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05/09/2012 20:35
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#721
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![]() Le roi du poulet ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,091 Inscrit : 10/12/2008 Membre no 12 Tribune : Canapé |
Citation Olivier Dall’Oglio (Dijon FCO) : « Aucune nouvelle de Sankharé »
![]() L’entraîneur dijonnais fait le point sur le Mercato du DFCO. S’il comprend le désir de Ligue 1 de Benjamin Corgnet, transféré à Lorient, il regrette l’attitude de Younousse Sankharé, une nouvelle fois absent de l’entraînement mercredi matin. [...] Younousse Sankharé a également alimenté l’actualité du Mercato. Comment allez-vous gérer ce dossier ? Pour Younousse, c’est vite vu, je n’ai aucune nouvelle de lui ! Il n’était encore pas à l’entraînement ce mercredi matin. Il y avait un intérêt de Valenciennes (voir ici) mais ça n’a pas donné suite. On n’y peut rien, c’est la dure loi du football… Il peut encore partir en tant que joker. C’est une situation compliquée à gérer. C’est une situation bloquée. Il y aura des sanctions. Personnellement, je suis prêt à discuter avec lui. Mais j’ai un groupe qui bosse bien, et c’est ça ma priorité. [...] Source : http://www.gazetteinfo.fr/2012/09/05/olivi...jon-fco-aucune/ |
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09/09/2012 08:15
Message
#722
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Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,287 Inscrit : 18/11/2009 Membre no 1,316 Tribune : Viré du stade |
Citation Willy Grondin promu à Nantes 5/09 07h47 - Football, L2 Le FC Nantes a confirmé le départ du club de Fabrice Grange, jusque-là entraîneur des gardiens de but du club, et qui va succéder à Albert Rust à Saint-Etienne. Il est remplacé à son poste par Willy Grondin, ancien élément du club passé également par Valenciennes et le PSG pendant sa carrière de joueur. sport24 |
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09/09/2012 09:57
Message
#723
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Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 4,826 Inscrit : 02/07/2009 Membre no 1,127 Tribune : Non précisée |
Citation Boli : « Comme s'ils n'avaient jamais vu de blacks » Des transferts ratés, des essais aux quatre coins de l'Europe et une offre du Real. À 24 ans, Yannick Boli a déjà bien vécu. Lui le neveu de Roger et de Basile, lui l'ancien espoir du Paris Saint-Germain. Désormais à Bourgas, sur « la Côte d'Azur bulgare », au bord de la Mer Noire, le natif de Saint-Maur roule sa bosse avec son club du Chernomorets Burgas. Entretien. Tu viens de marquer ce week-end face au CSKA Sofia (1-1). Comment ça se passe pour toi ? Pour l'instant, tout se passe bien. Ça fait bientôt plus de six mois que je suis là-bas (il est arrivé à l'hiver 2012, ndlr). C'était un pari, car j'ai eu pas mal de rebondissements dans ma carrière ces derniers temps. Mais jusqu'ici, tout s'est bien passé. Comment t'es arrivé en Bulgarie ? J'étais sous contrat avec Nîmes. Un jour, j'ai eu un petit clash avec l'entraîneur (Thierry Froger, ndlr) et il m'a écarté du groupe. Le club est ensuite descendu en National à la fin de la saison (2010-2011) et les dirigeants ont résilié mon contrat. Comme j'avais plutôt mauvaise réputation en France, j'ai dû chercher ailleurs. J'ai fait plusieurs essais en Angleterre, notamment aux Queens Park Rangers. Je devais même signer avec eux, mais Neil Warnock s'est fait licencier au même moment et je me suis à nouveau retrouvé sans club. Je n'avais ni la possibilité d'aller en France, ni en Angleterre, ni en Italie, donc je me suis tourné vers les pays de l'Est. J'ai fait un essai au Chernomorets Burgas pendant quelques jours. Puis j'ai signé dans la foulée. Tu t'es adapté facilement ? Quand je suis arrivé, il y avait déjà deux Français dans le groupe, notamment Gaël N'Lundulu qui a joué au PSG. Du coup, c'était plus facile pour moi. En toute franchise, tu penses quoi du championnat bulgare ? Au départ, je pensais que la Bulgarie était un bourbier pour être franc. Mais j'ai été agréablement surpris par le niveau de certaines équipes. Au premier abord, on se dit que c'est un championnat assez faible. Mais il y a de très bons joueurs ici. Il y a beaucoup de Brésiliens, de joueurs étrangers qui viennent ici, ça fait un bon mélange. C'est vrai qu'il y a un fossé entre les grosses et les moyennes équipes. Mais par rapport à ce que j'ai vu en Ligue 2 et même en Ligue 1, je peux dire que certaines équipes d'ici ont facilement le niveau français. Et niveau salaire, c'est comment ? Des bons comme des petits salaires. Ça dépend des clubs, mais il y a en de très bons. Les mecs qui viennent en Bulgarie se mettent assez bien. Je ne connais pas les contrats de tout le monde, mais c'est plutôt pas mal, je crois. Qu'est-ce que tu penses de l'ambiance dans les stades ? Lorsque l'on joue des grosses équipes comme le CSKA Sofia ou le Levski Sofia à domicile, il y a toujours une grosse ambiance. Le stade est blindé. C'est totalement différent de la France. Ici, c'est pétards et fumigènes. C'est assez impressionnant lorsque l'on n'a pas l'habitude. Le week-end dernier, Basile De Carvalho (ancien de Brest et Sochaux) du Levski Sofia a été victime d'insultes racistes et de jets de bananes. Plus tôt, c'était l'équipe d'Angleterre. T'as déjà été confronté à ce genre de situation, toi ? Sincèrement, j'en ai pas le souvenir. Il y a sûrement des stades en Bulgarie où cela existe, mais moi, je n'ai jamais été confronté à ce genre de choses. Je trouve ça vraiment déplorable. Parlons vie locale. Comment est la ville de Bourgas ? La ville est superbe. J'ai l'impression d'être dans le Sud de la France. Il y a la mer, le soleil, les gens sont torse nu. C'est un coin tranquille pour venir en famille ou avec ta femme. C'est très agréable. La vie est vraiment pas chère. Franchement, c'est top, vraiment top. Niveau tourisme, ça progresse aussi. Il y a de plus en plus d'étrangers qui viennent passer leurs vacances ici. On n'est pas dans le trou de la Bulgarie. La première fois que t'es arrivé là-bas, qu'est-ce qui t'a sauté aux yeux ? Vu que je suis noir et que ma femme est typée Europe de l'Est, les gens me regardaient d'une certaine façon. C'était un peu choquant au départ. J'avais l'impression qu'ils n'avaient jamais vu de blacks. Ils ont dû se dire « Qu'est-ce qu'elle fait avec un noir ? » Les gens me regardaient comme si j'étais une créature. C'était frappant. C'est pareil pour les autres gars de l'équipe. Tu disais que ce n'était pas du racisme. C'est quoi, de la méfiance ? Oui, c'est ça, de la méfiance. Mais bon, moi, tant que personne vient me faire chier ou m'insulter, je fais ma petite vie tranquille et il n'y a pas de problème. Sinon, quand t'as pas match ou entraînement, tu fais quoi ? Souvent, je reste avec ma femme. Ça m'arrive d'aller manger avec des potes. Avec les Français de l'équipe, on va à la plage ou on va boire un verre. Je suis sorti une ou deux fois après un match. En fait, on a les mêmes hobbies qu'en France. C'est juste un peu plus difficile par rapport à la langue, on peut pas aller au cinéma, par exemple. Justement, tu t'es mis au bulgare, un peu ? J'essaye, mais c'est très dur. Je connais juste bonjour et au revoir. Niveau nourriture, tu as goûté les spécialités locales ? Ici, c'est surtout connu pour les yaourts. C'est ça, la spécialité, je crois. Sinon, non, je n'ai pas vraiment goûté aux plats locaux. Revenons un peu sur ta carrière. À l'époque du PSG (été 2008), le Real avait fait une offre pour toi (500 000 euros). C'était donc vrai, cette histoire ? Les gens qui regardent mon parcours aujourd'hui vont peut-être douter ou se dire que c'est que de l'intox, mais c'était vrai. On s'était rencontrés au Hilton pour discuter. Mais à l'époque, Alain Roche n'était pas pour. C'était l'opportunité d'une carrière et on m'a empêché de partir. C'était difficile pour moi, car, au final, je suis resté pour ne pas jouer et j'ai été prêté au Havre pour moins d'argent. Tu en veux au club ? Je n'en veux pas au club, mais à certaines personnes du club, notamment Alain Roche. Parce qu'ils ne m'ont pas donné de raison valable pour me retenir, alors qu'ils ont laissé David N'Gog partir (transféré à Liverpool pour 2 millions d'euros en 2008, ndlr). Tu suis encore la Ligue 1 ? Je suis toujours Paris, mon club formateur. Il y a beaucoup de personnes encore là-bas que j'apprécie, que ce soit dans le staff, les kinés, les coachs que j'ai eus en équipes de jeunes. Et même des joueurs qui sont encore là, comme Chantôme ou Sakho. Tu as encore des contacts avec eux ? Oui. On se connaît depuis l'âge de douze ans et même si, aujourd'hui, chacun fait sa carrière de son côté, un texto de temps en temps, ça fait plaisir. Tu te vois rester plusieurs années en Bulgarie ? Mon objectif, c'est d'aller dans un club plus huppé, mais, après tout ce qu'il s'est passé, c'était important pour moi de rejouer, de retrouver de la confiance. Pour l'instant, c'est vrai que tout se passe bien, mais mon objectif, oui, c'est de progresser et de partir, un jour. La Bulgarie, c'est bien, mais j'aimerais évoluer autre part. En France ? S'il y a une opportunité en France, je suis ouvert. Même à l'étranger. Aujourd'hui, je suis en Bulgarie, ça prouve que j'ai franchi un cap dans l'envie de réussir. Je ne perds pas mon temps, je travaille bien en espérant une bonne porte de sortie. Tu portes le numéro 94, c'est une dédicace au Val-de-Marne ? Exactement. Dès que j'aurai l'opportunité de faire un clin d'œil à mon département, je le ferai. Que les gens sachent d'où je viens. Sofoot. -------------------- Betteravier militant.
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12/09/2012 08:17
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Débutant ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 154 Inscrit : 21/11/2011 Lieu : 92 Membre no 8,190 Tribune : Non précisée |
Citation « Je n’avais plus aucune prérogative » ALAIN ROCHE, qui a quitté le Paris-SG le mois dernier, évoque les raisons de son départ et règle un vieux compte avec Paul Le Guen. Après neuf saisons passées au club en tant que membre puis responsable de la cellule du recrutement, entrecoupées par quelques années passées au développement de la formation, Alain Roche (44 ans) a quitté officiellement le Paris-SG, le 21 août dernier, une décision devenue inéluctable après l’arrivée de Leonardo au poste de directeur sportif, lors de l’été 2011. Pour la première fois, l’ancien défenseur du club parisien (1992-1998), international à 25 reprises, évoque son départ et répond à certaines critiques. « COMMENT SE DÉROULE votre vie sans le PSG ? – Plutôt bien… Je m’occupe tranquillement de ma famille, de mes enfants. J’ai passé de bonnes et longues vacances. Je vais aussi pouvoir m’occuper de ma santé, j’ai un problème de cheville qui me pourrit la vie. C’est ma priorité. Ensuite, je penserai à trouver un autre boulot. – Avez-vous peur du vide ? – Non, je suis parti en vacances, j’ai vu des amis. Bon, c’est vrai que le matin, quand tu te lèves, cela fait drôle de voir son fils en costume partir travailler pendant que tu restes à la maison. – Qu’avez-vous ressenti en quittant le Parc des Princes ? – Pas de tristesse, plutôt de la nostalgie. J’ai passé neuf ans de ma vie comme dirigeant au PSG, je m’y suis fait des amis. Mais les portes du Parc ne me sont pas fermées. Je peux y aller quand je veux. – La séparation s’est donc bien passée ? – Oui. – Pourquoi êtes-vous parti ? – Parce qu’on me l’a demandé. – Qui ? – Le club. – Pourquoi ? – J’étais directeur du recrutement, quasiment directeur sportif car je me suis aussi occupé des contrats des joueurs. Leonardo est arrivé. On faisait doublon. C’était compliqué. Il faut respecter la hiérarchie. C’est une décision difficile à accepter, mais je la trouve quand même assez logique. – Avez-vous eu l’impression de ne servir à rien durant l’année passée aux côtés de Leonardo ? – (Il marque une pause.) Je ne dirais pas pendant un an. Mais les six derniers mois ont été plutôt très compliqués. – Vous lui en voulez ? – (Il réfléchit longuement et soupire.) On n’a pas réussi à trouver un terrain d’entente. Il a une manière de fonctionner qui est la sienne. C’est quelqu’un qui travaille seul. Il était mon supérieur hiérarchique. Je n’avais qu’à accepter. – Auriez-vous accepté un rôle avec moins de responsabilités ? – Je ne me suis jamais mis en avant. Je n’ai jamais parlé dans la presse. J’aurais dû le faire un peu plus, d’ailleurs. Dans une entreprise, il faut se sentir utile. Si on m’avait proposé quelque chose d’intéressant, j’aurais peut-être accepté, oui, mais sans faire n’importe quoi. – N’est-il pas frustrant de partir à un moment où le club a autant d’argent ? – Oui, c’est frustrant car ce fut compliqué pendant neuf ans. Je ne dis pas qu’il n’y avait pas d’argent, on avait quand même un budget de 85 millions d’euros, mais j’ai toujours pensé que ce n’était pas suffisant pour jouer le haut du classement et se faire une place en Europe. C’est frustrant, aussi, car tu penses à la mise en place d’une organisation plus complète du recrutement, là, tu peux enfin le faire, et finalement, ce n’est pas possible. – On vous a parfois moqué en voyant les présidents passer, et vous rester… – Ouais… – Sous entendu : Alain Roche se débrouille toujours pour garder sa place. – On ne peut pas me taxer d’être un politique, sinon j’aurais parlé dans les médias, et je me serais rapproché du pouvoir. On m’a gardé car les présidents et les actionnaires ont estimé que j’étais à un moment ou un autre compétent. Quand monsieur Blayau (président de mai 2005 à juin 2006) m’a demandé de réorganiser la formation, je l’ai fait avec plaisir. Je ne me suis pas accroché à un poste. – Quelles sont vos plus belles réussites ? – Je suis très fier de ce qu’on a fait avec la post-formation et la formation. Ça a porté ses fruits. On a sorti quelques joueurs, on a eu des résultats exceptionnels chez les jeunes, mais cela n’intéresse personne. Je suis fier de certains joueurs qui sont arrivés, un peu moins d’autres. En cinq ans, on peut faire quelques erreurs. Je ne fuis pas mes responsabilités. Mais il faut que tous les gens qui sont passés au club assument aussi des décisions prises collégialement. – Vous pensez à quoi ? – Et vous ? D’abord, je n’ai pas passé neuf ans à m’occuper du recrutement. Il faut être clair. Cela a duré cinq ans, avec des gens qui avaient envie de travailler avec moi, et d’autres moins. – Il y a des joueurs dont on vous a reproché la signature. – Oui. Vous allez me reprocher qui ? Les deux Brésiliens ? (Willamis Souza et Everton Santos, le 31 janvier 2008) Tout le monde a fait passer le message. Et Kezman (août 2008) ? Si on me reproche la venue de ces joueurs, je veux aussi être le responsable des joueurs qui ont réussi. Il y en a un paquet. Oui, il y a des joueurs qu’on n’aurait jamais dû prendre, notamment les Brésiliens. Ce n’était pas le moment. On était dans la panique totale. Mais tout le monde doit assumer leur venue. L’une de mes fautes est de ne pas m’être exprimé. Je ne voulais pas polémiquer car le club était en difficulté. – Quelles sont vos réussites ? – Hoarau, on était content de l’avoir. Ceara, même si cela a été galère de le faire accepter… Après, il y a des Jallet, des Nene, des Bisevac… Sessegnon, il a fait une bonne saison et on l’a bien revendu… On peut parler de Makelele et de Giuly, aussi, dans ce cas-là. – Votre période la plus sombre au Paris-SG est-elle celle où Paul Le Guen était entraîneur (janvier 2007-2009) ? – Oui, c’était l’enfer. – Pourquoi ? – (Il marque un temps d’arrêt.) Parce qu’il n’y avait aucune relation. Mon avis ne l’intéressait pas. Il n’avait pas envie de discuter. – Paul Le Guen a dit un jour, dans L’Équipe (*), que vous étiez incompétent. – Oui, il l’a dit. Comme si j’étais responsable des résultats de Paul Le Guen. C’est une hérésie totale. C’est plus facile de m’attaquer que d’attaquer d’autres personnes. J’ai été blessé qu’un ancien partenaire dise une telle chose. On a tout fait, au club, pour essayer de travailler le mieux possible avec lui. Il a été mal influencé par son adjoint (Yves Colleu). C’est l’entraîneur qui, je pense, a laissé la plus mauvaise image auprès des salariés. – Pourquoi n’aviez-vous jamais répondu, jusqu’à présent, à ses critiques ? – Je voulais répondre. Mon président (Sébastien Bazin) n’a pas souhaité que je le fasse… J’avais envie. Ça bouillonnait. – Et lui, il a été compétent ? – C’est une bonne question. On a failli descendre en Ligue 2 (le PSG s’était sauvé lors de la dernière journée du Championnat, en 2007-2008, grâce à un doublé d’Amara Diané à Sochaux, 2-1). Que tout le monde assume ses responsabilités. Mais encore une fois, il est très mal influencé par son adjoint. – Cette interview de Paul Le Guen a-t-elle nui à votre image ? Peut-elle vous gêner dans la recherche d’un nouvel emploi ? – Je ne crois pas. Les gens dans les clubs savent comment ça se passe. Tu ne peux pas imposer un joueur à un entraîneur. – Que voulez-vous faire désormais ? – Depuis l’âge de dix-huit ans, je suis dans le foot. J’ai une certaine légitimité. Mais, pour l’instant, je n’ai qu’une idée en tête, soigner ma cheville. Je ne suis fermé à rien. Je connais ce milieu, et plein de domaines de ce milieu. Je me pose, et je verrai. – Avez-vous eu des propositions ? – Au cours de la dernière année, j’ai eu peu d’appels, et là, j’en ai encore moins. Je n’ai rien reçu de très précis. – Si vous deviez retenir une personne de vos années au PSG, quelle serait-elle ? – C’est difficile. J’ai travaillé avec huit présidents, six entraîneurs. Ce que je retiendrai surtout, c’est le club, un club qui te colle à la peau. Je l’ai dans les gènes. C’est un club difficile, qui use, mais… – Vous êtes fatigué ? – Oui. Je suis fatigué. – Vous êtes peu critique à l’égard du PSG. Parce que vous ne l’êtes vraiment pas ou parce qu’il y a eu une transaction financière ? – Bien sûr que ça m’embête de partir. Tu ne peux pas être insensible quand tu quittes une entreprise… Mais, là, il y avait deux mecs pour le même poste. Je n’avais plus aucune prérogative. Mais oui, bien sûr que ça m’emmerde. » GUILLAUME DUFY et SÉBASTIEN TARRAGO (*) Dans un entretien accordé à L’Équipe, le 29 mai 2009, Paul Le Guen, évincé trois semaines plus tôt de son poste d’entraîneur du PSG, avait notamment déclaré : « Alain, je connaissais sa personnalité. Je savais que je ne pourrais pas compter sur lui pour m’aider à défendre au mieux les intérêts sportifs du club. Il cherche constamment à faire allégeance avec l’autorité, mais je ne mesurais pas à quel point son incompétence et sa médiocrité allaient me pénaliser. »
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22/09/2012 07:44
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Débutant ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 154 Inscrit : 21/11/2011 Lieu : 92 Membre no 8,190 Tribune : Non précisée |
Citation L’île est son Parc Avec Bastia, où il a signé en 2011, Jérôme Rothen retrouve le plus haut niveau. Mais il a dû cravacher pour digérer ses dernières années parisiennes. IL NE VOIT PAS POURQUOI il aurait changé. On lui suggère des pistes : peut-être qu’il agaçait, qu’il a roulé en Ferrari rouge écarlate lors de son passage au PSG, qu’il parlait trop fort, qu’il aimait capter la lumière. Et alors ? « La Ferrari, c’était un rêve de gosse, répond Jérôme Rothen, mitraille verbale intacte. Ça fait de moi un mauvais garçon ? Non. Je parle, c’est vrai, mais je dis les choses. Je vis dans un milieu où il est bon de passer de la pommade à tout le monde, même quand tu ne le penses pas. Ce n’est pas mon genre. Moi, on m’aime ou on me déteste, c’est comme ça. » Confirmation : le milieu à tête blonde a beau avoir traversé tempêtes médiatiques et déserts sportifs, à trente-quatre ans il reste le même. « C’est toujours un compétiteur », assure Hervé Sekli, l’entraîneur des gardiens à Bastia, ex-coéquipier à Troyes. Il ajoute, en riant : « Du coup, il est toujours un peu sensible à la critique. » « Toujours un énorme chambreur et un grand imitateur », se marre le Parisien Sylvain Armand. « Toujours un mec aussi drôle », poursuit Mevlut Erding, qui l’a recroisé avec plaisir, lors d’un match à Rennes, fin août, après avoir fait sa connaissance à l’été 2010 au Camp des Loges. Alors, Rothen, à prendre ou à laisser ? Le besoin de reconnaissance est patent, le désir de validation évident et la conquête de son image un souci en moins. Cela posé, on fait comment ? Il y eut d’abord le gaucher de Monaco, que Chelsea et le FC Barcelone courtisaient en 2004 mais qui a préféré Paris parce qu’il fonctionne à l’affectif et a toujours rêvé de porter ce maillot. Il y eut ensuite le joueur de L 1 le plus détesté par les adversaires, ceux qui ne le connaissaient pas. « C’est ce que m’a dit “Cahu” (Yannick Cahuzac) peu de temps après avoir signé à Bastia : “Mais, en fait, t’es pas comme je l’imaginais.” Ça m’a fait marrer. » Il y a toujours ce malade de foot, qui ne peut s’empêcher de regarder les matches du PSG à la télé et n’a pas bien dormi dans la nuit de mardi à mercredi après la victoire parisienne en Ligue des champions : « S’ils jouent contre nous comme contre Kiev (4-1), ça va être très, très compliqué. » En fait, c’est sa relation avec le PSG qui est très, très compliquée. Le teint hâlé, le look bobo, il repasse souvent devant le Parc au volant de sa Smart, parce que son appartement n’est pas loin et qu’il apprécie de voir Paris quand il en a la possibilité. Il recroise certaines têtes du club – ou de son entourage – qui lui redonnent du « Djé » ou du « mon Jérôme » et s’étonnent de ne plus avoir de nouvelles. « C’est marrant, parce que quand j’étais au fond du trou, ces mêmes gens fuyaient pour ne pas être vus avec moi. » La période n’est pas si lointaine. À l’automne 2008, Rothen sort sa biographie (1), titille Zidane et encaisse rafale sur rafale : « Là, je me suis demandé si ça allait s’arrêter un jour. Je me doutais que le livre ferait parler. Je ne voulais rien cacher, c’était mon histoire. Après, était-ce la période pour le sortir ? En France, c’était une première pour un joueur en activité. J’ai vu l’ampleur des dégâts à l’arrivée et je ne l’avais pas prévu, c’est clair. Mais c’est aussi parce que je me sentais fort. J’avais une grosse cote auprès du public et, dans le vestiaire, je comptais… Là, je me prenais tellement la tête que mes performances étaient catastrophiques. Alors, quand tu ne peux plus faire taire les gens parce que tu n’es pas bon… » Après les heures de gloire monégasque ponctuées par une finale de C 1 perdue face au FC Porto le 26 mai 2004 (0-3), le titre de meilleur passeur de L 1 (2), les convocations en équipe de France ou le transfert retentissant à Paris, Rothen découvre la plongée dans les abîmes et éprouve le sentiment que son club ne lui jette pas de bouée. « Quand les premières fusées t’arrivent en pleine tête, t’espères être soutenu par les dirigeants, reprend-il. C’était ma cinquième année au PSG : en face on me faisait des sourires, par-derrière on me lançait des fléchettes. Certaines venaient de Charles Villeneuve, le bon président qui a passé six mois à Paris (du 27 mai 2008 au 15 janvier 2009). Lui, au début, il m’assurait de son soutien, m’expliquait qu’il avait aussi sorti un livre, que je pouvais compter sur lui. Ah, ça, les phrases étaient belles ! Les actes, je ne les ai pas vus. Au contraire, j’ai senti les fléchettes. Encore aujourd’hui, il se permet de parler de moi, de mon niveau, alors qu’il ne connaît rien au foot. Il doit être amoureux… » Les déboires débordent du terrain, la coupe n’est jamais pleine. Parfois, Rothen la remplit seul, à l’image de cet excès de vitesse sur l’autoroute A 13 au début de l’année 2008. Six mois de suspension de permis. Parfois, le sort s’acharne. Les six mois s’écoulent, son permis tarde à lui être rendu et l’avocat du Parisien lui signe un papier certifiant qu’il est légalement autorisé à conduire dans l’attente du nouveau document. « Un dimanche soir, je reprends la voiture, pour la première fois, pour acheter à dîner à mes enfants, raconte-t-il. À un feu rouge, une voiture de police se place à côté puis devant moi. Les policiers m’arrêtent, observent le papier de l’avocat et me disent qu’il n’est pas valable. À l’arrivée, ils me conduisent au poste, me gardent toute la nuit jusqu’à ce qu’on leur dise que je ne suis pas en tort. Le lendemain, évidemment, je ne suis pas en état d’aller à l’entraînement. » Ce jour-là, il s’aperçoit aussi qu’il compte quelques soutiens : « Paul (Le Guen, l’entraîneur) et Yves (Colleu, son adjoint) ont été super. Ce matin-là, ils m’ont protégé. Surtout, même si mes performances n’étaient pas bonnes, Paul ne m’a jamais retiré sa confiance. Il m’a évité de plonger. » Mais sa fin de saison 2008-2009 ne tourne pas rond (3) et les supporters, qui l’adulaient l’été précédent, lui tournent le dos au printemps. Vexé, il « artille » avec allégresse en interview et récolte dix jours de mise à pied ramenés à cinq. Entre-temps, Le Guen a laissé la place à Antoine Kombouaré sur le banc parisien. Rothen est invité au départ. Ce sera les Glasgow Rangers, pour quatre mois, puis Ankaragücü, pour cinq. Les Écossais, étranglés financièrement, se séparent de lui en janvier alors que les Turcs l’auraient bien conservé mais… avaient quelques retards de paiement. « Je garde un bon souvenir de ces deux clubs, dit Rothen aujourd’hui. À Ankara, je me suis refait la santé et c’est grâce à Roger Lemerre, alors l’entraîneur. C’est marrant, parce que le jour de mon arrivée là-bas, j’ai croisé Roger dans le bureau du directeur sportif du club. Il était surpris : “Bah, Jérôme, qu’est-ce que tu fais là ? – Tu n’es pas au courant ? – Non. J’avais donné une liste de noms sur laquelle tu étais, mais je ne savais pas que t’étais d’accord.” À l’arrivée, on aura sauvé l’équipe de la relégation mais, bon, je n’étais plus payé depuis deux mois. La galère continue… » Le PSG, où il lui reste un an de contrat, ne veut pas le réintégrer dans le groupe pro à l’été 2010. Rothen goûte au loft où il s’entretient physiquement, mais espère un come-back. Kombouaré éteint ses illusions. Après deux mois de conflit, le gaucher trouve un accord à l’amiable pour résilier. « J’aime trop le football pour me contenter de prendre mon salaire sans jouer », lance-t-il. Pendant deux mois, il loue les services d’un préparateur physique, afin d’être disponible en janvier, à l’ouverture du mercato. Mais aucun contact n’aboutit, comme si son image l’avait précédé. « On m’a collé l’étiquette de fous-la-merde mais je n’ai jamais foutu la merde dans un groupe », se défend-il. Sylvain Armand confirme : « J’ai kiffé jouer à ses côtés pendant cinq ans, j’ai trop rigolé. Aujourd’hui, je parle encore de lui dans le vestiaire. » Hervé Sekli renchérit : « Que ce soit à Troyes à l’époque ou avec Bastia aujourd’hui, Jérôme discute avec tout le monde, du jardinier à la secrétaire. Il s’investit à fond et les jeunes, chez nous, lui demandent beaucoup de conseils. » Mais, pendant six mois, il reste à l’écart du foot, se retranche vers le tennis et défie régulièrement son ami Richard Gasquet, ou encore Paul-Henri Mathieu, Nicolas Mahut ou Martina Hingis. « J’ai eu la chance d’être dans une structure avec pas mal de joueurs pros… Je déjeunais avec eux, j’avais l’impression d’appartenir à un collectif, ce qui me manquait le plus. » Le charme opère, Rothen s’éclate même s’il prend quelques passing-shots qui le ramènent à sa condition d’amateur… « Il a un bon petit coup droit, joue 15/2 ou 15/3 et je sentais qu’il essayait de me faire des points, mais je n’avais pas trop envie de lui laisser ce plaisir, rigole Richard Gasquet. Bon, mon père lui a collé un 6-0, c’est bien de le lui rappeler. Il s’entretenait avec nous, s’est bien intégré au groupe de tennismen, mais on sentait qu’il avait faim de rejouer au foot, qu’il était à l’affût d’un club. » En mars, Hervé Sekli lui propose de rejoindre Bastia si le club accède à la L 2. Rothen accepte et pose son sac en Corse. Parce que l’île lui ressemble ? « Sans doute un peu », concède Sekli. « J’ai l’impression que ça fait six ans que j’y suis », confirme l’ex-Parisien. « Dès les premiers entraînements, il était en tête dans les footings, à l’écoute de tout, reprend l’entraîneur des gardiens du club corse. “Fred” Hantz (l’entraîneur bastiais) ne savait pas comment Jérôme allait se fondre dans le groupe et il a eu la réponse très vite. » Élu meilleur joueur de L 2 par ses pairs la saison dernière, Rothen se sent « au top dans ce club » où les « supporters l’ont adopté », selon Sekli. Il se retourne brièvement sur sa carrière et évacue d’emblée le moindre regret. Le livre ? « Il fallait que j’assume, j’ai mis du temps à l’assumer mais, aujourd’hui, je ne regrette rien. » Son côté chambreur excessif ? « Je comprends que des fois ça passe mal. Mais je ne peux pas changer, ce ne serait pas moi. Si je ne dis pas ce que je pense, je dors mal. Après, avec l’âge, j’essaie de dire les choses différemment, peut-être moins crûment… » Il conclut : « Avec le recul, réaliser la carrière que j’ai réalisée, jamais je ne l’aurais rêvé. À Clairefontaine (à l’Institut national du football, le centre de préformation), je ne sortais pas du lot, j’étais plus petit que les autres et, déjà, juste devenir pro était exceptionnel. Après, j’ai tout fait par étapes, je me suis mis des challenges que j’ai toujours relevés. Je suis même devenu international français (13 sélections). Alors des regrets, non, j’en ai aucun. Qu’on parle de toi, en mal ou en bien, l’essentiel, c’est qu’on parle de toi. » DAMIEN DEGORRE (1) Vous n’allez pas me croire, éditions Prolongations. (2) Avec 18 passes décisives en 2002-2003, il détient le record de passes sur une saison, en L 1. (3) 6 passes décisives en L 1, en 2008-2009.
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24/09/2012 22:29
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#726
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,235 Inscrit : 13/06/2009 Lieu : Paris Membre no 1,074 Tribune : Tribune Francis Borelli |
Citation Edmilson : "Le PSG dominera le football mondial d'ici peu"
L'ancien attaquant du Paris SG, Edmilson, s'est confié à Sambafoot au sujet de son passage dans la capitale française lors de la saison 1997-1998. Aujourd'hui président d'un club au Brésil, l'homme âgé de 40 ans révèle son admiration pour Leonardo et pour le projet de la nouvelle direction du club. Vous avez joué au Paris SG lors de la saison 1997-1998 mais vous n'avez disputé que quatorze rencontres. Quelles sont vos principaux souvenirs de votre courte aventure en France ? Je garde de beaux souvenirs, l'équipe était dirigée par Ricardo Gomes. Il y avait Raí, Leonardo, Simone, Le Guen, Fournier, Lama .. Que de grands joueurs dans une belle équipe. Malheureusement nous n'avons pas réussi à gagner le championnat. Avec du recul, comment jugez-vous votre passage en France ? Je pense que j'aurai pu rester plus longtemps, Raí m'avait conseillé de rester. J'ai connu une adaptation difficile à Paris notamment à cause de la langue. J'avais trois années de contrat mais j'ai finalement décidé de revenir au Portugal et de signer au Sporting. J'avais déjà conquis pas mal de titres avec Porto avant de signer au PSG. Je connaissais bien certains dirigeants du club et j'ai décidé de revenir au Portugal. Qu'avez-vous à nous dire au sujet des difficultés d'adaptation des brésiliens en France et notamment au PSG ? Raí a pris une saison pour trouver son meilleur niveau, Ronaldinho a également eu besoin de temps... Je pense qu'apprendre la langue est essentiel. Quand je suis arrivé à Paris, j'ai tout de suite commencé les cours de français. J'ai eu beaucoup de difficultés à apprendre. Mais c'est difficile de s'intégrer dans un groupe quand tu ne parles pas la langue. Je suis arrivé à Paris, j'ai été tout de suite titulaire durant quelques matchs. Après j'ai commencé à connaitre des difficultés. Mais j'ai été très bien reçu par le club, les dirigeants, les joueurs. Si j'étais resté plus longtemps comme Raí ou Ronaldinho, j'aurai pu montrer un autre football. A Paris, la pression est vraiment particulière ? Oui je l'ai senti, les supporters de Paris sont exigeants. C'est un grand club et les supporters veulent une victoire à chaque match. A tous les matchs, le Parc des Princes était plein. Vous avez joué avec Leonardo, actuel directeur sportif du Paris SG. Qu'avez-vous à nous dire à son sujet ? C'est une personne fantastique! C'était un joueur extraordinaire aussi bien au Brésil qu'en Europe. C'était un collègue merveilleux, sincère et honnête. C'était un plaisir immense de travailler avec lui. Tout comme avec Raí. Vous sentiez que Leonardo allait prendre dans le futur de telles responsabilités dans un grand club ? Leonardo a toujours été un leader. Il parle plusieurs langues: français, anglais, japonais, espagnol .. Son expérience à Milan l'a beaucoup aidé. Leonardo va amener Paris au sommet. Que pensez-vous du nouveau PSG de Thiago Silva et Ibrahimovic ? Je suis certain que Paris va devenir une des meilleurs équipes au monde avec Leonardo aux commandes, Ibrahimovic, Lucas. Le PSG dominera le football mondial d'ici peu. Vous êtes au Brésil depuis plusieurs années, vous suivez donc de près le championnat national. Qu'avez-vous à dire aux supporters parisiens au sujet de Lucas ? Lucas est un joueur fantastique. Il a comme principales caractéristiques la technique, la force et la vitesse. Il est très rapide et marque beaucoup de buts. Il réussira en France, il va beaucoup progresser là-bas. Vous êtes actuellement président d'un club au Brésil. Pouvez-nous en dire plus ? Le nom de mon club est Espirito Santo Sociedade Esportiva, c'est un club de l'Etat d'Espirito Santo. Ce club existe déjà depuis quatorze ans. Notre objectif principal est de former et de révéler des jeunes joueurs. SambaFoot |
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04/10/2012 10:44
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#727
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![]() Fantasy lawyer ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 8,017 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 139 Tribune : G rouge |
Citation Agressé chez lui, Fabrice Fiorèse échappe à un kidnapping dans les embouteillages Retraité des terrains depuis 2009, Fabrice Fiorèse n’habite plus Marseille, et pourtant il a été la victime d’un home jacking. Le Dauphiné Libéré raconte que lui et son épouse ont été accueillis vendredi chez eux, à Salins-les-Thermes, par trois hommes cagoulés et armés. Les malfrats les attendaient pour cambrioler la maison, mais leur action s’est poursuivie ensuite lorsqu’ils ont obligé Fabrice Fiorèse à monter dans sa voiture pour les accompagner. « Otage » de sa propre voiture, escorté de deux malfrats, l’ancien footballeur a alors profité d’un embouteillage pour casser la vitre et s’échapper ! La suite ? Une tentative de fuite des cambrioleurs qui se termine par un accident. Ils sont alors obligés de partir à pied, abandonnant les voitures. Aujourd’hui, la police est toujours sur leurs traces, tandis que Fabrice Fiorèse est légèrement blessé mais surtout « choqué », selon un proche du joueur. http://www.popnsport.com/football/100188/a...-un-kidnapping/ -------------------- Monarch Bowl IV & V champion
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07/10/2012 08:50
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Débutant ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 154 Inscrit : 21/11/2011 Lieu : 92 Membre no 8,190 Tribune : Non précisée |
Citation « C’est un autre monde » LUDOVIC GIULY, l’attaquant lorientais, passé par le FC Barcelone et le Paris-SG, reste bien plus impressionné par la confrontation espagnole. MÊME S’IL RETROUVE cet après-midi Lyon, son club formateur (voir page 13), Ludovic Giuly ne devrait pas s’attarder dans les couloirs du Moustoir après la rencontre. L’attaquant lorientais (36 ans) a un match à regarder, et ce n’est pas celui de 21 heures, mais celui de 19 h 50. « Barça-Real, ce n’est pas comparable, c’est un autre monde, souffle-t-il, enthousiaste. Il y a sept ou huit Ballons d’Or potentiels, toujours des buts, du jeu, et comme Madrid a gagné à Barcelone (2-1) la saison dernière, il va y avoir une belle revanche. Huit joueurs sur dix vont regarder Barcelone-Madrid. » Giuly sait de quoi il parle, puisqu’il a passé trois saisons à Barcelone (2004-2007) et autant à Paris (2008-2011). Ses souvenirs creusent un vrai fossé entre Clasico et « classique ». UN SOMMET MONDIAL, UN DUEL FRANCO-FRANÇAIS Débarqué dans le Barça de Ronaldinho et Eto’o au moment où se dressait le Real des Galactiques, Giuly garde la sensation d’avoir vécu un événement planétaire. « Il y avait cent vingt-trois chaînes de télévision, se rappelle-t-il. On joue ce match comme une finale de Coupe du monde. Il y a deux fois plus de pression, il ne faut pas se louper parce que tout le monde va en parler. En France, c’est plus une affaire de Marseillais et de Parisiens. Cela reste un super derby, mais ce n’est pas mondialisé. » LA GUERRE DES MÉDIAS Avant son premier Clasico, qu’il avait raté à cause d’une blessure (3-0, le 20 novembre 2004), Giuly s’était plongé dans l’ambiance et en était ressorti bluffé par l’exposition médiatique. « Ça commence quinze jours avant, ils font des comparatifs sur chaque joueur, chaque ligne, sortent les salaires, sourit-il. Ils cherchent des détails de fou, comment ce joueur va faire pour passer son adversaire, comment il aime recevoir le ballon… La grande différence avec la France, c’est que chaque journal est supporter d’un club. Marca est pour le Real, Mundo Deportivo est pour le Barça, ils se font même la guerre dans les médias, c’est marrant. » LA GUERRE SUR LE TERRAIN L’évolution des PSG-OM laisse penser à Giuly que l’animosité décline : « Il y avait de la haine dans les années 1990, mais ce n’est plus pareil. C’est tant mieux car ça joue plus au foot. Les joueurs se connaissent et s’apprécient. » En Espagne, ils se connaissent aussi, mais le contexte peut prendre le dessus. « Dans le vestiaire, c’est une semaine différente, se souvient Giuly. Il y a plus de tension, l’atmosphère change, des joueurs comme Xavi se renferment. C’est particulier pour les Espagnols car ils connaissent les joueurs en face et sont obligés de se faire la guerre. Avant, ils n’en parlent pas et après ils se font la bise. Mais sur le terrain, ce sont des ennemis et ça part parfois en sucette car ils en oublient carrément que ça reste un match avec trois points. » UN ANTAGONISME PLUS FORT Si Giuly dit encore « on » quand il parle de Barcelone, c’est parce que l’évocation des Clasicos fait resurgir l’appartenance à l’institution. « De l’intérieur, c’est beaucoup d’émotions, tout le club est sous pression. Il faut gagner ce match de la capitale contre la Catalogne. Pour les Madrilènes, on n’est pas en Espagne, les Catalans ont leur langue, veulent leur indépendance… À Paris, il y a l’opposition avec le Sud, mais on ne ressent pas ce que j’ai ressenti en Espagne. » LE SOUVENIR DU TRIOMPHE DE « RONNIE » Giuly a marqué avec Paris contre Marseille (1-3, le 15 mars 2009), mais il se souvient davantage de la grippe A, le 25 octobre 2009, qui avait provoqué l’annulation du match. « C’est à cause de moi, je l’ai eue en premier ! Dommage que ça se soit mal passé. » De violents affrontements urbains avaient eu lieu après l’annonce du report entre Marseillais et Parisiens. En Espagne, c’est une réaction plus noble qui l’a impressionné. « Ce qui m’a le plus marqué, c’est quand Ronnie (Ronaldinho) a marqué deux buts à Santiago-Bernabeu (3-0, le 19 novembre 2005). À sa sortie, les gens se sont levés et ont applaudi. C’était un moment unique, très fort. » ANTHONY CLÉMENT
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07/10/2012 09:05
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![]() Insurgé du 9 janvier ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 23,060 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 348 Tribune : Boulogne |
Citation Mendy : «Ça perd en saveur»Bernard Mendy, qui a porté le maillot du PSG durant sept saisons, nous livre son regard sur le Classique qui se tient ce dimanche (21h00) au Vélodrome. Il estime que, sans déplacement de supporters, ce choc «perd en saveur.» «Bernard Mendy, dimanche, c'est le Classique. Cela doit vous rappeler des souvenirs. Oui, je me souviens notamment du produit qu'ils avaient mis dans le vestiaire (en octobre 2005). On ne pouvait pas respirer, ça nous piquait les yeux. On avait dû attendre 30 minutes avant de pouvoir se changer. Il y a aussi eu ce match de Coupe de France (de Coupe de la Ligue, en fait, lors de la saison 2004-2005) où on était mal embarqué et où on avait réussi à inverser la tendance et gagner 3-2. La communion avec les supporters avait été extraordinaire. Dimanche, il y en aura à peine 150 au Vélodrome. Oui, quasiment rien. Pour moi, un Classique, ce sont les supporters parisiens qui vont à Marseille et vice-versa. Sinon, ce n'est pas un vrai OM-PSG... Ça perd en saveur. De part leur position au classement et les investissements réalisés cet été par le PSG, ce Classique n'en reste-il pas moins l'un des plus palpitants de ces dernières années ? Oui, par rapport à l'équipe star du Paris-SG, c'est sûr. Si Zlatan est en forme, il peut gagner le match à lui tout seul. A mon avis, ça va se jouer sur des détails, sur des coups de pied arrêtés. Paris a de gros gabarits pour faire la différence, et l'OM tire aussi super bien les coups de pied arrêtés avec Valbuena. Ce qui est sûr, c'est qu'il y en a plein qui espèrent que Paris perde. C'est ce que vous ressentez à travers les discussions que vous pouvez avoir avec vos équipiers ? Eux ils disent tous : «Paris est au-dessus, ils vont gagner». Mais le seul problème à Paris, c'est Paris, pas les autres. Avec son équipe de stars, Paris semble à l'abri de lui-même, non ? Sur le papier, l'équipe est forte, mais il faut toujours faire attention. Regardez le match contre Porto et celui d'avant face à Sochaux où Verratti faisait des crochets dans la surface. En L1, ça passe, mais en Ligue des champions, visiblement non. Mais bon, ils vont se remobiliser. Perdre, ça arrive. Cela dit, je ne crois pas que les supporters comprendraient qu'ils s'inclinent au Vélodrome. Toi dans ce genre de match, tu es à 200%, mais eux, c'est à 1 000% qu'ils sont. Vous rappelez-vous de lendemains de match difficiles ? Oui, une année où on avait perdu 3-1 à domicile. Le lendemain, on avait été secoués. En fait, pour les supporters, c'est un peu l'extrême. Même si tu es bien au classement, si tu perds ce match-là, ils t'en voudront quasiment toute l'année. C'est un match tellement particulier pour eux... Un match que vous auriez bien aimé jouer ? Comme tous les joueurs. Qui n'aimerait pas ça ? Mais bon, j'en ai déjà joués pas mal, il n'y a pas de manque, je ne suis pas envieux. A Paris, j'ai fait mon temps même si ça aurait été génial de pouvoir faire partie d'un tel projet à l'époque. Je resterai toujours le premier supporter du PSG. D'ailleurs, quand les Qataris sont venus, j'ai tout de suite trouvé ça super bien. Et puis, Zlatan, il va payer ses impôts en France. Tout le monde devrait être content !»
-------------------- Président du fan club de Véro
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26/10/2012 08:43
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Débutant ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 154 Inscrit : 21/11/2011 Lieu : 92 Membre no 8,190 Tribune : Non précisée |
Citation Valdo, le « Leo »de la Huitième Division Après avoir échappé deux fois à la mort, l’ancien milieu offensif brésilien est, depuis juillet 2011, directeur sportif des Saint-Maur Lusitanos. Le même poste que Leonardo au PSG, mais en DSR ! QUE PEUT-IL arriver de grave à Valdo Candido de Oliveira Filho ? Cet homme-là est passé si près de la mort qu’il se sent aujourd’hui de plus en plus vivant. En cette douce fin de journée automnale, il est arrivé joyeux, l’humeur vagabonde, son éternel sourire aux lèvres, sur le petit stade Louison-Bobet du Plessis-Trévise (Val-de-Marne). Un endroit où, franchement, on ne pensait pas retrouver un jour l’ancienne vedette du PSG (1991-1995). Vingt-deux ans après notre première rencontre au stade de la Luz, à Lisbonne, avant un Benfica-Marseille qui allait déchaîner les passions, et parfois même attiser la haine, lorsque le bras d’un certain Vata éliminait injustement l’OM en demi-finales de la Coupe des clubs champions européens (1-0, le 18 avril 1990 ; aller : 1-2), le génial Brésilien (48 ans) est venu vers nous, a demandé des nouvelles, avant de lâcher, hésitant, en baissant timidement les yeux : « Je suis là aujourd’hui devant toi, mais j’aurais pu être dans l’eau… » Le 31 mai 2009, alors qu’il s’apprête à embarquer sur le vol Air France Rio-Paris, l’un des joueurs qu’il accompagne en Europe est bloqué par la douane pour un problème de passeport. Les deux hommes décident alors de reporter leur voyage d’une journée. Quelques heures plus tard, l’Airbus A 330 s’abîme dans l’océan Atlantique, faisant 228 victimes. Persuadé que, tout là haut, Dieu a un plan pour chacun d’entre nous, Valdo vit désormais pour accomplir son destin. Son destin, il l’a envisagé un moment dans des entreprises de constructions d’appartements, à Camborio, dans le sud du Brésil. « J’ai toujours aimé ça, même quand j’étais encore joueur, mais j’aimais encore plus le foot, et en 2006 j’ai replongé. » De l’autre côté de la barrière, en costume-cravate, comme sur ce stade de la banlieue parisienne, juste avant l’entraînement des joueurs de Saint-Maur (Division Supérieure Régionale, niveau 8), qui accueillent dimanche (14h30) le Racing Colombes (CFA 2), au 6e tour de la Coupe de France. « Depuis que j’ai arrêté (en 2004, à Botafogo), je n’ai plus jamais joué. Je m’entretiens juste en courant un peu. Au départ, je faisais du 800 et du 1 500 m, pas du foot. Maintenant, je regarde les jeunes. Mais pas comme un agent, tient-il aussitôt à préciser. Je suis juste un intermédiaire entre les clubs. » Avec le Sera Macaense, tout d’abord, un club basé à Macaé, dans l’État de Rio de Janeiro, et, depuis juillet 2011, avec les Lusitanos de Saint-Maur. « Avec Valdo, on se connaît depuis sept ou huit ans, confirme Artur Machado, le président du club val-de-marnais. Quand je suis revenu au club, je lui ai demandé de nous rejoindre comme directeur sportif et il a accepté. Il nous apporte son expérience, des joueurs brésiliens qui viennent chez nous pour se montrer, et beaucoup de crédibilité. Moi, si je demande à un jeune Brésilien de venir à Saint-Maur, il va me rire au nez. Si c’est Valdo, il obéit. » Trois gamins, Vidal Mazzotti, « Biturana » et Da Silva Alberto, qui possèdent un bon niveau L 2, sont actuellement en stage aux Lusitanos. Ils appartiennent tous à un centre de formation brésilien, qui rémunère les joueurs. « Je vais voir les jeunes, une fois, deux fois, détaille Valdo, je leur parle pour connaître leur mentalité, et après je leur explique ce qu’ils doivent faire pour se montrer en Europe. C’est ça le but. Montrer qu’ils existent. Même à Saint-Maur. Ici, ils ne vont pas rester des années, mais quelques mois seulement. Le temps pour eux de se faire remarquer. D’ailleurs, les trois qui sont ici ont déjà été contactés et vont bientôt partir. » Au-delà de l’amitié qui le lie au président du club, pourquoi Valdo se perd-t-il ainsi dans les divisions inférieures parisiennes ? « Parce que c’est la vie, lâche-t-il. J’ai passé mes diplômes d’entraîneur, mais on ne m’a jamais rien proposé, malgré mon passé, comme tu dis. Mais pour nous, les Noirs, c’est un peu plus compliqué. Cite-moi seulement cinq entraîneurs noirs connus dans le monde. Au Brésil, il y en a eu un, Jorge Luiz Andrade, qui a été champion avec Flamengo (2009), mais aujourd’hui il dirige un club de Troisième division. C’est comme ça. Je ne me plains pas. J’essaye juste de faire quelque chose de ma vie. Pourtant, que l’on soit blanc, noir ou jaune, le ballon, lui, ne fait pas la différence. Mes anciens coéquipiers, Ricardo ou Leonardo, ont eu cette chance (*) et j’avoue que cela m’aurait plu d’essayer. » L’ancien milieu offensif assure cependant ne pas ressentir d’amertume aujourd’hui. « Je suis tranquille avec ça. Quand je jouais au Paris-SG (1991-1995), j’étais tout aussi tranquille. Je me souviens de ce fameux match contre le Real Madrid (4-1, le 18 mars 1993, en quarts de finale retour de la Coupe de l’UEFA ; aller : 1-3), j’avais marqué le troisième but une minute avant la fin du temps réglementaire, et ensuite Antoine (Kombouaré) avait inscrit le quatrième, dans le temps additionnel. Le lendemain, cela ne m’a pas empêché d’aller faire mon marché. La vie est simple. Ce sont les gens eux-mêmes qui se la compliquent… » Cette vie à laquelle il s’accroche, qu’il aurait pu perdre, en 2009, dans le crash d’un Airbus, et même vingt ans plus tôt, au Brésil, kidnappé devant chez lui, un pistolet sur la tempe, enfermé deux jours durant dans une pièce sordide d’une favela. « J’ai bien cru que j’allais mourir... Mais, au bout de longues heures d’angoisse, mon ravisseur m’a demandé dans quel club je jouais. Je lui ai dit Porto Alegre. Il m’a alors répondu, son arme à la main : “Tu as de la chance, je suis supporter du Gremio. Tiens, voilà les clés de ta voiture. Va-t’en.” Et me voilà à Saint-Maur. Tranquille… » JEAN-PHILIPPE COINTOT (*) Ricardo a notamment entraîné le PSG (1996-1998), Bordeaux (2005-2007) et Monaco (2007-2009). Aujourd’hui directeur sportif du PSG, Leonardo a, lui, dirigé l’AC Milan (2009-2010) et l’Inter (décembre 2010-2011). Citation C’était une idole du Parc IL AURA passé deux décennies sur les terrains. Du Gremio Porto Alegre (1984-1988) à Botafogo (2003-2004). C’est au printemps 1990 que le public français le découvre véritablement. Valdo (alors âgé de 26 ans) porte les couleurs de Benfica depuis deux ans et élimine le grand Olympique de Marseille, en demi-finales de la Coupe des clubs champions européens (1-2 ; 1-0), sur un but… du bras (Vata). Ce milieu offensif au jeu très délié, qui compte 53 sélections et 5 buts avec la Seleçao, atterrit ensuite au Paris-SG, en 1991, à l’initiative d’Artur Jorge. Pendant quatre saisons, il s’impose comme l’une des idoles du Parc des Princes grâce, notamment, à son but (le troisième des Parisiens) lors du légendaire quart de finale retour de Coupe de l’UEFA contre le Real Madrid (4-1, le 18 mars 1993 ; aller : 1-3). Après être retourné au Benfica (1995-1997), Valdo s’envole vers le Japon, au Nagoya Grampus Eight, puis rentre au pays, en 1998 : d’abord à Cruzeiro, puis à Santos (2000), l’Atletico Mineiro (2001), la Juventude (2002) et, enfin, Botafogo. Né le 12 janvier 1964 à Sideropolis, dans l’État de Santa Catarina, au sud du Brésil, Valdo termine sa riche carrière, le 19 décembre 2004, par un résultat nul (1-1) sur le terrain de l’Atletico Paranaense. À près de quarante et un ans. – J.-Ph. C.
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26/10/2012 11:25
Message
#731
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 7,364 Inscrit : 24/10/2012 Membre no 9,006 Tribune : Canapé |
Citation Appelez-le « l’aventurier » ! Dix mois après s’être exilé à Shanghai, l’ex-international français va bien. Pour le Parisien Magazine , Nico revient sur le dernier défi de sa carrière. Et cela part en fanfare : « Je suis venu en Chine en éclaireur. J’ai ouvert la voie, comme d’habitude ! », assène-t-il. « Je suis venu pour découvrir un continent et cette mentalité. Je suis fan des films de kung-fu, de Jackie Chan, de Jet Li, de Bruce Lee. » SoFoot.com
Mais Anelka n’était pas là que pour parler cinoche. Vient le tour de l’épineuse question de son aversion pour les journalistes : « Dans un futur proche, j’envisage de décerner et d’organiser la cérémonie du journaliste de plomb qui récompensera le plus bidon d’entre eux. » Pour élever le débat, l’ancien de Chelsea de conclure : « Un homme sans ennemi est un homme sans valeurs. » Le bonhomme sait de quoi il parle. Mais à force de s’ouvrir, Nicolas arrose un peu dans tous les sens. « Je suis contre les anti-footeux qui pensent que lire des kilomètres de bouquins et posséder une culture générale est synonyme d’intelligence. Moi, je parle français, anglais et espagnol et j’attaque le chinois. Les Fourberies de Scapin, le théorème de Pythagore ou Cinquante nuances de Grey, ça ne me sert à rien », tranche-t-il. Et dire qu'il est fils d'instit… |
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07/11/2012 11:39
Message
#732
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,535 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation Guy Lacombe nommé coach d'Al-Wasl Quelques jours après l'annonce du départ de Bruno Metsu, pour raisons de santé, le club d'Al-Wasl de Dubaï a annoncé mercredi, comme c'était à prévoir, la nomination d'un autre Français au poste d'entraîneur en la personne de Guy Lacombe. Libre depuis sa dernière expérience à Monaco, en 2011, l'ancien coach de Sochaux et du PSG notamment va prendre ses fonctions immédiatement. Les détails de son contrat n'ont pas été communiqués. lequipe.fr |
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10/11/2012 13:06
Message
#733
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![]() On est ParTis, on a tout compris! ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 15,976 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 455 Tribune : Viré du stade |
Citation M6 songe à Kombouaré Dans l'hypothèse où Francis Gillot ne s'accorderait pas avec les Girondins pour prolonger son contrat (qui prend fin en juin prochain), Bordeaux pourrait se tourner vers Antoine Kombouaré, l'ancien entraîneur du Paris-SG. C'est en tout cas une piste envisagée par M6, l'actionnaire du club. Kombouaré coache actuellement Al-Hilal, en Arabie Saoudite. Son contrat d'un an, débuté en juin dernier, comprend une option pour une saison supplémentaire. L'equipe.fr -------------------- "bon aujourd'hui j'avais pas envie de perdre mes thunes alors j'ai convaincu mon frère de 13 ans de me filer 1€ je lui demandais les matchs sur lesquels il voulait miser mais je lui disait chaque non c'est pas possible :lol:
alors je lui ai imposé dortmund nice et malaga et il a eu le droit de choisir arsenal :lol: la cote était de 27,4 et on a pas gagné :)" @Fanfan Vainqueur de l'Urban_2.0 ! Merci le 94/5/7 Vainqueur de l'Urban_3.0 ! Merci les Jaunes: Unreal, Fufax, Madi$kwale et Rjay ! Un jour on demandera au PSG de choisir entre sa vie et ses supporters, il nous répondra sa vie et on le quittera sans savoir que sa vie c'était nous... |
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10/11/2012 18:22
Message
#734
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 4,074 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 22 Tribune : Canapé |
Citation Le BSC est heureux d’annoncer la venue d’Alain GIRESSE au sein du club. Celui-ci a choisi de regagner le club de la ville où il réside pour y apporter toute sa grande expérience. Il occupera les fonctions de Conseiller technique et s’impliquera dans la vie du Club comme il l’avait fait en son temps à Bordeaux. Eric Taborda retrouve là l’entraîneur qui l’avait fait signer au TFC et nul doute que cette association devrait bien fonctionner. Nous lui souhaitons la bienvenue. http://www.balmafoot.com |
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12/11/2012 20:20
Message
#735
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![]() dr love Groupe : Banned Messages : 5,119 Inscrit : 14/09/2010 Lieu : le trou normand Membre no 1,926 Tribune : Canapé |
Citation Selon nos informations, Cédric Daury, l’entraîneur du Havre, a été démis de ses fonctions ce lundi après-midi après une entrevue avec son président, Jean-Pierre Louvel. En fin de contrat à la fin de la saison, il a été licencié. En raison du manque de moyens du club, le staff de Cédric Daury reste en place avec une réorganisation de l'organigramme du club. Christophe Revault, l’ancien gardien du HAC, devient le nouvel entraîneur. Il était jusqu’alors conseiller du président. Guillaume Marie prend en charge le centre de formation. Patrice Montheilh, ex-entraîneur adjoint, passe au recrutement. Frédéric Guégen conserve son poste d’entraîneur des gardiens. Johann Louvel, fils du président, et Abasse Ba, ancien joueur, seront les adjoints de Christophe Revault. source: http://www.rmcsport.fr/editorial/318822/le...action_ref_map=[] -------------------- T'es mon héros (c) philo
Il sait pas comment faire , il trouve pas la force ... seul les sages peuvent faire ce genre de choses (c) rené boisrond LTN c'est un peu le jean claude van damme du forum quoi....(c)Yessod Absents côté lorientais : coiffeur de Gourcuff (en prison) et probablement d'autres types dont j'ai rien à carrer.(c) philo |
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26/11/2012 14:43
Message
#736
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![]() Administrator ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Root Admin Messages : 105,957 Inscrit : 13/11/2008 Lieu : Dark Side of the Moon Membre no 1 Tribune : Viré du stade |
Citation Pochettino remplacé par Marcelino Elu président de l'Espanyol depuis quelques jours, Joan Collet vire déjà son premier entraîneur. Mauricio Pochettino a appris officiellement ce lundi qu'il était licencié par les dirigeants de la lanterne rouge de la Liga. A la tête du club depuis janvier 2009, l'ancien joueur du PSG sera remplacé par Marcelino Garcia Toral (47 ans). Ce dernier a déjà entraîné Huelva, Gijon, Santader, Séville et Saragosse. Lequipe.fr -------------------- A été retweeté par Gianluca Di Marzio, PRINCE des transferts, PAPE des rumeurs, OMNISCIENT du mercato, le dimanche 2 août 2015 à 00h35.
"Derrière chaque surfeur se cache un requin". "ptit binoclard webmaster pour Footix qui occupe son célibat comme il peut ! cousin de dubdadda !" |
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06/12/2012 23:18
Message
#737
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Landreau et Lille, c'est fini Après un peu plus de trois saisons passées dans le Nord, Mickaël Landreau quitte le LOSC. La rupture du contrat se fait d'un commun accord et prend effet immédiatement. INFO L'EQUIPE. Mickaël Landreau et le LOSC ont trouvé un accord, jeudi, pour rompre le contrat du gardien international français, qui courait jusqu'en 2014. Une initiative qui, selon nos informations, viendrait du joueur et auquel le club nordiste a répondu favorablement, ce qui lui permet d'économiser un gros salaire dans un contexte de rigueur financière. Mais les racines de cette séparation sont plus profondes. Les relations entre Landreau et son entraîneur, Rudi Garcia, s'étaient dégradées au fil du temps. Il y a quelques mois, le joueur avait même quitté « le conseil des sages », un groupe de joueurs relais du coach dans le vestiaire. Avec les dirigeants, en particulier Frédéric Paquet, le directeur général adjoint, l'ambiance n'était pas meilleure. Le troisième gardien de l'équipe de France était également de plus en plus isolé avec ses coéquipiers lillois. Soumis aussi à la concurrence de Steeve Elana, titulaire, mercredi, en Ligue des champions, contre Valence CF (0-1), le joueur de 33 ans, qui avait participé au doublé Championnat-Coupe de France en 2011, a décidé de poursuivre sa carrière ailleurs qu'au LOSC. - Damien DEGORRE et Guillaume DUFY
-------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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11/12/2012 14:24
Message
#738
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Peter Luccin à Dallas ! Treizième de la dernière MLS, le FC Dallas accueille Peter Luccin. Le milieu français de 33 ans cherchait un club depuis son départ de Lausanne en avril dernier. Passé par Cannes, Bordeaux, Marseille, Paris, Vigo, l'Atlético Madrid, Saragosse et Santander, Luccin a porté le maillot de l'équipe de France Espoirs à 30 reprises. L'Equipe.fr |
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19/12/2012 13:00
Message
#739
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,516 Inscrit : 05/03/2010 Lieu : Paris Membre no 1,554 Tribune : Non précisée |
Citation Christophe Revault quitte son poste Christophe Revault a pris la décision de quitter son poste d'entraîneur du groupe professionnel du Havre Athletic Club. Il reprend son poste de conseiller technique auprès du président en charge du groupe professionnel du HAC. L'entraîneur de 40 ans participera avec Johann Louvel, directeur de la formation et entraîneur du groupe CFA, au recrutement d’un nouvel entraîneur. Christophe Revault et son staff encadreront néanmoins le groupe professionnel lors du déplacement à Laval, ce vendredi 21 décembre, lors de la 19ème journée de Ligue 2. Il avait été appelé sur le banc début novembre après le limogage de l'ancien entraîneur du Havre Cédric Daury.
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21/12/2012 23:59
Message
#740
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Landreau hésite Mickaël Landreau a reçu cinq propositions de contrat, toutes valables pour les six prochains mois. «Autrement dit, je pourrais soit me libérer en juin, soit aussi pour certaines d'entre elles prolonger d'un an, explique l'ancien portier lillois. Deux émanent de France, deux d'Europe du Sud et une autre d'Europe du Nord. Contrairement à ce que j'ai lu, aucune ne vient d'Angleterre ! Je donnerai une réponse dimanche, au plus tard.» On sait Bastia intéressé, et on devine le troisième gardien de but des Bleus également attentif à la proposition corse, qui présente le double avantage de lui préserver une place en Ligue 1, et donc de lui permettre de se rapprocher du record de longévité de Jean-Luc Ettori (602 matches en L1), ainsi que de conserver sa place en équipe de France, Didier Deschamps lui ayant simplement demandé de signer dans un club français début janvier. Il y a une autre piste en France si jamais celle de Bastia n'aboutissait pas. A l'étranger, un poste de doublure dans une grosse écurie l'attend. «Ce serait prestigieux, dit le Français, mais ça me priverait d'une place chez les Bleus et de l'éventuel record d'Ettori». Deux postes de numéro 1 dans des clubs visant une place européenne lui ont été également proposés. France Football.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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