[Légende] Presnel Kimpembe, LA FORCE Options

[Oyé Sapapaya]

https://twitter.com/S_Parisien/status/1386612403895521280?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Ah

[ATwoZe]

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Ah

Il est dans une sauce

[Azel]

Julien Courbet, grand supporter des Girondins. Je me demande si c’est le père de Presnel qui a contracté un emprunt auprès du FCGB et qui les a mis dans la situation que l’on connait.

[Inaman]

Julien Courbet, grand supporter des Girondins. Je me demande si c’est le père de Presnel qui a contracté un emprunt auprès du FCGB et qui les a mis dans la situation que l’on connait.

Tout ça pour les mettre en faillite avant la fin du championnat. Plan B pour être champion. Quel génie !

[Tonio]

https://twitter.com/EspoirsduFoot/status/1387296632434270210?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Quelqu'un aurait-il ça svp ?

[xo157]

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— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Quelqu'un aurait-il ça svp ?

Désolé sur mon portable, pas le temps de réformater:


Kimpembe, une histoire parisienne

Arrivé au PSG à l'école de foot, le défenseur, discret, taiseux et jamais perçu comme un grand espoir, est devenu, en une décennie, une figure du club. Au fil d'une construction parfois chaotique et d'une évolution étonnante.

Les grandes histoires naissent parfois à l'arrière d'un bus. Peut-être est-ce là, sur l'un des sièges du numéro 27 - dans celui qui relie Saint-Germain-en-Laye à Éragny - que Presnel Kimpembe a rêvé de la sienne. Ce trajet, qui le ramenait du Camp des Loges à chez lui, dans le Val-d'Oise, le défenseur du PSG l'a emprunté des centaines de fois, matin et soir. Le quotidien d'alors apparaît immuable : réveil vers 6 h 30, ces quelques centaines de mètres depuis l'appartement familial pour aller chercher le 27, ces minutes ensommeillées et la forêt de Saint-Germain-en-Laye qui, après vingt-cinq minutes de marche, laisse apparaître le centre de formation du PSG. À quoi pense-t-il alors au cours de ces longs allers-retours dans ce bus ou la camionnette paternelle ? Sans doute pas à une demi-finale de Ligue des champions sous les couleurs parisiennes...

Dans ce vestiaire de stars, composé de surdoués, la trajectoire sinueuse de Presnel Kimpembe (25 ans) interpelle. Oui, il y a une anomalie à voir cet ex-adolescent fluet, taiseux, longtemps perçu comme un joueur quelconque, devenir une décennie plus tard, champion du monde avec les Bleus et vice-capitaine du PSG. « C'est la plus belle et plus grande surprise de ma carrière, lâche un décideur parisien de l'époque. Presnel, dans notre esprit, allait devenir un joueur de Ligue 2. Depuis, j'ai appris à être plus prudent dans mes jugements. »

Kimpembe a passé les dix dernières années à mettre des crochets à l'histoire. Dès le départ. Car quand il débarque à l'école de foot du PSG à l'âge de 9 ans, les éducateurs voient arriver un tout petit latéral gaucher intense qui n'aime guère prendre son couloir. Un petit Patrice Évra de 40 kg, les « I love this game » (*) en moins. Au milieu des Ferland Mendy et Kingsley Coman, celui qui est déjà, pour ses potes, « Presko » se fait une place discrète. Taiseux, travailleur, souriant mais sans talent incroyable. Voilà le Kimpembe de l'époque. « Les images qui me reviennent de Presnel, ce sont ses petites cannes toutes fines, avec ce caractère discret, respectueux, se souvient Cédric Cattenoy, le directeur à l'époque du centre de pré-formation de Verneuil (Yvelines). Ce qui me frappait, c'étaient ses grands yeux lorsqu'on lui parlait. Il vous fixait et il absorbait tout. »

Une simple convention de formation comme protection contractuelle

Le travail ne suffit pas. Et à 14 ou 15 ans, quand les premiers contrats (aspirant, stagiaire...) sont proposés, le modeste défenseur reste en rade. Oui, pour une entrée au centre de formation mais compte tenu de la proximité du domicile familial et du peu de garanties sportives, ce sera en externe. Avec, comme protection contractuelle une simple convention de formation. « Dans ces moments-là, il avait toutes les raisons pour basculer dans le "c'est trop dur, il y a le bus, les entraînements", souffle un témoin de l'époque. Tu es au centre de formation et en même temps, tu n'y es pas. Quand les enveloppes des fiches de paie sont données et que toi, tu es l'un des seuls à ne pas en avoir, tu fais quoi ? » Kimpembe intériorise. Il visite, un été, les installations du Mans mais reste fidèle au Camp des Loges.
Le long de la main courante, les scouts viennent pour les « stars » de la génération 1995 : Ongenda, Rabiot, Maignan. Et Kimpembe ? Connais pas... « Il avait cette volonté de réussir à la Mamadou Sakho, se souvient Thierry Morin, le directeur du centre de formation des apprentis (l'équivalent d'un proviseur). Il ne se plaignait jamais. Il n'avait pas de contrat mais c'est comme s'il l'avait intégré et qu'il se nourrissait de ça pour avancer. Il était toujours positif et avenant avec tout le monde, Presnel. Un garçon toujours heureux d'être là, sans manière. »

Au centre, côté sportif, les regards sont lointains. Peu d'entraînements, de tournois, pas de sélections France. La croissance express et les blessures qui l'accompagnent éloignent un peu plus Kimpembe d'une carrière au haut niveau. L'école s'arrête en 1re STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). « Quand il est venu me dire qu'il arrêtait. Il s'était toujours accroché en cours. Là, je le sentais gêné, se souvient Thierry Morin. Je me posais des questions mais en même temps, quand je parlais avec les entraîneurs, ils me disaient : "Ce n'est pas le plus doué, mais il nous apporte toujours quelque chose" ».

Parmi les décideurs, au-delà du niveau, on ne cerne pas toujours cette personnalité qu'on perçoit comme trop « fermée ». « Si c'est un gamin qui avait causé des problèmes, le sportif ne l'aurait pas sauvé, se souvient Bertrand Reuzeau, le directeur du centre de formation du PSG de l'époque, en poste désormais à l'AS Monaco. Mais il n'avait jamais d'état d'âme, ne revendiquait rien. Il bossait, avec discrétion. » Les années filent. 16, 17, 18 ans... Toujours rien. Ou pas grand-chose. Kimpembe a quitté le domicile familial, sa mère et ses trois frères et soeur, pour s'installer avec la comète Kingsley Coman à Saint-Germain-en-Laye (voir encadré).

La bascule : son recentrage dans l'axe avec la réserve du PSG, en 2014

Les mois passent, les paliers avec. La vraie bascule se situe sans doute en réserve en 2014. Régulièrement replacé dans l'axe par l'entraîneur David Bechkoura, Kimpembe grandit. « Ce passage lui a fait du bien, d'un point de vue sportif mais aussi dans l'affirmation de sa personnalité. Ce côté leader ne demandait qu'à éclore. Ces mois-là lui ont permis d'exister par le foot vis-à-vis des autres », poursuit Bertrand Reuzeau.

La grande tige prend de l'épaisseur. En mars 2015, quelques mois après une première apparition en Ligue 1, le PSG le fait signer son contrat pro. À la charte (autour de 2 500 euros mensuels). Histoire, sans doute, dans un club traumatisé par le départ de Coman à la Juventus Turin à l'été 2014, de ne pas avoir de regrets. Cette signature est vécue comme une libération : « Il n'avait pas dit à sa maman pourquoi elle était dans les bureaux. Quand elle a compris, il y a eu des pleurs. Je me suis toujours dit, qu'au-delà de son envie à lui, c'était pour elle qu'il s'était accroché toutes ces années », se souvient son conseiller François Gil. Dans le vestiaire pro des Thiago Silva, Ibra et Thiago Motta, « Presko » se fait discret. « Il ne s'est pas intégré que par le terrain mais aussi par son attitude. Presnel, c'est quelqu'un qui observe, à l'écoute, naturel. Il a observé. Le groupe l'a intégré », glisse un témoin de l'époque, séduit par ce gamin « qui refusait toute défaite dans les oppositions et qui donnait l'impression tout en respectant les stars, de ne pas en avoir peur ».

Lors des premiers mois, les séances individuelles avec David Luiz donnent de l'épaisseur à l'apprenti axial. Après avoir goûté aux sélections de jeune de la RD Congo (*), Kimpembe revêtit, pour la première fois, le maillot des Bleuets lors du tournoi de Toulon à l'été 2015. Des prestations solides qui suscitent l'intérêt de Monaco. C'est à ce moment-là qu'à Paris, les regards changent vraiment. Dans une période où les « titis » quittent le PSG, il incarne le symbole d'un espoir qui s'installe et plaît aux dirigeants qatariens.

Son destin chez les pros parisiens bascule face au Barça de Messi

Avec Unai Emery, les saisons à quinze ou vingt matches s'enchaînent. Son destin parisien bascule une nuit de février 2017... Une soirée dorée face au FC Barcelone (4-0) où il musèle Lionel Messi : « À l'époque, on lui avait dit : "attention, Presnel, ça va devenir plus difficile, on va t'attendre", explique-t-on dans son entourage. Il nous avait répondu : "Si j'ai été capable de le faire une fois, je le referai" ». Kimpembe y parvient. Les regards de Thiago Silva deviennent moins complices sur ce gamin devenu concurrent. Les relations avec Thomas Tuchel se rafraîchissent quand Presko, devenu cadre et rouage important dans l'intégration des titis, perçoit une inégalité de traitement en fonction des statuts.

Le cauchemar de Manchester United (sa main provoque le penalty de l'élimination ; 2-0, 1-3) et sa pubalgie de l'été 2019 le poussent à restructurer sa préparation. « Il a été touché par cette période, parce qu'il a senti ce match comme une injustice. Il a ressenti ce besoin de parler (à travers une vidéo). C'était comme un cri du coeur », analyse son agent Julien Merceron. Des épreuves personnelles (naissance d'un enfant prématuré) et le drame Jordan Diakiese participent à la mue de l'ambianceur Kimpembe. Devenu vice-capitaine depuis l'an dernier, il trace sa route.

L'étiquette d'espoir a valsé depuis longtemps. Son parcours le ramène pourtant souvent au centre de formation. Comme un pèlerinage. Il y a quelques années, il y était retourné, le temps de quelques heures et d'une distribution : « Il était arrivé avec sa pile de maillots, il en a donné à tout le personnel du centre, se souvient Thierry Morin. C'est le seul joueur à avoir fait ça. Je ne le dis pas pour tout le monde. Mais lui s'est battu deux fois plus que d'autres, et lui mérite de réussir. »

Coman : « Presnel, un leader par les actes »


Kingsley Coman, l'attaquant du Bayern Munich, très proche de Kimpembe depuis l'âge de 9 ans, revient sur le parcours de son « frère ».
« Quels souvenirs gardez-vous de votre enfance commune ?
Presnel, ça a toujours été un "motivateur", un leader. Il a toujours tout donné sur le terrain. Il taclait à chaque fois. Et pourtant, quand on était petits, on était un peu plus frêles que les autres (rires). Ce n'était pas la bête physique qu'il est maintenant.
De 13 à 19 ans, il a eu une trajectoire compliquée, avec des blessures, un niveau sportif qui interrogeait. L'avez-vous vu douter ?
C'était difficile parce qu'il n'était pas dans les meilleures dispositions. Comparé aux autres. Après, je n'ai pas senti un doute. Parfois, ce sont des choses qu'on garde pour soi mais ce qui est sûr, c'est qu'il a toujours été travailleur, super sérieux. Il a toujours tout donné. C'est ça qui en a fait ce qu'il est aujourd'hui.
Il ne vous parlait pas de son statut ?
Non, pourtant, on partageait beaucoup de trucs. Je n'ai jamais senti qu'il ressentait un doute par rapport à son avenir. Peut-être qu'il intériorisait beaucoup. C'est vrai que quand on était jeunes, il ne faisait pas partie des "phénos" mais il a toujours eu ce sérieux, un bon niveau. Le fait qu'il ne soit pas en équipe nationale, quand on est petits, c'est une démarcation. Mais sincèrement, avec son travail et son niveau, j'ai toujours su que c'était possible. Dire qu'il allait être capitaine du PSG et en équipe de France, forcément non, mais il a toujours eu le sérieux.
Vous avez été colocataires à une période où vous faisiez vos premières apparitions en pro. Comment cela se passait-il ?
C'était une super expérience pour nous. Lui, il venait de prendre son appart. Je suis venu un peu après. Je n'étais pas encore majeur. C'était limite mon tuteur légal (rires). Il m'a beaucoup aidé à m'extérioriser, à avoir d'autres centres d'intérêt que le foot. On était plus heureux dans la vie donc on était meilleurs au foot. On était déjà proches mais après ça, on est devenus deux frères. Je lui suis redevable à vie de m'avoir accueilli. Je me souviens, il avait eu un virus qui l'a obligé à aller à l'hôpital, je lui ramenais tous les jours le petit-déjeuner. Je voulais lui montrer que j'étais présent pour lui, comme il l'était pour moi.
À quel moment avez-vous senti un déclic qui pouvait lui permettre d'atteindre le haut niveau ?
Ça a été progressif. Tous les trois ou six mois, il sentait une progression. Après, le vrai basculement, c'est le match contre le Barça qui l'a mis en lumière (4-0 en huitièmes de finale aller de la C1 en février 2017).
Kimpembe, pour le grand public, c'est surtout un ambianceur. Mais qui est-il vraiment ?
Oui, il y a ce côté ambianceur. Quand on était jeunes, on disait que c'était le cameraman (rires). Mais ce n'est pas que ça. C'est un leader. Pas tout le temps par la parole mais par les actes. Il fait toujours partie de ces joueurs prêts à tacler, même avec la tête s'il le faut. Forcément, en pro, ça vient avec le temps. Quand tu as 19 ou 20 ans et que tu te retrouves avec des stars mondiales, même si tu es un leader, tu ne peux pas te permettre de le montrer. Je sais que c'est quelque chose qui lui a tenu à coeur : pouvoir dire ce qu'il pense et être vraiment important dans l'équipe. C'est un "titi", iI aime le PSG plus que tout, il a toujours souhaité influer sur le club. Maintenant, il a vraiment la position pour le faire, il est très heureux, il fera tout pour l'aider à grandir. »

[Parisian]

Merci

[Azel]

Merci, un bel article pour un joueur qui est un exemple de travail et d'abnégation.

[Tonio]

Merci a toi et à Sahara aussi, super article.



Abdel et Presnel

[Daaz]

Très bel article
Merci pour le partage.

[Zul]

merci ! ça fait passer le temps de cette longue journée

[NainSG]

Coman, Rabiot, Ferland Mendy, Maignan... On a quand même eu de super générations et au final on en aura assez peu profité.

[Alchemist]

Quand je lis cet article (et merci du partage) ça me fait presque mal au coeur de le voir autant dénigré sur le forum... Vrai titi, vrai soldat, grosse force mentale. Pas le meilleur de l'effectif certes mais rien que pour son amour pour le blason (et y'en a peu qui l'ont) et que ce soit un local il mérite un traitement de faveur.
Lâche rien bonhomme sors nous un gros match.

[Malédiction]

Merci pour l'article, ça fait plaisir à lire.

Un vrai titi comme on les aime.

J'aimerais beaucoup qu'il bosse à fond pour marquer des buts sur CPA. Il en a le potentiel et ça nous ferait un bien fou sur tous ces matchs qu'on a du mal à débloquer.

[Maboune]

Quand je lis cet article (et merci du partage) ça me fait presque mal au coeur de le voir autant dénigré sur le forum... Vrai titi, vrai soldat, grosse force mentale. Pas le meilleur de l'effectif certes mais rien que pour son amour pour le blason (et y'en a peu qui l'ont) et que ce soit un local il mérite un traitement de faveur.
Lâche rien bonhomme sors nous un gros match.

+1
On est là à cracher sur les jeunes qui partent sans respecter le club mais on se permet d'insulter des gamins comme lui qui ont le club dans le cœur.
Même s'il fait des dingueries par moment, je le respecterai toujours pour son état d'esprit et sa loyauté. Et même son attitude avec les jeunes est exemplaire.

Super portrait en tout cas.

[Masika]

Y'a plus qu'à espérer qu'il nous fasse pas un dinguerie ce soir, sinon l'article sera aux oubliettes à 23h00.

[witchfinder]

Y'a plus qu'à espérer qu'il nous fasse pas un dinguerie ce soir, sinon l'article sera aux oubliettes à 23h00.

Ou pas

[Falcacao]

Très bel article. effectivement comme dit plus haut, un état d'esprit irréprochable et une volonté de toujours faire plus.
Espérons qu'il continue à franchir des paliers.

[Julien3]

Quand je lis cet article (et merci du partage) ça me fait presque mal au coeur de le voir autant dénigré sur le forum... Vrai titi, vrai soldat, grosse force mentale. Pas le meilleur de l'effectif certes mais rien que pour son amour pour le blason (et y'en a peu qui l'ont) et que ce soit un local il mérite un traitement de faveur.
Lâche rien bonhomme sors nous un gros match.

Je suis nouveau mais je vous lis depuis longtemps, il est pas non plus tout le temps défoncer je trouve. Il bénéficie, à l'inverse, de personnes qui en font beaucoup plus parce que c'est un titi. Comme tu le dis c'est un traitement de faveur.

Ce que j'apprécie chez lui c'est qu'il l'a toujours fermé par rapport à son statut (cf d'anciens...), que même s'il a fait de la merde après un titre de CDM il est revenu l'année passée à un gros niveau pour sortir une gros top 8 (sa saison aussi dans l'ensemble). On peut pas en dire autant par contre de sa LDC d'un point de vue individuel cette année.

Y'a des hauts et des bas chez lui, j'attends encore qu'il franchisse des paliers. Ce soir j'espère qu'il va nous sortir un gros match, on sait qu'il en est capable, ça irait dans ce sens. Je veux pas voir le Kimpembé qui se fait manger par Choupo par ex ou qui se rate n'importe comment.

[NainSG]

Y'a des hauts et des bas chez lui, j'attends encore qu'il franchisse des paliers. Ce soir j'espère qu'il va nous sortir un gros match, on sait qu'il en est capable, ça irait dans ce sens. Je veux pas voir le Kimpembé qui se fait manger par Choupo par ex ou qui se rate n'importe comment.

J'espérais aussi qu'il deviendrait plus régulier et gommerait ses défauts (lecture du jeu, jeu dans son dos, fautes de concentration) et même s'il est encore jeune, je pense qu'il gardera ça tout au long de sa carrière à l'instar d'un David Luiz.

Mais même comme ça, il est précieux et rarement blessé, ce n'est pas le 1er problème du 11 titulaire.