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[Anciens] Revue de presse, Seulement les articles de la presse, aucun commentaire
Homer
posté 04/01/2012 13:09
Message #641


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Bourillon indisponible plusieurs semaines

Alors qu'il avait rejoué face à Caen (0-0, 21/12), le défenseur central de Lorient Grégory Bourillon (abdominaux) devrait être arrêté plusieurs semaines. Il saura demain si une intervention chirurgicale est nécessaire.

L'Equipe


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J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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Homer
posté 04/01/2012 14:53
Message #642


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Mabiala vers Karabükspor

L'ancien parisien Larrys Mabiala quitte Nice et la France. Le défenseur de 24 ans s'envole ce mercredi pour la Turquie et Karabükspor où il doit passer sa visite médicale. C'est le site officiel du club azuréen qui a annoncé la nouvelle et précisé que les derniers détails financiers étaient encore à régler

L'Equipe


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corto-news
posté 05/01/2012 18:03
Message #643


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Après le PSG, Antoine Kombouaré recharge les batteries avant de repartir au combat

FOOTBALL - Viré du PSG le 22 décembre, l'ancien coach parisien souffle avant de revenir sur le marché...

«Il dit toujours «on» quand il parle du PSG», s’amuse Francis Decourrière. L’ancien président de Valenciennes est resté très proche d’Antoine Kombouaré, qui fut son coach à Valenciennes de 2004 à 2009. Débarqué le 22 décembre par Leonardo, le Kanak n’a tout de même pas renié le PSG. «Il a vécu un moment très difficile. Mais au téléphone cette semaine, il m’a expliqué qu’il s’était révélé à lui-même», ajoute son ami Nordiste. «Il m’avait dit que sa seule chance de rester aux commandes était de terminer premier, ça n’a pas suffi», enchaîne un de ses proches. Aujourd’hui, «en aucun cas il ne reste aigri», assure Christian Karembeu, qui considère l’ancien coach parisien comme son «grand-frère».

Golf avec Laurent Blanc à Noël, la Nouvelle-Calédonie en janvier

Ce sentiment d’aigreur aurait pourtant été légitime. Mais Antoine Kombouaré l’a évacué dès son casier du Camp des Loges débarrassé. Son cercle rapproché affirme aussi que le tacticien a été très touché des marques de soutiens venues de toute la Ligue1. Pour les fêtes, il s’est donc envolé pour le Maroc l’esprit un peu plus léger. Là-bas, il a enchaîné les parties de golf avec Laurent Blanc, le sélectionneur de l’équipe de France, un autre de ses proches. Parti avec un chèque de 4 millions d’euros en indemnités, Il terminera la digestion d’un épisode mouvementé en s’envolant dans les prochains jours pour un mois vers sa terre natale, la Nouvelle-Calédonie. «J’espère qu’il en profitera pour se ressourcer», indique Christian Karembeu.

Decourrière: «Il a déjà reçu quelques propositions, mais il n’a pas intérêt à se précipiter»

Chez Casque d’Or, la déprime n’est de toute façon pas un sentiment connu. De fait, Antoine Kombouaré est déjà dans l’après-PSG. «Il a déjà reçu quelques propositions, mais il n’a pas intérêt à se précipiter», indique Francis Decourrière. L’une d’elles menait au Mans, mais il l’a décliné. En quittant Paris sur un poste de champion d’automne, il est conscient d’avoir conservé une très bonne côte sur le marché. De quoi envisager un retour rapide sur les bancs? «Ca, il n’y a qu’Antoine qui peut le décider. Mais ce métier lui tient à cœur, et ce n’est pas le genre d’homme à rester longtemps au repos», remarque Christian Karembeu.


20minutes.fr


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Homer
posté 14/01/2012 09:23
Message #644


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Kombouaré aurait refusé Monaco

Antoine Kombouaré, récemment licencié du PSG, aurait refusé de devenir l’entraîneur de l’AS Monaco, lanterne rouge de la Ligue 2. C’est ce qu’indiquait hier la chaîne CFoot. Dmitry Rybolovlev, le nouveau propriétaire russe du club monégasque, aurait décidé de se séparer de l’Italien Marco Simone, arrivé à la mi-septembre en remplacement de Laurent Banide.

Le Parisien


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VDV#23
posté 14/01/2012 17:46
Message #645


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Pires et Cannavaro en Inde !

Incroyable mais vrai : l'Inde lance son Championnat de football. Pires, Cannavaro mais aussi Okocha, Fowler, Crespo et Morientes sont de la partie !

l y a trois jours, Robert Pires nous expliquait qu'il avait des touches en Inde. Ces dernières se sont concrétisées. L'IFA annonce que l'ancien milieu de l'équipe de France va participer au lancement de la nouvelle Premier League dont la présentation a été faite vendredi soir. Il évoluera dans le West Bengala (un Championnat à six équipes) avec Fabio Cannavaro, Jay-Jay Okocha, Robbie Fowler, Fernando Morientes et Hernan Crespo. Selon la Gazzetta dello Sport, ces stars devraient toucher entre 500 000 et 1 million de dollars pour sept semaines de compétition. Les clubs de Calcutta, Barasat, Howrah, Haldia, Durgapur et Siliguri seront coachés par Peter Reid, John Barnes, Samson Siasia, Marco Etcheverry, Colin Todd, Teitur Thodarson et Milos Rus. Le premier match aura lieu le 25 février. Après dix journées, les quatre premiers disputeront deux demies. La grande finale se tiendra début avril.
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colt
posté 19/01/2012 17:26
Message #646


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Kombouaré : «Je n'étais pas dupe»
L'ancien coach du PSG Antoine Kombouaré, revient vendredi, dans L'Equipe, sur les conditions de son éviction. Extraits en avant-première.

Antoine Kombouaré, limogé par Leonardo après une dernière victoire à Saint-Etienne (1-0), le 21 décembre dernier, nous a accordé sa première interview jeudi. L'ex-entraîneur du PSG, remplacé par Carlo Ancelotti, ne se dit pas «amer» et estime que c'était inéluctable. Avec Leonardo, il n'avait plus aucun échange depuis deux mois. «Je n'étais pas dupe de la situation (...) Le matin du match à Saint-Etienne, j'avais réuni mon staff pour leur dire : voilà c'est mon dernier match. Je le sentais, je le savais. C'était inéluctable. Dès le départ, j'ai su que ça allait être compliqué pour moi (...) Je ne suis pas amer, j'ai déjà tourné la page. Le fait d'avoir été évincé, je ne peux pas l'accepter, parce que j'étais premier du Championnat, mais je comprends que les Qatariens voulaient un entraîneur de renom», nous a confié le technicien kanak, qui avait gardé le silence depuis son éviction. «Ma plus grande victoire est là, ajoute-t-il. Tout le monde s'attendait à ce que je pète les plombs, que je ne sois pas capable de gérer cet effectif. Mais j'ai montré que j'étais capable de gérer, de gagner mais aussi d'avoir une attitude exemplaire.» Le technicien veut couper, se retrouver en famille, mais espère se relancer dès la saison prochaine dans un autre projet. - A.C., D.D., J.T.

L'intégralité de l'entretien à retrouver vendredi dans L'Equipe.


Lequipe.fr
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remix
posté 19/01/2012 18:47
Message #647


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LE GUEN POUR REMPLACER BLANC ?


Il a beau passer « de bons moments » avec Laurent Blanc, Noël le Graët semble tout de même décidé à se séparer du Président après l'Euro 2012.

Selon Le Monde daté de vendredi, le président de la FFF songerait déjà à l'après Blanc. Le quotidien affirme que NLG « a déjà en tête le nom du successeur de Laurent Blanc à la tête de l'équipe de France : Paul Le Guen. Un Breton, comme lui ».

Trois titres de champions avec l'OL, une coupe de la ligue avec Paris en 2008, et deux mandats ratés du côté des Glasgow Rangers en 2006 et du Cameroun pour la Coupe du Monde 2010. Voici le CV de l'ancien entraineur du PSG, aujourd'hui sélectionneur du sultanat d'Oman depuis juin 2011.

Mais bon, après tout, s'il est Breton...

AS


So Foot
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Dagoberto
posté 20/01/2012 08:38
Message #648


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Antoine Kombouaré : « Je ne me sens pas inférieur à Ancelotti »
Antoine Kombouaré, remercié de son poste d’entraîneur du PSG le 22 décembre par Leonardo après un titre honorifique de champion d’automne, revient pour la première fois sur ce qu’il a vécu.


Avant d’entamer un voyage initiatique en Nouvelle-Calédonie, sa terre natale, Antoine Kombouaré nous a reçus hier dans un hôtel jouxtant les Champs-Elysées. A voir le serveur lui parler, la sympathie du public n’a pas diminué à son égard. Les messages de soutien sont venus de partout, de Nicolas Sarkozy à Bertrand Delanoë, en passant par Marc Lavoine ou d’autres stars du showbiz. Pour la première fois depuis son renvoi du PSG, le 22 décembre, le technicien revient sur ses six derniers mois à la tête du PSG qu’il a traversés en miraculé permanent. S’il dit encore « on » quand il parle du PSG, il va maintenant reprendre des forces pour attaquer sur un banc la prochaine saison. Objectif : un club de très haut niveau, en France ou ailleurs. Kombouaré, confessions intimes.

Comment allez-vous quatre semaines après votre éviction du PSG ?

Antoine Kombouaré. Le moral est bon. J’ai pris quelques jours de vacances. Je suis revenu préparer mes affaires pour repartir… en vacances. Je suis le parcours de mon club, de mon équipe. Je leur souhaite d’aller chercher le titre en fin de saison.

Vous sentez-vous libéré ?

Mon premier sentiment, c’était de la déception, mais en même temps, c’était un soulagement…

Pouvez-vous revenir sur les conditions de votre départ ?

A Saint-Etienne, j’ai discuté avec Leonardo qui m’a dit qu’il voulait me voir le lendemain matin. Là, j’ai compris. Je savais que la fin était inéluctable.

Le succès à Saint-Etienne (1-0) pouvait-il vous sauver ?

Non. Le matin du match, j’ai réuni mon staff et je leur ai dit qu’il y avait neuf risques sur dix que ça s’arrête quelle que soit l’issue du match. J’ai senti, pendant les six mois, que je pouvais sauter à tout moment.

Comment votre femme et vos enfants ont-ils vécu cette situation ?

Ils n’ont jamais rien montré mais ils en ont souffert. Mon fils, les deux derniers mois, n’est plus venu au Parc. Il ne voulait plus. Le lendemain matin de Saint-Etienne, je devais partir en vacances. A 5h30 j’ai emmené ma famille à l’aéroport et avant de partir je lui ai dit que je n’étais plus l’entraîneur du PSG à partir de ce jour. Ils étaient contents, mon épouse, ma fille et mon fils.

Leonardo n’a cessé de répéter que vous étiez au courant de tout. Vrai ou faux ?

Je savais qu’il allait rencontrer des entraîneurs, que ça faisait partie de sa façon de travailler. Donc, à tout moment, je savais que ça pouvait être la fin.

Y a-t-il un sentiment d’injustice ?

Attention, j’aurai les boules jusqu’à la fin de mes jours et je me dirai que l’on m’a privé de quelque chose. J’étais préparé à ce qu’il mette quelqu’un à ma place, pas plus fort que moi, mais qui avait gagné des titres. Il y avait une certaine logique par rapport à ça. Je l’avais intégré et je m’étais préparé en conséquence. Je suis un nanti, j’ai la chance de faire un métier fantastique, je gagne beaucoup d’argent, je suis au PSG.

Quand il rencontre Ancelotti à Paris début novembre, vous avez eu une explication orageuse tous les deux…

Je lui ai dit que c’était embêtant de le rencontrer à Paris. Leonardo faisait ce qu’il voulait. Avec lui, je savais à quoi m’attendre et comment il fonctionnait.

Y a-t-il eu un avant et un après ?

Oui, avant et après Bordeaux (le 6 novembre, 1-1). Et là, je lui ai dit : Maintenant, si tu veux me virer, OK, tu mènes ta vie et moi la mienne. On s’est dit les choses et après, pour moi, c’était fini, je n’ai pas fait la gueule. Je ne me sens pas trahi. Tu es trahi par la famille, par un ami. Là, on est dans une relation de travail où je savais dès le départ à quoi m’en tenir. Je ne suis pas amer.

Cette ambiance vous a-t-elle fait perdre l’autorité sur votre vestiaire ?

Le résultat est que l’équipe a fini première des matchs aller. J’entendais que les joueurs ne se replaçaient pas, on a fini meilleure défense ! Tout cela ne m’a jamais fragilisé vis-à-vis de mes joueurs. Quand j’avais des choses à leur dire, je ne me suis pas gêné.

Qu’avez-vous appris sur vous-même ?

A gérer une forte pression, à vivre avec la défiance des dirigeants, à tous les jours me faire taper sur la tronche. Je suis fier du parcours que j’ai fait au PSG en deux ans et demi. On a fait progresser le club.

Comprenez-vous que l’on puisse virer un entraîneur, premier de son championnat, sous prétexte qu’il n’est pas assez connu et titré ?

Je comprends, oui, mais je ne l’accepte pas car j’avais envie d’aller au bout. J’aurais été vexé d’être remplacé par Makelele, par exemple. Mais là, je suis remplacé par Ancelotti. Attention, je ne dis pas que je suis moins bon qu’Ancelotti, mais je peux comprendre.

Leonardo n’a jamais dit pourquoi il vous a limogé. Vous, le savez-vous ?

La seule raison pour laquelle j’ai été viré, c’est parce qu’ils ont engagé Ancelotti. C’est un entraîneur titré, expérimenté et qui est capable d’attirer des grands joueurs. Mais je ne me sens pas inférieur à lui. Je pense qu’ils n’avaient rien contre moi. Depuis le début, les choses étaient claires. Il ne m’avait pas fixé de date mais il m’avait dit qu’à tout moment ça pouvait s’arrêter. A aucun moment je n’ai pensé que je pouvais finir la saison.

Malgré votre renvoi, vous sortez renforcé de votre passage au PSG ?

J’ai franchi un palier exceptionnel qui me permet de sortir par la grande porte. J’ai gagné en notoriété. Je suis gagnant. J’ai donné le bébé à Ancelotti qui va être champion.

Le PSG l’aurait été avec vous aussi ?

Peut-être. Si le PSG est champion, je me sentirai champion de France.

Makelele dans le staff, c’est une bonne idée ?

Bien sûr. Il m’a appelé, je l’ai encouragé à y aller car c’est une chance fantastique pour lui. S’il veut devenir entraîneur, il va beaucoup apprendre avec Ancelotti.

Etiez-vous contre l’arrivée de Beckham ?

Son arrivée aurait fait gagner cinq ans au club en notoriété, en exposition médiatique. Je comprends qu’on ait tout fait pour l’engager. J’aurais été content de l’avoir, mais je ne dis pas qu’il aurait été titulaire à tous les matchs.

Avez-vous refusé d’entraîner Monaco ?

Il n’y a eu ni approche ni contact. J’ai reçu beaucoup de propositions, mais j’ai botté en touche. J’ai décidé de faire un break pour repartir au début de la saison prochaine.

Où souhaitez-vous rebondir ?

Je viens de vivre six mois super enrichissants qui m’ont permis de franchir un nouveau palier. J’ai pu démontrer, aux yeux de tous ceux qui avaient des doutes, ma capacité à vivre sous pression, à gérer des stars, une équipe, à la faire gagner et à ne pas sortir de mes gonds. Je crois que je peux désormais prétendre à des clubs de très haut niveau, en France comme à l’étranger. J’ai fait mes preuves.

En France, on a du mal à vous voir ailleurs qu’au PSG…

Je vais faire du Luis Fernandez : peut-être que je reviendrai un jour au PSG. Quand j’aurai gagné des titres. Ce n’est pas l’objectif aujourd’hui, mais c’est possible. Je travaille pour gagner des titres. Ce club, c’est une partie importante de ma vie de joueur et d’entraîneur. Personne ne pourra me l’enlever.

Vous partez chez vous en Nouvelle-Calédonie. Pourquoi ?

C’est un grand besoin. J’emmène mon fils, qui ne connaît pas l’endroit. Je veux retrouver les miens, mes origines, me ressourcer et reprendre des forces.


Le Parisien

Petite vidéo ici: http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris-sa...012-1820359.php
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Homer
posté 21/01/2012 13:39
Message #649


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Brest : Ferradj rechute, Makonda absent un mois

Le staff médical du Stade Brestois 29 a fait un point sur l'infirmerie du club. Outre la sérieuse blessure de Tripy Makonda, Alex Dupont a vu Brahim Ferradj rechuter après avoir fait son retour dans le groupe.

Alex Dupont a des pépins avec son effectif. Le staff médical de Brest a dressé un état des lieux vendredi et les nouvelles ne sont pas très bonnes. Outre Tripy Makonda, victime d’une entorse du ligament latéral interne du genou et indisponible quatre semaines, Brahim Ferradj a rechuté. L’Algérien, qui avait récemment repris avec le groupe, s'est fait une élongation des ischio-jambiers et passera des examens ce samedi. Bonne nouvelle en revanche du côté de Jonathan Zebina, qui était en délicatesse avec son dos et ses adducteurs, et qui a repris l'entraînement vendredi.

France Info - Sports


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niramo
posté 24/01/2012 16:10
Message #650


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Lorient : Adama Touré à Gijon

Mis à l'essai la semaine dernière par le Sporting Gijon, Adama Touré a signé pour un an et demi avec le club espagnol. Transféré du PSG en début de saison, le milieu malien de 20 ans n'a fait aucune apparition avec le FC Lorient cette saison.

L'Equipe.fr


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giovanni pontano
posté 28/01/2012 15:31
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Exclusif : Vingt ans après, David Ginola raconte son passage au
stade brestois 29


David, dans quelles conditions êtes-vous arrivé à Brest ?

J'étais au Racing Paris et Lagardère, le président, venait de partir. Malgré que nous ayons joué la finale de la Coupe de France, le club est relégué en Division 2. J'avais besoin de me relancer et de trouver un nouveau club, un nouveau challenge. Les gens de Brest, François Yvinec, Slavo Muslin et Christian Le Garrec, sont venus me voir et j'ai dit ok. J'avais besoin de travailler dans le calme, la sérénité. François Yvinec est quelqu'un de passionné, amoureux de sa ville, de son club, de ses supporters. Je ne connaissais pas la Bretagne et quand on y arrive, avec l'accent du Sud, c'est un peu compliqué. Mais, je m'y suis plu : nous habitions Gouesnou et notre enfant Andréa est née à la clinique St Louis. Brest nous a marqué !

Quel fut votre sentiment en arrivant à Brest ?

Avec le recul, je me dis que c'était un passage obligé ! Quel club aurait pu me donner cette force de croire ainsi en mes possibilités ? Avec Brest, nous avons réalisé des performances fabuleuses. J'ai le souvenir de voir Francis Le Blé en ébullition ! On savait s'y faire respecter et il y avait un bon équilibre entre jeunes et plus anciens. Mis à part Racine Kane et Jos Van Herpen, le groupe était quand même jeune. Ce stade est vraiment extraordinaire par ce qu'il véhiculait ! J'ai le sentiment que mon séjour à Brest était écrit, fallait que j'y passe. Bon, la fin fut plus délicate avec cette impression d'être piégé par les dirigeants mais bon, je garde d'excellents souvenirs de Brest !

Comment le méridional que vous êtes s'est-il fondu dans cette ville, cette région ?

J'arrivais de Paris et de se retrouver, là, à Gouesnou, fut un peu compliqué au départ. Mais bon, j'étais venu à Brest pour travailler et la météo m'importait peu. Dans le Sud, le soleil rend un peu fainéant et là, à Brest, j'ai bossé comme un malade. Nous habitions dans une résidence et je me souviens des parties de pêche, de surf casting, le soir, à la plage. Et puis, avec un ostréiculteur partenaire du club, j'ai mangé les meilleus huîtres et homards de ma vie. Les Brestois sont des gens extras !

Au sujet du départ de Nolan Roux, un supporter a déclaré qu'il n'aura pas marqué Brest comme vous...

(Silence) C'est magnifique ! Brest, c'est vraiment une terre de foot … C'est fou ! Quand tu es ancien footballeur d'entendre cela, en France, c'est fort ! Ça me touche beaucoup. Cela prouve qu'il ya du respect, de la reconnaissance à mon égard, sur ma carrière et cela ne se limite pas à 10 secondes malheureuses avec l'équipe de France face à la Bulgarie ! Je suis vraiment, toujours, le 1er supporter du Brest Armorique ( sic ). Je veux dire à ce supporter que si il a gardé de moi un bon souvenir, cela a été réciproque.

Suivez-vous toujours les résultats de Brest ?

J'ai toujours été convaincu que Brest reviendrait, un jour, en Ligue 1 ! En 1991, on s'est battu, moi le premier, pour que ce club continue à vivre même différemment mais pour que des jeunes continuent à y jouer ! Et puis, il fallait aussi penser à ceux qui allaient signer, à Brest ou ailleurs. Une de mes plus belles victoires, dans ma carrière, a été de sortir la tête haute de cette fin du Brest Armorique. On a fait le boulot, nous les joueurs. Nous avons été pris en otage et nous n'y pouvions rien. Je suis vraiment content que le club soit revenu dans l'élite : ce fut long mais Brest est une ville de foot et son public le mérite.

Quel était le secret de cette équipe qui produisait un superbe football ?

La préparation physique était telle que l'on pouvait jouer un match à fond ! C'était impressionnant .. On travaillait dur à l'entrainement et on pouvait, avec cela, être excellent pendant 90 minutes : je me suis vu, en fin de match, sur des terrains difficiles, faire des accélérations qui laissaient l'adversaire sur place. Cette équipe pouvait déplacer des montagnes : la défense était costaud, au milieu il y avait Momo Bouquet et ses trois poumons et moi, je servais de fer de lance aux Salaün et Cloarec qui allaient à 200 à l'heure ! Et puis, on fournissait beaucoup de jeu : Slavo Muslin est un super entraineur qui avait été un très bon milieu de terrain. On prenait beaucoup de plaisir à travailler avec lui. Cette équipe était efficace, équilibrée et homogène.

Lors du dernier match du Brest Armorique en novembre 1991, à Guingamp, vous étiez présent et avez même pris la parole pour calmer les supporters brestois déçus, écoeurés et énervés. Quels souvenirs gardez-vous de cette soirée ?

Ni gâchis, ni tristesse. C'est depuis ce jour-là que je me suis mis Noël Le Graet à dos ! Il faut savoir, qu'à cette époque, nous n'étions plus payé de puis 3 mois. Comme j'étais la capitaine, certains joueurs venaient me voir pour me dire qu'ils avaient les banquiers qui les appellaient. Nous avions un sponsor et nous avions décidé de ne pas le mettre en avant, avant ce match si nous n'étions pas payés. Cela a crée un conflit avec Noël le Graet mais nous ne voulions pas céder. On nous a promis qu'avec le transfert de certains joueurs la somme acquise servirait à payer les salaires. Nous n'étions pas d'accord car c'étaient, encore nous, les joueurs, qui faisions les efforts ! J'étais un jeune joueur et là, j'ai pris 10 ans de maturité : il fallait gérer les copains, les gamins du centre de formation. C'était incroyable … Le Brest Armorique n'avait pas de solides fondations. Y'avait de la qualité mais c'était trop instable. Avec le recul, je me dis que ce n'était pas plus mal de repartir à zéro. Mieux valait tout détruire pour mieux reconstruire et on voit qu'aujourd'hui, le club est plus costaud et a des bases solides. En quelque sorte, je suis heureux d'avoir participé, un peu, à ce renouveau !

Cette équipe de 1990-1991 avait beaucoup de qualités et, derrière, pointaient de jeunes joueurs comme Guivarc'h, Makelele et d'autres. François Yvinec nous disait récemment qu'il a manqué 2 ou 3 années à cette équipe pour en faire un grand club. Le pensez-vous également ?

Oui, franchement ! Sans cette situation financière difficile, le club aurait pu aller très haut. Il y avait de la qualité chez les pros, mais aussi avec les éducateurs, les instructeurs du club. Cette équipe du Brest Armorique défrayait la chronique, même nationale, par la qualité de son jeu, sa fraîcheur et était même, grâce à Slavo Muslin, devenu référent quand à son jeu ! Oui, mais voilà, malgré sa passion, François Yvinec a mal calculé son coup, financièrement parlant. Un club de foot doit se gérer comme une entreprise avec un bilan et là, ça a été catastrophique. Mais oui, cette équipe, avec 2 ans de plus, était au sommet. Je pense même que le Brest Armorique aurait été le FC Nantes des années 90 ! Rageant …

Vous partez, ensuite, au PSG et là, vous retrouvez nombre d'ex-brestois comme Le Guen, Lama, Colleter, Guérin ou Cloarec. Ne l'avez-vous pas vécu, un peu, comme le prolongement du Brest Armorique ?

Déjà, le « fan club David Ginola » m'a suivi au PSG, De 1992 à 1995, nous avons vécu une période remarquable avec une équipe talentueuse. Avec les anciens brestois, nous avons souvent évoqué Brest. Par exemple, entre Patrick Colleter et moi, y'avait une grande complicité sur notre côté gauche et le fait d'avoir joué à Brest, même si nous n'y étions pas ensemble, cela nous a renforcé. On évoquait nos souvenirs : j'aimais beaucoup aller à Bénodet, au Golf de l'Odet, à Audierne manger chez M. Bosser. Nous avions une relation remarquable avec un point commun : Brest !

David, si vous aviez un mot à dire aux supporter brestois ?

Breizh Atao ! Je remercie le public brestois d'avoir cru en moi, de m'avoir porté, de m'avoir accordé une 2è chance après Paris. Tous les samedis, ce public me portait. La deuxième saison, en Division 2, fut plus compliquée : pas facile, quand tu as goûté aux stades comme Marseille, Bordeaux ou Paris, d'aller à Cuiseaux-Louhans ou La Roche, même si je respecte beaucoup ces équipes ! Mais, faut nous comprendre, nous les joueurs …. En plus, la situation était délicate ! Je crois qu'à Brest, j'ai tout vécu : l'euphorie, le beau jeu, les espoirs, la D1, la D2, la chute, le dépôt de bilan. C'est un gâchis pour les supporters qui eux, ont subi cela. En Division 2, c'était dur pour moi avec un coach adverse qui disait à son joueur : « Ginola, tu le tiens, tu ne le lâches pas ! Tu le marques à la culotte. Je remercie encore ce public de m'avoir soutenu ! Qu'ils continuent à croire en leur club. Brest ne gagnera jamais une Coupe d'Europe mais il va jouer les trouble-fêtes en Ligue 1; former des jeunes car cette région est amoureuse de son club … Oui, que les supporters continuent à aller au stade, il faut que Brest reste en Ligue 1 …

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Madi$kwale
posté 03/02/2012 12:58
Message #652


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Un agent de l'aéroport de Roissy a porté plainte pour racisme contre Marco Simone. L'actuel entraîneur de Monaco l'aurait insulté en août dernier.

Les faits remontent à août dernier, mais Abid Tayef a décidé de témoigner ce jeudi, sur Cfoot. Cet agent de l'aéroport de Roissy a porté plainte pour racisme contre Marco Simone (qui n'était à l'époque pas encore le coach de l'AS Monaco) après avoir été insulté. « J’arrive avec une personne en chaise roulante (...) Je vois un enfant d’un an, un an et demi qui passe devant moi sans surveillance (..) Au moment où j’ai demandé à qui appartenait cet enfant, une personne, le papa apparemment, est sortie, j’ai dit "Monsieur faites attention à votre enfant", là il me répond en italien "Fais ton travail sale arabe de merde". Voila c’était monsieur Simone », a raconté Abid Tayef.



Kamel Chafni aproved ph34r.gif


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"Aucune marque dans l'dos man, j'les ai dans l'crane..."

Vainqueur de l'Urban_2.0 !
Vainqueur de l'Urban_3.0 ! Merci les Jaunes: Unreal, Fufax, Fred et Rjay ! La seule ligne qu'il manque au palmarès de Thierry Henry :wub:

Vainqueur de la Fifa 12.1 Edition_13/11/2011.
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Fred
posté 08/02/2012 09:59
Message #653


On est ParTis, on a tout compris!
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Ginola accidenté

David Ginola a été victime d'un accident de ski ce mardi après-midi en Haute-Savoie affirme Le Dauphiné Libéré. L'ancien joueur du Paris-SG, qui a percuté un autre skieur, souffre de multiples contusions et d'un traumatisme thoracique.

lequipe.fr


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"bon aujourd'hui j'avais pas envie de perdre mes thunes alors j'ai convaincu mon frère de 13 ans de me filer 1€ je lui demandais les matchs sur lesquels il voulait miser mais je lui disait chaque non c'est pas possible :lol:
alors je lui ai imposé dortmund nice et malaga et il a eu le droit de choisir arsenal :lol:
la cote était de 27,4 et on a pas gagné :)" @Fanfan

Vainqueur de l'Urban_2.0 ! Merci le 94/5/7
Vainqueur de l'Urban_3.0 ! Merci les Jaunes: Unreal, Fufax, Madi$kwale et Rjay !



Un jour on demandera au PSG de choisir entre sa vie et ses supporters, il nous répondra sa vie et on le quittera sans savoir que sa vie c'était nous...
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Kaionedirection
posté 10/02/2012 12:51
Message #654


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Luccin : "J'ai eu la carrière que je méritais"

A Lausanne depuis quatre mois, Peter Luccin y a trouvé un tremplin pour rebondir après presque deux ans sans jouer. Le milieu de terrain français de 32 ans, à qui l'on prédisait un brillant avenir, reconnaît s'être un peu perdu en chemin. Mais il "ne regrette rien". Ou presque.

A 32 ans, Peter Luccin est "un homme heureux". Depuis quatre mois, il est exilé en Suisse, dans un "magnifique cadre de vie, à proximité du Lac Léman". Il a posé ses valises à Lausanne, pour "aider le club à se construire, qu'il arrête de faire le yo-yo". A mi-parcours, son équipe n'est pas totalement sortie d'affaires. Même si le dépôt de bilan du Neuchâtel Xamax et les points de pénalités infligés au FC Sion lui ont donné un matelas confortable dans la course au maintien en Superleague. Samedi, elle se mesurera au FC Bâle, l'indétrônable leader du championnat. "Si la météo le permet, corrige Luccin. Ici, les températures avoisinent les -15°C..."

De l'autre côté des Alpes, Luccin a trouvé de quoi se réchauffer. "Se refaire une santé", comme il nous l'explique au téléphone. "Quand Lausanne m'a contacté, début septembre, ça faisait presque deux ans que je n'avais plus joué au foot. J'appréhendais un peu de savoir comment mon genou allait réagir. Mais je me suis vite rassuré." Lausanne : destination étonnante, pour un ancien espoir du football français, promis à un avenir radieux. "Je n'ai pas signé pour l'argent ou pour des pseudos avantages fiscaux, prévient-il. Je n'ai pas de compte en Suisse. D'ailleurs, mon salaire est viré sur mon compte espagnol. Jouer en Suisse me permet juste de me situer." Loin de "sa famille, restée à Madrid", parce qu'il "ne voulait bouleverser la scolarité de (ses) enfants". "Ils viennent en Suisse une à deux fois par mois, relativise Luccin. Et moi, dès que j'ai quelques jours de repos, je retourne à Madrid."

"Le foot me manquait sans plus"

Le natif de Marseille s'était installé dans la capitale espagnole en 2007, lorsqu'il a signé à l'Atletico, après "trois bonnes saisons au Celta Vigo". "J'ai joué pratiquement dix ans en Espagne. Et je m'y suis régalé. Vraiment." Jusqu'à ce maudit mois de mai 2009. Luccin porte alors le maillot du Racing Santander. Face à Malaga, il se blesse, gravement. Rupture des ligaments croisés du genou droit. La guérison sera interminable. Pendant de longs mois, il est éloigné des terrains. Plutôt que de ruminer, il profite de cette parenthèse pour se ressourcer. "Je l'ai très bien vécue. J'étais entouré dans ma famille, à Madrid. Cette coupure m'a permis de rattraper un peu le temps perdu avec mes enfants. Le foot me manquait un peu. Mais sans plus."

Cette traversée du désert aurait pu l'inciter à raccrocher. "Je n'avais pas l'intention d'arrêter ma carrière. Mon agent me disait que j'avais encore pas mal de touches." Au cœur de l'été 2010, il est même tout proche de signer avec Schalke. "Mais au dernier moment, on m'a dit que le club ne laissait pas les pleins pouvoirs à Felix Magath en matière de recrutement. Ça été un petit coup dur. Tout le monde pensait que c'était fait. Moi le premier. On cherchait déjà un appartement. Je me voyais vraiment m'installer là-bas. C'est un challenge qui m'excitait. La Bundesliga, c'est le championnat de demain. Franchement, pendant une ou deux semaines, j'ai ruminé." Pour mieux "tourner la page". Sans renier son parcours, qui l'a conduit de l'AS Cannes jusqu'à Lausanne, en passant par Bordeaux, Marseille, Paris, Vigo, Madrid et Santander. "Ma carrière aurait pu être meilleure, convient-il. Mais elle aurait pu être pire aussi. Je pars du principe que j'ai eu la carrière que je méritais." Mais il concède : "Après mon départ de Marseille, je n'ai peut-être pas progressé autant qu'on l'attendait."

"L'équipe de France, c'est mon seul regret"

"Avec du recul", il "ne regrette pourtant pas" d'avoir quitté sa ville natale en 2000. Même s'il est conscient que son transfert au PSG a fait couler beaucoup d'encre. "Moi, je voulais rester. C'était inimaginable que je parte. Et puis en toute fin de mercato, les dirigeants m'ont fait comprendre que je devrais accepter l'offre de Paris. Que ce serait bien pour ma carrière. Pendant deux heures, je suis resté avec ma famille et mon agent, sans dire un mot. L'atmosphère était pesante. Tout le monde disait que je partais pour l'argent. Mais on ne me laissait pas vraiment le choix. Quand j'ai signé ma résiliation de contrat avec l'OM, c'était ultra-tendu. Des supporters m'attendaient à la sortie." Luccin rallie donc la capitale, où "Paris cherche à construire une grosse équipe". "Les premiers mois, ça marchait bien, se souvient-il. Et puis, à partir de novembre-décembre, on a connu un vrai passage à vide. Je faisais des matches de merde. Je n'étais pas content de moi. Six mois plus tard, je suis parti. Avec un sentiment d'inachevé." Direction l'Espagne, où il estime "avoir grandi". Mais où, revers de la médaille, "la France l'a oublié".

Annoncé comme un futur grand, Luccin ne portera jamais le maillot bleu. Son "seul regret". "A un moment, quand Claude Makelele a pris sa retraite et que Raymond Domenech a testé beaucoup de joueurs au milieu de terrain, je pensais vraiment avoir ma chance. Ne serait-ce qu'une fois, même en amical. Juste pour voir ce que je valais. Porter ce maillot, représenter ton pays, ça doit être tellement fort..." Luccin, international Espoirs et chez les U21, sait qu'il n'en aura jamais l'opportunité. Tant pis. Même à 32 ans, il assure "avoir les jambes pour jouer encore deux-trois saisons au plus haut niveau", "dans un championnat compétitif comme l'Espagne ou la France". "Si je sens qu'à un moment, je suis moins bien, j'aurai l'honnêteté de dire 'stop'."


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Homer
posté 14/02/2012 19:57
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Sur le plan financier, c'est une bonne chose. Avec un propriétaire capable de mettre des millions pour attirer de grands joueurs, le PSG sera armé pour lutter en Ligue des Champions. Après, certaines choses me dérangent. La super ambiance du Parc n'existe plus, et vouloir le quitter, c'est inconcevable !

Jéröme Rothen, dans l'Equipe.


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Kets
posté 15/02/2012 10:42
Message #656


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Robin Leproux nommé directeur général de M6 Publicité

L'ancien président de RTL et président du PSG, Robin Leproux, a été nommé vice-président du directoire du groupe M6 en charge des activités commerciales et du développement. Il succédera à Catherine Lenoble au poste de directeur général de M6 Publicité, filiale gérant les espaces commerciaux des chaînes et des sites du groupe M6.

L'information a été annoncée officiellement ce mardi 14 février en interne, et confirmée par un communiqué en fin de journée. A 61 ans, Catherine Lenoble, membre du directoire chargée de la publicité au sein du groupe M6, a choisi de partir à la retraite le 31 mars 2012. Elle a créé la régie il y a 25 ans et avait précédemment travaillé chez TV6 comme directrice de clientèle.

Robin Leproux avait déjà collaboré avec le groupe M6 à partir de 1992, pour y développer les activités de diversification, notamment la stratégie Internet. En 2000, il avait été nommé vice-président du directoire du groupe.


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Asagi
posté 15/02/2012 15:11
Message #657


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Pancrate : « La montée ? J’y crois dur comme fer »

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Invité de Luis Attaque ce mardi, Fabrice Pancrate est persuadé que le FC Nantes, actuellement quatrième à six points de la troisième place, peut décrocher son billet pour la Ligue 1 à l’issue de la saison. « J’y crois dur comme fer et toute l’équipe aussi, a-t-il déclaré. Même si on est à six points du podium, il reste 16 journées. Pas mal de trucs peuvent se passer. Dans ce genre de course en tête, le plus dur, c’est de tenir. On a le beau rôle parce qu’on court derrière les leaders. On essaie de rattraper tout le monde. En Ligue 2, il y a moins de vérités qu’en Ligue 1, tout le monde peut battre tout le monde. On s’accroche. Le public revient petit à petit à La Beaujoire. Ce n’est pas évident en Ligue 2 parce que les horaires sont fixés au samedi après-midi. Les gens sont plus occupés à faire du shopping que venir au stade. Il faudrait qu’ils soient plus nombreux. »


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sylvain
posté 25/02/2012 15:04
Message #658


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Pauleta : « Je veux que Paris soit champion »



Pedro Miguel Pauleta vit bien sa retraite dans les confins des Açores. Après le petit dej' du samedi en famille, il est déjà en forme pour parler du PSG en marge du match qui les oppose à l'OL ce soir à Gerland. Sympa, discret, direct et réaliste. L'aigle n'a pas changé.




Tu suis un petit peu la saison du PSG ?
Oui, oui, Paris traverse en ce moment une très bonne période, ça fait plaisir à voir. Ils ont une très bonne équipe avec un très bon entraîneur, je pense qu’ils ont les moyens de finir champions cette saison, ça serait mérité.

D’ailleurs si cette année Paris est champion, t’auras pas des regrets ?
Non pas du tout! Les temps changent, moi j’ai joué au PSG à une époque où ça allait un peu moins bien mais j’ai été très heureux là-bas, j’ai gagné des titres et j’ai passé des très grands moments avec les supporters que je remercie encore. Aujourd’hui ça va mieux, et je suis le premier à vouloir que Paris soit champion! Ca serait décevant si ça n'arrivait pas.

Puisque tu parles des supporters, tu penses quoi de la mesure qui a écarté les groupes de supporters historiques du Parc des Princes ?
C’est dommage...C’est dommage parce que les gens dans les virages et derrière les buts étaient les seuls à nous soutenir quoi qu’il arrive. Quand on jouait à huit-clos, on sentait bien la différence. Si le Parc est un grand stade c’est avant tout grâce à l’ambiance qu’il y a à l’intérieur et je pense que c’est dommage qu’ils ne soient plus présents à cause d’une minorité qui foutait le bordel et ne venait pas au stade pour regarder les matchs. Mais malheureusement il faut privilégier la sécurité. Il faut que tout le monde puisse venir au Parc, hommes, femmes et enfants. Et puis bon, nous à l’époque on avait peut-être plus besoin des supporters des virages que le PSG de 2012 vu l’état dans lequel on était (rires).

Il y a quand même des supporters qui ne sont carrément plus pour le PSG à cause de ça, et qui veulent le retour d’un deuxième grand club de la capitale...
Ah bon ? Je n’étais pas au courant. C’est triste d’en arriver là. Je pense que quand on est pour le Paris Saint-Germain, on le reste pour toujours. Mais je comprends que des gens soient déçus.

Plus récemment il y a eu une autre polémique à Paris quant à l’éviction de Kombouaré du poste d’entraîneur. Ta réaction ?
Antoine faisait du très bon travail depuis son arrivée, il était premier avant de partir. C’était sévère pour lui, je pense que le club aurait dû attendre encore un peu. Mais bon c’est comme ça, avec l’arrivée de nouveaux patrons et dirigeants, il y a forcément des nouvelles ambitions et de nouveaux besoins, des nouvelles attentes. Ils veulent que le PSG ait une nouvelle image, que le club soit plus attirant. C’est aussi ça le football.

Justement puisque tu évoques le fric et donc le Qatar, tu penses que c’est une bonne ou une mauvaise chose pour le club l’arrivée de tous ces pétrodollars ?
Il y a des bons et des mauvais côtés. Dans la mesure où, si l’argent apporte des résultats et permet de redonner au PSG son statut de club fort, avec des très bons joueurs et une grande équipe qui gagne des titres, ça peut-être bon. Mais cela peut mettre en péril la formation qui était en train de redevenir un point fort du club. C’est le danger quand un club est dirigé par des personnes qui sont très riches. Elles pensent qu’il ne suffit que d’acheter des joueurs pour tout gagner. Mais il ne faut pas oublier que rien ne vaut un centre de formation fort, avec des jeunes prometteurs. En plus, des jeunes, il y en à plein à Paris, c’est grand Paris.

Et sinon, tu as un petit pronostic pour le Lyon-PSG de ce soir ?
1-0 pour Paris. C’est pas très objectif parce que je veux que Paris gagne étant donné que c’est mon ancien club. Mais je pense aussi que cette année l’équipe est plus compétitive que l’OL qui est en reconstruction. J’aimerais bien que l’un de mes anciens coéquipiers marque le but de la victoire. Sakho, Armand ou Ceara...Peu importe !

Quel est ton meilleur souvenir d’un match face à l’OL ?
C’était en 2004, l’année où on se qualifie pour la ligue des champions. Le match avait lieu au Parc, c’était la 37è journée. A l’époque c’était le grand OL qui dominait le championnat en France. D’ailleurs ils se sont sacrés champion au terme de ce match mais on avait gagné sur un but que j’avais marqué en début de match. C’était une belle victoire dans la douleur.

A part ça, tu parles toujours un peu français ?
Beaucoup moins qu’avant ! Quand je parle de temps en temps aux médias français ou a des personnes françaises je fais l’effort, mais je ne parle plus aussi bien qu’avant. Déjà qu’avant c’était pas trop ça... Non mais plus sérieusement c’est vrai que j’en ai moins l’occasion puisque je vis tranquillement chez moi au Portugal.

Tu reviens à Paris de temps en temps quand même ?
Bien sûr! J’ai vécu quelques années là-bas, donc quand j’ai le temps ou quand je suis en vacances je passe dans le coin. J’adore la ville, les restos et tout...Quand je suis nostalgique, ça me fait du bien de revenir.


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Oyé Sapapaya
posté 27/02/2012 13:30
Message #659


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Come-back au Parc des Princes !
27/02/2012

Six ans après sa dernière apparition porte de Saint-Cloud, Vikash Dhorasoo est revenu au Parc le 19 février dernier. Et ce soir-là, le PSG s'est fait malmener par Montpellier. Récit.

Les Qataris feront un jour leur « coming out ». Le Qatar en mécène du PSG ? Le mien, Winamax, est sponsor du PSG. On est dimanche 19 Février j’ai décidé dans la semaine de profiter de leur loge VIP pour me rendre au Parc des Princes assister à PSG-Montpellier. The big match ! 6 ans, et oui 6 ans, sans voir les tribunes du Parc. La dernière fois, c’était pour un classico. Vous vous souvenez ? Celui joué contre les minots marseillais en 2006. 0-0, qu’on avait fait. Guy « Stache-mou » Lacombe avait eu la bonne idée de m’envoyer en tribune pour m’éviter cette humiliation ; et surtout pour me punir. Et puis, de retour de la coupe du monde, j’ai joué mon dernier match officiel de ma carrière au mois de septembre 2010 contre l’OM. Défaite 3-1. Adieu le parc. Adieu le foot professionnel…

Le dimanche matin, le jour du match, je ne suis plus sûr de vouloir retourner Porte de Saint-Cloud. J’ai un peu peur. Peur de quoi ? Je ne sais finalement pas. Evidemment, pour me faciliter la tache, j’avais eu la bonne idée de lancer dans une interview que Paris n’avait pas d’histoire. Ressorti de son contexte, c’était un peu agressif. Les tweets ont fusé, les déclarations de guerre avec. Je n’ai pas bronché. C’est donc avec beaucoup d’appréhension que j’ai pris le risque d’affronter mes anciens supporters. Vers 19h30 Mamat me rejoint. On saute dans un tacos, direction l’inconnu. Je prends soin d’en informer mes followers. Le taxi, à l’approche du stade, panique et nous lâche dans la « jungle » du 16ème, territoire inconnu depuis que je me suis installé dans le 9ème.

Buffet

« Ici c’est Paris, ici c’est Paris ». « Alors, Paris n’a pas d’histoire Vikash ? ». On tourne vite pour trouver l’entrée VIP, alors j’appelle Jean de chez Winamax : « Bon tu prends par là et puis par là…bon bref, démerde toi » . Pierre m’envoie des SMS pour qu’on prépare notre départ pour le Maroc le mardi d’après, où l’on doit diffuser « Substitute » dans deux villes impériales. Je croise un noir sous une capuche.
« Eh Vikash »
« Bonjour Monsieur »
« Mais c’est Patrick M’Boma »
« Toi aussi tu galères ? »
Je suis sur la défensive.

Et puis on trouve. Deux minutes plus tard, nous sommes enfin face au buffet. Expert des salons de tous les stades italiens, et surtout celui de San Siro, je trouve celui du Parc un peu cheap. Je décide donc de boire. J’en profite pour serrer quelques paluches. Alain Roche, Alain Cayzac, Jerome Alonzo… Quelques mecs qui me rappellent vaguement mon bref passage dans le club parisien. Maguy Nestoret, l’adjointe aux sports de la ville de Paris, me fait la visite des lieux. Le match commence enfin.

« Tu as grossi, non ? »

Mi-temps, 1-1, je croise Cayzac, mon ancien président au PSG. Je bois du vin et je recroise Cayzac, alors je rebois du vin. On me tape sur l’épaule, je me retourne, c’est Lilian Thuram.
« Alors mec, tu deviens quand président de la FFF ou ministre des sports ? »
« Je sais pas trop, j’y pense mais c’est pour plus tard… »
« Oui mais un noir président, ça peut péter non ? »
« Oui mais j’ai trop de boulot en ce moment et puis avec les gosses…Et toi ? »
« Oh tu sais, c’est pas trop mon truc de passer ma vie avec des vieux…Tu as grossi non ? »
« Ah ouais, tu trouves ? Pourtant j’ai repris le foot avec le Winamax FC et puis avec Tatane on fait des super trucs, tu devrais nous rejoindre tu sais… »

Le match reprend, je recroise Cayzac. 2-2, fin du match. Je retourne boire du vin et manger - pour la quatrième fois de la soirée -. Bazin, ex-patron du PSG, (celui qui m’a viré), traverse la pièce pour me serrer la main. Je la serre fort, fort, très fort en le regardant droit dans les yeux : « Je suis un mec poli donc je vous serre la main ». Le foot n’a pas de mémoire !

Je tweet un « ce soir, ici c’était Montellier » pour préparer mon prochain match au Parc et je saute dans un taxi direction le Mansart et son baby foot avec Canel Frichet, la DG de Winamax, Mamat et Reg… Ce soir, tard, j’ai encore gagné. N’est-ce pas Régis ?

Par Vikash Dhorasoo


http://www.sofoot.com/blogs/tatane/come-ba...ces-148804.html

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Mursik
posté 04/03/2012 19:06
Message #660


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Quand Heinze se paie l'OM

Quand "Gaby" défend son «ami» Lucho, il le fait en taclant. «Il a donné tellement de choses à l'OM que le faire partir ainsi, par la porte de derrière... Ils ne l'ont pas fait partir comme il le méritait (...) Parfois, les personnes, les entraîneurs oublient vite ce qu'a fait un joueur. (...) Deschamps, j'espère le revoir une fois en face à face. J'ai des choses à lui dire que je n'ai pas dites quand je suis parti de l'OM.» Le défenseur argentin estime que son compatriote «méritait que l'entraîneur lui donne plus de respect, plus de choses pour qu'il se sente bien.»

Sur son propre départ, un an avant la fin de son contrat de trois saisons, Heinze exonère "DD" mais allume Jean-Claude Dassier, le prédécesseur de Vincent Labrune dans le fauteuil de président. «J'étais allé discuter avec (lui). Mais il m'a parlé d'argent, et pas de projet ni de football. Moi, je suis un joueur de foot (...) Je suis parti la tête haute, parce que je pensais que le club, et pas Deschamps, se trompait sur certaines choses. Je suis parti parce que j'ai des principes et des valeurs.»

Quand on lui fait remarquer que l'OM n'est que 8e de L1 actuellement, l'Argentin laisse percer une certaine rancoeur personnelle : «Le temps finit toujours par donner la vérité. Ils pensaient que c'était mieux que Gabriel Heinze parte pour faire une bonne saison.»


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FLUCTUA NEC MERGITUR AD VITAM

"J'avais une maison au bord de la mer. Mais pour aller à la plage, il fallait passer devant un bar. Je n'ai jamais vu la mer…" George Best
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