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17/04/2009 01:44
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#61
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 5,549 Inscrit : 10/01/2009 Membre no 198 Tribune : Viré du stade |
Citation Foot - L1 - Lacombe lâché par les Pinault Guy Lacombe restera-t-il à Rennes la saison prochaine ? La rubrique footbalI de L'Equipe n'y croit pas trop. Dans son édition de jeudi, le quotidien explique que François-Henri Pineau, le patron d'Artémis (holding familiale propriétaire du Stade Rennais), irrité par l'indécision et les prises de position de son entraîneur, prône le changement sur le banc. Selon L'Equipe, le président du Stade Rennais, Frédéric Saint-Sernin, et le manager rennais, Pierre Dréossi, planchent d'ores et déjà sur la succession de Lacombe. L'entraîneur de l'OGC Nice Frédéric Antonetti est en pole. Le Valenciennois Antoine Kombouaré et le Grenoblois Mehmet Bazdarevic suivent sur la liste. Au sein du club breton, personne ne voit Lacombe - dont le nom a circulé ces derniers jours du côté de Lens - rester. Le technicien a confirmé qu'il faisait bien partie des tout meilleurs du pays mais l'homme s'est à peu près mis à dos tous les décideurs rennais. Pendant plus d'un an, Lacombe a eu les faveurs de la famille Pinault, séduite par les résultats et le retour d'un jeu plus pétillant. Fin janvier, l'actionnaire du club breton semblait prêt à consentir des efforts pour inciter son entraîneur, dont le contrat arrive à son terme en juin, à prolonger l'aventure pendant au moins deux ans. François Pinault avait même invité Lacombe à déjeuner dans son somptueux hôtel particulier parisien de la Rue de Bourgogne. Depuis, Rennes a lâché prise dans la course au titre et Lacombe se plaint, parfois à voix haute, des moyens mis à sa disposition. La semaine passée, il a encore répété qu'il n'avait pas eu droit aux deux renforts souhaités pendant le mercato d'hiver... lequipe.fr -------------------- Fan de Camelia Jordana la nouvelle star!!!
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17/04/2009 10:05
Message
#62
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 86 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 512 Tribune : Non précisée |
Citation Kombouaré retrouve le sourire Antoine Kombouaré, l’entraîneur calédonien de Valenciennes, impulsif et entier, gère son groupe comme sa « tribu ». Pour la seconde année consécutive, il devrait réussir l’opération maintien. À Valenciennes, il arrive que la communication soit restreinte. Inutile d’interroger les adjoints d’Antoine Kombouaré pour dresser le portrait d’un entraîneur au sang chaud, en passe de maintenir son équipe en Première Division avec de faibles moyens pour la troisième année de suite. « Ici, il n’y a que deux personnes qui parlent, le président et moi, explique le technicien kanak. C’est mon mode de fonctionnement. J’entends maîtriser l’information. C’est une façon de nous protéger de personnes peut-être mal intentionnées. Pas de la paranoïa. » On aurait tort de croire que ce déni de démocratie freine l’émancipation de ses collaborateurs. Antoine Kombouaré est plutôt un entraîneur qui fédère les énergies. Un homme authentique, transparent et honnête. « Je n’ai rien à cacher, répète celui qui ne pratique jamais le huis clos. Je dis toujours la vérité, sans parti pris. D’ailleurs, je ne sais pas mentir. Il faut que ça sorte, sinon c’est une souffrance. Après, j’assume les résultats. » L’ancien stoppeur du PSG a fait une belle carrière au mental. Il avait la vocation d’entraîner. Il a passé ses premiers diplômes à l’âge de vingt-six ans. Quand il quittera Valenciennes, un jour – par exemple si Nungesser 2 n’arrivait pas assez vite –, il ne laissera pas seulement comme héritage dans le Nord les nouveaux centres d’entraînement ou de formation. Mais la trace d’un type entier qui a eu « cette chance inouïe » de pouvoir construire un groupe professionnel à son image : combatif, caractériel, simple et humain. « Il a cette intelligence animale que les autres n’ont pas, remarque Marc Keller, ex-dirigeant de Strasbourg, là où Kombouaré a décroché son premier poste en L1, en 2003. Il fonctionne à l’instinct et à l’affectif et choisit ensuite de se donner ou pas. C’est un dur qui est juste. Il aime être le patron du vestiaire. Il a beaucoup de caractère mais il a besoin de sentir la confiance autour de lui, notamment des dirigeants. Avec lui, il faut toujours avoir un discours clair, tout dire. » « Pour son équipe, il ira au combat jusqu’à la mort » En interne, pendant ou après les matches, le joueur formé à l’école Suaudeau, aujourd’hui âgé de quarante-cinq ans, peut péter les plombs lorsqu’il estime être victime d’une injustice ou lorsqu’il est tout simplement furieux du résultat. « Je revois souvent la trajectoire d’une chaise venant se fracasser sur le mur de notre vestiaire et d’une bouteille qui rebondit sur l’entraîneur des gardiens, rigole Éric Chelle, capitaine de Lens, ex-Valenciennois, faisant référence à la défaite de VA à Caen (0-5), le 22 septembre 2005, en Coupe de la Ligue. Antoine est très impulsif, il vit le match. Cinq minutes plus tard, c’est oublié, il vient prendre un verre en ta compagnie et te demande des nouvelles de ta famille. Il est très proche des joueurs. Tu as envie de le suivre. Le plus important, c’est la trace qu’il laisse dans ton cœur. » Le milieu Gaël Danic n’oubliera pas les noms d’oiseaux prononcés par le coach lors de son premier entraînement physique estival ni la « soufflante » qu’il a endurée, par la suite, devant ses coéquipiers réunis dans le vestiaire. « J’ai tout de suite apprécié sa franchise, assure l’ancien attaquant Laurent Dufresnes, revenu de Nancy pour épauler VA en 2005-2006. Elle résume bien le personnage. À la troisième phrase de notre première discussion, il m’avait demandé : “Est-ce que tu te sens encore capable de jouer à ton âge (33 ans) ?” Cela annonçait la couleur. » Si les mots dépassent parfois sa pensée, il n’est pas dans la nature d’Antoine Kombouaré d’insulter les gens. « Il ne faut pas le chercher, reconnaît seulement l’attaquant Johan Audel. C’est un îlien, comme nous, les Antillais. Mais c’est quelqu’un de vrai. » « Je marche beaucoup au respect, à la parole donnée, confie l’intéressé. Je travaille avec des gens qui partagent mes valeurs, ma culture kanak, celle de l’humilité, à l’écoute des anciens. L’Occident, c’est l’individualisme. En Nouvelle-Calédonie, on vit en communauté, on partage ensemble les joies et les peines. VA, c’est pareil, c’est ma tribu. La meilleure équipe que j’ai pu constituer. J’y ai trouvé ma place. » Qui d’autre que lui aurait pu convaincre Jean-Claude Darcheville de signer six mois à Valenciennes cet hiver ? « Viens m’aider, je suis en difficulté », avait-il sobrement demandé au Guyanais en décembre avant que ce dernier n’adhère aveuglément à son projet parce que le discours avait été direct. « C’est le prototype de l’entraîneur moderne, décrit le président du conseil d’administration de VA, Francis Decourrière. Il ne vit que pour le prochain match. Après Lille (2-0, le 28 février), il n’a dormi qu’une heure, de six à sept, et est venu courir une heure avant le décrassage du matin. Autant il est très disponible et réceptif pour toutes nos actions humanitaires et à destination des jeunes, autant il ne se mêle pas à nos espaces partenaires et rentre immédiatement auprès de sa famille. Son équipe, c’est aussi son clan. Pour elle, il ira au combat jusqu’à la mort. » L’Equipe du 16 avril 2009 |
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19/04/2009 13:07
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,603 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - Le Havre - Revault parle du PSG Dans un entretien accordé au journal Le Parisien dans son édition du dimanche 19 avril, Christophe Revault (37 ans) revient sur son passage raté au PSG lors de la saison 1997-1998. «Je ne m'étais pas bien rendu compte de la tâche qui m'attendait» confie le gardien havrais. «J'avais 25 ans et au Havre, j'étais Dieu. Au PSG, tout est parti de mon match perdu en Ligue des champions à Munich (5-1), je n'ai pas pu m'en remettre. Après, je n'ai pas su faire face. J'ai perdu les pédales. C'est là que je me suis aperçu que je n'étais peut-être pas taillé pour un grand club.» Après une saison au PSG, Christophe Revault (photo L'Equipe) a passé deux ans à Rennes puis six ans à Toulouse. Revenu au Havre en juin 2007, le gardien normand retrouve le Parc des Princes ce dimanche à l'occasion de la 32e journée de Ligue 1. lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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20/04/2009 09:43
Message
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation Foot - ARG - Gallardo sauve River Après un passage raté au Paris Saint-Germain, suivie d'une pige un peu plus glorieuse à Washington DC United (15 matches, 4 buts), Marcelo Gallardo a démontré ce dimanche qu'il n'était pas encore fini. L'ancien milieu de terrain de l'AS Monaco s'est en effet illustré lors du superclasico argentin, en permettant à River Plate d'obtenir le match nul 1-1 sur la pelouse de Boca Juniors. La Maquina pensait avoir fait le plus dur en ouvrant le score à l'heure de jeu grâce à son attaquant vedette Martin Palermo. Mais dix minutes plus tard, El Muñeco (la poupée) refroidissait la Bombonera en envoyant dans la lucarne un somptueux coup franc des 20 mètres. Au classement du championnat de clôture, River occupe à présent la 5e place, à 6 points du leader le Velez Sarsfield. Boca est 13e, à dix points.
-------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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22/04/2009 08:19
Message
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Aujourd'hui Sport
Citation Goias recale Alex Dias
"Alex Dias ne va pas jouer à Goias pour le moment. Nous n'avons pas besoin d'attaquant". Hier, Syd de Oliveira, le président du club goiano a écarté le recrutement de l'ancien joueur du Paris SG. A 35 ans, Alex avait manifesté la veille son désir de retourner à Goias. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
Form is Temporary. Class is permanent. |
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22/04/2009 08:30
Message
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 26,271 Inscrit : 19/01/2009 Lieu : paris Membre no 611 Tribune : Viré du stade |
Citation Foot - L1 - Rennes-Bordeaux reporté au 29 avril La rencontre Rennes-Bordeaux, prévue dimanche pour la 33e journée de L1, est reportée au 29 avril (horaire à déterminer), car Bordeaux affronte Vannes en finale de la Coupe de la Ligue samedi au Stade de France. La date de cette rencontre dépendait de la qualification ou non de Rennes pour la finale de la Coupe de France qui aura lieu le samedi 9 mai au Stade de France. L'autre date proposée pour Rennes-Bordeaux était en effet le vendredi 8 mai. En battant Grenoble (1-0), Rennes s'est qualifié mardi pour cette finale contre le vainqueur de l'autre demi-finale opposant mercredi Toulouse à Guingamp. Lequipe -------------------- Le catch c'est ma vie.
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23/04/2009 13:24
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 86 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 512 Tribune : Non précisée |
Citation Le foot au bord des lèvres Guy Lacombe. Tacticien bosseur et ronchon, l’entraîneur du Stade rennais dispute une demi-finale de Coupe de France à Grenoble. Fin de partie ? La scène s’est déroulée dans le bureau d’un entraîneur de Ligue 1, l’un des rares dont on puisse dire que son aura surpasse celle du plus fameux de ses joueurs. Le mec régale. «En L1, vous avez un entraîneur sur deux qui ne fait rien, qui ne sert à rien. Ah si : à mentir aux journalistes, pour les endormir. Et comme en plus vous en redemandez…» Le temps de se remettre, on lui demande de faire le tri. «Mais allez demander aux joueurs ! Ils pensent, les joueurs, vous savez !» Puis : «Je vais vous lâcher un nom : Guy Lacombe. En voilà un qui bosse ; qui propose des choses aux joueurs. Avec lui, je ne suis pas inquiet.» L’anecdote est révélatrice : depuis le début des années 2000, Guy Lacombe (53 ans) est considéré par ses pairs comme l’un des plus brillants entraîneurs français. Il dirigera ce soir son équipe du Stade rennais pour une demi-finale de Coupe de France au stade des Alpes de Grenoble (1), dernière ou avant-dernière - si les Bretons se qualifient pour la finale du 9 mai - étape d’une fin de saison en pente douce : pour le club Rouge et Noir, 7e budget de France occupant conséquemment la 7e place de L1 à six journées du terme, l’affaire est réglée. Comme pour son entraîneur : propriétaire du club, François-Henri Pinault a fait savoir la semaine dernière - avant de démentir dans la foulée, un grand classique chez Artémis, la holding familiale - qu’il en avait soupé du technicien aveyronnais. Provocation. Le truc, c’est que même un triomphe le 9 mai au Stade de France pourrait ne pas le sauver. Sa faute supposée : faire lanterner ses employeurs, qui lui ont mis une prolongation de contrat de deux ans sous le nez en janvier. Une provocation pour le fils Pinault, qui goûte peu les manières de roi de ses employés du foot et qui, du coup, s’est mis en tête de proposer le poste au Niçois Frédéric Antonetti et au Grenoblois Mehmet Bazdarevic. Lacombe, lui, donne parfois l’impression de scénariser son renvoi, en surjouant une posture christique - vous voulez ma peau ; la voilà - comme on brûle ses vaisseaux. D’où l’impression d’une guerre larvée courant depuis des semaines dans le très discret club d’Ille-et-Vilaine. Samedi, après une défaite (1-3) sans importance à Monaco, Lacombe en a remis une couche, dans ce style mi-agressif, mi-entendu, dont il use après les matchs. Parlé de l’arbitrage (comme toujours) et d’une mystérieuse «adversité» (comme souvent) : «Ce sont des choses qui arrivent dans le football… enfin, notamment dans le football français. On se pose même des questions…» Lesquelles, au juste ? «Euh… c’est pas compliqué ! Moi, je suis en droit de me poser des questions, non ?» Démons. Et nous aussi. Ça fait le prix du bonhomme : Lacombe a amélioré la situation sportive du club du jour au lendemain, à son arrivée en décembre 2008. Valorisé le capital joueur (une priorité, à Rennes comme ailleurs) dans des proportions fantasmatiques. Transformé un type qui faisait marrer le landerneau - le Suédois Petter Hansson - en meilleur défenseur de la Ligue 1. Alors ? Lacombe compose avec ses propres démons. Dans le métier, ils sont connus. Entre 2002 et 2005, il avait cornaqué le FC Sochaux pour quelques-unes des plus belles années du club doubien : au détour d’une question du genre «qu’est-ce qu’il vous a apporté ?», l’un de ses joueurs de l’époque avait bien failli nous mettre son poing dans la gueule. Un autre s’était dévoué. «Lacombe est très analytique, pas du tout du genre à faire des causeries de feu avant les matchs. Pendant, c’est autre chose. Les colères monstres, les insultes envers ses propres joueurs, un banc de touche cassé en deux… Il est de très loin le meilleur entraîneur que j’ai connu. Certains entraînements, surtout les mises en place tactiques, étaient extraordinaires. Mais on ne jouait pas pour lui, il était l’ennemi. Psychologiquement, on était à l’envers. Maintenant, si c’est la question, je suis sûr que ce qu’il a tiré de l’effectif est proche du maximum.» Les mandatures Lacombe ont souvent ce goût-là : celui du combat et de la destruction, certains finissant même par y déceler une sorte d’acte manqué visant à perdre en coulisse ce qu’il gagne de haute lutte sur le «rectangle vert», une de ses expressions favorites. Lors de son passage au Paris-SG en 2006, il écarte ou humilie - pas besoin de trop en faire : dans le foot, les stars ont l’humiliation facile - trois des quatre plus gros salaires du club : Vikash Dhorasoo, Mario Yepes et Jérôme Rothen. Qui a fait le malin dans sa biographie : «Lacombe est un de ces Big Jim […] qui changent de visage selon les circonstances.» Son président au PSG, Alain Cayzac, dans Le Journal du Dimanche : «Lacombe pensait que Paris ne l’aimait pas parce qu’il n’était pas du sérail. Moi, je pense qu’il n’aimait pas Paris. Pour lui, être parisien, c’était un défaut : le show biz, le manque d’humilité…» Lacombe dans Ouest-France : «Dans certains clubs, cela m’est arrivé d’être pris pour le péquenot de service.» On lui laisse la responsabilité de celle-là. Comme du discours assez tonique qu’il a tenu hier devant la presse, parlant parfois de lui à la troisième personne devant un auditoire qu’il parvient souvent à surprendre : «Il n’y a pas de question à poser. Il y a un homme qui est libre. On n’est pas dans une république bananière.» On parie sur un nouveau rappel à l’ordre présidentiel. Qui ne l’empêcherait certes pas de dormir : tant que ça ne se passe pas sur un terrain… Grégory Schneider http://www.liberation.fr |
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25/04/2009 11:32
Message
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,603 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Foot - Solidarité - Franck Ribéry, mais aussi plusieurs joueurs parisiens dont Claude Makelele, vont faire des infidélités à leurs clubs respectifs lors d'un match de charité disputé à Miami (Floride) le 13 juin prochain. Cette rencontre, relate L'Equipe Magazine, sera orchestrée par Wagenau Eloi, ex-joueur de Lens et ex-sélectionneur d'Haïti. Ce match constituera le point d'orgue d'une semaine visant à promouvoir l'enfance haïtienne défavorisée. Olivier Dacourt (Fulham), Jérôme Rothen, Mario Yepes ou encore Daniel Van Buyten (Bayern) sont aussi annoncés. lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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29/04/2009 07:46
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,680 Inscrit : 21/08/2011 Membre no 8,061 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - Le Havre - Dhorasoo veut la présidence
Vikash Dhorasoo souhaite prendre la présidence de son club formateur, Le Havre. Soutenu par des investisseurs indiens, l'ancien international français a établi un plan de reprise. Il annonce dans L'Equipe vouloir apporter 1 million d'euros «avec une personnalité havraise» et de 8 à 10 millions d'euros avec les investisseurs indiens, dont il refuse de divulguer le nom, mais qu'il décrit comme «un Bouygues indien». Seul hic, l'actuel président du HAC, Jean-Pierre Louvel, ne l'entend pas de cette oreille. Lorsqu'il a eu vent du projet, celui-ci imaginait plutôt Dhorasoo débarquer dans un rôle de directeur sportif avec des capitaux extérieurs. «Mais il est hors de question que je partage», a prévenu l'ex-joueur du Paris-SG. «Jean-Pierre Louvel ne nous a pas pris au sérieux. Mais c'est lui qui n'est pas sérieux, explique Dhorasoo. A lui de faire son bilan. Il va essayer de décrédibiliser notre projet. On veut rencontrer les actionnaires, leur parler de notre projet. Le projet de Louvel, c'est quoi ? Descendre en D2 et vendre des joueurs ? Cela fait un mois et demi qu'il bloque notre projet et le temps presse». Pour Dhorasoo, «le HAC n'est pas condamné à être un petit club. Il peut être un bon club de L1, se stabiliser. Le nouveau stade doit arriver en 2012. Il faut profiter de cette période pour travailler et arriver très fort dans ce nouveau lieu». Le Havre dispose actuellement d'un capital de 4,3 millions d'euros détenu par 209 actionnaires, dont «le plus gros à 8%», précise l'ancien joueur. «Les actionnaires élisent le conseil de surveillance, qui élit le directoire. Alors on veut rencontrer les actionnaires». Dans son projet, Dhorasoo est accompagné par Pierre Walfisz, producteur du film Substitute qui mettait en scène la vie marginale du joueur pendant la Coupe du monde 2006. Ensemble, ils ont notamment participé au développement de la société audio-visuelle Trompe-le-monde, créée par Dhorasoo, mais dirigée par Walfisz. lequipe.Fr |
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12/05/2009 00:32
Message
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,603 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - Le Havre - Dhorasoo retoqué Le Conseil de Surveillance du HAC a décidé de ne pas donner suite au projet de reprise Vikash Dhorasoo, selon un communiqué du club rendu public lundi soir. «Les actionnaires du Havre Athletic Club après avoir assisté à la présentation du projet de M. Vikash Dhorasoo, ont émis, par vote à bulletins secret, un avis consultatif auprès du Conseil de Surveillance», expose le texte, avant de poursuivre : «Compte tenu du décompte des bulletins, effectué devant huissier (97% des votants défavorables et 3% des votants favorables au projet), le Conseil de Surveillance a décidé de ne pas donner suite au projet de M. Vikash Dhorasoo.» lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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13/05/2009 08:23
Message
#71
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - ESP - Les croisés pour Luccin Peter Luccin, le milieu de terrain français du Racing Santander, s'est blessé dimanche en Championnat d'Espagne à Malaga (défaite 1-0). Les examens passés mardi ont révélé qu'il souffrait d'une rupture des ligaments croisés du genou droit. «Je vais consulter d'autres médecins, explique Luccin à L'Equipe, mercredi, et si au moins un d'entre eux me propose de soigner sans opérer , je suivrai son avis.» Sous contrat avec Saragosse jusqu'en juin 2010, Peter Luccin (30 ans) est prêté cette saison au Racing Santander. lequipe.fr |
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14/05/2009 22:44
Message
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
Vous l'attendiez tous, l'interview de Kombouaré dans le So Foot de mai (pour l'instant on reste dans le topic "Anciens"
Merci à Dante, NeiBaF et Philo pour avoir contribué à rendre ceci possible. Citation "Quand on me cherche, ce n'est pas facile de me maîtriser..." Kanak au tempérament volcanique, ancien pilier de la défense nantaise ère Coco Suaudeau puis tampon parisien ère Valdo-Denisot, Antoine Kombouaré, devenu entraîneur, a gardé l'âme d'un guerrier. Entretien tout en uppercuts avec un "sage" en perpétuelle rébellion. — par Brieux Férot et Chérif Ghemmour Entraîneur, ça vous est venu très tôt : vous avez passé le premier diplôme à 26-27 ans, vous étiez encore joueur... Ca vient d'où cette passion d'entraîner ? Ça vient des gens que j'ai rencontrés, Coco Suaudeau, Raynald Denoueix, du club dans lequel je me suis trouvé, le FC Nantes, un club formateur et aussi de ma culture. Chez nous (en Nouvelle-Calédonie, Ndlr), on vit "claniquement", c'est un mode de fonctionnement où on partage tout, tous ensemble. Ça ressemble à ce qu'on vit sur un terrain : un groupe, une équipe, un club. Ça vient aussi du poste que j'occupais en tant que joueur. J'étais défenseur. Quand on est derrière, on a un champ d'action et de vision énorme. Et puis, à la base, le rôle d'éducateur me plaisait. Aujourd'hui, je suis entraîneur de haut niveau : en théorie, mon rôle n'est plus d'éduquer, mais de gagner des matchs. Mais en fait, l'humain, les règles de vie, la discipline, c'est toujours de ça qu'il s'agit. Je n'ai pas le choix. j'aimerais parler de foot à mes joueurs, de tactique, de ce qui n'a pas marché pendant le match et je me rends compte qu'aujourd'hui c'est secondaire, alors je dois leur parler des soins quand ils sont blessés, des retards, des amendes. D'ailleurs, les amendes, les gars ne les ont pas payées depuis trois semaines, alors on va les doubler ! Moi, c'est comme ça que je fonctionne... Il faut vivre avec son temps. Ça a tellement évolué, il y a des tentations terribles : les salaires énormes, les agents, les portables, les ordinateurs. Les gars peuvent se payer un voyage en avion dès qu'ils ont un week-end de libre. Nous avant, on ne bougeait pas. Ceci dit, à l'étranger, ça se passe différemment. Là-bas, l'institution est la plus forte ! II y a des mesures très fortes pour sanctionner les joueurs : les pépettes ! Ici, les joueurs sont intouchables ! Tu veux les sanctionner avec une retenue d'un trentième de salaire ? Il faut envoyer un courrier, etc. En Angleterre ou en Italie, c'est direct : tu fais une connerie, tu ne t'es pas présenté à l'heure : 50 000 euros d'amende ! Là, ça fait mal ! Mais, je suis sûr que sur la durée, ça paye, les résultats arrivent. C'était différent quand vous étiez joueur ? Je me souviens de Nantes : Suaudeau, c'était l'Ancien, le Sage. Je retrouvais là, dans ce club, le fonctionnement clanique de la société kanake. Aujourd'hui, je me retrouve un peu à la place de Coco Suaudeau, et je me dois d'être exemplaire : c'est la tribu, et je suis l'Ancien. Mais je reste humble, je ne pète pas plus haut que mon cul parce que j'apprends tous les jours. La différence avec l'époque Suaudeau, c'est la gestion des hommes. Je peux arriver un jour à l'entraînement et recevoir un coup de fil du président qui m'annonce que le commissariat de police a appelé parce qu'on a un joueur en garde à vue, et c'est à moi de gérer. Je dois sanctionner le gars mais le garder dans le groupe parce que c'est un joueur important. Il faut trouver une sanction juste qui fasse réfléchir les autres. La communication avec les joueurs, en règle générale, c'est un juste milieu à trouver. Moi, je pars du principe que le joueur sait quand il n'a pas été bon, alors pas besoin de trop l'enfoncer. Mais quand il a fait une connerie, il faut sanctionner parce que c'est la règle. J'agis avec eux comme j'agis avec moi : quand je ne suis pas bon, ou que je fais une connerie, ben, je paye. Quand je fais des conneries sur la route, on m'enlève mes points. Il me reste un point sur mon permis... Eh bien, c'est comme ça ! Un seul point ? Oui. J'ai déjà eu trois ou quatre retraits de permis. Je ne fais pas intervenir mes relations pour résoudre ça. Je suis con, mais c'est comme ça. J'assume mes conneries. Et les joueurs doivent faire pareil. Je le dis souvent : quand un joueur signe dans un club, il ne s'appartient plus, il appartient au club. Il a une image importante à véhiculer. ça passe par l'exemplarité, savoir se tenir, être propre (sic). Quand un joueur fait une connerie, c'est l'institution qui est pénalisée. Suaudeau, qu'est-ce qu'il représente pour vous ? C'est lui qui m'a appris le haut niveau. Il était exigeant, intransigeant, pointu. Il tapait sur le mental, à insister sur les points faibles pour progresser. Pas toujours fin psychologue... Il pouvait être cassant. Il savait faire mal, et faire peur. Il fallait être costaud ! À toi de bien comprendre les messages qu'il te faisait passer. Des codes, des petites portes, il fallait creuser. Il ne te donnait jamais les réponses ! Même à l'entraînement avec le ballon, il fallait décoder. C'était rare que tu comprennes le jeu et son intérêt tout de suite... Il fallait de la répétition, retravailler sans cesse, communiquer entre les joueurs. On devait trouver la solution ensemble. C'est carrément le seul entraîneur qui m'a donné l'envie de venir m'entraîner. On savait qu'il y aurait beaucoup de séances différentes, nouvelles et basées sur le jeu. C'était dur ! Il y avait toujours l'esprit de compétition : c'est pour ça qu'à Nantes il y avait beaucoup d'internationaux en équipe de France. Moi, ça m'a toujours fait rire quand j'entendais dire que les joueurs nantais étaient vachement "techniques" : on était des monstres physiques, oui ! Pour pratiquer ce jeu-là, il fallait un physique de fou ! À la 85e minute, un Nantais te faisait un contrôle parfait parce qu'il était technique mais aussi parce qu'il était d'abord costaud, donc encore lucide... Et vous. vous vous considériez comme un joueur technique ? Ça veut dire quoi, la technique ? C'est jouer juste, c'est tout. Nous, à Nantes, derrière, on n'était pas des enfants de choeur ! Les Rio, Bossis, c'étaient des coupeurs de têtes ! À Nantes, on faisait une opposition le mercredi, entre les titulaires et les autres : jamais les titulaires ne gagnaient ! C'était un coupe-gorge ! Le match du mercredi, c'était plus hard que le vrai match de championnat du samedi ! À la fin, les titulaires ne voulaient plus jouer contre nous, les jeunes... Mais c'était toujours réglo. À l'entraînement, c'était que physique ! Que des duels ! Aujourd'hui, on ne peut plus faire ça. Les jeunes joueurs de maintenant, ils sont moins chambreurs que nous à notre époque, plus caractériels. Dès que tu en touches un, tout de suite, il sort de ses gonds : "Ouais, tu me touches pas, tu me chambres pas !" Nous, à l'époque, on faisait un toro, le mec au milieu il pouvait y passer la matinée, il devenait fou ! Désormais, un toro ça peut vite partir en vrille parce que dès que tu chambres un peu, on en vient aux mains. Les mentalités ont changé. À Valenciennes, comment faites-vous passer vos messages, concrètement ? J'ai cinq capitaines. Ils sont les garants de la méthode, du message, et les relais de tout ce que je veux mettre en place. Ce sont les joueurs les plus expérimentés, normalement ceux qui ont le plus de talent, et sont aussi les mieux payés. À partir de là, il faut assumer sur le terrain. Quand ça ne va pas, ce sont ces mecs-là que je vais choper, ce sont eux qui dégustent : "N'oublie pas que tu es un leader, que tu es venu discuter de ton contrat dans mon bureau. Là, faut assumer." Il ne faut pas se cacher, ils ont un rôle à jouer d'abord sur le terrain et dans le vestiaire. On peut discuter, prendre parfois des décisions communes. Je veux qu'on travaille dans l'honnêteté. Je veux qu'à la fin de notre coopération, le mecs disent non pas que je suis un bon entraîneur, mais que l'entraîneur a été un homme juste. Quelle que soit la durée du contrat, je pars sur un an. Pendant un an, on ferme sa gueule, on travaille ensemble, on se respecte. À la fin de la saison, on fait le bilan : tu es content d'avoir travaillé avec moi ? On continue. Tu n'es pas content ? Au revoir, on se serre la main. Toujours en entretiens individuels. Vous avez dû vous construire une identité tactique en tant qu'entraîneur au plus haut niveau... On a tous une idée sur l'équipe idéale, le système idéal, mais tu ne peux pas jouer dans un système si tu n'as pas les joueurs pour. Moi, aujourd'hui, la chance que j'ai, c'est de participer au recrutement, donc je prends un joueur qui me plaît et qui peut jouer en 4-4-2. Parce que pour moi, c'est le système qui permet à la fois la meilleure occupation du terrain, une meilleure répartition des tâches, un meilleur équilibre et la meilleure gestion de tous les systèmes en face : 3-5-2, 4-3-3, 4-4-2 avec un milieu en losange ou à plat avec Nuno Gomes(©C.u.l.t.u.r.e.PSG.com)... Après, on peut rencontrer des problèmes, comme avec un numéro dix un peu décroché, mais dans l'ensemble, on a le meilleur système pour défendre et surtout pour attaquer. Vous privilégiez beaucoup le jeu avec le ballon à l'entraînement... Pour moi, c'est important de jouer et surtout de courir. Le plus important, c'est de faire un travail de course, les gars ne peuvent pas carotter. Et ce travail de course-là, c'est primordial pour le mental, or, le bon joueur, ce n'est pas le mec qui touche techniquement, c'est le mec qui a le plus fort mental pour gagner. Encore plus vrai dans une ville comme Valenciennes, où la situation est difficile pour les gens. Sur le terrain, quand c'est dur, faut pas baisser les armes. Pour nous marquer des buts, il faut nous passer sur le corps. Revenons à vote carrière. Après Nantes, vous jouez six mois à Toulon, puis le PSG, à la belle époque... C'est Rolland Courbis qui m'avait fait venir à Toulon et un jour, la police a débarqué au club, un truc de fou. Et Rolland s'est retrouvé en prison... Alors le PSG s'est manifesté. Nantes m'a appris mon métier, le PSG m'a appris à gagner. En cinq ans, on a remporté le championnat, deux coupes de France, une coupe de la Ligue, on a joué cinq demi-finales consécutives de coupes d'Europe. C'était fantastique : on installait Paris sur la scène européenne. C'était la première fois aussi que j'entendais un discours comme celui de Canal : "Nous, on vient, on met de l'argent et on veut des résultats !" Il y a eu l'achat de beaucoup de joueurs, une bonne dizaine, c'est énorme, à la place de joueurs de la période Borelli : c'était la première fois que je voyais qu'on payait des joueurs pour partir... C'était nouveau. Malgré l'image paillettes de Canal+, pas de risques que ça s'éparpille : l'ambiance était très sérieuse. Artur Jorge était hyper rigoureux et le recrutement s'était fait sur des hommes. Au-delà des joueurs, c'étaient des super mecs, qui avaient des vies de famille. Il y avait peu de célibataires. Je n'en connais pas qui ont pété les plombs. On a vu arriver les Lama, Ginola, Guérin, Le Guen, Ricardo, Valdo, que des joueurs qui avaient envie de gagner, ou des jeunes qui avaient un palmarès vierge. Tout le monde avait faim. Moi, mon travail sur le terrain, c'était de mettre des boîtes, d'aller tamponner, d'intimider l'adversaire... Je n'aime pas me faire marcher sur les pieds. Je suis respectueux, mais quand on vient me chercher... C'est Kanak, ça ? Oui, je crois. Moi, je reste à ma place, mais je n'aime pas trop les gars qui se la racontent et je n'aime pas l'injustice. Et quand on me cherche, ce n'est pas facile de me maîtriser... Et le fameux but de la tête, contre le Real, au Parc : c'est vrai cette histoire, qu'après le match, il y a Denisot qui est fou de joie, qui vous prend dans ses bras et vous, tout ce que vous trouvez à lui dire cash, c'est: "Pourquoi je suis remplaçant pourquoi je joue pas plus" ? Bien sûr ! Parce que moi je comme ça. Je lâche pas l'affaire... Donc, quand Denisot vient me voir après le match et me dit "Antoine, super !", je lui dis "Michel, arrête ! Je ne peux pas accepter. Je ne peux pas comprendre que je ne joue pas dans ton équipe, là !" Alors que c'était un moment du joie, de liesse, des trucs que je n'ai jamais revécus... Quand vous êtes remplaçant, vous avez toujours le sentiment que c'est une injustice. Après, il y a deux façons de réagir. Soit on peut lâcher, on se dit "l'entraîneur c'est un connard, il fait chier, t'appelle mon agent et te me casse au mercato ou à la fin de la saison." Moi, non, c'est mon caractère, je voulais aller à la bagarre pour prouver à l'entraîneur qu'il avait tort. Le coup de tête que je mets contre Madrid c'est pour dire: "Tiens ! Voilà Artur Jorge : c'est pour ta tronche, c'est pour ta gueule !" Vous avez joué ensuite en Écosse, à Aberdeen... Ouah, j'ai aimé! Y a pas de chichi. Deux saisons fantastiques. Je rentrais chez moi, je sautais encore mettre la tête. Peu de préparation, ça jouait long, sur les deuxièmes ballons, ça écartait et ça centrait, Un jeu très primaire, de combat, je me suis régalé, Le foot britannique, ça ne chambre pas, c'est le corps qui parle. En France, tu touches un mec, il tourne vingt-cinq fois, t'as l'impression qu'il a la jambe cassée et dès que t'as pris un jaune ou un rouge, il se relève. Vahid Halilhodzic et Luis Fernandez vous ont proposé d'être leur adjoint quand ils ont coaché Paris, vous avez à chaque fois refusé. On a l'impression que vous ne vouliez pas être n°2... Jamais ! Moi, c'est n°1 : c'est mon caractère. Parce que demain, si j'acceptais un poste d'adjoint et que le n°1 avait le malheur de mal me parler, il pourrait prendre un pain dans la gueule ! Quand j'étais joueur, j'étais comme ça : même remplaçant, j'avais l'esprit n°1. Quand ça n'allait pas dans le groupe, avec moi ça clashait avec les joueurs ! Je ne sais pas garder pour moi. J'ai eu plein de soucis avec des joueurs, des copains, hein, avec Ginola, Weah, Roche, Sassus, Daniel Bravo... Mais une fois qu'on s'est expliqués, c'est fini, pas de rancune. Vous parlez souvent de "guerriers", de "pitbulls", vous faites souvent référence au combat et à la lutte, comme celle du peuple kanak contre le colonisateur... C'est la fierté, l'honneur : debout, ne jamais reculer. Il y va de sa famille et de son clan. Faut bien voir qu'avant la colonisation, les peuples kanaks, ils se bouffaient entre eux. C'étaient des peuples de guerriers. Il y a peut-être 100 000 Kanaks et 28 dialectes. Si on n'a pas le français, on ne se comprend pas. Mes parents, l'un vient de lîle des Pins, l'autre de Lifou, ils ne se comprennent pas. Ça, c'est dans les îles, mais c'est pareil dans la Grande Terre, ils ne se parlent pas, ne se connaissent pas. Mais il y a aussi le sens du partage et l'accueil. Quand les joueurs de France 98 sont venus, ils ont découvert cela, l'autorisation de fouler les terres. Après, on t'accueille comme un frère. C'est ce que je dis à mes joueurs : ce qui reste, c'est ce qu'on a vécu ensemble, le foot, c'est secondaire. Vous parlez de la Nouvelle-Calédonie à vos joueurs ? Parfois, mais je ne veux pas leur prendre la tête non plus. Qu'aujourd'hui il y ait l'autonomie, c'est bien parce que ça va permettre aux gens sur place de pouvoir gérer directement le pays. Mais le plus important, c'est que tout le monde trouve sa place dans cette société. Et quand je dis tout le monde, c'est les Kanaks, les Polynésiens, les Caldoches, les Européens, les Asiatiques : il faut faire en sorte que tout le monde puisse cohabiter avec l'autre. Mathieu Kassovitz est en train de préparer un film sur les événements de la grotte d'Ouvéa. D'après vous, qu'est-ce qu'il ne faudrait pas rater de ce sujet-là pour le traiter de façon vraiment correcte ? Ce gars, là, qui fait le sujet, doit vraiment aller au fond du problème, dire tout ce qu'il s'est passé. Qu'il n'écoute pas qu'une seule des parties. Il faut bien retranscrire l'ordre des choses : il y a eu la grotte d'Ouvéa et ensuite le meurtre de Jean-Marie Tjibaou (leader indépendantiste kanak, Ndlr). C'est un sujet difficile, Tout le monde n'est pas d'accord sur la façon dont ça s'est passé, moi le premier. Les Kanaks avaient leurs motivations. Pour en arriver là, il s'est passé des choses terribles, terribles... Parce que le Kanak est quelqu'un de "docile", je veux dire il écoute, il prend sur la gueule, mais pour en arriver à prendre des décisions aussi radicales, c'est que l'exaspération était à son comble. J'ai eu très peur ça s'embrase. Parce que moi j'ai grandi au Mont-Dore, avec toutes les couches sociales, toutes les ethnies: Kanak, Caldoches, Wallisiens, Javanais, Tahitiens, Antillais aussi... J'avais des amis de partout. et j'étais ici et la famille était là-bas, les amis. Mun épouse est tahitienne. J'ai prié très fort pour que ça n'arrive pas jusqu'à une guerre civile. Parce qu'on n'en était pas loin. Et les événements récents aux Antilles, ils ont fait tache d'huile à la Réunion, mais pas en Nouvelle-Calédonie... Ce n'est pas lié du tout. Aux Antilles, il y a le poids de l'esclavagisme, que nous n'avons pas eu chez nous. C'est une autre histoire : même si chez nous il y a des colons, quatre ou cinq grandes familles qui tiennent un peu l'île, il y a autre chose. Aujourd'hui, il y a plus de pouvoirs partagés, et de richesses aussi. C'est très compliqué, la vie y est très chère, Nouméa n'est pas accessible à tous, mais en tout cas, les gens ont envie de cohabiter ensemble et font des efforts. Je pense que c'est la chose la plus importante et c'est ce qui fait qu'aujourd'hui, même s'il y a des soucis on n'en arrivera pas au pire. "Kombouaré, ça veut dire quelque chose en langue kanake ? Non. Je ne sais pas d'où ça vient. Mais je me demande si ça ne viendrait pas d'ici, de métropole. Apparemment, mon arrière-arrière-grand-père serait un Français, peut-être d'Alsace... J'ai cherché un peu. Il se serait marié avec une Mélanésienne. Parce que mon grand-père est un Blanc, Chez nous, ce sont des sujets tabous. J'ai des photos de mon grand-père et de mon arrière-grand-père, ils sont blancs. On a tous un prénom français, Antoine, et un prénom mélanésien. Christian Karembeu, son autre prénom, c'est Lali. Moi, mon nom c'est Kombouaré Koulone Antoine. Chez moi, tout la monde m'appelle Koulone, personne ne connaît le nom Antoine. Vous êtes l'un des seuls entraîneurs de haut niveau noirs en Europe. Est-ce que, comme Pape Diouf, qui est le seul président de club noir en France, c'est quelque chose que vous mettez en avant, et que vous trouvez choquant ? Est-ce que, comme lui, vous ressentez une pression supplémentaire et un certain devoir d'exemplarité ? Preuve que non : si j'avais conscience de ça, je ferais en sorte de me tenir plus à carreau et de ne pas me faire expulser par les arbitres ! On me prend avec mes qualités et avec mes défauts. Je ne vais pas me dire: "Mince, Il faut que le fasse attention parce que sinon derrière, les autres ils vont avoir du mal..." Non, Je ne suis pas black, je ne suis pas blanc, je ne suis pas maghrébin, je suis Antoine Kombouaré, entraîneur. Je ne veux pas être le symbole de quoi que ce soit. Les symboles, c'est une fois qu'on est dans le cercueil. PROPOS Recueillis PAR OF ET CG A VALENCIENNES So Foot (le mag). |
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15/05/2009 10:48
Message
#73
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![]() Spécialiste du coup de poing américain ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 7,189 Inscrit : 24/02/2009 Membre no 810 Tribune : Non précisée |
Citation Ronaldinho, le nouveau Maradona? Alors que son agent a indiqué qu'il pourrait quitter le Milan à la fin de la saison, les dirigeants de Naples rêvent d'accueillir Ronaldinho dans leur effectif. Désireux de bâtir une équipe compétitive, le président De Laurentiis souhaiterait relancer la carrière de l'ancien Ballon d'Or. Explications. Tous ceux qui ont admiré le génie de Ronaldinho ces dernières années sont attristés. Peinés de voir un joueur si talentueux se morfondre sur le banc de touche du Milan AC. Et interloqués de le voir incapable de réaliser la différence individuellement. Mais, à 29 ans (seulement), les fans du Brésilien sont encore persuadés qu'il peut retrouver son lustre d'antan. Le président du Napoli, Aurélio De Laurentiis, fait partie de ceux-là. Après une saison en demi-teinte (13e de Serie A), il rêve d'offrir aux supporteurs de San Paolo une équipe capable de retrouver les sommets du football italien. Comme à la belle époque; c'est à dire celle de Maradona à la fin des années 80. Selon le quotidien Tuttosport, le club napolitain suivrait de près le champion du monde 2002 et s'apprêterait à faire une proposition aux dirigeants milanais. Cela pourrait arranger tout le monde: le club, mécontent des prestations du joueur, souhaite récupérer une partie de son investissement ("Ronnie" a été acheté près de 25 millions d'euros), tandis que le joueur, lassé de son statut de remplaçant, veut jouer afin d'être sélectionné pour la prochaine Coupe du monde en 2010. Selon son agent, Roberto Assis, interrogé par le journal Estado de S. Paulo "Ronaldinho pourrait changer de club en Europe". Le milieu offensif, auteur de huit buts cette saison, est-il prêt à rejoindre un club moins huppé, qui risque de jouer les seconds rôles? Pas sûr. Pourtant, Ronaldinho aime la pression, et celle qui règne chaque week-end à Naples, dans le fabuleux stade de San Paolo pourrait lui permettre de se transcender et de retrouver son meilleur niveau. Les supporteurs du Napoli sont prêts à s'enflammer.
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16/05/2009 14:07
Message
#74
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 4,074 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 22 Tribune : Canapé |
Citation C'est désormais officiel: Hocine Ragued ne portera plus le maillot du RAEC Mons. Le médian a décidé de mettre un terme à sa collaboration avec le club montois. L'international tunisien n'évoluera donc pas en Exqi League avec cette formation, mais il a déclaré qu'il gardait tout de même un souvenir positif de son passage au Tondreau. Ce dernier est désormais ouvert à toute proposition. « Mons m'a permis de jouer, d'accumuler du temps de jeu et de l'expérience, ce que je recherchais en sortant d'un club comme le PSG où un jeune peut difficilement faire son trou. » « Je garderai un très bon souvenir de mon passage à l'Albert. J'y ai vécu deux bonnes saisons, il est dommage que la dernière soit nettement moins bonne et se termine par la descente. Sur un point de vue personnel, mon passage à Mons aura été très positif », a-t-il déclaré sur le site officiel du RAEC Mons. Foot Goal |
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20/05/2009 02:31
Message
#75
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![]() There Will Be No Shame ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 6,779 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : Paris Membre no 149 Tribune : Non précisée |
Citation Dalmat avait bu Victime dimanche d'un léger accident de voiture en se rendant à l'entraînement, Stéphane Dalmat se trouvait en fait de nouveau en état d'ébriété. Le procureur de la République de Montbéliard a indiqué mardi que l'ancien capitaine sochalien présentait un taux d'alcoolémie de 0,92g/l de sang au moment où sa voiture a percuté un feu rouge. Stéphane Dalmat, qui passera le 27 mai prochain devant le tribunal de Paris pour s'expliquer de son comportement du 30 mars dernier à la sortie d'un établissement nocturne des Champs Elysées, fait de nouveau parler de lui dans les faits divers. Dimanche matin, le milieu de terrain du FC Sochaux a ainsi percuté un feu rouge en se rendant à l'entraînement après avoir perdu le contrôle de son véhicule. L'enquête a révélé, via le Procureur de la République de Sochaux, Jean-Martin Jaegle, que l'ancien joueur de l'OM et du PSG présentait lors de l'accident un taux d'alcoolémie de 092g/l de sang. foot365 -------------------- "J'ai collé corps et âme aux ambitions du club." Edaourd
"Rabiot n'a pas joué en 2019, après 15-20 jours à un haut niveau il s'est écroulé" Sarri "Je crois qu'il est de toute façon trop tard pour sauver le club, l’idéologie socialiste sentimentaliste mortifère en vogue l'a trop enfoncé." anakin7 |
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20/05/2009 07:45
Message
#76
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 26,519 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 165 Tribune : Canapé |
Citation Carotti prend sa retraite Bruno Carotti ne sera plus footballeur professionnel la saison prochaine. Le défenseur montpelliérain, en fin de contrat en juin prochain, a décidé de se retirer des terrains. Il devrait rester néanmoins au sein du club héraultais à un poste à définir. Carotti a disputé à ce jour 469 matches professionnels. L'EQUIPE.FR |
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20/05/2009 19:55
Message
#77
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 10,088 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 54 Tribune : Non précisée |
Citation Monaco : Ricardo s'en va (officiel) (20/05/2009) La nouvelle était annoncée (voir brève de 09h43) plus tôt dans la journée. L'AS Monaco l'a annoncé officiellement ce mercredi : Ricardo ne sera plus son entraîneur la saison prochaine. En fin de contrat au mois de juin, l'ancien entraîneur de Paris et de Bordeaux a trouvé un accord avec la formation de la Principauté pour "ne pas poursuivre la collaboration au-delà de la fin de la présente saison", selon un communiqué du club. Le nouveau directeur sportif Marc Keller en a fait part aux joueurs mercredi matin à l'entraînement. Le manager doit maintenant s'atteler à trouver un remplaçant au technicien brésilien, qui était arrivé en poste en 2007. L'ASM suit plusieurs pistes (Paul Le Guen, Frédéric Antonetti, Antoine Kombouaré, Guy Lacombe, John Collins, entre autres). (Par Patrick Juillard) Maxifoot. |
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21/05/2009 09:34
Message
#78
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![]() ONE TEAM ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 15,738 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Paris Membre no 29 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - L1 - VA Fournier pour remplacer Kombouaré ? Antoine Kombouaré n'est pas encore parti qu'on parle déjà de son remplaçant. Pour la première fois jeudi, c'est le nom de Laurent Fournier qui est évoqué. L'intéressé s'est lui-même déclaré intéressé par le poste. «J'ai envie de retrouver les terrains, Valenciennes est un club qui était en National et qui a progressé rapidement grâce à Daniel Leclerc et Antoine (Kombouaré). Je ne veux absolument pas anticiper le départ d'Antoine mais, s'il se confirme, je voudrais m'inscrire dans la continuité de ce qu'il a fait depuis des années, a-t-il confié à Aujourd'hui Sport. Je connais déjà quelques joueurs de VA (Penneteau, Ducourtioux) pour les avoir entraînés à Bastia», a ajouté l'ancien joueur du Paris-SG, partenaire de Kombouaré à la grande époque, et dont la dernière expérience en tant qu'entraîneur remonte à la fin 2007, lors d'un passage à Nîmes. Lequipe.fr -------------------- le niveau de ton humour n'a pas de représentant légal sur terre.... © Yessod
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22/05/2009 11:05
Message
#79
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,603 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Landrin, les points sur les i Plus souvent blessé que sur le terrain cette saison (il n'a disputé que quinze rencontres de L1), Christophe Landrin a tenu à démentir les rumeurs ayant entouré sa longue indisponibilité. L'ancien Parisien était bel et bien touché aux adducteurs et à la cheville. «Je regrette que le club n'ait pas mieux communiqué sur mes blessures, a lâché le milieu de terrain stéphanois dans les colonnes de L'Equipe, vendredi. Il y a eu énormément de rumeurs qui ont pris des proportions incroyables, notamment auprès de ma famille. Je démens tout. Je me serais par exemple entraîné avec un bracelet électronique, c'est flippant d'entendre ça !» Désormais à 100%, Landrin, pour qui une descente en Ligue 2 est « inconcevable », compte bien aider les Verts à arracher le maintien lors des deux dernières journées : «Je me sens de mieux en mieux et je veux aider le club à se sauver, je luis dois au moins ça. C'était frustrant de passer autant de temps sans pouvoir rien faire.» lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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| Guest_Fanfan La Tulipe_supprimé |
24/05/2009 15:15
Message
#80
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Citation ![]() Après Arnaud Lemaire l'an passé, c'est au tour de David Ginola de présenter l'incontournable classement des 100 stars les plus sexy (diffusion ce dimanche à 20h40 sur Jimmy, puis le lendemain à 23h sur NRJ 12). L'ancien footballeur fait ainsi ses premiers pas d'animateurs... Tele-Loisirs.fr en a profité pour lui poser quelques petites questions. Interview. Tele-Loisirs.fr : Pourquoi avoir accepté d'animer cette émission ? David Ginola : Déjà parce qu'elle m'a été proposée ! (rires) Je n'ai pas hurlé "je veux la faire, je veux la faire" ! Plus sérieusement, je pense que chaque nouvelle expérience est enrichissante, et celle d'animateur en fait partie. Mais c'est un vrai métier, ça s'apprend. C'est juste un premier jet. Pour quelle émission, aimeriez-vous devenir chroniqueur ou consultant ? Il y en a plein... Il y a de très bons programmes en France, avec de très bons animateurs. Je suis novice, donc c'est difficile : prendre quelque chose de trop léger, ça ne me plairait pas non plus... Je suis ouvert d'esprit, je ne peux pas en choisir une. En octobre dernier, vous avez tourné dans un épisode des Feux de l'amour aux côtés de Lorie. Qu'en avez-vous retenu ? Comme pour l'émission, il s'agissait d'une expérience intéressante. Je suis content, car cela a donné la possibilité à Lorie de jouer dans un téléfilm sur TF1 par la suite (De feu et de glace ndlr). C'était enrichissant de pouvoir travailler avec des américains sur une série qui dure depuis 35 ans. J'aimais aussi ce côté décalage, car on ne peut pas dire que je sois un grand fan de la série ! Je ne suis pas devant ma télé tous les après-midi pour regarder le programme, mais quand on réalise le nombre de fans des Feux de l'amour, il faut leur donner de la considération. Avez-vous eu d'autres propositions de série ou de film ? Pas pour le moment... A bon entendeur ! (rires) Pour avoir goûté au cinéma, à un petit niveau, je sais que l'envie revient vite... L'année dernière, vous aviez proposé un projet pour le PSG. Avez-vous toujours envie de revenir dans l'encadrement du club ? Oui, mais je l'ai répété des tas de fois... Si ça n'intéresse personne, je ne vais pas me mettre à genoux et les supplier de me faire venir. Il faut stabiliser les choses : un club de football ne peut pas voir qu'à court-terme. Il faut retrouver les valeurs d'avant, lorsque les joueurs étaient fidèles à un club. www.programme-tv.net |
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