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Citation Motta va au bras de fer Bernardsville (Etats-Unis) De notre envoyé spécial Chaque jour qui passe crispe un peu plus les relations entre le PSG et Thiago Motta. Hier matin, le milieu de terrain italo-brésilien a refusé d'aller à l'entraînement en compagnie de Verratti, Ibrahimovic et Douchez, qui n'avaient pas participé la veille à la victoire face à Benfica (3-2) à Toronto (Canada). Et il n'était pas non plus sur le terrain lors de la séance collective de l'après-midi. Après avoir signifié à Laurent Blanc, en Autriche la semaine passée, son désir farouche de quitter la capitale, il en a fait de même avec Olivier Létang au téléphone vendredi dernier. Il attendait avec impatience l'arrivée du directeur sportif adjoint aux Etats-Unis programmée initialement samedi soir en compagnie de la nouvelle recrue Benjamin Stambouli. Mais Létang est finalement resté en France pour faire avancer le dossier Di Maria. Est-ce en apprenant l'absence de Létang hier matin que Motta a décidé de passer à l'acte ? En boîte de nuit avec Ibra La situation se complique sensiblement autour de ce cadre du vestiaire que Blanc et Al-Khelaïfi veulent absolument conserver et même prolonger jusqu'en 2017. L'agent de l'international italien maintient le contact avec le club et essaye de faire changer d'avis son poulain. Pour l'instant sans succès... La position radicale de Motta est difficile à comprendre puisqu'il répète qu'elle n'est pas liée à un problème salarial. L'explication est peut-être d'ordre personnel. Thiago Motta possède un logement à Barcelone et sa famille aimerait retourner vivre en Espagne. « La situation est toujours la même. Thiago a exprimé son désir et le club lui a récemment répété qu'il souhaitait le conserver, a expliqué Laurent Blanc hier. J'espère que ce dossier va se régler rapidement. En l'état, il n'est pas apte à jouer. » En attendant, Motta reste jovial avec ses coéquipiers et goûte aux joies de son séjour américain. Samedi soir, pendant que le reste de l'effectif était à Toronto, le milieu de terrain est allé dans une boîte de nuit branchée de New York avec Verratti, Douchez et Ibrahimovic. Plusieurs touristes français ont même eu le plaisir de croiser les joueurs. Le nom de la boîte ? Provocateur, ça ne s'invente pas... ![]() |
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,593 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé ![]() |
Citation Ibra comme à son zénith L’attaquant suédois, très affûté, envoie des signes de grande motivation pour sa dernière saison parisienne. IL N’A PAS la capacité aérobie de Blaise Matuidi, mais Zlatan Ibrahimovic s’accroche derrière le milieu français, en dépit de la chaleur étouffante du New Jersey. Il enchaîne les courses sur la largeur de terrain, encouragé par le préparateur physique, sans baisser de rythme, déterminé, affûté et… souriant, une fois l’exercice effectué. « Il a envie de faire une grosse dernière saison à Paris », confie un proche du groupe, comme une manière pour l’attaquant d’évacuer d’emblée la menace longtemps brandie par son entourage d’un départ de l’autre côté des Alpes. Jusqu’en juin 2016, Ibra sera parisien et, apparemment, il n’a pas l’air de s’en plaindre. Laurent Blanc non plus, d’ailleurs, qui apprécie le retour de vacances de son avant-centre (33 ans) avec une silhouette épargnée par les calories. Si l’entraîneur parisien ne l’a pas convoqué, samedi, à Toronto, contre Benfica (3-2), c’était avant tout pour limiter les risques de blessure : « Il aurait pu jouer dix ou quinze minutes, mais en dix ou quinze minutes, il peut s’en passer des choses. Ibra avait été protégé lors du premier match, comme Marco Verratti, parce qu’ils avaient des petites douleurs de reprise. Mais s’ils s’entraînent normalement d’ici à mardi (aujourd’hui), ils seront alignés contre la Fiorentina. Du moins, ils participeront au match. » La condition énoncée par Blanc a été respectée : le Suédois s’est entraîné normalement dimanche et hier. Et même un peu plus que normalement. Lundi, il a régalé la cinquantaine de supporters du PSG membres des fans clubs de New York et Montréal, invités pour l’occasion, avec une série de frappes et de reprises de volée aussi précises que puissantes. À CHACUN DE SES BUTS, IL LANCE À TRAPP : « WELCOME TO PARIS » À chacun de ses buts, sur un lob ou une fusillade, il fixait droit dans les yeux Kevin Trapp, l’objet de sa torture, et lui lançait un « Welcome to Paris » qui ne tirait aucun sourire au gardien allemand alors que Jean-Louis Gasset, l’adjoint de Blanc, applaudissait des deux mains. Lors des petites oppositions, il lui est arrivé d’aller au contact avec des jeunes du groupe et de les éjecter vers l’arrière sans un regard, juste avec le bruit des crampons pour accompagner leur chute, histoire de rappeler à tout le monde que le patron parlait toujours suédois. Et quand il se détendait, il moquait Zoumana Camara, désormais dans le staff, mais qui complète parfois une équipe dans les petits jeux, car il n’a pas assez appuyé une passe ou bien parce qu’il a perdu le ballon. L’Ibra sombre et ombrageux de la seconde partie de saison dernière semble avoir cédé la place, au moins momentanément, à celui chambreur et motivé, piquant et affûté, qui a régné sur Paris lors de ses deux premières années. « Il est à bloc, confirme Blaise Matuidi. C’est bien de le voir comme ça. Il nous donne des conseils, il a d’ailleurs toujours été de grand conseil. Il travaille toujours de la même manière, peu importe les joueurs qui sont à l’entraînement avec lui. Là, il y a beaucoup de jeunes, mais il s’entraîne comme si les plus anciens étaient là. On est contents d’avoir un Ibra comme ça, heureux d’être là, de pouvoir faire une grande préparation. J’espère vraiment qu’il fera une grande saison et qu’il nous marquera plein de buts. » Il a déjà commencé à l’entraînement. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,593 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé ![]() |
Citation Le bel été d’Augustin L’attaquant de dix-huit ans, meilleur buteur de la préparation du PSG, surprend par sa fraîcheur et son efficacité. L’UN SERA sans doute davantage utilisé que l’autre par Laurent Blanc cette saison, mais, en attendant, c’est « l’autre » qui séduit le technicien parisien pendant la période de préparation du PSG. Quand Lucas, l’un des rares « anciens » à avoir repris depuis le 6 juillet, pioche au cours des trois premiers matches amicaux du PSG, Jean-Kevin Augustin, l’un des nombreux jeunes du groupe, marque, s’éclate, réjouit et surprend par son efficacité estivale. Avec cinq buts en trois matches, cet attaquant de dix-huit ans dévore le temps de jeu que lui offre son entraîneur et il investit l’Amérique comme d’autres se ruaient vers l’or au XIXe siècle. Marquer à deux reprises contre une D3 autrichienne (Wiener SK) ne constitue pas nécessairement un exploit, mais ajouter trois autres buts et une passe décisive contre le Benfica Lisbonne puis la Fiorentina donne une autre dimension à l’été d’Augustin. Ces statistiques viennent également donner raison aux dirigeants parisiens, qui n’ont pas attendu que leur jeune joueur, arrivé au club en 2011 en provenance de Boulogne-Billancourt, atteigne la majorité pour lui faire signer son premier contrat pro en février, jusqu’en juin 2018. BAHEBECK ET ONGENDA, DES PRÉCÉDENTS PEU CONCLUANTS La saison passée, d’ailleurs, Laurent Blanc l’avait déjà intégré à quelques reprises dans son effectif pendant les entraînements, et il lui a mêmepermis de participer à quelques minutes de la demifinale de Coupe de France contre Saint-Étienne (4-1, le 8 avril), au cours de laquelle il avait offert une passe décisive à Zlatan Ibrahimovic. « Rien que le fait de s’entraîner avec l’équipe première la saison passée, on s’aperçoit que ça l’a fait progresser » , convient Blanc. Qu’il soit l’avant-centre de l’équipe, comme contre Benfica, ou bien aligné à côté d’Ibrahimovic, Augustin n’est jamais inhibé. Il tente les mêmes dribbles, s’essaie aux mêmes frappes et connaît, pour le moment, un taux de réussite qui traduit son absence de complexe. Il est capable de marquer à l’intérieur de la surface en enveloppant son ballon (contre Benfica) comme de frapper depuis l’extérieur avec le mêmebonheur (contre la Fiorentina), ce qui ne peut pas déplaire à son entraîneur. La saison dernière, le PSG n’a marqué que 5% de ses buts au-delà des seize mètres cinquante. Cela séduit aussi ses coéquipiers. « C’est un joueur très jeune, puissant et rapide, qui travaille beaucoup pour s’améliorer » , assure Gregory Van der Wiel. En écho, Blaise Matuidi ajoute : « Il a énormément de qualités, notamment celle de rester à l’écoute des autres. Surtout, il a devant lui ce qui se fait de mieux au monde. À lui d’être observateur et de continuer comme ça. » Avoir Zlatan Ibrahimovic devant soi peut, effectivement, être une source d’inspiration. Figurer dans le même effectif que le Suédois et Edinson Cavani peut aussi dresser quelques obstacles dans une quête de temps de jeu. Surtout, être performant en juillet ne suffit pas toujours pour exister les mois suivants. L’année dernière, Jean-Christophe Bahebeck avait connu une avant- sai son comparable (6 buts) et, celle d’ avant, c’est Hervin Ongenda qui avait brillé lors du Trophée des champions, à Libreville… L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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Citation Le PSG champion de la valorisation médias
ETUDE. Champion de France en titre, le Paris Saint-Germain décroche un nouveau trophée: celui de la valorisation médias des clubs de football. Le club a bénéficié la saison dernière de 168 heures, 44 minutes et 53 secondes d'exposition à la télé. Un espace que Kantar Sport a valorisé à 196,5 millions d'euros dans une étude que Stratégies publie en exclusivité. L'institut d'études, qui comptabilise chaque seconde de présence TV des clubs (matchs en direct, interviews, magazines, JT ), calcule l'équivalent publicitaire de cette exposition en se fondant sur les écrans publicitaires les plus proches. Et au final, ce sont toujours les Parisiens qui l'emportent. En temps d'antenne, le PSG, qui bénéficie déjà de 11% de visibilité TV supplémentaire par rapport à la saison précédente, fait plus de 50 heures de mieux que son suivant immédiat, l'AS Saint-Etienne. Les Stéphanois, sixième du championnat, ont profité de leur bon parcours en Coupe de France et en Coupe d'Europe (Europa League). Derrière, aucun club ne dépasse les 100 heures d'exposition. Stratégies.fr (il y a à priori un classement plus complet sur le site mais en accès payant) |
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Citation « JE SUIS HEUREUX À PARIS » EDINSON CAVANI, l’attaquant uruguayen du PSG, qui a vécu une Copa America mouvementée, raconte comment il a passé ces dernières semaines et comment il envisage les prochaines. Sur le toit d’un immeuble branché de Brooklyn, accompagné de David Luiz, Marquinhos, Serge Aurier et Blaise Matuidi, Edinson Cavani enregistre un spot publicitaire pour Nike, avec qui il est sous contrat depuis décembre. A priori, ce transfert sera le seul, à court terme, pour le « Matador », dont les envies de départ de Paris se sont atténuées. Détendu et souriant, l’avant-centre uruguayen (28 ans) n’avait repris l’entraînement que depuis trois jours au moment de l’entretien. Mais il ne semble pas mécontent d’avoir rejoint ses coéquipiers du PSG aux États-Unis, trois semaines après l’élimination de son équipe nationale par le Chili en quarts de finale de la Copa America. Ses vacances ont été courtes et il a dû digérer l’épisode de l’accident de voiture de son père, en état d’ébriété au moment des faits, et qui a provoqué involontairement le décès d’un homme de dix-neuf ans. « Pas de questions sur la vie privée », a-t-on insisté du côté de l’équipementier américain. Mais Cavani, lui-même, n’a pas esquivé le sujet. « VOUS RETROUVEZ LE PSG après trois semaines de vacances. N’est-ce pas un peu court, après une saison éprouvante ? – Quand on est en vacances, on a toujours l’impression que c’est trop court. C’est vrai qu’on a joué de nombreux matches la saison passée et, quand on est en congés, il faut savoir en profiter, bien couper aux côtés de sa famille. En fait, le meilleur moyen de revenir frais, c’est le repos, pouvoir récupérer mentalement. Mais, aujourd’hui, j’ai très envie d’être avec mes coéquipiers, de poursuivre ce qu’on a entrepris depuis quelques années et d’atteindre les objectifs du club. Là, je suis dans les premiers jours de la préparation, qui sont toujours un peu durs à digérer. Je suis forcément un peu fatigué, mais c’est logique à ce stade de la reprise. Vous avez vécu une fin de printemps éprouvante, tant sportivement, avec l’élimination en quarts de finale de la Copa America, que mentalement, avec des problèmes d’ordre privé. Comment vous sentez-vous aujourd’hui ? – J’ai vécu des moments pénibles, durs. Ce sont des périodes qui t’affectent évidemment, à tout point de vue. N’importe quel être humain serait touché par ce que j’ai vécu, c’est normal. J’ai connu une période de réflexion, d’introspection d’une certaine manière, et je me dis que ce sont des choses de la vie. Tu apprends beaucoup sur toi-même de ce type de périodes. Elles te font grandir en tant qu’homme. (Il laisse un silence.) Je me répète, mais la vie est ainsi faite. Il y a eu beaucoup de spéculations autour de votre avenir en fin de saison dernière. Êtes-vous sûr à cent pour cent de rester à Paris cet été ? – Écoutez, il s’est dit beaucoup, beaucoup de choses la saison passée, et je crois que cela aurait pu être évité. Après tout, cela fait partie de l’ambiance qui règne autour du foot. Ce que je peux dire aujourd’hui, c’est que le club sait très bien quels sont mes objectifs et quelle est ma façon de penser. C’est le plus important. J’ai un contrat avec le PSG (jusqu’en 2018) que je dois respecter. Je me sens très bien à Paris où je suis heureux et je l’ai toujours dit. J’ai juste évoqué avec le club certains détails dont je n’ai pas envie de parler. Quels sont vos objectifs, alors ? – Ce sont ceux du club. D’un point de vue personnel, c’est de marquer des buts, réaliser une grande saison, faire gagner l’équipe et faire progresser le club. Je suis dévoué à cent pour cent à ce groupe. Mon groupe. Vous êtes-vous fixé un objectif de buts avant le coup d’envoi de la saison ? – Il est logique qu’en tant qu’avant-centre, je me fixe des objectifs personnels. L’avant-centre vit du but, c’est notre contribution au club, à notre équipe. Mais j’ai aussi appris de mon expérience, avec des équipes différentes, que le plus important est surtout d’atteindre les objectifs collectifs. J’aurai beau marquer un certain nombre de buts, à la fin de la saison, on retiendra le nombre de trophées qu’on aura soulevés. On a aussi souvent évoqué votre positionnement. Cet été, avec l’Uruguay, vous avez joué dans l’axe ? – Oui. Est-ce vraiment à ce poste que vous vous exprimez le mieux ? – (Il se marre.) On en revient toujours à la même chose, et c’est normal. Je l’ai toujours dit, et je pense que toute la planète football le sait, que Cavani est un avant-centre et qu’il a fait ses preuves à ce poste. Après, Cavani présente d’autres caractéristiques qui peuvent aider son équipe, comme récupérer, donner un coup de main dans la zone défensive. C’est un plus important dont il faut tenir compte. Alors, oui, Cavani peut évoluer dans une autre position, c’est vrai. Mais j’aurai toujours un meilleur rendement en tant qu’avant-centre et je crois l’avoir démontré. Lors des deux derniers mois de la saison dernière, Laurent Blanc vous a tout de même aligné dans une position plus axiale, dans une forme de 4-4-2 en phase offensive… – Oui. Vous avez aimé ? – Vous vous imaginez quoi ? Que ça vous a plu. – Évidemment ! Et c’est normal. Avant de signer à Paris, j’ai joué pendant trois ans à Naples comme avant-centre. Pensez-vous que le PSG peut poursuivre dans cette configuration cette saison ? – Je l’espère. Je pense que ce système, qui me permet de rentrer davantage dans l’axe, peut très bien fonctionner. Mais ça dépend des choix de l’entraîneur. Avez-vous parlé avec Laurent Blanc pendant l’intersaison ? – Oui, on a parlé. Mais pas de ce sujet. De toute façon, il sait très bien ma façon de penser. Il sait aussi quels sont mes objectifs. J’ai déjà dit à quel poste je préférais évoluer. Pour que cette saison soit réussie, que doit remporter le PSG ? – (Il sourit.) Je crois que j’échangerais la Ligue des champions contre les autres Coupes… C’est une compétition tellement difficile. Tous les footballeurs évoluant au plus haut niveau mondial rêvent de la remporter. Oui, je l’échangerais contre d’autres trophées. » Citation En pointe à temps partiel ? Edinson Cavani pourrait être plus souvent aligné en pointe cette saison dans un 4-4-2 en losange. Mais sans doute pas lors des grands rendez-vous. HEUREUX À PARIS, Edinson Cavani a mis du temps à le devenir. En milieu de saison dernière encore, l’attaquant uruguayen avait émis le souhait, en privé, de ne pas revivre une troisième saison décalé sur un côté et l’idée d’un départ avait fait son chemin. L’Atlético de Madrid, la Juventus Turin et Manchester United avaient approché son entourage mais le PSG, informé de ces marques d’intérêt, avait tout de suite planté les barricades. D’abord par la voix de Nasser al-Khelaïfi, qui déclarait au Parisien que son attaquant, acheté 64 M€ en 2013, était intransférable ; ensuite par les retouches tactiques apportées par Laurent Blanc en fin de saison et un repositionnement plus axial de Cavani dans un système en 4-4-2 en losange, avec Pastore en soutien. Depuis, l’Atlético a recruté Jackson Martinez, la Juventus, Mario Mandzukic, alors que Manchester, qui a déjà attiré Depay, semble avoir jeté son dévolu sur le polyvalent Pedro. Du coup, les places d’avant-centre disponibles se sont raréfiées et le « Matador », qui a discuté avec son entraîneur, semble avoir des garanties sur son poste. Cette hypothèse d’un « recentrage » pourrait cependant atteindre ses limites lors des grands rendez-vous. Que Cavani soit aligné en pointe, à côté d’Ibrahimovic, contre le GFCO Ajaccio, Reims, Caen ou Troyes ne paraît pas utopique. Que ce soit le cas contre Lyon, Monaco, Barcelone ou Chelsea, en revanche… BLANC EST AUSSI ATTACHÉ À SON 4-3-3 Surtout que la très probable arrivée d’Angel Di Maria risque de condamner Pastore et pourrait avoir des conséquences tactiques. Blanc apprécie son 4-3-3 et il paraît enclin à le conserver avec Di Maria sur la gauche et Cavani sur la droite, ce qui conduira ce dernier à retrouver un côté qu’il voulait fuir à l’issue de sa première saison parisienne. Seulement l’Argentin n’assure pas toujours un repli défensif très féroce. Pour conserver un certain équilibre, ce sera donc à Cavani de compenser. Sur les phases défensives, le 4-3-3 du PSG pourrait donc se muer en 4-4-2 plus à plat, à l’image du Real Madrid de Carlo Ancelotti. Au Real, c’est Cristiano Ronaldo et Benzema qui restaient en pointe et Bale se replaçait couloir droit alors que James Rodriguez devenait son pendant à gauche. Au PSG, Cavani risque de devoir endosser le rôle de Bale et Matuidi celui de James. Les deux à la récupération seraient alors Verratti et X… X parce que Thiago Motta n’est pas sûr de rester. L’Italo-Brésilien de trente-deux ans est jusqu’à présent le garant d’un bloc compact. S’il part, c’est parce que le PSG lui aura trouvé un remplaçant (voir par ailleurs) mais, d’ici là, Blanc va devoir trouver des solutions. Dans les compétitions nationales, Adrien Rabiot et Benjamin Stambouli devraient être ceux qui assureront le rôle de pointe basse, telle est la raison pour laquelle l’ancien Montpelliérain a été recruté. Lorsqu’il faudra imposer plus d’impact défensif, l’entraîneur parisien pourrait demander à David Luiz de remplir cette fonction et placer Marquinhos en défense centrale. Mais Paris ne remplacera pas Motta facilement et c’est toute l’équipe qui devra fournir des efforts. Cavani l’a compris. Et lorsqu’il dit sans aucune animosité que son profil est celui d’un avant-centre, il a également conscience que ses qualités intrinsèques offrent d’autres perspectives à son entraîneur. Pour le plus grand bonheur de ce dernier. Citation Le mur de l’Atlantique Dans sa volonté d’internationalisation, le PSG souffre de la comparaison, aux États-Unis, avec les grands d’Europe. Il ne renonce pas pour autant. LA RECONNAISSANCE outre-Atlantique du Paris-Saint-Germain ne se fera pas en un jour, et sans doute pas en quinze non plus. Depuis que les champions de France ont posé les pieds en Amérique du Nord, ils suscitent davantage la curiosité qu’ils ne soulèvent un véritable déferlement médiatique et populaire. Pourtant, la direction du club ne ménage pas ses efforts pour diffuser la marque PSG aux États-Unis, entre opérations marketing à New York, séances d’entraînement ouvertes au public du New Jersey avec dédicaces à la clé ou interviews avec les médias américains. Parce qu’elle croit en ce marché, peut-être même plus qu’à l’Asie, et qu’elle refuse d’y laisser la place aux mastodontes européens comme Manchester United, Chelsea, Barcelone ou le Real Madrid, dont l’avance demeure très confortable dans cette région. Même le Benfica Lisbonne y jouit d’une notoriété supérieure. À Toronto, le 18 juillet, les trois quarts des 17 843 spectateurs du BMO Field (qui contient 25 000 places) supportaient les champions du Portugal, et le quart restant était en fait des fans du Toronto FC qui avaient choisi de rester après le match de MLS de leur équipe plutôt que de se rendre au stade de beach-volley, cent mètres plus loin, plus bruyant et plein à craquer, où se tenaient les Jeux Panaméricains. Au milieu, quelques maillots du PSG se frayaient un chemin. Et à Charlotte, face à Chelsea, une semaine plus tard, le Bank of America Stadium ne résonnait que de chants anglais. Dans le quartier français de la ville tout proche de l’enceinte, envahi par des fans des Blues, le malheureux qui osait s’aventurer avec un tee-shirt de Paris floqué au nom d’Ibrahimovic entendait des « wankers, wankers» (« branleurs, branleurs »), gestes démonstratifs à l’appui, escorter son passage. « On est aussi une population qui se déplace moins que d’autres », souligne-t-on au club pour justifier ce retard. À Harrison, de l’autre côté de l’Hudson River où est posée la Red Bull Arena, face à la Fiorentina, le soutien populaire de Paris était néanmoins plus conséquent. Les cent soixante membres du New York PSG fan club chantaient comme s’ils étaient au Parc des Princes, et les Parisiens pouvaient légitimement se sentir plus appréciés. « Disons qu’à New York, le club est plus connu, explique Julian Stein, président du fan club local. Jusqu’en 2012, on ne voyait quasiment jamais de maillots dans les rues. Aux États-Unis, seuls les Français y vivant connaissaient le PSG avant. Là, c’est différent. Cela devient une marque internationale en grande partie grâce à Zlatan Ibrahimovic. Sa présence a tout changé. C’est aussi une star dans cette ville. L’arrivée des Brésiliens a également eu un impact. Maintenant, on est encore à des années-lumière des clubs de Premier League, du Barça, du Real et des plus grands clubs italiens. » Les Anglais ont investi le marché nord-américain depuis plus longtemps. D’abord en offrant quasiment les images de leur Championnat au milieu des années 1990, puis en venant sur place pour des matches exhibitions ou de préparation estivale. La Premier League et ses stars sont désormais diffusées sur NBC Sports alors que la Ligue 1 et sa star Ibra le sont sur beIN Sports, qui n’a pas le même rayonnement dans cette partie du globe. « Parfois, quand on se réunit au Legends, notre QG dans la 33e rue à New York, pour les matches du PSG, on est même obligés de les regarder en streaming », sourit Julian Stein. Le déficit d’intérêt du PSG aux États-Unis est également lié à son absence au palmarès de la Ligue des champions, seule compétition qui trouve grâce aux yeux du public américain. Des tournées de ce type demeurent malgré tout indispensables à l’émancipation du club de la capitale. À défaut d’avoir un impact immédiat, elle suscite un début d’appétit, comme lorsque le bus de l’équipe, peint en rouge et bleu et barré d’un « PSG loves US », déambule dans les rues new-yorkaises. « On ne passe pas inaperçu », sourit Laurent Blanc. Pendant une heure, le 22 juillet, un écran géant du mythique Times Square faisait défiler des spots publicitaires à l’effigie de joueurs du club de la capitale, sur lesquels étaient inscrits : « PSG : 20 millions de fans. » Des fans qui sont surtout de l’autre côté de l’Atlantique. Si le nouveau maillot blanc extérieur du PSG est mis en évidence au Niketown de Manhattan entre ceux de basket, de foot américain ou de baseball, ce n’est pas l’article qui s’arrache le mieux. Devant la Red Bull Arena, quelques échoppes officielles avaient également été installées avant le match contre la Fiorentina mais, là encore, les recettes ont été limitées, le chaland américain ne se bousculant pas au portillon. Et quand Barcelone-Manchester United, dans le cadre du même tournoi (International Champions Cup) à Santa Clara (Californie) affichait complet depuis plusieurs jours, celui entre Manchester et Paris, à Chicago, cette nuit, n’était pas à guichets fermés. Et il était surtout aux couleurs des Red Devils. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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Citation Une tournée riche en émotions Le PSG vient de passer trois semaines en Amérique du Nord, où il a peaufiné sa forme et parfaitement lancé sa saison. Retour en anecdotes sur un voyage qui aura marqué les esprits parisiens. Montréal (Canada) De l'un de nos envoyés spéciaux Les parisiens ont dû pousser un léger ouf de soulagement, hier matin vers 8 h 30, à leur retour en France après trois semaines de tournée en Amérique du Nord. Ce périple, qui les a conduits dans une petite dizaine de villes, s'achève sur une bonne note avec le premier titre de la saison (2-0 contre Lyon lors du Trophée des champions). Mais il n'a pas été de tout repos et n'a pas non plus manqué de moments sympathiques et croustillants. Plongée dans les coulisses de la tournée américaine d'Ibrahimovic et consorts. Un niveau déjà prometteur Avec deux coupes glanées, l'International Champions Cup (ICC) et le Trophée des champions, le PSG a réalisé un carton plein. C'est surtout la maîtrise affichée qui a impressionné. L'effectif a peu évolué ces trois dernières années, et les deux recrues Trapp et Stambouli (en attendant Di Maria qui passe sa visite médicale à Doha) se sont parfaitement acclimatées. D'autres éléments semblent avoir pris une nouvelle dimension, à l'image d'Aurier, meilleur Parisien de la préparation. Et Ibrahimovic, en difficulté la saison dernière, paraît très motivé et de retour en forme. Seuls bémols : le Suédois rentre blessé au genou et Thiago Motta et Van der Wiel ont quelques états d'âme. L'Italo-Brésilien veut partir, alors que ses dirigeants souhaitent le conserver. Tout l'inverse pour le Néerlandais. Des conditions parfois délicates « Je suis satisfait de la préparation et des conditions », a plusieurs fois répété le coach Laurent Blanc. La vérité est plus mitigée. L'hôtel et le lieu d'entraînement ont souvent été jugés de qualité médiocre par le PSG. L'ancien sélectionneur a regretté ouvertement que les pelouses ne soient pas tondues plus ras. Mais ce qui a le plus agacé, ce sont les temps de voyage pour se rendre de l'hôtel à l'entraînement. Notamment dans le New Jersey entre Morristown et Bernardsville. A raison d'une demi-heure par trajet et de deux séances par jour le plus souvent, ils ont passé deux heures quotidiennement dans leur bus. Une fatigue supplémentaire loin d'être idéale pour récupérer en pleine préparation après les lourdes charges de travail imposées sous une chaleur parfois accablante. Cavani seul dans la nuit Au-delà de ces questions organisationnelles, le PSG a pu constater que sa cote de popularité en terre américaine avait progressé depuis le voyage de 2012. Les fans parisiens ont répondu présent. L'un d'eux a même couru à côté du bus des joueurs pendant plusieurs centaines de mètres jeudi à Montréal ! En récompense, il a eu droit de monter à bord et d'assister à l'entraînement. Silva et ses coéquipiers ont joué le jeu, le club aussi en organisant plusieurs rencontres et séances d'autographes. Mention spéciale à Edinson Cavani qui, un soir, bien après le dîner, est ressorti seul de l'hôtel pour satisfaire une petite dizaine d'inconditionnels d'origine sud-américaine, présents quasi quotidiennement devant la résidence. Les cadeaux de David Luiz Un autre Parisien, mais lui coutumier du fait, a multiplié les gestes de classe : David Luiz. Le Brésilien a offert aux trois jeunes du centre de formation (Demoncy, Taufflieb et Eboa Eboa), rentrés le dimanche 26 juillet en France, un maillot dédicacé en guise de cadeau de départ. Il a récidivé à Chicago en accueillant un jeune garçon venu du Kansas et portant la même touffe de cheveux que lui. Le fan a eu droit à une photo et à une précieuse tunique portant le n° 32. Nez à nez avec les Stones Un long périple comme celui-ci réserve son lot de désagréments. Encore plus quand on est aussi nombreux que les membres de la délégation du PSG, pas loin de 80 personnes rien que dans le New Jersey (ils étaient 150 pour le club de Manchester United). Sur la fin, les relations avec l'hôtelier se sont refroidies. Le PSG aurait dépassé de près de 40 000 € le forfait initial prévu. Le lundi 27 juillet, pour leur avant-dernière soirée dans leur camp de base, staff et joueurs sont allés dans un restaurant italien. Montant de l'addition : 6 000 €. La carte bancaire requise pour payer n'a jamais été acceptée, et il a fallu en utiliser trois pour régler la note. Le PSG a aussi dû dépêcher en urgence un salarié du centre de formation afin de lui ramener trois jeux de maillots pour le Trophée des champions, soit 80 pièces environ. Ceux qui avaient été préparés n'étaient pas conformes en raison d'une erreur de flocage sur une manche. Coût de la bourde : plusieurs dizaines de milliers d'euros... Au-delà de ces contrariétés, il y a eu aussi de jolis clins d'oeil. Comme le samedi 25 juillet, sur le tarmac de l'aéroport de Charlotte, juste avant de repartir pour le New Jersey, l'avion du PSG s'est retrouvé nez à nez avec celui des Rolling Stones, actuellement en tournée. Une brève rencontre entre rock stars. ![]() |
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 77,456 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade ![]() |
Citation Thiago Motta se fait à l'idée de rester au PSG Vendredi soir, à Lille, Thiago Motta n'a guère plaidé sa cause. Entré en jeu après la pause, alors que le PSG était réduit à dix à la suite de l'expulsion d'Adrien Rabiot, l'Italo-Brésilien s'est une fois encore imposé comme le régulateur du jeu parisien. S'il n'a jamais caché ses velléités de départ et notamment son envie de rejoindre l'Atlético Madrid, le milieu de terrain n'a pas hésité à mettre de côté ses états d'âme pour le bien de l'équipe. Un bel état d'esprit donc mais qui cache aussi une amorce de revirement de situation. Depuis quelque temps, Motta, 32 ans, semble avoir évolué dans sa réflexion. Il se montre désormais sensible aux arguments du club pour le persuader de rester. Les dirigeants parisiens ne cessent de louer son travail, le déclarant «irremplaçable», «indispensable», «intransférable». Laurent Blanc, qui l'a souvent décrit comme «l'ADN du PSG», ne veut pas non plus entendre parler d'un départ. Et il n'hésite pas à lui faire savoir. Le joueur sait aussi qu'il aura du mal à convaincre son président de le libérer. Jeudi dernier, lors de la présentation à la presse de la nouvelle recrue phare, Angel Di Maria, Nasser Al-Khelaïfi a d'ailleurs clamé haut et fort que «Thiago Motta restera au club». Négociations sur son salaire Plutôt que d'aller au bras de fer, l'Italien commence donc à se faire à l'idée de poursuivre l'aventure à Paris. L'optimisme semble désormais de rigueur au club. Le camp Motta, lui, cache ses sentiments. «La discussion continue et la solution viendra du dialogue entre les deux parties. Thiago Motta a encore un an de contrat et nous respectons ce qu'a dit le président Nasser Al-Khelaïfi», précise son agent, Alessandro Canovi, joint hier. Les négociations se poursuivent afin que le joueur obtienne un rang — et donc un salaire — à la hauteur de son talent. «Aujourd'hui, tout est sur la table, qu'il s'agisse d'une libération de sa dernière année de contrat, d'une revalorisation voire d'une prolongation, indique son agent. Je ne sais pas ce qu'il va se passer lors des prochains jours.» A Paris, on espère régler au plus vite ce dossier. Les dirigeants, qui ont déjà recruté Stambouli pour remplacer Cabaye et donc Thiago Motta quand il est indisponible, n'ont guère prévu de se mettre à la recherche d'un autre milieu de terrain. D'autant plus que la tâche serait ardue. Même libéré des sanctions du fair-play financier, le PSG aurait bien du mal à dénicher en plein mois d'août, sans dépenser des fortunes, un joueur du calibre et du talent de Thiago Motta, sentinelle indispensable et rare dans le monde du football. Citation Di Maria reprend l'entraînement avec son nouveau club Après la présentation officielle jeudi, le déplacement à Lille pour soutenir ses nouveaux partenaires vendredi et avant sa présentation officielle au public du Parc des Princes dimanche, Angel Di Maria (27 ans) est devenu un joueur à part entière du PSG hier après-midi. L'international argentin acheté 63 M€ à Manchester United a effectué son premier entraînement avec ses coéquipiers sur les pelouses du camp des Loges et sous un soleil de plomb. Celui qui loge encore dans un grand hôtel parisien est arrivé deux heures avant la séance qu'il a débutée par un footing aux côtés notamment de son ami Ezequiel Lavezzi, avec qui il a pu converser. El Fideo (le vermicelle, en français) a ensuite effectué un travail individualisé avec le préparateur physique Nicolas Mayer. Le nouvel attaquant a multiplié les courses en marge de la séance collective, parfois à une allure soutenue, ce qui semble indiquer que sa blessure aux ischio-jambiers, contractée le 4 juillet dernier lors de la finale de la Copa America perdue par l'Argentine face au Chili, n'est plus qu'un mauvais souvenir. Il a très peu touché le ballon mais assez pour effectuer quelques passes en remise. Pas d'autographes pour les supporteurs «La blessure est cicatrisée et je me donne maintenant deux ou trois semaines», avait indiqué le néo-Parisien jeudi dernier. A l'aune de la séance effectuée hier après-midi, on peut raisonnablement tabler sur un retour de l'ancien Madrilène à la compétition le 30 août face à Monaco. Mais Di Maria a déjà pu montrer quelques facettes de son talent puisqu'il a dribblé les fans venus l'attendre à la sortie du camp des Loges. L'attaquant, qui a quitté le centre d'entraînement vers 18 h 30 à bord d'une berline avec chauffeur, n'a pas pris le temps de leur accorder l'autographe ou le selfie tant convoité. De nouveaux examens pour Ibrahimovic Ces inconditionnels n'ont pas eu plus de chances avec Ibra. L'avant-centre suédois s'est aussi rendu très tôt dans l'après-midi au centre d'entraînement, avant d'en repartir vraisemblablement pour passer de nouveaux examens à la suite de son entorse au genou droit. Contractée le 1er août lors du Trophée des champions, celle-ci l'a déjà privé du déplacement à Lille et cela pourrait encore être le cas dimanche pour la réception du Gazélec Ajaccio. Enfin, Lucas Digne dont le prêt à la Roma devrait être officiel dans les jours qui viennent, était également présent et a participé à l'intégralité de la séance. Citation MEMO PSG Lundi. Exercices physiques et mini-opposition. Mardi. Entraînement à huis clos. Infirmerie. Ibrahimovic (genou). Rendez-vous. PSG - Gazélec Ajaccio, 2e journée de Ligue 1, dimanche à 21 heures (Canal +). ![]() -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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Citation REMO, 23 ANS, MASCOTTE DU PSG Ils ont un métier peu commun et nous en parlent. Aujourd'hui, Remo, un étudiant de 23 ans, nous parle de sa mission de Germain le lynx, mascotte du club du PSG. Être Germain, pour Remo, c’est une histoire de famille. Avant lui, le poste avait été occupé… par son cousin. Ce dernier l’a fait entrer au PSG, d’abord en tant que vacataire. Puis, un jour où le Germain de l’époque n’était pas disponible, Remo a pu se glisser dans le costume de ce lynx souriant aux yeux bleus pour soutenir l’équipe féminine du PSG au stade Charléty: «Il y avait une très, très bonne ambiance, se souvient-il, attablé dans un café en face des locaux du PSG. C’était sympa, on a dansé, j’ai pris plein de photos avec les petits.» Un bon souvenir qui se répète régulièrement, puisque Remo a pris la place du «Germain titulaire» depuis trois saisons. Au Parc des Princes, avant et pendant le match, il a pour mission de divertir et de préparer le public, notamment le Junior Club, qui rassemble les supporters âgés de 8 à 14 ans. Un boulot prédestiné pour ce supporter «à fond depuis tout petit» de l’équipe parisienne: «Je suis entré au PSG parce que j’adorais le club. Quand j’ai commencé à faire Germain, ça a été le kif total, je rencontrais les joueurs, je voyais comment cela se passait de l’intérieur. Et je n’ai pas été déçu du tout.» Depuis l’année dernière, Germain ne foule plus la pelouse et est cantonné aux coursives, au plus près du public parisien pour la coupe de la ligue et la coupe de France. Le jour de chaque match à domicile, il arrive un peu plus de deux heures avant le coup d’envoi, puis revêt son habit de félin: «Mon travail vise surtout l’avant-match: il faut occuper les gens, qu’ils n’attendent pas trop. Je repasse à la mi-temps, je vais voir ceux que je n’ai pas pu croiser.» Dès le début de la seconde mi-temps, Germain raccroche les crampons. "GERMAIN DOIT ÊTRE DISPONIBLE TOUT LE TEMPS" Dans le civil, Remo abandonne le costume et les tâches du lynx. Etudiant en génie industriel, le jeune homme originaire de Bobigny s’apprête à enchaîner un nouveau cursus universitaire –et une nouvelle saison dans les crampons de Germain: «Tant que j’aurai le temps, je serai Germain! Il doit être disponible un peu tout le temps, que ce soit avec le Junior Club ou pour les matchs», explique-t-il. S’il venait à manquer des missions, il en sera «très triste»: «C’est une super bonne expérience d’être Germain». Il partage cette tâche avec d’autres employés du club parisien, mais tâche d’être le plus souvent possible présent. Si ses amis voient surtout dans ce travail la proximité avec les joueurs, Remo a appris à prendre du recul: «Au début, se souvient Remo, cela m’avait vachement attiré. Mais, progressivement, ça a changé: c’est surtout rendre les enfants heureux qui m’intéresse.» Poser avec les membres du Junior Club, les divertir et les amuser sont sa priorité numéro 1. Il peut s’appuyer sur un collègue qui le guide, organise les séances photos et de jeu. Une aide précieuse dont ne bénéficient pas toutes les mascottes –Remo a déjà rencontré ses homologues lyonnais et auxerrois, dont leurs costumes ne valent apparemment pas son apparat de lynx. Être Germain, c’est un travail physique. Il faut pouvoir se déplacer dans l’imposant costume… et faire des pompes dans cette tenue avant le début de chaque match, une tradition. PLAQUÉ AU SOL ET AIDÉ PAR LES STARS DU PSG Cette position a permis à Remo de se fabriquer d’intenses souvenirs, comme après la finale de la ligue contre Lyon, en 2014: «C’était mon premier match au Stade de France. On avait gagné, et je suis allé sur le terrain avec les joueurs. Ils m’ont tous sauté dessus et plaqué par terre!» S’il concède que la scène «a l’air un peu bizarre», c’était pour lui «un moment unique»: «Je suis supporter du club. Donc à cet instant, je partageais la victoire avec eux, je sautais, je dansais, je chantais.» Il a pu bénéficier de l’aide de Pastore et d’Edinson Cavani pour se relever, ce qui lui était impossible seul. Il ne se risque pas à donner le nom du joueur le plus sympa, mais a de drôles d’anecdotes avec eux: «L’année dernière, quand Marquinhos m’a mis un coup, la tête de Germain s’est envolée», se souvient Remo. Ce sont les stars du club qui lui ont permis de redevenir pleinement un lynx, sans briser la magie: «Cavani m’a caché, Lucas Digne a ramassé mes lunettes, et Pastore ma tête. C’était un sacré moment à vivre!» Il profite d’un anonymat complet: «Même si les gens ne me reconnaissent pas sur les photos, je sais que c’est moi», s’amuse-t-il. A son arrivée, Germain le lynx n’a pas emporté le cœur des fans du PSG. Mais Remo, lui, se concentre sur son jeune public, les aficionados de demain: «Rendre les gens joyeux, c’est ma mission principale». parismatch.fr ![]() |
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Citation Ce jeune qui a tapé dans l'œil de Laurent Blanc C'est Laurent Blanc qui le dit : « On l’a pris, mais peu de monde le connaissait. Nous, oui, parce qu’on l’avait vu jouer la saison dernière. Il est intéressant et très jeune. Cependant, il n’est pas encore formé et pas prêt pour se préparer à une saison en Ligue 1. Mais on va le faire travailler. C’est le rôle du PSG, c’est son club formateur, c’est son club. » En apprenant ces commentaires de l’entraîneur parisien le concernant pendant la tournée nord américaine en juillet, Christopher Nkunku a « été surpris et content d’entendre ces mots venus d’un grand entraîneur ». Agé seulement de 17 ans — il sera majeur le 14 novembre —, le natif de Lagny (Seine- et-Marne) est ressorti grandi et porté par l’enthousiasme qu’il a suscité auprès du staff technique et de ses prestigieux partenaires après les deux semaines passées à leurs côtés. Déjà titulaire lors du match amical contre Wiener SK (3-0) en conclusion du stage de préparation effectué en Autriche mi-juillet, il était de nouveau aligné dans le onze de départ parisien contre le Benfica Lisbonne (3-2) — où Blanc l’avait mentionné par — mi les satisfactions du match — et la Fiorentina (4-2), puis il est entré en jeu contre Chelsea et Manchester United lors des quatre rencontres disputées outre-Atlantique. « J’ai aussi eu la chance de vivre le Trophée des champions aux côtés des pros, n’oublie pas de mentionner Christopher Nkunku. Même si j’avais déjà participé à des entraînements avec les pros la saison dernière, j’étais un peu intimidé au début. Mais j’ai été mis à l’aise par Serge Aurier ou Maxwell qui m’ont aidé à m’intégrer. J’ai écouté aussi les conseils de Thiago Motta. C’est plus facile d’apprendre lorsqu’on s’entraîne aux côtés de grands joueurs comme eux. » «J’espère signer bientôt un contrat pro» C’est au sein de l’équipe réserve du PSG que celui qui s’inspire du jeu de Marco Verratti — « qui, comme moi, n’a pas un gros gabarit mais sait bien jouer de son corps » — entend poursuivre sa progression. « Christopher va apprendre la rudesse des seniors (NDLR : il mesure actuellement 1,59 m pour un poids de 46 kg). Et cela va lui permettre de muscler son jeu, juge Laurent Huard, son entraîneur en CFA. Il a des capacités à se projeter vers l’avant mais doit aussi travailler la récupération, car c’est d’abord un milieu de terrain. » Un poste qu’il occupe depuis ses débuts à Marolles-sur-Seine. Sa trajectoire passe ensuite par les moins de 13 ans de Fontainebleau puis l’INF Clairefontaine jusqu’en moins de 15 ans et son entrée au centre de formation du club de la capitale en 2012. « Le PSG, c’était un rêve, jure celui qui vient de décrocher un bac ES. J’espère signer bientôt un contrat pro et, pour cela, j’ai envie de montrer que je suis capable de faire encore plus. » Il en aura l’occasion aussi avec l’équipe des moins de 19 ans, engagée notamment en Youth League (la Ligue des champions des jeunes) et en Coupe Gambardella, deux trophées qui ont échappé au club la saison dernière. ![]() -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,791 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé ![]() |
Citation AS Rome : Digne ne regrette pas son choix Arrivé à Rome en toute fin de Mercato, Lucas Digne a débuté son aventure italienne par une victoire face à la Juventus Turin. De quoi le conforter dans son choix en vue de son objectif de la saison : l'Euro en juin prochain. Baptême du feu réussi pour Lucas Digne. Le jeune défenseur français (22 ans), transféré du PSG à l’AS Rome en fin de Mercato, a débuté sa carrière en Italie par une victoire face à la Juventus Turin. De quoi évidemment le conforter dans son choix de rejoindre la Serie A et la capitale italienne. « J’ai fait mes débuts dans un grand match et tout est allé très vite, explique-t-il dans les colonnes du Corriere Dello Sport. Je suis arrivé quelques jours plus tôt dans la semaine et les quelques séances d’entrainement m’ont permis de participer et de contribuer à une grande victoire pour les supporters et pour le club. J’espérais jouer comme tous les autres joueurs. Je veux jouer tous les matchs. » Un petit tacle à Laurent Blanc Après deux saisons frustrantes du côté de Paris où il n’a jamais réussi à bousculer la hiérarchie (30 matchs de L1 en deux ans), l’ancien Lillois a perdu sa place en équipe de France, lui qui était pourtant du voyage au Brésil pour la Coupe du Monde 2014. Son arrivée à la Roma va évidemment da ce sens. « C’est à moi de continuer dans cette voie et de revenir dès que possible en sélection. Mon objectif est de participer à l’Euro (…) J’ai demandé à quitter le Paris Saint-Germain parce que je voulais plus de temps de jeu, que l’AS Rome me voulait et que j’avais choisi ce projet. Tout le monde en Europe connait ce club. C’est un grand défi et je suis heureux d’être ici. » Et aussi visiblement de ne plus travailler avec Laurent Blanc : « Ma relation avec lui ? Bonne question… Juste une relation professionnelle je dirais ». ![]() -------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,092 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée ![]() |
Citation PSG : un centre d'entraînement à 300 M€! Thiverval-Grignon (Yvelines), hier. Le club parisien espère établir son futur quartier général autour du château de Grignon, avec ses nombreux bâtiments d’époque ainsi que des parcs et jardins à perte de vue. Pour construire le centre d'entraînement de ses rêves, le PSG a vu grand. Très grand, même. Selon le budget prévisionnel établi par le club, une enveloppe globale de 300 M€ sera consacrée à ce projet au cours des prochaines années. « Ils veulent bâtir le nec plus ultra des centres d'entraînement, un outil de travail susceptible de fonctionner pendant une cinquantaine d'années, raconte un connaisseur du dossier. Dans l'idée, le projet est inspiré à la fois de Milanello (NDLR : le centre d'entraînement de l'AC Milan, référence des années 1980 et 1990 en la matière) pour sa fonctionnalité et du centre Aspire à Doha pour sa modernité et son gigantisme. » Contacté, le PSG n'a pas souhaité commenter nos informations. Une chose est sûre, cette enveloppe de 300 M€ n'a pas d'équivalent en France. A titre de comparaison, le dernier-né des centres d'entraînement, celui du Losc, n'a coûté qu'une vingtaine de millions d'euros. A l'échelle européenne, en revanche, un autre bijou existe dans la même gamme de prix. Il s'agit du City Football Academy, le nouveau centre d'entraînement de Manchester City livré fin 2014 pour un coût estimé de 280 M€. Ce projet stratégique occupe les têtes pensantes du PSG depuis 2012. Il est aujourd'hui sur le point d'aboutir. 18 terrains de foot et un stade de 5 000 places Après quelques années de recherches infructueuses, Jean-Claude Blanc, directeur général délégué du club en charge de ce dossier, a jeté son dévolu sur un parc de 350 ha situé à Thiverval-Grignon, une commune des Yvelines de 1 100 habitants, située à 30 km des portes de Paris. Propriété du ministère de l'Agriculture, « le site de Grignon » est disponible à la vente. Reste que l'officialisation du rachat, prévue autour de la fin novembre, se fait toujours attendre. « Il est possible que le PSG attende le résultat des élections régionales pour se positionner définitivement, histoire d'éviter le moindre risque de blocage politique ultérieur », interprète une partie prenante du dossier Thiverval-Grignon. Le possible futur quartier général du PSG comprend notamment un château Louis XIII avec, en face, une maison du même style, de nombreux bâtiments d'époque et surtout des dizaines d'hectares de jardins et de terres. Largement suffisant pour accueillir les 18 terrains de football prévus dans le cahier des charges. Une partie du site serait réservée à l'effectif professionnel, d'ici à 2017. L'autre serait dévolue dans un deuxième temps au centre de formation, d'ici à 2019 ou 2020, lorsque les étudiants et les chercheurs de l'Institut des sciences et industries du vivant et de l'environnement (AgroParisTech) auront déménagé. Enfin, un stade de 5 000 places et un parking de 1 000 places doivent sortir de terre. Côté logistique, la présence d'un aérodrome à Saint-Cyr-l'Ecole, situé à un quart d'heure de route, pourrait permettre au PSG d'optimiser ses temps de transport. D'abord sceptique, notamment à cause de l'éloignement relatif de la capitale, le président Nasser Al-Khelaïfi se serait laissé convaincre par le standing et l'originalité des lieux. Aujourd'hui, le site de Grignon a donc la faveur des pronostics. Loin devant « les terrasses de Poncy » à Poissy. Quant à la commune de Saint-Germain-en-Laye, berceau du club mais désormais hors course, elle devra à l'avenir se contenter d'accueillir la structure féminine et les équipes amateurs. ![]() http://videos.leparisien.fr/video/les-proj...12-2015-x3hjgrx ![]() |
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Citation Le son de Phil Collins de retour à l'entrée des joueurs ! Depuis le 28 novembre et un hommage rendu aux victimes des attentats de Paris, les joueurs du PSG entraient sur le terrain avec le chant «Ô Ville Lumière». Un changement qui avait fini par choquer les supporters du Parc des Princes. Selon les informations de France Bleu 107.1, les Parisiens vont enfin retrouver le son de Phil Collins «Who said I Would», qui les accompagne depuis 1992. Face à Angers, les deux morceaux cohabiteront, ce qui devrait se poursuivre jusqu'à la fin de la saison. ![]() -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 14,440 Inscrit : 20/01/2009 Lieu : PARIS 6ème Membre no 639 Tribune : Non précisée ![]() |
QUOTE Sarkozy interdit de stade et de PSG ? Nicolas Sarkozy indésirable dans les tribunes du Parc des Princes ? Ce serait cruel pour cet amoureux sincère du Paris-SG, qui bravait le froid pour voir son club de cœur alors que celui-ci était la risée du monde du foot hexagonal. Mais on en est là: les propriétaires qataris du club de la capitale se passeraient bien désormais de la présence du président du parti Les Républicains. Qu’ils accusent – sans avoir formulé leurs reproches au principal intéressé – d’être une sorte d’épouvantail et de faire fuir certains des adversaires politiques de Sarkozy ; adversaires avec lesquels les Qataris aimeraient pourtant s’entretenir de choses et d’autres dans l’atmosphère conviviale d’un match remporté par trois ou quatre buts d’écarts (le tarif de base pour les équipes visiteuses) par les vedettes parisiennes. Le monde est ingrat: c’est ce même Sarkozy qui a initié le rachat du club parisien par les Qataris en 2011, un investissement dont l’Emirat a tiré un bénéficie incontestable en termes de visibilité et d’image et dont il persiste à se dire très satisfait à l’heure où ses investissements à l’étranger sont en recul. Faut-il voir dans cet ostracisme la difficulté qu’a Sarkozy à prendre pied dans la prochaine présidentielle ? Est-il moins porteur aujourd’hui pour l’Etat gazier ? On se souvient d’un temps où une ministre socialiste avait bien du mal à obtenir une invitation en bonne et due forme dans ces tribunes du Parc où Sarkozy plastronnait en famille. La belle époque… Libération |
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,481 Inscrit : 05/03/2010 Lieu : Paris Membre no 1,554 Tribune : Non précisée ![]() |
Citation Les dessous de l’affaire Cavani FOOTBALL. Ligue 1. PSG - Lorient. Même s’il devrait être titulaire ce soir au Parc, l’attaquant uruguayen traverse une période sombre. Son départ en vacances prématuré avant Noël continue de faire jaser. MEILLEUR BUTEUR du club la saison passée, Edinson Cavani n’est plus en odeur de sainteté au PSG. Son statut de titulaire, incontesté lors de la première partie de saison et des deux précédents exercices, s’est brutalement effrité il y a quelques semaines, au retour de la trêve hivernale. Depuis début janvier, l’Uruguayen, 13 buts toutes compétitions confondues, doit ainsi se contenter des rencontres de coupes nationales, au sein de l’équipe bis du PSG, qu’il traverse sans trouver le chemin des filets. Lors des matchs de Ligue 1, le Matador rumine sa frustration, observant depuis le banc de touche les prestations de Lucas, devenu son supérieur hiérarchique en attaque aux côtés d’Ibra et de Di Maria. Ce soir, pour des raisons liées à la rotation de l’effectif, Cavani, bientôt 29 ans, devrait toutefois figurer dans le onze de départ face à Lorient. Sans doute pour mieux se rasseoir sur le banc dimanche à Marseille. Comment expliquer cette disgrâce soudaine ? « Edinson n’est pas mis à l’écart pour des raisons sportives, estime l’un de ses très proches. Rappelez-vous qu’Edinson a marqué trois buts en décembre (NDLR : face à Nice, Lyon et Saint-Etienne). Il ne comprend pas ce qui se passe. Il n’a pas eu d’explication de la part de Laurent Blanc et, d’ailleurs, il n’en a pas demandé non plus. » Un rendez-vous à la Salpêtrière Publiquement, l’entraîneur parisien a juste glissé qu’il s’agissait d’un « problème précis, un problème de comportement », sans vouloir en dire plus. Pour tenter d’y voir plus clair, il faut en fait se pencher sur l’emploi du temps de Cavani entre le mercredi 16 décembre, date de son ultime match de l’année contre Saint-Etienne en Coupe de la Ligue (1-0), et son départ en vacances en Uruguay en tout début de week-end. Remplaçant mais buteur décisif face aux Verts, Cavani déclare ensuite être victime d’une douleur à un mollet. Un rendez-vous est pris le lendemain par le club à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris XIIIe) pour qu’il réalise une IRM de contrôle. Une obligation médicale qu’il aurait délibérément zappée. Cette version est démentie et complétée par le clan Cavani. « Edi s’est bien rendu à l’hôpital, il est ensuite allé au centre d’entraînement le vendredi pour faire des soins, nous indique-t-on. Puis Laurent Blanc lui a demandé de revenir le samedi pour refaire une séance avec un kiné alors que l’équipe était en déplacement à Caen. Mais ce n’était pas un ordre clair et précis. Edi a alors préféré rentrer en Uruguay avec vingt-quatre heures d’avance en prenant un avion dans la nuit de vendredi à samedi pour rejoindre sa famille pour Noël. » Cette journée de congés supplémentaire, couplée ou non, selon les versions, au rendez-vous manqué de la Pitié-Salpêtrière, a finalement suscité l’agacement du staff et de plusieurs joueurs, à commencer par Thiago Motta, à cheval sur le thème des passe-droits, y compris lorsqu’ils profitent à Zlatan Ibrahimovic. Est-ce la seule charge retenue contre Cavani ? Ses états d’âme affichés en public, notamment à l’égard de Blanc lors de sa sortie du terrain le jour de PSG - Troyes fin novembre, alors que l’émir du Qatar était en tribunes, n’ont certainement pas arrangé son cas. Une réunion organisée le 30 décembre à Doha, en conclusion du stage, en présence de Laurent Blanc, Olivier Létang (directeur sportif adjoint) et de cadres (Ibrahimovic, les deux Thiago, Matuidi et même David Luiz sur la fin), entérinera ensuite la décision de sanctionner sportivement l’ancien Napolitain. Au point de se priver de ses services face à Chelsea, mi-février, en Ligue des champions ? Même le principal intéressé n’est plus sûr de rien. ![]() |
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 7 Inscrit : 21/09/2012 Membre no 8,967 Tribune : Non précisée ![]() |
Citation Le PSG veut réveiller le Parc des Princes pour « transcender » l’équipe L’hymne de la Ligue des champions retentit, le speaker crie : « Zlataaan ! », Ibrahimovic fixe la caméra et déclare, avec son autorité naturelle : « We need to hear you sing. » « J’aime quand vous chantez », confirme le Brésilien David Luiz, plus à l’aise en français que le buteur suédois, bien qu’il soit arrivé deux ans plus tard. Dans ce clip diffusé le 12 février par le Paris-Saint-Germain sur les réseaux sociaux, sept joueurs, parmi lesquels Serge Aurier, dont le « Ensemble, nous sommes plus forts » résonne étrangement depuis qu’il a insulté son entraîneur, exhortent les supporteurs à donner de la voix au Parc des Princes. L’initiative a suscité plus de réponses moqueuses que de salutations. Elle participe de la tentative du club parisien de ressusciter un stade souvent plein mais déserté par les supporteurs les plus fervents, tenus à l’écart depuis 2010 dans le cadre d’un plan de sécurisation. Signe des temps, le service marketing du PSG, qui n’a pas souhaité nous répondre, est chargé de réveiller l’ambiance du stade. Ce Parc en sommeil est un caillou dans la chaussure en cuir de Nasser Al-Khelaïfi, le président qatari d’un PSG à qui tout réussit. Le club entrevoit de nouveau les quarts de finale de la Ligue des champions après sa victoire (2-1), mardi 16 février, contre Chelsea, et se dirige vers un quatrième titre consécutif de champion de France. Désormais libéré de la menace du fair-play financier, le Paris-Saint-Germain est devenu le quatrième club le plus riche du monde. L’extinction de voix du Parc des Princes est donc aujourd’hui le gros point noir de la gestion du club, dénoncé depuis trois ans au moins par des spectateurs assemblés lors de réunions de consommateurs commandées par le PSG. « C’est un public qui fait du bruit à chaque fois qu’il y a deux buts d’écart, qui chambre [le gardien Kevin] Trapp, siffle [le milieu de terrain Adrien] Rabiot, n’est pas capable d’organiser un chant de soutien (…) Dans le seul stade où il y a encore du football de très haut niveau, on peut regretter que ce très haut niveau n’existe pas à tous les étages. » Cette charge, menée en décembre 2015 par le journaliste de L’Equipe Vincent Duluc, figure influente du quotidien sportif, a été abondamment partagée sur les réseaux sociaux. Elle signifiait brutalement que le sujet n’était pas qu’une obsession d’ « ultras » nostalgiques. « Parfois, je trouve que nos fans sont un peu trop calmes » Depuis le début de saison, même les joueurs, jusqu’alors peu diserts sur la question car interdits contractuellement de critiquer le club ou son public, semblent libérés. Ils s’en prennent à l’apathie du Parc, dans la presse ou par des gestes en plein match. Le président Nasser Al-Khelaïfi a reconnu l’ampleur du problème dans un entretien donné en décembre 2015 au Figaro : « On a besoin des fans, de l’ambiance du stade pour transcender l’équipe. C’est mon message, soyez toujours derrière les joueurs de la première à la dernière minute ! Parfois, je trouve que nos fans sont un peu trop calmes. » Si elle était pour la première fois exprimée publiquement, cette préoccupation est ancienne chez les propriétaires du club. « Les Qataris ont envie qu’il y ait plus de ferveur, ils sont tout à fait conscients du problème et y travaillent, mais ils ne pourront pas prendre trop de risques non plus », assure Alain Cayzac, président du club de 2006 à 2008 et toujours vice-président de la Fondation PSG. Prendre des risques, dans l’esprit des dirigeants parisiens, signifie revenir à la situation antérieure au « plan Leproux » et à la dissolution de toutes les associations d’« ultras », dont la rivalité exacerbée avait abouti à la mort d’un supporteur de la tribune Boulogne en 2010. Cinq ans et demi après la mise en œuvre du plan, le club préfère, à choisir, se ridiculiser en rémunérant des percussionnistes ou en affichant les paroles de l’hymne O Ville Lumière que faire revenir les ultras. En octobre 2015, le PSG a sondé ses suiveurs, via le site officiel, pour évaluer les désirs des spectateurs quant à l’animation en tribune. Depuis, il tente de susciter des vocations dans les virages, où le directeur du service marketing, Michel Mimran, a plusieurs fois été aperçu en train de repérer de potentiels leaders de tribune. Une dizaine de personnes ont été « castées » et participent à des réunions avec le PSG, dont la plus récente a eu lieu avant la réception de Chelsea. Un participant, après avoir donné son accord pour évoquer ces consultations, s’est rétracté, le club l’ayant menacé de l’exclure du programme s’il s’en ouvrait à un journaliste. Selon nos informations, les demandes des supporteurs sont dans l’ensemble entendues, signe de l’ouverture du club : ils ont obtenu le retour de la musique d’entrée des joueurs, signée Phil Collins ; les barrières en Plexiglas, obstacles à la coordination des chants en tribune, ont été enlevées ; le PSG a fourni des porte-voix et des drapeaux ainsi que deux voiles déployées en tribune avant PSG-Chelsea. Malgré ces efforts, la mayonnaise ne prend pas encore. Choses vues en tribune Auteuil lors de Paris-Saint-Germain - Lyon, huitième de finale de la Coupe de France disputé le 10 février : les tambours sont toujours là, rémunérés par un prestataire, pas tout à fait dans le rythme mais en progrès. Des supporteurs, bons connaisseurs du répertoire des anciens ultras, entraînent au mégaphone une petite centaine de fidèles. Trop peu pour une tribune et un stade de cette taille. Les meneurs rencontrés par Le Monde expliquent souffrir du renouvellement permanent du public, causé par la revente massive de places sur la plate-forme Viagogo. Lors de certains matchs, leur tribune est remplie de spectateurs occasionnels qui ont trouvé des places à bas prix et ne sont pas venus pour chanter. Préposé occasionnel au mégaphone, Tarik Abbou, 25 ans, confie avoir souvent envie de poser l’instrument à la mi-temps et hésite même à se réabonner l’an prochain. Il est lassé du manque d’adhésion de la tribune et des critiques. Celles des joueurs comme des anciens supporteurs, qui l’accusent de nuire à leur combat en collaborant avec la direction. « On avance doucement mais il manque une vraie association, disposant d’un local pour se réunir. Je serais d’accord pour signer une charte éthique et ne pas nuire à l’image du club. Par contre, interdire les banderoles, il ne faut pas abuser… Ce stade, c’est l’ère soviétique, une vraie dictature où il est arrivé que mon abonnement soit pris en photo par un steward parce que j’avais chanté “Liberté pour les ultras” ! » Les anciens ultras parisiens – ou ce qu’il en reste, la plupart ayant arrêté le combat – sont regroupés au sein de l’Adajis (Association de défense et d’assistance juridique des intérêts des supporteurs). Son président, Michaël Tommasi, dit avoir reçu, fin janvier, un coup de fil d’une personne se réclamant du Paris-Saint-Germain et lui proposant un rendez-vous. L’Adajis a alors réclamé une demande en bonne et due forme, qu’elle n’a jamais reçue. Sa propre demande écrite à Nasser Al-Khelaïfi a été rejetée par le directeur général du club, Jean-Claude Blanc, tandis que ses propositions pour créer un cadre de discussion entre des associations et le PSG n’ont reçu aucune réponse. Ces supporteurs sont convaincus que les tentatives actuelles du PSG sont vouées à l’échec. « Il faut mettre autour de la table le club, les supporteurs actuels et les anciens. Nous sommes là pour aider à définir un cadre de relations avec le club », insiste le porte-parole de l’Adajis, James Rophe. Ce dernier prédit que les meneurs actuels se lasseront : « Tôt ou tard, ils vont se heurter aux mêmes problèmes que nous. Nous voyons débarquer beaucoup de gens, depuis six ans, qui pensent avoir la solution. Mais tous finissent dans la contestation, quand ils sont confrontés à la mauvaise volonté de certains dirigeants. » Les précédentes rencontres entre la direction du club et les ultras, en 2010 puis fin 2011, après l’arrivée de Jean-Claude Blanc, ont toutes été sanctionnées par un échec. Les supporteurs gardent le souvenir d’un dirigeant désireux de faciliter le retour des ultras, mais contraint par la pression de son responsable de la sécurité et du ministère de l’intérieur. Benjamin, de la Brigade Paris, était de cet embryon de dialogue. Longtemps membre influent de la contestation, il a fini par rentrer dans le rang et se réabonner cette saison, jugeant le combat infructueux. A 33 ans, il a rejoint les tribunes latérales, car les virages le « dépriment », mais il est plein d’espoir : « Nous, on représente l’avant. Notre rôle devrait être d’accompagner ceux avec qui le club veut bien discuter, et cesser d’être dans le dénigrement systématique. Ces mecs qui chantent aiment le club autant que nous l’aimions. Si on leur donne les mêmes outils, une “sono”, un local, ils acquerront cette culture “ultra”. Je les ai vus : ce sont les mêmes personnes qui faisaient que le stade pouvait devenir fou il y a dix ans. » Le Monde |
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 77,456 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade ![]() |
Citation 800 000 € de primes pour chaque joueur du PSG Grâce aux quatre trophées remportés cette saison, les Parisiens toucheront 800 000 euros chacun de primes. Le quadruplé réalisé par le PSG a permis aux Parisiens d’empocher une prime de 800 000 euros par tête. Celle-ci se décompose ainsi : 40 000 € pour chaque Coupe nationale, 250 000 € pour le parcours de quart-finaliste en Ligue des champions et 470 000 € pour le titre de champion de France. Si Hervin Ongenda, Jean-Kevin Augustin, Presnel Kimpembé et Rémy Descamps, les quatre «jeunes» de l’effectif, se sont partagé cette prime, tous les autres joueurs, ainsi que Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset, son adjoint, l’ont touchée en intégralité. Les autres membres du staff n’en ont perçu qu’un pourcentage. ![]() -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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![]() Le médiateur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,096 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 538 Tribune : Boulogne rouge ![]() |
Par rapport aux articles de culture sur la thèse du coup marketing de Nike pour les deux joueurs NBA avec le maillot du PSG.
Quel intérêt pour Nike de faire de la com' avec des anciens maillot plutôt qu'avec le nouveau design ? -------------------- La modération apprécie et récompense la lèche.
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#6538
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![]() Administrator ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Root Admin Messages : 104,250 Inscrit : 13/11/2008 Lieu : Dark Side of the Moon Membre no 1 Tribune : Viré du stade ![]() |
Par rapport aux articles de culture sur la thèse du coup marketing de Nike pour les deux joueurs NBA avec le maillot du PSG. Quel intérêt pour Nike de faire de la com' avec des anciens maillot plutôt qu'avec le nouveau design ? Pour que ça fasse plus vrai ? -------------------- A été retweeté par Gianluca Di Marzio, PRINCE des transferts, PAPE des rumeurs, OMNISCIENT du mercato, le dimanche 2 août 2015 à 00h35.
"Derrière chaque surfeur se cache un requin". "ptit binoclard webmaster pour Footix qui occupe son célibat comme il peut ! cousin de dubdadda !" |
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![]() Le médiateur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,096 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 538 Tribune : Boulogne rouge ![]() |
Pour que ça fasse plus vrai ? Mouaif, pas convaincu. C'est pareil, le CM du PSG qui communique avec Green et pas avec le numéro 1 de la draft. -------------------- La modération apprécie et récompense la lèche.
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#6540
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![]() NiDrôleNonPlus ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,191 Inscrit : 19/07/2013 Membre no 9,385 Tribune : Canapé ![]() |
Pas convaincu non plus de la thèse marketing.
Les couleurs du PSG sont juste celles des USA... |
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