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Varino
posté 10/03/2014 07:31
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Cabaye titulaire mercredi ?

REMPLAÇANT DIMANCHE à Bastia (3-0), Yohan Cabaye devrait être titulaire mercredi, au Parc des Princes, contre Leverkusen. Laurent Blanc avait annoncé, vendredi dernier, que sa recrue hivernale serait «probablement » alignée d’entrée lors de l’un des trois rendezvous à venir et la perspective de le voir au coup d’envoi, à Furiani, était forte jusqu’à ce que le technicien annonce, le matin du match, que ce serait Adrien Rabiot qui serait associé à Thiago Motta et Marco Verratti au milieu de terrain. En fait, comme Cabaye avait participé à l’intégralité de la rencontre de la France contre les Pays-Bas (2-0), trois jours plus tôt, Blanc l’a laissé au repos, au mêmetitre que Blaise Matuidi.

Les deux internationaux sont d’ailleurs entrés en jeu en même temps, en seconde période. Face à Leverkusen, en huitièmes de finale retour de la Ligue des champions (4-0 à l’aller pour les Parisiens) en revanche, l’ancien joueur de Newcastle devrait connaître sa première titularisation en C 1 sous ses nouvelles couleurs, sa seconde toutes compétitions confondues après PSG - Valenciennes (3-0, le 14 février). Il y a d’ailleurs des signes qui ne trompent pas souvent : le club l’a programmé en conférence de presse de veille de match, juste avant le passage de son entraîneur.

S’il joue, Cabaye pourrait être associé à Verratti. Vendredi, Blanc disait : «Cabaye et Verratti peuvent parfaitement jouer ensemble. Ce n’est pas l’un ou l’autre. Cabaye jouera probablement l’un de ces trois matches et les deux seront probablement associés.»


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ALEX SE DÉFEND D’ÊTRE HOMOPHOBE
Dans une interview au quotidien suédois Expressen, hier, le défenseur parisien Alex a, de nouveau, désapprouvé l’homosexualité, tout en se défendant d’être homophobe. « Je suis protestant, a-t-il déclaré. Dieu dit qu’il faut aimer les gens pour ce qu’ils sont (...) Ce n’est pas de l’homophobie mais je ne suis simplement pas d’accord pour dire qu’il est normal qu’un homme vive avec un homme ou qu’une femme vive avec une femme (...) Si l’on n’est pas d’accord avec moi, ce n’est pas un problème. » Début janvier, le joueur avait déclaré : « Dieu aurait créé non pas Adam et Eve mais Adam et Yves, par exemple ? » et l’association Paris Foot Gay, partenaire du PSG, s’en était émue.

RECTIFICATIF.– Nous avons laissé penser, dans notre édition d’hier, que Zlatan Ibrahimovic pourrait être suspendu face à Lorient, le 21 mars. En réalité, son carton jaune reçu face à Bastia, samedi, n’était que le deuxième dans une série de dix matches et non le troisième, comme indiqué.

L'Equipe

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Blanc-Gasset, c’est qui le chef ?

Le 21 mars avant Lorient - PSG, Laurent Blanc et Christian Gourcuff ne devraient guère se répandre en amabilités. L’entraîneur breton a beau déclarer qu’il se « régale à voir jouer le PSG », ses propos dans « le JDD » d’hier visant directement son homologue parisien ne sont pas de nature à rapprocher les deux hommes. « Il y a des entraîneurs qui n’entraînent pas. Comme Laurent Blanc à Paris, où c’est Jean-Louis Gasset (NDLR : l’adjoint de Laurent Blanc) qui s’en charge, affirme Gourcuff dans l’hebdomadaire. Ce modèle ne me plaît pas. C’est sur le terrain qu’on construit. Un entraîneur qui ne maîtrise pas le terrain n’est, selon moi, pas un entraîneur. »

On peut retourner ses phrases dans tous les sens, cela ressemble à un procès en usurpation de fonction. Pour essayer de comprendre de quoi il retourne, il faut revenir à l’essentiel. Qui fait quoi dans le duo Blanc-Gasset ? « Si l’on parle des entraînements, Laurent donne les orientations et Jean-Louis compose et anime la séance », se souvient Henri Emile, l’ancien intendant de l’équipe de France quand Blanc était sélectionneur (2010-2012). Mais, contrairement à certains manageurs en Angleterre qui délèguent totalement la séance à leurs adjoints, Blanc est régulièrement présent au bord du terrain et rectifie les exercices à l’occasion. « Gourcuff fait fausse route. On peut très bien déléguer la conduite des entraînements tout en participant aux séances, avance Luis Fernandez, qui a eu Gasset comme adjoint au PSG (2001-2003) et à l’Espanyol Barcelone (2003-2004). L’entraîneur laisse son adjoint diriger l’entraînement et n’intervient alors directement qu’au moment de l’opposition qui conclut la séance. »

Le Président a le dernier mot

« C’est vrai que Blanc délègue beaucoup de choses. Mais je prends ça comme un signe d’intelligence et d’humilité », ajoute Pierre Ducrocq, l’ancien joueur parisien qui a connu le duo Fernandez-Gasset. « C’est la même chose lors des séances vidéo, raconte Ulrich Ramé (1997-2011), l’ex-gardien des Girondins. Jean-Louis faisait préparer les montages vidéo, puis il présentait l’adversaire aux joueurs, et Laurent pouvait intervenir pendant la séance. » Véritable encyclopédie du football, professionnel reconnu dans le milieu, Gasset jouit d’une grande confiance aux yeux de Blanc. « Jean-Louis apporte le maximum d’informations dans un domaine très large. Cela peut concerner les joueurs, l’adversaire mais aussi l’environnement global, poursuit Ramé. Quant à Laurent Blanc, il est dans la prise de décisions. »

Le Président a donc le dernier mot si l’on en croit l’ex-portier international. « C’est la même chose pendant les matchs, souligne Henri Emile. Il peut y avoir des échanges entre les deux, mais Jean-Louis laisse Laurent maître de ses interventions. Il n’interfère pas dans les décisions. » Alors, le débat ne serait que sémantique si l’on en croit Frédéric Antonetti. « Dans un sens, je comprends ce que Christian Gourcuff veut dire, commente l’ancien entraîneur de Rennes, aujourd’hui sur Canal +. Moi-même, je n’ai pas pour habitude de déléguer la conduite des entraînements. Mais Laurent Blanc est davantage un manageur qu’un entraîneur, c’est juste un métier différent. Il doit s’occuper de l’équilibre de son vestiaire, gérer la relation avec ses dirigeants, les médias, etc. Vis-à-vis de ses joueurs, il est plus dans une logique d’accompagnement. Et puis, au PSG, les joueurs sont d’un tel niveau que le moment de l’entraînement n’est pas aussi crucial que dans d’autres clubs. »



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Lavezzi régale
Au lendemain de leur facile succès à Bastia (3-0), les Parisiens ont retrouvé hier au Camp des Loges leurs partenaires blessés et surtout Edinson Cavani, rentré samedi matin d’Uruguay. Dans la soirée, Ezequiel Lavezzi, double buteur en Corse, a invité certains de ses partenaires à dîner à son domicile de Neuilly-surSeine. Ibra, Pastore, Maxwell, Sirigu et les kinés du club étaient entre autres de la fête.

Le Parisien


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Varino
posté 11/03/2014 07:35
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Le grand retour de Cavani

Face à Leverkusen, demain, Laurent Blanc, l’entraîneur parisien, devrait titulariser son attaquant rentré samedi d’Uruguay.


APRÈS UNE LARGE VICTOIRE face à Leverkusen lors du huitième de finale aller de la Ligue des champions (4-0, le 18 février), Laurent Blanc, l’entraîneur du PSG, quasiment assuré de la qualification pour les quarts, pourrait ménager certains de ses cadres demain, lors du match retour, avant de recevoir Saint-Étienne, dimanche. Au lendemain du match à Bastia (3-0, samedi), les titulaires ont effectué un léger décrassage à huis clos au Camp des Loges, alors que les remplaçants se sont entraînés une heure et demie. Principalement axée sur des toros, la séance d’hier, elle, s’est déroulée dans une ambiance détendue.

CAVANI APTE À JOUER. Absent depuis mardi dernier, Edinson Cavani a atterri samedi à Paris, en provenance de Montevideo où l’Uruguayen s’était rendu pour régler son divorce. Blanc, un peu contrarié par son forfait à Bastia, alors que son retour était initialement prévu vendredi, n’a pas eu d’entretien sur le sujet avec lui. Mais l’attaquant s’est dit prêt à jouer et devrait être titulaire. Gêné par une blessure (ischio-jambiers) qui l’a éloigné des terrains quatre semaines, il n’a plus été titularisé depuis le 31 janvier (2-0, face à Bordeaux) et n’a disputé que vingt-deux minutes contre Marseille (2-0, le 2 mars).

LE DOS D’IBRA VA MIEUX. Hier, Zlatan Ibrahimovic a tweeté : « Zlatan est juste humain. De la même manière qu’un grand requin blanc est juste un poisson. » L’attaquant parisien, auteur d’une treizième passe décisive et de son 23e but en L 1 à Bastia, est en pleine forme. Il joue pourtant depuis quelques semaines avec une douleur au dos. Mais elle est plus sporadique et le gêne de moins en moins. La semaine dernière, la star suédoise avait été préservée contre la Turquie : il n’avait disputé que la première période avec sa sélection (1-2, le 5 mars).

GROSSE FATIGUE POUR PASTORE. Onze minutes contre Bastia, cinq contre l’OM (2-0, le 2 mars), vingt-cinq à Toulouse (4-2, le 23 février). Depuis trois journées, Javier Pastore, dont la dernière titularisation remonte au 14 février (3-0 face à VA), a de nouveau disparu. Pour quelles raisons ? Le milieu offensif argentin a été victime d’un gros coup de fatigue et de douleurs dorsales, mais il irait mieux.

JALLET REVIENT AUSSI. Christophe Jallet a réintégré le groupe contre Bastia, après plus de deux mois d’absence. Sa dernière apparition en L 1 remonte à début décembre face à Sochaux (4-0, le 7). Doublé par Van der Wiel, le latéral droit vit une saison compliquée. Blessé à un mollet en décembre, il a été victime, début janvier, d’une blessure au dos qui a nécessité une opération. Il a travaillé physiquement pour revenir au plus vite. Finalement, le seul Parisien incertain reste Jérémy Ménez (coup au mollet droit).

L'Equipe


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Varino
posté 11/03/2014 08:00
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Le PSG se fait un nom en Europe

Football, Ligue des champions. Paris est désormais le club français le plus connu en Europe. Depuis trois ans, sa notoriété a explosé.


Que de chemin parcouru ! En l’espace de trois ans, le PSG s’est fait un nom sur la scène européenne. Il n’atteint pas encore le niveau de notoriété du Real Madrid ou du FC Barcelone. Mais il fait déjà partie des clubs les plus connus d’Europe, notamment dans les pays latins, selon le baromètre Scan Club, établi par la société Advent. Tour d’horizon.

Plus connu que l’OM sur la scène internationale. Dans l’Hexagone, le PSG a fait une percée incroyable. Son taux de notoriété auprès de l’ensemble de la population française est un brin plus fort que celle de l’Olympique de Marseille (83 % contre 82,8 %). En Europe aussi, Paris devance son rival. En Espagne, le PSG est légèrement devant. En Italie et en Angleterre, il est largement supérieur. Il n’y a qu’en Allemagne où Marseille reste de peu le premier club français en termes de notoriété.

L’égal d’Arsenal dans les pays latins. Le PSG gagne aussi du terrain dans les pays latins. En Espagne, son taux de notoriété est de 65,9 %, soit mieux que celui de Manchester City (64,9 %) ou de l’AC Milan (64,2 %). Il n’est d’ailleurs qu’à sept points derrière Manchester United (72 %), club étranger le plus connu de l’autre côté des Pyrénées. En Italie aussi, Paris s’est fait un nom : 65,2 % de la population connaît le club français, contre 64,6 % pour Manchester City, 65,5 % pour Arsenal, ou encore 75 % pour le Real Madrid, premier club étranger. En l’espace d’un an, en Italie et en Espagne, sa notoriété a augmenté de 12 à 15 %. Un gain dû essentiellement au titre de champion de France, à son épopée européenne et surtout aux retombées médiatiques liées aux multiples transferts.

Moins rayonnant au Royaume-Uni et en Allemagne. Le Royaume-Uni, en revanche, continue de bouder le PSG. Son taux de notoriété outre-Manche n’est que de 43,3 %, soit autant que Benfica Lisbonne (43,2 %) et moins que le PSV Eindhoven (44,3 %). Pourtant, grâce à l’effet Beckham, le PSG a gagné 30 % en l’espace d’un an. Cela montre que le champion de France partait de très loin… En Allemagne, le PSG est encore moins audible : 38,9 % de la population connaît le club français. Un résultat similaire à celui de… Monaco (39 %) et moins bon que Valence (41,5 %). La belle démonstration de Paris à Leverkusen lors du match aller (4-0) a fait parler outre-Rhin. De quoi espérer un sensible gain de notoriété.

Un potentiel marketing digne des plus grands. Fort de cette notoriété, notamment dans les pays latins, le PSG peut désormais imaginer développer sa marque en dehors des frontières hexagonales. Selon l’outil Scan Score Club qui note, sur 200, le potentiel marketing des équipes, le PSG n’est pas loin des plus grands. Il n’est pas encore au niveau du Real ou de Barcelone, mais sa note est similaire à celle de l’AC Milan en Espagne (113) ou encore légèrement supérieure à celle d’Arsenal en Italie (114 contre 113). Autrement dit, dans ces pays-là, le PSG commence à être une marque reconnue. En revanche, en Allemagne et en Angleterre, avec respectivement des notes de 67 et de 74 (sur 200), Paris possède une très large marge de progression.



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En Allemagne, Ibra fait peur

Les internationaux allemands n’ont toujours pas oublié cette soirée du 15 octobre 2012 au Stade olympique de Berlin, dans un match comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2014. Opposée à la Suède, l’Allemagne venait d’accomplir une première heure de jeu exceptionnelle. Menant 4-0, elle n’aurait jamais imaginé vivre ensuite la pire demi-heure de son histoire. En moins de trente minutes, elle encaisse quatre buts face à des Suédois survoltés emmenés par leur capitaine Zlatan Ibrahimovic, auteur d’un but et d’une passe décisive. Depuis, l’attaquant parisien jouit d’une grosse côte outre-Rhin. Les médias ont effectué de nombreux reportages sur lui. Il n’a accordé qu’une seule et unique interview. C’était à l’hebdomadaire « Der Spiegel » en septembre dernier. Il évoquait notamment ses relations conflictuelles avec Pep Guardiola à Barcelone et son envie de découvrir la Bundesliga. En langage Zlatan, cela se résume ainsi : « Le Bayern me tenterait bien mais uniquement lorsque Guardiola sera parti. »

Son doublé, il y a trois semaines, à la BayArena de Leverkusen a encore davantage marqué les esprits. Beaucoup d’experts s’étaient déjà demandés pourquoi le géant suédois ne faisait pas partie des trois finalistes au Ballon d’or 2013. Grâce à ses buts venus d’ailleurs, la Ligue 1 est redevenue un championnat dont on parle en Allemagne. La chaîne sportive Sport1 + retransmet deux à trois rencontres de L 1 par journée et le PSG est presque toujours diffusé.

Lorsque sont évoqués les concurrents les plus sérieux du Bayern Munich en Ligue des champions, les spécialistes n’évoquent plus seulement le Real Madrid, Barcelone ou Chelsea, mais également le PSG, car ils pensent immédiatement à l’impact d’Ibrahimovic. « Paris, j’en fais mon favori », déclare Lothar Matthäus. Le recordman des sélections en équipe d’Allemagne (150) est admiratif de la montée en puissance du club de la capitale et de son buteur vedette. « Le PSG n’a pas qu’Ibrahimovic, mais il est évident qu’Ibra est l’un des tout meilleurs attaquants au monde. Il a pris de l’ampleur encore depuis qu’il est à Paris. »



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«Une marque qui compte»

Jerome Neveu, le président d’Advent, agence marketing à l’origine du baromètre Scan Club*, explique comment le PSG a gagné en notoriété sur la scène internationale.

Le PSG est-il le club français le plus connu en Europe ?
JÉRÔME NEVEU. Le leader historique, à l’intérieur et hors de nos frontières, a toujours été l’OM. Or, aujourd’hui, le PSG fait mieux que Marseille dans trois des quatre principaux pays européens, l’Italie, l’Espagne et l’Angleterre. Le basculement s’est fait en cours de saison dernière, avec notamment le titre de champion.

Comment a-t-il gagné en notoriété ?
Le club a mis le turbo en termes de moyens financiers et de performances sportives. Du coup, ça fait parler. Il y a évidemment les grands matchs européens disputés, comme ceux contre Barcelone la saison dernière, mais aussi le mercato. Etant donné sa puissance financière, dès qu’on parle d’un grand joueur, tout le monde s’imagine que Paris est sur le coup. Ces transferts ou ces rumeurs de transferts viennent surtout d’Italie ou d’Espagne, d’où la forte notoriété. Enfin, Paris a engagé des stars, notamment Ibrahimovic. Par sa forte personnalité et ses performances sur le terrain, il est un formidable ambassadeur, un accélérateur de notoriété pour le PSG.

Paris peut-il espérer développer sa marque à l’étranger ?
Selon notre étude, le PSG est en train de devenir une marque qui compte en Espagne et en Italie. Autrement dit, il peut désormais imaginer avoir une logique marketing de grande envergure dans ces deux pays, en mettant en place différentes actions, comme développer du licensing (NDLR : des licences) ou créer par exemple un corner de produits (NDLR : points de vente) dans les aéroports. Le PSG est sur le bon chemin, mais la construction d’une marque prend du temps.

Propos recueillis par S.D.M.

*Baromètre Scan club, outil de mesure de la valeur marketing des clubs de football et de rugby dans chaque pays d’Europe, basé sur 35 critères. Les résultats sont issus de la vague d’automne 2013 auprès d’un échantillon de plus de 1000 personnes représentatives de la population.



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Adrien Rabiot, un avenir en eaux troubles

Depuis le début de la saison, les prolongations de contrat et les revalorisations salariales sont tombées en cascade au PSG. Thiago Silva et Marco Verratti ont ouvert le bal l’été dernier, suivis de près par Zlatan Ibrahimovic. En février, trois autres joueurs ont vu leurs rémunérations revues à la hausse : Thiago Motta, Maxwell et Blaise Matuidi. Dans ce contexte, le dossier d’Adrien Rabiot fait figure d’exception. Il traîne en longueur depuis l’été dernier et aucun accord ne se dessine à l’horizon.

Formé au club, le jeune milieu de terrain — 19 ans en avril — est actuellement sous contrat avec le PSG jusqu’en juin 2015. Paris a soumis fin août une proposition de renouvellement. Elle portait sur une durée de cinq ans, soit jusqu’en 2018. Cette offre a fait l’objet d’une contre-proposition de la part des représentants du joueur. Depuis, c’est silence radio entre les parties.

Assurer sa progression

Contactée, Véronique Rabiot, la maman et la principale conseillère d’Adrien, a accepté de sortir de sa réserve. « Nous ne prenons pas nos décisions en fonction de critères financiers, prévient-elle d’emblée. Ils ont leur importance, bien sûr, mais la priorité, c’est le projet sportif. De quel temps de jeu Adrien peut-il bénéficier dans un proche avenir ? Les conditions sont-elles réunies pour qu’il puisse poursuivre sa progression ? Voilà le plus important. Ensuite, le PSG nous a bien transmis officiellement une proposition de prolongation de contrat. Elle date du 29 août 2013. Mais je conteste les montants qui ont été évoqués dans la presse (NDLR : samedi, « l’Equipe » faisait état d’une proposition salariale d’environ 120 000 € brut mensuels). D’autre part, nous n’avons jamais demandé à ce que le salaire d’Adrien soit aligné sur celui de Lucas Digne (NDLR : environ 250 000 € brut) ».

Selon nos informations, le contrat proposé à Rabiot prévoyait en fait un salaire mensuel de 90 000 € brut lors de la saison 2013-2014, puis une augmentation de 10 000 € par an. Soit 130 000 € par mois en 2017-2018. Le PSG n’a formulé à ce jour aucune nouvelle proposition. Sollicitée, la direction du club n’a pas souhaité faire de commentaires.

Le Parisien


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posté 11/03/2014 16:07
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Verratti et Matuidi ne joueront pas

L’entraîneur du PSG, Laurent Blanc, a indiqué ce mardi en conférence de presse que Marco Verratti et Blaise Matuidi ne prendraient pas part au 8e de finale retour de C1 contre le Bayer Leverkusen, mercredi. «Marco Verratti ne jouera pas demain. Mais nous aurons une équipe compétitive. Matuidi ne jouera pas non plus. Certains auront donc plus de temps de jeu que d'habitude», a précisé le coach parisien. Leur absence s’ajoute à celle de Grégory van der Wiel, qui a d'ores et déjà déclaré forfait.


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Cabaye : «Je veux juste être sur le terrain»

Apparu à six reprises en L1, pour une seule titularisation, Yohan Cabaye devrait être aligné d'entrée face au Bayer Leverkusen, mercredi, en 8e de finale retour de la Ligue des champions. Le milieu de terrain est venu au PSG pour ce type de rencontres.

Sa présence au coup d’envoi était pressentie. Elle a été indirectement confirmée par Laurent Blanc. En l’absence de Marco Verratti et Blaise Matuidi, Yohan Cabaye devrait débuter le 8e de finale retour de Ligue des champions face au Bayer Leverkusen (0-4 à l’aller), mercredi soir. «C’est la plus grande compétition qu’on peut jouer en club, a rappelé le milieu de terrain. J’ai envie de disputer ce genre de matches et je travaille pour. A moi d’être prêt. On verra bien demain, mais je pense que ça va le faire».

«Il y a eu six mois de compétition avant moi et je suis dans une équipe qui tourne bien...»

Depuis son arrivée au PSG cet hiver, l’ancien Magpie n’a pour l’instant été titularisé qu’à une reprise : face à Valenciennes (3-0), le 14 février dernier. De quoi lui faire regretter son choix d’avoir quitté Newcastle au mois de janvier ? «Comme je l’ai dit à mon arrivée, il y a eu six mois de compétition avant moi et je suis dans une équipe qui tourne bien, a-t-il rappelé. Il faut s’adapter aux joueurs et au système de jeu. Après, ça sera au coach de faire ses choix et de voir s’il y a des places à prendre ou pas».

Polyvalent, Cabaye est capable d’évoluer à tous les postes du milieu dans le 4-3-3 qu’affectionne Laurent Blanc. A Newcastle, Pardew le faisait jouer meneur de jeu. En sélection, Didier Deschamps l’aligne désormais dans un rôle de sentinelle. Et lui, que préfère-t-il ? «L’un des trois, ça me va. Je veux juste être sur le terrain». L’association Verratti-Motta-Matuidi étant considéré comme l’un des meilleurs milieux d’Europe, Cabaye n’en a, pour l’instant, pas eu beaucoup l’occasion. A l’aller, cela ne l’avait pas empêché de marquer vingt minutes après être entré en jeu...


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Blanc : «Je sens Cavani heureux»

A la veille du 8e de finale retour de C1 face à Leverkusen, Laurent Blanc a balayé l’idée selon laquelle Edinson Cavani serait frustré de jouer sur le côté droit au point d’envisager un départ cet été. «C’est vous (les médias) qui créez ça en annonçant des choses, a d’abord souligné le technicien. Le joueur a été blessé quatre semaines, il n’a pas pu répondre sur le terrain et il a des problèmes personnels (son divorce, NDLR) qui se sont greffés dessus. Et après, on dit : "Il y a un malaise Cavani". Moi, en tout cas, je ne le ressens pas. Je discute avec les joueurs, je le sens heureux. Que dire de plus ?»


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Blanc : «C'est leur problème»

En marge de la préparation du 8e de finale retour de C1 face au Bayer Leverkusen, mercredi soir, Laurent Blanc n’a pas souhaité réagir aux critiques venues d’Allemagne – et notamment émises par le Bayern – sur les finances du PSG. Dans les colonnes de Bild, le président du conseil d’administration du club bavarois, Karl-Heinz Rummenigge, avait affirmé «ne pas pouvoir imaginer que le club de la capitale puisse répondre aux critères du fair-play financier.» «Je ne réagis pas. Moi, je me préoccupe du terrain, a évacué Blanc. Après, s’il y en a qui veulent parler des finances du PSG, c’est leur problème».


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Van der Wiel forfait

Grégory Van der Wiel a été contraint de déclarer forfait pour la réception du Bayer Leverkusen, mercredi, en huitième de finale retour de la Ligue des champions (4-0 à l’aller). Le latéral droit néerlandais passe la semaine en Allemagne «afin de suivre un protocole thérapeutique à Munich, validé et encadré par le PSG, dans le cadre des douleurs chroniques de son genou droit», a indiqué le club de la capitale dans un communiqué. En son absence, Christophe Jallet devrait le suppléer. L’international français a réintégré le groupe la semaine passée après une opération du dos.


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Ibra «plus acrobatique» que Zizou

Interrogé sur une possible comparaison (sur le plan technique) entre Zlatan Ibrahimovic et Zinedine Zidane, Laurent Blanc a estimé qu’ils «étaient tous les deux capables de réaliser des gestes que peu de joueurs peuvent faire». «Mais ce n’est pas le même type de joueur, a poursuivi le technicien. Zinedine a une conduite de balle assez particulière, voire unique. Zlatan s’illustre davantage par des gestes acrobatiques. Les deux réunis, ça aurait fait quelque chose d’assez exceptionnel».


L'Equipe.fr


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Homer
posté 11/03/2014 16:35
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NASSER À L’ENTRAÎNEMENT

Le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi est présent au Camp des Loges pour assister au dernier entraînement avant le 8e de finale retour de Ligue des Champions entre le PSG et Leverkusen, mercredi (20h45). Il a chaleureusement salué tous les joueurs et membres du staff.


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BLANC : « DIGNE FRANCHIT DES PALIERS »

Bien qu’il ne le titularise que rarement, Laurent Blanc s’est déclaré satisfait des efforts fournis par Lucas Digne. « C’est un travailleur. Il est en train de progresser. Même s’il joue peu. Il franchit quelques paliers, c’est intéressant pour lui et pour nous », a ainsi confié le coach parisien, à propos du latéral gauche, aligné neuf fois en L1, une fois en C1.


RMC SPORT.fr


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posté 12/03/2014 07:25
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Pour prolonger le plaisir...

Vainqueur 4-0 à l'aller, Paris, privé de certains cadres, aura ce soir pour objectif principal de régaler son public.


C'est comme si le frisson avait disparu. Comme si tout le monde était déjà passé à autre chose, un peu la tête à Saint-Etienne, beaucoup à rêver de nouveaux territoires européens à conquérir dès les quarts de finale. C'est un peu comme si le PSG et ses suiveurs scrutaient davantage les futurs qualifiés que le propre match de Paris.

L'écart réalisé cette fois-ci (4-0) n'autorise aucune crainte, aucune comparaison avec ce 8 e de finale de 2013. Cette saison, le PSG s'est si peu abandonné au relâchement, s'est si souvent retrouvé dans la confortable position du gestionnaire de patrimoine victorieux que cette manche retour ressemble à une formalité. Si le frisson a disparu, c'est que l'adversaire est complètement résigné. Il vient limiter les dégâts, tenter de sortir la tête haute de la Ligue des champions et donner le change, guidé par l'esprit de revanche.

Sans Verratti ni Matuidi

On pourrait alors voir un beau match entre deux équipes qui aiment le jeu. Parce qu'il n'y a pas d'autre enjeu que de se faire plaisir. « On veut prouver qu'on sait jouer un beau football », ne s'y trompe pas Sami Hyypiä, le technicien du Bayer. Ce soir, il y aura beaucoup de remplaçants parisiens au coup d'envoi, mais tant de titulaires pour les encadrer (Thiago Silva, Ibrahimovic, Cavani notamment) que l'état d'esprit devrait se maintenir à ses hauteurs habituelles.

C'est une rencontre de Ligue des champions et ça ne se galvaude pas. Elle va compter pour ceux qui jouent moins et trouvent une exposition beaucoup plus digne de leur soif de temps de jeu que la Ligue 1. Il ne faudra pas passer à côté pour ceux-là.

C'est aujourd'hui aussi qu'on comprendra toute la justesse de l'opération Yohan Cabaye, arrivé à la fin du mois de janvier au PSG. Matuidi menacé de suspension, Verratti blessé, l'ancien Lillois va renouer comme titulaire avec la C 1, sept saisons après l'avoir quittée. Et l'on ne devrait pas observer de différences ou très peu (normalement) avec les cadres qui ont bâti jusqu'à présent cette formidable équipe.

Matuidi et Verratti ne sont pas là aujourd'hui, peut-être d'autres demain. Blanc prépare donc aussi la suite. C'est ainsi une formidable occasion de voir les alternatives, un soir pour du beurre ou presque.



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Sirigu- Jallet, Marquinhos, Thiago Silva, Digne- Cabaye, Motta, Rabiot ou Pastore- Cavani, Zlatan, Lavezzi ou Lucas



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Digne et Jallet titulaires
Christophe Jallet va retrouver le terrain. Absent depuis le 7 décembre et la venue de Sochaux ( 5- 0) en raison d’une hernie discale, le latéral droit démarrera ce soir la rencontre face à Leverkusen après avoir passé le match à Bastia ( 3- 0) sur le banc. A gauche de la défense, Lucas Digne ( notre photo) va disputer son deuxième match de Ligue des champions, moins d’une semaine après avoir fêté sa première sélection internationale contre les Pays- Bas. Cabaye, lui, sera titulaire pour la première fois avec le PSG dans la compétition tandis que Cavani sera associé à Ibrahimovic après son aller- retour en Uruguay pour régler son divorce.

La première de Bebek
Agé de 37 ans et de nationalité croate, Ivan Bebek est arbitre international depuis 2003. S’il a dirigé 13 rencontres de Ligue des champions et 20 de Ligue Europa, c’est la première fois qu’il croisera la route du PSG. En revanche, il a déjà arbitré l’OM, Lyon, Bordeaux ainsi que l’équipe de France, notamment contre la Géorgie, le 22 mars 2013 ( 3- 1).

Leverkusen piétine
Les hommes de Sami Hyypiä connaissent un premier trimestre 2014 pour le moins poussif. Depuis la défaite contre Paris ( 4- 0), Leverkusen reste sur deux revers et un nul en championnat. Sa dernière victoire date du 7 février contre Mönchengladbach ( 1- 0). Avec 44 points en Bundesliga, il pointe désormais à la troisième place du classement, à quatre unités du Borussia Dortmund et à vingt- quatre de l’intouchable Bayern Munich.

Edvin Murati Ancien joueur du PSG
« Le Bayer ne lâchera pas »

« J’ai joué en Allemagne (NDLR : en 1998-1999 au Fortuna Düsseldorf) et je sais que les Allemands ne lâcheront pas même s’ils se savent éliminés. C’est dans leur culture, leur état d’esprit. Même à l’entraînement, ils sont à fond et ne rigolent pas, car ils jouent aussi leur place. Chez eux, il y a le système des Einsatz, c’est-à-dire des primes au point. En moyenne, en championnat, un point rapporte 10 000 € à chacun des garçons ayant participé au match, et la victoire 30 000 €. Ils ont presque tous cela dans leur contrat. Les hommes de Sami Hyypiä auront un fort sentiment de revanche. Ils peuvent donc gagner ce retour. Le PSG ne doit pas croire qu’il va encore inscrire quatre buts facilement. »



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Oui, Cavani est heureux à Paris !

À chacun de ses buts, Edinson agite ses index juste à côté de sa tête comme pour dire « c'est fou ! ». Il arbore alors un large sourire bien loin du visage plus fermé affiché quotidiennement. Dans cette attitude discrète et renfermée, certains croient déceler une certaine contrariété. La star de la Celeste ne serait pas heureuse à Paris et aurait des envies d'ailleurs.

Ses proches, en revanche, ne laissent pas planer le moindre doute. « Il est très content à Paris et apprécie la capitale », assure l'un de ses plus proches amis. Même sentiment chez son entraîneur, Laurent Blanc : « Sincèrement, je ne ressens pas de malaise chez Edi. Je discute souvent avec lui, et il se sent heureux ici. » Ces rumeurs sur un spleen éventuel ont aussi été alimentées par ses deux allers-retours en Uruguay, fin décembre et la semaine dernière, pour régler son divorce.

Une revalorisation l'été prochain ?

Sa position sur le terrain, côté droit, fait aussi parler. « C'est un faux débat, tranche Laurent Blanc. Ibra décroche beaucoup pour permettre à Edi de repiquer vers le centre. Il n'y a qu'en phase défensive qu'il joue sur un côté. » L'ex-Palermitain, auteur de 21 buts en 31 matchs cette saison, ne s'en plaint jamais mais, en privé, il se sentirait plus considéré s'il évoluait davantage en attaquant axial.

« Dans le vestiaire, tout se passe bien avec ses partenaires, poursuit son ami. Il n'est en aucun cas en concurrence avec Ibra. Edinson ne cherche pas spécialement la lumière et sait qu'il est dans le club du futur à des conditions salariales exceptionnelles. » « C'est un garçon très sérieux qui accorde la plus grande attention à son corps et à la récupération, confie l'un de ses partenaires. Il est posé, ne fanfaronne pas et reste discret. » L'Urugayen parle peu (et pas encore le français) et n'est pas du genre à se faire remarquer.

En dehors du terrain, il mène une vie paisible avec son demi-frère et son homme de confiance, Beppe Spinosa. Il s'est installé à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) comme Lavezzi, Pastore, Camara et quelques autres. L'ancien Napolitain, grand croyant, sort peu. Il a été aperçu au Market, avenue Matignon ou au Volver, du côté de Saint-Germain-des-Prés, où les Argentins du PSG aiment se retrouver.

Au sommet du PSG, on inscrit l'Uruguayen comme l'une des poutres du projet ultra ambitieux du club, au même titre qu'Ibrahimovic et Thiago Silva. Comme eux, Cavani est intransférable. « Edi est l'un des meilleurs joueurs du monde, c'est un incroyable athlète qui peut marquer n'importe quand et de n'importe où, nous a confié le président du PSG Nasser al-Khelaifi. C'est un vrai combattant. Avec Ibra, ils sont complémentaires, chacun dans leur style. C'est un duo très efficace. »

Les dirigeants parisiens savent se montrer reconnaissants et n'hésitent jamais à prouver leur attachement à un joueur en lui proposant une confortable revalorisation de salaire. Acheté 64 M€ à Naples l'été dernier, le Goleador, qui perçoit déjà 478 000 € net mensuels, sera très probablement augmenté cet été.



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Du rififi dans les cuisines du PSG

AU PSG, quand le roi Ibra se plaint, ce n’est jamais sans conséquence. Il y a quelques semaines, Zlatan Ibrahimovic a critiqué en interne la qualité de la nourriture servie au camp des Loges. Même s’il s’agit d’une nutrition diététique pour sportifs de haut niveau, donc à base d’aliments assez basiques, il l’a jugée répétitive et pas toujours assez fine. Depuis, c’est la révolution dans les cuisines parisiennes. La semaine dernière, une réunion a eu lieu au camp des Loges avec la direction sportive du club et le traiteur Dupont, qui a décroché le contrat de restauration du centre d’entraînement parisien, pour tester et goûter les produits servis aux Parisiens.

Le budget quotidien des repas revu à la hausse

Depuis la sortie du géant suédois, des modifications notables ont été effectuées ou sont en passe de l’être. Le chef cuisinier Stéphane Michon se rend désormais quasi quotidiennement au marché ou chez les commerçants de Saint-Germain-en-Laye pour s’approvisionner en produits frais. Le budget journalier alloué pour les repas des joueurs était de 15 € par personne avant cet accroc. Il devrait être augmenté sensiblement à l’avenir.

Avec la somme autrefois allouée, le traiteur devait payer les produits mais aussi acquitter les frais de personnel. Ils sont cinq à oeuvrer pour le confort et le bien-être du groupe professionnel : le chef, ses deux seconds, la serveuse et le plongeur. A cette liste peut s’ajouter Alexandre Marles, le responsable du département performance, qui concocte avec le chef des menus diététiques.

Par ailleurs, depuis plusieurs semaines, un différend existerait entre le PSG et son restaurateur. Le club demanderait beaucoup à son prestataire, bien plus que ce qui serait prévu dans le contrat.

Le Parisien

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Sans Verratti ni Matuidi

Les deux cadres de l’entrejeu parisien n’ont pas été retenus dans le groupe de Laurent Blanc. À l’inverse de Yohan Cabaye et d’Edinson Cavani, titulaires.


LAURENT BLANC avait prévu de faire tourner son effectif, mais peut-être pas autant. Ces dernières heures, l’entraîneur du PSG a dû faire face à un certain nombre de défections mais il a assuré, hier en conférence de presse, qu’il alignerait «une équipe compétitive » . En dehors de Hervin Ongenda et de Kingsley Coman, retenus avec les moins de 19 ans contre le Real Madrid hier soir en Youth League (voir par ailleurs), plusieurs titulaires habituels seront absents.

Marco Verratti, victime d’un coup sur une cuisse (sans gravité) reçu lundi à l’entraînement, a été ménagé. Grégory Van der Wiel, souffrant de douleurs chroniques au genou droit, a rallié dès hier Munich, où il passera une semaine « afin de suivre un protocole thérapeutique » , a précisé le club de la capitale. Le défenseur international néerlandais s’était déjà rendu en Allemagne, il y a quinze jours, pour consulter dans la clinique du docteur Müller Wohlfahrt, le médecin du Bayern Munich et de l’Allemagne (voir notre édition du 1er mars). Blanc a, de plus, fait le choix de ne pas convoquer Blaise Matuidi, déjà préservé face à Bastia (3-0), samedi (il était entré à la 65e minute).

« Des joueurs auront la possibilité d’avoir un peu plus de temps de jeu» , a commenté l’entraîneur parisien. Yohan Cabaye, titulaire à une seule reprise face à Valenciennes (3-0, le 14 février) depuis son transfert à Paris en janvier, devrait ainsi être associé à Thiago Motta et Adrien Rabiot au milieu de terrain. « Je travaille pour ce genre de matches. J’apprends à trouver des automatismes, mais c’est facile parce que j’évolue avec de grands joueurs» , a confié l’ancien milieu de Newcastle, hier.

D’après la mise en place effectuée à huis clos par le staff parisien, hier en fin d’après-midi, au Camp des Loges, Christophe Jallet devrait faire son retour dans le onze de départ. Opéré du dos début janvier, le latéral droit n’était plus apparu depuis la victoire contre Sochaux en L 1 (5-0, le 7 décembre). Le capitaine Thiago Silva, laissé au repos face à Bastia, devrait retrouver sa place de titulaire aux côtés de Marquinhos et de Lucas Digne.
Edinson Cavani sera aussi de retour. L’attaquant, qui a passé cinq jours en Uruguay la semaine dernière pour régler son divorce, a repris l’entraînement dimanche. Blanc a tenu à démentir le «malaise » Cavani, courtisé par Manchester United et Chelsea (voir notre édition du 27 février). «Moi, je le sens bien, je le vois heureux ici » , a déclaré l’entraîneur parisien. Ibra et Lavezzi (ou Lucas) devraient compléter l’attaque parisienne.



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Sirigu- Jallet, Marquinhos, Thiago Silva, Digne- Cabaye, Motta, Rabiot- Cavani, Zlatan, Lavezzi ou Lucas



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Hyypiä en chute libre

La crise sportive de Leverkusen pourrait être fatale à l’entraîneur finlandais, couvert de louanges il y a encore quelques semaines.


ET SI LA BELLE HISTOIRE d’amour entre Leverkusen et Sami Hyypiä touchait à sa fin ? Quelques jours avant le match aller (0-4), le 18 février, Rudi Völler, le directeur sportif du club allemand, expliquait qu’il adorait le travail de l’entraîneur finlandais (40 ans), inspiré malgré son manque d’expérience, et qu’une prolongation de contrat était en bonne voie… Depuis, les choses ont bien changé. Le Bayer est en pleine crise.

Toutes compétitions confondues, il reste sur cinq défaites et un nul, et il a cédé la deuxième place du Championnat à Dortmund. En Allemagne, le remplacement en fin de saison de l’ancien défenseur de Liverpool (1999-2009), dont le contrat expire en juin, est déjà évoqué. Les dirigeants privilégieraient un technicien plus expérimenté. Armin Veh, qui a annoncé son départ de l’Eintracht Francfort à la fin de la saison, serait le favori.

Hyypiä a cependant un argument à faire valoir : Leverkusen est toujours en course pour se qualifier pour la Ligue des champions, qui était l’objectif affiché en début de saison. Si le club atteignait cet objectif, les dirigeants auraient du mal à justifier un départ d’Hyypiä, l’homme qui a remis le club dans le bon chemin après sa nomination, le 1er avril 2012.

« CE MATCH PEUT NOUS AIDER POUR LE CHAMPIONNAT »

Comment le Finlandais vit-il cette situation ? « C’est une nouvelle expérience pour moi, at-il expliqué, hier, dans l’auditorium du Parc des Princes. J’essaye d’apprendre au quotidien de toutes les situations qui se présentent à moi. Ce qu’on est en train de vivre est difficile. Ce n’est pas facile d’influer sur un match quand tu es sur le banc. Je n’ai pas vraiment changé ma méthode. J’essaie d’apporter de la confiance aux joueurs à travers les entraînements. Le match retour contre le PSG peut nous aider pour nos prochaines rencontres de Championnat.»

Son avenir personnel ne le préoccupe guère : « Je gère tout ça avec une mentalité très positive» , assure-t-il. Ce soir, à l’occasion d’un match où le nom du qualifié ne fait plus beaucoup de doute, Hyypiä composera une équipe sans Emir Spahic, suspendu après son expulsion à l’aller, et pourrait laisser souffler quelques cadres. Lars Bender et Ömer Toprak sont très incertains. En crise de confiance, l’attaquant Stefan Kiessling pourrait prendre place sur le banc au coup d’envoi.



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C’EST DÉJÀ (PRESQUE) ARRIVÉ
Dans l’histoire des Coupes d’Europe, deux équipes battues par quatre buts d’écart à l’aller sont parvenues à renverser la situation au retour mais, à chaque fois, elles l’avaient fait à domicile. Et le score à l’aller n’avait pas été de 0-4.
(huitièmes de finale) Borussia M’Gladbach (ALL) — REAL MADRID (ESP) 5-1 ; 0-4.
(deuxième tour) Queens Park Rangers (ANG) — PARTIZAN BELGRADE (SER) 6-2 ; 0-4.

L'Equipe (incomplet)


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Sarconzie
posté 12/03/2014 10:33
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Gasset, l'ombre qui éclaire.

On n'entend jamais, à l'extérieur, l'adjoint de Laurent Blanc. Dans le quotidien du PSG, Jean-Louis Gasset est pourtant la voix qui porte, explique, pique et taquine. Il ne porte pas les plots, mais il tient les clés.

C'était bien avant la fausse polémique, née des propos de Christian Gourcuff. Jean-Louis Gasset avait tout dit, alors, de son rôle et du binôme qu'il forme avec Laurent Blanc. "Je ne suis pas un adjoint comme les autres" avait lancé l'ancien milieu de terrain de Montpellier (1975-1985) dans un entretien accordé à L'Equipe, le 30 mai 2012, à quelques jours du coup d'envoi de l'Euro ukraino-polonais.
Il avait précisé sa pensée : "Quand Laurent Blanc m'a choisi comme adjoint, lorsqu'il a débuté sur le banc de Bordeaux (2007). Il savait très bien que je n'étais pas un type à qui on demande juste d'arbitrer les petits jeux et délimiter le terrain avec des plots. [...] C'est la méthode de Laurent : il prend du recul, il observe et, moi, j'essaie de faire passer ses idées à travers les séances."
De ce printemps à Clairefontaine à cette fin d'hiver au Camp des Loges, la mécanique du couple Blanc-Gasset cultive les mêmes ressorts, les mêmes tics, à l'image de cet échange systématique, dans la zone technique, juste avant l'heure de jeu. Il y a deux ans, l'adjoint racontait : "Parfois, en match, je souffle une idée à Laurent, comme celle de glisser un joueur rapide devant quand des espaces se libèrent chez l'adversaire. Mais on partage la même idée du jeu : partir de derrière et maîtriser le ballon."

AU PSG, RARES SONT CEUX QUI MANGENT AUTANT DE FOOT QUE "JLG"

Le temps se plaît à étirer les traits de cette union qui vient de loin. "Jean-Louis a vu Laurent débuter comme joueur à ses côtés à Montpellier dans les années 1980, puis il a couvé sa progression comme entraîneur adjoint de ce club, et ce passé commun n'est pas pour rien dans les liens qu'ils entretiennent", souligne Michel Rablat, ancien observateur des adversaires au PSG (2001-2003), devenu un ami proche de Gasset.
"Avec Laurent, il forme un duo très complémentaire, assis sur une confiance mutuelle très forte, confirme Jean-Pierre Bernès ( vahid.gif ), l'agent de l'entraîneur du PSG. Il n'y a pas la moindre faille entre eux. Dans le milieu du foot, tout le monde sait que Jean-Louis occupe ce poste d'adjoint à merveille."
On n'a jamais entendu Laurent Blanc se plaindre de son bras droit. Comme on entendre toujours Luis Fernandez en dire du bien. "Quand un entraîneur a des petits soucis, il est important qu'il ait, à ses côtés, un numéro 2 capable de l'éclairer, de capter des choses qu'il n'a pas forcément vues, explique l'ancien technicien du PSG, qui avait recruté Gasset à Paris, à l'été 2001, L'adjoint ne doit pas être là pour te savonner la planche. Jean-Louis, qui est honnête et sincère, ne te trahira jamais."

DES "GROS LARDS", DES "SCHTROUMPFS", DES "BOUCHERS DU VILLAGE"...

On lui prête une influence importante, parfois relativisée. "Laurent sera toujours le capitaine du bateau", souffle Jean-Pierre Bernès. Un familier du club confirme : "Blanc décide de tout. Gasset peut lui faire part d'un désaccord, mais il respectera toujours ses choix." Des journées à animer des séances, à monter des vidéos au Camp, des soirées à suivre des matches dans son appartement de Saint-Germain-en-Laye : au PSG, rares sont ceux qui mangent autant de foot que "JLG".
A force, il connaît la L1 dans ses moindres recoins, décrypte les manies de pas mal d'entraîneurs adverses. Et peu de détails des équipes espagnoles ou italiennes lui échappent. Son expertise impressionne ceux qui l'ont découvert au PSG cette saison. Avant le match aller à Leverkusen (4-0, le 18 février), c'est lui qui avait alerté Blanc sur les petites fêlures de la défense adverse sur les coups de pied arrêtés.
S'il prend soin de ne pas empiéter sur ce territoire de l'entraîneur principal, il lui arrive de glisser quelques mots lors des causeries d'avant-match, notamment sur le profil de l'adversaire. Et de faire surgir son dialecte coloré, où les "gros lards" peuvent côtoyer les "schtroumpfs" et autres "bouchers du village" pour décrire les opposants du jour.
Jean-Louis Gasset demeure une preuve vivante que le foot se respire aussi à travers les mots. Face aux tauliers étrangers du PSG, qui prennent tout leur temps pour maîtriser le français, la verve sudiste de Gasset peine à trouver la même résonanceque celle qui pouvait décrisper les convoqués à Clairefontaine. "Quand il est revenu à Paris l'été dernier, il a eu un peu de mal au cours des premières semaines à cause de la barrière de la langue", témoigne Michel Rablat.
"Par sa façon de parler, il est toujours arrivé à détendre l'atmosphère, à faire baisser la pression", se souvient Luis Fernandez. Avec cette part d'humour qui sert parfois à appuyer son intransigeance ou à dissimuler ses appréhensions. "C'est un angoissé qui dédramatise, entend-on dans son entourage. Les jours de match, il est plus que stressé. Il enchaîne un nombre incroyable de cigarettes et d'expressos !" Son besoin de créer une étincellepar la parole est une de ses forces majeures. Celle qui lui permet de convertir un joueur à un nouveau positionnement ou de le délester de ses inhibitions.
A Paris, il avait déjà oeuvré en ce sens, suggérant à Nicolas Anelka de se déplacer comme un Michael Owen ou un Robbie Fowler. Il avait surtout convaincu Ronaldinho de s'excentrer pour impulser ses dribbles à partir du côté gauche, où le brésilien subissait des marquages moins mordants que dans l'axe.
Une douzaine d'années plus tard, il trouve chez un Lucas ou un Marco Verratti de nouveaux talents à polir, lui qui adore déceler pour chaque joueur, les détails et les déclics qui l'aideront à aller plus haut. "Son vécu de formateur lui permet de connaître toutes les facettes d'un joueur" estime Michel Rablat.
Il aura connu, aussi, toutes les facettes du métier d'entraîneur. Pour en ressortir avec la certitude qu'il était taillé pour le survêtement d'adjoint. Le poste au-dessus ne lui a jamais réussi. Trop d'exposition médiatique, à ses yeux. "Il marche trop à l'affectif" ont souvent souligné ses proches, pour expliquer ses difficultés comme entraîneur en chef. A soixante ans, Gasset ne changera plus. Il restera cet adjoint qui est bien plus qu'un adjoint.

J.Touboul (avec D. Degorre)


L'Equipe
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Homer
posté 12/03/2014 23:26
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Tranquille comme Paris

Moins facile qu'à l'aller (4-0), le PSG s'est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des champions pour la deuxième année d'affilée à la faveur de sa nouvelle victoire face au Bayer Leverkusen (2-1), mercredi soir.

Paris n’a pas retrouvé l’éclat de sa soirée à la BayArena. Après sa démonstration en Allemagne (4-0), le 18 février dernier, il n’en avait pas besoin pour valider sa qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions. Mais sa victoire étriquée obtenue mercredi soir face aux joueurs de Sami Hyypiä (2-1) est venue rappeler combien sa marge de manœuvre reste limitée dès qu’il se prive de plusieurs de ses titulaires habituels. Sans son trio Verratti-Motta-Matuidi, le club de la capitale n’a affiché ni la même maîtrise, ni la même efficacité qu’à aller. Avec un matelas de quatre buts au coup d’envoi, son avance était toutefois suffisamment confortable pour lui éviter de trembler.

Septième but sur corner en Ligue des champions

En ouvrant le score dès la 6e minute sur une tête de Sam, le Bayer s’est pourtant évertué à faire renaître le peu de l’espoir qui lui restait. Mais l’actuel 3e de Bundesliga n’a pas mené au score suffisamment longtemps pour semer le moindre doute dans la tête de Thiago Silva et de ses équipiers. Après un face à face perdu par Ibrahimovic devant Leno (12e), Marquinhos a profité du corner consécutif à cette action pour confirmer à quel point les Parisiens sont redoutables sur ces phases de jeu (13e). Depuis le début de la compétition, le PSG a inscrit sept buts sur corner. Aucune autre équipe n’a fait mieux.

Cinquième but en cinq matches pour Lavezzi

Dangereux, mais pas en réussite à l’image d’une frappe sur la transversale d’Ibra (18e), d’un sauvetage de Leno devant Cavani (38e) ou encore d’une tentative de Pastore repoussée par le portier allemand (85e). Mais le PSG est resté sous la menace du Bayer. Sirigu a sorti un penalty de Rolfes (28e) sanctionné pour un tirage de maillot de Jallet. Le portier parisien s’est également employé en deuxième période (55e, 58e, 66e), mais le PSG menait déjà 2-1 grâce à une nouvelle réalisation de Lavezzi (53e), auteur de son cinquième en cinq matches toutes compétitions confondues. En supériorité numérique après l’expulsion de Can, averti une deuxième fois pour simulation (68e), le PSG a pu tranquillement ménager ses forces en prévision du choc face à Saint-Etienne, dimanche (Lavezzi est sorti à la 63e, Ibrahimovic à la 72e). Pour la deuxième année d’affilée, il regoûtera au parfum de la C1 au mois d’avril. Cela valait bien les «Merci Paris» entonnés par le Parc des Princes quelques minutes avant le coup de sifflet final.


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Incidents à Paris (Odéon) entre hooligans parisiens et allemands

Environ quatre-vingt hooligans parisiens et allemands (une quarantaine de chaque côté) se sont affrontés, ce mercredi après-midi, à Paris, dans le quartier de l’Odéon. Des bagarres auraient également éclaté dans la station de métro Odéon. Ces affrontements ont fait quelques blessés légers. Arrivée rapidement sur place, la police a procédé à onze interpellations.

Par ailleurs, pour manifester leur mécontentement après que leurs cars ont été contrôlés par la police, les ultras de Leverkusen ont boycotté le coup d’envoi de la rencontre face au PSG et ne sont entrés dans leur parcage qu’à la septième minute, juste après l’ouverture du score de Sam (6e).


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Nasser al-Khelaïfi annonce que Laurent Blanc va prolonger

Dans la foulée de la victoire du PSG contre Leverkusen (2-1), mercredi au Parc des Princes, qui a validé la qualification du club pour les quarts de finale de la Ligue des champions après son large succès à l'aller (4-0), Nasser al-Khelaïfi a annoncé au micro de Canal + que Laurent Blanc allait prolonger son contrat. «Oui, il va rester avec nous. Il va prolonger.»

L'ancien sélectionneur des Bleus est lié à Paris jusqu'en 2015, mais la deuxième année de son contrat, signé l'été dernier au moment de son arrivée, apparaissait en "suspens".


L'Equipe.fr


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Homer
posté 12/03/2014 23:41
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Paris gagne aussi la revanche

Sans surprise et sans grande frayeur le Paris Saint-Germain bat le Bayer 04 Leverkusen (2-1) et se hisse en quart de finale de l'UEFA Champions League.

Après son écrasant succès au match aller face au Bayer 04 Leverkusen (4-0) le 18 février dernier, il fallait un véritable scénario catastrophe ce mercredi pour que le PSG ne valide pas son ticket pour les quarts de finale de l'UEFA Champions League. Sur cinquante-six précédents depuis la saison 1970-1971, toutes Coupes d’Europe confondues, aucune équipe n’avait jamais été éliminée après s’être imposée sur un tel score.

Quasiment dépourvu de tout suspense, ce match retour a donc permis aux Parisiens de faire ce qu'ils savent faire de mieux : gagner. Mais pour une fois, ce ne fut pas simple pour le leader incontesté de la Ligue 1, qui a peut-être livré l'un de ses pires matches de la saison sur la plan technique, multipliant les passes ratées et autres approximations, notamment en première période.

Dès les premières secondes, les Allemands, bien obligés de croire au miracle, avaient décidé de mettre la pression sur la défense parisienne. À la 4e minute, Can obligeait Sirigu à détourner en corner un tir vicieux de 25 mètres. Deux minutes plus tard, c'est Sam qui douchait le Parc des Princes en ouvrant le score d'une tête puissante à bout portant, sur un excellent centre de Donati consécutif à un raid de Rolfes côté gauche.

Sans Gregory van der Wiel, Blaise Matuidi ni Marco Verratti, laissés au repos par le coach, mais avec Yohan Cabaye, qui fêtait sa toute première titularisation en avec Paris, les Franciliens réagissaient à la 13e minute par l'inévitable Zlatan Ibrahimović, auteur cette saison de 39 buts en 32 matches (toutes compétitions confondues). Lancé sur la droite, l'international suédois butait sur Leno mais obtenait un corner. Ce dernier était tiré par Cabaye et transformé en but par le jeune Marquinhos, d'une tête rageuse. Rassuré par l'égalisation du Brésilien, le PSG était ensuite à deux doigts de prendre l'avantage. Idéalement servi par Edinson Cavani, Ibra voyait sa superbe balle piquée rebondir sur la barre de Leno. Peu avant la demi-heure de jeu, Salvatore Sirigu faisait vibrer le Parc des Princes en stoppant un penalty de Simon Rolfes, suite à une faute de Christophe Jallet sur Eren Derdiyok dans la surface.

Approximatifs dans leurs transmissions, les Parisiens réussissaient tout de même à se créer les occasions les plus nettes de la fin de la première période : par Cavani à la 38e minute, puis par Adrien Rabiot à la 43e. Au retour des vestiaires, les Allemands ont évidemment tenté le tout pour le tout pour revenir à la marque. En vain. À la 53e minute, sur son premier centre réussi de la soirée, Lucas Digne trouvait Ezequiel Lavezzi à l'entrée de la surface. Sans contrôle, l'international argentin ne manquait pas le cadre et donnait l'avantage à ses coéquipiers. Dans la foulée, Leverkusen réagissait sur un bon tir de Gonzalo Castro détourné en corner par un Sirigu des grands soirs. Par deux fois (58e et 64e), le portier parisien remettait ensuite le couvert en repoussant deux nouvelles frappes de Castro et Derdiyok.

À sens unique, le dernier quart d'heure a permis à Laurent Blanc de faire souffler Ibrahimović, sorti sous les ovations du public, et à Pastore, idéalement servi par Jérémy Ménez, de donner encore un peu de travail à Bernd Leno (84e). Troisième de Bundesliga, Leverkusen a confirmé ses grandes difficultés en ce début d'année 2014. En 10 matches, les Allemands ont perdu 7 fois et encaissé 18 buts. Les champions de France peuvent quant à eux avoir le sourire après cette deuxième qualification consécutive pour les quarts de finale. Ils viennent d'enchaîner un 28e match sans défaite à domicile en compétition européenne et semblent clairement armés pour tenter d'accrocher une place dans le dernier carré de cette UEFA Champions League. Voire plus si affinités...


UEFA.FR


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Varino
posté 13/03/2014 10:26
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Paris, la promenade du mercredi

Le PSG s’est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des champions sans puiser dans ses ressources : plusieurs titulaires ont été ménagés et ceux qui ont joué n’ont pas forcé.


LA COMPÉTITION censée s’avérer la plus exigeante pour le Paris-SG cette saison a ressemblé, hier, à une longue promenade de milieu de semaine au cours de laquelle ni les corps ni le mental n’ont réellement souffert d’un rythme trop soutenu. Hormis durant sept minutes, celles pendant lesquelles le Bayer Leverkusen a mené au score, le PSG a traversé ce huitième de finale retour comme un baron qui part à la chasse avec la certitude de rentrer les mains pleines. Même privé de Maxwell, Alex, Van der Wiel, Thiago Motta, Verratti et Matuidi, soit 55 % de son onze habituel, ce Paris-là n’a jamais eu à forcer pour éliminer l’actuel troisième de la Bundesliga au début d’année 2014 calamiteux et dont le retard lors du match aller (0-4, le 18 février) s’est avéré irrémédiable.

Un but de la tête de Marquinhos sur un corner de Cabaye (1-1, 13e) pour égaliser après l’ouverture du score de Sam (0-1, 6e), un autre de Lavezzi à la suite d’un débordement de Digne côté gauche (2-1, 53e), et le Bayer pouvait se pencher sur son déplacement, ce week-end, sur la pelouse du Bayern Munich, qui n’augure pas grand-chose de souriant vu la qualité du jeu proposé depuis plusieurs semaines. Peut-être que les Allemands y auraient cru davantage, hier, si Rolfes avait transformé le penalty accordé à la 27e minute, après un tirage de maillot de Jallet sur Derdiyok dans la surface de réparation. Mais Sirigu, dans un grand soir, l’a détourné (28e).

LES REMPLAÇANTS N’ONT PAS MARQUÉ DE POINTS

Le gardien italien, auteur de quelques arrêts importants (voir par ailleurs), fut d’ailleurs la principale satisfaction de la soirée parisienne avec Lavezzi qui a définitivement retenu le message de Laurent Blanc. Plusieurs de leurs coéquipiers alignés avaient également l’occasion de démontrer qu’ils mériteraient un peu plus de temps de jeu, mais tous ne l’ont pas saisie de la même façon. Retourné à Munich pour soigner un genou douloureux, Van der Wiel n’a pas dû frémir à la perspective de la concurrence que va lui livrer Jallet, s’il reste sur le même rythme, au cours des prochains jours. Même s’il n’avait joué qu’une petite heure avec la réserve parisienne en deux mois, le latéral droit français n’a pas offert de vraies garanties à son entraîneur et dimanche prochain, contre Saint-Étienne, finalement le rendez-vous le plus important de la semaine parisienne, le Néerlandais devrait retrouver une place de titulaire.

De la même manière, Rabiot, qui enchaînait une deuxième titularisation de suite, a montré que, s’il a du potentiel, il a surtout, pour le moment, une immense marge de progression avant d’atteindre le niveau de Verratti. Pour Digne et Cabaye, la soirée fut un peu plus agréable. Tous les deux ont été passeurs décisifs, le premier sur un centre, le second sur corner – le PSG a ainsi marqué cette saison son trente-septième but sur coup de pied arrêté toutes compétitions confondues (sur un total de 104) –, mais tous les deux doivent encore faire plus s’ils veulent s’installer plus durablement dans le onze de départ parisien.

Il faut avouer que l’opposition allemande, hier soir, n’a pas vraiment incité à un dépassement de soi, surtout en seconde période. Même s’ils se sont procuré quelques situations de tir (55e, 58e, 66e), les joueurs de Leverkusen ont vite étalé leur résignation. Même les titulaires habituels à Paris sont tombés dans une forme de torpeur assez rare chez eux pour être soulignée. Entre Thiago Silva, peu concentré sur certaines relances ou qui sort, en début de match, pour exercer un pressing surprenant sur la défense adverse, et Cavani qui ne suit pas sa frappe relâchée par Leno (38e) et préfère baisser la tête, toutes les attitudes n’ont pas été… habituelles, comme si le manque de suspense sur cette confrontation aller-retour n’aiguisait pas l’appétit parisien. Même Ibrahimovic a quitté la soirée avec un goût amer. Pour la première fois depuis le déplacement à Monaco (1-1, le 9 février), il n’a été impliqué sur aucun but de son équipe, que ce soit à la passe ou à la finition. Il serait surprenant que le Suédois apprécie. Et surtout qu’il s’y habitue.



Citation
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MARQUINHOS, AUTEUR DE SON TROISIÈME BUT EN LIGUE DES CHAMPIONS, HIER,
est le défenseur le plus prolifique de la compétition cette saison.

LAURENT BLANC SERA AU PARIS-SG LA SAISON PROCHAINE
NASSER AL-KHELAÏFI, le président du PSG, hier soir au micro de Canal +. Un peu plus tard, le dirigeant a précisé que les négociations concernant une prolongation de l’entraîneur parisien (48 ans, sous contrat jusqu’au 30 juin 2015), n’avaient pas encore abouti, mais « j’espère qu’elle seront conclues rapidement». Dans l’entourage de Blanc, on confirme qu’après avoir été, un temps, interrompues, les discussions ont repris récemment.



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Lavezzi a tout compris

Alors que son entraîneur lui reprochait son manque d’efficacité, l’attaquant argentin a marqué trois buts en deux matches.


LAVEZZI (7) : Laurent Blanc, son entraîneur, lui reprochait son manque d’efficacité. L’attaquant argentin a prouvé qu’il était en grand progrès dans ce domaine. Auteur d’un doublé face à Bastia (3-0), samedi en L 1, il a marqué hier d’une reprise du droit imparable sur une passe en retrait de Digne (2-1, 53e).

SIRIGU (8) : le gardien italien n’a rien pu faire sur la tête de Sam (0-1, 6e) mais a réalisé un arrêt décisif sur le penalty de Rolfes (28e). Il s’est aussi bien détendu sur une frappe dangereuse de Can (3e) et bien opposé sur une frappe de Donati (55e).
JALLET (4) : pour son retour, le latéral a connu une première période difficile. Passif sur la tête de Sam (0-1, 6e), il a écopé d’un carton jaune pour un tirage de maillot dans la surface sur Derdiyok sanctionné d’un penalty (27e).
MARQUINHOS (6) : sa perte de balle est à l’origine de l’ouverture du score allemande (6e). Mais le jeune défenseur brésilien (19 ans) a su réagir en égalisant grâce à une tête puissante sur corner (1-1, 13e).
THIAGO SILVA (5) : le capitaine a parfois joué trop facile ou sur le fil du rasoir, en première période. Mais il s’est repris en seconde.
DIGNE (7) : le latéral gauche a répondu présent en défense. Son apport offensif dans les couloirs a aussi pesé, à l’image de sa passe en retrait décisive pour Lavezzi (2-1, 53e).

PASTORE (6) : le milieu argentin s’est montré plutôt dynamique. Un jeu dans les intervalles intéressant et des efforts défensifs à la récupération et au pressing, ce qui n’est généralement pas son fort. À son actif, aussi, un tir puissant repoussé par Leno (84e).
CABAYE (6) : l’international français a globalement tenu sa place et a adressé un corner décisif pour la tête de Marquinhos (1-1, 13e). Mais il a parfois fait preuve d’une relative lenteur dans ses transmissions.
RABIOT (5) : le jeune milieu (18 ans), la cuisse droite bandée, a manqué d’impact et d’allant à la récupération. Mais il s’est créé une opportunité de la tête (90e + 3).

CAVANI (5) : l’attaquant uruguayen s’est montré discret, en dehors d’une passe pour Ibra (18e) et d’une frappe repoussée par Leno (38e). Remplacé par CAMARA (85e).
IBRAHIMOVIC (5) : la star suédoise a joué sans forcer. Il s’est illustré par deux tirs dangereux repoussés par le gardien allemand puis par la transversale (12e, 18e). Mais il a aussi manqué sa cible (64e) et perdu des ballons. Remplacé par MÉNEZ (72e), dont l’entrée en jeu, sous les sifflets du Parc des Princes, fut neutre, hormis un bon décalage pour Pastore (84e).
LAVEZZI (7) : voir ci-dessus.



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Avec Sirigu, le suspense s’éteint

En détournant un penalty et en sortant plusieurs arrêts de classe, le gardien italien du Paris-SG a été une figure décisive de ce match retour.


LA QUESTION se pose encore de savoir si Salvatore Sirigu intégrera un jour la caste des gardiens de classe mondiale. À l’heure où il reste la doublure de Gianluigi Buffon en équipe d’Italie, la Ligue des champions reste le meilleur moyen d’évaluer l’ancien rempart de Palerme, en passe de boucler sa troisième saison au PSG.

Malgré la défaite, un déplacement à Porto (0-1, le 3 octobre 2012) avait déjà permis d’entrevoir sa capacité à influer sur des rendez-vous européens. Le nouvel affrontement contre Leverkusen, hier soir, est à inscrire également dans la colonne des matches accomplis du Sarde (27 ans), en attendant de le jauger, au tour suivant, contre des opposants plus volumineux que ce rival allemand qui lui avait fichu une paix royale à l’aller (4-0, le 18 février).

UNE MARGE DE PROGRESSION DANS LES RELANCES AU PIED

Trois minutes après avoir détourné sur sa gauche une frappe lointaine d’Emre Can (3e), Sirigu a pourtant pu croire un instant que la menace d’un improbable renversement de situation était venue hanter sa surface de réparation. En observant Sidney Sam marquer de la tête, au second poteau, sur un centre de Giulio Donati (0-1, 6e), le gardien italien – difficile à incriminer sur cette action – a vu se diffuser un léger brouillard au-dessus du Parc.

Au cours d’une première période qui fut celle d’un Paris éloigné de ses standards techniques habituels, avec beaucoup de ballons perdus au milieu et quelques flottements dans les relances, le no 30 du PSG aura été une balise fiable. En détournant le penalty de Simon Rolfes, le capitaine du Bayer (28e), Sirigu a repoussé l’ombre d’une nouvelle contrariété au score, même s’il aurait encore manqué trois buts aux Allemands pour boucler un exploit inimaginable.

Depuis qu’il porte ses gants en France, c’était la dixième fois que l’Italien devait se frotter à l’exercice du penalty, entre le Championnat et la Ligue des champions. Hier, il est parvenu pour la deuxième fois à mettre en échec le tireur adverse, près d’un an et demi après avoir repoussé la tentative du Rémois Diego, le 20 octobre 2012 (1-0). Il en a encaissé sept. Et le dernier penalty qu’il a eu à gérer n’a pas été cadré. Dans le sillage de cet arrêt crucial de la 28e minute, Sirigu a capté avec détermination le ballon aérien venu du corner obtenu par les Allemands, côté droit. Cette autorité dans les airs n’est jamais neutre, surtout pour un gardien dont certaines insuffisances dans ce domaine ont été plusieurs fois perceptibles. Sa marge de progression est aussi à chercher dans les relances au pied, un domaine où il n’a pas forcément tutoyé l’excellence, hier soir.

La qualité majeure de ce gardien se situe toujours dans ses réflexes près de sa ligne. Sa détente sur une frappe croisée de Donati dans la surface, à la 55e minute, dessina un instant de classe. Trois minutes plus tard, en repoussant un tir beaucoup plus lointain de Gonzalo Castro, Sirigu a confirmé qu’il était d’humeur à signer un match presque parfait. Un match qui l’aura vu briller plus que la plupart des joueurs de champ du PSG. Reste à voir, au tour suivant, s’il a franchi un cap cette saison face aux géants du continent.



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« Je m’attendais à autre chose »

LAURENTBLANC, l’entraîneur parisien, ne masquait pas sa déception quant à la performance générale de son équipe, en dépit de la victoire et de la qualification en quarts de finale.


« SUR CANAL +, votre président Nasser al-Khelaïfi a déclaré que vous seriez toujours l’entraîneur du Paris-SG la saison prochaine. Qu’en est-il exactement ?
– Je ne m’attendais pas à cette question… Je m’attendais à ce qu’on parle du match ! J’espère que ses propos vont se vérifier dans les prochaines semaines. Que dire de plus ?

Comment expliquez-vous le mauvais début de match de votre équipe ?
– On peut le mettre sur le manque d’expérience et peut-être de préparation... Pourtant, on avait bien travaillé. On n’a rien changé à nos habitudes. Le début de match a été médiocre mais, paradoxalement, le but du Bayer nous a réveillés. Derrière, on a su enchaîner, nous procurer quelques occasions et en mettre une. Malgré tout, le PSG n’a pas fait un grand match. Je m’attendais à un peu plus de la part de mon équipe, mais on va passer à autre chose rapidement et notamment la venue de Saint-Étienne, dimanche soir.

En menant 4-0 avant le coup d’envoi, un relâchement général n’est-il pas naturel ?
– On a beau dire aux joueurs pendant la préparation de faire abstraction du match aller, il y a ce matelas confortable qui trotte dans l’inconscient. Pour autant, il y avait, ce soir (hier), des joueurs en manque de temps de jeu, qui disputaient un match de Ligue des champions et je m’attendais à autre chose. Après, je ne vais pas faire la fine bouche. Ce groupe donne tellement satisfaction depuis le début de la saison.

L’objectif des quarts de finale est désormais atteint, comment envisagez-vous la suite de la saison ?
– Les choses sérieuses vont commencer et la motivation des joueurs sera là. On est en passe de faire une très très bonne saison mais à la fin, ce qui compte, ce sont les trophées : Championnat, Coupe de la Ligue et aller le plus loin possible en Ligue des champions, sachant que quand on dit : “aller le plus loin possible”, comprenez qu’il n’y a pas de limite ! La considération que les adversaires ont pour Paris est en train d’augmenter. Le PSG est considéré comme un club qui peut aller très loin. Alors, je ne sais pas si ce sont des effets d’annonce mais on est en quarts de finale de la C 1, on sait les efforts que l’on a déjà accomplis pour y arriver et on fera tout ce qu’il faut pour aller encore plus loin.»



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HYYPIÄ : « PARIS PEUT ALLER TRÈS LOIN »

Sami HYYPIÄ « ( entraîneur du Bayer Leverkusen) :
J’ai plusieurs sentiments après cette rencontre. Évidemment, on a toujours envie de gagner, c’est dommage de ne pas avoir obtenu un match nul, mais je suis fier de la performance de notre équipe. On a bien joué en première période, on a récupéré un peu de confiance avant la rencontre de samedi qui sera très importante pour nous, face au Bayern Munich. On a été meilleurs en défense, les joueurs ont beaucoup couru et se sont battus. On a également joué plus simple et plus vite, notamment en première période. Malheureusement, le PSG a su profiter de nos erreurs. Si nous montrons le même visage face à Munich, nous pourrons les contrarier. Paris est une très bonne équipe, elle peut aller très loin en Ligue des champions, même s’il y a d’autres très grandes équipes. R. B.

Thiago SILVA ( Paris-SG) : J’ai le pressentiment qu’on va encore croiser Barcelone en quarts de finale, mais j’espère que cette fois le scénario sera différent (Il sourit). Je pense qu’on joue mieux que la saison dernière. Si je compte retourner à Milan un jour ? Je ne sais pas de quoi l’avenir est fait. J’ai un contrat ici qui est encore long (jusqu’en 2018). J’espère rester ici jusqu’à cette échéance, mais il est vrai que Milan est toujours dans mon coeur. Ce que j’espère absolument, c’est gagner la Ligue des champions avec le PSG . J.T.

Salvatore SIRIGU (Paris-SG) : « J’ai fait une belle performance, mais c’est avant tout un résultat collectif. Le penalty ? C’est autant de l’instinct que de la chance. »

L'Equipe


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Homer
posté 13/03/2014 11:59
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Paris a fait le nécessaire

Six à un en deux parties et trois semaines d'intervalle. Le PSG a détruit dans les grandes largeurs le Bayer Leverkusen des 8es de finale de la Ligue des champions, en réduisant la formation allemande en cocotte en papier. En confirmant sa supériorité du match aller, Paris, mené, obligé de s’employer pour arrêter un penalty, s’est simplement hissé au rang des grandes équipes qui savent recevoir pour mieux sortir son adversaire. Comme le Bayern, l’Atlético Madrid ou Barcelone qui, eux non plus, n’ont laissé aucune chance, aucun espoir à Arsenal, l’AC Milan ou Manchester City. Le club de la capitale n’est pas seulement grand dans ses slogans, il l’est aussi dans sa gestion des événements majeurs de la saison.

Scénario idéal

C’était finalement le scénario idéal. L’ouverture rapide du score par les Allemands, presque aussi rapide que celle des Parisiens à la BayArena, a offert un formidable match de football, non pas en remettant du suspense là où il n’y en avait plus, mais en piquant les hommes de Laurent Blanc. Ceux-là en ont eu besoin pour se créer une motivation qui n’est pas venue naturellement et c’est bien normal après le résultat de l’aller (victoire 4-0).

L’orgueil est un ressort banal du sportif et le PSG s’est remis aussitôt dans le bain, déroulant à nouveau son football, assurément l’un des meilleurs d'Europe, même si les 8es de finale aller et un peu retour ont d’ores et déjà établi que le Bayern Munich et le Real Madrid semblent encore au-dessus.

Un quart forcément piquant

Alors, bien sûr, le PSG n’a pas montré sa domination habituelle, n’a pas affiché un taux de possession dans les standards maison, quelques remplaçants comme Rabiot ont connu un mal fou à se mettre dans le rythme mais, malgré toutes ces imperfections, le grand Paris a encore donné le tournis à son adversaire. Et enchaîné quelques phases de jeu encore lumineuses.

Au fond, le PSG a respecté les codes de la Ligue des champions, l’appétit d’un Parc plein et la gourmandise de son diffuseur. C’est aussi ça une grande équipe, se montrer ponctuel au rendez-vous du spectacle, même un soir où cela ne compte pas.

L’autre histoire de ce match concerne les joueurs en souffrance, ceux que l’on voit moins. Certains ont plus marqué de points que d’autres, comme Marquinhos, Cabaye et Digne, ces deux derniers rendant aussi par ricochets la confiance que le sélectionneur national, Didier Deschamps, place en eux en vue de la Coupe du monde au Brésil. Cabaye, Digne, c’est franchement du haut niveau, en tout cas du niveau Ligue des champions. Ça tombe bien : elle revient en avril pour un quart de finale forcément volcanique.


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Jallet : « On a franchi un palier »

Il n'avait plus joué depuis PSG - Sochaux (5-0) le 7 décembre dernier. Si tout n'a pas été parfait dans le jeu de Christophe Jallet, son analyse d'après-match reste toujours aussi pertinente.

Comment s'est passé votre grand retour ?

Christophe Jallet. Cela fait plaisir de partager des grands moments avec les coéquipiers et de retrouver des sensations. J'avais envie de me mêler à la fête. C'est une soirée plutôt positive même si on aurait aimé que le spectacle soit de meilleure qualité en première période. Mais on a eu pas mal de déchet technique dans notre jeu. C'est une qualification acquise sur les deux matchs avec deux victoires même si celle-ci a été compliquée.

Comment avez-vous vécu votre longue absence ?

Le terrain m'a manqué. Plus de trois mois que je n'avais pas disputé 90 minutes, j'attendais ça avec impatience, même si je manque forcément de rythme. C'est en enchaînant les matchs que je vais le retrouver. Les sensations reviennent.

Trouvez-vous que le PSG a encore progressé pendant votre absence ?

La prestation de l'aller en Ligue des champions l'a montré à tout le monde. On sait que l'on peut faire de grandes choses. On l'a prouvé la saison dernière en quart contre Barcelone. Il y a une autre attente maintenant, et il va falloir assumer ce statut d'équipe très, très forte. J'ai vu cela de loin et ça donnait envie d'y goûter.

Avez-vous des souhaits pour le quart de finale ?

Non, on va attendre de voir les équipes qui se qualifient. Mais à la vue des matchs allers, il n'y aura que des gros. Je n'ai pas de préférence, il y a peut-être juste un ou deux adversaires à éviter. C'est le résultat qui le dira. La saison passée on était en attente de l'adversaire, on l'est moins cette année. On a l'espoir de faire mieux.

Le PSG est-il plus fort cette année ?

Je ne sais pas mais les résultats montrent qu'on a franchi un palier. Après les quarts, ce sont les 8 meilleures équipes qui s'affrontent, ce sera difficile quoi qu'il arrive. On fait partie des très bonnes équipes européennes. Depuis trois ans on progresse, l'an dernier ce n'était pas un accident.


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Thiago Silva veut retrouver le Barça

Les joueurs parisiens ont quitté le Parc des Princes avec le sentiment du devoir accompli. Chahutés par Leverkusen, Cabaye et les siens ont su inverser la tendance pour se positionner comme un outsider crédible dans la plus prestigieuse des compétitions de club. « Notre première mi-temps a été compliquée, reconnaît Salvatore Sirigu. Peut-être qu'on a un peu lâché au niveau mental après le match aller. On a voulu jouer trop tranquillement. Cela montre que si les matchs faciles n'existent pas dans le foot, c'est particulièrement vrai en Ligue des Champions. »

Nasser al-Khelaifi, de son côté, préférait insister sur la deuxième qualification de suite pour les quarts de finale. De quoi faire entrer Paris dans le gotha du foot européen.

Les quarts de finale, objectif « minimum » d'Al-Khelaifi

« Je suis très fier du travail qu'on a effectué depuis deux ans et demi, sourit le président parisien. Je suis très heureux mais les quarts de finale, c'était le minimum. Maintenant, on peut voir plus loin. » Si Lucas avouait « être impatient de connaître le tirage », aucun joueur ne voulait se lancer dans le petit jeu des préférences pour le prochain adversaire.

« On est conscient de nos qualités mais il ne reste que des grosses équipes », lâche Lucas Digne. « Espérer un adversaire, cela porte la poisse, estime Sirigu. A ce niveau, toutes les équipes se sentent fortes, pensent pouvoir aller en finale et la gagner. »

« J'aurais bien retrouvé mon ancien club du Milan AC, mais ils ont été éliminés, sourit le capitaine Thiago Silva. Nous sommes plus forts que la saison dernière. Et quoi qu'il arrive, on se prépare à une double confrontation très difficile. Mais contre une grosse équipe, on sera plus concentrés. Ce serait pas mal de tomber de nouveau contre Barcelone pour prendre notre revanche. Mais il faudra que le résultat s'inverse cette fois-ci. »


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Edwin Murati : « Un match amical pour le PSG »
Ancien joueur du PSG

« Heureusement que le PSG a égalisé très vite après l'ouverture du score allemande. Car sans cette égalisation, avec le penalty ça aurait pu faire 2-0, et là les Parisiens auraient vraiment pu douter. Mais à partir du moment où ils ont rattrapé le coup tout de suite, le Bayer Leverkusen n'avait pas le niveau. Il n'y a pas dans cette équipe de joueurs capables de faire basculer une rencontre de cette importance. Ils se battent et sont courageux mais c'est tout. Au final, ça a été un match amical pour le PSG. »


Le Parisien.fr


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Varino
posté 14/03/2014 07:23
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Digne devra encore attendre

Souvent performant quand Laurent Blanc l’aligne, le nouvel international français ne devrait pourtant pas déloger Maxwell, incontournable au PSG cette saison.


SI CERTAINS joueurs peuvent éprouver des difficultés à digérer leur première sélection en équipe de France et le changement de statut qui en découle, ce n’est pas le cas de Lucas Digne. Titularisé mercredi, en huitièmes de finale retour de la Ligue des champions, avec le PSG contre Leverkusen (2-1), le latéral gauche de vingt ans a surfé sur la dynamique sportive qui avait convaincu Didier Deschamps de le convoquer chez les Bleus contre les Pays-Bas (2-0, le 5 mars).

Solide défensivement, passeur décisif (pour Lavezzi, 53e), disponible dans son couloir, Digne a confirmé qu’il pouvait être un peu plus qu’un simple recours lorsque Laurent Blanc souhaite ménager Maxwell. Depuis le début de 2014, que ce soit dans sa rigueur défensive ou son apport offensif, l’ancien Lillois suit une courbe de progression qui contraste avec la sensation d’irrégularité que renvoient les dernières performances de Maxwell (32 ans). Intouchable sportivement sur la première partie de saison, au point d’être convoqué pour la première fois de sa carrière en équipe du Brésil, le titulaire du poste n’a plus affiché la même sérénité après la trêve de Noël. Pourtant, au moment d’établir son onze type pour les rendez-vous importants, comme celui contre SaintÉtienne, dimanche, Blanc n’hésitera pas. L’entraîneur parisien pourra invoquer des arguments imparables en faveur du Brésilien : une plus grande expérience, son côté plus décisif, une plus grande complicité avec Matuidi et Lavezzi, les deux autres « membres » du côté gauche, qu’il côtoie depuis plus longtemps. Mais surtout , Maxwell a une proximité relationnelle avec Ibrahimovic qui le protège des coups durs, même s’il est moins tranchant, comme à Toulouse (4-2, le 23 février), ou moins concentré, comme à Monaco (1-1, le 9 février).

Pour préserver l’équilibre du vestiaire, dans lequel Ibra est roi, Blanc sait qu’il ne peut pas prendre de décision aussi radicale sans justification sportive implacable. Il faudrait que l’ancien Barcelonais (2009-janv. 2012) multiplie les erreurs lourdes de conséquences – ce qui est loin d’être le cas – pour offrir à Digne une chance de s’« incruster » dans la durée. À valeur égale, Maxwell sera toujours l’option numéro 1. Le néo-international français (sous contrat jusqu’en 2018) le sait, ce qui pourrait l’amener, en fin de saison, à considérer son avenir ailleurs qu’à Paris, qu’il a rejoint l’été dernier pour 15 M€. Mais, pour l’instant, ce n’est pas le cas, a t-il assuré lors du rassemblement des Bleus : «Je ne me pose pas la question de partir du PSG. C’est l’un des plus grands clubs du monde.»

L'Equipe


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Kaionedirection
posté 14/03/2014 08:03
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Le PSG a été convoqué par l'UEFA

L'audition s'est tenue vendredi, en toute discrétion, au siège de l'UEFA en Suisse. Signe que l'événement était d'importance, Nasser al-Khelaifi et Jean-Claude Blanc, respectivement président et directeur général du PSG, avaient fait le déplacement en compagnie d'une équipe d'avocats. Face à eux, les huit membres de la chambre d'instruction de l'instance de contrôle financier des clubs de l'UEFA (ICFC), dont le Français Yves Wehrli.

Au coeur des discussions, le fameux contrat d'image signé pendant l'été 2012 entre le PSG et la Qatar Tourism Authority (QTA), l'office de tourisme qatarien. Ce contrat rapporte cette saison environ 200 MEUR (sans compter des bonus en fonction du parcours en Ligue des champions) et permet au PSG de contenir son déficit dans la fourchette des 45 MEUR autorisée par le règlement du fair-play financier. En contrepartie, le club parisien est censé promouvoir l'image du Qatar comme destination touristique, en France et à l'international.

L'instruction suit son cours

Bien que les différentes sources de revenus se développent à grande vitesse à Paris, cette manne financière reste le principal moteur de la croissance économique et sportive du club de la capitale. Sans équivalent connu sur la planète foot, il suscite les jalousies de bien des concurrents sportifs du PSG... et le scepticisme des experts de l'ICFC.

Après une première audition fin novembre, puis un audit mené par le cabinet Deloitte au siège du club en janvier, la pression est ainsi montée d'un cran la semaine dernière au travers de cette convocation. Ce traitement, « réservé aux clubs qui posent problème » selon les termes d'une source de l'UEFA, ne concerne pas uniquement le PSG. D'autres grands clubs européens auraient fait eux aussi l'objet d'une convocation. Manchester City et Chelsea figureraient notamment sur la liste. Sur le dossier parisien, les membres de la chambre d'instruction ont ciblé leurs questions sur les liens entre Qatar Sports Investments (QSI, propriétaire du PSG) et QTA, ainsi que sur les conditions de leur rapprochement. Au nom de quelle stratégie ces deux entités qui partagent le même actionnaire ultime, à savoir l'Etat du Qatar, ont-elles scellé leur accord ? Et, surtout, comment le montant des contrats a-t-il été fixé ?

De leur côté, les dirigeants parisiens, s'appuyant sur une lecture très pointue du règlement, ont contesté l'idée que QSI et QTA soient des parties liées. Partant de là, le montant de la transaction n'a pu, selon eux, faire l'objet d'une manipulation. L'instruction doit désormais suivre son cours jusqu'à la fin avril.


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Tonio
posté 14/03/2014 10:16
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Citation (PSG.fr)
Lucas l'ambitieux

A l'occasion d'un entretien avec des médias brésiliens, l'attaquant parisien Lucas a évoqué la Coupe du Monde, sa chevauchée face à Marseille et ses ambitions en UEFA Champions League.



Lucas, à l'approche de la Coupe du Monde, d'après toi, comment convaincre Scolari de te convoquer avec la Seleçao ?
« Ce que je dois faire c'est continuer dans sur ma lancée, en aidant l'équipe, en jouant un maximum de match et en remportant des victoires. Mon jeu, tout le monde le connait. Je dois continuer à progresser, en marquant plus de buts notamment. J'ai donné beaucoup de passes décisives, mais j'ai marqué peu de buts. J'ai progressé mais je dois continuer à travailler. Je suis concentré sur la dernière ligne droite du championnat. Concernant la convocation pour la Coupe du Monde, on verra cela à la fin de la saison. »



Penses-tu que la Champions League puisse être une vitrine pour démontrer tes qualités ?
« La Ligue des Champions est la compétition la plus suivie dans le monde. Donc, de grandes performances contre de grandes équipes, donnent une visibilité particulière. Ce sont des matchs décisifs, la concentration doit être beaucoup plus grande. C'est ce que je m'attache à réaliser. C'est dans ces matchs qu'on doit être encore plus combatif. Nous avons une équipe très compétitive. Nous avons tout ce qu'il faut pour aller loin dans cette compétition. »

Jusqu'où penses-tu que le Paris Saint-Germain peut aller en Ligue des Champions?

« Maintenant que nous avons assuré la qualification pour les quarts de finale, tout est possible. L'équipe est bien en place et s'appuie sur des joueurs expérimentés. Nous avons un milieu de terrain qui fait bien circuler le ballon. La défense, à mon avis, est l'une des meilleures du monde. En attaque aussi, nous avons de très grands joueurs. Notre objectif est d'aller loin, nous voulons aller en finale et gagner le titre. Un match de football se joue pendant 90 minutes. Personne ne gagne avant de le jouer, personne ne gagne par des commentaires. Pour gagner, c'est sur le terrain que nous devons montrer que nous sommes meilleurs ! »



Face à Marseille tu as failli marquer le but de l'année en allant dribbler la moitié de l'équipe adverse, y compris le gardien, avant qu'un défenseur ne dévie ton tir in extremis. C'est ça le jeu de Lucas ?

« Sans aucun doute, c'est mon style. Même s'il est bien sûr presque impossible de le faire à chaque match. Je récupère le ballon devant notre défense, je traverse tout le terrain et arrivé face au gardien, je suis forcément un peu fatigué. Là je pousse un peu trop mon dernier contrôle et je ne peux pas donner la puissance que je voulais à mon tir. Cela laisse le temps au défenseur de revenir et dévier la balle. Cela reste néanmoins une action que je n'oublierai pas. Je n'ai pas pu dormir après le match, j'ai regardé la vidéo plus de 300 fois ! L'essentiel est que l'équipe ait gagné et que j'y aie participé. Tout le monde le sait, ma première qualité c'est la vitesse balle aux pieds. C'est ce que j'essaie d'utiliser pour aider l'équipe. C'est mon style. »

Photos : C.Gavelle/PSG


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Varino
posté 14/03/2014 10:20
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La nouvelle dimension de Sirigu

Le gardien du PSG a réalisé, mercredi en Ligue des champions, une grande prestation face à Leverkusen.


SON ARRIVÉE à l’été 2011 n’a pas déclenché les mêmes effusions que celles de Pastore puis Ibrahimovic, Thiago Silva ou Cavani. Salvatore Sirigu était, pour être honnête, connu des seuls spécialistes du foot italien.

Sans faire de bruit, l’ancien portier de Palerme a gagné la bataille de la concurrence avec Nicolas Douchez et s’est imposé comme le socle de la colonne vertébrale parisienne composée de Thiago Silva, Thiago Motta et Ibra. « Les premières semaines, j’étais sceptique surtout parce que je ne le connaissais pas, reconnaît Jérôme Alonzo, l’ancien gardien du PSG. Ses forces sont la lecture du jeu, l’anticipation, sa rapidité sur la ligne et une capacité à aller vite vers l’avant. Il a les bases pour devenir un très grand gardien européen. »

Le vent de la rumeur balaie pourtant régulièrement Paris. Les noms de Valdes, Casillas ou Lloris sont avancés pour le remplacer sans que le bien-fondé des informations ne se confirme. Reste que les interrogations persistent sur le réel niveau du n° 2 de la sélection italienne derrière l’intouchable Buffon. Le plus français des étrangers du PSG y a répondu en partie mercredi face à Leverkusen, où son arrêt sur le penalty de Rolfes puis quatre arrêts décisifs ont permis à Paris d’éviter l’accroc. « Ce n’est pas parce que le gardien est le meilleur que les autres sont nuls », s’est amusé l’intéressé, peu enclin à commenter ses prestations ou à évoquer son avenir, lui qui est sous contrat jusqu’en 2015.

Au coeur du débat reviennent à l’envi ses difficultés à capter les ballons, son déficit dans le jeu au pied, à l’image de sa relance hasardeuse pour Thiago Silva contre Leverkusen, et ses soucis dans les sorties aériennes. « Ce sont ses lacunes et il ne les comble pas, signale Bernard Lama, l’ancien gardien parisien et de l’équipe de France. Je reconnais qu’il est efficace, mais son style n’est pas ma tasse de thé. »

A contrario, Alonzo estime que le Transalpin « progresse encore à 27 ans ». « Ce n’est clairement pas un maillon faible de l’équipe, abonde Grégory Coupet, l’ancien portier du PSG et des Bleus. Il a le niveau des dix ou quinze meilleurs gardiens au monde. » Mais est-ce suffisant lorsqu’on est au coeur d’un projet qui veut porter le PSG au sommet du foot européen ? « Salvatore a les qualités, les épaules et le mental pour faire partie du projet, assure Gilles Bourges, qui a validé sa venue lorsqu’il était entraîneur des gardiens sous Carlo Ancelotti. Cette saison, il a des moments plus délicats à gérer, car il a moins de ballons à négocier. Le moindre écart est remarqué. » Comment, dès lors, convaincre les critiques ? « Il a conscience du scepticisme qui l’entoure dans certains domaines et il travaille beaucoup. Il a une grosse marge de progression, poursuit Bourges. J’avais dit à Leonardo que c’était lui qu’il fallait à Paris. On ne s’est pas trompés. Si le PSG veut recruter à ce poste-là, c’est avec le top 5 mondial, des garçons comme Neuer ou Cech. Mais on sait ce que l’on perd, pas ce que l’on gagne. »

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Hier. Footing pour les titulaires de Leverkusen. Séance plus soutenue mêlant pour Ménez, Alex, Camara, Maxwell, Lucas et Matuidi. Aujourd’hui. Entraînement à huis clos au camp des Loges le matin. Infirmerie. Verratti (cuisse), Van der Wiel (genou). Rendez-vous. PSG - Saint-Etienne, 29e journée de L 1, dimanche 16 mars à 21 heures, au Parc (Canal +).

Le Parisien


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Homer
posté 14/03/2014 11:37
Message #6016


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Douchez a prolongé

C'est une nouvelle prolongation de contrat que le PSG, jusqu'à maintenant, n'a pas officialisée. Pourtant, le gardien de but Nicolas Douchez, doublure de Salvatore Sirigu, a bien prolongé son bail d'une saison supplémentaire. L'accord, signé dans le courant du mois de février, le lie avec le PSG jusqu'en juin 2015 et prévoit une très nette augmentation salariale.

Alors qu'il émargeait à 120 000 EUR brut mensuels, son nouveau salaire avoisinerait les 200 000 EUR. Depuis son arrivée au PSG en juin 2011, Nicolas Douchez, 33 ans, a disputé 24 rencontres en l'espace de trois saisons.


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Lavezzi : «Je suis très heureux au PSG»

Auteur de sept buts depuis le début de l'année 2014, Ezequiel Lavezzi est un des hommes en forme du PSG. L'Argentin revient sur sa bonne période actuelle, à deux jours de la réception de Saint-Etienne en championnat.

Comment expliquez vous ce début d'année prolifique ?

Ezequiel Lavezzi. C'est avant tout psychologique, il y a des moments où on est bien, d'autres où c'est plus difficile.
Ma forme d'aujourd'hui est liée au travail que j'effectue chaque jour. Cela se traduit dans mes performances sur le terrain.

Avez-vous été touché par les critiques de Laurent Blanc sur votre manque d'efficacité ?

C'est normal, c'est l'entraîneur et il choisit qui joue dans l'équipe. Quand on joue, on est content, moins quand ce n'est pas le cas. Je fais du mieux possible pour être performant sur le terrain et pour l'instant cela marche, c'est parfait.

Par rapport à vos années à Naples, vous jouez dans une position plus excentrée. Cela vous plait-il ?

J'ai joué dans plusieurs positions mais ce sont des football différents. On ne joue pas de la même façon en Italie où les équipes sont plus positionnées tactiquement. En France, le jeu est plus physique. Il faut s'adapter aux circonstances. Le foot italien me manque parfois mais j'ai toujours été bien ici. Je suis très heureux au PSG.

Saint-Etienne que vous retrouvez dimanche est-il la bête noire du PSG ?

On a joué à chaque fois des matchs compliqués contre eux. Mais chaque rencontre est différente. On ne les a battus qu'une fois en Coupe depuis deux ans mais on a confiance en nos qualités. Ce sera un match difficile mais on a la possibilité de gagner.

Pensez vous déjà au Mondial au Brésil ?

La sélection d'Argentine va bien. On a une très grosse force offensive mais on n'a pas de marge d'erreur. Tous les Argentins veulent que l'équipe gagne. Moi aussi, même si je n'y suis pas. Maintenant, j'attends la publication de la liste (sourires).


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Homer
posté 14/03/2014 19:17
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Le jardinier a la "culture pub"

Jonathan Calderwood, le jardinier du PSG, est la vedette d'un spot publicitaire du club parisien et des villages de vacances Center Parcs, son nouveau partenaire. Le PSG diffuse vendredi sur son site cette vidéo présentant Calderwood comme son «meilleur élément» qui «ne laisse rien passer... ni dépasser». Ce tam-tam a pour but d'attirer l'attention sur des ateliers du football organisés par l'enseigne de loisirs pour les 6-17 ans à partir du mois de mai prochain.


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Un quart contre le PSG serait «particulier» pour Ancelotti

Carlo Ancelotti vivrait «un match particulier» si le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions, vendredi prochain, désignait son ancien club du PSG comme adversaire de son Real Madrid. «J'ai une bonne relation avec beaucoup de joueurs du Paris Saint-Germain, j'ai de bons souvenirs là-bas. Ce serait pour moi un match particulier, rien qu'à ce titre», a expliqué le Mister, sacré champion de France au printemps dernier avec le club parisien. «Le Paris Saint-Germain est une équipe très forte, mais toutes les équipes qui se qualifieront pour les quarts le seront.»


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Van der Wiel absent contre Sainté

Le latéral droit du PSG Grégory van der Wiel est forfait pour la réception de Saint-Etienne dimanche (21h00). «Van der Wiel est à Munich pour suivre un traitement médical, un protocole thérapeutique. Il revient ce soir ou demain matin. Mais il sera forfait face à Saint-Etienne. Verratti va beaucoup mieux, on verra demain s’il est apte. C’est à peu près tout », a expliqué Laurent Blanc vendredi lors du point presse d'avant-match. Touché à une cuisse et absent contre Leverkusen, l'Italien est le papa depuis jeudi d'un petit Tommaso.


L'Equipe.fr

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Laurent Blanc : « Pas le moment de se relâcher »

A deux jours de de la réception de Saint-Etienne, Laurent Blanc s'est présenté devant la presse vendredi au camp des Loges. L'entraîneur du PSG a annoncé le forfait de Grégory Van der Wiel, qui soigne toujours son genou à Munich (Allemagne), et ses doutes sur la participation de Marco Verratti qui se remet d'une douleur à une cuisse.

L'ancien sélectionneur en a aussi profité pour assurer que ses joueurs étaient plus motivés que jamais au moment d'aborder la dernière ligne droite de la saison.

Craignez-vous la réception de Saint-Etienne dimanche ?

Laurent Blanc. Saint-Etienne est une très bonne équipe. Elle met beaucoup de formations en difficulté. C'est ce qui explique son bon classement. Notre premier match contre eux avait été compliqué, notamment en première mi-temps. Mais sans enlever de la valeur à l'ASSE, on n'avait pas été très bons techniquement, notamment en raison du terrain.

A quoi vous attendez-vous comme opposition ?

Ce sera intéressant car c'est une équipe joueuse. Elle va venir au Parc des Princes avec ses principes. C'est très bien. Cela va nous permettre de produire du jeu. C'est bien pour les joueurs, les entraîneurs, les spectateurs. On attend ce match avec impatience.

Paris sera encore très attendu ?

Quand vous habituez les gens à avoir des occasions, à marquer beaucoup, on nous dit toujours que le match était mauvais quand il y en a moins. Notre jeu est toujours le même mais après il y a les adversaires. Certains ne cherchent qu'à nous contrecarrer. Ce ne sera pas le cas de Saint-Etienne. Ils voudront nous gêner mais ils ont des qualités à faire valoir quand ils auront le ballon. Il y a aura des occasions de chaque côté, j'en suis sûr. Nous sommes très motivés pour dimanche. Ce n'est pas un match décisif mais il est important.

Y a-t-il un risque de relâchement ?

Le risque de se déconcentrer existe toujours. Dans tous les clubs. Surtout quand il fait beau (sourires). Mais il faut bien se préparer physiquement et tactiquement. Il y a des objectifs importants en fin de saison, ce n'est pas le moment de se relâcher. Les joueurs en sont conscients. A ce niveau-là, j'ai un groupe extraordinaire.

Après la bonne performance de Sirigu contre Leverkusen, comment jugez-vous sa progression ?

Pour un gardien, il est encore jeune. Il a un parcours particulier car sans faire injure à ses équipes précédentes en Italie, il a découvert un grand club à l'étranger. Il progresse. Paris est souvent dominateur dans les matchs et dans ce cas-là, la concentration est très importante. Il l'a démontré mercredi. Au vu du match aller, il y a eu un petit relâchement de l'équipe. Mais pas lui. Après pour être un très grand gardien, il faut jouer en équipe nationale. Buffon est exceptionnel avec la sélection italienne mais il va bien finir par s'arrêter un jour (sourires).


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Carlton
posté 15/03/2014 11:27
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Un cheval au coup d'envoi !

Les spectateurs du Parc des Princes vont vivre un moment unique et insolite demain soir juste avant le début de PSG - Saint-Etienne. C'est Pierre Vercruysse, champion du monde des drivers (conducteur de sulky aux courses de trot), qui donnera le coup d'envoi de ce choc. Jusque-là rien d'exceptionnel, sauf qu'il entrera sur la pelouse avec son cheval et son sulky... Cette initiative originale a été montée par le PMU, partenaire officiel du PSG.

Le jardinier du club a donné son accord et une répétition a eu lieu il y a quelques jours.

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Teichi
posté 15/03/2014 12:28
Message #6019


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PSG : du changement en cuisine

Après la vive critique de Zlatan Ibrahimovic sur la qualité de la restauration au Camp des loges, les choses ont changé en cuisine. Les deux cuisiniers qui travaillaient avec le chef Stéphane Michon ont été remerciés. Ils ont été remplacés par deux autres seconds. Une serveuse sera également désormais à la disposition du groupe professionnel. Autre nouveauté : l'installation d'un stand de pâtes fraiches avec cuisson à la demande et devant les joueurs. Comme l'a annoncé Laurent Blanc en conférence de presse, le budget restauration par joueur a été augmenté.

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Homer
posté 15/03/2014 18:44
Message #6020


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Les deux mois qui peuvent changer la vie de Digne

Il pourrait bien être l'invité surprise de dernière minute, connaître le même bonheur que Ribéry en 2006. La possibilité de voir Lucas Digne être du Mondial brésilien a pris une réelle épaisseur avec la convocation de l'ancien Lillois dans le groupe des Bleus pour défier les Pays-Bas (2-0) en amical, le 5 mars dernier.

Le Parisien de 19 ans est à deux mois et demi de vivre l'un des moments les plus intenses de sa jeune carrière de footballeur. « Je ne me projette pas. Je profite de chaque minute que j'ai sur le terrain pour montrer que je peux apporter quelque chose à l'équipe. J'essaie de donner des maux de tête au coach », nous expliquait le latéral gauche du PSG mercredi, quelques minutes après le succès (2-1) contre Leverkusen, où il a délivré une passe décisive : « J'ai un peu discuté avec Didier Deschamps, il m'a mis en confiance pour que je me sente bien dans le groupe. Les A étaient un rêve. Ma sélection m'a donné très envie d'y retourner. »

Duel à distance avec Clichy

« Le fait qu'il soit appelé à ce moment de la saison n'est pas anodin », explique Frank Hocquemiller, patron de l'agence VIP Consulting, qui a accompagné mercredi le champion du monde des moins de 20 ans sur une opération de relation publique au château de Saint-Germain-en-Laye : « Lucas sent qu'il a un gros coup à jouer. »

Doublure de Maxwell, le natif de Meaux (Seine-et-Marne) sait que son temps de jeu ne sera pas très important d'ici à la fin de saison si son club va très loin en Ligue des champions et n'empoche pas rapidement le championnat. Malgré cela, le staff des Bleus croit en lui et lui fait confiance. Ses deux participations à la Ligue des champions avec le Losc et Paris ainsi que ses trois saisons en L 1 plaident en sa faveur.

« C'est quelqu'un de sérieux, de dynamique, de professionnel, un bon jeune, confie un membre de l'encadrement de l'équipe de France. Il a de la qualité défensive et offensive, on sent que cela tient la route dans sa tête. Il a envie de progresser et offre beaucoup de perspective. Il a le plus gros potentiel à son poste. Son âge et son inexpérience ne sont pas un frein. il reste une quinzaine de matchs au PSG, ce serait bien qu'il en joue un tiers... »

Le duel à distance avec le latéral de Manchester City Gaël Clichy pour occuper le rôle de doublure de Patrice Evra au Brésil est lancé. Aujourd'hui, le Parisien pourrait même avoir un peu d'avance.


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