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DIDI.
posté 25/11/2011 16:13
Message #621


Blaisou state of mind
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Bueno : «J'avais les qualités pour m'imposer à Paris»

Depuis son arrivée chez les modestes mexicains des Gallos de Queretaro en janvier 2011, l'ex fantôme parisien, Carlos Bueno, cartonne. Avec 21 buts en 34 matches, dont un retentissant doublé le week-end dernier en quart de finale de Liguilla face aux Chivas, l'Uruguayen est, de loin, le meilleur réalisateur de l'année en pays aztèque. Il nous en dit plus sur son année faste, et se souvient de son séjour parisien.

Les Gallos devaient lutter pour le maintien, et vous vous retrouvez en Liguilla (le tournoi entre les huit meilleurs de la saison régulière qui parachève la saison), comment l'expliques-tu ?
Nous savons à quoi on joue. On n'a pas deux, trois stars dans notre effectif, comme la plupart des autres équipes, mais on donne vraiment tout Ça correspond vraiment à mon style, de courir, de lutter jusqu'au bout pour l'emporter.

En quoi le football mexicain est-il propice à ton expression personnelle ?
En matière de rythme, je crois que ce football me convient mieux. Ici, le championnat est vraiment équilibré. Toute le monde peut battre tout le monde. Tu as donc ta chance à tous les matches, ou presque. Je pense que je peux donner encore plus. Physiquement, je peux encore m'améliorer pour ne plus subir de baisse de régime en fin de match.

Pourquoi avoir accepté l'offre des Gallos de Queretaro, un club sans aura internationale ?
Jusqu'à là, j'ai toujours joué dans des équipes candidates au titre (Peñarol, PSG, Sporting Portugal, Real Sociedad en L2 espagnole, U de Chile). Lutter pour le maintien représentait un nouveau défi, et les dirigeants m'ont convaincu en m'assurant que ce club constituerait un tremplin vers une plus grosse écurie.

Tu penses encore pouvoir revenir en Europe ?
Non, à mon âge, 31 ans, je crois que les clubs européens ne s'intéressent plus à toi. Je mise davantage sur une belle offre en provenance d'un grand club mexicain. Enfin, pour le moment, je pense avant tout à bien terminer cette Liguilla. Nous disposons d'une belle opportunité de nous qualifier pour les demi-finales.

Et la Celeste que tu n'as plus retrouvée depuis 2008, tu y crois encore ?
Bien sûr. J'y pense tous les jours. Je m'efforce au maximum pour qu'on me prenne à nouveau en compte. Je suis toujours en contact avec Oscar Tabarez. Après, je sais qu'il y a de grands joueurs devant moi, meilleurs que moi, enfin non, plutôt, des joueurs qui se distinguent en Europe. Personnellement, cela fait trois ans que je fais bien les choses. Avec la Real Sociedad j'ai marqué des buts, et on est monté en première division. A la U de Chile, ça s'est aussi bien passé pour moi. D'ailleurs, je reçois toujours les pré-convocations. Lors du dernier match de la Celeste, étant donné le forfait de Forlan, j'attendais fébrilement le dévoilement de la liste, mais bon, ça n'a pas été pour cette fois

Le doublé de Bueno face aux Chivas


Comment expliques-tu ton échec à Paris ?
La suspension de la FIFA nous a vraiment pénalisé, moi, et Cristian Rodriguez. Peñarol en avait appelé à la justice sportive, car on était parti sans que le club ne reçoive d'indemnité de transfert, ce qui nous a valu d'être interdit de compétition pendant plusieurs mois. Physiquement, ces mois sans jouer nous ont coûtés cher, mais je garde quand même de bons souvenirs de Paris, comme la Coupe de France remportée face à l'OM. Je suis devenu très ami avec Pauleta et Mario Yepes, qui nous ont très bien accueillis, moi et Cristian, alors que l'on ne parlait pas un mot de français. Comme je voulais jouer davantage, je me suis fait prêter au Sporting Portugal. A mon retour, le PSG ne comptait pas sur moi, et j'ai demandé à partir. Pour moi, j'avais les qualités pour m'imposer à Paris, d'autant que je venais de réaliser une grande saison en Uruguay. Mais je me suis blessé, et la suspension de la FIFA n'a rien arrangé.

Pour toi, en quoi la Ligue 1 se distingue des autres championnats ?
En France, on s'entraîne vraiment dur. Je n'ai rien vu de comparable au Portugal, en Espagne, ou en Amérique latine. La priorité est donnée au physique plutôt qu'à la technique.

Tu suis toujours les résultats du PSG ?
Oui, dès qu'ils diffusent un match d'Europa League, je regarde. Je crois que l'arrivée de Leonardo va vraiment être bénéfique au club. Il connaît très bien le PSG, et visiblement il fait bien les choses, puisque Paris est en tête du championnat.

Cette semaine, se disputera OM-PSG. Toi qui a joué un paquet de Nacional-Peñarol, les deux rivalités peuvent-elles se comparer ?
Je n'ai jamais été aligné lors des PSG-OM, mais je crois que les joueurs qui disputent un Nacional-Peñarol ont davantage les couleurs de leur club dans le sang. En général, avant de devenir pro, on a tous été supporters de l'un des deux clubs. Les PSG-OM, c'est différent, on perd, et le lendemain tu passes à autre chose. En Uruguay, en cas de défaite, tu n'oses pas sortir dans la rue. Dans le même temps, la tension entre supporters me paraît plus importante en France. Quand je me suis rendu à la finale de la Coupe de France, qu'on a remportée, j'ai constaté que les fans ne s'aimaient vraiment pas! Bon, en tout cas, j'espère que Paris va gagner, ils ont vraiment une bonne équipe.

Propos recueillis par Thomas Goubin


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HHA
posté 27/11/2011 14:45
Message #622


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Le Bonheur, par JP Sorin

A l'occasion du classique OM/PSG, Juan Pablo Sorin inaugure son blog sur le dotcom de SoFoot. Au menu aujourd'hui, il revient sur son départ forcé du PSG. En cause: ses relations avec Vahid.

Après plusieurs années d’absence c’est avec un grand plaisir que je retrouve amis, supporters et amoureux du football français. Depuis la chaleur du Brésil, avec le céleste et blanc de l’Argentine agrafé au cœur et après avoir passé 15 années à parcourir le monde pour vivre et respirer le football de 6 championnats différents, je profite de l’occasion pour vous remercier de l’affection que vous m’avez toujours manifestée durant mon passage en France. Ensemble, nous allons désormais partager émotions, anecdotes, confessions... Bref, des moments de bonheur intense mais aussi de profondes tristesses. Je vous raconterai ce qu’il se passe, ici, en Amérique du Sud en espérant avec impatience vos commentaires.

Durant la saison 2003/2004 j’ai été prêté au PSG. Ce fut pour moi 10 mois de vies parisiennes, de bohème, d’amitié sincère et de bon temps. Ce furent aussi 30 matchs disputés avec le maillot parisien sans connaître une seule fois le goût amer de la défaite. Et puis, ce fut un titre : une coupe de France. Un trophée remporté après avoir éliminé l’Olympique de Marseille lors du Clasico… Grâce à un but marqué par mes soins, de la tête, lors du temps réglementaire au Stade Vélodrome. Un moment inoubliable ! Cette saison nous avions fini vice-champion de France, juste derrière l’heptacampeon Lyon.

A Paris on m’a donné le surnom de « Bonheur » parce que j’étais une sorte de talisman pour l’équipe. J’ai été invaincu. Le fait de ne pas connaître la défaite avec un maillot de football sur le dos c’est une sensation unique que je n’ai pu expérimenter qu’une seule fois dans ma vie. A l’époque les supporters du PSG avaient même inventé une jolie chanson pour me rendre hommage et à ma grande surprise j’ai aussi été élu comme l’un des 40 joueurs les plus importants de l’histoire du club... Alors que je n’y est passé que 10 mois! Néanmoins, -et malgré le fait que le prix de mon transfert n’était pas excessif-, j’ai dû quitter le PSG. Contre ma volonté. Mais aussi contre la volonté des supporters du club qui m’avait montré leur soutien en manifestant leur colère. J’ai fait mes valises, en laissant derrière moi une ville merveilleuse et l’un de mes maisons préférées: le Parc Des Princes. Sept ans après, je vous raconte aujourd’hui pourquoi…

Personalidad, liderazgo...au revoir!


Monaco est une ville aristocratique et son stade est plutôt glacial. C’est là que j’ai eu une discussion importante avec mon entraîneur (Vahid Halilhodžić, ndlr) de l’époque. Une conversation, qui, entre autres choses m’a coûté “l’exil” forcé. Comme on dit en Argentine...”tasa, tasa, cada uno en su casa”. Je suis parti de Paris à contre coeur. C’est le prix que j’ai payé pour ma liberté de penser, pour ne pas trahir mes valeurs et pour avoir refusé d’abandonner la sélection argentine. On jouait contre Monaco et comme d’habitude avant chaque match, le coach a pris la parole pour donner ses dernières instructions: -Ici, personne ne peut se permettre de rentrer sur le terrain pour gagner. Même le Real Madrid.... C’est là que je l’ai interrompu: - Pardon Coach, mais le Real dispute toujours ses matchs pour les gagner. Peu importe le stade. (Je suis bien placé pour le savoir, grâce à mon passé Blaugrana) Nous sommes le PSG et nous pouvons gagner le match mais...certainement pas en jouant la défense!

La tension a flottée dans l’air pendant encore quelques minutes. Puis nous sommes finalement rentré sur la pelouse… Pour y suivre les directives du coach: jouer en spéculant. Au final, match nul. 1-1. Nous avons fini deuxièmes du championnat après avoir gagné contre Lyon lors de la dernière journée. La qualification directe pour la Ligue des Champions était ainsi assurée. Le coach fêtait et triomphant il bougeait ses bras partout comme un moulin alors que de mon coté j’essayais de retenir les larmes de mes yeux injectés de sang…

Dans le vestiaire: - Qu’est-ce qui se passe? Tu n’es pas content? - Vous savez très bien ce qui se passe, je lui ai répondu. Vous vous rappelez du match de Monaco? Si on avait gagné ce jour là nous serions aujourd’hui en train de fêter un titre de champion...Vous comprenez ce que c’est? Champions...

Finalement, je suis parti de Paris, où je reviens souvent pour sa magie, et où j’ai laissé de grandes relations affectives. A l’époque, je n’avais même pas pu négocier la moindre ligne d’un contrat. La dernière fois que j’ai parlé au coach, je me rappelle qu’il m’avait “suggéré” de jouer la moitié des matchs de la sélection argentine si je voulais rester. Logiquement, j’ai refusé… Résultat: je suis retourné deux mois au Cruzeiro en 2004, avant d’être transféré à Villarreal. Là-bas, moi et mes compagnons avons réalisé une saison fantastique en nous qualifiant notamment pour une demi-finale de Ligue des Champions…

On se retrouve la prochaine fois pour parler du Classico.

A très vite. D’ici là je vous souhaite d’avoir plein d’énergie positive.

Abrazo,

JP


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romano
posté 28/11/2011 13:06
Message #623


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Mendy: « Mon but sur une passe de...Lizarazu »

Du fin fond de sa SuperLiga danoise, où il défend aujourd’hui les couleurs d’Odense, Bernard Mendy capte Canal Sat’ et sera bien assis dans son canapé pour savourer cet OM-PSG. Interview nostalgie, analyse et pronostic avec l’ancien latéral droit parisien.

Tes meilleurs souvenirs d’un PSG-OM en tant que supporter ?

Évidemment, je pense tout de suite au match où Ronaldinho leur met la misère chez eux. Celui où il marque un but de folie, alors qu’en fait c’est Jérôme Leroy qui pousse la balle au fond des filets. Avec Fernandez qui dansait devant son banc... Il avait d’ailleurs failli se faire buter ce soir-là en sortant du stade ! Et puis je me souviens aussi de Jay-Jay Ockocha, de son fameux geste placé sur un Patrick Blondeau qui était parti un peu à l’Ouest.

Ce sont davantage des souvenirs de joueurs, de gestes, d’instants...

Bah ouais, parce que ces matchs là, je ne les ai pas joués ! J’étais en tribune ou devant ma télé...

Et concernant ceux que tu as disputés ?

Direct, le match de coupe où je marque au Vélodrome, contre Fabien Barthez en plus, avec une passe décisive de Lizarazu... (Rires) Sinon, il y a la victoire au Parc quand Pauleta met son super but, cette frappe complètement excentrée sur Barthez encore une fois. Et puis y’a la finale de Coupe de France qu’il fallait absolument gagner, avec ce but incroyable de Vikash. On l’a tellement charié après le match ! Ce genre de frappe, il n’en a mis qu’une seule dans sa carrière et c’est celle-là. C’était vraiment un beau but, et une belle victoire qu’on a fêté dignement. Barrio Latino pour tout le monde !

T’en as joué combien des PSG/OM ?

Franchement, je ne sais pas. Faudrait que je regarde sur internet...

Tu ne les as pas compté ?

Non, mais je suis resté sept ans à Paris, donc on peut faire le calcul si tu veux.

« Paris dans la même catégorie que ManU »

Comment tu le trouves ce nouveau PSG ?

Le PSG version Qatari, c’est bien pour le football français. Pour l’instant, ils font les bons choix, dans la mesure du raisonnable. Le recrutement est bon, même si l’équipe ne pratique pas encore un aussi bon football que l’année dernière. Il faut que la mayonnaise prenne, mais de toute façon, pour être champion, il faut surtout gagner les matchs, peu importe comment... Du moment que tu gagnes, c’est parfait. Que demander de plus ? C’est à la fin des concerts, de la musique ou je sais pas quoi qu’on... Ah ouais non, c’est à la fin du bal qu’on paye les musiciens ! Bien sûr que les journalistes, les téléspectateurs aimeraient que le jeu soit élégant. Mais on ne peut pas faire du beau jeu tous les jours.

Un mot sur la rumeur Ancelotti ?

C’est un secret pour personne ! Depuis qu’ils sont arrivés, les Qataris cherchent un entraîneur à mettre à la tête de “leur” PSG. Ça n’a pas pu se faire pour l’instant, donc ils continuent avec Kombouaré. De là à le virer maintenant, ce serait injuste car aujourd’hui les résultats parlent pour lui. Il fait un excellent travail parce qu’il est assez fort mentalement pour faire la part des choses et coacher ses mecs sans trop se poser de questions. Il sait qu’à n’importe quel moment, Leonardo peut aller voir d’autres joueurs, d’autres entraîneurs. Tout simplement parce que Paris est entré dans une autre dimension. Aujourd’hui, Paris joue dans la même catégorie que Manchester United.

Et l’OM, tu les suis un peu ?

Même s’ils se sont bien repris en championnat, ils sont dans une situation difficile, dos au mur en Champions League. La rupture entre Deschamps et Anigo, les histoires avec Gignac, tout ça n’arrange rien. Entre les joueurs qui sont pro-Anigo et ceux qui se rangent du côté de Deschamps, je crois vraiment que le club n’a pas besoin de ça. La situation de Marseille est difficile pour tout le monde, et surtout pour le football français en Europe.

Et aussi pour le PSG... Parce qu’un clasico avec Paris et Marseille aux commandes de la Ligue 1, ça a quand même plus de gueule, non ?

Oui c’est sûr, mais c’est vraiment un match à part. Quoi qu’il arrive, les supporters te mettent la pression et tu sens vraiment que par rapport à eux, tu peux presque sauver ta saison si tu gagnes. Marseille peut tout à fait retrouver la lumière sur ce match.

Un prono ?

Bodmer, Armand, Mandanda, Diawara, Fanni, Cheyrou... J’ai des potes des deux côtés du terrain, mais je mise sur une victoire 1-0 de Paris. Avec un but de Bodmer, parce qu’il faut qu’il marque un peu mon p’tit gros ! Ça, ce serait l’idéal.

Si Bernard Mendy pouvait jouer ce soir, il évoluerait de quel côté et à quel poste ?

Milieu droit à Marseille ! Mais Paris ne risque rien, je n’ai jamais marqué contre un de mes anciens clubs. LOL.


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Carlton
posté 03/12/2011 16:29
Message #624


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Nicolas Anelka mis à pied par Chelsea !


Nicolas Anelka a été mis à pied vendredi par le club londonien et ne jouera donc pas cet après-midi contre Newcastle. Il ne peut plus s'entraîner avec le groupe professionnel et a été mis à à la disposition de l'équipe réserve. | AFP/Olly Greenwood

Nicolas Anelka, 32 ans, l'attaquant français de Chelsea, a été mis à pied hier par le club londonien et ne jouera donc pas cet après-midi contre Newcastle. Il ne peut plus s'entraîner avec le groupe professionnel et a été mis à à la disposition de l'équipe réserve. Alex, le défenseur brésilien des Blues, est également visé par cette procédure.

On ne connaît par encore les motifs réels de cette décision, mais celle-ci pourrait être liée aux velléités de départ de ces deux joueurs. On sait, en effet, qu'Anelka, en fin de contrat avec le club anglais en juin prochain, est actuellement en contacts avancés avec le club chinois de Shanghai Senshua.


leparisien.fr
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Julio94
posté 04/12/2011 23:22
Message #625


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Le Nacional de Gallardo champion

Entraîné par l'ancien Monégasque et Parisien Marcelo Gallardo, le Nacional Montevideo a remporté le Championnat d'ouverture uruguayen. C'est un petit miracle puisqu'il y a quelques semaines, le club comptait sept points de retard sur le leader. Mais grâce à une super fin de championnat (22 points lors des huit derniers matches!), le Nacional est remonté et a été sacré après sa victoire sur le Liverpool de Montevideo (1-0). L'unique but de la rencontre a été marqué par Alvaro Recoba, feu le joueur le mieux payé du monde.


lequipe.fr


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Homer
posté 06/12/2011 17:59
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Fernandez bientôt fixé

L'avenir de Luis Fernandez à la tête de la sélection israélienne devrait se jouer dans les prochaines semaines. Malgré des résultats décevants et un contrat qui expire fin 2012, la Fédération n'excluerait pas la possibilité de prolonger l'entraîneur français au poste de sélectionneur. «Son contrat se termine fin décembre et la Fédération (israélienne de football) se réunira début janvier pour décider de l'identité de l'entraîneur de l'équipe nationale», a déclaré une source au sein de la Fédération. Recruté en 2009 avec l'objectif de qualifier Israël pour la phase finale de l'Euro 2012, Fernandez a échoué à la troisième place de son groupe derrière la Grèce et la Croatie.

D'après l'entourage de l'ancien entraîneur du PSG, il «attend la décision de la fédération qui doit examiner le rapport qu'il a présenté sur son bilan à la tête de la sélection». Il avait déclaré en Septembre qu'il resterait tant qu'on voudrait de lui, affirmant s'être «complètement investi (...), je continue, car je veux réussir». Selon la presse israélienne, qui n'a jamais apprécié Fernandez, Eli Guttman, ancien coach de l'Hapoël Tel Aviv, considéré comme l'un des meilleurs entraîneurs d'Israël, est le favori pour succéder au Français

L'Equipe


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PetaiceJay
posté 12/12/2011 10:21
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Jean-Michel Badiane, un «bénévole» à la relance

FOOTBALL - L'ancien défenseur du PSG tente un retour avec le Paris FC où il joue gratuitement...

Il n’y a pas de traitement de faveur au Paris FC. Même avec son statut d’ancien joueur de L1 et d’international espoir, Jean-Michel Badiane range les buts mobiles comme tout le monde, quand il fait partie de l’équipe des perdants à l’entraînement. Depuis quelques semaines, l’ex-défenseur du PSG s’entraîne à la Porte de Montreuil sous les ordres d’Alain M’Boma, le seul coach qui a accepté de le mettre à l’essai depuis son départ de Sedan, il y a deux ans et demi. Après deux années passées au côté des jeunes du centre de formation du PSG, Badiane a proposé ses services gratuitement au PFC. En échange, «ils doivent (l’aider) à retrouver le plus haut niveau.»

A 28 ans, le défenseur central attend toujours sa première apparition en National pour effacer la déprime des derniers mois. Il faut déjà remonter quatre ans en arrière pour trouver trace de son dernier match officiel. Un an et demi pour son dernier salaire, versé par Pôle Emploi. «Quand il n’y a pas de compétition pendant une deux, trois saisons, on tombe dans une spirale qui n’est pas facile à enrayer. Mais je me bats parce que j’ai confiance en mon football et mes moyens physiques.» L’ancien de l’INF Clairefontaine a surtout dû se battre contre une rumeur le donnant perdu pour le foot. Avec cette étiquette de blessé longue durée «aucun club ne voulait prendre le risque de (le) relancer. A Sedan, certaines personnes faisaient croire que j’étais blessé. Je pense que le but était de se séparer de moi à moindre frais. Puis j’ai compris que cette rumeur prenait de l’ampleur. J’ai dû prouver que j’étais en bonne santé.»

«Coach, sans prétention, j’ai déjà joué la Ligue des champions…»

Depuis une arthroscopie du genou gauche en 2005, son corps ne couine plus. Mais les portes se sont toutes fermées. «Les clubs de L1, L2, mon agent les a tous fait. Ils disaient non. Les clubs de National, ils me disaient on ne vous connait pas.» Le meilleur ami de Jérémie Aliadière se souvient notamment de cet entretien surréaliste dans le bureau d’un coach de National qui lui reprochait de ne jamais avoir joué à ce niveau. «Je l’arrête un moment je lui dis: “coach, sans prétention, j’ai déjà joué la Ligue des champions…” Ah bon? Je vais regarder sur Internet, parce que je ne te connais pas…»

Avant de renouer avec le quotidien d’un club, Badiane a donc profité de son temps libre pour regarder des dizaines de matchs à l’étranger, à Londres, Barcelone ou Madrid. Ces quatre années de chômage technique lui ont aussi permis de tirer certaines leçons sur son milieu. «A Paris, on a beaucoup de soi-disant amis et même si ça m’a arrangé, on s’aperçoit que beaucoup disparaissent quand ça va moins bien.» Sur son compte en banque, quelques zéros se sont aussi envolés si bien qu’à 28 ans, Jean-Michel Badiane est retourné vivre chez ses parents. «Un choix par contrainte» pour celui qui a rejoint l’INF Clairefontaine à 13 ans. «Financièrement, passer de tout à rien, ça reste très compliqué. Un contrat de trois ans au PSG ne met pas à l’abri du besoin. Heureusement que j’ai des parents qui savent que ce n’est pas toujours évident. Ils me soutiennent, comme quand ils venaient me voir sur des terrains pourris où je n’avais même pas envie de jouer.» Voilà pourquoi le stade Charlety a de quoi le faire rêver.


20Minutes.fr et édition papier de ce Lundi 12 Décembre.


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"Quand un homme regarde trois matchs de football d'affilée, il devrait être déclaré légalement mort. "
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Homer
posté 14/12/2011 10:36
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Djorkaeff et Gallardo pressentis à Monaco

L'homme d'affaires russe Dmitri Rybolovlev sera bien le nouvel homme fort de l'AS Monaco. Etienne Franzi, l'actuel président du club, l'a confirmé mardi après son passage à Paris devant la DNGC : «Avant la fin de l'année, il y aura un nouvel actionnaire majoritaire à l'ASM, qui sera M. Rybolovlev et son groupe».

Mais la 93e fortune mondiale, selon le dernier classement du magazine américain Forbes, ne devrait pas débarquer seule en Principauté. Youri Djorkaeff est pressenti pour devenir le futur directeur sportif du club de la Principauté, et il pourrait être rejoint après la trève par un autre ancien Monégasque, l'Argentin Marcelo Gallardo. L'ancien international, qui a mis un terme à sa carrière en mai dernier, pourrait remplacer Marco Simone au poste d'entraineur, rapporte L'Equipe.

Nommé coach du Nacional Montevideo en juin 2011, Gallardo vient de remporter le championnat Apertura avec le club uruguayen. (Photo Presse-Sports)

France Football


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Beuzech
posté 14/12/2011 11:38
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Dalmat sur le départ

«En situation d'échec», dixit son entraîneur Frédéric Antonetti, le milieu offensif du Stade rennais Stéphane Dalmat (32 ans, sous contrat jusqu'en juin prochain) pourrait quitter la Bretagne dès cet hiver pour retrouver du temps de jeu (49 minutes en quatre apparitions cette saison en L1). Alors que l'ensemble du groupe pro est en route pour Madrid et le match de Ligue Europa face à l'Atletico Madrid (jeudi, 21h05), l'ancien Sochalien, arrivé au club à l'été 2010, est le seul à ne pas être du voyage. «Pour raisons personnelles» a expliqué mardi Antonetti, qui lui ouvre la porte à un départ en janvier. «Est-ce que cela serait bien pour lui de repartir sur un autre challenge ? On se pose la question, lui aussi. (...) C'est un très bon joueur, il le montre parfois. Mais on n'a pas été en réussite ensemble. Il a une part de responsabilité, mais pas tout


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Moux
posté 16/12/2011 19:44
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Sessegnon: "A Paris, je ne pouvais pas continuer"



Près d'un an après son arrivée à Sunderland, Stéphane Sessegnon ne regrette pas d'avoir quitté le PSG. Dans France Football, le Béninois explique qu'il lui était devenu impossible de s'entraîner "sous les ordres" d'Antoine Kombouaré.

"Je suis bien là où je suis." A Sunderland, Stéphane Sessegnon est un footballeur comblé. "Il n’y a pas de Qataris à la tête du club, mais il vit bien quand même." Et même si les Black Cats bataillent dans les profondeurs de la Premier League, le Béninois (27 ans) s'épanouit de l'autre côté de la Manche. La France, il l'a quittée en janvier dernier. "Je ne pouvais pas continuer mon métier avec cette personne et dans ce contexte", clame-t-il dans les colonnes de France Football. "Cette personne" n'est autre qu'Antoine Kombouaré. "Ce contexte" ? Le Paris Saint-Germain. L'ancien Manceau dit être "toujours attaché à ce club". Il en a porté les couleurs durant deux ans et demi. Pour un bilan de 10 buts en 88 matches.

Le clash de trop

"Sur le plan personnel, je me suis bien senti la première saison, mais on a fini sans trophée. J’étais libre dans le jeu. Je faisais peut-être moins d’efforts défensifs, j’avais plus de jus pour les phases offensives. Et puis, il y a eu le changement d’entraîneur." Durant l'été 2009, Antoine Kombouaré a remplacé Paul Le Guen. Ses relations avec le Kanak se sont vite détériorées. Jusqu'à ce clash du 21 décembre 2010. "Dans le bureau, il y a eu des échanges qui sont allés trop loin, qui m’ont blessé", raconte Sessegnon. Les insultes fusent. La rupture est totale. "Je pouvais continuer à m’entraîner, tout en demandant à partir, mais je ne pouvais plus participer aux séances sous les ordres de cet entraîneur. Ce n’était pas une façon de mettre la pression parce que j’avais des propositions de l’autre côté. C’était une question de principe."

"Je n’ai pas l’habitude d’abandonner"

Sessegnon entame alors un bras de fer avec le club parisien. Pendant un mois, il ne s'entraîne plus. Avec le recul, il regrette. "Si les choses avaient été différentes, je serais peut-être revenu à l’entraînement. Je sais tout ce que j’ai perdu pendant ce mois-là, de la condition physique, une partie de ma réputation et de l’argent." Mais sa décision est prise : il veut faire ses bagages. "Je ne me serais pas levé du jour au lendemain pour dire que je voulais quitter Paris, sans raison. Je n’ai pas l’habitude d’abandonner. Même quand c’est difficile, je m’accroche. Si j’ai décidé de partir, ils savent pourquoi, mais je ne veux pas ressortir les mots qui ont été prononcés." Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts. Sessegnon affirme avoir tourné la page. Même s'il nourrit "un petit regret" : "C’était peut-être aussi à moi de m’adapter, mais je n’ai pas été capable de montrer tout ce que j’étais capable de faire." Avant d'insister : "Je n’ai jamais triché, jamais lâché. Dans l’état d’esprit, je n’ai rien à me reprocher."


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NeiBaF
posté 21/12/2011 09:09
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Luis Fernandez au Paris FC ?

Luis Fernandez, qui a décidé de ne pas poursuivre avec l'équipe nationale d'Israël, s'est peut-être trouvé un nouveau challenge. L'ancien entraîneur du PSG a révélé mercredi être en discussion avec les dirigeants du Paris FC pour «diriger un projet sportif». Il a précisé qu'il ne sera ni entraîneur, ni président, mais qu'il voulait entrer dans le capitale du club. Guy Cotret, l'actuel président, a avoué à notre quotidien qu'il avait rencontré Fernandez «il y a trois semaines». Les deux hommes pourraient se revoir en fin de semaine afin d'entrer dans une phase plus concrète.



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romano
posté 22/12/2011 19:48
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« Une espèce de mégalomanie puante »,

EXCLU365 - PSG / F.LLACER, Transferts PSG

Interrogé par nos soins sur l'éviction d'Antoine Kombouaré, Francis Llacer a salué le travail du coach kanak. Surtout, l'ancien latéral parisien a tiré à boulets rouges sur Leonardo, « hautain et incompétent » selon lui.

Francis Llacer, quelle est votre première réaction après l’éviction d’Antoine Kombouaré ?
Même si aujourd’hui tout le monde avait compris que le divorce était consommé, je ne trouve pas ça très élégant la façon dont ça s’est fait. Ce n’est pas digne d’un directeur sportif du PSG. Il faudra qu’on m’explique comment on peut faire mieux qu’être champion d’automne ? Avoir 50 points ? Mais ça ne s’est jamais vu dans le championnat de France. Antoine a réussi à faire un truc exceptionnel avec l’équipe. Les joueurs sont arrivés très tardivement et il a réussi à créer une osmose, une dynamique. Contrairement à ce que les gens veulent bien raconter, il a recadré des joueurs quand il le fallait, parce qu’il y en avait quelques uns qui pensaient un petit peu s’envoler (sic). Pour moi, il a fait un travail exemplaire, et le virer comme ça d’un revers de main, c’est limite insultant.

Est-ce que l’image « classe » de Leonardo risque de pâtir de cette décision ?
C’est plus que limite. Avec ce qu’il s’est passé pendant la trêve internationale, je ne vois pas comment Leonardo peut avoir l’image d’un gentleman. Quand on est capable de prendre une chambre d’hôtel à son nom pour y loger un entraîneur pour virer l’autre, je ne pense pas que ce soit tout à fait digne de la part de quelqu’un de « classe ». Et qu'on ne me dise pas qu'Ancelotti est venu à Paris pour faire ses courses. Son fonctionnement est complètement à côté de la plaque.

« Leonardo va être au pied du mur »


Etre virer quand on est leader, ça doit être difficile à accepter pour Kombouaré ?
C’est simple, c’était le joueur emblématique du club, c’était la seule relation qu’il pouvait y avoir avec un PSG historique. Aujourd’hui, qu’est ce qui reste au PSG ? Rien. Il connaît la maison mieux que personne. C’était quelqu’un qui était inscrit dans le passé et qui voulait s’inscrire dans l’avenir. L’envoyer dans le mur de la sorte, c’est vraiment un manque de respect pour l’homme, pour l’image, mais aussi pour l’histoire du club. C’est pour ça que je trouve ça très dégradant et pas très élégant. Surtout, j’ai beaucoup de peine pour lui. Il entraîne avec son cœur et il mérite plus de respect que ça.

Avec cette décision, Leonardo ne se met-il pas plus de pression sur les épaules ?
J’espère bien. Qu’on puisse enfin le démasquer. On ne peut pas toujours se cacher et jeter la pierre aux autres. Maintenant, il va falloir qu’il assume ses responsabilités et ses choix. On va voir. Il aura des joueurs et un entraîneur qu’il a choisi. Il va être au pied du mur, et on va voir comment ça se passe. Ce que je lui souhaite, c’est qu’il y ait un changement rapide. Il va falloir qu’ils soient premiers et qu’ils gagnent le championnat avec 25 points d’avance.

La communication de Leonardo est remise en cause. N’est-ce pas étonnant de sa part alors qu’il est tout de même passé par des clubs prestigieux ?
C’est bien, bravo. Il est passé par des clubs prestigieux, c’est bien, j’en connais plein des joueurs comme lui. Mais il a gagné quoi ? Aujourd’hui, il est en place parce que les Qataris l’ont choisi. Point. Il a été directeur sportif du Milan AC, et alors ? En l’occurrence, si c’était géré de la même façon, il était simplement là pour décorer. Parce que s’il avait géré de la même façon, Berlusconi lui aurait fait prendre la porte rapidement. Ce fonctionnement me dérange profondément. Ce fonctionnement hautain, imbu de sa personne, dégageant une espèce de mégalomanie puante, me pose de vrais problèmes. Ce ne sont pas les valeurs du club. Et ce ne sont pas du tout les valeurs que veulent donner les gens pour lesquels il travaille.

« De l’amateurisme le plus complet »


On parle avec insistance de l’arrivée de Carlo Ancelotti sur le banc du PSG. Un ami proche de Leonardo…
Aujourd’hui, mettre un entraîneur différent de Carlo Ancelotti, avec qui il a travaillé très longtemps au Milan AC, va être très compliqué. Si on prend quelqu’un avec une certaine envergure, la personne ne voudra pas être réduite aux faits de l’entraîneur basique. Il voudra prendre plus de décisions. La seule chose que je souhaite avec celui qui va arriver, c’est d’être champion avec plus de six points d’avance. Sinon je pense que ça risque d’être très compliqué pour Leonardo, mais surtout pour Nasser al-Khelaifi. Leonardo est en train de le mettre dans une situation intenable. Demain, si Leonardo saute du PSG, il trouvera toujours un pied à terre. Mais je pense que Nasser al-Khelaifi va avoir quelques difficultés s’il ne remplit pas le cahier des charges qui lui a été donné par le Prince. Quand je vois Leonardo qui dit qu’il laisse Tevez au Milan AC. Je ne savais pas que les Qataris étaient là pour avoir les seconds choix. Ce sont des erreurs de communication qui sont de l’amateurisme le plus complet.

Les Qataris ont-ils fait une erreur en s’attachant les services de Leonardo ?
Le problème, c’est qu’on leur a vendu l’image de Leonardo comme quelqu’un de très policé, très propre, gentleman. Je pense que la réalité est toute autre. On a fait tomber les masques, tout simplement. On se rend compte de qui est réellement Leonardo et de son incompétence en l’occurrence. Si demain j’ai la même somme d’argent pour aller faire les courses, je ne suis pas plus mauvais que lui.




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Homer
posté 27/12/2011 10:38
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Coupet : «J'attends le coup de blues»
Présent aux Etoiles du Sport, Grégory Coupet en a profité pour évoquer sa carrière, qui s'est récemment terminée. L'ancien gardien international est en pleine forme, mais craint que ça ne dure pas.


«Grégory Coupet, quel bilan tirez-vous de votre carrière ?

Je ne pouvais pas rêver de faire le parcours que j'ai accompli. Ma plus grande fierté, c'est d'avoir su passer de Saint-Etienne à Lyon, et surtout d'avoir vécu des vraies rencontres humaines. Paris, je n'y suis passé que deux ans, mais ce club, les gens que j'y ai rencontrés, m'auront marqué. Même l'année à l'Atletico m'a apporté un bonheur immense. Mis à part l'équipe de France et le clash de Tignes, je ne regrette rien. Et encore, je me suis construit dans tout. Tous les moments, en bien ou en mal, ont été importants à vivre. Ma carrière m'a comblé. Et en plus je ne pensais pas pouvoir durer aussi longtemps.

Si vous aviez un meilleur souvenir, lequel serait-il ?

Il y en a tellement... (il réfléchit) J'aurais tendance à dire un titre, le premier avec Lyon. C'était le Graal ! En plus, à l'époque, on commençait à nous titiller, à nous appeler les Poulidor du football, ce qui en soi n'est pas catastrophique, parce qu'il a fait une belle carrière. Mais ça énerve aussi. Et puis la manière dont ça s'est passé : gagner ce championnat sur 90 minutes. Quand c'est le premier, c'est encore plus fort. Toutes ces sensations sont fabuleuses. Mais s'il fallait retenir une seule chose, ce sont les aventures humaines que j'ai vécues, partout... Gagner des titres, c'est ce que le public retient, mais garder les amitiés que j'ai connues, c'est ce qu'il y a de plus important pour moi.

Et le plus mauvais souvenir...

C'est Tignes (lors du stage de préparation des Bleus avant la Coupe du monde 2006, Coupet quitte le camp de l'équipe de France pendant quelques heures, s'estimant victime d'une injustice face à Fabien Barthez, le gardien titulaire, avant de se raviser et revenir, ndlr). C'est le seul moment où je n'ai pas réussi à canaliser quoi que ce soit. Le ras le bol est passé au-dessus de tout. Et ça été très difficile à vivre. Je suis content d'avoir réussi à continuer derrière, à ne pas m'être blessé, mais j'ai vraiment vécu un mauvais moment. Aujourd'hui encore, rien que d'en parler, ça me touche encore.

«Le foot, c'est tout de même un monde parallèle, dans lequel il est facile de se perdre, même s'il est fabuleux.»

Il y a des moments de votre vie de sportif qui vous manquent ?

Non, pas du tout, et d'ailleurs ça m'étonne. Je n'arrête pas de me dire que le coup de blues va finir par arriver (sourire). Je pense que c'est inévitable, car j'étais tellement heureux dans ce que je faisais, j'aimais tellement m'entraîner. Je suis très étonné que le foot ne me manque pas plus que ça. En même temps, je fais beaucoup de choses, je suis curieux de nature, j'ai la chance de découvrir d'autres domaines. C'est presque indécent d'être aussi heureux. Ça va forcément me tomber dessus à un moment ou à un autre, ce n'est pas possible (sourire). Et j'ai aussi la sensation que mon corps me dit merci d'avoir arrêter. Je ressens un grand bien-être, je n'ai mal nulle part. Mais j'attends le coup de blues...

Si vous n'aviez pas été un sportif de haut niveau, quel métier auriez-vous aimé faire ?
J'aurais sûrement travaillé dans la communication. Ou alors comme mes parents l'ont été, VRP. J'ai le contact facile. Et dans mes gênes je suis un peu comme mon père, qui était très fort. Vous aviez besoin d'un four, il arrivait à vous vendre un frigo (sourire). Il a une force de persuasion assez extraordinaire, et j'ai gardé ce plaisir de découvrir, d'échanger.

Si vous n'aviez pas été Grégory Coupet, quel sportif auriez-vous aimé être ?

Michael Jordan (sans hésitation). Il a toujours été la référence pour moi. Pour ce qu'il a été sportivement, ce qu'il a apporté à la NBA, mais pas seulement. J'admire aussi son évolution. Il a été la figure emblématique d'un sport mais il a également su évoluer par rapport à l'adversité, aux défis qu'on lui proposait. Quelle force mentale ! Il s'est arrêté, a essayé un autre sport, puis est revenu au basket. Quand on voit ce qu'il est devenu, un businessman accompli, c'est un bel exemple. Il continue à faire ce qu'il aime.

Au final, de quoi êtes-vous le plus fier ?
D'avoir réussi à construire une vie de famille. Le foot, c'est tout de même un monde parallèle, dans lequel il est facile de se perdre, même s'il est fabuleux. Mais ça n'a rien bouleversé dans ma vie personnelle, et c'est peut-être pour ça aussi que je suis si heureux aujourd'hui. J'ai encore plein d'objectifs. Si je devais être tout seul à assumer ma retraite aujourd'hui, ça serait beaucoup plus dur. J'ai la chance d'être bien accompagné.»

L'Equipe


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Homer
posté 27/12/2011 17:36
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Mulumbu est touché

Touché au niveau des adducteurs lors du match nul de West Bromwich Albion face à Manchester City (0-0), ce lundi, Youssouf Mulumbu va passer cette semaine des examens afin de déterminer la gravité exacte de sa blessure. Mais au moment de sa sortie à la 80e minute, l'ancien Parisien grimaçait fortement. «Savoir à quel point c'est sérieux, je ne peux pas le dire pour le moment», a expliqué Roy Hodgson, le manager des Baggies, après la rencontre

France Football


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Homer
posté 27/12/2011 20:51
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Luis Fernandez a rendez-vous avec le Paris FC

Les relations entre Luis Fernandez et le Paris FC sont toujours aussi bonnes. Le technicien de 52 ans, qui officie actuellement en tant que consultant à la radio, a rendez-vous le 2 janvier avec les dirigeants du club francilien, rapporte Le Parisien dans son édition du jour. L'ancien joueur a l'intention de s'impliquer «dans le capital du club, en ayant la volonté de peser sur les décisions.» Mais «sans ambitionner d'être président ni entraîneur». L'entrevue devrait permettre à Fernandez, libre de tout contrat après son échec avec Israël, de présenter les bases de son projet

France Football


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Homer
posté 28/12/2011 13:23
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Rocheteau prend du galon

Le conseil de surveillance de l'AS Saint-Etienne a décidé d'étendre les responsabilités de Dominique Rocheteau. L'ancien international assurera désormais la coordination sportive du club. Il sera notamment responsable du centre de formation, de la cellule observation, de la post-formation, mais aussi des relations avec les supporters. Christophe Galtier, l'entraîneur des Verts, reste, lui, sous l'autorité de Roland Romeyer

L'Equipe


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Steff14
posté 29/12/2011 18:10
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Sochaux intéressé par Cana

En difficulté en Ligue 1 depuis le début de la saison, Sochaux pourrait profiter du mercato hivernal pour se renforcer. L'entraîneur Mécha Bazdarevic souhaite ainsi recruter «un ou deux joueurs de qualité, rapporte L'Est Républicain, ce jeudi. J'ai pris l'initiative pour certains. Avec Cana, je serais content comme le bon Dieu», ajoute même le coach sochalien. L'Albanais porte actuellement les couleurs de la Lazio de Rome mais est peu utilisé par son entraîneur. Le salaire élevé de l'ancien marseillais pourrait toutefois poser problème. Par ailleurs, le nom de Peguy Luyindula a également été évoqué du côté du Doubs. «On m'avait demandé mon avis il y a un mois et demi, cela me semblait intéressant. C'était une piste, mais on n'en a pas reparlé depuis», évoque Bazdarevic.


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MadininaScal
posté 30/12/2011 10:41
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Un article interessant qui prend toute la presse a contrepied...Surement un mec de Culture! ph34r.gif

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Antoine qui ?

Et si le Paris Saint-Germain Football Club avait pris l’une des plus heureuses décisions de son existence en choisissant de foutre Antoine Kombouaré à la porte ? Problème : cette vérité a du mal à être validée par une opinion publique autant moralisatrice qu’à la ramasse.

Deux sondages, au hasard. Un premier sur lequipe.fr sitôt la rumeur de mise à l’écart de Kombouaré confirmée : « Approuvez-vous la décision du Paris-SG de se séparer d’Antoine Kombouaré ? ». 16% de OUI, 82% de NON, 2% de personnes dont le cœur est alors trop lourd pour se prononcer. Un deuxième sur RMC : « Selon vous, fallait-il virer Kombouaré? ». OUI : 21%. NON : 79%. Naïve qu’elle est, la France est sous le choc. La tendance est là, et ne concerne pas seulement les acteurs passifs du foot français. Les anciens joueurs du PSG n’ont par exemple pas tardé à montrer les dents au moment de défendre leur ex-coéquipier. « Ce n’est pas logique, l’équipe a 40 points, elle est championne d’automne (…) C’est dégoûtant, ce n’est pas normal, son travail n’est pas récompensé », grimaçait Laurent Fournier dans les colonnes de L’Equipe le 23 décembre. Le coach auxerrois est alors suivi par Daniel Bravo : « Ce qui est discutable, c’est le timing. S’il ne voulait pas d’Antoine Kombouaré, Leonardo aurait pu convaincre les Qatariens dès le début de la saison. Les entraîneurs sont des êtres humains».

Antoine Kombouaré est un être humain qui palpera une indemnité de quelque 3 millions d’euros au moment où son contrat le liant au PSG sera soigneusement chiffonné puis envoyé dans la corbeille. Le genre de lot de consolation qui a le pouvoir de dissoudre n’importe quel sentiment d’humiliation. Pour le reste, Fournier et Bravo ont faux et encore faux. Est-il logique de virer l’ancien entraîneur de Valenciennes alors que le PSG est champion d’automne ? A priori, être vainqueur d’une saison « météorologique » n’a jamais pesé lourd dans un CV, exception faite pour les lauréats des Printemps de Bourges.

Rester bon ou devenir meilleur

Le bilan du Kanak est très bon depuis l’entame du championnat, avec 63,16% de victoires (12 en 19 rencontres) qui tranchent avec les maigrichons 35,52% de succès atteints par le club de la capitale lors des deux précédents exercices (27 victoires en 76 matches). Des chiffres dont l’évolution favorable résulte davantage de l’arrivée des biftons de Qatar Sports Investment et la manière dont les a utilisés Leonardo que du génie tactique du Nouméen. Kombouaré quitte Paris avec un bilan ni fabuleux, ni mauvais. Et après tout, peu importe, car ce n’est pas sur ses résultats que l’ancien défenseur central a été jugé - quand bien même l’argument de l’élimination en Europa League a été hypocritement avancé. Simplement, ce n’est pas parce que le PSG est bon qu’il doit s’interdire de songer à un avenir meilleur. C’est pourtant le procès que 80% de Français et des poussières attentent à Nasser al-Khelaïfi et Leonardo. Eux s’en cognent et continuent de diriger leur engin comme des robots. Et si le Paris Saint-Germain était la seule entreprise au sein de laquelle le patron et le DRH bossent en mettant leur cœur de côté, ça se saurait.

Quant au « mauvais timing » qui semble chagriner l’opinion publique, il est plutôt parfaitement bon. Quoi de plus vulgaire que de virer un coach pour « mauvais résultats » ? En éjectant Antoine au moment où il pilote le leader de L1, les dirigeants parisiens donnent un généreux coup de pied aux fesses de la routine du championnat de France. Deviner qu’un type plafonne est un geste plutôt louable et complètement novateur. Malgré ça, la décision prise par al-Khelaïfi et Leonardo a du mal à passer dans le gosier du Français contestataire, qui trouve matière à grogner en oubliant le vilain paradoxe qui l’habite : habitué à cracher sur le spectacle offert par la Ligue 1 tout en se caressant devant Manchester City, Barcelone et le Real Madrid, il continue de gueuler en snobant l’ambition d’un beau football auquel le PSG 2.0. aspire. Car offrir une place de parking au Camp des Loges à Carlo Ancelotti et les remorques de poids lourds qui vont suivre n’est pas de son goût. C’est l’âme du PSG à laquelle on est en train de toucher en faisant venir le Qatar, Beckham et la crème de la Serie A du côté de la Porte d’Auteuil.

Un coup du fil du Mans

Débarquent aussi tous ces fans du club qui tuent leur temps en exigeant qu’on ne les mette pas dans le même sac que ceux qui viennent de se joindre à la fête. Comme si le fait d’avoir vu sévir Safet Susic il y a vingt-cinq ans leur donnait plus de légitimité qu’un type devenu amoureux du blason depuis que 2011 lui a appris que Javier Pastore et Christophe Jallet ne faisaient pas tout à fait le même métier. Pendant ce temps-là, Antoine Kombouaré digère. Il a reçu mercredi un coup de fil pour entraîner Le Mans, 17ème de Ligue 2. Pour l’instant, c’est tout ce que le football français peut lui proposer. Pour un mec soutenu publiquement par tout un milieu, c’est peu. A moins que les bla-bla récités à chaud pour remonter le moral du licencié aient fait suffisamment de bruit pour éclipser un sujet un peu plus embarrassant : la valeur d’Antoine Kombouaré sur le marché.

Par Matthieu Pécot


Sofoot.fr


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"Je veux marquer l'histoire" ©Thierry Henry

Les vrais retiendront un palmarès en or, les footix une main de la honte...

Alexander Ovechkin : Only player in the history of the NHL to have 9 Maurice "Rocket" Richard Trophies. (2008-09-13-14-15-16-18-19-20). Only NHL player to have ever won the ESPY Athlete of the year Award (2018).
3 Hart Trophies (2008-09-13),1 Art Ross Trophy (2008), 1 Calder Trophy (2006), 1 Conn Smythe Trophy (2018).

Stanley Cup Champion 2018

Nosce te Ipsum
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Iaropolk14
posté 02/01/2012 15:38
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Foot - BLR - BATE Borisov
Kezman non conservé


L'ancien attaquent du PSG (2008-novembre 2010), Mateja Kezman (32 ans), quitte le BATE Borisov, a annoncé le club biélorusse lundi sur son site officiel. Son contrat prenait fin le 31 décembre et n'a pas été renouvelé. Le Serbe s'était engagé en août dernier après une expérience de cinq mois dans le club chinois de South China. Avec Borisov, il aura disputé six matches de Championnat et cinq de Ligue des champions.

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Babass
posté 03/01/2012 13:04
Message #640


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Pilorget remplace Guion

David Guion n'est plus entraîneur de Cannes. Parti au Red Star, l'ancien membre du staff de Laurent Roussey à Saint-Etienne est remplacé par Jean-Marc Pilorget. Agé de 53 ans, cet ex-joueur du PSG connaît la maison puisqu'il a évolué à l'ASC (aujourd'hui 12e du groupe C du CFA) lors de la saison 87-88.

source: lequipe.fr


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A mi sme Paris, a mi sme tu doma
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