière, avez-vous quelques regrets ? Je n’ai pas vraiment de regrets, mais j’aurais adoré pouvoir remporter la Coupe du monde. Je pense que nous avions une bonne chance en 1994, car on avait vraiment l’une des meilleures équipes du monde, mais on a perdu contre l’Italie. Si on avait gagné ce match, je pense qu’on aurait été jusqu’en finale. Quel regard portez-vous sur l’équipe actuelle du Nigeria, et pensez-vous les Super Eagles capables de créer la surprise dans cette Coupe du monde ? Cette équipe progresse à chaque match, et je les vois pouvoir créer la surprise. Le tirage a été plutôt favorable, et s’ils jouent au maximum de leurs possibilités, je les pense capables de se qualifier pour la phase finale, et faire mieux que nous en 1994 ou 1998. Mais il faut être réaliste, et savoir qu’il y a d’autres très bonnes équipes. La différence entre la génération actuelle et la mienne, c’est au niveau de la maturité. Regrettez-vous qu’il manque peut-être un Jay Jay Okocha dans cette équipe, un joueur avec votre créativité ballon au pied ? Je ne vais pas dire que je le regrette, mais il est bon pour une équipe d’avoir quelqu’un capable de changer le cours d’un match. Mais cette équipe joue un peu plus collectif, et je pense qu’ils font du bon travail en tant qu’équipe, ce qui est le plus important en football. FootMercato (site en bois désolé) -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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01/01/2014 15:09
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#834
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![]() NE CLIQUEZ PAS SUR MES LIENS Groupe : Spiritually Banned Messages : 19,196 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : Angers Membre no 132 Tribune : Canapé |
Citation Jérôme Rothen arrête sa carrière Jérôme Rothen n'insistera pas. Sans club depuis sa résiliation à Caen (L2), le milieu gaucher a annoncé mercredi à l'antenne de Canal + Sport qu'il ne cherchera pas de nouveau challenge lors du mercato hivernal (1er - 31 janvier) et qu'il songe à poursuivre dans un rôle de consultant TV. Rothen, qui aura 36 ans en mars prochain, a porté le maillot de l'équipe de France à treize reprises (1 but). Découvert aiu Stade Malherbe, il a porté les maillots de Troyes, Monaco, Paris et a connu une brève expérience à l'étranger (Glasgow Rangers et Ankaragücü) avant de revenir en L1, à Bastia (2011-2013) et donc de tirer un trait après dix derniers matches avec son club d'origine. Son nom avait été prononcé du côté d'Auxerre (L2) et de Créteil (L2), sans suite donc. lequipe.fr -------------------- Trust Leo
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01/01/2014 18:37
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 15,492 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Paris Membre no 37 Tribune : Non précisée |
Citation Hoarau bientôt à Bordeaux ?
Libéré par Dalian Aerbin (D1 chinoise), l’ex-Parisien Guillaume Hoarau (15 matches, 2 buts) devrait très prochainement s’engager avec les Girondins de Bordeaux. L’information, révélée par le quotidien régional Sud-Ouest, mercredi, n’a pas été confirmée par le club mais elle est crédible. Les Girondins, privés de Jussiê pour encore cinq semaines (fracture du coude) sont en effet à la recherche d’une opportunité de renforcer leur ligne offensive. L’attaquant réunionnais, qui s’était entraîné chez le voisin du Stade Bordelais à son retour de Chine, est un familier de la région, où vit son fils. Son engagement est suspendu à son retour de la Réunion, où il a passé les fêtes, le département ayant été placé dans l'après-midi en alerte cyclonique et tous les vols suspendus. source : lequipe.fr |
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08/01/2014 21:40
Message
#836
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,534 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation JSF - ARRIVEE DE M. PARTOUCHE 8.01.2014 Jura Sud Foot annonce l'arrivée de Maxime Partouche, milieu/attaquant de 23 ans. Dans son parcours sportif, Maxime a connu des clubs pretigieux tels que le PSG et Créteil. Après une blessure à un genou (ligament croisé) en début d'année 2013, Maxime a repris le chemin de l'entrainement en octobre dernier avec le club de Versailles. Malgré une opportunité de jouer aux Etats-Unis, Maxime a choisi de rejoindre Jura Sud Foot. Nous souhaitons donc la bienvenue à Maxime Partouche dans son nouveau club. Site officiel Jura Sud Foot |
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14/01/2014 11:06
Message
#837
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Quand Jérémie Clément défie... Jérémy Clément ! COUPE DE FRANCE : Cannes (CFA) - Saint-Etienne (L 1). Ce dernier match des 32es de finale mettra aux prises mardi soir le Cannois Clément à son homonyme Stéphanois. Ils sont nés la même année (1984), portent le même nom et quasiment le même prénom. Pour la première fois de leur carrière, Jérémie et Jérémy Clément vont s'affronter ce mardi à l'occasion de Cannes - Saint-Etienne en Coupe de France. Le duel d'homonymes, initialement programmé le 4 janvier, avait été remis en raison d'une météo capricieuse dans le Var. Les deux joueurs, qui n'ont aucun lien de parenté, s'étaient néanmoins croisés dans les coursives du stade Pierre-de-Coubertin et avaient échangé quelques mots sous le regard complice de leurs amis communs, les Stéphanois Jessy Moulin et Renaud Cohade. « C'était marrant de se parler pour la première fois », confie le Cannois Jérémie au CV bien moins fourni que le milieu de terrain stéphanois. Quand l'un affiche 4 apparitions en Ligue 2 (à Arles-Avignon lors de la saison 2009-2010), l'autre totalise 321 matchs en Ligue 1, a remporté trois titres de Champion de France (2004, 2005 et 2006) avec Lyon, une Coupe de la Ligue (2008) et une Coupe de France (2010) avec le PSG. Toute sa carrière, et notamment en 2009 lorsqu'il avait signé au Paris FC (National), le défenseur a souvent été confondu avec son illustre homonyme. Et ce jusque dans son village du Vaucluse, Bédoin, au pied du Mont-Ventoux. « Dans la famille de mon père, ils sont 10 frères et soeurs, et tout le monde me prenait pour lui, confie le papa d'Andrea (2 mois et demi), pacsé à Christelle. Lorsque Jérémy a contracté la grippe A (en 2009 au PSG), toute la famille s'inquiétait pour moi... » D'incroyables imbroglios De quoi créer d'incroyables imbroglios. Le joueur de Cannes n'a pas non plus oublié cette improbable discussion en 2010 avec un agent. « Il m'a téléphoné pour me proposer un contrat aux émirats. J'avais beau lui dire que je n'étais par le Clément du PSG, il continuait de m'avancer ses arguments pour me faire venir. Un vrai langage de sourds... » Clément le Cannois ne se dit pas « envieux » du parcours de Clément le Stéphanois. Les deux hommes ont fait leur chemin, et l'ancien pro d'Arles-Avignon se dit déjà fier d'avoir été une valeur sûre du championnat National (3e Division). Un niveau que l'ancien joueur de Nîmes et du Red Star ambitionne de retrouver avec Cannes. « Je suis venu ici pour monter (NDLR : l'équipe entraînée Jean-Marc-Pilorget, recordman des matchs joués avec le PSG, est 5e du groupe C de CFA). Cannes, c'est vraiment le club avec qui j'ai envie de rejouer en National. Après, à titre personnel, je ne me fais plus d'illusions pour la Ligue 2... » CANNES (CFA) - SAINT-ETIENNE (L 1) Mardi soir (18 h 30), stade Pierre-de-Coubertin. Arbitre : M. Fautrel. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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16/01/2014 10:45
Message
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 253 Inscrit : 03/09/2013 Lieu : Bruxelles Membre no 9,472 Tribune : Canapé |
Citation George Weah : «Un rôle au PSG, pourquoi pas ?» Le Ballon d’or 1995 se verrait bien intégrer le projet parisien. A 47 ans, George Weah impliqué dans la politique au Liberia, reste un observateur avisé du football. De passage à Paris pour présenter sa marque d’équipements sportifs, il livre son avis sur Monaco et le PSG, deux de ses anciens clubs, et s’imaginerait bien jouer un rôle dans le projet qatarien dans la capitale. Le 9 février, vous assisterez à Monaco - PSG. Lequel de ces clubs a le plus marqué votre carrière ? George Weah. Monaco car c’est mon premier club en France. Arsène (Wenger) et Henri (Biancheri) sont venus me voir jouer au Cameroun, et ensuite c’est à Monaco que j’ai été formé. Paris, je n’y suis pas resté longtemps (NDLR : trois saisons de 1992 à 1995), mais j’y ai de grands souvenirs. J’ai été meilleur buteur de Ligue des champions avec le PSG et j’ai gagné un titre de champion de France en 1994. Mais le meilleur club pour moi, c’est la maison, la famille, Monaco. Car, sans Monaco, je n’aurais pas pu être là. Quelle rôle a joué Arsène Wenger ? Il a été comme un père, pas seulement un entraîneur. Lui aussi voulait réussir et montrer au monde entier qu’il pouvait sortir des grands joueurs. Il était avec moi, et on a travaillé ensemble tous les jours, même les jours de repos. Car il a décelé en moi quelque chose que les autres n’avaient pas vu. Pour le sommet de la Ligue 1, votre cœur penchera donc pour Monaco ? Je serai surtout à Monaco pour voir du beau jeu et des amis. On m’a invité pour donner le coup d’envoi, et c’est une grande fierté. J’ai été triste quand Monaco est descendu en Ligue 2. Aujourd’hui, je suis content de ce qui s’y passe, comme je suis heureux de voir le projet de Paris. Depuis que Nasser al-Khelaifi et les Qatariens ont repris le club, le PSG n’est pas seulement une grande équipe en France, mais dans le monde entier. Quelle relation entretenez-vous avec le président al-Khelaifi ? On s’est vus plusieurs fois au Qatar quand je faisais des analyses pour la chaîne Al-Jazira Sports (NDLR : aujourd’hui BeIN Sports), dont il est le dirigeant. C’est une amitié sincère. Je suis fier de sa réussite. On est en contacts, mais c’est personnel. Je peux juste vous dire que, quand c’est important et que je lui écris un e-mail, il répond. Est-ce que vous pourriez jouer un rôle dans ce nouveau PSG ? Pourquoi pas? Nasser est un ami. On parle pour que je vienne travailler avec lui à Paris, mais on attend encore de définir quel rôle j’aurai. Ce serait avec un grand plaisir. Je peux être consultant, recruteur ou n’importe quel autre poste. J’ai terminé un diplôme de « public administration » (MPA). Ça se fera peut-être dans le futur. On ne sait jamais. L’équipe actuelle du PSG est-elle meilleure que celle de votre génération ? On ne peut pas dire ça. Michel Denisot, avec ses moyens, a fait venir de grands entraîneurs, Artur Jorge et Luis Fernandez, et de bons joueurs. Les Qatariens font aussi des choses. Mais on ne sait pas quand le PSG va devenir la plus grande équipe du monde. Ils ont gagné le championnat et on attend la Ligue des champions. Le duo Ibra-Cavani est-il plus fort que Weah-Ginola ? Ce sont des qualités et des mouvements différents. David était un joueur plein de fantaisie qui travaillait pour les autres et, quand il centrait, c’était un ballon propre. Cavani, ce n’est pas la même chose. Il a une activité différente, il ne va pas centrer pour un attaquant. Quant à Zlatan et moi, on a des mentalités et des styles différents. Normalement, il est trop grand de taille pour être un très grand joueur. Il devrait être maladroit mais, au contraire, il est technique et rapide dans l’exécution. J’étais plus rapide que lui et technique aussi. Mais, encore une fois, on ne peut pas me comparer à Zlatan. Comme lui, vous avez joué au PSG et à l’AC Milan. Le PSG a-t-il dépassé l’AC Milan ? Aujourd’hui Milan est en crise, ce qui me rend triste. J’espère qu’ils vont redevenir ce qu’ils étaient et que Seedorf va réussir à redresser le club. Mais oui, je pense que le PSG est plus fort que l’AC Milan. Auriez-vous aimé jouer dans cette équipe de Paris ? Pourquoi pas ? C’est une équipe complète avec de grands joueurs. Tous les attaquants ont plaisir à évoluer dans ce genre d’équipe. Mais c’est une autre génération. Quel souvenir gardez-vous du Parc des Princes. C’était aussi la maison ? Chaque samedi, je venais au boulot et j’étais content d’être là. C’était spécial pour moi. Il y avait plein de gens de toutes les races qui venaient de banlieue et qui me demandaient de faire quelque chose pour Paris. J’étais heureux de donner à ces gens qui aiment le foot. Paris vous manque-t-il ? J’y viens souvent. Vous ne m’y voyez pas, car je ne vais pas au stade. Mais, si on m’invite et que je suis là, je m’y rends pour voir du beau football. Aujourd’hui, la politique me prend beaucoup de temps, je suis souvent en réunion, mais je vois ça à la télé : je ne manque pas un match du PSG, de la Juventus, de Monaco, de l’AC Milan et de Tottenham. Ce sont les clubs que je regarde tout le temps. Allez-vous vous présenter de nouveau à la présidentielle au Liberia ? Oui, je me suis déjà présenté deux fois et je serai de nouveau candidat en 2017. Mais avant, en 2014, on prépare les sénatoriales avec mon parti le Congrès pour le changement démocratique. Le Liberia a retrouvé le calme après quatorze ans de guerre civile, c’est encore fragile et on attend notre tour. Du football et de la politique, lequel des deux univers est le plus impitoyable ? Dans la vie, rien n’est difficile pour celui qui veut réussir. Quand j’ai dit que je voulais devenir footballeur professionnel, les gens pensaient que je n’y arriverais jamais. Mais j’ai cru en moi et j’ai dominé le foot camerounais (NDLR : son premier club était le Tonnerre de Yaoundé). Ensuite, je suis allé à Monaco, puis en Italie dans le championnat le plus fort du monde à l’époque et je suis devenu Ballon d’or. Il y a donc la possibilité que je devienne un grand président du Liberia. Le Parisien |
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18/01/2014 12:00
Message
#839
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Citation Weah, un businessman… citoyen Vincent Guérin, Patrick Mboma ou Laurent Fournier avaient fait le déplacement hier à Pacy-sur-Eure (Eure) pour l’inauguration de la première boutique Weah Sports en France. La marque d’équipements avait été lancée durant la guerre au Liberia par l’ancien avant-centre du PSG, George Weah, afin d’aider la Fédération libérienne. Relancée récemment, elle développe également des projets d’accompagnement pour la création de boutique et de conseil en promotion et communication pour les clubs et les fédérations, notamment en Afrique. « C’est normal que je commence mon activité en France, qui ne connaît pas George ici! sourit le Ballon d’or 1995. Si ça marche, on va pouvoir aider beaucoup de gens au Liberia. Les sponsors ne sont pas présents en Afrique. Si notre marque peut aussi aider le sport sur ce continent, c’est une bonne chose. Quand j’étais footballeur, déjà 25% de mon salaire partait dans l’humanitaire. » Une démarche citoyenne qui a poussé Weah en politique avec deux campagnes malheureuses à l’élection présidentielle dans son pays. Il prépare désormais le scrutin de 2017. Un parcours qui n’étonne pas ses anciens coéquipiers. « Lorsqu’il jouait, George avait déjà une personnalité bien affirmée. Il était sérieux et rigoureux dans tout ce qu’il faisait, se rappelle Vincent Guérin. En tant que joueur, il a bien géré sa carrière sans être pollué par les agents, il a toujours fait les bons choix. Son entrée en politique ne m’a pas surpris. Il était déjà très proche des gens. Etre sur le devant de la scène lui a juste ouvert des portes. Aujourd’hui, il va au-devant de son peuple. » « George a toujours eu bon cœur, poursuit Laurent Fournier. A chaque fois qu’on rentrait de déplacement, il récupérait les paniers-repas et allait les distribuer aux sans-abri à la station de RER de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Il a toujours été tourné vers les autres. » « Son business est quasiment associatif, c’est surtout pour redonner aux enfants du Liberia, confirme Jean-Michel Moutier, l’ancien directeur sportif qui l’a fait venir dans la capitale. Il a toujours voulu œuvrer pour son pays. Quand il partait en sélection, il emportait déjà des ballons, des chaussures. » Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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21/01/2014 16:06
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Citation Ardiles accidenté L'ancien champion du monde argentin Osvaldo Ardiles a été victime d'un accident de voiture sur l'île des Malouines dans la nuit de lundi à mardi, annonce la BBC. Ardiles, qui était notamment accompagné de son ancien coéquiper Ricky Villa, a perdu le contrôle de sa voiture. Selon la BBC, il aurait reçu plus de 20 points de suture à la tête, mais il serait déjà sorti de l'hôpital. Ardiles, qui a remporté la Coupe du monde 1978 avec l'Argentine, était passé brièvement par le PSG en 1982-1983. Il a fait l'essentiel de sa carrière à Tottenham, à qui il a appartenu de 1978 à 1988. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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