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11/01/2014 19:59
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#5881
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Paris ne le prend pas à la légère En déplacement chez la lanterne rouge, les Parisiens se méfient d’une équipe corse qu’ils n’ont plus battue depuis l’été 2012. C’est un signe qui ne trompe pas. Pour ce match de reprise en L1, Laurent Blanc a prévenu qu’il mettrait « la meilleure équipe possible » du PSG, cet après-midi, à Ajaccio. Dans la langue de l’entraîneur parisien, cela signifie qu’il alignera son équipe de titulaires habituels excepté Marco Verratti, en phase de reprise après sa blessure à un adducteur et dispensé de ce déplacement en Corse. Hier, lors de l’ultime entraînement au camp des Loges, Ibra et les « réguliers » évoluaient dans la même formation (sauf Matuidi, mais pour une question d’équilibre) face aux coiffeurs parisiens. Comme à Brest mercredi en Coupe de France, ce souci de minimiser la rotation démontre la volonté du leader parisien de ne pas rater ce retour à la compétition même face au dernier de la Ligue 1. « L’idée, c’est de relancer la machine, a expliqué le technicien français. On attaque le championnat et il faut rentrer dans la compétition. » Accessoirement, il s’agit aussi de conserver ses distances avec Monaco, toujours sur les talons des Parisiens. Confronté au forfait de Verratti, le staff parisien titularisera une nouvelle fois le jeune Adrien Rabiot (18 ans) en milieu de terrain. Mais il touche là du doigt les limites de son effectif dans ce secteur de jeu. Laurent Blanc a d’ailleurs réaffirmé que si Paris devait accueillir un renfort cet hiver, ce serait dans l’entrejeu. « Si on doit recruter, c’est dans le secteur du milieu de terrain, a-t-il assuré. Mais si on n’a pas ce joueur et qu’on termine la saison avec ce groupe, je serai quand même heureux. Le mercato d’hiver sera difficile. Les grands joueurs vont rester dans leurs équipes à cause de la Coupe du monde et, nous les premiers, on ne vendra pas à un concurrent éventuel en Ligue des champions. En plus, nous cherchons un joueur qui peut jouer toutes les compétitions, donc ça réduit le choix. » En revanche, l’entraîneur parisien a quasiment écarté l’idée de remplacer Christophe Jallet, opéré d’une hernie discale mercredi dernier et absent pour deux mois. « On a sept joueurs pour quatre postes (NDLR : en défense), donc dans le pire des cas, on trouvera une solution », plaide l’intéressé. A ce rythme-là, le mercato d’hiver du PSG ne promet pas de gros bouleversements. Laurent Blanc s’est exprimé à propos de Jérémy Ménez et son souhait de rester au PSG jusqu’en juin prochain pour y gagner une place de titulaire. « Ça veut dire qu’il est conscient qu’il n’a pas de place (NDLR : de titulaire), a d’abord ironisé Blanc. S’il est conscient de ça et qu’il travaille pour récupérer sa place, cet état d’esprit me plaît. C’est une bonne approche, mais on va patienter encore un peu. » Citation Blaise Matuidi vers la prolongation Pour la première fois, Laurent Blanc a levé un coin du voile sur la possible prolongation du contrat de Blaise Matuidi dont le terme expire le 30 juin 2014. « Le dossier est difficile mais des choses sont faites et des souhaits exprimés. Je pense qu’on est tous sur la même longueur d’onde, on veut que Blaise continue au PSG. Mais ça s’appelle une négociation et elle n’est pas terminée », a expliqué l’entraîneur parisien. Ce dernier confirme que les tractations ont bien été entamées entre le club de la capitale et l’international tricolore mais aussi son nouvel agent, Carmine Raiola. Blanc ne peut pas vraiment en dire beaucoup plus puisque toute communication officielle est suspendue au règlement du litige opposant Jean-Pierre Bernès, l’ancien agent de Matuidi (également celui de Blanc) et son nouveau conseil. Bernès réclame toujours 3,5 M€ au milieu de terrain des Bleus et 5 M€ à son nouvel agent. Il accuse le joueur de rupture abusive de contrat pour avoir dénoncé en mars 2013 un contrat dont le terme était prévu fin juin et Raiola d’être « à l’instigation » de cette rupture. Une nouvelle audience technique est prévue le 28 janvier, mais le litige pourrait se régler par une transaction financière entre les deux parties et ainsi ouvrir la voie à l’officialisation de la prolongation de Matuidi. Citation Les Ajacciens ont la recette Lanterne rouge de Ligue 1, avec 9 petits points, les Corses peuvent se prévaloir de n’avoir jamais connu la défaite face au PSG depuis l’été 2012. La saison dernière, sous l’ère Carlo Ancelotti, les Parisiens avaient, par deux fois, concédé le nul sur un score vierge. Cet été, Cavani a même évité la défaite aux siens au Parc en marquant en fin de match après l’ouverture du score de Pedretti (1-1). Avec trois matchs nuls consécutifs, Ajaccio endosse donc étonnamment les habits de bête noire du champion de France! « Il n’y a aucune comparaison possible entre eux et nous, répond Sigamary Diarra, milieu de terrain d’Ajaccio. Ils sont 10000 fois meilleurs, c’est un fait. Mais aussi forte soit-elle, aucune équipe n’est imbattable. Cette saison, Evian, par exemple, a réussi à les battre (2-0). Nous, on reste sur trois nuls. C’est bien la preuve que dans le football tout est possible. » L’entraîneur n’est pas le principal artisan de ce savoir-faire insulaire puisque ces nuls ont été obtenus sous trois techniciens différents (NDLR : Alex Dupont, Albert Emon, Fabrizio Ravanelli). « Pour espérer faire un coup face à une équipe comme Paris, la première règle, c’est d’éviter d’encaisser un but. On a donc fait bloc, répondu présent à la récupération, et surtout défensivement, on était à 200% », raconte Diarra, acteur en août 2012 puis un an plus tard. Une autre statistique interpelle. Sur l’ensemble de ces trois rencontres, Paris a tiré 71 fois pour n’inscrire qu’un seul but (contre 16 frappes seulement pour Ajaccio avec un résultat similaire). Ce manque de réussite a d’ailleurs bien énervé les Parisiens : la saison dernière, à l’aller, Lavezzi a été expulsé, Thiago Motta l’a été au retour. « On ne s’est pas non plus mis à 11 devant nos buts. C’était plus un état d’esprit. On était hyper concentrés, poursuit le milieu corse. Quand on affronte le PSG, une des meilleures équipes d’Europe, la motivation vient toute seule. » L’équipe dirigée aujourd’hui par Christian Bracconi espère bien réitérer le même exploit. « Le maintien est encore jouable, assure Diarra. Une victoire ou au moins un match nul contre un club comme Paris nous ferait un bien fou mentalement. En fait, ce sont bien plus que trois points qui sont en jeu. » Citation Le PSG s'impose sans briller à Ajaccio (2-1) Un petit écart pour un petit match... mais une très belle opération au classement. En s'imposant laborieusement 2-1 sur le terrain de la lanterne rouge Ajaccio ce samedi pour le compte de la 20e journée de Ligue 1, le PSG a pris cinq points d'avance sur son dauphin Monaco, qui avait concédé le nul à Monaco la veille. Cueillis à froid par des Corses totalement libérés dès l'entame (Eduardo, 6e), les Parisiens, parasités par trop de déchets techniques, n'ont égalisé qu'en fin de première période, au terme d'un contre redoutable (Lavezzi, 41e). Après la pause, les Corses, nettement en dessous, ont néanmoins tenu le nul une demi-heure, avant que Matuidi, d'une belle tete plongeante (74e), ne scelle le score de la rencontre. Sans briller, les Parisiens, qui s'étaient pourtant balladé mercredi à Brest en Coupe de France (5-2), empochent ainsi face aux Corses leur première victoire depuis quatre confrontations ! Le Parisien.fr Citation Paris a évité le piège corse Grâce à sa victoire à Ajaccio (2-1, buts de Lavezzi et Matuidi), ce samedi, le PSG a pris le large en tête du classement. Il compte désormais cinq points d'avance sur son dauphin, Monaco, et provisoirement sept sur Lille qui joue dimanche. Pour la première fois en quatre confrontations, le Paris-SG a réussi à prendre la mesure de l’AC Ajaccio, relégable en puissance. Après trois nuls (0-0 et 1-1 la saison dernière puis 1-1 à l’aller au Parc), le club de la capitale a vaincu le signe indien. Mais que ce fut complexe pour les hommes de Laurent Blanc, très vite menés au score et qui ont dû attendre le dernier quart d’heure pour arracher la victoire (2-1). Grâce à ce succès, le PSG consolide sa place de leader du Championnat, avec désormais cinq unités d’avance sur Monaco, tenu en échec vendredi à Montpellier (1-1), et provisoirement sept sur Lille, qui défie Reims dimanche en clôture. Si le président d’Ajaccio, Alain Orsoni, voit mal comment son équipe va pouvoir échapper à la descente en Ligue 2, cette partie face à l’ogre PSG devrait paradoxalement l’aider à se dire qu’un avenir en L1 reste une issue envisageable. A condition de rééditer ce type de prestation. Grâce à une défense resserrée et un milieu très dense, l’ACA a souvent canalisé un PSG en difficulté en début de match. Eduardo en a d’ailleurs profité pour ouvrir le score d’une reprise au second poteau (6e, 1-0). Paris sera longtemps resté impuissant, comme en témoigne l’arrêt d’Ochoa devant Lavezzi (10e), le poteau d’Ibrahimovic (29e) et la frappe hors cadre de Cavani (36e). Ibra, double passeur La muraille corse a toutefois fini par céder sur une belle action collective parisienne, conclue par Lavezzi, buteur à bout portant sur un centre d’Ibra (41e, 1-1). Jamais à l’abri d’un contre ajaccien, Paris a trouvé la lumière en passant du 4-3-3 au 4-4-2 suite à la sortie d’Alex, remplacé par Pastore. L’Argentin est d’ailleurs à l’origine du second but parisien. Sa feinte sur André - un petit bijou - l'a aidé à trouver Ibra, auteur d’une deuxième passe décisive. Son centre a permis à Matuidi de marquer le but victorieux d’une tête plongeante (74e, 1-2). Un match compliqué pour Paris, qui ne retiendra que les trois points avant de se rendre mardi à Bordeaux, pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue. Citation Blanc : «Un peu la fatigue» L'entraîneur du PSG, Laurent Blanc, a reconnu que, malgré la victoire, son équipe n'avait pas réalisé une grande prestation ce samedi à Ajaccio (2-1). Laurent Blanc (entraîneur du Paris-SG) : «On était conscient que c'était un match difficile, il fallait essayer de se le rendre facile comme on l'a fait en Coupe de France (à Brest, 5-2). Il fallait être très performant durant les vingt premières minutes, ce qu'on n'a pas fait, et en plus on a encaissé un but, où on a fait preuve de passivité. Ca les a galvanisés. On a quand même eu la bonne idée d'égaliser, ce qui nous a permis de revenir au score et dans le match. En deuxième mi-temps, sur quelques actions, on aurait pu se mettre à l'abri, mais Ajaccio a chèrement vendu sa peau. Les matches sont difficiles pour tout le monde, il y a eu une petite coupure, les corps et les têtes doivent se remettre dans la compétition. Dans les têtes, il fallait faire cet effort. On a un peu la fatigue de mercredi, ce qui fait qu'on est peut-être un peu en retard à l'allumage.» L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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11/01/2014 20:55
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Citation Blanc : «Des changements à Bordeaux» Laurent Blanc a annoncé ce samedi, après la victoire du PSG à Ajaccio (2-1), qu'«il y aura certainement des changements», mardi à Bordeaux en quarts de finale de la Coupe de la Ligue. «Ce ne sera certainement pas la même équipe» qui débutera face aux Girondins, a précisé le coach parisien. «Il faut voir comment les joueurs vont récupérer, a-t-il ajouté. Il y a la fatigue, les coups, les cartons aussi. Continuer dans toutes les compétitions, oui, avec la même motivation, oui, avec la même équipe, ce sera compliqué.» Absent en Corse, Marco Verratti sera cette fois sûrement présent à Chaban-Delmas car contrairement à ce que l'on pouvait croire, l'Italien n'était pas blessé mais malade. «Sa blessure est finie, mais hier (vendredi) il a contracté une grosse angine, donc il était absent pour ça», a expliqué Blanc, qui devrait pouvoir à nouveau compter sur lui pour les prochaines échéances. L'Equipe.fr Citation Blanc :«Il fallait faire cet effort» L'entraîneur du PSG, Laurent Blanc, a reconnu que, malgré la victoire, son équipe n'avait pas réalisé une grande prestation ce samedi à Ajaccio (2-1). «Laurent Blanc, à quoi attribuez-vous ce match laborieux ? A un très mauvais départ. On était conscient que c'était un match difficile, il fallait essayer de se le rendre facile comme on l'a fait en Coupe de France (à Brest, 5-2). Il fallait être très performant durant les vingt premières minutes, ce qu'on n'a pas fait, et en plus on a encaissé un but, où on a fait preuve de passivité. Ca les a galvanisés. On a quand même eu la bonne idée d'égaliser, ce qui nous a permis de revenir au score et dans le match. En deuxième mi-temps, sur quelques actions, on aurait pu se mettre à l'abri, mais Ajaccio a chèrement vendu sa peau. Mais on doit mettre le troisième but! Dans certaines situations, on n'a pas fait le bon geste au bon moment. Même si c'était un match laborieux, on a eu 71% de possession de balle. Ce qui m'a dérangé, c'est qu'à chaque action d'Ajaccio, on a fait preuve de fébrilité. C'est la reprise: on avait à coeur de gagner ce match, mais il fallait s'y remettre, c'est ça qui était difficile. Les matches sont difficiles pour tout le monde, il y a eu une petite coupure, les corps et les têtes doivent se remettre dans la compétition. Dans les têtes, il fallait faire cet effort. Paris a encaissé trois buts face à un club de L2 (Brest) et le dernier de L1 (Ajaccio)... On ne fait pas le geste défensif qu'on doit faire, et on est souvent puni, et ça vaut pour tout le monde. Le but de ce soir, sur un dégagement on n'est pas au duel. Actuellement on pense peut-être trop à faire ce qu'on doit faire quand on a le ballon, et on oublie ce qu'on doit faire sans ballon. Ca va se régler, les matches vont s'enchaîner, l'Europe va venir. On a un peu la fatigue de mercredi, ce qui fait qu'on est peut-être un peu en retard à l'allumage. Retard à l'allumage pour Cavani aussi... Oui. Il se procure peut-être un peu moins d'occasions mais il s'en procure. Sincèrement, je ne suis pas très inquiet pour "Edi". La bonne idée, c'est que "Pocho" (Lavezzi) a marqué, c'est une bonne chose. Le problème, c'est qu'il joue comme il sait jouer... Ce qui gratifie sa production, c'est quoi? un but. Il manquait quelque chose, quand on joue attaquant, ou on donne des passes décisives, ou on marque des buts. Mais la saison n'est pas terminée.» L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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12/01/2014 08:32
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Citation Le voyage qui rapporte gros Sans forcément bien jouer, Paris est allé l’emporter en Corse, au lendemain du match nul de Monaco. Une excellente affaire au classement. C’est l’histoire d’un mauvais match qui devient une super opération. En s’imposant hier après-midi en Corse, le PSG pousse son avance à cinq longueurs devant Monaco et c’est déjà la meilleure nouvelle pour ce Paris-là, version 2014, encore en rodage. Le long week-end de reprise du Championnat de France peut virer au triomphe si Reims — tombeur de Lyon et Marseille chez ces cadors — confirme ses aptitudes de formation enquiquinante pour les gros noms de l’Hexagone en visitant ce soir l’actuel troisième, Lille. A quatre points de l’équipe de la principauté à la 2e journée, après un incroyable nul contre… Ajaccio (1-1) au Parc des Princes, le club de la capitale a donc rattrapé 9 points sur Monaco en 18 rencontres. Comme l’ASM réalise une très bonne saison malgré son ralentissement d’avant et d’après-trêve, c’est dire la cadence infernale qu’imposent Zlatan et sa bande. « Les matchs sont difficiles pour tout le monde, juge Laurent Blanc. Il y a eu une petite coupure à Noël. Les corps et les têtes doivent se remettre dans la compétition. » Disons que Paris est mieux entré dans la nouvelle année que les hommes du Rocher et, vu son calendrier démentiel avec pour l’instant deux compétitions de plus que pour Falcao et consorts (Ligue des champions et Coupe de la Ligue), ce petit matelas peut amortir un éventuel choc. Trois buts encaissés cette semaine Il arrivera si Paris ne règle pas un problème, car le PSG en a un. En concédant trois buts dans la semaine contre Brest, le 15e de Ligue 2 (18e attaque de cette division) en Coupe de France, et hier chez la lanterne rouge de Ligue 1 (sans aucune conséquence, dans les deux cas, sur le résultat final), au minimum, il se fait peur, et au maximum, il expose un souci d’équilibre. Il y a Thiago Silva dont on a déjà dit ici qu’il n’avait pas retrouvé toute sa sérénité même si, hier, ce n’était pas le problème. Mais on dirait parfois que le PSG s’oublie et se perd dans les replacements les plus élémentaires, en défendant comme un junior. Un comble avec cette défense au goût carioca (trois Brésiliens chevronnés avec Thiago Silva, Alex et Maxwell). « Actuellement, on pense trop à ce que l’on doit faire quand on a le ballon et pas assez à ce qu’il faut faire quand on ne l’a pas », analyse joliment Blanc dans une parabole éclairante sur cette carence qui peut devenir rédhibitoire face à une formation plus huppée. Et l’entraîneur parisien d’ajouter dans un sourire : « Cela va se régler. » La Formule 1 PSG nécessite encore quelques ajustements en cette nouvelle année. Citation Ajaccio 1 - 2 PSG Mi-temps : 1-1. Spectateurs : 9 000 environ. Arbitre : M. Rainville. Avertissements. Ajaccio : Faty (16e), Dielna (35e). PSG : Van der Wiel (45e + 1), Ibrahimovic (68e). Ajaccio : Ochoa - Mostefa, Perozo, Hengbart, Tonucci, Dielna (Diarra, 84e)- Lasne, Faty (Bonnart, 68e), André (Camara, 81e) - Cavalli (cap.) - Eduardo. Entr. : Bracconi. PSG : Sirigu - Van der Wiel, Alex (Pastore, 72e), Thiago Silva (cap.), Maxwell - Rabiot (Marquinhos, 81e), Thiago Motta, Matuidi - Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi (Lucas, 72e). Entr. : Blanc. Citation LES BUTS 6e. Maxwell a déserté son flanc gauche, Mostefa en profite et sert Benjamin André dont la reprise du bout du pied trouve Eduardo, seul au second poteau. Le Brésilien ouvre le score du plat du pied. 1-0 41e. Matuidi lance Ibrahimovic dans la surface de réparation corse. Le Suédois centre en retrait pour Lavezzi qui marque dans le but vide. 1-1 74e. Pastore élimine André sur un crochet et centre à destination d’Ibrahimovic qui prolonge pour Matuidi. Le Français marque d’une tête plongeante. 1-2 Citation LE FAIT DU MATCH 83e. Sortie aérienne hasardeuse de Sirigu sur un corner tiré par Cavalli. Eduardo, présent à la tombée du ballon, rate la cible et manque de peu l’égalisation. Citation Blaise Matuidi : « Je ne suis pas le sauveur » Buteur décisif hier en fin de match, Blaise Matuidi a sorti son équipe d’un mauvais pas. A la sortie du vestiaire, il est tombé dans les bras d’Oumar Sissoko, le gardien remplaçant ajaccien, son ex-camarade au centre de formation de l’INF Clairefontaine, avant de s’arrêter face aux médias. Comment expliquez-vous les difficultés du PSG hier ? Blaise Matuidi. En Ligue 1, les matchs faciles, surtout à l’extérieur, cela n’existe pas. Ajaccio est peut-être lanterne rouge, mais ils ont montré de belles qualités. De notre côté, nous avons eu un peu de mal à nous remettre d’entrée de jeu dans le bon état d’esprit. La semaine a été compliquée avec ce déplacement à Brest reporté, puis décalé au mercredi. Les deux matchs étaient rapprochés et cela explique, au moins en partie, notre début de rencontre hésitant. Etes-vous d’accord pour dire que ce résultat est assez flatteur ? Non. Dans l’ensemble, nous avons eu les meilleures occasions de but et la possession du ballon. Donc, le résultat est logique. Avez-vous quand même conscience de sauver votre équipe en marquant à un quart d’heure de la fin ? Je ne suis pas d’accord. Je ne suis pas le sauveur du PSG. Si j’ai marqué, c’est parce que l’ensemble de l’équipe a su faire les efforts nécessaires pour l’emporter. Mon but montre simplement que nous sommes plusieurs à pouvoir marquer et faire la différence. Ce n’est pas toujours Zlatan (Ibrahimovic) ou Edi (Edinson Cavani) et ça, c’est intéressant. Au classement, le PSG prend le large sur l’AS Monaco… C’est très intéressant car nos poursuivants, Monaco et Lille, tiennent bien le rythme jusqu’à maintenant. Mais ne regardons pas trop ce qui se passe derrière nous et concentrons-nous sur notre jeu. Si nous continuons à être aussi performants, on va aller au bout, j’en suis persuadé. Allez-vous prolonger le contrat qui vous lie avec Paris jusqu’en juin prochain ? Je ne veux pas m’exprimer sur ce sujet. Pas pour le moment. Citation Des changements attendus mardi à Bordeaux Laurent Blanc l’a dit mercredi après la qualification face à Brest en Coupe de France (5-2). Si Paris veut tenir, il va falloir « hiérarchiser » les objectifs. Ce succès laborieux face à Ajaccio l’aura certainement conforté dans ses convictions. Il ne pourra pas reconduire sans dommages son onze titulaire à chaque match. D’autant que Paris, qui reste engagé dans toutes les compétitions, devra disputer au moins 7 rencontres (voire 9 en cas de qualification dans les deux coupes nationales) avant d’aller à Leverkusen le 18 février en Ligue des champions. La confiance de Motta Blanc devrait donc donner un premier indice, dès mardi à Bordeaux, sur les tenants et aboutissants de sa hiérarchisation. « Il faudra que les joueurs récupèrent bien pour mardi. Par exemple Adrien Rabiot a pris un très mauvais coup (NDLR : il souffre d’une contusion au tibia droit). Et puis il y a les cartons et la fatigue, énumère-t-il. Il faudra avoir la même motivation dans cette Coupe de la Ligue, mais ce sera un match difficile et je suis obligé de changer l’équipe. Je ne peux pas encore savoir quelle forme elle aura, mais je serai obligé d’apporter des modifications. » Le staff pourra compter sur le retour de Verratti, absent hier à cause d’une angine. Mais, si l’absence de Rabiot se prolonge, cela relancerait le débat sur le recrutement d’un milieu de terrain. Blanc pourrait aussi en profiter pour relancer Ménez, scotché sur le banc hier, dont l’agent, Jean-Pierre Bernès, a confirmé hier sur l’Equipe 21 que son joueur resterait jusqu’à la fin de la saison au PSG. Marquinhos, Lucas, Digne ou Pastore sont aussi appelés à profiter de cette rotation qui se profile. Il reste à mesurer l’incidence qu’auront ses changements sur le niveau du PSG. Pour Thiago Motta, cela ne pose aucun problème : « On a des joueurs qui, quand ils rentrent, peuvent faire la différence. » Et si la défaite à Benfica (1-2) bat en brèche cette conviction, on peut mettre en vis-à-vis la victoire à Reims (3-0), où Paris s’était imposé avec 5 remplaçants (Jallet, Digne, Rabiot, Lucas et Ménez). Mais le match le plus important de la semaine prochaine est celui contre Nantes. Et ce sera dimanche au Parc. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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13/01/2014 11:17
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Citation Barthez, ce n'est pas fait Alors que l'arrivée de Fabien Barthez comme consultant auprès des gardiens du PSG semblait acquise, tout ne semble plus aussi simple aujourd'hui. D'après nos informations, l'ancien international français ne fait pas l'unanimité au sein de la direction parisienne, alors que Laurent Blanc souhaite toujours le faire venir au club. Le sujet devrait être à nouveau abordé cette semaine lors d'une réunion. lequipe.fr |
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13/01/2014 11:58
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Citation Les quatre résolutions du PSG L’année 2014 commence à peine et, en trois matchs, le PSG maintient une dynamique dans le jeu et dans les résultats mais avec quelques accrocs. Il faut inclure le match amical perdu contre le Real Madrid (1-0) au Qatar dans ce mini-bilan de reprise car il demeure, à ce jour, la meilleure production des Parisiens dans le contenu. Ces trois rencontres, marquées par sept buts inscrits et quatre encaissés, allument quatre voyants, quand le champion de France entame son marathon et que l’adversité n’a pas encore été dantesque. Voici donc les bonnes résolutions auxquelles le PSG doit se soumettre. 1 Renouer avec la solidité défensive Ce qui pouvait être un accident contre Lille, avec deux buts encaissés par une équipe parfois peu portée sur l’attaque, s’est confirmé au changement d’année : le PSG affiche une passivité défensive étrange doublée d’erreurs individuelles grossières. Laurent Blanc attribue ces carences ponctuelles au retour à la compétition. Plus les matchs s’accumuleront, plus ce défaut se gommera. Paris doit retrouver le goût de l’effort en phase défensive. 2 Retrouver le Cavani buteur Triple buteur à Brest en Coupe de France (victoire 5-2), double passeur en Corse (succès 2-1), Ibrahimovic s’occupe de tout pour l’instant. Mais il ne peut pas tout et, depuis trois matchs, Cavani l’abandonne. Discret en Bretagne, l’Uruguayen s’est procuré des occasions magistrales au Qatar ou face à Ajaccio, avec, chaque fois, un manque de précision inhabituel chez lui. Pour que le sujet ne devienne pas une obsession, il doit retrouver le chemin des filets, contre Bordeaux, demain en Coupe de la Ligue, ou Nantes, dimanche en L 1, selon son temps de jeu. 3 Revoir des remplaçants performants Au début de la saison, quand les remplaçants avaient leur chance — souvent après une trêve internationale —, personne ne voyait la différence et tout le monde louait ce groupe aussi fort sur le terrain que sur le banc. Mais la suite n’a pas confirmé que le PSG possède deux effectifs de même valeur. A l’heure où les trentenaires régulièrement titulaires sont prioritaires pour souffler (Ibra, Motta, Alex et Maxwell), la concurrence doit hisser son niveau. 4 Recruter un milieu de terrain Le PSG est à flux tendu. Victime d’une contusion au tibia droit en Corse, Rabiot pourrait souffler demain alors que Verratti (adducteurs, puis angine) fera normalement son retour. Etre quatre pour trois postes, mais sans que les quatre soient toujours là au même moment, est une prise de risque considérable. Le PSG doit recruter au milieu, où la physionomie d’un match se construit. La santé de Thiago Motta, à la célèbre fragilité musculaire, reste sous surveillance. Un joueur de plus ne ferait vraiment pas de mal dans ce secteur. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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14/01/2014 11:48
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Citation Blanc pense toujours à Cabaye Pour la première fois publiquement, Laurent Blanc n'a pas caché qu'il aimerait recruter Yohan Cabaye pendant le mercato qui s'achève à la fin du mois. Réagissant aux propos du milieu de Newcastle affirmant samedi sur Canal+ qu' «il n'y a rien» avec le PSG, l'entraîneur a rétorqué lundi en conférence de presse: «Parfois, les dossiers se refroidissent ou se réchauffent. Puis ils se re-refroidissent ou se re-réchauffent. Jusqu'au 31 janvier. Personne ne ferme la porte. Un transfert, c'est une négociation. Plus un joueur est annoncé intransférable, plus cela signifie que ça va changer.» C'est la première fois que le technicien admet en creux s'intéresser à lui. Discussions avec Barthez Cabaye disait aussi au micro de la chaîne cryptée: «Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset font de bonnes choses, c’est très bien. Je prends du plaisir à les regarder mais je suis un joueur de Newcastle et, jusqu’à preuve du contraire, je le serai encore à la fin du mercato. Ce ne sont que des rumeurs.» Sollicité également sur le cas Barthez, évoqué comme renfort ponctuel dans le staff pour s'occuper de temps en temps des gardiens du club, Blanc souligne : «En équipe de France, ce n’est pas moi qui l’ai mis en place mais mon prédecesseur (NDLR: Raymond Domenech). J’aimerais le faire à Paris, si ça se fait tant mieux, sinon tant pis. On restera quand même des amis même si on ne travaille pas ensemble. Il n'y a rien d'arrêté. Ce sont des discusssions non officielles. Si Fabien est intéressé, c’est parce qu’il en a envie.» Citation Ibrahimovic et Thiago Silva à la remise du Ballon d'or Zlatan Ibrahimovic et Thiago Silva n'ont pas participé à l'entraînement du PSG lundi à la veille du quart de finale de Coupe de la Ligue à Bordeaux. Les capitaines des sélections de Suède et du Brésil étaient au même instant à Zurich (Suisse) pour la cérémonie de remise du Ballon d'Or. Le reste du groupe hormis Jallet et Douchez (blessés) s'est entraîné normalement sur la pelouse du camp des Loges. Les deux joueurs ont néanmoins été convoqués par Laurent Blanc dans le groupe de 19 joueurs qui se déplacera en Aquitaine. Le groupe du PSG : Sirigu, Maignan - Van der Wiel, Thiago Silva, Camara, Alex, Digne, Marquinhos, Maxwell - Rabiot, Matuidi, Thiago Motta, Verratti, Pastore - Lucas, Ibrahimovic, Lavezzi, Cavani, Ménez. Citation Ibra récompensé du prix du plus beau but de l'année Et le vainqueur est... Zlatan ! L’attaquant du PSG a remporté lundi le prix Puskas du plus beau but de la dernière saison en marge de la cérémonie de remise du Ballon d’Or. Ibrahimovic est récompensé pour son improbable retourné acrobatique de plus de 30 mètres réussi en amical face à l’Angleterre le 13 novembre 2012. Le Suédois a été plébiscité par les internautes devançant facilement le Brésilien Neymar et le Serbe Nemanja Matic. « Bien sûr, il a été marqué lors d’un match amical, mais ce but restera dans l’histoire, savoure Ibra. Les gens s’en souviendront pendant quelques temps. Des joueurs tenteront sûrement ce geste à l’avenir, mais je suis le premier à l’avoir réalisé. Gagner un trophée pour cela est une preuve que c’est non seulement un but fantastique, mais aussi qu’il entre dans l’histoire. » Quatrième au classement du Ballon d’Or, Ibrahimovic figure également au sein de l’équipe de l’année au côté de son coéquipier du PSG, Thiago Silva. Zlatan Ibrahimovic (Suède, 13 novembre 2012 : Suède - Angleterre, amical) : que dire de cet exceptionnel ciseau ? L'attaquant du PSG a inscrit ce but de génie en sélection pour l'inauguration de la Friends Arena de Stockholm. Le Parisien 13/1 Citation Blanc relance la piste Cabaye Pour la première fois, Laurent Blanc n’a pas caché qu’il aimerait recruter Yohan Cabaye dès le mercato d’hiver. « Parfois, les dossiers se refroidissent ou se réchauffent, a déclaré l’entraîneur hier. Personne ne ferme la porte. Un transfert, c’est une négociation. » Blanc apprécie le milieu de Newcastle, mais le PSG ne s’est pas positionné. Une prise de contact avait eu lieu au début de l’été dernier ; depuis, rien de formel. Si l’intérêt du PSG devait se matérialiser, il n’est pas certain que Cabaye accepte le challenge. A six mois de la Coupe du monde, l’international pourrait ne pas vouloir prendre le risque de perdre sa place chez les Bleus en rejoignant une équipe où les titulaires au milieu semblent indéboulonnables. En revanche, contrairement à une rumeur qui circule depuis le week-end, la piste Yann M’Vila est totalement infondée. Citation Le PSG ne fera pas d’impasse Une phrase mal comprise. En déclarant vouloir hiérarchiser les objectifs parisiens mercredi après Brest - PSG (2-5), Laurent Blanc a pu laisser entendre que le club ferait l’impasse sur une épreuve, la Coupe de la Ligue par exemple, la moins prestigieuse des quatre dans lesquelles il est engagé. Il n’en est rien. Si jamais un choix doit intervenir, ce ne sera ni contre Bordeaux, ce soir, ni face à Montpellier en Coupe de France la semaine prochaine. « Le mois de janvier, avec quatre matchs, ne me pose pas de problème, explique l’entraîneur parisien. C’est plutôt février qui sera plus difficile. Si on est toujours qualifiés, là, il y aura peut-être des préférences sportives. » Février et ses terrains lourds peuvent coûter cher, avec déjà cinq matchs au menu, dont deux énormes en déplacement : l’un de Ligue des champions devant le Bayer Leverkusen et l’autre à Monaco, dauphin de Paris en L 1. Il faudra aussi expédier les affaires courantes : Bordeaux encore une fois, Valenciennes et Toulouse. Chaque rencontre peut devenir un dilemme, même si Blanc se veut rassurant : « Les calculs, ce n’est pas trop bon. On a un effectif de qualité et de quantité pour être compétitif dans chaque compétition. Seule une multitude de blessés ou de suspendus nous amènerait à faire des choix significatifs. » Ce n’est pas ce soir que le PSG renoncera à tout gagner. Alors, tant que ça dure, c’est une chance pour ceux qui jouent moins. Qu’ils soient barrés par meilleur (Digne derrière Maxwell) ou qu’ils soient décevants quoi qu’il arrive (Lucas, Pastore). On les verra ce soir. « Quand on a du temps de jeu, il faut tout faire pour être bon, essayer d’être décisif et gagner du temps de jeu pour la suite, détaille Blanc. C’est toujours une bonne idée. » Citation Guillaume Hoarau : «Très motivé pour éliminer Paris» De retour en France après une année chaotique en Chine, Guillaume Hoarau a retrouvé l’envie de jouer et le sourire. L’attaquant international (cinq sélections) se confie avant ses retrouvailles avec le PSG, où il a évolué de 2008 à janvier 2013. Vous sentez-vous prêt à démarrer la rencontre ? Guillaume Hoarau. Je n’ai pas encore la caisse pour tenir quatre-vingt-dix minutes. On va voir avec le coach, on ne prendra pas de risque. Dans le passé, je me suis blessé car je m’étais trop mis dans le rouge. Alors je raisonne plutôt sur les cinq mois que j’ai devant moi. Comment avez-vous été accueilli à Bordeaux ? Dans des conditions exceptionnelles. Depuis mon retour en France, les gens sont gentils. J’espère faire rêver ceux qui croient encore en moi et j’ai vraiment envie d’aider ce groupe doté d’un gros potentiel. Je suis là pour être décisif et marquer. Bordeaux peut-il éliminer Paris ? Oui, à condition de réussir l’entame de match et de répondre au combat physique. Si on est intelligent, on aura retenu la leçon de Toulouse (défaite 1-0). Paris est la référence techniquement en France mais nous misons beaucoup sur cette compétition. Et si on se qualifie, cela deviendra très intéressant. Qu’éprouvez-vous au moment de retrouver votre ancien club ? Du plaisir. J’ai marqué mon premier but en L1 et j’ai remporté mon premier trophée avec Paris (Coupe de France en 2010). Je n’en garde que des bons souvenirs. Il y aura donc un avant et un après-match avec mes anciens coéquipiers. Même si l’équipe est différente aujourd’hui, j’ai gardé des attaches là-bas. Mais copain ou pas, je suis très motivé pour les éliminer. D’ailleurs, pour mon premier match avec le PSG, on avait été battus 1-0 et j’avais marqué dès la rencontre suivante. J’ai perdu ma première rencontre avec Bordeaux sur le même score, alors j’espère que l’histoire va se répéter. Que pensez-vous du PSG actuel ? C’est une véritable équipe, contrairement à la saison dernière. Ils ont acheté des super joueurs pour améliorer le groupe et ils ont accompli un travail remarquable. Même si actuellement ils sont un peu moins performants collectivement, ils continuent de gagner. Pour les joueurs français, il est de plus en plus difficile de se faire une place dans cette équipe… Oui, tout le monde parle des bienfaits de la concurrence. Or quand elle te concerne, tu as du mal à l’accepter. C’est la mentalité française. A Paris, on me disait : « Ne pars pas, reste. » Mais quand tu as Ibra comme concurrent direct… Cependant, les mecs qui sont là aujourd’hui le savent bien, ceux qui sont sur le terrain sont les meilleurs tout simplement. Regrettez-vous votre expérience ratée en Chine ? J’étais content de partir à l’époque. J’avais peut-être besoin de me mettre en danger pour me rendre compte de ce que j’avais avant. Certes j’ai pris des sous en Chine, mais croyez-moi cela ne fait pas tout. Mon choix a été très critiqué mais cette expérience m’a fait grandir. C’était un changement de vie radical. Aujourd’hui, je comprends mieux ce que vivent les étrangers quand ils arrivent en France et qu’ils ne parlent pas la langue. N’avez-vous pas perdu votre temps là-bas ? Beaucoup disent que j’ai perdu une année de ma vie mais je veux leur montrer que cela me servira. Aujourd’hui, je sais où je veux aller et avec qui je veux y aller. J’aurai 30 ans en mars et une carrière passe très vite. Alors désormais, je veux prendre le maximum de plaisir au quotidien. C’est un bonheur pour moi d’être là. Bordeaux - PSG Ce soir (21 heures) au stade Chaban-Delmas. Arbitre : M. Buquet. Bordeaux : Carrasso (cap.) - Mariano, Henrique, Sané, Orban - N’Guemo, Sertic ou Poko - Obraniak, Saivet, Maurice-Belay - Hoarau. Entr. : Gillot. PSG : Sirigu - Van der Wiel, Marquinhos, Thiago Silva (cap.), Digne - Rabiot, Verratti, Pastore - Lucas ou Ibrahimovic, Cavani, Ménez. Entr. : Blanc. Le Parisien.fr Citation Paris à Bordeaux avec prudence Après deux déplacement consécutifs, le Paris-SG est cette fois attendu à Bordeaux ce mardi pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue. « On essaie de gagner les matches dans toutes les compétitions. » Semaine après semaine, Laurent Blanc a ce leitmotiv collé à la bouche. Même si son équipe galactique n’a pour l’instant galvaudé aucune compétition, le coach parisien sait qu’il n’est pas à l’abri d’une désillusion. Pour le troisième déplacement en même pas huit jours, à Brest en Coupe de France (5-2) puis à Ajaccio samedi en Championnat (2-1), Blanc a conscience du danger. « On a eu récemment deux matches rapprochés, on va enchaîner le troisième, et on dit souvent qu’il s’agit du plus dur. » La saison passée, le club de la capitale avait été éliminé en quarts, à Saint-Etienne (0-0, 3-5 tab). Les rencontres dans le Finistère et en Corse ont mis en lumière un Paris parfois laborieux. On peut lui reprocher un manque d’intensité, de volume de jeu, et trop de déchet technique. Mais cela s’explique. « On a eu une coupure cet hiver qui nous a fait du bien, et là on retrouve le rythme, reconnaît Blanc. Les joueurs le savent : on est dans un grand club et on doit être capable d’être compétitif à tous les niveaux. On a un effectif qui nous permet d‘aligner un onze très compétitif dans chaque compétition. Cette Coupe, on aimerait donc la gagner. » Blanc va faire tourner Toujours aussi vigilant, l’entraîneur du PSG va profiter de ce match de coupe à Bordeaux pour faire un peu tourner son effectif. « Il y aura certainement des joueurs qui auront du temps de jeu, mais on sera avant tout là pour nous qualifier. » Tout le monde se doit d’être concerné. « Qui dit Coupe dit match couperet, et on n’a pas le droit à l’erreur sur chaque face-à-face, prévient le Cévenol. Il faut que le groupe comprenne que ces coupes nationales, entre deux matches de championnat, doivent effectivement permettre de donner du temps de jeu à chacun. Cela peut être positif à titre individuel et collectif. » Il y a quatre mois, Paris s’était imposé à Chaban-Delmas en Championnat (2-0, 5e journée). Un bon souvenir pour Blanc : « Oui, c’était le début de quelque chose. On avait profité de ce déplacement pour lancer notre milieu à trois là-bas, et donc changer de système.» L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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15/01/2014 09:21
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#5887
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Citation Partout où Paris passe... Victorieux à Brest (5-2), en Coupe de France, puis à Ajaccio (2-1) en L 1, les Parisiens ont poursuivi leur tournée de janvier en sortant Bordeaux de la Coupe de la Ligue. CETTE MACHINE n’échappe pas aux bugs, ces derniers temps, mais rien ne vient donc jamais la dérégler et encore moins changer le cours d’une histoire qui finit, presque match après match, par sembler écrite d’avance. Sous les yeux de David Moyes, le manager de Manchester United, l e PSG a encaissé, hier, un dixième but sur ses sept derniers matches officiels, une stat à garder à l’esprit à un mois de son retour en Ligue des champions face au Bayer Leverkusen (en huitièmes de finale, aller le 18 février, retour le 12 mars). Mais cette ombre sur l’impact défensif du PSG ne suffit pas à occulter l’essentiel : cette équipe gère trop bien ses temps forts pour ne pas poursuivre sa marche en avant sur la scène nationale. Leader de plus en plus confortable en L 1, désormais qualifié pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue, le champion de France a contourné l’obstacle girondin en deux déferlantes fatales, à la fin de chaque mitemps. Plus que le résultat, c’est son acteur majeur qu’il faut peut-être ressortir. Javier Pastore a été impliqué sur les trois buts parisiens (voir par ailleurs), cultivant, d’une certaine façon, l’énigme qui enveloppe son parcours dans la capitale depuis deux ans et demi. À l’exception d’un grand pont de Rolan sur Rabiot (30e), Bordeaux, de son côté, a longtemps cherché l’interrupteur qui viendrait éclairer ses retrouvailles avec ce PSG qui lui avait déjà imposé sa supériorité lors du dernier Trophée des champions (2-1, le 3 août) et lors de son précédent passage dans l a régi on en Championnat (2-0, le 13 septembre). Configurée dans un 4-3-3 qui n’est pas vraiment dans les normes de la maison, la nouvelle équipe de Guillaume Hoarau a d’abord beaucoup mieux défendu qu’attaqué avant de colorer son jeu avec plus de peps, une récupération plus haute et l’émergence d’une envie de piquer Paris. Mais, malgré une bonne poussée en début de seconde période, les Girondins n’ont jamais pris un grand ascendant sur ce PSGdont les habitués du banc en sont encore sortis, hier, avec l’idée d’être décisifs. ET CARRASSO ÉTIRA LE SUSPENSE Avant le but de Pastore, le geste qui fit la différence majeure fut un crochet de Lucas, dans la surface, pour laisser Orban sur place (1-0, 45e + 1). Sur le moment, l’enchaînement jeta un voile sur ce qui avait précédé, ce spectacle d’un jeu parisien où la possession, encore très massive (74 % en première période), avait dilué son intérêt dans des passes trop souvent latérales, une incapacité à injecter de la vitesse dans les couloirs ou encore dans quelques duels clés perdus par Ibra face à Henrique ou Sané. Avant-dernier passeur sur le but – après avoir trouvé un poteau extérieur sur coup franc (44e) le Suédois est sorti à la mi-temps, laissant sa place à Cavani… et à un basculement du jeu girondin vers plus d’ambition. Poko égalisa après avoir gratté le ballon dans les pieds de Rabiot, qui médita peut-être, alors, sur le vertige qui avait accompagné la relance de Verratti… (1-1, 48e). Mais, à l’exception peut-être d’un ballon relâché par Sirigu (77e), Paris ne commettra plus d’autre erreur susceptible d’accentuer ses tourments. Au fil d’une seconde période bien plus colorée, le PSG sera finalement restée l’équipe la plus mordante. Carrasso étira le suspense en se couchant sur un ballon bouillant devant Marquinhos après avoir repoussé un tir de Ménez puis, dans la foulée, un autre de Digne sur son poteau (61e). Mais le gardien bordelais ne résistera pas à l’accélération du PSG dans les cinq dernières minutes, à cette passe délicieuse de Pastore pour Rabiot (1-2, 85e), ni au sens de la finition de Matuidi (88e, 1-3), déjà buteur à Ajaccio, samedi dernier. Paris va désormais croiser Nantes, dimanche soir, au Parc. Avec l’assurance d’une équipe qui sait que les rapports de force lui jouent rarement de mauvais tours. Citation Rabiot s’est rattrapé Auteur d’une perte de balle sur l’égalisation bordelaise, le jeune milieu du PSG a permis à son équipe de prendre un avantage décisif en fin de match. SIRIGU (5): vigilant sur sa ligne, même s’il a failli se faire surprendre sur un centre de Maurice-Belay (77e). Impuissant sur le but girondin (48e). MARQUINHOS (4) : titularisé pour la première fois à droite, il a évolué comme un latéral «moderne» et est souvent monté. Cela lui a valu quelques sueurs froides. Z. CAMARA (6) : il n’avait plus débuté un match depuis le 10 décembre (1-2 à Benfica en Ligue des champions). Hormis une mauvaise relance (16e), il a plutôt assuré. THIAGO SILVA (7) : impeccable. Que dire de plus ? DIGNE (6) : une soirée assez tranquille. Il aurait pu marquer sur une action de Ménez où il a bien suivi et oblige Carrasso à un miracle (61e). VERRATTI (5) : il s’en est plutôt bien tiré au milieu de terrain. Mais avec sa relance plein axe sur Rabiot, il n’est pas blanc-blanc sur le but bordelais. Remplacé par MATUIDI (80e), qui a éteint le suspens (88e, 3-1). RABIOT (6) : voir ci-dessus. PASTORE (7) : il a connu plusieurs longs passages à vide. Mais, capable de faire basculer un match sur sa seule classe, il est impliqué sur les trois buts. LUCAS (4) : un crochet pour servir Pastore sur l’ouverture du score (45e) et… c’est à peu près tout. Trop de déchet malgré une envie évidente. IBRAHIMOVIC (6) : une entame convaincante puis il a vite semblé désinvolte. Mais il provoque le déséquilibre qui conduit à l’ouverture du score (45e, 1-0). Remplacé à la pause par CAVANI (5) qui a trouvé quelques positions dans le dos de la défense adverse. MÉNEZ (5) : il avait des jambes et a beaucoup navigué pour toucher des ballons, mais sans être très productif. Remplacé par LAVEZZI (80e). Citation « Ma place est ici » JAVIER PASTORE a évoqué son intention de rester jusqu’à la fin de la saison à Paris, où il est sous contrat jusqu’en 2016. « COMMENT AVEZ-VOUS vécu cette soirée bordelaise ? – Comme un match très important par son résultat et aussi d’un point de vue personnel. Après avoir passé beaucoup de temps sans être titulaire, un but et une passe décisive, ça me fait beaucoup de bien. Ce qui est important, c’est que j’ai toujours ressenti la confiance de mes coéquipiers et du staff. Cette saison est quand même très spéciale pour vous… – Oui. Depuis le début de ma carrière, c’est la première fois que je passe plus de temps sur le banc que titulaire. Donc, ce n’est pas une période très “normale”. Mais je reste tranquille. Je me dis que c’est le football. Et je profite du temps de jeu qu’on m’offre, d’autant qu’il me permet d’évoluer dans une très bonne équipe. Songez-vous parfois à quitter le PSG lors du mercato ? – C’est une période où chaque joueur est en droit d’avoir une réflexion, mais, pour le moment, ce n’est pas une question que je me pose. J’ai toujours été convaincu que ma place était ici, à Paris. Je me sens bien au PSG. Un retour en Italie n’est pas encore à l’ordre du jour ? – J’entretiens une bonne relation avec Walter Sabatini, le directeur sportif de l’AS Rome, mais cela ne signifie pas pour autant que je vais aller là-bas pendant ce mercato. Je vous le répète, je me sens bien à Paris. Je vais tout faire pour jouer de plus en plus et retrouver un statut de titulaire. Une place parmi les vingt-trois Argentins pour la Coupe du monde, vous y croyez encore ? – J’ai toujours l’ambition d’y retourner. Il reste deux matches amicaux avant le Mondial pour espérer se faire une place. Mon but est d’atteindre un niveau qui me permette d’espérer figurer sur la liste.» Citation Pastore au rebond Buteur et passeur, le milieu argentin a réalisé son match le plus convaincant cette saison. SIFFLÉ PAR SES SUPPORTERS au Parc des Princes. Loin, bien loin du onze type de Laurent Blanc qui déroge rarement à son trio Matuidi-Motta-Verratti au milieu du terrain quand le rendez-vous est d’importance. Hier soir, à Bordeaux, Javier Pastore était titulaire pour la première fois depuis le déplacement sans enjeu à Benfica, en Ligue des champions (1-2, le 10 décembre), lors de la sixième journée de la phase de groupes. Un petit événement, dans cette saison jusqu’ici cauchemardesque pour l’Argentin, qui est allé de pépins physiques plus ou moins graves, en coups de spleen ou mini-déprime, au point d’apparaître en première position sur la liste des joueurs parisiens transférables lors du mercato d’hiver. UNE RENAISSANCE À POINT NOMMÉ ? Un aveu d’échec aussi pour les propriétaires qatariens du PSG qui ont investi 42 M€ à l’été 2011 pour le recruter à Palerme. Et puis la lumière, dans un stade Chaban-Delmas plein à ras bord. Face aux Girondins, lors de ce quart de finale de Coupe de la Ligue, Pastore a inscrit son premier but de la saison (45e). Un plat du pied droit sur un service de Lucas après un bon travail de l’attaquant brésilien dans son couloir. Il a ensuite distillé sa première passe décisive de la saison pour Adrien Rabiot (85e) avant d’être décisif, à nouveau, sur le troisième but inscrit par Blaise Matuidi (88e) en transmettant à Cavani, dernier passeur, un joli ballon dans la surface. Un événement pour l’Argentin, dont le compteur statistiques était bloqué depuis le début sur le zéro, mais aussi un match en trompe l’oeil. Le milieu parisien, replacé dans un rôle de relayeur qu’occupe d’ordinaire Matuidi en configuration Ligue des champions, a fait la différence sur des gestes de classe que son talent avéré lui autorise. Ils n’occultent pourtant pas ses longs passages à vide au cours de la rencontre, à commencer les trente premières minutes où il fut transparent jusqu’à une belle ouverture pour Ibrahimovic (40e) signalé hors-jeu. Au retour du vestiaire, il peina à se remettre dans le rythme de la partie avec une frappe largement au-dessus du but de Cédric Carasso (55e) et un bon service pour Edinson Cavani dans la surface (68e), avant, donc, un final en fanfare. Reste que s’il s’agit de la renaissance tant attendue, elle tombe à point nommé alors que le PSG aborde une deuxième parti e de sai son capita l e . D’abord pour Laurent Blanc qui ne semblait compter que sur l’arrivée d’un milieu de terrain, si possible gaucher, cet hiver, pour renforcer un effectif de qualité, bien que limité en volume. Mais aussi et surtout pour l’avenir de Pastore, s’il veut rebondir dans un club de renom (l’ASRome serait intéressée) et accrocher le wagon de la sélection argentine pour la Coupe du monde au Brésil cet été, lui qui n’a plus été appelé depuis novembre 2011. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
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15/01/2014 10:19
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#5888
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Paris n’a même pas tremblé Football, Coupe de la Ligue, quart de finale/Bordeaux - PSG 1-3. Avec une équipe chamboulée, les Parisiens se sont montrés dominateurs. Les voilà en demi-finale. L’ogre poursuit sa route. Le PSG maintient intacts ses rêves d'hégémonie nationale, en tête en Ligue 1 avec cinq points d'avance sur Monaco, qualifié désormais pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue et toujours en lice en Coupe de France avec une partie à disputer la semaine prochaine, après Nantes ce week-end pour le retour au championnat. Evidemment, plus on approche de la fin, plus le risque est de tout perdre mais, pour l'instant, c'est un plan parfait, qui concerne tout l'effectif, les cadres comme les temps de jeu en souffrance. Le PSG a l'air de s'amuser et c'est tant mieux pour la Coupe de la Ligue, son diffuseur et les grosses ambitions du club de la capitale. Il y a dans tout cela du respect et de la compétitivité, et ce n'est pas tous les jours que l'on voit ce genre de situation en France. En trente sorties officielles, le PSG n'a perdu que deux fois et, encore, ça ne comptait pas vraiment la deuxième (à Lisbonne, contre Benfica, lors de la dernière journée de la Ligue des champions). En se promenant un peu partout sur tous les terrains de France et un peu d'Europe, le PSG répand de plus en plus l'idée qu'il est majoritairement injouable. « Ils n'ont pas aligné leurs meilleurs joueurs et, pourtant, c'était déjà très compétitif, analyse Francis Gillot, battu pour la troisième fois cette saison par le PSG avec son Bordeaux. C'est dur de les bouger, c'est compliqué. Il faut vraiment en faire beaucoup pour leur marquer un but. » Ou bien profiter d'une perte de balle de Rabiot. Mais le jeune parisien a montré une force de caractère en s'arrachant pour donner la qualification aux siens avant que Matuidi n'entérine l'affaire. Un nouveau Pastore Ce Bordeaux - PSG a surtout été marqué par le come-back dingue de Javier Pastore. On le croyait perdu pour le football — c'est du moins ce qu'il montrait —, il n'avait pas marqué depuis le 28 avril (à Barcelone), pas été décisif de la saison et, là, un but, une passe, le tout après une entrée plutôt correcte à Ajaccio (il est l'avant dernier passeur sur le but de la victoire de Matuidi samedi, comme hier). « Je suis heureux pour lui. J'ai toujours dit que c'est un très bon joueur, souffle Laurent Blanc. Il faut que son mental soit à la hauteur de ses qualités techniques. » On n'y croyait plus, un nouveau Pastore débarque peut-être en 2014. Il faut qu'il se dépêche : le PSG n'a disputé que trois matchs officiels cette année, dans trois compétitions différentes, et les a tous gagnés. S'il se décide à prendre le bon wagon, il s'apercevra vite que c'est un TGV lancé pour l'instant vers les sommets. Bordeaux 1 - 3 PSG Mi-temps : 0-1. Spectateurs : 28 000 environ. Arbitre : M. Buquet. Buts. Bordeaux : Poko (48e) ; PSG : Pastore (45e + 1), Rabiot (85e), Matuidi (88e). Avertissements. Bordeaux : Traoré (59e), Poko (80e) ; PSG : Verratti (64e). Bordeaux : Carrasso (cap.) - Faubert, Henrique, L. Sané, Orban - Poko, Nguemo (Sertic, 89e), Traoré (Obraniak, 89e), Maurice-Belay - Hoarau (Saivet, 75e), Rolan. Entr. : Gillot. PSG : Sirigu - Marquinhos, Camara, Thiago Silva (cap.), Digne - Verratti (Matuidi, 79e), Rabiot, Pastore - Lucas, Ibrahimovic (Cavani, 46e), Ménez (Lavezzi, 79e). Entr. : Blanc. LES BUTS 45e + 1. Côté droit, Verratti, aidé de Marquinhos, récupère le ballon dans les pieds de Faubert et sert Ibra qui décale Lucas. Le Brésilien parvient à centrer en retrait. Pastore, sans contrôle, prend à contre-pied Carrasso. 0-1 48e. Rabiot, mal servi par Verratti, perd le ballon devant Poko qui poursuit son effort et égalise. 1-1 85e. Le PSG développe une attaque plein axe. Pastore fixe la défense bordelaise et à l’entrée de la surface délivre un petit ballon piqué pour Rabiot qui trompe Carrasso. 1-2 88e. Pastore sert Cavani dans la surface girondine. Involontairement l’Uruguayen remet le ballon à Matuidi qui résiste à un défenseur bordelais pour battre Carrasso. 1-3 LE FAIT DU MATCH 77e. Maurice-Bellay réussit un centre-tir malgré le retour de Marquinhos. Sirigu, vigilant, arrête sur sa ligne, préservant le score de parité (1-1). Citation Pastore : « Un jour magnifique pour moi » De Barcelone à Bordeaux, Javier Pastore a vécu près de neuf mois troublés. Etincelant au printemps dernier lors du quart de finale retour (1-1) de Ligue des champions contre Messi et ses partenaires, l'Argentin de 24 ans a retrouvé la lumière hier en Gironde en quart de finale de la Coupe de la Ligue en marquant et en donnant une passe de but à Rabiot. Ce sont ses deux premiers gestes décisifs de la saison. Avec un but et une passe décisive, vous devez être satisfait... Javier Pastore. C'est un bon match, je suis très content. Cette soirée est importante car je ne suis pas régulièrement titulaire. C'est un jour magnifique pour moi, j'espère continuer comme ça. On voit parfois Laurent Blanc pester contre vous du bord du terrain. Que vous dit-il ? Il me parle beaucoup et me demande de jouer plus haut, de sortir afin d'être plus proche des attaquants pour tenter de faire des bonnes choses mais... (sourire.) Avez-vous douté lors de votre 1re partie de saison délicate ? Non. Aujourd'hui (hier), j'étais très motivé et concentré. J'étais titulaire et j'ai voulu montrer. Je pense avoir fait un bon match. Je ne doute pas. La saison est longue avec quatre compétitions. Je me tiens prêt. Pensez-vous qu’en jouant davantage vous serez plus performant ? La situation n'est pas facile pour moi car je suis souvent remplaçant et c'est la première fois de ma carrière que je vis cela. Avant, j'étais tout le temps titulaire. Cette saison, je rentre 15 ou 20 minutes, pas plus. J'espère jouer davantage et faire des bonnes choses comme ce soir (hier), où j'ai été décisif. Des rumeurs vous annoncent sur le départ cet hiver, qu’en est-il ? Le mercato ne me concerne pas. Le coach et le président m'ont dit que j'étais un joueur de l'équipe et j'espère faire des bonnes choses au PSG. Je suis content ici, je me sens bien et ma famille aussi. La Coupe de la Ligue est-elle un objectif pour le PSG ? C'est une coupe importante car il n'y a pas beaucoup de matchs à jouer pour être sacré. On est en demie et on est tout près de la finale et d'une possible victoire. Citation Ménez n’a « jamais » envisagé de partir Titulaire hier soir, Jérémy Ménez est bien décidé à rester à Paris pour gagner sa place. « Bien sûr que je reste jusqu’à la fin de la saison, assure l’international tricolore. Je me sens bien ici, les dirigeants ont confiance en moi et il y a la Coupe du monde qui est importante. Beaucoup de choses ont été dites, mais je vais me battre pour jouer le plus possible. Je n’ai discuté avec aucun club car il n’a jamais été question de partir. » De quoi s’imaginer un avenir dans la capitale au-delà de l’été ? « Il y a des discussions avec le club », confie l’attaquant de 26 ans. Le Parisien.fr Citation Le PSG ne lâche rien Malgré une équipe remaniée, le PSG s'est qualifié pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue en gagnant à Bordeaux (3-1). Pastore a été impliqué sur les trois buts parisiens. Après les deux déplacements à Brest en Coupe de France (5-2) et à Ajaccio en Championnat (2-0), Laurent Blanc redoutait ce troisième voyage en moins de huit jours. Son PSG, déjà vainqueur à Bordeaux fin août (2-0), a rempli son contrat en récidivant ce mardi à Chaban-Delmas face à des Girondins qui ont craqué en fin de partie (3-1) alors que les deux équipes filaient tout droit vers la prolongation. Le club de la capitale s’est ainsi qualifié pour le dernier carré de la Coupe de la Ligue, et reste ainsi en lice dans toutes les compétitions. L’entraîneur parisien a même été doublement rassuré. Non seulement son équipe est toujours aussi affamée qu’en 2013 mais certains joueurs comme Javier Pastore ont gagné des points précieux. Il était temps... Pastore brille enfin L’Argentin, trop souvent porté disparu depuis un an et demi alors que son talent est indéniable, s’est mis en valeur sur la pelouse bordelaise. L’ancien de Palerme a marqué le premier but du match juste avant la pause en reprenant un centre du Brésilien Lucas (45e+1). Puis, il a été le passeur décisif sur le second but avant d’être à l’origine du troisième. Déjà buteur samedi en Corse, Blaise Matuidi a, lui, de nouveau trouvé le chemin des filets. Le milieu international a clos la marque à la 88e, après une déviation involontaire de Cavani, sur une passe de Pastore. Rabiot s'est bien racheté Trois minutes avant, Adrien Rabiot avait redonné l’avantage aux Parisiens d’une frappe du pied droit sur une passe savoureuse d’El Flaco donc (85e). Avec ce but, le jeune milieu s’est parfaitement racheté de sa grossière erreur en tout début de seconde période, qui avait coûté l’égalisation au PSG. En perdant un peu bêtement le ballon aux abords de la surface, Rabiot a permis à Poko de remettre les compteurs à zéro (48e). Grâce notamment à un grand Carrasso (61e), Bordeaux tenait le coup tant bien que mal et a même fait illusion avec Hoarau (69e), Maurice-Belay (77e) et Rolan (84e). Sauf que Paris était une nouvelle fois trop fort, et même sans son équipe type. Citation Poko : «Pas normal» Le Bordelais André Biyogo Poko était déçu après l'élimination de son équipe face au PSG (1-3) ce mardi à domicile en quarts de Coupe de la Ligue. Francis Gillot, lui, a félicité les joueurs qui étaient en manque de rythme et qui ont répondu à ses attentes. Francis Gillot (entraîneur de Bordeaux): «On a fait une première période trop timorée, tout en retenue, comme Paris d'ailleurs, emm... pour tout le monde. On prend un but sur la seule occasion qu'on concède et pourtant, on parvient à égaliser. En deuxième période, on a été mieux dans le jeu, on s'est lâché un peu plus, on a fait ce qu'on s'était dit. On espérait aller en prolongation, mais on prend un but sur un ballon latéral perdu en milieu de terrain. Contre Paris cela ne pardonne pas. Mais on a encore la Coupe de France qui peut nous faire rêver. On a pourtant montré des choses intéressantes, il y a des joueurs qui ont répondu présents alors qu'ils n'avaient pas joué dernièrement. C'est mieux que contre Toulouse (0-1) où l'équipe ne m'avait pas plu du tout, mais ce n'est pas encore suffisant. (...) Hoarau a tenu 75 minutes, je ne pensais pas qu'il tiendrait si longtemps. C'est un point d'appui qui va nous faire du bien.». André Poko (milieu de Bordeaux) : «On espérait mieux ce soir, on a donné le meilleur de nous même. Les Parisiens étaient bons, meilleurs que nous du moment qu'ils ont eu la victoire. Mais on a été là, on leur a offert une bonne opposition. C'est dommage et regrettable cette fin car on a tout donné pendant le match et on pêche à cinq minutes de la fin, ce n'est pas normal. (sur son but) Je ne me suis pas loupé, c'était une revanche par rapport au Trophée des Champions mais j'aurais aimé qu'il nous donne la victoire. C'est un beau but, je vais le savourer.» Cédric Carrasso (gardien et capitaine de Bordeaux) : «Je pense qu'on a joué au meilleur de nos capacités actuelles, avec intelligence sur l'ensemble. Après, il y a eu des "petits détails", qui font la différence entre une équipe comme nous et une équipe comme Paris, les très grandes équipes et une bonne équipe: un ballon à dégager à la 45e, tu veux jouer petit, tu prends un but... Après un ballon au milieu ou tu dois faire "exploser un type", tu n'y vas pas franchement et tu prends le deuxième but.. Après il n'y a rien à dire sur la qualité de leur banc, ce n'est pas une surprise, ils rentrent aussi bons, sinon meilleurs à chaque fois que ce qu'il y a avait sur le terrain. Mais c'est encore dommage, cela ressemble au match du Trophée des champions, tu te dis +encore un petit effort et on va réussir à accrocher un truc+, mais voila, c'est très fort en face. Mais on peut dire que c'est encourageant au moins dans l'intelligence de jeu, on a essayé de jouer avec nos armes, de ne pas se prendre pour ce qu'on n'est pas. Du coup, on est satisfait de pas mal de trucs. C'est encourageant pour la suite, mais il faut savoir admettre quand c'est plus fort.» Citation Blanc : «Heureux pour Pastore» Satisfait de la qualification à Bordeaux (3-1) pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue, le technicien parisien, Laurent Blanc, a pu également apprécier les changements effectués. « Laurent Blanc, vous avez passé une bonne soirée ? C'était un match maîtrisé de notre part, une minute d'inattention nous a quand même coûté cher. On a remis Bordeaux dans le match ! On a heureusement eu une belle réaction, de la part de ce même joueur et on met en plus un troisième but. On le dit souvent de nous, on essaye toujours de marquer plus de buts. Physiquement, on a été longs à l'allumage. On monte doucement en puissance. Mais comme Bordeaux nous a peu pressé et beaucoup attendu, cela nous a permis d'être mieux en deuxième mi-temps. Les changements effectués vous ont-ils perturbé? Vous comptez les changements mais on a quand même marqué trois buts, c'est pas mal! Je suis satisfait de ça. Et je suis heureux pour Pastore, qui débloque son compteur. Cela faisait longtemps qu'il n'avait plus marqué. Ce n'est pas évident pour les joueurs qui jouent moins, d'être regardés quand ils sont titulaires. Ils manquent de rythme, les terrains sont difficiles. En course dans toutes les compétitions, Paris vise le grand Chelem? C'est vrai qu'on peut toujours jouer sur tous les tableaux, puisqu'on est qualifiés dans chacune des compétitions. Mais il ne faudra pas avoir de souci physique, ou de cartons. C'est très difficile. Il est annoncé depuis le début qu'on a des objectifs élevés, on le sait et c'est bien. Mais le grand chelem, on en est encore très loin.» Citation Pastore et Ménez restent Tous deux titulaires mardi soir avec le PSG à Bordeaux en quarts de finale de la Coupe de la Ligue, mardi soir (3-1), Jérémy Ménez (26 ans, sous contrat jusqu'en juin) et Javier Pastore (24 ans, 2016) ont assuré l'un et l'autre après la rencontre qu'ils seraient Parisiens jusqu'à la fin de la saison. «Je n'ai discuté avec personne, parce qu'il n'était pas question de partir (au mercato d'hiver)», a déclaré le Français. «Ma place est ici», a indiqué de son côté l'Argentin, buteur et passeur à Chaban-Delmas. L'ancien joueur de Palerme reconnaît «une bonne relation» avec le directeur sportif de l'AS Rome, Walter Sabatini «mais cela ne signifie pas pour autant que je vais aller là-bas pendant ce mercato.» «Je vais tout faire pour jouer de plus en plus et retrouver un statut de titulaire.» Citation Rabiot content de s'être rattrapé Adrien Rabiot aurait pu passer une mauvaise soirée mardi à Bordeaux, lors de la victoire du PSG en quart de finale de la Coupe de la Ligue (3-1). Coupable de s'être fait subtiliser le ballon sur le but égalisateur d'André Poko (1-1, 48e) - pas aidé il est vrai par une passe difficile de Marco Verratti -, le jeune (18 ans) milieu parisien a rattrapé son erreur en fin de match en marquant le deuxième but des futurs qualifiés (85e). Dans la nuit, l'international Espoirs a posté un tweet pour s'en féliciter... Citation Le PSG atteint le million sur Twitter ! Déjà premier club français sur Facebook avec plus de 6 millions de fans, le PSG est aussi maintenant le premier sur Twitter à atteindre le million de followers. Aidé par ses bonnes prestations sur la scène internationale et l’arrivée de nombreuses stars dans son effectif depuis l’arrivée des Qataris, la popularité du PSG ne cesse de croître en France comme à l’étranger. Et cela se ressent sur les réseaux sociaux. Paris vient en effet de conforter sa place de numéro un sur Twitter en devenant le premier club français à dépasser le million de followers ! Pour l’occasion, le club avait demandé à ses fans, quelques jours avant de franchir le précieux pallier, de tweeter leur meilleur souvenir du Paris Saint-Germain avec le hashtag #TWEETBIGGER. Lundi, le PSG a réservé un espace dans notre journal pour y afficher quelques-uns des meilleurs tweets. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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17/01/2014 18:33
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#5889
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Citation Hervin Ongenda dans l’impasse Il a commencé la saison dans la peau du sauveur avant, peu à peu, de disparaître des plans de Laurent Blanc. Le 3 août, Hervin Ongenda, 18 ans, avait pourtant réussi des débuts fracassants chez les professionnels lors du Trophée des champions. Entré à la 73e minute, il avait égalisé huit minutes plus tard face à Bordeaux (2-1). La suite de l’été du jeune Parisien s’était étirée comme dans un rêve. Au milieu des stars parisiennes, le petit attaquant (1,69 m) avait multiplié les apparitions, avec à la clé deux titularisations. A Bordeaux (5e journée) et contre Bastia (10e), où il avait notamment offert la passe décisive sur le but inscrit par Ibrahimovic d’une géniale talonnade aérienne. Mais depuis ces 90 minutes face aux Corses le 19 octobre, Ongenda n’a plus rejoué avec les pros. Cloué sur le banc de touche ou (plus souvent) envoyé en tribune, il n’use ses crampons qu’avec modération. Les six matchs disputés avec l’équipe réserve ne sont pas suffisants pour entretenir les belles promesses estivales. Si le joueur refuse de s’exprimer, son père, Félix, le fait pour lui. « Hervin a besoin de temps de jeu, explique-t-il. Selon moi, il devrait être prêté six mois dans un club de Ligue 1. Sinon, je suis sûr que son moral va baisser. A son âge, il faut jouer le plus possible. Nous avons demandé aux dirigeants qu’ils acceptent de le prêter. On attend leur réponse. » Pour le père du joueur, ce serait aussi dans l’intérêt du club de laisser son fils s’épanouir quelques mois dans une équipe de milieu de tableau. « L’exemple parfait, c’est Adrien Rabiot, poursuit-il. La saison passée, il est parti six mois à Toulouse. Il a beaucoup joué. Et cette saison, c’est le PSG qui profite de cette expérience. J’insiste : Hervin est un joueur du PSG et il veut y rester longtemps. Mais pour être meilleur, il doit être prêté jusqu’à la fin de la saison. Ce serait dans l’intérêt de tout le monde. » Compte tenu de son potentiel, plusieurs clubs ont déjà fait connaître leur intérêt. Mais au PSG, on se montre pour l’heure très réticent à l’idée de lui ouvrir la porte. Laurent Blanc estime que son effectif n’est pas assez étoffé. Il suffit d’une blessure d’un attaquant pour qu’Ongenda réintègre de façon durable le groupe. Du point de vue du club, la gestion à court terme impose de ne pas prêter cette pépite. Ongenda se retrouve donc dans une impasse. Car quand vos concurrents directs s’appellent Cavani ou Lucas, il est difficile d’espérer beaucoup de temps de jeu dans les prochains mois… Citation Rabiot et Coman se posent aussi des questions Comme Hervin Ongenda, les deux autres grands espoirs formés au PSG ne sont pas certains d’y rester. A 18 ans, Adrien Rabiot, malgré un temps de jeu conséquent (25 matchs toutes compétitions confondues dont 11 titularisations), n’a toujours pas prolongé son contrat qui se termine en 2015. Le club lui a transmis une proposition mais le milieu de terrain, courtisé par les plus grands clubs (Arsenal, Chelsea), s’interroge encore sur l’orientation à donner à sa carrière. Il pourrait même réserver sa réponse jusqu’à l’été prochain. A 17 ans, Kingsley Coman a intégré le groupe professionnel l’été dernier mais il n’a toujours pas signé de contrat professionnel. Les discussions avec le club sont en cours mais, là encore, le jeune stagiaire réfléchit à sa progression et à la place qu’il pourrait occuper au sein d’un effectif constellé de vedettes. En clair, il n’a pas envie d’imiter Ongenda et de passer professionnel pour se retrouver le plus souvent sur le banc ou en tribunes. Pas sûr dans ces conditions que son avenir passe par Paris. Citation Salvatore Sirigu : «Réaliser le grand chelem serait exceptionnel» En lice sur tous les tableaux, le PSG poursuit ses rêves de conquête nationale et européenne. En conférence de presse, ce vendredi matin, au camp des Loges, Salvatore Sirigu, le gardien parisien, estime que cette gourmandise témoigne de l'amélioration du club. «Le choix n'existe pas, confie-t-il. Pour progresser en tant qu'équipe, il faut tout jouer au top. On ne peut pas se permettre de faire des choix. On veut respecter toutes les compétitions. Mais réaliser le grand chelem en France, ce qui n'a jamais été fait par un club français, serait exceptionnel et vraiment difficile. Il ne faut pas non plus rêver les grands yeux ouverts.» Autre principe de réalité selon le portier parisien : ne pas croire le PSG déjà champion, malgré ses cinq points d'avance sur Monaco, avant la 22e journée de L1 qui débute ce soir. «On a perdu une fois, à Evian, et on a tout de suite perdu du terrain sur Monaco et Lille. Il faut que l'on garde de la continuité dans nos résultats.» Observateur privilégié des petites errements défensifs de son équipe (quatre buts encaissés en trois matchs en 2014), Sirigu recommande de «travailler un peu plus la concentration» et «l'agressivité défensive». Citation Rabiot forfait contre Nantes Laurent Blanc l'a annoncé à la mi-journée en conférence de presse au camp des Loges: «Adrien est d'ores et et déjà forfait contre Nantes.» Victime d'un coup au genou reçu à Bordeaux mardi en quart de finale de la Coupe de la Ligue, le jeune milieu de terrain était absent de l'entraînement ce matin, tout comme Christophe Jallet (récemment opéré du dos) et Nicolas Douchez (élongation). Le forfait de Rabiot relance l'idée de recruter au coeur du jeu. Ils sont cinq pour trois postes, Blanc considérant Pastore comme un milieu (avec Verratti, Thiago Motta et Matuidi). «Pendant le mercato, il faut se montrer patient», confie dans un sourire l'entraîneur parisien. La piste menant à Cabaye (Newcastle) est la plus souvent citée mais le joueur aurait quelques réticences à rejoindre la capitale par rapport à son temps de jeu et la Coupe du monde au Brésil. Le Parisien.fr Citation Sirigu : «Les choix n'existent pas» Détendu et souriant, le gardien italien du PSG, Salvatore Sirigu, a évoqué ce vendredi la venue de Nantes, dimanche soir (21h00) au Parc des Princes, mais aussi les errements défensifs de son équipe lors des derniers matches et l'intarissable ambition de son club. «Salvatore Sirigu, Nantes est l’une équipe des équipes qui jouent le mieux en championnat. Peut-elle déstabiliser le PSG au Parc ces Princes alors que vous enchaînez des matches tous les trois jours ? Nous sommes bien. Et nous sommes motivés après notre victoire à Bordeaux (1-3, mardi en Coupe de la Ligue) dans des conditions difficiles. Nous allons nous préparer pour bien aborder cette équipe qui est en confiance et qui depuis le début de la saison montre l’un des meilleurs jeux de la L1. C’est vrai cependant que c’est compliqué mentalement d’enchaîner les matches. Et même physiquement ce n’est pas simple. D’autant que nous avons disputé beaucoup de matches à l’extérieur ces derniers temps. Les faux-pas de Monaco et Lille le week-end dernier vous donnent-ils déjà un avantage définitif dans la course au titre de champion de France ? Nous sommes juste à la moitié du championnat. Il n’y a pas encore de break définitif. On a vu après notre défaite à Evian (4 décembre 2013, 16e journée) que l’on pouvait perdre rapidement du terrain. Alors certes, on peut avoir l’impression que l’on a pris de l’avance au classement, mais elle peut diminuer très rapidement. Il faut rester concentré. On sait que Monaco et Lille ne feront pas beaucoup d’erreurs avant la fin de la saison. Et puis nous sommes encore engagés en Coupes et en Ligue des champions. Il faut surtout donner de la continuité à nos résultats. Que pensez-vous de vos dernières performances ? On a la sensation de progresser, même à l’extérieur où l’on joue bien. A Ajaccio, nous avions peut-être mal débuté, mais nous avons eu la lucidité de revenir au score pour finalement l’emporter (1-2, 12 janvier 2014, 20e journée). Paris a encaissé 11 buts sur ses huit derniers matches. Comment expliquez-vous cette perte d’efficacité défensive ? Je pense surtout que nous avons quand même l’une des meilleures défenses du championnat. C’est donc peut-être un peu exagéré. Certes nous avons concédé des buts que nous aurions pu éviter, mais une équipe traverse aussi des périodes où elle réussit des choses biens et d’autres moins bien. Nous devons être plus attentifs sur des détails pour éviter de prendre ce genre de buts. Néanmoins, nous n’en faisons pas un drame. On sait que cela peut arriver. Et puis si je regarde les buts encaissés dernièrement, je crois qu’il faut travailler un peu plus sur la concentration et l’agressivité. Le fait de prôner un jeu éminemment offensif peut-il expliquer ces défauts de concentration en défense ? Nous sommes habitués à avoir des actions offensives et fatalement prendre des contres devient plus dangereux pour nous. On est une équipe avec un esprit offensif et parfois cela peut-être dangereux. C’est dans ces circonstances qu’un peu d’agressivité dans le secteur défensif serait utile. «On a la chance d'être encore en course dans toutes les compétitions et on veut faire le maximum dans chacune d'elles.» Le PSG est en course dans toutes les compétitions dans lesquelles il est engagé. Si vous deviez en choisir une à remporter ? Les choix n’existent pas. Il faut progresser en tant qu’équipe et jouer toutes les compétitions au top. On ne peut pas se permettre de faire des choix et être compétitif. Il faut poursuivre sur notre lancée. On a la chance d’être encore en course dans toutes les compétitions et on veut faire le maximum dans chacune d’elles. Viser un triplé cette saison est-il un objectif réaliste ? Ce serait quelque chose d’exceptionnel, mais c’est très difficile. Nous ne sommes qu’en janvier. La route est longue jusqu’à la fin de la saison. Maintenant, on va se donner les moyens de réaliser ce rêve même si vous savez que ce sera très compliqué. » Citation Rabiot forfait contre Nantes Adrien Rabiot, blessé à un genou, est forfait pour la réception de Nantes dimanche au Parc des Princes (21h00). «Adrien a pris un coup au genou à Bordeaux (en quart de finale de la coupe de la Ligue mardi)» , a déclaré l'entraîneur parisien ce vendredi midi en conférence de presse. Outre le jeune milieu de 18 ans, Christophe Jallet (dos) et Nicolas Douchez (cuisse), blessés depuis plusieurs jours déjà, seront également absents contre les Canaris. Citation Le programme tv des demi-finales France Télévisions a programmé les demi-finales de cette 20ème saison de Coupe de la Ligue, les 4 et 5 février prochains FC Nantes - Paris-Saint Germain : Mardi 4 février à partir de 20h50 sur France 2 en direct du Stade de la Beaujoire Olympique Lyonnais - Troyes ESTAC : Mercredi 5 févier à partir de 20h45 sur France 3 en direct du Stade de Gerland L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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18/01/2014 11:59
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Citation La bande de Neuilly-sur-Seine Le 6 janvier, quand ils ont appris le nouveau report de leur déplacement à Brest pour les 32es de finale de la Coupe de France, les joueurs du PSG ont décidé d’organiser un repas tous ensemble. Direction Neuilly-sur-Seine et le restaurant italien Chez Livio où certains Parisiens ont leurs habitudes. Le patron de cet établissement a quand même été surpris de voir débarquer, cette fois, tout l’effectif en tenue du club. A la sortie du repas, la présence d’Ibrahimovic a déclenché des scènes d’hystérie sur le trottoir. « En général, quand les joueurs viennent dîner en famille, cela se passe très bien, mais Ibra est hors catégorie et l’engouement a été énorme », explique un serveur de ce restaurant devenu une sorte de cantine. L’ancien fief alto-séquanais de Nicolas Sarkozy exerce, il est vrai, un attrait grandissant sur les joueurs du PSG. Sept d’entre eux y ont élu domicile contre un seul — Zoumana Camara — à l’époque où Colony Capital détenait le club de la capitale. « C’est pratique car on peut aller rapidement au camp des Loges et c’est tout près de Paris. Ce serait dommage d’être à Paris et de ne pas profiter de cette ville. Papus Camara nous a tous conseillés, c’est l’agent immobilier du club », rigole Salvatore Sirigu, le premier étranger à s’installer à Neuilly. D’autres ont suivi son exemple comme Marco Verratti, Ezequiel Lavezzi, Edinson Cavani et Javier Pastore parti de l’avenue Foch pour franchir le périphérique. « Normalement, je préfère les maisons aux appartements et j’ai trouvé cela à Neuilly, une très belle ville, très calme avec beaucoup d’espaces verts, raconte El Flaco. Et la famille qui vient souvent d’Argentine peut facilement aller à Paris tout à côté. On sort souvent ensemble avec mes coéquipiers. C’est pratique pour aller dîner à l’extérieur ensemble durant la semaine. Je suis très casanier et tranquille et je me sens très bien là-bas. » Chez les Français, outre Camara, Jérémy Ménez a lui aussi déménagé récemment pour s’installer à Neuilly-sur-Seine, notamment afin de se rapprocher de Paris (NDLR : où vivent huit joueurs du PSG) et de son père. Les papas, justement, fréquentent le bois de Boulogne ou le jardin d’Acclimatation, mais on peut aussi croiser les Parisiens chez Durand Dupont, le restaurant et bar lounge de la place du Marché. Quant à Ezequiel Lavezzi, il peut promener son chien en toute quiétude comme il nous le confiait au mois d’octobre dernier. « Les joueurs parisiens sont sympas et surtout très polis, observe toujours le serveur de Chez Livio. Il existe des gens moins célèbres et beaucoup plus maniérés. Et ils sont très bien perçus dans la ville où vivent de nombreux fans historiques du PSG. » « Accueillir des personnalités est aussi une chance pour Neuilly, rappelle Pierre-Adrien Babeau, l’adjoint au maire délégué à la jeunesse et au sport. Ils peuvent contribuer au rayonnement de la ville et participer à des événements locaux. Ainsi Zoumana Camara nous a déjà fait l’amitié de participer au forum des sports en jouant au football avec les enfants. » Parfois cela se passe un peu moins bien, comme pour Lavezzi, cambriolé pendant les fêtes, quand il était en stage au Qatar avec le PSG. Vivre à Neuilly comporte aussi son petit lot de désagréments. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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19/01/2014 08:44
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Citation Paris veut continuer son travail de sape Football, Ligue1/PSG-Nantes. Pour son premier match de l’année à domicile, Paris peut accentuer sa domination sur le championnat. Paris revient à la maison ce soir après un début d’année 2014 euphorique loin de ses terres. Trois victoires, à Brest (5-2), Ajaccio (2-1) et Bordeaux (3-1) qui confirment l’impression d’une équipe insatiable. Ce soir, c’est au tour de Nantes de venir s’étalonner dans un Parc des Princes où Paris est invaincu cette saison. Mais la visite des Canaris est l’occasion pour les Parisiens de remettre quelques pendules à l’heure. Reprendre là où tout a commencé. « Nantes fait partie des équipes qui nous ont donnés le plus de fil à retordre cette saison. » Laurent Blanc est plein de louanges au moment d’évoquer le parcours du promu, invité surprise du haut de tableau. A la Beaujoire, Paris avait dû s’arracher pour obtenir son premier succès de la saison (1-2) après deux matchs nuls initiaux. C’est aussi le match charnière où l’entraîneur parisien a choisi d’installer un système en 4-3-3 qui fait depuis le bonheur de Paris. Hormis Pastore, désormais remplacé par Verratti, Blanc avait aligné en Loire-Atlantique sa future équipe type. Mais l’assurance gagnée depuis six mois n’empêche pas le Président d’être prudent. « Nantes est une équipe joueuse qui aime avoir la possession du ballon », prévient Blanc. Une constante qui rappelle furieusement la philosophie de jeu parisienne… Une efficacité défensive à retrouver. Lors de ses huit derniers matchs, y compris sa défaite en amical face au Real Madrid (0-1), Paris a encaissé 10 buts. Une friabilité qui fait tache pour la deuxième défense de L1 (14 buts), à égalité avec Monaco et juste derrière Lille (12 buts). Une situation qui agace l’ancien défenseur central des Bleus. « J’attache beaucoup d’importance à la défense donc cela me pose un problème, reconnaît Blanc. On a commis des erreurs, il y a des buts qu’on aurait pu éviter. On doit défendre mieux. On a peut-être pensé que jouer suffisait même si je ne crois pas que mon équipe soit suffisante. Vu les échéances importantes qui nous attendent, il va falloir travailler cet aspect-là. » Tuer (un peu) le suspense. Dans sa quête d’un triplé inédit sur la scène nationale, le PSG a l’occasion de prendre ses distances avec un de ses concurrents directs en L1. La deuxième défaite de rang de Lille, vendredi à Saint-Etienne (0-2), peut permettre au club de la capitale de reléguer les Dogues à 10 points. Un écart qui semblerait définitif. Monaco et ses 5 points de retard avant son déplacement à Toulouse ne resterait alors plus que l’unique challengeur pour le titre. Un scénario que Salvatore Sirigu préfère ne pas anticiper. « Notre avance s’était réduite après la défaite à Evian (0-2). Cela peut revenir rapidement, rappelle le gardien italien. Il faut rester concentré et conserver notre régularité. » Laurent Blanc, de son côté, pointe un calendrier surchargé pour appeler ses troupes à engranger le maximum de points. « Le mois de janvier est compliqué avec les coupes même si on a l’effectif pour, assure l’entraîneur. Mais février sera encore plus complexe avec la Ligue des champions… » Autant prendre de l’avance alors. Citation 11 Le PSG est invaincu depuis onze rencontres de championnat au Parc des Princes face aux promus. La dernière défaite des Parisiens à domicile face à un promu remonte au 15 mai 2010. Lors de la dernière journée de championnat, Paris s’était incliné face à Montpellier (1-3). Citation « Edinson Cavani est un tueur » INTERVIEW. Oswaldo Vizcarrondo, défenseur du FC Nantes Arrivé cet été à Nantes, le défenseur international vénézuélien est un pilier de sa sélection nationale, les Vinotinto. Oswaldo Vizcarrondo connaît bien les internationaux sud-américains du PSG pour avoir affronté Pastore, Lavezzi, Thiago Silva, Lucas Moura et Cavani. A 29 ans, El Patron, qui forme une des meilleures charnières centrales de L1 avec Papy Djilobodji (4e meilleure défense), revient sur ces chocs sud-américains avant le duel de ce soir. Que retenez-vous de ces matchs? Oswaldo Vizcarrondo. Ce sont tous des joueurs de haut niveau qui jouent dans les meilleures sélections du continent. Il y a de bons et de moins bons souvenirs. A chaque fois ce sont des parties qui nous permettent de progresser, même s’il est difficile de marquer cette progression par des résultats Vous êtes même parvenus à l’emporter face à l’Argentine (1-0) ! Ce match d’ouverture des qualifications reste un excellent souvenir. Ce n’était pas loin de la perfection. La première victoire du Venezuela sur l’Argentine de l’histoire. Je me souviens de la rentrée de Pastore. Il n’avait pas été mauvais. Lavezzi, lui, n’était pas là. C’est leur seule défaite des éliminatoires… mais eux iront à la Coupe du monde! Mais au match retour Lavezzi vous a fait très mal… Le match retour a été affreux. Lavezzi a fait un très bon match. Quand il est en forme comme c’était le cas, il est dur à contenir. Nous n’avons jamais eu la possibilité de lutter. Cavani, auteur d’un doublé face à votre sélection, est-il le joueur sud-américain du PSG que vous craignez le plus? Ils sont tous dangereux, mais lui est un tueur. Ces quatre dernières années, il a mis 150 buts! C’est difficile d’être aussi régulier que lui. Mais j’aime les défis et j’aime jouer contre lui. Le déplacement au Parc est-il le plus délicat à gérer depuis votre arrivée à Nantes? Jouer à Paris annonce forcément un match difficile. Affronter en même temps Zlatan et Cavani, c’est une chance unique. Après, je ne vais pas les regarder jouer et je compte leur poser des difficultés, à l’image de toute l’équipe. Citation Laurent Blanc peut enfin s’inspirer du Barça Blanc traverse le cœur de sa sixième saison d’entraîneur et il n’a pas changé. Le technicien en avait rêvé, son PSG lui en offre la possibilité : jouer comme Barcelone. Il l’avait transposé dans son Bordeaux (2007-2010), champion de France en 2009 avec des joueurs, somme toute, moyens. Il n’avait pas vraiment réussi à l’appliquer en équipe de France (2010-2012), avec des éléments plus forts mais plombés par des années d’épicerie footballistique. Avec Thiago Silva, exceptionnel défenseur dans tous les domaines mais principalement dans sa lecture du jeu et sa technique, avec le duo majeur Thiago Motta-Verratti et le génie d’Ibrahimovic, Blanc voit aujourd’hui peu ou prou sa formation jouer à peu près comme il en rêvait. « Barcelone reste une référence, sur le plan du jeu, de la philosophie et de la mentalité, confiait-il, vendredi. C’est une équipe qui veut toujours le ballon, toujours produire du jeu et surtout qui veut être efficace. On dit parfois : Barcelone, c’est monotone. Quand j’entends ça… Garder le ballon alors que ton adversaire le veut démontre ta supériorité technique. Le PSG a aussi une qualité technique au-dessus de la moyenne. » Et la même volonté de jouer, de marquer encore alors que le tableau d’affichage indique un break. « L’idée est la même, celle d’avoir la possession du ballon et faire courir l’adversaire, témoigne Javier Pastore. Blanc a trouvé un milieu très efficace avec Motta, Verratti, Matuidi ou Rabiot. C’est l’élément clé de cette équipe. » Bel hommage de celui qui, par son aisance, aurait pu, aurait dû, intégrer ce milieu à trois. Blanc l’avait expérimenté pour la première fois cette saison à… Nantes, et Pastore en était. « Les intentions sont les mêmes, confirme Luis Fernandez, consultant pour RMC et BeIN Sport. Le milieu à trois, le jeu court, simple, les latéraux très hauts, la volonté de trouver des déséquilibres : il y a beaucoup de similitudes entre le Barça et le PSG. » Et Omar Da Fonseca, commentateur du foot espagnol sur BeIN d’appuyer : « Quand je vois Van der Wiel plus haut que son milieu, comme Alves devant Busquets, ou quand je vois Matuidi devant Ibrahimovic, comme Xavi devant Messi, oui, il y a des repères communs. La stratégie, comme la vision et le modèle de football, est la même. » Matuidi abonde : « Ibra, Maxwell, Motta sont passés par ce club et ils n’aiment pas que le ballon soit perdu. Cela nous oblige à rester concentrés, à faire le maximum techniquement mais aussi dans nos têtes. Ce milieu à trois nous aide à garder le ballon, on est souvent en surnombre. Mais il y a aussi le mouvement des attaquants qui peuvent décrocher et les latéraux qui vont très haut pour étirer les lignes. » Mais les comparaisons ont une limite. Selon Da Fonseca, « Paris n’utilise pas de spécialistes des couloirs comme Pedro. Lavezzi et Cavani ont tendance à entrer dans l’axe. Il y a des différences de profil mais aussi techniques. Quand Jallet centre, ce n’est pas Alves. Quand Matuidi a le ballon, ce n’est pas Iniesta. » Sans oublier Messi. « Le Barça est construit autour de lui », rappelle Fernandez. Mais Paris possède aussi des atouts que les Catalans ne renieraient pas. « Dans l’impact, le PSG déploie une puissance que Barcelone ne possède pas. » Blanc sourit : « On est meilleurs que Barcelone sur coup de pied arrêté. C’est le seul domaine où l’on est supérieurs à lui. » Citation Inquiétude pour Rabiot L’absence ce soir d’Adrien Rabiot, officiellement « touché à un genou » mardi soir face à Bordeaux (3-1) en Coupe de la Ligue, était attendue. Mais la mauvaise nouvelle pour le jeune milieu parisien, c’est qu’il souffre en réalité d’une entorse du ligament latéral externe. Son genou n’est pas gonflé et il ressent des douleurs uniquement lorsqu’il court. Face à Bordeaux, cette blessure ne l’avait pas empêché de finir le match et même de marquer. « La durée de son indisponibilité n’est pas encore fixée, explique un membre du staff. Nous nous donnons huit jours pour voir l’évolution de sa blessure et préciser le nombre de matchs que manquera Adrien. » Rabiot ne devrait pas pouvoir s’entraîner correctement toute la semaine prochaine. Au minimum, il devrait manquer les matchs face à Montpellier (Coupe de France) mercredi et Guingamp (championnat) samedi. Evidemment, une indisponibilité plus longue de Rabiot rendrait indispensable la recherche d’un milieu de terrain supplémentaire, souhaitée par Laurent Blanc. Le Parisien .Fr Citation Le PSG est mal assis Face à Nantes, une équipe que les Parisiens tiennent en haute estime, ce dimanche au Parc des Princes (21h00), le PSG doit penser à se rassurer défensivement. Alors qu'au milieu, Javier Pastore refait (enfin) surface. Nantes les impressionne Vendredi, Salvatore Sirigu et Laurent Blanc ont tour à tour couvert d’éloges la formation de Michel der Zakarian. Le promu nantais a même impressionné les Parisiens au Vélodrome début décembre. « Nantes a progressé et réalisé un grand match à Marseille (1-0). C’était intéressant », a noté Blanc, curieux de voir comment vont se comporter les Canaris au Parc. « Ça m’intéresse oui, car c’est une formation joueuse. Elle aime bien avoir le ballon (comme Paris, ndlr). Et je connais bien l’entraîneur. Je respecte beaucoup cette équipe. » Le coach du PSG n’a d’ailleurs pas la mémoire courte : « Je me rappelle que le match à Nantes (2-1 pour Paris) avait été difficile. Ils avaient joué à 5 derrière, puis à 4 en seconde période. » A cette époque (le 25 août), Paris était encore en rodage. « Ce n’était pas l’équipe d’aujourd’hui, confirme Blanc. On se cherchait. Notre état de forme est nettement supérieur qu’à l’aller. » Des problèmes défensifs à régler Depuis la reprise, le PSG a disputé trois matches sans compter l’amical contre le Real Madrid (0-1). Bilan : trois succès (Brest, Ajaccio et Bordeaux) dont deux qualifications en coupe. Sauf que Blanc n’est pas totalement satisfait pour autant. Et on le comprend. Son équipe est trop friable défensivement puisqu’elle a pris 11 buts en 8 matches, avec au moins 1 but encaissé à chaque fois. « On va essayer de mieux défendre, ça me tient à coeur, a réagi le coach parisien. Ce n’est pas une question de suffisance, mais un souci d’efficacité défensive. Il va falloir se reconcentrer sur cet aspect. On a d’ailleurs déjà commencé à le faire. » Pastore, la "recrue" hivernale ? Pour la première fois depuis longtemps, Javier Pastore a livré une prestation très satisfaisante mardi à Bordeaux (3-1). Enfin buteur, il a également été à l’origine des deux autres buts. Et à Ajaccio (2-1) trois jours plus tôt, il avait été à l’origine du but de la victoire de Matuidi. « A Bordeaux, Javier a fait un bon match, a reconnu le Cévenol. C’est bien pour lui et l’équipe. Il offre une solution au milieu et dans la zone offensive. Il peut être un joueur important mais il faut qu’il soit bien physiquement et mentalement. » Sirigu a même trouvé depuis sa surface qu’El Flaco a fait un match « exceptionnel ». « Le problème de Javier est qu’on attend toujours quelque chose de lui, l’a défendu l’italien. Et dès qu’il ne fait pas un match top, il est trop critiqué. Il joue un peu plus derrière, c’est pour lui un nouveau rôle. Il se sacrifie pour l’équipe et il a pendant longtemps d’abord pensé aux autres. Désormais il est plus serein. » Du coup, Blanc va lui en demander encore plus. « Je vais être encore plus exigeant », a-t-il assuré. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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20/01/2014 13:41
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Citation Paris dévore les Canaris et croque la Ligue 1 C’est reparti comme en 14 ! Quatre matchs, quatre victoires : le PSG ne lambine pas au retour de la trêve, décidé à enfoncer le clou sur le terrain domestique et dans toutes les compétitions, Championnat de France en tête. Le tout avec gourmandise, sourire, bonne humeur. Cette fois-ci, il n’a pas largué un peu plus Monaco, solide deuxième après son succès à Toulouse, mais laissé Lille à dix points. Si bien, et ce n’est pas une énorme surprise ni un vrai suspense, encore moins une nouvelle, que Paris disputera la saison prochaine la Ligue des champions parce qu’il n’est pas possible d’imaginer que les Dogues le rattrapent en 17 journées. L’explication aura donc lieu comme prévu avec Monaco et la confrontation directe arrivant bientôt (9 février), elle ne sera pas forcément décisive. Elle rappelle que le titre se jouera surtout au nombre de points que le club de la capitale pourrait laisser échapper lors de ses prochaines conquêtes européennes. Même quand l’adversité augmente, c’est le même refrain. Nantes d’une faiblesse abyssale Après les amuse-bouche Brest, Ajaccio, Bordeaux dans les diverses épreuves nationales, on comptait un peu sur Nantes, 6e au coup d’envoi, pour titiller le PSG. Peine perdue. Les Canaris ont offert l’opposition la plus tendre possible, tout juste capables de belle séquence de circulation. Au singulier, car on ne souvient pas en avoir vu plus d’une. C’est peu, très peu, et c’est un peu comme si Sirigu avait le temps de répondre à son courrier tant il ne s’est rien passé devant chez lui. Nantes d’une faiblesse abyssale, Paris trop fort sans accélérer, il nous restait à s’accrocher aux détails. Comme ces embrassades aux 3e et 4e buts, Thiago Motta puis Cavani finissant ensevelis sous l’affection et la totalité de leurs coéquipiers ou presque. En fait, c’était exactement comme vendredi au camp des Loges, où chaque but avait été célébré en italien par une belle bande de chambreurs (Verratti et Thiago Motta en chefs). Au PSG, on joue comme on s’entraîne. On a aussi revu Cavani marquer et, comme toutes les bonnes choses dans la vie, ça nous manquait après quatre rencontres sans, en comptant l’amical Real - PSG à Doha. Les records du PSG Avec 50 points et 51 buts inscrits en 21 journées, le PSG surfe sur les records de la Ligue 1 et se glisse dans les standards européens (54 buts en 20 journées pour le Barça). Il domine de presque 20 buts d’avance Monaco, qui possède dans ses rangs un attaquant comme Falcao, ce qui rend la comparaison encore plus saisissante. A part la blessure de Rabiot, un vrai coup dur, le PSG se régale et écrase tout avec une facilité inédite dans l’Hexagone. Citation Cavani commence enfin l’année Paris et Cavani ont poussé hier soir un grand ouf de soulagement. Pas vraiment pour le succès face à Nantes, qui n’a jamais réellement inquiété l’équipe de Laurent Blanc, mais le petit événement de la soirée est survenu à la 58e minute, lorsque l’attaquant uruguayen a repris une offrande de Zlatan Ibrahimovic pour inscrire son premier but en 2014. Réussir cette frappe croisée n’est pas un exploit pour un avant-centre de la trempe du Matador, mais ce but commençait à se faire cruellement attendre. Depuis son but victorieux à la dernière minute de la prolongation face à Saint-Etienne en Coupe de la Ligue (2-1) le 18 décembre, on n’avait pas pu admirer l’efficacité de Cavani. Contre Lille, à l’occasion de la dernière journée des matchs aller (2-2), l’international uruguayen était en effet déjà rentré au pays pour régler son divorce avant la fermeture des tribunaux de Montevideo durant les fêtes de Noël. A l’origine du premier but Après de longues tergiversations, il n’avait pas effectué un aller-retour pour la rencontre au sommet de la L1, alors qu’il devait passer ses vacances auprès de ses proches en Amérique du Sud. Mais depuis son retour dans l’Hexagone, on ne reconnaissait pas Cavani. Muet en amical contre le Real Madrid (0-1) à Doha (Qatar), il s’était montré à son avantage à Brest (5-2), Ajaccio (2-1) et Bordeaux (3-1) sans parvenir à trouver le chemin des filets. Face à Nantes, il est à l’origine de l’ouverture du score. Sa tête décroisée au premier poteau sur un corner de Lavezzi est repoussée par Riou dans les pieds de Thiago Silva (10e). Le reste de sa prestation fut en revanche beaucoup moins brillante. Ses appels pas assez tranchants, ses prises de balle mal assurées et ses contrôles approximatifs ont jalonné la rencontre, laissant planer comme un doute sur la période que traverse le meilleur buteur du dernier championnat italien (29 buts). L’homme aux 64 M€ et aux 12 buts en 18 matchs de L1 semblait être l’ombre de lui-même et laissait à Ibrahimovic les clés de l’attaque parisienne. Le caviar déposé par le Suédois à Cavani en pleine surface est l’exemple le plus frappant. Idéalement placé à gauche de Riou, l’Uruguayen décroisait grossièrement sa frappe qui filait loin de la cage nantaise (73e). A l’orée d’une série de rencontres qui doit mener Paris jusqu’au rendez-vous du 18 février contre Leverkusen en 8e de finale aller de Ligue des champions, Paris aura besoin de sa recrue vedette de l’été dernier. Laurent Blanc doit espérer en secret que le but inscrit hier aura l’effet d’un déclic. Citation Blanc met la pression pour recruter Le PSG a encore près de deux semaines pour se renforcer lors de ce mercato hivernal 2014. La sortie de Laurent Blanc, après la démonstration (5-0) contre Nantes, souligne pourtant l’urgence de la situation aux yeux du technicien parisien. Pourquoi a-t-il décidé hier soir de se montrer plus offensif alors qu’il avait répété jusqu’ici qu’il serait ravi de conserver son effectif en l’état ? Peut-être parce que Lavezzi vient de rejoindre l’infirmerie parisienne pour une douleur à l’adducteur, d’où son remplacement à la mi-temps par Lucas. Un nouveau coup dur quatre jours après Rabiot, victime d’une entorse du genou droit, dont l’indisponibilité peut varier d’une à six semaines. « J’espère que l’absence d’Adrien (Rabiot) sera très courte. Le ligament a lâché mais ça n’a pas provoqué d’instabilité du genou. Dans une semaine, il fera du travail adéquat. Il pourra reprendre la course dans 5 ou 6 jours. Si c’est le cas, il pourra reprendre assez rapidement. Je le souhaite », a confié Blanc en conférence de presse. Cabaye hésite Avant de poursuivre sur le mercato : « Ce serait bien qu’on recrute un joueur dans le cœur du jeu. Je le dis depuis un mois et demi. Tant mieux s’il arrive. Si ce n’est pas le cas, on fera avec. La blessure d’Adrien rend plus urgent d’avoir un joueur supplémentaire dans l’entrejeu. Il faut un élément capable de soulager Thiago Motta, Verratti ou Matuidi. On a Pastore et Rabiot. Si on pouvait doubler tous les postes, ce serait une garantie pour les échéances à venir. » Laurent Blanc a même dressé le profil de la recrue idéale au micro de Canal + : « Il doit être bon techniquement. Il doit aussi être costaud, car il y a beaucoup de concurrence. Cabaye ? Il a ce caractère, oui. » Le Français de Newcastle plaît beaucoup au staff parisien. Mais à cinq mois de la Coupe du monde et vu la concurrence dans l’entrejeu parisien, il hésite. D’autant que l’ex-Lillois, qui réussit de belles performances actuellement, se sait suivi de près par Arsenal et Manchester United. Aujourd’hui c’est une certitude, le point de vue de Blanc est partagé par sa direction. Depuis quelques jours, le PSG s’est clairement mis en phase de recrutement même si au sujet de Yohan Cabaye (28 ans), il n’a pas encore bougé de façon significative. Citation Maxwell : « On a envie de tout gagner » Dans un français impeccable, le latéral brésilien assure que l'équipe de la capitale peut encore s'améliorer. Est-ce que cette victoire est la rencontre la plus aboutie de la saison ? Maxwell. On a mis beaucoup d'intensité tout au long de la rencontre notamment à la perte du ballon. On a ainsi pu contrôler le match. On maintient notre philosophie de jeu qui est d'avoir la possession du ballon. C'est un match très réussi avec du spectacle et des buts, c'est important pour les supporteurs. On est très contents. Avez-vous abordé différemment la rencontre par rapport à l'aller où vous aviez eu du mal à battre Nantes ? C'était le début du championnat, nous n'étions pas encore à notre meilleur niveau. On s'est beaucoup améliorés depuis. On connaissait le parcours de Nantes qui fait une bonne saison. On a été très concentrés. Cela a fait la différence en fin de match. Le PSG est-il trop fort pour la L1 ? Non, ce n'est jamais facile de gagner des matchs. On doit donner à chaque fois le maximum et je pense qu'on peut encore progresser. Ce n'est pas facile de jouer tous les trois jours. Il faut faire encore des sacrifices pour arriver à la hauteur de nos ambitions. Pensez-vous Paris capable de tout gagner en France ? Il faut bien se reposer, bien manger mais on a l'effectif pour faire face à toutes les compétitions. On connaît l'exigence du club. On a l'ambition et l'envie de tout gagner. Citation Hazard : « Paris est un grand club » Le joueur belge de Chelsea qui, selon nos informations, a confié avant Noël à de l’un de ses coéquipiers londoniens qu’il allait « certainement rejoindre Paris l’été prochain » est revenu dans « Téléfoot » sur son avenir. « Paris est un grand club, mais je me plais à Chelsea, a-t-il indiqué. Il n’y a aucune chance de me voir partir ce mercato-ci. Même cet été, je n’ai pas envie de partir » Le Parisien.fr Citation Le PSG en démonstration face à Nantes Face à des Nantais bien trop tendres, Paris s'est offert un festival dimanche soir au Parc des Princes (5-0). Ce large succès permet au PSG de garder cinq points d'avance sur Monaco et de reléguer Lille à 10 points. La venue de Nantes au Parc des Princes a confirmé ce que l’on savait déjà dans des proportions que n’avaient peut-être pas soupçonnées les Canaris. En l’espace de cinq mois, le PSG a bien changé. Le 25 août dernier, le club de la capitale avait souffert à la Beaujoire pour décrocher sa première victoire de la saison (2-1). Dimanche soir, les retrouvailles entre les deux équipes se sont résumées à une démonstration des joueurs de Laurent Blanc (5-0). Sans se procurer une kyrielle d’occasions, Ibrahimovic et ses équipiers ont étalé une maîtrise et une efficacité telles qu’ils ont fait passer les joueurs de Michel Der Zakarian pour de simples sparring-partners. Supérieur dans tous les domaines, le PSG a toutefois eu besoin d'un penalty sévère pour se détacher. Il n’y a pas eu de match. Et le mérite en revient principalement aux Parisiens qui ont su se rendre la partie facile. Sur un corner dévié de la tête par Cavani et mal repoussé par Riou, Thiago Silva a profité du laxisme défensif de Lucas Deaux pour ouvrir le score dès la 10e minute. La suite ? Une mainmise totale du PSG - sous l’impulsion de Thiago Motta - qui a contrasté avec le manque d’engagement et les approximations des Nantais. Supérieurs dans tous les domaines (77% de possession de balle, plus de 400 passes contre à peine 100 pour les Canaris à la mi-temps), Matuidi et ses équipiers ont toutefois eu besoin d’un penalty sévère pour se détacher. A la conclusion : l’inévitable Ibrahimovic. Buteur, le géant suédois s’est mué en passeur pour Cavani juste avant l’heure de jeu (58e), avant de profiter d’un tir contré de Pastore pour s’offrir un doublé (64e). Avec 17 buts et 10 passes décisives au compteur, Ibra truste la tête des deux classements. A la 51e minute, il avait déjà été à l’origine du 3-0 signé Motta après une remise de la tête de Matuidi. Si les errements défensifs des Nantais, à l’image d’une perte de balle de Djilobodji sur le quatrième but parisien, ont favorisé les desseins des Parisiens, il y avait bien plusieurs classes d’écart entre les deux équipes. Celui entre le PSG et son dauphin Monaco est, lui, remonté à 5 unités. Citation Blanc : «Satisfait de pratiquement tout» Laurent Blanc a apprécié le large succès du PSG face à Nantes (5-0), dimanche soir. «On a été efficace dans tous les domaines avec 5 buts et pas mal d'occasions», s'est-il réjoui. Laurent Blanc a vécu «une bonne soirée». Depuis son banc de touche, l’entraîneur du PSG a assisté à la large victoire de son équipe face à Nantes (5-0), dimanche soir. Et le moins que l’on puisse écrire, c’est que les motifs de satisfaction étaient nombreux pour le technicien. «Je suis très satisfait de pratiquement tout, a-t-il souligné après le match. On a été efficace dans tous les domaines avec 5 buts et pas mal d’occasions. Je pense qu'il fallait aussi s'améliorer quand on n'a pas le ballon. On a été très concentré à la récupération ce soir.» «Dans l'attitude et le jeu, il faut toujours avoir ce comportement». Ce match, le PSG se l’est rendu facile en ouvrant le score dès la 10e minute par l’intermédiaire de Thiago Silva. «On avait dit aux joueurs qu'il n'était pas interdit de concrétiser rapidement et que si c'était le cas, les choses seraient beaucoup plus faciles. On a été exaucé, s’est réjoui le technicien. On sait que quand on ouvre le score, ça desserre les choses. En première période, ça a été un peu difficile de se créer des occasions, mais après ça a été beaucoup mieux.» Blanc attend désormais de ses joueurs qu’ils conservent cet état d’esprit et qu’ils maintiennent ce niveau jusqu’à la fin de la saison. «Dans l'attitude et le jeu, il faut toujours avoir ce comportement», a-t-il insisté. Avec respectivement cinq et dix points d’avance sur Monaco et Lille, le PSG est bien parti pour conserver son titre de champion de France. Interrogé sur le manque de suspense qui pourrait escorter la fin du Championnat, le technicien a admis qu’«on peut penser ça aujourd’hui.» «Dix points d'avance sur Lille c'est beaucoup, mais ça peut aller très vite, a-t-il toutefois tempéré. On sait que nos objectifs sont très élevés. Nous aussi, on monte en puissance, avec un des meilleurs matches de la saison à domicile ce soir. Les joueurs sont conscients que si on domine notre sujet en L1, il faut rester concentré. Et qu'en C1, il faudra augmenter notre niveau d'exigence.» Citation Blanc espère toujours un milieu En conférence de presse, après la victoire ce dimanche soir du PSG contre Nantes (5-0), Laurent Blanc a évoqué, entre autres, le cas Adrien Rabiot, touché au genou et dont la durée d'indisponibilité n'est à ce jour pas encore estimée. «Pour Rabiot, je pourrai vous en dire plus dans quatre ou cinq jours, a précisé l'entraîneur parisien. C'est une blessure un peu bizarre. Le ligament a lâché mais le genou n'est pas gonflé. Je pense qu'il va travailler pendant une petite semaine et si ça se passe bien, il pourrait reprendre la course dans cinq ou six jours. Si c'est le cas, il pourrait reprendre assez vite. J'espère en tout cas.» La blessure du jeune milieu de terrain pourrait en tout cas accélérer le recrutement d'un joueur dans ce secteur, lors du mercato hivernal. «Vous connaissez ma position, a rappelé Blanc. Ce serait bien qu'on prenne quelqu'un dans le coeur du jeu. La blessure d'Adrien rend peut-être un peu plus urgent le fait d'avoir un joueur supplémentaire dans l'entrejeu. (Comme remplaçants) on a Pastore, on a Adrien. Si on pouvait doubler les postes, ce serait une garantie supplémentaire.» L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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21/01/2014 06:30
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Citation Les Français du PSG sont-ils fainéants ? Frédéric Gouaillard et Ronan Folgoas | Publié le 21.01.2014, 07h00 A Paris, les joueurs français manqueraient de professionnalisme et auraient une mentalité de losers. C’est en substance ce que Carlo Ancelotti affirme dans une interview publiée samedi au « Financial Times ». Le coach italien du Real Madrid fait valoir que les « Français ne comprennent pas pourquoi ils doivent travailler à 100% tous les jours » et qu’ils n’ont « pas une mentalité de gagnants ». Un point de vue radical que partage pour moitié Siaka Tiéné, l’international ivoirien, en France depuis 2005. « Ancelotti n’a pas tort sur le fait que les joueurs français arrivaient trente minutes avant l’entraînement et filaient rapidement après la douche, souligne l’ancien défenseur parisien (2010-2013). J’ai vu la différence quand Thiago Motta et les autres recrues étrangères, notamment David Beckham, sont arrivés. Ils prenaient beaucoup de temps après l’entraînement. En revanche, je ne suis pas d’accord avec lui sur la mentalité de vainqueurs. Tout le monde se préparait pour gagner, Français et étrangers. » Mathieu Bodmer, milieu parisien entre 2010 et 2013, note aussi une différence d’approche. « A l’entraînement, les étrangers veulent tout le temps gagner, et, si l’entraînement est programmé à 10 heures, ils seront là à 9 heures. Ils passent beaucoup de temps en soins. C’est pour cela qu’ils durent. Il n’y a pas de secret. En France, on n’a pas la même mentalité », soulignait l’ancien joueur parisien dans une interview à « Nice-Matin ». Quelques comportements ont peut-être intrigué Ancelotti, comme ces joueurs qui fumaient régulièrement la chicha. Ne trouvaient grâce à ses yeux que Matuidi et Sakho, dont il louait à ses proches l’implication sur le terrain et en dehors. Pourtant, Ronan Le Crom, ancien quatrième gardien du PSG (janvier 2012-juin 2013), ne se sent pas concerné par la sortie du technicien italien. « Cela s’apparente à des généralités. J’arrivais tôt et je partais tard. J’ai dix-huit ans de professionnalisme derrière moi et j’ai été élevé à l’école Guy Roux, où j’ai appris les règles de bonne conduite. Pour moi, l’hygiène de vie, c’est une manière de vivre, presque une religion, dit-il. Ce que dit Ancelotti est un peu sévère. Tous les partenaires (NDLR : français) que j’ai côtoyés au PSG avaient une mentalité qui les poussait à gagner le prochain match. » « Je comprends ce que Carlo Ancelotti a voulu dire, mais c’est excessif, renchérit Gilles Bourges, l’ancien entraîneur des gardiens (2010-2013). L’arrivée du staff de Carlo a entraîné de nombreux changements et certains joueurs français ont mis un peu de temps à rentrer dans le moule. Mais impossible de les mettre tous dans le même sac. » Quant à l’hygiène de vie, il n’y a pas matière à faire de distinction entre Français et étrangers, toujours selon Bourges. « Je ne voudrais pas laisser croire que les Français n’étaient pas professionnels, affirme ce dernier. Certains d’entre eux fumaient des cigarettes au camp des Loges, certes, mais il s’agissait d’une pratique tolérée par le staff. Une pièce située près de la machine à café était d’ailleurs prévue à cet effet. Mais deux ou trois joueurs étrangers venaient aussi fumer de temps en temps. » http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris-sa...014-3514139.php |
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21/01/2014 11:14
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Citation Pjanic, le plan B Dimanche, à l’issue de PSG - Nantes (5-0), Laurent Blanc a publiquement réaffirmé le besoin de recruter un milieu de terrain dès cet hiver. Cependant, la quête de ce renfort s’avère particulièrement compliquée. Depuis longtemps, Yohan Cabaye a la préférence de l’entraîneur mais, à cinq mois de la Coupe du monde, l’international français n’est plus très chaud à l’idée de rejoindre un club où la concurrence est exacerbée à son poste. L’ancien Lillois se voit plutôt attendre l’été prochain pour changer de club. Arsenal et Manchester United le convoitent, et tout porte à croire qu’il restera en Angleterre. Dans ce rôle de milieu relayeur expérimenté, n’ayant pas disputé la Ligue des champions et n’étant pas extracommunautaire, il n’y a pas foule de candidats. Aucun contact n’a été noué avec M’Vila (Rubin Kazan) ou Guilavogui (Atletico Madrid). L’international brésilien Hernanes (Lazio Rome) est suivi de près, mais il n’a pas de passeport communautaire, ce qui devrait lui être préjudiciable. L’hypothèse Miralem Pjanic de l’AS Rome est beaucoup plus crédible. L’ancien Messin se verrait bien à Paris, il l’a dit. Et, à un an et demi du terme de son contrat, son club a intérêt financièrement à le céder cet hiver ou, au plus tard, l’été prochain. Par ailleurs, Hervin Ongenda ne quittera pas le PSG cet hiver. Les dirigeants parisiens ont repoussé la demande du joueur qui souhaitait un prêt de six mois pour augmenter son temps de jeu. Le Parisien.fr Citation MU rêve de Cavani Manchester United est très chaud à l'idée de recruter l'attaquant du PSG Edinson Cavani. Retoqué cet hiver, le club anglais va vraiment passer à l'attaque l'été prochain. Mal en point en Premier League, Manchester United cherche activement à se renforcer, et notamment dans le secteur offensif. C'est pour cette raison que David Moyes, le manager de MU, est venu assister la semaine dernière au quart de finale de Coupe de la Ligue entre Bordeaux et le PSG (1-3) à Chaban-Delmas. Le successeur de Sir Alex Ferguson a fait le déplacement pour superviser Edinson Cavani, lequel a joué la seconde période. Selon nos informations, le club anglais voulait l'Uruguayen dès cet hiver. Mais Laurent Blanc a mis son véto. Le club anglais devra donc patienter jusqu'au prochain mercato pour retenter sa chance. Cavani est sa priorité en attaque alors que l'avenir de Van Persie et Rooney reste incertain. Moyes a, lui, l'intention d'utiliser l'ancien Napolitain en pointe et non sur un côté. Les actionnaires américains de MU veulent par ailleurs frapper fort l'été prochain sur le marché des transferts. Une enveloppe de 180 millions d'euros serait déjà prête. Pour rappel, Cavani avait coûté 64 millions d'euros au PSG il y a six mois, et son salaire est de l'ordre de 10 millions d'euros net annuels. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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22/01/2014 10:35
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#5895
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 381 Inscrit : 30/12/2011 Lieu : V Membre no 8,257 Tribune : Canapé |
Citation LAVEZZI AU REPOS Après la démonstration face à Nantes (5-0), dimanche, Laurent Blanc a organisé des séances plutôt légères, ces deux derniers jours. Pour ce seizième de finale de Coupe de France contre Montpellier, objectif affiché d'un PSG encore engagé dans quatre compétitions, l'entraineur parisien va légèrement faire tourner. Ezequiel Lavezzi est donc laissé au repos et ouvre la porte à Lucas, auteur d'une belle entrée face aux Canaris. En charnière centrale, Marquinhos devrait débuter au côté de Thiago Silva. À noter le retour dans le groupe de Nicolas Douchez, remis de sa blessure à une cuisse. Christophe Jallet (dos) et Adrien Rabiot (genou) sont toujours à l'infirmerie. L'équipe Citation Marquinhos se démultiplie Barré par Thiago Silva et Alex en défense centrale, même s'il devrait débuter ce soir, le jeune Brésilien a les qualités pour faire mieux que dépanner à d'autres postes. Avant de s'imposer au sien ? Avis aux amateurs de réseaux sociaux: sur Instagram, site de partage de photos communautaire, Marcos Aoàs Corréa, visage juvénile et sourire encore barré de fil barbelé, décline sa vie à la manière des albums de Martine: Marquinhos à la plage, Marquinhos au château de Versailles, Marquinhos joue du tam-tam ... Une tendance à se démultiplier en civil et, depuis peu, sur le terrain. Laurent Blanc à utilisé le Brésilien (19ans) en charnière centrale mais aussi au poste de latéral droit contre Bordeaux en quarts de finale de Coupe de la Ligue (3-1, le 15 janvier) et comme milieu défensif, lors des vingt dernières minutes du match de L1 face à Nantes (5-0), dimanche, en remplacement de Thiago Motta. Un usage multiple qui n'a pas choqué Alain Roche, ancien défenseur central du PSG: "Il n'est ni très costaud, ni très grand, mais il compense par une grande intelligence, une belle lecture du jeu et un niveau technique au-dessus de la moyenne. Il a un bon timing, une bonne appréciation des trajectoires. C'est intéressant d'être polyvalent quand on est jeune mais, à un moment, il faut se fixer et jouer à son poste de prédilection". Roche : " Il faut simplement qu'il soit patient" Pierre Ducrocq, ex milieu défensif du Paris-Saint-Germain (1994-2001), reconverti dans le commentaire sportif pour France Bleu 107.1, se dit bluffé par la rapidité d'adaptation de l'enfant du Corinthians de Sao Paulo. " Il est impressionnant pour son âge, explique celui qui a aussi évolué comme défenseur central et latéral droit durant sa carrière. À part la première période au Pirée face à l'Olympiakos, où il lui a fallu un temps d'adaptation, il a toujours été très bon. Assurément, c'est une bonne pioche !" Racheté à l'AS Rome pour 31.4 M€ (hors bonus) l'été dernier, titulaire à cinq reprises en C1 et huit fois en L1 en raison des blessures de Thiago Silva et Alex, il a déjà inscrit trois buts. Au sein de l'effectif des champions de France, Marquinhos semble être le seul remplaçant à offrir à Blanc des garanties presques identiques à celles des titulaires. Certains prédisaient même qu'il pousserait Alex sur le banc. C'est encore un peu tôt, selon le consultant, qui préfère le voir pousser tranquillement à l'ombre de ses deux aînés: " Dans sa situation, si tu es intelligent et que tu écoutes, tu dois progresser à leurs côtés. Marquinhos doit s'entraîner comme un jeune, regarder les anciens et il deviendra un élément important." Roche s'inquiète juste d'éventuels trous d'air, au milieu d'un collectif aussi dominant: " Quand on est jeune,on a tendance à se relâcher. Or, le PSG possède une telle mainmise sur ses matches qu'il doit être vigilant à être toujours en éveil. " Avant de louer un état d'esprit irréprochable: " Il est comme Lucas, qui respire la joie de vivre. Il faut simplement qu'il soit patient. Si la situation perdure au bout de deux ans, il sera temps de s'interroger". L'équipe |
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22/01/2014 10:56
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Citation Blanc devrait reconduire l'équipe victorieuse à Bordeaux Mercredi face à Montpellier, l'entraîneur du PSG devrait aligner quasiment la même équipe qu'à Bordeaux la semaine dernière en Coupe de la Ligue. Mercredi face à Montpellier, l'entraîneur du PSG devrait aligner quasiment la même équipe qu'à Bordeaux la semaine dernière en Coupe de la Ligue. | LP/ Jean-Baptiste Quentin Mercredi soir face à Montpellier, en 16e de finale de la Coupe de France, le PSG enregistre le retour de Nicolas Douchez, son deuxième gardien qui sera certainement titulaire. En revanche, l'entraîneur parisien doit toujours composer avec les absences de Rabiot, victime d'une entorse au genou - qui s'est contenté de courir mardi matin - mais aussi de Jallet opéré d'une hernie discale et de Lavezzi laissé au repos après sa douleur à l'adducteur. La formation qui sera alignée pourrait ressembler à celle qui s'est imposée la semaine dernière à Bordeaux en quart de finale de la Coupe de la Ligue (3-1). Digne, Camara et Marquinhos devraient retrouver une place en défense et Pastore au milieu de terrain En attaque, Lucas et Ménez postulent aux côtés d'Ibrahimovic ou de Cavani. L'un des deux attaquants vedettes pourrait débuter sur le banc. Courbis : «On n’est pas obligé de gagner pour se qualifier» A Bordeaux Cavani était rentré en seconde période en remplacement du Suédois. Du côté de Montpellier qui est au vert en région parisienne depuis dimanche soir, Rolland Courbis a prévenu qu'il avait envie de «tenter quelque chose» avant de tempérer ses propos. «On ira au Parc pour jouer une rencontre que l’on n’est pas obligé de gagner pour se qualifier», a rappelé le nouvel entraîneur héraultais. Citation LES EQUIPES PROBABLES PSG : Douchez - Marquinhos, Z. Camara, Thiago Silva (cap.), Digne - Verratti, Matuidi, Pastore - Lucas, Cavani (ou Ibrahimovic), Ménez. Entr.: Blanc. Montpellier : Pionnier - Deplagne, Hilton (cap.), El Kaoutari, Congré - Marveaux, Stambouli, Saihi, Tiéné - S. Camara (ou Niang), Cabella (ou Montano). Entr.: Courbis. Citation La pelouse du Parc des Princes parmi les meilleures de Ligue 1 Leader incontesté de la Ligue 1, le PSG se distingue aussi par son gazon. Cette année, la Ligue professionnel de football (LFP) a lancé un championnat des pelouses. Ce mardi, elle a publié sur son site un premier classement de mi-saison découpé en trois groupes, dans un ordre décroissant de qualité. Le club de la capitale, qui a recruté au printemps dernier Jonathan Calderwood, élu meilleur jardinier du championnat anglais en 2009 et 2012, figure dans le premier tiers, au côté de Nantes, Sochaux, Montpellier et Rennes. Une récompense encourageante pour les dirigeants parisiens qui veulent mettre la pelouse du Parc au même niveau que les stars qui la foulent. En juin 2014, le PSG doit s'équiper d'un terrain dernier cri, mi-naturel, mi-synthétique, fourni par une société néerlandaise, afin de se rapprocher des standards anglais. Dans la catégorie «pelouse moyenne», on retrouve Monaco, Evian/Thonon, Lille, Lyon, Reims, Toulouse et Valenciennes. Les bonnets d'âne s'appellent pour l'instant Ajaccio, Saint-Etienne, Guingamp, Bordeaux, Nice, Marseille et Bastia. Lorient, qui évolue sur une pelouse synthétique, n'a pas été intégré à l'évaluation. Le classement est établi à partir des notes attribuées après chaque journée «par les capitaines des équipes, les entraîneurs, l’arbitre et le réalisateur du match», indique la LFP. Les pelouses sont évaluées selon cinq critères : la trajectoire du ballon, la souplesse du terrain, la qualité des appuis, la qualité du tapis végétal auxquelles ils ajoutent une note d’appréciation globale. La LFP prévient que «ce point d’étape doit nécessairement être pris avec toutes les précautions d’usage (...) et doit permettre à chaque club de se situer et de redoubler d’efforts alors que s’annonce la fin de la période hivernale, souvent la période la plus délicate sur le plan météorologique.» Le Parisien.fr Citation La Roma ne veut pas lâcher Pjanic Alors que le PSG s'intéresse toujours à Miralem Pjanic pour étoffer son milieu de terrain avant la fin du mercato hivernal, la porte semble se refermer du côté de la Roma. Walter Sabatini, le directeur sportif du club romain, paraissait prêt à discuter avec le PSG au sujet de l'international bosnien (23 ans), dont le contrat actuel expire en 2015 et qui pourrait rapporter 20 à 25 millions d'euros. Mais le président américain de la Roma, James Spalletta, a repris les choses en main et ne serait pas disposé à transférer le joueur. Sa priorité serait en effet de lui offrir une prolongation de contrat significative afin de le lier au club, où Pjanic affirme se sentir bien. Mardi, Rudi Garcia avait déclaré que le milieu n'était pas à vendre. Citation Le PSG reçu cinq sur cinq ? Face à Montpellier (20h55), en 16es de finale de la Coupe de France, le PSG vise sa cinquième victoire en autant de matches en 2014. Pour perpétuer aussi une tradition : depuis la saison 2001-2002, Paris a toujours atteint au moins les huitièmes. Dès la fin du premier match de l'année (victoire à Brest en 32es de finale), Laurent Blanc avait annoncé vouloir «clarifier et hiérarchiser les objectifs» du PSG. Le club de la capitale s'est donc mis... à gagner tous ses matches depuis, Championnat et Coupe de la Ligue réunis (4). Dans cette «hiérarchie», la Coupe de France, compétition qui réussit traditionnellement aux Parisiens, a conservé une place importante depuis l'arrivée de QSI. Encore plus après l'élimination face à Evian-TG, l'an dernier aux tirs au but, en quarts de finale. «Ce n'est pas un bon ou un mauvais tirage» La venue de Montpellier (20h55) au Parc des Princes doit permettre à l'équipe de Laurent Blanc d'entretenir sa série de victoires actuelle et sa régularité en Coupe de France. En effet, le PSG vise une treizième qualification consécutive pour les huitièmes de finale, un record. Jouer à domicile sera un atout, pas seulement pour le soutien du public. «Ça nous évite un déplacement, déclarait Blanc au moment du tirage au sort. C’est toujours ça de pris». «Ce n’est pas un bon ou un mauvais tirage», ajoutait l'ancien entraîneur des Bleus. Le bilan des Parisiens face au MHSC aide à comprendre cette prudence : ils ne se sont imposés que deux fois lors de leurs dix derniers matches face aux Héraultais (six nuls, deux défaites). «Pour passer, il faudra qu'on soit tous exceptionnels» (Mounier) Le dernier déplacement de Montpellier au Parc des Princes s'était, cela dit, soldé par une défaite (1-0, 30e journée de Ligue 1, le 29 mars 2013). Cette dernière impression reste la plus marquante dans les esprits montpelliérains, à écouter Anthony Mounier (suspendu ce mecredi), d'autant que le PSG s'est encore renforcé à l'intersaison. «Pour passer, il faudra qu'on soit tous exceptionnels. Si on est un ton en-dessous, on ne passera pas, c'est certain», déclare le milieu offensif sur le site officiel du MHSC. «On a pu voir ce qu'il fallait faire et surtout ne pas faire contre eux, à l'image de ce qu'a fait Nantes dans certains domaines.» Dimanche, lors de la 21e journée de L1, le PSG a signé face aux Canaris sa victoire la plus large (5-0) en ce début d'année. Une gifle qui n'a rien de rassurant pour les visiteurs du Parc. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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23/01/2014 10:47
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Citation Pour Paris, la Coupe est déjà finie C’est un coup de tonnerre qui a ébranlé mercredi soir le Parc des Princes. Trois jours après la démonstration face à Nantes (5-0), et pour la première fois cette saison, le PSG s'est incliné dans son stade où il n'avait plus perdu depuis plus d'un an et le revers face à Rennes en L 1, le 17 novembre 2012. Cette défaite surprise est surtout synonyme d'élimination en Coupe de France, le premier échec d'une saison qui, jusque-là, s'était déroulée sous les meilleures auspices pour Laurent Blanc et les siens. Blanc agacé «On n'a pas fait un mauvais match, loin de là, mais on a de gros regrets, déplore le coach. On n'a pas fait ce qu'il fallait en terme d'efficacité offensive et défensive et on a été punis par une équipe de Montpellier très réaliste.» Thiago Silva et ses partenaires doivent maintenant reporter leurs efforts et leurs ambitions sur la Coupe de la Ligue, où ils sont encore qualifiés pour les demi-finales (le 4 février à Nantes). C'est à ce prix qu'ils rempliront l'objectif fixé par leur président Nasser al-Khelaifi de gagner le championnat et l’une des deux coupes nationales. Un calendrier allégé... Le dirigeant qatarien, qui se trouvait hier à Melbourne pour l'Open d'Australie, a dû moyennement apprécier ce faux pas. Car le vent aurait pu (et même dû) tourner à l'avantage des Parisiens pourtant privés de six titulaires dont Zlatan Ibrahimovic, laissé sur le banc des remplaçants. Mais ce n'est pas la première fois de la saison que Paris pèche dans la finition, et l'agacement de Laurent Blanc aura été proportionnel au manque de réussite de ses attaquants. «On a souvent fait le geste qui n'était pas approprié dans la surface. Marquer des buts, ce n'est pas facile mais il faut le vouloir et, là, je n'ai pas senti mes joueurs efficaces, donc oui ça m'agace», souffle l'entraîneur parisien. Le corps arbitral n'aura pas non plus été d'un grand secours en sifflant un hors-jeu imaginaire sur un but valable de Digne en première période. Au final, Montpellier n'a cadré que trois tirs mais marqué deux buts sur des têtes consécutives à des coups de pied arrêtés. Une réussite à 66 % qui épouse une autre constante de ce début de saison : celle qui veut que Paris encaisse au moins un but depuis le début de l'année (sauf face à Nantes). Un doute avant la Ligue des Champions Ce manque de constance défensive est corrélative au jeu offensif prôné par le PSG mais il diffuse une onde de doute à moins d'un mois des 8es de finale de la Ligue des Champions. La seule bonne nouvelle de la soirée est à chercher du côté du calendrier, désormais amputé de quatre matchs potentiels. De quoi réduire les cadences infernales des Parisiens. «Oui, c'est le seul point positif, même si je ne veux pas le relever. Force est de constater, en effet, que le mois de février sera un peu allégé», lâchera Blanc dans un demi-sourire. Citation Ménez : «Il ne faut pas tout jeter après cette défaite» Décidément, les titularisations de Jérémy Ménez ne portent pas chance au PSG. Après les revers concédés face à Evian Thonon-Gaillard (2-0) et Benfica en décembre (2-1), l’équipe parisienne s’est une nouvelle fois inclinée alors que l’ancien Romain était aligné au coup d'envoi. Pas de quoi démoraliser l’international français, 26 ans, qui veut croire en un avenir meilleur, alors que son contrat avec le PSG se termine en juin prochain. Quel sentiment prédomine après cette défaite à domicile face à Montpellier ? Jérémy Ménez. Une élimination en Coupe de France fait toujours mal. Nous rêvions tous d’aller au bout. Maintenant, il faut relever la tête et se préparer pour le match de samedi à Guingamp. Comment expliquez-vous ce revers ? La première période nous a coûté cher. On se procure de nombreuses occasions mais notre manque d’efficacité nous pénalise. La seconde mi-temps aurait dû nous permettre de creuser l’écart. Au lieu de ça, on se fait à nouveau prendre sur un coup de pied arrêté. Montpellier a eu beaucoup de réussite. La fatigue s’est-elle fait sentir en seconde période ? Peut-être. Pourtant, je n’ai pas l'impression que nous ayons levé le pied après la pause. Mais il faut reconnaître que l’équipe alignée ce soir (hier) était composée d’éléments qui ne jouent pas régulièrement. Dans ces conditions, il n’est pas facile d’évoluer au meilleur niveau pendant quatre-vingt dix minutes. Du coup, le match a baissé de rythme en seconde mi-temps, c’est vrai. Maintenant, il ne faut pas tout jeter après cette défaite. Nous sommes encore en course dans trois compétitions et il faut tout faire pour aller au bout. Comment jugez-vous votre prestation ? J’ai essayé de faire des choses simples, de ne pas perdre le ballon et d’apporter le maximum. La première mi-temps s’est plutôt bien passée. Ensuite, la fatigue s’est un peu fait sentir. Les sifflets qui ont accompagné votre sortie vous ont-ils blessé ? Non. Cela fait partie des choses qui arrivent dans le football. C’est à moi de montrer sur le terrain ce que je vaux. Après, je sais que les réactions du public peuvent très vite changer. Citation Pastore confirme son retour Certains le disaient perdu pour le football. D’autres, moins définitifs, estimaient qu’il avait intérêt à faire ses valises au plus vite pour relancer sa jeune carrière. Hier soir, Javier Pastore a enfin livré au Parc des Princes une prestation digne de son talent. Une semaine après avoir rendu une copie très propre à Bordeaux en Coupe de la Ligue (victoire 3-1, un but et une passe décisive), l’Argentin a confirmé son net regain de forme. Il a même fait ressurgir dans les mémoires quelques gestes de classe dont il gratifiait le Parc au début de sa carrière parisienne. C’était à l’automne 2011, une éternité à l’échelle du temps footballistique. N’est-ce qu’une parenthèse fulgurante dans une saison qu’il a traversée jusqu’alors comme un fantôme ? Les prochaines semaines le diront. Une chose est sûre, El Flaco (le maigre), 24 ans, frappé hier du numéro 10, a au moins rappelé à Laurent Blanc qu’il pouvait encore compter sur lui. Peut-être pas pour les grandes batailles du printemps en Ligue des champions, mais au moins pour les conquêtes nationales. Alors que le recrutement d’un nouveau milieu de terrain tarde à se dessiner en cette période de mercato hivernal, c’est plutôt une bonne nouvelle. Les applaudissements du Parc des Princes Dans un rôle de meneur de jeu, libre de balayer à sa guise la largeur du terrain, Pastore a donc retrouvé l’éclat qui avait accompagné sa jeunesse italienne sous le soleil de Palerme (de 2009 à 2011). Mobile, combatif et inspiré, il a su à merveille se glisser entre les lignes défensives héraultaises pour mieux semer le danger. Sa qualité de passe a fait le reste. Sur l’une d’entre elles, une déviation exquise de l’extérieur du droit, il alertait Digne dont le centre trouvait Edinson Cavani pour l’égalisation parisienne (30e, 1-1). Dès l’entame de la rencontre, il s’était déjà illustré sur une ouverture chirurgicale à destination du même Lucas Digne, son meilleur complice hier soir, dont le but était annulé pour un hors-jeu imaginaire (10e). Bien sûr, Pastore n’a pas tout bien fait. Il s’est trompé parfois ou emmêlé les pinceaux. Mais sa relation technique avec Marco Verratti, le maestro du milieu, a largement contribué au rayonnement de son équipe. Lors de son remplacement par Ongenda (77e), l’Argentin a même eu droit aux félicitations du Parc des Princes. Citation Inquiétude pour Rabiot En fin de semaine dernière, le PSG n’avait pas voulu se prononcer sur la durée de l’indisponibilité d’Adrien Rabiot, victime d’une entorse du ligament latéral du genou droit à Bordeaux. Le staff parlait d’une absence d’une à six semaines et avait convenu de faire un point aujourd’hui ou demain. Ce nouveau bilan a-t-il été avancé ? Hier, l’équipe médicale du club se montrait ainsi pessimiste au sujet de l’international espoir. Elle évoquait désormais une absence de près d’un mois et demi. Une intervention chirurgicale ne serait pas totalement à écarter. Dans ce cas de figure, le besoin de recruter au milieu de terrain se ferait encore plus urgent. Quant au capitaine Thiago Silva, touché en seconde période, il a quitté le Parc des Princes en boitant bas hier soir. Citation Fair-play financier : l’UEFA va rendre visite au PSG Les experts du fair-play financier poursuivent leurs investigations. Après une audition des dirigeants du PSG le 28 novembre au siège de l’UEFA en Suisse, une délégation d’experts est attendue au siège du club la semaine prochaine. La tenue de cette visite, aux allures de match retour, n’est pas forcément un mauvais signal pour le PSG. Elle indique seulement que les membres du panel financier de l’UEFA ne se contentent pas de l’argumentaire développé à l’oral par Nasser al-Khelaifi et Jean-Claude Blanc fin novembre. La délégation de l’instance européenne souhaite maintenant consulter et vérifier certains documents financiers. A commencer, probablement, par le contrat d’image signé entre le club de la capitale et QTA, l’office de tourisme qatarien, qui assure environ 50% des recettes annuelles du PSG. Ce contrat focalise, en effet, toute l’attention de l’UEFA… et des concurrents du PSG. A-t-il été conclu dans des conditions qui respectent les prix du marché? Relève-t-il au contraire d’un arrangement entre parties liées visant à atteindre, par tous les moyens, l’équilibre recettes-dépenses requis par l’UEFA ? « Ce genre de visites aux sièges des clubs rentre dans le champ des attributions accordées aux membres de la commission du fair-play financier, relativise une source interne à l’UEFA. Dans certains cas, un audit mené par un cabinet extérieur peut même être organisé à cette occasion. » D’ailleurs, le même genre de visite est prévu très prochainement dans les locaux de l’Olympique lyonnais. Concernant le PSG, une décision finale est attendue en avril ou mai. Citation Le PSG dans le top 5 des clubs les plus riches du monde Les revenus du Paris SG, propriété depuis 2011 d'un richissime fond souverain qatari ont presque quadruplé en deux exercices, selon une étude du cabinet Deloitte. Eliminé mardi soir de la Coupe de France par Montpellier, le Paris-Saint-Germain se condolera peut-être avec la traditionnelle étude du cabinet Deloitte sur la puissance financière des clubs de football. Le PSG se hisse à la 5e place du classement des clubs les plus riches au monde, selon le rapport. Aucune équipe française n'a jamais figuré aussi haut. Les revenus du PSG, propriété depuis 2011 d'un richissime fond souverain qatari, atteignent 398,8 millions d'euros, dont 254,7 millions de revenus commerciaux. En deux exercices, ils ont donc presque quadruplé. «On prévoit que le PSG s'installe durablement en haut de ce classement dans les années à venir», a indiqué Austin Houlihan, analyste chez Deloitte. Des revenus boostés par la Qatar Tourism Authority Cette progression fulgurante s'explique en grande partie par le faramineux contrat d'image qui lie le PSG avec la Qatar Tourism Authority (QTA), autorité publique chargée du développement touristique du Qatar. Ainsi, l'office du tourisme qatarien a versé 150 millions d'euros au club parisien pour la saison 2012-2013, 200 pour l'exercice actuel et plus si nécessaire à l'avenir. Un contrat qui focalise toute l'attention de l'UEFA, qui souhaite vérifier qu'il est bien compatible avec la mise en place du fair-play financier au niveau européen, un mécanisme qui doit imposer l'équilibre des dépenses et des recettes. Après l'audition des dirigeants parisiens le 28 novembre, une délégation d'experts de l'UEFA est attendue au siège du club la semaine prochaine pour procéder à de nouvelles vérifications. Le Real Madrid domine toujours le classement avec des revenus cumulés qui dépassent pour la première fois les 5 milliards d'euros (5,4 milliards). Les Madrilènes devancent leurs rivaux du FC Barcelone (482,6 millions), tandis que Manchester United (423,8 millions d'euros) chute du podium au profit du Bayern Munich (431,2 millions), champion d'Europe en titre. Autre fait notable, pour la première fois, chacun des club du Top 30 a individuellement généré plus de 100 millions d'euros. Le Parisien.fr Citation Paris perd son pari Battu deux fois sur coups de pied arrêtés par Montpellier au Parc des Princes, mercredi, le Paris-SG est éliminé (1-2), dès les 16es de finale, de la Coupe de France, l'un des objectifs du club qui reste en lice dans les trois autres compétitions. «Ne pas choisir entre les compétitions, être toujours au top et ne pas s'interdire de rêver de Grand Chelem...» Le discours parisien (Sirigu) s'est heurté mercredi à la réalité de "la plus belle des compétitions". Cruelle plus tôt pour Bordeaux et Toulouse, éliminés par des sans-grades, elle a été fatale au PSG, face à l'un de ses meilleurs contradicteurs ces dernières années au Parc des Princes. Battu à une seule reprise depuis 2009 dans la capitale, le MHSC de Rolland Courbis a fait chuter (2-1) pour la première fois en 2014 un PSG trop peu efficace sur ses nombreuses occasions et dont les carences sur coups de pied arrêtés interpellent avant l'échéance en Ligue des champions contre le Bayer Leverkusen. Il reste à Paris la Coupe de la Ligue (demie contre Nantes le 4 février) pour combler l'objectif de son président : «Gagner au moins une coupe nationale». «C'est un exploit. J'espère qu'on se sera pas trop fatigué contre Nice (en Championnat, samedi), parce c'est ce qui compte pour nous, a soufflé Louis Nicollin, le président de Montpellier, aux anges et bouleversé. C'est bon mais c'est dur à vivre !» En difficulté en Championnat (16es), les Héraultais s'offrent une parenthèse enchantée. Ils ne l'ont pas volée, en marquant sur leurs rares occasions, après avoir fait le dos rond le plus clair du temps face à des attaquants parisiens qui auront pêché par individualisme et maladresse. Cavani manque l'immanquable Dominateur en début de rencontre, le PSG s'est créé une multitude de situations dangereuses devant le but de Pionnier, par Lucas (3e), Verratti (8e) et Matuidi (14e), et a même inscrit un but valable par Digne que le trio arbitral a curieusement invalidé pour hors jeu (11e). Bien organisé en défense, le MHSC a d'abord mal exploité ses rares ballons de contre, à l'image de Cabella (19e), mais un coup franc de l'ex-Parisien Siaka Tiéné a trouvé la tête de Daniel Congré, premier buteur de la soirée face à Nicolas Douchez, sorti un poil trop tardivement (20e). Lorsque Paris a égalisé par Cavani à la réception d'un centre de Digne, bien décalé par Pastore (30e), le scénario d'un renversement de tendance a semblé se dessiner. Mais Cavani a manqué devant le but vide la consersion d'une double occasion Pastore - Lucas (32e). Ce fut le tournant du match. Beaucoup moins tranchant après la pause, Paris a craqué une deuxième fois, sur un corner de Cabella claqué de la tête par Montano entre van der Wiel et Marquinhos (69e). Ibrahimovic et Thiago Motta venaient d'entrer. Leur présence n'a pas suffi à revenir une seconde fois pour arracher la prolongation. Citation Courbis: «Donner du boulot au PSG» Rolland Courbis, qui a éliminé le PSG avec Montpellier, est conscient qu'il a eu un peu de chance. Mais le technicien du MHSC avait préparé son coup... Rolland Courbis (entraîneur de Montpellier) : «C'est une grosse satisfaction mais je ne vais pas changer le point de vue que j'avais avant le match. On avait 10% de chances de battre le PSG, on l'a provoquée et on a joué notre chance. Mais l'élimination du PSG est un événement et en même temps un accident. Mais je ne veux pas minimiser ce résultat. Depuis qu'on avait fait jeu égal avec Monaco et la victoire à Sochaux et à Rodez, on était déjà en amélioration. La confiance devrait augmenter avec le match de ce soir mais ça va vite et si on perd contre Nice, samedi, on aura l'air fin. On a vu le PSG se promener il y a 3 jours contre Nantes (5-0), on ne voulait pas faire la même chose et on voulait au moins donner un peu de travail au PSG. C'était un de nos objectifs avant de parler de la qualification. On n'est pas venu en ayant perdu le match avant de le jouer.» Citation Blanc : «Pas une désillusion» Laurent Blanc estime que la sortie de route du PSG, éliminé en Coupe par Montpellier, mercredi, est une «déception» mais pas une «désillusion». L'entraîneur parisien a concédé que le manque d'efficacité de ses hommes l'avait «agacé». «En première période, on peut avoir de gros regrets vu notre manque d'efficacité offensive et défensive, a-t-il déclaré. Au niveau du jeu, je n'ai pas grand chose à reprocher aux joueurs mais c'est la Coupe et Montpellier a eu raison d'y croire. Prendre deux buts sur coups de pied arrêtés c'est toujours évitable et on aurait pu se mettre à l'abri bien avant. C'est une déception mais ce n'est pas une désillusion. On n'a pas fait ce qu'il fallait faire et on a été puni par une équipe de Montpellier très, très réaliste.» «Sur le mois de janvier, on avait été efficace, mais pas ce soir et cela m'a agacé, a-t-il ajouté. Vu les séquences qu'on a créées, on aurait dû être plus efficace. On a eu un manque de réalisme devant le but, on a souvent eu le geste peu approprié dans la surface de réparation.» «C'est une compétition de moins, mais c'est (aussi) un objectif en moins» Pour Blanc, le seul point positif de la soirée réside dans l'allègement du calendrier, alors que le PSG est encore en course dans trois compétitions (L1, Ligue des champions, Coupe de la Ligue). «C'est une compétition de moins, mais si on peut relever quelque chose de positif, même si je ne le veux pas, c'est que le mois de février sera allégé. Mais c'est un objectif en moins», a-t-il concédé. Les propriétaires qataris du club ont fait du succès dans au moins une Coupe nationale l'une des priorités de la saison au même titre que le Championnat et la Ligue des champions. Citation PSG : 5e club le plus riche au monde 398,8 millions d’euros. Tels sont les revenus du PSG, selon le rapport annuel publié ce jeudi par le cabinet Deloitte. Depuis l’arrivée des Qataris à sa tête il y a deux ans, le club de la capitale a presque quadruplé ses entrées d’argent. Il se hisse ainsi à la cinquième place des clubs les plus riches au monde. Jamais un club français n’avait figuré aussi dans ce classement toujours dominé par le Real Madrid (518,19 millions d’euros). Et il pourrait bien faire encore mieux dans les années à venir. «On prévoit que le PSG s'installe durablement en haut de ce classement», estime l'analyste de Deloitte Austin Houlihan. Devant le PSG, on retrouve Manchester United (423,8 millions d’euros), dépossédé de sa troisième place par le Bayern Munich, champion d’Europe en titre (431,2 millions d’euros). Avec 482,6 millions d’euros de revenus, le Barça se classe, lui, en deuxième position. A noter que pour la première fois, chaque club du top 30 a individuellement généré plus de 100 millions d'euros. Autre première : les revenus cumulés du top 20 des clubs les plus riches de la planète dépassent les 5 milliards d'euros (5,4). Citation France Télé chute avec le PSG Mauvaise nouvelle hier pour France Télévisions que l'élimination du PSG par Montpellier (1-2) en 16e de finale de la Coupe de France, le PSG étant jusqu'alors une locomotive à audience de la compétition sur le service public. La preuve encore hier avec une rencontre qui a attiré près de 3,5 millions de téléspectateurs (14,2% de pda) sur France 3 en prime time (4e place sur le podium). Si l'on ajoute l'élimination de l'OM ou des Verts de Saint-Etienne, clubs toujours très populaires, France Télévisions devra désormais s'appuyer sur l'OL, Lille ou l'AS Monaco, trois "gros calibres" de Ligue 1 ou sur des exploit des "Petits Poucets" encore en lice pour faire le plein à l'audimat. Notez que le match entre Chasselay et Monaco (0-3) diffusé un peu plus tôt dans l'après-midi sur France 2 a réuni 960 000 téléspectateurs pour 8% de pda. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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24/01/2014 07:22
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Citation Le PSG vraiment contrarié L’élimination par Montpellier (1-2), mercredi en Coupe de France, accentue un peu la pression en Coupe de la Ligue. Et va peser sur le mercato. PARIS, PARC DES PRINCES, MERCREDI. – Le PSG de Lucas, ici à terre face au Montpelliérain Siaka Tiéné, a laissé son rêve de triplé s’évanouir avec son élimination en 16es de finale de Coupe de France (1-2). PAS D’AFFOLEMENT, mais de la contrariété et un constat presque embêtant. Après l’échec contre Montpellier, en 16es de finale de la Coupe de France. Laurent Blanc a tiré, entre autres conclusions, celle que son équipe manque d’autorité dans son expression collective dès lors qu’elle évolue sans Ibra ni Thiago Motta, laissés sur le banc au coup d’envoi. Le résultat face à Montpellier donne désormais un relief particulier au déplacement des Parisiens à Guingamp, demain, où leur réaction sera guettée avec attention. Le rêve d’un grand triplé national envolé, le PSG reste bien positionné pour remporter au moins le Championnat et la Coupe de la Ligue, dont il disputera les demi-finales, le 4 février à Nantes. Mais, pour Blanc et son groupe, le droit à l’erreur a diminué. BLANC SORT-IL AFFAIBLI ? NON. Du moins pas encore. Le parcours du PSG en Coupe de la Ligue lui permet de rester dans les clous fixés par Nasser al-Khelaïfi, le président du club et de Qatar Sports Investments : gagner un deuxième titre d’affilée – une première dans l’histoire du club – et une Coupe nationale. C’est sur le front européen que la pression sur l’ancien sélectionneur pourrait peser le plus : une élimination en huitièmes de finale de la Ligue des champions face à Leverkusen serait très mal perçue au sommet du club. Pour l’heure, les signaux restent au vert pour le Français. Le club garde la volonté de prolonger son contrat, qui expire en juin 2015. Les négociations devraient passer un cap, le mois prochain. En attendant, Blanc peut mesurer un progrès : alors que ses dirigeants se sont longtemps montrés réticents à recruter Yohan Cabaye (26 ans), sous contrat à Newcastle jusqu’en 2016, ils ont désormais activé la piste menant au milieu international, la seule et grande priorité de l’entraîneur du PSG. Difficile, cependant, d’en déduire que l’influence de Blanc en interne s’est sensiblement étendue. En parallèle, les dirigeants ne se seront pas privé, ce mois-ci, de travailler sur le dossier Miralem Pjanic (23 ans, AS Rome, 2015). À Paris, le recrutement se joue le plus souvent en haut lieu. Des sphères difficiles à situer à l’heure où Nasser al-Khelaïfi suit la fin de l’Open d’Australie, à Melbourne, et où le club semble toujours pâtir de l’absence d’un directeur sportif depuis le départ de Leonardo, mi-juillet. Y A-T-IL URGENCE À RECRUTER ? OUI, parce que le club reste soumis au danger que fait peser l’étroitesse de son groupe de vingt-trois joueurs, dont trois jeunes (Ongenda, Coman, Maignan) très peu utilisés. La blessure récente d’Adrien Rabiot, même si elle suit un cours favorable (lire par ailleurs), accentue le risque d’un effectif sous-dimensionné au milieu. Après s’être fait souffler in extremis Mesut Özil par Arsenal, à la fin du marché d’été, le PSG n’est jamais vraiment revenu à la charge sur Juan Mata, en passe d’être transféré de Chelsea à Manchester United. Après avoir longtemps débattu – un milieu offensif gaucher ou pas ? ; Cabaye ou pas ? –, le club tente donc d’attirer l’ancien Lillois d’ici au 31 janvier. Sur ce chemin, il lui reste à franchir un obstacle non négligeable, celui de convaincre le joueur qu’il ne perdrait pas en temps de jeu en signant au PSG et que l’ensemble du club – et du groupe – souhaite sincèrement sa venue. Pour Paris, le temps commence à presser, même si une bonne pioche peut toujours survenir le dernier jour : Thiago Motta avait signé le 31 janvier 2012. Citation Paris, déjà le top 5 Selon un rapport du cabinet Deloitte, le PSG est devenu le cinquième club le plus riche du monde. POUR LA PREMIÈRE fois, un club français figure parmi les cinq clubs de football les plus riches de la planète. Sans surprise, il s’agit du Paris-SG, cinquième du classement établi par le cabinet d’audit et de conseil Deloitte, qui a publié hier son rapport annuel. Le club parisien fait une irruption fracassante dans la cour des puissants en ayant généré 398 M€ de revenus en 2012-2013. C’est encore nettement moins que le Real Madrid (518,9 M€) et que le FC Barcelone (482,6 M€), mais le PSG affiche une croissance de ses richesses spectaculaire, après une première apparition dans le top 20 la saison dernière (10e avec 220 M€). Le rapport estime que le PSG a vu ses revenus multipliés par près de quatre depuis l’arrivée des propriétaires qatariens, en juin 2011. Parmi ses homologues européens, Paris se distingue par la structure de ses sources de revenus, avec une nette prééminence des activités commerciales, au travers des contrats de sponsoring et de la vente de produits dérivés (254 M€). Le PSG tire 13 % des richesses qu’il dégage de la billetterie et 23 % des droits de diffusion, quand ses revenus commerciaux représentent 64 % (à titre de comparaison, ce dernier poste apporte 41 % de ses revenus au Real Madrid). «Les énormes revenus commerciaux du PSG sont boostés par les contrats lucratifs et de longue durée avec le sponsor maillot, Emirates, et l’équipementier, Nike, souligne le rapport, ainsi que par le partenariat inédit avec Qatar Tourism Authority » (200 millions d’euros par an). Les droits TV du PSG ont néanmois progressé de plus de 90% (90,2 M€) grâce notamment au parcours jusqu’en quarts de finale de la Ligue des champions et les recettes « jour de match » ont augmenté de près de 60 % (52,6 M€). Deuxième club français le plus riche, l’Olympique de Marseille apparaît à la 30e place du classement, avec 104,3 M€ de revenus. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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24/01/2014 12:14
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Citation Ménez, le chant du départ En mal de temps de jeu à Paris, Ménez pourrait rebondir à la Fiorentina ou à l’AC Milan. L’Ukrainien Konoplyanka est une piste pour lui succéder. Et s’il s’en allait ? La semaine dernière, quelques minutes après la victoire à Bordeaux en Coupe de la Ligue (3-1), Jérémy Ménez, sous contrat avec le PSG jusqu’en juin 2014, s’était pourtant montré explicite sur son avenir immédiat. « Je reste jusqu’à la fin de la saison, avait déclaré l’attaquant parisien. Je me sens bien ici, les dirigeants ont confiance en moi et il y a la Coupe du monde qui est importante. Beaucoup de choses ont été dites mais je vais me battre pour jouer le plus possible. Je n’ai jamais discuté avec aucun club car il n’a jamais été question de partir. » Le natif de Longjumeau s’est-il trop avancé ? Depuis cette déclaration, la donne a, en effet, considérablement évolué. Le droitier de 26 ans est aujourd’hui pressenti en Italie, où il garde une belle cote depuis son passage à l’AS Rome (de 2008 à 2011). Pas à la Juventus, comme on pouvait le penser, mais plutôt à l’AC Milan ou à la Fiorentina. La « Viola » de Vincenzo Montella, actuelle 4e de Serie A, pourrait emporter le morceau. Afin de faciliter la transaction, Paris est même prêt à libérer Ménez de ses six derniers mois de contrat et donc à ne demander aucune indemnité de transfert. En souffrance dans la capitale depuis le début de l’année 2012, l’international (24 sélections) a même failli rebondir en Ligue 1. Au début de la semaine, il a été proposé à Lyon et à un autre club français. Les dirigeants rhodaniens ont répondu par l’affirmative, Paris s’engageant de surcroît à prendre en charge le salaire du joueur jusqu’à la fin de la saison. C’était sans compter sur l’intérêt prononcé de formations transalpines. En conséquence, et sauf retournement de tendance toujours possible dans ce type de dossier, le temps de Ménez au PSG semble bel et bien compté. Lassés par ses sautes d’humeur, ses dirigeants ont fait une croix sur l’ancien Monégasque sifflé par le Parc avant-hier lors de son remplacement contre Montpellier. De son côté, le joueur (16 matchs, 2 buts cette saison) a compris qu’il n’aurait pas le temps de jeu espéré pour s’imposer et saisir sa chance (minime) en prévision du Mondial au Brésil. Konoplyanka en approche Depuis le début du mois de janvier, Blanc lui a souvent privilégié Lucas lors des remplacements comme face à Nantes ou Ajaccio. Ménez sur le départ, Paris s’est mis en quête d’un remplaçant sur le côté gauche. Pour doubler le poste de Lavezzi, les décideurs du club champion de France avaient pensé à Juan Mata. Mais l’Espagnol de Chelsea est aujourd’hui tout près de s’engager avec Manchester United. Ce dernier possédait en plus le désavantage d’avoir déjà évolué en Ligue des champions. La piste menant à Yevhen Konoplyanka a donc été récemment activée. Le milieu offensif ukrainien avait posé de nombreux problèmes à Mathieu Debuchy lors du match de barrage aller contre la France, le 14 novembre à Kiev (2-0). A 24 ans, il évolue actuellement au Dnipro Dnipropetrovsk et serait donc qualifié pour la C1. Son club espère récupérer entre 15 et 20 M€ pour son transfert. Un montant dans les cordes de Paris qui suit le joueur depuis quelques mois déjà. Citation Zlatan se fait encore de la pub Très discret jusque-là sur le front publicitaire, Zlatan Ibrahimovic a décidé de passer à la vitesse supérieure. Après les consoles de jeux vidéo Xbox One, la star du PSG vient d’accepter de jouer les figurants pour la marque automobile suédoise Volvo passée dans le giron des Chinois. Et pour lancer le buzz, les publicitaires ont décidé d’utiliser des vidéos virales en guise de teasing. On découvre ainsi un Zlatan intime en train de réaliser torse nu des tractions ou marchant dans une forêt recouverte de neige. En bon chasseur, il finit par poser au bord d’un lac gelé, le fusil dépassant du sac à dos Citation Le PSG dans la cour des grands C’est une première pour un club français. Le PSG a intégré le top5 des clubs les plus riches du monde à l’issue de la saison 2012-2013, selon un classement publié par le cabinet d’études britannique Deloitte. Avec des revenus de 398,8 M€, la formation de la capitale gagne 5 places par rapport à la saison précédente et se classe derrière le Real Madrid (518,9), Barcelone (482,6), Bayern Munich (431,2) et Manchester United (423,8). Paris connaît la plus grande augmentation de revenus des 20 premiers, avec un saut de + 180 % ! Le champion de France 2013 enregistre des revenus commerciaux exceptionnels, à 254,7 M€, notamment grâce à ses lucratifs contrats de sponsoring avec la compagnie aérienne Emirates ou l’équipementier sportif Nike, mais aussi au partenariat à 600 M€, conclu en 2012 sur quatre saisons, avec Qatar Tourism Authority, précise l’étude. Paris devrait rapidement truster la première place sur le podium. Comme nous l’avons déjà évoqué, la direction du PSG vise une augmentation des recettes à 540 M€ en 2016-2017, ce qui en ferait le club le plus riche du monde. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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24/01/2014 15:29
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Citation Blanc confirme pour Cabaye et Pjanic L'entraîneur du PSG, Laurent Blanc, a confirmé ce vendredi que Yohan Cabaye et Miralem Pjanic étaient bien dans le viseur de Paris. Laurent Blanc n’a pas cherché à nier que le PSG courtisait Yohan Cabaye et Miralem Pjanic en vue d’une arrivée avant la fin du mercato hivernal. Le milieu de Newcastle serait sa priorité, celui de l’AS Rome son plan B. « Pjanic, oui c’est intéressant, a confirmé l’entraîneur parisien. Mais il l’est aussi pour la Roma (son club)… Ce sont deux cibles pour le PSG. Deux joueurs qui ont le même profil, très technique. Mais il y a des négociations, c’est dur. Et après il faut concrétiser. » Lui qui clame vouloir un milieu de terrain n’en fera toutefois pas une maladie si son groupe reste inchangé jusqu’à la fin de saison. « Si un joueur arrive, je serais très heureux, sinon on fera avec. C’est très clair. » Blanc ne voit pas Ménez partir Le technicien continue par ailleurs de penser que Jérémy Ménez finira la saison à Paris, et ce malgré les rumeurs de départ en Italie qui circulent. «Il n’est pas venu me voir pour me dire qu’il voulait partir, a signifié Blanc. J’ai cru comprendre qu’il voulait rester jusqu’à la fin de son contrat, et c’est son droit.» Citation Blanc :«Falcao, une triste nouvelle» La grave blessure de l'attaquant colombien de l'AS Monaco, Falcao, mercredi contre Chasselay (3-0), n’a pas fait sauter au plafond le PSG, alors que les deux clubs luttent pour le titre de champion de France. « Monaco a des déboires et je ne me réjouis jamais des déboires des autres, a réagi Laurent Blanc ce vendredi en conférence de presse. C’est une blessure malheureuse. C’est même une triste nouvelle pour lui, son club et la Ligue 1. Et je le pense vraiment. Je lui souhaite un bon rétablissement. J’espère qu’il se remettra vite pour faire la Coupe du monde. » L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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