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[Anciens] Revue de presse, Seulement les articles de la presse, aucun commentaire
CL
posté 12/04/2010 13:59
Message #321


BEAST QUAKE 2.0
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Moulin ne lâche pas l'affaire

Michel Moulin, le manager général du Mans, 19e de Ligue1, n'a pas été tendre avec les quelques personnalités du football français qu'il a pris en grippe. En première ligne, Jacques Crevoisier. Le consultant sur Canal+, lors de Saint-Etienne - Le Mans, le 3 avril dernier (2-0), avait notamment critiqué les choix de l'équipe sarthoise. «Monsieur Crevoisier, ce docteur en psychologie, a mal parlé du Mans. Il a dit que le club faisait n'importe quoi. Il a dit que j'étais un pantin. Il ne me connaît pas», a indiqué Michel Moulin dans L'Equipe de lundi.

«On m'attaque, je réponds. Je ne peux pas faie le dos rond, c'est impossible. Ce n'est pas dans ma nature» a-t-il poursuivi. Samedi déjà, il avait eu les mêmes mots au sujet de celui qui a remporté la Coupe UEFA en 2001 en tant qu'entraîneur-adjoint de Liverpool. «Je les maintiens», s'est il emporté lundi.

Le Guen et Nicollin visés

Autre cible : Paul Le Guen, désigné par Moulin comme le responsable de la situation actuelle du club parisien. «Tous ces gens n'ont pas envie qu'un mec comme moi, avec son franc-parler, arrive dans le milieu», a-t-il dit, en faisant notamment allusion au sélectionneur du Cameroun.

Enfin, l'homme d'affaires a répondu à Louis Nicollin, le président de Montpellier qui avait déclaré après le match, samedi soir au Mans (2-2) que Moulin était «un drôle de clown». L'ancien conseiller sportif du PSG en avril-mai 2008 n'a pas manqué de réagir : «Il m'a traité de clown alors que deux heures avant, il me claquait la bise. Je peine à comprendre», a-t-il conclu, dubitatif.

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"La potitique de Colony Capital, on peut la comparer à traverser la France sans prendre l'autoroute pour pas payer les péages mais en prenant les routes de campagne : au final ils vont arriver deux jours après, en ayant consommé deux fois plus d'essence avec la voiture défoncée par un sanglier." ElMagnifico

"Joe Dassin mais lui il été indien seulement" Red Dwarf
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11G
posté 12/04/2010 15:29
Message #322


Joga bonito
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Procès du PSG: 18 mois et 12 mois de prison avec sursis requis à l'encontre de Laurent Perpère et Francis Graille

PARIS (AP) — Le ministère public a requis lundi 18 mois de prison avec sursis et 40.000 euros d'amende à l'encontre de Laurent Perpère et 12 mois de prison avec sursis et 25.000 euros d'amende à l'encontre de Francis Graille, deux anciens présidents du Paris Saint-Germain, lors du procès devant le tribunal correctionnel des transferts présumés suspects du club de football de la capitale entre 1998 et 2003.

Le procureur Bruno Nataf a également demandé 120.000 euros d'amende à l'encontre de Nike France et 150.000 euros d'amende contre le PSG pour un présumé système de compléments de salaires versés aux joueurs entre 2000 et 2003.

Une peine de six mois de prison avec sursis a été requise à l'encontre de Pierre Frelot, ancien directeur financier du PSG, de six mois avec sursis contre Jean-Pierre Petit, ancien président de Nike France, et d'un an avec sursis contre Olivier Jaubert, directeur du marketing de Nike France. Enfin, des peines de trois à huit mois avec sursis ont été demandés à l'encontre de la dizaine d'agents de joueurs, également poursuivis. AP


Nouvel Obs
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Hari
posté 13/04/2010 08:46
Message #323


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QUE DEVIENS-TU ? / S.BENACHOUR :
« J’ai gagné ma place à Malaga »


Invité du « Que deviens-tu » cette semaine : Selim Bénachour, relancé à Malaga après des expériences au Portugal, en Russie et au Koweït.

Selim Benachour, vous avez quitté le PSG il y a cinq ans et depuis, on parle beaucoup moins de vous. Peut-on revenir sur ce départ forcé à l’été 2005…
A Paris, ça s’est mal passé car je n’ai pas eu de chance. C’était l’époque où il y avait de grosses stars au PSG et quand tu étais jeune, c’était très difficile pour jouer par rapport à maintenant. Aujourd’hui, je vois beaucoup de jeunes qui sortent du centre de formation : c’est beaucoup plus facile pour eux. Financièrement, le club n’a plus les reins solides comme avant donc ils font plus confiance aux jeunes. Moi, je suis tombé dans la mauvaise période. Malgré ça, j’ai quand même joué un peu. Et alors que j’étais un enfant du club, que Paris était ma ville et le PSG mon club de cœur, les dirigeants ne m’ont pas gardé. Guimaraes m’a alors appelé pour un challenge d’un an et on connaît la suite.

Avez-vous eu du mal à vous remettre de ce départ forcé ?

Oui, c’est clair car j’étais bien au PSG mais je ne jouais pas non plus beaucoup. Ce n’est pas grave, je suis parti au Portugal où ma carrière aurait pu se relancer puisque beaucoup de clubs se sont bousculés pour moi après ma saison à Guimaraes. Mais au lieu d’avancer avec le Sporting, ma carrière a empiré et empiré encore avant d’arriver en Espagne. Et aujourd’hui, après avoir appris comment ça fonctionnait en Espagne et avoir ingurgité le jeu espagnol, je peux espérer refaire une bonne saison l’année prochaine pour pourquoi pas partir dans un meilleur club espagnol. J’ai toujours cru en moi. Les gens à Paris disaient que j’étais trop frêle et que je n’étais pas un monstre de guerre physiquement. Mais dans le football de nos jours, les petits réussissent aussi. Il n’y a pas besoin d’être grand et costaud pour réussir. Il n’y a qu’à prendre l’exemple de Barcelone où il n’y a que des petits comme Xavi, Iniesta et Messi qui réussissent. Beaucoup de joueurs du championnat espagnol sont comme ça : petits et vifs et ça ne les empêche pas de réussir. En Espagne, les gens n’ont pas la même philosophie qu’en France. Ils sont plus axés sur le jeu et la technique et c’est ce qui me plaît.

Avez-vous connu de vrais moments difficiles ?
Des moments où les gens m’appelaient moins… Mais c’est la vie du football. Quand vous jouez au PSG et que vous êtes connu, les gens sont autour de vous, ils vous appellent. Ce n’est pas que pour moi, c’est pour tout le monde pareil. En revanche, quand ça va un peu moins bien, vous n’avez plus de nouvelles de personne. Il ne faut en vouloir à personne. Le plus important est d’être fort dans sa tête. Ma femme m’a toujours soutenu et ma famille aussi. Résultat, je suis toujours là, j’ai confiance en moi et je sais que je réussirai. Je suis encore jeune, j’atteins l’âge mur, l’âge auquel on joue le mieux : j’espère pouvoir encore jouer de longues années en Espagne.

Vous évoquiez Guimaraes et une bonne saison là-bas. Pourquoi n’aviez-vous pas signé dans un gros club portugais à cette époque ?
Parce qu’il y a eu des complications. Pourtant, j’avais fait une superbe saison à Guimaraes. C’était même la meilleure saison de toute ma carrière. C’est pour ça que beaucoup de clubs se sont manifestés, notamment le Sporting. Mais ça ne s’est pas fait à cause de beaucoup de problèmes. Des problèmes d’agent, des problèmes de club, c’est la vie… Le destin a décidé que j’aille ailleurs et c’est comme ça que je suis passé par la Russie, le Koweït et maintenant l’Espagne. Je ne me prends pas la tête, j’essaie d’oublier ça et de travailler. Mais c’est clair que le Sporting aurait été un beau challenge. J’étais jeune encore, je sortais d’une belle saison, je connaissais le championnat portugais et le Sporting allait faire la Ligue des Champions. Mais comme ça, c’est de l’histoire ancienne.

Votre passage en Russie a été bref au Rubin Kazan. Pourquoi ?

La vie était vraiment difficile pour ma femme comme pour moi. Il faisait froid, les gens étaient froids aussi, et c’était pareil pour le football. C’était engagé, physique, ça balançait beaucoup… Que ce soit dans la vie ou le football, je ne me plaisais pas en Russie. J’ai quand même passé un an et demi là-bas mais j’étais content de partir.

« Au Koweït, j’avais un peu grossi »

Pourquoi avoir pris alors la direction du Koweït ?

Franchement, je me suis bien plu au Koweït au niveau de la vie. Mais sur le plan du football, c’était vraiment difficile car il n’y avait pas de rythme. J’étais encore jeune donc je me suis dit qu’il fallait vraiment que je revienne en Europe pour retrouver mon niveau ainsi que des matchs et des entraînements durs. Concernant mon départ au Koweït, j’étais en Russie où je ne m’étais pas bien adapté. Quand le Koweït m’a appelé, il me restait encore un an et demi de contrat et ce qu’ils m’ont proposé financièrement était vraiment très intéressant. J’ai accepté en sachant que j’étais encore jeune. Mais après un an et demi au Koweït, je sentais que je régressais, que j’avais un peu grossi et que mon football partait. Je n’étais vraiment pas bien dans ma peau. Au niveau de la vie, ça m’a vraiment plu et j’ai pris beaucoup de plaisir avec ma famille mais au niveau du foot, c’était très dur. C’est pour ça que j’ai opté pour un retour en Europe. J’ai eu la chance de faire un essai à Malaga, qui cherchait un numéro dix, et comme cet essai de deux semaines s’est super bien passé, ils m’ont fait signer deux ans.

C’était presque inespéré ?

C’est clair. J’ai eu vraiment beaucoup de chance de revenir en Europe et en plus dans le meilleur championnat du monde. Maintenant, ce n’est pas une fin en soi et c’est à moi de montrer aux gens qui se sont trompés sur mon compte en France que j’ai du talent. Aujourd’hui, ils peuvent voir que j’ai gagné ma place à Malaga car cela n’a pas été facile. J’ai commencé remplaçant et j’en suis à peu près à 1 400 minutes de jeu aujourd’hui. Après être passé un an et demi par le Koweït, je trouve que c’est vraiment pas mal.

Cette saison à Malaga est donc satisfaisante…
Ça fait trois-quatre mois que je joue tout le temps titulaire. Je suis content et j’espère que ça va continuer comme ça. J’espère que nous allons continuer à bien jouer et que nous allons nous maintenir. Là, nous sommes six points devant le premier relégable donc ça fait quand même une avance. Il reste neuf matchs et j’espère que nous allons nous maintenir.

Pensez-vous toujours à la sélection tunisienne ?
C’est dur car ça fait un an et demi que je ne suis pas retourné en sélection. Depuis que je suis parti au Koweït, on ne m’a plus appelé et c’est tout à fait normal car j’étais dans un championnat vraiment faible. Mais là, je joue, je me suis imposé ici en Espagne, donc j’espère que je vais être rappelé. Le problème, c’est que nous n’avons plus rien à jouer aujourd’hui, pas de Coupe du Monde. Nous avons juste en perspective les éliminatoires pour la CAN 2012 donc j’espère être appelé pour ces matchs. Si je continue à jouer à Malaga, il n’y a pas de raison que je retourne en sélection.

Roger Lemerre ne vous a pas rendu service…
C’est vrai que j’ai eu un conflit avec Roger mais il n’y a pas eu que moi. Il y a eu beaucoup de problèmes. Et aujourd’hui, il y a de nouveaux joueurs, une nouvelle sélection, avec beaucoup plus de jeunes. Ça serait bien de remettre la Tunisie en marche, comme en 2004.

Aurélien CANOT


football365.fr
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NumeroStar
posté 15/04/2010 18:06
Message #324


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Rothen voulait jouer un mauvais tour au PSG

15/04/2010 - 17 h 15

Prêté par le Paris SG à Ankaragüçü jusqu’à la fin de la saison, Jérôme Rothen (32 ans, 8 apparitions cette saison en Super Lig) garde visiblement une dent amère envers le club de son cœur et le traitement de faveur qu’il lui a réservé. Du coup, le milieu gauche international français aurait voulu jouer un mauvais tour au PSG à en croire L’Équipe.

« Si tu veux des tuyaux pour gagner la Coupe de France, rappelle-moi... » Voilà le texto que l’ancien Monégasque a envoyé à l’entraîneur de Quevilly Régis Brouard, qu’il a côtoyé à Caen (1997-1999), quelques jours avant la rencontre. L’intéressé n’a pas eu le temps. On connaît la suite...


footmercato


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whynot
posté 15/04/2010 18:46
Message #325


Parisard...
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Tribune : Tribune Francis Borelli



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Démenti de Jérôme Rothen

Jérôme Rothen, prêté à Ankaragücü (Turquie) jusqu’à la fin de la saison, tient à démentir les propos qui lui sont attribués ce jour dans la presse.
« Le soir de la qualification de Quevilly pour la demi-finale de la Coupe de France, j’ai envoyé un texto d’encouragement pour la suite de la compétition à Régis Brouard, ami de longue date et non des tuyaux, comme le stipule un quotidien. De plus, le tirage au sort des demi-finales n’avait pas encore eu lieu », a tenu à préciser Jérôme Rothen, qui se réjouit par ailleurs de la qualification du PSG pour la finale.
psg.fr


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"Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être."
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Vodka
posté 20/04/2010 10:20
Message #326


PINK FLOYD T'ENTENDS PUTE NÈGRE?
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Foot - Transferts
Yepes va signer au Milan


Le défenseur du chievo Vérone, Mario Yepes a confirmé lundi, sur les ondes d'Europe 1, qu'il sera bien au Milan AC, la saison prochaine. «J'ai eu pas mal de contact, mais je peux vous confirmer que l'année prochaine je serai au Milan AC, ça c'est certain. On attend la fin du championnat pour tout officialiser, a déclaré l'ancien nantais. J'espère que cela va bien se passer pour la suite de ma carrière», a-t-il indiqué. A 34 ans, Yepes et le Milan devraient annoncer prochianement la signature d'un contrat de deux ans.


Lequipe.fr

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"Allo ? Ici FoxTangoZoulou, on a perdu le Portugal, je répète on a perdu le Portugal" @ Nemeto
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11G
posté 30/04/2010 10:53
Message #327


Joga bonito
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Arnaud, le baromètre

En difficulté en début d’année, l’attaquant de Clermont prêté par le Paris-SG va mieux.

Comme son équipe, qui reste sur six victoires et un nul.

DIFFICILE de se retrouver dans ce Championnat de Ligue 2. L’exemple de Clermont illustre parfaitement cette situation mouvante. Le 19 mars dernier, avant la réception de Vannes (1-0), ce club luttait pour ne pas descendre, à trois points du premier non-relégable. Sept rencontres plus tard et à quelques heures de la réception de Bastia, il est devenu un outsider sérieux pour l’accession en Ligue 1.

Prêté par le Paris-SG en janvier dernier, Loris Arnaud raconte ce brutal renversement : « Avant ce match contre Vannes, on s’est parlé. On s’est dit des choses. Il fallait le faire. » Depuis, l’équipe entraînée par Michel Der Zakarian ne perd plus. Ce dernier assure n’avoir rien bouleversé. Il parle d’une solidité défensive retrouvée.

Et l’apport de Loris Arnaud, recruté en janvier ? « Quand il est arrivé, il n’avait que quatre matches de CFA dans les jambes, explique son entraîneur. Il est de mieux en mieux. Il a marqué trois buts, fait marquer et provoqué des penalties. C’est un excellent point d’appui, techniquement propre. Il manque encore un peu de vitesse, mais c’est normal après une grave blessure (rupture du ligament interne du genou droit, en octobre 2008). Je suis très content de lui. De son implication et de son exemplarité dans le groupe. »

Arnaud est heureux. « À vingt-trois ans, c’est le vrai début de ma carrière, raconte-t-il. À Paris, quand t’es jeune, c’est difficile de s’imposer. Vingt-trois ans, c’est un âge pour jouer. Ici, le coach me fait jouer dans l’axe, mon vrai poste, celui que je travaille depuis ma formation. Quand j’ai porté le maillot du PSG, surtout avec Paul Le Guen, c’était à droite. » Ce soir, il sera à nouveau titulaire, prêt à défier Bastia.

Pour cette rencontre, le stade Gabriel-Montpied devrait être plein. « Ce week-end, il n’y a pas de match de rugby, explique Arnaud. Donc, les gens qui vont généralement soutenir les rugbymen vont venir nous voir. » Der Zakarian confirme : « On a déjà vendu 7 000 places. Les dirigeants espèrent 9 000 spectateurs. »


L'Equipe
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sylvain
posté 01/05/2010 16:07
Message #328


Légende
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SO fOOT

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Luis Fernandez : « Une revanche pour Lacombe »

Luis Fernandez est à l’image de Paris. Surprenant. Quand on l’appelle pour avoir son avis sur la finale, ses premiers mots sont caustiques “Qui le demande ?”. Luis est comme ça, un brin mégalo mais bourré de souvenirs. Au PSG, Luis pèse trois finales de Coupe de France sur le pré, dont une contre l’ASM. Alors forcément, il a des choses à dire.

Comment prépare-t-on une finale de Coupe de France au Paris SG ?
C’est toujours un grand moment. C’est une ambiance exceptionnelle. Comme c’est Paris, la pression est plus forte. On n’a pas le droit de se rater. A mon époque, c’était un peu différent. Les finales se jouaient au Parc des Princes. Autant dire à la maison pour le coup. Là avec le Stade de France, ce n’est plus vraiment le cas. Mais c’est quasiment à la maison. L’attente est grande, si le PSG gagne la Coupe, ils auront à moitié sauvé leur saison.

Quels souvenirs gardez-vous de la Coupe ?
Une grande émotion. C’était et c’est toujours une compétition très prisée par les joueurs. Dans les années 80, lorsque l’on bat Sainté, c’est le premier trophée de l’Histoire du Paris Saint-Germain. C’était fantastique. Le président Borelli qui mange l’herbe, les penalties stoppés par Doumé (Baratelli), le but de Touré. C’était un grand moment. Mine de rien, on a réussi à conserver notre trophée la saison d’après contre Nantes. C’était quelque chose. On a commencé à écrire l’histoire du club via cette Coupe. Pour moi, ça reste une compétition majeure. Dommage que le charme se soit un peu envolé. Avant on se laissait pousser la barbe tant qu’on était dans la course. Ça manque aujourd’hui.

Justement, pourquoi le Paris SG entretient-il un rapport si étroit avec la Coupe de France ?
C’est comme ça. Il y a souvent des choses irrationnelles en football, et c’en est une. On était taillés pour la Coupe, les matches couperets. Plus que pour les compétition sur le long terme. Sur les matches à élimination directe, on savait se transcender. Ça nous excitait. C’était une compétition faite pour nous. C’est resté ancré dans le patrimoine génétique du club. Car en 40 ans, c’est 7 Coupes de France, 3 finales perdues. C’est un joli chiffre. Je pense que ça sera toujours ainsi.

Vous souvenez-vous de la finale de 1985 perdue contre Monaco ?

Bien entendu. J’étais le capitaine. En face, je me souviens d’un grand Jean-Luc Ettori et du but de Bernard Genghini dans une finale très fermée. Mais cette année-là on n’était pas très bien. On était à la rue en championnat. On n’avait aucun collectif. A l’image de la finale, hachée, on luttait pour faire trois passes de suite. C’est bizarre, car avec quasiment la même équipe, on est champions de France dix mois plus tard. Comme quoi...

Guy Lacombe sera-t-il revanchard compte tenu de son passé au Paris SG ?
Oh oui ! C’est lui la menace numéro 1. Il va savoir motiver ses troupes, arranger les joueurs. C’est important pour lui de ne surtout pas perdre contre le Paris SG. Son départ, un peu compliqué, avec l’affaire Dhorasso etc, ça l’a contrarié je pense. D’ailleurs, depuis son départ en 2006, il ne perd plus contre le PSG. Et puis il reste surtout sur une défaite en finale de Coupe de France contre Guingamp l’an dernier. Le genre de souvenir qui fait mal, très mal. Il aura à cœur de prendre une double revanche.

En trois jours, le Paris-SG a livré deux prestations très différentes, une plutôt convaincante contre Rennes (1-1) et une autre hideuse à Grenoble (0-4). Que retenir de ces deux matches ?
Le match de Grenoble ne sert à rien. L’équipe alignée comportait des remplaçants. C’était pour faire souffler les cadres. Contre Rennes en revanche, c’était surement le onze de la finale. On peut donc en tirer plus d’enseignements. Notamment sur le duo Hoarau-Erding qui marche de mieux en mieux et sur Edel qui s’affirme petit à petit dans les cages. Tout le monde le voit comme le point faible, mais contre Rennes, je l’ai trouvé très bon. Idem pour le petit Jallet qui devient de plus en plus décisif sur son côté.

Certains joueurs parisiens seront déterminants ?
Claude (Makelele) par son expérience de la Ligue des Champions. C’est quand même sept demi-finales Claude, ce n’est pas rien. Ludo (Giuly) pour les mêmes raisons. Coupet, même s’il est sur le banc, sera très important dans l’approche du match. Et puis il y a Antoine Kombouaré. Il a remporté la Coupe avec Paris en 1993, il connaît les ambiances de finale, c‘est important à ce niveau.

Votre favori ?
Paris !

Mathieu Faure


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sylvain
posté 03/05/2010 09:53
Message #329


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Fournier va quitter Créteil

Toujours en course pour la montée en L2 (quatrième à trois journées de la fin avec cinq points de retard sur le podium), Créteil devra faire l'an prochain sans Laurent Fournier. L'entraîneur cristollien a confirmé son départ du club dans un entretien au Parisien. «Je quitte Créteil. Après avoir longuement réfléchi, je me suis dit qu'il serait difficile de faire mieux, a-t-il expliqué. Je n'ai pas senti au club une envie de se professionnaliser. On n'avance pas. Les préparateurs physiques, les coaches des gardiens : Tout le monde est à mi-temps ! Ma décision est prise et je pense que c'est la meilleure. Je ne changerai pas d'avis, je ne veux plus faire de rafistolage.» Laurent Fournier n'a pas d'autre proposition mais compte continuer avec un club plus professionnel.


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NeiBaF
posté 03/05/2010 18:05
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Kantari et Brou Apanga prolongent

Officiellement en Ligue 1 depuis vendredi et sa victoire face à Tours (2-0), le Stade Brestois a fait resigner, ce lundi, deux de ses défenseurs, Ahmed Kantari et Moïse Brou Apanga. Le premier a prolongé de deux ans, le second de trois. Les deux hommes sont désormais liés au Stade Brestois jusqu'en juin 2013.

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Panenka
posté 03/05/2010 19:57
Message #331


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Ligue 1 - OM
Edouard Cissé VS Action Discrète

3 mai 2010

Voici un quizz écrit spécialement par Seb Thoen, membre du groupe de comiques Action Discrète, pour Edouard Cissé, probablement futur champion de France avec l’OM. Le reste de l’interview est dans le magazine, dans les kiosques dès demain. Un teaser, en somme.
Thoen : Édouard, je te propose un quizz ‘17 ans sans titre’, afin de savoir si tu es Parisien ou Marseillais. Il faut répondre à 17 questions en 20 secondes. OK ? Alors c’est parti : jambon beurre ou bouillabaisse ?
Edouard Cissé : Bouillabaisse.


Champs-Elysées ou Canebière ?
Canebière.

Picon ou Pastis ?
Picon.

Périph’ ou Calanque ?
Périph’.

Bateaux Mouches ou camions pizzas ?
(rires) Bateaux Mouches.

Sympathie pour la communauté portugaise ou arménienne ?
(rires) Portugaise !

KOP de Boulogne ou Yankee Virage Nord ?
Virage Nord.

Vedettes de Canal + ou stars de Plus Belle la Vie ?
Plus Belle la Vie.

Michou ou chicha ?
Haha, Chicha !

Pigeons ou poissons ?
Heu… Pigeons.

Ne réfléchis pas ! Bon, tasse-pé ou cagole ?
(rires) Cagole.

Vaseline ou crème à bronzer ?
(rires) Vaseline.

La Courneuve ou la Corniche ?
(mort de rire) Corniche !

Grand Corps Malade ou Jean-Claude Gaudin ?
Grand Corps Malade.

Benjamin Biolay ou IAM ?
Biolay.

Bigard ou Bosso ?
Bosso.

Bertrand Delanoé ou Brandao ?
Brandao.

Thoen : C’est bon, t’es Marseillais, dans mes bras putain !

Cazarre (Julien de son prénom, membre de la troupe) : Attends, attends. Moi, j’ai deux questions pour savoir si tu es plus Parisien que Marseillais. La première : qui est le meilleur buteur portugais du PSG ?
Ba, Pauleta.
Cazarre : Exact. Et qui était l’arrière gauche titulaire à Marseille en 1976 ?
(rires)…
Cazarre : Voilà, merci, c’est tout pour moi.


So Foot
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Biz Markie
posté 04/05/2010 07:24
Message #332


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La piste Gerets ?
Jean-Louis Triaud, le président de Bordeaux, aurait coché plusieurs noms en cas de départ de Laurent Blanc en fin de saison. Eric Gerets et Paul le Guen seraient bien placés.

Bordeaux se serait positionné sur Eric Gerets pour remplacer Laurent Blanc. (L'Equipe)
La rumeur circule depuis le passage d'Eric Gerets en France, le week-end de PSG-OM (0-3). Les Girondins de Bordeaux penseraient à l'ancien entraîneur de l'OM pour prendre en main les destinées de l'équipe, en cas de départ de Laurent Blanc à la fin de la saison. Si l'actuel coach de Bordeaux n'a pas encore arrêté sa décision, L'Equipe révèle dans son édition de ce mardi que le président Jean-Louis Triaud commencerait à prendre des renseignements concernant d'éventuels remplaçants.

«PAUL LE GUEN ET ERIC GERETS SONT DES PERSONNES POUR QUI J'AI DE L'ESTIME. MAIS CE QUE JE DIS N'ENGAGE À RIEN. JE N'AI CONTACTÉ PERSONNE».

Si le nom de Gerets apparaît en bonne place dans la short-list, la concurrence de Hambourg pourrait s'avérer fatale : la femme du technicien est allemande et elle souhaiterait rester dans son pays, où elle réside toujours. De plus, Gerets a toujours eu un faible pour la Bundesliga. D'autres pistes sont évoqués : Paul Le Guen (Cameroun), Jean Fernandez (Auxerre), Christian Gourcuff (Lorient) voire Frédéric Antonetti. A moins qu'Alain Perrin, dont l'agent est l'influent Jean-Pierre Bernès, ne rafle la mise.

Invité à s'exprimer sur ces rumeurs, Jean-Louis Triaud a reconnu que «Paul Le Guen et Eric Gerets sont des personnes pour qui j'ai de l'estime. Mais ce que je dis n'engage à rien. Il ne faut pas y voir de sous-entendu. Je n'ai contacté personne». La FFF, en revanche, a bien contacté Laurent Blanc. Le Cévénol pourrait rencontrer Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF, la semaine prochaine.
lequipe.fr


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Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.

Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être
(Sacha Guitry)
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EduSuperGoleador
posté 05/05/2010 00:02
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Atlético de Madrid - F.C Internazionale Milano - Paris Saint-Germain F.C
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"Je me souviens du 11 septembre 1973, jour sombre où l'Amérique fomenta un coup d'état pour abattre la révolution pacifique et démocratique qui se construisait au Chili, éliminant son Président de la République, Salvador Allende"


Que le Paris-SG repose en paix..
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Beuzech
posté 05/05/2010 14:41
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Landreau, Cech et le PSG

Sa façon de juger un gardien, son admiration pour Petr Cech (Chelsea) et son regard rétrospectif sur le PSG : Mickaël Landreau livre ses réflexions à Libération avant la visite de Lille à Toulouse (19h00).

Dans un long entretien à Libération, mercredi, Mickaël Landreau, le gardien de but de Lille, en déplacement à Toulouse ce mercredi soir (19h00), livre sa vision de son poste en expliquant que «seul le temps construit une hiérarchie des gardiens». Explication du portier international aux 474 matches de L1 : «Un gardien fait quoi ? 50 matches par an. Vous avez celui qui fait trois ou quatre erreurs. Puis celui qui en fait dix. Et celui qui en fait quinze. La sélection se fait comme ça. A ce poste, c'est la régularité, c'est-à-dire le temps qui seul peut construire une hiérarchie. En France, un mec fait trois gros matches et tout le monde veut le voir chez les Bleus. Le sport ne marche pas comme ça.»

Landreau, qui candidate au rôle de 3e gardien pour la Coupe du monde, illustre son propos avec l'exemple du gardien de Chelsea. «On en fait des tonnes sur les "maladresses" de Petr Cech. Comme si on pouvait garder les buts d'un club comme Chelsea depuis 2004 par hasard ! Là, Cech vient de boucler son 100e match sans prendre de but sur les 178 qu'il a disputé en Premier League. Cette statistique parle toute seule. Petr Cech, c'est trois erreurs par saison. Et tous les gardiens que l'on voit lors des derniers tours de la Ligue des champions sont dans ces eaux-là.»

Interrogé également sur son passé au Paris-SG (entre 2006 et 2009), Landreau fait remarquer que la saison de son dernier titre (1994), le club parisien comptait dans ses rangs «trois titulaires en sélection brésilienne et six internationaux français. Ça voudrait dire qu'en 2010, vous auriez Kakà au PSG. Plus Lucio, Luis Fabiano, Abidal, Lloris, Toulalan. Et qu'avec tout ça, le club serait certes dans les trois premiers, mais pas forcément champion de France : il ne l'était pas chaque année, que je sache.» Et de conclure : «Les temps ont changé plus vite que les objectifs du club.» Pendant que Mickaël Landreau défendra avec Lille une 3e place qualificative pour la Ligue des champions, le PSG, vainqueur de la Coupe de France, recevra Valenciennes, 10e place en jeu.


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aleksandre08
posté 06/05/2010 22:45
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Pancrate non conservé

Fabrice Pancrate ne sera pas conservé par Newcastle à l’issue de la saison.

Arrivé au mercato d’hiver pour un contrat de six mois, Fabrice Pancrate ne sera pas prolongé par Newcastle révèlent ce jeudi le joueur et son agent dans The Shields Gazette. «Je suis vraiment déçu de ne pas jouer pour Newcastle la saison prochaine. C’est le meilleur club pour lequel j’ai eu la chance de jouer, avec les meilleurs supporters», confie l'ancien Parisien. «Il a signé jusqu’à la fin de saison, avec une option pour une année supplémentaire, mais le club a décidé de ne pas lever cette option. Fabrice ne reviendra pas, la décision du club est prise», a indiqué lui Lee Anderson, son agent. En tout, Pancrate aura participé à 19 matches et marqué 1 but avec les Magpies.


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Baghib!
posté 09/05/2010 18:39
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Valdo : « Le PSG reste mon club »

De passage au Camp des Loges cette semaine, l’ancien joueur du PSG Valdo a évoqué un club qu’il a fréquenté pendant quatre ans (1991-1995) et dont il a marqué l'histoire.

Valdo, pourquoi es-tu au Camp des Loges ce matin ?
« Tout d’abord, je suis venu voir mes amis, notamment Antoine Kombouaré avec qui j’ai joué au PSG et Cearà. Le PSG reste mon club. Je l’aime toujours. »

As-tu regardé la finale de la Coupe de France ?
« Je suis malheureusement arrivé à Paris pendant le match. J’ai quand même pu voir la fin de la rencontre à la télévision. J’étais très touché et content de voir le PSG s’imposer. Avoir la chance de remporter un titre, c’est magnifique. »

Quel est ton meilleur souvenir en tant que joueur du PSG ?
« Il y en a beaucoup ! Le plus marquant reste tout de même le match face au Real Madrid. Nous nous étions imposés 4-1 et c’était magnifique. On avait marqué des buts extraordinaires, notamment David (Ginola), le but de la tête de George (Weah) ou le mien. Mais le but qui fait la différence, c’est celui d’Antoine (Kombouaré). Il avait mis un coup de tête magnifique qui nous permettait de nous qualifier. »

Le terrain ne te manque-t-il pas ?« J’étais un gars tranquille. J’ai joué au football pendant vingt-sept ans et ai vécu beaucoup de belles choses. Aujourd’hui, je reste quelqu’un de tranquille en dehors du terrain. J’aime regarder de beaux matches et voir mes amis jouer. »

As-tu un message pour les supporters du PSG ?
« J’aime beaucoup les supporters du PSG. Pour moi, le plus important est qu’ils restent toujours derrière le club, le coach et les joueurs. J’espère qu’ils seront toujours là pour que le PSG gagne le plus de titres possibles. C’est ça qui fait l’histoire d’un club. »
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NainSG
posté 10/05/2010 01:43
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Coupe du monde 2010 - Anelka espère Vieira

Dans un livre à paraître mercredi où il revient sur sa carrière et sa vie, Nicolas Anelka milite clairement pour la présence de Patrick Vieira à la Coupe du monde. Extraits, en exclusivité, des confidences du taiseux de Trappes.

"Vieira reste notre capitaine"

"On s’est toujours bien entendu. Je n’avais pas le permis à mes débuts à Arsenal et, chaque matin, il venait me cueillir pour m’emmener à l’entraînement. (...) Il a aussi été mon capitaine en équipe de France. Aujourd’hui, à 33 ans, il joue à Manchester City, l’un de mes anciens clubs. Sa présence au sein d’un groupe rassure. Si Raymond Domenech le prend pour le Mondial, sûr qu’il fera du bien. On a besoin de son expérience. Son statut en impose. Il reste notre capitaine."

"Toi, je ne te prends pas, c'est normal"

"Certes Aimé Jacquet m’a offert ma première sélection en équipe de France, le 22 avril 1998, en Suède. J’avais 19 ans et j’ai joué plus d’une heure. Mais, le mois suivant, (...) j’appartiens aux six exclus de Clairefontaine lors du final cut. (...). « Toi, je ne te prends pas. C’est normal. » Rien d’autre. Ces mots resteront gravés à vie. Il a dit ça devant les cinq autres exclus (Ba, Lamouchi, Djetou, Leitizi, Laigle). Voulait-il dire que c’était normal car j’étais jeune et que j’avais le temps ? Je l’ignore. Mais ce fut très dur à entendre. Après Jacquet, ce fut au tour de Roger Lemerre (…). Il était gentil mais parfois il me tutoyait, d’autres fois il me vouvoyait. Désarçonnant. (...) Je n’ai pas aimé une phrase qu’il a prononcée un jour : « J’ai joué ma vie avec Anelka.» Qu’est-ce que cela signifie ? Ça peut prêter à confusion. Qu’il s’explique (…).”

"Domenech éclaire le jeu de l'équipe"

"Jamais je n’ai eu de dialogue comme ça avant avec un entraîneur des Bleus. (...) Je considère qu’il m’a donné ma chance de revenir en sélection et de prouver que j’avais le niveau, ce dont je n’ai jamais douté. Avec lui, je communique, j’échange. Il a compris que je n’étais pas un fouteur de merde ! Je peux parler tranquillement, de tout et de rien, avec Domenech. Cela change de ses prédécesseurs. Il donne aussi des explications, éclaire le jeu de l’équipe. Jusque-là, le dialogue était inexistant. (...) Je garderai le souvenir d’un homme qui parle beaucoup aux joueurs et qui les comprend. C’est un vrai technicien, qui connaît le football. Je sais qu’il est impopulaire, mais je vous promets que le personnage est marrant."

"On s'est cachés, mais on est passés"

"Entre Thierry (Henry) et moi, cela a toujours été instinctif. Malgré la concurrence, on a systématiquement voulu jouer ensemble, se donner les ballons. Cela a constamment collé. (...) Un mot sur son fameux geste face à l’Irlande en match de barrages. (...) Il a assumé. Tout le monde a vu qu’il avait fait main, de toute façon… Dans le foot, il y en a partout, sur tous les terrains, hélas. Il n’y a qu’à mettre la vidéo. Et puis, la qualification pour la Coupe du monde, c’est à l’aller en Irlande qu’on l’a obtenue. (...) Au retour, on sait bien qu’on n’a pas été bons, tétanisés par l’enjeu. On s’est cachés, mais on est passés. Je sais que Thierry a été atteint par les polémiques après sa main, tout le monde lui est tombé dessus. Il reste mon ami pour la vie. Il va prendre part à son quatrième Mondial de suite. C’est hallucinant."

"Claude (Makelele) a encore largement le niveau"

"Le PSG est le seul club français que j’aie connu dans ma carrière. Si jamais un jour je devais revenir en France, même si je pense que cela n’arrivera pas, ce serait à Paris. Claude Makelele, lui, s’apprête à y terminer son parcours. (...) Je ne comprends pas pourquoi le club l’a fait venir alors que, derrière, le projet n’est pas abouti. (...) À 37 ans, il reste affûté et a été l’un des meilleurs milieux défensifs du monde. Il va stopper sa carrière, mais il a encore largement le niveau. Son coach à Paris est à la hauteur. Mais on ne peut pas lui réclamer de faire des merveilles avec si peu de moyens."

"Avec cette équipe de fous..."

"Mon deuxième passage au PSG n’aura duré qu’une année et demie. (...) Je croyais dans le projet exposé, à savoir une équipe qui représente Paris et sa région. Faire appel à des jeunes joueurs de la région parisienne ou de la banlieue tout court, représentatifs du public. Un mélange de jeunes du centre de formation et par ailleurs des copains, comme Fabrice Abriel, Sylvain Distin, Bernard Mendy, Grégory Paisley, Fabrice Kelban, Édouard Cissé ou Pierre Ducrocq, ainsi que des joueurs plus expérimentés tels que Ali Benarbia, Laurent Robert ou Lionel Letizi. Avec en plus Ronaldinho, Jay-Jay Okocha, Peter Luccin ou Stéphane Dalmat, on bénéficiait d’une équipe de malades. Le résultat n’a pas été à la hauteur. Pourtant, avec cette équipe de fous, on aurait pu faire ce qu’a réalisé l’Olympique Lyonnais, à savoir dominer le Championnat de France durant sept ans. Seulement, on ne nous a pas laissé le temps. (...) Bergeroo a sauté. Et la politique du club a changé. Dès lors, les histoires ont commencé à pleuvoir, les rumeurs aussi. Du grand n’importe quoi."

"Je savais que j'allais manquer mon penalty"

"(A Chelsea), le coach, Avram Grant, ne me témoigne pas une confiance absolue. Et comme je fonctionne beaucoup à l’affectif… Ça se ressent notamment lors de la finale de la Ligue des champions, la seconde à laquelle je participe. (...) L’entraîneur m’a lancé d’un coup, sans me prévenir. Alors que notre capitaine John Terry avait l’occasion de nous offrir le trophée lors des tirs au but – sa tentative a heurté le poteau –, je rate finalement l’ultime de la série, repoussé par Van der Sar. C’est un peu le symbole de ma demi-saison avec Chelsea. Triste à dire, mais je savais que j’allais manquer mon penalty. Grant me prenait un peu de haut, comme si pour lui je devais être fier et ne rien réclamer, sous prétexte que j’avais été recruté à Bolton."

Arnaud Ramsay, “Anelka par Nicolas Anelka”, Editions Hugo&Cie, 125 pages, 15,50 euros. Parution le 12 mai.


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gegenne
posté 11/05/2010 00:39
Message #338


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Foot - CM - URU
Une liste de 26 sans Rodriguez


Oscar Tabarez, le sélectionneur de l'Uruguay, a dévoilé lundi une première liste élargie de 26 joueurs pour la Coupe du monde 2010. Une compétition durant laquelle la Celeste débutera contre l'équipe de France, le 11 juin, avant de se coltiner l'Afrique du Sud et le Mexique. Le milieu de terrain Cristian Rodriguez, encore sous le coup d'une suspension de deux matches, en est le principal absent. L'ancien joueur du Paris-SG, qui évolue aujourd'hui à Porto, ne pouvait pas être aligné face aux Bleus, puis contre le pays organisateur, le 16 juin.

Comme prévu, l'ancien entraîneur de l'Inter Milan a fait primer la «continuité» et retenu essentiellement des joueurs qui ont participé à la campagne de qualification. Il a ainsi maintenu sa confiance au latéral droit Martin Caceres, qui a rejoué dimanche avec la Juventus Turin après plus de deux mois d'arrêt en raison d'une pubalgie, ou au milieu de terrain de l'AIK Stockholm Sebastian Eguren, longtemps sans club.

Tabarez a également retenu le meneur de jeu Ignacio Gonzalez, absent en sélection depuis plus d'un an et demi à cause de blessures à répétition, et la révélation du repêchage contre le Costa Rica, Nicolas Lodeiro, bien qu'il ait peu joué depuis son transfert à l'Ajax Amsterdam en janvier dernier. D'ici au 1er juin, le coach de l'Uruguay devra enlever trois joueurs de cette liste élargie. Deux sauteront probablement au milieu de terrain, un secteur où il a convoqué 11 éléments, dont trois des quatre joueurs évoluant encore en Uruguay (Egidio Arevalo Rios, Jorge Rodriguez et Alvaro Gonzalez). En attaque, derrière les titulaires Diego Forlan et Luis Suarez, et le joker Sebastian Abreu, ce sont Edinson Cavani, Sebastian Fernandez et Jorge Martinez qui semblent à la lutte pour une ou deux places.


Les 26 Uruguayens :

GARDIENS: Fernando Muslera (Lazio Rome/ITA), Juan Castillo (Deportivo Cali/COL), Martin Silva (Defensor)

DEFENSEURS: Diego Lugano (Fenerbahce/TUR), Diego Godin (Villarreal/ESP), Andres Scotti (Colo Colo/CHI), Jorge Fucile (Porto/POR), Martin Caceres (Juventus/ITA), Mauricio Victorino (Universidad de Chile/CHI)

MILIEUX: Walter Gargano (Naples/ITA), Egidio Arevalo Rios (Penarol), Sebastian Eguren (AIK Stockholm/SWE), Diego Perez (Monaco/FRA), Maximiliano Pereira (Benfica/POR), Alvaro Pereira (Porto/POR), Jorge Rodriguez (River Plate), Ignacio Gonzalez (Valence/ESP), Nicolas Lodeiro (Ajax Amsterdam/HOL), Alvaro Gonzalez (Nacional), Alvaro Fernandez (Universidad de Chile/CHI)

ATTAQUANTS: Luis Suarez (Ajax Amsterdam/HOL), Diego Forlan (Atletico Madrid/ESP), Sebastian Abreu (Botafogo/BRA), Edinson Cavani (Palerme/ITA), Sebastian Fernandez (Banfield/ARG), Jorge Martinez (Catane/ITA)


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NainSG
posté 11/05/2010 19:59
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Mondial - Brésil: Dunga annonce sa liste de 23 joueurs sans Ronaldinho ni Adriano

RIO DE JANEIRO (Brésil) (AFP) - Le sélectionneur de l'équipe du Brésil, Dunga, a annoncé mardi sa liste de 23 joueurs pour le Mondial-2010 (11 juin-11 juillet), dans laquelle ne figurent ni le milieu offensif du Milan AC, Ronaldinho, ni l'attaquant de Flamengo, Adriano.

Cette double absence n'est pas une grande surprise, les deux joueurs n'ayant que peu participé aux qualifications, marquant seulement chacun un but.

Ronaldinho, champion du monde en 2002 et aujourd'hui âgé de 30 ans, n'a plus été convoqué en sélection depuis avril 2009.


Adriano, lui, avait connu une éclipse de plusieurs mois l'an dernier, après son départ de l'Inter Milan début avril.

Venu soigner une dépression au Brésil après s'être séparé de sa fiancée, Adriano avait d'abord songé à faire une pause dans sa carrière, avant de resigner à Flamengo, huit ans après y avoir fait ses débuts professionnels.

"L'Empereur" avait retrouvé la seleçao à la fin de l'été, mais ces dernières semaines, Dunga lui reprochait des absences répétées aux entraînements de son club et un surpoids inquiétant (106 kg début mars, soit huit de trop).

"On a tout fait pour le récupérer, mais il a fallu prendre une décision", a déclaré l'entraîneur national à son sujet Dunga.

Il est remplacé dans la liste par l'ancien attaquant du Mans, Grafite, qui joue désormais à Wolfsburg, champion d'Allemagne en 2009.

Fidèle à ses choix, Dunga n'a pas davantage sorti de se retraite internationale le meilleur buteur de l'histoire de la Coupe du monde (15 buts), Ronaldo, qui n'a plus joué en sélection depuis le quart de finale du Mondial-2006 perdu contre la France (1-0).

Le mois dernier, le vétéran de 33 ans a lui-même reconnu qu'il ne méritait pas sa place étant donné le peu de matches qu'il a joués cette saison.

Le Ballon d'or 2007 Kaka, auteur d'une saison en demi-teinte au Real Madrid, est en revanche du voyage tout comme Luis Fabiano, meilleur buteur de la zone Amsud (9 buts).

L'une des rares surprises est la sélection en défense du gaucher de Lyon Michel Bastos.

Le quintuple champion du monde partira le 26 mai pour l'Afrique du Sud, où il figurera dans le groupe G, l'un des plus difficiles avec la Côte d'Ivoire, le Portugal et la Corée du Nord. Il débutera contre l'équipe asiatique le 15 juin.

"Les joueurs que j'ai convoqués ont ma totale confiance", a déclaré Dunga. "Malheureusement, je ne peux en retenir que 23 joueurs", a ajouté celui qui a privilégié comme valeurs dans son choix "l'engagement, l'attitude, la capacité des joueurs à assumer une responsabilité et la passion".

La liste des 23 Brésiliens:

Gardiens: Julio Cesar (Inter Milan/ITA), Doni (AS Roma/ITA), Gomes (Tottenham/ENG).

Défenseurs: Luisao (Benfica/POR), Lucio (Inter Milan/ITA), Juan (AS Roma/ITA), Thiago Silva (Milan AC/ITA), Maicon (Inter Milan/ITA), Daniel Alves (FC Barcelone/ESP), Michel Bastos (Olympique Lyonnais/FRA), Gilberto (Cruzeiro)

Milieux de terrain: Gilberto Silva (Panathinaikos/GRE), Josué (Wolfsbourg/GER), Elano (Galatasaray/TUR), Kaka (Real Madrid/ESP), Ramires (Benfica/POR), Felipe Melo (Juventus/ITA), Julio Baptista (AS Roma/ITA), Kleberson (Flamengo)

Attaquats: Luis Fabiano (Séville/ESP), Nilmar (Villarreal/ESP), Grafite (Wolfsbourg/GER) et Robinho (Santos)


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sylvain
posté 13/05/2010 10:03
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«Il casse les couilles, Gaby...»


Auteur de quatre buts en Ligue 1 pour sa première saison avec l'OM, Gabriel Heinze (photos Presse-Sports) est resté muet presque toute l'année. Mais l'Argentin, sélectionné pour la Coupe du monde, a pris la parole ce jeudi dans un entretien accordé à L'Equipe. Et forcément, d'entrée, ça parle du titre. «Un joueur m'a demandé sur la pelouse: "Gaby, tu es trop content. C'est différent de ce que tu as gagné avant ?" Je lui ai répondu: "Oui, et je ne sais pas pourquoi." Peut-être est-ce dû aux dix-huit ans sans titre de champion de France de l'OM». Le défenseur ne sait pas très bien ce qui l'a poussé dans l'euphorie, mais il se rappelle très bien du déclic. «Ce 23 décembre (...) on est partis en vacances sur des insultes. Ça m'a beaucoup marqué, ça m'a demandé plus d'efforts. J'ai eu mal ce soir-là. Alors quand j'ai vu ce stade en feu contre Rennes...»

«J'ai tellement donné pour le PSG...»

De Paris à Marseille, il n'y a qu'un pas. Et pourtant. «Si on me l'avait dit à une époque, j'aurais répondu que c'était impossible.» Heinze a hésité avant de venir dans le club phocéen. «Ça n'a pas été facile de dire oui car je passais de l'autre côté, chez le grand rival... Mais Marseille me proposait un projet qui me plaisait». Et concernant le PSG-OM (0-3) du 28 février dernier au Parc des Princes, l'Argentin ne pensait vraiment pas être si mal accueilli. «J'ai tellement donné pour le PSG... Ça m'a touché, c'est ma pire journée de footballeur. Heureusement, quand je suis allé vers l'hôtel, un petit jeune m'a interpellé: "Gaby, tu vas toujours rester dans mon coeur, même si tu es parti." Ça m'a fait du bien.»


«Ici, il n'y a pas de mauvais mecs»

Les premiers mois passés à l'OM n'ont pas été de tout repos, mais Heinze se félicite de son rôle qu'il a joué au sein de sa nouvelle équipe. «Je pouvais amener de l'expérience, comme Lucho, Cheyrou, Diawara, Niang, Morientes... Comment ? J'arrive une heure avant, je montre qu'il faut faire des soins. Il n'y a pas d'autres manières pour réussir». Un tempérament de battant et de professionnel qui aurait pu en agacer plus d'un. «(Rires) C'est sûr que des copains pensent: "Il casse les couilles, Gaby, mais il est trop gentil quand même..." Ici, il n'y a pas de mauvais mecs, c'est un vrai bon groupe. Et des gars de vingt-trois ans peuvent me dire: "Gaby, tu te trompes..." Je l'accepte.»

«Le maillot argentin (...) mon pays, mon sang, ma vie...»

Concernant le futur, Heinze rêverait d'un triplé en Coupe du monde avec l'Argentine. «Si ça m'arrive, je pense dire merci au football et arrêter. C'est le rêve de ma vie. Le maillot argentin est l'unique maillot qui m'a fait pleurer. Je lui donne tout. C'est mon pays, mon sang, ma vie...» Mais il reconnaît être très triste pour Lucho Gonzalez qui ne participera pas à l'aventure en Afrique du sud. «Je connais aussi le rapport de Lucho à ce maillot... Il a vécu des moments durs cette année. Après Rennes, je l'ai embrassé et je lui ai soufflé: "Tu vois, tu as fait fermer la bouche à tout le monde. Tu es un grand monsieur, un grand joueur !" Je n'ai jamais douté.» Quant à Didier Deschamps, «il a la qualité pour aller très loin. Il commence une histoire avec Marseille et j'espère qu'il va la poursuivre. Moi, il me reste un an et je suis tranquille.»


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