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[Club] Revue de presse, Seulement les articles de la presse, aucun commentaire
Dubdadda
posté 08/07/2009 21:31
Message #881


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Y. Bertucci : « Réaliser les efforts ensemble »

Yves Bertucci a été récemment désigné entraîneur adjoint par Antoine Kombouaré. Présentation de l’ancien entraîneur du Mans depuis Port-Crouesty.

Yves, vous venez d’intégrer le staff technique du Paris Saint-Germain. Quel a été votre parcours avant votre arrivée au PSG ?

« J’ai été joueur professionnel, en Ligue 2. Ensuite, j’ai commencé ma carrière d’entraîneur à Tours pendant deux saisons où je me suis occupé de la réserve. Puis, durant dix saisons, j’ai pris en charge le centre de Formation du Mans. Après la formation, je suis devenu entraîneur principal du MUC 72 et je suis resté à l’intérieur du staff jusqu’à la fin de saison dernière. »

Comment se passent vos premiers pas au PSG ?

« On apprend à se connaître avec les autres membres du staff. Je ne connaissais pas Antoine Kombouaré et j’ai été flatté qu’il me contacte pour me prendre comme adjoint. Tout le staff est nouveau et à travers ce stage à Port-Crouesty, nous apprenons à travailler ensemble. »

Comment se sont déroulés les premiers contacts avec le groupe professionnel ?

« Très bien ! Nous avons été très bien accueillis, que ce soit par les joueurs, par les dirigeants ou les salariés lors d’une réception au Parc des Princes. Après, ce qui est important à cette période, c’est de bien travailler en faisant attention aux blessures. Il faut que le groupe vive bien. »

Quels sont les objectifs de ce stage à Port-Crouesty ?

« Dans un premier temps nous allons donc travailler physiquement avant d’aborder la partie technique. Antoine a déjà commencé à mettre en place l’aspect tactique. Ce stage permet également de définir une vie de groupe : apprendre à se connaître, à travailler et réaliser les efforts ensemble. »


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Iaropolk14
posté 09/07/2009 08:08
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Sessegnon : « Je n’ai jamais voulu partir »

Annoncé partant cet été, Stéphane Sessegnon a prolongé d’un an hier son contrat avec le PSG. A la clé : une revalorisation salariale conséquente. Il est désormais lié au club de la capitale jusqu’en 2013. Après la prolongation de Guillaume Hoarau il y a quelques semaines, Sébastien Bazin a ainsi réussi à conserver ses deux meilleurs éléments.
Le milieu parisien, qui doit rejoindre ses coéquipiers en stage à Port-Crouesty dans quelques jours, nous confie ses premières impressions.


Les négociations concernant votre prolongation de contrat ont été longues et difficiles. Avez-vous douté ?

Stéphane Sessegnon. Elles ont été longues peut-être parce qu’en juin, j’étais avec ma sélection (NDLR : avec le Bénin) et donc pas tellement disponible. L’important aujourd’hui, c’est qu’on soit tombés d’accord. Je suis soulagé. Cette prolongation me tenait vraiment à coeur. Je n’ai jamais voulu partir. Je suis aussi très heureux que le club ait manifesté cette envie de me garder et reconnaisse mon travail.

S’il n’y avait pas eu d’accord, seriez-vous parti cet été ?

J’ai eu quelques propositions. Mais une partie de moi voulait rester à Paris. Je n’ai pas encore fini mon travail ici. Je ne partirai qu’après avoir gagné un titre avec le PSG. Par ailleurs, j’ai la conviction que nous allons faire une bonne saison.

Pourtant, cette année, il n’y aura pas de Coupe d’Europe…

C’est embêtant, c’est vrai. J’étais vraiment déçu par notre fin de saison, cela m’a beaucoup touché. Mais c’est peut-être un mal pour un bien. Cela va nous permettre de nous concentrer sur le championnat et d’être plus performants.

Quel regard portez-vous sur le recrutement du PSG ?

Le club a bien travaillé. On a gardé l’ossature de l’équipe tout en se renforçant avec des hommes aussi importants que Coupet, Erding et Jallet. Ces trois joueurs vont nous apporter leur fraîcheur, leur talent et leur expérience. On est plus forts que l’année dernière. Si on partage tous la même envie, on fera de très belles choses.


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Mamadou Sakho, un cadre de 19 ans

Les vacances ont été courtes pour Mamadou Sakho. Pendant que ses partenaires parisiens s’adonnaient déjà au farniente, il disputait avec l’équipe de France Espoirs le tournoi de Toulon (défaite en finale contre le Chili (1-0) . Au final, il n’a bénéficié que de deux jours de repos supplémentaires avant de rejoindre Port-Crouesty dimanche.
Le jeune défenseur central du PSG attend beaucoup de cette saison, même s’il appréhende, avec la timidité de ses 19 ans, sa première discussion avec le nouvel entraîneur Antoine Kombouaré. « Je le regardais de loin quand j’avais 14 ans et qu’il dirigeait la réserve du PSG, se souvient-il. Pour moi, c’était un monsieur et je n’osais pas lui adresser la parole. Il m’impressionnait tant. J’espère qu’il compte sur moi pour cette saison. »
De ce côté-là, il n’a pas à s’inquiéter. Sakho est un des hommes clés du collectif de Kombouaré. Vis-à-vis de ses coéquipiers, il a aussi gagné ses galons : « J’ai gagné le respect, car j’ai été à l’écoute et je ne me suis jamais plaint, note-t-il. Les autres ont vu que j’étais dur au mal. En 2008, j’ai joué la finale de la Coupe de la Ligue avec le nez cassé. La saison passée, j’ai fait des matchs avec une pubalgie et d’autres, sous infiltration, avec une cheville en feu. Et personne ne m’a entendu. »

« Je cherche à être digne de mon père »

En dehors des terrains, il cherche surtout à se protéger et se recroqueville volontiers autour de ses proches : « Je ne fréquente que ceux avec qui, quand j’avais 12 ans, j’achetais une baguette qui nous faisait un repas pour deux. » Et pour éviter de s’enflammer, il pense souvent à son père disparu : « Il n’y a qu’un vrai Sakho et il est mort quand j’avais 13 ans, raconte-t-il. C’était Souleymane, mon papa. Les gens me regardent en disant C’est Sakho du PSG. Mais, moi, je me sens tellement petit par rapport à mon père… Je ne cherche qu’à être digne de lui. Pas à être célèbre. »
Sa mémoire et sa reconnaissance débordent parfois de ses racines. Il est ainsi un des rares Parisiens à avoir voulu remercier Paul Le Guen en fin de saison. « Lors du dernier match contre Monaco (0-0), j’avais mis un tee-shirt sous le maillot où il était écrit Merci Le Guen. Je n’ai pas pu le montrer au public, mais je l’ai donné à Paul dans le vestiaire. Si j’en suis là aujourd’hui, c’est grâce à lui. Il a tout mon respect. »


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Pistache
posté 09/07/2009 12:02
Message #883


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CRM Company Group: remporte le budget du PSG.


CRM Company Group annonce qu'elle a été choisie par le Paris Saint Germain pour développer son plan de communication.


L'agence aura pour mission de développer l'ensemble du programme relationnel du club de football parisien ainsi que sa communication media (affichage, presse, ...).

" Ce nouveau gain de budget est le cinquième ce trimestre et cela confirme le regain de dynamisme de CRM Company Group.", commente Bertrand Frey, président de CRM Company Group.



>>source : bourse en ligne happy.gif<<


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Easy vainqueur du tirage Whisky
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D'Alessandro
posté 09/07/2009 15:45
Message #884


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Foot - L1 - PSG
Un «autre monde» pour Jallet

Sitôt son contrat de quatre ans signé, lundi, Christophe Jallet a retrouvé ses partenaires en stage d'avant-saison à Port-Crouesty (Morbihan) jusqu'au 15 juillet. «C'est une énorme promotion pour poursuivre ma carrière, a-t-il commenté jeudi lors d'un point presse. On passe d'un monde à un autre en venant à Paris ! Le stade, les supporters, l'engouement, on sent que c'est Paris. Juste après mon transfert, j'avais mon programme pour les prochains jours, tout était bien organisé, rien à reprocher.»
«On ne peut pas faire le guignol»

Si le Morbihan ne le dépayse pas, il se souviendra de ses premiers contacts avec l'effectif. «Les quatre premières minutes, tu regardes les joueurs comme Makelele, Coupet. On ne peut pas faire le guignol mais ça s'est super bien passé, ce sont des joueurs simples. On sent que le groupe à ses habitudes, j'apprends à connaître les joueurs, tout le monde est sympa et j'apprécie beaucoup ce qui m'arrive.»

Quant à son poste et aux ambitions du club, Christophe Jallet a précisé : «Je suis polyvalent mais je reste un latéral droit à la base. Si je dois jouer ailleurs, pas de soucis mais le coach a été clair avec moi. Il y aura de la concurrence et je vais m'attacher à être au top tous les jours. Maintenant, les ambitions du club, on les connaît, c'est de finir dans les cinq premiers et si possible dans les trois premiers. Au vu de la saison passée, ce n'est pas irréalisable.» Recueilli par C.M.

lequipe.fr
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Mathis
posté 09/07/2009 18:46
Message #885


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Giuly attend de voir

Ludovic Giuly n'a jamais caché qu'il préférait jouer «attaquant» plutôt que sur le côté droit. Selon lui, c'est dans cette position qu'il a le plus de «libertés», un poste qui lui permet de «prendre des espaces dans la profondeur». Avec l'arrivée de Mevlut Erding, la donne pourrait changer. «Erding, ça fait partie du recrutement du coach ! C'est un bon joueur, un bon attaquant, puissant qui marque des buts. Après est-ce que le coach va changer de système ? On verra ça samedi (contre Pontivy), pour l'instant, on en a pas parlé.»

L'equipe.fr
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Dubdadda
posté 09/07/2009 19:13
Message #886


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Ludovic Giuly : « Pas là pour rigoler ! »

Ludovic Giuly a répondu aux questions des journalistes en conférence de presse en Bretagne. Le numéro 7 du PSG parle du nouveau groupe, de son rôle au sein de l’effectif et des ambitions parisiennes pour cette saison.

Ludovic, qu’est-ce qui a changé par rapport à l’an dernier ?

« Il n’y a pas trop de changements à part les trois joueurs qui sont arrivés. L’ambiance est bonne et on essaye de les intégrer le mieux possible. Pour l’instant, tout va bien, tout le monde est content de se retrouver. »

Connaissais-tu Antoine Kombouaré avant son arrivée ?

« Non, pas du tout. On apprends à se connaître ici, durant le stage, ainsi que le staff et les nouveaux joueurs. Le coach impose son rythme et ses formules. Tout se déroule dans la bonne humeur. Avec lui, il y a du dialogue et c’est ce que j’aime. C’est également un gagneur. Il veut que les choses soient bien faites. Il a des règles et des convictions, il faut s’y plier et les respecter. A partir de là, nous sommes libres sur le terrain de faire ce que l’on veut mais il faut respecter les choix et les consignes qu’il donne. C’est un entraîneur qui a du caractère. »

As-tu déjà joué avec Grégory Coupet ?

« Lorsque j’étais à Lyon, il arrivait de Saint-Étienne. Il me semble que nous avons joué six mois ensemble. Je suis content de le retrouver car c’est un bon mec et un grand gardien de but, donc forcément nous sommes contents de l'accueillir. On se connaît de Lyon et nous avons des amis en commun. Il faut l’intégrer le plus rapidement possible. »

Que peut-il vous apporter ?

« Il a de l’expérience et il a remporté de nombreux titres avec Lyon. Il fait partie des anciens. Nous sommes quatre ou cinq joueurs qui dépassons la trentaine donc à nous d'encadrer les jeunes. Cependant, tout le monde peut parler et donner son avis. A nous de bien gérer cela sur le terrain mais sinon chacun s’investit comme il l’entend. Nous ne sommes pas des gendarmes. »

Comme toi, il arrive souvent avec le sourire à l’entraînement…

« Ecoutez, nous faisons le plus beau métier du monde ! Nous arrivons sur la fin donc on veut profiter de ces dernières années, on a envie d’être heureux sur le terrain. Nous savons que cela va bientôt se terminer donc on donne le maximum aux jeunes, au Club, tant au niveau de l’ambiance que de l’envie. J’ai le même discours depuis 15 ans et il restera le même jusqu’à la fin. Je suis heureux d’être sur un terrain et surtout d’être en bonne santé. C'est important de pouvoir profiter et de faire de bons résultats afin de donner l’envie aux plus jeunes de venir au stade. »

Sais-tu à quel poste tu évolueras cette saison ?

« Je pense que je retourne sur le côté droit. Cela dépendra de l’entraîneur et des premiers matches. On en saura un peu plus samedi, face à Pontivy. Guillaume (Hoarau) et Mev (Mevlut Erding) vont apprendre à se connaître. Nous verrons après ce premier match et c’est important pour la suite. »


Comment les joueurs se sentiront pour le match face à Pontivy ce samedi ?

« On sera certainement un peu fatigués quand même, cela fait partie de la préparation. On va essayer de donner le maximum même si on va être un peu dans le rouge. Il faudra surtout faire attention à ne pas se blesser. »

Attends-tu la rencontre face à Pontivy avec impatience ?

« J’attends surtout le match à Montpellier, pour la reprise de la Ligue 1. Samedi, on va retrouver le terrain, avec de nouveaux joueurs. Nous allons apprendre à nous connaître, voir comment nous allons jouer, quel système on va adopter. Nous avons cinq rencontres de préparation. Ce ne sont pas les matches les plus importants mais nous allons quand même bien les jouer pour apprendre à toujours gagner et être prêt le 8 août à Montpellier. »


Quelle est votre ambition cette saison ?

« De faire mieux que l’an dernier. On a un groupe qui s’est renforcé et qui peut jouer les quatre premières places. On le sait mais on doit le démontrer sur le terrain. On s’est fait avoir la saison précédente donc on ne va pas renouveler cette même déception. A nous de bien bosser et de décrocher l’une de ces quatre places. Les grosses écuries vont être en tête, comme l’année dernière. Il y aura du suspens, en espérant que cela nous réussisse cette année. »

Est-ce que ce stage est un mélange de travail studieux et de vacances ?

« Nous sommes là pour travailler, pas en vacances ! Venez avec nous à 6h40, à 10h et à 16h et vous verrez que nous ne sommes pas là pour rigoler ! »


PSG.fr


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Jallet : « Bien accueilli »

Christophe Jallet a expliqué aux journalistes comment s’est déroulée son intégration au sein du PSG.

« J’ai été très bien accueilli à mon arrivée. Mon intégration se déroule vraiment très bien, je m’attendais à ce que cela prenne plus de temps. J’ai découvert un super groupe, qui a l’air de très bien vivre ensemble donc cela se passe on ne peut mieux. Marcos Ceara est quelqu’un de très gentil, il n’y a aucun problème avec lui. Tout le monde est très bien dans le groupe, lui le premier. Il est un peu plus introverti que certains mais il est très gentil et sympa. »
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Dubdadda
posté 09/07/2009 22:07
Message #887


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Makonda : « Là pour apprendre »

Récemment professionnel, Tripy Makonda a expliqué aux journalistes que son changement de statut n’a rien changé et qu’il veut continuer à apprendre aux côtés de Sylvain Armand.

« Mon statut a seulement changé juridiquement car j’ai signé professionnel mais sinon, je suis toujours là pour apprendre. Je me donne tous les jours à 100%. L’an dernier, j’entrais sur la pointe des pieds, aujourd’hui je rentre dans le monde du football. Mon poste actuel est celui d’arrière gauche, je suis la doublure de Sylvain Armand. Je veux apprendre à ses côtés, c’esst un bon professeur, il m’apprend beaucoup de choses. »


PSG.fr
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Homer
posté 10/07/2009 07:02
Message #888


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L’encombrant Albert Baning

Arzon (Morbihan)
DE NOTRE ENVOYE SPECIAL

«MAIS qu’est-ce qu’on va faire d’Albert ? » Cette question, les dirigeants parisiens se la posent chaque été depuis trois ans à propos d’Albert Baning, 24 ans, leur longiligne milieu défensif. Le Camerounais s’entraîne en silence en Bretagne, au milieu des Parisiens, mais il est difficile de lui prédire un avenir radieux avec le PSG cette saison.
Arrivé en 2006, Baning était présenté comme un futur grand par Alain Cayzac. Ce dernier avait suivi les conseils de son ami Gérard Houllier qui lui avait dit : « Vas-y, c’est un tout bon. Je l’aurais bien pris à Lyon. » Il faudrait parfois ne pas écouter ses amis. En effet, la première saison de Baning, sous contrat jusqu’en 2010, avait tourné au fiasco (un match de L 1 et deux de Coupe de l’UEFA), Guy Lacombe lui reprochant de trop garder le ballon en milieu de terrain. Depuis, son destin avec Paris fait irrésistiblement penser au célèbre sparadrap du capitaine Haddock qu’il n’arrive pas à décoller tout au long d’un album de Tintin : à chaque intersaison, Baning revient au PSG !

50 000 € par mois

Prêté à Sedan (L 2) en 2007, il y dispute 26 matchs avant d’enchaîner un nouveau prêt à Grenoble, promu en L 1, l’an dernier. Dans l’Isère, il joue 19 matchs, mais très peu en fin de saison. « C’est un bon mec, objecte
Pierre Wantiez, le directeur général grenoblois. Mais il a besoin de stabilité. » Si Grenoble ne l’a pas conservé, c’est surtout pour des raisons financières : au PSG, Baning touche 50 000 € de salaire par mois ! Une rémunération inaccessible pour les clubs susceptibles de s’intéresser à lui. L’an dernier, le PSG a d’ailleurs pris en charge une partie de ses émoluments… « Son salaire ne facilite pas les choses, poursuit Pierre Wantiez. Il a aussi connu des problèmes de santé en fin de saison qui nous ont inquiétés. Il se plaignait de douleurs au pubis et on a craint une pubalgie. »

Depuis le début du stage parisien, Albert Baning s’entraîne pourtant sans douleurs apparentes. « Si le PSG cherche à nouveau à le prêter, on regarderait le dossier », promet Wantiez. Du côté parisien, on avoue avec
franchise qu’aucune demande de renseignements le concernant n’est arrivée au club. Antoine Kombouaré
a décidé de lui donner sa chance pendant le stage afin demieux le jauger. Mais, avec Makelele, Clément,
Chantôme et Sankharé, déjà en concurrence pour deux places au milieu, les chances d’Albert Baning d’inverser son destin restent minces.


LE PARISIEN


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doll
posté 10/07/2009 09:22
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Après trois saisons très accomplies à Lorient, Christophe Jallet s'est engagé pour quatre ans avec le PSG. En stage à Arzon, le Charentais de 25ans vit son rêve éveillé.

Christophe Jallet, auriez-vous vécu comme un échec le fait de rester à Lorient?

«Je pense que cela m'aurait fait mal. C'est ce que j'ai expliqué au coach et au président quand je les ai eus. C'est comme quand on met un jouet devant les yeux d'un enfant et qu'on lui enlève au dernier moment. Je suis professionnel, il me restait un contrat de deux ans à Lorient, j'aurais fait mon boulot. Mais cela aurait été difficile à gérer.»

A quand remontent les premiers contacts avec Paris?

«A quinze jours, trois semaines de la fin du championnat, où j'ai eu au téléphone Alain Roche (NDLR: responsable du recrutement) et le coach, qui n'était pas encore annoncé. Lui a attendu que son recrutement au PSG soit bouclé pour me contacter.»

Paris, c'est un beau jouet, mais assez effrayant... Avez-vous hésité?

«Non. A partir du moment où ils m'ont dit qu'ils feraient tout pour m'avoir, ma priorité était toute tracée. Une chance comme celle-là ne se présente peut-être pas deux fois dans une vie. Je vais essayer de la saisir. En tout cas, j'ai franchi la première étape, qui était d'arriver. Maintenant, on sait qu'il y a une pression plus importante à Paris. La seule chose que je me dis, c'est qu'il y a, de toute façon, plus grave dans la vie. Je ne m'attends pas à vivre que des bons moments non plus, mais cela ne me préoccupe pas plus que ça.»

Avez-vous été surpris qu'un club comme Paris s'intéresse à vous après une saison moins pleine?

«Il n'y a rien de logique dans le foot, dans un sens ou dans un autre. Ils me suivaient depuis deux saisons. J'ai joué six mois diminué, jusqu'à l'opération, et vingt matchs au total au lieu de trente-six ou trente-sept. On peut dire que c'est la moins bonne saison. Mais ce n'est pas souvent lors de ses meilleures saisons que l'on arrive à partir.»

En quelques jours, avez-vous déjà l'impression d'être passé de l'artisanat à l'industrie?

«C'est clair. A partir du moment où les deux clubs se sont mis d'accord, j'ai eu Alain Roche au téléphone qui m'a donné, en cinq minutes, le planning des trois jours qui suivaient. C'est parfaitement calé, on est vraiment dans les meilleures dispositions possibles. Ce serait dommage de ne pas en profiter.»

Conserverez-vous un bon souvenir de ces trois ans à Lorient?

«Bien sûr. Quand je suis arrivé, je n'étais déjà pas sûr de jouer. J'ai découvert le haut niveau avec eux, j'ai appris énormément de choses. J'ai appris la rigueur tactique, j'ai bossé techniquement. J'ai pris du plaisir aussi sur le terrain, parce qu'il y a des matchs où on s'est fait ch..., mais d'autres où on a vraiment pris notre pied tous ensemble.»


Y avait-il un peu de lassitude au final?

«J'avais déjà connu cela à Niort. Ce n'est pas que le club n'a pas envie d'avancer, mais chacun fait avec ses moyens. On rentrait aussi un peu dans un ?ron-ron?. Cela faisait trois ans que l'on était tous ensemble, avec les mêmes joueurs, le même coach, les mêmes séances. A un moment donné, on s'endort inconsciemment, même si on essaie de se tenir éveillé. C'est un peu difficile, au bout de trois ans, de se remettre un coup de pied au c... tout seul et de se dire: ?Mon gars, tu vas te bouger.? La meilleure solution, c'est de partir pour un challenge supérieur. Voilà, je l'ai trouvé.»


Le Télégrame Vendredi 10 Juillet 2009
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aleksandre08
posté 10/07/2009 17:13
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GIULY, JOKER DE LUXE ?


Sous la direction d'Antoine Kombouaré, le PSG évoluera cette saison en 4-4-2. Un schéma tactique où Ludovic Giuly devra se faire une place à droite plutôt que dans l'axe. Du coup, son statut de titulaire est désormais menacé
.

Samedi, les Parisiens ne seront pas au Parc des Princes. Ni au Stade de France pour le concert événement de U2. Ils seront à Sarzeau (dans un stade de 15 000 places dont 256 assises) pour affronter l'équipe de CFA de Pontivy. L'occasion d'une première rencontre amicale qui confirmera une information : dans le schéma tactique prôné par Antoine Kombouaré, l'attaque sera emmenée par deux pointes. « J'adore le 4-4-2, a reconnu le coach sur le site du PSG. Avec cet effectif, nous possédons les qualités nécessaires pour évoluer dans ce schéma. Si j'ai quatre attaquants, c'est parce que dans la mesure du possible, je veux qu'il y en ait toujours deux devant. » Le grand Hoarau et le rapide Erding seront les titulaires annoncés. Exit du onze de départ Péguy Luyindula et Mateja Kezman, autres candidats aux postes axiaux. Exit également Ludovic Giuly, qui n'est pas considéré comme un attaquant de pointe mais bien comme un milieu excentré par Antoine Kombouaré. Pour l'ancien Romain, qui fête cette semaine son 33eme anniversaire, le gâteau aura forcément un goût amer. Car il répète depuis on arrivée qu'il préfère l'axe et que jouer en soutien d'Hoarau lui plaît. Surtout, il se sent trop étriqué sur le côté droit.

« On va retrouver le terrain samedi avec de nouveaux joueurs et nous allons apprendre à nous connaître, voir comment nous allons jouer, quel système on va adopter », expliquait Giuly dans la semaine. Son rôle dans tout ça ? « Je pense que je vais retourner sur le côté droit. Cela dépendra de l'entraîneur et des premiers matchs. On en saura un peu plus samedi face à Pontivy. Guillaume (Hoarau) et Mev (Mevlut Erding) vont également apprendre à se connaître. Nous verrons après ce premier match et c'est important pour la suite. » Giuly s'attend donc à jouer côté droit. Mais la saison passée, Stéphane Sessegnon a longtemps occupé ce poste, plutôt avec réussite même si le Béninois a tendance à entrer dans l'axe et à laisser le pauvre Ceara écoper sur son côté en situation défensive.

Pour libérer la droite à Giuly, il faudrait donc que le PSG joue avec Sessegnon à gauche dans un 4-4-2 où il remplacerait Rothen. Mais le club de la Capitale aurait plutôt envie de recruter un gaucher à ce poste : les noms de Källström, Payet et Danic sont évoqués avec insistance. Si la gauche revient à un « nouveau » et pour trouver une place à Giuly, il faudrait donc que le PSG évolue avec un milieu en losange avec Sessegnon en axial. Une situation difficilement envisageable aujourd'hui puisqu'elle laisserait le capitaine Claude Makelele un peu seul à la récupération. L'avenir de Ludovic Giuly pourrait donc être moins ensoleillé qu'il n'y paraît et l'ancien joueur du Barça pourrait devenir un simple joker de luxe. Une situation qui pourrait évidemment l'agacer. Mais après avoir effectué une grosse préparation individuelle avant la reprise à Saint-Raphaël, le joueur semble s'être préparé à cette éventualité de ne pas être le choix numéro un. En étant prêt plus tôt que les autres, il pourrait séduire son entraîneur par ses performances lors des semaines qui viennent. Affaire à suivre…


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sylvain
posté 11/07/2009 09:59
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Le Parisien

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Kombouaré jour après jour

Arzon (Morbihan)

Christophe Bérard | 11.07.2009, 07h00


Après une semaine de vie commune, les joueurs commencent à se familiariser avec les entraînements d’Antoine Kombouaré. Là où Paul Le Guen privilégiait l’introspection, son successeur donne de la voix et du geste. En Bretagne, il assoit son autorité et son engagement.

LUNDI 6 JUILLET, 16 H 50. L’heure, c’est l’heure. Devant le hall du Miramar Crouesty, Kombouaré ne dissimule pas son agacement.
Le bus, censé conduire les joueurs à l’entraînement, n’est pas là. « Je déteste attendre, lâche-t-il. Quand je fixe un horaire, j’entends qu’il soit respecté. » Finalement, le car arrive cinq minutes plus tard. A l’arrivée à Sarzeau, il s’entretient quelques minutes avec l’intendant du club pour régler le problème. Sur le terrain, il dirige sa première opposition en commentant, à voix haute, tous les duels livrés par ses hommes.

MARDI, 16 HEURES. Applaudissements pour Jallet. Kombouaré s’isole au centre du terrain en début de séance et laisse ses joueurs aux mains du préparateur physique. Après vingt minutes, il réunit son groupe pour expliquer un exercice. Il s’interrompt soudain. « Les gars, j’ai oublié quelque chose. J’aimerais qu’on salue tous Christophe Jallet (NDLR : arrivé la veille au soir en Bretagne) qui sera avec nous. » Les Parisiens applaudissent l’ex-Lorientais.

MERCREDI, 10 HEURES. Les décibels du haut-parleur. Alors que les joueurs s’astreignent à une longue séance, Kombouaré passe plus d’une heure au côté de Nicolas Dehon, l’entraîneur des gardiens, à s’occuper de Grégory Coupet et Edel. Le Kanak enchaîne les frappes pour leur faire travailler le contrôle et la relance. A un moment, sa voix est couverte par un haut-parleur qui annonce, autour du stade, « la venue exceptionnelle à Arzon de vos artistes préférés ». Aucun lien avec le PSG : c’est celle d’un cirque ambulant en tournée en Bretagne.

JEUDI, 16 HEURES. La positive attitude. Devant plus de 200 spectateurs, il a du mal à rester en place pendant l’échauffement et tripote le ballon. Durant une opposition à dix contre dix, il parle sans cesse. Ses deux mots récurrents sont « bien joué », qu’il égrène plus d’une centaine de fois… Son envie de positiver et de mettre en valeur ses joueurs est tangible. « Je suis un éducateur avant tout », souligne-t-il. A la fin de l’entraînement, il se dirige vers la main courante pour saluer Alain Couriol, l’ex-international et ancien du PSG (83-89), qui vit désormais à Arzon. La conversation porte sur les joueurs antillais côtoyés par Kombouaré durant sa carrière.

HIER, 11 HEURES. Mots d’enfants. Après s’être contenté d’adresser des centres à ses gardiens, il se dirige vers la poignée de supporteurs pour la traditionnelle séance de photos et d’autographes. « Bienvenue au PSG ! » lui lance un enfant de 6 ans. « Vous allez finir à quelle place ? » lui demande un autre. « J’aimerais bien être un devin pour te répondre », rétorque Kombouaré.

Le PSG affronte Pontivy (CFA) ce soir, à 19 heures, à Sarzeau. « C’est plus un entraînement qu’autre chose, prévient Kombouaré. Excepté Erding et Hoarau, tout le monde jouera. »


Le Parisien



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Patrice Clerc prêt à aider le club

A.H. | 11.07.2009, 07h00


Sébastien Bazin, président non exécutif et actionnaire ultramajoritaire du PSG, cherche toujours son successeur. Il devrait annoncer le nom de son remplaçant fin juillet ou tout début août, avant le premier match de la saison le 8 août. « Sébastien Bazin prend son temps pour régler ce dossier. Il souhaite terminer le mercato avant de passer la main », confie un intime du club.

Patrice Clerc demeure un candidat possible, mais il n’est pas le seul. Même si l’ancien patron d’Amaury Sport Organisation (ASO) devait finalement refuser la proposition de Bazin, il pourrait, malgré tout, être associé au futur du club de la capitale. En effet, Clerc a lancé récemment sa société, Patrice Clerc Associé (PCA), une entreprise de conseils en stratégie et gestion de projets dans le sport. Et cette dernière pourrait travailler avec le club de la capitale. Des discussions ont eu lieu sur ce sujet entre Clerc et Bazin. Interrogé pour savoir si c’était compatible avec la présidence du PSG, l’ex-directeur de Roland-Garros nous a répondu hier : « Il faut voir. » Une réponse qui fait écho aux propos de Bazin sur cette question qui affirmait dans nos colonnes le 29 juin que c’était « conciliable ». Des proches de Clerc l’incitent à accepter le poste.


Le Parisien


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Le PSG s'offre un nouveau gardien



Bertrand Métayer | 10.07.2009, 17h55 | Mise à jour : 21h36



Le PSG a trouvé son troisième gardien. Après le recrutement de Grégory Coupet, le club de la capitale a enrôlé vendredi un deuxième portier en quelques jours. Willy Grondin, en fin de contrat avec Valenciennes, a répondu à l'appel de son ancien entraîneur Antoine Kombouaré. Il a paraphé un contrat d'une saison.

A 34 ans, Grondin est un joueur d'expérience qui a toujours évolué comme gardien remplaçant à Nantes d'abord puis au Mans et enfin à Valenciennes.


« Il a le niveau pour jouer en L2 ou être n°2 en L1, explique Kombouaré. Il était sur le point d'être au chômage et j'ai attendu de voir s'il pouvait avoir quelque chose de mieux. Je lui ai tendu la main et il est très content de nous rejoindre. Mais pour moi, la hiérarchie est claire. Coupet est n°1, Edel n°2 et Grondin n°3. Il va aider les jeunes du centre de formation et garder le but de la CFA. Mais dans mon esprit, les trois gardiens sont importants. Il ne faut jamais le souhaiter mais à tout moment, une blessure peut arriver et celui qui est n°3 peut se retrouver en première ligne. On l'a vu avec Bordeaux cette saison. »

Pour l'entraîneur parisien, le recrutement est donc pour le moment en stand-by . « Avant d'acheter, il faut vendre », raisonne le Kanak. Premier sur la liste des transferts après avoir clairement affiché ses envies d'ailleurs, Jérôme Rothen doit retrouver ses partenaires ce soir à Port Crouesty (Morbihan) pour reprendre l'entraînement samedi matin. Son entraîneur a déjà prévenu qu'il ne serait pas concerné par le premier match amical programmé à 19 heures contre Pontivy (CFA).


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Erding inquiète Kombouaré

Kombouaré parle du match de ce soir: "Ce n'est pas vraiment un match amical. C'est un entrainement, une opposition, une revue d'effectif, histoire de voir tout le monde." Nénanmoins, Hoarau et Erding ne seront pas là. Au sujet du Turc , le coach parisien semble soucieux. "Il a un petit souci, c'est embêtant. Il est à la disposition du staff médical. Il ne faut pas faire n'importe quoi. Surtout avec un nouveau. Il a encore de petites douleurs. Il faut être vigilant. Je ne donne pas de date de reprise."
Autre absent, Jérôme Rothen. Pendant sa mise a pied, il a travaillé avec un péparateur physique. Il a rejoint le groupe hier soir mais est trop juste pour jouer le match d'aujourd'hui. Kombouaré a prévu une discussion hier après-midi avec lui. "On fait tout pour que tout le monde soit content. Ce qui est important, c'est son désir à lui. Jérôme a suffisamment répété qu'il souhaitait partir. Il faut trouver une solution."
Tant que Rothen ne sera pas parti, il ne recrutera pas de milieu gauche. "Avant d'acheter, il faut vendre. Si on était le Real, on ferait différemment. J'ai les joueurs qu'il faut, même à gauche. On a un effectif de qualité. Des gens peuvent jouer à ce poste là. Je suis en train de regarder. Les matchs amicaux servent à ça aussi."



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Les deux kinés licenciés.


Philippe Boindireux a reçu cette semaine Joel Le Hir et Pascal Roche pour leur confirmer la volonté du club de se séparer de ses 2 kinés.
Joel Le Hir semble payer sa proximité avec Paul Le Guen, l'ancien entraineur parisien. Même si certains joueurs se sont inquiétés de ce départ, et même si Le Hir a toujours entretenu d'excellents rapports avec Kombouaré, les déclarations de Le Guen sur Alain Roche ont scéllé son sort.
Le cas de Pascal Roche est différent. Il lui est reproché en interne de ne s'occuper que des "stars" et de trop s'épancher. C'est sous la pression commune d'Alain Roche et de Kombouaré que le club a décidé de s'en séparer.


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Rothen s'est entraîné

Willy Grondin, le troisième gardien du Paris-SG, officiellement transféré vendredi en provenance de Valenciennes, et Jérôme Rothen, dont la mise à pied s'achevait vendredi soir à minuit, ont rejoint le groupe parisien à Port Crouesty, dans le Morbihan. Les deux joueurs ont participé à leur premier entraînement collectif samedi matin et assisteront depuis les gradins au match amical du PSG face à Pontivy (19h00).

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Mais qui es-tu Christophe Jallet ?

10 juillet 2009


Nercillac, Cognac, Niort, Lorient et maintenant Paris pour quatre ans. Christophe Jallet gravit les échelons sans se précipiter. Portrait de la recrue la moins sexy du PSG, mais qui pourrait finalement s’avérer être la plus importante de la cuvée 2010.

Christophe Jallet est né à Cognac, ses parents sont viticulteurs et il est supporter de Bordeaux. Voilà, c’est dit, ce mec a un CV qui sent l’alcool franchouillard. Pourtant, si on retourne aux origines du bonhomme, c’est surtout l’odeur de la campagne qui vient chatouiller les narines. Christophe a grandi au milieu des vignes et des années 80, dans un patelin charentais de 1000 âmes nommé Nercillac.

La nature, la terre, Jallet les a placées au centre de sa vie. Peut-être même un peu trop. Dans une interview publiée le 5 août 2007 sur son Skyblog (sic), on lui demande s’il est plutôt PS ou UMP : « Ni l’un ni l’autre. Plutôt "Chasse, Pêche, Nature et Traditions". Je reste dans les traditions de mon terroir. J’ai vécu comme ça, avec ces traditions à défendre ». Flippant. Le côté positif c’est que, de l’avis général, son origine rurale a aussi fait de Cricri d’amour un mec simple, modeste, sans prise de tête. « Quand il rentre chez lui, il oublie tout ce qui tourne autour du foot parce que ses parents travaillent la terre, parce que ses beaux-parents sont d’un milieu ouvrier, explique Marc Boutruche, son ancien collègue à Lorient aujourd’hui retraité. Il a peut-être une plus grosse voiture mais c’est tout. Christophe a beaucoup d’amis en dehors du foot, forcément ça maintient la réalité en place ». Du coup, Christophe développe des goûts simples entre bricolage, bonne bouffe et bon vin. Il n’a pour le moment acquis qu’un seul tic de riche : la passion du golf.

Mais avant même de savoir ce qu’est un green, Jallet taquine déjà le ballon rond sur la pelouse du club de Nercillac. Il y reste jusque ses dix ans, âge auquel il est recruté par l’équipe de sa ville natale, Cognac. « Il n’était pas surclassé mais il était déjà au-dessus des autres, se souvient Didier Martineau, son entraineur en moins de 15 ans. Bonne technique, bonne vision du jeu. Physiquement, il était bon pour courir, un peu moins pour rentrer dedans. Comme maintenant, ce n’était pas un gros bonhomme mais il emmenait les autres ». Comme tous les joueurs au-dessus du lot dans ces catégories là, Christophe jouait numéro 10.

De Chamois à Merlu

A 14 piges, la plupart des adolescents rêvent encore de devenir pro. Pas glamour pour un sou, Christophe Jallet ne veut pas trop s’éloigner de ses parents, il part donc en sport-études à Niort, à 98,5 km de Nercillac selon Google Maps. Chez les Chamois, le jeune Jallet fait toute son éducation, sur et en dehors du terrain. Centre de formation, baccalauréat, il enchaine même avec un BTS d’œnologie par correspondance, histoire d’assurer ses arrières, et se transforme en milieu défensif ou en milieu droit selon les matchs. Passé pro à 20 ans, Christophe joue deux saisons en Ligue 2 avant la descente de Niort en National. Le malheur de son club fait le bonheur du joueur, qui récupère le capitanat et confirme son talent.

Première ligne au palmarès (champion de National) et le Chamois devient un Merlu. Lorsque Jallet débarque à Lorient, fraichement monté en Ligue 1, il impressionne par son endurance. « Dès le stage de préparation, il éclatait tout le monde. Physiquement, il était au-dessus du lot, même s’il n’avait pas un gros gabarit. On avait un préparateur physique qui entrainait Elodie Guegan (championne de France du 800m en 2007, ndlr), il disait que Christophe était l’un des rares qui aurait pu faire de l’athlé. Il aurait pu faire un super coureur de 1500 », assure Stéphane Bacro, journaliste à Ouest France. N’empêche, le mec vient d’un niveau inférieur et il n’a pas été recruté pour être titulaire. Rentré en cours de jeu lors de la première journée, banquette pour la deuxième, Jallet profite des blessures et suspensions pour connaître sa première titularisation en Ligue 1 contre Lens.

A la 73è minute, les Lorientais sont menés 1-0 à domicile. Saïfi, à 20 mètres du but, dévie une ballon vers le côté droit. Jallet, esseulé, contrôle de la poitrine et claque une demie-volée croisée qui termine sa course dans la lucarne d’Itandje, un but qui restera comme l’un des plus beaux de la saison. Mais ce n’est pas un pauvre but, si beau soit-il, qui peut convaincre Christian Gourcuff. Boutruche, qui a pris Christophe sous son aile depuis son arrivée dans le Morbihan, le console : « Je lui ai dit : “Sois patient, vu tes qualités, je suis sûr que tu termineras par jouer latéral droit à ma place” ». Lors du match suivant, Boutruche se nique les ischio-jambiers. A partir de ce moment-là, Jallet se mue en arrière droit, poste qu’il ne quittera plus. Il pousse son pote sur le banc et s’installe dans l’équipe-type : 36 matchs en 2006/2007, 37 l’année suivante. Finalement, sa saison la moins pleine est la dernière, une pubalgie l’ayant éloigné des terrains cet hiver.

Bientôt chez les Bleus

Mais Antoine Kombouare ne s’est pas laissé prendre. Au milieu des recrues qui font couler de l’encre (Erding et Coupet), le nouveau coach parisien a tenu à faire signer l’alter ego de Sylvain Armand (latéral, passé d’un club de National à un club breton de Ligue 1 avant de rejoindre le PSG). Si l’on sait maintenant que Christophe Jallet a le niveau pour « détitulariser » Ceara, on se demande toujours comment un mec de la campagne qui aime la simplicité va réussir à se fondre dans le bordel parisien. « Il a cette faculté de s’adapter à tout type de gens, rassure Marc Boutruche. Il s’entend avec tout le monde, mais ça ne veut pas dire qu’il fait le dos rond. C’est un mec de groupe, il ne restera pas seul dans son coin. S’il ne s’adapte pas, ce ne sera pas de son fait. C’est que des gens veulent la jouer perso ». A Paris, le risque existe.

Meneur de jeu à Cognac, milieu défensif à Niort, arrière droit à Lorient. Au fur et à mesure qu’il montait vers le Nord, Jallet reculait sur le terrain et grimpait les échelons. S’il ne devrait plus changer de poste (Coupet peut respirer), reste à savoir jusqu’où il peut aller en terme de renommée sportive. « L’équipe de France, répond coach Gourcuff sans hésiter. On manque de latéraux en ce moment ». Confirmation de copain Boutruche, un peu plus modéré : « Je lui ai fait un plan. Il devrait rester deux ou trois ans à Paris et, s’il n’y a pas de coupe d’Europe, je le vois bien arracher un Bordeaux ou un Lyon, après quelques sélections chez les Bleus. Il pourrait être essayé dans les matchs amicaux où il y a 35 joueurs sélectionnés dont 17 nouveaux ».

Mais pourquoi donc les supporters parisiens ont-il ri jaune en découvrant cette nouvelle recrue ? Pourquoi ne parle-t-on pas plus souvent d’un type qui sera en Polognukraine en 2012 pour disputer l’Euro ? C’est encore Gourcuff qui a la réponse : « Bah, parce qu’il jouait à Lorient... ». On l’avait sur le bout de la langue.
Thomas Pitrel


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posté 11/07/2009 21:21
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Premier test réussi pour le PSG



Pour le premier match amical de sa préparation, le PSG s'est imposé face à Pontivy (CFA), samedi à Sarzeau (Morbihan). Ludovic Giuly et Yannick Boli ont inscrit les deux buts de la rencontre (2-0).

Fatigués par une semaine d'entraînement au rythme de deux à trois séances quotidiennes, les joueurs du PSG peinent à entrer dans la partie. Claude Makelele et ses coéquipiers sont bousculés par les amateurs bretons, tout près d'ouvrir la marque. Seul face à Grégory Coupet, leur avant-centre Arquin frappe à côté (16e). Plus sûrs techniquement, les Parisiens font pourtant respecter la hiérarchie. Makelele sert Giuly par dessus la défense. Le milieu droit croise parfaitement sa frappe pour ouvrir le score (1-0, 21e). Le PSG insiste mais la frappe lointaine de Sankharé est repoussée par le gardien morbinanais (30e) tandis que Makelele trouve la barre transversale sur sa tentative de 20 mètres (32e).

Kombouaré : «S'imprégner de la culture de la victoire»

A la reprise, Antoine Kombouaré change totalement son équipe. Un nouveau onze qui double tout de suite la mise. Jallet déborde côté droit pour Boli qui place une reprise de la tête imparable (2-0, 47e). Paris gère alors tranquillement la rencontre en tentant de prendre ses marques en vue de la prochaine rencontre de préparation contre Nantes, mardi (19 heures) à Saint-Dolay (Morbihan). «C'était une bonne revue d'effectif, même si les joueurs étaient fatigués, a commenté Antoine Kombouaré. C'était important de gagner ce match pour s'imprégner de la culture de la victoire.»

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PSG (L1) – PONTIVY (CFA) : 2-0 (1-0)

Buts :
Giuly (21e), Boli (47e).
PSG en première mi-temps : Coupet : Ceara, Traoré, Camara, Makonda – Giuly, Makelele, Ngoyi, Sankharé – Kezman, Maurice.
PSG en deuxième mi-temps : Edel – Jallet, Sakho, Bourillon, Armand – Arnaud, Clément, Baning, Chantôme – Luyindula, Boli.

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Kombouaré: «Repousser les limites»

Après la première sortie de ses hommes, samedi, en amical, face à Pontivy (2-0), Antoine Kombouaré avait le sourire. Même si la fatigue s'est faite sentir, les Parisiens ont gagné, et ont pu appliquer les consignes de leur nouvel entraîneur. « Je retiens dans un premier temps la victoire, a expliqué Kombouaré sur le site officiel du PSG. C'est important de s'imprégner de la culture de la gagne très tôt dans la saison. Nous avons profité de ce match amical pour travailler physiquement. Il y a beaucoup de fatigue ce soir, mais il faut que les garçons repoussent leurs limites. C'est une bonne mise en route. J'ai commencé à mettre en place quelques principes tactiques, notamment défensivement. Il faut maintenant répéter les séances de travail. »

Coupet : « Rien ne remplace un match »

De son côté, le gardien parisien Grégory Coupet, qui a fait ses grands débuts avec le club de la capitale, était tout à sa joie d'avoir enfin pu rejouer : « Ces matches amicaux permettent de mettre en place certains automatismes. J'ai essayé de beaucoup parler à mes défenseurs, de les replacer, de les inviter à aller de l'avant. Rien ne remplace un match et j'apprends ainsi à mieux connaître mes défenseurs. Je retrouve avec plaisir ces ambiances d'avant match dans le vestiaire. Il y a beaucoup de plaisir. Toutes les conditions sont réunies pour bien travailler. Je sens qu'il y a une grosse attente. L'important c'est que le travail paye. » (Photos Presse-Sports)

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posté 12/07/2009 08:54
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Premier test réussi pour le PSG

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Pour le premier match amical de sa préparation, le PSG s'est imposé face à Pontivy (CFA), samedi à Sarzeau (Morbihan). Ludovic Giuly et Yannick Boli ont inscrit les deux buts de la rencontre (2-0).

Fatigués par une semaine d'entraînement au rythme de deux à trois séances quotidiennes, les joueurs du PSG peinent à entrer dans la partie.

Claude Makelele et ses coéquipiers sont bousculés par les amateurs bretons, tout près d'ouvrir la marque. Seul face à Grégory Coupet, leur avant-centre Arquin frappe à côté (16e).

Plus sûrs techniquement, les Parisiens font pourtant respecter la hiérarchie. Makelele sert Giuly par dessus la défense. Le milieu droit croise parfaitement sa frappe pour ouvrir le score (1-0, 21e). Le PSG insiste mais la frappe lointaine de Sankharé est repoussée par le gardien morbinanais (30e) tandis que Makelele trouve la barre transversale sur sa tentative de 20 mètres (32e).

Kombouaré : «S'imprégner de la culture de la victoire»

A la reprise, Antoine Kombouaré change totalement son équipe. Un nouveau onze qui double tout de suite la mise. Jallet déborde côté droit pour Boli qui place une reprise de la tête imparable (2-0, 47e). Paris gère alors tranquillement la rencontre en tentant de prendre ses marques en vue de la prochaine rencontre de préparation contre Nantes, mardi (19 heures) à Saint-Dolay (Morbihan).

«C'était une bonne revue d'effectif, même si les joueurs étaient fatigués, a commenté Antoine Kombouaré. C'était important de gagner ce match pour s'imprégner de la culture de la victoire.»



PSG (L1) – PONTIVY (CFA) : 2-0 (1-0)

Buts : Giuly (21e), Boli (47e).
PSG en première mi-temps : Coupet : Ceara, Traoré, Camara, Makonda – Giuly, Makelele, Ngoyi, Sankharé – Kezman, Maurice.
PSG en deuxième mi-temps : Edel – Jallet, Sakho, Bourillon, Armand – Arnaud, Clément, Baning, Chantôme – Luyindula, Boli.



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Rothen revient sur la pointe des pieds


Christophe Bérard



Jérôme ROTHEN a été un témoin privilégié de la victoire du PSG hier contre l’équipe de CFA de Pontivy (2-0, buts de Ludovic Giuly et Yannick Boli). Le milieu de terrain parisien a assisté au match depuis le banc de touche. Il ne pouvait évidemment pas jouer, puisqu’il n’a repris l’entraînement qu’hier matin.
Une séance de travail physique qui officialisait la fin de sa mise à pied de sept jours et demi. Cette sanction avait été infligée par le club après ses critiques formulées à l’adresse de ses dirigeants dans une interview début juin. C’est vendredi, en début de soirée, qu’il avait rejoint, avec Willy Grondin, l’ex-gardien valenciennois et désormais troisième portier du PSG, l’hôtel Miramar-Crouesty. Il a pu partager le dîner avec ses coéquipiers. « On l’a accueilli sans problème avec quelques sourires complices, note un joueur. Pour nous, son retour n’est pas un événement. »

Il veut toujours partir

Jérôme Rothen s’est entretenu quelques minutes avec Antoine Kombouaré. Pour ce dernier, le cas Rothen est tranché : depuis son arrivée en Bretagne, l’entraîneur parisien le considère désormais comme un joueur à part entière de son groupe. « Maintenant, il doit se mettre au boulot, soulignait Kombouaré après le match.
Je ne le dispense pas de travailler ! Mais je le sens désireux de s’investir et, surtout, pressé de retrouver le terrain. » Mais Rothen est en retard dans sa préparation physique, même s’il a entretenu sa forme en suivant cette semaine un programme spécifique. Il devrait donc aussi être un peu juste pour le PSG - Nantes de mardi prochain.
Hier soir, au moment de l’échauffement, il a offert un visage beaucoup moins crispé que lors de ses dernières sorties. Souriant et blagueur, il s’est installé sur le banc entre Jérémy Clément et Sylvain Armand, ses habituels partenaires de poker. A la mi-temps, il a chambré gentiment Ludovic Giuly, auteur du premier but. Il a ensuite passé la seconde période au côté de l’ex-Barcelonais avant de filer dans le bus sitôt le match terminé.
Si, en apparence, Rothen est redevenu un joueur du PSG, son envie de départ reste aussi forte. Mais avant de savoir s’il trouvera un club désireux de l’accueillir, il a pris une sage décision : ne plus faire de vagues.

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Le bonheur retrouvé de Coupet


Grégory COUPET a disputé hier son premier match sous ses nouvelles couleurs. Il n’a pas boudé son plaisir pour son retour en France. L’ex-gardien de l’Atletico Madrid explique pourquoi ce genre de rencontre est primordial pour lui.

Le terrain. « Ce n’est que du plaisir de retrouver la compétition. Le terrain me manquait, mais aussi l’ambiance d’avant-match où on discute et où on se motive.
J’ai vite retrouvé mes sensations. Ce type de match me permet de mieux connaître mes défenseurs et d’apprendre à communiquer avec eux. J’ai 36 ans, mais j’ai joué avec tout mon enthousiasme. Je profite pleinement de cette période de préparation. »

La victoire. « Il nous a encore manqué un peu de vitesse et peut-être certains automatismes. Mais si cette victoire ne veut pas dire grand-chose, elle est importante. Elle vient couronner une semaine d’efforts. On a beaucoup bossé avec un rythme soutenu. Mais les entraînements ne suffisent pas. Un match amical, c’est le meilleur moyen pour apprendre à se connaître. »

L’ambiance. « Les conditions de travail sont idéales et l’ambiance dans le groupe est exceptionnelle. On rigole beaucoup. Le terrain d’entraînement est parfait et l’hôtel aussi. A l’Atletico Madrid, il y avait également un groupe de qualité. Ici, l’effectif est différent. Il y a plus de jeunes. Ils attendent qu’on vienne leur parler. J’aime jouer ce rôle. »

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Séance allégée pour Z. Camara

Toujours dispensé d'entraînement collectif, Mevlut Erding (adducteurs), la recrue offensive du Paris-SG venue de Sochaux, a travaillé dimanche à Port Crouesty (Morbihan) avec Raphael Fêvre, le préparateur physique du club parisien.


Il sera encore en tribunes pour le deuxième match de préparation contre Nantes, mardi à Saint-Dolé, toujours dans le Morbihan. Guillaume Hoarau (genou et adducteurs), qui a repris avec le groupe, devrait pour sa part jouer au moins quelques minutes. Quant à Zoumana Camara, il a eu droit à une séance allégée en raison d'un coup reçu samedi soir lors de la victoire parisienne en amical contre Pontivy (2-0).

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posté 13/07/2009 08:44
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PSG : Ceará ne craint pas la concurrence

Son professionnalisme, sa régularité et sa discrétion en font un des joueurs les plus appréciés au club. Ses coéquipiers le surnomment d’ailleurs Amigo. Mais en ce début de saison, Ceará doit certainement se poser quelques questions. Alors qu’il ne lui reste plus qu’un an de contrat, le PSG vient en effet de recruter un autre latéral droit en la personne de Christophe Jallet.

Officiellement, l’ex-Lorientais a été recruté pour jouer les doublures du Brésilien. La saison dernière, Ceará, faute de remplaçant, avait en effet été contraint d’enchaîner presque tous les matchs. Et lorsqu’il était blessé, c’est Sammy Traoré, défenseur central de métier, qui assurait l’intérim. Le club se devait donc de doubler ce poste, et le profil de Jallet, qui peut aussi dépanner dans l’axe et à gauche, s’est révélé idéal.
Sauf que ce dernier n’entend pas se contenter d’une place de numéro deux. Il a répété à maintes reprises qu’il se battrait pour devenir titulaire. Samedi soir, lors du premier match amical de la saison contre Pontivy (CFA, victoire 2-0), Jallet a d’ailleurs livré une prestation honorable et offert une passe décisive à Boli.

Il négocie une prolongation de contrat

Dans l’entourage de Ceará, on reste serein, assurant que le poste de titulaire ne lui appartient pas et que la concurrence ne lui fait pas peur. Arrivé en septembre 2007 comme doublure de Bernard Mendy, il lui avait même « piqué » sa place. « Il continuera à travailler aussi dur sans rien revendiquer », confie un proche.
Seule certitude : le Brésilien entend accomplir sa dernière année de contrat au PSG, son agent n’ayant démarché aucun autre club. « Mon souhait est de rester à Paris, déclarait ainsi Ceará en fin de saison dernière.
J’aime ce club et ses supporteurs. » Il espère donc que les discussions concernant sa prolongation aboutissent enfin. Entamées en février, elles avaient buté sur un différend salarial, Paris ne lui ayant proposé qu’un peu moins de 100 000 €, une offre jugée peu satisfaisante par le joueur.
La semaine prochaine, Ceará et son représentant devraient à nouveau rencontrer les dirigeants du PSG afin de relancer les négociations. Mais après avoir réussi à prolonger Sessegnon et Hoarau avec à la clé une substantielle revalorisation salariale, il n’est pas certain que le club parisien consente encore à faire d’autres efforts.


LeParisien.fr
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