[Club] Revue de presse, Seulement les articles de la presse, aucun commentaire |
Bienvenue invité ( Connexion | Inscription )
![]() ![]() |
[Club] Revue de presse, Seulement les articles de la presse, aucun commentaire |
21/03/2014 15:45
Message
#6041
|
|
![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 14,465 Inscrit : 20/01/2009 Lieu : PARIS 6ème Membre no 639 Tribune : Non précisée |
Citation Le PSG vu d'Espagne. Le PSG est un club bardé de stars reconnues mondialement. Mais quelle vision de cela peuvent avoir les espagnols, qui ont vécu les multiples achats clinquants du Real de Madrid à l'époque de Zidane et Beckham? Ivan Vargas, correspondant de footmercato au Qatar, répond. « Avant l’arrivée de l’argent du Qatar, je me souviens du PSG pour ses matches contre les équipes espagnoles : contre le Real Madrid en Coupe UEFA et Ligue des Champions, quand ils ont éliminé le Barça en Coupe des vainqueurs de Coupe… Ginola, Djorkaeff, Loko…Sur le début du 21e siècle, en Espagne on ne s’intéressait pas au PSG : quand on parlait de foot français, on parlait de l’Olympique Lyonnais. (...) L’arrivée de QSI au PSG ? Au début on l’a vu comme quelque chose d’étrange, avant tout parce qu’en Espagne on a connu des expériences qui s’étaient mal finies avec des investisseurs étrangers, comme au Racing Santander, etc. Au début on l’a donc vu avec réserve. Mais après quand on a vu qu’ils recrutaient Ibrahimovic, Thiago Silva, ils ont gagné le respect. Surtout grâce à leur belle performance contre le Barça en Ligue des champions ». Un collectif qui impressionne, comme l'exprime Javier Gomez, journaliste à la Sexta. « Des noms dont on parle en Espagne. Logiquement, il y a Ibrahimovic. Moi par exemple, j’adore Ibrahimovic. Il y a beaucoup de gens comme moi qui même s’il n’a pas réussi à Barcelone, gardent d’Ibrahimovic le souvenir d’un joueur spécial. Il y a Marco Verratti. Marco Verratti est un joueur dont Carlo Ancelotti est fou amoureux. On a parlé de lui au Real Madrid. C’est vrai que ça ne s’est pas fait. Le Real a pris Illarramendi. Mais je sais que Carlo Ancelotti garde toujours un œil sur Verratti. Blaise Matuidi c’est un joueur par exemple que moi j’aime beaucoup. Personne ne connaissait Blaise Matuidi. Mais il y a eu un Espagne-France à Vicente Calderon où Matuidi a fait un match d’enfer. Un match incroyable. Du coup, les gens notent Matuidi, tiens. Marco Verratti, c’est lui qu’Ancelotti adore. Sirigu., mais il est la doublure de Buffon en équipe nationale italienne. Et puis il y a Ibrahimovic. Ça commence à faire de sacrés joueurs ! » Un point maintenant sur le projet mis en place par les qataris, soit décrié, soit applaudi, mais apparamment respecté au-delà des Pyrénées comme l'explique Frédéric Hermel, consultant pour RMC. « Aujourd’hui, toute personne intelligente dans le football et tout pays qui culturellement respecte le football doit être inquiet ou doit s’intéresser au PSG. (…) Mais je vais vous dire que j’ai beaucoup de respect pour ce club. Et qu’en Espagne, qui est un pays intelligent au niveau football, on respecte énormément le PSG parce qu’il y a la puissance financière, parce qu’il y a de grands joueurs, parce que le PSG est un concurrent aujourd’hui non seulement en compétition mais aussi au moment du marché des transferts. Donc l’Espagne du foot et le correspondant que je suis, savent pertinemment que le PSG va gagner la Ligue des Champions d’ici à cinq ans. Parce que c’est une équipe qui est programmée pour ça, parce qu’il y a les moyens et parce qu’il y a une gestion plutôt intelligente ». Le spécialiste du football espagnol qui s'attarde ensuite sur la vision que peuvent avoir les deux ogres de la Liga, le Real de Madrid et le FC Barcelone. « En Espagne vous avez deux visions du PSG. Vous avez celle du Barça qui est peut-être un peu plus hostile au PSG. Et le Real, c’est le président qui me l’a dit, « ils sont là, autant bien s’entendre avec eux ». En plus, Florentino s’entend bien avec Nasser. Ça s’est bien passé les négociations autour du transfert d’Ancelotti à Madrid. Ça a été un peu dur au début mais ils ont trouvé un accord. Aujourd’hui, les grands d’Espagne considèrent le PSG comme faisant partie de la cour des grands. » Des ogres donc, qui craignent le PSG en Ligue des Champions. « Je ne vais pas vous dire pour vous faire plaisir qu’on craint plus le PSG que le Bayern Munich », explique Javier Gomez. « Mais en même temps je peux vous dire qu’aucun club espagnol ne serait content de jouer contre le PSG, en particulier le FC Barcelone. Ils gardent le souvenir de l’année dernière où ils se sont presque fait éliminer par le PSG. Sachant qu’’il y a en plus Ibrahimovic. (...) Je pense que le Barça est l’équipe qui veut le moins rencontrer le PSG ». L'objectif premier des propriétaires du PSG est de remporter la Ligue des Champions. Mais les espagnols prennent-ils le PSG pour un candidat sérieux à la victoire finale? Les avis sont partagés comme l'explique Fred Hermel. « Cette année ça me semble difficile parce que je pense que le Real Madrid et le Bayern Munich sont au-dessus. Mais après tout est possible. Vous avez un Real-Bayern en ¼ ou en ½ il y en aura un de moins. Ça me paraît encore un petit peu tôt. (...) A priori je pense que le Real et le Bayern sont au-dessus. Et le Barça a encore son mot à dire. Peut-être pas cette année. Mais d’ici à cinq ans, il va se passer quelque chose au PSG, ça c’est clair. » Mais Ivan Vargas, le consultant de Footmercato, apparaît lui beaucoup moins optimistes pour le club de la capitale. « Les clubs espagnols n’ont pas peur du PSG, mais ils respectent ce qu’ils peuvent faire. Ici on pense encore qu’il leur manque un palier à franchir pour remporter la Ligue des Champions, mais il y a du respect depuis l’an passé ». Le journalsite Javier Gomez privilégie donc la patience au PSG. « Prenez l’exemple de clubs qui ont été bâtis comme le PSG. Des clubs importants mais qui surtout ont reçu une manne d’argent tombée du ciel. Et qui commencent à sortir le chéquier. (...) Chelsea l’a fait. Mais combien d’années a mis le Chelsea d’Abramovich pour gagner la Ligue des Champions ? Combien d’entraîneurs ? Ils ne l’ont pas fait, même pas avec Mourinho. Ça a mis dix ans. (...) Donc c’est compliqué. Mais combien de finales a fait le Bayern Munich avant de la gagner ? À la troisième, ils ont gagné la Ligue des Champions. Trois ½ finales du Real Madrid d’affilée sans arriver en finale. Ce n’est pas si facile que ça. Logiquement, ils peuvent la gagner. Je pense que c’est un candidat. Mais dans la file d’attente, ils ne sont pas les premiers ». Footmercato Citation Le PSG, riche mais mauvais payeur D'après Libération, le club de football le plus riche de France prendrait son temps pour régler un certain nombre de ses prestataires. Au point de mettre en danger leur stabilité financière. On peut être le club le plus riche de France et avoir un peu de mal à payer ses factures : c'est en tout cas ce que révèle le quotidien Libération vendredi (article réservé aux abonnés). D'après le journaliste Grégory Schneider, le club de la capitale, malgré un budget faramineux de 430 millions d'euros, prendrait son temps pour rembourser ses prestataires, au point de mettre en péril l'équilibre financier de certains d'entre eux. Huit mois pour régler une note d'hôtel Pendant que le président qatari Nasser Al-Khelaïfi fait miroiter une prime de un million d'euros à ses joueurs en cas de victoire en Ligue des Champions - dont le tirage au sort des quarts de finale se tient vendredi midi, le PSG aurait laissé une ardoise de 1,2 million d'euros à la compagnie en charge de l'organisation de ses déplacements. Même constat pour le Trianon Palace de Versailles, qui accueille les joueurs pour leur mise au vert avant les matchs : le PSG doit encore régler 300.000 euros à la direction de l'hôtel. Quand aux hôteliers, ils ont pris l'habitude d'être réglés en retard, parfois huit mois après les prestations fournies. Franceinfo.fr Citation PRÉCISION DU PARIS SAINT-GERMAIN Suite à l'article paru dans Libération, ce vendredi 21 mars, le Paris Saint-Germain tient à préciser certaines informations. Le Club a connu ces derniers mois une croissance, sportive et administrative, très rapide. La restructuration et la professionnalisation des systèmes administratifs, les processus extrêmement rigoureux mis en place au Club ces derniers mois peuvent expliquer des difficultés classiques dans le fonctionnement d'une entreprise en forte croissance. Le Management du Paris Saint-Germain est très attentif et mobilisé afin de régler certains retards qui pourraient exister. PSG.fr |
|
|
|
21/03/2014 22:32
Message
#6042
|
|
![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Paris peine mais enchaîne Vainqueur 1-0 sur le terrain d'un Lorient combatif, le PSG (1er) possède provisoirement onze points d'avance sur Monaco (2e). Le déclic est venu d'Ibrahimovic, qui a été à l'origine du but de Thiago Motta. A l’Ouest, du nouveau pour Thiago Motta ! Déjà buteur face à Rennes (3-1) puis Nantes (5-0), le milieu brésilien a marqué contre Lorient ce vendredi soir en ouverture de la 30e journée de L1 (1-0). Grâce à sa réalisation, le PSG (1er) met la pression sur Monaco (2e) qui reçoit Lille (3e) dimanche soir. L’ASM a désormais onze points de retard sur le champion en titre. Une équipe parisienne qui a pu compter sur Ibrahimovic pour débloquer la situation. A la 41e, il a orienté l’action d’une talonnade aérienne avant de récupérer le ballon plein axe. Le Suédois s’est ensuite appuyé sur deux partenaires avant de frapper après un double contact dans la surface. Audard a freiné la course du ballon mais n’a pas pu empêcher Motta de le pousser au fond. Presque cruel pour un FCL qui avait très bien entamé sa rencontre. Aliadière ou Aboubakar ont manqué le cadre de près Soucieux de laver l’affront du 1er novembre (0-4 au Parc), les Merlus se sont procurés les meilleures occasions pendant la première demi-heure. Privé de Gassama, Guerreiro, Sunu ou encore Quercia, Gourcuff a pu aligner un milieu très joueur. La surface synthétique a fait le reste, perturbant un peu plus des Parisiens pas très fringants à l’image d’un Cavani en difficulté. Performant contre Leverkusen et St-Etienne, Sirigu a sauvé les siens sur une frappe de Jouffre (15e). Intéressants, les Bretons ont toutefois manqué de réalisme et de précision devant : Aliadière (34e, 43e) et Aboubakar (59e) se sont trouvés en bonne position mais n’ont pas trouvé le cadre. Malgré un match moyen de Jallet et la sortie rapide de Silva, la défense parisienne a tenu. Elle n'a pas pris de but lors des quatre dernières rencontres de L1. Malgré un match très moyen de Jallet (qui aurait pu marquer à la 75e sans un arrêt incroyable et chanceux d’Audard) et la sortie rapide de Thiago Silva, la défense parisienne a tenu. Elle n’a pas encaissé de but lors de ses quatre derniers matches de L1. Titularisé à la place d’Alex, l’inexpérimenté Marquinhos a été solide tout comme Maxwell. Certes, Paris a gagné ses huit derniers matches, toutes compétitions confondues. Mais ce vendredi, sous la pluie de Lorient, cela a été plus compliqué que d’habitude. Citation Silva touché au visage Victime d'un coup de coude sur la pommette gauche et la tempe lors d'un duel aérien avec Aboubakar, Thiago Silva est sorti après 27 minutes de jeu. Le défenseur brésilien, qui a demandé le changement immédiatement, a été remplacé par Alex, que Laurent Blanc avait ménagé. A la pause, Laurent Blanc a expliqué au micro de beIN Sports que le Brésilien avait «une grosse bosse entre la pommette et la tempe» et qu'il était «sonné». L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
|
|
|
21/03/2014 22:51
Message
#6043
|
|
![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Blanc: «On n'a pas été fantastique» Interrogé par beIN Sports, Laurent Blanc n'a pas caché que son PSG avait été un peu poussif à Lorient. «Mais on a fait le nécessaire pour gagner», s'est-il réjoui. «Laurent Blanc, quels sont vos sentiments après cette victoire ? Nous avons eu un match difficile, surtout en première période, parce qu'il a fallu s'adapter au synthétique. Et puis, il y a la qualité de Lorient, qui est une équipe qui aime jouer au foot, faire des passes, jouer vite. Nous avons manqué les occasions de mettre un deuxième but qui nous aurait permis d'être plus sereins. C'est une bonne victoire, car c'est toujours compliqué ici, surtout face à une équipe en forme et motivée pour nous battre. Nous n'avons pas été fantastique mais nous avons fait le nécessaire pour remporter une victoire difficile. Donnez-nous des nouvelles de Thiago Silva... Il a une grosse bosse, on lui a mis de la glace. Il a reçu un coup méchant. Il faut appeler un chat, un chat. Quand on saute comme ça, avec les coudes, c'est pour faire mal. Mais ce n'est rien de très grave. Je l'espère en tout cas. Avez-vous prolongé votre contrat ? Pas encore. On discute mais ce n'est pas encore fait. Cela pourrait se faire rapidement. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
|
|
|
22/03/2014 08:31
Message
#6044
|
|
![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Chelsea ne se réjouit pas S’ils sont satisfaits d’avoir évité le Bayern et le Real Madrid, les Blues s’attendent à voir le PSG leur opposer une sérieuse résistance. IL Y A ENCORE DEUX ANS, tomber contre un club français était considéré comme un très bon tirage en Angleterre. Plus maintenant . Et surtout pas contre ce PSG-là, dont les moyens financiers et les performances, désormais diffusées sur la chaîne BT Sport qui détient les droits de la Ligue 1, sont regardés d’un oeil nouveau. Le club parisien arrive d’ailleurs en quatrième position chez les bookmakers pour remporter le trophée derrière le Bayern Munich, le Real Madrid et le FC Barcelone, mais à égalité avec… Chelsea (11 contre 1). « Ils mangent tout le monde en L 1 et en Ligue des champions, c’est pareil » , avait mis en garde Eden Hazard cette semaine. Hier, José Mourinho était au beau milieu de sa séance d’entraînement au moment du tirage. Averti par l’un de ses adjoints, le Portugais ne s’est pas particulièrement réjoui, même s’il a dû être soulagé en apprenant que son équipe jouerait le match retour à Stamford Bridge. « Il fallait surtout éviter le Bayern, qui est le favori, puis le Real Madrid et Dortmund, qui peuvent être très compliqués à jouer, affirme Christophe Lollichon, l’entraîneur français des gardiens de Chelsea. Mais il ne faut pas interpréter ça comme un bon tirage. Ce sera forcément difficile. Il y a beaucoup de joueurs de qualité à Paris : Ibrahimovic, Cavani, Thiago Silva et Alex, qu’on connaît bien. Ils en sont tout de même à leur deuxième quart de finale en deux ans, même s’ils n’ont peut-être pas la maîtrise des autres équipes européennes. »« Affronter le PSG, une équipe qui va attaquer pour marquer des buts, correspond parfaitement au style de Mourinho, estime Tony Cascarino, l’ancien attaquant de l ’ OM, aujourd’hui chroniqueur au quotidien The Times. Chelsea ira là bas avec un bloc très défensif et leur fera mal en contre, comme ils l’ont fait à Manchester City ( 1-0, le 2 février). »« Ce sera du 50-50, conclut Jamie Redknapp, consultant de la chaîne Skysports, qui se soucie davantage de Cavani que d’Ibrahimovic. Mais, en pensant à ces deux-là, Terry et Cahill vont passer quelques nuits blanches… » Citation La dernière fois, un doublé de Drogba... LE PARIS-SG et Chelsea ne se sont rencontrés que deux fois dans l’histoire des Coupes européennes, en phase de groupes de la Ligue des champions 2004-2005. Au match aller, le PSG, où évoluait Pedro Miguel Pauleta mais aussi Bernard Mendy, Helder ou José-Karl Pierre-Fanfan, s’était lourdement incliné à domicile (0-3, le 14 septembre 2004) face à une formation qui comptait déjà dans son onze Petr Cech, John Terry et Frank Lampard. Auteur d’un doublé, l’ancien Marseillais Didier Drogba avait chambré le Parc des Princes, mains derrière les oreilles (notre photo). Au retour, à Stamford Bridge, les Parisiens avaient fait match nul (0-0, le 24 novembre) face au futur vainqueur du groupe H. Un point qui ne suffira pas aux hommes de Vahid Halilhodzic pour se qualifier en huitièmes de finale, en raison d’une dernière défaite face au CSKA Moscou (1-3). Citation Le club que l’Angleterre aime détester… QUELLE EST LA DIFFÉRENCE entre Chelsea et le PSG ? L’argent de Roman Abramovitch, qui en met de moins en moins, ou l’argent de Qatar Sports Investments, qui en met de plus en plus ? Plutôt ceci : dans dix jours, tout Paris – et une grande partie de la France – sera derrière le PSG tandis que toute l’Angleterre se bidonnerait d’une éventuelle élimination du club que, là-bas, tout le monde aime détester, encore plus depuis que José Mourinho est revenu. Sauf, bien sûr, parmi ses quelques dizaines de milliers d’irréductibles principalement circonscrits dans le grand ouest de Londres, et qui ont repris à leur compte la fameuse devise de Millwall, « No one likes us, we don’t care » (« personne ne nous aime, on s’en fout »). Mais quel est le seul club anglais à avoir enchaîné cinq demi-finales, deux finales (2008, 2012) et une victoire en Ligue des champions (2012) depuis dix ans ? Chelsea. Un club superficiel, sans histoire ? C’est le refrain des fans de Liverpool ou de Manchester United. Pourtant, en dehors de l’Ajax Amsterdam, de la Juventus et du Bayern Munich, qui a gagné toutes les Coupes d’Europe possibles ? Chelsea (*). En somme, à eux seuls, les Blues ont mis au musée deux fois plus de trophées européens (quatre) que tout le football français réuni (deux). Chelsea n’a jamais rien fait comme les autres. Il a collectionné quelques-uns des meilleurs entraîneurs de l’époque (José Mourinho, Carlo Ancelotti, Guus Hiddink, Luiz Felipe Scolari) mais n’est allé en finale de C 1 qu’avec les deux plus improbables, Avram Grant (2008) et Roberto Di Matteo (2012). Ce serait donc un club insupportable, supporté cependant par des gens très bien, Sebastian Coe par exemple. Un club branché, aussi, où les people aiment se montrer – ça nous fait penser à quelque chose –, un club qui aurait malgré tout gardé son kop de Boulogne, les Headhunters, très assagis il est vrai depuis l’ère maudite du hooliganisme. Sans guère de risque de se tromper, on peut enfin vous annoncer le discours que va tenir José Mourinho d’ici au match aller au Parc des Princes. Il va nous dire que ses petits jeunes vont beaucoup apprendre contre le grand PSG, qu’il n’a ni Ibrahimovic ni Cavani, bien trop chers pour ses modestes moyens, limités par le fair-play financier dont, selon lui, se moquerait le Qatar. Il fera profil bas, oubliera de rappeler qu’il n’a jamais perdu en Premier League à Stamford Bridge – série de 75 matches en cours – et n’a jamais été éliminé non plus en quarts de finale de la Ligue des champions en neuf participations. Même si sa modestie bien connue doit en souffrir, on ajoutera que le dernier club à s’être qualifié en C 1 avec match retour à Stamford Bridge est l’Inter Milan … de José Mourinho, en 2010 (2-1, 1-0). Citation Notes de Lorient 7: Sirigu 6: Alex, Jallet, Motta, Ibrahimovic 5: Maxwell, Marquinhos, Matuidi, Verratti 4: Cavani, Lavezzi L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
|
|
|
22/03/2014 14:55
Message
#6045
|
|
![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 53,524 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 60 Tribune : Canapé |
Citation Fracture des zygomatiques pour Silva Les examens passés ce samedi matin ont révélé une fracture des zygomatiques, côté gauche, pour Thiago Silva. Le défenseur brésilien, qui s'est blessé vendredi à Lorient (1-0), ne devrait cependant pas être opéré. Si sa participation contre Nice, vendredi (20h30), est compromise, celle contre Chelsea, en quart de finale aller de la C1, dans neuf jours, l'est moins. Mais Silva devra sans doute porter un masque de protection. www.lequipe.fr |
|
|
|
23/03/2014 09:04
Message
#6046
|
|
![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Thiago Silva, un tout petit doute Victime d’une fracture de l’os zygomatique gauche, vendredi à Lorient, le défenseur central du PSG devrait pouvoir affronter Chelsea le 2 avril en quarts de finale aller de la C 1. Normalement… L’INCAPACITÉ de Thiago Silva à reprendre le match, vendredi soir à Lorient (1-0), après avoir reçu un coup de coude de Vincent Aboubakar, avait soulevé une certaine inquiétude du staff médical parisien, qui a été confirmée, hier midi, par le résultat des examens radiologiques : remplacé par Alex dès la 30e minute, le défenseur brésilien souffre d’une fracture du zygomatique, sur le côté gauche du visage. Malgré tout, le PSG ne prévoit pas d’intervention chirurgicale et se montre plutôt optimiste sur la présence de son capitaine contre Chelsea, en quarts de finale aller de la Ligue des champions, le 2 avril au Parc des Princes. En revanche, la probabilité que Thiago Silva soit aligné à Nice, vendredi prochain, apparaît plus mince, Laurent Blanc n’étant pas du genre à prendre des risques avec son joueur. « S’il n’y a pas d’opération prévue, c’est qu’il n’y a, a priori, pas de déplacement de l’os, explique Alain Simon, ancien médecin de l’équipe de France (2008-2010) et consultant médical pour L’Équipe. Dans ce cas, cela devrait se consolider assez vite car le zygomatique est un os facial qui ne bouge pas. Il s’agit simplement de ne pas reprendre de coup dessus. Mais, en dix jours, si tout se passe bien…» SANS LUI, DEUX OPTIONS : MARQUINHOS OU THIAGO MOTTA C’est également ce que doit souhaiter le PSG, qui n’imagine pas aborder l’un des rendez-vous les plus importants de sa saison sans l’un de ses joueurs majeurs. Ce dernier ne conçoit pas non plus pouvoir passer à côté d’un événement dont il disait, vendredi, « avoir hâte d’y être » . Faire jouer Thiago Silva contre Nice serait donc une prise de risque inutile au moment où le PSG dispose d’une avance confortable en L 1 : 11 points sur Monaco, qui reçoit Lille (3e) ce soir. Mais contre les Anglais, dans dix jours, il se peut que le Brésilien doive évoluer avec une protection pour ne pas s’exposer à une rechute. « Peut-être que l’utilisation d’un masque protecteur serait plus rassurante » , convient le docteur Simon. D’ici là, Laurent Blanc doit tout de même anticiper un éventuel forfait de son capitaine. Dans l’hypothèse, malgré tout peu probable ce matin, d’une absence de Thiago Silva, deux solutions s’offriraient au technicien parisien. La première consisterait à remplacer l’ancien Milanais par Marquinhos, comme il l’a fait cette saison quand ce type de situation s’est présenté. Mais le Brésilien (19 ans), peu expérimenté à ce niveau de la compétition, n’offre pas encore toutes les garanties. Il peut connaître, en cours de match, quelques absences, à l’image de sa première période contre Lorient ou de sa première titularisation avec le PSG, face à l’Olympiakos en C 1 (4-1, le 17 septembre). L’autre option consisterait à faire reculer Thiago Motta d’un cran et à l’associer à Alex, ce qui s’est déjà produit lors de certaines mises en place à l’entraînement depuis l’été dernier. Dans ce cas, Blanc positionnerait Yohan Cabaye en sentinelle devant la défense. L’évolution de la blessure de Thiago Silva dira si, dans les prochains jours, le PSG doit penser à un plan B. Citation ETO’O FORFAIT CONTRE LE PSG ? Premier buteur du jour, sur une frappe enroulée du gauche (4e), Samuel Eto’o n’est resté que dix minutes sur la pelouse, qu’il a quittée en se tenant la cuisse droite. L’attaquant s’est blessé en célébrant son but et a alors laissé sa place à Fernando Torres. Il pourrait manquer la double confrontation contre le PSG. « Sa blessure n’est pas grave, a commenté José Mourinho, son entraîneur. Samuel est sorti tout de suite pour ne pas aggraver la déchirure musculaire, mais je ne peux pas faire de pronostic. » Le Camerounais (33 ans), qui était revenu à un très bon niveau, doit passer des examens pour déterminer la durée de son indisponibilité. Citation « Le PSG est favori » JOSÉ MOURINHO, l’entraîneur de Chelsea, était comblé par le comportement de son équipe qui, selon lui, ne sera pourtant qu’outsider contre le club parisien. José Mourinho, lui aussi, s’en souviendra. Il n’a toujours pas perdu en Premier League à Stamford Bridge – série de 76 matches en cours–et son équipe a inscrit six buts pour la première fois depuis qu’il dirige les Blues (2004-2007 et depuis l’été dernier). Et contre Arsène Wenger, son rival intime, qu’il avait qualifié de « spécialiste de l’échec » quelques jours auparavant… Le manager de Chelsea a donc préservé son invincibilité dans ses duels contre l’Alsacien (6 victoires, 5 nuls désormais). Évidemment, Mourinho (51 ans) n’a pas eu le triomphe modeste. Pourtant, il fait profil bas dans la perspective du quart de finale de Ligue des champions contre le PSG (aller le 2 avril, retour le 8)… « ON IMAGINE que vous êtes ravi de la performance de votre équipe… – Nos dix premières minutes ont été fantastiques. Pressing haut, agressivité, intelligence, maîtrise, qualité technique, il y a tout eu. On a montré là qu’on pouvait ne laisser aucune chance à une très bonne équipe, qu’on pouvait poser des problèmes insolubles à n’importe qui, n’importe quand. 2-0 après sept minutes, puis 3-0 sur penalty à la 17e, un carton rouge. Facile. À 0-0, Petr Cech a effectué un arrêt important (sur un tir de Giroud, 4e), le seul qu’il a eu à faire de tout le match. Ce fut vraiment très facile. Dans la course au titre, ce 6-0 vous permet d’améliorer sensiblement votre différence de buts. – On était venus pour tuer. On leur a fait très mal tout de suite. C’était le 1 000e match de leur manager (Arsène Wenger), le match le plus important de leur saison. On ne leur a rien laissé. Chelsea a-t-il été très fort ou Arsenal très faible ? – Pour Arsenal, demandez-leur… Je sais simplement que mon équipe a très, très bien joué. Déjà, on n’a eu aucun problème contre Galatasaray mercredi (2-0, en huitièmes de finale retour de la Ligue des champions, 1-1 à l’aller). On est dans une très bonne période. Malheureusement, on a perdu il y a une semaine à Aston Villa (0-1). En Premier League, tous les matches sont très difficiles. On va à Crystal Palace samedi prochain et ce sera encore très difficile avant d’aller à Paris. Est-ce le plus probant succès de votre saison ? – Je ne sais pas, je n’en suis pas sûr. Chelsea est bien placé pour le titre. – Non, Manchester City est à six points avec trois matches en retard et a donc son destin en main, contrairement à nous. Quel est votre sentiment sur le tirage au sort des quarts de finale de la C 1 ? – Déjà, on sait que Paris jouera vendredi prochain son match de Championnat (contre Nice) et, nous, samedi à Crystal Palace. Cela fait 24 heures de moins de récupération, et c’est important. Cela montre aussi que la Ligue française traite mieux ses clubs que la Ligue anglaise. Mais je suis content du tirage. Cette double confrontation va faire progresser ma jeune équipe en plein développement. On joue cette compétition pour rencontrer les meilleurs clubs et les meilleurs joueurs, c’est le cas avec Paris. Chelsea est favori ? – Paris est favori. Jouer le match retour à Stamford Bridge est quand même un avantage… – Non, un désavantage. Pourquoi ? – Parce qu’en cas d’égalité sur les deux matches l’équipe visiteuse a trente minutes de plus pour marquer un but à l’extérieur. Les joueurs du PSG toucheront chacun un million d’euros s’ils remportent la Ligue des champions cette saison. Combien allez-vous demander à Roman Abramovitch (le propriétaire du club) ? – Moi, je paierais pour gagner la Ligue des champions, et si je touchais de l’argent, je le donnerais à une organisation caritative… » L'Equipe Citation L’affaire Leonardo n’est pas finie La FFF ne lâche pas l’ex-directeur sportif du PSG. Elle avait pourtant annoncé le contraire « C’est une affaire qui n’existe plus. » À l’issue de l’assemblée fédérale du 14 décembre, Noël Le Graët tranchait : le dossier Leonardo était clos. La FFF venait de modifier ses règlements généraux concernant la licence attribuée aux dirigeants, conséquence directe de cette affaire, et semblait vouloir passer à autre chose après le camouflet subi deux mois plus tôt : le tribunal administratif de Paris avait levé en référé la suspension de quatorze mois infligée à l’ex-directeur sportif du PSG pour avoir bousculé l’arbitre Alexandre Castro (le 5 mai 2013, après le match de Paris contre Valenciennes), au motif que le Brésilien n’était pas détenteur d’une licence FFF. Or, deux procédures sont toujours en cours. La première devant le Conseil d’État. La FFF ne s’est pas désistée de son recours déposé le 30 octobre : un rapporteur vient d’être nommé ; une date d’audience reste à déterminer. La seconde devant le tribunal administratif, pour un jugement sur le fond : la Fédération a rendu ses réponses le 27 février, veille de la clôture de l’instruction ; l’audience ne devrait pas avoir lieu avant juillet. « Leonardo peut travailler mais cela crée de l’incertitude » , regrette son avocat, Me Christophe Bertrand. Le Brésilien, actuellement en Italie, où il va être père pour la cinquième fois, aimerait retrouver un banc la saison prochaine, mais la menace d’une suspension extensible à l’étranger parasite ses plans. La FFF semble déterminée à lui faire payer « un comportement pire que ce qu’on peut voir dans les ligues et les districts » , comme le confiait un proche du dossier à l’AFP en octobre dernier. Pourquoi avoir annoncé le contraire ? Noël Le Graët joue sur les mots ( « ça continue mais ça va être clos » ) et évoque une autre procédure : le recours du PSG concernant l’amende de 50.000 € infligée par la FFF au club parisien dans le cadre de cette affaire. « Le CNOSF s’apprête à rendre son verdict. Il devrait confirmer la décision » , assure le président de la Fédération, qui referme la porte : « L’affaire va se terminer. » Le JDD -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
|
|
|
24/03/2014 10:26
Message
#6047
|
|
![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 14,465 Inscrit : 20/01/2009 Lieu : PARIS 6ème Membre no 639 Tribune : Non précisée |
Citation • L'équipe type de la 25e journée (4-3-3) Costil (Rennes) - Jallet (PSG) LEQUIPE |
|
|
|
24/03/2014 12:14
Message
#6048
|
|
![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Voici le nouveau visage du Parc En exclusivité, découvrez le sérieux lifting que va subir l'enceinte du PSG en vue de l'Euro 2016 afin de se rapprocher des grands d'Europe. Mercredi, l'auditoire a été bluffé. Autant les salariés du PSG qu'Ibrahimovic et ses partenaires, tous réunis en séminaire sur le campus de HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines). La direction du PSG a profité de l'occasion pour projeter un clip de présentation du futur Parc des Princes pour la saison 2015-2016. Certains privilégiés, comme le judoka Teddy Riner, avaient pu découvrir en avant-première le petit film, de 3 minutes et 21 secondes, rythmé par une musique de Coldplay et réalisé par le cabinet d'architecture InIMAGEnable. Une fois rénovée, l'enceinte parisienne sera superbe, ultra design et moderne. Elle comptera 47 000 places -- les dirigeants parisiens espèrent toujours pouvoir porter sa capacité à 60 000 après l'Euro 2016, comme ils l'ont rappelé mercredi devant les employés -- mais aussi 4 500 sièges VIP, une multitude de salons de réception et un restaurant. Le grand public ne sera pas oublié et bénéficiera lui aussi d'espaces réaménagés et de meilleures conditions d'accueil. L'objectif de ces travaux d'un montant de 75 M€ hors taxes (financés par le club) est de rapprocher le PSG des standards des grands clubs européens. Citation Des VIP chouchoutés De 3 000 cette saison, le nombre de places VIP sera porté à 4 500 dans le Parc des Princes relooké. Cette catégorie de sièges représentera près de 10 % de la capacité totale. Des salons de réception luxueux vont être construits dans les locaux qui accueillaient l'ancien siège. L'un d'eux sera baptisé le Village. Des loges vont prendre place de part et d'autre de la corbeille officielle. Enfin, un salon panoramique (ci-dessous) avec une ambiance lounge sous les toits du stade doit aussi voir le jour. D'une surface de 500 m², il pourrait accueillir des familles ou être un lieu ultra sélect. Citation L'entrée du stade entièrement repensée L'entrée principale du Parc des Princes, par laquelle les coéquipiers de Thiago Silva et Ibrahimovic pénètrent actuellement dans le stade à la descente de leur bus, va être complètement redessinée. Beaucoup plus aérée et design, elle ressemblera davantage à un hall de grand hôtel qu'à celui d'une enceinte sportive. Les coursives vont être couvertes afin de créer des zones d'hospitalité. Après l'Euro 2016, le PSG planifie de récupérer la jouissance des environs du Parc afin d'y créer une grande esplanade. Citation La fosse au bord de la pelouse supprimée Tous les sièges de l'enceinte vont être changés. Plus larges et plus confortables, ils répondront aux normes de l'UEFA pour l'Euro 2016. Comme nous le révélions le 24 avril 2013, la fosse séparant les tribunes de la pelouse va disparaître, ce qui permettra l'installation de deux rangées de sièges supplémentaires. Résultat : une capacité portée à 47 000 places au lieu de 45 000 environ aujourd'hui. Un restaurant et une boutique, agrandie par rapport à l'actuelle, seront aussi à la disposition des supporteurs ainsi que des points de restauration repensés et, promet-on, de meilleure qualité. Citation Thiago Silva, défenseur masqué Thiago Silva a déjà fait personnaliser son masque de protection. Le Parisien, victime d'une fracture de l'os zygomatique gauche après un coup de coude de Vincent Aboubakar vendredi contre Lorient, devra porter cet accessoire pour s'entraîner et jouer. Les supporteurs parisiens se rappelleront que Nene avait déjà évolué avec un tel masque la saison dernière, après une fracture du massif facial droit. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
|
|
|
25/03/2014 09:23
Message
#6049
|
|
|
Débutant ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 522 Inscrit : 09/12/2009 Lieu : Poissy Membre no 1,352 Tribune : Non précisée |
Citation PSG : Marquinhos, un homme transformé Le jeune défenseur central brésilien du PSG a mûri. Sur le terrain comme en dehors... L'amour lui donne des ailes. Marquinhos, 19 ans, vit une histoire passionnée avec l'une de ses compatriotes, la chanteuse Carol Cabrino. Sur Twitter ou sur Instagram, à grand renfort de photos, le romantique défenseur ne cesse de clamer ses sentiments envers sa belle, qui multiplie les allers-retours entre le Brésil et Paris. « La distance peut empêcher un baiser. Mais jamais les sentiments », écrivait-il il y a deux semaines alors que, sur le cliché, les deux tourtereaux posent sous la tour Eiffel. Un homme transformé donc. Dans la vie mais aussi sur un terrain de football. Arrivé à Paris l'été dernier, en provenance de l'AS Rome, moyennant une indemnité de transfert de 31,4 MEUR, il n'a cessé de s'améliorer au fil de ses 21 titularisations, toutes compétitions confondues. Il vient de disputer 3 des 4 dernières rencontres de son équipe (Bastia, 3-0 ; Leverkusen, 2-1 ; Lorient, 1-0). Sa dernière prestation, notamment, a été plus que concluante. Le joueur pourrait également débuter vendredi à Nice en raison de la blessure de Thiago Silva, victime d'une fracture de l'os zygomatique au Moustoir. « On ne le voit pas beaucoup, il joue moins d'un match sur trois. Et un coup, c'est avec Alex ; un coup, avec Silva. Malgré cela, il fait de bonnes performances », analyse Alain Roche, ancien défenseur parisien (1992-1998). S'il a parfois péché par naïveté (comme à Saint-Etienne le 27 octobre), le Brésilien gomme ses défauts. « On lui reprochait un manque de concentration et des erreurs de marquage. Mais, aujourd'hui, il en fait moins », assure Roche. « Il est encore un peu fougueux, nuance un autre ex-défenseur parisien, Philippe Jeannol (1984-1991). Il y a des contacts où il y met trop d'engagement. Mais il a beaucoup progressé. C'est une année de transition pour lui qui commence à porter ses fruits. » Une vraie volonté de s'intégrer Il n'a certes pas encore réussi à détrôner Alex, fidèle compagnon de Silva en défense centrale. Mais le jeune Brésilien de 19 ans ne manque pas d'atouts. « Il est sérieux, impliqué, et il fait preuve de beaucoup de générosité dans son jeu, poursuit Roche. Ses performances sont incroyables par rapport à son gabarit (NDLR : 1,83 m, 79 kg). » « Il est un peu le clone de Thiago Silva, fin techniquement, bonne relance et bon jeu de tête, ajoute Eric Roy, ancien entraîneur de Nice et consultant de BeIN Sports. Il semble aussi costaud mentalement. A Lorient, lors de la sortie de Silva, il a pris ses responsabilités. » Le Brésilien, proche dans le vestiaire de ses compatriotes, a déjà tenu à apprendre le français. Il suit des cours et commence même à s'exprimer dans la langue de Molière devant la presse. « Il veut s'intégrer, se réjouit Roy. Cette volonté de parler français quelques mois seulement après son arrivée montre une grande maturité et une grosse envie de réussir. C'est très positif pour l'avenir. » Citation PSG : Silva, Cavani et Van der Wiel ménagés A quatre jours de son déplacement à Nice vendredi, le PSG a repris l'entraînement hier après-midi au camp des Loges. La séance a duré une petite heure. Thiago Silva, victime d'une fracture de l'os zygomatique gauche (pommette) après un coup reçu vendredi à Lorient (1-0), n'a pas participé à l'entraînement. Le Brésilien, qui est arrivé vers midi, a néanmoins couru et travaillé en salle. En interne, on est assez optimiste quant à sa présence mercredi prochain pour le match contre Chelsea. Cavani a aussi été ménagé hier après-midi. L'Uruguayen s'est contenté d'un footing. Van der Wiel, toujours en délicatesse avec son genou droit, poursuit, lui, sa convalescence. Les Parisiens se retrouvent ce matin pour le deuxième entraînement de la semaine. Le Parisien.fr |
|
|
|
26/03/2014 06:59
Message
#6050
|
|
![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Paris bientôt puni ? Menacé par le fair-play financier et pas vraiment convaincant lors de l’un de ses passages devant l’instance de contrôle de l’UEFA, le club parisien saura fin avril-début mai s’il est sanctionné, même légèrement. LE PSG S’ENORGUEILLIT de faire désormais partie des cinq clubs les plus riches du monde, avec 398,8 millions d’euros de revenus, selon la dernière étude du cabinet Deloitte. Il se situe juste derrière le Real Madrid (518 M€), le FC Barcelone (482,6 M€), le Bayern Munich (431,2 M€) et Manchester United (423,8 M€). Mais il se vante moins de figurer parmi les formations européennes particulièrement surveillées par l’instance de contrôle financier des clubs (ICFC) de l’UEFA, chargée de mettre en place le fair-play financier (ne pas dépenser plus d’argent que les clubs en génèrent). Une première fois, le 28 novembre 2O13, Nasser al-Khelaïfi, le président parisien, Jean-Claude Blanc, le directeur général, et d’autres collaborateurs ont été auditionnés par l’ICFC à Nyon, en Suisse, au siège de l’UEFA. Une entrevue au cours de laquelle ils ont tenté de convaincre leurs interlocuteurs du bien-fondé de leur politique commerciale, notamment sur le fameux contrat passé avec QTA, l’office de tourisme qatarien, qui leur apporte une manne providentielle de 200 millions d’euros annuels. Un contrat en or qui doit permettre au PSG de ne pas dépasser les 45 millions d’euros de déficit autorisés en 2013-2014 et 2014-2015. MOINS CONVAINCANTS À L’ORAL QUE LES DIRIGEANTS DE CITY Au cours de cet échange, les dirigeants parisiens, habituellement soucieux de ne surtout pas paraître arrogants, ont été jugés un peu hautains, selon des sources internes à l’UEFA, réunie cette semaine à Astana, au Kazakhstan, pour son comité exécutif et son congrès. Et moins convaincants que ceux de Manchester City, empêtrés également dans les méandres du fair-play financier. Fin janvier, un nouvel examen des comptes du PSG a été mené par des membres de l’ICFC, cette fois-ci au siège du club parisien. Avant un troisième round, de nouveau en Suisse, le 7 mars dernier. Ce qui témoigne des interrogations des experts financiers de l’UEFA sur la nature de ce contrat. Car, même si Nasser al-Khelaïfi, le 2 janvier, assurait dans nos colonnes que « ce contrat n’est pas un artifice comptable » , son montant astronomique, et jamais vu dans le football, pose question. Notamment du côté de la Confédération européenne, où on indique que « si le propriétaire d’un club injecte de l’argent par le biais d’un contrat de sponsoring avec une société avec laquelle il a des liens, les instances compétentes de l’UEFA étudieront ce cas et, si nécessaire, adapteront le calcul du résultat relatif à l’équilibre financier en prenant en compte les recettes de sponsoring dans la mesure appropriée en fonction du prix du marché » . En clair, le contrat passé avec QTA pourrait connaître une décote. Ce qui placerait alors le PSG en situation de large déficit aux yeux de l’UEFA. Dès lors, Paris peut-il être puni fin avril ou début mai, quand tomberont les premières décisions ? Le risque est réel, mais on oublie souvent que l’éventail des sanctions est très large, avec neuf degrés, allant de « la mise en garde » au « retrait d’un titre » , en passant par « le blâme » « l’amende, la déduction de points, la rétention des recettes provenant d’une compétition de l’UEFA, l’interdiction d’inscrire de nouveaux joueurs, la restriction du nombre de joueurs ou l’exclusion de compétitions en cours et/ou futures ». Citation PSG-CHELSEA : LA COURSE AUX BILLETS FAIT RAGE Hier soir, après 20 heures, le site Internet du PSG indiquait à l’acheteur optimiste un « temps d’attente estimé à au moins 120 minutes » pour accéder à l’une des 2 000 dernières places mises en vente pour le quart de finale aller de Ligue des champions face à Chelsea, le 2 avril au Parc des Princes. Par ailleurs, un autre contingent d’environ 2 000 tickets à 60€ l’unité a été mis à disposition des supporters de Chelsea. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
|
|
|
26/03/2014 07:15
Message
#6051
|
|
![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation « Lucas va marquer l’histoire du PSG » Nene, ancien joueur parisien PRÉSENT À PARIS lundi pour la finale de l’Adidas Samba Tour, Nene (32 ans) a pu constater l’affection toujours réelle des supporteurs parisiens à son égard. Transféré à Al-Gharafa (Qatar) en janvier 2013, le Brésilien clame toujours son amour pour le PSG. Etes-vous touché par l’attachement que vous démontre le public parisien ? NENE. Cela me touche au plus profond du coeur. Je vois que les gens ont toujours du respect pour ce que j’ai fait ici. L’amour qu’ils ont pour moi est quelque chose d’unique. Paris est toujours ma ville et mon club de coeur. Dès que je peux, j’y viens. J’ai encore plein d’amis au club et en dehors. Etes-vous heureux au Qatar ? Oui, je suis bien, ma famille est bien, la vie est tranquille. Après évidemment, c’est très différent sportivement… L’adrénaline des grands matchs me manque. A la fin de mon contrat (NDLR : en juin 2015), j’espère revenir en Europe. A Paris ? S’ils veulent de moi, pourquoi pas ! J’aimerais finir ma carrière ici et jouer avec Lucas. Je suis son frère, comme il le dit. Quand il est arrivé, on a tout de suite sympathisé, notre relation est très belle. Il a un futur très brillant qui l’attend. Il va marquer l’histoire du club. Quelle est l’image du PSG au Qatar ? On en parle beaucoup. C’est la deuxième équipe du pays derrière la sélection nationale. Dans la rue, les gens portent le maillot du PSG. Les joueurs de mon équipe m’ont aussi demandé de leur en rapporter. Le PSG est-il capable de battre Chelsea en quart de finale de la Ligue des champions ? Ce sera un grand match, très difficile, car Chelsea est très en forme en ce moment. Mais Paris aussi est en grande forme et je les vois passer. Le PSG est capable d’aller en finale. Après, tout est possible. Reconnaissez-vous l’équipe que vous avez quittée il y a à peine plus d’un an ? A Paris, il y a désormais deux équipes de même niveau et chacun se sent investi d’une mission pour aider le club à grandir. En deux ans, ils ont gagné beaucoup d’expérience. Ils sont plus sereins. Les joueurs sont au top et, en plus, ils sont très intelligents. Citation Van der Wiel forfait pour Chelsea ? La possibilité de voir Gregory Van der Wiel retrouver une place de titulaire face à Chelsea s’amenuise de jour en jour. Hier, le Néerlandais a une nouvelle fois été dispensé d’entraînement, comme c’était déjà le cas lundi, en raison de douleurs persistantes à son genou droit. Si son forfait pour le déplacement à Nice semble acquis, il apparaît de moins en moins probable que l’international soit rétabli pour la réception de Chelsea mercredi prochain. Van der Wiel n’a plus participé à la moindre séance collective avec ses coéquipiers depuis plus de quinze jours et son séjour d’une semaine à Munich, le 10 mars, pour soigner une tendinite rotulienne. Jeudi dernier, Laurent Blanc confiait son optimisme de voir revenir le défenseur à l’entraînement cette semaine. Mais son genou récalcitrant semble en avoir décidé autrement. « C’est une blessure très difficile à traiter, explique Alain Simon, ancien médecin de l’équipe de France (2008-2010). Certains joueurs guérissent rapidement, d’autres non. » Le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
|
|
|
26/03/2014 08:58
Message
#6052
|
|
![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 53,524 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 60 Tribune : Canapé |
Citation Ménez: «Je suis l'incompris du PSG» Dans un entretien à la Gazzetta dello Sport, Jérémy Ménez tacle le PSG (avec qui il est en fin de contrat) et surtout Laurent Blanc. L'attaquant international français fait du pied à la Serie A et... à la Juventus. En fin de contrat avec le PSG, Jérémy Ménez va quitter le club cet été. Il faut dire qu'il n'a été titularisé que neuf fois toutes compétitions confondues cette saison... «J'ai été opéré du dos cet été et quand j'ai été de nouveau opérationnel, l'entraîneur avait fait ses choix. (...) Ancelotti était plus proche de ses joueurs, tu te sentais important avec lui. Laurent Blanc a une manière différente de manager. (...) Je suis un peu l'incompris du PSG», regrette-t-il dans la Gazzetta dello Sport. «La Juve est une équipe qui me plaît beaucoup, une des plus fortes d'Europe.» L'ancien joueur de la Roma (2008-2011) fait du pied à la Serie A, qui le suit de près : «J'ai passé de belles années à Rome, je parle déjà la langue. Je connais la Serie A, je connais tout d'elle. L'adaptation serait facile. (...) Je cherche une équipe qui me ferait retrouver le plaisir du terrain. (...) Quant à mon tempérament, j'ai changé. L'image de rebelle appartient au passé. J'ai 26 ans, une famille qui me rend serein. Je suis plus mûr et je peux le démontrer sur le terrain.» Au mois de janvier, la Juventus Turin (futur champion d'Italie) l'avait dans le viseur. Et évidemment, cela plaît à Ménez : «La Juve est une équipe qui me plaît beaucoup, une des plus fortes d'Europe. Elle possède un effectif de qualité, composé uniquement de champions, notamment à mon poste. Mais la concurrence ne me fait pas peur. Enfin, quand elle est saine...» Sous-entendu : au PSG, elle ne l'est pas. www.lequipe.fr |
|
|
|
27/03/2014 07:08
Message
#6053
|
|
![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Ménez rêve d’Italie L’attaquant parisien, en fin de contrat en juin , a témoigné de son intérêt pour la Serie A. Et mis en cause le management de Laurent Blanc... LE DÉPART de Jérémy Ménez, en fin de contrat le 30 juin prochain avec le PSG, ne semble plus faire aucun doute. Son agent, Jean-Pierre Bernès, ne confirme pas et estime que le jeu est encore ouvert, mais une prolongation avec le club parisien semble désormais improbable. Hier, l’attaquant international français (26 ans, 24 sélections, 2 buts), qui n’a disputé que onze matches (dont 6 titularisations), cette saison en Ligue 1 (2 buts, aucune passe décisive), s’est confié à la Gazzetta dello Sport, le quotidien sportif italien, et a fait un appel du pied au Calcio. « La Juve est une équipe qui me plaît beaucoup, une des plus fortes d’Europe. Elle possède un effectif de qualité, composé uniquement de champions, notamment à mon poste. (...) J’ai passé de belles années à Rome, je parle déjà la langue. Je connais la Serie A. L’adaptation serait facile. Je cherche une équipe qui me ferait retrouver le plaisir du terrain» , a déclaré Ménez. « JE SUIS UN PEU L’INCOMPRIS DU PSG » Cette envie d’un retour en Italie, où il a évolué pendant trois saisons, à l’AS Rome (2008-2011), et laissé un souvenir plutôt flatteur aux tifosi, s’est surtout accompagnée d’une critique des méthodes de son entraîneur, Laurent Blanc, qui ne devrait pas l’aider à remonter sa cote en interne. «La concurrence ne me fait pas peur. Enfin, quand elle est saine… » a ainsi lâché Ménez, avant d’ajouter : « Ancelotti (sur le banc parisien entre décembre 2011-juin 2013) était plus proche de ses joueurs, tu te sentais important avec lui. Laurent Blanc a une manière différente de manager. (...) Je suis un peu l’incompris du PSG. » Les rapports entre l’ancien Sochalien (2004-2006) et l’ex-sélectionneur de l’équipe de France (2010-2012), qui lui préfère Ezequiel Lavezzi, Lucas voire Javier Pastore, sont délicats depuis l’Euro 2012. Blanc lui reproche son inconstance, quand Ménez regrette de ne pas avoir eu sa chance en enchaînant plusieurs matches comme titulaire, pour retrouver du rythme après son opération du dos, en juillet dernier. Également pris en grippe par le Parc des Princes, Ménez doit se résoudre à quitter le club de la capitale, l’été prochain. La Juventus, leader de la Serie A, est intéressée et semble recueillir ses faveurs. Mais la Fiorentina (4e) est aussi candidate, alors que l’AC Milan (12e) et la Roma (2e) de Rudi Garcia n’en sont qu’à l’étape des premiers renseignements. Mais l’international, qui ne semble plus faire partie des plans de Didier Deschamps pour la Coupe du monde au Brésil, pourrait aussi relancer sa carrière à l’AS Monaco. Des contacts entre le club de la Principauté et Ménez avaient déjà été établis en fin de saison dernière. Mais le maintien en poste de Claudio Ranieri, son ancien entraîneur à Rome, qui l’apprécie, reste une condition non négligeable à son retour en Principauté, où il a évolué de 2006 à 2008. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
|
|
|
27/03/2014 07:21
Message
#6054
|
|
![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation PSG-Chelsea: les derniers billets s'arrachent à prix d'or Des centaines de milliers de personnes tentent encore d’acheter un précieux sésame pour l’affiche de mercredi au Parc des Princes. Toutefois, l’exercice apparaît compliqué. LE RECORD sera-t-il battu à l’occasion de PSG - Chelsea ? L’an passé, le quart de finale de Ligue des champions contre le FC Barcelone avait suscité entre 700 000 et 1 million de demandes de places, selon une estimation fournie à l’époque par le club parisien. Or, mardi, jour où le PSG commercialisait les dernières places pour ce choc contre les Blues (entre 2 000 et 3 000), 800 000 connexions ont été enregistrées sur le site de la billetterie. « Dès l’ouverture des ventes à 19 heures, il y avait déjà 150 000 personnes en file d’attente, ajoute-t-on au club. Une telle attente est quelque chose de normal, c’est un match exceptionnel. » Meme les VIP doivent se battre. Depuis l’annonce du tirage au sort, la catégorie 1, la plus chère du Parc des Princes, est prise d’assaut. Ce lot de 6 000 places situées à proximité du terrain fait l’objet d’enchères enflammées avec des prix qui grimpaient hier soir, sur Viagogo, la plateforme officielle d’échanges de places agréée par le PSG, jusqu’à 2 500 € pour un billet. « C’est la loi de l’offre et de la demande, le club ne peut être tenu pour responsable de la flambée du prix des places », précise le PSG. Dans le même temps, d’autres circuits, moins officiels, s’activaient. « Ces derniers jours, les prix ont flambé sous l’effet du prestige de l’affiche, de la présence de José Mourinho et, surtout, sous l’effet du pouvoir d’achat des Anglais, explique un professionnel de ce secteur. Ce sont surtout les supporteurs de Chelsea qui ont fait grimper les prix. » Un marché noir peu contrôlable. De chaque côté de la Manche, l’approvisionnement en billets se fait au compte-gouttes. Toutes les sources sont sollicitées, avec plus ou moins de succès : l’entourage des joueurs, les familiers du PSG comme de Chelsea et les proches de l’UEFA, qui s’est vu réserver un contingent de 5 000 places prévues. Ce marché noir haut de gamme, illégal mais très difficile à contrôler, devrait battre son plein jusqu’à quelques heures avant le coup d’envoi du match. « La seule plate-forme autorisée à mettre en vente des places est Viagogo, rappelle le PSG. Les billets portent un numéro, ce qui nous permet de les désactiver s’il est avéré qu’ils ont été vendus frauduleusement. » Sérénité en matière de sécurité. Deux mille deux cents supporteurs de Chelsea sont attendus dans le parcage visiteurs du Parc. Escortés par la réputation sulfureuse de leurs anciens groupes de hooligans, dont les célèbres Chelsea Headhunters, les fans des Blues n’inspirent plus de craintes particulières aux services de maintien de l’ordre. Les plus dangereux, une centaine d’individus environ, sont interdits de stade en Angleterre et ne sont pas autorisés à se rendre en France mercredi. Dans le même temps, d’autres fans du club londonien se sont procuré des billets par des voies parallèles et pourraient être disséminés dans les tribunes, au côté de supporteurs parisiens. « La vente n’est pas autorisée aux supporteurs anglais et la plate-forme dispose d’un service anti-fraude », poursuit le PSG. Les autorités françaises sont sereines et s’estiment capables de gérer ces groupes restreints. Le match est malgré tout classé à risques, comme la plupart des rencontres européennes. Citation Lucas Digne : « J’ai franchi un palier » A 20 ANS, Lucas Digne est l’avenir du PSG au poste de latéral gauche. Pour l’instant, l’ancien Lillois (14 matchs depuis le début de saison) apprend dans l’ombre de Maxwell et ne s’apitoie pas sur son sort. Avant le déplacement à Nice demain et le quart de finale contre Chelsea mercredi, il évoque son statut à Paris et sa première sélection chez les Bleus. Le déplacement à Nice fait partie de ces matchs qui peuvent vous permettre de vous mettre en évidence ? LUCAS DIGNE. Pour moi, le but de chaque rencontre est d’avoir le maximum de temps de jeu. Je profite de chaque minute pour démontrer mes qualités et prouver que je travaille dur au quotidien. Depuis le début de saison, j’ai quand même réussi à montrer que j’ai progressé dans certains domaines. Il n’y a pas de frustration de vous dire que vous pourriez être titulaire dans n’importe quel autre club français ? Il faut savoir ce qu’on veut. Aujourd’hui, je suis dans le plus grand projet sportif du monde. Donc, si vous ne voulez pas jouer dans un grand club, il ne faut pas venir au PSG. A partir du moment où vous acceptez la concurrence, elle existe dans tous les grands clubs. Paradoxalement, c’est la saison où vous jouez le moins que vous intégrez l’équipe de France. C’est un peu fou, non ? Non, car j’ai trois saisons de Ligue 1 derrière moi et j’ai beaucoup travaillé pour accéder à ce rêve. C’est un objectif que je m’étais fixé et j’ai essayé de prouver à chaque occasion ce que je valais. Avec un peu de recul, que vous a apporté cette première sélection chez les Bleus ? J’ai franchi un palier. Pouvoir porter le maillot de son pays, c’est une fierté. J’ai progressé dans la confiance que j’ai en moi et au niveau défensif. Cela nécessite encore plus de concentration et d’application. Désormais, est-ce que vous vous autorisez à penser un peu plus fort à la Coupe du monde ? Bien sûr que j’y pense. C’est un rêve et un objectif, et j’espère les atteindre. C’est important. Serait-ce une déception de ne pas y aller ? Non, car je suis encore jeune. Mais on verra en temps voulu. Pour l’instant, la liste des vingt-trois n’a pas encore été communiquée. Comment vos coéquipiers et vous avez réagi à l’annonce de la double confrontation face à Chelsea ? Il n’y a pas eu de réaction particulière, ni sauts de joie ni tristesse. On se prépare tranquillement pour ce match. C’est le type de rencontres qu’on rêve de jouer quand on est petits et, pour moi, c’est le premier quart de finale de Ligue des champions. Mais on est sereins. Le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
|
|
|
27/03/2014 14:27
Message
#6055
|
|
![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Blanc: «Mourinho? Un des meilleurs» A moins d'une semaine du quart aller de la Ligue des champions contre Chelsea, Laurent Blanc s'est montré élogieux envers José Mourinho. Laurent Blanc ne compte pas jouer le jeu des petites phrases croustillantes et autres polémiques avant le grand choc contre Chelsea, mercredi en quarts de finale aller de la Ligue des champions. «Je ne rentrerai pas dans ce jeu, a prévenu le coach du PSG, ce jeudi en conférence de presse. C’est mon choix. Je me concentre sur mon match à Nice (vendredi 20h30). Mourinho, lui, il va parler et commenter, c’est son mode de fonctionnement. » Mourinho était l'un des entraîneurs de Blanc au Barça Malgré tout, Blanc a tenu à dire tout le bien qu’il pensait de Chelsea et de son entraîneur : «Il va falloir faire un grand match contre une grande équipe et un grand entraîneur.» Le technicien parisien a d’ailleurs bien connu son homologue portugais, qu’il a su sous ses ordres quand celui-ci était l’adjoint de Bobby Robson au FC Barcelone. «J’ai eu la chance d’être entrainé par lui. Il était plus qu’adjoint, il était déjà très malin, très pro. J’ai beaucoup de respect pour lui.» Et Blanc ne s’arrête pas là. Il l’encense : «C’est un grand technicien. Qui oserait dire qu’il ne l’est pas ? Il a tout gagné. La C1 avec Porto, l’Inter… C’est un des plus grands. Je le dis parce que je le pense vraiment.» Paris est-il le favori de ce quart de finale ? «Je ne réponds pas à ça», s’est retenu le Cévenol, toujours aussi prudent, lui qui craint les gros titres avant la venue des Blues au Parc des Princes la semaine prochaine. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
|
|
|
27/03/2014 16:44
Message
#6056
|
|
|
Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Jallet : «Envie de marquer les esprits»
De retour sur les terrains après une longue blessure, Christophe Jallet profite de l'absence de Van der Wiel pour enchaîner les matches. Le défenseur du PSG a évoqué ce jeudi le match à Nice, le choc contre Chelsea, la concurrence et son envie de prolonger. « Christophe Jallet, il n’y a encore pas si longtemps, vous étiez à l’infirmerie et là vous vous apprêtez à jouer un quart de finale contre Chelsea. Avez-vous retrouvé toutes vos sensations ? Ça revient bien. Les tests physiques effectués dans la semaine ont montré que j’ai retrouvé le niveau qui était le mien avant de me blesser. Enchaîner les matches m’a permis de retrouver le rythme et la confiance. C’est plus facile de la retrouver grâce aux victoires. Comme quoi, il ne faut jamais lâcher, tout peut aller très vite. Comment voyez-vous la confrontation contre Chelsea ? Je pense qu’il s’agira d’un match ouvert et que les deux équipes peuvent se qualifier. Il n’y en a pas une plus favorite que l’autre. Cela se jouera je pense sur de petits détails. Le quart de l’an passé contre le FC Barcelone (2-2, 1-1) va nous servir. Il ne faudra pas commettre les mêmes erreurs. Si vous jouez, Hazard sera dans votre couloir. C’est gênant ? J’ai joué pas mal de fois contre Lille quand il y était. Depuis, bien sûr, il a pris de l’ampleur. Il faudra être à 130 % dans sa tête. Il ne faudra en tout cas pas avoir peur d’un joueur plus que d’un autre. Est-ce l’année du PSG en Ligue des champions ? Quand on arrive en quart, on peut penser à aller plus loin. Là, on se dit que c’est possible, mais l’an dernier on se disait déjà la même chose. Mais il faudra d’abord sortir un très gros match pour se qualifier. Vous dites-vous que le titre en L1 est gagné ? Non, on ne se le dit pas. Comme on est pro et compétiteur, il n’y a pas de place pour le relâchement. On a envie de marquer les esprits avec plus de points, plus de buts… C’est l’ambition des grandes équipes. Pour le déplacement à Nice par exemple, il faut se souvenir de la saison passée (défaite 1-2). On est averti. On sait que chaque match est compliqué. Donc pas question de le prendre par-dessus la jambe. «Dans la vie, on a que ce qu'on mérite.» Ménez vient de se plaindre de la concurrence. Qu’en pensez-vous ? De toute façon, quand on joue moins, on n’est jamais content. On peut toujours trouver des excuses. Dans la vie, on a que ce qu’on mérite. Si on joue moins c’est qu’on est moins bon et l’autre est sans doute meilleur. En ce qui me concerne, en match comme à l’entraînement, personne n’est à ma place. Les blessures font aussi partie du jeu. Il faut savoir parfois bosser deux fois plus. Allez-vous prolonger votre contrat ? Aujourd’hui non. Demain non plus... (rires) Avant la fin de saison peut-être. Mon souhait ? J’ai envie que l’aventure se prolonge le plus longtemps possible. Actuellement, la question de la prolongation ne se pose pas forcément. Je suis là et très content. Pourvu que ça dure. » D. Mi. pour l'Equipe.fr |
|
|
|
28/03/2014 07:19
Message
#6057
|
|
![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Dernier virage avant le grand saut Malgré la perspective du choc tant attendu face à Chelsea, mercredi en Ligue des champions, Laurent Blanc alignera la meilleure équipe possible ce soir à Nice. POUR LE GRAND FRISSON, il faudra encore attendre. Alors que la course aux billets continue de battre son plein et que tous les esprits sont focalisés sur la venue de Chelsea au Parc, mercredi, en quart de finale aller de Ligue des champions, Paris doit d’abord se rendre à Nice ce soir. Et ce n’est pas le record d’affluence annoncé à l’Allianz Riviera avec plus de 35 000 spectateurs qui suffit à donner du piment à cette virée sur la Côte d’Azur. Alors que Paris possède dix points d’avance sur son dauphin monégasque, le suspense n’est plus de savoir s’il va conserver son titre de champion mais à quel moment cela arrivera. Avant la finale de la Coupe de la Ligue face à Lyon le 19 avril, qui peut offrir à Paris un premier triomphe printanier, l’air frais, excitant et un peu effrayant des matchs à haute altitude est donc attendu mercredi sur la capitale. De quoi faire oublier le quotidien d’une L 1 devenue un peu fade pour le PSG ? « On entre dans le money time mais on n’a encore rien gagné, rappelle Laurent Blanc, qui semble faire peu de cas du Trophée des champions remporté début août. La meilleure façon de préparer notre match de Ligue des champions, c’est de gagner à Nice. » Une maxime que ses joueurs ont visiblement intégrée depuis longtemps puisqu’ils sont sortis vainqueurs de leurs huit matchs de championnat précédant un rendez- vous européen. Mais, au moment d’aborder le virage le plus important de la saison, le risque est bien de voir l’esprit des Parisiens davantage tourné vers les Anglais que vers les Aiglons. « Chelsea est toujours dans un petit coin de nos têtes, reconnaît Christophe Jallet, le latéral droit parisien. Mais on est des pros et des compétiteurs. Ce ne sera pas un match facile à Nice. Si on le prend par-dessus la jambe, ce ne sera pas une très bonne préparation. » Laurent Blanc est, lui, face à un dilemme au moment de composer son équipe. L’entraîneur ne craint pas la fatigue au regard des cinq jours de récupération et estime même que jouer à Nice constitue la meilleure des préparations physiques. Il redoute en revanche le manque d’implication de ses troupes et le spectre de la blessure. « On ne va pas se le cacher, quand il y a des matchs importants qui arrivent, les joueurs y pensent, convient l’ancien sélectionneur des Bleus. Il ne faudrait pas lever le pied mais, inconsciemment, c’est le cas. C’est aussi paradoxalement dans ces moments- là que tu te fais mal. On va dire aux joueurs de faire abstraction du match de Chelsea, mais je pense qu’ils n’y arriveront pas. Donc, il faudra le faire le plus possible. » Citation Verratti et Matuidi préservés ? LAURENT BLANC n’a pas caché que l’équation était délicate à résoudre : comment bien négocier Nice demain soir sans qu’Ibrahimovic et ses partenaires se relâchent trop ni se blessent dans la perspective du rendez- vous capital contre Chelsea ? Blanc souhaite aligner la meilleure équipe possible. Ses choix lors de la séance d’entraînement d’hier après-midi sont allés dans le sens de son discours. Après un échauffement ludique et un peu de travail physique, une opposition sur terrain réduit a eu lieu. Le staff parisien semble avoir décidé de ne pas trop faire tourner sur la Côte d’Azur. C’est au milieu de terrain que les changements devraient être les plus nombreux. Avec leur accord, Blanc devrait se passer de Matuidi et Verratti ce soir afin de les préserver pour la Coupe d’Europe. Hier, Rabiot et Cabaye entouraient Motta dans l’entrejeu. Si l’international français est resté avec les titulaires pour la seconde période, Rabiot a laissé sa place à Pastore. Le reste de l’équipe alignée devrait être du grand classique. Après sa fracture de l’os zygomatique gauche à Lorient il y a une semaine, Thiago Silva s’est entraîné avec les autres titulaires. Le Brésilien portait son masque de protection et n’a pas semblé ressentir la moindre gêne. « Il décidera s’il veut jouer avec ou sans » , a confié Blanc à propos de son capitaine, qui sera associé à Alex. Sur le flanc droit, Jallet devrait disputer son quatrième match de rang en raison de l’absence prolongée de Van der Wiel, touché à un genou, et qui a travaillé seul avec un préparateur physique hier. « Ça revient bien, confie Jallet. Les tests physiques cette semaine montrent que je suis revenu au même état de forme qu’avant ma blessure. En enchaînant les matchs, je retrouve le rythme et aussi la confiance. » Sirigu- Jallet, Alex, Thiago Silva, Maxwell ou Digne- Cabaye, Thiago Motta, Rabiot ou Pastore- Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi Le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
|
|
|
28/03/2014 07:35
Message
#6058
|
|
![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation L’AZUR avant les BLUES À Nice, en L 1, cinq jours avant de recevoir Chelsea en quarts de finale aller de la C 1, le PSG doit entretenir sa dynamique sportive sans s’exposer aux blessures. AVANT DE PENSER à étirer artificiellement le suspense en Ligue 1, on peut toujours essayer de le prolonger naturellement. Mais ce n’est pas gagné : à huit journées de la fin, il reste 24 points à prendre alors que les Parisiens en comptent maintenant 10 d’avance sur Monaco et il ne faut pas pousser beaucoup quelques Cassandre de nos connaissances pour leur promettre un second titre d’affilée sans pépin. Les seuls ennuis qui entraveraient la route du PSG concernent les blessures éventuelles que l’ordinaire de la Ligue 1 pourrait infliger à l’effectif de Laurent Blanc et c’est là toute la problématique de ce déplacement à Nice : comment entretenir son élan sans exposer ses joueurs aux blessures ? « Voilà le dilemme, convenait l’entraîneur parisien, hier midi. Que faire ? La meilleure préparation pour un match de Ligue des champions est de gagner en Championnat auparavant. C’est pour ça qu’il faut mettre la meilleure équipe possible pour gagner. » Jusqu’ici, la recette a souvent fait ses preuves. La plupart des rendez-vous pré-Ligue des champions se sont conclus par un succès qui en a appelé un autre aussitôt, à l’exception de la réception d’Anderlecht (1-1, le 5 novembre) et du déplacement à Lisbonne (1-2 contre Benfica, le 10 décembre), quand la qualification pour les huitièmes était déjà assurée. Alors qu’ils s’apprêtent à replonger dans le bain à haute température de la C 1, dans cinq jours, face à Chelsea, et que le niveau d’exigence s’élève considérablement, les Parisiens, sur la Côte d’Azur, ont le choix de la gestion et du calcul, que leur entraîneur a toujours balayé jusqu’à présent, mais qui peut s’avérer une tentation à l’instant où leur environnement suggère que la reine des compétitions européennes est taillée à leur mesure. Même si la double confrontation avec les Blues nourrit davantage les conversations dans le vestiaire que le déplacement du jour à Nice, l’examen de la saison dernière rappelle un souvenir douloureux, qui aurait pu écourter de quelques mois le séjour parisien de Carlo Ancelotti. « C’est toujours compliqué de s’imposer là-bas, prévient le latéral droit Christophe Jallet. Notre défaite (1-2, le 1er décembre 2012) l’année dernière avait d’ailleurs mis la zizanie dans le club. » Si Paris semble à l’abri d’une mésaventure comparable, trébucher ce soir ne positionnerait pas le club dans le confort le plus total avant d’accueillir le leader de la Premier League. Et si les derniers matches des Niçois ne dessinent pas une menace tranchante, l’idée, pour le PSG, consiste surtout à asseoir un peu plus sa domination dans l’espace national. « Qu’est-ce qui est le plus dangereux sur ce match ? demande Blanc. Les blessures ! Mais c’est justement quand tu lèves le pied que tu risques le plus la blessure. » L’évaluation des risques est cependant vite faite. Thiago Silva, victime d’une fracture du zygomatique gauche, vendredi dernier à Lorient (1-0), se met-il en danger s’il est aligné, ce soir, même avec un masque protecteur ? « Pas plus que contre Chelsea » , réplique son entraîneur, qui l’a associé à Alex lors de la séance d’hier. Les deux Brésiliens devraient donc être titularisés face aux Azuréens, ce qui en dit long sur l’importance que Blanc accorde à cette dernière étape avant le grand rendez-vous européen. Finalement, en défense, l’affaire du moment vise moins la présence de Thiago Silva que celle de Gregory Van der Wiel, à droite. Hier, le Néerlandais s’est entraîné à part en raison d’un genou douloureux. Il sera absent ce soir, et sa participation au quart de finale aller, mercredi, demeure encore très floue. Ce qui l’est moins, c’est la motivation de Zlatan Ibrahimovic pour tout transpercer sur son passage. Ce soir, le Suédois participera à son quarante-deuxième match de la saison avec Paris, son quarante-neuvième au total, et il ne veut pas ralentir sa moyenne d’un but par rencontre. Avant de retrouver José Mourinho, son entraîneur à l’Inter Milan (2008-2009), l’arme la plus fatale du PSG compte bien rester sur la même dynamique individuelle et il apprécierait qu’Edinson Cavani et Lucas, qui devraient former l’attaque parisienne à l’Allianz Riviera, haussent de plusieurs tons leur degré d’efficacité en 2014. « À trente-deux ans, Ibra réalise sans doute sa meilleure saison, convenait Blanc hier, qui se projetait déjà, malgré lui, sur le quart de C 1. Certains pensent qu’il ne marque pas dans les matches importants mais je ne vois pas pourquoi il ne marquerait pas. Lui comme les autres. » Ce chapitre-là s’écrira mercredi. En attendant, il faut en poursuivre un autre en France. Citation Sirigu- Jallet, Alex, Thiago Silva, Maxwell- Verratti, Motta, Matuidi- Lucas, Ibrahimovic, Cavani Citation « On doit penser qu’on peut gagner, mais pas que c’est déjà fait » SALVATORE SIRIGU, le gardien parisien, explique comment le PSG tente de conserver sa motivation, malgré sa large avance en tête de la L1. Salvatore Sirigu parle d’une voix douce et basse. Alors, quand Adidas transforme un gymnase du XIe arrondissement de Paris en un mélange de salle de foot à 5 et de discothèque, il faut tendre l’oreille pour l’entendre. Entre deux annonces de speaker et trois tubes hip-hop, le gardien italien du PSG (27 ans, 7 sélections) a réussi à évoquer la saison du PSG, ses ambitions et son avenir, sans baisser le son. « LE PSG COMPTE 10 points d’avance en tête de la L 1 et affrontera mercredi prochain Chelsea en quarts de finale aller de la Ligue des champions. Est-il difficile de se concentrer sur ce déplacement à Nice ? – Peut-être avions-nous un peu la tête au quart de finale lors de notre déplacement, à Lorient (1-0), comme c’était le jour du tirage… Mais, une fois sur le terrain, tout se passe différemment. Le déplacement à Nice est important pour la suite du Championnat mais surtout, c’est un match qui, s’il est réussi, nous mettra en confiance avant la visite de Chelsea. Considérez-vous que le titre de champion de France est déjà acquis ? – On a un avantage, mais il ne faut rien lâcher, pour ne pas donner d’espoirs aux autres. Et puis il y a aussi la finale de la Coupe de la Ligue contre Lyon (le 19 avril) : un trophée qui nous tient vraiment à coeur. Alors on doit penser qu’on peut gagner, mais pas que c’est déjà fait. Quel regard portez-vous sur l’évolution du jeu du PSG cette saison ? – Cela fait trois ans que je suis à Paris et, jusqu’à cette saison, l’équipe était continuellement en construction. Elle s’est aussi renforcée avec l’arrivée de grands joueurs. Après, quand une équipe joue beaucoup, plus le temps passe, plus les affinités se créent et tout devient plus simple. Et quand, en prime, tu gagnes, tu deviens plus fort mentalement. Le titre de champion de France l’an passé a agi comme un déclic. Cela nous a apporté davantage d’assurance. C’est cette assurance, plus que le jeu, que les gens remarquent de l’extérieur. On parle aussi beaucoup de la colonne vertébrale de l’équipe formée par Zlatan Ibrahimovic, Thiago Motta, Thiago Silva et vous… – Il y a des joueurs très importants pour cette équipe, et Thiago Motta en est un maillon essentiel. Il n’est pas toujours mis en avant, mais il fait une vraie différence. Avec lui, même les autres changent. Il rend les joueurs à côté de lui encore meilleurs. Un garçon comme Blaise (Matuidi) continue de monter en puissance. Vous étiez là au départ du projet de Qatar Sports Investments (QSI), aujourd’hui, comment vous sentez-vous à Paris ? – Très bien. Les objectifs du club ont grandi avec les miens et c’est quelque chose dont je peux être fier. Je me sens bien et apaisé dans ce projet et cela me rend encore plus fort sur le terrain. Vous avez récemment été la cible de critiques, notamment sur la qualité de votre jeu au pied. Laurent Blanc a souligné que vous étiez un jeune gardien (27 ans) et que vous aviez encore une marge de progression. Comment avez-vous reçu cela ? – Cela fait partie du jeu. Il faut l’accepter. Et puis je suis focalisé sur mon boulot. De temps en temps, on me rapporte les choses et le plus souvent, cela me fait rigoler. Parfois aussi, cela m’énerve parce que les critiques sont fondées. (Sourire.) Mais je n’éprouve pas le besoin d’y répondre. Je suis conscient de pouvoir encore progresser. Le jour où je saurai que je ne peux plus avancer, là je serai gêné. La domination du PSG sur ses adversaires, cette saison, fait que vous n’êtes pas toujours très sollicité. Comment faites-vous pour rester concentré ? – Même quand je ne fais pas un arrêt décisif, mon métier, c’est d’être régulier. Parfois, pour un gardien, les choses les plus simples peuvent être les plus dangereuses. Parce qu’il faut les réussir. Personnellement, je me sens toujours le même, que je fasse un arrêt décisif ou normal. Le plus important, c’est de continuer de travailler comme si rien ne s’était passé. Sous contrat jusqu’en juin 2015, vous êtes actuellement en discussion pour prolonger de deux ans... – (Il coupe.) On a commencé à parler tranquillement. Je suis content, les deux parties le sont. Maintenant, ce n’est pas le bon moment pour parler de cela. Peut-être le ferons-nous avant ou après la Coupe du monde…» Citation BLANC N’A TOUJOURS PAS PROLONGÉ… Alors que Nasser al-Khelaïfi, le président parisien avait annoncé, au soir de la qualification contre Leverkusen (2-1, le 12 mars en quarts de finale de la Ligue des Champions), que Laurent Blanc « allait prolonger » son contrat avec le PSG, l’entraîneur, lié jusqu’en juin 2015, n’a toujours rien vu venir. Hier, il s’est montré plutôt laconique sur le sujet. « Avez-vous prolongé votre contrat ? lui fut-il demandé. Non. Avez-vous eu des nouvelles du PSG ? Non. » D. D. … JALLET NON PLUS. – Sous contrat jusqu’en 2015, Christophe Jallet n’a reçu aucune proposition de prolongation de la part de la direction parisienne. « Oui, j’ai envie que l’aventure se prolonge le plus longtemps possible, a reconnu le latéral droit parisien de trente ans. Mais actuellement, la question de la prolongation ne se pose pas vraiment. » Si le PSG finalise l’arrivée d’un autre arrière droit l’été prochain, Jallet pourrait privilégier l’option d’un départ. D. D. MÉNEZ : BIENTÔT UN ENTRETIEN AVEC SON ENTRAÎNEUR. – Laurent Blanc devrait rencontrer Jérémy Ménez dans les prochains jours pour évoquer l’entretien publié avant-hier par la Gazzetta dello Sport, dans lequel il critiquait notamment le management de l’entraîneur parisien et regrettait que la concurrence ne soit pas saine à Paris. « Il a le droit de penser ce qu’il a dit, a affirmé Blanc en préambule. On en parlera en temps voulu. Mais croyez-moi, on en parlera ! » D. D. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
|
|
|
28/03/2014 15:40
Message
#6059
|
|
![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation A Nice, difficile de ne pas penser à Chelsea... Afin d'aborder au mieux son grand rendez-vous de Ligue des champions mercredi contre Chelsea, le Paris-SG se doit de gagner à Nice ce vendredi (20h30). Jeudi en conférence de presse, Laurent Blanc n’a cessé de répéter que la meilleure façon de préparer - aussi bien psychologiquement que physiquement - le choc contre Chelsea, mercredi au Parc des Princes en quart de finale aller de la Ligue des champions (20h45), était, il en est convaincu, de « gagner » à Nice. « De toute façon, pour bien se préparer à un match de C1, rien ne remplace un match. Il faudra le jouer et bien ». Pour autant, le coach du PSG a reconnu qu’il se trouvait devant un vrai dilemme. « Avant un match comme Chelsea, on aurait tendance à vouloir protéger certains joueurs pour éviter qu’ils ne se blessent. » Le coach parisien, qui n'envisage pas de faire tourner, a donc prévu « d’aligner la meilleure équipe possible » à l'Allianz Riviera. « Là, il y en a qui reviennent de blessures, d’autres qui ont de petits pépins mais, mercredi, tout le monde voudra jouer. » Le technicien va surtout croiser les doigts pour que sa troupe sorte indemne de ce déplacement à risque (défaite 1-2 la saison passée). Avant un grand rendez-vous européen, les joueurs sont souvent obnubilés par les étoiles (de la Ligue des champions) qui brillent. D’où la difficulté de rester concentré sur le match de Championnat à jouer le week-end qui précède. « Le match de Nice est important, la C1 importante aussi, a signifié Blanc. Après, ce qui est dangereux, c’est de lever le pied. C’est là où tu risques le plus la blessure. » Alors Blanc conseille à ses joueurs d'oublier Chelsea. Mais il n’y croit pas. « Ils n’y arriveront pas, a-t-il assuré. Essayons quand même de faire abstraction le plus possible. » L'entraîneur parisien, qui redoute un raté, peut se rassurer en se disant que son équipe a toujours répondu présent avant un match de Ligue des champions Citation Le PSG sait rester concentré Le PSG a disputé 8 rencontres de C1 depuis le début de la saison et à chaque fois il a gagné juste avant. 8 Matchs de L1 et 8 victoires. 26 buts en 8 matchs de L1. 0 buts encaissés en 8 matchs de L1. 3.25 buts par match en L1 avant la Ligue des Champions. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
|
|
|
29/03/2014 12:53
Message
#6060
|
|
![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Paris, comme d'habitude A cinq jours de son quart de finale de Ligue des champions contre Chelsea, le PSG a livré une prestation sérieuse contre l'OGC Nice, battu (0-1) dans son Allianz Riviera. Le PSG conserve ses bonnes habitudes. Comme c’est le cas avant chaque match de Ligue des champions cette saison, il s’est imposé ce vendredi en Championnat. L’OGC Nice a été battu (0-1) dans son Allianz Riviera sous le regard de sa mascotte, un aigle, qui a refusé de rejoindre son dresseur et a passé la rencontre sur les armatures du stade. En-dessous du rapace, les supporters niçois se sont amusés à redécorer le but de Sirigu avec du papier toilette. Le temps de nettoyer tout ça, M. Ennjimi a enfin pu siffler le coup d’envoi avec huit minutes de retard. Et, vu la qualité de la rencontre, ça valait le coup d’attendre. Un but refusé, à raison Les Niçois n’ont pas fait de complexe et ont décidé de jouer crânement leur chance lors de cette rencontre de la 31e journée. Certes, ils ont touché moins de ballons que les Parisiens, mais quand ils l’avaient dans les pieds, ils n’hésitaient pas à provoquer leurs adversaires et à frapper. Dès la première minute, Valentin Eysseric a tenté sa chance, au-dessus. Bauthéac a lui aussi raté le cadre, sur coup franc (70e). Digard (25e), Eysseric (25e), encore lui, et Bodmer (31e) ont également chauffé les gants de Sirigu. Un but leur a été refusé, à raison, pour un hors-jeu de Cvitanich (11e). Ils ont même fait reculer les Parisiens lors des dix dernières minutes, sans se montrer dangereux toutefois. Lavezzi, déplacement intéressants A cinq jours de leur quart de finale aller de Ligue des champions contre Chelsea, les Parisiens ont délivré une prestation solide, malgré l’absence de quatre titulaires (Alex, Maxwell, Verratti et Matuidi) au coup d’envoi. Ils ont bien lu le jeu des Niçois pour intercepter et récupérer le ballon très haut. Ezequiel Lavezzi a été intéressant par ses déplacements et ses appels entre les lignes. Il s’est créé deux situations dangereuses (2e et 20e). Cabaye (7e), Cavani (18e et 34e), Marquinhos (35e), Ibrahimovic (36e) et Thiago Silva (45e) ont également eu l’opportunité d’ouvrir le score. Sans réussite. C'est la troisième fois depuis le début de la saison que le PSG bénéficie d'un but contre son camp. Déjà dominateurs en première période, les Parisiens ont remonté leur bloc d’un cran et n’ont laissé aucun espace aux Niçois au retour des vestiaires. Ce n’est pourtant pas un des joueurs de Laurent Blanc qui a débloqué le compteur, mais Kolodziejczak, mis sous pression de façon illicite par Cavani (52e). Lucas Digne a lui failli marquer son premier but avec le PSG, mais Mathieu Bodmer a sauvé sur sa ligne (73e). Après ce septième succès consécutif, une première pour le PSG dans l'élite, le leader compte treize points d'avance sur Monaco. Et, c’est peut-être le plus important, aucun joueur ne s’est blessé avant le rendez-vous européen de mercredi. Citation Blanc : «Être plus efficace» Laurent Blanc, l'entraîneur du PSG, n'était pas satisfait de la prestation de ses joueurs après la victoire contre Nice vendredi (1-0), leur reprochant notamment leur manque d'efficacité. «Laurent Blanc, après la victoire à Lorient (1-0), votre équipe s'est encore exposée en fin de match, êtes-vous agacé ? Si on veut analyser le match, il ne faut pas analyser que ça. Je n'oublie pas que dans les dix premières minutes le PSG peut faire la différence et alors le match aurait été plus facile. Cela fait deux victoires acquises à l'extérieur dans la difficulté, mais ça compte. Vous pouvez aussi vous féliciter qu'il n'y ait pas eu de blessures ce soir ? C'est un autre aspect du match. On avait une équipe différente de celle qui a joué contre Lorient. A la fin du match, il n'y a pas de blessure grave à déplorer, l'essentiel a été fait. Nous n'avons pas fait un grand match, Nice a joué avec ses valeurs, on peut être satisfait. Mais il faut vite basculer sur le match de Chelsea. «On n'a pas fait un très grand match, mais des matches comme ça, il faut les gagner» Sur le but, il y a peut-être faute de Cavani ? Si vous dites qu'il y a faute, il y a faute. Des buts qu'on marque sur des fautes, cela arrive dans la saison. On a pu penser qu'il y a eu une poussette, alors le but est litigieux. Quelle a été la principale difficulté pour le PSG ce soir ? Un petit peu tout : la mise en marche, les occasions gâchées... On n'a pas été juste dans le jeu, notamment dans le domaine offensif, et on n'est pas efficace. On peut dire que les joueurs pensaient déjà à Chelsea. Mercredi il faudra être meilleur sur ce plan, si on se procure des occasions comme ce soir, il faudra être plus efficace. Etait-ce une préparation idéale pour mercredi ? La meilleure des préparations, je l'avais dit, c'était de gagner. On n'a pas fait un très grand match, mais des matches comme ça, il faut les gagner.» Citation Digne : «Important de gagner» Lucas Digne, le latéral du PSG, au micro de beIN Sports : «On avait à cœur de bien préparer le match de Chelsea en gagnant ce soir. C’est ce qu’on a fait et c’était le plus important. On n’a pas développé notre jeu habituel, mais c’était important de gagner pour la confiance. On est des compétiteurs, on veut battre des records cette saison et on va tout faire pour. L’objectif maintenant, ce sont les records.» Citation Puel : «Des regrets» «J'ai des regrets parce que je pense qu'il y avait la place pour faire encore mieux», a déclaré Claude Puel, l'entraîneur de Nice, après la défaite contre le PSG vendredi (0-1). Claude Puel, entraîneur de l’OGC Nice, au micro de beIN Sports : «J’ai des regrets parce que je pense qu’il y avait la place pour faire encore mieux. Je regrette notre début de deuxième mi-temps où on a été amorphes, on n’a pas joué. On a encaissé ce but, je ne sais pas s’il est litigieux, mais je vois qu’il y a une poussette sur l’intervention. Globalement, c’est dommage de gâcher une première période intéressante de notre part avec une entame de deuxième qui n’était pas au niveau et a permis à cette équipe parisienne d’avoir l’emprise sur le jeu, le monopole, et de trouver l’ouverture. Il faut une grosse débauche d’énergie pour récupérer le ballon au PSG. En première période, on a réussi à récupérer des ballons, ne pas les perdre systématiquement et mener de bonnes actions mais qui ne sont pas vraiment arrivées à terme. C’est dommage parce qu’avec un peu plus de justesse, on aurait pu en profiter. Après, en deuxième période, ça devenait difficile après l’ouverture du score. Ils géraient, ils laissaient le ballon derrière, avec beaucoup de maîtrise. Et là, il faut beaucoup de volume physique pour le récupérer. Et essayer de bien l’exploiter. Mais j’ai des regrets parce qu’il y avait matière à faire encore mieux.» Citation Bauthéac : «On a été à la hauteur» Éric Bauthéac, le milieu de Nice, était satisfait de la prestation de son équipe malgré la défaite (0-1) contre le PSG vendredi. Éric Bauthéac, milieu de Nice, au micro de beIN Sports : «On aurait pu accrocher au moins un nul. On a été à la hauteur. On prend ce but, mais je ne sais pas s'il y a faute. On dirait que Cavani pousse Kolo dans le dos. Ça aurait pu se siffler. On a joué avec nos armes, malheureusement, ça n'est pas passé. Je suis quand même satisfait de notre match. J'ai essayé de faire retomber mon coup franc de la 70e sous la transversale, mais le mur était très grand. Je ne voyais pas au-dessus (rires). Après le but encaissé, on a compris qu'il fallait jouer plus haut, les presser. Les dix dernières minutes, c'est ce qu'on a réussi à faire et on les a mis en difficulté.» Citation Décrassage au Camp des Loges Après sa victoire face à Nice (1-0) vendredi soir, le groupe parisien, rentré dans la nuit de la Côte d'Azur, devait effectuer un décrassage ce samedi dans la matinée au Camp des Loges. «Une séance destinée à lancer la préparation du choc européen de mercredi soir face à Chelsea», écrit le site Internet du club. Les Parisiens resteront sur la brèche jusqu'au rendez-vous : aucun jour de repos n'est programmé d'ici au quart de finale aller de Ligue des champions au Parc des princes. L'Equipe.fr Citation Et maintenant place à Chelsea ! Ligue 1 : Nice - PSG (0-1). Paris s’est imposé sans briller pour son dernier rendez-vous avant le choc européen de mercredi face à Chelsea. Mais, surtout, il ne déplore aucun blessé. Les voeux de Laurent Blanc ont été exaucés. A cinq jours du choc contre Chelsea en quart de finale aller de Ligue des Champions, l'entraîneur parisien souhaitait d'abord éviter une blessure d'un de ses joueurs cadres. Premier souhait respecté, malgré une frayeur lorsque Thiago Motta est resté au sol, se tordant de douleur à la 74e minute. Mais il en faudra plus que les crampons de Digard posés par mégarde sur ses doigts de la main gauche pour empêcher l'Italo-Brésilien d'être au rendez-vous de mercredi. L’ancien sélectionneur des Bleus comptait également emmagasiner un 23e succès en championnat pour capitaliser sur le cercle vertueux de la victoire. Il a également été entendu. Mais au vu de son geste rageur lorsque Cavani a poussé Kolodziejczak à inscrire contre son camp l'unique but de la rencontre, c'est peut-être la deuxième partie du plan qui a été la plus difficile à réaliser. Alex, Maxwell, Matuidi et Verratti sur le banc Si le staff parisien avait passé la journée à exhorter ses troupes à faire abstraction du rendez-vous européen, les joueurs ont visiblement eu du mal à chasser Chelsea de leur esprit. Qui les blâmera ? Thiago Silva et les siens ont aligné une neuvième victoire en autant de matchs précédant une rencontre européenne cette saison. Une série durant laquelle ils ont inscrit 27 buts sans en encaisser un seul. Pouvaient-ils faire mieux ? Sans doute, au vu de la résistance somme toute assez limitée que leur ont opposée les Niçois. Bien organisés et agressifs à dessein, il leur a manqué l'accélération ou l'éclair de génie capable de déstabiliser le bon ordonnancement de l'implacable machine parisienne. Le PSG assez terne de vendredi soir ne s'en plaindra pas. Laurent Blanc, qui a reconnu que son équipe n’avait «?pas été bonne?», a pu gérer les temps de jeu de son groupe en laissant Alex, Maxwell, Matuidi et Verratti sur le banc, ces deux derniers étant les seuls à entrer en jeu lors des 25 dernières minutes. Du haut de ses 13 longueurs d'avance au classement, le leader pourra donc regarder d’un œil serein son dauphin monégasque se déplacer ce soir sur le terrain d'Evian, cadre de la seule défaite de Paris cette saison en L 1. Mais Paris n'a même plus vraiment à se soucier de son hégémonie domestique et n'en est plus (depuis longtemps) à attendre un faux pas de ses adversaires. Le futur champion de France s'avance en conquérant vers son sommet de la saison, le seul qui le fasse désormais vibrer hormis la finale de la Coupe de la Ligue contre Lyon le 19 avril. Il faudra attendre mercredi pour confirmer que la balade niçoise était la préparation idoine pour le début de l’ascension vertigineuse qui l'attend face à Chelsea. On a tellement hâte de voir ça. Citation L'excitation commence à grandir La perspective du quart de finale de Ligue des champions trottait déjà dans toutes les têtes avant le match à Nice. Autant dire qu'à l'issue de la rencontre, la venue de Chelsea au Parc était le principal sujet de conversation des joueurs parisiens. Comme si le succès obtenu face aux Aiglons était déjà derrière eux. « Il était important de gagner avant notre rencontre de Ligue des champions, apprécie tout de même Yohan Cabaye, titulaire hier soir au milieu de terrain. D'abord pour conserver notre avance sur Monaco (NDLR : 13 points ce matin). Ensuite pour nous mettre dans les meilleures disposistions possibles. Ce match contre Chelsea, c'est le premier gros test de la saison. Je m'attends à une rencontre très tactique. A mon avis, Mourinho va durcir son milieu de terrain. Ensuite, cette équipe va très vite vers l'avant une fois qu'elle a récupéré le ballon. » Parole d'expert. L'ancien de Newcastle connaît par coeur cette formation londonienne pour l'avoir déjà affrontée et battue lors de la première partie de saison (2-0, le 2 novembre dernier). « Nous sommes tous excités à l'idée de disputer ce quart de finale, poursuit Salvatore Sirigu. Ce sont des matches que tout le monde rêve de disputer. Nous, on a la chance de les jouer. On va essayer de créer des problèmes à cette équipe de Chelsea. Elle est très forte, notamment sur le plan physique comme beaucoup d'équipes anglaises et compte de très grands attaquants. Ne pas prendre de buts à l'aller, c'est la priorité. » Même son de cloche dans la bouche d'Alex, laissé au repos hier soir. « Un match nul 0-0 serait déjà un bon résultat, souffle le Brésilien. Mais je pense qu'on va marquer un ou deux buts. Cela dit, Chelsea est une équipe de contre-attaques, il faudra donc être particulièrement vigilant. » A partir de demain, place à l'étude video des Blues et la préparation tactique de la rencontre. Citation Christophe Jallet : « On aurait pu se rendre le match plus facile » Malgré la victoire, Christophe Jallet pointe les carences parisiennes et relève qu'il faudra être meilleur si le PSG veut aller loin en Ligue des champions. Lucide. Selon Laurent Blanc, vous n'aurez pas le droit de reproduire le même match face à Chelsea. A-t-il raison ? Christophe Jallet. Bien sûr. On ne pourra pas avoir autant de déchet technique puisque, sans faire injure à Nice, l'adversaire sera d'un tout autre calibre. Chelsea va exploiter toutes les failles qui leur seront offertes. Donc à nous de leur faire le moins de cadeaux possibles pour faire un très grand match. Peut-on tirer des enseignements de ce match à Nice alors que tout sera différent mercredi ? Aujourd'hui (NDLR : hier), on ne pouvait pas occulter complètement le match de Chelsea. Il était dans un petit coin de nos têtes. Mais on avait envie de faire une grosse performance. L'année dernière, on avait été battus 2-1, donc ce n'est jamais facile de venir à Nice. Avec un peu plus de lucidité et d'application dans le dernier geste, on aurait pu se rendre le match plus facile. Je ne pense pas qu'on en a gardé sous le pied mais notre niveau était trop faible. A quel type de rencontre vous attendez-vous face à Chelsea ? Ce sera un match difficile. On sait que c'est une équipe qui impose un gros défi physique et qui, surtout, harcèle beaucoup son adversaire. Si on arrive à être lucide techniquement, on pourra les mettre en difficultés. Mais si on pêche dans ce domaine, ça risque d'être difficile. Qui est le favori ? On part sur un pied d'égalité. On verra après le premier match. L'année dernière (2-2 face à Barcelone à l'aller), il nous avait fait un peu défaut. Essayons de bien l'aborder et de faire le meilleur résultat possible. Citation Silva a joué masqué Thiago Silva portait hier soir le masque en carbone confectionné sur mesure après sa fracture du zygomatique gauche subie il y a une semaine à Lorient. Le capitaine parisien, surnommé le Monstre, avait d'abord hésité à porter cette protection. « Sa blessure sous la tempe n'est pas grave, elle est même assez fréquente, mais il vaut mieux qu'il le porte », explique Hakim Chalabi, ancien médecin du PSG. Fin 2012, Nene avait lui aussi porté un masque. « Il m'a fallu une petite semaine d'adaptation, souligne le Brésilien. C'est très léger, donc on ne le sent presque pas. Au début, tu ressens une petite gêne pour respirer et voir. Mais ça passe vite. » Pour confectionner ce masque de 200 g, Thiago Silva s'est déplacé le week-end dernier au centre orthopédique Ortholabsport de Milan (Italie). Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
|
|
|
![]() ![]() |
| Version bas débit | Nous sommes le : 20/12/2025 12:57 |