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02/05/2013 19:41
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#781
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 14,758 Inscrit : 18/05/2009 Lieu : 92 Membre no 992 Tribune : Non précisée |
Citation (maxifoot.fr) PSG : Nenê - "Paris gagnera la Champions League" (02/05/2013)
Cédé au club qatari d'Al Gharafa cet hiver, Nenê n'a jamais exprimé de rancune à l'égard du PSG, dont il a porté les couleurs deux ans et demi durant. Dans un entretien accordé au site émirati Sport360, le Brésilien se montre même très enthousiaste à l'évocation du club de la capitale. "Ce n'est qu'une question de temps avant que le PSG n'arrive au sommet du football européen, au côté d'équipes comme Barcelone, le Real et Manchester. Je suis sûr que les meilleures années sont pour bientôt et que dans un ou deux ans, Paris gagnera la Ligue des Champions. Mais je suis partial, je suis un fan !" Nenê souligne par ailleurs le rôle important, dans la progression du club, de l'entraîneur Carlo Ancelotti, dont le départ semble de plus en plus probable... |
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09/05/2013 13:22
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#782
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 23,824 Inscrit : 19/01/2009 Membre no 630 Tribune : Canapé |
Citation Divers : Fiorèse ouvre un glacier
RMC Sport L’ancien joueur du PSG et de Marseille, Fabrice Fiorèse (37 ans), vient d’ouvrir un glacier à Annecy. Quatre ans après avoir arrêté sa carrière, l’attaquant également passé par Guingamp ou Troyes quitte donc le milieu du football après un dernier passage en tant que dirigeant à Saint-Tropez. « Au début, je pensais vivre une retraite paisible mais j’ai fini par tourner en rond et ça énervait ma femme, explique-t-il dans le Dauphiné. Je me suis toujours investi à fond dans ma tâche. Je suis issu d’un milieu populaire et j’aime le travail bien fait dans le respect de ceux qui m’entourent. » |
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12/05/2013 23:50
Message
#783
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![]() Warren tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 41,838 Inscrit : 13/07/2009 Lieu : Plaisir (78) Membre no 1,152 Tribune : Non précisée |
Parce que ça mérite la revue de presse -------------------- "I’m a Catholic whore, currently enjoying congress out of wedlock with my black Jewish boyfriend who works at a military abortion clinic. Hail Satan, and have a lovely afternoon madam."
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14/05/2013 10:14
Message
#784
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Vincent Guérin : « Surtout une libération » Vincent Guérin est un amoureux du Paris Saint-Germain. Pas étonnant puisqu'il a vécu l'une des périodes les plus fastes du club, entre 1992 et 1998, et remporté le deuxième titre de champion de France du PSG en 1994. Avant-hier, il était présent au stade Gerland pour assister à la victoire des hommes de Carlo Ancelotti contre Lyon (1-0) et à ce troisième sacre de l'histoire du club. L'occasion pour nous de revenir avec lui sur ce succès tant attendu par la plupart des supporters parisiens. Un 3e titre pour le PSG, c'est quelque chose de grand pour un ancien de la maison, non ? Oui, c'est le titre tant convoité par tous les joueurs, celui qui consacre la constance. Le PSG a été l'équipe la plus forte et la plus constante cette saison. Je pense que c'est logique et mérité. Vous avez versé une larme ? Non ! Mais j'étais au match à Lyon, ça a été un bon match, avec une belle entame de la part des Lyonnais. Mais après, le PSG a commencé à reprendre le dessus, à avoir la mainmise sur le jeu. Les Lyonnais ont fini par reculer. Le Paris Saint-Germain était mieux armé mentalement. De toute manière, on savait que le titre, ça serait contre Lyon, ou dans une semaine au Parc face à Brest. L'émotion a été palpable au coup de sifflet final, ça a été une libération pour les joueurs, mais surtout un aboutissement. Comment avez-vous trouvé l'ambiance au sein du groupe à la fin de la rencontre ? Je ne suis pas resté très très longtemps dans le stade... Mais il y a eu beaucoup de joueurs qui ont explosé de joie. On est évidemment très contents de ce titre. Mais je pense que ce fut surtout une libération pour le staff et les joueurs. Malgré ce qu'on a pu lire en début de saison dans la presse, ce titre n'a pas été simple à décrocher, vous attendiez-vous à ce que ce soit aussi dur ? Ce n'est jamais évident de conquérir le titre de champion. Il n'y a que dans les médias que l'on trouve que c'est facile ! Un championnat, c'est très long. Il y a des blessures, des suspensions, des choses qui font que, en fin de compte, ça ne va pas toujours comme on le souhaiterait. Ce n'est jamais facile, même s'ils étaient donnés favoris - ce qui est normal - en début de saison. Ce n'est vraiment pas évident. Au contraire, on est attendu par tout le monde, c'est encore plus difficile. Ce titre a-t-il la même saveur que ceux de 86 et de 94 ? Je pense que oui. Après, c'est l'évolution du football en elle-même qui est différente. Mais au sein du groupe et auprès des supporters, je pense qu'il a une saveur toute particulière. Après, je ne suis pas à l'intérieur du groupe qui est champion aujourd'hui (rires), tout comme je n'étais pas dans celui de 86, mais cela reste toujours des faits marquants dans la carrière d'un joueur. Les victoires et les titres fédèrent. C'est donc très positif pour l'avenir du Paris Saint-Germain. Les Français ne semblent pas très emballés par ce champion. Vous arrivez à comprendre cela ? Ouais, c'est pas sûr... Le PSG a fait une très belle saison, ils sont champions, ils sont sortis des deux coupes nationales aux tirs au but, contre le Barça ils sortent sur deux matchs nuls... Je pense de toute manière que les coupes européennes fédèrent l'amour envers un club. Ce sont les exploits européens qui font que l'amour d'un club grandit. Maintenant au niveau national, c'est un peu plus délicat c'est vrai. Il y a une grande ferveur autour des clubs de province où l'on est anti-Parisiens la plupart du temps. Paris est vu comme étant l'endroit du pouvoir, c'est normal. Moi, j'ai joué dans des clubs de province (Brest Armorique, Montpellier, ndlr) et je peux vous assurer que le match de l'année, c'était toujours contre le PSG. Quels souvenirs gardez-vous de votre titre de 1994 au Parc ? Ah ben c'était quelque chose ! Il y avait vraiment une osmose entre le stade et les joueurs. Mais je pense que ça allait de pair avec la santé du foot français de l'époque. Il était en haut de l'affiche à ce moment-là, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui vu le classement FIFA de notre équipe nationale... Les clubs étaient en verve aussi, on avait des clubs qui allaient loin dans les compétitions européennes. En plus, il y avait beaucoup de joueurs français au club à l'époque. Il y avait une vraie alchimie entre les supporters, les joueurs, le club, le staff ; une vraie proximité. Quel est l'avis des anciens sur ce nouveau Paris Saint-Germain version QSI ? C'est super ! On a (les médias, le public, ndlr) souvent critiqué Canal + à notre époque, jusqu'à ce qu'ils se désengagent, malheureusement. On a besoin d'actionnaires forts dans le football aujourd'hui, on le voit partout sur la planète foot, il faut des investisseurs. Là, il y en a un au PSG qui est puissant et ça ne peut être que bénéfique pour le football français. Après il y a souvent des querelles de clocher au niveau national, on le voit encore avec Monaco d'ailleurs, alors que le foot français a besoin de clubs forts. Il faut avoir des clubs forts. Ne serait-ce que pour redresser la barre quand on voit qu'aujourd'hui le Portugal est devant nous à l'indice UEFA... c'est complètement anormal. Désormais il va falloir s'attendre à souvent voir gagner le PSG ? Vous savez, dans le football, il n'y a pas de vérité. La seule vérité, c'est celle du terrain. Il faut être prêt à chaque match pour défendre son blason et donner le meilleur de soi. Et on l'a vu cette année, c'est toujours compliqué d'être champion et ce qui est le plus difficile encore, c'est de conserver cette supériorité. La plus grande difficulté, c'est de pouvoir durer dans le temps. Nous, on a eu la chance de le faire, eux sont au début d'une belle aventure. C'est très bien parti avec ce premier titre, mais rien n'est jamais acquis d'avance. Ce n'est qu'un éternel recommencement. Un club a besoin de stabilité pour progresser. Pensez-vous que cela va beaucoup bouger cet été au club ? Non, je ne pense pas. QSI veut bâtir un projet à long terme. Je pense que Carlo Ancelotti va rester. Ah oui ? Oui, il y a des raisons de le penser en tout cas. Il a été au début du projet après Antoine Kombouaré. Les perspectives qui lui sont offertes sont très intéressantes pour l'avenir. En plus, il a l'adhésion des joueurs. Il a réussi à construire une bonne base de travail avec un effectif intéressant. Après, au niveau des joueurs, je ne suis pas à la place des dirigeants. Mais ils connaissent très bien leur sujet, ils ont construit de solides bases pour le futur. Après, il y aura certainement la venue de joueurs de très gros calibre, mais il faut essayer de garder cette stabilité. Il y aura sûrement quelques départs aussi, mais il ne faudrait pas qu'il y en ait trop. Propos recueillis par Aymeric Le Gall So Foot |
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29/05/2013 15:50
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#785
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![]() Keyloriste ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 47,632 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : 92 Membre no 112 Tribune : Non précisée |
Citation Fiorèse : «L’OM a flingué ma carrière» Publié le 29 mai 2013 Un jour, Fabrice Fiorèse sera peut-être plus célèbre pour ses glaces, domaine dans lequel il vient de se reconvertir du côté d’Annecy, que pour la haine qu’il a suscitée lors son transfert du PSG à l’OM à l’été 2004. Impossible de ne pas se souvenir des «Fiorèse, Fiorèse, on t’enc…» (entre autres amabilités) des supporters parisiens ou encore du cordon de CRS qui le protégeait à chacun de ses corners lors de son retour au Parc lors de la 13e journée de la saison 2004-2005 de Ligue 1. «Le calvaire de Fiorèse», avait d’ailleurs titré L’Equipe le lendemain. Ironie du sort : après deux saisons et demie passées dans la capitale, l’ancien milieu de terrain n’a pas seulement été pris en grippe par les supporters du PSG, mais aussi par ceux de l’OM, qui ne l’ont jamais adopté. Fiorèse a donc réussi l‘exploit de se faire détester par les deux camps. Retour avec lui sur cette période très «loose». «Fabrice Fiorèse, les premières images qui me reviennent quand je pense à toi, c’est ton retour au Parc des Princes et la haine des supporters à ton égard. Toi, quel(s) souvenir(s) en gardes-tu ? Psychologiquement, j’étais prêt à voir des choses invraisemblables, inimaginables. Mais à la base, ça me faisait plutôt rire, parce que je suis un peu provocateur. Une heure trente avant le match, le staff de l’OM m’avait dit de ne pas aller sur le terrain, mais je leur avais répondu : «Vous m’avez fait venir au club, je vais aller sur le terrain et faire comme d’habitude». Là, j’ai vite pris la température, mais je n’ai pas eu peur. Tu sais que tu es moins en danger sur le terrain qu’en dehors. Après, ce qui m’a étonné, c’est qu’un fameux latéral gauche qui est encore au PSG m’a mis un attentat devant la tribune présidentielle. Il a failli me péter la cheville alors qu’il n’avait rien à avoir dans ces histoires. Vraiment un petit con. Quand je vois que huit ans après, vu ce qu’il a apporté à ce club, il est toujours là, je me dis qu’il a vraiment dû… Pour certains, on devrait faire un test de QI. Il n’y a pas que les pieds qui comptent. Avec le recul, que t’inspirent les réactions que ton départ a suscitées ? Je me suis toujours dit : c’est hallucinant, c’est démesuré. Je suis toujours parti du principe que ce n’était que du sport… Avant le joueur qui tape dans un ballon, il y a l’humain aussi. Qu’il y ait une rivalité entre les deux clubs, je le comprends, mais que ça devienne à ce point de la haine…. En quittant le PSG pour l’OM dans les dernières heures du mercato alors que tu étais considéré comme le chouchou du Parc, tu n’avais pas imaginé que ça allait être très mal perçu ? Le problème, c’est qu’on a fait croire que c’était prémédité, alors que pas du tout. Dans l’intérêt du club, il valait mieux dire que Fiorèse partait comme un voleur. Vahid (Halilhodzic) a très bien joué le coup. On venait de prendre un point en trois matches. Ça l’a bien arrangé pendant 15 jours que les médias me tombent dessus. Si ce n’était pas prémédité, qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce choix ? Une semaine avant la fin du mercato, on s’est pris le bec. Comme les résultats n’étaient pas terribles, ça commençait à crier dans les chaumières (sic). Le club avait fait venir Rothen et Yepes, qui n’étaient que l’ombre d’eux-mêmes. Vahid ne les avait pas mis dans les meilleures conditions, or, au PSG, il faut être bon tout de suite. En tant que vice-capitaine, je suis allé lui parler pour lui dire de donner plus de lest, d’aider les nouveaux, mais il a pensé que je venais revendiquer des choses dans mon intérêt… Il s’est senti trahi, il est devenu parano, il a tout mélangé… «C’était un concours de circonstances» A l’époque, Frédéric Dehu, avec qui tu t’entendais très bien, s’était déjà engagé avec l’OM depuis quelques semaines. Tu peux comprendre que les gens y aient vu une coïncidence «un peu trop grosse» ? Mais à trois jours de la fin du mercato, je n’avais qu’un club sur moi : Sochaux. Guy Lacombe avait su que j’étais en froid avec Vahid, et il m’avait proposé de venir. José (Anigo), je ne l’ai eu que 48 heures avant la fin du mercato. Ils venaient d’en prendre trois à Metz. Ils jouaient en 3-5-2 et Lizarazu militait pour qu’ils jouent en 4-4-2. Ils avaient quelqu’un pour jouer à gauche, mais personne à droite… Et Frédéric Déhu ? Quel rôle a-t-il joué dans ta venue ? C’était un concours de circonstances. Fred, le pauvre, venait de perdre son papa. Je le considérais comme un grand frère, alors quand il est allé à l’enterrement de son papa, une semaine avant la fin du mercato, je lui ai dit de passer deux jours à la maison plutôt que d’aller à l’hôtel. Du coup, il a vécu en direct le clash avec Vahid. Et quand il est retourné à la Commanderie, c’est là qu’il a parlé de ma situation. «Quand 60 000 personnes te sifflent dès que tu touches la balle alors que tu es censé être dans ton jardin (…) J’étais devenu un pestiféré» A l’arrivée, tu débarques à Marseille. Et là, rien ne se passe comme tu veux… Déjà, j’ai eu un handicap monstrueux, c’est que les supporters marseillais pensaient que j’étais parisien d’origine. L’autre handicap que j’ai eu, c’est que quelques mois avant, j’avais marqué à la dernière minute (1-0), un soir où sincèrement, on aurait dû en prendre 5. Ça avait été une joie extrême et j’avais fait un poing rageur. Vahid a joué avec ça. Dans ces déclarations, il l’a joué fine : comment peut-il aller dans un club alors qu’il a fait un bras d’honneur aux supporters marseillais quelques mois avant ? Et puis, j’ai pris plus de deux mois pour marquer un but, j’avais pris le numéro 11 de Drogba… Tout ça a fait que c’était invivable. Quand 60 000 personnes te sifflent dès que tu touches la balle alors que tu es censé être dans ton jardin, c’est impossible d’être performant. Le pire, c’est que ça a rejailli sur mes équipiers. Eux aussi, du coup, prenaient la bronca le temps que je leur redonne le ballon. Ça a mis toute l’équipe en difficulté. J’étais devenu un pestiféré. Au quotidien, comment l’as-tu vécu ? J’étais convaincu que je pouvais faire quelque chose, mais quand tu ne te sens pas bien, pas épaulé, tu es un peu comme un lion en cage. C’est : «Démerde toi ou crève». Au départ, je pensais que ça allait s’arranger, mais au bout de trois mois, j’ai compris. A la sortie de la Commanderie, j’allais pour signer des autographes et là, le petit groupe de supporters partait en me disant : «Va te faire enc… Tu crois qu’on en veux de ta signature ?» J’ai surtout essayé de protéger ma famille. Mon quotidien se résumait à : maison-Commanderie ; Commanderie-maison. L’OM a flingué ma carrière, mais je suis aussi responsable de mon choix. Je n’avais pas mesuré l’ampleur du truc.» Propos recueillis par Emery TAISNE (@EmeryTaisne) http://footloose.blogs.lequipe.fr/?p=230 |
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31/05/2013 11:08
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#786
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Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,287 Inscrit : 18/11/2009 Membre no 1,316 Tribune : Viré du stade |
Citation C’était le dossier prioritaire sur le bureau de Patrice Haddad, le président du Red Star. Il est désormais en passe de se régler au plus vite. Le nouvel entraîneur du club de Saint-Ouen devrait en effet être Laurent Fournier. Son nom, comme nous l’évoquions dès dimanche, était en tête de liste depuis le sauvetage miraculeux en National, vendredi soir. Son officialisation pourrait intervenir aujourd’hui ou demain. Fournier (48 ans) succéderait à Vincent Doukantie (36 ans), aux commandes depuis octobre 2011, qui s’est vu signifier après deux entretiens avec sa direction, lundi et mercredi, que sa mission à la tête de l’équipe de National ne sera pas prolongée. Sans surprise, tant le sort de l’ex-international malien semblait scellé avant même l’issue de la saison. Selon nos informations, Doukantie, qui dispose d’un contrat à durée indéterminée au club, se serait vu proposer la responsabilité des U19 (DSR). L’intéressé, en vacances pour dix jours, n’a pas souhaité commenter cette décision ni confirmer l’offre qui lui a été faite. Steve Marlet, son adjoint, ne sera pas reconduit non plus dans ses fonctions. Sa future mission reste, elle, à définir. Les dirigeants du Red Star travaillaient déjà depuis de longues semaines sur cette succession avec, toujours en tête, le projet Ligue 2 à l’horizon 2015. Et le nom de Fournier (sans club depuis son limogeage en mars 2012 d’Auxerre, L1) s’est très tôt dégagé. Avec Alain Roche sur le dossier du recrutement ? « C’est la piste la plus chaude… » a admis, hier, la direction du club. L’expérience du monde pro (SC Bastia, PSG) et la connaissance du contexte parisien (il a conduit Créteil à la 4e place du National en 2009) de l’ancien joueur du PSG colle parfaitement au portrait-robot défini par Patrice Haddad. Ce dernier, sollicité récemment par Hubert Velud (ex-coach du PFC et de Créteil, sacré champion d’Algérie ce mois-ci avec Sétif), espère boucler le dossier ce week-end afin d’aborder, dès le début de semaine prochaine, le volet des reconductions de contrats et du recrutement. Selon l’un de ses proches, Fournier — qui avait refusé au dernier moment de venir au chevet du Paris FC en décembre dernier — aurait décidé de répondre favorablement à la cour assidue du Red Star. Les deux parties se seraient mises d’accord « sur l’essentiel ». L’ex-milieu défensif pourrait ne pas être le seul ancien du PSG à grossir les rangs audoniens. Certaines sources enverraient également Alain Roche (45 ans) du côté de Saint-Ouen pour prendre en charge la politique de recrutement, poste actuellement occupé par Fabrice Bertone. L’ex-défenseur international, injoignable hier, avait cette responsabilité au PSG entre 2006 et 2011. Il a quitté le club parisien en août 2012. leparisien.fr |
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04/06/2013 17:10
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#787
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![]() Concernant ? ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 4,219 Inscrit : 20/06/2009 Lieu : Val De Marne Membre no 1,089 Tribune : Viré du stade |
Citation LAURENT FOURNIER, NOUVEAU COACH PORTRAIT DU NOUVEL ENTRAÎNEUR AUDONIEN Les grands clubs n’ont pas de secret pour Laurent Fournier. Champion de France avec le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille, trois fois finalistes (une fois vainqueur) d’une Coupe d’Europe, unique joueur à avoir porté le maillot des cinq clubs français les plus populaires (Paris, Marseille, Lyon, Saint-Etienne, et Bordeaux), cet ancien milieu de terrain va découvrir au Red Star une autre équipe mythique. Fort d’une expérience d’entraîneur qui dure depuis dix ans, le nouveau coach sera assisté de Patrick Colleter. Portrait d’un duo ambitieux. Ils sont arrivés ensemble à Bauer ce matin. Comme les inséparables qu’ils ont souvent été. Grognards du PSG des grandes années, Laurent Fournier et Patrick Colleter vont se retrouver sur le banc du Red Star. Complémentaires sur le terrain (l’un droitier, l’autre gaucher), les deux hommes le sont aussi en dehors. L’un a une longue expérience de coach en chef, l’autre a été l’adjoint de Ricardo à Monaco et à Bordeaux. "Le choix de Patrick s’est fait naturellement, on a toujours été proche et animés du même état d’esprit. Il connait bien l’Ile-de-France et j’aime son tempérament combatif. C’était très important de pouvoir venir avec lui" confie d’emblée Laurent Fournier. Joueurs travailleurs et infatigables, les deux hommes n’ont jamais quitté le milieu du football. Entraîneur à tous les niveaux, du CFA (Pacy-sur-Eure, PSG [b] à la Ligue 1 (PSG, Auxerre, Bastia), en passant par la Ligue 2 (Nîmes), et le National (Créteil, Strasbourg), Laurent Fournier s’est forgé une connaissance pointue du football français et plus particulièrement de son troisième échelon : "Je n’ai jamais cessé de suivre ce championnat, que ce soit sur Internet grâce aux direct-vidéo ou au stade. Des équipes comme Reims ou Bastia que j’ai affrontées quand j’étais à Strasbourg ou Créteil sont aujourd’hui en Ligue 1, c’est la preuve que c’est une compétition relevée." . Une expertise qui se double de celle de la région parisienne, un vivier dont le nouveau coach entend bien se servir : "Il y a des jeunes prometteurs, des recalés de centre de formation très talentueux, ce sont des ressources qu’il faudra utiliser ici", continue le technicien. Sensible au projet audonien, Laurent Fournier a apprécié la ferveur de Bauer lors du match contre Fréjus-Saint Raphaël : "J’ai vu une belle rencontre dans une ambiance vraiment sympa. L’attitude des joueurs en deuxième mi-temps m’a plu, ils n’ont jamais renoncé. Il faudra conserver cette solidarité" raconte le Lyonnais d’origine forcément séduit et fier de prendre en main une équipe où sont passés "Combin, Di Nallo ou Baeza". "Pour moi c’est d’abord beaucoup de plaisir de venir ici et de retrouver le terrain." Ayant terminé deux fois au pied du podium en National (quatrième en 2010 et 2011), l’entraîneur vert et blanc se sent capable de franchir un cap : "J’ai énormément appris de ces parcours. Tout se joue dans les détails et je pense avoir progressé dans mon niveau d’exigence". Pour atteindre les objectifs de montée en Ligue 2, il se donne "deux ans" comme la durée de son contrat à Saint-Ouen et compte s’appuyer sur "certains joueurs du groupe actuel". "Retrouver le professionnalisme ailleurs qu’au PSG dans la région parisienne c’est possible. Il faut trouver un autre modèle car le Paris Saint-Germain, aujourd’hui, ce sont les étoiles.". Le Red Star, lui, n’en est qu’une… mais quelle étoile ! Redstar.fr -------------------- La Merguez Ca Rend Baleze ! La Chipo Ca Rend Costaud !
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18/06/2013 07:54
Message
#788
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation « Je peux vivre » ![]() RICARDO, victime en août 2011 d’un accident vasculaire cérébral en plein match alors qu’il entraînait le Vasco de Gama, est désormais directeur sportif du club. L’ancien défenseur brésilien du PSG parle de sa longue période de rééducation et de son espoir Sa poignée de main manque encore de fermeté et sa démarche est boitillante. Son sourire est parfois crispé, surtout quand on lui demande de prendre la pose, mais ses yeux sombres dégagent toujours cette petite lueur si particulière. Une lumière qui a bien failli s’éteindre, en août 2011, lorsque Ricardo, alors entraîneur du club brésilien du Vasco de Gama (Rio de Janeiro), a été victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) pendant le derby face au Flamengo. Après dix jours de coma et des mois de récupération, l’ancien défenseur du PSG (1991-1995) et de la Seleçao (1984-1994) est de nouveau debout. À quarante-huit ans, il a même repris le travail, il y a deux semaines, en tant que directeur sportif du Vasco, et envisage de retourner, un jour, sur un banc de touche. L’ancien entraîneur du PSG (1996-1998), de Bordeaux (2005-2007) et de Monaco (2007-2009) nous a reçus dans les couloirs du vieux stade de Sao Januario. « COMMENT ALLEZ-VOUS vingt-deux mois après votre accident survenu en plein match ? – Vingt-deux mois, vous êtes sûr ? (Il prend quelques secondes pour compter.) Ah, oui, vous avez raison. Comme j’ai envie que ça aille plus vite ! Mais je me sens bien, j’ai presque récupéré toutes mes facultés. J’ai encore un manque de sensibilité du côté droit, qui m’empêche de faire certains mouvements, comme boutonner une chemise ou plier une feuille de papier. (Il mime le geste.) J’ai aussi quelques difficultés à me déplacer. Mais, pour le reste, je peux conduire, je peux travailler, je peux vivre ! – Vous revenez de très loin… – Oui, j’ai vraiment failli mourir. Dans mon malheur, j’ai eu la chance que cet accident se produise en plein match. L’ambulance était à quelques mètres du banc de touche et j’ai été transporté à l’hôpital rapidement. Il se trouve aussi que, au même moment, le neurochirurgien arrivait à l’hôpital pour visiter un patient. Il m’a donc très rapidement pris en charge et m’a sauvé. En fait, trois heures après mon AVC, j’étais déjà en train de me faire opérer. – Et ensuite ? De quoi vous souvenez-vous ? – Je suis resté dix jours dans le coma à l’hôpital. Vingt jours après l’AVC, j’étais de retour à la maison, mais je n’étais pas en grande forme. (Sourire.) Ensuite, il a fallu quasiment tout reprendre à zéro. D’abord réussir à me lever du lit, puis réapprendre à marcher, à parler aussi. Au début, c’est le français et pas le portugais qui me venait. C’était très bizarre. Aujourd’hui, c’est l’inverse, je ne retrouve plus trop mon français. – C’est un miracle de vous retrouver aussi fringant après un accident aussi grave… – Je ne sais pas s’il s’agit d’un miracle. J’ai failli rester hémiplégique du côté droit. Je m’en sors très bien. Les chirurgiens m’ont dit que je redeviendrais comme avant au bout de trois ans. Quand je me sentirai à 100 %, je pourrai envisager de redevenir entraîneur. Pour l’instant, il n’en est pas question. – D’où vous vient cette force, cette résistance ? – Je ne suis supérieur à personne. Je veux récupérer à 100 % pour remercier tous les gens qui m’ont encouragé. Vous ne pouvez pas imaginer le nombre de messages, de cadeaux, de lettres que j’ai reçus pendant toute cette période. Ce sont ces gens qui m’ont donné la force de me battre et me poussent encore aujourd’hui. À côté de l’hôpital, il y a encore un graffiti géant que les supporters du Vasco ont peint pour moi. C’est quelque chose de magnifique, de touchant. – Pensez-vous que le stress lié à votre poste d’entraîneur a pu provoquer cet AVC ? – Non, pas du tout, cela n’a rien à voir avec le football. Juninho (l’ancien milieu de Lyon jouait alors au Vasco de Gama) m’a raconté qu’à la mi-temps du match où cela m’est arrivé j’étais super tranquille, je buvais un café en discutant avec lui… En fait, c’est plutôt héréditaire. Mon père est mort d’un AVC à quarante-quatre ans. C’est comme ça, c’est un défaut de fabrication. (Sourire.) – En quoi consiste votre nouveau rôle de directeur sportif ? – Je dois reconstruire une équipe ! Nous sommes dans une situation financière très difficile et nous avons été obligés de nous séparer de quatorze joueurs. C’est un moment compliqué, mais l’histoire du Vasco est au-dessus de tout ça. Et j’aime ce nouveau rôle, ça me convient très bien pour l’instant. – Même avec peu de moyens, pourriez-vous activer vos réseaux français et faire venir un joueur de L 1 ? – Pourquoi pas ? Malheureusement, au Vasco, nous n’avons pas de gros moyens. (Le plus haut salaire de l’équipe est de 55 000 euros brut par mois.) Mais, s’il y a un joueur que j’aimerais bien avoir, c’est Jérémy Menez. Lui, c’est mon chouchou. Quel talent ! Je sais qu’il ne fait pas l’unanimité, mais personne ne la fait. S’il veut changer de vie, il est le bienvenu ici. (Rire.) » l'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
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25/06/2013 10:16
Message
#789
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,534 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation Paul Le Guen approché En fin de contrat avec Oman, Paul Le Guen a été approché par le Gabon. Selon nos informations, un contrat de deux ans lui a été proposé. Cependant, Oman, avec lequel il a failli se qualifier pour la Coupe du monde 2014, et un club européen sont aussi sur les rangs. Le choix de l'ancien entraîneur de Lyon (2002-2005) ou du PSG (2007-2009) devrait être connu dans la semaine. Actuel sélectionneur des Panthères, Paulo Duarte devrait lui rester au Gabon, mais en tant que directeur technique national (DTN). léquipe.fr |
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26/06/2013 19:47
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![]() Keyloriste ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 47,632 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : 92 Membre no 112 Tribune : Non précisée |
Citation SYLVAIN ARMAND : « J'AI VÉCU ICI DES MOMENTS FORTS » Après neuf saisons passées dans la capitale, Sylvain Armand s'est engagé avec Rennes. Le défenseur est revenu pour PSG.FR sur son aventure parisienne. Sylvain, après neuf saisons passées au Paris Saint-Germain, tu quittes le club. La décision a-t-elle été difficile à prendre ? « Cela n'a pas été évident, car en neuf ans à Paris j'ai vécu des moments forts, intenses. On s'attache aux personnes et au club. Je voulais être Champion avec Paris. Maintenant que c'est fait, je souhaite terminer ma carrière en jouant plus régulièrement. » Ce titre de Champion conclut de la plus belle des manières ton histoire avec Paris... « C'est extraordinaire d'avoir pu ainsi participer à cette conquête du titre, d'autant plus que j'ai eu la chance de jouer assez souvent cette saison. J'ai presque tout gagné avec Paris : la Coupe de France, la Coupe de la Ligue et le championnat, sans compter les épopées européennes. J'ai le sentiment d'avoir bouclé la boucle, après deux dernières saisons exceptionnelles. Je tiens à remercier les dirigeants et le staff pour leur professionnalisme, le club a d'ailleurs facilité et rendu possible mon départ pour Rennes. » As-tu été touché par l'hommage rendu par les supporters lors de la remise du trophée au Parc des Princes ? « J'ai été très ému par cette ovation. Quand je suis arrivé à Paris il y a 9 ans, ce n'était pas gagné d'avance. J'ai toujours donné le maximum et je n'ai jamais triché. Les supporters m'ont toujours soutenu, notamment dans les moments difficiles et je ne l'oublierai pas. Aujourd'hui, je veux aussi les remercier pour tout cela. » Comment vois-tu l'avenir du Paris Saint-Germain ? « Je souhaite à Paris de remporter encore des titres car ce club le mérite. Avec l'arrivée de Laurent Blanc, qui a été Champion avec Bordeaux, et les grands joueurs que compte l'effectif, cela va marcher tout seul. Cela ne fait aucun doute. » PSG.fr |
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29/06/2013 13:28
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#791
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![]() Concernant ? ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 4,219 Inscrit : 20/06/2009 Lieu : Val De Marne Membre no 1,089 Tribune : Viré du stade |
Citation Jérôme Leroy sort de sa retraite et signe à Istres ! Jérôme Leroy, 38 printemps au compteur, qui avait pris sa retraite en décembre dernier, a décidé de renfiler short et crampons et s’est engagé pour une saison avec Istres (Ligue 2), annonce le club ce samedi. « Rattrapé par la passion du football, et séduit par le projet sportif du FCIOP, ce cadre d'expérience reconnu pour ses qualités footballistiques va venir renforcer l'effectif Istréen. Le club qui a pris l'habitude de relever des challenges, en lançant des jeunes, mais aussi en les encadrant par des joueurs ‘reconnus’, n'a donc pas hésité au moment où s'est présenté l'opportunité de signer un joueur de ce calibre », précise un communiqué. Leroy, près de 400 matches au compteur en Ligue 1, est passé par le PSG, l’OM, Sochaux, le Stade Rennais, où sa patte autant que son caractère bien trempé n’ont jamais laissés indifférent. RMC.FR -------------------- La Merguez Ca Rend Baleze ! La Chipo Ca Rend Costaud !
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30/06/2013 02:31
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Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 4,826 Inscrit : 02/07/2009 Membre no 1,127 Tribune : Non précisée |
Citation Michel Denisot vers Monaco L'Equipe.fr
Ancien président de Chateauroux et du PSG, Michel Denisot a de bonnes chances de rejoindre très vite l'AS Monaco. Le journaliste vedette a rencontré Dimitri Rybolovlev, le milliardaire russe propriétaire et président du club monégasque, pendant le dernier festival de Cannes. Au cours des discussions, il a été question d'un rôle de conseiller pour Denisot. Celui qui vient d'arrêter la présentation du Grand Journal, sur Canal+, et qui est directeur de la rédaction du nouveau mensuel "Vanity Fair" ne s'occuperait pas du domaine sportif, mais aurait un rôle institutionnel. Il pourrait notamment représenter le club auprès des institutions du football (Ligue et Fédération). Denisot et Rybolovlev sont convenus de se revoir dans les jours qui viennent pour tenter de finaliser les contours de leur collaboration. -------------------- Betteravier militant.
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02/07/2013 09:29
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#793
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,534 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation Rothen va quitter Bastia Après deux saisons passées à Bastia, Jérôme Rothen va quitter la Corse. En phase de réflexion depuis plusieurs jours, le joueur, qui arrive en fin de contrat dans un an, a annoncé lundi à ses dirigeants sa décision. Il devrait résilier son contrat dans les prochaines heures. lequipe.fr |
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06/07/2013 15:54
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#794
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![]() Grapoulartiste ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 14,040 Inscrit : 04/01/2009 Lieu : Montréal Membre no 80 Tribune : Canapé |
Citation Rothen retourne à Caen Jérôme Rothen va rejoindre le club qui l'a lancé en 1997. (L'Equipe) L’ancien joueur bastiais, Jérôme Rothen, va signer avec le Stade Malherbe de Caen, a indiqué le club normand samedi sur son site internet. C’est un retour aux sources pour le milieu de terrain de 35 ans qui été formé dans le club caennais. Il sera officiellement présenté en début de semaine prochaine, est-il précisé. La durée du contrat n’a pas été communiquée. L'équipe.fr -------------------- BSMPN crew. http://www.flickr.com/photos/grapoula
Champion Comunio Ligue 2 - 2014-2015 Mister Bouboule 2014-15 |
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09/07/2013 07:00
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#795
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Houllier : « Le PSG doit gagner et plaire » Depuis un an, Gérard Houllier, ex-sélectionneur des Bleus, ex-manageur de Liverpool, ex-entraîneur du PSG et de l’Olympique lyonnais, occupe une fonction sans équivalent sur la planète football. « Directeur sportif mondial » du projet lancé par la marque de boissons énergétiques Red Bull, il coordonne cinq structures réparties sur trois continents. Il nous a reçus la semaine dernière dans ses bureaux du IIe arrondissement de Paris. Au menu de l’entretien : sa nouvelle aventure, le PSG, l’équipe de France et son amour du football. En quoi consiste votre nouveau travail ? Gérard Houllier. J’ai été nommé par Dietrich Mateschitz (NDLR : PDG et fondateur de la marque Red Bull) pour assurer la liaison avec les cinq structures qui composent le projet : Salzbourg, en Autriche, Leipzig, en Allemagne, New York, une académie au Brésil et une autre au Ghana. Je dois fixer des challenges, donner la philosophie générale et m’occuper du recrutement. J’ai signé en juillet 2012 un contrat d’un an avec une année optionnelle. Comme cela se passe bien, je repars donc pour un an. Quelle est la finalité de ce projet ? Au début, je pensais que Red Bull faisait tout cela pour de la visibilité et du marketing. En fait, pas du tout. Mateschitz a racheté Salzbourg pour dépanner un copain. Leipzig, c’est un pari assez malin sur l’avenir. New York, c’est ce qui ressemble le plus à une opération marketing. Au Brésil, il s’agit d’une opération locale avec recherche de visibilité sur le marché brésilien. Donc, il s’agit bien d’un projet marketing… Non. Si c’était seulement cela, Red Bull aurait acheté un club européen en ayant pour but de l’amener le plus haut possible en Ligue des champions. Red Bull pourrait-il racheter un club français ? Je ne pense pas, cela ne correspond pas à la philosophie du projet pour l’instant. Quelle perception avez-vous du PSG version Qatar ? Je trouve cela formidable que les Qatariens aient autant investi. Ils achètent un club, se donnent les moyens et, dès la deuxième année, ils gagnent un titre et arrivent en quarts de finale de la Ligue des champions. Entre leurs intentions et leurs actes, il y a beaucoup de cohérence. Le départ d’Ancelotti et la difficulté à trouver son successeur peuvent-ils fragiliser durablement Paris ? Non. Ce qui compte, c’est d’avoir une bonne équipe. Les propriétaires du club ont beaucoup investi sur le marché des transferts. Ont-ils bien investi ? Il est encore trop tôt pour le dire. Que pensez-vous d’Edinson Cavani, dont l’arrivée au PSG serait imminente ? Avant de l’observer pendant la Coupe des Confédérations (NDLR : Cavani a participé à cette compétition en juin avec la sélection uruguayenne), je pensais que c’était juste une star qui restait devant. En fait, il travaille énormément pour son équipe. Il bosse comme un fou, à droite, à gauche… Quel est aujourd’hui le principal défi de Laurent Blanc ? Le PSG ne peut pas gagner n’importe comment. Le PSG doit gagner et plaire en assurant un spectacle de qualité. C’est indispensable. Pas forcément à chaque match, bien sûr, mais le plus souvent possible. En France, on n’aime pas trop cette idée. On pense peut-être que seul le résultat compte. Pourquoi le caractère spectaculaire du jeu est-il aussi important à vos yeux ? Tout simplement parce que le football de haut niveau est en concurrence avec d’autres sports, d’autres spectacles audiovisuels et d’autres loisirs. Aujourd’hui, si une équipe propose un football ennuyeux, elle finira par être délaissée par ses propres fans. Avant, ce n’était pas le cas. Quel regard portez-vous sur le joueur qui a marqué la saison passée du PSG, Zlatan Ibrahimovic ? Quand il veut jouer, il est le meilleur au monde. C’est un super joueur. Quand on a un joueur comme lui dans une équipe, c’est une très bonne chose. Quand on en a deux, en revanche… Vous rencontrez souvent des observateurs étrangers. Leur regard a-t-il changé sur le football français avec l’émergence du PSG et de Monaco ? A l’étranger, les gens restent fixés sur l’image laissée par l’équipe de France lors de la Coupe du monde 2010. Le football français, pour eux, c’est toujours Knysna. Quelles sont les raisons profondes de cette dégradation de l’image du football français ? L’une des erreurs du football français, c’est d’avoir fabriqué des bons joueurs de football, mais pas des bons joueurs d’équipes de football. Nous avons été très bons sur le plan de la formation technique mais pour le reste… Notre approche était individuelle et donc individualiste. Tout est parti du modèle de Clairefontaine. Mais les choses sont en train de changer. Le bon parcours et le bon état d’esprit des U20 qui jouent actuellement la Coupe du monde sont un bon signe. Quels sont les postes les plus importants dans une équipe de haut niveau ? Une grande équipe est déterminée par le talent de ses attaquants et de son gardien. Ensuite, les latéraux jouent un rôle de plus en plus important. Un défenseur latéral a du temps et de l’espace et peut donc créer des différences s’il dispose des qualités nécessaires. Le joueur qui est devant la défense a aussi une fonction primordiale. C’est Busquets avec la sélection espagnole, Gustavo au Brésil. Mais le plus important, c’est le gardien et l’avant-centre. Il y a de quoi être inquiet pour l’équipe de France alors… Non. Les Bleus peuvent compter sur un grand gardien, Lloris. Et Karim (Benzema) va enfin se retrouver seul à la pointe de l’attaque du Real avec le départ programmé d’Higuain. Cela ne peut qu’être positif pour sa confiance et donc pour son rendement en équipe de France. La sélection de Didier Deschamps va-t-elle se qualifier pour la Coupe du monde ? Elle aura beaucoup de mal à éviter les barrages. Après, c’est une histoire de chance et de réussite. En tout cas, il est vraiment important que les Bleus se qualifient pour le Mondial. Cette compétition donnera une formidable expérience à la jeune génération de joueurs en vue de l’Euro 2016 en France. Quel est le favori du Mondial 2014 ? Le Brésil, probablement. Cela dit, jamais une équipe qui a remporté la Coupe des Confédérations ne s’est imposée dans le Mondial. Mais s’ils sont capables de défendre encore un peu mieux, ils ont une main sur la coupe. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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11/07/2013 15:48
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 11,442 Inscrit : 10/01/2009 Lieu : Montmartre Membre no 208 Tribune : Viré du stade |
Citation Libre de tout contrat après son expérience de deux ans à l’Hapoël Tel Aviv, Apoula Edel veut revenir en France. L’ancien gardien du PSG (2007-2011) en a même fait une priorité. «J’aime la France, et ma femme est française», nous a-t-il confié. Et puis, il est habité d’un sentiment de revanche. «Il y a deux ans, je suis très mal parti. J’ai quitté Paris sur un échec car j’ai mal fini la saison», a-t-il ajouté. Alors qu’il avait été titulaire une bonne partie de la saison 2010-2011, il avait finalement perdu sa place au profit de Grégory Coupet, redevenu le numéro un. Le Camerounais vise un club de Ligue 1, même comme doublure, et est même prêt à accepter un bon projet en L2. «Je suis ouvert à tout. Mon objectif est vraiment de rebondir», a-t-il conclu. L'équipe.fr -------------------- C’est bien là tout le fond du problème. En voulant trop s’ouvrir à un nouveau type de public, Paris en a peut-être oublié l’essentiel : à quoi bon gagner sans ferveur ? Arracher l’étiquette « Violence » qui collait au club est sans doute une nécessité, mais donner dans l’excès inverse n’est sûrement pas la seule voie à suivre. Parce qu’une quête de rédemption ne passe pas nécessairement par la vente de son âme, le PSG doit vite trouver un juste milieu s’il ne veut pas jouer tous ses matchs à domicile sur terrain neutre...
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11/07/2013 20:53
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Hugo Leal à la retraite C'est tout un pan de l'histoire du PSG qui s'en va. Passé par le club parisien entre 2001 et 2004, le Portugais Hugo Leal a décidé de mettre un terme à sa carrière à 33 ans, après une saison difficile du côté d'Estoril (6 matchs de championnat seulement). Éternel espoir (une sélection avec les A), le Portugais avait débuté sa carrière à Benfica, avant de rejoindre l'Atlético Madrid, puis le PSG. Son passage mitigé dans la capitale l'a ensuite conduit à écumer les clubs (Porto, Coimbra, Braga, Belenenses, Trofense, Salamanque, Setúbal, Estoril), sans grand succès. Il s'en va avec un bilan de 18 buts en 354 matchs professionnels. Son élégance sur le terrain et son serre-tête dans les cheveux nous manquent déjà. So Foot |
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12/07/2013 15:21
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#798
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![]() Membre habitué Groupe : Banned Messages : 2,028 Inscrit : 06/05/2012 Membre no 8,445 Tribune : Canapé |
Citation (Edel @ 11/07/2013 21:53) Edel de retour en France ? «J’aime la France, et ma femme est française. Il y a deux ans, je suis très mal parti. J’ai quitté Paris sur un échec car j’ai mal fini la saison. Je suis ouvert à tout. Mon objectif est vraiment de rebondir » Le torchon -------------------- Fluctuat nec murgitude
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14/07/2013 14:49
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#799
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![]() Fluctuat Nec Mergitur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 36,537 Inscrit : 02/05/2010 Membre no 1,683 Tribune : Viré du stade |
Citation Yepes vers l'Atalanta Alors qu'un retour en Colombie avait été envisagé pour Mario Yepes, désormais sans club depuis la fin de son contrat avec l'AC Milan, Antonio Percassi, le président de l'Atalanta Bergame, a annoncé que le défenseur allait s'engager dans son club. Une confirmation des informations parues dans la presse transalpine ces derniers jours à propos de l'ancien Nantais et Parisien. L'arrivée du Colombien de 37 ans devrait être prochainement officialisée par le dernier quinzième de la Serie A. lequipe.fr |
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18/07/2013 10:11
Message
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Sankharé file à Guingamp Le milieu de terrain de Dijon (Ligue 2) Younousse Sankharé va s’engager pour trois ans avec l’En Avant Guingamp. L’ancien Parisien doit rejoindre les Côte d’Armor jeudi en fin de journée. Il devrait passer sa visite médicale vendredi, et s’engager avec le promu breton. Sankharé avait été prêté la saison dernière à Valenciennes, mais le club nordiste n’avait pas levé l’option d’achat. Après les départs de Jovial à Chengdu Blades (Chine, prêt avec option d’achat), Altama (Mouscron, D2 belge), Tchagouni et Courgnaud (fin de contrat), Sankharé est le cinquième joueur à quitter le DFCO cet été. L'Equipe.fr |
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