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21/01/2011 15:11
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#461
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation Foot - NAT - Strasbourg : Zeidler remplace Fournier Avant même le match de 16e de finale de Coupe de France contre Evian-Thonon Gaillard (L2), samedi (20h45) à la Meinau, les jours de Laurent Fournier sont comptés. En place depuis le début de saison, l'ancien entraîneur du Paris-SG (février à décembre 2005) ne survivra pas à la défaite concédée à Cannes (0-1), la semaine dernière. De source allemande, c'est Peter Zeidler, adjoint de Ralf Rangnick à Hoffenheim, qui le remplacera dès la semaine prochaine. Zeidler, 47 ans, est un entraîneur allemand qui parle couramment le français. Il aura pour charge de tenter de faire remonter le RC Strasbourg en Ligue 2. A vingt journées de la fin, le club alsacien compte neuf points de retard sur Cannes, le 3e du National.- J.-M. B.
-------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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23/01/2011 12:38
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#462
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,535 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation Fournier maintenu ! La qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe de France, samedi au détriment d'Evian (1-0), a permis à Laurent Fournier de sauver sa place sur le banc de Strasbourg. C'est ce qu'a annoncé dimanche Jean-Luc Witzel, le directeur sportif du club. «J'ai eu (le président Jafir Hilali) plus d'une heure au téléphone après la rencontre et lui ai fait valoir mes arguments qu'il a su écouter», a-t-il déclaré. Witzel était partisan du maintien de l'ancien entraîneur du PSG, et semble donc l'avoir obtenu. (avec AFP)
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24/01/2011 21:58
Message
#463
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Membre habitué Groupe : Banned Messages : 2,782 Inscrit : 01/11/2009 Membre no 1,295 Tribune : Non précisée |
Citation Auteur de son 12e but en Serie A, dimanche soir contre Cesena (2-0) avec l'AC Milan, Zlatan Ibrahimovic a tenu à mettre en avant la belle prestation de Mario Yepes. Titularisé en défense centrale à la place de Thiago Silva, aligné au milieu devant la défense pour palier la blessure à l'échauffement de Gennaro Gattuso, le défenseur colombien s'est montré à son avantage et a été crédité de la note de 7 sur 10 dans La Gazzetta dello Sport. «Yepes a fait un grand match, il a été le meilleur joueur sur le terrain. Ça signifie qu'on a un super groupe. On a des joueurs qui ne jouent pas toujours mais qui font du bon boulot lorsqu'ils rentrent», a ainsi souligné Ibrahimovic après la rencontre. «Ses paroles signifient beaucoup pour moi. On forme un groupe uni. Ce qu'a dit Ibra à mon sujet, je le pense de tous mes coéquipiers», a commenté Yepes lundi en conférence de presse. A 35 ans, le Colombien, ancien défenseur du PSG entre 2004 et 2008, disputait dimanche son septième match en Serie A avec les Rossoneri (dont trois titularisations). Nesta blessé à l'épaule et absent trois-quatre semaines, le Colombien devrait pouvoir augmenter son temps de jeu au Milan. (Photo Presse-Sports) Francefoot.fr -------------------- "Le PSG ne s'interdit pas le rêve ! Nous avons ainsi l'ambition de monter une grande équipe européenne la saison prochaine. Christophe Landrin est notre première recrue" Pierre Blayau
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31/01/2011 14:34
Message
#464
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation Foot - Transferts : Rocchi à Arles-Avignon Le milieu de terrain Romain Rocchi est arrivé lundi en Provence. Le désormais ancien joueur de l'Hapoël Tel-Aviv (Israël) s'est engagé pour deux ans et demi avec Arles-Avignon. Faruk Hadzibegic, qui cherche toujours un attaquant, a indiqué que le défenseur Carlos Pavon « ne devrait pas quitter le club ». L'Espagnol était initialement annoncé partant. - A. B.
-------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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31/01/2011 21:19
Message
#465
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![]() NeyBaF* ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 9,385 Inscrit : 17/01/2009 Lieu : Bandol Membre no 582 Tribune : Viré du stade |
Citation Ragued file en Turquie Après un an et demi au Slavia Prague, Hocine Ragued a été transféré ce lundi en Turquie. Le milieu de terrain international tunisien s'est engagé avec Karabükspor jusqu'en juin 2012. Ragued est le septième joueur à quitter le Slavia Prague ce mois-ci. Le club tchèque doit faire face à d'importants problèmes financiers.
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02/02/2011 21:54
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#466
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 2,803 Inscrit : 22/04/2009 Lieu : Paris Membre no 913 Tribune : Non précisée |
Citation I HAVE A DREAM! by VIKASH DHORASOO Adebayor a signé au grand Real Madrid et il en a rêvé. C’est en tout cas ce qu’il a dit en conférence de presse face aux journalistes espagnols, et tout ceci dans un anglais parfait. Débarqué du Togo à Metz, il est vite parti à Monaco, un vrai rêve de gosse j’imagine. C’est bien connu. Tout le Togo est fan du club de la principauté. Assez moyen, il a réussi à partir dans le club de ses rêves : Arsenal (au Togo, on rêve aussi d’Arsenal) où il a plutôt pas mal réussi. Plus tard, il quitte les Gunners, pour Man City ( il devait rêver de millions). C’est dur de quitter le club de ses rêves ! Rooney récemment a failli partir au Real, club dont il rêvait évidemment, club surtout qui lui offrait la revalorisation que Man U lui refusait et puis, MU a finalement cédé et le beau Wayne est resté dans son club. Normal, c’est le club de ses rêves. Payet veut rejoindre le PSG et quelque chose me dit que le club de la capitale doit être le club de ses rêves. Normal quand on s’appelle Payet ! Kaka l’an passé avait quitté le club de ses rêves, l’AC Milan pour un autre club des ses rêves : le Real Madrid. Pourtant, il a toujours promis qu’il ne quitterait jamais le Milan. Voilà, les joueurs de foot quittent toujours le club de leurs rêves pour le club de leurs rêves. J’ai démarré ma carrière au HAC, le club de ma ville natale. J’ai vraiment rêvé de jouer au stade Jules Deschaseaux, à la place de mes idoles de l’époque, les Bensaoula, Llorens, ou Krimau…Et un jour, c’est arrivé. J’étais fier, heureux de jouer devant ma famille, mes amis, pour ma ville. Et puis je suis parti à Lyon. J’avoue que je n’ai pas pu dire que Lyon était le club de mes rêves. Je ne savais même pas où se situait Lyon sur la carte de France. C’était plutôt un tremplin mais ça non plus, je n’ai pas pu le dire. Alors, j’ai inventé quelque chose pour plaire aux journalistes et aux supporters du genre “C’est un rêve de jouer dans la capitale des Gaules et d’y retrouver Alain Cavéglia”. J’y ai d’abord joué 3 ans mais la dernière année a été difficile et in extremis, le 30 août, avant-dernier jour du mercato, j’ai été prêté aux Girondins de Bordeaux. J’ai toujours rêvé de jouer à Bordeaux, c’est pour ça que l’affaire s’est conclue si tard. Entre-temps, j’avais failli signer au Barca, au Milan ou à la Juve, mais je ne rêvais pas vraiment de ces clubs. Ça, c’est ce que me racontait mon agent. J’espère qu’il ne me faisait pas rêver. J’ai tellement rêvé du club au scapulaire que cette année, il n’y avait pas de scapulaire sur le maillot et lorsque la saison s’est terminée, c’est en courant que je suis rentré à Lyon. Et oui, Lyon me manquait. L’OL était vraiment devenu le club de mes rêves. Je suis allé au bout de mon contrat et c’est libre et en lousdé que j’ai signé au grand Milan. Et là, même si vous ne me croyez pas, j’ai ce jour là signé dans LE club de mes rêves. J’avais dans le vestiaire, en face de moi, Rui Costa, capitaine du Portugal, Cafu, le capitaine du Brésil, avec qui je démarrais l’échauffement de chaque entraînement, Maldini, capitaine de l’équipe d’italie, Chevshenko, Ballon d’or, Kaka futur Ballon… Je venais de réaliser mon rêve. Sauf qu’à la fin de cette même saison, mon agent m’appelle et me dit que le PSG me veut. Et là, je n’ai pas pu refuser la proposition du club de mes rêves. Alors, je suis allé voir Galliani, l’administrateur délégué du Milan et je lui dis que je dois partir, que c’est dur car je dois quitter le club de mes rêves pour l’autre club de mes rêves. Galliani a d’abord refusé catégoriquement, me disant que j’étais un élément important de l’effectif milanais. Mais, plus tard, il m’a compris et m’a laissé partir lorsque le PSG a posé les millions que demandait le club lombard. Petit gosse du Havre, le PSG représentait le club des riches, des privilégiés. On détestait ce club mais on était un peu jaloux de leurs jeunes. Alors, quand j’ai signé, ça n’a pas été très dur de dire en conf de presse que le PSG était le club de mes rêves. L’aventure parisienne s’est plutôt mal passé. J’ai été licencié (je ne faisais pas rêver Lacombe, mon coach) et j’ai signé à Livourne, en Italie. Et là, pour le coup, ce n’était vraiment pas le club de mes rêves. Alors, j’ai résilié mon contrat et j’ai arrêté ma carrière. Aujourd’hui il me reste 3 grands rêves à accomplir: être un jour président du HAC, voir l’Inde en finale de la Coupe du monde et gagner les WSOP de poker. J’ai toute la vie pour les réaliser…
-------------------- Je suis le fils de Dieu, envoyé sur Terre pour une mission suicide.
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04/02/2011 15:01
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#467
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Sports 365
Citation Vasco : Ricardo nouvel entraîneur L'ancien entraîneur de Bordeaux et de Monaco, Ricardo Gomes, s'est décidé à reprendre du service. C'est avec le club brésilien du Vasco de Gama qu'il va poursuivre sa carrière. Alors que de nombreuses rumeurs annonçaient un éventuel retour en France de celui qui a déjà entraîné le PSG ou plus récemment Bordeaux et Monaco, Ricardo Gomes va continuer sa carrière d'entraîneur au Brésil avec le Vasco de Gama. Il a été présenté avec son adjoint, Christopher Bennett, ce mercredi, avec l'ambition de terminer dans la première partie de tableau après une onzième place l'an passé dans le championnat brésilien. G.D (Rédaction Football365.fr) So Foot Citation Au premier match de Ronaldinho Hier soir, le spectacle était dans les tribunes. Motivé mais pas en grande forme, R10 a livré une prestation correcte mais sans plus. Heureusement que les supporters étaient là pour mettre le feu. Ronnie peut remercier Wanderley. Sans son but de raccroc à la 85e , la grande fête de son retour au Brésil aurait été gâchée par une drôle d’équipe au maillot orange fluo. Flamengo bat Nova Iguaçu 1-0 et la star peut quitter le terrain tout sourire, saluant longuement les 42 000 supporters en fusion qui ont rempli le stade Engenhão. A son entrée sur la pelouse en vedette américaine, quelques secondes après le reste de l’équipe, il est accueilli par un tifo géant : « Bem-vindo R10 ». Dans les tribunes, si certains supporters secouaient des drapeaux à son effigie, d’autres portaient carrément des masques caricaturant ses cheveux longs et ses dents du bonheur. Juste avant le coup d’envoi, Léo Moura, le taulier, au club depuis six ans, remet le brassard de capitaine au « petit nouveau ». Un geste loin d’être anodin, qui en dit long sur les intentions du coach Vanderlei Luxemburgo et des dirigeants du club : confier les clés de l’équipe à Ronaldinho, histoire de rentabiliser à fond l’investissement, aussi bien au niveau sportif qu’en termes de marketing. L’héritier du mythique n°10 de Zico l’a bien compris, c’est pourquoi il montre d’emblée une belle dose de motivation. Il se positionne en neuf et demie, tournant autour de l’ancien Bordelais Deivid dans l’axe ou décrochant côté gauche. Quand il touche son premier ballon à la 3e minute de jeu, les supporters exultent : jamais on aura vu une passe foirée autant acclamée… Peu avare en efforts, il n’hésite pas à aller au pressing. Et ça paie : à la 6e, les torcedores rugissent de plaisir en le voyant récupérer un ballon après un duel gagné au milieu de terrain. Deux minutes plus tard, sur un coup-franc excentré côté droit, il tente même de refaire le coup du centre-tir-lob du quarts de finale de coupe du monde 2002, contre l’Angleterre. Pas de chance, en face, ce n’est pas David Seaman, mais Diogo Silva, jeune gardien prometteur qui reste sagement sur sa ligne et capte parfaitement le ballon. Le portier de Nova Iguaçu va jouer une nouvelle fois les trouble-fête en repoussant d’une superbe claquette main opposée un autre coup-franc, cette fois tiré plein axe, d’une frappe enveloppée avec amour, dans le pur style Ronaldinho. Ce sera sa plus belle occase de la soirée. Les mains sur les genoux Son plus beau geste : une talonnade pour lancer un une-deux avec Deivid. A part ça, de timides passements de jambes, quelques ouvertures lumineuses, d’autres moins. Bref, rien de magique, mais il a fait le job. Au sein d’une équipe assez limitée, il a le mérite d’apporter une palette de jeu variée et une touche technique non négligeable. Mais bon, c’est bien beau tout ça, mais ça ne suffit pas pour gagner des matchs. Surtout qu’en seconde mi-temps, Ronnie montre qu’il est encore à cours de forme, se montrant beaucoup plus discret et posant à plusieurs reprises ses mains sur les genoux. Les supporters commencent à s’inquiéter et les premiers cris de « timinho » (littéralement, « petite équipe », qu’on pourrait traduire par « équipe de merde ») à vingt minutes de la fin. Mais au même moment, Ronnie décale Thiago Neves, qui frappe juste au-dessus. En voyant ses deux stars à l’œuvre, la torcida se réveille et décide de pousser jusqu’au bout. Et il faut croire que ça a payé : alors que l’on s’acheminait vers score nul et vierge, Wanderley, entré à la place d’un Deivid copieusement sifflé à sa sortie du terrain, délivre les siens en s’arrachant sur un ballon qu’il va chercher pratiquement dans les gants du gardien. Ouf, Ronnie peut dormir tranquille, on lui pardonnera son manque de fraîcheur, en espérant qu’il redeviendra décisif lors des prochaines rencontres. Lors de la conférence de presse d’après-match, alors qu’un petit malin est tout fier d’annoncer que le nouveau capitaine de Flamengo a touché 47 ballons, Vanderlei Luxemburgo se dit satisfait de la performance de son poulain, s’avouant même « agréablement surpris qu’il ait réussi à tenir 90 minutes ». Louis Génot, à Rio de Janeiro A l'entraînement, Ronnie: -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
Form is Temporary. Class is permanent. |
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05/02/2011 16:36
Message
#468
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Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 4,826 Inscrit : 02/07/2009 Membre no 1,127 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - ANG - 26e j. Sessegnon, deuxième défaite Deuxième match et deuxième revers pour Stéphane Sessegnon avec Sunderland, battu samedi chez Stoke (3-2) grâce à Huth (doublé) et Carew. Le stade Britannia n'a pas été le symbole espéré. Stéphane Sessegnon a concédé samedi son deuxième échec anglais avec sa nouvelle équipe de Sunderland, sur la pelouse dégradée et venteuse de Stoke City (2-3). Comme lors de la défaite (2-4) des Black Cats contre Chelsea, mardi, l'ex-Parisien a disputé l'intégralité de la rencontre. L'international béninois, qui a évolué au poste de milieu offensif gauche, a réussi quelques enchaînements mais a paru parfois peiner physiquement et a récolté un carton jaune sur un tacle en retard à l'heure de jeu. D'autres anciens de la L1 se sont illustrés dans cette partie rythmée par de nombreuses situations dangereuses. Carew marque enfin John Carew, l'ex-Lyonnais, qui disputait lui aussi son deuxième match depuis son transfert à Stoke en provenance d'Aston Villa, a remis son équipe dans le match en égalisant en première période. Le Norvégien, qui n'avait plus marqué depuis mai dernier, a exploité du bout du pied un duel aérien mal négocié par Gordon, le portier de Sunderland (32e). Il a encore été dans le coup sur la deuxième égalisation de Stoke en fin de match (82e) : une action confuse conclue par Huth, le défenseur allemand également buteur décisif sur un dernier coup de pied arrêté dans temps additionnel (90e+3). Avant les autres matches, Stoke entre dans la première moitié du tableau (9e), tandis que le Sunderland de Sessegnon et Gyan, l'ex-Rennais auteur d'un beau but inutile (48e), reste 6e. (rédaction) lequipe.fr http://tinyurl.com/6kc2q9t -------------------- Betteravier militant.
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06/02/2011 13:56
Message
#469
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 23,824 Inscrit : 19/01/2009 Membre no 630 Tribune : Canapé |
Citation Sessegnon n'a «pas triché» à Paris Transféré du Paris-SG à Sunderland au mercato, Stéphane Sessegnon est revenu dimanche dans Téléfoot sur son bras de fer avec les dirigeants parisiens. «Je ne méritais pas certaines choses dans ce club, argumente le milieu international béninois, même si certaines personnes pouvaient m'en vouloir en se disant "il n'est pas à la hauteur de ce qu'il a fait la première saison". C'est quand même dommage, car je n'ai jamais triché. Peut-être qu'à un moment donné, j'étais moins bien, mais j'étais satisfait d'être là parce que j'apportais quand même quelque chose à l'équipe. Quand elle gagnait, j'étais toujours content. Personne ne peut dire le contraire.» A-t-il tout dit sur les origines du clash et de son départ ? «Je ne suis pas le mec qui va révéler tout ce qui s'est passé, répond-t-il. J'ai passé deux années et demie excellentes à Paris. Vu comment Paris était quand je suis arrivé, et vu où l'équipe en est aujourd'hui, je ne peux être que satisfait. On peut dire qu'on a franchi un cap. Il faut surtout garder ça.» En Angleterre, Stéphane Sessegnon a joué deux matches en intégralité pour... deux défaites mardi face à Chelsea (2-4) et samedi contre Stoke City (2-3). Equipe.fr |
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07/02/2011 10:20
Message
#470
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,535 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation Vampeta : «Je n'ai pas eu la patience de Rai» Champion du monde avec la Seleçao en 2002, Vampeta est une star au Brésil. En France, on ne se souvient de lui que comme l'un des ratés les plus spectaculaires de l'histoire du Paris-SG. Le désormais entraîneur des moins de 20 des Corinthians se confie en exclusivité pour Francefootball.fr. (Photo Presse-Sports) Le Paris-SG «Je suis arrivé au PSG à un moment critique de son histoire (2001). Tous les joueurs en avaient marre de ce club. Edouard Cissé voulait partir. Anelka s'est cassé très vite. Okocha aussi. J'ai adoré le Parc des Princes mais je n'ai pas eu la patience de Rai. Dans ma tête, je ne pensais qu'à la Coupe du monde 2002, et je ne voulais surtout pas la rater. Pour Rai aussi, la première saison a été difficile. Et à la Coupe du monde 1994, il a perdu sa place de titulaire au profit de Mazinho. Notre situation, lors d'une première saison au PSG, est quasi-similaire mais Rai a été plus patient. Moi, je suis plus agité. J'aime la fête. Et Luis Fernandez était encore plus fou que moi. Si je suis parti du PSG si vite, c'est parce que je voulais réintégrer la Seleçao dès que possible. Nous n'étions qu'à quelques mois de la Coupe du monde 2002. La meilleure option était de rentrer au Brésil pour me montrer. J'ai eu raison puisque j'ai été sélectionné et je suis devenu champion du monde.» La politique «J'ai tenté ma chance aux dernières élections (en septembre 2010). Je voulais devenir député fédéral de l'Etat de Sao Paulo. J'aime la politique. C'était super ! Malheureusement, je n'ai pas été élu, contrairement à Romario ou Bebeto. Mais j'ai obtenu 15 300 voix ! Et sans pub à la télé ! Grâce à Dieu, je suis une personne publique au Brésil et je veux aider les gens. Les footballeurs ont aussi une responsabilité sociale. Ça n'a pas marché car c'était ma première élection et la campagne était très chère. J'ai beaucoup compté sur le bouche à oreille et beaucoup de gens ne savaient même pas que je me présentais. Mais qui sait ? Peut-être que la prochaine fois, je serai élu. Je suis né pour gagner.» L'homophobie «L'amour n'est pas un pêché. Il doit être respecté. J'ai fait des photos un peu osées dans une revue masculine. C'est ma liberté et j'ai été très bien payé pour le faire. Je ne suis pas homosexuel mais même si je l'étais, chacun fait ce qu'il veut. Je suis contre toutes les discriminations, qu'elles soient raciales ou sexuelles. Les supporters traitent souvent les joueurs ou se traitent de pédé. C'est regrettable. Il y a bien sûr des joueurs de foot homosexuels mais ils n'assument pas car ils seraient critiqués par leurs propres supporters. J'ai connu l'homophobie. Pas en France ni en Italie, mais dans les pays arabes. Personnellement, j'adore les femmes, comme la plupart des joueurs de foot, mais il faut respecter le plaisir de chacun. Si quelqu'un demande des comptes, c'est sur le terrain que cela doit se régler. En dehors, chacun sa vie !» Augusto Suares francefootball.fr |
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07/02/2011 12:40
Message
#471
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 2,803 Inscrit : 22/04/2009 Lieu : Paris Membre no 913 Tribune : Non précisée |
Citation ![]() QUE DEVIENS-TU ? / LAURENT LEROY :« FOOTBALLEUR ET POMPIER » Laurent Leroy, que faites-vous actuellement ? Je joue à Grasse en CFA2. Je suis toujours dans le milieu du football et je prépare mes diplômes d'entraîneur. Depuis que je suis revenu de Chine en 2007, j'ai toujours repris une licence amateur, à Saint-Raphaël d'abord et maintenant à Grasse. Je veux aider le club à essayer de monter en CFA. Où en êtes-vous de vos diplômes d'entraîneur ? J'ai commencé cette année. Je suis sur le BE et après, je préparerai le DEF. Il faut bien s'arrêter un jour. Je prépare donc mon après carrière. J'aimerais entraîner une équipe en CFA2 ou pourquoi pas être adjoint dans un club de Ligue 1 pour entraîner les attaquants. Ça me plairait bien. Vous avez aussi été agent immobilier, non ? J'ai arrêté. Je me concentre sur ma famille. J'ai envoyé des CV pour entrer à la Mairie ou entraîner. Il faut trouver une occupation. Pour l'instant, je ne fais que du football. Vous participez aussi à la vie d'une caserne de pompiers… Oui, j'ai passé mes diplômes de pompier volontaire. Ça s'est bien passé et ça m'a plu. J'y vais de temps en temps : c'est une occupation. Rester sans rien faire, c'est chiant. Je me rends à la caserne, je prends les appels téléphoniques mais je ne pars pas en intervention. « Dans le Sud, ils n'aiment pas les Parisiens » Vous avez terminé votre carrière pro un peu dans l'oubli avec des expériences en Bulgarie et en Chine… Quand on arrête sa carrière, il n'y a plus beaucoup de monde derrière. Quand tout va bien, on a beaucoup d'amis et de gens autour. Et quand on ne joue plus au haut niveau, c'est chacun pour sa gueule. Je m'y étais préparé donc je savais comment ça se passerait. Ce n'est pas évident mais je gère bien. J'ai été un peu connu avec Paris. Après, ce n'est pas grave, la vie continue. Ça me fait ni chaud ni froid. Qu'avez-vous retenu de votre passage en Chine ? J'y ai passé un mois et demi. C'était difficile avec la langue. C'est une autre culture et c'est pour ça que je suis parti. Après, j'ai fait des essais à droite à gauche et j'en ai eu marre de m'entendre dire toujours la même chose : « Tu as été souvent blessé ». J'ai dit stop et j'ai préféré prendre du plaisir en CFA2 pour apporter l'expérience que j'ai eue en Ligue 1. Vous reconnaît-on toujours sur les terrains des CFA2 ? Oui. Les joueurs adverses sont toujours motivés. Ça prouve que j'ai quand même été reconnu dans ce milieu. Ça leur fait plaisir de jouer contre un ancien Parisien d'autant que dans le Sud, ils n'aiment pas les Parisiens. C'est plus dur. Il y a toujours cette jalousie. Je le ressens dans les paroles et au niveau des contacts. Mais ça me plaît. C'est vrai que votre nom est systématiquement associé à celui du PSG… Paris, c'est mon club de cœur. C'est là que je me suis fait connaître. Les gens m'ont aimé. Ça me manque. Je suis fier de ce que j'ai fait à Paris, même si ce n'était pas évident. Je pensais que je n'y jouerais jamais mais en fait, j'ai souvent été titulaire. Même s'il y avait des grands noms, je me suis toujours imposé. C'est ma fierté. Avez-vous un rapport spécial avec ce club ? Quand je vais à Paris et que je me balade sur les Champs-Élysées, je discute souvent avec certains supporters. Ils me demandent ce que je deviens. Même quand je vais au Parc, je suis toujours bien accueilli. « Mon caractère et ma combativité ont plu aux supporters » Quel souvenir particulier retenez-vous de votre passage au club ? Votre doublé à La Corogne ? Il n'y a pas que celui-là, il y a aussi le match du Bayern Munich. Je me souviens de tous les matchs de Ligue des Champions. C'était un club qui jouait souvent l'Europe. C'est bien pour mon palmarès même si je n'ai rien gagné. Je suis content de ma petite carrière. Comment expliquez-vous le fait que vous ayez été adopté par les supporters ? Dans un grand club comme Paris, on est sous les projecteurs. Je me suis imposé même si je n'étais pas le plus connu. Mon caractère et ma combativité ont plu aux supporters. Je me battais pour le maillot. Or aujourd'hui, je n'en vois pas beaucoup qui se battent comme je le faisais à l'époque, à part Chantôme. Maintenant, les joueurs restent un ou deux ans et partent dans un autre club. Moi, j'y suis resté six ans et j'ai toujours joué. Quel a été le plus mauvais souvenir de votre carrière ? Ce sont les deux fractures du tibia que j'ai eues. Si je n'avais pas eu ça, je serais encore en train de jouer en Ligue 1. Je me suis blessé une première fois, je suis revenu. Mais la deuxième fracture, ça m'a tué. Ces blessures m'ont plombé. J'étais bien à Paris et je jouais bien. Si j'avais été dans un petit club, j'aurais eu le temps de revenir. Mais à Paris, ça pousse et des joueurs ont pris ma place. Le plus dur a été de revenir. L'arrivée de Vahid Halilhodzic a aussi été un moment difficile pour vous… Vahid ne m'a pas respecté. J'étais déçu mais il m'a tellement mis la misère qu'à un moment, j'ai préféré partir. Il a tout cassé à Paris. Il a amené ses Bosniaques et il n'a rien gagné. Avec son tempérament, il a une mauvaise image maintenant. La fiche de Laurent Leroy Né le 16 avril 1976 à Saint-Saulve 1995-1996 : Valenciennes 1996-1998 : Cannes 1998-dec 1998 : PSG Jan 1999 - 1999 : Servette Genève 1999-jan 2003 : PSG Jan 2003-2003 : Troyes 2003-2004 : Neuchâtel Xamax 2004-2005 : Cannes 2005-dec 2005 : Bordeaux Jan 2006-2006 : Créteil 2006-dec 2006 : Sans club Dec 2006-mars 2007 : Levski Sofia Mars 2007-2007 : Shanghai Shenhua Palmarès 1999 : Champion de Suisse 2000 : Finaliste de la Coupe de la Ligue
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07/02/2011 13:30
Message
#472
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Pancrate à Larissa ? Sans club depuis juin dernier, l'ancien joueur du Paris SG Fabrice Pancrate (30 ans) pourrait d'après nos informations rebondir à Larissa, en Grèce. À la recherche d'un club depuis son passage à Newcastle, Pancrate a reçu une offre de l'actuel 15e du Championnat grec et pourrait rapidement s'engager avec celui-ci. Par ailleurs, Bernard Mendy (29 ans) et Jérémie Aliadière (27 ans) ont également été approchés par Larissa. Toutefois, si un accord financier était en passe d'être trouvé, les deux joueurs n'ont pas satisfait à la traditionnelle visite médicale. L'Equipe |
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08/02/2011 18:29
Message
#473
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![]() Fluctuat Nec Mergitur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 36,554 Inscrit : 02/05/2010 Membre no 1,683 Tribune : Viré du stade |
Citation L'ex-attaquant du PSG, Fabrice Pancrate jouera en Grèce L'ancien attaquant du PSG, Fabrice Pancrate jouera jusqu'à la fin de la saison en Grèce. Il s'est engagé ce mardi avec l'équipe de Larissa (L1 grecque). Depuis son départ de Newcastle l'été dernier, il était sans club. Agé de 30 ans, Fabrice Pancrate est notamment passé par Guingamp, Le Mans et Paris. Larissa est actuellement 15e (sur 16) du championnat grec. lequipe.fr |
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09/02/2011 12:04
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#474
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 23,824 Inscrit : 19/01/2009 Membre no 630 Tribune : Canapé |
Citation B. Mendy vers le Danemark A la recherche d'un club depuis son départ d'Hull City à la fin de la saison dernière, Bernard Mendy (29 ans) va se relancer au Danemark. L'ancien latéral droit du PSG va s'engager mercredi avec Odense Boldklub, actuellement deuxième du championnat danois, qui reprend le mois prochain. Jusque-là, le joueur s'entraînait avec Caen, son club formateur. Equipe.fr |
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09/02/2011 13:34
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 53,524 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 60 Tribune : Canapé |
Citation Foot - ISR Fernandez en veut à ses dirigeants La tension montre entre la Fédération israélienne et Luis Fernandez, qui pourrait bien terminer son bail plus tôt que prévu. Luis Fernandez est «fâché contre la Fédération» israélienne (L'Equipe) Les relations entre Luis Fernandez et la fédération israélienne ne sont pas au beau fixe. Et la tension entre les deux parties est montée d'un cran mardi soir quand l'entraîneur français a déploré le fait que les Espoirs israéliens jouent sur le même terrain juste avant un match amical des A contre la Serbie. «Je suis fâché contre la Fédération, c'est illogique de jouer sur un terrain, deux heures après la fin d'un autre match», a pesté l'entraîneur français. Et la réponse d'un des responsables de la Fédération ne s'est pas faite attendre : «On ne demande pas à Fernandez d'être jardinier mais entraîneur.» La presse nationale évoque déjà le départ du sélectionneur, qui n'a pas réussi à convaincre depuis sa prise de fonction en mai 2010. Israël occupe la quatrième place de son groupe de qualifications à l'Euro 2012, loin des objectifs fixés par la Fédération. La prochaine rencontre face à la Lituanie le 26 mars prochain s'annonce décisive pour Luis Fernandez. A moins qu'il n'ait déjà claqué la porte d'ici là. (Avec AFP) www.lequipe.fr |
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11/02/2011 11:04
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 2,229 Inscrit : 10/01/2009 Lieu : Hauts-de-Seine Membre no 232 Tribune : Viré du stade |
Citation «J'ai beau m'appeler Bernard Mendy...» C'est un peu la surprise de cette fin de mercato. A 29 ans, Bernard Mendy, ancien international français, s'est engagé pour dix-huit mois avec Odense, au Danemark. Sur place depuis trois jours, le joueur nous a accordé un long entretien. Paris, Caen, les Bleus, son grand pont sur Roberto Carlos, le joueur nous dit tout. Sans détour. Entretien. «Bernard Mendy, vous vous êtes engagé avec Odense, au Danemark (*). Pourquoi ce choix ? Parce que j'avais l'opportunité de signer dans un club qui peut se qualifier pour la Ligue des champions. Mais aussi histoire de me relancer. J'ai connu huit mois compliqués, j'ai essayé d'attendre de meilleures opportunités, mais elles ne sont pas venues, ou je les ai refusées. Odense a alors contacté mon agent et ça s'est fait très rapidement. Votre nom a pourtant été évoqué un peu partout, notamment à Arles-Avignon, à Evian ou en Turquie. Pourquoi ça ne s'est pas fait ? A Arles, le coach, Faruk Hadzibegic, que je remercie, m'a contacté. Mais le club était contrôlé par la DNCG et on n'a pas pu tomber d'accord. Pourtant, contrairement à ce qu'on dit, je ne demande pas beaucoup. C'était juste un problème de DNCG. Moi, le défi m'intéressait, je n'avais pas peur. Avez-vous eu d'autres propositions ? Oui, il y a eu la Turquie et la Grèce, mais si on n'a pas de garantie bancaire, ça ne sert à rien. Larissa voulait me faire signer, mais le club a voulu me la faire à l'envers. On s'était mis d'accord pour un bail de quatre mois, tout était ficelé. J'y suis allé et ils ont changé leur proposition au dernier moment. J'ai préféré décliner. Eux ont dit que je n'avais pas satisfait à la visite médicale, mais c'est faux. Si je pouvais revenir en arrière, j'aurais choisi Evian. J'avais rencontré le président, le directeur sportif, le challenge m'intéressait parce qu'ils jouent la montée. Finalement, j'ai choisi la Grèce et j'ai pris une banane... J'ai rappelé le président d'Evian, mais on était à deux heures de la fin du mercato, c'était trop tard. Avez-vous eu des contacts pendant la première moitié de saison ? Oui, j'aurais pu signer à Saint-Etienne à l'intersaison. Le président était tombé d'accord avec mon agent, mais j'ai préféré attendre, en espérant avoir mieux, sans dénigrer ce club. Mais il venait de faire une saison très difficile et s'était maintenu de justesse. C'est de ma faute. «Quand j'étais à Paris, j'ai eu la possibilité de signer à Manchester United» Et Caen, où vous vous êtes entraîné depuis le début de la saison ? Je tiens déjà à remercier ce club, mon club formateur, qui m'a très bien accueilli, qui m'a permis de m'entraîner pendant six mois. Que ce soit avec le président, Franck Dumas (le coach), les joueurs ou l'encadrement, de l'intendant à la cuisinière, tout s'est très bien passé. Malheureusement, ça ne s'est pas fait. Ils ont signé Proment et n'avaient plus les fonds pour moi. Avez-vous regretté à un moment de ne pas être resté à Hull ? Non. Dans mon contrat, je pouvais partir libre si le club descendait en D2. J'aurais pu continuer l'aventure, mais j'ai préféré arrêter là. Surtout que ça devenait difficile dans l'encadrement, plusieurs coaches sont arrivés, ont été virés... C'était compliqué. J'y ai fait deux bonnes saisons. Je pensais pouvoir rebondir ailleurs, mais ça ne s'est pas fait. Comme quoi, j'ai beau m'appeler Bernard Mendy, ce n'est pas évident. Vous avez été international (cinq sélections), et vous vous retrouvez aujourd'hui au Danemark, à 29 ans. Avez-vous le sentiment d'avoir loupé une marche ? Il ne faut pas vivre avec des regrets. J'ai 29 ans, il faut que je me relance et j'ai un an et demi pour le faire. On sait que tout peut aller très vite dans le football. Il ne faut pas regarder derrière, mais essayer d'avancer. Vous ne regrettez donc rien ? On peut toujours avoir des regrets. Quand j'étais à Paris, j'ai eu la possibilité de signer à Manchester United, mais ça ne s'est pas fait. C'était un grand club, Paris aussi. C'est comme ça... Le seul vrai regret que j'ai aujourd'hui est de ne pas avoir trouvé de club cette saison. Que la France m'ait un peu mis de côté alors que j'ai joué sept ans à Paris, que j'ai été international. Je pense que j'avais ma place dans un club français. «Ici, je sais où me situer et où aller manger, c'est déjà bien...» Qu'avez-vous pensé de la fin de votre histoire avec Paris ? J'aurais aimé rester, bien sûr. Mais j'étais en fin de contrat et on ne s'est pas entendu sur les conditions. On se renvoyait la balle, il fallait donc que je parte. Ce fameux grand pont sur Roberto Carlos (*), pensez-vous finalement qu'il a vous a servi ou desservi ? Moi, je ne parle jamais de ça. C'est plus les gens qui se souviennent de moi par rapport à ça. Mais j'ai fait beaucoup d'autres choses en France pour qu'ils se rappellent de moi. Vous êtes arrivé au Danemark lundi. Comment se passe votre intégration, sur et en dehors du terrain ? Tout naturellement. Il y a ici des joueurs comme Djemba-Djemba ou Mohamed Traoré, qui m'aident. Et puis je parle anglais. Au niveau du club, c'est plutôt familial, comme Caen. Après, en dehors, il fait très très très froid, je dis bien très froid. Je suis là depuis trois jours et j'ai déjà le nez qui coule... Sinon, j'ai un hôtel en plein centre-ville, je sais où me situer et où aller manger, c'est déjà bien... Et quels sont vos objectifs avec le club ? Jouer la C1. Pour le titre, Copenhague est largement au-dessus (*). Après, on espère rester deuxième et jouer les barrages pour la Ligue des champions. L'après Odense, vous y pensez déjà ? Mon but est déjà de rejouer, de prendre du plaisir sur le terrain. Après, j'espère bien sûr que ça me servira de tremplin pour rebondir. Mais tout dépendra de mes prestations ici.» *Il est le sixième joueur français à évoluer au Danemark après Franck Strugeon (Aarhus et Viborg, de 1993 à 1998), Arthur Sorin (Aarhus, de 2009 à 2011), Garra Dembelé (Aarhus en 2007-08), Mickaël Murcy (Esbjerg de 2004 à 2008) et William Prunier (FC Copenhague en 1995-96). *France-Brésil, le 20 mai 2004. *Copenhague est 1er avec 51 points, Odense 2e avec 32. francefootball.fr -------------------- Autre récompense à destination du club parisien, celle de dirigeant de l'année attribuée à Robin Leproux, le président du PSG. ©France Football
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13/02/2011 19:40
Message
#477
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - L1 - Lille lequipe.fr
Landreau, cap sur les 500 Mickaël Landreau va disputer dimanche contre Toulouse (21h00) son 500e match en Ligue 1. «Je suis content mais ça reste un match comme les autres», a avancé le Lillois. Le cap des 500 matches au niveau professionnel, Mickaël Landreau l'a dépassé depuis longtemps. Pas encore en Ligue 1, mais le portier lillois atteindra ce nombre, signe d'une exceptionnelle longévité, dimanche, à l'occasion de la réception de Toulouse (21h00). Landreau avait un peu plus de 17 ans quand l'aventure a débuté au stade de Furiani pour un déplacement à Bastia (0-0, 10ème journée). C'était le 2 octobre 1996, sous la direction de Jean-Claude Suaudeau. Exit Dominique Casagrande et Eric Loussouarn, poussés sur le banc, et place à 335 rencontres dans l'élite avec le FC Nantes (jusque 2006), 114 avec le Paris Saint-Germain (2006-2009) et 50 avec Lille (depuis 2009). De quoi entrevoir, avec sa récente prolongation de contrat jusque 2014, le record de 602 matches en Première Division de Jean-Luc Ettori avec Monaco. «Mais je ne me projette pas aussi loin !», sourit le gardien, qui s'estime dans ses meilleures années, notamment physiquement. De sa première apparition au plus haut niveau, «il reste tout, car on me la rappelle tout le temps. C'était un contexte difficile avec déjà un penalty arrêté (face à Moravcik, ndrl). Finalement, ce ne sont que des bons souvenirs». Des souvenirs, justement, Landreau en conserve à la pelle. Les belles saisons sont au nombre de deux... et demie. «Une année (1996-1997) exceptionnelle avec ces débuts à 17 ans, et 28 premiers matches en étant invaincus. J'aimerais bien que ça se reproduise, mais ça n'arrivera jamais. Il y a aussi 2000-2001 et le titre de champion.» Mais aussi la première moitié de l'exercice actuel avec les Dogues. Au rayon des galères, des maintiens acquis sur le fil avec Nantes en 2000 et 2005 ou Paris, en 2008. «Des saisons difficiles mais terminées sur de belles joies.» Pour ce qui est du présent, le gardien lillois, 31 ans, ne s'attarde pas sur ces 500 rencontres en Ligue 1 : «Je suis content mais ça reste un match comme les autres. Je pense qu'il s'agit plus d'une barre symbolique médiatiquement.» Tout juste concède-t-il avoir été fidèle à sa personnalité depuis bientôt 15 ans. «J'ai toujours essayé de garder la même ligne de conduite en respectant tous les gens qui pouvaient travailler autour de notre métier sans créer de personnage. Ce qui fait que je ne me sens pas perdu ou en décalage sur le long terme avec ce que je suis et l'image que je renvoie. Je suis le même que sur le terrain. Et puis, je m'investis à fond dans tout ce que je fais et je donne le maximum. Pour durer, je pense qu'il faut avoir cet équilibre là.» - Olivier MAILLARD, à Luchin |
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16/02/2011 10:29
Message
#478
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,535 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation Dalmat n'en rate pas une Stéphane Dalmat a été interpellé en état d'ébriété mardi au petit matin au retour d'une soirée à Tours. Les gendarmes ont surpris le mileu de Rennes à l'approche de la capitale bretonne alors qu'il poussait sa voiture après être tombé en panne d'essence. L'ex-Sochalien (2007-2010), qui présentait un taux d'alcool de 0,7 g/l d'air expiré (1,4 g/l de sang), a été conduit au poste. Il est attendu ce mercredi matin à l'entraînement. Ce n'est pas la première fois que le joueur se fait épingler par la maréchaussée. Le 1er juillet dernier, il avait été condamné à deux mois de prison avec sursis pour «violence aggravée et rébellion», lors d'une bagarre avec des policiers, le 30 mars 2009 sur les Champs-Élysées. Egalement à son "palmarès", un accident de la circulation en état d'ébriété alors qu'il se rendait à l'entraînement à Sochaux, en mai 2009. léquipe.fr |
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17/02/2011 18:21
Message
#479
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
L'Equipe.fr
Citation Fernandez interdit de banc
La FIFA a décidé de sévir à l'encontre de Luis Fernandez en le suspendant de toute activité liée au football pour un problème juridique. Pas au mieux avec la sélection israélienne, Luis Fernandez pourrait quitter son poste, mais pour des raisons bien éloignées de ses mauvais résultats. Dans un communiqué, la Fédération israélienne dit avoir «reçu une demande officielle de la FIFA concernant le sélectionneur national Luis Fernandez, disant qu'il doit immédiatement arrêter tout activité en lien avec le football». La raison ? La FIFA évoque le fait que l'ancien entraîneur du Paris-SG ne s'est pas plié à une décision disciplinaire datant de 2009. Le contentieux remonterait plus précisement au départ de Fernandez du club d'Al Rayyan (qu'il a entraîné de juin à novembre 2005) pour le Beitar Jérusalem. Fernandez: «Le problème sera bientôt réglé» La clause libératoire, fixée à 400 000 euros, ne serait jamais parvenue au club qatari, qui réclame des comptes à son ancien entraîneur, condamné en novembre 2009 par la FIFA à rembourser ces dettes. Le technicien français s'est néanmoins montré rassurant : «C'est une bataille juridique qui dure depuis des années. Je suis persuadé que le problème va être réglé avant les matches de la fin du mois de mars» pour la reprise des éliminatoires de l'Euro 2012. «S'ils veulent suspendre, ils peuvent suspendre, une plainte est en cours, je suis tranquille, je suis calme», a-t-il ajouté sur RMC. Accompagné de ses avocats, il rencontrera Avi Luzon, le président de la Fédération, la semaine prochaine pour décider des suites à donner à cette décision de la FIFA. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
Form is Temporary. Class is permanent. |
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20/02/2011 14:37
Message
#480
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![]() Fluctuat Nec Mergitur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 36,554 Inscrit : 02/05/2010 Membre no 1,683 Tribune : Viré du stade |
Citation Digard : « Content pour Paris » A 24 piges, Didier Digard est un mec tranquille. Le milieu de terrain de Nice progresse, sans bruit. Un altruiste qui kiffe la belle saison de son ex. Jouer contre le PSG quand on a porté le maillot parisien, c’est forcément spécial, non ? Franchement pas plus que ça. Quand c’est au Parc, oui, là c’est quelque chose de fort mais sinon c’est un match comme un autre. Alors c’est spécial pour nous compte tenu de notre situation délicate et parce qu’on affronte une équipe de tête. Et comment le groupe vit-il cette mauvaise période ? Entre joueurs, il y a plus de déception qu’autre chose. On doit faire mieux. Il va falloir engranger des points. Pourquoi les Aiglons galèrent-ils autant cette saison ? On ne croit pas assez en nous. On n’a pas une mentalité de guerriers sur le terrain. Alors qu’on serait à la dixième place ça ne ferait pas tâche. Tu as été pas mal blessé ces derniers mois. Tu te sens mieux ? Ca va. Il me faut encore un peu de temps pour être à 100%. Physiquement je me sens bien mais je peux encore gommer certaines erreurs que je ne dois pas faire. Je continue de progresser, je suis encore jeune. Nice reste sur cinq succès contre Paris à domicile. Et le PSG va moins bien, ces derniers temps. Ca vous donne des idées ? Je ne connaissais pas cette stat. Je ne m’y intéresse pas vraiment. Mais c’est vrai que je me souviens avoir perdu au Ray avec le PSG (1-2). Mais bon, tout est fait pour avoir une fin. Et puis, je ne sais pas si on peut dire que le PSG va moins bien. Ils ont tellement d’occasions… Ils n’ont pas été dominés sur leurs derniers matches. Ils sont peut être moins bons au niveau comptable mais pas au niveau du jeu. Quand tu as joué au PSG, le club avait terminé à la 16ème place, la même qu’occupe aujourd’hui l’OGC Nice. Peut-on comparer ? Ce n’est pas pareil. Il y a tellement d’attentes à Paris que c’était vraiment particulier. Là-bas, finir 16ème, c’est la fin du monde. Un club comme le PSG doit lutter dans le haut de tableau. Nice est un club qui pense avant tout à se maintenir aujourd’hui. C’est un club en transition. On a l’impression que cette phase de transition dure depuis un moment déjà, au Ray… Il y a le nouveau stade qui arrive, un vrai projet se met en place… J’espère que les dirigeants vont faire confiance au staff actuel et lui laisser le temps. Si on veut réussir, il faut de la longévité dans le travail. Il y a pas mal d’anciens parisiens dans le groupe niçois. Vous parlez entre vous de vos passages dans la capitale ? On écoute surtout les mecs comme Létizi ou Pailsey qui ont connu les grands joueurs et les grandes heures du PSG. C’est un bonheur d’entendre leurs anecdotes. Mais c’est toujours un plaisir pour un ancien parisien de jouer contre Paris. Le Paris-SG peut-il prétendre au titre ? Pour les avoir beaucoup regardé cette saison, je pense, oui. Ils sont vraiment solides, très complets. Il n’y a pas de gros manques dans cette équipe. Tu as gardé des potes à Paris ? Celui avec qui je suis le plus en contact c’est Peg (Peguy LUYINDULA) mais ça ne chambre pas plus que ça. On ne parle pas foot entre nous. Un peu d’amertume de n’avoir passé qu’une année au Parc ? Non, aucune. Le coach (Paul Le Guen) ne voulait pas de moi et puis il y a eu l’évolution de ma blessure. Je ne suis pas du genre à regretter les choses. Bien au contraire, je suis content de ce que les Parisiens réalisent. Et je suis content de retrouver des gens que je connais. On te sent hyper serein, très posé comme mec... Il faut relativiser par rapport au métier qu’on fait. Si je me mets la pression avant un match, ça ne sert à rien. Après, chacun se concentre à sa façon. Moi, j’y pense dans le vestiaire. C’est vrai que je suis assez détaché. On a la chance d’avoir beaucoup de gens, des enfants qui viennent nous voir. On peut donner des émotions à travers ce qu’on fait. Ce n’est pas comme aller dans une maison en feu pour sauver des vies. Là, j’aurais la pression. Entre Paris et Nice. Quels sont les supporters les plus oufs ? Difficile à dire… Ils sont plus nombreux à Paris mais à Nice ils défendent aussi très haut leurs couleurs. Ce qui est marrant ici, c’est que c’est générationnel. Ils sont supporters de père en fils. Qu’est-ce qui te manque le plus que tu avais à Paris et que tu n’as pas à Nice ? La famille. Mes parents, mes amis étaient juste à côté. J’étais près de chez moi. Et puis le fait d’être au Paris-SG… sofoot.com |
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