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02/02/2010 18:30
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#261
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation Foot - Justice : Llacer gagne aux Prud'hommes Le Paris-SG a été condamné lundi par le Conseil des prud'hommes à verser 400.000 euros à Francis Llacer pour licenciement abusif, révèle L'Equipe mardi matin. Le joueur avait été renvoyé en 2003 pour faute grave (escroquerie), une faute que Llacer avait déjà payée au pénal. Comme convenu avec Canal+ lors du rachat du club par Colony Capital en 2006, ce n'est pas le fonds de pension américain qui devra s'acquitter de la condamnation. Toutes les sanctions financières concernant la période 1991-2006 doivent être assumées par l'ancien propriétaire, qui peut toujours demander à ce qu'un appel soit interjeté.
-------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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04/02/2010 17:09
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#262
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,535 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation Bourillon raconte le clash Transféré au dernier jour du mercato du Paris-SG à Lorient, Grégory Bourillon a expliqué ce jeudi à la radio RTL-L'Equipe que la page parisienne s'était définitivement tournée pour lui le 20 janvier dernier, à quelques heures de Paris-SG - Monaco (0-1). «C'est un match où je m'attendais plus ou moins à jouer, raconte-t-il. Et au dernier moment, une heure et demie avant le coup d'envoi, il (Antoine Kombouaré) m'a appris que j'étais dix-neuvième. Cela ne m'a pas plu, donc on a eu une discussion tendue dans les vestiaires avant le match.» L'explication, toujours «tendue», s'est poursuivie le lendemain matin. Alors, Kombouaré «a pris la décision de m'écarter pour régler mon souci car il savait que je voulais partir, en me disant : ''Jusqu'au 31, tu t'entraînes et tu joues avec la CFA, si tu es encore là, tu réintègres l'équipe, mais règle d'abord ton problème et on verra après''.» Le joueur formé à Rennes se dit sceptique sur sa situation de la fin 2009 : «Je n'ai jamais compris pour quelles raisons je n'entrais pas dans les rotations défensives. Je me suis toujours bien entraîné, j'ai toujours été dans l'esprit et j'essayais de faire des bonnes performances lors de ces entraînements.» Le clash avec Antoine Kombouaré était inéluctable à ses yeux. «Cela faisait trop de temps que je rongeais mon frein et il y a un moment où ça allait éclater et ça a éclaté. Au moins, c'était peut-être une bonne chose, cela m'a permis de partir. Donc je ne regrette pas du tout.» Bourillon a débuté trois matches cette saison avec le PSG, deux en L1 (en août et septembre), un en Coupe de la Ligue (la défaite 1-0 à Guingamp). léquipe.fr |
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04/02/2010 20:11
Message
#263
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Luis Fernandez veut un "spectacle populaire" Le 28 février, le jubilé de l’ex-entraineur de l’AS Cannes rassemblera des grands noms du football. L’AS Cannes l’a marqué, il a marqué l’AS Cannes. Luis Fernandez, d’abord joueur puis entraineur du club de la Croisette – qu’il faisait monter en première division en 1994 - y revient fin février pour fêter le football et la formation azuréenne. "Cannes a énormément compté et je veux un jubilé à la hauteur de Cannes", explique-t-il. Au programme de cette réunion au sommet, le 28 février au stade Coubertin, une rencontre exceptionnelle entre les joueurs des deux équipes de France de 1984 et 1998. "Ce sera fait pour la première et la dernière fois, je crois", affirme l’un des responsables de l’organisation Thomas de Pariente. "Je voulais faire ça pour mes 50 ans (il les a eu en octobre dernier), précise Luis Fernandez. L’idée est avant tout d’offrir un spectacle populaire et de réunir les plus belles générations du football français". "Même s'il y a des contraintes de calendrier à gérer", explique Thomas de Pariente. "Il y a surtout un PSG-OM le soir même", rajoute l’ex-entraîneur. Pourtant le plateau est déjà aux petits oignons : entre Zidane, Platini, Blanc, Papin et beaucoup d’autres qui ont déjà confirmé leur présence. D’autres devraient en faire de même d'ici là. http://www.jubiledeluis.com/ Metrofrance.com |
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06/02/2010 14:57
Message
#264
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Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 6,750 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 127 Tribune : Non précisée |
Citation Liverpool - Everton 40eme: Mikel Arteta remplace Fellaini. Le Basque vient juste de faire sa rentrée après une année d'absence. Yahoo Live N'Gog est titulaire pour Liverpool et PLG (aux commentaires) dit qu'il ne sait pas encore si David veut jouer pour le Cameroun ou pour la France. En tous cas, PLG a l'air de l'apprécier. Quand Liverpool attaque, on a donc droit à un duel N'Gog / Distin. (Pour info, le match est sur canal et Arteta a toujours une excellente vision du jeu) |
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09/02/2010 19:33
Message
#265
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![]() Impr.écran ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 37,270 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : RTT Land Membre no 102 Tribune : Canapé |
Citation LUIS FERNANDEZ :« On t'aime ou pas » mardi 09 février 2010 - 16h26 « Fais vite, je suis pressé. » Luis Fernandez est un homme occupé. Mais quand il parle de football et en particulier des Bleus, il ne s'arrête plus. Vendredi, il échangera sur Orange, cette fois avec Raymond Domenech, avec qui il n'a pas toujours été tendre mais qui a répondu à son invitation. Luis Fernandez, vous accueillerez vendredi sur Orange le sélectionneur Raymond Domenech dans votre émission. Comment êtes-vous parvenu à convaincre le sélectionneur de venir alors qu'il refusait vos invitations sur RMC ? Ce n'est pas qu'il refusait mes invitations. A RMC, il n'a pas de problème particulier avec moi. Il y a eu parfois des commentaires un peu durs sur lui mais pas uniquement sur cette antenne. Mais en ce qui me concerne, on a déjà eu l'occasion d'échanger ensemble. Un jour, il m'a fait la promesse de venir dans une de mes émissions. Il m'avait dit de trouver une date. Voilà, c'est tout. Quels sujets aborderez-vous vendredi ? Le projet sportif de Domenech d'ici à la Coupe du Monde uniquement ? On va continuer de faire ce qu'on fait depuis le début avec Florian Genton, week-end après week-end, avec des thèmes à aborder. On évoquera le championnat. Et dans la Ligue 1 comme à l'étranger, on a des joueurs qui évoluent en équipe de France. Donc on évoquera aussi l'actu des Bleus. On sera peut-être sur une autre ligne que celle qu'il a l'habitude de rencontrer avec les médias. On va essayer d'être différent pour entendre ce qu'on a envie d'entendre de la part du sélectionneur à quatre mois de la Coupe du Monde. Est-ce que le fait de discuter avec un ancien joueur de l'équipe de France a joué dans son acceptation de l'invitation ? Ce sera une discussion entre un ancien de l'équipe de France, Domenech, avec un autre ancien, qui a joué dans la génération de Platini. Raymond, en 1980-81, je l'ai eu comme partenaire au Paris Saint-Germain, Je connais l'homme, le personnage. Après, il est devenu sélectionneur et je n'ai pas toujours été d'accord avec lui, je ne vais pas m'en cacher. Mais il faut que ça reste honorable et loyal. Il ne faut pas que la critique soit systématique : il faut aussi reconnaître quand les choses sont bien faites. Avec moi, il aura l'occasion de parler, d'échanger. Il y aura bien des sujets où on sera d'accord pour en parler. On essaie de poser des questions intéressantes pour que le sélectionneur réponde en toute honnêteté et en toute sincérité. On sait très bien qu'il a une certaine retenue, c'est logique. Mais déjà, qu'il vienne et qu'il accepte de participer à l'émission, c'est tout à son honneur. « Si Blanc et Deschamps ne se lancent pas, je me lance » Vous ne manquerez pas de faire réagir le sélectionneur à l'annonce de la possible arrivée de Laurent Blanc. On ne lui fait aucun cadeau à Domenech… C'est le lot des entraîneurs, le quotidien d'un coach. Un entraîneur en club ou en sélection, ça a toujours été ça. Ce n'est pas que pour Raymond. Il y a deux matchs, on disait que Didier Deschamps avait toutes les peines du monde à Marseille. Il faut vivre avec ça, la pression, les remarques, les critiques. Mais il ne faut pas laisser les gens indifférents. On t'aime ou pas. Je sais de quoi je parle ! Je suis passé par cette situation. Peut-être pas autant que Raymond. Mais maintenant, il faut qu'il garde le moral pour se battre afin que l'équipe de France fasse un bon parcours à la Coupe du Monde. Vous êtes devenu un homme de médias mais vous restez toujours un entraîneur. Vous auriez pu reprendre Saint-Etienne, le public du Parc des Princes vous a réclamé lors de PSG-Lorient… Ça vous fait plaisir de ne pas être oublié ? Ça me fait plaisir parce que c'est gentil de la part des gens, de supporteurs… Ça fait suite à une carrière de joueur et d'entraîneur où, objectivement, j'ai réussi certaines performances. Chacun se fait son opinion. Après, ça me fait toujours plaisir que les gens pensent à moi. C'est gratifiant. Mais pour le moment, je suis dans les médias sur RMC et Orange, où je peux m'exprimer sur le football, donner un point de vue. Revenir sur le terrain et intégrer un club, ce n'est pas mon actualité. Après, si on parle de moi dans des clubs ou en équipe de France… Mais on en parle aussi parce que vous avez posé votre candidature en équipe de France…J'ai posé ma candidature parce que j'ai pensé que j'avais une certaine légitimité pour le faire. Ensuite, si Laurent Blanc et Didier Deschamps ne se lancent pas, je me lance ! Va savoir ce qui peut arriver à la Coupe du Monde. Moi, je souhaite vraiment que tout se passe bien car l'équipe de France m'a permis d'être là où j'en suis. J'espère que ça se passera le mieux possible pour l'équipe de France avec une finale ou une demi-finale. Sinon, il faudra peut-être rendre des comptes. Et tout le monde devra le faire, pas seulement Raymond Domenech. Raymond a été confirmé en 2008. Aujourd'hui, ce n'est pas de sa responsabilité complète mais celle aussi des membres d'un Conseil Fédéral. A ce moment-là, il faudra prendre des grandes décisions pour un changement radical des instances dans le football. « C'est ça mon projet » D'autres ont déjà évoqué la possibilité d'un changement plus global au niveau fédéral en cas d'échec… Les dirigeants devront-ils prendre leurs responsabilités ? Bien sûr, à eux de se regarder dans une glace. Dans une entreprise, quand ça ne va pas, il y a toujours des changements. La Fédération est sous la tutelle d'un ministère. Il peut y avoir des chambardements, des changements. Tout peut se passer. Mais j'espère que tout se passera bien. Car l'équipe de France, c'est l'équipe de tous. Logiquement, quand on la regarde, elle devrait appartenir à toute la France. C'est l'équipe de tous et pas seulement de gens qui se l'approprient pour donner une direction à suivre, avec des gens qu'ils ont envie de mettre, eux, pour appliquer une certaine politique. Y'en a marre ! Il faut arrêter de dire lui, il ne peut pas parce qu'il n'a pas cette qualité, lui, il ne parle pas suffisamment… L'équipe de France ne doit pas être prise en otage. Avez-vous présenté un projet en ce sens à la FFF ? J'ai un projet. Aujourd'hui, on dit qu'il faut mettre un manager. Mais c'est quoi un manager général pour eux ? Quelqu'un d'issu des instances du football ? C'est ça le manager général idéal pour eux ? Un manager général pour moi, ce n'est pas un dirigeant de club ou un président. Pour moi, un manager général, c'est Bossis, Dugarry, Pires, Giresse ! Ça, ça s'appelle un manager général. Après, tu mets un entraîneur. Un coach qui a la dimension de Deschamps ou Blanc, avec un Boghossian ou un Bossis avec. Des entraîneurs issus de 1984 et 1998, avec un comité peut-être de sélection comme Jo Maso au rugby. On entoure le sélectionneur avec des gens qui peuvent parler de l'équipe de France : ça, c'est un vrai projet ! Le management, le directeur de la communication, on peut confier ça à Willy Sagnol, non ? C'est ça mon projet : qu'on mette des gens du football ! Mais on nous met de côté. J'ai un projet mais je souhaite vraiment une chose : que l'élu soit Laurent Blanc ou Didier Deschamps ! Luis, votre autre actualité, c'est le 28 février à Cannes, avec la tenue de votre jubilé où seront présents plusieurs Ballons d'Or. Et parmi eux Zinédine Zidane…Faire ce jubilé à Cannes me fait énormément plaisir. Il y aura énormément de monde, de Bats à Lama en passant par Zubizaretta et Dutruel dans les buts. On pourrait avoir quatre Ballons d'Or : Jean-Pierre Papin, George Weah, Zinédine Zidane. Platini ne pourra pas être là mais Nedved pourrait venir. Après, des joueurs comme Alkorta, Alfonso, Sanchis, Ferrer, Laudrup, Francescoli, l'idole de Zizou, seront là. Je suis content parce que Cannes et Thomas Pariente y ont pensé. Je suis un peu déçu par l'attitude du Paris Saint-Germain. Je leur ai demandé de participer, de donner un coup de main. Ils m'ont proposé de donner 5 000 euros ! J'ai répondu : « Je ne fais pas la manche, gardez-les pour vous les 5 000 euros.» On trouvera des partenaires. Cannes nous prête les installations. Le groupe Partouche, gracieusement, nous reçoit après le match au Palm Beach pour suivre sur écran géant le PSG-Marseille du soir. J'aurais bien aimé que le PSG puisse contribuer à tout ça. Ce n'est pas le cas. Leur attitude ne me plaît pas. J'en prends acte. Aujourd'hui, je ne m'identifie de toute façon pas avec ce Paris Saint-Germain là. J'aime le Paris Saint-Germain mais pas comme ça. Et puis, pour revenir au jubilé, il y aura Zizou, qui a commencé à jouer avec moi au début de sa carrière. J'au la chance de jouer avec les deux joueurs mythiques du football français : Platini et Zidane ! Candela, Karembeu, Diomède, Lama, Bossis, Amoros, Giresse, peut-être Maldini seront aussi là. C'est pas mal. J'aimerais que le public réponde présent. J'ai aimé Cannes, j'ai aimé ce club, j'y ai fait cinq ans. J'ai eu beaucoup d'émotions. Je suis heureux de pouvoir faire mon jubilé à Cannes. Où on vous aime, ce qui ne semble pas être le cas au PSG actuellement à vous entendre… Avec cette direction-là, vous ne pourriez pas y travailler ? C'est vrai que ça prend des proportions… Les dirigeants se démarquent un peu. Mais je ne vais pas en dire plus car ils vont dire que je tape dessus. Je ne suis pas là pour taper. S'ils en sont arrivés là, c'est que des erreurs ont été commises. Il y a eu tellement de changements. Ils peuvent dire ce qu'ils veulent me concernant mais quand les gens scandent ton nom, ça fait toujours plaisir. C'est un honneur. Ça montre que tu as marqué l'histoire. Ils ont tendance à l'oublier. Mais il n'y a pas longtemps, dans France-Football, il y a eu un rappel pour la mémoire. Dans les 40 qui ont marqué le club, dans les trois premiers, il y avait Safet Susic en premier, Mustapha Dalheb en deuxième et moi en troisième. C'est qu'on a dû apporter énormément, non ? Mais on veut souvent faire une croix sur cette génération. C'est une belle petite claque dans leur petite tête en voyant ça (rires). Foot365.fr -------------------- Je suis la petite p*** a cyrille 04 ca va je le vis bien ©Aigle 02/09/09
Il signera dans 1 ou 2 semaines quand Milan aura trouvé son remplaçant. La ça faisait trop de vague coté Milanais, le temps que tout se calme. © Cyr04 '14/06/2012 22:38' Oui c'est bien le maillot de 96 celui avec lequel on a gagné la C3...©Neibaf 16/09/2012 |
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10/02/2010 00:32
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#266
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![]() Millonario ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 59,437 Inscrit : 28/11/2008 Membre no 9 Tribune : Viré du stade |
Apparemment Cristian Rodriguez pourrait ne pas participer au Mondial, il est suspendu pour deux matches donc deux sur les trois de la poule (la FIFA les informant qu'un match amical ne pouvait pas compter dans ces matches) donc a priori Tabarez ne le sélectionnera pas. Pour l'anecdote, cette suspension fait suite à un rouge pris contre l'Argentine où Cebolla aurait giflé Gabriel Heinze.
Source : http://www.ole.clarin.com/notas/2010/02/09...l/02136895.html |
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12/02/2010 01:53
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#267
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 53,524 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 60 Tribune : Canapé |
Ca devient très tendu pour coach Vahid:
Citation Halilhodzic : «Des choses dégueulasses» Malgré l'élimination prématurée de la Côte d'Ivoire lors de la CAN, Vahid Halilhodzic veut poursuivre sa mission. (AFP) Avec une décevante élimination en quarts de finale de la CAN (2-3 a.p. face à l'Algérie), la Côte d'Ivoire est sortie fragilisée de la compétition, alors qu'elle doit encore se préparer pour la Coupe du monde en juin prochain. Vahid Halilhodzic en sera-til encore l'entraîneur ? Rien, n'est moins sûr. Vivement critiqué, le sélectionneur des Éléphants sait que ses jours sont comptés, et que les candidatures affluent à la Fédération ivoirienne : «Je suis toujours sous contrat, et savoir que certains essayent de prendre la place... Pfff... Et j'entends des choses dégueulasses à la radio, déplore-t-il samedi dans L'Équipe, des guignols qui viennent donner leur avis sur tout, sur mon travail». «J'ai envie de continuer» Le coach franco-bosniaque entend poursuivre le travail entamé avec les Éléphants en 2008. «Bien sûr, tout le monde est déçu. Mais j'ai envie de continuer, insiste-t-il. Je suis engagé sur un projet et, pour une minute mal négociée face aux Algériens et un but refusé par l'arbitre, j'entends qu'il faut tout changer», se plaint-il encore. Alors que les noms de Troussier, Marchand ou Simondi circulent pour prendre sa place, Vahid affirme, lui, avoir reçu le soutien d'une grande partie de ses joueurs. Le verdict devrait bientôt tomber, puisque la Côte d'Ivoire entame sa préparation pour le Mondial face à la Corée du Sud le 3 mars prochain. www.lequipe.fr Citation Vahid cherche désespérément des soutiens jeudi 11 février 2010 - Par Nord-Sud De plus en plus isolé après sa première Can ratée, Vahid Halilhodzic a décidé de jouer la carte de l’apaisement. Il cherche donc le soutien des cadres de l’équipe nationale. Il a ainsi décidé de faire la paix avec Baky Koné (à qui il a passé un coup de fil il y a 3 jours) et tous les autres joueurs avec lesquels il était en bisbille. abidjan.net Citation Bruno Baronchelli veut garder Le Cap avec les Éléphants jeudi 11 février 2010 Après l'échec de la CAN, l'adjoint de Vahid Halilhodzic ne cache pas sa déception si le duo ne conduisait pas la Côte d'Ivoire au Mondial Sud-Africain. Il aura suffi d'une terrible défaite face à l'Algérie (2-3) pour que le duo d'anciens Nantais à la tête des favoris de l'épreuve, voit son bail et leur qualification pour la coupe du monde 2010 remis en cause. Le football, en Afrique comme ailleurs, est impitoyable. Pourtant, Bruno Baronchelli, fidèle adjoint de Vahid Halilhodzic depuis 2001 (Lille, Rennes, PSG, Trabzonsports), croit au travail accompli et reste lucide quant aux possibilités de la sélection Ivoirienne en Afrique du Sud. L'aventure africaine le réjouit : « Lorsque Vahid m'a proposé de l'accompagner en Côte d'Ivoire, je lui ai tout de suite dit : c'est super ! L'équipe dispose d'un gros potentiel. Les joueurs ont de la qualité, et humainement, c'est très sympa. Jusqu'à l'Algérie, c'était une très bonne expérience » La fédération Ivoirienne avait fixé les objectifs : se qualifier pour la coupe du Monde et gagner la CAN. Dans l'euphorie, le président de la République aurait ainsi pu organiser les élections auquel il a promis de se soumettre auprès de la communauté internationale... Pour Bruno Baronchelli, d'autres buts ont tout de même été atteints : « on les a fait progresser. D'abord, on a mis de la discipline dans le groupe. Ensuite, on a mis en place une équipe plus consistante. Nous avons eu une approche plus collective qu'individuelle. On a insisté sur l'abnégation, notamment en défense ». Pour lui, l'échec à la CAN n'est pas significatif : « Il faut arrêter de faire de la Côte d'Ivoire un favori. Elle doit encore progresser. Il y a un gros décalage entre les joueurs qui viennent en sélection et la population qui attend énormément d'eux ». L'ancien attaquant rappelle également que « cette génération qui arrive en bout de course » n'a jamais rien gagné. Autre explication : « En Égypte, ils jouent tous dans leur pays. Pour nos joueurs, c'est pas simple de se réadapter aux conditions de jeu, surtout à la chaleur ». Les événements tragiques qui ont touché l'équipe du Togo (dans le même groupe) n'ont pas favorisé la sérénité : « tout de suite, tu te dis : on est où là ! Les joueurs ont eu peur. On a songé à partir mais les choses sont rentrées dans l'ordre ». On laisse de côté l'ego des cadres de l'équipe... Toujours dans l'attente d'une décision de la fédération Ivoirienne, il ne désespère pas d'un dénouement heureux : « À l'heure actuelle, on espère toujours continuer. La coupe du monde est dans quatre mois, ce serait une énorme déception de ne pas y aller ». Il dément au passage fermement toutes négociations de licenciement menées par Vahid Hailihodzic. ouest france.fr Citation Côte d'Ivoire: Gerets pressenti La Côte d'Ivoire songerait de plus en plus fortement au remplacement de Vahid Halilhodzic, après l'élimination par l'Algérie en quart de finale de la dernière Coupe d'Afrique. Pour prendre la place du sélectionneur bosniaque, Eric Gerets, qui perçoit près de 200 000 euros par mois dans le club saoudien d'Al Hilal, serait fortement pressenti, d'après RMC. Dans le cas où la piste menant à l'ancien coach de l'Olympique de Marseille n'aboutirait pas, la fédération ivoirienne pourrait se tourner vers le Néerlandais Guus Hiddink, actuel entraîneur d'une sélection russe non qualifiée pour la prochaine Coupe du Monde en Afrique du Sud. ouest france.fr |
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12/02/2010 11:27
Message
#268
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![]() Fils de Bazin ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,579 Inscrit : 17/01/2009 Membre no 580 Tribune : Viré du stade |
Citation PSG : l’imbroglio Baning Ils sont peu nombreux à avoir vu évoluer Albert Baning sous le maillot parisien. Le Camerounais a de nouveau quitté la capitale cet hiver, direction Strasbourg. Alors que l'on croyait qu'il s'agissait d'un énième prêt, on apprend aujourd'hui qu'il s'agit d'un transfert définitif. Explications. A l’été 2006, le Paris Saint-Germain croyait avoir frappé un grand coup en recrutant Albert Baning. Pisté par l’OL et adoubé par Gérard Houllier, le Camerounais est au coeur d’une bataille entre les deux clubs. Bataille remportée par le PSG, qui dépense alors 1 M€. On connaît la suite, Baning n’a rien du phénomène annoncé et Paris est à nouveau raillé pour son manque de perspicacité sur le marché des transferts. Cet hiver, si les dirigeants parisiens n’ont pas dépensé le moindre centime pour une recrue, ils ont dégraissé leur effectif en se séparant une nouvelle fois de Baning sous la forme d’un prêt à Strasbourg. Du moins, c’est ce que l’on croyait. Le magazine France Football affirme que le milieu âgé de 24 ans est définitivement strasbourgeois ! Son contrat avec Paris expirait en juin prochain, et la formation alsacienne ne sollicitait qu’un prêt, accepté par le PSG. Sauf que la DNCG, qui avait placé le RCS sous recrutement contrôlé a bloqué l’opération. Du coup, Paris a accepté de libérer le joueur de ses cinq mois de contrat restants, en lui versant une indemnité compensatoire, pour qu’il puisse ensuite s’engager en tant qu’agent libre avec Strasbourg (qui ne lui a offert qu’un bail de 5 mois également). Le PSG voulait donc faire une croix définitive sur un joueur qui lui coûtait 50 000 euros par mois, mais il a dû payer pour cela. Prêté successivement à Sedan et Grenoble depuis son arrivée dans la capitale, Baning n’aura joué au total que 235 minutes sous le maillot parisien. Et si le duo brésilien Everton-Souza est considéré comme l’un des pires flops d l’histoire du foot français, le cas Baning est au moins aussi désastreux sur le plan financier. La source est à chier (footmercato) mais c'est priceless |
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15/02/2010 17:03
Message
#269
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 5,305 Inscrit : 10/01/2009 Lieu : Téméria Membre no 234 Tribune : Canapé |
Citation Alioune Touré poussé vers la sortie
![]() STADE CHARLÉTY (PARIS XIIIe ), LE 13 OCTOBRE 2009. Entré en jeu quelques minutes plus tôt, Alioune Touré inscrit le quatrième but du PFC face à Plabennec (4-2). Le seul fait d’arme de l’ancien attaquant du PSG depuis son arrivée en août 2009. (LP/CÉDRIC LECOCQ.) STÉPHANE CORBY | 15.02.2010, 00h00 Arrivé en grande pompe l’été dernier, Alioune Touré risque de quitter le Paris FC par la petite porte. L’ancien attaquant du PSG, champion de France 2001 (avec Nantes) et triple vainqueur de la Coupe de France (1999 et 2000 avec Nantes, 2004 avec le PSG) est sur la touche. Depuis quelques jours, Jean-Luc Vannuchi l’a laissé à la disposition de la réserve (DH). Une décision a priori définitive pour l’entraîneur parisien qui estime à demi-mot avoir fait le nécessaire pour relancer un joueur souvent blessé. Pendant deux mois et demi, Touré (31 ans) a notamment bénéficié des services du préparateur physique Laurent Raynal, multipliant les séances en solo et les footings en forêt. L’ancien coach nîmois l’a même réintégré dans le groupe à Troyes (1-0) le 20 janvier, mais ses vingt minutes passées sur le terrain semblent avoir levé les derniers doutes sur sa capacité à redevenir l’attaquant qu’il a été (81 matchs en Ligue 1, 4 buts). son agent rencontre aujourd’hui les dirigeants parisiens Depuis son arrivée fin août en provenance de l’Olympiakos Nicosie (D 2 chypriote), ses apparitions en National se résument à peau de chagrin. Zéro titularisation, trois entrées en jeu pour un total famélique de soixante et une minutes (lire Chiffre), et un petit but inscrit face à Plabennec (4-2). Bien loin des espoirs placés en lui. « Il devait être l’une des locomotives de l’équipe et il est évident que nous sommes déçus de son rendement, appuie le président délégué Pierre Ferracci. Si évoluer avec la réserve, dont la montée en CFA 2 est aussi l’un des objectifs du Paris FC, ne lui convient pas, on tenterait de trouver une solution qui ne pénalise ni le joueur ni le club. » Car il ne fait pas de doute que cette mise à l’écart du groupe National constitue une première étape vers la séparation L’avenir de Touré, sous contrat jusqu’en juin 2011, sera évoqué aujourd’hui puisque les dirigeants parisiens ont rendez-vous avec son agent. « Si on doit se séparer, on se séparera, reconnaît Franck Welfringer, le représentant du joueur. Alioune n’est pas un homme de conflits, on n’ira pas au clash. Il est simplement déçu de la situation car il souhaitait vraiment s’inscrire dans la durée avec le PFC. » A son arrivée, l’intéressé ne cachait d’ailleurs rien de ses intentions : « C’est un beau challenge d’être à la construction d’un projet (…). Je veux montrer que je suis toujours vivant et que j’ai toujours les jambes. J’ai confiance en moi. » Ce qui ne semble plus être le cas du Paris FC. Le Paris FC (N/DH) a été dominé (4-2) hier par l’UJA (CFA) dans un match amical de deux mi-temps d’une heure. Avec leur équipe type de National, les Parisiens menaient 1-0 (but de Palmieri) à la pause, avant d’aligner leurs remplaçants, dont le second buteur Ayivi. Kemas, deux fois, Pereira et Ben Saada ont marqué côté ujaïste. Le Parisien -------------------- http://leforum.culturepsg.com/index.php?showtopic=917
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17/02/2010 13:09
Message
#270
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 10,088 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 54 Tribune : Non précisée |
Citation PSG-OM : Heinze lance le Clasico... 17/02/2010 - 11 h 16 Pauleta a regretté son départ à l’Olympique de Marseille, mais Gabriel Heinze n’éprouve visiblement aucun remords à avoir rejoint l’ennemi du Paris Saint-Germain. Dans un entretien accordé au journal Le Foot, le défenseur argentin s’est même permis de tacler son ancienne formation. « Je n’ai pas senti les dirigeants du PSG désireux de me revoir sous le maillot parisien sur les épaules. Ils ont prétexté le coût élevé de mon transfert. Pour eux, j’appartenais déjà au passé du club. Marseille vit et respire le football. Les supporters sont véritablement des passionnés. Cette ambiance et cet amour du maillot blanc me rappellent l’Argentine. Je ne regarde jamais derrière. L’attitude des gens qui dirigent le PSG m’a plutôt déçu, mais je ne regrette pas d’avoir signé à l’OM. » De quoi lancer le Clasico de la meilleure des manières. Matthieu Margueritte FootMercato. |
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22/02/2010 14:06
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#271
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 2,229 Inscrit : 10/01/2009 Lieu : Hauts-de-Seine Membre no 232 Tribune : Viré du stade |
Citation Rohr en route pour le Gabon Limogé de Nantes le 3 décembre, Gernot Rohr (56 ans) devrait, sauf catastrophe, être le prochain sélectionneur du Gabon. «Je signerai jeudi un contrat de deux ans, a indiqué dans l'Equipe le successeur d'Alain Giresse. Mon adjoint sera José Cobos. L'objectif est de préparer la CAN 2012, pour laquelle le Gabon est qualifié d'office en tant que co-organisateur», avec la Guinée équatoriale. francefootball.fr -------------------- Autre récompense à destination du club parisien, celle de dirigeant de l'année attribuée à Robin Leproux, le président du PSG. ©France Football
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22/02/2010 22:51
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#272
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Ricardo hospitalisé Victime d'un accident vasculaire cérébral dans la nuit de samedi à dimanche après la défaite de son équipe le Sao Paulo FC à Palmeiras (0-2), le technicien brésilien de 45 ans, Raymundo Ricardo Gomes, dit Ricardo (photo Presse-Sports), a été admis en urgence à l'hôpital Sao Luiz. L'ancien défenseur central et entraîneur du Paris Saint-Germain a subi plusieurs examens neurologiques. L'ex-coach des Girondins de Bordeaux et de l'AS Monaco semble hors de danger, mais doit encore passer plusieurs examens médicaux afin d'établir avec plus de précision un diagnostic sur son mal. Ricardo reste donc hospitalisé jusqu'à nouvel ordre. France Football |
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23/02/2010 15:43
Message
#273
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![]() NeyBaF* ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 9,385 Inscrit : 17/01/2009 Lieu : Bandol Membre no 582 Tribune : Viré du stade |
Citation Fernandez bientôt sélectionneur ? Luis Fernandez serait tout proche de reprendre les rênes d'une équipe de football, et plus particulièrement d'une sélection nationale. L'ancien entraîneur du Paris Saint-Germain l'a indiqué ce mardi, dans les colonnes du Parisien : «Je serai sélectionneur la saison prochaine. Dans quinze jours ou trois semaines, je vais signer pour prendre en main une équipe nationale. Je vais m'engager et je vais pouvoir réattaquer un projet sportif dans de bonnes conditions». Si Fernandez ne dévoile pas où il posera prochainement ses valises, le quotidien francilien révèle qu'il serait en pourparlers avec la Fédération marocaine.
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24/02/2010 18:43
Message
#274
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Football365
Citation « PARIS AUSSI DANS MON COEUR » mercredi 24 février 2010 - 17h12 Gabriel Heinze s'est présenté mercredi au point presse à la veille de recevoir le FC Copenhague en Ligue Europa. Mais le défenseur marseillais a surtout parlé du Clasico de dimanche face au PSG. Gabriel Heinze, physiquement êtes-vous prêt à enchaîner trois matchs en une semaine ? Je suis un peu fatigué. Après un mois d'arrêt, ce n'est pas facile de reprendre mais la blessure est passée, ça va. Je peux jouer. Je suis prêt comme tous mes coéquipiers mais il faut demander à l'entraîneur si je vais jouer. Je sais qu'on a un match important demain (jeudi) et un autre dimanche mais c'est lui qui décide. L'OM n'a-t-il pas déjà l'esprit à Paris ? Non. Aujourd'hui on ne pense qu'à Copenhague. Trois jours après il y aura Paris mais avant il y a le match de demain. On a fait un très bon résultat là-bas, en gagnant 3-1 l'équipe a fait quelque chose de très bien mais je sais qu'en dix minutes le football peut changer. Il est important de jouer très sérieusement ce match. Il ne faudra pas renouveler la première mi-temps que celle face à Nancy… En football, il y a toujours des moments difficiles et je pense que tout le match sera difficile. J'ai vu le match aller à la télé, j'ai parlé du match avec Lucho, il m'a dit dit que Copenhague joue bien au ballon, il y a des problèmes derrière mais il faut faire attention ici parce que de petits détails peuvent faire changer le match. Mais je crois qu'on a une grosse possibilité de passer ce tour. En tout cas si on fait le même match que contre Nancy ça sera bien parce qu'on a fait de très bonnes choses. Il ne faut pas oublier qu'un match nul suffit pour nous qualifier. N'y a-t-il pas un risque de penser au PSG pendant ce match de Ligue Europa ? Je pense que tout le monde a envie de jouer le Clasico parce que c'est le plus beau match de l'année mais avant il y a un match de Coupe d'Europe qui est très important pour le club et, avant le Clasico, le plus important c'est Copenhague. « Le football, ce n'est pas la guerre » Personnellement avez-vous une appréhension avant de retrouver les supporters parisiens ? Non. Je vais jouer un match de foot. J'ai passé trois ans formidables là-bas. Je comprends les supporters parisiens mais je dois maintenant me concentrer au maximum pour l'OM et donner le maximum pour gagner ce match avec mon club. Je connais l'importance de cette rencontre mais ce n'est pas moi Gaby Heinze qui vais jouer contre Paris, c'est l'OM qui va jouer contre le PSG. Je ne regarde pas ce qui se passe à côté. Les défenseurs sont ceux qui doivent être le plus concentrés pendant un match parce que s'ils font une erreur ils la payent cher. Je me concentre sur ça. Le reste… Tout ce que je sais c'est que le stade sera plein et que c'est formidable de jouer des matchs comme ça. Dimanche, l'important c'est que l'OM gagne à Paris pour continuer la bonne série en championnat. Vu les résultats du PSG vous n'avez aucun regret d'avoir quitté le club… Ça n'a rien à voir. Je suis à Marseille mais leurs mauvais résultats ça me fait mal parce que PSG c'est une équipe que j'ai dans le cœur aussi. C'est bien pour le championnat français que Paris soit là mais franchement je ne sais pas quels problèmes ils ont là bas. Aujourd'hui moi je suis ici. Les supporters marseillais doivent-ils effectuer ce déplacement ? Je pense que ça fait du bien au football que les supporters marseillais puissent aller à Paris parce que l'ambiance est formidable dans le stade. Je sais qu'il y a des problèmes mais je pense que vous journalistes et nous footballers on ne doit parler que de l'ambiance du football. Ce n'est pas la guerre. C'est un match de football qui dure 90 minutes et tout le monde veut profiter de ce match. A 23 heures il n'y aura pas de mort. Il y aura une défaite, une victoire ou un match nul et c'est tout. Puis dans six mois on autre Clasico reviendra. Je savais pas trop où mettre ça. Si un modo pense que c'est mieux dans un autre topic, qu'il n'hésite pas à le bouger. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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24/02/2010 19:34
Message
#275
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
RMC.fr
Merci Rodriguez. Citation Heinze : « Ça me fera mal si les supporters du PSG me sifflent »
La rédaction - Luis Attaque - RMC, le 24/02/2010 L’ancien défenseur du PSG va retrouver le Parc des Princes dimanche soir sous le maillot de l’ennemi marseillais. Avant de filer en conférence de presse, il s’est longuement confié à Luis Fernandez, son ancien coach. Entretien exclusif. L’OM a beaucoup recruté l’été dernier. Avez-vous été inquiet du rendement de l’équipe ? Non, jamais. Tout le monde s’est bien intégré. Après, Marseille, c’est spécial. On a tous bossé pour faire en sorte que ça aille mieux. Ici, le match nul ne compte pas. Il n’y a que les trois points de la victoire qui sont importants. Quel accueil vous ont réservé les supporters de l’OM ? Moi, ce que je voulais, c’était jouer. Avant de signer, il y a une personne qui m’a appelé et donné confiance, c’est Didier Deschamps. Maintenant, avec les supporters, si je fais de mauvais matches, ils vont m’insulter (sic)… C’est normal, j’ai passé trois années au PSG. Mais les Marseillais voient bien que je donne tout et que je suis professionnel. Y a-t-il plus de pression à Marseille qu’ailleurs ? Non. La pression, c’est toujours pareil. C’est la responsabilité qui est plus importante. C’est vrai que pour moi, ce match est un peu spécial, je viens de Paris… A part l’OM, aviez-vous eu d’autres contacts l’été dernier ? Quand je suis parti de Madrid, j’avais des contacts avec le PSG et d’autres équipes en Italie. Didier Deschamps a fait beaucoup d’efforts pour me trouver. Je le remercie. Paris ne me donnait pas ça… J’ai 31 ans, je vais là où on me donne les meilleures garanties. « Je vais tout donner pour l’OM » A quel type d’accueil vous attendez-vous dimanche au Parc des Princes ? (Il réfléchit) Ce sera très spécial pour moi. J’ai passé trois années merveilleuses à Paris. Je ne sais pas ce qui va se passer dans le stade. Ça me fera mal si les supporters du PSG me sifflent. Mais ce sont eux qui paient leur place… Je suis professionnel, je vais tout donner pour Marseille, même si les supporters du PSG sont toujours restés dans mon cœur. Ils m’ont beaucoup donné. J’ai beaucoup de respect pour ce club et ce maillot. Mais je suis parti chez le rival qu’est l’OM et c’est comme ça ! Les deux publics sont-ils différents ? Ils sont extraordinaires. J’ai aussi passé à Paris des moments difficiles avec des supporters trop nerveux. A Marseille aussi ils ont sifflé cette saison. Et ils avaient raison. Qui va gagner dimanche soir ? On est obligé de gagner ! Bordeaux est devant et on ne peut plus lâcher de points. Moi je pense à mon équipe et aux trois points. Il n’y a que ça qui m’intéresse, pas le reste. Avant le PSG, il y a ce match retour contre Copenhague en Ligue Europa… Oui, et c’est important. Le seul problème, c’est que depuis deux mois on joue tous les trois jours. Ceux qui font le calendrier n’ont jamais joué au foot, ce n’est pas possible ! D’accord, nous sommes des professionnels mais il y a un truc qui s’appelle le corps, et tu ne peux pas être à 100% tout le temps. C’est pareil pour toutes les équipes, dont Bordeaux. Ceux qui font les calendriers restent dans les bureaux et ne pensent jamais aux joueurs. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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26/02/2010 14:11
Message
#276
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation L'interview décalée… E.Cissé Edouard Cissé, après Nancy et Copenhague, vous enchaînez par le PSG. Encore une semaine chargée ! Vous n'en avez pas un peu assez de l'accumulation des matchs ? Regardez-moi ! Je suis vraiment très fatigué : j'ai des cernes. Je suis vraiment très fatigué mais le fait de gagner met du baume au cœur. Ça fait du bien. Avec la répétition des matchs, ne trouvez-vous pas que le Clasico perd de son impact, de sa magie ? Il y a de ça aussi. Ce qui est bien pour enlever la pression négative, c'est qu'il y avait ce match jeudi qui permet de calmer pas mal de choses. Et dès vendredi, on se tournera vers ce match de dimanche. Est-ce qu'il vous arrive de penser dans des semaines comme ça à vos débuts de footballeurs à Billère ? Quand j'ai commencé le foot, je ne pensais pas devenir professionnel. Je pensais juste à m'éclater avec mes potes. On avait en plus l'habitude de perdre régulièrement donc très vite, je me suis rendu compte que le plus important était de participer. Ça m'a embêté quand même de perdre autant mais la joie et l'état d'esprit qui régnaient à Billère, avec les potes dans ces vestiaires, m'ont permis de comprendre que le foot est magique. « Deux paires de protège-tibias : une devant, l'autre derrière » Il paraît que vous avez appris la gagne véritablement en bas de votre immeuble avec les autres gosses du quartier... Si tu perdais, tu te faisais chambrer. Quand j'ai déménagé gamin, je suis arrivé dans une petite résidence où il y avait pas mal de gars qui aimaient le foot. Il y avait des petits challenges en bas et il valait mieux être le plus fort ou, du moins, le moins bidon. J'ai appris à apprendre la gagne à ce moment-là. Il valait mieux être dans la peau du vainqueur que dans celle du numéro deux ou trois. Vos coéquipiers de Billère de l'époque disent que vous étiez très bon techniquement et que vous aviez pris l'habitude de jouer avec deux paires de protège-tibias. Est-ce vrai ? Oui, c'est vrai. A un certain niveau, en district, il y avait quand même pas mal de bûcherons. J'étais surclassé et si j'étais relativement grand, j'étais frêle. Donc on me chicotait les mollets. La seule solution que j'ai pu trouver était de porter deux paires de protège-tibias : une devant, l'autre derrière. Comme ça, je pouvais jouer sans me soucier des coups que je pouvais recevoir. Vous avez été repéré par le FC Pau. Pourquoi avoir choisi le FC Pau et pas la JAB de Pau, davantage connu car club de la famille Larqué ? Parce qu'à l'époque, le FC Pau était le meilleur ! Et parce qu'ils m'ont dragué d'une façon qui fait que j'ai succombé. Je suis allé au FC Pau avec qui j'ai appris à connaître le niveau national avec les moins de 17 ans nationaux. Là, j'ai commencé à taper dans l'œil de certains centres de formation. Le Guen : « Tu n'es pas là pour prendre des photos » Quand on est grand, sportif et qu'on vit à Pau, il paraîtrait naturel d'aller vers le basket, non ? A un moment donné, le choix n'a pas été évident. En 1992, à l'époque de la fameuse Dreamteam américaine, je passais plus de temps sur les playgrounds du Palais des Sports que sur le terrain de foot. Pendant deux ans, j'étais même dopé au basket. Mais après, j'ai choisi le foot parce qu'au niveau de la taille, c'était plus raisonnable. Après des débuts en National, quand intervient le déclic qui fait qu'on pense pouvoir jouer un jour en L1 ? Le déclic ? Je ne sais pas. Il y a eu un ami, le directeur sportif de l'époque Richard Landa, qui avait des contacts avec le milieu professionnel et donc Paris, via Jean-Michel Moutier. Le vrai déclic vient de là. Pour la première fois, je prends l'avion, je vais à Paris et j'arrive au Parc des Princes dans les bureaux de Denisot. Là, Raï passe et dit bonjour. Je me dis : « Pas mal ! » Raï, j'avais l'habitude de le voir à la télé. Tu vois ensuite Paris pour la première fois du haut de tes 18 ans. Ça te fait rêver et tu te dis que ça peut être pas mal. Et après, quand je suis redescendu à Pau, je ne pensais qu'à ça. La folie. Et vous avez intégré le meilleur PSG possible... C'était encore le PSG de Michel Denisot avec Raï et Simone, tous ceux qui ont fait du PSG un PSG conquérant avec cinq demi-finales de Coupe d'Europe consécutives. C'était quelque chose ! Une valeur sûre. J'atterris dans un groupe comme ça et c'est extraordinaire. C'était un rêve. Après, j'ai eu un autre déclic au bout du premier mois. J'ai arrêté de rêver et je me suis dit qu'il y avait quelque chose à faire. Je me suis alors dit : « Ça peut être ton métier. » J'ai eu les conseils de certains anciens comme Paul Le Guen, Vincent Guérin, Laurent Fournier ou Alain Roche. Ils m'ont dit : « Tu n'es pas là pour prendre des photos. » « Abriel me demandait même des autographes » Et vous avez arrêté la visite de Paris pour jouer la Ligue des Champions très vite, sans la formation qu'ont reçue les Anelka et autres Abriel. Au lieu d'être jaloux de vous, ils vous ont accepté comme un des leurs... Oui, Fabrice me demandait même des autographes. Mais ça s'est super bien passé. Même si eux étaient formatés pour le haut niveau, ils étaient fiers qu'un de leurs potes jouent avec les pros. C'était un peu leur rêve aussi. Fabrice, je le connais depuis treize ans et il n'y a jamais eu de jalousie. Il a toujours été derrière moi. Pareil pour Nicolas Anelka, Didier Domi... Fabrice a toujours été derrière nous : ça lui a donné la force de continuer alors qu'il a eu un chemin un peu particulier. Il a pris les itinéraires bis mais il arrive à bon port au bon âge. Ça aussi ça m'a motivé. Je me suis dit que je ne suscitais pas la jalousie des gars et j'ai vu dans le regard de certains de mes équipiers, qui n'avaient pas la chance de jouer en pro, que ce que je vivais était extraordinaire. Un privilège ! Et à chaque fois, je respectais ça. Sans tomber dans le cliché du Provincial qui monte à Paris, passer du boulevard des Pyrénées à Pau aux Champs-Élysées dans la Capitale, il y a quand même un danger de dégoupiller... Je m'étais accordé trois mois. Pendant les trois mois, il y avait juillet-août puis en septembre, j'ai commencé à faire des bancs. A un moment donné, ce n'était pas évident. Mais Joël Bats m'a pris à part et m'a dit : « C'est bien, tu en as bien profité mais maintenant, tu es sur l'itinéraire bis. » Cette métaphore a suffi. Fin septembre, j'avais fait le tour et j'avais suffisamment dégoupillé. Là, je me suis remis dans le droit chemin. J'en ai profité ensuite car je ne suis pas un Saint mais j'ai su faire la part des choses pour profiter quand il le fallait. Pourquoi ce besoin de dégoupiller ? Il n'y avait pas de fêtes étudiantes à Pau quand vous étiez à la fac en Sciences-Eco ? Il y en avait mais ce n'était pas le même niveau. Il y en avait dans le quartier du triangle à Pau où on faisait les « JVS » : les « jeudi, vendredi, samedi »… C'était assez fun. Mais quand tu arrives à Paris, le niveau est assez élevé quand même ! Tu te rends compte que tu peux faire le lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi et même dimanche. J'ai un peu dégoupillé mais c'est normal. C'est le cliché : quand tu es de Pau, tu regardes tous les jours Paris sur la carte météo de Catherine Laborde. Tu regardes le temps qu'il va faire à Paris. Y aller, c'était assez fun et les Champs-Élysées, c'était magique aussi... « Je suis un fils, un mari, un père » Si vous avez su arrêter la fête au bout de trois mois, c'est que votre entourage vous l'a aussi permis... Heureusement parce que j'y serais encore. La famille, pour vous, c'est un thème important. Vous parlez sans arrêt de vos parents, de votre épouse, de vos enfants alors que d'autres n'abordent jamais ce sujet... J'ai peut-être besoin de rappeler aux gens qu'on est footballeur, qu'on a la chance de faire ça... Mais comme me le disait mon père, le plus important, c'est d'avoir une famille, d'avoir des enfants. Quand j'ai connu ça à 24 ans, je me suis aperçu que je suis footballeur deux heures dans la journée et que le reste du temps, je suis un fils, un mari, un père. Ça m'aide à être fort sur le terrain et à relativiser beaucoup de choses. C'est un beau métier mais ce n'est pas toujours évident. Ça m'aide. La famille est primordiale. On oublie souvent que derrière le footballeur se cache un homme, un père... Là avec une série de matchs rapprochés comme ça, plus les vacances scolaires, votre femme doit assurer... Sans vouloir me jeter des fleurs, je suis aussi un papa moderne. J'essaie de l'aider. Quand on n'a pas entraînement le matin, je dépose les puces à l'école. Ça veut dire se lever à 7h00 : il faut assumer. Mais après à 9h00, quand tu as déposé tout le monde, tu as un gros coup de barre. Et ta journée en prend un coup. Mais je le fais. Ça m'aide à me rendre compte que je suis un footballeur mais que je ne suis pas que ça... « Je vais traîner aux alentours des Bleus s'il manque un joueur » Dans votre carrière, vous avez réussi à atteindre les plus hauts sommets... Sauf la Coupe du Monde quand même... La Coupe du Monde justement... Pour 2010, je pense que c'est mort. Je déconne... Vous avez déclaré qu'un de vos rêves était de découvrir l'Afrique du Sud. Mais pour faire un safari... (Rires). Je vais aller en Afrique du Sud, au Parc Kruger, et je vais traîner aux alentours des Bleus. Comme ça, s'il manque un joueur, je pourrais dépanner. Mais l'Afrique du Sud, c'est beau... Pour continuer avec les Bleus, en 2004, n'avez-vous pas regretté de n'avoir pas porté les couleurs de la JAB de Pau ? Jean-Michel Larqué aurait alors sans doute demandé à son pote Jacques Santini de prendre un ancien de sa maison… En 2004, c'était pas mal. Après ma saison à Monaco, c'était le moment propice. Mais il y avait du beau monde en place à mon poste. Au final, il ne faut pas avoir de regrets parce que quand j'aurais pu y aller, le coach Deschamps était là et bien en place. Après, Pat Vieira a pris la succession. Et Makelele est arrivé. Quand il y a enfin eu une place de libre, j'avais 26-27 ans et ce n'était pas évident. Tu prends des plus jeunes. Donc je ne regrette pas car devant moi, il y avait des sacrés morceaux. Ceux qui étaient là étaient vraiment très forts. « On s'est dit qu'on était de gros escrocs » Vous vous êtes rattrapé en club... Ça va, ça aurait pu être pire. Avec toujours en 2004 cette finale de Ligue des Champions : votre meilleur souvenir et en même temps la plus grosse déception... C'est la plus grosse émotion et la plus grosse déception. Mais je me rends compte que c'est beau quand je vois que TF1 nous a interviewés pour le journal de 20h00. TF1, c'est le JT ! La plus grande déception, ce n'est pas sur le coup, c'est après. J'étais quelques mois après avec Pat Evra et je lui disais : « Tu te rends compte, ce qu'on a fait, c'était énorme. » On a fait une liste ensemble de supers joueurs qui n'ont jamais fait de finale de Ligue des Champions. On s'est alors dit qu'on était de gros escrocs. Là, on s'est rendu compte qu'on avait joué une finale et on a eu la déception. Trois mois après, on s'est dit qu'on est passé à côté de quelque chose d'extraordinaire. Même là, je me dis que ça aurait pu être énorme. On voit la différence entre gagner et juste être finaliste... Ce qui était énorme, c'était l'ambiance dans cette équipe : il y avait des escrocs, des « boîteurs »... Il y avait tout. C'était un peu comme les Sept Mercenaires. Le premier jour où je suis arrivé, je me suis : « C'est quoi cette équipe ? » Ça me faisait penser aux années folles de Billère quand on ne se prenait pas la tête. Mon premier match, je me suis dit « Comment ça peut se passer, ce n'est pas possible. » Mais les mecs, à Monaco, dès qu'ils mettaient le maillot, ils étaient conditionnés pour aller chercher la victoire. Tout le monde savait ce qu'il avait à faire et ça se passait hyper bien. Et toute l'année, ça s'est passé comme ça. On gagnait. Je suis arrivé à la meilleure période. Le groupe était ensemble depuis deux ans, il y avait un vécu. Je me suis fondu dans ce groupe avec une facilité déconcertante. Fernando Morientes ne parlait pas français et au bout d'un mois, il parlait la langue et était un bout en train alors qu'il est relativement timide ! C'était vraiment un grand moment. Tu te dis que tu aimerais en connaître d'autres des années comme ça. « Si je pouvais, j'aurais pris les trois maillots » Pour revenir à la sélection, vous êtes métis. Et donc la question qu'on se pose est la suivante : « La sélection basque ne vous a jamais contacté ? » Non. Mais j'ai failli aller à la Real Sociedad. J'avais visité les installations mais Paris a mis son veto. Ça aurait été un beau clin d'œil pour ma maman qui est basque d'avoir signé là-bas. Aujourd'hui, c'est le Sénégal, le pays de votre papa, qui vous demande. Mamadou Niang et Souley Diawara vous saoulent pour que vous les rejoigniez... Si je pouvais, j'aurais pris les trois maillots : basque, français et sénégalais. Mais je prends ça comme une énorme fierté. C'est un choix pas évident à faire. Le Sénégal, ça fait pas mal de temps qu'il s'intéresse à moi. Depuis 2003-2004… C'est une réflexion. J'ai 31 balais et je suis un peu vieux aussi... Il faut penser un peu à la famille, aux filles. J'essaie d'être performant avec mon club. Quand je vois Gaby Heinze qui doit se taper des missions, Souley, Mamad... Les temps de repos, il n'y en a pas énormément. Il faut aussi prendre ça en compte. Evoquons vos temps de repos : vous êtes plutôt ciné, lecture, musique, famille ? Je greffe ma famille aux temps de repos. J'emmène mes enfants au ciné, ma femme m'entraîne à des expos de peinture. Je suis relativement cool. Les petits DVD, je ne fais plus trop car je préfère emmener mes enfants au cinéma. La grande toile, c'est sympa. Vous allez voir quoi ? Alvin et les Chipmunks ? Non, je ne l'ai pas fait mais j'ai vu la Princesse et la Grenouille... C'est sympa. Une princesse black ! C'est bien vu que mes filles sont métisses : ça montre que tout peut arriver. « Abriel, c'est plutôt la Compagnie Créole » Au niveau musique, il paraît que vous êtes très reggae... J'aime bien le reggae mais je me rends compte que j'aime tout en fait. Je m'élargis un peu : j'écoute toute la black-music, avec du blues et du jazz. Mais je ne suis pas aussi expert que Fabrice Abriel qui paraît-il écoute du jazz. Ça, ça a été une grande surprise d'apprendre ça. Souley ne comprend pas ça. Mais moi aussi ça me surprend. Fabrice, c'est plutôt la Compagnie Créole, le zouk... Les fringues, c'est aussi une passion pour vous. Vous avez refait votre garde robe en montant à Paris. Il y a une boutique, « Chez Colette », qui vous connaît bien... Je suis un aficionado. J'aime bien tout ce qui est mode urbaine et « Chez Colette », tu trouves un peu de tout. Je fais de la pub : j'espère qu'ils vont faire des discounts, -20 ou -30 % s'il vous plaît. C'est fun et tu trouves de tout : des gadgets, des livres sur la culture de la rue... Il y a aussi des DJ barrés qui sortent des sons pas mal. Le dernier son qui vous a marqué ? Bizarrement, c'est à New York : c'est DJ Ruckus, du rap « chelou » avec des consonances technos. « Londres, c'est pas mal » Les fringues à Paris, le son à New York. Et à Marseille, vous conseillez quoi ? A Marseille, j'ai découvert le Vieux Port et le Stade Vélodrome. Je n'y vais que pour ça car j'habite sur Aix. Sinon, il y a la Commanderie, c'est pas mal... Je n'ai pas trop l'occasion d'aller à Marseille. Vous ferez comme pour Londres, où vous avez vécu un an : vous découvrirez la ville quand vous n'y jouerez plus... Exactement, Londres, c'est pas mal. Je n'y vais pas suffisamment à mon goût mais je suis tombé amoureux de cette ville, au niveau de l'énergie que ça dégage. C'est vraiment un mix entre New York et Paris, deux villes que j'adore. A Londres, tu peux t'habiller tout en rose, on ne va pas te calculer. Tu es libre et tout est possible. Tu n'as pas quelque chose au-dessus de ta tête qui te dit que tu ne pourras pas y arriver. Tu as cette sensation que tout est possible. Istanbul, c'est une ville qui vous a plu également. Ce brassage des cultures, des religions... Oui, de par ma vie, je suis métissé alors j'aime bien tout ce qui se mélange. Là-bas, tu as la vieille ville avec les Mosquées d'un côté et d'un autre côté un Istanbul super moderne avec des buildings qui te rappellent New York. Ça se mélange. Tu as des voitures de grand luxe qui croisent des voitures pas possibles avec un tendeur pour tenir le pare-choc. J'adore, je trouve ça fun. « A la fin côté conduite, j'étais un vrai Turc » Vous qui aimez les belles voitures, où la circulation a-t-elle été la pire pour les carrosseries ? Istanbul, Londres, Paris ou Marseille ? Le plus dur, c'est à Londres. A Istanbul non car tu fais ce que tu veux : rond point à contre-sens, bande d'arrêt d'urgence. J'y ai passé deux ans : à la fin, côté conduite, j'étais un vrai Turc ! Je me suis bien intégré. Là-bas, il doit y avoir un permis mais je ne suis pas sûr que tout le monde l'ait. Je ne voyais pas de flic, c'est top... Il paraît que la circulation, c'est quelque chose. Ça vous a même obligé à retourner vivre à l'hôtel... Quand je suis arrivé, on m'a parlé du Bosphore, leurs Champs-Élysées... C'est le fleuve qui sépare les deux continents, Europe et Asie. Je voulais en profiter. Il y avait un super appartement qui avait été laissé libre par un ancien coach (Jean Tigana, ndlr), avec une super belle vue. C'était calme. Je l'ai visité en juillet-août, quand tous les Stambouliotes sont dans le sud à Antalya. Et quand j'ai commencé à emménager, autour du 25 août, avec le retour de tout le monde, le trafic a repris. J'avais l'impression parfois qu'ils étaient dans mon salon. J'avais une super belle vue mais ça faisait trop de bruit. Après deux mois, je suis allé à l'hôtel pendant trois mois le temps de trouver un endroit plus calme. Que j'ai fini par trouver d'ailleurs. De l'autre côté de la ville. Et là-bas, vous avez gagné des titres... Oui, il y a une phrase de Jo Bats qui me disait tout le temps : « Il y a une chose à la fin dont on se souvient : ce sont les titres ! » Bon, pour être honnête, il y a aussi un peu le compte en banque mais le palmarès, ça compte ! La Turquie, c'était beau mais c'était surtout la première fois que je devenais champion de mon pays. C'était top. Surtout que ça faisait un moment que Besiktas ne l'avait pas été. Tu gagnes la Coupe derrière... C'était fou. La Taksim Square, la place principale de la ville, était noire et blanche. C'était extraordinaire. Vous souvenez-vous des paroles de la chanson que le public du Besiktas vous avait composé là-bas ? Mon nom, c'est Cissé. Et là-bas, « Ciksé », ça veut dire « niquer ». Donc ils avaient une phrase qui disait : « Il vient de France, c'est le nouvel aigle et il va venir niquer Fenerbahçe ». C'est pas tellement le style de paroles de Bob Marley... Non mais ça rendait bien quand tout le stade chantait ça. C'était fun et sympa. Olivier DE LOS BUEIS football365.fr |
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26/02/2010 19:32
Message
#277
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![]() NeyBaF* ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 9,385 Inscrit : 17/01/2009 Lieu : Bandol Membre no 582 Tribune : Viré du stade |
Citation Heinze : «Ce n'est pas la guerre» ![]() Gabriel Heinze va revenir pour la première fois au Parc des Princes, dimanche avec le maillot de l'OM sur le dos. Avant la réception de Copenhague, jeudi en Ligue Europa (3-1), Gabriel Heinze a pris les devants pour venir répondre aux nombreuses questions déjà présentes dans les têtes sur le Clasico de dimanche entre l'OM et le PSG. L'Argentin, qui a passé «trois années formidables» à Paris, revient pour la première fois au Parc des Princes, depuis son départ en 2004. Il dit ne pas appréhender son retour dans la capitale. « L'important, c'est que l'OM gagne à Paris » «Les supporters parisiens doivent comprendre que je dois maintenant me concentrer au maximum pour l'OM et donner le meilleur de moi même pour gagner ce match avec mon club, a-t-il déclaré. Je connais l'importance de cette rencontre mais ce n'est pas moi Gaby Heinze qui vais jouer contre Paris, c'est l'OM qui va jouer contre le PSG. Je ne regarde pas ce qui se passe à côté. Tout ce que je sais c'est que le stade sera plein et que c'est formidable de jouer des matchs comme ça. Dimanche, l'important, c'est que l'OM gagne à Paris pour continuer la bonne série en championnat.» «Leurs mauvais résultats me font mal parce que le PSG, c'est une équipe que j'ai dans le coeur aussi.» Même s'il porte aujourd'hui le maillot adverse, Heinze reste toutefois très attaché au PSG. «Je suis à Marseille mais leurs mauvais résultats me font mal parce que le PSG, c'est une équipe que j'ai dans le coeur aussi.» C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il espère que tout se passera bien, aussi bien sur le terrain qu'en tribunes. «Ce n'est pas la guerre. C'est un match de football qui dure 90 minutes et tout le monde veut profiter de ce match, a-t-il dédramatisé. A 23 heures il n'y aura pas de mort. Il y aura une défaite, une victoire ou un match nul et c'est tout. Puis dans six mois, un autre Clasico reviendra. Il ne faut pas l'oublier.»
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27/02/2010 04:58
Message
#278
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 92 Inscrit : 10/02/2010 Membre no 1,481 Tribune : Auteuil bleu |
Citation PSG - OM : Heinze et Cissé ne sont plus les bienvenus Les supporteurs parisiens réserveront un accueil « chaleureux » aux deux anciens du PSG, devenus marseillais l’été dernier. Ils ont connu tous les deux à différentes périodes l’incroyable série de neuf matches sans défaite des Parisiens face à l’ennemi marseillais de 2002 à 2005. A tour de rôle, ils avaient déclaré leur amour éternel pour les couleurs rouge et bleu. « Objectivement, je ne pourrais pas », répondait Edouard Cissé dans les colonnes de France-Football à une question sur un transfert éventuel à l’OM. De son côté, Gabriel Heinze a affirmé à plusieurs reprises qu’il ne pouvait jouer qu’au PSG s’il était amené un jour à revenir en Ligue 1 après ses passages à Manchester United et au Real Madrid. Le 31 juillet dernier, l’international argentin trahissait sa promesse en paraphant un contrat de trois ans en faveur du club olympien. Il avait été imité quelques semaines auparavant par son ancien compère parisien, Edouard Cissé. Les deux joueurs ont disputé le match aller au Stade-Vélodrome et les Marseillais l’ont emporté sur la plus petite des marges sur une tête de… Gabriel Heinze. Le match retour de dimanche s’annonce explosif avec le retour de ces deux anciens et celui, plus anecdotique, de Fabrice Abriel. Formé à Paris, l’un des meilleurs amis de Nicolas Anelka n’a joué que deux petits matches avec le club de la capitale. Il devrait être épargné par ses anciens supporteurs qui ne rateront pas Heinze et Cissé. Le premier a énormément déçu les fidèles du Parc des Princes. Ils pourraient réserver à l’Argentin l’accueil haineux subi par Fabrice Fiorèse en 2004. L’ex-Parisien avait été hué tout au long de la rencontre. Il était protégé par des boucliers pour tirer les corners et éviter tous les objets lancés par des supporteurs enragés. « Il me donne envie de vomir » En 2006, les retours de Modeste M’Bami et Lorik Cana avaient été accompagnés des habituels sifflets et d’une banderole pleine de poésie : « Déhu, Fiorèse, M’Bami et Cana, la liste des putes s’allonge. Anigo, ouvre ta maison close. » Heinze doit s’attendre au pire car la frontière entre l’amour et la haine est souvent mince. « Ça me fera mal si les supporteurs du PSG me sifflent », a déclaré cette semaine l’Albiceleste sur les ondes de RMC. Dans les travées du Parc, Heinze est attendu d’un pied ferme. « On va le huer comme jamais. Il a marqué au match aller et il ne s’est même pas retenu. Il me donne envie de vomir. Son retour est encore pire que celui de Fiorèse car “Gaby” était notre idole. Il avait le droit de dire non à l’OM. Il n’a pas de fierté ce mec », lance Sam, 31 ans, membre des Authentiks, un groupe de supporteurs proche de la tribune Auteuil. Son copain Laurent, 26 ans, se penche sur le cas d’Edouard Cissé : « Il est mauvais et il ne jouera pas de toute façon. S’il joue, on aura plus de chances de gagner (rire). Il ne nous a même pas marqués ce joueur. Sa signature à l’OM est passée en douceur. » Pas sûr que ses retrouvailles avec le Parc se déroulent sans anicroche. Francesoir.fr |
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27/02/2010 12:53
Message
#279
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
L'Equipe.fr
Citation Fiorèse : «Un regret énorme»
Si le retour de Gabriel Heinze pour la première fois au Parc des Princes, dimanche avec l'OM, sera l'un des centres d'intérêt du Clasico, celui de Fabrice Fiorèse quelques années plus tôt avait déjà fait couler beaucoup d'encre. Parti en 2004 du PSG pour Marseille, le joueur avait ensuite été la cible n°1 des supporters parisiens lors de son premier retour dans la capitale. «J'ai vraiment senti la haine», se souvient-il samedi dans Le Figaro. «Quand je me promène aujourd'hui à Paris, des personnes me disent qu'on n'a pas trouvé mieux sur le côté droit.» Pour autant, a-t-il des regrets aujourd'hui d'avoir quitté Paris pour l'ennemi juré ? «J'aurais regretté de ne pas aller à Marseille car c'est un club qui me faisait rêver dans les années 1990, explique-t-il. Mais avec du recul, c'est un regret énorme d'avoir rejoint le club olympien à ce moment-là car j'étais en haut de l'affiche avec le PSG et je suis retombé dans l'anonymat à l'OM. (...) D'ailleurs, quand je me promène aujourd'hui à Paris, des personnes me disent qu'on n'a pas trouvé mieux sur le côté droit de l'attaque depuis mon départ.» Aujourd'hui retraité après une fin de carrière passée en Ligue 2 (Amiens et Troyes), Fiorèse regrette aussi surtout de ne pas s'être entendu avec l'entraîneur de l'époque, Vahid Halilhozdic, à l'origine de sa fuite vers la Cannebière. «Tout allait bien, sauf avec le coach. Mais je ne suis pas rancunier. Lui, oui apparemment. Je suis tombé sur lui par hasard à Courchevel quatre mois après mon départ, raconte-t-il. Par l'intermédiaire d'un serveur, je lui ai offert trois coupes de champagne. Il les a bues mais ne m'a pas remercié.» -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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27/02/2010 18:58
Message
#280
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,980 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : 92 Membre no 313 Tribune : Canapé |
Citation Halilhodzic limogé Vahid Halilhodzic a été limogé de son poste de sélectionneur de la Côte d'Ivoire, a annoncé le président de la Fédération ivoirienne (FIF), Jacques Anouma, samedi à la télévision nationale. «J'ai mis fin ce samedi à 13H00 au contrat de Vahid Halilhodzic parce que l'un des objectifs qui lui ont fixés n'a pas été atteint : celui de remporter la Coupe d'Afrique des nations 2010», a-t-il expliqué. Si aucun nom n'a officiellement été avancé pour sa succession, Jean-Marc Guillou a déjà fait savoir qu'il était intéressé par le poste, tandis qu'Eric Gerets a, de son côté, révélé avoir été approché par les dirigeants ivoiriens, sans pour autant donner suite à leurs avances. De source néerlandaise, un accord aurait déjà été trouvé avec Guus Hiddink afin que l'ex-sélectionneur russe dirige la Côte d'Ivoire à la Coupe du monde. Cet accord ne remet pas en question la mission qu'Hiddink a acceptée auprès de la Turquie. Elle débutera à la rentrée. L'equipe.fr |
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