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03/05/2009 11:30
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#601
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
L'Equipe du 3 mai :
Citation Gare à la marche ! La défaite de Lyon, hier, ouvre au PSG la voie du podium. Mais les Parisiens n’ont pas toujours su profiter de ce genre d’opportunités. IL Y A COMME UNE FORME de manie chez les Parisiens à décliner les invitations trop sympathiques. En Coupe de France, un soir de mars, ils n’avaient pas su profiter de la clémence d’un tirage et avaient laissé Rodez endosser la panoplie de héros (1-3 a.p.). Quelques jours plus tard, en Championnat, Lyon avait fourni au PSG l’opportunité de s’emparer de la place de leader après une défaite contre Auxerre (0-2), mais l’équipe, qui se voyait sans doute trop belle, avait buté sur l’OM quelques heures plus tard (1-3). Hier, l’OL a renouvelé son offre,mêmesi la perspective est un soupçon moins affriolante. La défaite du champion en titre à Valenciennes (0-2) donne à Paris l’occasion de retrouver un podium, dont il est tombé il y a un mois et demi. Hier soir, Paul Le Guen et ses joueurs ont bien entendu suivi l’évolution du score au stade Nungesser avant d’aller se coucher. Ce résultat aura-t-il une incidence sur la façon d’aborder aujourd’hui le match contre Rennes ? « Pas sûr, répondait l’entraîneur parisien avant le coup d’envoi de cette trente-quatrième journée. On a, de toute façon, une pression liée à l’attente d’une éventuelle qualification en Ligue des champions. Mais c’est vrai qu’elle sera différente selon le résultat de Lyon. » Le champion de France s’est incliné et la probabilité qu’il soit doublé par le PSG n’a jamais semblé aussi élevée. L’art de se contenter du minimum Depuis ses déroutes contre Marseille et à Toulouse (1-4), Paris a appris le pragmatisme. Même lorsque ses matches ne sont pas bons ou lorsque ses joueurs sont en méforme, il sait se contenter duminimum. Un point à Lille (0-0), un autre à Lyon (0-0), une victoire à l’arraché contre Nice (2-1), autant de soirées pas très bien engagées mais dont les issues se sont révélées joyeuses. Elles ont permis de rester collé à un trio de tête aux effectifs plus étoffés, pendant que d’autres, à l’image de Rennes ou Lille, abandonnaient des points en route. Du coup, le PSG a retrouvé de l’ambition. Cela ressemble à un miracle, après les deux dernières saisons au cours desquelles il a flirté avec la relégation. C’en est un au regard de la physionomie de certaines rencontres cette saison. Les victoires sur Bordeaux (1-0), Lyon (1-0) ou Lorient (1-0) ont davantage tenu à des arrêts phénoménaux de Landreau ou à des gestes exceptionnels de Sessegnon ou Hoarau qu’au sceau d’un véritable fonds de jeu. Mais la réalité mathématique se moque de l’esthétique. À cinq journées de la fin, elle est limpide : Paris n’inscrit plus beaucoup de buts mais il en encaisse encore moins. Cet après-midi, il ne lui reste plus qu’à montrer à son ancien entraîneur, assis sur le banc d’à-côté pour la première fois depuis son départ, les progrès accomplis. DAMIEN DEGORRE Citation Cinq Parisiens convoités La bonne saison du PSG ne laisse pas les recruteurs indifférents à l’approche de la période des transferts. La régularité de certains joueurs, l’explosivité ou la jeunesse d’autres intéressent de grands clubs européens au portefeuille bien fourni. Aujourd’hui, les dirigeants parisiens assurent ne pas avoir l’intention de se séparer de leurs meilleurs éléments. Mais, l’été venu, d’importantes offres sont souvent de nature à faire changer d’avis. – D. D. Mickaël LANDREAU Gardien, 29 ans, au club depuis 20 06 , 33 matches en L 1 cette saison. À BIENTÔT trente ans (le 14 mai), le gardien reste sur une saison de haute volée que ses « boulettes » à Kiev (0-3) n’ont pas entachée. Il ne lui reste plus qu’une année de contrat et les dirigeants du PSG l’ont approché pour négocier une éventuelle prolongation. Mais l’Espagne et l’Italie le surveillent avec intérêt et Landreau, en faisant jouer sa clause de stabilité, a la possibilité de partir pour pas cher. Il ne devrait pas prendre de décision avant la dernière journée de L1. Sylvain ARMAND Défenseur, 28 ans, au club depuis 2004,30 matches en L1 cette saison. INQUIET, il se demande de quoi sera fait l’effectif la saison prochaine (voir par ailleurs) et si le club est disposé à le prolonger d’une année supplémentaire. Sous contrat jusqu’en juin 2011, le latéral gauche se plaît au Paris-SG. Mais ses deux dernières saisons, très convaincantes, suscitent bien des convoitises. En France, Lyon et Bordeaux, qui le suivaient déjà l’été dernier, pourraient revenir à la charge. En Angleterre, Liverpool a pris des renseignements. Mamadou SAKHO Défenseur, 19 ans, formé au club, 18 matches en L1 cette saison. FORMÉ au club, ce solide défenseur central est la fierté des dirigeant s par isiens. Sollicité cette saison par Newcastle, qui a formulé une offre de transfert, il séduit les plus grands clubs anglais. Fin janvier, il a prolongé son contrat jusqu’en juin 2012. Il veut rester au PSG encore un an au moins et ne se oit pas quitter Paris pour un club relégable de Premier League. Pour l’un du Big Four (Arsenal, Chelsea, Manchester et Liverpool), pourquoi pas ? Arsène Wenger, le manager d’Arsenal, l’aime beaucoup. La Juventus aussi. Stéphane SESSEGNON Milieu, 24 ans, au club depuis 2008, 30 matches en L 1 cette saison. ACHETÉ, L’ÉTÉ DERNIER, pour quatre ans et huit millions d’euros, Sessegnon en vaut le double. Si Paris participe à la prochaine Ligue des champions, il se voit rester. Mais il souhaiterait une revalorisation salariale plus conforme à son statut. Jusqu’à présent, les discussions n’ont rien donné. Certains clubs européens pourraient en profiter : Chelsea, Manchester City, le Bayern Munich et le FC Séville ont déjà déclaré leur flamme. Guillaume HOARAU Attaquant, 25 ans, au club depuis 2008, 32 matches en L1 cette saison. DEUXIÈME MEILLEUR BUTEUR de L1 (17 réalisations), il a, lui aussi, entamé des négociations, il y a quinze jours, pour une revalorisation salariale. Jusqu’ici, les offres du PSG ne lui ont pas paru significatives. S’il affirme être épanoui à Paris, où il est sous contrat jusqu’en 2012, Hoarau n’apprécie guère le faible enthousiasme du club pour l’augmenter.Engagé depuisun an et demi, il est prêt à patienter autant avant de faire jouer sa clause de stabilité. En Angleterre, Liverpool et Tottenham pourraient vite venir aux informations. Citation ARMAND INQUIET DU FUTUR EFFECTIF DU PSG. – Dans un entretien accordé à Aujourd’hui Sport, hier, le défenseur du PSG Sylvain Armand fait part de ses inquiétudes sur l’évolution de l’effectif parisien la saison prochaine : « Je n’ai pas envie, connaissant un peu le club, qu’il change les joueurs qui sont en place. Si on a fait de belles choses ensemble, ce n’est pas pour tout recasser en une saison (...) Si on veut aller plus haut, il faut du renfort, ça c’est sûr, mais surtout, il ne faut pas briser cet effectif. » Citation Pour Rennes, c’est une répétition Largués dans la course à l’Europe, les Bretons veulent se rassurer au Parc des Princes, une semaine avant leur finale au Stade de France. RENNES – de notre envoyé spécial permanent UNE PREMIÈRE RÉAPPARITION pour une dernière répétition. Guy Lacombe n’avait jamais foulé la pelouse du Parc des Princes depuis son renvoi du Paris-SG, le 16 janvier 2007. Son retour dans « ce stade magnifique » où il admet avoir « connu des moments difficiles mais aussi des joies » le tracasse moins (voir ci-dessous) que la santé de son équipe, six jours avant d’aller défier Guingamp au Stade de France pour le match le plus important de la saison et peut-être même de l’ère Pinault. La finale de la Coupe de France teintera la saison rennaise. Les nuances seront proscrites. Un succès et la bande à Lacombe, rayonnante, entrera dans l’histoire du club. Un revers et le gris sera de mise. Cette semaine, les Rennais ont été priés d’éviter d’évoquer la finale avec la presse. « L’équipe est perturbée par l’absence de joueurs importants (Briand et Mangane), note Guy Lacombe. Dans les têtes, ce n’est pas qu’on est moins bien. Mais, chez nos adversaires, je ressens une envie terrible de gagner. Quand des joueurs de talent ont la rage de gagner, ça fait la “dif”. Je ne peux pas empêcher mes joueurs d’avoir un petit peu la tête à la finale. L’idée, c’est de lier les deux matches. » Pas facile car, depuis leur défaite, mercredi, contre Bordeaux (2-3), « un match qu’on n’aurait jamais dû perdre », dixit Bruno Cheyrou, les Rennais ne se font plus aucune illusion en Championnat. Bruno Cheyrou : « On pouvait largement terminer dans les cinq premiers » La cinquième place, qui sera européenne, est désormais trop loin, à cinq étapes de la fin. Surtout que les Rennais lambinent lors de la phase retour. Ils n’ont pris que 17 points en 14 matches. Soit dix-huit de moins que Marseille, treize de moins que Bordeaux, dix de moins que le PSG et seulement un de plus que Grenoble et quatre de plus que Saint-Étienne. Leur défense, une forteresse difficilement prenable (28 buts encaissés, dont 13 lors de la phase aller), laisse apparaître des failles depuis le début de la suspension de Mangane (9 buts lors des quatre derniers matches de L1). Cet après-midi, Rennes va donc chercher à mettre à profit son premier périple parisien pour préparer le second. « On n’a plus grand-chose à espérer au classement, reconnaît Cheyrou. On voulait faire eaucoup mieux, évidemment. Mais les équipes de devant ont mené un train d’enfer. Nous avons réalisé plusieurs contre-performances qui nous ont empêchés d’aller chercher la cinquième place. S’il n’y avait pas eu la Coupe, on aurait peut-être fait d’autres résultats en Championnat. Elle a accaparé notre attention. Lyon, Marseille et Bordeaux étaient plus forts que nous sur l’ensemble d’un Championnat, même si, sur un match, on a su rivaliser avec eux. Il y a de la qualité dans notre effectif. On pouvait largement terminer dans les cinq premiers. » En clair, Cheyrou n’estime pas son équipe inférieure au PSG. Mais aura-t-elle la tête au Parc ou au Stade de France cet après-midi ? RAPHAËL RAYMOND Citation Lacombe, Rothen et la Castafiore GUY LACOMBE retrouve le Parc des Princes cet après-midi. Le passage de l’actuel entraîneur rennais au PSG, de décembre 2005 à janvier 2007, s’est terminé par une crise avec une bonne partie de son effectif et son licenciement, le 16 janvier 2007. Cette semaine, le technicien, âgé de cinquante-trois ans, a cherché à dépassionner son retour. « C’est un grand plaisir pour moi d’aller au Parc, a-t-il assuré jeudi. J’ai de la chance. Dans ma vie, je suis souvent allé au Parc. Certaines personnes seront contentes de me revoir. Peut-être ne le montreront-elles pas... » Jérôme Rothen n’en fera pas partie. Le milieu parisien éprouve du respect pour le technicien, moins pour l’homme, avec qui il s’est accroché à plusieurs reprises : « Je ne préfère pas me rappeler cette période-là, explique le joueur. Elle fut très pénible. Je ne pense pas que je lui serrerai la main. Mais ce qu’il réalise à Rennes, c’est une belle chose. Et je retiens aussi qu’on a gagné, avec lui, une belle Coupe de France (2006). » Le retour de Lacombe à Paris n’a pas animé les débats dans le vestiaire du PSG. Le technicien aveyronnais se doutait, en revanche, de l’intérêt des médias. « Les journalistes ont bien marié le Capitaine Haddock et la Castafiore. Alors, on peut bien dire n’importe quoi sur Guy Lacombe », a-t-il précisé, à titre préventif. – R. R. et D. D Citation LES CLÉS DU MATCH LE PSG, POUR UNE FOIS, PLUS FRAIS. – Paris, l’une des équipes françaises les plus sollicitées, a souvent joué cette saison face à un adversaire plus frais que lui, en raison d’un match en semaine. Cette fois, les rôles sont inversés. Rennes a joué contre Bordeaux (2-3) mercredi alors que les Parisiens ont eu huit jours pour récupérer de leur match contre Lyon (0-0). « Je suis content que vous (les médias) le souligniez, plaisantait Le Guen hier. Moi aussi, je m’en étais fait la réflexion. » DOUCHEZ PLUS FORT QUE LA DOULEUR. – Après avoir laissé sa place contre Bordeaux (2-3), en raison de soucis dorsaux, Nicolas Douchez retrouve le but de Rennes cet après-midi. Le gardien, qui souffre en fait de deux fractures aux vertèbres, ce que n’a jamais indiqué le club breton, jouera sous infiltration. DÉFENSE EN SOUFFRANCE. – En quatre matches de L 1, le Stade Rennais a encaissé neuf buts (0-3 à Sochaux, 1-3 àMonaco et 2-3 contre Bordeaux). Avant la 28e journée, le club breton n’avait pourtant cédé que dix-neuf fois. Depuis la suspension de Kader Mangane, Guy Lacombe n’a pas trouvé la bonne formule dans l’axe de la défense. Si Hansson est indéboulonnable, Aubey a joué à Sochaux et contre Monaco et Mbia lui a succédé depuis la demi-finale de Coupe de France contre Grenoble (1-0). Citation Stéphane Sessegnon, le roi du dribble 1 Sessegnon est le dribbleur n°1 du Championnat de France. En Ligue 1, cette saison, c’est lui qui a tenté (188) et réussi (92) le plus de dribbles. Le Marseillais Ben Arfa, 2e du classement, en a réussi 72, le Toulousain Braaten, 3e, 53. 3,37 C’est la moyenne par match du nombre de fautes que le milieu béninois du PSG subit cette saison en L1. Seuls trois joueurs affichent une moyenne plus élevée : Le Marseillais Niang (3,77), le Nantais Bagayoko (3,71) et le Lillois Balmont (3,59). 329 Au Paris-SG, Sessegnon est le joueur qui réussit le plus de passes dans les trente derniers mètres en L1, cette saison. Avec 329 passes, il devance Rothen (242) et Clément (230). Ces statistiques ne tiennent pas compte de la 34e journée de Championnat, qui se joue ce week-end. 24 ans ; né le 1er juin 1984 à Allahé (Bénin). 1,72 m ; 72 kg. Milieu 30 matches et 5 buts en L1 cette saison. L'Equipe. |
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03/05/2009 13:54
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#602
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,641 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 498 Tribune : Canapé |
Citation Hoarau trop cher ? En cours de négociations sur son avenir au PSG, Guillaume Hoarau n’a pas apprécié la proposition faite à son encontre par le club de la capitale, jugée largement insuffisante, révèle Le Parisien. Avec 17 buts pour sa première saison de Ligue 1, Guillaume Hoarau a répondu au-delà des espérances parisiennes. Sachant qu’il représente le 15e salaire du club (80 000 euros brut mensuels hors prime), soit le but à 4705 euros, l’ancien Havrais est le joueur le plus rentable du Paris Saint-Germain. Logique donc que l’attaquant de 24 ans discute actuellement d’une revalorisation salariale et d’une éventuelle prolongation de contrat. L’agent du joueur, Thierry Gras a, à cet effet, rencontré Philippe Boindrieux et Alain Roche, directeur général et responsable de la cellule recrutement du PSG. Mais d’après Le Parisien, la proposition faite par le club de la capitale est très loin de satisfaire le clan Hoarau. Le Réunionnais aurait même été vexé, compte tenu de son apport cette saison, et refuserait de prolonger en l’état actuel des choses. Villeneuve avait-il raison ? On en n’est pas encore là puisque l’avant-centre est sous contrat avec Paris jusqu’en 2012. Il y a tout le temps de discuter, de re-discuter, de négocier… D’autant que le joueur se verrait bien continuer à Paris au moins encore l’année prochaine, année de Coupe du Monde et peut-être de Ligue des Champions en ce qui concerne le PSG. En revanche, si le point d’accord achoppe toujours en 2011, Hoarau pourra alors faire jouer sa clause de stabilité en rachetant sa dernière année de contrat pour aller voir ailleurs. Les informations du Parisien confirment en tout cas que la marge de manœuvre financière du PSG est limitée. Récemment, Paul Le Guen avait lâché que son club avait dû économiser une nuit d’hôtel à Kiev (450 euros par joueur) lors du quart de finale de la Coupe UEFA. De la même façon, les Parisiens étaient rentrés à point d’heure de leur déplacement à Braga. Sachant que Hoarau représente à l’heure actuelle une valeur marchande de 10 millions d’euros, et ne manquera pas de recevoir quelques propositions... C’est un certain Charles Villeneuve qui doit rire jaune. Sport24 |
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03/05/2009 14:07
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,680 Inscrit : 21/08/2011 Membre no 8,061 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - PSG - Hoarau refuse un nouveau contrat
Quinzième salaire de l'effectif du PSG, Guillaume Hoarau négocie un nouveau contrat avec le club par l'intermédiaire de son agent, Thierry Gras. Selon Le Parisien de dimanche, l'attaquant parisien aurait refusé la proposition récemment effectuée par le club de la capitale. Elle est bien loin de ce qu'il espérait. Les négociations continuent car Hoarau souhaite rester au club afin de bien préparer la Coupe du Monde 2010 qu'il pourrait jouer avec l'équipe de France. lequipe.fr |
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03/05/2009 19:45
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 53,524 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 60 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - PSG - Le Guen : «Pas un coup d'arrêt» Contrairement à ses joueurs, Paul Le Guen est venu s'exprimer en salle de presse à l'issue de la défaite concédé contre Rennes (0-1). Pour l'entraîneur du PSG, ce revers ne doit surtout pas tout remettre en cause. Il s'en est expliqué. «Par rapport au déroulement du match, oui on est déçus car on a essayé de les contourner, on s'est bagarré, on a eu des occasions mais c'est dur contre Rennes !, a-t-il souligné. Je n'ai pas le sentiment que les joueurs ont laissé filer. Certes, la première mi-temps était un peu bloquée, mais il ne faut pas oublier que Rennes n'a perdu que six matches cette saison. Pour mettre de l'intensité, de la puissance, il faut des qualités et il nous en a manquées. On a fait ce qu'on a pu ou à peu près !». Dans son esprit, la troisième place n'est pas perdue pour autant. «Ce n'est pas un coup d'arrêt. Ce soir on a échoué mais il ne faut pas tout balayer, il faut surtout rester très mobilisés. On a dix jours pour récupérer et bien travailler». Pour Guy Lacombe, la victoire «fait plaisir où que ce soit» car «en Coupe comme en Championnat, j'aime gagner». «C'est une bonne manière pour nous de préparer notre finale de coupe de France, a-t-il expliqué. Ce n'est pas une victoire tactique, mais une victoire de maîtrise. Paris nous a laissés un petit peu faire. On voulait reprendre confiance dans notre jeu et c'est bien. On a été cohérent mais il faudra l'être beaucoup plus samedi si on veut gagner contre une équipe (Guingamp) que je connais bien!». - C. MICHEL au Parc des Princes www.lequipe.fr |
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04/05/2009 07:27
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
L'Equipe du 4 mai :
Citation Le podium qui fait peur Alors que Lyon craint de tout perdre, le Paris-SG n’a pas montré hier le caractère d’une équipe obsédée par la Ligue des champions. DANS UN PEU MOINS de quatre semaines, on saura si une place en Ligue des champions a choisi son camp hier, entre la 63e et la 66e minute de ce Paris-SG - Rennes. On repensera peut-être à cette action de la 63e minute qui vit Douchez repousser magnifiquement une tête de Sessegnon et un tir du gauche de Clément avant que Luyindula, de près, ne touche un poteau, le tout empaqueté en une douzaine de secondes. Et on mesurera l’impact réel de ce qui suivit trois minutes plus tard, cette volée de Leroy déviée par le tibia gauche de Sakho dans les mauvais filets. Oui, en trois minutes maudites, le PSG a dilapidé son espoir dujour de s’emparer de la troisième place. La conséquence de ce résultat, c’est que Lyon, même déréglé, garde la main à quatre journées de la fin. Beaucoup l’imaginaient à deux points du PSG ce matin. Le classement a finalement voté pour le statu quo, laissant les spéculations en l’état. Rennes semblait démobilisé après sa défaite à domicile contre Bordeaux (2-3) en milieu de semaine ; Rennes paraissait déjà focalisé sur sa finale de Coupe de France, samedi prochain face à Guingamp (Ligue 2). Mais Rennes, pourtant, a gagné. Déjà vainqueur du PSG à l’aller (1-0), l’équipe de Guy Lacombe s’est replacée à quatre points de Toulouse et de cette cinquième place qui lui garantirait l’Europe dans l’hypothèse d’un couac au Stade de France. Paris ira au Mans sous pression Comment Paris a-t-il pupasser à côté d’une telle gourmandise ? L’absence imprévue de Guillaume Hoarau, bien sûr, n’est pas à négliger. Sans son meilleur buteur en Ligue 1 (17 buts), le PSG a perdu son point d’appui essentiel, l’homme qui lui permet de jouer long et d’offrir une menace aérienne colossale à chaque coup de pied arrêté. En dehors d’un coup franc de Rothen prolongé par une tête hors cadre de Sakho (42e), Paris n’aura pas eu d’impact, hier, dans les phases de jeu. D’une façon générale, il amanqué au PSG l’envergure technique ou l’étincelle individuelle qui lui aurait permis de s’emparer du match. Les milieux rennais ont livré un match suffisamment consciencieux pour compliquer la vie d’un adversaire qui manquait de souffle. Surtout en première période, où le PSG fut une équipe sans âme, hormis le temps d’un une-deux Sessegnon-Giuly (18e). Paris dévoila un peu plus d’épaisseur par la suite. Mais, à force de manquer des passes supposées décisives, comme ce centre en retrait de Ceara vers Giuly (53e), ou d’enchaîner des frappes tout sauf cadrées (Armand, Clément, Sessegnon), il n’avait pas vraiment de chances de contrarier l’après-midi des Lyonnais devant leur télé. Ce fut un match au cours duquel Rothen ne délivra pas de passes inoubliables, qui vit Sessegnon faire peu de différences utiles pour le collectif et Luyindula plus efficace dans ses « décrochages » que dans son jeu dans la surface de réparation. En fin de match, le tir lointain de Makelele que Douchez mit en corner alors que le ballon sortait n’aura servi qu’à rallumer un semblant de flamme au Parc. Rien de plus. Même Le Guen n’a pas paru croire en une révolte, donnant l’impression de subir les événements plus que de chercher à les bouleverser. C’est sûr, dans sa carrière d’entraîneur il a connu des voisins de banc qui offraient plus d’alternatives que Bourillon, Makonda, Barrada, Makhedjouf, Pancrate et Kezman. À 0-0, il a fait entrer Kezman. À 0-1, il n’a plus fait entrer personne. Sa réalité, désormais, ce sont quatre matches pour tenter de transcender son équipe dans sa quête avouée de Ligue des champions. Après un nul à Gerland (0-0) et cette défaite au Parc des Princes, Paris s’oblige quasiment à gagner le 13 mai au Mans. Entre Paris et Lyon, une lutte très fébrile se poursuit pour la troisième place, avec Toulouse à l’affût. L’OL tremble mais, au vu de ce match au Parc, il peut trouver matière à garder espoir : le PSG tremble aussi. JÉRÔME TOUBOUL Citation Hoarau blessé Touché aux adducteurs la veille lors de l’entraînement, Guillaume Hoarau a attendu jusqu’au dernier moment pour savoir s’il serait apte à jouer mais n’a finalement pas pu tenir sa place hier face à Rennes. Présent au bord de la pelouse du Parc des Princes lors de l’échauffement de ses coéquipiers, l’attaquant parisien a été remplacé par Peguy Luyindula. – A. C. Citation PAUL LE GUEN, l’entraîneur parisien, croit au rebond du PSG lors des quatre dernières journées. « Ce n’est pas fini» PAS D’EUPHORIE ni d’esprit de revanche dans la joie du vainqueur. Guy Lacombe s’est simplement contenté de souligner « la maîtrise » affichée par ses joueurs et d’évoquer « le bonheur de gagner, que ce soit en Championnat, en Coupe ou lors d’un tournoi de sixte ». Visiblement peu rancunier, l’ancien entraîneur du PSG, passé casaque rouge et noir, estimait que le score aurait été inversé si Paris avait ouvert le feu le premier : « Ils n’ont pas eu la réussite, nous si. Malgré tout, le PSG a une façon de jouer à laquelle il se tient. C’est cohérent. » La cohérence ne vaut cependant pas grand-chose à la lumière d’un résultat qui exclut toujours le club de la capitale du podium. Paul Le Guen le sait, comme il se doute que son équipe navigue en surrégime depuis quelque temps. « On est quatrième à quatre journées de la fin, dit-il. On n’est pas loin du maxi. On aurait pu être troisième et ne pas sembler à notre place, ç’aurait été très bien aussi. Je n’ai pas envie que cette défaite marque un coup d’arrêt. Ce n’est pas fini, on va essayer de passer devant Lyon d’ici à la fin de la saison. » Mais les opportunités ne se représenteront peut-être pas dans l’immédiat et celle offerte hier n’a jamais été saisie. « Je ne trouve pas que les joueurs ont laissé filer..., reprend le technicien parisien. On n’a pas eu le talent nécessaire pour exercer un “pressing” sur cette équipe de Rennes qui n’a perdu que six matches, pendant 90 minutes. Il nous a aussi manqué quelques atouts. » Comme l’absence de dernière minute de Guillaume Hoarau, blessé aux adducteurs ? « Elle a été très importante, reconnaît Guy Lacombe. On avait travaillé là-dessus pendant la semaine. Bon ! Il a été remplacé par un international, quand même (Luyindula), mais qui correspondait peut-être plus à notre équipe. » Son équipe, justement, va pouvoir préparer sa finale de Coupe de France, samedi, contre Guingamp, dans les meilleures dispositions. « C’était vraiment le match idéal, plaide Nicolas Douchez. On avait besoin de se rassurer et on a retrouvé une solidité défensive. On a été solidaires et on aborde la finale avec beaucoup de confiance. Paris joue le haut du tableau et on savait qu’on allait souffrir. Mais, tactiquement, on a fait un bon match, on est restés en place. » Son entraîneur n’en pense pas moins : « Oui, on s’est rassuré et c’était important avant la finale. Maintenant, contre Guingamp, il faudra être plus fort dans les impacts. Car si les Guingampais font le même match héroïque qu’à Toulouse (2-1, en demi-finales), ce sera dur. » – D. D. et A. C. Citation Leroy plombe le Parc L’HOMME CLÉ : LEROY (Rennes), 6 La partition de Jérôme Leroy n’a pas toujours été sans déchet, notamment lors des trente premières minutes, mais le milieu offensif de Rennes, capable d’éclairs par instants, a encore su être décisif. Aux vingt-cinq mètres, plein axe, l’ancien Parisien a hérité d’une passe piquée de Thomert qu’il a reprise de volée. Sa frappe n’était pas cadrée, mais elle a profité d’une déviation malheureuse de Mamadou Sakho pour tromper Mickaël Landreau. À trente-quatre ans, Leroy, qui a quitté le PSG en septembre 2003, a ainsi indirectement ruiné les espoirs parisiens de monter sur le podium à l’issue de cette 34e journée. PARIS-SG LANDREAU (6) : pris à contre-pied par la reprise de Leroy (66e), il n’avait rien eu à faire avant. CEARA (6) : un ou deux duels perdus face à Moussa Sow, mais une prestation correcte. Z. CAMARA (6) : bien placé et concentré, il a limité les risques. M. SAKHO (4) : malheureux dans l’action du but rennais, il n’a pas toujours pris les bonnes décisions. ARMAND(5) : un apport offensif limité par une douleur au genou. Solide défensivement. SESSEGNON(5) : encore une fois, il a percuté, dribblé, frappé, mais encore une fois il a connu un certain déchet. MAKELELE (4) : une frappe de 35 mètres détournée par Douchez (86e) aurait pu illuminer un après-midi où il ne fut pas toujours en réussite. CLÉMENT(6) : une vraie pile à la récupération du ballon. Sa reprise repoussée a juste manqué de puissance (63e). ROTHEN (4) : aurait pu peser davantage sur son côté. GIULY (4) : disponible dans les intervalles, mais peu présent dans la surface de réparation. Remplacé par KEZMAN (59e), peu en vue. LUYINDULA (4) : a proposé des choses, mais a aussi manqué de lucidité dans le dernier geste, à l’image de son tir sur le poteau (63e). RENNES DOUCHEZ (7) : très rassurant dans ses sorties aériennes. Sauvé par son poteau gauche, après deux arrêts réflexes, et décisif face à Kezman et Sessegnon (62e). FANNI (6) : a bien contrôlé Rothen. MBIA (6) : sûr et autoritaire. AUBEY (6) : réactif. De la présence athlétique et de bonnes relances. BOCANEGRA (5) : a parfois souffert face aux déhanchements de Sessegnon. De bonnes phases offensives. DANZÉ (4) : pas étincelant sur son côté. Une belle frappe, stoppée par Landreau (79e). LEMOINE (7) : très présent à la récupération du ballon, incisif dans les phases offensives. Gagne un bon ballon en gênant Mamadou Sakho (9e) dans la surface de réparation. Br. CHEYROU (6) : une reprise en ciseaux aux 25 mètres, non cadrée (13e). M.SOW(5) : sa puissance a fait la différence face à Ceara. Une bonne frappe des 20 mètres (25e). Remplacé par KEMBO-EKOKO (62e). LEROY (6) : voir par ailleurs. THOMERT (6) : pas d’occasions franches, mais précieux par ses percussions et ses remises. – D. D. et A. C. Citation 81,3 % C’est le pourcentage de tirs cadrés arrêtés par Nicolas Douchez cette saison en Ligue 1. C’est le ratio le plus élevé parmi les gardiens titulaires. Statistique : Opta SportsData L'Equipe. |
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04/05/2009 08:19
Message
#606
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Le Parisien
Citation Encore une fois, le PSG rate un tournant Le PSG pouvait s’installer sur la troisième marche du podium. Mais selon une triste habitude cette saison, les Parisiens, défaits par Rennes, ont craqué sous la pression. Laurent Perrin | 04.05.2009, 07h00 Le PSG veut-il vraiment jouer la Ligue des champions ? Après sa défaite face à Rennes (1-0), la quatrième de la saison au Parc, on peut se poser la question. Alors que la troisième place leur tendait les bras, les Parisiens n’ont rien fait, ou si peu, pour s’y asseoir. Les dix dernières minutes, durant lesquelles ils se sont enfin décidés à emballer le match, ne doivent pas masquer l’aridité de leur prestation. Rothen et ses camarades n’ont pas été dignes de leurs ambitions et ont logiquement quitté la pelouse sous les sifflets de leurs supporteurs. Si Paris veut terminer sur le podium, il ne devra pas uniquement compter sur la déliquescence de l’Olympique lyonnais. « Ce n’est peut-être pas un hasard, confie Zoumana Camara au micro de Canal +. On a raté des tournants majeurs dans ce championnat et nous sommes à la bonne place. Chaque fois qu’on a eu l’occasion de prendre la troisième place, on l’a ratée. » Tout reste possible L’absence de Guillaume Hoarau, forfait de dernière minute, a fortement handicapé le PSG. Ses coéquipiers ne peuvent pas se cacher derrière cette excuse. Ils se sont montrés incapables d’imposer leur rythme et de se procurer de grosses occasions avant cette incroyable action de la 62 e minute qui voit Douchez repousser les tentatives de Luyindula, Clément avant d’être sauvé par son poteau sur une reprise de Luyindula. Cinq minutes plus tard, Sakho marque contre son camp. Personne ne lui en tiendra rigueur, car un match nul n’aurait pas vraiment modifié les enseignements de ce match. Cette 34e journée se solde par un statu quo dans la course aux places d’honneur. Bien sûr, pour Paris, rien n’est perdu. Mais on se demande vraiment si cette équipe a l’étoffe de finir sur le podium. « Si je les compare à Bordeaux contre qui nous avons joué mercredi, il y a un écart, constate Guy Lacombe. Bordeaux a plus de niaque, ils ont été impressionants, ce que je n’ai pas vu à Paris. Mais sur l’ensemble de la saison, Paris fait un championnat de grande qualité. » Le Stade rennais a préparé de façon idéale sa finale de Coupe de France samedi prochain face à Guingamp. Un sommet breton que Guy Lacombe envisage « beaucoup plus dur » que le match au Parc… De son côté, Paris reste dans le flou. La Ligue des champions demeure une douce espérance. Et l’avenir de Paul Le Guen un mystère. Hier soir dans les salons du Parc, face à quelques invités triés sur le volet, l’entraîneur a toutefois laissé échapper cette confidence : « Je suis revenu avec plaisir à Paris et, plus ça va, plus j’aime ce club. » LE MATCH PSG - RENNES 0-1 (0-0) Arbitre : M. Fautrel. Spectateurs : 43 875 . But : Sakho (66e, c.s.c.). Avertissement. Rennes : Bocanegra (55e). PSG : Landreau - Ceará, Camara, Sakho, Armand - Sessegnon, Makelele (cap.), Clément, Rothen - Giuly (Kezman, 59e), Luyindula. Rennes : Douchez - Fanni, Mbia, Aubey, Bocanegra - Danzé, Lemoine, Br. Cheyrou, M. Sow (Kembo Ekoko, 62e) - Leroy, Thomert (cap.). LE BUT 66e. Rennes développe une attaque. Thomert récupère à trente mètres du but de Landreau et adresse une petite passe lobée à Leroy qui la reprend de volée. Son tir, qui sortait, est dévié par Sakho. Landreau est pris à contre-pied. 0-1. LE FAIT DU MATCH 62e. Un centre de la droite de Kezman est repris de la tête par Luyindula. Douchez réalise une superbe parade. Le ballon revient dans les pieds de Sessegnon qui parvient à servir Clément au cœur de la surface rennaise. La reprise du gauche du milieu est encore repoussée par Douchez sur Luyindula dont le tir finit sur le poteau. LE CHIFFRE 5 Comme le nombre de défaites d’affilée du PSG contre Rennes en L 1. La dernière victoire parisienne (1-0) remonte au 28 octobre 2006, lors de la 11e journée de la saison 2006-07. Guy Lacombe était alors l’entraîneur du club parisien. Citation LES JOUEURS Le cauchemar de Sakho Christophe Bérard | 04.05.2009, 07h00 Avec le forfait de dernière minute d’Hoarau, gêné par une douleur à un adducteur, le PSG est resté dans son classique 4-4-2 mais avec un duo offensif Giuly-Luyindula aux caractéristiques trop semblables. Sans Hoarau et sa capacité à jouer les points de fixation, le jeu parisien a été trop décousu. Landreau (5). Longtemps le spectateur le mieux placé du Parc car réduit au chômage jusqu’à un tir croisé de Thomert (54e). Impuissant sur le but rennais. Ceará (5). Volontaire et désireux d’aider ses attaquants. Même si cela implique pas mal de déchets, notamment dans sa lecture de quelques ballons aériens et dans son replacement défensif. Camara (5). Bien implanté dans son axe. Puissant et vigilant quand les Rennais venaient faire un tour dans sa zone. Un peu laxiste après le repos. Sakho (4). Il s’est trop reposé sur son énorme potentiel physique. Mais après un péché d’orgueil qui offre un corner sans conséquences (9e) et des relances trop imprécises, son après-midi a viré au cauchemar quand il a dévié dans son but la frappe de Leroy (67e). Armand (4,5). Défensivement, l’arrière gauche ne s’est pas trop fait bouger. Mais quand il a fallu prendre le couloir, il a beaucoup plus pioché. Sessegnon (6). Nettement plus rigoureux et moins désordonné dans ses dribbles que lors des derniers matchs. Deux tirs trop croisés (18e , 34e), une capacité évidente à éliminer son adversaire direct avec sa technique haut de gamme. Makelele (4,5). L’éternelle question : sa science du recadrage collectif suffit-elle à compenser ses ballons perdus et ses passes dans le vide ? Une belle frappe en fin de match (86e). Clément (5). A l’aise dans le grattage de ballons mais nettement plus imprécis dans les phases offensives, notamment quand il faut écarter le jeu. Du mieux dans ce domaine en seconde période. Rothen (3,5). Un bon coup franc posé sur la tête de Sakho (42e) et un centre pour Luyindula (60e). Pour le reste, sa force de percussion dans le couloir ou dans l’axe a été une nouvelle fois bien légère. Giuly (4,5). Un début empli de mobilité avec toujours le souci de jouer rapidement en une touche de balle. De bons centres (13e , 20e) et une jolie ouverture pour Sessegnon (18e). Mais il a nettement baissé après la pause. Remplacé par Kezman (59e) qui s’est illustré par des méchants tacles. Luyindula (4,5). Sa bonne volonté est indéniable. Mais il a cette tendance à tenter le dribble de trop. A la 62e minute, il manque de chance, son tir est repoussé par le poteau. A Rennes, Douchez a été simplement fantastique sur les tentatives de Luyindula et Clément (62e). L’arbitre, M. Fautrel (note 7), a rendu une copie très propre. Citation « Je ne veux pas que ce soit un coup d’arrêt » PAUL LE GUEN, entraîneur du PSG Propos recueillis par Arnaud Hermant | 04.05.2009, 07h00 Paul LE GUEN est le seul Parisien à s’être exprimé hier. Disert, l’entraîneur est revenu sur cette fâcheuse contre-performance. Que vous inspire cette défaite ? Paul Le Guen. C’est une déception par rapport à l’opportunité que nous avions et aussi un petit peu au regard du déroulement du match. On a eu quelques situations très favorables, mais on a été maladroits et on a eu affaire à un bon gardien. Paris ne s’est vraiment montré offensif qu’en seconde période… Rennes a seulement perdu six matchs cette saison. Cette équipe n’est pas facile à contourner. On a essayé de le faire avec des centres. Mais on n’a pas eu l’opportunité d’ouvrir le score. Le PSG manque souvent les grands rendez-vous. Est-ce lié à un déficit d’expérience ? On peut l’interpréter ainsi. C’est aussi lié à un manque de qualité peut-être. On n’a pas fait un si mauvais match que cela. On a fait ce que l’on a pu ou à peu près. Depuis le début de la saison, on n’est pas loin de notre maximum. On a conscience des enjeux. Je sens l’équipe mobilisée. Après on juge par rapport au score, mais je n’ai pas senti les joueurs nerveux. Il nous a manqué certains atouts, mais on pouvait s’y attendre. Le but de Sakho contre son camp était-il évitable ? On commençait à mettre plus de pression. On était plus entreprenants offensivement, mais on baissait aussi un peu au niveau du repli défensif. Et c’est là qu’on concède le but, un petit peu par un manque de réussite mais ce n’est peut-être pas complètement un hasard non plus. Zoumana Camara a déclaré que Paris était à sa place. Partagez-vous son analyse ? On est quatrièmes à quatre journées de la fin. On aurait pu être troisièmes et ne pas être à notre place non plus. Je n’ai cessé de répéter que Marseille, Lyon et Bordeaux avaient des effectifs supérieurs. Mais quand on a cette opportunité, il faut la saisir. Ça permet à des clubs de gagner du temps dans leur progression. La troisième place est-elle toujours un objectif réalisable ? Je ne veux pas que ce soit un coup d’arrêt. On a échoué ce soir (hier), mais il ne faut pas tout balayer. Je veux que l’on continue à être mobilisés. Il reste quatre matchs. Citation Giuly a joué blessé Ch.B. | 04.05.2009, 07h00 Remplacé à la 58e minute par Kezman, Ludovic Giuly aurait dû céder sa place bien plus tôt. Selon nos informations, il avait demandé à sortir à la pause. Pourtant, le staff technique lui a demandé de reprendre le jeu en seconde période. Face aux Rennais, l’ancien Barcelonais n’a pas disputé la rencontre dans les meilleures conditions physiques. Depuis le match à Lyon (0-0), il souffre en effet d’un problème à la cuisse droite. Il est victime d’une déchirure de l’aponévrose de cette cuisse. Après un début de match encourageant, la douleur s’est réveillée au bout de vingt minutes et l’a empêché d’accélérer comme il le souhaitait. Un tel problème se règle en dix jours avec un entraînement allégé. Giuly n’aurait donc pas dû jouer hier. Désormais, il devra se soigner pendant dix jours. Sa présence pour le déplacement au Mans le 13 mai est d’ores et déjà incertaine. Pour Giuly, le problème est simple : ou il accepte de faire l’impasse sur le prochain match ou alors il prend le risque d’une rechute qui l’empêcherait de disputer les trois dernières rencontres… Citation L’absence d’Hoarau a pesé
Frédéric Gouaillard | 04.05.2009, 07h00 Les dirigeants parisiens, qui négocient en ce moment l’avenir de Guillaume Hoarau au PSG, auront sûrement pointé les conséquences néfastes de l’absence de leur attaquant. Victime d’un problème à l’adducteur gauche, le Réunionnais a dû déclarer forfait hier matin, à quelques heures de ce rendez-vous capital. Son retrait forcé n’est pas l’unique raison de la défaite parisienne. Mais la variété de son jeu, conjuguée à son efficacité, a manqué à une équipe empruntée dans son schéma offensif. Et la défense de Rennes, qui s’attendait à souffrir, a passé une soirée tranquille. « Pour nous, c’était plus facile » « Quand Hoarau n’est pas là, ça leur enlève un point de fixation avec une possibilité de dévier les ballons pour Giuly. Pour nous, c’était plus facile défensivement, notait d’ailleurs Nicolas Douchez, le gardien rennais après la rencontre. Il y a eu beaucoup de centres parisiens, mais on n’a pas été acculés sur notre but. » Une seule fois cette saison, lors du déplacement à Nantes, le meilleur buteur parisien avait fait défaut en raison d’un genou récalcitrant. Comme hier, Paul Le Guen avait fait confiance à la paire Luyindula et Giuly en attaque pour une victoire (4-1). Mais leur réussite à la Beaujoire (trois buts) a contrasté avec les insuffisances et le manque d’automatismes déploré hier soir. « L’absence d’Hoarau a été très importante, insiste Guy Lacombe, l’entraîneur du Stade rennais. Je note qu’il a été remplacé par un international (NDLR : Luyindula) mais ses courses sont différentes et ça correspondait un peu plus à notre équipe. » Le profil du Réunionnais est un atout dont Paris a aujourd’hui beaucoup de mal à se passer. Surtout face à des équipes comme Rennes bien disposées tactiquement. « Evidemment, il nous a manqué, ne peut que déplorer Paul Le Guen. Il est titulaire à chaque match. Donc j’estime qu’il nous apporte notamment au niveau de l’alternance. Il est capable de jouer avec son corps, de remettre les ballons de la poitrine ou de la tête. C’est très utile. » -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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04/05/2009 16:21
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#607
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Hoarau absent quinze jours ? Souffrant des adducteurs, l’attaquant du PSG, Guillaume Hoarau, qui n’a pas été en mesure de tenir sa place dimanche contre Rennes, pourrait être absent pendant quinze jours. Il pourrait ainsi manquer les deux prochains matchs du club parisien, à savoir le déplacement du Mans et la réception d’Auxerre. Un nouveau coup dur pour le club parisien dans la course à la qualification pour la prochaine Ligue des Champions. RMC.fr |
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04/05/2009 20:11
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#608
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![]() Millonario ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 59,437 Inscrit : 28/11/2008 Membre no 9 Tribune : Viré du stade |
Citation Lésion de l’adducteur pour Hoarau Guillaume Hoarau a ressenti une douleur à l'adducteur gauche samedi, à la fin de la séance d'entraînement à huis clos. Les examens complémentaires réalisés ce jour ont révélé une lésion de l’adducteur gauche. Guillaume doit observer des soins ces prochains jours et sera forfait pour les deux prochains matches du PSG au Mans et contre Auxerre. psg.fr |
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05/05/2009 03:53
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - PSG - Le Guen ce sera fini le 30 mai [Le Guen.] L'Equipe révèle, dans son édition de mardi, que Paul Le Guen ne sera plus l'entraîneur du Paris-SG la saison prochaine. Son contrat signé en janvier 2007 court jusqu'à l'issue de la saison 2008-2009. Paul Le Guen n'ira pas au-delà. Contrairement à ce qui s'était passé à Lyon en 2005, où Le Guen lui-même avait résisté à toutes les propositions de prolongation de Jean-Michel Aulas, le Breton a subi, cette fois, une décision de son actionnaire principal. Sébastien Bazin, représentant en Europe de Colony Capital, a longtemps été séduit par le profil et le travail de Le Guen. Mais, au moment d'aborder l'avenir avec son entraîneur, après la défaite contre Rennes (0-1), celui-ci lui a clairement fait comprendre que si Le Guen restait, ce serait avec une influence réduite dans l'organigramme du club. Alain Roche, notamment, chef de la cellule de recrutement en qui Le Guen n'a pas confiance, fait partie des collaborateurs confirmés. Même Yves Colleu, le fidèle adjoint, n'était plus assuré de rester en poste. Le Guen, qui a fait valoir bruyamment ses arguments durant la conversation, a alors compris que son avenir au Paris-SG se bouchait. Le club de la capitale a entrepris la recherche de son successeur. Charles Villeneuve, aujourd'hui démis, avait rencontré Didier Deschamps en début de saison. La piste pourrait être réactivée. Antoine Kombouaré est l'autre nom cité par L'Equipe. lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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05/05/2009 07:19
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#610
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Le Parisien
Citation Hoarau va rater deux matchs C’est une mauvaise nouvelle pour le PSG et pour Guillaume Hoarau qui est tombée hier soir. L’attaquant parisien, blessé à l’adducteur gauche, sera absent les deux prochaines semaines et ratera les rencontres au Mans (le 13 mai) et face à Auxerre (le 16 mai). Forfait de dernière minute contre Rennes (0-1), le Réunionnais a passé hier des examens complémentaires qui ont révélé cette lésion de l’adducteur. Sakho absent lui aussi ? Cette défection est très préjudiciable pour Paris qui reste en course pour une place en Ligue des champions. Dimanche, le PSG est apparu très emprunté en l’absence de son meilleur buteur (20 réalisations). Il devra aussi composer avec l’incertitude liée à la blessure à la cuisse droite de Ludovic Giuly qui pourrait manquer le déplacement au Mans. Mais les problèmes du PSG ne s’arrêtent pas là. Mamadou Sakho pourrait lui aussi rater deux rencontres de championnat face à Auxerre et à Valenciennes (le 23 mai). Avec Tripy Makonda, le défenseur central parisien fait partie de la liste de 18 joueurs que vient de transmettre Jean Galice, le sélectionneur de l’équipe de France des moins de 19 ans, à l’UEFA. Tous ces joueurs sont appelés à participer au Tour Elite qualificatif pour l’Euro 2009, du 14 au 23 mai, avec trois rencontres au menu. « C’est cornélien, constate Jean Galice. On est à l’écoute de l’intérêt des clubs mais la qualification (pour l’Euro 2009) se joue sur ces trois matchs et il faut finir premier. On va donc discuter avec le staff parisien et Gérard Houllier, le directeur technique national. » Citation Le PSG mise sur la stabilité Quel visage aura le PSG la saison prochaine ? Si la question passionne les amateurs de transferts, la réponse peut calmer leurs ardeurs. Même si le club de la capitale se qualifie pour la Ligue des champions, même s’il change d’entraîneur, son équipe type 2009-2010 sera très proche de celle alignée depuis le début du championnat par Paul Le Guen. L’actuel entraîneur, qui participe pleinement à l’élaboration du prochain effectif, est sur la même longueur que Sébastien Bazin, son président, et Alain Roche, responsable de la cellule recrutement. L’idée de base est simple : garder l’ossature actuelle et étoffer le groupe en doublant certains postes. Conserver les cadres. C’est le premier objectif des dirigeants, à commencer par le cas Claude Makelele. L’ancien lieutenant de Zinedine Zidane avait très envie de raccrocher les crampons il y a quelques semaines. Depuis, Sébastien Bazin use de toute son influence pour lui faire comprendre que c’est sur le terrain, pour le moment, qu’il sera le plus utile. A 36 ans, Makelele devrait donc rempiler pour une ultime saison. L’autre cas épineux concerne Mickaël Landreau qui peut faire jouer sa clause de stabilité. Si Le Guen reste, l’ancien Nantais pourrait poursuivre l’aventure. Dans le cas contraire, il faudra trouver de très bons arguments. Zoumana Camara, lui, négocie actuellement une prolongation. S’il n’obtient pas satisfaction, il pourrait prêter une oreille attentive à quelques belles propositions de clubs espagnols. Si Guillaume Hoarau sera toujours parisien dans trois mois, le sort de Stéphane Sessegnon reste incertain. Le Béninois rêve de jouer en Angleterre. Une grosse offre pourrait faire réfléchir le club et le joueur. Le cas de Jérôme Rothen est plus délicat. Au club, personne n’est satisfait de sa saison. Mais personne ne souhaite vraiment s’en séparer… L’objectif est de lui trouver une doublure. Après avoir pensé au Toulousain Jérémy Mathieu, le PSG s’intéresse au jeune Lyonnais Anthony Mounier (voir nos éditions du 26 avril). Dépenser le moins possible. Les autres dossiers concernent un défenseur latéral, un défenseur central, un milieu défensif et éventuellement un attaquant, en fonction des départs. Le profil des recrues est un espoir français ayant fait ses preuves en L 1. Le PSG n’aura pas les moyens d’investir dans des joueurs de niveau international. Et il ne fera pas ses emplettes en Amérique du Sud où il a très peu prospecté cette saison. « Trop risqué », selon un dirigeant. L’autre casse-tête concernera les nombreux retours de prêt : Ngoyi, Boli, Mulumbu, Sankharé, Baning et les Brésiliens Souza et Everton. L’an prochain, Paul Le Guen (ou son successeur) devrait s’appuyer sur un effectif d’environ 25 joueurs. Une qualification en Ligue des champions pourrait permettre de faire un ou deux bons coups, guère plus. Cette politique sportive a été construite sur deux arguments simples : miser sur la stabilité et dépenser le moins possible. Extrait de l'aticle sur le site internet du Parisien concernant le possible départ de PLG Citation Le Guen quitterait le PSG.
Restera, restera pas ? Selon le journal l'Equipe de ce mardi, la question est déjà tranchée. Paul Le Guen l'entraîneur du PSG ne sera plus le coach de l'équipe parisienne la saison prochaine. Selon le journal, tout se serait joué dimanche soir - après la défaite à domicile contre Rennes (0 - 1) - lors d'un entretien entre l'entraîneur breton et le président de l'équipe, Stéphane Bazin. «Sauf très improbable retournement de situation, Paul Le Guen n'entraînera plus Paris après le 30 mai, date de la derrnière journée de L1 », assure le quotidien sportif. Entraîneur du PSG depuis janvier 2007 après avoir entraîné Lyon, Paul Le Guen arrivera à la fin de son contrat à l'issue de cette saison de L1. Il planchait pourtant sur le prochain recrutement du club pour la saison prochaine, «ce qu'il n'avait pas souhaité faire lors de sa dernière saison lyonnaise», explique l'Equipe. Mais la perspective de bénéficier de moyens financiers réduits pour recruter de nouveaux joueurs, et celle de ne pouvoir donner son avis sur le choix de la future équipe dirigeante aurait poussé l'entraîneur vers la sortie. La direction du PSG n'a pas encore commenté ces informations ce matin. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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05/05/2009 08:04
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Résumé de l'article d'Aujourd'hui Sport.
Citation A quel jeu joue Paris avec Hoarau??
Guillaume Hoarau et son agent ont commencé à discuter de sa revalorisation salariale la semaine dernière. Touchant actuellement 80 000 euros bruts par mois, le cub parisien lui aurait proposé, selon les informations du journal, une offre pour le moins surprenante. En effet, le direction parisienne lui aurait proposé une augmentation de 10 000 euros brut à chaque début de saison. Si il allait au bout de son contrat, l'ancien havrais toucherait alors 120 000 euros bruts par mois, ce que veut son agent dès la saison prochaine. A titre de comparaison, Camara touche 120 000 euros bruts par mois, Armand 150 000, Rothen 160 000 et Kezman 250 000. Autre exemple, Bourillon qui n'a disputé que 8 matchs cette saison, touche lui 85 000 euros par mois. Il y a plusieurs façon d'interpréter l'offre de la direction parisienne: - Le PSG, en difficulté financière, ne se lancera pas dans d'importantes revalorisations salariales cet été. - Ce n'était qu'une première réunion de travail et une offre plus adéquate devrait bientôt être transmise au joueur. - Le PSG compte vendre Hoarau cet été. Sa valeur est estimée entre 12 et 15 millions et sa vente permettrait de combler une partie du déficit. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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05/05/2009 08:34
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L'Equipe
Citation Colony sort Le Guen
Paul Le Guen, qui a rencontré Sébastien Bazin dimanche, ne sera plus l’entraîneur du PSG la saison prochaine. En conférence de presse, dimanche soir, Paul Le Guen évoquait sa déception après la défaite contre Rennes (0-1). La désillusion allait suivre, quelques heures plus tard, au moment de rencontrer son président dans un bureau du Parc des Princes. À l’issue de l’entretien, il apparaissait clairement que le technicien breton n’entraînerait plus Paris après le 30 mai. Ce fut une discussion tendue, musclée, avec quelques haussements de ton. Pas vraiment celle à laquelle l’un et l’autre des protagonistes s’attendaient. Mais, quand Sébastien Bazin a laissé entendre à Paul Le Guen que, s’il souhaitait rester l’entraîneur du Paris Saint-Germain la saison prochaine, il n’aurait pas son mot à dire dans le choix de la future structure dirigeante, ni, sans doute, sur le nom de son adjoint, le breton a compris que ses jours à la tête du PSG étaient comptés et que son contrat ne serait pas renouvelé. Prévu depuis pusieurs jours, l'entretien entre le président et son entraineur, dimanche soir, quelques heures après la défaite contre Rennes (0-1), a abouti à la conclusion suivante : sauf très improbable retournement de situation, Paul Le Guen n’entraînera plus Paris après le 30 mai, date de la dernière journée de L 1. En fin de contrat à l’issue de cette saison, celui qui était arrivé en remplacement de Guy Lacombe, le 15 janvier 2007, attendait sûrement autre chose de son entretien avec Sébastien Bazin. Il devait lui dire s’il avait envie, ou non, de rester aux commandes, mais il n’en aura pas eu le temps. Depuis quelques semaines, le président-actionnaire semblait changer d’avis sur son entraîneur. Très longtemps proche de lui, désireux même de le reconduire à son poste, il n’avait ensuite que peu apprécié les mots de Le Guen, avant le quart de finale face au Dynamo de Kiev (0-3). Ce dernier avait parlé du coût « d’une pension complète de 450 euros pour un joueur lors des mises au vert », ainsi que des « petits moyens » du PSG. Pas du goût de Bazin... Mais ces propos ne traduisaient pas une envie de départ de la part de l’entraîneur en place. Au contraire, il planchait déjà sur le recrutement de la saison prochaine et sur les stages d’avant-saison, ce qu’il n’avait pas souhaité faire, par exemple, lors de sa dernière année lyonnaise. Dans l’avion du retour de Lyon (0-0), justement, il y a dix jours, Le Guen s’était montré particulièrement souriant et affable, heureux de constater que son équipe était toujours en lice pour le dernier strapontin vers la Ligue des champions. Cette attitude séduisait davantage le patron de Colony Capital, mais elle n’était visiblement pas non plus de nature à modifier son opinion sur la question. Si Le Guen voulait rester, il devrait se plier à ses conditions. Alain Roche, le gagnant Parmi celles-ci, des moyens financiers pour recruter réduits à leur portion congrue et la volonté demaintenir Alain Roche, responsable de la cellule recrutement, et Bruno Skropeta, directeur de la communication, deux hommes avec lesquels l’exentraîneur de Lyon ne voulait plus collaborer. Or, Bazin les a rencontrés tous les deux la semaine dernière pour leur dire qu’il souhaitait poursuivre avec eux. Autre point de tension, le nom de l’entraîneur adjoint. Le Guen se veut fidèle à Yves Colleu, rencontré à Rennes en 1998. Seulement, ce dernier ne plaît pas à tout le monde au sein du club. Certains ne le trouvent pas assez proche des joueurs, d’autres un soupçon autoritaire. Pas une raison pour s’en séparer, répliquait Le Guen en substance, quitte à déplaire à certains administrateurs qui le souhaiteraient. La litanie des conditions imposées par son futur ex-patron, déjà remonté par la physionomie de la rencontre face à Rennes, a suffi à faire comprendre à Paul Le Guen que son avenir se situait ailleurs que dans lacapitale. Une qualification du PSG en Ligue des champions ne changerait pas grand-chose. Ce départ forcé pourrait en revanche influer sur la décision de Claude Makelele de prolonger sa carrière de joueur d’une année. Certains proches du capitaine parisien laissaient d’ailleurs entendre qu’il resterait plus volontiers sur le terrain avec un autre entraîneur... Le Guen, lui, a encore quatre matches pour boucler son parcours parisien en beauté. Si son désir de continuer à entraîner est intact, il ne semble avoir pris aucun contact. Le PSG, en r evanche, aurait déjà commencé à sonder certains techniciens. Le nom de Didier Deschamps, libre de tout contrat, pourrait revenir à la surface, six mois après avoir été en contact avec Charles Villeneuve, le président de l’époque. Celui d’Antoine Kombouaré est aussi évoqué avec insistance. L’actuel entraîneur de Valenciennes est un ami proche d’Alain Roche. Et ce dernier apparaît comme l’un des grands gagnants de l’histoire. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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05/05/2009 10:44
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Paul Le Guen confirme son départ du PSG Contacté ce mardi par le Parisien ce mardi matin, Paul Le Guen a confirmé qu'il ne serait plus l'entraîneur du PSG la saison prochaine. Son contrat, qui arrive à terme au mois de juin, ne sera pas prolongé. La décision a été prise dimanche soir, à l'issue d'une réunion avec Sébastien Bazin, président du PSG. Le coach du PSG confirme ainsi l'information parue ce matin dans le quotidien l'Equipe. «Sauf très improbable retournement de situation, Paul Le Guen n'entraînera plus Paris après le 30 mai, date de la derrnière journée de L1», assurait ainsi le quotidien sportif. Entraîneur du PSG depuis janvier 2007 après avoir entraîné Lyon, Paul Le Guen arrivera à la fin de son contrat à l'issue de cette saison de L1. Il planchait pourtant sur le prochain recrutement du club pour la saison prochaine, «ce qu'il n'avait pas souhaité faire lors de sa dernière saison lyonnaise», explique l'Equipe. Mais la perspective de bénéficier de moyens financiers réduits pour recruter de nouveaux joueurs, et celle de ne pouvoir donner son avis sur le choix de la future équipe dirigeante aurait poussé l'entraîneur vers la sortie. La direction du PSG n'a pas encore officiellement réagi ce matin. Leparisien.fr |
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05/05/2009 11:20
Message
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![]() Journey Into Space ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 42,746 Inscrit : 30/12/2008 Lieu : Saint-Etienne Membre no 45 Tribune : Canapé |
Citation Exclu RTL : Charles Villeneuve de retour au PSG ? C'est une exclu RTL de Christian Ollivier : Charles Villeneuve est toujours intéressé par la reprise du PSG. L'ancien président du club, limogé par le propriétaire du PSG et représentant français de Colony Capital Sébastien Bazin en février dernier, travaille sérieusement sur l'hypothèse d'un rachat par des financiers du Golfe Persique. Un cabinet d'affaires parisien spécialisé dans la reprise des entreprises a été missionné pour évaluer la valeur du PSG. RTL.fr -------------------- http://www.last.fm/user/stoner_man
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05/05/2009 13:15
Message
#615
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![]() Fils de Bazin ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,579 Inscrit : 17/01/2009 Membre no 580 Tribune : Viré du stade |
Citation Communiqué Le Paris Saint-Germain annonce aujourd’hui la décision du Club de ne pas renouveler, après près de 3 années de collaboration, le contrat de son entraîneur Paul Le Guen qui arrive à échéance le 30 juin 2009. Le nom de son successeur sera rendu public dans les prochaines semaines, Paul Le Guen assumant pleinement ses fonctions jusqu’à la fin de son contrat. Cette décision intervient à ce stade de la saison car le Paris Saint-Germain entame la préparation de la saison prochaine. Le Paris Saint-Germain tient à saluer l’engagement de Paul Le Guen et son travail depuis près de trois ans comme entraîneur du Paris-Saint Germain. Grâce à lui, son successeur héritera d’un club aux fondamentaux humains et financiers solides et d’une équipe qui sait faire la preuve de sa cohésion et de ses qualités. Paul Le Guen a su tenir le cap dans des périodes difficiles et redonner au Paris Saint-Germain l’ambition qui lui permet de figurer aujourd’hui parmi les premiers clubs français. Cette ambition demeure intacte pour la fin de saison et les saisons à venir. PSG.FR |
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05/05/2009 17:54
Message
#616
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,835 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 137 Tribune : Canapé |
Citation Bazin au Camp des Loges Sébastien Bazin, le président du Paris-SG, était présent mardi soir au Camp des Loges, quelques heures après l'annonce du départ de Paul Le Guen à l'issue de la saison. Le représentant européen de Colony Capital a pénétré seul dans le centre d'entraînement du club parisien à 18h35 pour rencontrer les joueurs et échanger avec eux. Le Guen et son adjoint Yves Colleu, qui sont habituellement les derniers à partir, avaient quitté les lieux quelques minutes plus tôt. Ludovic Giuly nous a déclaré que le départ annoncé de son entraîneur «l'avait surpris» Lequipe.fr |
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05/05/2009 17:59
Message
#617
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
So Foot
Citation PSG : Qui après Le Guen ?
mardi 5 mai 2009 Le Guen dehors, tout redevient possible à Paris. De Kombouaré à Rijkaard en passant par Fernandez et Lenoardo, revue d’effectif des candidats possibles au banc parisien. Qu’ils soient plus ou moins crédibles importe peu : ici c’est Paris ! Le scénario L1 Bon bah on va pas se mentir : Paris, c’est fini. Oubliées les années Canal, les grands noms, les trophées. Aujourd’hui, le PSG est un club de L1 comme un autre. Le Guen parti, c’est donc au milieu de tableau que Bazin ira pêcher son remplaçant. Le nom qui revient le plus : Antoine Kombouaré. Sur le papier, le profil de “Casque d’or” est parfait : ancien joueur de club époque Canal, première expérience d’entraîneur réussie, fraîcheur du débutant, et même un passage concluant à la réserve du PSG sous Luis II. Sur le terrain, c’est autre chose : le garçon est connu pour rentrer dans ses joueurs, insulter les arbitres, et passer au moins un jour par semaine en commission de discipline. Carotte et bâton, donc. Le risque : voir l’Antoine sortir en conférence de presse le 22 long rifle à la première crise sportive. Ou le voir fracturer l’arcade de Rothen à sa première jérémiade. Si c’est pas le Kanak de Valenciennes, ce sera peut-être le Corse de Nice. Grillé par Deschamps pour le poste à l’OM, Frédéric Antonetti semble en course pour le PSG. Son problème, c’est qu’il a le même côté sanguin que Kombouaré, plus un autre désavantage, et un sacré : l’accent. L’an dernier, Michel Moulin avait déjà trébuché sur le même obstacle. Qui, alors ? Eh ben ils ne sont pas 3000. Rudi Garcia ? Pas con : né en banlieue parisienne et supporter notoire du PSG, qu’il rêverait d’entraîner, le coach de Lille a réussi à transformer une équipe solide et ennuyeuse en une escouade offensive, sans véritable numéro 9 qui plus est : pile le challenge parisien de 2010. Surtout que Garcia, qui ressemble à un jeune Le Guen - sympathie et beau jeu en plus -, pourrait ramener Bastos, Obraniak ou Mavuba dans ses valises. Bref, la panoplie idéale. Bazin si tu nous entends… Le scénario canal historique Quoi, un changement d’entraîneur à Paris et on n’a même pas prévenu Luis ? Oh ! En train de sauver Reims, Fernandez ne manque pas de bulles. 1) il aime le club parisien. 2) en quelques mois, il a encore fait des miracles et transformé ses « joueurs » de Province en machines à gagner. Si Bazin le rappelait, Luis pourrait en outre rapatrier Jérôme Leroy, et trouver une petite place à Llacer dans l’organigramme du club : le rêve de Boulogne. Sinon, il y a Ricardo, bientôt viré de Monaco. Lui aussi connaît bien la maison, lui aussi a déjà ramené du trophée (Coupe de France et Coupe de Ligue 98, finale de Coupe des Coupes 97), et lui aussi a déjà pris un bon paquet de vannes quand il tenait le banc de Paris : un profil impeccable, donc. Et pourquoi pas un ticket Luis-Ricardo, tiens ? S’ils ont besoin d’un « manadjeur à l’anglaise », les deux gars pourront appeler Carlos Bianchi. L’ancienne gloire seventies du club se fait chier à Boca, dans un poste de directeur technique qui ne sert à rien. Tant qu’à parler d’Amérique du Sud, une autre idée de triple ticket vient d’ailleurs à l’esprit : Valdo-Raï-Leonardo, soit les trois hommes maîtrisant le mieux la langue française à avoir jamais porté le maillot parisien. On n’est pas sûrs de voir des victoires, mais niveau classe, ce serait impeccable, il faut bien l’avouer. Comme un retour au PSG Hechter, en fait. Le scénario James Bond Ici c’est Paris ! Tour Eiffel, boîtes de nuit, Champs Elysées et Pink Paradise, le PSG ne sera jamais un club comme les autres. Et s’il y a un homme qui l’a compris, c’est bien Charles Villeneuve. Mis de côté par Bazin, Charly prépare son retour, avec des investisseurs persiques plein les poches du treillis. Son rêve : Arsène Wenger sur le banc, et des champions 98 en veux-tu en voilà. Après Makélélé et Giuly, on le voit bien revenir cette année avec Vieira, Gallas et Pirès. Si Villeneuve rate son coup d’État, ce ne sera pas une raison pour perdre espoir. L’Europe entière est remplie d’entraîneurs prestigieux prêts à tous les sacrifices pour emmener leurs femmes rue St Honoré. Dans le désordre, Klinsmann, Rijkaard, Van Gaal, Ranieri, Ancelotti. Et Johan Cruyff, il fait quoi l’an prochain ? Sdazz Gnocchi -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
Form is Temporary. Class is permanent. |
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05/05/2009 20:05
Message
#618
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Rothen : « Je commence à être lassé » Après l’annonce du départ de Paul Le Guen à la fin de la saison, Jérôme Rothen exprime sa déception et regrette le manque de stabilité règnant au sein du PSG. Jérôme Rothen, que pensez-vous du départ officiel de Paul Le Guen ? Il m’a apporté humainement pendant deux ans et demi. Même si ça n’a pas été évident sportivement au début, il a fait avec le groupe qu’on lui a donné. On a vécu une saison dernière catastrophique et ce qui se passe cette année n’était pas gagné d’avance. Personnellement, il a su me redonner la confiance que j’avais perdue sous Guy Lacombe. Il reste quatre matches pour finir le mieux possible avec lui. Avait-il le soutien de tout le monde au club ? Je pense qu’il était de plus en plus isolé. Il n’a pas été aidé d’entrée par l’arrivée d’un nouveau président (Charles Villeneuve). Paul avait vu que tout le monde ne tirait pas dans le même sens et qu’il valait mieux changer ou faire en sorte que tout le monde puisse se regarder dans les yeux, ce qui n’était plus le cas. Ces derniers temps, on sentait qu’il y a avait des gens pour et des gens contre. C’est chiant de sentir ça et j’espère que ça ne nous portera pas préjudice pour aller chercher la troisième place. Chez les joueurs, il ne semblait plus avoir que votre soutien et celui de Mickael Landreau… Je ne sais pas si nous n’étions plus que deux. Paul était là et ça s’est bien passé avec nous, comme avec d’autres joueurs. Il n’était pas en guerre avec les joueurs. Je pense que c’est plus au niveau du club et de l’encadrement. On va voir désormais ceux qui auront le sourire et ceux qui l’auront moins. Ce n’est que mon avis. Je suis déçu de son départ parce que c’est quelqu’un qui avait apporté une certaine sérénité malgré les difficultés. Le PSG est-il voué à l’instabilité ? On était stable depuis deux ans et demi avec Paul. On ne pouvait pas se plaindre. Maintenant, il y a tout à refaire et ça risque d’être compliqué à l’intersaison. Ce nouveau changement peut-il avait une influence sur votre avenir au club ? On finit la saison et on verra. C’est vrai, je commence à être lassé de tout ca. Pour n’importe qui, les changements perpétuels ne font pas plaisir. Aujourd’hui, je vois qu’on est plus que trois joueurs par rapport au groupe d’il y a trois ans. C’est maintenant aux dirigeants de mettre tout en place pour avoir une équipe encore compétitive la saison prochaine. Que pensez-vous de l’arrivée à Marseille de votre ancien entraîneur à Monaco, Didier Deschamps ? Ca me satisfait parce qu’il a montré ses qualités d’entraineur dans plusieurs clubs et l’OM manquait d’un homme comme ça. C’est là qu’il a vécu ses plus belles en tant que joueur. Je suis content pour lui et je vais lui envoyer un texto pour le féliciter. Il m’a apporté énormément, j’ai connu le haut niveau et l’équipe de France avec lui. J’ai donc un grand respect par rapport à tout ça. Sa réussite à Monaco et à la Juve n’est pas anodine. RMC.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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05/05/2009 20:13
Message
#619
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,395 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Le Mans Membre no 33 Tribune : Canapé |
Citation PSG/départ de Le Guen : la version du directeur-général Le départ de l'entraîneur du Paris SG Paul Le Guen en fin de saison, officialisé mardi, a été motivé par le «besoin d'un nouveau souffle», a dit le directeur général du club Philippe Boindrieux dans un entretien à l'AFP. Le départ en fin de saison de Paul Le Guen avait été décidé à l'issue d'une réunion dimanche avec son actionnaire-président Sébastien Bazin. «Il a été évoqué un manque de moyens financiers et le départ éventuel d'Yves Colleu (adjoint de Le Guen) pour expliquer le départ de Le Guen. C'est totalement faux !», a assuré à l'AFP M. Boindrieux, qui s'est rendu au Camp des loges avec M. Bazin mardi après-midi. L'actionnaire-président s'est entretenu, pendant environ une heure, avec les joueurs à l'issue de l'entraînement. Paul Le Guen l'avait précédé en leur parlant avant le début de la séance. Mais les deux hommes ne se sont pas croisés, Paul Le Guen ayant quitté le terrain une dizaine de minutes avant l'arrivée de Sébastien Bazin. «Le départ de Paul est avant tout lié à un besoin d'un souffle nouveau», a expliqué le DG du club, réfutant que la discussion entre M. Bazin et le technicien breton dimanche ait été «houleuse». «Cela a été une discussion pour savoir comment on pouvait apporter (au club) et aller plus loin», a ajouté M. Boindrieux, qui n'était pas présent dimanche lors de l'entretien. «Paul est resté deux saisons et demi au club et a maintes fois démontré ses qualités d'entraîneur. Mais nous étions arrivés en fin de contrat et il y a eu une réflexion», a-t-il poursuivi. L'hypothèse Kombouaré "précipitée" «Nous avons été clairs avec Paul, nous ne souhaitions pas nous précipiter et nous avions souhaité avoir cette discussion le plus tard possible. Le moment était venu», a dit le directeur général. Quant au profil du successeur de Le Guen pour la prochaine saison, M. Boindrieux a jugé «totalement précipitée» l'hypothèse Antoine Kombouaré, l'actuel entraîneur de Valenciennes et ancien joueur du club parisien. «Nous avons identifié certains candidats, en France et à l'étranger. Maintenant que la situation est clarifiée, nous allons pouvoir discuter avec eux», a-t-il précisé, sans vouloir dévoiler les noms de ces candidats. leparisien.fr -------------------- "Le prix de Pastore, c'est dix ans de Sidaction. C'est triste à dire mesdames messieurs, mais c'est le monde dans lequel on vit" Stéphane Guy.
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06/05/2009 01:30
Message
#620
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Débutant Groupe : Banned Messages : 35 Inscrit : 25/04/2009 Membre no 935 Tribune : Non précisée |
Citation Kombouaré favori pour succéder à Le Guen COMME le révélait hier "L'Equipe", Paul Le Guen quittera le PSG le 31 mai à l'issue de sa dernière année de contrat. Reste à lui de trouver un successeur. Sébastien Bazin, directeur Europe de Colony Capital, propriétaire du PSG, prépare d'ores et déjà la saison 2009-2010. Il a arrêté son choix sur trois ou quatre entraîneurs. Deux noms se détachent : Antoine Kombouaré, actuellement sous contrat avec Valenciennes, et Jean Tigana, libre. Parmi les autres pistes évoquées sont cités Christian Gourcuff, sous contrat à Lorient, Reynald Denoueix, libre. Bazin n'exclut rien, même pas les pistes étrangères. Officiellement, il n'a contacté personne : pourtant il aurait rencontré Didier Deschamps il y'a peu... Mais il semble bel et bien ce matin que sa priorité soit Antoine Kombouaré qu'il apprécie. Enfin du club, le Kanak reste à tout jamais le dernier buteur du fantastique PSG-Real Madrid (4-1), quart de finale de la Coupe de l'UEFA en 1993. Comme Paul Le Guen, il figure parmi les derniers joueurs champions de France avec le PSG en 1994. Il a surtout entraîné de 1999 à 2003 la réserve du PSG et tous les observateurs de l'époque se souviennent d'un jeu séduisant prôné par ce coach de 45 ans. Depuis la fin de son parcours pro, il mène une carrière d'entraîneur remarquée, commencée au plus haut niveau à Strasbourg en 2003. La même année, Alain Cayzac, alors président de l'Association PSG, avait soufflé son nom pour succéder à Luis Fernandez. Canal+ lui avait alors préféré Vahid Halilhodzic. Dans les interviews récentes, Kombouaré s'est dit prêt à tenter un nouveau challenge après avoir maintenu trois saisons de rang Valenciennes parmi l'élité, une manière d'exploit. Tigana, l'autre piste sérieuse Kombouaré connaît quasiment par coeur le PSG où il pourrait retrouver un intime, Alain Roche, le responsable de la cellule de recrutement qui devrait d'ailleurs voire ses prérogatives élargies. Son arrivée mettrait fin à la guéguerre que se livraient depuis plus de deux Le Guen et Colleu d'un côté, Roche et Pécout de l'autre, véritable épine pour le club de la capitale dans son fonctionnement. L'autre piste très sérieuse conduit à Jean Tigana, libre. Ce technicien de 55 ans jouit d'une solide réputation. Quintuple champion de France, comme joueur (trois fois avec Bordeaux, deux avec Marseille), il a également été sacré comme entraîneur en 1997 avec Monaco. Il a dirigé quatre clubs - Lyon, Monaco, Fulham et Besiktas - où il a laissé des souvenirs contrastés. Son nom revient régulièrement quant il s'agit de changer de sélectionneur national, preuve d'une cote d'amour intacte. Aujourd'hui, il mène un match à distance avec Kombouaré. Arnaud HERMANT et Dominique SEVERAC Le Parisien du 6 Mai |
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