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[Club] Revue de presse, Seulement les articles de la presse, aucun commentaire
Homer
posté 15/03/2014 19:41
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Verratti est bien là

Touché à une cuisse et récent papa, Marco Verratti fait bel et bien partie du groupe parisien pour la réception de Saint-Etienne (dimanche, 21h00). En revanche, Van der Wiel (blessé), Coman, Maignan, Diaw et Ongenda (choix technique) sont absents.

Le groupe du PSG

Sirigu, Douchez - Alex, Camara, Digne, Jallet, Marquinhos, Silva, Maxwell - Motta, Ménez, Verratti, Cabaye, Matuidi, Pastore, Rabiot - Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi, Lucas


L'Equipe.fr


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Varino
posté 16/03/2014 09:02
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Un match devenu immanquable

Entre deux places fortes historiques de la L1, les affrontements diffusent beaucoup de frissons depuis la saison dernière. Un choc rendu encore plus
excitant par leur position au classement.


L’IDÉE N’EST PAS de froisser Reims, l’Évian-TG, Rennes ou Montpellier. Mais, d’ici à la fin de la saison, les quatre prochaines équipes de passage à Paris pour un match de L 1 ne laissent pas présager des rendez-vous à la passion vertigineuse et au suspense irrespirable. Sur le papier, la venue de Saint-Étienne ne répand pas non plus la certitude d’un dimanche équilibré et terriblement incertain. Mais l’histoire récente classe au rang de choc appétissant, désormais, chacune des confrontations entre le PSG et les Verts.

Leur dernière soirée commune, en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue (2-1 a.p., le 18 décembre), avec but d’Edinson Cavani à la 118e minute, n’a pas vraiment contredit cette tendance, déjà cultivée par l’égalisation de Blaise Matuidi dans la quatrième minute du temps additionnel du match aller en L 1 (2-2, le 27 octobre)…

Cette saison, Saint-Étienne a donc payé pour se souvenir que ce PSG est un lion difficilement domptable. Le champion n’a perdu qu’un seul de ses trente-neuf derniers matches de Championnat – à Annecy, contre l’Évian-TG (0-2, le 4 décembre)– et il est invaincu au Parc en L1 depuis vingt-six rencontres (21 victoires, 5 nuls, 65 buts inscrits pour 9 encaissés).

SAINT-ÉTIENNE N’A RIEN À PERDRE

L’équipe de Christophe Galtier a beau se pointer avec la meilleure défense du pays en 2014 (4 buts concédés), elle s’avance vers un niveau d’adversité sans équivalent. Un triple casse-tête, même, pour ces Verts qui cassent peu de briques dès qu’ils s’éloignent de leur Chaudron (*). 1. Contenir l’emprise du milieu parisien, un peu sur le modèle de Lille au Parc (2-2, le 22 décembre). 2. Gérer l’impact récurrent d’Ibrahimovic et de Cavani, sans compter l’influence, plus conjoncturelle, d’un Lavezzi qui vient d’inscrire contre Leverkusen (2-1), mercredi soir, son cinquième but en six matches, le 104e du PSG cette saison (en 42 matches). 3. Tenter de marquer un but à une défense qui n’en a encaissé aucun en Championnat, à domicile, en 2014.

La séquence européenne face au Bayer a laissé Laurent Blanc sur une contrariété. Celle de ne pas avoir vu plusieurs des remplaçants habituels rebattre sérieusement les cartes de la concurrence. Dans ce contexte, le retour de Marco Verratti, touché à une cuisse en début de semaine, lui permet de ressortir son onze type, à l’exception de Gregory Van der Wiel, au genou droit souffrant.

Le match s’annonce chaud, mais pas crucial. Chaque équipe dispose d’un droit à l’erreur. Paris, parce qu’il comptera au moins cinq points d’avance sur Monaco au coup d’envoi. Saint-Étienne, parce qu’une défaite ne compromettrait pas vraiment sa position dans le combat pour la troisième place, après les nuls de l’OM à Reims (1-1, vendredi) et du LOSC face à Nantes (0-0, hier). Une raison de plus, peut-être, de penser qu’un PSG - Saint-Étienne sera à nouveau intense et beau.



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PSG: Sirigu- Jallet, Alex, Thiago Silva ©, Maxwell- Verratti, Thiago Motta, Matuidi- Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi
ST ETIENNE: Ruffier- Clerc, Bayal, Perrin ©, Tremoulinas- Lemoine, Clement, Guilavogui- Hamouma, Brandao, Tabanou



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Contre les cadors, Paris s’endort

Le PSG n’a battu aucun de ses trois poursuivants en Championnat cette saison. Anecdotique ou symptomatique ?


Saint-Etienne est le petit caillou dans la chaussure sur mesure du PSG de QSI. Certes, les Parisiens n'ont pas battu leurs deux poursuivants cette saison (1-1 a deux reprises contre Monaco, 2-2 face a Lille), mais depuis deux ans, ce sont d'abord les Verts de Christophe Galtier qui contrarient l'inepuisable ambition de Paris. « L’ASM et le LOSC sont deux bonnes équipes avec des moyens. Les Lillois avaient beaucoup contré les Parisiens et les Monégasques ne semblent pas si éloignés, mais les résultats du PSG face à ces deux équipes sont anecdotiques » , relève Frédéric Antonetti, ex-entraîneur de Rennes (2009-2013), aujourd’hui consultant de l’émission J+1 sur Canal +. « Les Stéphanois ont des arguments pour rivaliser avec Paris. Ils adorent affronter des équipes qui font le jeu et ils ont les moyens de rivaliser dans les airs, notamment grâce à leur charnière et à Kurt Zouma. » En conférence de presse, Laurent Blanc reconnaissait lui aussi les qualités de cet adversaire : « C’est une bonne équipe. Elle ne met pas que Paris en difficulté, ce qui explique son bon Championnat. Elle est joueuse et elle va venir au Parc des Princes avec ses principes à elle. Cela va nous permettre, à nous aussi, de produire du jeu, ce qui est bien pour nous et pour les joueurs.»

ANTONETTI : « FATIGUER L’ADVERSAIRE, C’EST BIEN, MAIS IL FAUT AUSSI ACCÉLÉRER »

Galtier ne disait d’ailleurs pas autre chose, convaincu qu’essayer de limiter la casse face aux champions de France équivalait à se déculotter pour recevoir sa fessée : « Il n’y a pas de recette pour battre Paris. Il faut d’abord garder une grande rigueur collective et laisser les joueurs dans leurs repères d’organisation. Cela ne sert à rien de rester à cinq ou six derrière. Il faut jouer, on aura au moins ce plaisir-là. Après, tout peut arriver...»

Au match aller (2-2, le 27 octobre), les Stéphanois étaient notamment parvenus à presser Marco Verratti, Thiago Motta et Thiago Silva, les déclencheurs du jeu parisien. Lille et Monaco, eux, ont fait jeu égal et inscrit quatre buts en trois matches à la meilleure défense de L1 (ex æquo avec le LOSC) en conservant leurs principes tactiques et en bénéficiant d’une certaine réussite. C’est dans ce genre de contexte que les hommes de Laurent Blanc peuvent oublier l’essentiel, alors qu’ils dominent en termes de possession. «Conserver le ballon, fatiguer l’adversaire, c’est bien, mais il faut aussi accélérer. Parfois, les Parisiens marquent un but et gèrent tranquillement leur avantage, analyse Antonetti. Ils ronronnent sans se mettre vraiment à l’abri.»

Un peu comme face à Leverkusen (2-1), mercredi dernier, en huitièmes de finale retour de la Ligue des champions. «Notre intention est de faire du jeu, rappelle Blanc. Il ne faut pas croire que l’on peut mettre trois, quatre, cinq buts à chaque fois.»

L'Equipe

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Le PSG doit se faire respecter

Après une semaine sans souci, le leader parisien va devoir montrer les crocs à domicile contre un adversaire qui lui pose régulièrement des problèmes.


ENTRE CINQ ET ONZE. C’est la fourchette de points qui établira l’écart entre Paris et Monaco ce soir après deux passionnantes confrontations dans la journée, entre le deuxième et le cinquième d’abord (Monaco - Lyon), puis le premier contre le quatrième (Paris - Saint- Etienne). Quelle que soit l’avance parisienne dimanche soir, l’issue du Championnat de France n’aura pas changé, avec un PSG amené à 95 % à se succéder à lui- même. Mais sa marge de confort, elle, peut s’en trouver bouleversée.

Elle compte pour deux raisons. D’abord, parce qu’elle permet aux hommes de Laurent Blanc de se concentrer totalement, absolument, résolument pour la Ligue des champions quand le quart viendra. Ce matelas indique aussi aux Parisiens le degré de gestion qu’ils s’autorisent à chaque rencontre de Ligue 1. Tout en produisant du jeu, tout en cherchant à chaque fois à inscrire un nouveau but, le PSG, comme la saison dernière, décroche parfois du match et déroule. Plus il a d’avance, plus il est enclin à se brancher sur pilotage automatique. C’est aussi la marque d’une grande équipe, intelligente.

En prenant deux scénarios très plausibles — victoires de Lyon et Paris —, les onze longueurs séparant le PSG de Monaco donneraient au PSG des allures de champion en avril quand tout va se décider : la finale de la Coupe de la Ligue mais, surtout, la grande Ligue des champions. Demandez au Bayern Munich s’il n’est pas heureux de ne penser sportivement qu’à se succéder à lui- même sur le front européen. C’est un luxe de tout jouer et de pouvoir quand même choisir.

Dans le Forez, on bombe le torse

Paris en est presque là et, ce soir, il a un compte à régler. Pas grand chose, juste un petit caillou de la chaussure à faire tomber, une épine à retirer. Du haut de son altitude zlatanesque, Paris n’a pas encore battu en quatre-vingt-dix minutes Saint-Etienne cette saison. Un 2-2 à Geoffroy- Guichard, une victoire en prolongation en Coupe de la Ligue. Et, l’année dernière, en trois rencontres, Paris avait perdu deux fois et partagé un nul.
Alors, dans le Forez, ça bombe le torse et ça raconte que les Verts se déguisent en noir, en bête noire. « C’est une très belle équipe, qui ne met pas que Paris en difficulté, analyse Laurent Blanc. C’est une équipe joueuse, comme nous. C’est très bien pour tout le monde. »

La vérité se situe là : Sainté est l’une des rares formations de L 1 à jouer face à Paris, ce qui le change de son ordinaire d’adversaires en béton. Il y aurait ainsi peut-être mieux pour l’oeil que les clasicos (Paris-Marseille) et autres cashico (Paris-Monaco), ces PSG-Saint-Etienne qui s’abandonnent à l’amour du jeu. Le PSG nous aura fait le coup toute la saison : on est impatients de voir ça.



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Incertitude pour Verratti

Le dernier entraînement laisse planer un doute sur la participation de Marco Verratti au match contre les Verts. L’Italien, touché à une cuisse mardi, s’est échauffé hier en marge du groupe avant de participer à l’opposition dans l’équipe des remplaçants. Laurent Blanc qui a assuré ne vouloir prendre « aucun risque » avec son milieu de terrain, l’a convoqué dans un groupe de vingt joueurs, mais il pourrait préférer le placer sur le banc. En l’absence de Van der Wiel (genou), Jallet devrait être de nouveau aligné à droite de la défense. Néanmoins, la prestation très moyenne de l’international mercredi contre Leverkusen (2-1) pour son retour après trois mois d’absence (en raison d’une hernie discale) pourrait faire pencher la balance en faveur de Marquinhos. Le Brésilien a terminé la séance d’hier dans l’équipe des titulaires

PSG: Sirigu- Jallet (ou Marquinhos), Alex, Thiago Silva ©, Maxwell- Cabaye (ou Verratti), Thiago Motta, Matuidi- Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi
ST ETIENNE: Ruffier- Clerc, Bayal, Perrin ©, Tremoulinas- Guilavogui, Clement, Lemoine- Hamouma, Brandao, Tabanou



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« Paris gagnera la Ligue des champions »

ARRIVÉ dans le Forez voici une décennie, Bernard Caïazzo se félicite de l’excellent parcours des Verts, toujours en course pour la 3e place. Porté par une ambition raisonnée, il sait que son club ne joue pas dans la même cour que le PSG. A l’entendre, le champion de France étendra bientôt son hégémonie à l’Europe.

Quel regard portez-vous sur l’évolution du PSG ?
Il n’y a que Saint-Etienne qui me fait rêver, mais j’aime le jeu pratiqué par Paris. Ce club gagnera la Ligue des champions. Mais peut-être pas cette saison.

Ses moyens financiers sans limite suscitent de vives critiques en France comme à l’étranger…
Une seule question se pose : veut-on que le PSG gagne la Ligue des champions ? Il faut être honnête, on en serait tous très heureux. Il faut accepter le nouveau statut parisien.

Le Bayern Munich n’est pas de votre avis…
Car le Bayern a peur du PSG ! J’apprécie le club munichois mais il n’y a aucun problème d’équité avec Paris. Pour le Qatar, il existe un avant et un après PSG en termes de reconnaissance. Le fair-play financier n’est pas le sujet non plus, chacun possède ses atouts.

PSG - Saint-Etienne c’est un peu David contre Goliath ?
Comme en Coupe de France, quand un club pro est opposé à des amateurs. Mais nous contre Cannes (CFA), on a perdu (1-1, 4 t.a.b. à 3 en 32e de finale). Après, il y a les chiffres. Cette saison, on a 60 M€ de budget contre 430 au PSG.

A quoi peut donc prétendre un club comme le vôtre ?
Avec Roland Romeyer, on ne veut pas brûler les étapes et continuer notre progression en nous appuyant dans quelques mois sur notre nouveau stade. On reste humbles, mais avec de l’ambition. L’objectif est de finir sur le podium. Ça le restera même si on se retrouve à 5 points de Lille après cette journée.

L’ASSE est-elle prête à disputer la Ligue des champions ?
On ne craint pas de disputer cette compétition. Le club a besoin d’expérience. A tous les niveaux. On veut installer durablement l’ASSE dans le top 5 français et jouer la Coupe d’Europe régulièrement. Comment comptez-vous vous y prendre ? Notre projet à dix ans est de transformer l’ASSE en un club de socios. C’est difficile en France, car il faut passer par la Bourse et on ne le souhaite pas. Au PSG, il y a le Qatar et à Saint-Etienne nos supporteurs. Dortmund est détenu majoritairement par 200 000 membres, le Bayern par 250 000. On espère en avoir 100 000 dans toute la France.



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Matuidi n’en finit plus de grandir

« JE NE LE CONNAISSAIS PAS avant d’arriver à Paris. » Thiago Silva, le capitaine parisien, ressemble finalement à Monsieur Tout-le-Monde. Car personne ou presque ne citerait spontanément le nom de Blaise Matuidi pour incarner ce PSG galactique. Et pourtant…

Laurent Blanc, son coach, ne se pose pas la question. L’international français a participé à 40 des 41 matchs du PSG cette saison, plus que tout autre ! Au temps passé sur le terrain, il apparaît en troisième position derrière Sirigu et Ibrahimovic. Alors, indispensable, Blaise Matuidi ?

« Il est très important dans notre système, reconnaît Blanc qui voulait déjà le recruter lorsqu’il dirigeait Bordeaux. Il nous offre beaucoup de garanties. Techniquement, il a énormément progressé aux côtés de grands joueurs et il a un potentiel physique hors du commun. »

Lors de l’Euro 2012, alors qu’il entraînait les Bleus, le Président avait souvent parlé de l’absence de Matuidi (touché à une cuisse) pour expliquer les difficultés du milieu de terrain des Bleus… « Tous les joueurs sont importants, mais Blaise, c’est différent, abonde Thiago Silva. On ressent son importance quand il ne joue pas, car il y a un manque, et on souffre beaucoup. Au milieu, on a deux joueurs, Marco (Verratti) et Thiago (Motta), qui aiment toucher le ballon. Et il y a Blaise qui a su changer sa manière de jouer. »

L’adaptation semble donc le principal atout du bonhomme. « C’est un caméléon, tu peux le mettre dans n’importe quel club, il finira par jouer et s’imposer, confirme Bernard Caïazzo, président du conseil de surveillance de Saint-Etienne, qui l’a recruté en 2004. Ce serait le cas au Real Madrid comme en sélection du Brésil. »

Comment expliquer cette propension à élever son niveau de jeu à chaque fois que sa carrière prend une nouvelle dimension ? « On joue d’abord au foot avec sa tête, et la première qualité de Blaise est sa capacité intellectuelle à développer ses forces, explique Jean-Marc Furlan, qui l’a lancé à 17 ans en L 2 avec Troyes. On le pense peu technique, car il n’est pas élégant. Mais il a la vitesse gestuelle d’un joueur de très haut niveau international. Et il a toujours eu une culture tactique et stratégique au-dessus de la moyenne. En plus, il a l’amour du maillot, celui du PSG comme celui de l’équipe de France. »

En bleu, où il compte 20 sélections depuis ses débuts en septembre 2010, l’ancien Stéphanois, bientôt 27 ans, est également devenu un élément incontournable au point de porter le brassard de capitaine en juin dernier en Uruguay en l’absence d’Hugo Lloris. « Ses qualités physiologiques exceptionnelles lui permettent de courir longtemps avec beaucoup de changement d’allure, souligne un membre du staff des Bleus. Il peut aller gratter des ballons, aller au pressing et effectuer un repli défensif de 80 m sans que cela nuise à sa qualité technique. Il est toujours lucide. Avec, en plus, sa vision du jeu et son mental, cela fait de lui un très bon international. Sans oublier qu’il progresse dans ses projections vers l’avant. »

Cette capacité à aller porter le danger a été illustrée par son premier but en bleu d’une reprise acrobatique il y a dix jours face au Pays-Bas (2-0). Avec le PSG, il a déjà inscrit cinq buts et délivré six passes décisives depuis le début de saison : des statistiques supérieures à celles des deux compères du milieu parisien, Thiago Motta (5 buts, 5 passes) ou Marco Verratti (aucun but et 8 passes). « Il est capable de marquer entre sept et dix buts par saison, assure Blanc. Sa valeur ajoutée va encore augmenter. » Pour le salaire, c’est déjà fait. Pour sécuriser son joyau, dont le contrat s’achevait en juin, le PSG vient de lui faire signer une prolongation jusqu’en 2018, assortie d’une très conséquente revalorisation. Pour Paris, l’avenir, c’est aussi Matuidi.



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Les marques commencent à le pister

BLAISE MATUIDI est un père de famille tranquille du côté de Saint-Nom-la-Bretèche. Alors que la plupart de ses coéquipiers ont préféré la capitale ou Neuilly-sur-Seine, le milieu de terrain parisien a opté pour le calme de la campagne afin d’élever au mieux ses deux filles de 4 ans et 18 mois. Ses proches le qualifient de « simple, humble, travailleur ». Et honnête aussi. « C’est quelqu’un à qui tu peux confier ton portefeuille », s’amuse son ancien président à Saint-Etienne, Bernard Caïazzo.

Des vertus qui lui valent d’être mis en avant, de plus en plus, dans la communication de son club comme dans celle de l’équipe de France. Et d’attirer les marques qui voudraient s’associer à son image en rupture avec l’archétype du footballeur bling-bling. Hormis son équipementier personnel et une marque de jeux vidéo, Matuidi n’a pourtant signé aucun partenariat. « On a des sollicitations de toutes parts, reconnaît Franck Richard, son agent d’image. Ça a grimpé l’année dernière et on a connu un pic lors du dernier match de l’équipe de France. Les annonceurs savent que la Coupe du monde approche et que cette nouvelle génération, dont Blaise est un des représentants, est appréciée. On est ouvert à toute proposition, mais on garde la tête froide. Blaise veut travailler avec des marques qui ont les mêmes valeurs que lui. »

Le Parisien


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Homer
posté 16/03/2014 11:21
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Gare à la déconcentration

Sous le ciel bleu de ce mois de mars, tous les voyants sont au verts au PSG. Alors que Saint-Etienne vient plein d'ambition au Parc dimanche (21h00), le club de la capitale se méfie de la déconcentration.

Au-dessus de Paris, plus qu’ailleurs, le ciel est bleu (et pollué). Trop bleu, même, serait-on tenté de penser, quand on regarde la forme actuelle du PSG (invaincu en Championnat depuis le 4 décembre 2013 ; 29 victoires et 9 nuls en 38 matches toutes compétitions confondues), son calendrier, son avance au classement (huit points sur Monaco). Tellement bleu qu’il y aurait de quoi faire divaguer les têtes à dix journées du terme du Championnat, alors que Saint-Etienne se présente au Parc des Princes dimanche (21h00). C’est bien connu, quand le soleil tape trop fort, on perd un peu en concentration. «Avec ce temps-là, tu es plus joyeux, tu as plus de choses à faire avec ta famille, mais il faut penser à son job, rappelle l’entraîneur parisien Laurent Blanc. Sincèrement, je pense que dans des grands clubs, avec des objectifs déterminés, quand tu t’approches de la fin de saison, même s’il y a un raison de soleil, l’entraîneur ou un collègue te ramènera à tes objectifs. On a la chance d’arriver où on en est au prix de sacrés efforts. On est à un mois et demi de quelque chose d’excitant. Ce n’est pas le moment de lâcher.»
«Christophe Galtier va venir avec des principes de jeu. Cela va nous permettre à nous aussi de produire du jeu et c'est bien pour tout le monde.» Surtout face à un adversaire comme Saint-Etienne, empêcheur de tourner en rond cette saison de la formation parisienne. «Les matches contre l’ASSE sont compliqués à chaque fois mais chaque duel est différent, retient Ezequiel Lavezzi. On ne les a battus qu’une seule fois en Coupe ces deux dernières années, mais aujourd’hui on est très bien.» Laurent Blanc, lui, accorde plus de crédit à l’adversaire du week-end : «C’est une bonne équipe, et elle ne met pas que Paris en difficulté. Cela explique son bon classement. Notre premier match contre eux avait été compliqué, surtout en première période, mais nous n’avions pas été très bons techniquement, l’état du terrain ne nous avait pas avantagés. En seconde période, ça allait mieux, mais il y avait pas mal de choses à redire sur ce but. On était arrivés, à 10 contre 11, à rétablir l’équilibre. En Coupe de la ligue, on est allés en prolongation, mais nous aussi on les met en difficulté. Christophe Galtier va venir avec des principes de jeu. Cela va nous permettre à nous aussi de produire du jeu et c’est bien pour les entraîneurs, les joueurs, les spectateurs.» Mais Christophe Galtier va venir aussi avec des envies de points, car ses hommes, qui ont laissé filer la victoire à Lorient (0-1), ne sont qu’à quatre longueurs de Lille, 3e.

Matuidi et Thiago Motta seront frais

Face à une équipe stéphanoise qui n’a encaissé que quatre buts en 2014, il faudra que le jeu parisien soit beau et bon. Cela, Laurent Blanc se l’est un peu assuré en ménageant mercredi soir son trio du milieu Motta – Matuidi – Verratti. Vigilant sur la perte de concentration, le coach parisien veille aussi au grain quant à la motivation : «Le groupe est concerné. Pour l'instant, Paris fait un très très bon Championnat, Monaco un très bon Championnat. On a besoin de points comme tout le monde, comme Lille, comme Valenciennes... Il n'y aura pas de relâchement de notre part. Il n'y pas de surmotivation pour ce match de dimanche, ce sera la même quand on ira à Lorient, à Nice... » Bref, face aux Verts, lors de ce rendez-vous considéré comme capital, le PSG ne fera pas plus, mais pas moins non plus.


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posté 17/03/2014 09:42
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Le plus fort, c'est Paris !

Un doublé d'Ibrahimovic a permis au PSG de s'imposer dimanche soir face à Saint-Etienne (2-0). Le club de la capitale conserve huit longueurs d'avance sur Monaco.

Saint-Etienne a failli à sa réputation. Jusqu’à dimanche soir, les Verts faisaient figure de poil à gratter du PSG. Une image qui ne leur sied plus aussi bien désormais. Même délestés de la pression liée à la course au podium (leurs concurrents Lille et Lyon ne s’étaient pas imposés ce week-end…), les joueurs de Christophe Galtier n’ont jamais fait le poids face à une formation parisienne, pourtant loin du niveau auquel elle nous avait habitués ces dernières semaines (2-0). Sans se montrer exceptionnels, Ibra et ses équipiers se sont montrés suffisamment appliqués et efficaces pour se préserver du suspense qui, depuis deux ans, avait enveloppé chacun de leurs affrontements contre "Sainté". Les voilà de nouveau huit longueurs devant l’AS Monaco, qui s’était imposée un peu plus tôt sur la pelouse de l’Olympique lyonnais (3-2).

Sirigu impérial

De Gerland au Parc des princes, un thème fort est resté : celui de l’arbitrage. A cette différence près : contrairement à M. Fautrel qui a reconnu s’être trompé dans la foulée du succès de l’ASM – et malgré les protestations des Stéphanois qui reprochaient à l’arbitre assistant d’avoir levé son drapeau avant de le baisser immédiatement -, M. Jaffredo n’a commis aucune erreur en validant l’ouverture du score de Zlatan Ibrahimovic (14e). Certes, le passeur décisif, Blaise Matuidi, était en position de hors-jeu au départ de l’action, mais l’international français avait bénéficié d’une remise de… Bayal Sall. Au cœur d’une première période particulièrement hachée, le PSG a profité d’un nouveau but de son Suédois pour faire le break juste avant la pause. Sur un centre de Cavani, Ibra s’est montré plus prompt que Stéphane Ruffier pour inscrire son 25e but en Championnat cette saison.

Saint-Etienne s’est enhardi en seconde période sous l’impulsion de ses entrants (Erding et Lemoine ont respectivement remplacé Tabanou et Clément à la 57e et 69e minutes). Mais comme le Bayer Leverkusen, mercredi en Ligue des champions, il est tombé sur un Sirigu impérial. Déjà décisif sur une frappe de Tabanou à 0-0 (13e), le portier parisien a repoussé trois tentatives de Mollo (48e), Erding (61e) et Hamouma (90e+1). Alors qu’il s’était procuré plusieurs situations chaudes en première période (25e, 29e, 33e, 36e, 44e), le PSG a, lui, semblé se contenter de gérer son avantage. Cela ne l’a pas empêché d’inquiéter Ruffier à deux reprises en fin de match : d’abord sur un coup franc d’Ibra repoussé par le portier stéphanois (86e), ensuite sur une frappe de Cavani de peu à côté (88e). L’essentiel avait déjà été assuré.


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Ibra mieux que Bianchi

Face à Saint-Etienne dimanche soir (2-0), Zlatan Ibrahimovic a inscrit ses 39e et 40e buts de la saison toutes compétitions confondues avec le PSG. Le Suédois a ainsi battu le record du club détenu jusque-là par Carlos Bianchi, auteur de 39 buts lors de la saison 1977-1978.


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Points de suture pour Cabaye

Titulaire face à Saint-Etienne dimanche soir (2-0) et sorti à l'heure de jeu en raison d'une blessure au dos, Yohan Cabaye n'a pas inspiré d'inquiétude particulière au staff parisien. Le milieu de terrain a, en revanche, été recousu au niveau du menton après un contact avec Brandao en première période. Plusieurs points de suture lui ont été posés.


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Galtier : «Ibra, tueur d'équipes»

Christophe Galtier a reconnu la supériorité du PSG après la défaite (0-2) concédée dimanche soir par Saint-Etienne au Parc des princes. Le technicien a également rendu hommage à Ibrahimovic, auteur d'un doublé.

«Christophe Galtier, ce PSG-là, était-il trop fort pour Saint-Etienne ?

Oh oui, notamment en première période. On a vu un PSG très très fort avec une envie de plier le match rapidement. On n’a pas su répondre à l’intensité qu’ils ont mise, à leur pressing… A partir du moment où on est mené rapidement, on sait que ça va être difficile. J’espérais quand même n’être mené que d’un but à la pause pour pouvoir espérer faire quelque chose. Malheureusement, on est tombé sur un très bon Paris avec un phénomène devant : Ibra, qui est un tueur d’équipes (sic). En deuxième période, notre production a été plus conforme à ce que nous voulions faire. On aurait peut-être mérité de revenir au score pour pouvoir avoir un suspense plus intéressant en fin de match, mais on n’a pas su concrétiser nos occasions. Paris mérite sa victoire.

«À neuf journées de la fin, on existe toujours»

On vous a vu très énervé après le premier but parisien…

J’étais énervé parce que je vois d’abord le juge de touche lever son drapeau pour signaler une position de hors-jeu. Et ensuite M. Jaffredo accorder le but. Cette incompréhension m’a agacé. Peut-être que le règlement a changé en cours de saison, mais il faudra m’expliquer comment un joueur peut analyser cette situation. Il faut laisser passer le ballon pour qu’il y ait hors-jeu ? Le pauvre Bayal a contre défavorable, ce n’est pas une passe intentionnelle, mais M. Jaffredo m’a expliqué que c’était le règlement. Il faut l’accepter.

Malgré cette défaite, vous êtes toujours en course pour le podium…

On vient de perdre deux fois, mais nos adversaires n’en ont pas profité. À neuf journées de la fin, on existe toujours. On a un match très très important contre Sochaux. Il faudra tout mettre en œuvre pour sortir avec une victoire. Ensuite, il y a aura le derby. On fera un point après ces deux matches.»


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Paris avance avec sérénité

Les Parisiens ont repris leurs 8 points d’avance en tête du classement, à l'issue de la 29e journée de Ligue 1, après avoir maîtrisé sans difficulté leur habituelle bête noire, Saint-Etienne. Dimanche soir au Parc des Princes, le PSG s’est affranchi d’un deuxième adversaire du top 5 français, deux semaines après avoir estoqué l’OM à domicile lors du clasico. Et c’est Saint-Etienne, paraît-il sa bête noire comme si ce qualificatif s’appliquait à ce nouveau PSG sans limites.

Et Ibra faisait un blocage aussi contre les Verts, nous racontait-on. Tout ça s’est volatilisé, atomisé dans la douceur printanière d’une soirée parisienne parfaite. Monaco était revenu à cinq points après son succès contestable à Lyon ? Le PSG a remis l’équipe du Rocher à distance, reprenant ses aises et ses huit longueurs d’avance qui ressemblent à autant de mètres qu’aurait Bolt sur un deuxième sprinteur.

Monaco a beau s’accrocher, réaliser une super saison, le PSG ne cesse de lui rappeler, journée après journée, qu’il est un patron qui ne délocalisera pas sa place de leader. Entre riches, il existe aussi des rapports de classe et Paris, ça reste la classe ultime et supérieure en France.

Sirigu au boulot

Oui, Paris cavale et Ibra affole encore et toujours les compteurs. A ce rythme-là, il oblige le monde à ne plus seulement regarder le duel à courte distance que se livrent Messi et Cristiano Ronaldo pour les livres d’histoire et le Ballon d’or. Un grand Gaulois d’adoption résiste dans le village parisien, entre Barcelone et Madrid. Même sans Coupe du monde, le Suédois possède toutes ses chances car c’est aussi le parcours de chacun en Ligue des champions qui va déterminer les candidats les plus sérieux.

Voici donc le vertigo parce que Sainté joue en Vert et que ces PSG - ASSE donnent souvent le vertige. Celui-ci n’a pas échappé à la règle qui exige une débauche de jeu entre deux équipes portées sur des intentions offensives. Si le PSG a soumis au supplice les hommes de Galtier en première période, ces derniers sont montés en gamme après la pause, mettant Sirigu une nouvelle fois au boulot, quatre jours après la réception du Bayer Leverkusen en Ligue des Champions. On n’a rien contre les clasicos ou la nouvelle opposition Paris - Monaco, mais le vertigo depuis deux saisons ne se soustrait jamais au spectacle.

Il a basculé sur une erreur d’arbitrage si l’on se fie au jugement de Bruno Derrien, ex-sifflet international, que nous avons joint et qui n’aurait pas accordé le premier but car Sall remet involontairement en jeu Matuidi, passeur décisif pour Ibra. Partie âpre, chaude ambiance sur la pelouse, arbitrage contestable, gestes magiques, parades multiples des deux gardiens, des buts bien sûr : ce nouvel épisode de la saga des rencontres face aux Verts valait le coup.


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Ibrahimovic dépasse Bianchi

Zlatan Ibrahimovic est bel et bien appelé à devenir l'un des plus grands joueurs que le PSG ait jamais porté en son sein. Le Suédois a battu hier le record de buts détenu par Carlos Bianchi. Grâce à ses réalisations face à Saint-Etienne, Ibra, Monsieur Un-But-par-Match, culmine désormais à 40 buts en 40 matchs toutes compétitions confondues, là où le goleador argentin s'était arrêté à 39 réalisations en 41 matchs lors de la saison 1977-1978.
Et vu qu'il reste au moins 12 rencontres à disputer au PSG, on mesure la possibilité qu'a le Suédois de pulvériser ce record.

« L'important c'est de gagner et mes buts sont du bonus. Je fais juste mon travail et ce record de buts est important pour vous. Pas pour moi », se contente de commenter le grand Zlatan dans un inhabituel élan de modestie. Mais peut-on lui donner tort ? Le patron de l'équipe parisienne ne se résume pas à quelques statistiques aussi flatteuses soient elles (Ndlr : 75 buts assortis de 27 passes décisives en 86 matchs toutes compétitions confondues sous le maillot du PSG). Il est l'âme de cette équipe et le génial inspirateur de son jeu. «C'est un joueur magnifique, s'enthousiasme Salvatore Sirigu. Je le vois tous les jours et je peux vous dire qu'actuellement il a beaucoup de confiance et surtout il est bien dans sa vie et dans cette équipe. Quand c'est comme ça, c'est plus facile pour jouer.» «En plus il est intelligent, abonde Thiago Motta. En décrochant comme il le fait, il apporte de la supériorité numérique au milieu de terrain et il libère des espaces notamment pour Cavani en attaque. Il mérite vraiment tout ce qui lui arrive.» Quand, hier, Paris bredouille pendant le premier quart d'heure, c'est parce qu'Ibra n'est pas encore entré dans le match. Il faut attendre un coup du sort -- cette passe en retrait involontaire de Bayal pour un Matuidi hors jeu -- pour réveiller le géant endormi.

« C'est la meilleure saison de sa carrière, analyse Thiago Silva qui l'a déjà côtoyé à l'AC Milan. Mais c'est aussi parce que l'équipe joue bien avec un milieu de terrain très fort qui lui permet d'exprimer au mieux ses qualités.» Comme il se contente rarement de peu, l'international suédois a alors entamé un récital après son ouverture du score. On retiendra le centre pour Cavani (32e), cette frappe de mammouth juste au-dessus de la lucarne de Ruffier (36e), mais aussi cet incroyable loupé (29e) seul face au but qui lui aurait permis d'inscrire plus tôt son deuxième but. Mais c'était reculer pour mieux sauter. Après sa seconde réalisation, magnifique -- il est à l'origine et à la conclusion de l'action --, Zlatan s'est alors tourné vers le Parc des Princes, mouvement des bras à l'appui, pour l'exhorter à faire plus de bruit. Le public s'est alors mis à chanter pour son gladiateur. Et Saint-Etienne a capitulé.


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Maxwell : « Chaque match gagné nous rapproche du titre »

Le brésilien Maxwell revient sur la victoire des siens en reconnaissant que la prestation de son équipe, surtout en deuxième période, n'a pas toujours été flamboyante.

Quel regard portez-vous sur la prestation de votre équipe?

Maxwell. On a fait une première mi-temps très complète durant laquelle on a bien joué.
En deuxième, en revanche, on a été très moyens. On a beaucoup couru après le ballon, on a défendu. Techniquement aussi, on n'a pas toujours été précis. Mais on repart avec la victoire. C'est le plus important.

En deuxième mi-temps, la possession était stéphanoise. Cette saison, ce n'est pas arrivé souvent que vous laissiez le ballon à l'adversaire...

Le football, c'est comme ça. On ne peut pas toujours avoir une possession très élevée. Il faut aussi courir. On a surtout essayé de tenir le résultat. Et même si on n'a pas bien joué en deuxième période, on a réussi à ne pas encaisser de but et repartir avec les trois points.

La victoire de Monaco à Lyon deux heures plus tôt vous avait-elle mis sous pression ?

On est sous pression tout le temps, que ce soit en championnat ou en Ligue des Champions. A Paris, c'est comme ça. On est habitués. On sait que Monaco ne va pas nous faire de cadeau. Il faut donner le maximum pour garder notre avance.

Ibrahimovic a encore réussi un doublé. Quand va-t-il s'arrêter ?

(Rires). J'espère qu'il ne s'arrêtera jamais ! C'est un joueur très important. En ce moment, il vit une période très impressionnante avec une grande confiance en lui. Il a marqué des buts importants pour nous. On veut qu'il continue. Et on le félicite pour tous ses records.

Le titre de champion est-il déjà acquis ?

Chaque match gagné nous rapproche du titre. Mais il suffit d'une défaite... Ça va vite aussi dans l'autre sens. Il faut donc maintenir la concentration. Monaco est là, il presse.

Vendredi aura lieu le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des Champions. Quel adversaire souhaitez-vous ?

Je veux surtout passer ce quart de finale. Arrivé à ce niveau-là, tous les adversaires sont dangereux. Ça ne dépendra pas de qui on joue, mais de nous-mêmes.


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Yohan Cabaye touché au dos

Sorti à la 64e minute, Yohan Cabaye se plaint du dos. Le milieu de terrain vient d'enchaîner deux rencontres de suite, le Bayer en Ligue des champions et Saint-Etienne quatre jours plus tard. « On a quelques petits bobo, souligne Blanc. C'était une semaine à trois matchs. La fatigue se fait ressentir. En plus, Yohan n'avait pas eu beaucoup de temps de jeu depuis son arrivée.

C'est normal d'être fatigué après deux gros matchs. Mais je ne pense pas qu'il y ait de gros problème. » Cabaye s'est par ailleurs fait poser un point de suture au menton suite à un coup reçu par Brandao. Un bilan plus précis aura lieu demain, jour de reprise de l'entraînement.


Le Parisien.fr


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giovanni pontano
posté 17/03/2014 12:22
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Varino
posté 18/03/2014 07:18
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Ça fait cher la visite

Comme d’autres avant elles, des associations de supporters des Verts ont boycotté le Parc des Princes dimanche. Hors de prix.


Dimanche soir pour PSG-SaintÉtienne (2-0), la tribune réservée aux fans des Verts n’était pas complète… La raison ? Le choix de certains groupes de supporters comme les Magic Fans et l’Union des Supporters Stéphanois (USS) de boycotter le Parc pour dénoncer «la politique tarifaire inacceptable (35 €) imposée par les dirigeants du PSG » . «Le football est un sport populaire, la présence des classes populaires semble gêner les dirigeants » , accusait récemment Jean-Guy Riou, président de l’USS, dans les colonnes du Progrès. Voilà au moins un point commun avec les voisins lyonnais.

Début décembre, les Bad Gones et Lyon 1950 avaient décidé de ne pas suivre l’OL à Paris en raison, notamment, du « prix prohibitif dans le parcage visiteurs, à hauteur de 45 € la place » , match de gala oblige, contre 25€ l’an dernier. Une position adoptée également par des fans de l’OM (45€), Lille (40€), Toulouse, Nice, Sochaux, Lorient (35€)… Et les promus nantais aussi, de retour en Ligue 1 et qui attendaient ce rendez-vous depuis 2008. « On arrivait de L 2 avec nos places à 5€, alors 35 € ça a refroidi beaucoup de monde et on a boycotté, rappelle Romain de la Brigade Loire. Avec le bus, ça fait 85 € ! Beaucoup ne peuvent plus se le permettre. Le beau jeu ne justifie pas un tel tarif. Mais le PSG s’en fout. Ils savent très bien qu’ils vont remplir. La solution serait que nos clubs paient la différence, mais c’est compliqué… »

Selon le règlement de la LFP, ces places réservées aux supporters adverses sont vendues par le club qui reçoit au club visiteur (voir rubrique Comprendre, page 16). À lui de les revendre à ses fans. Mais c’est bien le recevant qui en fixe le prix et l’emplacement. Ce « parcage » (selon la terminologie de la Ligue) doit être établi dans une zone indépendante équipée de ses propres accès, sanitaires et buvettes, afin d’éviter les mélanges.
À Nantes, on a ainsi choisi une tribune proche du terrain stabilisé qui fait office de parking pour les visiteurs. À Paris, les supporters adverses ont dû changer leurs habitudes en début de saison, officiellement afin de fluidifier l’esplanade devant l’entrée principale. Historiquement placés en quart de virage, entre la présidentielle et Auteuil, ils ont dû traverser le Parc en diagonale près de Boulogne.

LE PSG DANS LES CLOUS, PAS DANS L’ESPRIT

À la clé, des prix qui varient donc de 35€ à 45€ (pour les matches de gala). Avec le coût du déplacement, ça fait cher la soirée. Surtout pour voir, le plus souvent, les siens prendre une leçon de foot. À ce tarif, on peut comprendre les réticents. Pourtant, le PSG, qui n’a pas souhaité nous répondre, est dans son droit. Selon le règlement de la LFP (art. 531), « ces places ne peuvent en aucun cas être vendues à un prix supérieur à celui pratiqué pour les supporters locaux dans la même catégorie ». Pour un match ordinaire au Parc, le premier prix à l’unité est bien de 35 €. D’un autre côté, les Parisiens ne payent que 30 € à Gerland ou 20 € à la Beaujoire. « Ce n’est pas juste, mais c’est réglementaire » , observe Luc Delatour, directeur des opérations du FC Nantes.

Pourtant, le plus souvent, les clubs se mettent d’accord sur un principe de réciprocité : même prix à l’aller et au retour, entre 10 et 15 €. «Nous privilégions cette pratique, poursuit le responsable nantais, sinon nous adaptons aux visiteurs le tarif le plus bas proposé aux nôtres. » Avec le PSG, plus de réciprocité.

Au début des années 2000, au temps de sa splendeur, l’OL avait été l’un des premiers à s’émanciper des 8€ habituels à l’époque. «On considérait que ce n’était plus le prix du spectacle à Gerland, rappelle Xavier Pierrot, stadium manager lyonnais. Le football pratiqué y était différent et nous avions des billets à 10, 12 ou 15€. Aujourd’hui, le spectacle au Parc n’est forcément pas le même que dans d’autres stades, ça a un coût pour le PSG. Il est normal qu’il y ait un retour sur investissement via la billetterie. Un prix supérieur au Parc, ça ne me choque pas… Après, le faire passer à 45 € comme ils l’ont fait pour nous… »

Mais on n’imagine pas les clubs monter au créneau face au PSG pour leurs supporters. Car lorsqu’ils viennent chez eux, Ibrahimovic et les siens leur assurent en effet un stade plein au prix de gala.



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Ibra en séminaire à HEC…

LE 24 JUILLET 2012, Zlatan Ibrahimovic avait effectué son premier entraînement avec le PSG sur un terrain de la prestigieuse université de Princeton (New Jersey). Demain, la star suédoise va découvrir un nouveau campus en se rendant avec tous ses coéquipiers sur le domaine d’HEC, à Jouy-en-Josas (Yvelines). Nasser al-Khelaïfi, le président du leader de la L 1, a décidé d’y organiser un séminaire réunissant l’ensemble des salariés du club, dont le nombre avoisine désormais les cinq cents (dont près de deux cent soixante CDD). Le rendez-vous leur a été donné à 12 h 30 avec, au programme, un déjeuner suivi de différentes activités : football, handball, escalade, escrime et… pétanque. Après s’être entraînés le matin, les joueurs arriveront à 18 heures pour écouter leurs dirigeants prononcer des discours sur l’avenir du club. Ils ne sont pas obligés a priori de participer au dîner et à la soirée dansante qui clôtureront cette journée « corporate» du PSG.

L'Equipe


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giovanni pontano
posté 18/03/2014 07:33
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De MU au PSG, voici les 9 maillots les plus chers au monde



Une alliance de dix ans facturée 600 millions de livres soit 70 millions d’euros environ versés annuellement par Nike : l’accord passé entre l’équipementier américain et le club de foot de Manchester United est un record historique en terme de sponsoring et, par comparaison, plus de deux fois supérieur au deal passé entre ce même groupe Nike et le PSG.

Le maillot de Manchester United plus de deux fois plus cher que celui du PSG pour Nike
Moyennant quoi, Manchester United peut se targuer de porter le maillot le plus cher de la planète sur la base du seul investissement des équipementiers. Equipementiers toujours plus généreux avec les grands clubs européens car ils sont de plus en plus nombreux à jouer des coudes dans la bataille.

Nike et adidas sous la menace des nouvelles marques montantes
Témoin la marque américaine Warrior associée à Liverpool jusqu’en 2020 pour 30 millions d’euros. L’investissement est à l’échelle des deux géants Nike et adidas signe que la concurrence se fait plus féroce. Autre signe tangible, l’arrivée de Puma à Arsenal à compter du prochain exercice. La marque allemande a mis la main à la poche pour succéder à Nike. Montant du deal : 36 millions d’euros.

1. Manchester United
Equipementier : Nike
Montant annuel du sponsoring : 70.000.000€
Echéance du contrat : 2024 (actif à partir de la saison prochaine)

2. Chelsea
Equipementier : adidas
Montant annuel du sponsoring : 45.000.000€
Echéance du contrat : 2023

3. Real Madrid
Equipementier : adidas
Montant annuel du sponsoring : 40.000.000€
Echéance du contrat : 2020

4. Arsenal
Equipementier : Puma
Montant annuel du sponsoring : 36.000.000€
Echéance du contrat : 2019 (actif à partir de la saison prochaine)

5. Bayern Munich
Equipementier : adidas
Montant annuel du sponsoring : 35.000.000€
Echéance du contrat : 2020

6. FC Barcelone
Equipementier : Nike
Montant du sponsoring : 30.000.000€
Echéance du contrat : 2018

7. Liverpool
Equipementier : Warrior
Montant annuel du sponsoring : 30.000.000€
Echéance du contrat : 30.000.000€

8. Milan AC
Equipementier : adidas
Montant annuel du sponsoring : 25.000.000€
Echéance du contrat : 2025

9. Paris Saint-Germain
Equipementier : Nike
Montant annuel du sponsoring : 25.000.000€
Echéance du contrat : 2022

Sportune
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giovanni pontano
posté 18/03/2014 07:44
Message #6028


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Salaire : Matuidi dans le Top 20 mondial ?

Avec son nouveau contrat signé récemment, Matuidi serait le 19e joueur le mieux payé au monde.

Dans le numéro d'aujourd'hui, France Football s'intéresse une nouvelle fois aux salaires des footballeurs et Matuidi serait désormais 19e au niveau mondial. Dans ce classement, on retrouve trois autres joueurs de Ligue 1, Zlatan Ibrahimovic (5e), Falcao (6e) et Thiago Silva (8e).

Magicpaname
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giovanni pontano
posté 18/03/2014 08:04
Message #6029


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Ibra, radiographie d'un buteur
En marquant deux fois dimanche contre les Verts, Zlatan Ibrahimovic a atteint le score de 40 buts en 40 matchs cette saison. Un record que nous vous présentons sous toutes les coutures.


Parc des Princes (Paris), hier. Ibrahimovic a battu le record de buts détenu par Carlos Bianchi. Grâce à son doublé face à Saint-Etienne, il culmine désormaisà 40 buts en 40 matchs toutes compétitions confondues, là où le goleador argentin s’était arrêté à 39 réalisations en 41 matchs lors de la saison 1977-1978. | (LP/F . Dugit.)

Quarante buts en quarante matchs. C'est le bilan, toutes compétitions confondues et tout en rondeurs, de Zlatan Ibrahimovic cette saison sous le maillot du PSG. Alors qu'un printemps excitant lui tend encore les bras, le Suédois a déjà battu le record du club établi par Carlos Bianchi en 1977-1978 (39 buts en 41 rencontres). Mais cette performance époustouflante dépasse largement le cadre parisien.

Ibrahimovic dépasse Bianchi Douchez prolonge d’un an PSG-Saint-Etienne (2-0) : Ibrahimovic, encore et toujours Maxwell : «Chaque match gagné nous rapproche du titre» A cet instant de la saison, Ibra s'affirme en effet comme le buteur le plus prolifique des grands championnats européens.

Il devance Cristiano Ronaldo d'une petite longueur (39 buts en 36 matchs avec le Real Madrid). Pour le plaisir et pour mieux cerner le phénomène Ibrahimovic, nous nous sommes amusés à revisiter cette ribambelle lumineuse de buts. Servis sur un plateau, ils se dégustent comme des mignardises. Et, à la fin, on en redemande encore. Il y en a pour tous les goûts. Des frappes surpuissantes, des gestes techniques de toute beauté et des vrais buts d'attaquant, sans chichis mais efficaces. Plusieurs grandes tendances se dégagent.


Des buts de près...
Dans le cours du jeu, Ibrahimovic le chasseur est un tueur de sang-froid. Il exécute ses victimes à bout portant. Douze de ses trente réalisations réussies en mouvement ont ainsi été exécutées à une distance de la ligne de but inférieure à 6 m. Dans cette zone de combat rapproché, son principal pourvoyeur de passes décisives n'est autre que Gregory Van der Wiel à qui Ibra doit au total cinq réussites, toutes assez semblables à la suite de centres à ras de terre venus de la droite. Plus globalement, le Suédois a été servi par ses coéquipiers à vingt-quatre reprises. En tête du classement des passeurs, à égalité avec Van der Wiel, se trouvent Lucas et Cavani. Pour le reste, Zlatan s'est occupé de tout. Il a transformé avec succès huit penaltys et deux coups francs (contre Lille et Sochaux) et s'est débrouillé vraiment tout seul à six reprises.

... et de loin
Dans ce registre, le n°10 du PSG officie notamment depuis l'extérieur de la surface de réparation. En plus de ses deux coups francs, il a marqué les esprits avec deux tirs canons longue distance : une frappe du droit supersonique de 25 m à Anderlecht en Ligue des champions et une reprise du gauche instantanée de 28 m à Nantes en Coupe de la Ligue.

De la tête...
Car Ibra est un buteur protéiforme. Avec son pied fort, le droit -- pointure 47 et ½ --, il a marqué 27 fois. Avec le gauche, qui ne lui sert donc pas qu'à monter dans le bus, l'attaquant a fait mouche à sept reprises. Enfin, tendance assez nouvelle cette saison, Zlatan a marqué 20 % de ses buts de la tête (six sur les trente inscrits dans le cours du jeu). Rien de plus naturel pour un attaquant de 1,95 m ? Jusqu'à présent, ce registre du jeu restait considéré comme son point faible.

... et du talon
Si son corps était un musée, la pièce que l'on visiterait avec le plus de curiosité serait le talon. C'est avec cette partie du pied droit qu'il a inscrit le plus exquis de ses 40 buts. C'était face à Bastia, au mois d'octobre. On s'en souvient comme si c'était hier.


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Pas d'inquiétude pour Cabaye


Sorti à la 64e minute de jeu (photo) dimanche soir lors du match contre Saint-Etienne (2-0) en raison de douleurs au dos, Yohan Cabaye a profité, comme ses partenaires, de sa journée de repos hier. Le milieu international, qui a aussi eu besoin d'un point de suture au menton après un coup de coude du Stéphanois Brandao, n'a pas passé d'examens particuliers.
L'ancien joueur de Newcastle est attendu aujourd'hui au camp des Loges pour la reprise de l'entraînement.

Le Parisien
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giovanni pontano
posté 18/03/2014 08:18
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La domination du PSG est-elle nuisible à la Ligue 1?


FOOTBALL - Les Parisiens filent vers un deuxième titre de champion de France consécutif…

Dimanche, ils ont tranquillement écarté le quatrième du championnat. Vainqueurs de Saint-Etienne (2-0), les Parisiens comptent toujours huit points d’avance sur le deuxième, Monaco. On ne voit plus trop ce qui pourrait les empêcher de décrocher un deuxième titre de champion de France de rang. Un dirigeant, un entraîneur, un journaliste et un supporter évoquent cette domination, partie pour s'inscrire dans la durée.

Frédéric Paquet, directeur général adjoint du Losc: «Actuellement, la présence du PSG en Ligue 1 est une bonne chose par rapport à sa capacité d’attraction. Ça donne un éclairage sur le championnat comme il n’y en a jamais eu avant. Mais à moyen terme, il y a deux dangers. D’abord, il va y avoir une lassitude car il y a un écart trop important avec les autres clubs donc il y a peu de suspense. Ensuite, si Monaco continue de suivre derrière le PSG, il va y avoir des conséquences directes sur les autres clubs «européens» de la Ligue 1 comme Lyon, Marseille, Lille ou Bordeaux qui ne pourront plus jouer la Ligue des champions donc l’écart ne va faire que s’agrandir. Avant, des clubs pouvaient prendre des risques sur une saison en visant une place en Ligue des champions. Aujourd’hui, avec Paris et Monaco, ce ne sera plus possible. Pas parce que le PSG va mettre encore plus de moyens mais parce que les autres vont s’appauvrir. Ça ne pourra aller qu’en s’aggravant car l’écart va devenir abyssal si ça continue.»

Rémi Garde, entraîneur de Lyon: «Je vois plutôt le PSG comme une locomotive pour le football français et pour la Ligue 1. Depuis l’arrivée des Qataris, il y a un écart qui s’est creusé très rapidement, mais c’est peut-être possible de le contrecarrer à moyen terme avec d’autres stratégies. On a vu l’année dernière que le championnat avait été un peu plus disputé. Cette année, ça l’est moins. Mais peut-être qu’un club comme Monaco ou d’autres stratégies basées sur le moyen ou le long terme avec des clubs comme l’OL qui misent sur la formation pourront arriver à lutter. Je ne dis pas de reprendre la domination, mais de lutter différemment.»

Hervé Mathoux, présentateur du Canal Football Club: «Les matchs du PSG marchent très bien, ce club booste les audiences. Les gens ne se lassent pas de Paris, soit parce qu’ils apprécient le résultat soit parce qu’ils ont envie de voir le petit faire tomber le gros. C’est une dramaturgie qui fonctionne et pas qu’en France. C’est mieux d’en avoir deux qu’un seul mais on ne peut pas dire que Paris soit complètement seul. On en reparlera si le PSG est champion dix fois de suite à quatre mois de la fin du championnat. Ça marche aussi sûrement parce que c’est Paris. Ça fonctionnait déjà quand Paris n’était pas au top, avec cette opposition entre la capitale et les clubs de province.»

Christian Le Namour, président du groupe de supporters lorientais Celtic An Orient: «C’est une bonne chose pour la Ligue 1 et de manière plus globale, pour le football français. Dès le départ, on savait que les dés étaient pipés pour le titre de champion, il suffit de voir les joueurs dont dispose le PSG. Le but sera de faire tomber Paris quand il viendra chez nous maintenant. Avec Paris, les stades sont remplis. Je suis supporter mais les gens ne viennent pas pour voir du football mais pour voir ces stars qu’ils regardent à la télévision d’habitude.»

20minutes
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Homer
posté 18/03/2014 15:27
Message #6031


Coeff 7 UEFA
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Tribune : Viré du stade



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Ongenda prolonge un an

Le Paris-SG a annoncé ce mardi la prolongation de contrat de son jeune attaquant Hervin Ongenda. Le joueur est désormais lié avec le club de la capitale jusqu'en juin 2017. Ongenda a disputé 7 matches (4 en L1) depuis le début de saison et a marqué un but lors du Trophée des champions contre Bordeaux (2-1).


L'Equipe.fr


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giovanni pontano
posté 19/03/2014 15:41
Message #6032


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PSG : Le portait élogieux de Blanc signé Cavani !


Edinson Cavani fait régulièrement l'objet de rumeurs en tous genre du fait de son positionnement sur un côté l'attaque parisienne alors qu'il s'est fait un nom au poste d'avant-centre avec le Napoli.


Son intégration

Lors d'un entretien accordé au mgazine 100% PSG ces dernières heures, El Matador a alors évoqué son arrivée en juillet dernier dans le cadre d'un transfert de 64 millions d'euros, un record pour le championnat de France.

« Une intégration dans un nouveau club n’est jamais simple, même si ce dernier fait tout pour vous simplifier les choses. Pour moi, la priorité est toujours l’épanouissement du collectif et c’est pourquoi j’ai tout fait depuis mon arrivée pour me fondre dans l’équipe sans que cela ne perturbe son équilibre. Certes, j’ai des objectifs personnels. Mais ils passent par la réussite du groupe. En ce moment, on démontre que l’on est en mesure de réaliser de grandes choses. On joue très bien ensemble et ça permet à chacun d’afficher ses qualités. C’est ça le football » a expliqué l'international uruguyen avant d'évoquer ses relations avec Laurent Blanc.

Son rôle dans l'équipe

Toujours respecteux, Cavani n'a alors pas tari d'éloges à l'égard de celui qui a réussi à faire du PSG l'une des équipes les plus séduisantes d'Europe en peu de temps alors que Carlo Ancelotti laissait certains spectateurs sur leur fin la saison dernière.

« Il permet à l’équipe de réaliser de grandes performances et c’est là le principal. Comme nos résultats le prouvent, le groupe adhère totalement au discours du coach. Il a un bon feeling avec les joueurs, c’est un facteur de réussite important. (…) Personnellement, je ressens beaucoup de confiance de sa part et c’est une grande motivation. Le fait de jouer à droite, à gauche ou dans l’axe de l’attaque n’est pas un problème pour moi. Le principal est d’avoir la possibilité de m’exprimer sur le terrain et de remplir mon rôle d’attaquant » a confié l'attaquant francilien, histoire de mettre une nouvelle fois les choses au clair.

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Teichi
posté 19/03/2014 22:04
Message #6033


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Prime record en cas de victoire

Information L'Equipe : en cas de victoire en Ligue des champions, le 24 mai prochain, à Lisbonne, chaque joueur du PSG empochera un pactole d'un million d'euros.

C'est un signe, un de plus, de la forte détermination de Qatar Sports Investments à remporter dès que possible la plus prestigieuse des compétitions européennes de clubs : selon nos informations, l'actionnaire du PSG a promis aux joueurs du PSG une prime individuelle d'un million d'euros en cas de victoire de Zlatan Ibrahimovic et de ses coéquipiers en C1. Un pactole monumental au regard des tarifs habituellement évoqués parmi les grands clubs européens lorsqu'il s'agit de stimuler un peu plus les joueurs avec des bonus financiers. C'est la star suédoise en personne qui aurait négocié ce montant inédit avec la direction du PSG. - J.T.

Lequipe.fr
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Varino
posté 20/03/2014 07:32
Message #6034


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PSG : 1 M€ par joueur en cas de victoire finale

Qatar Sports Investments, le propriétaire du club de la capitale, a décidé de motiver son effectif en lui proposant une prime d’un montant jamais vu si Paris gagne la Ligue des champions cette année.


LE 12 DÉCEMBRE dernier, lors d’un déjeuner de fin d’année organisé à La Société, un des restaurants préférés de Nasser al-Khelaïfi, au coeur de Saint-Germain-des-Prés, le président du PSG avait rappelé à Thiago Silva et ses coéquipiers le triple objectif qui ciselait l’horizon du club de la capitale : conserver le titre de champion, remporter au moins une Coupe nationale et se fixer en ligne de mire une victoire, dès cette saison, en Ligue des champions. Dans une interview à L’Équipe, le 1er janvier, Nasser al-Khelaïfi déclarait que le club de Qatar Sports Investments entendait conquérir le prestigieux trophée européen « d’ici à quatre ans » . L’ambition plus ou moins avouée de l’actionnaire moyen-oriental – propriétaire du PSG depuis juin 2011 – est de soulever la C 1 à une échéance plus rapprochée. « Gagner cette compétition était déjà un objectif du club la saison dernière » , soufflait d’ailleurs, mi-décembre, le capitaine brésilien du PSG. Et le montant de la prime promise aux joueurs dès cette année atteste cette volonté de QSI de briller sans tarder : s’ils sortent vainqueurs du duel final à Lisbonne, le 24 mai, les Parisiens percevront une prime individuelle de 1 M€.

C’est Zlatan Ibrahimovic – dont le salaire mensuel (1,25M€ nets d’impôts) dépasse cette prime – qui a négocié ce bonus avec Nasser al-Khelaïfi, un président qui consulte régulièrement le Suédois sur différents sujets. La saison dernière, pour s’être hissé jusqu’en quarts de finale face au FC Barcelone (2-2, 1-1), chaque Parisien régulièrement aligné avait perçu 240 000 €. Une somme à laquelle s’étaient ajoutés, un peu plus tard, environ 450 000 € pour le sacre en L 1, le premier du club depuis 1994. Cette prime de 1 M€ pour remporter une seule compétition apparaît sans précédent dans l’histoire du football de clubs ou de sélections. En 2010, après la première victoire de la Roja en Coupe du monde, la Fédération espagnole avait versé 600 000 € à Andrés Iniesta et consorts.

Même le Chelsea de Roman Abramovitch avait versé beaucoup moins à Didier Drogba et ses coéquipiers (environ 450 000 € par tête, selon plusieurs médias anglais) après le triomphe européen tant attendu, en 2012. Un an plus tard, le Bayern Munich versera 800000€ à chacun de ses cadres, mais pour l’ensemble de leur oeuvre : Ligue des champions, Bundesliga, Coupe d’Allemagne. Quant au puissant Real Madrid, il propose 500 000 € à ses joueurs pour accrocher une dixième C 1 au palmarès du club. Deux fois moins, donc, que le club parisien, déterminé à bousculer l’ordre européen établi. Quel qu’en soit le prix.


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« RETOURNER EN FRANCE, ÇA FERAIT PLAISIR. DOMMAGE QUE CE NE SOIT PAS À LILLE » EDEN HAZARD, l’attaquant des Blues, passé par le LOSC (2007-2012), à l’idée d’affronter le PSG en quarts de finale de la Ligue des champions. « Ils mangent tout le monde en L 1. En Ligue des champions, c’est pareil. Est-ce que Chelsea peut aller au bout ? Je ne sais pas. En tout cas, on en a envie. »


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Demain, ils sauront

C’EST DEMAIN midi, lors du tirage au sort intégral effectué au siège de l’UEFA (Nyon), que le Paris-SG connaîtra le nom de son adversaire en quarts de finale de la C 1. Comme l’an dernier (élimination contre le Barça, 2-2, 1-1), les Parisiens auront de bonnes chances de croiser un club espagnol, puisqu’il en reste de nouveau trois à ce stade de la compétition. Mais le FC Barcelone, qui va disputer son septième quart d’affilée, et le Real Madrid seront cette fois accompagnés par l’Atlético et non Malaga. Les deux finalistes de l’an dernier seront là également, avec un Bayern Munich qui tentera d’atteindre sa quatrième finale en cinq ans et un Borussia Dortmund qui souhaite oublier que le titre de champion d’Allemagne est déjà perdu. Pour la première fois depuis le retour à une phase de groupes unique en 2003-2004, tous les premiers ont passé les huitièmes. Il n’y a en revanche aucun club italien, ce qui n’était plus arrivé depuis 2009.

L'Equipe


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Varino
posté 20/03/2014 07:43
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Van der Wiel évitera l’opération

Le latéral droit du club parisien, qui souffre d’un genou, a consulté à Munich


DE RETOUR de Munich, Gregory Van der Wiel était présent dimanche soir au Parc des Princes pour assister à la victoire des siens face à Saint-Etienne (2-0). Interrogé sur ses douleurs au genou droit, le latéral néerlandais ne s’est pas étendu. Un bref « ça va » et VDW a fui vers le salon lounge où se retrouvent les familles de joueurs. Le PSG, non plus, n’a pas beaucoup communiqué sur la blessure qui gêne son international depuis plusieurs semaines ni sur son séjour munichois où il a notamment consulté le fameux docteur Hans Wilhelm Müller-Wohlfahrt.

Le médecin d’Usain Bolt, mais aussi du Bayern Munich et de la sélection allemande, est une sommité qui intrigue par ses méthodes atypiques privilégiant notamment les injections pour soigner les blessures.

C’est lui qui, avant l’Euro 2008, avait proposé une piqûre d’Actovegin à Patrick Vieira blessé à la cuisse gauche. Une injection finalement refusée par le staff médical des Bleus, le produit étant interdit en France. C’est encore lui qui, début février, a prescrit à Franck Ribéry l’opération de son hématome aux fessiers.

Un journal néerlandais évoque des semaines de repos

Il ressort de cette semaine munichoise que les douleurs dont souffre Van der Wiel ne manifestent pas un caractère de gravité tel qu’il soit contraint d’envisager une opération. Mais, à 26 ans, celui qui n’a jamais joué sous infiltration cette saison a enchaîné les rencontres sans pouvoir vraiment souffler. L’ancien joueur de l’Ajax Amsterdam comptabilise déjà 31 rencontres depuis le début de la saison. Mais en raison de l’absence de Christophe Jallet, opéré d’une hernie discale le 8 janvier, Van der Wiel a enchaîné 13 matchs complets entre le 8 janvier et le 8 mars 2014, et n’a donc pas pu ménager son genou défaillant.

Un journal néerlandais croit savoir que le défenseur parisien doit désormais observer plusieurs semaines de repos et pourrait rater les quarts de finale de la Ligue des champions. S’il est certain que Laurent Blanc et son staff ne prendront aucun risque, la réalité semble moins pessimiste. Ces deux derniers jours, Van der Wiel est resté aux soins et la tendance voudrait qu’il fasse l’impasse vendredi sur Lorient et son terrain synthétique. Mais au-delà, il pourrait opérer un retour aux affaires en douceur pour se projeter sur un mois d’avril capital pour le PSG.

Le Parisien


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giovanni pontano
posté 20/03/2014 13:41
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PSG: Le détail de toutes les fins de contrats

Le point sur les contrats au PSG.
Ca discute au PSG. Après Adrien Rabiot qui a refusé dernièrement une extension de contrat, le gardien Nicolas Douchez vient de rempiler pour une saison supplémentaire jusqu’en 2015. Si bien qu’il n’y a plus désormais que trois joueurs dont l’avenir reste en suspens jusqu’au mois de juin prochain.
Douchez a prolongé, quid de Camara, Alex et Menez ?
Pour Zoumana Camara, 34 ans, l’aventure pourrait toucher à sa fin après sept ans de fidélité au club parisien. Même si l’encadrement du club l’apprécie et même si Laurent Blanc le juge précieux pour son vestiaire, il ne trouve plus vraiment sa place dans ce collectif cinq étoiles.

Alex vers le Milan AC ?
Les choses sont en revanche plus compliquées dans le cas de l’autre défenseur, le Brésilien Alex. Lui est régulièrement aligné dans la défense centrale et il n’a pas caché son envie de rester. Pourtant, de récentes rumeurs depuis la presse italienne font état de son arrivée prochaine au Milan AC.

Menez pourrait ne pas être conservé
Jérémy Menez enfin pourrait ne pas être retenu. Plus souvent remarqué par son comportement que pour ses performances, il y a peu de chances qu’il veuille rester ou que Paris souhaite le conserver. Enfin, il est à retenir qu’à l’exact opposé de Menez, Paris s’est assuré la présence pour quelques saisons encore, de Cavani, Matuidi, Thiago Silva, Marquinhos… tous ces joueurs encore sous contrats au moins pour quatre ans, jusqu’en 2018.

Ils arrivent en fin de contrat
- Alex (Défenseur)
- Zoumana Camara (Défenseur)
- Jérémy Menez (Milieu)

Ils sont sous contrat jusqu’en 2015
- Salvatore Sirigu (Gardien)
- Nicolas Douchez (Gardien)
- Christophe Jallet (Défenseur)
- Maxwell (Défenseur)
- Adrien Rabiot (Milieu)

Ils sont sous contrat jusqu’en 2016
- Mike Maignan (Gardien)
- Gregory van der Wiel (Défenseur)
- Thiago Motta (Milieu)
- Javier Pastore (Milieu)
- Kingsley Coman (Milieu)
- Hervin Ongenda (Attaquant)
- Ezequiel Lavezzi (Attaquant)
- Zlatan Ibrahimovic (Attaquant)

Ils sont au chaud jusqu’en 2017
- Lucas Moura (Milieu)
- Yohan Cabaye (Milieu

Ils sont sous contrats longues durées jusqu’en 2018
- Thiago Silva (Défenseur)
- Marquinhos (Défenseur)
- Lucas Digne (Défenseur)
- Marco Verratti (Milieu)
- Blaise Matuidi (Milieu)
- Edison Cavani (Attaquant)

Sportune
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Varino
posté 21/03/2014 07:27
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Paris va enfin savoir

Les Parisiens connaîtront leur adversaire en quart de finale ce midi. Un tirage au sort qu’ils attendent sereinement.


A LA MI-JOURNÉE, le PSG prendra la mesure exacte du défi qui l’attend le 1er ou le 2 avril (retour le 8 ou le 9). Dans le meilleur des cas, ce sera du lourd. Genre Atletico Madrid ou Borussia Dortmund. Au pire, du très lourd : le Real Madrid, le Bayern Munich voire Chelsea. Entre ces deux extrêmes, deux géants qui claudiquent chacun à leur manière : Barcelone, adversaire des Parisiens l’an dernier à ce même stade de la compétition, et Manchester United.

Un plateau extrêmement relevé

La distinction entre ces différentes catégories d’adversaires est de taille. Dans le premier cas, le PSG se retrouverait en position de favori. Un statut qui oblige plus qu’il ne protège. Dans le deuxième scénario, celui d’un tirage rutilant face à une superpuissance du football européen, Ibra et ses amis se retrouveraient au pied de la montagne. Avec autant d’excitation que d’incertitude. Comme si leur saison, après huit mois de compétition sans nuage et un parcours en Ligue des champions plutôt aisé, ne faisait que commencer.

Hier, Laurent Blanc n’a rien voulu livrer du fond de sa pensée mais a confirmé une évidence. Tous les tirages ne se valent pas. « J’ai des préférences bien sûr mais je préfère les garder pour moi, a éludé l’entraîneur parisien. De toute façon, quel que soit le tirage proposé, notre adversaire sera de grande qualité. Le plateau est extrêmement relevé cette année avec énormément d’anciens vainqueurs de la Ligue des champions (NDLR : parmi les 8 quart-de-finalistes, seuls l’Atletico Madrid et le PSG n’ont pas encore remporté cette compétition) ».

Pour mesurer la force d’une équipe, la salle des trophées est un indice. La forme du moment et la puissance financière en sont d’autres. A ce compte-là, le plateau des quarts de finale est somptueux et clinquant. Il réunit en effet le gotha des clubs les plus riches du monde, dont le PSG fait désormais partie, et la fine fleur des meilleurs championnats. Les trois premiers de la Liga sont là, les deux premiers de la Bundesliga aussi. Sur cette photo réunissant les premiers de la classe, Manchester United, seulement 7e du championnat d’Angleterre, ferait presque figure d’imposteur. Quant au PSG, sans référence connue au plus haut niveau, le mystère est encore entier. Est-il un surdoué ou simplement un bon élève ? L’heure de vérité va bientôt sonner.



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Une septième saison en quarts pour Ibra

Dans ce domaine aussi, le patron n’est autre que Zlatan Ibrahimovic. Parmi les joueurs de l’effectif parisien, c’est le Suédois qui cumule la plus grosse expérience dans l’épreuve reine des Coupes d’Europe. En comptant cette saison, il aura donc disputé sept fois les quarts de finale. Avant 2014, il avait atteint ce stade de la compétition avec l’Ajax (2003), la Juventus (en 2005 et en 2006), Barcelone (en 2010), l’AC Milan (2012) et donc le PSG, l’an passé (élimination devant le Barça). Lors de ces confrontations, il ne s’est guère montré à son avantage, n’inscrivant que 3 buts, dont 2 sous le maillot barcelonais à Arsenal. C’est Thiago Motta qui prend la 2e place avec 5 quarts de finale, vécus successivement avec le Barça (2002, 2003, 2006), l’Inter (2011) et le PSG (2013). Viennent ensuite à égalité avec 4 les Brésiliens Alex (PSV 2005, Chelsea 2009 et 2011, PSG 2013) et Maxwell (Ajax 2003, Barça 2010 et 2011, PSG 2013). Thiago Silva, lui, n’avait encore jamais participé à un quart de finale de Ligue des champions. L’année où son ancien club, l’AC Milan, avait atteint ce stade de la compétition (en 2012 contre Barcelone), il était blessé. Neuf autres Parisiens (Jallet, Lavezzi, Lucas, Pastore, Sirigu, Verratti, Matuidi, Ménez, Van der Wiel) ont disputé leur premier quart de finale la saison dernière contre le Barça. A noter qu’ils sont encore 9 (Cavani, Cabaye, Camara, Digne, Douchez, Marquinhos, Ongenda, Rabiot et Traoré) à n’avoir jamais atteint cette marche.



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Le PSG force leur respect

ILS NE LA CRAIGNENT PAS, mais ils admettent que cette équipe fait peur. Les futurs adversaires du PSG sont à l’unisson. Joueurs et entraîneur conviennent que Paris, résultats à l’appui, est désormais entré dans le gotha européen et qu’ils se méfient tous de cette formidable machine à gagner. Et même si aucun ne manifeste de complexe d’infériorité, on jurerait que la plupart d’entre eux se passeraient bien d’affronter Ibrahimovic et ses partenaires lors de ces quarts de finale.

« Zlatan est un sacré client »
Raphaël Varane, défenseur du Real Madrid

« A CE NIVEAU-LÀ de la compétition, il n’existe pas de tirage facile. Toutes les équipes sont de qualité. Nous n’avons pas d’attente ni de crainte particulières. Pour un Français comme moi, Paris ce serait un peu spécial. Ça ne m’obsède pas pour autant. Il s’agit d’un club dangereux, mais d’autres le sont tout autant. Il y a Zlatan, bien sûr, c’est un sacré client. Tout le monde sait de quoi il est capable. On est dans une phase positive. On sera, je pense, difficile à battre. A nous de le confirmer maintenant sur le terrain. »

« Une équipe sans beaucoup de faille »
Jordi Alba, défenseur de Barcelone

« JE N’AI PAS VRAIMENT EU l’opportunité de voir évoluer le PSG cette saison. C’est une grande équipe, sans beaucoup de faille, composée de joueurs de talent. La saison passée, les deux rencontres avaient été équilibrées (2-2, 1-1). Ça s’était joué à des détails. Après j’entends dire que Paris est avide de revanche. C’est possible, mais ça ne nous perturbe pas. On verra bien sur qui on tombe. Il ne faut pas se leurrer. A ce stade de l’épreuve, on ne compte que des gros. On attend le tirage en toute sérénité, avec beaucoup d’envie. »

« Il mange tout le monde en Ligue 1 »
Eden Hazard, attaquant de Chelsea

« JE NE SAIS PAS POURQUOI tous les Français voudraient que l’on joue contre le PSG ! C’est un très grand club. Il mange tout le monde en Ligue 1. En Ligue des champions, ça a été la même chose jusqu’à maintenant. Retourner en France me ferait plaisir. Dommage que ce ne soit pas à Lille, mais Paris n’est pas bien loin. Ce serait difficile, mais Chelsea a l’expérience de ce genre de matchs. On serait peut-être en ballottage favorable. Je ne sais pas si on peut gagner cette compétition, mais on a envie d’aller au bout. »

« Ce club s’appuie sur de grands talents »
Patrice Evra, défenseur de Manchester United

« ON N’A AUCUNE préférence. Quand on joue avec l’état d’esprit affiché contre l’ Olympiakos mercredi (3-0), on peut réaliser de grandes choses. Je suis né à Dakar, mais j’ai grandi aux Ulis en banlieue parisienne et j’ai joué au PSG en équipe de jeunes (NDLR : en 1997 et 1998). Ce serait donc très particulier de rencontrer le PSG en quart de finale. Ce club s’appuie sur de grands talents. Mais nous sommes Manchester United. Les gens ont parfois tendance à l’oublier. On ne craint personne. »

« Je ne lui vois pas de point faible »
Jürgen Klopp, coach du Borussia Dortmund

« QUAND JE VOIS le plateau, c’est vraiment la crème de la crème. Le niveau n’a sans doute jamais été aussi relevé à ce stade de la compétition. Nous serons dans la peau de l’outsider. Paris ? Nous avions affronté ce club en phase de groupe de la Ligue Europa en 2010 (0-0, 1-1). Depuis, ce n’est plus la même équipe. Elle a changé de dimension. Elle est capable de rivaliser avec les meilleurs. Paris peut gagner la Ligue des champions dès cette saison. Son effectif est sensationnel. Je ne lui vois pas de point faible. »

« Il s’agit d’une grosse machine »
Dante, défenseur du Bayern Munich

« PARIS NE NOUS FAIT pas peur, mais nous avons un très grand respect pour ce club par rapport à ce qu’il représente aujourd’hui. Son parcours cette saison est i mpressionnant. Son effectif est riche. Quand on voit Thiago Silva et Ibrahimovic, il n’y a rien à ajouter. Il s’agit d’une grosse machine avec un excellent entraîneur. Si nous devons les affronter dès les quarts, ce serait très délicat pour nous. Il faudrait être au maximum de nos possibilités et disposer de notre groupe au complet pour espérer passer ce tour. »



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Aux bons souvenirs de Jallet

ÇA FAIT UN BAIL. Ce soir, Christophe Jallet devrait enchaîner son troisième match comme titulaire. Cela ne lui était plus arrivé depuis le début de la saison. A l’époque, le latéral droit parisien avait joué le Trophée des champions suivi des deux premières journées de championnat. Ses performances en demi-teinte avaient alors conduit Laurent Blanc à lui préférer Gregory Van der Wiel, lequel s’est ensuite imposé à ce poste.

Comme un symbole, c’est à Lorient, le club où il s’est révélé au grand public, que Jaja est amené à disputer sa troisième rencontre en à peine dix jours. Un peu plus de deux mois après son opération d’une hernie discale (le 8 janvier), ce retour au premier plan lié à la blessure au genou du Néerlandais est inespéré.

Sur le départ cet été ?

VDW souffre d’une tendinite rotulienne depuis de longues semaines et, comme nous l’annoncions hier, il sera absent ce soir dans le Morbihan. Son retour est programmé pour la semaine prochaine, mais l’intermède assuré par Jallet suffira-t-il à chahuter la hiérarchie dans l’optique de la fin de saison ? Cela n’en prend pas le chemin et, hier, Laurent Blanc a plutôt milité pour le Néerlandais.

« Gregory a fait une très bonne saison jusqu’à maintenant. Depuis deux mois, nous n’avons pas pu le ménager puisqu’il était le seul arrière droit de métier disponible. Cela n’a pas arrangé sa tendinite. Il est sorti du groupe suite à cette blessure et Christophe, lui, revenait à ce moment-là », a souligné le coach du PSG. Si son genou le laisse tranquille, l’ancien défenseur de l’Ajax Amsterdam va donc retrouver sa place contre Nice la semaine prochaine avant d’enchaîner sur les quarts de finale de la Ligue des champions. Jallet, en progrès lors de ses deux dernières sorties mais pas au point de bouleverser la donne, devrait retrouver le banc des remplaçants. Mais à 30 ans, l’ex-capitaine des Rouge et Bleu ne pourra se satisfaire longtemps de cette situation (11 matchs joués contre plus de 40 les saisons précédentes).

Malgré un contrat qui court jusqu’en 2015, le natif de Cognac pourrait réfléchir à changer d’air cet été. « Nous n’avons pas fait le point et nous attendons de voir ce que le club veut faire, nuance son agent, Leandre Chouya. Pour l’instant, Christophe est très content d’être revenu dans le groupe après son opération et d’enchaîner. » Soit. Mais certains clubs de L 1 ont déjà anticipé un départ et sont venus aux renseignements. Et si le club de la capitale venait à recruter un nouveau latéral droit, Jallet tournerait alors la page de cinq saisons à Paris qui l’ont mené jusqu’en équipe de France (5 sélections et 1 but).



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Van der Wiel seul absent

Pour ce déplacement à Lorient, Laurent Blanc peut compter sur l’intégralité de son effectif à l’exception de Gregory Van der Wiel, qui revient de blessure. Touchés lors du dernier match face à Saint-Etienne, Yohan Cabaye et Zlatan Ibrahimovic sont aptes. Avant d’entamer une série infernale (dix matchs lors des cinq semaines suivantes en comptant d’éventuelles demi-finales de Ligue des champions) et en tenant compte de la pelouse synthétique du Moustoir, l’entraîneur parisien pourrait être tenté de préserver certains de ses cadres. Notamment Alex et Thiago Motta.

Sirigu- Jallet, Alex (ou Marquinhos), Thiago Silva, Maxwell- Verratti, Thiago Motta (ou Cabaye), Matuidi- Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi (ou Lucas)



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Le budget de la saison réévalué à 480 M€

SI CERTAINS AU PSG en doutaient encore, la journée de mercredi a fini de les convaincre. Réunis en séminaire sur le campus de la célèbre école de commerce HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines), les salariés du club ont eu droit à des discours plein d’ambition. A commencer par celui de Nasser Al-Khelaifi. Le président du PSG s’est exprimé en français puis en anglais, avant de revenir à la langue de Molière avec pas mal d’humour. Le président a confié que les « revenus sponsoring allaient augmenter significativement ». Il a ensuite demandé à ses joueurs de ne pas l’écouter afin qu’ils ne viennent pas lui demander une augmentation.

Un million d’articles PSG vendus

Effet garanti auprès de l’auditoire. Jean-Claude Blanc a aussi pris la parole. Le discours de l’ancien dirigeant de la Juventus Turin a été encore plus conquérant. Il entend faire du PSG « le premier club européen dans les dix ans ». Pour illustrer cette ambition, des chiffres ont été communiqués. Le budget de la saison en cours a été réévalué à 480 M€ au lieu des 430 prévus. Le nombre d’abonnés atteint les 31 000 et un million d’articles PSG ont été vendus contre 300 000 voici trois ans. Un film sur le futur Parc des Princes en 2016 a été projeté à l’assistance.

Enfin, le dossier complexe du futur centre d’entraînement a été abordé. Le club parisien se heurte à différents problèmes politiques, architecturaux et administratifs, à l’image du dossier de Saint-Germain-en-Laye où les terres disponibles doivent être dépolluées. Blanc a rappelé que le PSG cherchait entre 30 et 60 ha et surtout qu’il ferait « un coup architectural ». Présents dans l’assistance, Ibra et ses partenaires ne sont pas restés pour le dîner, au contraire de leurs homologues féminines.

Le Parisien

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Verratti redevient titulaire

FORFAIT CONTRE Leverkusen (2-1, le 12 mars), en Ligue des champions, et remplaçant face à Saint-Étienne (2-0), dimanche dernier, enL1, Marco Verratti s’apprête à retrouver un statut de titulaire, ce soir, à Lorient, où le PSG tentera de signer une huitième victoire d’affilée, toutes compétitions confondues.

Le retour de l’Italien s’inscrit au bout d’une semaine qui a vu Yohan Cabaye ménager son dos, touché contre les Verts. Mais Laurent Blanc a laissé entendre, hier, quela présence deVerratti découlerait aussi de son historique dans l’équipe, qui semble lui donner encore une marge d’avance dans la concurrence au milieu, aiguisée par l’arrivée de Cabaye en janvier.

« La hiérarchie n’a pas changé, a souligné l’entraîneur du PSG. Après un ou deux matches, on ne va pas oublier ce quils’est passé depuis sept ou huit mois. Mais les prestations de Yohan Cabaye m’ont envoyé un bon signe, ainsi qu’aux joueurs de son secteur de jeu. C’est ça, la concurrence. »

D’ici peu, cette logique des antécédents prévaudra aussi au poste de latéral droit, à l’heure où Van der Wiel, touché au tendon rotulien du genou droit, doit déclarer forfait pour le troisième match d’affilée, au profit de Jallet. Le staff pense récupérer l’international néerlandais la semaine prochaine. À l’exception de « VDW », Blanc pourra aligner son onze type.

Sirigu- Jallet, Alex, Thiago Silva, Maxwell- Verratti, Thiago Motta, Matuidi- Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi



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Blanc-Gourcuff, affaire close

APRÈS QUE Christian Gourcuff a classé Laurent Blanc parmi les « entraîneurs qui n’entraînent pas » dans le JDD du 9 mars, il avait tenu à préciser ses propos le jour même. « J’ai seulement dit que déléguer à un adjoint qui fait les séances n’est pas ma conception, avait confié le technicien de Lorient, agacé par la polémique. Ce n’est certainement pas une critique de Blanc. »

L’entraîneur du PSG avait pourtant répliqué, dans le Monde, paru le lendemain : « M. Gourcuff a passé ses diplômes d’entraîneur il y a trente ans. Il devrait les repasser maintenant et s’apercevrait que le métier a évolué. » Gourcuff avait alors répété qu’il n’avait aucun problème avec Blanc, qui a évacué le sujet, hier : « Tout cela, c’est fini. »

Mercredi, le Lorientais avait encore été interrogé sur ce thème. « Je me régale devant les matches du PSG, j’espère que je ne vais pas me régaler vendredi (aujourd’hui), a-t-il souri. J’ai toujours dit que j’appréciais beaucoup Blanc et j’ai de bonnes raisons car il a contribué à l’épanouissement de Yoann lors de son passage à Bordeaux (2008-2010). »



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Le Parc du futur exposé aux joueurs

PRÈS DE 300 SALARIÉS du PSG étaient réunis en séminaire, mercredi, sur le campus de l’École des hautes études commerciales (HEC), à Jouy-en-Josas (Yvelines). Les joueurs sont arrivés sur place en fin d’après-midi pour écouter le discours, en français, de leur président Nasser al-Khelaïfi, suivi des interventions de Jean-Claude Blanc, le directeur général du PSG, et des deux directeurs généraux adjoints, Frédéric Longuépée et Philippe Boindrieux. Tandis que Laurent Blanc et son staff sont restés dîner, les joueurs sont repartis vers 20 heures.

Devant son auditoire, Jean-Claude Blanc a dressé le bilan du développement du club depuis 2011, année de son rachat par Qatar Sports Investments. L’ancien président de la Juventus a également présenté les perspectives du PSG pour les trente prochains mois. Si Jean-Claude Blanc a indiqué que le club n’avait toujours pas finalisé le dossier du centre d’entraînement – dont l’inauguration était initialement planifiée pour l’été 2015 –, le PSG a pu diffuser pour les salariés présents plusieurs montages vidéo.

L’une de ces vidéos a notamment montré une simulation de ce que sera le Parc des Princes de demain. Depuis l’été dernier, le stade historique du PSG fait l’objet d’une rénovation d’un coût de 75 M€ – financé par le club –, en vue de l’Euro 2016. « Plusieurs joueurs ont été bluffés par le projet montré sur la vidéo » , assure un participant à ce séminaire.

L'Equipe


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giovanni pontano
posté 21/03/2014 10:48
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Football - Ligue des champions
Quarts de finale Ligue des champions: Le PSG ne pourra qu'être heureux au tirage

Le PSG aura forcément un adversaire redoutable en quart de finale de la Ligue des champions. Quel qu'il soit, Paris aura des raisons d'apprécier son tirage.


Le Real : pour les retrouvailles avec Ancelotti et le duel Ibra-Ronaldo

Quel meilleur test pour le PSG de Laurent Blanc qu'un choc face au Real de son prédécesseur sur le banc parisien, Carlo Anclelotti ? Le technicien italien a fait grandir le club de la capitale en le conduisant en quart de finale de la Ligue des champions l'an passé. L'affronter pour une place dans le dernier carré de la C1 serait l'épreuve ultime pour Paris et pour Blanc. Mais un PSG-Real ne se résumerait pas à un duel Blanc-Ancelotti. Ne serait-ce que parce que cette rencontre opposerait aussi les deux meilleurs buteurs actuels en Europe toutes compétitions confondues, Cristiano Ronaldo (41 buts) et Zlatan Ibrahimovic (40 buts). Difficile de faire plus alléchant comme affiche.



Le Barça : pour la revanche de l'an passé

Se faire éliminer en quart de la Ligue des champions sans perdre, cela reste forcément une énorme frustration. C'est celle que le PSG a vécue l'an dernier à ce stade de l'épreuve contre le FC Barcelone (2-2, 1-1). Paris s'est vu dans la peau du qualifié durant une grosse vingtaine de minutes avant de voir Pedro ruiner ses espoirs de figurer dans le dernier carré. Il a surtout été victime d'un Lionel Messi pourtant diminué, qui a fait la différence quasiment à lui tout seul en ne disputant que 75 des 180 minutes sur l'ensemble des deux confrontations. Pour effacer toute cette frustration, la meilleure solution pour le PSG reste encore de prendre sa revanche sur le club catalan et son génie argentin.




L'Atlético Madrid : pour l'opposition de style

D'un côté, un PSG qui aime garder le ballon (64,4% en moyenne) au point d'être dans les trois meilleures équipes d'Europe à la possession derrière le Bayern Munich et le FC Barcelone. De l'autre, des Colchoneros qui le laissent volontiers à l'adversaire pour mieux le contrer (48,2%) et qui font ça avec une indéniable efficacité. D'un côté, le PSG et ses 22 buts marqués cette saison en Ligue des champions, soit la deuxième attaque de l'épreuve. De l'autre, l'Atlético et ses quatre petits buts encaissés, soit la meilleure défense de la compétition avec Chelsea. PSG-Atlético, c'est la plus belle opposition de style possible pour les Parisiens lors ces quarts de finale. Ça aurait de l'allure.




Le Bayern Munich : parce que c'est la référence

Le Bayern, c'est le club qui a remporté toutes les compétitions dans lesquelles il a été engagé depuis bientôt deux ans, à l'exception de la moins significative d'entre elles, la Supercoupe d'Allemagne. Le Bayern, c'est 50 matches sans défaite toutes compétitions confondues, un exploit que seuls l'AC Milan et le FC Porto avaient réalisés jusqu'ici parmi les six ligues majeures en Europe. Le Bayern, c'est cette équipe qui est parvenue à devenir la référence européenne après quatre années de domination barcelonaise, et le grand favori pour sa propre succession dans cette Ligue des champions. Le Bayern, c'est ce qui se fait de mieux à l'heure actuelle, donc c'est le meilleur étalon possible pour le PSG.




Le Borussia Dortmund : parce que le PSG serait favori, alors que…

C'est comme s'il était condamné au statut d'outsider. Le Borussia Dortmund a beau avoir été finaliste de l'épreuve la saison passée, après avoir épinglé le Real de Mourinho sur son passage, il a beau avoir terminé premier du groupe de la mort (Arsenal, Naples, Marseille) en phase de poules, il a beau tenir son rang de dauphin du Bayern Munich en Bundesliga, tout cela n'a en rien modifié son statut à l'approche des quarts de finale de la Ligue des champions. Le vice-champion d'Europe pourra difficilement être considéré comme un favori, quel que soit son adversaire, et notamment si c'est le PSG. Alors qu'il est clairement une valeur sûre du Vieux-Continent, donc un vrai révélateur pour le club de la capitale.





Chelsea : parce que c'est l'exemple à suivre pour le PSG

Le PSG rêve devenir champion d'Europe, comme Chelsea avait ce rêve avant lui. Les Blues sont parvenus à le réaliser en remportant la Ligue des champions en 2012. Depuis, ils ne s'arrêtent plus de gagner en Europe, puisqu'ils ont ajouté la Ligue Europa à leur palmarès la saison passée. C'est un exemple à suivre pour le PSG. Sortir la bande à Mourinho et Hazard, et mettre ainsi un terme à la série victorieuse du club londonien sur la scène européenne, serait une belle étape de franchie dans cette optique pour les Parisiens.




Manchester United : parce que ça reste Manchester United

Pour se rendre compte du niveau du plateau de ces quarts de finale, il suffit d'aller sur quelques sondages de sites sportifs. Et constater que Manchester United est devenu l'équipe sur laquelle tout le monde veut tomber, notamment les supporters du PSG (51% veulent MU en quarts, selon le site Canal Supporters). C'est oublier un peu vite que Man Utd a le quatrième budget européen, qu'il compte trois titres de champion d'Europe à son palmarès, et qu'il est toujours cité parmi les favoris dans chaque compétition qu'il dispute parce qu'il a cette culture de la victoire. Même sans Ferguson, même septième de Premier League, Manchester United reste Manchester United. C’est-à-dire un club bien plus grand club que le PSG. Et un très gros client pour Paris.


Eurosport.fr

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Football - Ligue des champions
Quarts de finale, Ligue des champions : Le PSG confronté aux quarts les plus relevés de l’histoire

Les quarts de finale de la C1 forment un cercle de plus en plus fermé. Jamais un plateau n’avait semblé aussi relevé que cette année. Plus que jamais, ils réunissent la crème de la crème.


Cette année, la Ligue des champions ne répond qu’à une seule loi : celle du plus fort. Finies les équipes surprises, les grosses cotes, les Shakhtar, l'Apoel Nicosie ou CSKA Moscou. Non, en 2014, les quarts de finale ne réunissent que la crème de la crème : les clubs les plus riches, ceux qui dominent leur championnat, ceux qui ont écrasé la phase de poules, les meilleurs joueurs etc. Voilà pourquoi cette édition des quarts de finale peut être considérée comme la plus relevée de l’histoire récente. Et autant prévenir le PSG dès aujourd’hui : il n’y aura pas de bon tirage.


Six ont déjà gagné la C1, tous ont déjà une coupe d’Europe au palmarès

Du haut de ses quarts de finale, 23 Ligues des champions vous contemplent. Sur les huit clubs qualifiés, six l’ont déjà gagnée. Un vrai plateau de rois où se sont invités l’Atlético Madrid et le PSG, les deux seuls clubs à ne pas avoir soulevé la C1. Mais ils ont déjà inscrit leur nom au palmarès d’une compétition européenne : deux Ligues Europa pour les Espagnols (2010, 2012), la défunte Coupe des Coupes pour les Français (1996). Ces quarts ne se sont ouverts qu’à des habitués.


Tous les premiers de groupe sont là

C’est une grande première. Tous ceux qui ont dominé leur groupe lors de la phase de poules seront présents en quart de finale. Cette année, les gros ne partagent pas. Pour le suspense, prière de repasser. Cette année, la Ligue des champions applique une loi implacable : celle du plus fort.


L'intrus, c'est MU

Ce plateau des quarts de finale est, à une exception près, le parfait miroir de la saison de chaque championnat européen. On y retrouve tous les leaders des championnats représentés, notamment ceux qui écrasent leur compétition domestique (Bayern, PSG). Deux dauphins (Dortmund et l’Atlético Madrid) et un troisième qui reste candidat au titre en fin d’année (Barcelone). Au milieu de tous ceux qui règnent chez eux, un intrus : Manchester United. Les Red Devils sont septièmes de Premier League et s’ils veulent disputer la Ligue des champions, ils n’ont pas d’autres choix que de la gagner. Ils sont les seuls dans ce cas.



Six des sept plus gros budgets européens au rendez-vous

Les quarts de finale de la Ligue des champions sont devenus un club fermé. Il y faut son accès VIP monnayé à prix d’or. Six des sept plus gros budgets européens sont au rendez-vous des quarts. Parmi les nababs du vieux continent, seul Manchester City est absent. Onzième budget européen, Dortmund fait figure de parent pauvre de ces quarts. Et que dire de l’Atlético, qui n’est que 20e au classement des puissances financières européennes.


Les neuf meilleurs joueurs du monde sont en quart

Si le classement du Ballon d’Or constitue la référence pour hiérarchiser les individualités, alors les neuf meilleurs joueurs du monde se retrouveront en quarts de finale de la Ligue des champions. De Ronaldo à Bale, en passant par Ibrahimovic, Robben, Iniesta ou van Persie. Les quarts sont sélectifs et ne s’ouvre qu’aux plus grands. Seule l'élimination de la Juve d’Andrea Pirlo (10e) empêche la réunion du top 10 en quarts.



Mais qui sont les petits poucets ?

En 2013, Galatasaray voire Malaga. En 2012, l’Apoel Nicosie. En 2011, le Shakhtar Donetsk. En 2010, le CSKA Moscou ou Bordeaux etc. A chaque édition son "petit poucet". Ce club sur lequel chaque favori potentiel espère se faire les dents en quart. Cette année, selon un sondage publié sur le site Canal Supporters, les fans du PSG souhaitent jouer Manchester United (57%) et Dortmund (18%). Soit le champion d’Angleterre aux trois C1 ou le finaliste de la dernière édition. C’est dire si en 2014, plus que jamais, les quarts de finale de la Ligue des champions sont relevés. Ils ne l’ont jamais été autant.

Trois Espagnols, pas d’Italien et seulement quatre championnats représentés

Cette Ligue des champions confirme les grosses tendances des dernières années. La première : l’Espagne reste la plus performante à ce stade la compétition. Avec trois clubs, la Liga est le championnat le mieux représenté, comme lors des trois dernières éditions. En revanche, pour la première fois depuis 2009, aucun club italien n’a franchi le stade des 8es de finale. Mais, si l’on excepte la victoire de l’Inter en 2010, aucun pensionnaire de Serie A n’a accédé aux demi-finales depuis 2007. La lente dégringolade du football italien se confirme.

La Bundesliga, elle, est dans la continuité de ses dernières années : deux clubs en quarts, les mêmes que l’an dernier. Absent du dernier grand huit en 2012-13, l’Angleterre y a placé Manchester United et Chelsea cette année, confirmant la thèse du simple accident. Quant à notre bonne vieille Ligue 1, malgré les quolibets et les moqueries qu’elle suscite, elle continue de placer fièrement l’un de ses petits protégés en quart. Hormis en 2011, ce fut toujours le cas depuis 2010.

Voilà dix ans que l’on avait plus vu une telle concentration des forces. Cette année, seuls quatre championnats seront représentés, une première depuis les saisons 2002-03 et 2000-2001.

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Mike
posté 21/03/2014 12:19
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PSG - Chelsea en quarts de finale

Le PSG jouera son quart de finale de Ligue des champions contre Chelsea.

Le PSG jouera son quart de finale de la Ligue des champions contre Chelsea, selon le tirage au sort effectué ce vendredi à Nyon, au siège de l'UEFA. Le match aller se jouera à Paris. Le retour à Londres. Le tirage au sort des demi-finales aura lieu le 11 avril.


L'Equipe.
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Homer
posté 21/03/2014 13:29
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PSG - Chelsea en quarts de finale

Le Paris-SG jouera son quart de finale de Ligue des champions contre Chelsea, le leader de la Premier League. Le match aller aura lieu au Parc des Princes.

Le PSG jouera son quart de finale de la Ligue des champions contre Chelsea, selon le tirage au sort effectué ce vendredi à Nyon, au siège de l'UEFA. Le match aller se jouera au Parc des Princes, le mercredi 2 avril. Le retour à Stamford Bridge le mardi 8 avril. Si ce tirage n'est pas aisé, le club de la capitale a quand même évité les trois épouvantails que sont le Bayern Munich, le FC Barcelone et le Real Madrid. Le tirage au sort des demi-finales aura lieu le 11 avril.

Les deux équipes se sont affrontées deux fois, en phase de poule de la C1. C'était en 2004-2005. A l'aller au Parc des Princes, Chelsea s'était imposé (3-0) avec un doublé de Didier Drogba et un but de John Terry, toujours là dix ans après tout comme Lampard et Cech. Au retour, les deux formations s'étaient quittées sur un score nul et vierge (0-0) à Stamford Bridge.

Un bilan équilibré contre les Anglais


Au cours de son histoire, le PSG a affronté très peu d'équipes anglaises sur la scène européenne. La première confrontation des Parisiens contre une équipe britannique remonte à la saison 1982-1983. C’était un huitième de finale de la défunte Coupe des coupes contre Swansea. Le PSG avait remporté les deux matches (1-0, 2-0). Dans cette même compétition, ils ont également affronté Arsenal (1993-1994) et Liverpool (1996-1997), à chaque fois en demi-finales. Les Parisiens avaient été éliminés par les Gunners (1-1, 0-1) et avaient sorti les Reds (3-0, 0-2). Ils ont également joué et fait match nul (0-0) contre Manchester City en phase de poule de la C3 en 2008-2009. Leur bilan est donc équilibré, avec trois victoires, trois nuls et trois défaites.


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J.-C. Blanc : «Un tirage difficile»

Le directeur délégué du PSG, Jean-Claude Blanc, a confié après le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions que Chelsea sera un adversaire très compliqué.

Jean-Claude Blanc, le directeur général délégué du PSG (au micro de beIN Sports) : «C’est un tirage difficile, mais tous les tirages étaient difficiles aujourd'hui. Nous retrouvons Chelsea, une équipe que nous avons déjà affrontée en Ligue des champions. Chelsea qui est leader du championnat anglais, contre Paris qui est leader du championnat français. Ça va être un très beau quart de finale avec deux matches très disputés. (…) Chelsea, c'est une équipe très forte avec des grands joueurs, un grand coach. On va préparer ce match de la meilleure des manières possibles pour jouer un grand quart de finale.»


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«Un tirage formidable»

Ron Gourlay, manager général de Chelsea : «C'est un tirage formidable ! Il suffisait de regarder les équipes présentes, il n'y avait que de grandes équipes. C'est un grand tirage, entre deux grands clubs avec de grands joueurs, des publics formidables. Ce sera un grand match. Ce sera difficile, il faudra que l'on soit concentrés.»


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Laurent Blanc, entraîneur du PSG : «On savait que ce tirage au sort nous réserverait une équipe de grand talent, c'est donc Chelsea. On va bien se préparer pour cette double confrontation. On a encore un peu de temps. Recevoir au match retour est un petit avantage pour Chelsea, il faudra donc faire la différence à domicile.»


Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG : «Comme je l'avais dit avant le tirage, les sept équipes qui restaient étaient très fortes. Nous serons prêts pour ces matches contre Chelsea, un club pour lequel j'ai beaucoup de respect. Je sais que ça sera très excitant pour tous nos supporters et nous sommes très impatients.»


L'Equipe.fr


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