Mangasses et animation Options

[Dirty]

C'est si vieux que ça...
L'histoire est terminée ?

Non c'est encore en cours mais on approche de la fin.

[Rjay]

Non c'est encore en cours mais on approche de la fin.

Thanks.

La saison 2 finit sur

Spoiler :

Thorfinn qui rentre en Islande et a son projet d'aller créer Vinland. Il y a beaucoup de choses après ça dans le manga ?

Pas trop compris la séquence de fin qui passe sur différents personnages.

[Dirty]

Thanks.

La saison 2 finit sur

Spoiler :

Thorfinn qui rentre en Islande et a son projet d'aller créer Vinland. Il y a beaucoup de choses après ça dans le manga ?

Pas trop compris la séquence de fin qui passe sur différents personnages.

J'ai pas encore regardé la saison 2 mais d'après ce que tu dis, ça doit être tome 15 sur 26 soit la grosse partie "calme" du manga.
Pas envie de te spoiler donc je vais rien dire mais juste que la saison 3 va être un plus musclée et j'espère qu'ils vont la conclure sur la fin du tome 26
Mais ça fera 10/11 tomes a mettre en 1 saison, pas sur que ça passe si ça garde le même nombre d'épisodes.

[Rjay]

Merci j'ai hâte mais certain qu'on va attendre cent ans la suite

[succo]

https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Takeh...-ma-vie/1409582



Si une âme charitable pouvait poster cet entretien ce serait bien urbain.

[tlemcen322]

Dégouté qu'il reprenne pas Vagabond d'ailleurs...

[Alex177]

https://www.lequipe.fr/Basket/Article/Takeh...-ma-vie/1409582



Si une âme charitable pouvait poster cet entretien ce serait bien urbain.

Spoiler :

Takehiko Inoue, réalisateur de « The First Slam Dunk » : « Le basket est l'essence de mon manga et la force motrice de ma vie »
Vingt-six ans après la dernière planche de « Slam Dunk », le dessinateur japonais Takehiko Inoue a adapté son manga culte au cinéma. « The First Slam Dunk » débarque en France ce mercredi après avoir cartonné en Asie. Entretien avec son créateur, qui a enfilé la casquette de réalisateur.

Cent soixante-dix millions d'exemplaires écoulés à travers le monde, dont 120 au Japon, des générations d'adeptes, une adaptation en série, quatre films d'animation pour la télé, des jeux vidéo... plus qu'un manga à succès, l'un des dix plus vendus de tous les temps, Slam Dunk est un véritable phénomène de société au pays du Soleil levant. Son auteur, l'illustre Takehiko Inoue, y a reçu les honneurs de la Fédération nationale de basket (JBA) pour avoir contribué à la popularisation de la discipline dans les années 1990. Vingt-sept ans après la parution des dernières planches dans le magazine Weekly Shonen Jump, les aventures (en 31 tomes) de Sakuragi Hanamichi - un ado rebelle qui se met au basket pour séduire une fille - et de sa bande de potes du lycée de Shohoku continuent de passionner les lecteurs (Slam Dunk reste le manga de sport le plus vendu) et de rythmer la vie d'Inoue, 56 ans, qui s'est enfin laissé convaincre de relever le défi d'une adaptation sur grand écran.

À la fois scénariste et réalisateur, il n'a rien laissé au hasard dans The First Slam Dunk, un bijou de réalisme et de poésie plus sombre que son manga culte. Après le carton en Asie, et notamment au Japon où il est toujours à l'affiche sept mois après sa sortie, le film débarque dans les salles françaises ce mercredi, avec la voix de Jacques Monclar dans la VF. Rare en interview, Inoue a répondu par écrit aux questions du Mag.

Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous lancer dans l'aventure de ce film ?
La raison fondamentale derrière la réalisation de ce film est la gratitude envers toutes les personnes qui ont été en contact avec l'oeuvre Slam Dunk au fil des années, ainsi que le désir de leur apporter de la joie à travers ce projet. J'ai ressenti la passion de l'équipe de production, qui a travaillé dur pendant plusieurs années pour créer différentes versions de la bande pilote. Lorsque j'ai vu la dernière version de cette bande, j'ai senti l'âme de la personne qui avait créé le visage de Sakuragi, et c'est la raison qui m'a motivé à m'investir dans le projet pour lui donner forme. Même si je savais que cela représenterait un grand défi.

À quel point vous êtes-vous investi ?
J'ai commencé par développer des idées et dessiner des story-boards, comme si je créais un nouveau manga. En tant que réalisateur, j'ai travaillé en collaboration avec l'équipe pour concrétiser ma vision de l'oeuvre. Nous avons expérimenté et exploré différentes approches tout au long du processus. Finalement, cela a nécessité six ans de dévouement, soit autant de temps que lorsque j'ai travaillé sur la série Slam Dunk en tant que mangaka.

Le film n'est pas une adaptation pure et dure du manga. Il est plus sombre, centré sur la figure de Miyagi Ryota, un jeune lycéen qui joue au basket pour poursuivre le rêve de son frère disparu en mer... Qu'avez-vous cherché à raconter de différent avec « The First Slam Dunk » ?
Lorsque j'ai réfléchi à ce que dessiner Slam Dunk signifierait pour moi aujourd'hui, certaines idées ont émergé : la part d'ombre qu'on peut dissimuler sous une carapace, les pertes, les douleurs et le fait de vivre avec ses souffrances au quotidien, ainsi que le courage de faire un pas en avant pour s'en sortir. Avancer malgré la douleur, briser cette carapace, c'est le propos du film, qui dépasse l'histoire de Ryota. J'ai ressenti un désir fort de dessiner Slam Dunk sous un autre angle, que je suis capable d'exprimer à présent. Cette perspective donne un sens à ce que je fais aujourd'hui.

Vous êtes vous-même un passionné de basket, et vous vous étiez naturellement inspiré de vos années de joueur au lycée pour l'écriture de « Slam Dunk ». À quel point l'histoire du film, plus sombre donc, fait-elle écho à votre propre vie ?
Je ne retranscris pas mes propres expériences directement dans mes oeuvres, mais comme beaucoup de gens j'ai moi aussi connu des rencontres, des séparations, des pertes et des douleurs au fil des ans. C'est sans doute la raison pour laquelle mon envie d'encourager, tout en restant dans l'ombre, les personnes qui traversent des périodes difficiles a grandi en moi.

Ce qui frappe dans le film, au-delà du scénario, c'est le réalisme des images de jeu. Comment êtes-vous arrivé à un tel résultat ?
Je savais qu'il serait impossible d'exprimer le mouvement des dix joueurs se déplaçant sur le terrain de manière désordonnée sans utiliser la motion capture. Nous nous sommes donc servis de cette technique comme base. Mais cela ne suffisait pas à donner vie à l'image. Nous avons dû ajouter des éléments. Par exemple, nous nous sommes efforcés de représenter des détails subtils tels que la façon de poser les pieds, la réaction du corps lors de la réception du ballon ou encore le timing de déclenchement des tirs, afin de refléter fidèlement l'essence du basket que j'ai moi-même vécu et gardé en mémoire.

Il paraît que certains membres de l'équipe de production ont même appris à jouer au basket spécialement pour le film...
Effectivement. Comme tout le monde n'a pas d'expérience en basket, je m'inquiétais de la façon dont nous pourrions transmettre les subtilités des mouvements. J'ai été impressionné quand j'ai appris que certains membres de l'équipe de production avaient suivi des cours de basket. Je pense que ces efforts se reflètent également dans l'oeuvre.

Scénariste, vous l'étiez déjà en tant que mangaka, mais on ne devient pas réalisateur de films en claquant des doigts. Quels obstacles avez-vous rencontrés entre le moment où vous avez donné votre feu vert au projet, en 2014, et la sortie du film en décembre 2022 ?
Lorsque je dessine des mangas, je suis responsable de tout. Les dessins que je crée deviennent le manga. Bien sûr, j'ai des assistants, mais la partie la plus importante, le coeur du processus créatif, je la garde pour moi, secrète. C'est ma façon de travailler. Pour les films, ce n'est pas aussi simple. Cela m'a causé du stress de devoir tout expliquer à l'équipe pour donner vie au projet, de confronter mes idées à celles de mes collaborateurs à chaque étape, parce qu'à la base de ma création il y a le désir de surprendre les gens. Cela dit, c'était vraiment gratifiant d'apprendre à travailler avec une équipe élargie et de voir que le résultat final était à la hauteur de tous ces efforts.

« Slam Dunk » est réputé pour avoir contribué à populariser le basket au Japon dans les années 1990, et le pays s'apprête à accueillir le Mondial pour la deuxième fois de son histoire à la fin de l'été (25 août-10 septembre), avec en chefs de file les joueurs NBA Rui Hachimura et Yuta Watanabe. Diriez-vous pour autant que le Japon est devenu un pays de basket ?
Le basket japonais est en pleine croissance. C'est la période de développement la plus dynamique que nous ayons connue jusqu'à présent.

Quelle place le basket occupe-t-il dans votre vie aujourd'hui ?
Il n'y a rien de comparable et je garde le basket dans un endroit spécial de mon coeur. Je l'ai découvert à l'âge de 15 ans quand j'étais lycéen, et c'est à partir de là que j'en suis devenu passionné. J'étais un joueur ordinaire, de petite taille, mais les expériences et la joie que j'y ai ressenties sont devenues l'essence de mon manga (Takehiko Inoue a aussi consacré une série au basket fauteuil, « Real ») et la force motrice de ma vie.

Continuez-vous à jouer ?
Ces derniers temps, je ne fais que des tirs. Je ne peux pas tenir tout un match à cinq contre cinq, je perds mon souffle rapidement. (Il rit.)

En 2010, vous disiez dans une interview au « Los Angeles Times » vouloir « rendre au basket » ce qu'il vous avait donné. Vous veniez à l'époque de créer la « bourse Slam Dunk » pour aider les apprentis basketteurs japonais qui le souhaitaient à poursuivre leur cursus aux États-Unis. Que sont devenus les bénéficiaires de cette bourse ?
Certains ont réussi à décrocher leur diplôme universitaire après s'être efforcés de concilier le basket et les études aux États-Unis, et d'autres sont en train d'y poursuivre leur scolarité. Il y en a aussi beaucoup qui reviennent au Japon et s'épanouissent dans la ligue de basket professionnelle, la B.League (née en 2015 de la fusion de deux ligues rivales après l'intervention de la Fédération internationale). Certains ont même été sélectionnés pour le All-Star Game.

[succo]

Děkuji Alex

[Tchoune]

Les premières images de Lazarus.
Watanabe = Empereur. Ça ne change pas.

Edit : le trailer en question :

[St_Raphael9]

J’ai finis de lire la Pierre et le sabre et la Parfaite lumière quel plaisir j’ai pris ! Je vous remercie pour la recommandation !

[becker19]

Gros événement aujourd'hui avec tous les épisodes de la série live action de one pièce disponible dès maintenant !!!

J'espère que ça va être une réussite...

[Ravié]

Gros événement aujourd'hui avec tous les épisodes de la série live action de one pièce disponible dès maintenant !!!

J'espère que ça va être une réussite...

Après 2 épisodes ça sent quand même très bon déjà pour une reconduction selon moi. Pas de trucs trop cheap pour le moment à part la coupe d'un perso mineur.
La plupart des persos sont très bien castés et les rares blagues sont réussies.

[Oyé Sapapaya]

https://twitter.com/MangakaSelim/status/1698874345815257161?t=gtCRRwL5SHTsOI3t4mbDUg&s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Fc épilepsie le Joy boy

[Ashura]

J'ai tellement de retard sur OP, je savais pas qu'il avait débloqué l'ultra instinct lui aussi ça rend chelou avec les bruits Tex Avery par contre.

[Oyé Sapapaya]

J'ai tellement de retard sur OP, je savais pas qu'il avait débloqué l'ultra instinct lui aussi ça rend chelou avec les bruits Tex Avery par contre.

Baaa le Gear 5 en gros c’est Luffy en mode cartoon, j’avais trouvé le move couillu.

[Yessod]

Ces doublages font telmement cheap

Pourtant Gear 5 c'est ça

[Osiris]

y'a un jeune animateur français qui est dans l'équipe sur ces épisodes gear 5 en plus. Le souci reste le choix de découpage des épisodes, ça traîne beaucoup trop

[mest]

Je viens de m’enchaîner les 8 épisodes du live action.

Je me suis bien laissé prendre, c’est pas trop cheap et assez fidèle (en tout cas à mes souvenirs, parce que le début du manga ça commence à dater).

Je ne sais pas si c’est reconduit, mais il faudrait des années pour aller au bout. Presque un peu dommage en fait, j’imagine que la proba que ça aille au bout est nulle.

[becker19]

Bon apparemment les scripts de la saison 2 sont terminés. Il faudra attendre le feu vert de la plateforme et la grève aux usa se terminent

[Zivan]

J'ai trouvé l'animation du pouvoir de Luffy assez moyenne donc je me demande comment ils vont faire par la suite (et si tu fais 5-6 saisons, l'age de l'acteur de Luffy posera question)