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24/07/2013 15:23
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#801
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Itw de Yann Lachuer (extraits) dans So Foot
Citation Yann Lachuer : « Si je jouais aujourd'hui, je serais en équipe de France » Pourquoi Paris plus que Marseille ? Car je suis parisien, déjà. Je suis né à Champigny. Deuxièmement, quand j’étais à Châteauroux, Mister Denisot me suivait déjà. L'OM, il y avait Courbis qui m’appelait tous les jours, dès le mois de novembre : « T’es mon choix numéro 1. Si tu me plantes au mois d’avril, comment je fais pour mon choix numéro 2. Il faut que je sache. » « Bon Rolland, si tu veux une réponse maintenant, c’est non. » Il pensait déjà à sa saison d’après. De toute façon j’avais un feeling avec Denisot. Je vais chez Canal, on se met d’accord et il me dit : « Ton contrat, je le mets là ». Au mois de mars, il m’appelle et me dit : « Je m’en vais de Paris. Si tu veux ton contrat, je le déchire ». C’était sympa. Donc j’arrive avec Mister Biétry. Charles il m’aimait bien mais il me met Okocha dans les pattes. Si Denisot restait, c’était Le Guen qui devait reprendre et Le Guen est parti à Rennes. Donc voilà tout avait changé. A l’époque le coach, c’est Giresse. Ça se passait comment ? Ça passait bien mais il avait pas la carrure. Pour lui, comme pour sa génération, quand tu as des bons joueurs, ça suffisait. On était pas complémentaire. Et surtout, Roche, Guérin, Fournier, Gava partaient…. Il aurait fallu faire une transition entre les anciens et ceux qui arrivaient comme moi. Tu le sens dès les premiers jours qu'il y a une couille ? Dès le premier entraînement, j’ai une tendinite et je la traîne presque toute la saison. Donc je joue un peu diminué. Giresse se fait virer en septembre après une défaite contre Haïfa. Giresse nous présente l’équipe et il nous parle d’un petit joueur, 17 ans à l’époque. Il s’appelle Benayoun. Il dit : « Ouais, c’est un bon mais honnêtement, ils dépasseront pas la moitié de terrain ». Je sais plus si c’est vrai ou pas mais je crois qu’on lui a donné des infos sur l’autre équipe d’Haïfa. Donc tu vois déjà le truc… C’était quoi le problème de cette équipe ? Car sur le papier… Le problème c’est qu’il y avait pas de cadre. Le seul, c’était Simone. Et pour la petite histoire, la veille de l’entraînement, il se met pas d’accord avec Biétry sur une revalorisation salariale. Il sèche la reprise. Moi j’arrive d’Auxerre, je me dis : « C’est quoi ce bordel ? ». T’as Okocha qui arrive. Biétry lui son rêve, c’était de faire le FC Nantes à Paris. Donc il prend plein du Nantais. Entre les anciens et les Nantais, ça se passait pas forcément bien. Ouédec, Loko, Carotti et compagnie. Donc l’équipe ça part en vrille. Y’a des joueurs qui t’ont impressionné là-bas ? Okocha ? Okocha c’était fort, mais c’était pas efficace. C’était un joueur pour Paris car il faisait lever le stade. Mais niveau efficacité, c’est zéro. T’as Simone qui était vraiment au-dessus. Quand il avait envie de jouer, il faisait la différence… Après à Paris il y a pas vraiment de joueurs qui m’ont impressionné, c’est plus à Auxerre. Mexès m’a impressionné quand il était jeune. Pour moi, c’était le plus talentueux de sa promo. Il avait tout. C’était le gamin qui sortait le premier du vestiaire quand il y avait le ballon mais ça lui pétait les couilles d'aller courir en forêt. Mentalement, il va s’énerver vite. Dès qu’il est en situation d’échec, il va péter les plombs. C'est là qu'il a plafonné. Mexès, c’est marrant car jeune, il avait pas envie d’aller en équipe de France. Des fois il trouvait des excuses pour pas y aller, comme des blessures, alors que Boumsong, il aurait tué sa mère pour aller en équipe de France. Première partie : Yann Lachuer : « Si je jouais aujourd'hui, je serais en équipe de France » Seconde partie : Yann Lachuer : « Je savais pas faire 50 000 passements de jambes » |
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27/07/2013 16:49
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#802
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![]() There Will Be No Shame ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 6,780 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : Paris Membre no 149 Tribune : Non précisée |
Citation Gameiro : « Il y a eu des moments durs au PSG » « Je suis super content. C’est reparti pour une nouvelle aventure, pour un nouveau Championnat. La Liga me plaît. Je n’ai jamais regretté d’avoir choisi Paris plutôt que Valence, même si j’ai vécu une dernière saison particulièrement difficile. Il y a eu des moments durs, comme lors du match retour contre Valence, en Ligue des champions (en mars dernier, 1-1, en huitièmes de finale retour). Il n’y avait plus d’attaquants valides. Je pensais être titulaire et je me suis retrouvé sur le banc. À ce moment-là, j’ai pris un gros coup sur la tête. Si je garderai de bons souvenirs de Paris ? Oui, il y a le Parc des Princes et le titre de champion. Je pense que j’ai apporté quelque chose. J’ai prouvé que je n’avais pas perdu mon sens du but. Je n’ai pas beaucoup joué mais j’ai marqué (25 apparitions en L 1, 8 buts). Laurent Blanc a été clair, et ça fait du bien d’avoir un entraîneur clair. Il m’a dit qu’il souhaitait me conserver tout en m’expliquant que je serais numéro 3 dans la hiérarchie. J’aurais pu rester, j’aurais pris mon argent. Mais je voulais jouer, marquer des buts. Lyon ? Rester en France ne m’aurait pas dérangé, mais Lyon devait vendre avant. Je ne pouvais pas me permettre de laisser passer cette incroyable opportunité de rejoindre Séville » lequipe -------------------- "J'ai collé corps et âme aux ambitions du club." Edaourd
"Rabiot n'a pas joué en 2019, après 15-20 jours à un haut niveau il s'est écroulé" Sarri "Je crois qu'il est de toute façon trop tard pour sauver le club, l’idéologie socialiste sentimentaliste mortifère en vogue l'a trop enfoncé." anakin7 |
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30/07/2013 15:29
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation EDF : Bergeroo remplace Bini Noël Le Graët a annoncé ce mardi que le sélectionneur de l'équipe de France féminine Bruno Bini était remplacé par Philippe Bergeroo à la tête des Bleues. Coupable d'avoir été éliminé en quarts de finale de la compétition face au Danemark (1-1, 2 tab 4), alors que sa formation était la grande favorite de la compétition, Bruno Bini paye le manque de réalisme des Tricolores et leur incroyable propension à gâcher lors des phases finales. Critiqué par ses pairs depuis quelques mois , il laisse néanmoins derrière lui un bilan plutôt honorable. Alors qu'elles n'avaient jamais décollé avec Elisabeth Loisel, les Bleues ont progressé sous ses ordres jusqu'à atteindre la 4e place de la Coupe du monde 2011 et des Jeux Olympiques 2012. Le président de la FFF a d'ailleurs tenu à lui rendre hommage : « Ce n’est pas contre Bruno, c’est pour améliorer, si possible, le comportement sportif de l’équipe en ayant un projet de jeu plus tactique et technique. Je pense que c’était le moment (...) mais Bruno a été exemplaire. Il a révolutionné le football féminin. Grâce à lui, l’équipe de France est aujourd’hui reconnue, estimée (...) Il sera remplacé par quelqu’un de la maison, Philippe Bergeroo, un homme d’une grande humanité, d’un grand respect, quelqu’un de sage, qui ne fait pas beaucoup de vagues. Il n’y aura pas de rupture importante entre Bruno et lui. » L'ancien sélectionneur n’aura donc pas survécu à la nouvelle attente et médiatisation qui entoure une génération talentueuse sur tous les plans et qui a largement les moyens de remporter un titre international dans les années à venir. La première mission de Philippe Bergeroo sera de préparer les coéquipières de Louisa Necib pour le Mondial 2015 au Canada, dont les qualifications débutent dès le mois de septembre prochain. So Foot |
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01/08/2013 23:32
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 478 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : Paris Membre no 101 Tribune : Non précisée |
Citation Dernier défi pour les papys parisiens Le Parisien
Le Championnat de France de Ligue 2 reprend demain avec un très fort accent parisien. Au crépuscule de leur carrière, plusieurs anciens cadres du PSG ont trouvé cet été un point de chute dans l’antichambre de la Ligue 1. La trentaine bien entamée, plus de 100 ans à eux trois, Jérôme Leroy (1996-1999 et 2001-2004 dans la capitale), Danijel Ljuboja (2003-2005) et Jérôme Rothen (2004-2010) forment un trio aux ambitions contrastées cette saison. Leroy reprend du service Pour sortir le milieu de terrain Jérôme Leroy, 38 ans, de sa jeune retraite et de ses vacances à Aix-en-Provence, il fallait faire preuve de persévérance. Et trois coups de fil motivés du directeur sportif du club istréen, Frédéric Arpinon. « Le premier, j’étais catégorique, c’était non, raconte le nouveau vétéran des joueurs de champ de la L 2. Le deuxième, j’ai dit : Pourquoi pas ? Le troisième, j’ai cédé. J’ai dit oui et signé pour un an, sans euphorie. » Un an, c’est aussi le temps passé sans toucher le ballon depuis la fin de son contrat à Evian, à garder la forme lors de séances de combat libre. « Je ne connais pas le championnat, je ne connais pas le club, précise-t-il.Mamotivation ? C’est de rendre service, l’aider à se maintenir pour lui rendre la pareille. » Ljuboja retrouve Kombouaré Sa célèbre crête décolorée est de retour sur les pelouses françaises. Deux ans après son départ de Nice, Danijel Ljuboja revient dans l’Hexagone, à Lens, où il a signé un contrat d’une saison, plus une en option en cas de montée. L’attaquant international serbe (2 sélections), âgé de 34 ans, reste sur deux années très réussies au Legia Varsovie : élu meilleur joueur et vainqueur de la coupe en 2012, il vient de réaliser le doublé coupe-championnat. Auteur de 30 buts lors de son séjour polonais, l’ancien du PSG peut encore surprendre. « Il est en forme, assure son agent, Jean-Charles Parot. Il voulait rentrer en France avec un bon challenge en Ligue 1 ou en Ligue 2. Il a choisi Lens car c’est un club historique et il sentait qu’on comptait vraiment sur lui. » Dans le Pas-de-Calais, Ljuboja retrouve Antoine Kombouaré. Son ancien entraîneur à Strasbourg compte sur lui pour aider le club à remonter en L 1. Rothen revient au pays Alors qu’il lui restait un an de contrat à Bastia, Jérôme Rothen, 35 ans, a mis fin à la belle histoire commencée en 2011. « Je ne pouvais plus lui garantir un statut de leader, explique Frédéric Hantz, l’entraîneur du club corse. Il demeure le grand artisan de la remontée et du maintien du Sporting en L 1. Caen a trouvé en lui un atout inestimable. » L’ancien milieu de terrain parisien a jeté son dévolu sur l’un des favoris pour lamontée. Le gaucher retrouve son club formateur où il avait fait ses débuts pros il y a seize ans. Non sans ambition puisque Caen, 4e l’an dernier, est favori logique au podium. « C’est un challenge intéressant. Un choix du coeur. » CHRISTOPHE LEMAIRE, THOMAS COUPPÉ ET MAXIME LE NAGARD |
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05/08/2013 11:16
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,835 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 137 Tribune : Canapé |
Citation Ducrocq : « Blanc ne devrait pas rester, même s'il gagne le championnat » Le PSG, Pierre Ducrocq connaît plutôt bien. Formé au club, le milieu de terrain était du doublé de 1998. Le type jouait avec Jay-Jay Okocha, Ali Benarbia ou Raï. Autant dire qu'il a été à bonne école. Reconverti directeur technique d'une agence sportive abritant des agents de joueurs (Kemari) ainsi que consultant radio pour France Bleu Île-de-France, l'ancien milieu de terrain (1997-2001) parle de son club de cœur avec amour et franchise. Un Clément Chantôme avant l'heure. Pierre, ça te fait quoi de commenter le PSG pour Radio France Bleu ? C'est mon club de cœur alors ça me fait kiffer mine de rien. Et puis sur le papier, elle est belle cette équipe quand même. On ne s'en rend pas bien compte. Plus belle que celle de l'an dernier ? Forcément. Tu n'as perdu personne sur le terrain et t'as pris Cavani, Digne et Marquinhos. Cavani, c'est exceptionnel comme recrue. Les deux autres sont encore jeunes, ils vont devoir être patients car il y a des clients déjà en place à leurs postes. Je suis rassuré car le club a gardé toute l'ossature de l'année dernière. Le départ de Carlo Ancelotti et de Leonardo n'ont donc pas affaibli le PSG ? Non. Carlito n'était pas l'atout principal du PSG. Même si je ne suis pas un grand fan de Laurent Blanc, je ne le vois pas se planter avec une telle équipe. Surtout avec leur vécu. Même les patrons du vestiaire, les mecs qui font le liant entre les étrangers et les Français sont restés. Je parle des Camara, des Douchez. C'est important des mecs comme ça. On est typiquement dans la continuité de l'année dernière. Laurent Blanc a pour lui cette réputation flatteuse de vouloir faire jouer ses équipes. C'est une promesse. Quant au départ de Leonardo, je fais confiance aux Qataris pour trouver une autre personne, avec un autre carnet d'adresses. Ça peut être intéressant d'avoir un autre réseau que l'Italie au final. Le PSG est-il favori à sa propre succession ? Ils sont archi-favoris. On a beaucoup parlé de Monaco avec Falcao, mais j'ai l'impression que le Colombien est l'arbre qui cache la forêt. Ils seront peut-être aux premières places mais ça dégage beaucoup moins de certitudes que le PSG. Le PSG, c'est quand même du lourd. Et à tous les postes. La Ligue des champions peut-elle être un objectif réalisable ? C'est encore trop tôt. Les mecs viennent de faire un quart de finale pour leur première année, c'est génial. Il faut faire aussi bien. Échouer une nouvelle fois en quart ne serait pas un échec. Au niveau européen, le club est encore un bébé. La Ligue des champions, ça demande du temps pour l'apprivoiser. Dans 3-4 ans, pourquoi pas. Il faut avant cela s'installer dans le giron européen. Tu te reconnais encore dans ce club, toi, le Parisien ? C'est difficile. Je me reconnais dans les meubles, le Parc, le maillot, tout ça. Mais après, dans l'ampleur que ça prend et dans ce que veut construire le Qatar, ça n'a plus rien à voir avec ce que j'ai vécu. Plus rien n'est géré pareil, tout a changé. Il n'y a plus aucun point commun avec le PSG que j'ai connu. QSI a-t-il dénaturé le PSG ? Le plus gros changement au club, ce n'est pas le Qatar qui l'a mis en place. C'est le Plan Leproux. Pour moi, c'est le changement le plus radical depuis la création du club. Je reste persuadé que tu pouvais faire autrement, différemment. Derrière, le Qatar arrive avec de l'argent et la volonté de faire grandir le club. Ça change tout mais pas fondamentalement. Le logo, ce n'est pas si dérangeant, cela s'était déjà produit avant du temps des anciens actionnaires. Ce qui m'aurait plus embêté, c'est de quitter le Parc des Princes et de construire un nouveau stade. Ça n'a pas l'air d'être dans les plans et c'est tant mieux. Le PSG, c'est le Parc. C'est non négociable. Bizarrement, on a l'impression que QSI, malgré son pognon, mise énormément sur la formation. Leur modèle, c'est le Barça. Alors oui, les Sakho, Chantôme, Ongenda, Coman, Maignan, Rabiot and co, ça correspond à cette idée d'un grand club au sens large : formateur, capable d'aller chercher les plus grandes stars et de faire jouer tout le monde ensemble. Ce n'est pas pour rien que le problème du futur centre d'entraînement est un dossier prioritaire pour eux. Ça rentre dans leur logique de croissance. Après, difficile de dire où iront les jeunes. Tous ne seront pas titulaires avec le PSG mais c'est important d'essayer. Ça t'aurait plu de jouer dans cette équipe ? Complètement. La question est : aurais-je eu ma place ? (rires). Franchement, je prenais la direction du banc direct. Mais avec la gnac que j'avais, pourquoi pas gratter une ou deux titularisations. Et puis jouer avec tous ces joueurs avec le maillot du PSG, c'est un rêve pour moi. Quels joueurs te font vibrer dans cette équipe ? Je ne vais pas être original en te disant Thiago Silva. Quand tu ne regardes que lui, tu te rends compte à quel point il voit tout avant tout le monde. Il anticipe en permanence. Alors oui, ça semble facile vu du canapé mais c'est énorme. C'est un monstre. Maxwell est assez fou aussi. C'est le seul latéral de France que je n'ai pas vu tacler une seule fois l'an dernier. Ça veut tout dire. Et puis y a Blaise Matuidi. Il joue à mon poste alors ça me fait plaisir. Le type sort d'une saison énorme. C'est impressionnant. J'espère qu'il va réussir à garder ce niveau de jeu. Le PSG de Laurent Blanc peut-il être plus fort que celui d'Ancelotti ? J'en suis persuadé. Est-ce que ça sera grâce à lui ? Pas forcément. Le groupe commence à se connaître, il y a un vécu, notamment du fait de la Ligue des champions. Les mecs se sont décomplexés. Ils ont pris conscience de leurs forces. Ils ont franchi un palier, notamment dans les tronches. Blanc ne devrait pas rester, même s'il gagne le championnat. Le PSG est devenu un club où les entraîneurs vont venir deux-trois saisons, gagner des titres, et partir. Le groupe est quasiment en auto-gestion, les mecs savent comment gérer les matchs. C'est un vrai collectif malgré tout. Alors 4-4-2 ou pas, c'est un détail du moment que toutes les zones sont occupées. Défensivement, ça s'est mis en place l'an dernier. Et quand t'as un mec comme Thiago Silva derrière, t'es serein. Tu y crois, toi, à Cristiano Ronaldo au PSG ? Il y a trois ans, je t'aurais dis que tu étais fou. Aujourd'hui, je serais même déçu que le PSG n'y arrive pas. Je reste persuadé que si les négociations avec le Real Madrid au sujet de Carlo Ancelotti ont pris autant de temps c'est à cause du Portugais. Le PSG ne fera rien cet été mais en 2014, ça partira. Pour moi, tout s'est joué au moment de Carlo. Que manque-t-il aujourd'hui à ce club ? Des associations de supporters. Quand tu vois le terrain, et que tu te souviens de l'ambiance qu'il y a pu avoir dans ce stade, cette magnifique caisse de résonance, tu ne peux qu'avoir des regrets. Avec des associations de supporters, un effectif comme celui-ci et la puissance financière que tu as, tu peux facilement t'inviter dans le top 5 européen. Propos recueillis par Mathieu Faure Source : Sofoot |
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11/08/2013 08:32
Message
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation « L’odeur me manque, les joueurs me manquent » L’ancien milieu offensif du PSG ne cache pas son ambition : retrouver les terrains en tant qu’entraîneur. DAVID GINOLA, sa femme et leurs deux enfants sont installés depuis 2009 à Londres, dans le quartier chic de South Kensington. « Et pas pour des mauvaises raisons (fiscales), assure-t-il. On est bien là-bas, les gens nous aiment bien et nous sourient. » L’été, ils le passent à Sainte-Maxime, où nous avons rencontré l’ancien milieu offensif international français (46 ans). Depuis sa retraite, en 2002, Ginola a touché à tout, le cinéma, le vin, il a fait de la téléréalité, il a été consultant pour Orange une partie de la saison passée et Christophe Dominici voulait même qu’il fasse du rugby. « Il me trouvait balaise, et un jour il avait appelé Max Guazzini (le président du Stade Français) en lui disant qu’il fallait me prendre, que ce serait un coup de pub énorme. Max lui a dit que c’était n’importe quoi mais dix minutes après il a rappelé : “C’est sérieux, ce truc de Ginola ? Ce ne serait peut-être pas une mauvaise idée…” Mais bon, je n’ai jamais joué au rugby de ma vie. » Ginola dit moins jouer au golf qu’avant et n’en parle presque plus, mais il parraine l’opération Balles blanches, un tournoi caritatif pour les enfants malades. Il adore le tennis et a gagné un tournoi Pro-Amdedouble, en 2011, associé à Björn Borg (« contre John McEnroe et le patron de Head, j’étais comme un dingue » , sourit-il). Il joue encore au foot, « surtout du foot à 7 » , et participe ici et là à des matches de bienfaisance. Mais son vrai job du moment, c’est d’être l’ambassadeur de la banque Barclays, pour laquelle il promeut la Barclays Premier League partout dans le monde, à travers des opérations associatives et commerciales. « Je rentre de douze jours en Asie, ce sont des fanatiques du Championnat d’Angleterre, un peu moins de la Ligue 1 » , dit-il. IL SUIT SA FORMATION… À CARDIFF Depuis onze ans, Ginola a tout fait… sauf travailler dans un club de foot. Et il nous a trop confié ses manques, au cours de ces trois heures à siroter quelques mauresques, pour qu’on ne l’ait pas entendu : il veut revenir. Il suit actuellement la formation d’entraîneur, à Cardiff, au pays de Galles, avec Patrick Vieira et les frères Ferdinand, notamment. « C’est plus près de chez moi et puis je ne me voyais pas revenir à Clairefontaine pour passer mes diplômes français. J’aurai bientôt la licence A de l’UEFA, qui me permettra d’entraîner en Premiership (D 2 anglaise) et j’espère passer la Pro Licence en 2014, pour pouvoir entraîner un jour en Premier League. » Le président de Gillingham (Ligue One, D 3) lui aurait récemment demandé de s’occuper de son équipe, mais « El Magnifico » a d’autres ambitions. Il parle beaucoup du Paris-Saint-Germain ( « mon club de coeur, évidemment » ) et a tenu à nous montrer une récente interview de Joan Laporta, sur Eurosport, dans laquelle l’ancien président du Barça disait : « Il manque au PSG une figure visible et connue dans le monde entier. Un type comme David Ginola, qui incarnait si bien l’élégance parisienne. » « L’autre jour, conclut Ginola, notre responsable de la formation d’entraîneur nous a dit : “Les gars, si vous êtes là, c’est que vous êtes prêts à repartir pour vingt ans d’hôtel, de bus et de mises au vert. Vous êtes sûrs d’être prêts ?” Et là, je me suis dit que oui. L’odeur me manque, les joueurs me manquent. » RÉGIS TESTELIN L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
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11/08/2013 15:54
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 478 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : Paris Membre no 101 Tribune : Non précisée |
Pour compléter l'article sur Ginola :
Citation Quiz
Quel est le joueur le plus fort que vous ayez côtoyé ? George Weah. Le joueur ou l'entraîneur perdu de vue que vous n'aimeriez jamais revoir ? Aucun, même pas Gérard Houllier. Ce n'est pas Houllier qui m'a le plus dérangé, c'est l'absence de solidarité. Aucun joueur n'a levé le petit doigt pour dire "Oh, les gars, David ne va quand même pas tout endosser tout seul." Le joueur le plus dingue que vous avez fréquenté ? Faustino Asprilla. On habitait à 200 mètres l'un de l'autre à Newcastle et, tous les soirs, il y avait cent personnes chez lui, des voitures sur la pelouse et des filles partout. Il m'appelait à minuit en me disant "David, viens m'aider à faire partir tout le monde". Je débarquais en pyjama. Quel est le joueur le plus marrant que vous avez rencontré ? Paul Gascoigne. A 9 heures du mat', il avait toujours une histoire incroyable à raconter qui lui était arrivée. Il mettait tout le monde de bonne humeur, un clown. Et le moins marrant ? Paul Le Guen. Un mec super agréable mais pas un boute-en-train. La plus grosse engueulade à laquelle vous avez assisté dans un vestiaire ? Après une défaite 4-2 de Newcastle à Liverpool, en 1995. Kevin Keegan nous avait mis minables les uns après les autres dans le vestiaire. On ne pouvait plus l'arrêter. La décision d'entraîneur que vous n'avez jamais comprise ? Quand Artur Jorge a laissé Weah sur le banc, lors de notre demi-finale retour (de C2, en 1994) à Arsenal (1-1, à Paris ; 0-1, à Highbury). Quand il nous a annoncé l'équipe, on s'est tous regardés en se demandant pourquoi. L'anecdote que vous n'avez jamais osé raconter ? Ce qui ne se racontait pas il y a quinze ans ne peut toujours pas se raconter... Le joueur actuel qui vous ressemble le plus ? Gareth Bale ou Cristiano Ronaldo pour leur style de jeu. Mais ils marquent beaucoup plus que moi. L'entraîneur que vous redoutiez le plus ? George Graham, à Tottenham. Il avait un a priori sur moi, il ne me sentait pas. Mais, à chaque fois que je devais prouver à quelqu'un qu'il se trompait, j'étais bon. Et c'est la saison où j'ai été élu meilleur joueur d'Angleterre (1999). |
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14/08/2013 10:01
Message
#808
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 26,559 Inscrit : 11/12/2008 Membre no 13 Tribune : Canapé |
Citation Ronaldinho se fait refaire les dents Dans un entretien récent au mensuel So Foot, Ronaldinho expliquait qu'il n'avait pas voulu faire de chirurgie esthétique dentaire parce que cela faisait partie de lui et que cela le rendait reconnaissable. Le milieu international brésilien de l'Atlético Mineiro a changé d'avis. Mardi, l'ancien Parisien a été opéré : des facettes en porcelaine ont été posées et sa gencive a été redessinée. Sa nouvelle dentition sera scrutée ce mercredi soir lors du match de la 14e journée de Championnat contre Bahia (coup d'envoi à 00h30, jeudi, heure française). lequipe.fr |
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22/08/2013 13:11
Message
#809
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Leonardo vient plaider sa cause à Paris L’ex-directeur sportif du PSG se présente aujourd’hui devant le CNOSF qui doit examiner la sanction de quatorze mois infligée par la FFF. Non, ce n’est pas une plaisanterie. Leo est bien de retour. Cinq semaines après avoir quitté le PSG et mis un terme à ses fonctions de directeur sportif, le Brésilien est arrivé hier à Paris. Pas pour négocier un spectaculaire come-back mais pour tenter de clore l’affaire du coup d’épaule donné à M. Castro, l’arbitre du match PSG - Valenciennes, le 5 mai dernier. L’ancien dirigeant parisien est en effet attendu aujourd’hui au siège du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), dans le XIIIe arrondissement de la capitale. A sa demande, la chambre des conciliations examinera la sanction prise par la commission supérieure d’appel de la Fédération française de football (FFF). Début juillet, l’instance fédérale lui a infligé quatorze mois de suspension (jusqu’au 30 juin 2014) de toutes fonctions officielles dans le monde du football et a assorti sa sanction d’une demande d’extension au monde entier. Détail savoureux, il n’a pas le droit pendant cette période de prendre une licence de joueur amateur en France. Le dernier fil qui le relie à la France A ce jour, la Fifa n’a toujours pas rendu d’avis sur la demande d’extension internationale formulée par la FFF mais la menace est réelle pour Leonardo. Sur le point de reprendre du service en Italie, très probablement à l’Inter Milan, dans un rôle encore à définir, il souhaite se débarrasser au plus vite de cette épée de Damoclès. Leonardo, accompagné de deux avocats, présentera au conciliateur nommé par le CNOSF un mémoire dans lequel il défend l’idée d’une sanction « manifestement disproportionnée ». Selon certaines indiscrétions, un argument juridique de taille pourrait être soulevé par ses conseillers. L’audience ne devrait durer qu’une heure, deux au maximum. A l’issue des débats entre la partie requérante (Leonardo) et la partie adverse (FFF), deux scénarios sont possibles. 1. Un accord est trouvé, la sanction est allégée et le volet international de la sanction est supprimé. 2. Aucun accord n’est trouvé et le conciliateur émettra alors, dans les prochains jours, un avis que les deux parties pourront accepter ou pas dans un délai d’un mois. S’il n’obtient pas satisfaction, Leonardo pourrait ensuite se tourner vers le tribunal administratif de Paris. Cette histoire est le dernier fil qui le relie encore à la France. Pour le reste, il est désormais entièrement tourné vers sa nouvelle vie italienne. Leo, 43 ans, se marie le 7 septembre prochain à Lecco, au nord de Milan, avec Anna Billo, présentatrice de télévision. La liste des invités donnera quelques renseignements sur les attaches qu’il a conservées au PSG. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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23/08/2013 06:28
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#810
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Leonardo, le coup du vice Présent à une conciliation, hier, devant le CNOSF, l’ex-directeur sportif du PSG a avancé un vice de forme pour tenter d’obtenir une annulation de sa suspension jusqu’au 30 juin 2014. LEONARDO était de retour à Paris, hier, un peu plus de cinq semaines après avoir quitté ses fonctions de directeur sportif. Un passage devant le CNOSF à l’issue duquel il a évoqué ses deux années comme dirigeant parisien : « Ces deux ans sont la période la plus importante de ma vie. (…) C’était court et intense. J’ai toujours voulu revenir au PSG, je ne regrette rien. J’y aurai vécu des émotions incroyables. » Et d’évoquer « une transformation totale en peu de temps, et c’est pour ça qu’il y a eu des choses bien faites et d’autres mal faites ». Suspendu de banc de touche, de vestiaire d’arbitres et de toute fonction officielle par la commission d’appel de la FFF jusqu’au 30 juin 2014, « Leo » avait déposé un recours devant le CNOSF pour tenter d’obtenir une annulation, ou du moins une atténuation, de cette sanction consécutive à un coup d’épaule sur Alexandre Castro, l’arbitre de PSG-Valenciennes (1-1, le 5 mai). À l’issue d’une réunion de deux heures, les deux conciliateurs désignés par le CNOSF ont annoncé à leurs interlocuteurs qu’ils remettraient leur proposition d’ici à la fin de la semaine prochaine. Pendant ce laps de temps, la suspension de Leonardo est provisoirement levée, même si l’intéressé n’entend pas en profiter pour s’engager dans un nouveau club, notamment l’Inter Milan, où il reste pressenti. Dans l’environnement proche du club parisien, on relevait, hier soir, un argument développé par Mes Christophe Bertrand et Paul Mauriac, les avocats de Leonardo : le Brésilien n’étant pas licencié auprès de la FFF lors de son passage comme dirigeant du PSG (2011-2013), la Fédération n’avait pas le droit de le suspendre. Du côté de l’instance, qui avait envoyé un mémoire au CNOSF pour maintenir sa position, on semble balayer cet axe de défense, qui n’avait d’ailleurs jamais été soulevé par le PSG ou Leonardo, ni le 30 mai devant la commission de discipline de la LFP, ni le 3 juillet devant la FFF. Pour la Fédération, « Leo » disposait d’une licence de dirigeant auprès de LFP – une licence « acteur » –, ce qui autorisait les instances à le sanctionner pour les faits qui lui sont reprochés. Si la proposition de conciliation ne satisfaisait pas Leonardo, le Brésilien n’exclurait pas de saisir le tribunal administratif pour tenter d’obtenir en référé la levée de sa sanction. Quant à la FIFA, elle attend visiblement l’issue de la procédure française avant de se positionner sur l’extension demandée par la FFF, le mois dernier. JÉRÔME TOUBOUL (AVEC A. C.) L'Equipe Citation « Le PSG est toujours en moi » Leonardo, le retour. Cinq semaines après son départ du PSG, l’ex-directeur sportif a retrouvé la capitale hier à l’occasion d’une conciliation devant le Comité national olympique du sport français (CNOSF). Début juillet, il a été suspendu quatorze mois de toutes fonctions officielles par la Fédération française de football pour un coup d’épaule donné à M. Castro, l’arbitre du match PSG - Valenciennes. Aujourd’hui, Leonardo est encore sous la menace d’une extension de cette sanction au monde entier. A commencer par l’Italie, où il souhaite relancer sa carrière de dirigeant, probablement à l’Inter Milan. Bronzé et visiblement plus détendu qu’en fin de saison dernière, le Brésilien s’est exprimé pendant une dizaine de minutes. L’occasion d’évoquer son affaire et de reparler de son passage au PSG. Quel bilan faites-vous de votre audience devant le conciliateur du CNOSF ? Il n’a pas été possible de mener une conciliation parce que la Fédération française de football n’était pas là (NDLR : contactée, la FFF répond que les personnes susceptibles de la représenter n’étaient pas disponibles en cette période de congés estivaux). Je me suis exprimé librement, j’ai raconté ce que j’ai vécu, et nous avons aussi regardé les faits. De nouveaux éléments ont été mis en avant (voir ci-contre). Ils vont peut-être changer la donne. Qu’attendez-vous de cette conciliation ? Fondamentalement, c’est une question de principe. Moi je n’ai pas fait exprès (NDLR : de donner un coup d’épaule à M. Castro), ce n’était pas volontaire. Je continue donc à me défendre en suivant ce schéma. Qu’est-ce qui vous ennuie le plus dans la sanction décidée par la commission supérieure d’appel de la FFF ? Est-ce la demande d’extension mondiale ? L’extension mondiale fait partie de ce dossier. C’est l’une des choses qui comptent. Pour la suite, le fait que la FFF n’ait pas été présente nous oblige à considérer la saisie du tribunal administratif comme une possibilité. Mais, avant cela, nous attendons l’avis du comité olympique. Que retenez-vous de votre passage au PSG ? Contrairement à ce qui a été dit, le PSG a toujours été pour moi une passion… Pendant ces deux années, j’ai connu des émotions très fortes, des sentiments intenses. Une transformation totale du club a eu lieu en un temps très court. Beaucoup de choses ont été faites. Certaines bien, d’autres mal. Avez-vous regardé les matchs du PSG depuis le début de la saison ? Mais comment voulez-vous que je ne regarde pas les matchs du PSG ? C’est impossible. Je rêve au PSG, je pense toujours au PSG, je parle toujours avec des gens du club. Le PSG est toujours en moi. L’équipe est fantastique. Commencer avec deux nuls, ce n’est pas grave. En plus, l’équipe n’a pas mal joué. Laurent (Blanc) va avoir le temps de s’organiser, et le talent des joueurs va s’exprimer. Votre avenir s’écrit-il désormais à l’Inter Milan ? Avec l’Inter Milan, rien n’est défini. Je ne sais pas de quoi l’avenir sera fait. Mais les six mois passés là-bas (NDLR : comme entraîneur en 2011), c’est vrai, ont beaucoup compté pour moi. Un retour au PSG est-il possible dans quelques années ? (Il rigole.) Franchement, impossible à dire. Je ne fais pas de programme sur le long terme. Citation Leonardo n’avait pas de licence L’argument juridique soulevé hier par les avocats de Leonardo pourrait faire l’effet d’un coup de massue. D’après des sources institutionnelles proches du dossier, l’ancien directeur sportif du PSG ne disposait d’aucune licence officielle de dirigeant depuis son arrivée à Paris en juillet 2011. Ce « détail » avait jusqu’à présent échappé à tous les acteurs du dossier. Ses conseillers s’en sont aperçus et ont visiblement décidé de s’en servir. Ils ont défendu l’idée qu’en tant que non-licencié, Leonardo ne peut être soumis aux procédures disciplinaires instruites par la Ligue de football professionnel ou la FFF. Si cet argument est entendu par les conciliateurs du CNOSF, une annulation pure et simple de la sanction est envisageable. Dans son mémoire, la FFF oppose à cet argument un statut très flou « d’acteur public » qui rendrait Leonardo responsable, malgré tout, de ses actes devant les instances disciplinaires sportives. Le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
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27/08/2013 13:54
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#811
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Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,287 Inscrit : 18/11/2009 Membre no 1,316 Tribune : Viré du stade |
Citation (Boursier.com) -- C'est officiel, Sébastien Bazin a été nommé président directeur général d'Accor par le conseil d'administration de la société réuni ce matin. Le communiqué diffusé par le groupe hôtelier précise que l'intéressé a mis fin à tous ses mandats chez Colony Capital Europe, qu'il dirigeait depuis 1997.
Philippe Citerne, qui devient vice-président, a souligné que le conseil "a considéré Sébastien Bazin comme le meilleur choix pour le Groupe Accor parmi l'ensemble des candidatures de grande qualité considérées", en mettant en avant son "excellente connaissance" du groupe, son expérience de l'industrie hôtelière et une "vraie culture internationale". Les co-fondateurs Gérard Pélisson et Paul Dubrule ont apporté leur soutien à cette nomination. En revanche, Yann Caillère, directeur général jusque-là, va quitter le groupe. "La bonne nouvelle de cette annonce est de clore une phase d'incertitudes", souligne le bureau d'études CM-CIC Securities, qui voit quand même quelques bémols à intégrer, au premier rang desquels le fait que l'accélération, nécessaire, vers le numérique, ne produira ses effets que sur le moyen terme. A plus brève échéance, l'analyste estime qu'il existe un risque de déstabilisation en interne, notamment parmi les franchisés, et qu'il subsiste "la crainte d'une lecture par le marché que Colony soit en train de chercher une porte de sortie pour sa participation". |
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28/08/2013 23:03
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#812
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 11,442 Inscrit : 10/01/2009 Lieu : Montmartre Membre no 208 Tribune : Viré du stade |
Citation D’après Sky Sports, Stéphane Sessegnon a été appréhendé en conduite en état d’ivresse. Une nouvelle qui devrait faire plaisir à son coach Paulo Di Canio qui a récemment imposé un code strict de conduite au sein des Black Cats. De lourdes sanctions sont donc à prévoir pour l’ancien joueur du PSG, que ce soit par la justice mais aussi par son club. FM -------------------- C’est bien là tout le fond du problème. En voulant trop s’ouvrir à un nouveau type de public, Paris en a peut-être oublié l’essentiel : à quoi bon gagner sans ferveur ? Arracher l’étiquette « Violence » qui collait au club est sans doute une nécessité, mais donner dans l’excès inverse n’est sûrement pas la seule voie à suivre. Parce qu’une quête de rédemption ne passe pas nécessairement par la vente de son âme, le PSG doit vite trouver un juste milieu s’il ne veut pas jouer tous ses matchs à domicile sur terrain neutre...
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04/09/2013 06:40
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#813
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Sakho a «atteint tous ses objectifs» avec Paris Au lendemain de l'officalisation de son transfert à Liverpool, Mamadou Sakho a tenu à remercier mardi les supporters parisiens pour leurs nombreux messages de sympathie. Sur son site officiel, le défenseur formé au PSG, nommé capitaine à l'âge de seulement 17 ans, a aussi justifié son choix de carrière. «J’ai atteint tous les objectifs que je m’étais fixés avec mon club de coeur et je suis très fier d’avoir partagé tous ces bons moments avec vous, a-t-il indiqué. C’est une nouvelle aventure qui s’offre à moi (...). Quoi qu'il arrive, le sang de Paris coulera toujours dans mes veines...» L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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06/09/2013 06:14
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#814
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation « Je pars la tête haute » MAMADOU SAKHO, le nouveau défenseur de Liverpool, revient sur la manière dont s’est achevée son histoire avec le PSG. Une semaine après s’être engagé pour quatre saisons avec Liverpool – et un transfert de 19 M€ (plus 4 de bonus) – puis avoir découvert en spectateur le stade d’Anfield, dimanche, à l’occasion de la réception de Manchester United (1-0), Mamadou Sakho (23 ans) s’exprime pour la première fois sur les conditions de son départ du PSG. Il s’imaginait sans doute rester encore un peu dans son club formateur, y remporter quelques titres supplémentaires, mais pas dans un rôle de remplaçant qui l’aurait privé d’une éventuelle Coupe du monde. Son histoire s’écrit désormais en Angleterre, dans un club fantastique où il ne pense plus qu’à progresser encore. « Pour la première fois de votre carrière, vous allez porter un emblème qui n’est pas celui du PSG. Quelle impression cela fait-il ? – Disons que c’est… ( Il cherche ses mots.) C’est différent. Mais voilà, il faut penser à autre chose. J’ai accompli beaucoup de choses avec Paris dont je suis très fier et je pars la tête haute. J’espère maintenant que la relève sera opérationnelle pour suivre le chemin que des joueurs formés au club ont tracé. On est les représentants du centre de formation. Avant, on disait qu’aucun joueur n’en sortait. On a prouvé le contraire. Avec le nouveau projet du club, on dit toujours que ce sera difficile pour les jeunes de s’imposer et grandir. Mais ils doivent y croire. Quitter le PSG cet été était-il votre désir premier ? – Mon désir premier, c’est de continuer à progresser puis d’atteindre les objectifs que je me suis fixés depuis le début de ma carrière. C’est ma carrière qui m’a dicté ce choix-là. Je l’assume sans regret. Aujourd’hui, j’arrive dans un super club, avec un public fantastique. Quand vous disiez, lors de la tournée du PSG en Suède, en juillet, que votre décision était prise, pensiez-vous déjà à un départ ? – Je m’étais entretenu avec mes dirigeants, le coach et le président. Des choses ont été dites mais elles n’ont pas forcément été suivies d’effet. Voilà. Mais je n’ai aucun problème, je n’éprouve aucune amertume. C’est comme ça. On sent tout de même une pointe de regret… – Pas du tout. Je suis très fier d’avoir signé à Liverpool. De la même manière que je pars avec fièrté du PSG, avec un titre de champion (2013), une Coupe de France (2010) et une Coupe de la Ligue (2008) en poche. « À LIVERPOOL, VOUS CROYEZ QU’IL N’Y AURA PAS DE CONCURRENCE ? » Estimez-vous avoir eu votre chance cette saison ? – (Il rigole.) Sur le temps de jeu, non, on ne peut pas dire ça (voir chiffre). Vous savez, il y a des choses qui se passent dans un club dont je ne parlerai pas. Je dis juste, contrairement à ce que j’ai pu entendre, que la concurrence ne m’a jamais fait peur. Moi, j’ai grandi dans le combat. À Liverpool, vous croyez qu’il n’y aura pas de concurrence à mon poste? Avez-vous eu le sentiment d’être un peu viré de chez vous ? – Encore une fois, pas du tout. Partir a été mon choix. Je ne suis pas poussé vers la sortie. Dans quelle mesure votre non convocation en équipe de France, pour le déplacement en Belgique a-telle pesé dans votre décision ? – Je prends mes décisions en fonction de mes convictions et de mes choix de carrière. Laurent Blanc disait lui-même, à l’époque où il était sélectionneur – et il me l’a confirmé –, qu’un joueur devait faire ses choix par rapport à l’équipe nationale. C’est ce qui m’arrive. Cela fait quatre ans que je suis en équipe de France et la seule fois où je n’ai pas été retenu, c’est pendant l’Euro 2012. Je l’ai encore en travers de la gorge mais ça m’a fait grandir. Je voulais juste que ça ne se reproduise pas... Auriez-vous pu patienter jusqu’en janvier ? – J’ai voulu rendre au PSG ce qu’il m’avait apporté. Partir en janvier (à six mois de la fin de son contrat) aurait été dommage pour les deux camps. Bien sûr, j’aurais pu faire le jackpot financièrement, mais ce n’était pas mon choix. Je voulais que le club s’y retrouve aussi. « LE PARC RECONNAÎT LES VRAIS PARISIENS » Nasser al-Khelaïfi, le président du PSG, ne voulait pourtant pas vous laisser partir. – Non. Mais c’est quelqu’un de compréhensif. Il a vu mes états d’âme. Pour le bien-être de tous, il a su lâcher la corde. Plusieurs clubs s’intéressaient à vous. Pourquoi Liverpool ? – Parce que la Premier League est le meilleur Championnat du monde. C’était le club qui meproposait le projet qui me correspondait le mieux. Les dirigeants ont su me convaincre. Quelles sont vos premières impressions, en tant que spectateur, sur Anfield ? – Ça m’a confirmé que j’avais fait le bon choix. C’est un public fantastique, une très belle équipe. Les chants des spectateurs sont beaux même si, pour le moment, je ne comprends pas encore l’anglais (il se marre). Il y a une meilleure ambiance à Anfield qu’au Parc ? – Ce n’est pas comparable. Le Parc, c’est mon berceau. Je tiens d’ailleurs à remercier le public pour l’ovation qu’il m’a donnée, samedi dernier, alors que j’étais à Liverpool en train de signer mon contrat. De toute façon, je sais qu’il reconnaît les vrais Parisiens. » L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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11/09/2013 14:26
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#815
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![]() Insurgé du 9 janvier ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 23,060 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 348 Tribune : Boulogne |
Citation Liverpool : Molby déplore l'arrivée de Sakho Le Danois Jan Molby, ancien milieu défensif de Liverpool, ne comprend pas pourquoi les Reds ont recruté Mamadou Sakho. Jan Molby, ancien milieu de terrain des Reds, a beau chercher, il n’arrive pas à saisir l’intérêt de Liverpool en recrutant Mamadou Sakho. Un besoin à ce poste ? « Quand vous attaquez la saison avec trois matchs sans prendre de but, c’est un peu surprenant de voir débarquer deux défenseurs centraux le dernier jour du Mercato. » La notoriété de Sakho, jeune international français qui présente déjà 14 sélections ? « Avec tout le respect que je lui dois, quand il est arrivé, il n’y a pas eu la queue devant le magasin du club pour acheter des maillots floqués à son nom. Une recrue de poids, c’est quelqu’un qui vous fait bondir de votre siège, comme peuvent le faire Mesut Ozil (Arsenal), Willian (Chelsea) ou Henrik Mkhitaryan (Dortmund). » Tout pour s’imposer en Premier League Et même les débuts précoces de Sakho chez les professionnels (ndlr : il a porté à plusieurs reprises le brassard de capitaine du PSG à seulement 17 ans) ne parviendront pas à convaincre Molby, définitivement déçu. En attendant malgré tout de voir… « Il y a quelque chose qui ne va pas quand vous voyez où il en était à l’âge de 17 ans. Mais il n’a encore que 23 ans et s’il parvient à retrouver la forme de ses débuts… Il est grand, costaud et rapide, soit tous les critères pour réussir en Premier League. » Il ne reste plus à Mamadou Sakho qu’à faire mentir le Danois. Foot 365 -------------------- Président du fan club de Véro
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17/09/2013 09:44
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Sakho titulaire Transféré en provenance du Paris-SG pour 19 millions d’euros le 1er septembre dernier, Mamadou Sakho va effectuer ses grands débuts sous le maillot de Liverpool. Le défenseur international français a été titularisé par Brendan Rodgers pour le déplacement des Reds à Swansea (21h00). Il sera associé à Skrtel en charnière centrale. Citation Ancelotti : «Là, je n'ai pas compris» Dans un entretien accordé à notre journal, mardi, Carlo Ancelotti revient sur les raisons qui l'ont conduit à quitter le Paris-SG à la fin de l'exercice 2012-2013. Pour son premier entretien à un média français depuis son départ du Paris-SG en juin, Carlo Ancelotti a choisi L’Équipe. L’entraîneur italien revient mardi sur les raisons qui l’ont poussé à quitter le club de la capitale, qu’il avait conduit la saison dernière à son premier titre de champion de France depuis 1994 et à un quart de finale de la Ligue des champions (éliminé par le FC Barcelone, 2-2, 1-1). «C’est après la défaite à Reims (0-1, le 2 mars) que j’ai pris ma décision, glisse le Mister. Là, je n’ai pas compris. On était leader du Championnat avec deux points d’avance, on avait gagné à Valence (2-1, le 12 février 2012, en huitièmes de finale aller de la C1) et pourtant…» Et Ancelotti de poursuivre : «Tout le monde a pensé que j’étais parti parce que j’avais le Real Madrid. Ce n’est pas vrai. J’ai pris cette décision, je ne sais pas si elle était bonne, mais c’était devenu trop compliqué au PSG.» Alors qu’Edinson Cavani a été recruté cet été pour 64 M€ par le club parisien, le technicien imagine son association avec Zlatan Ibrahimovic : «Si Cavani marque plus (qu’Ibra), ça signifiera que le PSG sera champion, parce qu’Ibra va en marquer, des buts ! Mais Ibra n’a pas de problème pour donner de bons ballons. C’est un joueur collectif, tout le monde ne l’a pas compris.» Citation Ancelotti : «Je n'ai pas senti la confiance» Dans un entretien accordé à notre journal, mardi, Carlo Ancelotti revient sur les raisons qui l'ont conduit à quitter le Paris-SG à la fin de l'exercice 2012-2013. Pour son premier entretien à un média français depuis son départ du Paris-SG en juin, Carlo Ancelotti a choisi L’Équipe. L’entraîneur italien (54 ans) revient mardi sur les raisons qui l’ont poussé à quitter le club de la capitale, qu’il avait conduit la saison dernière à son premier titre de champion de France depuis 1994 et à un quart de finale de la Ligue des champions (éliminé par le FC Barcelone, 2-2, 1-1). «C’est après la défaite à Reims (0-1, le 2 mars) que j’ai pris ma décision, glisse le Mister. Là, je n’ai pas compris. On était leader du Championnat avec deux points d’avance, on avait gagné à Valence (2-1, le 12 février 2012, en huitièmes de finale aller de la C1) et pourtant … » Et Ancelotti de poursuivre : « C’est vrai qu’on a très mal joué. Mais je pensais qu’après les trois bons mois qu’on venait de faire, j’aurais un petit peu de tranquillité. Là, je n’ai pas senti la confiance. Dès le lendemain, j’ai dit à Leonardo (alors directeur sportif) que je n’entraînerais plus le PSG à l’issue de la saison. » « La première fois que je suis allé à Bernabeu pour la présentation, je suis allé dans la salle du club et j'ai vu les neufs C1 : ça te met un grosse pression ! » Le technicien italien affirme que son choix n’est pas lié à l’intérêt du Real Madrid : « Tout le monde a pensé que j’étais parti parce que j’avais le Real Madrid. Ce n’est pas vrai. J’ai pris cette décision, je ne sais pas si elle était bonne, mais c’était devenu trop compliqué au PSG. » Ancelotti évoque la découverte de son nouveau club et mesure les attentes qui pèsent sur lui. « Quand tu arrives à Bernabeu, tu vois toutes les photos : Di Stefano, Ronaldo, Santillana… Cela te donne plus de responsabilités, de motivation. La première fois que je suis allé à Bernabeu pour la présentation, je suis allé dans la salle du club et j’ai vu les neufs C1 : ça te met un grosse pression ! » Questionné sur l’arrivée à Madrid du Gallois Gareth Bale pour près de 100 M€, l’entraîneur y voit un renfort de poids. « Je ne sais pas combien le club a payé mais c’est comme ça. Le plus important, c’est que le club ait acheté un très grand joueur qui peut l’aider à gagner des titres. Ronaldo aime jouer à gauche, Bale à droite, comme lors de sa dernière année à Tottenham, et Benzema en pointe, avec Isco derrière lui. Il n’y a aucun problème pour aligner ces quatre-là. » Enfin, l’entraîneur donne son avis sur la venue d’Edinson Cavani à Paris. Et pense que son association avec Zlatan Ibrahimovic est prometteuse. « Si Cavani marque plus (qu’Ibra), ça signifiera que le PSG sera champion, parce qu’Ibra va en marquer, des buts. Mais Ibra n’a pas de problème pour donner de bons ballons. C’est un joueur collectif, tout le monde ne l’a pas compris. » L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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24/09/2013 09:59
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#817
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Ancelotti a payé pour venir Le président du Real Madrid, Florentino Perez, a révélé que Carlo Ancelotti avait payé plus de trois millions d'euros de sa poche pour venir. Dans un entretien à la Cadena Ser, Florentino Perez s'est exprimé pendant près d'une heure et est revenu sur les dossiers qui ont fait l'actualité du Real Madrid ces dernières semaines. Mais ce qui fait parler, ce sont ses révélations sur la venue de Carlo Ancelotti. Le président madrilène a révélé que le club «a payé sept millions (pour le faire venir). Ancelotti a payé la moitié et nous l'autre.» Toujours au rayon des transferts, Perez a reconnu que le Real avait versé «30 millions d'euros» à la Real Sociedad pour Illarramendi et non 40 comme «certains ont déclaré.» Enfin en réponse aux déclarations de Tata Martino, l'entraîneur de Barcelone, qui avait déclaré que le montant pour Bale était «un manque de respect pour le reste du monde en général», le président du Real Madrid a déclaré : «Tata Martino est nouveau, il ne sait rien du prix qu'il évoque. Il ne sait ni comment fonctionne le football, ni Barcelone.» lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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02/10/2013 14:01
Message
#818
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![]() Fantasy lawyer ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 8,017 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 139 Tribune : G rouge |
Citation L'ancien préparateur physique du PSG Raphaël Fèvre «n'a jamais eu la sensation d’être avec des stars» FOOTBALL – Il est à la recherche d’un emploi… De 2009 à 2012, il a été le préparateur physique principal du PSG. D’Antoine Kombouaré à Carlo Ancelotti, Raphaël Fèvre a vécu de l’intérieur la mutation du club. Sans emploi après un passage à Brest et dans l’équipe nationale d’Oman la saison dernière, le préparateur physique participait cette semaine à un stage de l’Union nationale des entraîneurs et cadres techniques professionnels du football (Unecatef). L’occasion d’évoquer sa situation et de revenir sur son expérience au sein du club parisien, déjà fréquenté entre 1999 et 2005. Comment vivez-vous votre période de chômage? Ce n’est jamais simple. Je me suis positionné sur ce stage car je ne voulais pas rester à me morfondre chez moi. Se retrouver avec d’autres techniciens me permet de me dire que je dois rester concentré et continuer de progresser pour retrouver du boulot. Pour l’instant, je ne le vis pas mal mais plus le temps va avancer, plus ça va devenir délicat. J’aime la vie de groupe, m’occuper des joueurs et développer des relations avec eux. Je suis heureux avec ma famille mais j’en ai besoin. Tu te dis que cette période d’arrêt va permettre de te remettre en question mais finalement, le manque est trop important. Revenons à votre passage au PSG. Quand les investisseurs qataris sont arrivés, aviez-vous conscience d’être menacé? On a très vite senti que la pression n’était pas la même. L’attente, surtout vis-à-vis d’Antoine Kombouaré, était différente. On sentait que la saison allait être compliquée mais on essayait de l’occulter. Antoine protège énormément son staff des aspects extérieurs. Tous les petits couacs qu’il pouvait y avoir, il ne nous en parlait pas. Comment avez-vous vécu son départ? Il nous a annoncé qu’il partait le midi avant le match contre Saint-Etienne (en décembre 2011). Finalement, on gagne, on est leaders à la trêve et je me dis qu’il va peut-être pouvoir rester. Mais au moment de monter dans le bus après le match, je vois Leonardo prendre Antoine par le bras et je me dis qu’on n’aura pas cette chance-là. Pensiez-vous être également débarqué lors de la trêve hivernale? Oui, je commençais à chercher ailleurs. Finalement, Leonardo me convoque et me dit «tu dois voir Carlo Ancelotti et Giovanni Mauri (le préparateur physique et ami de Carlo Ancelotti). Je les vois, j’appelle Antoine et je lui dis que je pense partir. «Non, reste bosser avec Carlo Ancelotti, ça sera une très bonne expérience pour toi», me dit-il. Comment s’est passée la cohabitation avec Giovanni Mauri, le nouveau préparateur physique principal? Les rapports étaient compliqués. A la fin, je ne faisais que poser et enlever les coupelles à l’entraînement. C’est une histoire de personnes, son attitude ne me plaisait pas et je lui ai clairement fait comprendre. Il n’avait pas vraiment de méthode. Devant, les joueurs, je n’ai rien montré. Quand ils me disaient que Mauri faisait n’importe quoi, je le défendais. Il avait un problème avec les Français, il avait cette image de joueurs fainéants. A la fin de la saison, Carlo Ancelotti me propose de rester une année supplémentaire. Je lui ai dit que je souhaitais avoir un vrai rôle et il m’a fait comprendre que ça serait compliqué. On en est donc restés là. Quel souvenir gardez-vous de cette période? Rien de négatif. Le PSG reste mon club, je suis Parisien d’origine. J’ai vécu une expérience magnifique avec Carlo Ancelotti. En-dehors d’être un très bon entraîneur, c’est humainement l’une des personnes les plus fortes que j’ai rencontrées. Il est formidable avec les gens, du petit mec qui lui amène ses papiers au président du club. Même avec le recul, je souhaiterais revivre cette expérience. Comment étaient les rapports entre les joueurs lors de cette saison? Il y avait une petite coupure, qui n’existe plus maintenant, entre les Français et les étrangers. L’année suivante, Ancelotti a réussi à créer un vrai groupe et à mélanger tout le monde. La scission n’était pas exacerbée. Les Français faisaient des soirées, invitaient les étrangers mais ces derniers ne venaient pas. Les débuts ont été compliqués. Certains joueurs étrangers arrivés en cours de saison comme Alex ou Thiago Motta avaient-ils des exigences particulières? Je n’ai jamais eu la sensation d’être avec des stars. Ils n’ont jamais fait sentir qu’ils venaient de tels ou tels clubs, qu’ils avaient tel ou tel palmarès… L’image que le public peut avoir des joueurs n’est pas forcément celle que l’on a à l’intérieur. Ils sont venus avec beaucoup de simplicité. Etes-vous resté en contacts avec certains joueurs? J’ai des relations particulières avec certains joueurs comme Mamadou Sakho que j’ai connu très jeune. Cet été, avant son départ à Liverpool, on a échangé par texto. Avec les autres, on ne s’appelle pas régulièrement mais on a toujours plaisir à se recroiser sur les terrains. Quand le PSG est venu à Brest la saison dernière, tous les joueurs sont venus me voir et ont eu un petit mot gentil. Où souhaiteriez-vous travailler maintenant? Je n’accepterai pas n’importe quoi. Je veux un vrai projet, une structure qui a envie de progresser. Si c’est en France, ça serait parfait mais je n’aurai aucun souci à partir travailler à l’étranger. Je suis ouvert à tout. 20minutes.fr http://www.20minutes.fr/sport/football/123...ion-detre-stars -------------------- Monarch Bowl IV & V champion
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03/10/2013 10:47
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#819
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,516 Inscrit : 05/03/2010 Lieu : Paris Membre no 1,554 Tribune : Non précisée |
Citation Hechter : «La mémoire du PSG n'existe plus» Dans "Daniel par Hechter", une autobiographie publiée mercredi (éditions Pygmalion), l'ancien président du PSG (de 1973 à janvier 1978) revient sur l'affaire de la double billetterie, qui l'obligea à quitter son poste. Il se réjouit aussi de l'investissement du Qatar au PSG, mais déplore une certaine distance du club avec son passé. «Daniel Hechter, comment en êtes-vous venu à soupçonner Philippe Séguin d’avoir vous destituer du PSG ? Dans cette affaire, tout n’était pas très clair. Quelques mois après ma radiation par les instances, Maurice Szafran, journaliste au Matin de Paris, m’appelle pour me dire qu’il a une histoire à me raconter. Il s’agit de celle d’Alain Rosen, qui était en fait un espion nazi intorduit dans la Résistance pendant la Guerre. Cette fois, il s’infiltrait dans le PSG, d’abord via l’ancien joueur Philippe Redon. De son côté, Philippe Séguin m’a poussé à l’embaucher au club en me disant qu’on était débordé parce qu’on était que cinq pour s’occuper de tout. Quand j’ai demandé à Séguin d’où sortait Rosen, il m’a répondu que ce type était très bien vu au RPR et qu’il pouvait nous rendre des services. Mais je découvrirai à quel point il a pris tout le contrôle de la billetterie. Il y avait quand même des choses bizarres comme ce jour d’un match contre Saint-Etienne où il m’annonce 36 000 places vendues alors que le Parc, qui peut accueillir 45 000 spectateurs, était plein… Peu après, je décide de licencier Rosen. Il y a alors des pressions sur les membres du comité directeur du PSG, comme Francis Borelli et Bernard Brochand, qui finissent par me dire : "Attends avant de le virer, on n’a pas de preuves…" Mais, moi, cela faisait trois fois de suite qu’il mentait sur le nombre de places vendues et je ne garde pas un type en qui je n’ai pas confiance. Je le vire en octobre 1977. Deux mois plus tard, je pars en vacances en Guadeloupe. Je lis alors dans France Soir qu’on parle d’une caisse noire au PSG. Cette caisse noire existait, c’est vrai. Il nous fallait sortir environ 30 000 francs par mois (l’équivalent de 20 000€ en 2013) pour des compléments de salaire en liquide à verser à quatre ou cinq joueurs, dont le salaire était limité à 12 000 francs mensuels (6 750 € actuels) par les instances. En ne déclarant pas la vente de quelques centaines de places par match, on parvenait à dégager cet argent. C’était d’autant plus facile que les finances des clubs n’étaient alors pas contrôlées. En plus, cette combine m’avait été soufflée par des dirigeants d’autres clubs, dont ceux de Reims. A l’époque, comment s’alimentaient ces caisses noires très répandues en France ? Par exemple en ne déclarant pas les recettes des matches amicaux, comme on le faisait avec le Tournoi de Paris. Quel impact a eu cette affaire sur votre vie ? Une très grande frustration doublée d’un sentiment d’injustice. Quand je me suis retrouvé dans une confrontation avec Rosen devant le juge d’instruction, je le vois encore se lever et me dire, presque au garde-à-vous : « M. Hechter, j’ai beaucoup de respect pour vous, mais j’avais une mission et je l’ai remplie… » A l’époque, je n’avais pas tous les éléments donc je ne comprenais pas bien ce que Rosen entendait par « mission ». Toute cette affaire a été montée d’une façon assez machiavélique. Pour vous, aucun doute, il s’agit d’une machination politique orchestrée à l’époque par le RPR pour récupérer le contrôle du PSG ? Attention, Philippe Séguin ne s’est pas vengé. De quoi se serait-il vengé ? La vérité, c’est que cet homme avait déjà fait du lobbying pour tenter de récupérer, après Jean Sadoul, la présidence du Groupement professionnel (l’ancêtre de la LFP). Sadoul s’en était aperçu et Séguin avait échoué. Le premier avait la main sur les présidents du club ; le second était un fonctionnaire de la Cour des comptes qui leur faisait peur. Séguin voulait un poste dans le football pour asseoir une ambition politique, lui qui cherchait une circonscription pour se faire élire député. Alors, en 1977, alors que Jacques Chirac vient d’être élu maire de Paris, il va imaginer de monter un grand club omnisports à Paris, qui fusionnerait le PSG, le Racing, le Stade Français et le CA Montreuil. Il se voyait présider la société d’économie mixte qui servirait de cadre juridique à ce club, et il pensait se faire rémunérer pour cette fonction. Personnellement, vous étiez donc prêt à accepter que le PSG fusionne notamment avec le Racing ? Oui. Monter un grand club omnisports comme le Real Madrid ou le Barça, l’idée me plaisait. C’est un peu ce que les Qatariens sont en train de faire, d’ailleurs. Lors de cette réunion, j’étais le seul d’accord avec ce projet. Les autres présidents ont exprimé leur désaccord, surtout celui du président du Racing, qui représentait ses 16 000 membres, mais Jacques Chirac passe outre et conclut la réunion en disant : "Eh bien puisque tout le monde est d’accord, demandons à Philippe Séguin de monter une société d’économie mixte"! «Daniel Hechter, sans un précédent livre, "Le Football business", publié en 1979, vous étiez très piquant envers Francis Borelli, qui vous avait succédé à la présidence du PSG. Vous l’êtes beaucoup moins dans votre autobiographie. L’amertume s’est dissipée ? Le temps permet toujours de relativiser les choses. J’ai toujours dit que le PSG, c’était l’histoire de quatre copains qui partaient en week-end à Deauville. J’étais le conducteur. Je me faisais prendre à 190 km/h et on me retirait le permis. J’aurais pu alors imaginer passer à l’arrière pendant qu’un autre prenait le volant. Là, que s’est-il passé ? Borelli s’est empressé de prendre le volant et m’a laissé au bord de la route. Et puis, bon, il arrive un âge où on n’a plus beaucoup d’espoir dans la race humaine. Mais c’est encore plus vrai de nos jours. Quelque part, le football est un peu de la politique. J’ai vu des gens, dans le football, se comporter comme des politiques. Sans foi ni loi. En politique, si vous voulez réussir, il faut à un moment "tuer" quatre ou cinq de ses "frères". A deux reprises, en 2003 puis en 2006, vous sembliez en mesure de pouvoir revenir au club. Pourquoi cela ne s’est-il jamais concrétisé ? Je sais surtout pourquoi les choses ont échoué la première fois. Un peu plus tôt, à cette époque, après m’être occupé en Suisse de l’Etoile de Carouge, j’avais tenté de reprendre le Servette de Genève, le club de la ville où je réside, alors détenu par Canal+. Gilbert Sau, un agent de joueurs à la réputation controversée, me dit : « M. Hechter, il y a un problème, Canal ne veut pas vous vendre le Servette. » C’était étonnant parce que Canal avait besoin de vendre le club dans les huit jours pour ne pas se retrouver face au règlement de l’UEFA, qui interdit à deux clubs détenus par un même actionnaire de participer en même temps à la Coupe d’Europe. Canal a alors proposé à Michel Coencas de reprendre le Servette. Pourquoi n’ont-ils pas voulu me le vendre ? On peut tout supposer. Et que supposez-vous le plus ? Je connais le milieu du foot. Je sais ce qu’il s’est passé à une certaine époque au PSG, notamment sur les transferts. Il s’est dit aussi des choses sur le Servette mais je n’en ai pas la preuve, alors je n’en parlerai pas. Vous savez, quand vous plongez votre nez dans les comptes d’un club, vous vous apercevez rapidement des éléments troublants, comme des commissions d’agents surmultipliées. Daniel Hechter, Vous n’avez jamais eu peur de perdre de l’argent dans le football ? Pour moi, on peut gagner de l’argent dans le football. Pourquoi ? Parce que c’est le seul métier au monde où vous connaissez approximativement votre chiffre d’affaires le premier jour de l’année. Entre les droits TV, les recettes stades estimées et le sponsoring, vous avez grosso modo votre budget. Donc si vous avez 100 M€ de revenus, il suffit de dépenser 90 M€ et de garder 10 M€ comme bénéfices. Il y a dix ans, dans une lettre au Monde, vous vous demandiez où était passée l’âme du PSG. Vous posez-vous toujours la question aujourd’hui ? La débauche d’argent dans le football est irréversible. Ce sport est devenu une sorte de jeu auquel prennent part une trentaine de milliardaires dans le monde, qu’ils soient du Moyen-Orient, d’Angleterre, de Russie, des Etats-Unis… La surenchère devient ainsi inévitable. Les sommes dans le football sont scandaleuses, des salaires sont indécents, mais on ne peut rien y faire, c’est comme ça. D’un autre côté, on a des millions de gosses qui rêvent grâce au foot. Et ça, c’est beau. On ne peut pas tout avoir. Ce que fait le Qatar au PSG, je trouve ça formidable pour les gosses parisiens. Et un gosse qui pense au foot, c’est un gosse qui ne va pas penser à se droguer ou à aller faire un casse. Le problème, avec les Qatariens, c’est que la mémoire du club n’existe plus depuis qu’ils ont pris le club (en juin 2011). Récemment, ce qui m’a le plus choqué, c’est la débaptisation du Salon Just Fontaine au Parc des Princes. Parce que "Justo" n’est pas seulement l’ancien entraîneur du PSG, celui de la montée en D1 en 1974. Il est aussi un symbole du football français. Le changement du maillot me fait mal également. Quand on voit le maillot que j’avais dessiné à l’époque… Dessiner un maillot, c’est un métier. Ce ne sont pas les stylistes de sixième ordre de Nike qui savent faire ce genre de choses. Pourquoi n’avez-vous pas de relations avec l’actuelle direction du club ? J’ai profité de la sortie de mon livre pour passer un coup de fil à Jean-Claude Blanc (le directeur général du PSG). Je lui ai dit : "Votre président (Nasser al-Khelaïfi) ne me connaît pas et je pense que c’est une erreur ." Je n’ai aucune ambition mais moi qui connais bien Paris et le football parisien, j’estime pouvoir être de bon conseil de temps à autre. J’ai proposé à Jean-Claude Blanc de les inviter à déjeuner. Je pense que eux auraient pu faire cette démarche avant, mais bon… C’est vrai qu’ils ont déjà organisé un repas avec les anciens présidents. Mais je n’y suis pas allé. Je n’ai rien à voir avec certains de mes successeurs…» Jérôme Touboul Lequipe.fr |
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06/10/2013 08:45
Message
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Leonardo : "Je voulais Mourinho" Dans un long entretien au JDD ce dimanche, l’ancien directeur sportif du PSG raconte les coulisses de la succession d’Ancelotti. Extraits. Leonardo révèle que Laurent Blanc faisait bien partie de la "short-list". Discret depuis son départ du PSG à la mi-juillet, Leonardo a choisi le JDD pour se confier longuement. L’ancien directeur sportif, qui se rendra mardi au tribunal administratif de Paris pour tenter de faire annuler la suspension de 14 mois infligée par la Fédération française, raconte notamment les coulisses de la succession de Carlo Ancelotti. Le Brésilien confirme qu’il serait devenu l’entraîneur de l’équipe s’il n’y avait pas été suspendu. "Je n’ai rien demandé. C’est Nasser qui m’a demandé de prendre le poste. Si on m’offre quelque chose, je prends. Et le PSG est tellement ancré en moi que je ferais n’importe quoi." C’est alors engagé un feuilleton qui a duré un mois. "Blanc n’était pas le dixième choix" Leonardo avait un favori : "Moi, je voulais José Mourinho. Mais il était presque engagé avec Chelsea. Après, on a étudié d’autres solutions mais ma suspension a compliqué les choses. C’était difficile de demander à quelqu’un de venir alors que j’étais moi-même sur le départ. On n’a pas appelé dix mille entraîneurs. Et, contrairement à ce qui a été dit, Laurent Blanc n’était pas le dixième choix. Il était libre et faisait partie de notre short-list. Laurent, c’est un mélange entre la culture française et une très grande expérience internationale. Il est très intelligent et utilise de la meilleure manière les joueurs dont il dispose. Je suis très content de son travail." Le JDD.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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