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Homer
posté 24/01/2014 16:16
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Rabiot bientôt de retour

Blessé au genou droit lors du match de Coupe de la Ligue à Bordeaux (3-1), Adrien Rabiot pourrait effectuer son retour à l’entraînement dans quelques jours. « Les nouvelles sont très positives, a affirmé Laurent Blanc ce vendredi en conférence de presse. Il trottine, court, et fait de la muscu. Il sera à l’entraînement en début ou milieu de semaine prochaine. »

Le coach parisien a par ailleurs assuré qu’Ezequiel Lavezzi n’avait pas été mis au repos pour le 16e de finale de Coupe de France contre Montpellier (1-2), mardi. Blanc a tenu à préciser que l’Argentin était en vérité blessé à l’adducteur.


L'Equipe.fr


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JoK-IdF
posté 24/01/2014 20:18
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Foot : Blanc d'accord avec Ancelotti sur le «manque de professionnalisme des Français»
Publié le 24.01.2014, 19h10 | Mise à jour : 19h50

L'entraîneur du PSG Laurent Blanc a abondé vendredi dans le sens de son prédécesseur Carlo Ancelotti, qui a récemment pointé du doigt le manque de professionnalisme des joueurs français.

«Au niveau de la culture footballistique du haut niveau, on a une carence, a estimé Blanc.

PSG : Ancelotti pas tendre avec les joueurs français PSG : Ancelotti pas tendre avec les joueurs français Quand Ancelotti épingle la mentalité française… Quand Ancelotti épingle la mentalité française… Les Français du PSG sont-ils fainéants ? Les Français du PSG sont-ils fainéants ? Le constater c'est bien, le corriger ce serait mieux. Il n'y a pas que lui qui a fait ce constat. Je me souviens que Robert Herbin (Ndlr : ancien entraîneur de Saint-Etienne) avait déjà mis l'accent là-dessus en disant que les joueurs étrangers avaient la culture du travail alors que les Français préféraient autre chose plutôt que de travailler, récupérer et anticiper.»

Pour l'entraîneur du club de la capitale, il est important de faire évoluer les mentalités dans l'Hexagone, notamment auprès des jeunes joueurs. «Il y a une grosse différence de culture entre les joueurs français et étrangers au niveau du travail et du déroulement de l'entraînement, a-t-il ajouté. Paradoxalement, quand les joueurs français vont à l'étranger, ils s'habituent à la culture locale. J'ai pu le vérifier moi-même quand je suis parti à l'étranger. Il faut essayer de faire comprendre (aux Français, ndlr) qu'une semaine d'un joueur de haut niveau, ce n'est pas qu'une heure d'entraînement (par jour, ndlr). Il faudrait l'inculquer aux jeunes.»

En Ligue 1, les joueurs français sont «moins concentrés» sur le football

Pour le champion du monde 1998, les Français évoluant à l'étranger ont davantage de choses à gérer que le football. «A l'étranger, le joueur français a moins de choses à faire. Il n'y a pas de famille, pas d'amis, il est concentré sur son sujet. Ici il y a peut-être une rencontre avec la belle-mère... A l'étranger, vous n'avez pas ce problème-là. Je plaisante mais à peine. C'est la faute de la belle-mère si elle appelle et demande au joueur de venir la chercher et que vous dites oui au détriment d'une heure de récupération ou de musculation», a également expliqué Laurent Blanc dans un sourire.

Dans un entretien au Financial Times le 18 janvier, Carlo Ancelotti, ancien entraîneur du PSG en poste au Real Madrid, avait évoqué l'absence de «mentalité de gagnants» chez les joueurs français.

«A Paris, il fallait vraiment partir de très très bas, avait-il déclaré. L'entraînement était à 11 heures du matin. Ils arrivaient à 10h30 puis repartaient à 12h30 ou 13 heures. Ce n'était pas facile de leur dire de rester plus longtemps pour bien manger, bien récupérer, tous les jours. En ce sens, Zlatan Ibrahimovic avait beaucoup d'importance par son professionnalisme. Il est vraiment un exemple pour les autres, toujours très concentré. Et en six mois, nous avons eu des résultats».

http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris-sa...014-3524333.php
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Homer
posté 25/01/2014 10:13
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Le PSG et Blanc d’accord pour prolonger l’aventure

Un accord a été trouvé entre les dirigeants parisiens et leur entraîneur, qui devrait rapidement prolonger son contrat jusqu’en 2016.

Echaudé par le départ mouvementé de Carlo Ancelotti l’été dernier, le PSG a décidé d’imposer son tempo à ses entraîneurs. Ainsi, à peine plus de six mois après son intronisation, Laurent Blanc est sur le point de prolonger son contrat. Selon nos informations, les deux parties sont parvenues à un accord de principe cette semaine.
L’ancien sélectionneur des Bleus sera bientôt lié au PSG jusqu’en 2016 et, à partir du 1er juillet 2014, il percevra un salaire d’environ 500 000 € brut mensuels (hors primes), soit 6 M€ annuels. Le contrat signé en juin dernier prévoyait un engagement de deux ans. En réalité, il s’apparentait davantage à un bail d’un an assorti d’une année supplémentaire, car la majeure partie de ses salaires était concentrée sur sa première année (environ 400 000 € brut mensuels cette saison, contre 35000 en 2014-2015).

A l’automne, comme nous le révélions dans nos éditions du 26 novembre, le PSG avait adressé à Blanc une proposition de contrat. Tout s’est accéléré mardi. Jean-Pierre Bernès, l’agent de l’entraîneur, a rencontré à Paris Jean-Claude Blanc, le directeur général du club, afin de finaliser les nouvelles modalités du contrat du technicien. Le soir même, Bernès dînait avec Blanc pour lui rapporter l’avancée des négociations et lui transmettre la bonne nouvelle.

Une seule clause aurait été modifiée par rapport à la proposition initiale. La dernière année de Blanc ne serait plus conditionnée à l’obtention du titre de champion de France en 2015.

Le raté en Coupe de France n’a pas pesé dans la balance

Contesté de manière parfois brutale et infondée à son arrivée, Laurent Blanc a réussi à imposer sa méthode et à gagner la confiance de son président, Nasser al-Khelaifi. Les deux hommes s’apprécient. Le président parisien aime le management de l’entraîneur français et surtout la qualité collective affichée par l’équipe. Le PSG offre une identité de jeu spectaculaire et plaisante, ce qui n’était pas le cas sous Ancelotti. En prolongeant Laurent Blanc aussi vite dans la saison, alors qu’il n’a encore rien gagné et que son équipe vient d’être éliminée de la Coupe de France, la direction parisienne envoie un message fort. C’est avec lui qu’elle s’imagine remporter la Ligue des champions, son objectif suprême. En achetant le club en juin 2011, Qatar Sports Investments (QSI) s’était donné cinq ans pour y parvenir… Soit 2016, comme la fin du nouveau contrat de Laurent Blanc.


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La Roma ferme la porte à Pjanic

A une semaine de la fin du mercato hivernal, Laurent Blanc n’a pas renoncé à l’idée de renforcer son entrejeu. « Oui, je veux toujours un milieu de terrain », a répété hier l’entraîneur parisien. Celui-ci a pour la première fois confirmé les discussions entamées pour recruter Yohan Cabaye (Newcastle) mais aussi Miralem Pjanic (AS Roma).
« Vous avez cité deux cibles, Cabaye et Pjanic. Ce sont deux joueurs qui nous intéressent, avec un profil très technique. Est-ce que ça va se concrétiser au niveau des négociations? Je n’en sais rien. Mais, si une recrue arrive, je serai content, sinon je ne serai pas agacé ni déçu. Je ferai avec. »

La réponse du club romain à propos de Pjanic n’a pas tardé à claquer, démentant les propos de l’entraîneur parisien. « L’AS Roma tient à souligner qu’il n’y a aucune négociation en cours concernant un départ de Miralem Pjanic. Le joueur n’est pas à vendre », ont réagi dans la foulée les dirigeants du club de la capitale italienne sur Twitter. « Un transfert est impossible, ce serait la révolution à Rome, à moins de verser 50 M€ plus Pastore », confirme un agent proche de l’équipe romaine.

Blanc est aussi revenu sur le cas de Jérémy Ménez, proche d’un départ. A demi-mot, l’entraîneur parisien a invité son attaquant à quitter Paris s’il souhaitait gagner du temps de jeu. « D’après ce que j’entends, il (Ménez) veut rester jusqu’à la fin de son contrat, c’est son droit. Le joueur lui-même n’est pas venu me demander à partir. » Quitte à rater la Coupe du monde? « C’est une réflexion à avoir, une réflexion très personnelle », a ajouté Blanc, sibyllin.

De l’autre côté des Alpes, la Fiorentina est très intéressée par le profil de l’international tricolore. D’autant que Daniele Pradè, son directeur sportif, connaît bien Ménez pour l’avoir côtoyé à la Roma. Il reste à s’entendre sur les conditions et, là, les dirigeants florentins semblent moins confiants, surtout si le Français réclame que son salaire soit revu à la hausse après avoir résilié avec le PSG.


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Adrien Rabiot va beaucoup mieux selon Laurent Blanc. « Les nouvelles sont bonnes, a déclaré l’entraîneur au sujet de son milieu blessé au genou. Aujourd’hui, Adrien trottine, il fait de la musculation. Si ça continue comme ça, il pourra s’entraîner au début ou au milieu de la semaine prochaine. »


Le Parisien.fr

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Le PSG doit se rassurer

Trois jours après son élimination en Coupe de France, le PSG est attendu à Guingamp (17h00). Le club de la capitale doit réagir, mais aussi se rassurer.

Si elle présente l’avantage d’avoir quelque peu allégé son calendrier, la désillusion de mercredi en Coupe de France au Parc des Princes contre Montpellier (1-2) a laissé des traces au PSG. « La déception a été grande », a avoué Laurent Blanc, qui a méticuleusement analysé le match avant de se projeter sur celui de Guingamp. S’il a reconnu que son équipe avait plutôt réalisé « de bonnes choses », il s’est quelque peu étranglé une fois n’est pas coutume devant le manque de réalisme de ses joueurs offensifs, qui n’ont trouvé qu’une fois la clé, par Cavani.

En même temps, son secteur défensif n’est pas une garantie tous risques non plus en ce moment. Face aux Héraultais, le PSG a encaissé deux buts identiques, soit de la tête sur coups de pied arrêtés. Pour expliquer cette fébrilité, Blanc évoque le turnover. « Quand l’équipe tournera moins j’espère qu’on retrouvera notre solidité défensive, a déclaré le Cévenol. C’est une des explications, peut-être pas la seule. Quand on change souvent d’équipe, il n’est pas facile de trouver une osmose. Il y a des choses à améliorer. En attendant, on va travailler. On ne peut pas marquer cinq buts à chaque fois, et si on pouvait ne pas en prendre ce serait très bien. »

Blanc : « On a la ferme intention de prendre les trois points, on en a besoin. »

Blanc a déjà prévenu que l’équipe alignée devant Montpellier ne serait pas celle qui débutera ce samedi au Roudourou. « Le Championnat est une autre compétition, a-t-il dit. On ira à Guingamp avec le respect de cette équipe, qui nous avait posé des problèmes à l’aller (victoire du PSG 2-0 au Parc). On a la ferme intention de prendre les trois points, on en a besoin. » Dans les Côtes-d’Armor, l’engouement sera une nouvelle fois bien présent pour se délecter du spectacle face à ce Paris Galactique. « Il n’y a qu’à Brest où l’on n’a pas joué à guichets fermés, a regretté Blanc. Ce qui se passe avec nous, c’est que les gens vont voir leur équipe de coeur contre une grande formation avec l’espoir de la voir gagner. » Un déplacement en tout point piégeux pour le leader du Championnat.


L'Equipe.fr


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Jean Francisco
posté 25/01/2014 11:23
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QUATRE CLUBS SUR MÉNEZ

Lyon, Saint-Étienne, Monaco et la Fiorentina sont les clubs où pourrait atterrir le Parisien Jérémy Ménez (26ans), dont le contrat expire en Juin. Hier, Jean-Claude Blanc, directeur général du PSG, s'est entretenu avec Jean-Pierre Bernès, l'agent du joueur. Les deux hommes, qui entretiennent d'excellentes relations, ont évoqué la possibilité d'une prolongation d'un an ou deux. Paris ne le prêtera pas cet hiver. Ménez, lui, ne prolongera que si son contrat comporte une clause libératoire valable l'été prochain. Si l'ex-Romain devait être transféré dès ce mercato, ce serait pour un prix estimé à 6 M€.


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39

Aucun des 39 derniers matches du PSG ne s'est soldé par un 0-0, plus longue série en cours. Il faut remonter au 11 janvier 2013 pour voir le club de la capitale réaliser un matche nul et vierge (contre l'AC Ajaccio).

L'équipe
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Homer
posté 25/01/2014 22:10
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Le PSG a souffert à Guingamp

Trois jours après son élimination en Coupe de France, le Paris-SG a arraché le match nul sur la pelouse de Guingamp (1-1). Alex a répondu à Yatabaré en fin de match. Le PSG conserve six unités d'avance sur Monaco.

Trois jours après son couac en Coupe de France, le Paris-SG est encore tombé sur un os. Ce samedi, sur la pelouse amochée du Roudourou, le club de la capitale a été tenu en échec par une vaillante équipe de Guingamp (1-1), à la solidité défensive exemplaire. Il y a cinq mois au Parc, le PSG avait déjà souffert le martyr pour arracher trois points aux Bretons (2-0), les deux buts ayant été marqués à l’époque dans le temps additionnel. C’est encore en fin de match que les filets ont tremblé cette fois dans les Côtes-d’Armor. En cas de succès dimanche soir à domicile contre Marseille (21h00), Monaco reviendra à trois longueurs des Parisiens, dont la place de leader s’est peut-être fragilisée.

Face au 4-5-1 aligné par Gourvennec, les hommes de Blanc n’ont jamais trouvé la solution. Pis, ils ne se sont presque jamais montrés dangereux. Ce qui est presque invraisemblable quand on connaît la force de l’armada parisienne en attaque. En première période, seule une frappe de Zlatan Ibrahimovic a obligé Guy N’Dy Assembé à une parade (43e). Et, après la pause, Cavani a vu son but refusé pour hors-jeu (52e), avant que Maxwell ne frappe au-dessus (80e). Heureusement pour Paris, Alex a égalisé de la tête sur corner (87e).

Un penalty oublié pour Guingamp...

Ce but fut un véritable soulagement pour une équipe de Paris qui n’a donc pas vu le jour, à l’image de Javier Pastore, titulaire mais invisible pendant 70 minutes. Les 18 000 spectateurs du Roudourou ont plutôt apprécié l’activité des Rouge et Noir, qui auraient mérité un penalty pour une faute évidente de Marquinhos sur Yatabaré, après que Sirigu ait repoussé la frappe de Alioui sur sa transversale (45e). Mal payé, l’En Avant est reparti à l’attaque après le repos et c’est en toute logique que Yatabaré s’est vengé d’une tête victorieuse sur un corner d’Alioui (80e). C’est le troisième but de suite que Paris encaisse sur une tête consécutive à un coup de pied arrêté après ceux de Montpellier. Blanc pestait contre sa défense cette semaine. Difficile de ne pas le comprendre.


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Blanc : «On n'est pas avantagés»

Sans vouloir «se retrancher» derrière cette excuse, l'entraîneur du Paris-SG Laurent Blanc a estimé que l'état «déplorable» du terrain n'avait pas avantagé son équipe, tenue en échec à Guingamp (1-1), samedi.

«Laurent Blanc, comment expliquez-vous les difficultés rencontrées par votre équipe ?

C'est toujours difficile de gagner les matches. On était venus gagner même si on a avait beaucoup de respect pour cette équipe de Guingamp. On peut penser que notre but est logique mais, à cinq minutes près, on perdait. C'est une déception mais je retiens surtout la satisfaction qu'on n'a pas lâché. On est revenus au score et on a pris un point mérité, je trouve, sur l'ensemble du match.

Vous semblez moins efficaces, à l'image du match perdu contre Montpellier mercredi en Coupe de France (1-2)...

Contre Nantes il y a dix jours, vous étiez tous unanimes pour dire qu'on avait été efficaces ! Contre Montpellier, on aurait dû marquer plus de buts. Aujourd'hui (samedi), on a été moins bons. Pourquoi ? Je ne veux pas me retrancher uniquement derrière ça mais l'état du terrain était déplorable. C'est le cas pour les deux équipes mais cela a défavorisé l'équipe qui fait le plus de jeu. Les terrains souffrent en cette période mais, quand votre jeu est basé sur les décalages et ne pas envoyer des ballons, c'est difficile sur un terrain comme ça. On le savait, il faut faire avec, ce n'est peut-être pas la dernière fois, mais je me dis qu'on n'est pas avantagés.

Malgré tout, vous avez peu souvent inquiété le gardien de Guingamp Ndy Assembe...

Attention, on n'a pas tout fait bien. Notre première période a été poussive mais, si nous on a été poussifs, Guingamp a été quoi? On a eu le monopole du ballon car Guingamp nous a attendu énormément, ils ont eu deux ou trois situations dangereuses dont ils ont profité sur coup de pied arrêté, des occasions à saisir contre nous en ce moment... Mais on aurait pu perdre ce match 1-0. Je ne suis pas inquiet, je ne suis pas inquiet de nature, mais on a pris trois buts sur coups de pied arrêtés en deux matches (avec Montpellier) alors qu'on en n'avait pas pris depuis le début saison. On va travailler. Et je rappelle aussi que Thiago Silva n'était pas là ce soir.»


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Gourvennec : «Pas vraiment de regrets»

Même si son équipe est passée tout près de la victoire ce samedi face au PSG (1-1), l'entraîneur de Guingamp, Jocelyn Gourvennec, s'est dit satisfait du point pris.

Jocelyn Gourvennec (entraîneur de Guingamp) : «Je n'ai pas vraiment de regrets mais on est passé tout près. En marquant à la fin on se dit qu'on peut l'emporter et que c'est magique. Mais ils ont égalisé sur coup de pied arrêté, comme nous. Ce n'est pas illogique sur l'ensemble du match car ils ont joué chez nous et on eu la balle, comme d'habitude. Nous on s'est créé des occasions nettes, avec notamment un penalty flagrant pas sifflé sur Yatabaré (45e+1). Ce n'est pas non plus l'histoire du match, mais bon... On leur a posé des problèmes, on a fait le match qu'on voulait en étant solides, très attentifs et organisés sur la durée, ce qu'on voulait. On avait aussi préparé des choses contre Monaco (0-2 le 14 décembre) et Lyon (0-2 le 2 novembre), mais quand on commet des erreurs c'est trop facile pour l'adversaire. Là ce n'a pas été le cas. Mais on n'a pas beaucoup de réussite depuis le début de saison, je crois que ce sera comme ça toute la saison.

L'état de la pelouse (critiqué par Laurent Blanc) ? C'est sûr que pour le jeu c'est toujours plus difficile. Mais je m'attendais à un terrain plus difficile, c'était juste compliqué devant les deux bancs. Et à Brest en Coupe de France (5-2 début janvier) sur un terrain plus difficile ils (les Parisiens) en avaient mis cinq, donc ces éléments ont pu gêner mais ils ne sont pas essentiels à mon sens. Et ils ont fait des décalages, simplement ils sont souvent venus buter sur notre bloc. (...) Pour nous, le compteur (des points) tourne, c'est le principal.»


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Ibra, héros suédois

Zlatan Ibrahimovic magnifié dans une publicité.

La Suède possède quelques marques de renommée mondiale comme Ikea, Ericsson ou encore Volvo. Il semble qu'il faille désormais considérer Zlatan Ibrahimovic comme l'une d'entre elles. C'est ce qui ressort de cette publicité pour Volvo diffusée ce samedi en Suède pour la première fois et à l'issue de laquelle on se demande s'il s'agit de faire la promotion d'une voiture ou du géant de Malmö. Zlatan y est ainsi mis en scène en chasseur solitaire dans l'hostile mais magnifique nature suédoise où malgré la neige et le froid, il évolue majestueusement. Tout en muscles et en sentiments, Ibra est une véritable héros "made by Sweden".


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Manchester City met le paquet pour Matuidi

Libre en juin prochain, Blaise Matuidi n'a toujours pas prolongé son contrat avec le Paris Saint-Germain. Selon Canal+, Manchester City se serait manifesté. Le club macunien aurait fait une belle proposition au milieu de terrain du PSG. Les dirigeants des Citizens auraient proposé au joueur une prime à la signature de dix millions d'euros. L'international, qui ne serait pas contre poursuivre sa carrière à Paris, restera-t-il malgré tout insensible à une offre aussi astronomique ? Affaire à suivre...


L'Equipe.fr

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Le PSG arrache le point du match nul à Guingamp (1-1)

Proche de sa deuxième défaite de la semaine, Paris a tremblé puis s'est ressaisi. Appelés à réagir après la déception de l'élimination en Coupe de France, les hommes de Laurent Blanc ont difficilement géré ce déplacement dans le stade du Roudourou à Guingamp lors de la 22e journée.

Privée de Lavezzi et Thiago Silva (légèrement touché à la cheville mercredi), la formation parisienne alignait en défense Marquinhos au côté de son compatriote Alex. C'est Pastore qui était titulaire en attaque à côté des buteurs habituels face à la cinquième meilleure défense de Ligue 1.

Fautif sur l'ouverture du score guingampaise par le grand Yatabaré (84e), Marquinhos a poussé un «ouf» de soulagement trois minutes plus tard lorsque son compatriote Alex a pris le meilleur sur son vis-à-vis pour égaliser. Paris repart avec un point et pourrait voir Monaco se rapprocher en tête de la Ligue 1, dans le cadre de cette 22e journée.

«C'est une déception mais je retiens surtout la satisfaction qu'on n'a pas lâché. On est revenus au score et on a pris un point mérité, je trouve, sur l'ensemble du match», a déclaré l'entraîneur parisien Laurent Blanc après le match. «On va travailler (sur ces coups de pied arrêtés). Et je rappelle aussi que Thiago Silva n'était pas là ce soir», a commenté Blanc interrogé sur le but guingampais sur corner sur lequel Marquinhos a été battu par Yatabaré, alors que Sirigu ne s'est pas imposé dans sa surface. Un but qui fait écho aux deux encaissés sur coups de pied arrêtés contre Montpellier, lors de l'élimination en Coupe de France.

Blanc, qui a aussi insisté sur l'état médiocre de la pelouse pour justifier les difficultés de son équipe. «Je ne veux pas me retrancher uniquement derrière ça, mais l'état du terrain était déplorable. C'est le cas pour les deux équipes mais cela a défavorisé l'équipe qui fait le plus de jeu.»

«On n'avait pas d'appuis, on avait même des difficultés à mettre les crampons avant le match», a affirmé en écho le gardien Salvatore Sirigu.


Le Parisien.fr


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posté 26/01/2014 09:55
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Simple trou d’air pour Paris ?

Dans la foulée d’une élimination en Coupe de France, les Parisiens, très peu inspirés, ont arraché le nul en Bretagne.

Plombé par la grave blessure de Radamel Falcao, son atout numéro un dans la lutte pour le titre de champion de France, l’AS Monaco a repris espoir hier. La star colombienne, opérée du genou avec succès, ne reviendra pas sur les terrains de Ligue 1 avant la fin de saison. En revanche, ses coéquipiers peuvent caresser l’idée de revenir ce soir à trois longueurs du PSG.

A condition bien sûr de dompter l’Olympique de Marseille. Dans l’optique du choc majuscule du 9 février au stade Louis-II, cela ressemble à un défi excitant. Les dauphins actuels des Parisiens peuvent même être habités d’une conviction toute nouvelle : cette fois, c’est officiel, l’armada parisienne n’est plus invincible.

Trois jours après leur élimination en Coupe de France face à Montpellier (1-2), Ibra et ses amis se sont à nouveau pris les pieds dans le tapis à Guingamp, un autre sans-grade de la Ligue 1. Cette fois, la chute a été évitée, mais seulement par la grâce d’Alex. Son coup de tête décisif, à trois minutes de la fin du temps réglementaire, ressemblait à une opération commando pour sauver une équipe en perdition.

A l’issue de la rencontre, Laurent Blanc n’a rien voulu dire des émotions qui ont agité son après-midi breton. « Poker face », comme souvent, l’entraîneur parisien a préféré jouer sur la confusion des sentiments. « La déception est là, bien sûr, puisque le résultat n’est pas celui que nous étions venus chercher, a-t-il indiqué. En même temps, je suis satisfait car nous n’avons pas lâché et nous avons réussi à égaliser. »

Paradoxalement, le contenu de ce résultat nul est plus décevant que la défaite trois jours plus tôt face à Montpellier. Ligne par ligne, le constat est sans appel. Privée de Thiago Silva, la défense n’a offert aucune garantie, alors que le trio du milieu s’est débattu sans imagination. Quant aux deux géants de l’attaque, Ibrahimovic et Cavani, ils étaient hier déconnectés de leurs partenaires. Comme coupés du monde.

Loin d’accabler ses joueurs, Laurent Blanc est plutôt venu à leur rescousse. Son axe de défense? L’état de la pelouse du Roudourou. « Quand les joueurs sortent à l’échauffement et qu’ils voient des pelouses dans cet état, cela ne les transcende pas. Ensuite, ce n’était pas notre meilleur match de la saison, loin de là, mais la qualité du terrain était vraiment détestable », a-t-il insisté.

Bizarrement, son homologue guingampais, Jocelyn Gourvennec, ne voyait pas les choses de la même façon. « L’état du terrain, ce n’est vraiment pas l’élément le plus important de l’histoire du match. Les Parisiens ont eu la possession du ballon (NDLR : 69% du temps) mais n’ont pas réussi à faire la différence dans les vingt derniers mètres. En fait, je pense que le PSG n’est pas très bien en ce début d’année. Mais il va monter en puissance et sera sacré champion assez vite. » Sauf si la machine s’enraye à nouveau.

Guingamp 1 - 1 PSG
Mi-temps : 0-0.
Spectateurs : 17623.
Arbitre : M. Ennjimi.
Avertissements. Guingamp : Diallo (47e). PSG : Verratti (40e).
Guingamp : Ndy Assembé - Martins Pereira, Kerbrat, Sorbon, Dos Santos - Atik (Beauvue, 83e), Diallo, Mathis (cap.), Giresse (Dembele, 79e)- Alioui (Cerdan, 90e), Yatabaré. Entr. : J. Gourvennec.
PSG : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Marquinhos, Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi - Cavani, Ibrahimovic (cap.), Pastore (Lucas, 70e). Entr. : L. Blanc

LES BUTS
84e. Sur un corner frappé par Rachid Alioui, Yatabaré saute plus haut que Marquinhos et bat Sirigu. 1-0.

87e. Corner tiré par Lucas à destination d’Alex. Le Brésilien, libre de tout marquage, devance la sortie du gardien guingampais et marque de la tête. 1-1.

LE FAIT DU MATCH
45e + 1. A une vingtaine de mètres, le Guingampais Alioui arme une frappe du pied droit déviée par le mur parisien. Surpris par le rebond, Salvatore Sirigu repousse avec le pied… sur sa transversale.


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Thiago Motta : « On doit retrouver notre jeu d’avant »

C’est l’un des trois seuls Parisiens qui ont bien voulu commenter la morne prestation d’hier à Guingamp. Sans chercher d’excuses et avec lucidité, Thiago Motta reconnaît que le PSG rencontre plus de difficultés actuellement.

Quel bilan faites-vous de cette semaine ?

Thiago Motta. Le bilan n’est pas bon. On est éliminés de la coupe mercredi et aujourd’hui (NDLR : hier) on réalise un match nul. C’est comme ça, c’est le foot. Ça peut arriver. On doit retrouver notre jeu d’avant et la victoire. Retrouver la joie et le sourire, rien de plus.

Vous n’avez pas livré un très bon match…

On a essayé par tous les moyens de marquer, mais on n’a pas su créer beaucoup de danger et au bout du compte Guingamp a inscrit un but sur corner. On a quand même réussi à égaliser et on aurait même pu l’emporter avec Ibra.

En six jours, vous livrez deux prestations en L1 très différentes : brillante contre Nantes, médiocre à Guingamp. Comment l’expliquez-vous ?

Il y a beaucoup de différences avec Nantes en effet. Et beaucoup de facteurs l’expliquent. Il faut que l’on parvienne à retrouver ce que l’on a fait contre Nantes et à l’occasion d’autres bons matchs cette saison. On doit vite retrouver le jeu que l’on pratiquait avant pour gagner de nouveau.

Vous encaissez encore un but sur coup de pied arrêté. Etes-vous moins sereins défensivement ?

Je ne pense pas que ce soit un problème de défense. On ne joue pas au tennis mais, au foot, on est onze. Et quand on prend un but, le premier fautif, c’est l’attaquant. Inversement, quand on en marque un, le mérite revient en premier au gardien. On est une équipe, on gagne ou on perd ensemble.

L’état du terrain vous a-t-il handicapé ?

Vous le savez, pourquoi me posez-vous la question ? Dès notre arrivée, on a vu que le terrain n’était pas bon. On savait que ce serait difficile de jouer dessus, mais il faut faire avec.

Les deux derniers matchs peuvent-ils vous faire douter ?


On a l’habitude de jouer avec la pression. Aujourd’hui on en a un peu plus et c’est normal. On attend du PSG qu’il gagne tout le temps. Mais il y a des joueurs en face et ce n’est pas toujours facile. Ce soir (NDRL : hier), on a réussi un nul quand même. On a une semaine pour nous préparer pour le match à domicile contre Bordeaux. On doit l’emporter car c’est à la maison.


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Homer
posté 28/01/2014 11:19
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Cabaye peut-il s’imposer à Paris ?

Dans un secteur très concurrentiel, Yohan Cabaye, pressenti cet hiver, possède des atouts suffisants aux yeux de certains pour lui garantir du temps de jeu.

Le meilleur milieu de terrain de France a-t-il vraiment besoin de Yohan Cabaye ? Avec Thiago Motta en sentinelle, Matuidi en récupérateur et Verratti en relayeur, le PSG dispose au cœur du jeu d’un des plus performants trios en Europe. « C’est très franco-français de se poser la question, peste Jacques Crevoisier, spécialiste du championnat anglais sur Canal +. Tous les grands clubs, quand ils jouent à trois au milieu, en ont trois autres aussi forts sur le banc. A Paris, il y a trois titulaires, Rabiot sur le banc que j’aime beaucoup et, quand j’en cherche un 5e, je ne sais déjà plus qui c’est. Je suis convaincu que Cabaye peut s’imposer à Paris. » Le consultant a souvent discuté avec l’ancien Lillois et explique ses raisons. « Je connais l’homme et je l’apprécie. C’est un garçon de grande qualité. Sur le terrain, il a des vertus que les trois autres n’ont pas. Sa passe, son orientation du jeu et sa frappe sont meilleures que chez Verratti. Si je suis recruteur au PSG, j’achète à n’importe quel prix Pogba, puis Cabaye et un troisième attaquant. »

Sacré dilemme...

Pierre Ducrocq, ancien milieu de terrain du PSG, ne partage pas ce point de vue. « Quantitativement, il n’y a aucun problème, explique le consultant de France Bleu 107.1. Qualitativement, je suis plus dubitatif. Je ne suis pas sûr qu’il apporte quelque chose de différent. Thiago Motta, il n’y a pas mieux que lui en sentinelle. Blaise Matuidi en termes d’activité et d’agressivité est irremplaçable et on ne peut pas se permettre de stopper la progression de Marco Verratti, alors qu’il s’améliore quasiment à chaque match. »

Bruno Cheyrou, commentateur sur BeIN Sports, expose une troisième voie. « Titulaire, ça ne veut rien dire dans un grand club. Il n’y a pas forcément de hiérarchie, détaille l’ancien milieu de Liverpool. Il a d’autant plus de chances de s’imposer qu’il est un bon mix des trois. Il travaille énormément, possède une qualité technique très importante et a désormais plus d’expérience en ayant évolué en Angleterre et avec l’équipe de France. Il entre parfaitement dans ce milieu qui attaque, défend et aime tenir le ballon. »

Le PSG a donc besoin de Cabaye. Toutefois, l’inverse est-il vrai ? « Si j’étais à sa place, je ne viendrais pas, répond Crevoisier. C’est un risque d’aller à Paris pour lui. Il est le joueur le plus important de Newcastle, il a un super salaire. Son seul souci, c’est de savoir s’il sera titulaire ou remplaçant au Mondial. S’il réalise une bonne Coupe du monde, le PSG reviendra vers lui. » Cheyrou ne partage pas cet avis. « Si le PSG met autant en transfert et en salaire, c’est un signe de confiance, analyse le consultant. Cela peut le rassurer. S’il veut franchir encore un palier, disputer la Ligue des champions, il fait le bon choix. Et, en football, on ne sait jamais si une proposition reviendra une deuxième fois… »


Le Parisien.fr

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Cavani, élu meilleur attaquant de pointe

Lundi soir, Edinson Cavani (ancien joueur de Naples, aujourd'hui au PSG) a été élu meilleur attaquant de pointe de la Serie A 2012-2013 lors des Oscars du football italien. Champion avec la Juventus, Andrea Pirlo a été élu meilleur joueur. La Vieille Dame a évidemment reçu le prix de la meilleure équipe et son coach Antonio Conte a été élu meilleur entraîneur.

Le onze de la saison 2012-2013

Handanovic - Maggio, Barzagli, Chiellini, De Sciglio - Borja, Pirlo, Vidal - Di Natale, Cavani, Balotelli


L'Equipe.fr


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Homer
posté 29/01/2014 13:05
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Cabaye, la dernière recrue de Leonardo

Le milieu de terrain international devrait s’engager ce mercredi avec le PSG. Il a été contacté dès l’été dernier par Leonardo.

Yohan Cabaye sera parisien ce mercredi. Après la conclusion d’un accord entre le PSG et Newcastle lundi soir en échange d’une indemnité de 25 M€ environ, les représentants du joueur, de retour à Paris, ont finalisé hier les détails du futur contrat parisien du joueur.

Le milieu international devrait s’engager pour une durée de trois ans et demi. L’ancien Lillois, qui a atterri à Paris tard hier soir de source anglaise, passera une visite médicale ce matin et pourrait être présenté officiellement cet après-midi au Parc des Princes.

Son recrutement est souvent présenté comme émanant de Laurent Blanc. Pourtant, si l’entraîneur parisien a milité pour la venue de l’ancien Lillois qu’il a été le premier à sélectionner en équipe de France, la réalité est quelque peu différente. L’initiateur de ce dossier est… Leonardo. L’ancien directeur sportif a procédé en deux temps. Dans une interview à « la Gazzetta dello Sport » en date du 16 avril 2013, il avouait « beaucoup apprécier » le joueur français. Ensuite, début juillet, quelques jours avant son départ du club, le Brésilien avait contacté les conseils du milieu de terrain français pour leur faire part de l’intérêt du PSG et connaître les prétentions salariales du joueur de 28 ans.

Aligné dès vendredi ?

Le départ de Leo de la capitale peu après avait mis en sommeil ce dossier, seulement réactivé il y a une dizaine de jours. Resté très proche du président Al-Khelaifi, Leonardo n’a pas manqué de lui redire, cet hiver, tout le bien qu’il pense du désormais ancien Magpies. Hésitant un moment à relever le défi parisien, le natif de Tourcoing, qui a eu Laurent Blanc au téléphone, a été séduit par le projet du club et la volonté de retrouver la Ligue des champions qu’il a disputée avec Lille en 2006-2007. Mais, grâce aux premiers contacts avec Leonardo, Cabaye s’était depuis plusieurs mois fait à l’idée de relever le défi parisien.

Le joueur de Newcastle, s’il obtient rapidement sa lettre de sortie de la part de la Fédération anglaise, pourrait faire ses grands débuts au Parc des Princes dès vendredi pour la réception de Bordeaux. Pour ce match, Marco Verratti est suspendu et Adrien Rabiot, touché au genou lors du quart de finale de la Coupe de la Ligue contre ces mêmes Girondins, le 14 janvier dernier, est toujours incertain. Pour Yohan Cabaye, le PSG, c’est tout de suite.


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Cabaye : le bon profil à défaut d’être une star

L’arrivée imminente de Yohan Cabaye au PSG alimentait les conversations mardi devant les grilles du camp des Loges. La poignée de supporteurs qui avait bravé la grisaille et le crachin espérait même décrocher le premier autographe de l’ancien milieu de terrain de Lille, attendu ce mercredi à Paris.

« On a déjà un milieu de terrain très étoffé, mais Cabaye va nous apporter un vrai plus, estime Jérémy, employé à la Poste de 21 ans. Il prend un petit risque vis-à-vis de l’équipe de France. A Newcastle, il était assuré d’une place de titulaire mais je pense qu’il peut jouer un rôle important à Paris. Il a un bon profil avec sa lourde frappe de loin et ses coups de pied arrêtés. » « On n’avait pas forcément quelqu’un comme lui dans l’effectif, ce sera un remplaçant de grand luxe, s’enthousiasme Gary, 21 ans. C’est important aussi qu’il soit français. Son intégration va se faire très vite et il va rapidement s’imposer. »

« Blanc a fait un peu une fixette sur lui, j’espère qu’il n’y aura pas de favoritisme et que la concurrence sera saine, prévient Sébastien, un ouvrier du bâtiment en pause déjeuner devant le camp des Loges. Je pense qu’il progressera davantage à Paris qu’à Newcastle en côtoyant notamment Ibrahimovic, Cavani ou Thiago Silva. » A côté de ces vedettes du ballon rond, le nom de Cabaye ne résonne pas forcément aux oreilles des plus récents fans du club parisien. « Honnêtement, je ne le connais pas, rigole Samira. Je ne suis pas Paris depuis très longtemps et je le fais surtout pour les stars. » Le palmarès de Yohan Cabaye interpelle d’ailleurs lorsque les 22 M€ estimés du transfert sont évoqués.

« C’est un prix correct même s’il n’a pas le vécu des autres grands joueurs de l’équipe, abonde Malik, livreur de 26 ans. Cela permet de doubler les postes au milieu. En plus, c’est un garçon altruiste avec un excellent état d’esprit. Je suis sûr qu’il va s’intégrer au groupe rapidement. Maintenant, ce serait bien de recruter un arrière droit et quelqu’un en attaque. »

« Cabaye, c’est très bien mais il faut passer aux choses sérieuses maintenant, rêve Kaamil du haut de ses 17 ans. J’aimerais voir Cristiano Ronaldo ou Messi à Paris pour que le club franchisse vraiment un palier. » Derrière lui, le slogan du PSG s’affiche en lettres géantes sur les grilles du camp d’entraînement : « Rêvons plus grand. » Les supporteurs ont déjà commencé.


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Nasser al-Khelaifi : « Le fair-play financier ne nous empêchera pas de recruter »

Avant la grande soirée organisée hier soir au profit de la Fondation PSG, Nasser al-Khelaifi a accepté de répondre à quelques questions sur l’actualité de son club. Evasif sur les dossiers chauds, il se montre affirmatif sur un point : le fair-play financier, règle de l’UEFA qui impose un équilibre financier aux clubs, n’empêchera pas Paris de procéder à un recrutement ambitieux l’été prochain.

Pouvez-vous officialiser l’arrivée de Yohan Cabaye ?

Nasser al-Khelaifi. Non. En matière de transfert, on communique quand les choses sont actées.

Pourquoi avez-vous choisi Cabaye et pas Pjanic ?

Acheter un joueur en janvier, à Newcastle ou ailleurs, c’est difficile. Les clubs hésitent à vendre. Et il n’était pas possible pour l’AS Roma de laisser partir Pjanic, qui est un joueur important pour eux. Yohan Cabaye est un très bon joueur et il est français, c’est important à nos yeux.

Avez-vous demandé l’avis de Leonardo ?

(Il sourit, visiblement gêné.) Non…

Un accord a-t-il été trouvé avec Laurent Blanc pour la prolongation de son contrat ?

Même réponse que pour les transferts : je ne dis rien tant que ce n’est pas fait. On n’a rien à cacher. J’ai pleinement confiance en lui et comme je l’ai déjà dit, c’est un grand entraîneur qui mérite un grand contrat.

Votre équipe reste sur deux contre-performances. Etes-vous serein onze jours avant le choc face à Monaco ?

Je suis très confiant, très relax, très cool. Ces deux derniers matchs sont peut-être une bonne chose, ils vont alarmer les joueurs, ça va les réveiller. Ils ont fait une superbe prestation face à Nantes (5-0) et se sont peut-être un peu relâchés ensuite.

Il y a des rumeurs autour de Messi en ce moment. Cela vous agace ou cela vous fait plaisir ?

Ça ne me fait pas plaisir. Il n’y a jamais eu de contact avec Messi, je n’ai jamais parlé avec le FC Barcelone. Jamais.

Le 27 décembre 2013, « le Parisien » - « Aujourd’hui en France » expliquait pourquoi il était possible au PSG de recruter Messi. Quelle est votre position sur ce sujet ?

Pour le moment, c’est impossible.

Le fair-play financier peut-il limiter le recrutement du PSG l’été prochain ?

Nous sommes aujourd’hui le cinquième club le plus riche du monde. Ce n’est pas juste grâce au Qatar comme certains le pensent, mais parce que nous avons augmenté nos revenus de 60% par an. J’espère qu’un jour on sera les plus riches. On a monté une énorme équipe, on va continuer à acheter des joueurs. Le fair-play financier ne nous empêchera pas de recruter.

Vous avez triplé la dotation de la Fondation PSG depuis votre arrivée au PSG. Quel est le montant de cette dotation ?

La Fondation PSG me tient vraiment à cœur. Œuvrer pour le sourire d’un enfant pour moi, c’est mieux que gagner le championnat. L’argent est très important pour la fondation, mais je ne veux pas donner de chiffres. Je préférerais rester discret. On ne fait pas ça pour l’image ou les médias. C’est entre Dieu et nous. On fait beaucoup de choses, 10 000 enfants en profitent chaque année de différentes manières, mais je voudrais faire encore plus.

En quoi consiste le projet d’école rouge et bleu ?

La Ville de Paris nous a donné un terrain pour construire une école dans le XIXe arrondissement. Une trentaine d’enfants en difficulté sociale et scolaire seront accueillis chaque jour toute l’année pour du soutien scolaire et des activités sportives. Les fonds récoltés par la fondation vont permettre de construire la première maison. Elle devrait être inaugurée au mois de septembre.

A son arrivée à Paris, David Beckham a annoncé qu’il allait reverser son salaire à des œuvres caritatives. Un an plus tard, pourquoi ne connaît-on ni le montant ni l’utilisation de cet argent ?

Certaines donations ont été faites, d’autres vont encore venir, mais je ne veux rien annoncer sans lui. On va organiser un événement pour préciser cela. Nous avons des agendas très chargés. C’est compliqué.


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Les experts de l’UEFA chargés du fair-play financier ont été reçus hier au siège du PSG dans le cadre de leurs investigations sur les finances du club.


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Fondation PSG : 22 000 € pour les chaussures d’Ibra

Près de 300 convives ont pris part hier soir au Pré-Catelan, dans le bois de Boulogne, au premier dîner de gala de la Fondation PSG. Ibrahimovic et ses partenaires, ainsi que les handballeurs du club et ses récents champions d’Europe, ont côtoyé d’autres personnalités telles que Bertrand Delanoë, le maire de Paris, Arnaud Lagardère, Ramzy, Laura Flessel, Brahim Asloum ou encore Raï et Robert Pirès…

Après le dîner, une vente aux enchères d’objets du PSG a été organisée pour lever des fonds pour la Fondation du club parisien. La paire de crampons portée par Ibra lors du match PSG-OM de la saison dernière a été adjugée à 22 000 €. Les gants de Salvatore Sirigu ont été achetés 11 000 € par Nasser al-Khelaifi.

Le président du PSG et de la Fondation a bataillé avec Ibrahimovic pour remporter cette enchère. Une partie de golf de neuf trous avec Laurent Blanc a été attribuée pour 7 000 €. Enfin, pour la somme de 24 000 €, une personne a gagné le droit de donner le coup d’envoi d’un prochain match au Parc.


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Cabaye passe sa visite médicale

Yohan Cabaye est arrivé ce mercredi matin à 9 heures à la Pitié-Salpêtrière (Paris XIIIe) avec Olivier Létang, le directeur sportif adjoint du PSG. Il a passé une première batterie de tests sanguins. L'état de ses genoux a également été vérifié.

Vers 11h30, la nouvelle recrue du club de la capitale a été dirigée vers le pavillon cardiologie pour la suite des examens. Le futur-ex joueur de Newcastle a quitté le pavillon de cardiologie aux alentours de 12h15. Il s'est engouffré dans un van sans répondre aux questions des journalistes.

L'international français de 28 ans devrait signer son contrat dans la foulée puis être présenté à la presse. Le joueur pourrait être présenté dans l'après-midi après la signature de son contrat. L'indemnité de transfert avoisine les 25 M€. Le milieu international devrait s’engager pour une durée de trois ans et demi.


Le Parisien.fr

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Cabaye au PSG, c'est fait !

Deux ans et demi après son départ de la L1, Yohan Cabaye revient en France. Le milieu de terrain a été acheté à Newcastle par le PSG et a signé un contrat jusqu'en 2017.

Yohan Cabaye rejoint le PSG ! Le club de la capitale est tombé d'accord avec Newcastle et les représentants du milieu international français de 28 ans, qui s'est engagé sur trois ans et demi. L'ancien joueur de Lille quitte Londres, où il se trouvait avec ses équipiers, pour Newcastle avant de s'envoler pour Paris. Si rien n'a encore été décidé, il y a de grandes chances qu'il passe la visite médicale préalable à son transfert mercredi.

Dès lundi soir, la presse anglaise annonçait l'arrivée imminente de Yohan Cabaye dans le club de la capitale. Selon nos informations, ce dernier va verser 20 millions d'euros (auxquels pourraient s'ajouter jusqu'à 3 millions de bonus) dans cette affaire.


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Al-Khelaïfi : «Cabaye ciblé pour 3 raisons»

Dans une interview à paraître mercredi dans L'Equipe, Nasser Al-Khelaïfi fait le point sur le mercato parisien. Le président du PSG s'explique notamment sur les raisons qui ont conduit son club à cibler Yohan Cabaye. Et sur les difficultés à arracher Miralem Pjanic à l'AS Rome.

A quelques heures de présider, ce mardi soir, le premier diner de gala de la Fondation PSG - auquel David Beckham ne pourra finalement pas assister - Nasser Al-Khelaïfi s'est exprimé sur le recrutement attendu de Yohan Cabaye, dont la visite médicale pourrait avoir lieu mercredi à Paris, selon nos informations. «On a choisi de cibler Cabaye pour trois raisons, explique le dirigeant qatarien dans un entretien à paraître mercredi dans L'Equipe. 1. C'est un très bon joueur, très intéressant à nos yeux. 2. Je ne l'ai encore jamais rencontré mais on m'a dit que c'était un type très bien. 3. Il est français et il est très important pour nous de recruter au PSG des joueurs français, de les ramener dans le Championnat de France.»

Invité à réagir sur le fait que Zlatan Ibrahimovic et Thiago Silva se seraient montrés sceptiques sur l'apport que constituerait à Paris l'arrivée de l'ancien Lillois, le président du PSG répond : «A chacun son métier. Les joueurs sont là pour jouer. Il y a des joueurs importants comme le capitaine, Thiago Silva, ou Ibra, qui peuvent avoir leur sentiment sur tel ou tel joueur. Mais ils sont complètement en phase avec ce que fait le club à tout point de vue. Bien sûr, ils veulent que les meilleurs joueurs du monde viennent à Paris. Les fans, aussi, le veulent. Mais Cabaye est un très bon joueur, aucun doute là-dessus.»

Abandon de la piste Pjanic pour l'instant

Dans le même temps, le patron du PSG a renoncé à recruter dès cet hiver Miralem Pjanic, sous contrat à l'AS Rome jusqu'en 2015 : «Quand nous avons parlé avec l'AS Rome, il s'est avéré que ce serait difficile de l'avoir pendant le marché de janvier. L'AS Rome est classée deuxième de la Serie A et lutte pour le titre avec la Juventus. C'était compliqué pour eux de lâcher en milieu de saison l'un de leurs joueurs les plus importants. Leurs tifosi auraient pu devenir fous ! (Il sourit) C'est pour ça que ce marché a pu être compliqué pour nous : trouver un bon joueur susceptible d'être aligné en Ligue des champions réduit beaucoup les choix...»


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Gervinho : «Cabaye, bien pour la L1»

Invité de l’émission "on refait le match" sur RTL, Gervinho s’est exprimé sur l’arrivée au PSG de Yohan Cabaye dont il a été le coéquipier au LOSC. «Je suis content pour lui, c'est un bon challenge, a notamment souligné l’attaquant de l’AS Roma. C'est quelqu'un de bien. Paris a fait un bon choix de le recruter, c'est un bon milieu de terrain, il pourra apporter beaucoup dans le jeu. C'est bien pour la Ligue 1.»


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Roche : «Cabaye prend un risque»

Ancien directeur de la cellule de recrutement du PSG, Alain Roche a estimé que Yohan Cabaye avait «pris un risque» en décidant de rejoindre le PSG à quelques mois du Mondial. «Moi je suis surpris de son retour en France, sa place n'est pas gagnée, on enlève qui ?», s’est-il interrogé au micro de RTL. Cela ne l’a pas empêché d’affirmer que son «retour était super pour la L1».


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Les chaussures d'Ibra font recette

Le premier dîner de gala de la Fondation PSG, qui vient en aide aux enfants malades et aux jeunes en difficulté, a réuni mardi soir près des 300 convives. Les joueurs du PSG, dont Zlatan Ibrahilovic ou Edinson Cavani, ont côtoyé d’autres personnalités, comme Éric et Ramzy, Gérard Darmon, Arnaud Lagardère et son épouse. Après le dîner, une vente aux enchères a été organisée. Elle a permis de récolter 191 800 euros au profit de la Fondation. La paire de crampons portée par Zlatan Ibrahimovic lors du match OM-PSG et dédicacée par le Suédois a été adjugée 22 000 euros. Les gants de Salvatore Sirigu ont été achetés 11 000 euros par Nasser al-Khelaïfi, le président du PSG, qui a bataillé avec Zlatan Ibrahimovic pour remporter cette enchère. Une partie de golf avec Laurent Blanc a été attribuée pour 7000 euros.


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Pour vous, Cabaye vient faire banquette

Pour un tiers d'entre vous, qui avez été plus de 55 000 à voter, Yohan Cabaye aura du mal à déloger Blaise Matuidi, Thiago Motta et Marco Verratti de leur place de titulaire au milieu de terrain du PSG.

Le PSG s'est offert un renfort de choix lors du mercato hivernal en recrutant Yohan Cabaye pour 20 millions d'euros (plus 3 millions de bonus). Qui sera la "victime" de ce transfert qui vient renforcer un milieu de terrain déjà performant ? Vous êtes 32% à estimer que le nouvel arrivant ne bousculera pas l’ordre établi. «Yohan Cabaye risque de cirer le banc», écrit par exemple Shaq-74. «Malheureusement pour lui, Cabaye devra attendre le départ d'un des trois au prochain mercato», abonde Costa17. Innerself enchaîne : «Cabaye, tant que Thiago Motta (plus tout jeune) tient son niveau». Pour Girardinho : «Cabaye lui-même : Verratti (28% des votes) et Motta (18%) sont meilleurs, Matuidi (22%) a un rôle différent et est indéboulonnable».

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Qui sera la principale victime de l'arrivée de Yohan Cabaye au PSG ?

Marco Verratti 28%
Blaise Matuidi 22%
Thiago Motta 18%
Yohan Cabaye 32%
Nombre de votes : 55381 votes


Pierre85400 n’est pas d’accord avec ce dernier point : «Matuidi reste le maillon faible du trio...» La réponse du Dr Zapalac est sans appel : «Je ne vois pas comment Matuidi pourrait être la "victime" au vu de ses excellentes prestations !» ToAd95 est plus diplomate : «Pourquoi parler de "victime" ? Quatre joueurs pour trois places, on ne peut pas faire tourner les titulaires ?» AlPanpan est d’accord : «Je pense qu'il y aura une rotation globale des quatre». Ouzpololo, lui, s’imagine un changement de stratégie : «Pourquoi pas un 4-4-2 en losange avec Cabaye derrière Ibra et Edinson ? Lavezzi sera sans doute relégué sur le banc». Joydel64 renchérit : «Pour moi c'est un joueur offensif qui en fera les frais. Cabaye peut jouer 10, je vois bien un 4-4-2 en losange». D’autant que, selon Sylvain62100, «il apportera un allant offensif que Motta, Matuidi et Verrati n'avaient pas».

«Les principales victimes sont Rabiot et Pastore»

Tomahawk33 estime lui que la venue de l’international français sert à préparer l’avenir : «Pour la suite de la saison, je ne vois pas comment Yohan Cabaye pourrait bousculer l'ordre établi. Reste que Motta aura 32 ans cet été et que le calcul est peut-être d'offrir six mois d'adaptation à Cabaye avant de faire augmenter significativement son temps de jeu en début de saison prochain au détriment de Motta. Et le profil de Cabaye capable de marquer à 25/30 mètres vient offrir de nouvelles perspectives contre certaines équipe bien organisées derrière...» Enfin, pour AlPanpan, le débat est ailleurs. «Les principales victimes ne sont pas dans la liste proposée, ce sont Rabiot et Pastore. Pastore, car même s’il semble avoir retrouvé progressivement la flamme qui fait de lui un joueur de grande classe, il n'a pas encore confirmé. Et Rabiot car même s’il a un talent monstre, il a beaucoup de mal à se faire une place dans le milieu parisien.»


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Cabaye a passé sa visite médicale

Arrivé à Paris mardi, Yohan Cabaye était à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière mercredi matin pour y passer la traditionnelle visite médicale. Il était accompagné d'Olivier Létang, le directeur sportif du PSG. L'ancien joueur de Newcastle devrait signer un contrat de trois ans et demi dans l'après-midi avant de rejoindre le groupe qui prépare la réception de Bordeaux vendredi soir (20h30)


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giovanni pontano
posté 29/01/2014 13:50
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PSG: Trois choses que vous ne savez peut-être pas sur Yohan Cabaye





Le footballeur Yohan Cabaye parle religion dans la cathédrale de La Treille à Lille.

Le milieu international va retrouver la Ligue 1...

Le PSG tient sa recrue hivernale. Yohan Cabaye va rejoindre le club de la capitale pour un transfert estimé à 20 millions d’euros hors bonus. Après deux ans et demi à Newcastle, le milieu de terrain international va retrouver la Ligue 1, quittée sur un titre de champion avec Lille en 2011. Mais que connaît-on exactement de lui ?

Il aurait pu débuter à Lens. Pendant des années, Yohan Cabaye a incarné la réussite de la formation lilloise avec Mathieu Debuchy. A peu de choses près, le milieu de terrain des Bleus aurait pu s’épanouir quelques kilomètres plus loin. A 11 ans, le garçon évolue à Tourcoing et est suivi par le Losc et le RC Lens, un club fréquenté par son père Didier lors de sa jeunesse. A l’époque, le club du Pas-de-Calais domine sportivement la région mais Cabaye va opter pour le rival lillois. «On lui a présenté le projet, il y a cru et a décidé de venir chez nous», se souvient Jean-Michel Vandamme, directeur du centre de formation du Losc.

C’est un ancien nerveux. «Discret», «réservé», «calme»… Les mots reviennent fréquemment quand on dresse le portrait du futur joueur du PSG. Rien ne le prédisposait pourtant à ce que l’on parle de lui en ces termes. «Il avait beaucoup de tempérament et de caractère», souligne Jean-Michel Vandamme. A l’adolescence, le jeune homme s’emporte régulièrements lors de ses matchs avec le Losc. «Il était victime d’un excès d’engagement, poursuit son formateur. Il pouvait être très agressif sur un terrain, il s’est canalisé avec l’âge.» Sans pour autant renier son caractère. Lors de la qualification des Bleus à la Coupe du monde contre l’Ukraine en novembre, le milieu français a distribué sa part de coups.

Il est très croyant. Dimanche 21 avril 2013, un conférencier un peu particulier prend le micro dans la cathédrale de Notre-Dame-de-la-Treille à Lille. Ce jour-là, Yohan Cabaye est venu parler de sa foi aux catholiques nordistes. Très croyant, le futur Parisien échange régulièrement sur la religion avec Arnauld Chillon, recteur de la cathédrale. «C’est un spirituel qui trouve dans la fréquentation de la parole de Dieu et de la Bible des choses qui l’aident à vivre, raconte l’homme d’Eglise. Il y puise de quoi être dans la paix et utile aux autres, même sur un terrain.» Là où il est attendu au PSG.

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Homer
posté 29/01/2014 18:04
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Cabaye au PSG (Officiel)

Quelques heures après avoir passé sa visite médicale avec succès, Yohan Cabaye a signé son contrat avec le PSG. Comme nous vous l'annoncions mardi, l'ancien milieu de Lille et de Newcastle a paraphé un bail portant sur trois ans et demi. Il donnera une conférence de presse à partir de 18h30 au Parc des Princes.


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Varino
posté 30/01/2014 07:46
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Cabaye, sans l’ombre des doutes

Présenté hier par le Paris-SG, le milieu international français, qui s’est engagé pour trois ans et demi, entend démontrer qu’il peut gagner sa place au sein du onze parisien.


D’ABORD, UN COUP de chapeau au service marketing du PSG qui avait installé, hier soir, sur l’estrade de l’auditorium du Parc des Princes, une immense affiche de Yohan Cabaye (28 ans) célébrant un but… sous les couleurs parisiennes. Belle réactivité. Dans ces moments d’une écrasante formalité, il est de coutume de remercier, un peu à la manière d’un acteur recevant son césar, toutes les parties qui ont rendu le transfert possible. Une fois passé l’échange de politesses, l’international français (26 sélections, 2 buts), assis à la gauche de son président, Nasser al-Khelaïfi, a répondu aux questions des médias. Impeccable dans son complet noir, il affichait une joie pudique mais sincère d’avoir enfin paraphé un contrat de trois ans et demi en faveur d’un club qu’il a toujours adoré, mais aussi à l’idée de retrouver la C 1, qu’il n’a jamais disputée avec Newcastle (*). « J’étais dans une bonne équipe, mais le Championnat anglais est tellement relevé que nous avons eu du mal à accrocher la Ligue des champions (5e en 2012, 13e l’an dernier). Nous avions un accord avec mes dirigeants. Je n’ai pas pu partir durant l’été (Arsenal était intéressé). L’occasion s’est présentée cet hiver (offre de 20 M€ hors bonus) et ils ont tenu parole. Aujourd’hui, le Paris-Saint-Germain est difficilement refusable. J’ai envie de gagner des titres et je pense que ce club m’offre cette perspective. Je n’ai pas hésité une seconde.»

« SI JE SUIS LÀ, C’EST QUE C’EST MON DESTIN »

Mais l’ex-Lillois (2004-2011) l’assume, rappelant son expérience précédente : « J’avais déjà pris le risque de quitter le LOSC pour Newcastle un an avant l’Euro 2012. Finalement, je m’étais adapté assez rapidement. Je ne m’étais pas posé de questions comme aujourd’hui. C’est vrai que le Mondial est dans six mois, mais si je suis là, c’est que c’est mon destin. J’ai confiance en ce que je peux faire.»

Son entraîneur Laurent Blanc, qui l’a lancé chez les Bleus, ne lui aurait d’ailleurs donné aucune garantie quant à son temps de jeu : « J’arrive dans un très grand club européen. Il y a donc de la concurrence à chaque poste. Mais je suis là aussi avec mes qualités. Je vais essayer d’apporter ce que je sais faire. Ce sera à moi d’aller chercher le temps de jeu.»

Souriant et délicat, à aucun moment il ne s’est départi de cette étonnante douceur, même quand lui a été rapporté l’éventuel scepticisme de Zlatan Ibrahimovic et de Thiago Silva quant à son arrivée : «J’en ai entendu parler, mais personne ne sait si c’est vrai. Après, chacun est libre de penser et dire ce qu’il veut. Me concernant, il y a un endroit où je vais pouvoir montrer que je peux faire partie de cette équipe, c’est sur le terrain. Et si j’arrive à livrer de bonnes prestations et à rendre la confiance que l’on m’accorde, peut-être que les doutes seront levés.»



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Une autre recrue si Ménez s’en va ?

Il reste moins de quarante-huit heures au Paris-SG pour finaliser un quelconque transfert ou prêt. Dans l’état actuel des choses, seul Jérémy Ménez (26 ans, en fin de contrat en juin) serait susceptible de quitter Paris avant la fin du mercato hivernal et donc d’entraîner l’arrivée d’un attaquant supplémentaire. Très peu utilisé par Laurent Blanc cette saison, l’ancien Romain (2008-2011) n’a pas renoncé à disputer la prochaine Coupe du monde. Pour cela, il doit retrouver une place de titulaire dans un club. Mais les pistes se sont raréfiées, d’autant qu’un prêt éventuel serait soumis à la prolongation de contrat du joueur et à l’ajout d’une clause libératoire en fin de saison.

L'Equipe

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Yohan Cabaye dans le grand bain dès demain

L’international français s’est engagé avec le PSG jusqu’en 2017. Il est prêt à faire ses grands débuts contre Bordeaux.


Yohan Cabaye va-t-il faire ses grands débuts avec le PSG demain à l’occasion de la réception de Bordeaux ? C’est fort probable même si hier, en début de soirée, la Ligue nationale n’avait toujours pas reçu la lettre de sortie de Newcastle, ce qui empêche la validation de son contrat. La missive devrait arriver aujourd’hui et ainsi permettre au joueur de l’équipe de France d’évoluer sous les couleurs de son nouveau club avec lequel il s’est engagé jusqu’en 2017 (l’indemnité de transfert est un peu inférieure à 20 M€).

En tout cas, Cabaye, 28 ans depuis le 14 janvier, attend ce moment avec impatience. « Je suis pressé et excité de commencer. Je suis prêt à enfiler mon nouveau maillot. J’ai envie de représenter le PSG. Je me sens en forme. Pas de problème là dessus. J’espère pouvoir être sur la feuille de match vendredi (demain) », a-t-il déclaré hier lors de sa présentation officielle. Compte tenu de l’absence de Verratti, suspendu, et celle très vraisemblable de Rabiot, insuffisamment remis de son entorse du genou, l’ancien Lillois a toutes les chances d’être dans les 18 joueurs retenus pour cette 23e journée de championnat. S’il n’est pas certain d’être titulaire, il devrait très vraisemblablement entrer en cours de jeu. « C’est délicat de le titulariser alors qu’il vient à peine de signer », estime Jean-Michel Moutier, ancien directeur sportif du PSG. Le message envoyé à Javier Pastore, qui dépanne régulièrement dans l’entrejeu parisien au gré des forfaits, serait très négatif et l’Argentin comprendrait que, dans l’esprit de son entraîneur, il est avant tout un remplaçant. » Moutier lance une autre piste de réflexion : « Blanc pourrait aussi changer de système tactique et faire jouer Cabaye avec les trois milieux habituels (Verratti, Motta et Matuidi). Soit lui, soit Verratti évolueraient alors en soutien du duo Ibra-Cavani. » Encore un peu loin de ces considérations, Yohan Cabaye rayonne à l’idée de retrouver la Ligue 1 et le sourire ne l’a pas quitté tout au long de sa première journée parisienne.

Présenté à ses nouveaux coéquipiers cet après-midi

Après une courte nuit à l’hôtel Bristol, rue du Faubourg-Saint-Honoré (VIIIe arrondissement), l’international a rallié l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (XIIIe) à 9 heures avec Eric Rolland, responsable du secteur médical du PSG, et Olivier Létang, le directeur sportif adjoint. Ce dernier a géré de A à Z ce transfert, amorcé par Leonardo en juillet dernier. Après les tests sanguins et musculaires de rigueur et un bref passage au pavillon de cardiologie, le milieu de terrain est reparti sans un mot. Son discours posé mais ferme, il l’a réservé pour la conférence de presse en fin d’après-midi au Parc des Princes. Après cette première sortie médiatique maîtrisée, Cabaye a pu souffler un peu. Cet après-midi, il va faire la connaissance de ses nouveaux coéquipiers avant de partir en mise au vert. Une première étape avant de découvrir demain soir l’accueil que lui réserve le public du Parc des Princes.



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«C’est mon destin, j’ y crois»

Yohan Cabaye, nouveau joueur du PSG


Impeccable dans son costume cravate ajusté, Yohan Cabaye se dit « très heureux et fier de participer au projet immense que veut construire le PSG ». Il est prêt à débuter dès demain mais assure que Laurent Blanc ne lui a donné aucune garantie en termes de temps de jeu.

Quelle est la principale raison qui vous a poussé à rejoindre le PSG ?
YOHAN CABAYE. La possibilité de gagner des titres, j’en ai l’opportunité en faisant partie de ce projet. C’est la chose la plus importante. Retrouver Laurent Blanc est un grand plus. Je suis très heureux de rejouer en France. Aujourd’hui, le PSG est difficilement refusable. Il n’y a pas eu d’hésitation, j’ai accepté l’offre tout de suite.

Est-ce un danger de changer de club à quelques mois de la Coupe du monde ?
Je m’étais déjà mis en danger à Newcastle dans un nouveau pays et un nouveau championnat. Mais je ne m’étais pas posé de questions. Ici, c’est pareil. Je ne me pose pas la question de savoir si je vais réussir ou pas. J’ai confiance en ce que je peux faire. C’est mon destin, j’y crois. J’ai conscience d’arriver dans un très grand club qui sort d’une belle première partie de saison. Je vais tout faire pour montrer que je peux m’adapter.

La concurrence au milieu de terrain vous fait-elle peur ?
J’arrive dans un très grand club européen, cela veut dire de la concurrence à chaque poste. Le milieu est très, très bon. Je suis là avec mes qualités. Je vais apporter ce que je sais faire et donner le maximum. Le coach ne m’a donné aucune garantie. C’est à moi d’aller chercher du temps de jeu.

Avez vous pris conseil auprès de Blaise Matuidi ou du sélectionneur Didier Deschamps ?
Aucun des deux. Je rentre en France, je connais certains joueurs. Mais mon choix était fait, et personne ne pouvait m’enlever de la tête de jouer au PSG. Je n’ai pas eu besoin de prendre des avis à droite et à gauche.



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Quand Laurent Blanc mise sur lui-même

Laurent Blanc ne manque pas d’humour. Parmi les lots mis aux enchères mardi soir lors de la soirée de gala de la Fondation PSG, il y avait une partie de golf de 9 trous avec l’entraîneur parisien. L’ancien sélectionneur des Bleus a proposé 5 000 € en disant, en substance, que cela lui permettrait de « jouer avec lui-même ». Finalement, un enchérisseur a proposé 7 000 € et a emporté la mise. L’enchère la plus élevée de la soirée a atteint 24 000 € pour le lot « Donner le coup d’envoi d’un match du PSG au Parc des Princes ». Elle émane d’Arnaud Lagardère. L’homme d’affaires est libre d’offrir ce cadeau à l’association de son choix. Un acquéreur a obtenu le droit de défier Sirigu et Douchez lors d’un entraînement de gardiens contre 14 000 €. En plaisantant, il a conditionné son offre à la présence d’Ibra lors de la séance… Au total, la vente aux enchères a rapporté 194 800 € à la Fondation PSG.

Le Parisien


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wil
posté 30/01/2014 21:58
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Laurent Blanc suspendu face à Leverkusen !

L'entraîneur du PSG Laurent Blanc ne sera pas sur le banc de touche de Leverkusen-Paris pour des retards répétés de son équipe au coup d'envoi de matchs de ligue des champions. L'entraîneur du PSG Laurent Blanc ne sera pas sur le banc de touche de Leverkusen-Paris pour des retards répétés de son équipe au coup d'envoi de matchs de ligue des champions.

Il s’agit d’une sanction sévère et très inattendue. La commission de discipline de l’UEFA a suspendu jeudi l’entraîneur du PSG Laurent Blanc pour un match de compétition européenne. A savoir le prochain Bayer Leverkusen-PSG, mardi 18 février, en huitième de finale aller de la Ligue des champions.


La sanction fait suite à «une conduite inappropriée de l’entraîneur ayant occasionné un retard au coup d’envoi du match du Groupe C de l’UEFA Champions League, contre le SL Benfica, à Lisbonne, le 10 décembre», selon les termes du communiqué de l’UEFA.

En fait, l’instance européenne tient Laurent Blanc pour responsable des retards des joueurs parisiens au retour des vestiaires après la pause. Et ceci à trois reprises. «Des retards supérieurs à une minute trente et deux minutes trente ont été constatés en trois occasions : lors du match PSG-Benfica (2 octobre), PSG-Olympiakos (27 novembre) et donc Benfica-PSG (10 décembre)», nous indique une source interne à l’UEFA. «Nous considérons qu’il s’agit d’un manque de respect par rapport aux adversaires».

Le club a par ailleurs été condamné à verser une amende de 10 000 € pour les mêmes motifs. Le PSG a désormais la possibilité de faire appel de la décision dans un délai de trois jours après la réception de la sanction motivée.


Le Parisien


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Homer
posté 31/01/2014 10:29
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Paris doit relancer la machine

Les Parisiens, qui restent sur une élimination en coupe et un match nul, sont contraints de réagir pour garder Monaco à distance.

Cela dure depuis deux matchs mais à son échelle, cela ressemble à l’éternité. C’est aussi que l’on n’est plus habitué. Le PSG n’a pas gagné un seul de ces deux derniers matchs et il faut remonter au moins d’août pour trouver pareille trace d’impuissance. C’était aux première et deuxième journée de Ligue 1, débutée par deux nuls.

Depuis, toutes compétitions confondues, Paris n’a jamais enchaîné deux rencontres sans au moins en gagner une, jusqu’à cette semaine gâchée par l’élimination en Coupe de France face à Montpellier (1-2) et le nul sans ressort, si ce n’est mental, à Guingamp (1-1). Deux séries avec un point commun : en août comme en janvier, l’équipe revenait d’une trêve. Reste que si c’est cela désormais une crise au PSG, il faut s’en réjouir et en sourire. Le décor a vraiment changé et le feu ne prend pas.

Avec trois points d’avance sur le deuxième, encore une demi-finale de Coupe de la Ligue à disputer (mardi à Nantes) et un sommet à Monaco dimanche prochain, le club de la capitale possède suffisamment de protections pour se prémunir de tout incendie. A dix-neuf jours du 8e de finale de la Ligue des champions contre le Bayer Leverkusen, il s’agit simplement de se rassurer en battant Bordeaux, en atteignant la finale de la Coupe de la Ligue et en maintenant les hommes du Rocher à distance respectable.

« Février permet de basculer dans une fin de saison excitante. Ça promet en mars-avril des matchs très importants. On reste sur deux contre-performances, mais on sera bien concentrés. On va être très motivés et dès demain (ce soir), on va faire un gros match », annonce Laurent Blanc. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, à chaque fois que le PSG a vu son humeur contrariée, il a passé ses nerfs sur l’adversaire suivant, sauf Guingamp donc. Mais Sochaux, après une défaite contre Evian, et Rennes, après un petit accroc à Benfica, s’en souviennent. Bordeaux est plus costaud mais il n’est pas sûr qu’il puisse vraiment résister. En trois confrontations déjà cette saison avec Paris (Trophée des champions, championnat, Coupe de la Ligue), les Girondins ont pris trois claques et il semble qu’il reste encore un peu de place sur leurs joues. « On les connaît bien, la réciproque est vraie. On sait ce qu’ils vont nous proposer. C’est un match important après deux sorties qui ne nous ont pas satisfaits, martèle l’entraîneur parisien. Il nous faut marquer les esprits. » Une phrase que doit se repasser en boucle dans sa tête Yohan Cabaye, sûr de ses forces mais conscient du petit scepticisme qui entoure sa venue. Laurent Blanc peut lui en parler : normalement, cette impression disparaît assez vite si le travail est bien fait.


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Lors de son bizutage, Cabaye a chanté «Papaoutai»

Les premiers pas de Yohan Cabaye sur le terrain du camp des Loges ont commencé par une salve d’applaudissements. Elle lui a été réservée par l’ensemble de ses coéquipiers alors que Laurent Blanc venait de présenter la dernière recrue parisienne au début de l’entraînement.

Quelques instants auparavant, l’ancien milieu de terrain de Newcastle avait pénétré sur la pelouse en compagnie de son coéquipier en bleu Blaise Matuidi, après un échauffement musculaire effectué en salle.

En short malgré le petit vent frais qui balayait les Yvelines, Cabaye s’est montré souriant au moment d’attaquer sa première séance avec ses nouveaux partenaires. En fin de matinée, il avait découvert les installations du camp des Loges et rencontré l’ensemble des salariés du centre d’entraînement. Après le déjeuner pris au restaurant situé au premier étage, il a récupéré ses nouveaux équipements dans un vestiaire où il a pris place à la droite de Lucas Digne. Et en fin de soirée, il s’est brillamment acquitté de l’habituel bizutage en interprétant « Papaoutai » de Stromae. Ce soir, l’international tricolore devrait connaître son baptême du feu au Parc des Princes. Laurent Blanc, qui a loué sa polyvalence, profiterait alors de la suspension de Marco Verratti pour l’intégrer dans le milieu à trois aux côtés de Blaise Matuidi et Thiago Motta.

« Yohan peut jouer partout. Ça peut être en no 10 dans un 4-4-2 en cours de match si on estime que c’est la solution, explique l’entraîneur parisien. Il a une bonne frappe, il s’est amélioré près du but adverse. Mais il peut aussi jouer aux trois postes de notre schéma. C’est d’abord là que je compte l’utiliser. Relayeur, c’est le poste où il a le plus souvent évolué à Newcastle et il est bon devant la défense comme on l’a vu en équipe nationale. Comme il est très bon techniquement, il peut donner sa pleine mesure dans la construction du jeu. Après, le fait qu’il soit français est un avantage. Au niveau de l’adaptation, il est comme chez lui. C’est un plus pour nous. » Lors de la mise en place effectuée avant l’homologation de son contrat par la Ligue de football professionnel, Yohan Cabaye a pourtant évolué sans la chasuble réservée aux probables titulaires. Il s’est positionné en sentinelle devant la défense avec Rabiot à sa gauche et Verratti à sa droite. Javier Pastore, de son côté, figurait dans l’équipe type avec Matuidi et Thiago Motta. Mais il semble probable qu’El Flaco entame la rencontre sur le banc. Interrogé sur le cas de l’Argentin, menacé par l’arrivée de l’ancien Magpies, Blanc avait glissé un peu plus tôt « qu’il pouvait jouer ailleurs ». La voie semble grande ouverte pour la titularisation de Yohan Cabaye.


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Laurent Blanc suspendu, l’incroyable bévue

C’est l’histoire d’une mauvaise habitude qui s’est transformée en faute professionnelle. A la surprise générale, la commission de discipline de l’UEFA a sanctionné hier le PSG pour le manque de ponctualité répété de ses joueurs au moment de faire leur retour sur le terrain après la mi-temps des rencontres de Ligue des champions.
Le club a été condamné à payer une amende de 10 000 € et, plus ennuyeux, Laurent Blanc, tenu pour responsable de ces retards, est l’objet d’un match de suspension.

Cela tombe très mal puisque le match en question n’est autre que le 8e de finale aller de Ligue des champions face aux Allemands du Bayer Leverkusen, le 18 février. A cette occasion, l’entraîneur parisien ne sera autorisé ni à s’asseoir sur le banc de touche, ni à pénétrer dans les vestiaires, ni à communiquer « directement ou indirectement avec ses joueurs et/ou avec son staff », selon les termes de l’UEFA.

Une sanction jugée « extrêmement sévère »

Cette sanction, dont le motif est complètement inédit, ne présente a priori rien de rédhibitoire pour le PSG. Jean-Louis Gasset, l’adjoint de Laurent Blanc, semble tout à fait en capacité de diriger l’équipe parisienne le temps d’un match, fût-il d’une importance majeure.

Elle témoigne toutefois d’un degré d’amateurisme incroyable à ce niveau de la compétition, pas seulement de la part de Laurent Blanc, mais aussi des responsables de la délégation parisienne. Le PSG a d’abord fait l’objet d’un simple avertissement après un premier retard constaté lors de la réception au Parc des Princes du Benfica Lisbonne, le 2 octobre dernier. Le club et son entraîneur ont ensuite été punis d’une amende et d’une suspension d’un match avec sursis pour un deuxième retard lors du match PSG - Olympiakos. Cette dernière sanction était assortie d’une période probatoire de deux ans.

Deux semaines après, le 10 décembre, les Parisiens se remettaient pourtant à la faute à l’occasion d’un match sans enjeu à Lisbonne. A chaque fois, des retards compris « entre une minute trente secondes et deux minutes trente secondes », d’après l’UEFA.

Selon la dernière tendance hier soir, le PSG devrait faire appel de cette sanction, jugée en interne « extrêmement sévère ». Mais la procédure d’appel n’est pas suspensive.


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Maurice-Belay : « Nous n’avons pas peur »

Originaire de Sucy-en-Brie dans le Val-de-Marne, Nicolas Maurice-Bellay était supporteur du PSG quand il était enfant. Pour lui, évoluer au Parc des Princes est toujours un moment particulier.

Comment abordez-vous ce choc chez le leader ?

Nicolas Maurice-Bellay. C’est excitant et nous n’avons pas peur. Le PSG possède des joueurs de niveau mondial.
On va savoir ce qu’on vaut. Nous n’avons rien à perdre comme toutes les équipes qui viennent au Parc, à part Monaco. J’espère que nous sommes relancés après notre victoire contre Saint-Etienne (2-0). On va voir ce qu’on a dans le ventre.

Et sur un plan personnel ?

Je suis parisien, alors c’est forcément particulier à chaque fois que j’affronte le club que je supportais quand j’étais jeune. C’est toujours un plaisir d’évoluer au Parc.

Après trois défaites contre Paris cette saison, Bordeaux fait-il un complexe ?


Non aucun. Lors du Trophée des champions (2-1), il y avait dix minutes de trop. En championnat en septembre (2-0), il n’y avait pas photo. En Coupe de la Ligue (3-1, le 14 janvier), on a cru pouvoir gagner mais leur talent a changé le match. On a donc envie de faire un résultat. Ils sont moins bien en ce moment, mais j’espère qu’ils ne vont pas s’énerver contre nous! Car ce sont vraiment les plus forts. Ils ne balancent jamais un ballon et c’est usant de les affronter. Ils voient vite tes failles et si tu les presses, ils n’ont pas peur. C’est comme s’ils te disaient : « Viens, tu vas voir ce qu’il va t’arriver (rires). » Les joueurs ont une grande confiance en eux. Quand Rabiot se fait contrer sur l’action qui amène notre but, tu peux penser qu’il va se cacher ensuite... Eh bien, pas du tout. Il redemande le ballon dans la même zone! La force de Paris c’est qu’ils assument de prendre des risques.


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Cabaye autorisé à jouer contre Bordeaux

Il n'y a plus d'obstacle pour que Yohan Cabaye dispute son premier match avec le PSG vendredi (20h30) contre Bordeaux lors de la 23e journée de L1. Les documents nécessaires à l'homologation de son contrat sont arrivés jeudi à la Fédération française de football (FFF) qui les a transmis à la Ligue de football professionnel. Celle-ci vient de donner son feu vert à l'international français.

L'international tricolore a donc été retenu par Laurent Blanc dans un groupe de 19 joueurs où ne figure toujours par Adrien Rabiot (genou). Ezequiel Lavezzi de son côté est de retour après une blessure à l'adducteur.

Le groupe du PSG : Douchez, Sirigu - Alex, Camara, Digne, Marquinhos, Maxwell, Thiago Silva, Van der Wiel - Matuidi, Thiago Motta, Cabaye, Pastore, Lucas, Ménez - Cavani, Ibrahimovic, Ongenda, Lavezzi.


Le Parisien.fr

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Cabaye, la recrue idéale

Yohan Cabaye, qui a rejoint le PSG, est le joueur idéal recherché par Laurent Blanc. L'ancien de Newcastle sera très probablement titulaire ce soir contre Bordeaux (20h30).

Laurent Blanc ne s’en cache pas, l’arrivée de Yohan Cabaye l’a totalement comblé. « Je suis très satisfait. » Depuis le début du mercato, l’entraîneur parisien avait ciblé le renfort d’un milieu de terrain. Il avait aussitôt alerté ces dirigeants, sans donner de noms mais en détaillant des critères bien précis. Le joueur devait être milieu de terrain, doté d’un très bon niveau, prêt à être libéré par son club, et surtout capable de jouer en Ligue des champions. Avec Cabaye, Blanc a trouvé l’oiseau rare qui réunit toutes ces conditions. « Je suis content que ce soit Yohan, car je le connais bien, a ajouté Blanc, qui a été celui qui lui a donné sa chance en équipe de France. J’apprécie le joueur, qui m’a toujours plu, mais aussi l’homme. »

« Son nom est apparu comme une évidence », a ajouté Blanc, qui ne tarit pas d’éloges sur l’ancien Lillois et Magpie. Pour lui, Cabaye offre un registre polyvalent, capable d’occuper les trois postes du milieu de terrain parisien. Et le coach du PSG, qui le suivait déjà de près quand il était en poste à Bordeaux, a souligné les progrès de l’international, notamment en phase offensive. « C’est quelqu’un qui offre une garantie technique. De plus, il s’est amélioré devant le but, et il a une bonne frappe de balle. » Cabaye est d’ailleurs bien parti pour tirer les corners et certains coup-francs, sauf ceux dans l’axe à 20 mètres du but, réservés à Sa Majesté Ibra...

Pour Blanc, Cabaye « ne sera pas de trop »

Désormais, ils sont cinq pour trois places. Mais Blanc ne se fait aucun souci pour le futur temps de jeu de sa recrue hivernale, que ce soit au PSG comme en équipe de France. « Si les gens pensent que, en venant à Paris, il s’est mis en danger pour la Coupe du monde, je répond qu’ils ont tort, a rétorqué le Président. Il a la volonté de jouer, pas de s’asseoir sur le banc de touche. » Même si Thiago Motta, Verratti et Matudi étaient jusqu’ici des titulaires indéboulonnables, Blanc estime que Cabaye « ne sera pas de trop ». Car le technicien a conscience des suspensions à répétition de Verratti et de la fragilité de Motta. Sans compter qu’une blessure n’est jamais à exclure, comme c’est le cas actuellement pour Rabiot. « Il faut les préserver les deux Italiens, notamment Thiago si on veut qu’il donne sa pleine mesure. » D’ailleurs ce vendredi au Parc, Verratti sera suspendu. Et Cabaye normalement déjà titulaire.


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«Paris voit toutes tes failles»

Nicolas Maurice-Belay a joué cette saison les trois matches contre le Paris-SG (Trophée des champions, Ligue 1 et Coupe de la Ligue). Il est donc bien placé pour le décrypter le jeu du PSG, adversaire des Bordelais ce vendredi au Parc des Princes.

"The Machine"

« Face à eux, toutes les équipes veulent faire un exploit. Ils sont habitués. Techniquement, sur chaque possession, ils ne balancent jamais le ballon et sont toujours à la recherche du jeu. Si tu n’es pas en place tactiquement, tu vas le payer. Paris voit toutes tes failles. Les joueurs te montrent qu’ils n’ont pas peur, en gros, c’est « Viens, toi tu vas voir ce qui va t’arriver ! ». Paris t’use en te faisant beaucoup défendre. Si tu arrives à avoir le ballon, ce sera en phase défensive. Là, ils déclenchent un pressing, comme le Barça. Si tu rates une des trois premières passes, tu es mort. Tu retombes dans la défense à fond et tu peux le faire pendant 90 minutes. Un peu comme le Barça, Paris étouffe l’adversaire, qui ne prend pas de plaisir et en plus, prend une rouste. »

La possession

« Leur force, c’est la possession de balle. Mais elle fait plus ou moins mal. A 0-0, tant qu’ils restent loin du but, ça ne fait rien. Mais dès qu’ils accélèrent leurs petites passes courtes et à trouver des joueurs comme Lucas, ça commence à être chaud. S’ils mènent 1-0 avec la possession de balle, là, c’est très, très dur. Perdre un ballon chaud ne les fait pas changer de manière de jouer. Ils ne deviennent pas fébriles. Ils assument de monopoliser le ballon en montrant à l’adversaire qu’ils sont supérieurs. En général, chaque équipe a sa force. Saint-Etienne (2-0), c’est le milieu de terrain. A Paris, c’est fort partout. Tu ne peux pas partir avec une idée bien précise. »

Une solution ?

« En trois matches, on a un peu tout essayé. On peut s’en servir. En Coupe de la Ligue (3-1), on a commencé avec un milieu à trois. On a été en difficulté pour attaquer mais on a su les bloquer, ils ont eu peu d’occases. Quand on est passé en 4-4-2 en seconde période, on les a inquiétés. On est venu les presser, on les a moins laissé jouer et d’ailleurs on a égalisé. Après, il faut être plus précis que d’habitude. Mais contre Paris, on est deux fois plus vigilant. »


L'Equipe.fr


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Homer
posté 31/01/2014 13:13
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Thiago Silva déjà en flamme

C'est le rendez vous d'une vie. Le 13 juillet prochain, au Maracana de Rio de Janeiro, la Coupe du Monde de football sera transmise au capitaine de la sélection championne. Ils sont des millions, au Brésil et sur la planète foot, à imaginer que c'est à Thiago Silva que reviendra l'honneur de recevoir le prestigieux trophée.

Alors qu’il fêtera ses trente ans en septembre, celui est aussi le capitaine d’un Paris Saint-Germain gonflé d’ambitions, et qui a souvent été présenté depuis ses années milanaises comme le « meilleur défenseur du monde », raconte à L’Equipe Magazine toute l’excitation qui est la sienne à l’approche de ce Mondial à domicile. Une confession qui va au-delà des limites du terrain. Car c’est une véritable flamme qu’a allumée dans le cœur de Thiago Silva, la dernière Coupe des Confédérations remportée en juin 2013 par le Brésil.

L’émotion ressentie au moment des hymnes chantés à capella par le Maracana tout entier avant la finale contre l’Espagne, mais aussi la façon dont les manifestations de contestation sociale qui ont accompagné l’épreuve ont soudé les membres d’une Séleçao décidés à tout donner pour apporter un peu de bonheur à une population en souffrance.

Depuis ce mois de juin 2013, les Brésiliens ont retrouvé leur foi de toujours, celle qui en fait les favoris perpétuels de la Coupe du Monde. Cette responsabilité, au regard des attentes énormes du peuple brésilien, mais aussi de ses difficultés, Thiago Silva entend en tirer une force supplémentaire pour atteindre son but, lever la sixième coupe du Monde de l’histoire de la Séleçao. Son destin, celui du charismatique Scolari, celui du génial Neymar. Un destin au service duquel il se dit prêt à «mourir».


L'Equipe.fr


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Homer
posté 31/01/2014 19:47
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Cabaye sur le banc !

Confronté à la suspension de Marco Verratti pour le match contre Bordeaux (20h30, en direct commenté), Laurent Blanc a décidé d'aligner Javier Pastore aux côtés de Blaise Matuidi et Thiago Motta vendredi soir. Yohan Cabaye, arrivé cette semaine en provenance de Newcastle, commence sur le banc. En attaque, c'est Lucas qui démarre et non Lavezzi.

Hoarau ne débute pas non plus

Pour Bordeaux, Guillaume Hoarau ne débutera pas. Francis Gillot a choisi d'aligner Henri Saivet en pointe avec Nicolas Maurice-Belay et Julien Faubert sur les ailes. Abdou Traoré, Grégory Sertic et Landry Nguemo composeront le trident devant la défense girondine.
Les équipes de départ

Paris : Sirigu - van der Wiel, Thiago Silva, Alex, Maxwell T. Motta, Matuidi, Pastore - Lucas, Ibrahomvic, Cavani.

Bordeaux : Carrasso - Mariano, Henrique, Sané, Orban - Traoré, Nguemo - Faubert, Sertic, Maurice-Belay - Saivet


L'Equipe.fr


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Paris reprend le contrôle

Malgré un manque d’efficacité offensive, les Parisiens ont repris leur marche en avant. Ils iront sereinement défier Monaco dans une semaine.

Quel que soit le résultat de Monaco à Lorient aujourd’hui, c’est d’ores et déjà un choc fantastique qui attend le PSG dans huit jours en Principauté. Il n’y aura pas Falcao, blessé, peut-être pas Cavani, touché derrière la cuisse hier soir même s’il reste une grosse semaine pour se remettre, mais la venue officielle du Bulgare Berbatov sur le Rocher, même à 33 ans, rappelle qu’il y aura des stars aux quatre coins de la pelouse du stade Louis-II.
Il n’est jamais bon de vieillir trop vite mais on aimerait tellement avoir une semaine de plus, là, déjà. « C’est un match très excitant à jouer », dit, les yeux brillants, Laurent Blanc.

Sa petite entreprise, après le revers en Coupe de France face à Montpellier et le nul sans saveur à Guingamp, s’est remise à l’endroit en étouffant une nouvelle fois façon boa constricteur son adversaire. Si ce n’est pas d’emblée, c’est en seconde période, situant en fait le niveau de suspense à la minute à laquelle le PSG va ouvrir le score.

Hier, c’était à la 58e, un temps qui a pu paraître infiniment long aux amoureux de l’équipe. « C’est toujours difficile de marquer face aux équipes regroupées, c’est un scénario que l’on a déjà vu au Parc », rappelle Laurent Blanc.

Si l’on devait trouver un souci en ce début d’année, c’est le manque d’efficacité. De Cavani principalement et de la troupe en général, hors le génie de Ibra, inaltérable. « On a manqué de spontanéité dans les 18 mètres. Il y a eu de très beaux enchaînements mais on ne marquera pas toujours 4 ou 5 buts. On en marque tout de même deux, mais vu le nombre d’occasions, c’est insuffisant. » On est bien d’accord et on préférait la version gargantuesque du PSG, qui passait des corrections à tout le monde.

Une finale de Coupe à décrocher

Après ce mois de reprise entièrement satisfaisant, malgré l’accroc de la Coupe de France, le PSG entre dans une semaine capitale, la première de l’ère Blanc, avec une finale de Coupe de la Ligue à décrocher et le sommet-explications avec Monaco. Ce sont ces matchs qui déterminent la couleur du bilan en fin de saison. Le PSG avance tranquillement vers ses échéances, prêt et avec un nouveau joueur déjà prometteur avec sa nouvelle équipe, Cabaye ayant réalisé de bons débuts (25 dernières minutes disputés hier). « Je ne me fais aucun souci. Il connaît parfaitement notre philosophie », se réjouit l’entraîneur parisien. La recrue sera titulaire mardi à la Beaujoire face à Nantes, en signe de confiance. Cette demi- finale est un premier tournant dans la saison parisienne.


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LE MATCH

PSG 2-0 Bordeaux
Mi-temps : 0-0
45 000 spectateurs environ.
Arbitre : M. Chapron.
Buts. Ibrahimovic (58e), Alex (88e).
PSG : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Thiago Silva, Maxwell - Pastore (Cabaye, 68e), Thiago Motta, Matuidi - Lucas, Ibrahimovic, Cavani (Lavezzi, 76e).
Entr. : Blanc.

Bordeaux : Carrasso - Mariano, Henrique, Sané, Orban - Traoré (Poko, 66e), Nguemo (Hoarau, 66e) - Faubert (Bellion, 82e), Sertic, Maurice-Belay - Saivet.
Entr. : Gillot.

Les Buts
1-0. Lucas, en position de hors-jeu côté droit, centre vers Ibrahimovic, oublié par la défense bordelaise et seul aux six mètres. Le Suédois trompe Carrasso d’une reprise du pied droit. (58e)
2-0. Sur un corner frappé côté droit par Lucas, Alex se jette au premier poteau, devance Hoarau, et trompe Carrasso d’une frappe décroisée du gauche. (88e)

Le fait du match
68e. Deux jours après sa signature, Yohan Cabaye débute sous ses nouvelles couleurs en tant que remplaçant Javier Pastore. C’est le 23e joueur à évoluer sous le maillot parisien cette saison.


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CHIFFRE

4 Le PSG s’est imposé à quatre reprises cette saison face à Bordeaux. Vainqueur lors des deux rencontres de Ligue 1, Paris a également battu le club girondin lors du Trophée des champions et en Coupe de la Ligue.


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Alex, du travail de pro

Yohan Cabaye devra encore patienter un peu pour honorer sa première titularisation. Blanc avait choisi hier d’aligner Pastore aux côtés de Thiago Motta et Matuidi au milieu de terrain. Pour le reste, du grand classique à l’exception de Lucas, préféré à Lavezzi pour épauler le duo Ibra-Cavani.

6 Sirigu Rarement mis à l’épreuve (trois tirs cadrés), le gardien italien a commis une seule erreur, dans le jeu au pied (47e).

5 Van der Wiel Sa relation technique avec Lucas a été quasi inexistante. Le Néerlandais a donc rarement pu monter aux avant-postes dans de bonnes conditions.

7,5 Alex Une présence très rassurante du Tank. Propre et précis dans la plupart de ses interventions défensives, il s’est montré très à son avantage dans le domaine de la relance. Un joli but d’une reprise placée (88e).

6 Thiago Silva Une erreur technique qui aurait pu coûter cher en fin de première période. Sinon, un match assez facile pour O Monstro.

5,5 Maxwell Plus entreprenant que Van der Wiel, il a tenté d’apporter le surnombre en attaque, sans pour autant être décisif.

5 Pastore L’Argentin va mieux qu’en début de saison mais ce n’est pas encore parfait. Une influence réelle mais trop de passes ratées. Remplacé par Cabaye (68e), qui s’est tout de suite montré à son avantage. Il place notamment une tête sur le poteau droit de Cédric Carrasso.

6,5 Thiago Motta
La sentinelle a rempli sa mission avec autorité. Toujours aussi peu de passes ratées et une science du placement remarquable.

6 Matuidi Du bon Matuidi, fort dans les duels et impliqué sur ses tâches offensives. Il a baissé un peu de pied en seconde période.

5 Lucas Quand il doit frapper au but, le jeune Brésilien esquisse un dribble. Et quand il faudrait jouer collectif, il tente sa chance en solo. A part ça, il a réussi deux passes décisives. Un bilan très contrasté.

6,5 Ibrahimovic Plutôt discret en première période, il a voulu animer le jeu parisien en décrochant mais, du coup, il n’a pas assez pesé dans la surface de réparation girondine. Marque ensuite son 18e but de la saison en championnat sur sa seule véritable occasion.

4,5 Cavani Ses problèmes dans le domaine de la finition sont persistants. On dirait que la confiance le fuit depuis le début d’année. Parfaitement lancé, El Matador piétine et se fait contrer par Sané (25e). Touché derrière la cuisse gauche, il est remplacé par Lavezzi (76e).

A Bordeaux, la défense centrale Henrique-Sané a livré une grosse bagarre et s’est plutôt montrée à son avantage. Seule ombre au tableau, une énorme erreur de marquage sur le but d’Ibra.

L’arbitre, M. Chapron a oublié de siffler un penalty pour une faute sur Ibra. Quant à son assesseur, il omet de signaler une position de hors-jeu de Lucas, sur l’action du premier but.


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« C’est la soirée parfaite »
Yohan Cabaye, nouveau milieu parisien

Son histoire avec le PSG a commencé à la 68e minute de ce match contre Bordeaux. Entré à la place de Javier Pastore, Yohan Cabaye a pris place à droite du milieu à trois aux côtés de son « ami » Matuidi et Thiago Motta. Après une première frappe écrasée à l’entrée de la surface et un coup franc complètement raté, l’ancien milieu de Newcastle a failli marquer de la tête mais sa tentative a été repoussée par le poteau gauche de Carrasso.
Pas de quoi plomber le moral de l’international tricolore dont la première a été réussie. Son adaptation au jeu parisien semble sur la bonne voie.

Comment avez vous vécu votre premier match sous les couleurs du PSG ?
YOHAN CABAYE. J’étais impatient, et commencer par une victoire c’est très bien. J’avais envie de vite participer, de découvrir mes coéquipiers. C’est la soirée parfaite. J’ai ressenti de la joie. J’espère que les moments comme ceux-là vont continuer.

Une première qui a failli être récompensée par un but...

La tête n’est pas mon point fort. Je n’étais pas très loin, mais marquer des buts de la tête, ça ne va pas m’arriver souvent (rires). J’espère que la prochaine fois, ça ira au fond.

Comment s’est passé l’accueil du groupe ?

Très bien. Je compte sur Blaise (Matuidi) et Lucas (Digne) pour m’intégrer et me dire comment cela se passe. Le groupe est très sympa. L’acclimatation va se faire facilement et rapidement.

Comment vous êtes-vous senti dans le jeu ?

Laurent Blanc m’a juste dit de me faire plaisir et de prendre confiance. J’étais excité et déterminé. Il faut que je montre que je peux participer à ce projet. Mais c’est facile d’évoluer avec ces joueurs. J’ai essayé de jouer simple. Je suis confiant par rapport à ce que je peux amener. J’espère enchaîner rapidement, il y a déjà un match mardi (à Nantes). Je n’ai pas trop le temps de gamberger. Je suis arrivé il y a seulement deux jours, je suis vite dans le bain.

Est-ce impressionnant de jouer dans cette équipe ?

Le niveau est très élevé. Je suis venu pour cela. Je vais progresser auprès de ces joueurs. J’essaie de toucher beaucoup de ballons, d’être disponible et d’offrir des solutions. Je pense que je vais prendre beaucoup de plaisir car cette équipe a souvent la possession (du ballon), on procède par passes courtes et on a beaucoup de situations.

Vous mettez aussi la pression sur Monaco. C’est important avant le choc de la semaine prochaine ?

C’était important de gagner. L’équipe restait sur deux contre-performances et il fallait retrouver le goût de la victoire pour ne pas s’habituer aux mauvais résultats. Il y a de grands compétiteurs dans le groupe et tout le monde était déterminé.


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Blanc trouve sa suspension ridicule

En retard à trois reprises après la pause en Ligue des champions, le PSG s'est vu sanctionner par l'Uefa jeudi : 10 000 euros d'amende et un match ferme pour Laurent Blanc, tenu pour responsable de tout ça et privé à l'heure actuelle de banc de touche lors de Leverkusen - PSG le 18 février en Ligue des champions. « Je suis très surpris, soufflait Blanc hier après la victoire contre Bordeaux. Notre dernier match était le 10 décembre et on l'a appris hier (jeudi). Je croyais que c'était une plaisanterie. On a fait appel. L'équipe a repris trois fois en retard, deux fois trente secondes et une fois une minute. Il y a les noms des joueurs sur le rapport. Je ne pense pas qu'on soit les seuls à rentrer en retard en seconde période. C'est ridicule.» Puis en quittant le Parc, Blanc préférait une dernière fois en sourire. « Sur le rapport, il y a écrit que j'ai eu une conduite inconvenante. Ma mère m'a dit : Laurent, qu'est-ce que tu as encore fait ? » Le PSG a bon espoir que l'appel, qui n'est pas suspensif, soit examiné la semaine du 10 février.


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Cavani absent à Monaco ?

Cavani ne traverse pas la période la plus heureuse de sa carrière parisienne. En manque de réussite depuis le début de l'année 2014, El Matador, 26 ans, s'est blessé hier soir. Remplacé par Lavezzi à un quart d'heure de la fin du match, l'Uruguayen est sorti du terrain en se tenant la cuisse droite. « Edi a ressenti une douleur derrière la cuisse, a indiqué Laurent Blanc. Une douleur musculaire, c’est toujours gênant. On va voir comment sa blessure évolue et nous prendrons la bonne décision.» Sa participation à la demi-finale de Coupe de la Ligue, mardi, face à Nantes, semble compromise. Quant à sa présence à Monaco, dimanche 9 février, pour le choc du championnat, elle s'accompagne désormais d'un gros point d'interrogation.


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En direct du parc

Sécurité renforcée pour Monaco - PSG. Les autorités monégasques ont décidé de prendre des mesures de sécurité strictes pour la venue du PSG, dimanche 9 février. Seuls les supporteurs parisiens ayant acheté leur place par l’intermédiaire du PSG seront autorisés à pénétrer au stade Louis-II. La police monégasque annonce qu’elle sera intraitable avec ceux qui ne respecteront pas cette décision, ainsi qu’avec les supporteurs interdits de stade administrativement qui se rendront en principauté. Les fauteurs de troubles éventuels seront interpellés et risquent des mesures de garde à vue et des poursuites judiciaires.

Blaise Matuidi a laissé entendre que son avenir s’écrirait probablement au PSG au-delà de la saison en cours. « Je me sens bien ici, a-t-il déclaré. Si tout est réuni pour que je reste ici, ce sera avec grand grand plaisir (...)». « Ça va se faire très bientôt », a-t-il conclu. Lié avec le PSG jusqu’en juin prochain, Matuidi n’a toujours pas prolongé son contrat. Officiellement en tout cas.

Thiago Motta, bientôt un an de plus au PSG. Ce n’est désormais plus qu’une question de jours. Après trois mois de négociations, Motta, 31 ans, doit signer sa prolongation de contrat dans le courant de la semaine prochaine. Le milieu de terrain parisien, lié jusqu’en juin 2015, sera alors sous contrat pour une saison supplémentaire, jusqu’en juin 2016.


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Ils ont dit

Salvatore Sirigu, gardien du PSG. « Depuis l’an passé, on est habitués à avoir la pression. On est une grande équipe et on attend de nous que l’on supporte cette pression. L’important, comme cette fois, c’est d’être réalistes et décisifs, ce que l’on a été, ce que l’on avait moins bien réussi le week-end dernier à Guingamp.
On croit en nous, on croit au travail que l’on effectue tous les jours. Sinon, l’équipe était déjà forte. Avec Cabaye, elle va l’être encore davantage. Il y aura plus de solutions, encore plus de choix à l’avenir. »

Guillaume Hoarau, attaquant bordelais. « Paris, c’est vraiment très difficile à jouer. On a des petits regrets sur la première période, où l’on aurait pu faire quelque chose. Mais à l’arrivée, on n’arrive pas à les mettre en danger. »


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Ibrahimovic : « Cabaye ? Je dois vous dire que je le connaissais »

C'est une petite phrase lâchée avec le sourire. Interrogé après la victoire du Paris Saint-Germain en Ligue 1 contre Bordeaux (2-0), vendredi soir au Parc des Princes, Zlatan Ibrahimovic a assuré qu'il connaissait Yohan Cabaye avant qu'il ne soit transféré dans le club de la capitale. L'attaquant international suédois a affirmé, en souriant : «Oui, je dois vous dire que oui», en insistant sur le «dois».

Cette réponse fait écho aux déclarations qui, cette semaine, ont entouré la venue de Yohan Cabaye. Interrogé par «l'Equipe» quant à un manque d'enthousiasme d'Ibrahimovic et de Thiago Silva quant à l'arrivée du milieu tricolore, le président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi, avait rétorqué : «A chacun son métier. Les joueurs sont là pour jouer». Avant de poursuivre ses explications : «(les joueurs) sont complètement en phase avec ce que fait le club. Ils veulent que les meilleurs joueurs du monde viennent à Paris. Les fans aussi le veulent. Mais Cabaye est un très bon joueur, aucun doute là-dessus.» Vendredi, Ibra a donc répondu à ses dirigeants avec l'humour et le bagout qui le caractérisent.

Sur le terrain, Yohan Cabaye est rentré après l'heure de jeu, en remplacement de Javier Pastore. Il a effectué une prestation convaincante et a même failli marquer de la tête.


Le Parisien.fr

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Cavani blessé

Titularisé par Laurent Blanc ce vendredi au Parc des Princes contre Bordeaux, Edinson Cavani a quitté la pelouse à vingt minutes du coup de sifflet final. L'attaquant uruguayen se tenait la cuisse droite au moment de son remplacement par Ezequiel Lavezzi. Il pourrait donc manquer le rendez-vous de mardi contre le FC Nantes, en demi-finale de la Coupe de la Ligue, et surtout le choc face à Monaco dimanche prochain en championnat.


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Paris remet la marche avant

Après deux matches sans victoire (1 nul en L1 et 1 défaite en Coupe), Paris s'est imposé à domicile face à Bordeaux (2-0). Cabaye, entré en cours de match, a failli marquer en fin de rencontre. Le PSG compte six points d'avance sur Monaco, attendu à Lorient samedi.

Paris repart. Freinés à Guingamp (1-1) la semaine dernière et battus en Coupe de France au Parc des Princes par Montpellier (1-2) il y a dix jours, les Parisiens ont dominé Bordeaux vendredi soir (2-0). Si le succès est logique, il a été long à se dessiner. Longtemps, le PSG a buté sur l’arrière-garde de Francis Gillot. Organisée en 4-3-3 sur le papier, le formation bordelaise se transformait en 5-3-2 à chaque offensive parisienne. Résultat, Paris s’est cassé les dents pendant près d’une heure. A chaque décalage, chaque frappe tentée, il y avait toujours un pied adverse pour contrer. Si bien que Cédric Carrasso n’a quasiment rien eu à faire jusqu’à l’ouverture du score de Zlatan Ibrahimovic (59e). Le Suédois, idéalement servi par Lucas, n’a laissé aucune chance à Carrasso à bout portant. Le dix-huitième but du Suédois en Ligue 1 n’aurait toutefois pas dû être accordé car Lucas était hors-jeu avant de recevoir le ballon.

C'est la quatrième fois que Paris bat Bordeaux depuis l'arrivée de Laurent Blanc sur le banc

Le Brésilien, préféré à Lavezzi pour démarrer à droite de l’attaque de Laurent Blanc, s’est montré très volontaire vendredi. Mais aussi trop souvent brouillon. Plusieurs fois, il a enrhumé Lucas Orban mais à l’image de son centre en retrait manqué pour Pastore (58e), il a multiplié les mauvais choix. Toutefois, il a délivré sa deuxième passe décisive de la soirée en toute fin de rencontre. Sur corner, il a trouvé Alex qui a parfaitement dévié du plat du pied (89e) pour s’offrir un deuxième but en deux matches. Décisif, Lucas pourrait encore débuter mardi en demi-finale de la Coupe de la Ligue, à Nantes, puisque Edinson Cavani est sorti sur blessure. Touché à une cuisse, il a laissé ses partenaires à vingt minutes de la fin. A ce moment du match, Paris se contentait de gérer cet avantage précieux face à sa victime préférée cette saison. C’est en effet la quatrième fois que Paris bat Bordeaux depuis l’arrivée de Laurent Blanc sur le banc après le succès lors du Trophée des champions (2-1), lors du match aller en Ligue 1 (2-0) et enfin en quarts de finale de la Coupe de la Ligue il y a quinze jours (3-1).

Juste avant le but du break, Yohan Cabaye, remplaçant au coup d’envoi, avait failli signer sa première apparition par un but. Sur un centre ciselé de Lavezzi, l’ancien joueur de Newcastle a placé sa tête mais le poteau a repoussé sa tentative. Entré à vingt minutes de la fin, Cabaye a délivré plusieurs bons ballons pour Maxwell ou Lucas notamment. Même si Marco Verratti revient de suspension mardi, Blanc pourrait être tenté de lui offrir encore du temps de jeu avant le choc contre Monaco dans une semaine, dauphin de six points désormais.


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Cabaye : «Tout de suite dans le bain»

Arrivé cette semaine, Yohan Cabaye a disputé vingt minutes avec le PSG face à Bordeaux vendredi soir (2-0). « J'ai essayé de toucher beaucoup le ballon, d'être disponible en offrant des solutions », a expliqué le milieu de terrain, passé tout près de son premier but avec le PSG.

« Yohan Cabaye, on peut dire que c’est une première réussie ?

Oui car on gagne le match. C’est très bien. Je fais mon entrée, j’ai pu profiter un petit peu. Je n’avais qu’une envie, c’était celle-là : jouer avec mes coéquipiers. Ils m’ont très bien accueilli. Maintenant, il faut montrer sur le terrain que je peux participer à leur projet. Je pense que l’acclimatation va se faire simplement et rapidement. C’est parfait.

«J'ai essayé de toucher beaucoup le ballon, d'être disponible en offrant des solutions»

Laurent Blanc vous a-t-il parlé avant votre entrée en jeu ?


Non pas forcément, il m’a demandé de simplement me faire plaisir et d’avoir confiance. Je me suis senti bien. C’est facile de jouer avec de tels joueurs. J’ai pris du plaisir et j’espère enchaîner rapidement. On a un match mardi déjà (en Coupe de la Ligue contre Nantes, ndlr). Je n’ai de toute façon pas eu trop le temps de gamberger ou de penser à quoi que ce soit. Je suis arrivé mercredi et il y avait un match dès aujourd’hui. Je suis tout de suite dans le bain.

On a senti vos coéquipiers voulant vous mettre à l’aise...

Oui c’est vrai et moi aussi j’ai essayé de toucher beaucoup le ballon, d’être disponible en offrant des solutions. Je pense que je vais prendre pas mal de plaisir car c’est une équipe qui conserve beaucoup la balle, fait des passes courtes. On peut avoir des situations à tout moment devant le but aussi.

Il n’a pas manqué grand-chose pour un premier but ?

C’est vrai. Mais marquer de la tête, ça va être rare pour moi (sourire). Je n'étais pas très loin.

La dernière fois que vous aviez joué au Parc, c’était lors du titre de Lille en 2011 et c’était sous les sifflets…

Oui mais ce soir j’ai gagné aussi donc c’est bien. Le Parc des Princes est un stade magnifique, l’ambiance est aussi incroyable. J’ai hâte d’enchaîner et surtout d’être là au moment des grands rendez-vous qui vont arriver très vite.

Sur un plan collectif, vous mettez la pression sur Monaco à une semaine du choc à Louis II. C’est important ?

Oui. C’était important de vite retrouver la victoire pour ne pas s’habituer à enchaîner les mauvais résultats. Il y a de très grands compétiteurs dans le groupe. On était tous déterminés et il fallait prendre les trois points. »


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Blanc rassurant pour Cavani

Edinson Cavani souffre d'un «petit étirement musculaire», a expliqué Laurent Blanc, sans préciser la possible indisponibilité de l'attaquant uruguayen, sorti de la pelouse du Parc des Princes à une vingtaine de minutes de la fin du match contre Bordeaux, vendredi (2-0) «On va être très attentif. Dès demain (samedi) on verra ce que dit le staff médical. Il a senti une douleur derrière la cuisse.»


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Blanc fait appel de sa suspension

Laurent Blanc s'est dit vendredi «très surpris» de la suspension d'un match infligée par l'UEFA pour des retards lors de coups d'envoi en Ligue des champions et a déclaré que le club de la capitale allait faire appel. «J'ai cru que c'était une plaisanterie mais malheureusement ce n'est pas le cas. Le club va faire appel. Il y a deux retards de 30 secondes et une fois une minute. A chaque fois les joueurs concernés sont indiqués dans le rapport, mais c'est l'entraîneur qui est suspendu. C'est ridicule mais c'est comme ça.»


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« Ils étaient 20 sur le terrain »

Défait à Paris vendredi soir (0-2), Bordeaux est tombé sur plus fort et n'a pu que reconnaître la supériorité parisienne. « Ce sont des vagues qui déferlent et, au bout d'un moment, on finit par craquer », a analysé Henri Saivet.

C’est un constat d’impuissance. Bien en place pendant une grande partie de la rencontre, Bordeaux a finalement cédé par deux fois pour concéder une défaite vendredi soir au Parc des Princes (0-2). « C’est difficile pour tout le monde contre eux, on le sait. Il n’y a pas de honte à perdre face au PSG, a réagi Nicolas Maurice-Belay après la rencontre. Les trois quarts des équipes qui vont les affronter quatre fois dans une saison vont perdre à chaque fois. » Les Girondins ont tenu une heure avant de céder sur un but entaché d’un hors-jeu. « Je n’ai pas vu les images mais c’est rageant si c’est le cas, a expliqué Henri Saivet. Ce sont des erreurs d’arbitrage, ça arrivera encore et on ne peut rien y faire. » L’attaquant bordelais ne se cache malgré tout pas derrière cela pour analyser la défaite des siens : « En première mi-temps, on était sereins, on courait et défendait ensemble, mais après la pause, ils sont rentrés avec plus d’envie et ils étaient au-dessus de nous dans la détermination. Quiconque joue contre Paris subit, c’est connu. On a joué avec nos armes mais on était souvent acculés sur notre but. On est moins bien sur la deuxième mi-temps et on le paye cash. »

« Si Paris joue à son niveau, personne ne peut les arrêter. » (Saivet)

Pour Maurice-Belay, il est impossible de tenir face à une telle équipe quand elle vous prend à la gorge : « C’est très difficile car ils monopolisent le ballon et nous on l’a perdu souvent et trop rapidement. On avait l’impression qu’ils étaient vingt sur le terrain. Si on les a contenus en première période ? Oui et non, on avait toujours un pied ou une tête pour nous sauver. Mais si on n’arrive pas à faire deux ou trois passes, on se fatigue rapidement. » Vainqueur de Saint-Etienne (2-0) le week-end dernier après une mauvaise série, Bordeaux est-il retombé dans ses travers ? « Sur le premier but, il y a un manque de communication entre les défenseurs, explique Saivet. Pour le deuxième c’est aussi le cas parce qu’on prend un but sur un corner qui n’est pas très bien tiré. »

Comme il y a deux semaines en quarts de finale de la Coupe de la Ligue (1-3), Bordeaux aurait pu saisir sa chance. Mais là encore, les Girondins ont cédé face aux assauts parisiens. « On est revenus avec moins d’envie et de détermination en deuxième mi-temps. Face à Paris, ce sont des vagues qui déferlent, poursuit Saivet. En deuxième, on s’est affolés un peu plus et au bout d’un moment, avec les efforts multipliés, on craque. On est près de les battre à chaque fois mais ça bascule toujours dans leur sens. Si Paris joue à son niveau, personne ne peut les arrêter. » Un constat d’impuissance devenu constat d’échec pour les Girondins, battus quatre fois en quatre rencontres par le PSG cette saison.


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Blanc : «Ça suffit à mon bonheur»

Les deux buts inscrits à Bordeaux sans en encaisser, vendredi (2-0), suffisent au bonheur de Laurent Blanc, même si l'entraîneur parisien reconnaît que son équipe a déjà fait «de meilleurs matches».

«Laurent Blanc, est-ce que ça a été compliqué de faire céder Bordeaux ?

Il a fallu être patient, insister dans le jeu et sur les coups de pied arrêtés puisqu'on a été dangereux là-dessus aussi. On a été récompensé en deuxième période. Le scénario est souvent comme ça. Le plus difficile contre des équipes qui viennent très regroupées, c'est de concrétiser les occasions. En première période on a manqué un peu de spontanéité dans les 18 mètres mais globalement je suis assez satisfait. On a fait des matches meilleurs, mais on a mis deux buts et on n'a rien concédé à Bordeaux qui était venu avec des dispositions très défensives. Nous sommes sans doute un peu moins bien dans la fluidité du jeu, mais les équipes adverses ne nous facilitent pas les choses. Si tu marques dans les 10 premières minutes, tu peux avoir un festival comme contre Nantes (5-0). Ce soir on en a mis deux et on n'en a pas pris. Ca suffit à mon bonheur.

«Cabaye s'adaptera à notre système sans trop de problème»

Qu'avez-vous pensé de l'entrée de Cabaye ?


On avait prévu de le faire participer 20 ou 30 minutes. Ca dépendait aussi du film du match. Je ne me fais aucun souci pour lui. Il est intelligent, il sait comment on veut jouer, il comprend notre philosophie. Il s'adaptera à notre système sans trop de problème.

Et Lucas ?


Il marque des points mais il pourrait en marquer beaucoup plus. Il est intéressant par sa vitesse d'exécution et ses dribbles. Ce soir il fait marquer deux buts. C'est très bien mais j'aurais aimé qu'il soit récompensé par un but pour lui. C'est un artiste, un jeune joueur. Il a progressé tactiquement même si c'est quelque chose dont il a entendu parler seulement depuis son arrivée en Europe. Il fait des choses incroyables avec le ballon mais le foot c'est une équipe. Il fait des efforts.»


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Gillot dribble la presse

Francis Gillot, l'entraîneur de Bordeaux, ne s'est pas présenté devant la presse après la défaite des siens vendredi soir au Parc des Princes (0-2). Censé passer après Laurent Blanc, son homologue du PSG, il n'est pas apparu devant les micros. On ignore la raison exacte de cette décision


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Matuidi confiant pour prolonger

En fin de contrat en juin et surveillé par Manchester City, Blaise Matuidi se veut confiant sur une prochaine prolongation de contrat. «Je me sens bien à Paris. Il y a des paramètres qui font qu'aujourd'hui ça traine un peu mais je suis très tranquille à propos de cela, a déclaré le milieu de terrain parisien après la victoire face à Bordeaux vendredi soir (2-0). Je pense qu'il n'y aura pas de problème. Tout va bien se passer.»


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Cavani, symbole d’une attaque patraque

Le PSG n’attaque pas dans les meilleures conditions sa semaine décisive avec une demi-finale de Coupe de la Ligue mardi à Nantes et un sommet de L1, cinq jours plus tard à Monaco, de nouveau à cinq points après son nul hier à Lorient (2-2). Il n’y a rien d’alarmant. Toutefois, le secteur offensif de ce Paris toujours aussi joueur se montre moins flamboyant depuis la reprise.


Edinson Cavani, auteur seulement de deux buts en huit matchs (en tenant compte de l’amical PSG - Real Madrid le 2 janvier à Doha), symbolise à lui tout seul ce léger ralentissement. Lequel ne se traduit pas tant dans les buts (19 inscrits en sept matchs de compétition le mois dernier), mais plus au niveau des occasions, moins nombreuses.

Comme un souci n’arrive jamais seul, l’Uruguayen s’est blessé vendredi soir contre Bordeaux (« étirement derrière la cuisse », dixit Blanc). Une échographie en dira davantage aujourd’hui sur la gravité de sa blessure. Forfait quasi certain à la Beaujoire, l’attaquant pourrait surtout manquer le rendez-vous à Monaco. Le staff, vu les échéances à venir, ne prendra aucun risque.

Des problèmes personnels

Prodigieux en décembre, El Matador marque le pas depuis son retour au pays pour régler son divorce et souffler après une première partie de saison somptueuse dans son nouveau club. Mais sa vie privée continue de le perturber. Sa nouvelle compagne demeure en Uruguay. Il lui tarde qu’elle obtienne les derniers documents nécessaires à son arrivée en France. Ce célibat forcé apparaît comme le petit grain de sable qui dérègle la machine, même si ce n’est qu’une raison parmi d’autres.

Toujours aussi généreux dans ses replacements, Cavani reste discret offensivement comme à Brest, en Coupe de France, ou à Ajaccio et Guingamp, en L1.

Il lui arrive aussi de rater des situations incroyables devant le but, comme à Doha après une action fantastique initiée par Ibra, relayée par Matuidi et qu’il n’a pas conclue seul face au gardien. Ou devant Montpellier au Parc des Princes, en coupe. Son but n’a pas suffi à balayer tous ses ratés ce soir-là.

Au PSG, il y a un génie, Ibrahimovic, à peu près toujours à fond, le renfort cette saison de Cavani, au top jusqu’à ce mois de janvier, et derrière à peu près personne pour prendre le témoin en termes d’efficacité. Lavezzi traîne des statistiques indignes à ce niveau alors qu’il est un titulaire régulier et ses concurrents — Lucas, Pastore, Ménez — influent peu sur le jeu ou exposent encore des lacunes trop criantes . En attendant de retrouver le grand Cavani sur ses deux jambes, ces éléments-là doivent aider l’équipe à conclure le jeu de passes très exigeant que les autres joueurs développent.


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Ils doivent apporter davantage

Derrière Ibra et Cavani, ils sont quatre à se disputer l’habituelle dernière place dans l’attaque parisienne. En l’absence de l’Uruguayen, ils auront davantage de chances de pouvoir briller et d’améliorer des statistiques qui font d’eux pour le moment des remplaçants en manque d’influence.

Lucas, 3 buts, 9 passes décisives en 1744 minutes de jeu (toutes compétitions confondues). Sa performance contre Bordeaux a permis de garnir sa feuille de stats de deux passes décisives.
Ses neuf passes dont sept en L1 (3e passeur du championnat) viennent contredire l’impression qu’il n’a toujours pas trouvé sa place dans le jeu. Laurent Blanc pointe lui-même ses soucis d’efficacité. « C’est typiquement un Brésilien, un artiste, souligne le coach. Il fait des choses incroyables avec le ballon mais le foot, c’est une équipe. Si on fait un numéro, il faut être efficace. Il a une vitesse incroyable mais il n’est efficace que lorsqu’il a le ballon. Il peut l’être beaucoup quand il ne l’a pas. Il a progressé tactiquement, même si c’est quelque chose dont il a entendu parler seulement depuis son arrivée en Europe. Mais il fait des efforts. » La feuille de route est tracée.

Ezequiel Lavezzi, 4 buts, 2 passes décisives en 1491 minutes. Lorsqu’on évoque l’équipe type parisienne de la saison, l’Argentin a sa place à la gauche du duo Ibrahimovic-Cavani. Mais, contrairement aux deux derniers, Lavezzi reste le plus souvent muet. Une constante puisque, la saison dernière, il n’a inscrit que trois buts en L1 même si ses cinq réalisations en Ligue des champions lui ont permis de terminer meilleur buteur du PSG sur la scène européenne. Sa débauche d’énergie et son engagement sont rarement pris en défaut mais son manque de réalisme face au but est un casse-tête lorsque l’une des deux stars de l’attaque est absente. Lors de ses cinq saisons à Naples, Lavezzi n’a jamais inscrit plus de neuf buts par saison en Série A. Sa traversée des Alpes est loin d’inverser la tendance.

Javier Pastore, 1 but et 1 passe en 1228 minutes. Et si, finalement, il était le grand gagnant de l’arrivée de Yohan Cabaye? La signature de l’ancien du Losc devrait éviter à l’Argentin de dépanner dans un rôle de relayeur qui ne lui sied pas. « Il peut jouer ailleurs », a confirmé Laurent Blanc jeudi. A gauche de l’attaque, il est capable d’apporter grâce à son sens de la passe. En no 10, il pourrait être le pendant avancé d’un Thiago Motta devant sa défense. Le problème est que, pour cela, El Flaco devra retrouver une influence qu’on ne lui a plus connue depuis ses premiers mois à Paris.

Jérémy Ménez, 2 buts en 731 minutes. Il reste un mystère. Alors que la faiblesse de la concurrence et son potentiel lui ouvrent les portes de l’équipe de départ, il passe souvent son tour. En L1, seuls Camara, Ongenda, Cabaye et Coman ont joué moins que lui (418 minutes). Convalescent jusqu’à mi-septembre après son opération du dos, l’ancien Romain est depuis scotché au banc. Il faut dire que ses entrées en jeu ne lui offrent pas de perspectives en raison de son absence de tranchant et de justesse. Alors qu’il a décidé (par défaut?) d’aller jusqu’au bout de son contrat en juin, son avenir proche semble bouché. Sa participation à la Coupe du monde est désormais hypothétique et sa relation avec Blanc, qui l’avait lancé en Bleu, paraît coupée.


Le Parisien.fr


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Homer
posté 02/02/2014 17:44
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Cavani, trois semaines minimum

Touché à la cuisse droite face à Bordeaux (2-0) et remplacé à la 76e minute par Ezequiel Lavezzi, Edinson Cavani souffre d’une lésion qui pourrait le tenir éloigné des terrains trois semaines, selon nos informations. L’attaquant uruguayen devrait par conséquent manquer le choc face à Monaco, dimanche prochain, mais aussi probablement le 8e de finale aller de Ligue des champions sur la pelouse du Bayer Leverkusen, le 18 février prochain. Pour ce type de blessure, la période d'absence peut même s'étirer à six semaines.


L'Equipe.fr


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Homer
posté 03/02/2014 13:08
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La course contre la montre de Cavani

Paris va se mettre à compter les jours. Ceux qui le séparent d’un retour d’Edinson Cavani dans l’effectif vont sembler longs. Touché à la cuisse droite vendredi contre Bordeaux (2-0), l’Uruguayen souffre d’une lésion aux ischio-jambiers qui devraient le tenir éloigné des terrains trois semaines au minimum, selon le club parisien et l’entourage du joueur.

« Dans ce cas de figure, il faut déjà laisser le temps de la cicatrisation, mais cela ne veut pas dire que le joueur est guéri, prévient Fabrice Bryand, l’ancien médecin de l’équipe de France. Dans le sport de haut niveau, on aime aller plus vite que la musique, mais trois semaines semblent être un délai raisonnable. Sa prise en charge immédiate lui a fait gagner du temps. » « Il va devoir observer une phase de repos complet avec de la glace et des compressions, enchaîne-t-il. Il pourra reprendre la course en piscine puis le vélo avant de pouvoir trottiner. La reprise du travail intensif et la frappe de balle viennent ensuite. C’est très progressif. Le joueur va très vite ne plus avoir mal mais cela ne veut pas dire qu’il sera prêt. Les fibres musculaires doivent se reconstituer et il faut ensuite les reprogrammer. »

Il n’a pas de doublure…

Concrètement, El Matador va manquer les déplacements à Nantes demain, en demi-finale de la Coupe de la Ligue, et le choc de L1 à Monaco dimanche prochain. Il est également forfait pour la réception de Valenciennes le 14 février et le 8e de finale aller de Ligue des champions le 18 février sur le terrain du Bayer Leverkusen. Mais l’incertitude plane sur sa participation au déplacement à Toulouse le 23 février et au clasico du 2 mars au Parc contre Marseille.

Un gros coup dur pour Laurent Blanc. Cavani a inscrit 20 des 83 buts du PSG cette saison en matchs officiels, soit 24%. Derrière l’ogre Ibrahimovic et ses 29 buts, Paris n’a pas d’autre attaquant réellement efficace. Lavezzi, Pastore, Lucas ou Ménez vont devoir enfin se révéler.

Paris, qui a déjà dû faire face à ce même type de blessure avec Thiago Silva, ne devrait prendre aucun risque. Le même diagnostic de trois à six semaines d’absence avait été établi lors de la blessure aux ischio-jambiers de la jambe gauche du capitaine parisien face à Monaco le 22 septembre. Le Brésilien était finalement revenu au bout de sept semaines. Mais les matchs de l’automne ne comportaient pas les mêmes enjeux brûlants pour l’avenir proche du PSG que ceux des deux mois à venir. Il faudra néanmoins prendre son mal en patience.


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Homer
posté 04/02/2014 13:17
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Pour commencer, Paris prendrait bien une finale

Au seuil d’un mois de février riche en grands rendez-vous, Paris peut s’offrir ce soir sa première finale de l’ère qatarienne.

Paris s’apprête à jouer une pièce en trois actes lors de ce mois de février. Trois déplacements cruciaux à Nantes, Monaco (dimanche) et Leverkusen (le 18 février) vont fortement conditionner son printemps. A la faveur de ce triptyque, il peut s’ouvrir les portes du Stade de France — une première sous l’ère qatarienne —, assommer le championnat en reléguant l’ASM à 8 points et se placer dans les meilleures dispositions pour les quarts de finale de la Ligue des champions.

Prenez le déplacement du soir à la Beaujoire. Quand on s’appelle le PSG et qu’on prétend vouloir tout remporter, une défaite en demi-finale de la Coupe de la Ligue est proprement inenvisageable. Encore moins deux semaines après la sortie de route en Coupe de France face à Montpellier (1-2). « C’est un match qu’il faut gagner, si possible avec la manière, mais le plus important est de passer ce tour », détaille Laurent Blanc, qui ne mégotera pas si son équipe n’inflige pas un nouveau 5-0 aux Canaris comme le 19 janvier en L1.

A Zlatan de jouer

Pour décliner le scénario idéal évoqué plus haut, Paris doit d’abord chasser les doutes nés d’un mois de janvier au jeu parfois hésitant (Ajaccio, Guingamp) et au relent persistant d’inefficacité (Montpellier, Bordeaux). Il s’agit d’un des enjeux du voyage en Loire-Atlantique. Blanc s’est bien gardé d’établir une hiérarchie entre les deux matchs de la semaine, et on le comprend. Cependant, il a fixé le cap sur la Côte d’Azur. « Monaco est une rencontre importante, a-t-il indiqué. Lors des confrontations directes face à Monaco (1-1) et Lille (2-2), nous n’avons pu faire que match nul à domicile. Or, comme vous le savez, ce sont des matchs à six points, et il faut prendre des points sur ces rencontres. »

Au rayon des mauvaises nouvelles, il est désormais acquis que février devrait s’étirer sans Cavani. Blanc l’a confirmé hier. Le Matador n’a aucune chance de participer à la confrontation aller face à Leverkusen le 18. Une grande partie des ambitions du champion de France reposera donc sur les larges épaules de Zlatan Ibrahimovic, encore buteur vendredi face à Bordeaux. « Ibra va avoir encore plus de poids », a souligné Blanc. Ça tombe bien, le Suédois est très rarement décevant.


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«Il y a une finale au bout», rappelle Alex

Deux semaines après la démonstration réussie à domicile aux dépens du FC Nantes (5-0), le PSG remet le couvert mardi face aux Canaris, à l’extérieur cette fois et dans le cadre des demi-finales de la Coupe de la Ligue.

« Il s’agit d’une compétition différente avant un match important de championnat ( NDLR : contre l’AS Monaco), a indiqué Laurent Blanc, l’entraîneur parisien. Nous allons essayer de nous concentrer uniquement sur ce match pour le remporter, avec beaucoup de respect pour Nantes. On a déjà joué deux fois contre cette équipe, on la connait bien. Faire tourner ? Je vais voir sur qui on peut compter. Il y a une réflexion à avoir».

Blanc : «Cavani, ce n’est pas très grave»

Laurent Blanc a notamment évoqué le cas du dernier blessé en date, Edinson Cavani. «Il est forfait, il a un petit problème musculaire en haut de la cuisse. Je pense que pour Nantes ou Monaco, ce sera trop juste… Une saison est longue, il n’est pas rare que ça fléchisse au niveau musculaire. Ce n’est pas très grave. C’est une question de quelques semaines. Il va pouvoir se reposer physiquement et psychologiquement. Il va pouvoir se régénérer. J’espère que l’on aura des matches importants en mars, c’est ce que je lui ai dit. Il était un peu fatigué, il s’est blessé, point».

Alex : «Nantes, un de nos meilleurs matchs»

Invité lui aussi à s’exprimer face à la presse, Alex, le défenseur qui monte (buteur lors des deux derniers matches du PSG, à Guingamp et contre Bordeaux), a insisté sur l’importance du rendez-vous nantais. Un match qui peut ouvrir au PSG les portes du Stade du France. «Bien sûr que c’est important, il y a une finale au bout, résume le Brésilien. On est conscient de la difficulté mais on est bien préparés. Les matches qui viennent cette semaine sont décisifs parce que l’on veut remporter toutes les compétitions. Notre match gagné là-bas 1-2 avait été difficile. Le 5-0 au Parc était un de nos meilleurs matches».

Alex au Mondial? Pourquoi pas !

Quel joueur brésilien n'aimerait pas disputer le Mondial-2014 (12 juin-13 juillet) organisé dans son pays? Interrogé lundi en conférence de presse à ce sujet, le défenseur central du PSG ne s'est pas interdit de rêver. «Je pense que c'est possible. Avec les bonnes performances que je fais et en essayant de maintenir ce niveau jusqu'à la fin de la saison, je pense que c'est possible.»

«Tout le monde veut participer à la Coupe du monde, surtout quand elle a lieu dans son pays. Je fais le maximum et je pense que j'ai mes chances», a-t-il ajouté.

Alex, qui aura 32 ans au mois de juin, compte 18 sélections avec le Brésil mais n'a plus porté le maillot auriverde depuis 2009. Il a été sous les ordres de l'actuel sélectionneur brésilien Luiz Felipe Scolari lors du bref passage de celui-ci à Chelsea lors de la saison 2008-2009.


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Lucas attendu au tournant

Qui pour remplacer Cavani? Hier, Laurent Blanc n’a pas voulu répondre à la question. Mais la dernière opposition avant le départ pour Nantes a livré de précieuses indications. Si l’on s’en tient à celle-ci, c’est Lucas qui devrait suppléer l’absence du Matador ce soir, et plus si affinités. L’entraîneur parisien est fidèle à ses choix des dernières semaines.

Blanc ne prévoit pas de changer de système

Depuis le début de l’année, à chaque fois que Blanc a dû effectuer un changement en attaque, l’ancien joueur de São Paulo a été systématiquement privilégié au détriment de Jérémy Ménez, son principal concurrent, voire de Javier Pastore. C’était le cas face à Brest, Guingamp, Nantes et Ajaccio.

Ces dernières semaines, le Brésilien en a d’ailleurs profité pour délivrer 3 nouvelles passes décisives (9 toutes compétitions confondues), mais Blanc ne semble pas entièrement conquis. « On dit d’un attaquant qu’il a été bon quand il a été décisif. Je sais que ce n’est pas évident car, quand vous ne jouez pas, il n’est pas facile d’être dans le bon tempo. Mais quand le temps de jeu se présente, il vaut mieux être performant », a souhaité rappeler le coach parisien pour exhorter son attaquant à plus d’efficacité. Il faut dire que Lucas, auteur de 3 buts depuis le début de la saison, est muet depuis le 23 novembre et sa dernière réalisation face à Reims. Enfin, Yohan Cabaye, aligné avec les remplaçants, devrait encore une fois entrer en cours de jeu, même si Blanc a considéré hier que l’international français était « apte à jouer » dès le début du match. « Physiquement, il est bien. Il s’est fondu dans le groupe d’une manière naturelle, et si je dois faire appel à lui, je ne me poserais pas de questions », a commenté le Président.

Celui-ci ne prévoit pas de changer de système, même après la blessure de Cavani pour trois semaines. « On peut évoluer ou changer de système pendant le match, souligne-t-il. Mais j’ai une équipe qui me donne entière satisfaction. On a eu d’autres blessés cette saison, comme Lavezzi ou Pastore, et on a fait en sorte de poursuivre dans notre philosophie, notre système de jeu et d’engranger des points. »


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Les Canaris ne se laisseront pas croquer par le PSG

Toute la ville ne parle que de ce match depuis le tirage au sort. Même le 5-0 concédé par les Canaris à Paris il y a quinze jours n’a pas endigué l’enthousiasme du peuple jaune pour cette rencontre. Pour preuve, le stade affiche complet et aurait pu accueillir plusieurs milliers de spectateurs supplémentaires.

« On a pris une gifle au Parc et on est revanchards, assure le défenseur Issa Cissokho. C’est un match de coupe. On a nos cartes à faire valoir, car toute la ville est derrière nous. A nous de les rendre fiers et de faire un bon résultat. » « On ne joue pas tous les jours une demi-finale, renchérit Papy Djilobodji. On a envie de prendre une revanche par rapport au match au Parc. C’est l’occasion, et on va tout faire pour la saisir. La seule chose qui compte, c’est se qualifier. On veut tous aller au Stade de France et on va leur montrer dès l’entame du match. »

Le Stade de France et la finale, ils en rêvent tous, même ceux qui, pour cause de blessure, ne pourront être que supporteurs, comme Alejandro Bedoya. « Je ne suis jamais allé au Stade de France, je ne l’ai vu qu’à la télé. Et, pour une première, je voudrais être sur la pelouse plutôt qu’un simple spectateur », s’amuse avec malice l’international américain.

Aller au Stade de France, c’est une chose, à condition de trouver le bon chemin face à un adversaire qui ne boxe pas dans la même catégorie. « Il y a un enjeu à travers ce match. En championnat, Paris survole les débats mais, sur un match de coupe, tout est possible, explique Fabrice Pancrate. En coupe, on trouve toujours des ressources pour se transcender. »

L’ancien Parisien, de retour dans le groupe, a même un début de plan tactique : « Toutes les équipes qui ont bousculé Paris y sont parvenues parce qu’elles ont été les chercher. Jouer bas est dangereux et inefficace. Il ne faut pas avoir peur de jouer, de se projeter, de rivaliser, de contre-attaquer. Des matchs comme ça, on en a rêvé. Maintenant qu’on y est, il faut assumer. Sur une échelle de 1 à 10, j’y crois à 7! Il faut jouer sans rougir. »

Un message partagé par l’entraîneur, Michel Der Zakarian : « Le PSG est une équipe difficile à manœuvrer, mais elle n’est pas invulnérable. On se doit de montrer un beau visage devant notre public en donnant tout ce qu’on a. Si tu abdiques avant de jouer ça ne sert à rien. »


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