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22/02/2011 19:32
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#481
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![]() Concernant ? ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 4,219 Inscrit : 20/06/2009 Lieu : Val De Marne Membre no 1,089 Tribune : Viré du stade |
Citation B. Kalou:Pourquoi j'arrête A trente-trois ans, le milieu international ivoirien Bonaventure Kalou explique à francefootball.fr les raisons qui l'ont conduit à mettre un terme à sa carrière. «Bonaventure, qu'est-ce qui vous motive à annoncer la fin de votre carrière ? Je n'ai tout simplement plus la motivation que j'avais au début. Comme en plus je n'ai pas trouvé le club qu'il me fallait pour poursuivre, j'ai donc décidé de mettre un terme à ma carrière. Vous quittez le foot à l'âge de trente-trois ans alors que d'autres trentenaires comme Pirlo, Vieira ou encore Drogba continuent au plus haut niveau... La différence c'est que ces joueurs-là s'épanouissent actuellement dans leur club, ce qui n'est plus mon cas depuis que je suis parti de Heerenveen. «Quitter Lens, ma pire décision» N'est-ce pas une déception d'avoir fini votre carrière dans l'anonymat, du côté justement de Heerenveen, aux Pays-Bas? Pendant toute ma carrière, j'ai évolué au plus haut niveau (Feyenoord, Auxerre, Paris-SG et Lens). Je suis forcément déçu que ce soit terminé ainsi. Mais je pense avoir fait ce qu'il fallait... même si à un moment donné, j'ai pris de mauvaises décisions. Quelle fut la pire ? Celle, sans doute, d'avoir quitté Lens, seulement quelques mois après y avoir signé (en août 2007). Après le départ surprise de Guy Roux en début de saison, je me suis rendu compte que je n'étais pas dans les plans du nouvel entraîneur, Jean-Pierre Papin. Je n'ai pas voulu insister et je suis donc parti aux Emirats (Al Jazira). J'avoue que c'était un mauvais choix. A peine arrivé là-bas, je me suis rendu compte que je n'avais pas pris la bonne décision. Là encore, je ne suis resté que quelques mois avant de revenir illico presto, en Europe, à Heerenveen (en juin 2008). «Je vais devenir le manager de mon frère, Salomon» Qui vous a le plus marqué durant votre passage en France ? Je dois forcément beaucoup à Guy Roux. C'est un technicien qui avait une préférence pour les joueurs doués techniquement comme moi. Quand je suis donc arrivé à Auxerre, il m'avait tout de suite adopté. Que comptez-vous faire désormais ? Je me lance dans un rôle de manager. Mon frère (Salomon, de Chelsea) me l'a demandé. Je vais donc m'occuper de lui. J'envisage aussi de collaborer avec des agents anglais. Je vais également me consacrer à la Fondation Kalou qui aide à la guérison de l'insuffisance rénale.» Francefootball.fr -------------------- La Merguez Ca Rend Baleze ! La Chipo Ca Rend Costaud !
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22/02/2011 19:32
Message
#482
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation PSG : Saison blanche selon Dhorasso
Pour Vikash Dhorasoo, ancien joueur du club parisien, le PSG n’a aucune chance d’être sacré champion de France cette saison. L’ancien Parisien va même plus loin en affirmant que Paris ne décrochera même pas de billet pour la Ligue des Champions. De passage à Calcutta (Inde) où il a notamment assisté aux séances d’entraînement de Chirag United et United Sikkim, Vikash Dhorasoo ne s’est pas montré tendre envers son ancien club, le PSG. « Il n'y a aucune chance que le PSG gagne le championnat ou se qualifie pour la Ligue des champions, a déclaré l’ancien joueur du PSG à nos confrères du site Goal.com Inde. Des équipes comme Lyon, Lille et Marseille sont bien meilleures que le PSG. » Concernant l’équipe de France, Dhorasoo se montre beaucoup plus optimiste. « Elle fait de bonnes choses. Le nouveau sélectionneur fait du bon travail. Des joueurs comme Karim Benzema, Franck Ribéry ou Samir Nasri sont des hommes clés pour la France maintenant. Nasri est un très bon jeune joueur. S'il peut travailler avec Benzema et Ribéry, ce sera bien pour la France. Mais il doit travailler dur et prouver que c'est un joueur de classe internationale. » A.C (Rédaction Football365.fr) -------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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27/02/2011 11:03
Message
#483
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Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,287 Inscrit : 18/11/2009 Membre no 1,316 Tribune : Viré du stade |
Citation Superstar en Turquie où il habite désormais, Pascal Nouma a eu les honneurs d’Eurosport Turquie. Durant une longue interview, le fantasque attaquant reconverti en acteur est revenu sur l’ensemble de sa carrière. Il y évoque notamment un cancer en 2003, resté secret jusqu’à l’an dernier, qui l’a tenu éloigné des terrains durant plusieurs mois entre son passage à Marseille et son retour au Besiktas Istanbul, avant de revenir sur le devant de la scène. Il parle également de son envie d’entraîner un jour, mais uniquement s’il s’agit du club d’Istanbul. Mais il a aussi eu l’occasion de démontrer qu’il n’avait rien oublié de son passage au RC Lens, au moment où on lui a montré une photo de lui sous les couleurs artésiennes. Avant d’envoyer un baiser à la caméra à destination des supporters Sang et Or, (« Rien à voir avec les couleurs de Galatasaray » comme il prend soin de le préciser), il raconte à la télé turque : « J’ai passé deux superbes saisons à Lens. C’est une ville qui a beaucoup de problèmes car elle est pauvre, mais il y a là-bas des supporters qui sont comme ceux du Besiktas. Il y a aussi dans ce club un président qui s’appelle Gervais Martel et qui est énorme. Il fait vivre la ville par rapport au football. Bonjour à tous ceux qui aiment Lens ! » lensois.com |
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05/03/2011 02:26
Message
#484
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Sessegnon, le Black Cat Sunderland a perdu tous ses matches depuis que Stéphane Sessegnon est arrivé. Le déplacement à Arsenal samedi Stéphane Sessegnon n'a toujours pas gagné le moindre match avec Sunderland.(EQ) La vie est parfois une drôle d'histoire. Ou une histoire drôle, c'est au choix. Imaginez. Vous êtes un joueur du PSG réduit à jouer les utilités. Vous faîtes part de votre mécontentement à votre entraîneur et demandez à partir. Il vous rétorque que vous êtes «un joueur de merde». C'en est trop. Vous décidez alors d'entamer une grève de l'entraînement et vous obtenez satisfaction : le club vous laisse partir à Sunderland. Patatras. Votre arrivée coïncide avec la pire série du club depuis le début de saison : quatre défaites d'affilée. Série en cours, avant d'aller affronter Arsenal ce samedi. «IL EST DÉÇU, CAR IL EST TRÈS BON DEPUIS SON ARRIVÉE, MAIS NOUS N'AVONS PAS RÉUSSI À GAGNER UN MATCH.» STEVE BRUCE. Cette histoire, c'est celle de Stéphane Sessegnon. Malgré lui, le Béninois est l'incarnation même d'un club où les joueurs sont surnommés les Black Cats, chats noirs en français. La mauvaise série du club a commencé dès le 1er février, trois jours après son arrivée, avec une défaite à domicile contre Chelsea (2-4). Elle s'est poursuivie contre Stoke City (2-3), Tottenham (1-2) et Everton le week-end dernier (0-2). Une situation qui ne sied guère au milieu offensif, comme l'a expliqué son entraîneur Steve Bruce dans la presse britannique : «Il est déçu, car il est très bon depuis son arrivée, mais nous n'avons pas réussi à gagner un match.» C'est tout le paradoxe Sessegnon. Il joue bien, comme son coach le reconnaît, mais aussi son adjoint, le bien nommé Eric Black : «C'est un garçon discipliné qui a montré tout ce qu'il pouvait nous apporter dès ses premier matches.» Ou ses coéquipiers, Titus Bramble en porte-parole : «Sessegnon est un joueur fabuleux, un véritable cerveau. Il a cette capacité à trouver les espaces, à conserver la balle quand il le faut ou à aller de l'avant.» Mais Sunderland perd. La rencontre à l'Emirates Stadium sera une occasion parfaite pour briser la malédiction, six mois après le nul du match aller (1-1). Nul doute que Sessegnon signerait tout de suite pour un tel résultat. - Alexis DANJON lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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07/03/2011 20:27
Message
#485
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation La FIFA réhabilite Fernandez Interdit de toute activité liée au football depuis le mois dernier, Luis Fernandez a vu sa sanction être officiellement levée par la FIFA, lundi soir. La FIFA a officiellement levé la suspension de Luis Fernandez, a indiqué lundi la Fédération israélienne dans un communiqué. Le sélectionneur français d'Israël avait été interdit de toute activité liée au football depuis le mois dernier. «A présent, nous pouvons tous aller de l'avant», s'est-il brièvement réjoui sur le site de la Fédération israélienne. Fernandez, 51 ans, avait été suspendu le 20 février dernier d pour ne pas s'être plié à une mesure disciplinaire de 2009 relative à un contentieux financier avec un club qu'il avait entraîné au Qatar. La décision de la commission de discipline de la FIFA, révélée le mois dernier, remontait au 26 novembre 2009. L'ancien coach du Paris SG a entraîné le club qatari Al-Rayyan entre juin et novembre 2005. (Avec AFP) lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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20/03/2011 10:21
Message
#486
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
So Foot
Citation L.Leroy : « On était des gladiateurs »
C’était l’homme bicyclette du temps de l’AS Cannes avant de devenir le chouchou du Parc des Princes au début des années 2000. Toujours footeux (il joue en CFA2 à Grasse), Laurent Leroy n’a pas oublié le PSG ni le clasico. Quand on joue au PSG, le clasico c’est un match vraiment à part ? C’est surtout un très bon match à jouer. La semaine qui précède la rencontre, la pression monte petit à petit. On est dans l’obligation de gagner, notamment vis-à-vis des supporters. Pour passer une saison peinard, il faut gagner les deux matches, ce que tu fais après, c’est presque secondaire. Vos meilleurs souvenirs ? Les deux gifles 3-0 quand Ronaldinho était là. Celui au Vélodrome est fou car on ne s’y attend pas. Ni nous, ni eux. Tout avait été parfait ce soir-là. Le premier but de Jérôme Leroy, puis, le festival de Ronnie. C’était comme dans un rêve. On se sentait injouables. Enfin, surtout Ronnie. Il y avait une véritable rivalité entre les deux équipes sur le terrain ou c’était surjoué ? Chaque équipe voulait gagner. Les médias plantaient le décor. Les anciens joueurs aussi. Puis, les supporters ne nous lâchaient pas de la semaine. C’était impossible d’en faire abstraction. Et sur le terrain, c’était deux équipes de gladiateurs. Aujourd’hui, tout le monde se fait la bise. C’est surement mieux comme ça, mais le folklore des années 80, 90 avait quelque chose de magique. Vous le sentez comment celui de ce soir ? C’est délicat car les deux équipes sont en difficulté. Marseille a perdu à Manchester avec des regrets et Paris reste sur trois matches décevants. Celui qui va perdre dira adieu au titre et peut-être même aux trois premières places. Que s’est-il réellement passé avec Jérôme Leroy au Vélodrome pour que vous en veniez aux mains ? Jérôme venait de signer à Marseille en quittant Paris. On sait comment ça se passe dans ces cas-là. Il faut se faire accepter par les supporters. Il a mis énormément d’agressivité dans ses interventions. Malheureusement, c’est tombé sur moi et l’action se passe devant le banc marseillais. Ça dure deux secondes, mais je réagis à son intervention musclée et on se prend le bec. C’était inévitable. On a l’impression que ce genre de fait de match n’est plus possible ? C’est vrai. Il y a moins de joueurs qui s’identifient au maillot. Aujourd’hui, les mecs signent et restent à peine deux ans avant d’aller voir ailleurs. Mais il reste des petits signes qui font mal. Comme Gabriel Heinze qui marque le but vainqueur au Vélodrome l’an dernier. On vous sent toujours attaché au PSG… C’est mon club de cœur. Sans mes deux blessures au tibia, qui sait... Quand je suis arrivé, j’étais jeune, insouciant. Je courais partout. Je n’étais pas le plus technique, mais dès que je ratais une passe ou tir, je galopais pour aller défendre. Et je pense que le public aimait cette mentalité. Le mec un peu fou qui se donne à fond. C’est peut-être ça qui manque au club aujourd’hui. J’aime bien Clément Chantôme. Il me ressemble dans son investissement. Il va au contact, ne se dégonfle jamais. D’autres son tétanisés. Si tu as peur de l’entourage du club, tu es mort à Paris. Erding par exemple, il vient de Sochaux où il était couvé. Là, le contexte semble le bouffer. On peut être tétanisé par un clasico ? Ça me paraît difficile. L’avantage de ce match, c’est que tu as une semaine pour le préparer dans le sens où tout le monde en parle avant. Chaque jour, chaque heure. Tu arrives le dimanche soir, tu es sous pression depuis une semaine. Tu es acclimaté. Et de toute façon, tu dois être bon. Vous allez regarder le match ? Je voulais aller au Vélodrome mais je n’ai pas eu de place. En plus, je ne connais plus personne au PSG, tout a changé. Déjà quand Vahid est arrivé, il avait viré pas mal de monde, alors aujourd’hui, dix ans après mon départ, les gens sont partis. Je vais donc être sur mon canapé bien sagement. Vous avez pensé à votre reconversion ? Oui, plein de fois. Mon rêve serait d’intégrer le staff de Valenciennes, c’est mon club familial. Je suis de là-bas. Ils vont avoir un nouveau stade et le projet m’intéresserait. Ou alors, une spécificité comme responsable des attaquants. Ça me plairait bien. Votre pronostic ? Je vois un match nul. Mais si Paris peut gagner, ça me va. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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21/03/2011 08:44
Message
#487
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![]() Fluctuat Nec Mergitur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 36,554 Inscrit : 02/05/2010 Membre no 1,683 Tribune : Viré du stade |
Citation NGoyi out 3 semaines ? Sorti à la 81e minute samedi, contre Lille (1-2), le milieu brestois Granddi Ngoyi souffre d'une luxation d'un ménisque. Il pourrait être absent trois semaines. lequipe.fr |
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22/03/2011 08:20
Message
#488
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
France Football
Citation Rothen, direction Ajaccio ?
Libre depuis octobre, Jérôme Rothen est toujours à la recherche d'un club. Selon nos informations, Ajaccio, favori numéro un pour la montée en Ligue 1, est en contact avec lui. Sans club depuis le mois d'octobre et sa résiliation de contrat à l'amiable avec le PSG, Jérôme Rothen (32 ans) vit actuellement une saison blanche. Toutefois, l'ancien Parisien pourrait reprendre du service l'été prochain. Selon une source proche du joueur, le milieu de terrain, dont le pied gauche peut encore rendre quelques services, serait en contact avec Ajaccio, actuellement en tête de la Ligue 2. Si le club corse parvient à monter en Ligue 1, les choses pourraient alors s'accélérer entre les deux parties. La Major League Soccer le tente aussi De son côté, Olivier Pantaloni, l'entraîneur de l'ACA, joint par nos soins, a démenti être intéressé par le joueur. «Il ne nous intéresse absolument pas. Pour l'année prochaine, on va bien réfléchir avec le président (Alain Orsoni, NDLR). On va recruter, mais ce ne seront pas des joueurs avec des gros salaires. Il ne faut pas qu'on ait les pieds qui dépassent du lit (sic).» Mais l'ancien international (13 sélections, 1 but), qui touchait quasiment 180 000 euros mensuels dans la capitale, consentirait alors un gros sacrifice financier pour rejoindre l'île de Beauté. Par ailleurs, la Major League Soccer aux Etats-Unis, où évoluent actuellement sept Français, apparaît toujours comme un point de chute intéressant pour le natif de Châtenay-Malabry, même si ce n'est pas une priorité. - Tanguy LE SEVILLER -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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26/03/2011 12:38
Message
#489
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![]() Sneakers ADDICT Groupe : Banned Messages : 5,418 Inscrit : 12/01/2009 Lieu : Les bas-fonds de la Hargne Membre no 519 Tribune : Canapé |
Citation AJA : PARTOUCHE N’EST PAS CONSERVÉ 26/03/2011 - 11 h 59 Arrivé mardi à Auxerre dans le cadre d’un essai avec le club bourguignon, Maxime Partouche ne sera finalement pas conservé. Formé au PSG, ce jeune milieu de terrain vient d’effectuer un bref passage à Panionios (Grèce) avant d’être mis à l’essai avec l’AJA. Il va donc rapidement quitter le club, selon L’Équipe. Âgé de 20 ans, Maxime Partouche ne compte qu’une seule participation en Ligue 1, lors de la saison 2008-2009 avec le club parisien. Guillaume de Saint Sauveur FootMercato.net -------------------- Atlético de Madrid - F.C Internazionale Milano - Paris Saint-Germain F.C
________________________________________________________________________________ "Je me souviens du 11 septembre 1973, jour sombre où l'Amérique fomenta un coup d'état pour abattre la révolution pacifique et démocratique qui se construisait au Chili, éliminant son Président de la République, Salvador Allende" Que le Paris-SG repose en paix.. |
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28/03/2011 16:10
Message
#490
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![]() Fluctuat Nec Mergitur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 36,554 Inscrit : 02/05/2010 Membre no 1,683 Tribune : Viré du stade |
Citation Rothen décidé à rejouer en pro Jérôme Rothen ne joue plus en pro depuis presque 10 mois, mais l'ancien gaucher du Paris-SG refuse de dire son dernier mot : il cherche un club. Sans club à bientôt 33 ans (dans quelques jours), Jérôme Rothen espère encore retrouver un contrat pro, quitte à jouer en Ligue 2. «Je suis affûté, loin d'être fini» lance l'ancien milieu international (13 sélections) dans une interview à L'Equipe, lundi. Il reconnaît avoir raté le coche lors du dernier mercato hivernal et expose sa situation particulière : bien que séparé officiellement du Paris-SG depuis novembre, il ne peut s'engager librement avant juin prochain puisqu'il était encore sous contrat en début de saison. Il espère toutefois «rejoindre un club dès à présent, afin de reprendre le rythme professionnel et être prêt dès l'entame de la saison prochaine». «Ce n'est pas parce que je dis les choses que je suis une tête de con ou ingérable.» Jérôme Rohten, qui s'entretient en région parisienne, reste ouvert à toutes les propositions, y compris celles qui pourraient provenir de L2, un challenge qui l'intéresse, assure-t-il. «Je regrette de ne pas l'avoir dit assez fort et de m'être laissé endormir par des mecs qui te vendent du rêve à l'étranger», explique le gaucher qui se dit prêt à consentir de «gros sacrifices» sur le plan salarial. Sa réputation de joueur difficile à gérer ? «Ce n'est pas parce que je dis les choses que je suis une tête de con ou ingérable. (...) Quand on me dit qu'on aura du mal à me gérer, je suis comme un fou ! (...) J'ai parlé (au PSG) pour faire avancer les choses, alors que j'aurais mieux fait de fermer ma gueule.» «Ça me rend fou» «Je ne veux pas finir comme ça», avance encore Jérôme Rothen pour justifier son envie de continuer. Lui qui se verrait bien plus tard dans la peau d'un entraîneur a encore envie «de rêver et de faire rêver les gens» sur un terrain où il a encore sa place selon lui. «Quand je vois que beaucoup d'équipes manquent de joueurs sur le côté gauche, capables de ressortir proprement le ballon, ça me rend fou. Je me dis que mon pied gauche peut encore rendre des services. Vous savez, un gaucher, c'est important dans l'équilibre d'une équipe.» Cela vaut quasiment petite annonce lequipe.fr |
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30/03/2011 00:36
Message
#491
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![]() Bobo ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 62,597 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 39 Tribune : Non précisée |
Citation Foot: Raï regrette sa participation au match de gala en Tchétchénie SAO PAULO (Brésil) (AFP) - L'ancien milieu de terrain Rai regrette d'avoir participé au match de gala entre une équipe de champions du monde brésiliens et une sélection tchétchène à Grozny (Russie), un événement qu'il juge "manifestement politique", a-t-il déclaré sur son blog. "J'ai pris part à une chose que je condamne fortement: j'ai participé à un événement manifestement politique, populiste, dans un contexte inconnu pour moi, sans en comprendre les conséquences possibles, ni les intentions", a déclaré le champion du monde 94, qui a notamment évolué pour le Paris SG dans les années 1990. Rai a admis sa "naïveté" et sa "négligence", ajoutant que dorénavant il allait "suivre de près le processus politique en Russie et Tchétchénie". Le 8 mars à Grozny, une équipe composée de champions du monde brésiliens 1994 et 2002 a disputé un match de gala face à une équipe tchétchène entraînée par le Néerlandais Ruud Gullit et dans laquelle figurait Ramzan Kadyrov, le président de cette république du Caucase russe, accusé d'enlèvements et d'assassinats par les défenseurs des Droits de l'Homme. Le match a été disputé devant 10.000 spectateurs, dans un stade de Grozny orné de photos d'Akhmad Kadyrov, père de Ramzan et ancien leader tchétchène tué en 2004, ainsi que du Président russe Dmitri Medvedev et du Premier ministre Vladimir Poutine. La Tchétchénie, ravagée par deux guerres successives à partir de 1994 avec les forces russes, est sous le contrôle de Ramzan Kadyrov, un président adoubé par le Kremlin, qui y a à peu près maté la rébellion avec ses milices redoutées. yahoo.fr -------------------- Nice c'est très mauvais. Si ça fini dans les 10 premiers de L1, je vous paye tous à boire. @brafon 06/08/25 22:02
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01/04/2011 15:08
Message
#492
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation Lazio Rome : La piste Ibisevic
Selon le quotidien italien Corriere dello Sport, Vedad Ibisevic, l'attaquant de Hoffenheim, figurerait en bonne position sur les tablettes de la Lazio Rome. Sous contrat jusqu'en juin 2013 avec Hoffenheim, l'attaquant international bosnien Vedad Ibisevic (26 ans) serait pisté par la Lazio Rome. Des clubs anglais seraient aussi sur le coup. R.L. (Rédaction Football365.fr) -------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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08/04/2011 12:40
Message
#493
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,541 Inscrit : 13/01/2009 Membre no 548 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - Transferts Haddad vers Saint-Etienne ? En tête du classement des passeurs (9 passes décisives), et considéré comme l'un des meilleurs éléments à son poste en Ligue 2, le milieu de terrain de Châteauroux Rudy Haddad (26 ans) suscite l'intérêt de plusieurs formations de Ligue 1. D'après nos informations, le joueur, sous contrat avec la Berrichonne jusqu'en juin 2012, serait notamment en discussions avec l'AS Saint-Etienne pour la saison prochaine. Si les Verts semblent les plus actifs sur le dossier du joueur formé au Paris Saint-Germain, d'autres clubs se sont également renseignés, à l'image de Lens, Sochaux ou encore Nancy. - L. V.
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12/04/2011 21:38
Message
#494
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Ronaldinho distingué Ronaldinho a reçu la plus haute distinction de l'Académie brésilienne des lettres, lors d'une cérémonie au cours de laquelle il a été honoré du titre de «Docteur Ronaldinho». «Jamais je n'aurais imaginé un tel moment. C'est un honneur de recevoir cette médaille, c'est une énorme joie. Mais le titre de "docteur", non s'il vous plaît», a déclaré Ronaldinho, qui a offert un maillot de Flamengo à Marcos Vilaça, le directeur de l'ABL. lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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14/04/2011 06:28
Message
#495
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Le Parisien
Citation Sessegnon, le porte... malheur
Parti à Sunderland cet hiver, après un long conflit avec le PSG, Sessegnon ne rencontre pas plus de réussite dans son nouveau club. Le 29 janvier, à l’issue d’un bras de fer de plus d’un mois avec le PSG, Stéphane Sessegnon filait enfin à Sunderland. Tout à sa joie, l’international béninois n’avait alors sans doute pas prêté attention au surnom des joueurs du club du nord-est de l’Angleterre : The Black Cats (les chats noirs). Aujourd’hui, cette appellation prend pourtant une tout autre résonance. L’ancien milieu de terrain parisien semble en effet porter la poisse à sa nouvelle équipe. Les chiffres claquent : huit matchs joués, un nul et sept défaites (sept buts marqués, vingt et un encaissés)! Attendu comme le messie, son rendement confine presque au néant. L’étiquette de loser lui colle à la peau Avant son recrutement, pour près de 8 M€, la formation de Steve Bruce flirtait avec le haut du classement (6e). Elle pouvait même se prévaloir d’une série de trois victoires et d’un nul lors de ses quatre derniers rencontres. Aujourd’hui, elle pointe au 13e rang avec un mince matelas de six longueurs sur le premier relégable. Bien sûr, Sessegnon ne peut être tenu pour seul responsable des déboires des Black Cats. Une spirale négative s’est installée et le groupe a vu sa confiance s’étioler. Pour autant, la sécheresse des performances du joueur de 26 ans a forcément fragilisé son statut. D’ailleurs, après sept titularisations de suite, il a payé un lourd tribut à sa sortie calamiteuse contre Manchester City (0-5). Le week-end dernier, il était ainsi remplaçant face à West Bromwich Albion (défaite 3-2). « On peut voir qu’il a du talent et de très bonnes qualités techniques, mais rien ne marche pour lui depuis son arrivée, analyse Graeme Anderson, en charge du club au quotidien pour le Sunderland Echo. Le manageur a confiance en lui, mais il sait aussi qu’il a besoin de temps pour s’adapter au football anglais et à son rythme. C’est pour cela qu’il l’a placé sur le banc pour le dernier match. » Les supporteurs, quant à eux, perdent patience. Excepté une belle frappe sur la barre transversale contre Tottenham, ils n’ont rien vu de positif chez leur recrue phare du mercato hivernal. « On attendait plus de lui. On nous avait annoncé un super joueur capable de faire tout seul la différence. Pour l’instant, il n’a réalisé aucune différence. L’étiquette de loser commence à lui coller à la peau. Il a quand même coûté 8 M€ au club. Offensivement, il n’est pas bon et il ne défend pas non plus. Ça fait beaucoup. Pour l’instant, il n’est pas sifflé, mais il va vite devoir se montrer meilleur », avance Neil, rédacteur dans un fanzine de supporteurs. Samedi, pour un déplacement difficile en championnat, à Birmingham, Sessegnon sera probablement de nouveau sur le banc des remplaçants. Comme au temps du… PSG. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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14/04/2011 11:52
Message
#496
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 257 Inscrit : 18/01/2009 Membre no 589 Tribune : Canapé |
La Lazio veut Cana
Le président de la Lazio de Rome, Claudio Lotito, n'a pas caché son intérêt pour Lorik Cana dans les colonnes du Corriere dello Sport. «J'ai chargé mon coordinateur technique d'amener Cana à Rome. Il peut être utile à notre milieu et à notre défense. Il est toujours au point physiquement et a de l'expérience», a-t-il expliqué. Le joueur de 27 ans vit une saison compliquée avec son club turc de Galatasaray, 14e de Süper Lig. L'ancien marseillais a joué dans trois clubs différents ces trois dernières saisons. L'EQUIPE.FR |
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15/04/2011 11:10
Message
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 89 Inscrit : 18/05/2009 Lieu : Boulogne Billancourt Membre no 994 Tribune : Canapé |
Football 365
Citation QUE DEVIENS-TU ? / LIONEL POTILLON: « Halilhodzic, un dictateur »
Football365 prend des nouvelles chaque mardi d'un ancien joueur de L1 retiré des terrains. Invité du « Que deviens-tu » cette semaine : Lionel Potillon, aujourd'hui au service marketing de Saint-Etienne. Lionel Potillon, que faites-vous actuellement ? J'ai arrêté le football en 2007 avec Sochaux lorsque nous avions remporté la Coupe de France. Immédiatement, j'ai repris mes études à la faculté de Rouen où j'ai étudié un master de marketing et management du sport professionnel. En parallèle, je suis revenu à Saint-Etienne où j'ai intégré le service marketing et développement du club. Retrouver le chemin de la faculté n'a-t-il pas été difficile ? Difficile non, c'était dans mon intérêt. Je m'étais complètement préparé à cela. Ce n'était pas un arrêt brutal et forcé, bien au contraire, c'était mûrement réfléchi. Cela m'a permis de bien me préparer et puis tout au long de ma carrière, je ne voulais pas me couper complètement de la scolarité. J'avais passé un diplôme de relation public-attaché de presse, un diplôme d'assurance, mon brevet d'entraîneur premier et second degré. J'avais fait différentes choses qui me permettait de garder une certaine activité intellectuelle. En quoi consiste votre tache à Saint-Étienne ? C'est tout ce qui est merchandising, développement, relations avec les clubs amateurs de la région. Toute la partie événementielle également et une autre communication et organisation. On fait des déplacements ponctuels avec des professionnels et des entreprises commerciales. On fait des visites aussi avec des joueurs, à la mairie et dans les écoles. Saint-Étienne est votre club de cœur. Une période inoubliable de votre carrière... C'est vrai que Saint-Étienne fait partie de ma vie. J'ai toujours aimé, avant d'habiter ici, la ferveur qu'il y a. J'ai toujours dit qu'à la fin de ma carrière, je reviendrai vivre ici, même si à la base, je suis bourguignon et non de Saint-Étienne. Au niveau des mes huit années de footballeur, il y a eu de très bons moments et des plus compliqués aussi, avec notamment l'affaire des faux passeports. Je me souviens aussi de mes différentes blessures, notamment à un genou qui m'avait éloigné des terrains pendant neuf mois. C'est vrai qu'il y a eu des passages compliqués, mais au final, je ne retiens que les points positifs de cette expérience. Vous auriez aimé finir votre carrière à Saint-Étienne mais ça ne s'est pas fait. Le regrettez-vous ? Non. Quand j'avais arrêté à Sochaux, je savais que je revenais vivre à Saint Etienne. J'avais déclaré dans un média que si Saint-Étienne avait besoin d'un joueur d'expérience gratuit pendant un an, j'étais prêt à le faire. Malheureusement, l'entraîneur de l'époque Laurent Roussey a estimé ne pas avoir besoin de ce joueur d'expérience, donc cela s'est arrêté là. Mais ça a été complètement oublié de ma part du fait que ce n'était pas du tout quelque que chose de vital pour moi. « Ronaldinho ? Un artiste » Puis est arrivé le PSG.... C'était également un très bon moment. Je m'entendais très bien avec Luis Fernandez. Si je suis venu à l'époque à Paris, c'était pour partager une expérience avec un entraîneur tel que lui. Le club en lui-même me convenait parfaitement. J'étais un joueur qui avait besoin de pression, de ferveur médiatique et populaire. A Paris, j'étais gâté parce que c'était comme ça en permanence. J'en avais besoin, contrairement à d'autres joueurs inhibés par ça. L'aventure s'est terminée en queue de poisson dans le sens où Vahid Halilhodzic me fait prolonger quatre ans et dès le lendemain, il me fait comprendre en fait qu'il n'avait pas besoin de moi et qu'il ne comptait pas du tout sur moi. Reynald Denoueix, alors entraîneur de la Real Sociedad, me suivait depuis pas mal de temps, il a souhaité ardemment ma venue, et du coup je suis parti le rejoindre en Espagne. Pourquoi une telle décision de la part de Vahid Halilhodzic ? Je ne sais pas. Ce que j'ai pu lire dans la presse, c'est qu'il me considérait, avec Jérôme Leroy, comme un sous-marin de Luis Fernandez, ce qui était absolument faux, bien qu'ayant une très bonne relation avec ce dernier. C'est dommage parce que je pense que l'aventure avec Paris aurait pu continuer et même durer un long moment. Vous avez côtoyé de grands joueurs au PSG. Lequel vous a le plus marqué ? Ronaldinho, évidemment. C'est un joueur complètement atypique. Un artiste avec tout ce que cela peut comporter. J'avais souvent l'habitude de dire que je le voyais faire des choses avec une boite de strapping carrée que je ne pourrais pas reproduire avec un ballon. C'était un joueur fabuleux. Vous êtes ensuite parti en Espagne avec la Real Sociedad... J'avais absolument demandé à Reynald Denoueix que cela soit un prêt sans option d'achat. C'est-à-dire que j'avais la certitude de revenir après un an. Je ne connaissais absolument pas ce qu'était l'étranger, et étant quelqu'un de familial, quand on part à l'étranger, cela a beaucoup d'incidences sur la vie de tous les jours. Je voulais avoir une première idée avant de m'engager sur une longue échéance. C'est pour cela que je n'ai fait qu'un an, mais cela s'est bien passé. J'étais arrivé en Espagne fin août, il m'a fallu un temps d'adaptation, en plus je m'étais fais une déchirure à la cuisse, mais au final j'ai fait toute la deuxième partie de la saison. Il faut savoir que j'étais en concurrence avec le capitaine historique du club, Agustín Aranzábal, qui avait une quarantaine de sélections en équipe nationale et qui était capitaine depuis de nombreuses années donc c'était loin d'être acquis. Et donc pourquoi êtes-vous revenu en France ? Lors de ma négociation pour prolonger, au moment où cela allait se concrétiser, Denoueix a été débarqué, et l'entraîneur qui a suivi était parti sur une autre politique. Les négociations n'ont pas abouti. Vous avez finalement fini à Sochaux.... A mon retour de prêt, je retourne à Paris. Mais Vahid était toujours là et il était hors de question de travailler avec un dictateur, je ne pouvais pas rester. J'ai donc souhaité partir. Guy Lacombe, alors entraîneur de Sochaux et avec qui je m'entendais bien, me suivait depuis pas mal de temps. Il a contacté mes agents. On était sur la même longueur d'onde, cela s'est donc concrétisé très vite. « Halilhodzic ? Aucun intérêt pour moi » Vahid Halilhodzic vous a visiblement marqué... Pour moi c'était impossible de travailler avec lui. On n'avait pas la même conception de la valeur humaine donc c'était impossible. Ce n'était pas une question de travail, c'est juste qu'humainement, Halilhodzic est le genre de personnage qui, pour moi, n'a aucun intérêt. Le dialogue était difficile... Vous savez, lorsqu'un entraîneur vous dit à la première réunion : « Ici on est dans une démocratie, mais ça ne sert à rien vu qu'il n'y a que moi qui parle et qui ait raison », vous avez tout compris. Moi j'ai besoin d'un rapport de confiance, ce qui s'est fait avec tous les autres entraîneurs que j'ai eu, que ce soit avec Nouzaret, Denoueix ou Fernandez. Après, qu'il fasse cela avec d'autres joueurs et qui acceptent ce fonctionnement, c'est leur problème, mais avec moi c'était trop compliqué. Pourtant, je ne pense pas être un joueur compliqué, bien au contraire (rires). Pourquoi avez-vous refusé d'être l'adjoint de Christophe Galtier à Saint-Etienne après votre carrière ? Je voulais découvrir la face cachée du football, ce qu'on n'imagine pas lorsque l'on est joueur pour ensuite revenir sur le terrain et devenir un bon manager et un bon entraîneur. La proposition était venue trop tôt. Il n'est pas à exclure de vous voir sur un banc de touche dans le futur ? C'est même plus qu'envisageable. J'ai passé les diplômes d'entraîneur. Mais je voulais d'abord découvrir l'autre côté du football pour avoir toutes les cartes en main et être le mieux armé. Vous avez connu de grands stades avec des ambiances énormes. Si vous deviez n'en retenir qu'un, lequel serait-il ? Je vais aller plus loin. J'ai eu la chance dans ma carrière de jouer à Saint Etienne avec la pression du Chaudron. J'ai eu la chance de jouer à Paris, au Parc des Princes, où c'était la même chose. J'ai également eu la chance d'aller en Espagne où c'était identique car la Real Sociedad est un club basque très populaire, où le foot est quelque chose d'important. Et puis j'ai fini à Sochaux, où l'ambiance était un peu plus fade. Cela reste un petit regret car il y avait un manque de pression et de ferveur. |
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16/04/2011 07:15
Message
#498
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![]() Fluctuat Nec Mergitur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 36,554 Inscrit : 02/05/2010 Membre no 1,683 Tribune : Viré du stade |
Citation Rothen, commentateur radio pour PSG - Lyon Jérôme Rothen va appréhender le Parc des Princes sous un nouveau jour. L'ancien milieu de terrain du PSG, qui a résilié son contrat avec le club de la capitale en octobre dernier, va, pour la première fois en direct et dans un stade, commenter un match de foot à la radio. L'ancien parisien sera en effet au micro pour PSG – Lyon, dimanche soir (21h), sur France Bleu 107.1, aux côtés du journaliste Bruno Salomon. Rothen a déjà goûté à la radio par le passé, notamment en tant que consultant pour RMC lors de la dernière Coupe du Monde. Jérôme Rothen, 33 ans, est par ailleurs toujours à la recherche d'un club. L'AC Ajaccio, actuellement 3e de L2, serait intéressé par le joueur en cas de montée en Ligue 1. leparisien.fr |
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19/04/2011 08:23
Message
#499
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - Coupe - Nice lequipe.fr
Letizi : «Boucler la boucle» Lionel Letizi, dans le but mardi soir contre Lille en demi-finale de la Coupe, espère terminer au Stade de France une carrière commencée en 1992. Lionel Letizi, bientôt 38 ans (le 28 mai) rêve de terminer sa carrière en finale de la Coupe de France, le 14 mai au SDF. Le deuxième gardien niçois, qui gardera le but ce mardi soir au Ray en demi-finale contre Lille (20h30) - «mon dernier match à Nice» - espère même «boucler la boucle» face au Paris-SG, son autre club de coeur (200-2006). «Ce serait fantastique.» Pour ne prendre aucun risque avant le choc contre le leader de la Ligue 1, Letizi a pris toutes les précautions. «Je ne fais plus rien depuis quatre jours, je ne veux pas prendre un mauvais coup et le rater.» Il compense son manque de matches en se livrant à «des grosses séances spécifiques le dimanche» avec Bruno Valencony, l'entraîneur des gardiens du Gym. «Le bon moment» Sa décision - définitive - d'arrêter , l'ancien international (4 sélections) l'a prise en octobre dernier. Un choix «raisonnable» explique-t-il. Il reconnaît qu'il a «mal partout» après les matches et a eu «du mal à récupérer de la préparation». Pour lui, «c'est le bon moment» de mettre un terme à une carrière commencée en 1992. D'où l'importance de la (des) prochaine(s) échéances : «Je mérite de finir sur une belle histoire.» «Finir sur une belle histoire», à lire dans L'Equipe de mardi |
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19/04/2011 13:12
Message
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 292 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : 94RichesFC Membre no 466 Tribune : Non précisée |
Citation Ljuboja, les perles d'un routier
Sans doute remplaçant contre le LOSC en demi-finale de Coupe de France, ce mardi soir au stade du Ray (20h30), l'attaquant serbe de Nice Danijel Ljuboja, 32 ans, livre quelques perles dans une interview à Libération du jour. «Je m'imaginais au Real et à l'Inter, j'ai connu Stuttgart et le PSG», résume le joueur formé par Sochaux et revenu dans le Championnat de France en 2009 à Grenoble. «C'était peut-être mon niveau. Après, dans le foot, tu ne maîtrises pas tout. J'ai été formé avec Camel Meriem (aujourd'hui à Arles-Avignon) à Sochaux : ce type était un phénomène, il devait tout casser...» Ljuboja, qui raconte que son père lui faisait monter les marches à cloche-pied pour se muscler les cuisses, revient aussi sur ses années Paris-SG (janvier 2004-2006) et notamment ses relations orageuses avec Vahid Halilhodzic, le coach parisien. «Pendant les entraînements, il parlait tout le temps. Imagine que tu veux manger et qu'à chaque fois que tu vas mordre dans ton sandwich quelqu'un te parle et te dit comment faire. Arrive un moment où tu n'as plus faim.» Niang, le complice Encore cette réflexion, à propos de la complicité entre attaquants : «J'ai connu ça avec Mamadou Niang à Strasbourg : ça a fonctionné dès la première minute du premier entraînement. Je vais vous dire : ou ça prend tout de suite, ou ça ne prend jamais. Quand vous entendez un type raconter qu'il faut du temps... C'est justement le contraire. Le foot a un côté magique.» Une qualification pour la finale aux dépens du leader de la L1 confirmerait certainement à ses yeux cette dernière remarque. L'Equipe -------------------- "Tubic or not Tubic"
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