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Homer
posté 07/12/2013 22:54
Message #5821


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Le PSG remet les pendules à l'heure contre Sochaux (5-0)

Dans une saison qu'ils ont décidé d'accomplir au plus près des standards de la perfection, les Parisiens ont subi à leur échelle un terrible affront durant la semaine en s'inclinant, mercredi 4 décembre, contre Evian (2-0) à Annecy, leur premier revers de la saison. Quand ils ne sont pas contents, cela donne donc un 5-0, leur plus large victoire en championnat depuis août, infligé samedi au Parc des Princes à des Sochaliens lanterne rouge du championnat.

Dans le rôle de Hulk, Ibra s'est chargé de chasser les fantômes d'Annecy en montrant les muscles sur quatre des cinq buts (deux passes décisives, deux réalisations). Lui, il ne faut vraiment pas le chatouiller. Son premier but, un coup-franc, restera comme fantastique de puissance et de précision. On aime le foot pour des gens comme lui et on dirait qu'il nous le rend bien.

«On avait hâte de démontrer que ce n'était qu'un accident et pas le début d'une période difficile», souffle Laurent Blanc. «C'est embêtant de perdre un match à notre portée, ajoute Alex. On a prouvé que l'on savait se reprendre.» Lucas, entré en fin de rencontre, tempère: «Ce n'était pas la crise non plus. Ce soir (hier), on a fait notre devoir».

Tous les Footix de la terre nous raconteront que coller une fessée à la lanterne rouge de la Ligue 1, c'est facile, que Paris n'a pas vraiment de mérite. Ce ne serait pas comprendre la logique du haut niveau, ses codes, ses remises en cause permanentes, la difficulté de mettre des buts. Hier, le Bayern en a mis sept au Werder à Brême et tout le monde est resté sans voix.

«On a besoin de nos joueurs importants»

Comme on a été une nouvelle fois subjugué par la montée en puissance technique du PSG, un peu brouillon pour commencer, totalement maître de tout pour finir avec une relation technique entre Ibra et Cavani de plus en plus au point. Qui des deux finira meilleur buteur du championnat de France (13 buts pour Ibra, 11 pour Cavani) ? Les paris sont lancés mais l'heureux élu devrait ressembler d'assez près à un géant avec un catogan aussi génial que provocateur sur un terrain et rigolo dans la vraie vie. Même sans Mondial, il ne se dégonfle jamais.

L'entraîneur parisien ne comptait pas les faire souffler, même face à Sochaux. «Ce sont deux de nos joueurs majeurs et on a besoin de nos joueurs importants car le championnat est notre objectif de fin d'année, vu que l'on est déjà qualifiés en Ligue des champions», se justifie Laurent Blanc. Cela se tient.

A deux journées de la trêve, le PSG possède autant de points que lorsque Antoine Kombouaré a été limogé à Noël après une première partie de saison flamboyante. On peut le promettre à Laurent Blanc: si son équipe en compte six de plus le 22 décembre, il ne sera pas viré.


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Homer
posté 08/12/2013 08:43
Message #5822


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Fallait pas les énerver !

Derrière un impitoyable Ibrahimovic, les Parisiens n’ont fait qu’une bouchée des Lionceaux, effaçant ainsi leur défaite à Evian.

Dans une saison qu’ils ont décidé d’accomplir au plus près des standards de la perfection, les Parisiens ont subi à leur échelle un terrible affront cette semaine en s’inclinant contre Evian (2-0), leur premier revers de la saison. Quand ils ne sont pas contents, cela donne donc 5-0, leur plus large victoire en championnat cette saison. Et dans le rôle de Hulk, Ibra s’est chargé de chasser les fantômes d’Annecy en montrant les muscles sur quatre des cinq buts (deux passes décisives, deux réalisations).

Lui, faut vraiment pas le chatouiller. Son premier but, un coup franc, restera comme fantastique de puissance et de précision. On aime le foot pour des gens comme lui et on dirait qu’il nous le rend bien.

« On avait hâte de démontrer que ce n’était qu’un accident et pas le début d’une période difficile », souffle Laurent Blanc. « C’est embêtant de perdre un match à notre portée, ajoute Alex. On a prouvé qu’on savait se reprendre. » Lucas, entré en fin de rencontre, tempère : « Ce n’était pas la crise non plus. Ce soir (hier), on a fait notre devoir. » Tous les Footix de la terre nous raconteront que coller une fessée à la lanterne rouge de la Ligue 1, c’est facile, que Paris n’a pas vraiment de mérite. Ce ne serait pas comprendre la logique du haut niveau, ses codes, ses remises en cause permanentes, la difficulté de mettre des buts. Hier, le Bayern en a mis sept au Werder à Brême et tout le monde est resté sans voix.

Comme on a été une nouvelle fois subjugué par la montée en puissance technique du PSG, un peu brouillon pour commencer, totalement maître de tout pour finir avec une relation technique entre Ibra et Cavani de plus en plus au point. Qui des deux finira meilleur buteur du Championnat de France (13 buts pour Ibra, 11 pour Cavani)? Les paris sont lancés, mais l’heureux élu devrait ressembler d’assez près à un géant avec un catogan aussi génial que provocateur sur un terrain et rigolo dans la vraie vie. Même sans Mondial, il ne se dégonfle jamais. L’entraîneur parisien ne comptait pas les faire souffler, même face à Sochaux. « Ce sont deux de nos joueurs majeurs et on a besoin de nos joueurs importants, car le championnat est notre objectif de fin d’année, vu qu’on est déjà qualifiés en Ligue des champions. » Cela se tient. A deux journées de la trêve, le PSG possède autant de points que lorsque Antoine Kombouaré a été limogé à Noël après une première partie de saison flamboyante. On peut le promettre à Laurent Blanc : si son équipe en compte six de plus le 22 décembre, il ne sera pas viré.


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Thiago Motta a remis de l’ordre

Hormis la présence de Jallet, Laurent Blanc a pu aligner son équipe type. Après avoir rapidement mené au score, les Parisiens se sont relâchés et ont dû attendre la deuxième période pour creuser l’écart.

5,5 Sirigu Encore une rencontre aisée pour l’Italien très peu mis à contribution. Trois arrêts notables (3e, 69e et 70e).

6 Jallet Rarement inquiété, le latéral droit n’a pas manqué de prendre son couloir pour offrir des solutions et centrer dès qu’il a pu.

6 Alex Le Brésilien a été solide bien que peu sollicité. Averti (55e) et remplacé par Marquinhos (60e), qui s’est montré très serein.

6 Thiago Silva Le capitaine a marqué le premier but. Quelques maladresses dont il n’est pas coutumier.

5,5 Maxwell Le latéral gauche a passé une soirée tranquille. A délivré un bon centre pour Cavani (32e).

6 Verratti Le milieu droit a gratifié le public d’un magnifique dribble entre deux Sochaliens (38e) réparant ainsi un petit excès de confiance quelques secondes plus tôt. Un travail précieux à la récupération.

6,5 Thiago Motta Le retour du patron technique, absent mercredi contre Evian, a produit un effet immédiat. Le jeu a été plus fluide et l’Italien a délivré plusieurs bonnes passes, dont celle du 2-0 pour Lavezzi (47e). Une perte de balle (39e) qui aurait pu coûter cher.

6,5 Matuidi L’international français devait avoir pour consigne de soutenir ses attaquants, tant il a été présent dans la surface adverse : un tir contré (4e), une belle percée (24e). Il n’a pas oublié ses tâches défensives. Remplacé par Pastore (73e), en jambes.

6 Lavezzi L’Argentin a inscrit son deuxième but en L1 cette saison. Il récompense son match courageux et ses nombreuses courses. Mais toujours autant de déchets et de choix discutables (26e). Suppléé par Lucas (78e).

8,5 Ibrahimovic Le géant suédois a fait fort. Deux caviars (14e et 62e) pour les buts de Thiago Silva et de Cavani. Et deux buts (87e, 90e + 1) dont le premier sur un coup franc supersonique. Quelques gestes de classe. Averti (83e).

7 Cavani Mal inspiré en première période, il inscrit un très joli but (62e) après un enchaînement ultrarapide et délivre une passe décisive pour Ibra. Averti (83e).

A Sochaux, seul Contout a surnagé. Le collectif a résisté avant de s’effondrer en seconde période.

L’arbitre, M. Enjimmi (3), n’a pas toujours fait preuve de discernement. Il oublie deux penaltys sur Lavezzi (26e) et Cavani (83e) et accorde un but hors jeu à Lavezzi.


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5

C’est la première fois depuis le 22 avril 2011 que le PSG inscrit au moins 5 buts dans un match de L1. Ce jour-là, il s’était imposé 6-1 à domicile face à… Sochaux.


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Zlatan : « Nous avons très bien réagi »

Il ne sera pas du déplacement à Lisbonne mardi pour le dernier match de la phase de groupe de Ligue des champions contre Benfica. L’attaquant suédois est parti dès hier soir se ressourcer quelques jours en Suède. Un repos mérité après sa prestation d’hier. Une fois encore, le numéro dix parisien (qui sera suspendu en Coupe de la Ligue face à Saint-Etienne, le 18 décembre) a été l’homme du match inscrivant ses 20e et 21e buts de la saison, toutes compétitions confondues.

Quel regard portez-vous sur cette belle victoire?

ZLATAN IBRAHIMOVIC. C’était un très bon match. Nous avons très bien réagi après la défaite de mercredi (NDLR : face à Evian, 2-0) où nous n’avions pas bien joué, où nous n’avions pas fait ce que nous devions faire. Mais ce soir (hier), nous avons montré un visage complètement différent. C’était important de revenir plus forts et de montrer que nous n’avions perdu ni notre talent ni notre état d’esprit.

Vous avez passé votre colère sur Sochaux…

Ce n’était pas de la colère. C’était plutôt de la déception. On était très déçus. Nous ne sommes que des êtres humains. On a perdu un match, ça arrive. Le plus important, c’est qu’on a su rebondir.

Quelle est la différence entre le PSG qui a joué contre Evian et celui d’hier soir?

Il y a une grosse différence en termes d’implication, de qualité de jeu, du nombre d’occasions et de réussite. Ce soir (hier), nous avons raté quelques occasions en première mi-temps. Mais après la pause, nous avons presque tout réussi.

Comment expliquez-vous votre défaillance de mercredi?

Ça arrive. J’ai dix ans d’expérience du haut niveau. Et les défaites existent. C’est comme ça (sourires).

A titre personnel, êtes-vous satisfait de votre prestation?

Je l’ai trouvée très bonne. J’ai eu de l’espace pour imposer mon jeu. J’ai pu créer des occasions dangereuses. L’équipe a aussi très bien joué. Or, quand mes coéquipiers jouent bien, c’est plus facile pour moi.

Votre entente avec Cavani s’améliore à chaque match...

Toute l’équipe s’entend de mieux en mieux, se trouve à chaque match un peu plus. Et quand l’équipe va bien, Cavani et moi, on joue mieux.

Vous avez été averti pour contestation. Que s’est-il passé?

Je voulais juste avoir une discussion normale. Vous essayez de parler avec l’arbitre, mais il ne répond pas. Du coup, c’est difficile. Mais il n’y a aucun problème. Nous avons répondu sur le terrain.

Est-ce votre meilleure saison?

Non (pause). Non parce que la saison n’est pas finie.


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Homer
posté 09/12/2013 15:35
Message #5823


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Le PSG veut-il vraiment Cabaye ?

L’international français Yohan Cabaye rejoindra-t-il le PSG en janvier ? C’est une éventualité à ne pas écarter puisque le club parisien aimerait recruter un milieu de terrain qui ne soit pas extracommunautaire et n’ayant pas disputé la Ligue des champions cette saison. Laurent Blanc juge en effet son effectif trop juste dans ce secteur avec seulement quatre spécialistes (Thiago Motta, Matuidi, Verratti et Rabiot).

Si le nom de l’ancien Lillois, 28 ans le 14 janvier prochain, est aussi souvent associé au PSG ces dernières semaines, c’est parce qu’il répond aux critères et que Blanc apprécie particulièrement le joueur de Newcastle. Il l’a redit samedi de façon sibylline au micro de Canal : « Je suis entraîneur d’un grand club qui a beaucoup d’ambition, donc tous les bons joueurs nous intéressent. »

La réciproque est vraie. Cabaye, qui s’est senti lésé l’été dernier par ses dirigeants quand ceux-ci n’ont pas donné suite à l’offre d’Arsenal, ne serait pas contre un départ cet hiver. Sous contrat à Newcastle jusqu’en 2016, il rêve de disputer la Ligue des champions et de filer dans un club plus ambitieux. Auteur samedi de l’unique but qui a permis aux Magpies de s’imposer pour la première fois depuis quarante et un ans sur la pelouse de Manchester United, il compte de sérieux admirateurs outre-Manche, notamment des clubs comme Arsenal et MU. En France, le PSG constitue une destination idéale. « Qui n’aurait pas envie aujourd’hui de jouer à Paris ? a réagi le joueur hier soir sur BeIn Sport. Paris fait peur en Europe, encore plus que la saison passée. Je leur souhaite vraiment de gagner la Ligue des champions . »

Sauf qu’à trois semaines de l’ouverture du mercato hivernal, Paris n’a pas bougé sur ce dossier. Les dirigeants n’ont pris aucun contact avec leurs homologues de Newcastle ni avec l’entourage de Cabaye. Les dernières discussions entre les différentes parties remontent au début du mois de… juillet 2013 et avaient été initiées par Leonardo, grand fan du milieu de terrain de l’équipe de France. Après le départ du directeur sportif brésilien, il n’y a pas eu de suite.

En 2011, Newcastle avait acheté Cabaye 5 M€ à Lille. Cet hiver, l’indemnité de transfert de l’international français pourrait être comprise entre 15 et 20 M€. Si les responsables anglais ouvrent aujourd’hui la porte à un départ, c’est qu’ils craignent que le Français fasse jouer sa clause de stabilité, entraînant un transfert nettement moins avantageux. Le PSG peut donc évidemment se positionner. Encore faudrait-il qu’il montre réellement son envie.


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Ibra, Silva et Alex n’iront pas à Lisbonne

Après Ibrahimovic, rentré en Suède samedi soir, ce sont les défenseurs centraux Thiago Silva et Alex qui n’ont pas été convoqué dans le groupe de 19 éléments. Le capitaine brésilien a reçu un coup sur l’arête du bassin samedi face à Sochaux (5-0) pendant qu’Alex a ressenti une douleur à l’adducteur gauche et a demandé à sortir, par précaution, à l’heure de jeu.

En leur absence, Blanc alignera donc en défense centrale la paire Camara-Marquinhos. A leurs côtés, on devrait retrouver côté gauche Digne ou Maxwell et Jallet à droite. Car son concurrent à ce poste, Van der Wiel, est aussi absent. Suspendu comme Verratti contre Benfica, le Néerlandais souffre également d’un torticolis aigu qui l’a contraint à déclarer forfait samedi.


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Oyé Sapapaya
posté 09/12/2013 19:56
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Dieu tout-puissant
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Facebook: Le PSG, «GTA V» et le Tour de France, stars de 2013


Créé le 09/12/2013 à 16h28 -- Mis à jour le 09/12/2013 à 16h28
WEB - Le réseau social publie ce lundi son habituel top 10 des sujets les plus évoqués par ses utilisateurs français pendant l’année…

La fin de l’année approche, et c’est devenu un rituel: Facebook publie le top 10 des sujets les plus évoqués les douze derniers mois par les 26 millions d’utilisateurs revendiqués par le réseau social en France, à partir du nombre de publications sur chaque sujet, et des commentaires et des «J’aime» sur ceux-ci. «Plus une publication a été "likée" ou commentée, plus elle compte et fait monter le sujet dans le top», expliquait l’an dernier Facebook France à 20 Minutes.

Voici donc le top 10:

1. PSG. Honneur au sport, et au football avec le club qui remportait le 12 mai son premier titre de champion de France depuis dix-neuf ans.

2. «GTA V». Personne n’a pu échapper à la sortie événement du dernier épisode de la saga «Grand Theft Auto», le 17 septembre.

3. Tour de France. Le Tour s’offre une troisième place pour sa 100ème édition.

4. Mali et l’intervention militaire lancée le 11 janvier.

5. Harlem Shake. Cette danse frénétique nous a poursuivis pendant des mois, depuis cette fameuse vidéo publiée le 2 février et vue aujourd’hui… plus de 50 millions de fois.

6. Roland Garros. Le sport, toujours.

7. Mariage homosexuel et 8. Manif pour Tous. Les pros et les antis se sont beaucoup affrontés sur le réseau social.

9. Le Pape François, à la suite de son élection le 13 mars.

10. Stéphane Hessel, mort le 27 février.

Au niveau mondial, le décès de Nelson Mandela jeudi dernier a déjà suscité 115 millions d'interactions par près de 55 millions de personnes dans le monde, souligne Facebook.
A.L

http://www.20minutes.fr/web/facebook/12610...ance-stars-2013


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Beuzech
posté 10/12/2013 09:23
Message #5825


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Benfica-PSG : à Lisbonne, Paris prend rendez-vous pour la finale

Déjà qualifiés pour les 8es de finale, les Parisiens se présentent sans pression pour affronter Benfica à 20 h 45. Et avec l'idée de revenir à Lisbonne le 24 mai...

Bonjour, ou plutôt « bom dia », c’est pour un repérage. En passant par Lisbonne et le stade de la Luz, le PSG vient prendre les mesures, voir où il pourrait installer ses affaires, si les vestiaires lui conviennent. Le 24 mai prochain, la finale de la Ligue des champions se déroulera ici et il y a ce matin beaucoup plus de chances que le PSG y soit que Benfica.

Pour voir les 8es de finale, le club lisboète doit obtenir un meilleur résultat que l’Olympiakos qui reçoit Anderlecht. C’est dire que même une victoire contre Paris ne lui garantirait rien.

Les propriétaires qatariens se sont donné cinq ans pour décrocher la Ligue des champions. Ils ont acheté le club en mai 2011 mais ne fréquentent l’épreuve que depuis la saison dernière. Leur rêve est donc immédiat, 2016 ou 2017, mais leur patience se cogne à des limites très fragiles. On dirait qu’ils veulent cette Ligue des champions le plus vite possible. Prendre rendez-vous ce soir avec le calendrier et le lieu plus qu’avec l’histoire, c’est déjà un moyen d’attendre jusqu’au 24 mai.

Emmagasiner des sensations

Il existe peu de matchs qui comptent pour du beurre quand on s’appelle le PSG. En tout cas, si tôt dans la saison. D’habitude, il faut justement attendre la fin mai et les cheveux teints pour s’abandonner à la partie sans pression, sans enjeu, si ce n’est pour l’adversaire. C’est déjà ce qui arrive aux hommes de Laurent Blanc, premiers de la poule C quoi qu’il arrive et d’ores et déjà qualifiés pour les 8es de finale de la compétition. Là aussi, le PSG a raccourci le temps mais un match sans enjeu, si ce n’est l’indice UEFA de la France, ne se galvaude pas. « C’est assez rare de jouer une rencontre de Ligue des champions qui n’est pas décisive, s’étonne Blanc. Moi, cela ne m’est jamais arrivé. C’est difficile de disputer un match sans aucune pression de victoire. Mais ce n’est que du plaisir. Pour les jeunes, c’est extraordinaire. »

Après 22 rencontres où le PSG nous a surtout émerveillés sur la durée, c’est presque une partie uniquement pour les joueurs, pour se régaler sans le verdict trop pesant du résultat bien qu’une défaite serait contrariante six jours après celle à Annecy contre Evian (2-0) en Ligue 1. C’est le moment d’emmagasiner des sensations, des repères, pour raconter tout ça à Ibra et les quatre autres joueurs majeurs restés à Paris (Thiago Silva, Alex, Verratti et Van der Wiel) pour souffler ou pour cause de suspension. Même si c’est toujours mieux de se rendre compte par soi-même.


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Camara et Marquinhos font la paire

En l’absence conjuguée de Thiago Silva et d’Alex (légèrement blessés), Laurent Blanc titularisera ce soir une charnière centrale composée de Marquinhos et de Camara. Situés aux deux extrémités de la pyramide des âges de l’effectif parisien (Camara a 34 ans, Marquinhos 19), ces deux joueurs ont une expérience commune significative mais assez ancienne.
Ils ont ainsi été associés en défense centrale à trois reprises en championnat en septembre (un seul match complet contre Toulouse) et deux fois en Ligue des champions, en fin de rencontre contre Benfica et à Anderlecht. La large victoire en Belgique (0-5) constitue d’ailleurs la dernière apparition de Camara en compétition.


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Philippe Bergeroo : « Une gestion humaine intelligente »

Ancien entraîneur du PSG (1999-2001)

Même qualifié, le PSG a un rang à tenir. Il ne va pas à Lisbonne en touriste. Mais Laurent Blanc a raison de faire tourner son effectif et de laisser quelques-uns de ses habituels titulaires au repos. C’est une gestion humaine intelligente. Les remplaçants ne comprendraient pas de ne pas jouer un tel match. Cette rotation permet aussi d’en relancer certains et de les maintenir motivés jusqu’au bout. En cours de saison, le PSG aura encore forcément besoin d’eux. Il s’agit d’une rencontre intéressante à disputer car Benfica peut encore se qualifier. Il n’y a aucune prise de risque de la part de l’entraîneur. Car même sans certains de ses titulaires, Paris possède un effectif capable de remporter la Ligue des champions et le championnat. Ces remplaçants feraient le bonheur de beaucoup d’équipes de Ligue 1 et de clubs en Europe. »



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Les hommes du Président Blanc

Son exceptionnelle réussite (23 matchs, 17 succès, 1 défaite, 5 nuls), Laurent Blanc la doit aussi aux hommes qui l’entourent. «Il y a une véritable complicité entre le coach et son staf, note un dirigeant du PSG. Chacun est à sa place et on sent une grande sérénité entre eux.» Zoom sur cinq membres importants de l’équipe qui épaule le coach dans son aventure parisienne.


Jean-Louis Gasset : le fidèle
60 ans, entraîneur adjoint


C’est le conident, le double de Laurent Blanc. Les deux hommes se connaissent depuis le début des années 1980 à Montpellier, quand Gasset y terminait sa carrière professionnelle et Blanc débutait la sienne. «Laurent et Jean-Louis sont diférents (NDLR : ils ont 12 ans d’écart) mais entretiennent une relation fusionnelle », conie un de leurs proches. Lors des entraînements, Gasset met en musique les désirs de Blanc pendant que ce dernier aime prendre du recul. «Jean-Louis a besoin du contact avec le terrain », enchaîne cet intime. C’est aussi Gasset qui est chargé de l’analyse vidéo des adversaires et des matchs du PSG. Parfois sa grosse voix mâtinée d’expressions en patois languedocien tonne pour encourager ou recadrer.

L’ancien adjoint de Luis Fernandez, qui a fêté ses 60 ans hier, est très apprécié des nombreux étrangers de l’équipe. «Gasset sifflote tout le temps un air de variété française, souvent du Brel ou du Dassin, raconte un salarié. Il est abordable et convivial. Il veut qu’on le tutoie et qu’on l’appelle Jean-Louis.»

Claude Makelele : la caution parisienne
40 ans, entraîneur adjoint


En signant au PSG en juin dernier, Laurent Blanc a retrouvé Claude Makelele qui entame sa sixième saison dans la capitale. Les deux ex-internationaux se sont côtoyés en équipe de France et au sein de France 98, l’association des champions du monde (NDLR : bien que Makelele ne le soit pas) qui organise des matchs caritatifs. «Il fait gagner du temps à Laurent car il connaît bien le club et les joueurs», narre un proche du coach.

Son rôle ? Etablir un lien entre Blanc et le vestiaire où Makelele entretient des relations très fortes avec certains Parisiens. Mais l’ex-Madrilène sait aussi hausser le ton quand c’est nécessaire, à l’image de son coup de gueule à la mi-temps d’Olympiakos - PSG, le 17 septembre dernier.

Alexandre Marles : l’inconnu
34 ans, responsable performance


Laurent Blanc a rencontré Alexandre Marles lorsqu’il était sélectionneur de l’équipe de France par l’entremise de Philippe Lambert. Marles avait introduit l’analyse des données personnelles des Bleus notamment grâce à des systèmes GPS. Au PSG, il a succédé à Nick Broad, décédé en début d’année dans un accident de voiture. De nature discrète, il passe son temps au camp des Loges et travaille beaucoup avec le chef cuisinier à l’élaboration des menus diététiques.

Philippe Lambert : le spécialiste
51 ans, préparateur physique


Quand le champion du monde 1998 est nommé sélectionneur des Bleus à l’été 2010, on lui recommande Lambert, ex-entraîneur adjoint au Losc entre 1998 et 2009 et à l’époque responsable du pôle foot de Liévin. «Laurent apprécie son professionnalisme et lui fait toute confiance», explique un ami de l’entraîneur parisien. «Il a beaucoup apprécié son travail avant et pendant l’Euro», poursuit un autre. Sa bonne humeur quotidienne ravit aussi ceux qui le côtoient. Dès sa nomination officielle au PSG, Blanc s’est tourné vers Lambert. Les deux hommes ont pris l’habitude, depuis le début de l’aventure parisienne, de faire un footing ensemble le matin des matchs.

Nicolas Dehon : l’inattendu
45 ans, entraîneur des gardiens


C’est l’invité surprise du staf de Blanc. Déjà en poste au PSG en 2009-2010 avec Antoine Kombouaré, Dehon avait filé à Marseille à la demande de Steve Mandanda qu’il avait coaché au Havre. A son arrivée, Laurent Blanc, grâce à l’entremise de Jean-Pierre Bernès, son agent, également conseil de Dehon, l’a choisi pour succéder à Gilles Bourges, non conservé mais pourtant proche de Sirigu. «Salvatore apprécie l’intensité et la qualité des séances de Nicolas bien qu’il n’ait pas la même relation qu’avec Bourges», confirme un membre du staff.


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posté 10/12/2013 11:53
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Pastore cherche la lumière

Annoncé comme un futur crack lors de son arrivée au PSG il y a deux ans, Javier Pastore n'a pas confirmé tous les espoirs placés en lui. Cette saison, il joue même assez peu. Souvent décevant, l'Argentin cherche la lumière.

Après une première année plutôt réussie, Javier Pastore n’a pas su confirmer. Devenu au mieux un joker de luxe, au pire un joueur sans avenir à Paris, l’ancienne étoile de Palerme est encore plus en retrait depuis l’arrivée de Laurent Blanc cet été. Onze matches de L1 (7 titularisations) pour 0 but et 0 passe décisive. A son poste, les places sont chères. Face à Lavezzi, Lucas, Ménez et Cavani, l’Argentin n'a pas la cote et cire le plus souvent le banc. Si le malaise est palpable, Blanc n’a pas d’hésitation au moins sur un point : « Il a sa place dans le groupe ». Heureusement pour un joueur qui a coûté 42 millions d’euros au club en juin 2011... « Sur le terrain, en revanche, c’est différent », lâche, très lucide, le coach parisien. Effectivement, "El Flaco" peine à convaincre, cherche sa place, et a depuis longtemps perdu sa place de titulaire.

Le Cévenol assure que le joueur est « bourré de talent », ce dont personne ne doute. « Mais tout le monde est conscient aussi qu’il est dans une période difficile », confirme Blanc, lequel a quand même apprécié son match face à Lyon (4-0). La véritable cassure se produit le 31 août, face à Guingamp (2-0). Sa prestation laisse en revanche à désirer et le joueur sort à l’heure de jeu sous les sifflets du Parc. S’en suit une période très compliquée pour l’Argentin, blessé à une cuisse mais aussi touché moralement. A tel point qu’il demande l’autorisation d’aller se ressourcer cinq jours chez les siens en Argentine. Compréhensif, Blanc accepte la requête. Sauf que cet aller-retour express ne l’a pas transfiguré. Cela aurait trop simple.

Blanc : « J'espère qu'il ne lâchera pas »

Pire, son absence a profité à d’autres. « Il a été blessé pendant un mois et demi et l’équipe a pris de l’avance. » Barré par Cavani à droite, il avait surtout une place à prendre sur le côté gauche, puisque Lavezzi et Lucas alternent les prestations mi-figue mi-raisin, Ménez ayant, lui, disparu de la circulation. « On attend beaucoup de ce garçon parce qu’il a les qualités pour qu’on soit exigeant avec lui. Il doit maintenant travailler et cravacher pour retrouver une place importante dans le groupe. » Blanc a quelques doutes : « J’espère qu’il ne lâchera pas. » Le souci n’est définitivement pas physique mais bien psychologique. « Il n’a pas la plénitude mentale pour être un joueur important. Il faut qu’il en fasse beaucoup des efforts. » Ce mardi à Lisbonne, contre le Benfica, Pastore cherchera à retrouver la lumière au Stade de la Luz.

L'Equipe.fr


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Paris sait à quoi s’attendre

Manchester City, Arsenal, AC Milan, Galatasaray, Bayer Leverkusen, Zénith Saint-Pétersbourg, Schalke 04 : c’est l’une de ces sept équipes, d’un plateau très relevé, que le PSG affrontera en 8es de finale de la Ligue des champions les 18, 19, 25 ou 26 février 2014. Le match aller se tiendra forcément à l’extérieur pour Paris, qui connaîtra son avenir lundi lors du tirage au sort de l’épreuve.
En terminant en tête de sa poule, le PSG a évité des mastodontes comme le Real Madrid ou le Bayern Munich, mais il n’aura pas les mêmes chances d’attendre les quarts de finale de la Ligue des champions selon qu’il héritera de Manchester City ou du Zénith Saint-Pétersbourg.

Dans les faits, les risques de tomber sur les coéquipiers de Samir Nasri sont assez élevés. Comme deux clubs d’un même pays ne peuvent pas se rencontrer en 8es de finale ni deux clubs engagés dans le même groupe en phase de poules, City est sûr d’éviter Manchester United, Chelsea et le Bayern avec qui il s’est qualifié. Les hommes de Blanc ont ainsi un risque sur cinq de rencontrer la formation mancunienne, candidat déclaré à la victoire finale. Pareil pour Arsenal. Quel est le meilleur tirage pour Paris? Plus fort cette saison que la précédente, le PSG suscite en France une impatience qui donne envie de le voir se frotter à un grand nom de la scène européenne.

On veut savoir ce dont le Paris d’Ibra, Cavani et consorts est capable. Mais, historiquement, le club de la capitale est plutôt verni lors des tirages au sort. Réponse lundi. Plus que quatre jours…


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Manchester City, le plus dangereux

C’est l’un des épouvantails de ce tirage au sort. Sans star internationale de premier plan dans ses rangs, les Citizens forment cette saison un collectif difficile à manœuvrer, bâti pour évoluer en contre et capable à tout moment de trouver la faille grâce à David Silva, leur meneur de jeu, Yaya Touré, le patron du milieu, et leurs buteurs, Agüero et Dzeko.
Preuve de leur potentiel, les coéquipiers de Samir Nasri viennent de réaliser l’exploit le plus retentissant de ce début de saison en dominant le Bayern Munich sur son terrain (2-3).

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Bayer Leverkusen, le plus surprenant

Parmi les sept adversaires potentiels du PSG, il s’agit probablement de celui qui est le moins connu et le moins coté. Actuel dauphin du Bayern Munich en Bundesliga, Leverkusen ne compte dans son effectif aucun joueur de renom, si ce n’est son buteur, Stefan Kiessling. Quatre membres réguliers de l’équipe nationale allemande composent toutefois la base de cette équipe, jeune et appliquée, qui après avoir été balayée par Manchester United en phase de poules a tiré son épingle du jeu devant le Shakhtar Donetsk.

Une connaissance de la Ligue 1 à signaler en la personne d’Emir Spahic (ex-Montpellier)

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Arsenal, le plus frenchy

Leaders du championnat anglais, les Gunners ont réalisé un début de saison remarquable. Dans le groupe le plus exigeant de la compétition, les hommes d’Arsène Wenger ont brillé en dominant Dortmund et l’OM à l’extérieur, puis Naples à domicile. Mais les deux mauvais résultats concédés à Londres contre Dortmund et sur le terrain de Naples, hier soir, les ont relégués en 2e position.

Pour les Frenchies d’Arsenal, dont Flamini, la réception du PSG constituerait un défi alléchant.

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AC Milan, le plus familier

L’AC Milan rencontre des difficultés depuis la saison dernière. Contraint de vendre ses meilleurs joueurs au PSG (Ibrahimovic, Thiago Silva), le club de Silvio Berlusconi est en net recul sur la scène nationale (9e de Serie A) et européenne. La greffe avec des joueurs comme Balotelli ou même Kaká n’a pas vraiment pris, et l’équipe lombarde a dû batailler jusqu’au bout avec l’Ajax Amsterdam pour se qualifier pour ces 8es de finales.

Le club ne figure pas comme un prétendant à la victoire finale.

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Schalke 04, le plus abordable

Après un début prometteur dans cette phase de groupes (2 victoires), Schalke 04 a lourdement chuté devant Chelsea (deux défaites 3-0). Le club allemand, demi-finaliste de la Ligue des champions en 2010-2011, a ainsi failli quitter la compétition précipitamment. Les temps sont durs aussi en championnat avec une sixième place au classement à 17 points du leader, le Bayern Munich.
Schalke s’appuie sur ses deux vedettes, les attaquants Adam Szalai et Jefferson Farfan, 5 buts chacun en Bundesliga, ainsi que sur sa principale recrue estivale, l’ancien Milanais Kevin-Prince Boateng, pour briller sur la scène européenne.

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Zénith Saint-Pétersbourg, le plus frais

Dans ce groupe dominé par l’Atletico Madrid, le Zénith Saint-Pétersbourg a pris le dessus sur Porto grâce à sa victoire au Stade du Dragão (1-0) le 22 octobre. Avec cette qualification, le club russe fait déjà aussi bien que lors de la saison 2011-2012, où il avait atteint pour la première fois de son histoire ce stade de la compétition.
Leader de son championnat, il aura à cœur de faire mieux donc et pourra compter sur ses deux meilleurs buteurs, l’international portugais Danny (10 buts en championnat) et le Brésilien Hulk (9 buts), recruté à l’été 2012 pour 60 M€.

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Galatasaray, le plus bouillant

Les coéquipiers de Didier Drogba ont réalisé un parcours éliminatoire haut en couleur. Sévèrement corrigé par le Real Madrid (battu 6-1 et 4-1), Galatasaray a arraché son billet pour les huitièmes de finale en dominant la Juventus Turin hier. Une victoire (1-0) acquise sous la neige à cinq minutes du terme de la rencontre grâce à un but de Sneijder.
L’équipe stambouliote, entraînée depuis le début de la saison par Roberto Mancini (ex-Manchester City), peut désormais s’appuyer sur cet exploit et son public pour rêver aux quarts de finale.

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Rennes-PSG : les supporteurs parisiens sous surveillance

En dehors du déplacement officiel organisé par le PSG, point de salut pour les supporteurs du club de la capitale. La préfecture d'île et Vilaine a interdit tout déplacement «libre» dans le cadre du match opposant le Stade Rennais au PSG, samedi 14 décembre à 17 euresh, à l'occasion de la 18e journée de Ligue 1.

Cette décision intervient dans un contexte où les «Ultras» sont dans la ligne de mire des pouvoirs publics après les récents incidents à Nice et à Lyon.

Un avocat représentant des supporteurs du Paris SG a déposé peu après cette annonce un recours en justice contre l'arrêté préfectoral.

«J'ai saisi le tribunal administratif de Rennes d'un référé-liberté afin de demander au juge qu'il enjoigne à la préfecture d'Ille-et-Vilaine de retirer un arrêté manifestement illégal et portant une atteinte grave à une liberté fondamentale qui est celle d'aller et venir», a déclaré à l'AFP Me Pierre Barthélemy. La procédure en référé signifie que le juge doit se prononcer dans les 48h sur le recours déposé ce mercredi.

Interdiction de pénétrer en Ile-et Vilaine

La préfecture d'île-et-vilaine a mis en place des conditions très strictes pour cette rencontre : «Le samedi 14 décembre 2013, de 12 h à minuit, il est interdit à toute personne se prévalant de la qualité de supporter du Paris Saint-Germain, ou se comportant comme tel, et ne participant pas au déplacement officiel organisé par le club, d'accéder au Stade Rennais Football Club (stade de la Route de Lorient).»

Il est également précisé que les supporteurs parisiens ne seront pas autorisés à « pénétrer dans le département de l'Ille-et-Vilaine». Le préfet a justifié la décision par «des risques sérieux pour la sécurité des personnes et des biens».

Compte tenu de cet arrêté préfectoral, le Stade Rennais a annoncé avoir mis en vente 500 places supplémentaires, situées dans le haut de l'espace visiteurs.


Le Parisien.fr

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Thiago Motta bientôt prolongé

Devenu incontournable au PSG, Thiago Motta devrait prolonger son contrat avant le match de la 22e journée de Championnat contre Lille, le 22 décembre. A cause de plusieurs contretemps, le milieu international italien de 31 ans, sous contrat jusqu’en 2015, n’avait pu parapher un nouveau contrat. «Mais nous sommes sur la route d’un accord, confie dans notre quotidien son agent, Alessandro Canovi. On est très, très optimistes.» Motta devrait s’engager pour une année supplémentaire, avec revalorisation salariale à la clé.

L'Equipe.fr


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Marco Verratti : « J’ai appris à rêver en gardant les pieds sur terre »

Marco Verratti s’est confié à notre journal. Le prodige italien évoque ses débuts, ses relations avec ses partenaires, l’Italie et sa future paternité.

Il arrive en toute discrétion au rendez-vous fixé chez son équipementier, Puma, tout près de la place de la République à Paris. Un peu avant, Marco Verratti, tout juste 21 ans, a vu son équipe favorite, la Juventus Turin, se faire sortir de la Ligue des champions par Galatasaray. « Un but à cinq minutes de la fin », peste-t-il. Décontracté, il se prête rapidement au jeu des questions.

A la fin de l’interview, le n° 24 du PSG, chouchou du Parc des Princes, s’autorise même une petite conversation en français. Comme sur le terrain, c’est un domaine où il n’en finit pas de progresser.

Son enfance, l’ascension à Pescara

Est-ce vrai qu’à 5 ans déjà vous aviez décidé d’être footballeur?

Marco Verratti. (Sourires) Absolument. On peut presque dire que, depuis bébé, je ne pensais vraiment qu’à cela. En fait, comme tous les gamins, je n’avais qu’une obsession : m’amuser. Et quand tu es petit et italien, tu joues au foot! Mais c’est devenu sérieux plus tard.

Au point de lâcher l’école ?

Non, pas à ce moment-là. J’y allais bien sûr. Sans forcer, c’est vrai, parce que dans ma tête j’étais engagé dans le foot. C’est plus tard, quand c’est devenu compliqué de gérer les deux, que j’ai décidé de lâcher l’école.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans le football ?

J’aime tout. Attaquer comme défendre. Mais, évidemment, j’adore plus le jeu technique que la partie purement physique. J’aime regarder les autres jouer et j’aime leur offrir de bons ballons. Et offrir une passe décisive, c’est comme offrir un cadeau. C’est très beau.

Plus que marquer ?

Sur le terrain, je dois aider les attaquants. Donc, j’ai plus de chances de donner des balles de but que de marquer. Et c’est un vrai plaisir. Pour répondre encore un peu à la question précédente, le foot c’est comme respirer. Le foot, c’est ma vie. J’y pense tous les jours et pas seulement à l’entraînement.

Enfant, rêviez-vous d’être joueur professionnel ou joueur de Pescara, le club de votre région ?

Au début, le rêve c’était « un jour, je jouerai à Pescara ». J’y suis arrivé. Ensuite, je suis devenu de plus en plus responsable. L’ambition est montée petit à petit. C’est logique.

Pour votre premier match pro avec Pescara (3e division italienne), vous aviez 16 ans…

(Il coupe.) Non, 15 ans! C’était un match de Coupe d’Italie et je me souviens de tout! Le Mister (NDLR : son entraîneur) m’avait fait la surprise de me faire jouer. D’un coup, c’était l’aboutissement d’un rêve de gosse.

Mais vous étiez encore un gamin ?

Non, là, j’étais un joueur ! Cette émotion était incroyable. Pour moi, c’est comme si ce match avait eu lieu hier. D’un coup, je jouais avec le maillot de Pescara devant tous mes amis !

En 2011, Zdenek Zeman, votre entraîneur, décide de vous faire reculer d’un cran et de vous installer comme milieu défensif. Etait-ce un souhait ou un ordre ?

Un ordre! Le Mister, c’est le Mister. S’il dit quelque chose, le joueur le fait sans discuter. Il m’avait essayé dans ce rôle pendant les matchs de préparation. Petit, je jouais d’ailleurs à ce poste. J’étais assez content qu’un grand entraîneur comme lui étudie autant mon profil. Monsieur Zeman a changé ma vie. Si j’en suis là aujourd’hui, c’est grâce à lui. Je le remercierai à tout jamais. Grâce à lui, j’ai notamment appris à rêver en gardant les pieds sur terre.

Vous rappelez-vous la première fois où vous avez appris que le PSG s’intéressait à vous ?

Oui. C’était dans le bureau du président de Pescara avec mon agent. Ils me l’ont dit ensemble. On savait tous que j’allais changer d’équipe et on parlait transfert. Mais cela a été une surprise d’apprendre que le PSG me voulait. Très vite, j’ai parlé à Leonardo. C’est simple, entre le jour où on m’a parlé de Paris et celui où j’ai dit oui, il ne m’a fallu qu’une semaine!

Le rêve du Mondial

Avez-vous parlé avec Edinson Cavani du 24 juin prochain et d’un certain Italie - Uruguay en Coupe du monde ?

Nous étions ensemble au moment du tirage! Tout ce que je sais, c’est que ce sera un match très dur. Et je ne vais pas faire de polémique parce que l’Italie n’a vraiment pas eu de chance d’être versée dans un groupe très dur avec aussi l’Angleterre. Des polémiques, on peut en faire mille. La réalité, c’est que cela ne changera rien. Tous les Italiens seront devant la télé pour encourager la Nazionale. Donc, il faudra tout donner.

Et vous, serez-vous au Brésil ?

Ce serait un rêve à 21 ans. C’est le souhait de tous les petits Italiens de disputer un jour une Coupe du monde. J’espère vraiment y être mais je n’ai pas de certitudes.

Six pays qualifiés pour la phase finale sont représentés au PSG (France, Brésil, Italie, Pays-Bas, Argentine, Uruguay). Parlez-vous du Mondial entre vous ?

On se dit tous que le favori est celui qui joue à domicile. Donc le Brésil. Et on dit aux Brésiliens qu’ils vont se rater. Mais c’est juste pour leur faire une blague !

Où étiez-vous le jour de la finale Italie - France de la Coupe du monde 2006 ?

Dans mon village de Manoppello avec tous mes amis. Cela me semble étrange de me dire que, huit ans après, je pourrais moi aussi jouer un Mondial. En tout cas, c’était un moment fantastique. Je me souviens du coup de tête de Zidane sur Materazzi. C’était incroyable : voir ce champion commettre une erreur. Mais, pour moi, Zidane reste un très, très grand joueur.

Aviez-vous un joueur favori à cette époque ?

J’étais un tifosi de la Juventus. J’étais fan d’Alessandro Del Piero. Il était vraiment fantastique.

Le PSG, Ibra, Lavezzi et les autres

Avec du recul, n’était-il pas risqué de passer de la Serie B italienne à la Ligue 1 française au PSG ?

Certainement. Je changeais de niveau, de pays, de langue… Au début, j’ai eu peur d’avoir fait un trop grand pas pour mes pieds. Mais cette peur a disparu dès les premiers jours grâce à mes coéquipiers et à M. Ancelotti.

Vous êtes assez enjoué et plaisantez avec tous les autres joueurs. D’où vient ce caractère ?

C’est en moi. Petit, tous mes amis me disaient que j’adorais faire l’âne! Et, aujourd’hui, je continue.

Est-il vrai que Zlatan Ibrahimovic a un très grand sens de l’humour ?

Oui. Il aime faire l’imbécile. En dehors du terrain, bien sûr. Parfois, à l’entraînement, quand il voit quelqu’un d’un peu nerveux, il sort une bêtise. Ça fait rire tout le monde. Ibra est drôle… sauf pour nos adversaires. J’aime passer du temps avec lui.

Zlatan vous surprend-il encore ?

Oui car, à chaque seconde, on sait qu’il peut changer le cours d’un match. Je le connais depuis près d’un an et demi et il me surprend toujours. Tu peux le regarder tout le temps, tu n’arriveras pas à comprendre ce qu’il va faire. Regardez son but du talon contre Bastia. Peut-être que d’autres en sont capables, mais une seule personne au monde pense à ce geste à ce moment-là : lui. C’est un génie du foot. Il invente des choses.

Pour votre progression, quel serait le meilleur professeur ?

Je joue avec lui et il est l’un des meilleurs milieux récupérateurs du monde : c’est Thiago Motta. Rien qu’à m’entraîner avec lui, je m’améliore. Il a l’intelligence et la technique. Et je n’ai pas besoin de lui demander des conseils, j’ai juste à le regarder.

A l’image d’une récupération de balle contre Sochaux samedi qui a fait se lever le Parc, aimez-vous faire le spectacle ?

Le foot sert à divertir le public, il ne faut pas l’oublier. J’aime cette notion de spectacle. Sans faire n’importe quoi, bien sûr. Mais je préfère jouer dix bons matchs et en gagner huit qu’en faire dix mauvais et en gagner neuf. Ça voudrait dire que je n’ai servi à rien. Mais au PSG, on cherche à tout gagner en étant toujours bons.

Pensez-vous que le trident Matuidi-Thiago Motta-Verratti est un des meilleurs milieux de terrain d’Europe ?

Je ne fais pas de classement. Mais on forme un beau trio car nous avons tous des caractéristiques différentes. Un milieu, c’est l’équilibre d’une équipe car tout passe par lui.

Le PSG est-il une équipe d’amis ?

Oui et c’est essentiel. Si on arrive à l’entraînement avec le sourire parce qu’on est content de voir les autres, on va mieux travailler. Et s’il y a des petits problèmes, nous les réglons vite. Nous ne passons pas nos vies ensemble car on a tous nos familles. Mais on est heureux de se voir.

Et qui est votre meilleur ami dans l’équipe ?

« Pocho » Lavezzi. C’est un homme courageux et très généreux. Il a du cœur. C’est une bonne personne.

Presque tous les mois, un journal italien vous annonce sur les tablettes d’un grand club de votre pays. L’Italie vous manque-t-elle ?

J’ai fait un choix sportif en signant ici. Je ne le regrette pas. Au niveau du foot, j’ai tout ce qu’il faut ici. Il y a des grands joueurs et des ambitions. Mais l’Italie, le pays, me manque parfois. J’aimerais revoir plus souvent certains amis. Mais il me faudra attendre. Car je ne partirai pas d’ici.

Sur le terrain, vous adorez parler…

Je sais que je devrais moins le faire à cause des arbitres. (Sourires.) Mais c’est essentiel de parler aux autres quand tu joues. Concernant les arbitres, l’an dernier, j’avais l’impression que je recevais des jaunes juste parce que j’étais Verratti. Cette saison, j’ai décidé de moins leur parler car ça ne sert à rien. Et c’est mieux pour moi.


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Repas de Noël pour les joueurs parisiens

Après avoir célébré mercredi l’arbre de Noël du club, Nasser al-Khelaifi a invité hier midi les joueurs et l’ensemble du staff à un repas de fin d’année à la Société, un restaurant branché de Saint-Germain-des-Prés (Paris, VIe). A cette occasion, le président parisien a félicité (en français) le groupe pour les résultats obtenus ces derniers mois.
Il les a ensuite encouragés à conserver le titre de champion de France et à aller « le plus loin possible » en Ligue des champions avant d’insister sur la nécessité d’afficher la même détermination quel que soit le niveau de l’adversaire. Pour égayer l’ambiance, les nouveaux venus dans le staff du camp des Loges ont été invités à pousser la chansonnette. Et Zoumana Camara s’est illustré par une imitation, plutôt réussie, de Laurent Blanc.


Le Parisien.fr

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Affaire Leonardo: un coup d’épaule à 50 000 €

Dans quelques années, une fois définitivement bouclée, l’affaire Leonardo constituera une source de réflexion inépuisable pour tous les étudiants en droit du sport. Les faits remontent au 5 mai dernier.
Dans la confusion d’une fin de match agitée (PSG - Valenciennes, 1-1), Leonardo, alors directeur sportif du PSG, se rapproche de l’arbitre M. Castro et lui donne un coup d’épaule. Personne n’est blessé mais la scène est filmée et tourne en boucle.

Quelques semaines plus tard, la commission de discipline de la Ligue de football sanctionne le Brésilien de neuf mois de suspension de toutes fonctions officielles et le PSG à trois points de pénalité avec sursis en Ligue 1 pour une période de trois ans.

L’affaire se scinde ensuite en deux parties. Après son départ du club en juillet, Leonardo tente de régler son cas personnel. Il y parvient en octobre en voyant sa suspension annulée par un tribunal administratif pour un vice de forme. De l’autre côté, le PSG met tout en œuvre pour écarter la menace des trois points de pénalité avec sursis. Fin octobre, le Comité national olympique propose une conciliation acceptée par toutes les parties. Au lieu d’une sanction sportive, le PSG doit s’acquitter d’une simple amende de 25 000 € à la Ligue de football.

Cela aurait pu sonner la fin de l’histoire Leonardo. Sauf que le 6 décembre, la FFF rend à son tour un verdict à la suite d’un énième appel déposé en parallèle par le club parisien. Elle annule elle aussi les points de pénalité mais inflige en contrepartie une amende de 50 000 € au PSG. « Ce n’est pas de l’acharnement, se défend Jean Lapeyre, directeur général adjoint de la FFF. Au contraire, la sanction sportive, la plus embêtante pour le PSG, a été supprimée. » Selon nos informations, la direction parisienne réfléchirait à l’opportunité d’un nouveau recours.


Le Parisien.fr


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posté 13/12/2013 15:23
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IBRA LE MAGNIFIQUE

Que l’on évoque l’homme ou le footballeur, Zlatan Ibrahimovic semble plus épanoui que jamais à Paris. Si cette plénitude assumée se ressent dans ses performances, lui qui illumine les stades à chacune de ses apparitions, l’artiste suédois la diffuse aussi à travers son discours...

Depuis ton arrivée à Paris lors de l’été 2012, tu affiches des statistiques sensationnelles. Plus efficace que par le passé, as-tu changé quelque chose dans ton jeu ?
« Non, je m’entraîne toujours autant chaque jour, en essayant d’être le plus professionnel possible et d’atteindre les objectifs élevés que je me suis fixés. Personnellement, je me sens vraiment épanoui ici, à Paris. Ces bonnes sensations, je les dois aussi à l’équipe, qui possède un formidable état d’esprit. L’ambiance au sein du club est incroyable, je n’avais jamais connu ça dans l’un de mes clubs précédents. Peut-être à Milan, et encore. Tout le monde travaille très dur pour faire progresser le collectif et on ressent tous les jours beaucoup d’enthousiasme et de plaisir. Toutes ces ondes positives sont très bénéfiques, on fait vraiment du bon boulot. En à peine plus d’un an, nous avons énormément progressé sur le plan collectif. Tout va très vite, plus vite que je ne l’imaginais lorsque je me suis engagé avec le Paris Saint-Germain. Résultat, je peux donner le meilleur de moi-même en match et ça fonctionne bien, grâce à l’aide de mes coéquipiers. »

Certains craignaient que le fait de partager le front de l’attaque avec Edinson Cavani ne pose des problèmes. Au contraire, cela multiplie les solutions...
« Mon objectif est de jouer mon meilleur football afin que l’équipe gagne. Pour Edi, c’est pareil. Peu importe celui qui marque, le principal est qu’on engrange des victoires et de la confiance. On ne pratique pas un sport individuel et, surtout, il ne faut pas que les egos prennent le dessus sur le reste. À la fin de ma carrière, ce sont les trophées que j’ai gagnés collectivement qui compteront le plus, pas mes statistiques individuelles. Il y a dix ans, je pensais différemment, c’est vrai. Mais avec l’expérience et à force de côtoyer beaucoup de grands joueurs, j’ai changé d’avis sur le football. J’ai compris à quel point la dimension collective de ce sport était fondamentale pour s’épanouir soi-même. »

Le manque de concurrence en Ligue 1 peut-il vous désavantager en UEFA Champions League ?
« Il faut arrêter de dire que le championnat de France est trop facile pour le Paris Saint-Germain. Chaque équipe est compliquée à affronter et il y a toujours beaucoup d’engagement. Physiquement, la Ligue 1 est impressionnante. Lors de chaque journée, toute la pression est sur nous, tandis que nos adversaires disputent le match de leur saison. Le fait de défier Paris, le champion en titre, décuple leur motivation. Ils ne jouent pas à 100, mais à 200% ! Donc, rien n’est jamais simple, même si on fait tout pour que cela le devienne davantage. »

Es-tu conscient que, plus que la star du Paris Saint-Germain, tu fais désormais partie des monuments de la capitale ?
« Ça n’a jamais été mon intention ! Je me suis engagé avec Paris pour aider le club à être ce qu’il voulait devenir. C’était d’abord et avant tout un magnifique challenge sportif. Après, le reste est venu tout seul. Lorsque le magazine GQ m’a désigné "Homme de l’année 2013", j’ai juste dit que j’espérais avoir apporté un esprit positif au club mais aussi à la ville toute entière, car celle-ci mérite de posséder une équipe de foot fantastique, à son image. Et aujourd’hui, elle l’a. »


PSG.fr
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posté 13/12/2013 18:06
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Blanc : «Ranieri est rusé»

A la lutte avec le Paris-SG dans la course au titre de champion de France, Monaco, par la voix de son entraîneur Claudo Ranieri, s'est amusé à flatter les joueurs parisiens, en les qualifiant «d’extraterrestres». « Le PSG ce sont des extra-terrestres et c’est bon pour nous d’être deuxièmes.» Sauf que Laurent Blanc n'est pas dupe : «Ranieri, je le connais très bien. Il est rusé, c’est un Italien. Et les Italiens sont très rusés», a lâché l'entraîneur parisien, qui a eu le technicien comme entraîneur quand il a évolué à Naples (1991-1992).

Ranieri a même été plus loin dans sa démonstration, estimant que ce PSG était quasiment injouable, même si le gardien était Ibrahimovic... «Je respecte beaucoup le Paris-SG car il y a beaucoup de champions, sur le banc. Blanc a le choix, il peut choisir que le gardien ce sera Ibrahimovic. Et il va gagner.» «Mais qu’il se rassure, on ne mettra pas Ibra dans les buts...», a rétorqué avec humour Blanc sur le sujet.


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Ibrahimovic sacré

Grâce à son coup franc victorieux face à Sochaux (5-0), le Suédois Zlatan Ibrahimovic (PSG) remporte le Top 5 buts de la 17e journée.

Auteur d'un doublé en fin de match au Parc des Princes face à la lanterne rouge, le FC Sochaux (5-0), Zlatan Ibrahimovic (Paris-Saint-Germain) termine à la première place du Top 5 buts de la 17e journée de Ligue 1. 35% des internautes ayant participé au vote ont désigné le coup franc surpuissant de l'attaquant international suédois comme le plus beau but du week-end dernier.


L'Equipe.fr

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T. Silva : «Ibra et Cavani sont les plus forts»

Thiago Silva a estimé, dans une interview accordée à L'Equipe 21, que la doublette Zlatan Ibrahimovic - Edinson Cavani était actuellement plus forte que celle constituée par Neymar et Messi.

La doublette Ibrahimovic - Cavani, meilleure que Neymar - Messi ?

«C'est difficile de répondre, car non seulement je suis ami avec Neymar, mais également avec Ibrahimovic et Cavani. Ce qui est sûr, c'est qu'ils sont tous les quatre très forts. Ils ont tous beaucoup de qualités. Ils forment aujourd'hui deux des plus grands duos du football mondial. Mais c'est vrai qu'Ibrahimovic et Cavani jouent plus régulièrement. Et quand on joue plus souvent ensemble, on s'améliore. C'est la différence du moment avec le duo de Barcelone, car Messi est blessé. Je dirais qu'à l'heure actuelle Ibra et Cavani sont les plus forts.»

Gagner la Ligue des champions ?

«C'était déjà l'objectif la saison dernière, malheureusement, nous nous sommes fait éliminer par le FC Barcelone sans perdre. C’est un détail important, car nous nous sommes comportés comme une grande équipe. Cette année, notre équipe est encore mieux préparée pour la gagner. Le projet du PSG a été lancé pour gagner la Ligue des champions.»

Les différences entre Laurent Blanc et Carlo Ancelotti ?

«Il n'y a pas beaucoup de changements. On continue sur la même lancée avec Laurent Blanc. Je pense que l'on jouerait tout aussi bien aujourd'hui si Carlo Ancelotti était resté au Paris-Saint-Germain. Ces deux entraîneurs se ressemblent. Ils sont très calmes, mais ils savent hausser le ton quand il le faut. Ils savent très bien gérer les victoires, mais également les défaites. C'est une qualité très précieuse pour un coach.»


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Varino
posté 14/12/2013 10:41
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Quatre garçons vent de face

Javier Pastore, Ezequiel Lavezzi, Lucas et Jérémy Ménez ont du mal à se faire une place dans l’effectif parisien. Explications.


Pastore, la mauvaise affaire

AU DÉPART, Laurent Blanc l’adorait. Mais la cause paraît de plus en plus indéfendable. Depuis le début de saison, le « garçon bourré de talent » (12 matches en L 1, aucun but, aucune passe décisive) a épuisé son crédit. Sifflé au Parc des Princes, le milieu offensif argentin est transparent. Plus que son placement sur le terrain, c’est le manque d’investissement de l’Argentin qui interroge. Le problème n’est pas physique, mais psychologique. Est-il toujours aussi concerné ? Peut-il vraiment réussir dans une L 1 physiquement exigeante ? « El Flaco » est, en tout cas, un vrai problème pour le PSG. Acheté 42 M€ à Palerme (bonus inclus), il y a deux ans, sa valeur a chuté de trois quarts. Un intérêt de l’AS Rome, l’Inter Milan, voire de la Fiorentina est évoqué en Italie, sous forme de prêt. Mais le PSG ne devrait pourtant pas le lâcher cet hiver.

Lavezzi, le coup de mou

AVEC SEULEMENT deux buts au compteur, Ezequiel Lavezzi n’est pas encore assez tranchant : il a accusé le coup physiquement, notamment à cause de fréquents voyages pour retrouver l’équipe d’Argentine cet automne (il a joué en sélection en septembre, octobre et novembre). Lors du déplacement à Annecy (défaite 0-2 contre Évian-TG, 4 décembre), Laurent Blanc lui avait d’ailleurs accordé le droit de rester au Camp des Loges pour travailler physiquement. En tout cas, ses qualités de puncheur lui donnent un temps d’avance sur la concurrence. À gauche, et faute de mieux, il devance Ménez et même Pastore dans le 4-3-3 qui fait le succès du PSG. Il bénéficie aussi de l’influence de Zlatan Ibrahimovic, mais aussi d’Edinson Cavani, son ami et ancien partenaire à Naples.

Ménez, vers la sortie

Bien qu’ils partagent le même agent (Jean-Pierre Bernès), l’alchimie ne prend pas entre l’attaquant et Laurent Blanc. Depuis son retour tardif contre Monaco (1-1, le 22 septembre), après une opération du dos en juillet, l’attaquant n’a disputé que 9 matches (2 buts, 1 passe décisive) et n’a jamais montré ce brio qui peut le rendre irrésistible. À chaque fois que Blanc l’a testé, il s’est montré insuffisant dans l’allant, l’implication et la rigueur. Comme contre l’ETG (0-2, le 4 décembre) ou Benfica (1-2, C 1, mardi), malgré un centre décisif pour Cavani (1-0, 37e). À sept mois de la fin de son contrat, l’ex-Romain (26 ans) s’approche de plus en plus d’un départ dès janvier. Pour retrouver du temps de jeu et, pourquoi pas, raccrocher le wagon des Bleus avant la Coupe du monde au Brésil (12 juin- 13 juillet). La Juventus Turin, l’Inter Milan et Monaco seraient intéressés.

Lucas, il gache encore

Techniquement, il a un petit côté joueur de bonneteau. Il peut rendre fou un défenseur mais lui-même n’est pas à l’abri de s’emmêler les pinceaux. Passements de jambes, dribbles, accélération, Lucas est un pur talent au profil séduisant. Blanc apprécie les joueurs doués mais le Brésilien manque d’efficacité devant le but et connaît un déchet important en conclusion de ses actions individuelles. Pour autant, l’ex-star du Sao Paulo FC s’est étoffée physiquement depuis son arrivée il y a près d’un an. Cette saison, après six mois sans réussite, Lucas a inscrit 3 buts et donné 4 passes décisives, après seize matches dont huit comme titulaire. Des chiffres qui le classent au-dessus de son rival argentin Ezéquiel Lavezzi (voir par ailleurs), alors qu’il apparaît derrière dans la hiérarchie.



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PARIS VOYAGE (PRESQUE) AU COMPLET

À Rennes, cet après-midi (17 heures), le Paris-SG sera au complet, mis à part le forfait de Christophe Jallet, qui souffre toujours d’un mollet. Le latéral droit avait déjà renoncé, mercredi dernier, à la veille du déplacement à Benfica (2-1, Ligue des champions, phase de groupes). Laurent Blanc devrait, cependant, aligner son équipe type pour défier la formation de Philippe Montanier, après avoir essuyé deux revers lors des trois dernières rencontres. « On peut perdre des matches, mais il faut tout y mettre. Contre l’Évian-TG (2-0) et Benfica, on n’a pas tout mis. Il y a un degré d’exigence très élevé à Paris, a insisté le technicien parisien. En Championnat, nous avons besoin de points. Il nous faut en engranger un maximum avant la trêve. On a fait deux résultats négatifs mais nous aurions tenu le même discours s’ils avaient été positifs. On va à Rennes pour gagner. Les deux matches de Championnat sont importants (les Parisiens accueilleront Saint-Étienne en Coupe de la Ligue, jeudi, puis Lille, dimanche prochain). »



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posté 14/12/2013 11:06
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Le patron a intérêt à se ressaisir

Battus deux fois lors de leurs trois derniers matchs, les Parisiens ont besoin de réaffirmer leur domination sur le championnat avant la trêve.


Le patron est de passage cet après-midi du côté de Rennes. Après deux revers en trois matchs — certes dans deux compétitions différentes, d’abord en championnat à Evian puis en Ligue des champions à Lisbonne —, une réaction du PSG est attendue aujourd’hui en Bretagne.

Pour l’occasion, Laurent Blanc alignera, selon toute vraisemblance, son équipe type avec Ibrahimovic et Cavani aux avant-postes, son trio magique au milieu (Verratti, Matuidi et Motta) et ses rocs défensifs (Thiago Silva, Alex) de retour après de légers pépins physiques. « On va à Rennes avec l’obligation de faire un résultat, a confié l’entraîneur parisien hier. Mais on aurait la même attitude si nous avions gagné nos deux dernières rencontres. »

Tout donner, quel que soit l’adversaire

Après la défaite contre les Haut-Savoyards il y a dix jours, les Parisiens s’étaient vengés sur les Sochaliens, étrillés 5-0 au Parc. Cet après-midi, la tâche s’annonce un peu plus ardue, même si Rennes, 13e au classement, affiche une irrégularité chronique depuis le début de saison.

Philippe Montanier, le coach breton, n’a pas caché que son équipe devra se « sublimer » pour espérer un bon résultat. « Il faut tout donner, a-t-il déclaré. Cela ne nous donne aucune garantie. Il faudra savoir tout bien faire. Bien défendre, bien contrer… »

Le PSG aussi devra renouer avec un niveau de jeu plus consistant que celui affiché à Lisbonne. Laurent Blanc l’a réaffirmé hier, se faisant l’écho de Nasser al-Khelaifi, le président, qui a exhorté ses joueurs, jeudi midi lors du déjeuner de Noël, à se comporter de la même manière quel que soit l’adversaire. « On rejoint le président sur ce qu’il a dit. On peut perdre des matchs, mais il faut tout y mettre. Et, face à Evian ou Benfica, on n’y a pas tout mis, a avoué l’ancien sélectionneur. Le président n’a pas changé de discours. Il veut qu’on soit champions de France et qu’on aille le plus loin possible en Ligue des champions. »

Deux heures de retard pour l’avion du PSG

Le dirigeant qatarien a aussi rappelé l’importance de bien finir cette année 2013 qui voit le PSG, aujourd’hui, compter seulement deux points d’avance sur Monaco. Le message, si c’était nécessaire, a été entendu. « Les deux rencontres de championnat (Rennes puis Lille avant la trêve) sont capitales. On voudrait bien terminer cette première partie de saison parce que, jusqu’ici, on a presque fait carton plein. Donc, on tient à valider ça. »

Ce déplacement à Rennes marqué du sceau de la reconquête a pourtant mal commencé pour la délégation parisienne. Hier soir, l’avion qui devait acheminer les coéquipiers de Thiago Silva en Bretagne a connu quelques soucis et le décollage, prévu à 18 heures, a été retardé de deux heures. Le PSG a donc rejoint son hôtel après 21 heures. Ce contretemps ne devrait pas empêcher la machine parisienne de tourner à plein régime. A moins que…


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« Paris me manque »

SYLVAIN ARMAND. Expulsé à la 6e minute lors de la défaite de Rennes à Lorient la semaine dernière (2-0), Sylvain Armand (33 ans) sera absent cet après-midi pour la réception du PSG où il a passé 9 saisons et disputé 380 matchs. Il le regrette amèrement.

Certains ont insinué que vous aviez fait exprès de vous faire expulser pour rater le match face au PSG. Qu’en est-il ?
J’ai entendu beaucoup de choses ! Mais comment aurais-je pu faire exprès ? Surtout face à un club où j’ai passé neuf ans et pour un match qui me tient à coeur ? Et si j’avais fait exprès, j’aurais pris soin de me faire expulser à la 85e ou 90e minute pour ne pas pénaliser mon équipe. J’attendais impatiemment ce rendez-vous.

En voulez-vous à Freddy Fautrel, l’arbitre de Lorient - Rennes ?
Oui, j’en veux à l’arbitre. Sur l’action, il y a un contact involontaire mais pas d’agression ni de tirage de maillot. En plus, je ne suis pas certain que ce soit dans la surface. Il dit qu’il a appliqué le règlement mais moi, je l’ai vécu comme une triple peine. En plus, c’était ma 2e faute en 14 matchs.

Si vous aviez pu jouer au Parc, entre vous et Ibrahimovic, qui aurait « mangé » l’autre ?
(Il rigole.) Je pense qu’il a des qualités physiques et techniques au-dessus des miennes. Il est énorme. Mais j’aurais fait de mon mieux.

Quel est votre meilleur souvenir au PSG excepté le titre de champion de France ?
La victoire contre l’OM en finale de la Coupe de France en 2006 (2-1). C’était la première finale entre les deux clubs et l’attente était énorme. La fête ensuite et la réception à l’Hôtel de Ville étaient à la hauteur.

Et le pire ?
Le dernier match de la saison à Sochaux en 2008, quand Paris a failli descendre en Ligue 2. Mais plus que ce match, c’est la période qu’on a traversée. Il y avait beaucoup d’angoisse. C’est aussi l’année où je me suis fait casser ma voiture, où l’on s’entraînait avec 400 policiers autour du camp des Loges…

Retournez-vous souvent à Paris ?
Oui car Paris me manque. C’est une ville magnifique et j’y étais encore dimanche dernier. J’ai gardé une maison mais je la loue actuellement. Donc, quand je viens, je dors chez Christophe (Jallet) ou chez des amis.



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Cavani, athlète d’exception

Deuxième meilleur buteur du PSG (11 buts) derrière Ibrahimovic (13 buts), Edinson Cavani n’est pas simplement un incroyable finisseur. L’attaquant uruguayen développe aussi une activité débordante sur le terrain. A l’occasion du dernier PSG - Lyon (4-0, le 1er décembre), nous avons recueilli les statistiques du Matador auprès de la Canal Football App*, des données que nous avons fait analyser par Alexandre Dellal, préparateur physique de l’OGC Nice et auteur de nombreux ouvrages et articles scientifiques. Il en ressort que Cavani est un athlète hors norme en plus d’être un footballeur brillant.

Un vrai marathonien. Lors de ce PSG - Lyon, l’ancien Napolitain a couru 11,9 km (10,5 pour Ibra), une donnée chiffrée qui croise la moyenne d’un milieu excentré en L 1. « C’est correct, note Alexandre Dellal. Mais ce qui est particulier chez Cavani, c’est qu’il s’agit d’un attaquant axial replacé à droite. Mettez un Trezeguet sur un côté et je ne suis pas sûr qu’il galope 12 km. Cela démontre l’état d’esprit du joueur. Ce qui est flagrant chez lui, c’est sa capacité à répéter les efforts et, surtout, les contre-efforts. C’est-à-dire qu’il est tout de suite concerné par le repli défensif sans donner l’impression d’être touché physiquement. On a le sentiment qu’il s’épanouit dans l’effort et même qu’il en a besoin. » Chiffres à l’appui, l’attaquant joue environ 1 ballon sur 3 dans son camp (31 %).

Une pointe de vitesse XXL. Au cours d’un sprint face aux Lyonnais, Cavani a atteint la vitesse maximale de 34,7 km/h. Pour Alexandre Dellal, c’est tout simplement « extraordinaire ». « Je ne pense pas que beaucoup de joueurs aient déjà fait ça en Ligue 1. C’est un vrai atout », insiste le préparateur physique. Et pour cause, la saison dernière en Europe, Antonio Valencia, l’attaquant de Manchester United, a été chronométré comme le footballeur le plus rapide à 35,1 km/h, juste devant Gareth Bale, alors à Tottenham, à 34,7 km/h. Cela permet de mesurer la performance de Cavani. « Il va très vite sur 10 ou 20 m et, en plus, il est endurant. C’est ce binôme qui est intéressant », note Dellal.

Et toujours une grande lucidité. Buteur face à l’OL, Cavani a frappé trois fois au but et a cadré à deux reprises. « Ce qui est le signe d’une grande lucidité malgré sa grande débauche d’énergie », estime Alexandre Dellal. Ibra, lui, a cadré 3 de ses 5 tirs, mais il y avait 2 penaltys dans le lot. D’autre part, l’Uruguayen a réussi 89 % de ses 27 passes (contre 78 % de ses 54 passes pour Ibrahimovic). « C’est du haut niveau car, en général, les très grands joueurs tournent autour de 82 ou 83 % », constate le préparateur physique niçois. Enfin, le Matador a effectué seulement 41 % de ses passes en retrait. Une statistique marquante qui souligne son inclination à se projeter sans cesse vers l’avant.

* L’application second écran de Canal + pour smartphones et tablettes.

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Ligue 1. Jean-Claude Blanc : "Développer l'image du PSG dans le monde"
Paris - 12h42

Recueilli par Maxime KLEIN.

Après la France et l'Europe, le PSG espère conquérir les autres continents. Afin d'augmenter les recettes pour concurrencer les grosses écuries.
Le président délégué du PSG Jean-Claude Blanc sait qu'il est primordial pour le PSG d'augmenter ses recettes, en vue du fair-play financier. S'étendre au-delà de l'Europe est devenu indispensable.

Pour concurrencer les grands clubs européens, le PSG compte conquérir le marché asiatique. Cela signifierait, pour la visibilité, jouer des matches beaucoup plus tôt dans la journée...

Avancer les matches, c’est une décision qui revient à la Ligue, qui organise le championnat, les horaires et gère les droits télés. Ce n’est pas une décision individuelle que peut prendre le Paris-Saint-Germain. C’est quand même intéressant de regarder ce que font les autres championnats : italien, espagnol et anglais. On peut toujours aménager les horaires pour être un des championnats très exposés à l’international. Ce n’est pas le cas encore mais c’est en forte accélération, notamment grâce à l’arrivée de très grands joueurs dans le championnat de L1 à Paris et Monaco. Cela participe à un effet de visibilité international de la L1, ce qui est bénéfique pour tous les clubs de L1. Cela permet d’augmenter les revenus des droits de télévision à l’international, qui sont répartis entre beaucoup de clubs français.

Augmenter les recettes va être primordial pour le PSG, s'il veut maintenir un train de vie élevé, avec le fair-play financier…

C’est un critère indispensable quand il faudra dépenser autant d’argent que ce qui est généré par le club. Aujourd’hui, il faut regarder ce que font les grands clubs, s’inspirer des meilleures pratiques mais aussi en créer de nouvelles. Il faut profiter d’un paysage numérique totalement nouveau afin de développer l'image du club dans le monde, mais aussi les revenus, pour être compétitif vis-à-vis des grands clubs internationaux tels que Manchester United ou le Real Madrid. Nous sommes au travail pour faire progresser la partie visible, que sont les résultats sportifs, mais aussi pour développer l’ensemble des revenus du club.

Le PSG pourrait-il aujourd’hui respecter le fair-play financier ?

Nous sommes totalement dans les règles du fair-play financier. C’est ce que nous expliquons en transparence et ça depuis plus d’un an maintenant. Nous avons un niveau de revenu qui nous permet de dépenser et d’investir de l’argent dans l’équipe, qui nous permet aussi de rénover complètement le Parc des Princes dans les 24 mois prochains mois afin d’accueillir l’Euro 2016, qui nous permet aussi d’investir dans la formation avec la construction du nouveau centre d’entraînement pour former des grands champions français à Paris.


Jouer à midi ou en fin de matinée, ce n'est pas culturel en France. N'avez-vous pas peur de perdre des supporters ?

Cette une question qu'il faut poser à la Ligue. On n’est pas encore dans ce cas de figure. Il y aura une discussion entre les clubs et à l’intérieur de la Ligue. Il est encore trop tôt pour anticiper les conséquences que cela aura.

Mais le PSG serait de son côté intéressé pour changer les créneaux horaires…

Nous sommes pour une concertation et une décision collective. La Ligue doit décider ce que la Ligue 1 souhaite devenir dans les 5 ans qui viennent au niveau international et comment on se projette en concurrence avec les autres championnats. On peut parler des horaires mais d’autres sujets peuvent également être abordés.



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Homer
posté 14/12/2013 19:57
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Paris en toute sérénité

Maître de son sujet malgré la réduction du score de Rennes à 25 minutes de la fin, Paris s'est imposé logiquement en Bretagne samedi (3-1). Le PSG est donc assuré de rester leader avant le choc face à Lille dans une semaine.

Les couacs face à Evian-TG (0-2) et le Benfica (2-1) sont oubliés. Le PSG a retrouvé son équipe type, ou presque, et sa sérénité samedi à Rennes pour signer une victoire implacable (3-1). Salvatore Sirigu a bien été piégé sur un coup franc direct de Romain Alessandrini à 25 minutes de la fin mais ses coéquipiers n’ont pas perdu leur sang froid pour conserver leur avance, acquise un peu plus tôt grâce à une frappe magnifique de Thiago Motta et un penalty de Zlatan Ibrahimovic. Edinson Cavani s’est même permis de mettre son petit but en fin de match. Ce nouveau succès, le 13e en Ligue 1 cette saison, assure au champion en titre sa place de leader avant la venue de Lille dimanche prochain au Parc des Princes.

Thiago Motta inscrit son premier but de la saison en Ligue 1...

Comme l’espérait Laurent Blanc avant la rencontre, le retour des cadres, préservés pour la plupart à Lisbonne mercredi en Ligue des champions, a permis à Paris de retrouver le succès loin de ses bases. Indispensable dans le système du technicien parisien, Thiago Motta a une nouvelle fois étalé toute sa classe dans l’entrejeu parisien. En première période, face à une formation bretonne regroupée dans sa moitié de terrain, quasiment tous les ballons sont passés par l’Italien, également très précieux à la récupération. Et pour égayer une prestation très propre, il s’est offert son premier but de la saison en Championnat, plaçant une frappe limpide de l’angle de la surface après avoir gratté le ballon dans les pieds d’Alessandrini (0-1, 19e). Quelques secondes plus tôt, un penalty avait été oublié après une faute d’Emerson sur Lavezzi (18e).

...Ibrahimovic et Cavani leur 14e et 12e.

Le tacle de Hountondji sur Matuidi à 6 mètres du but de Costil n’a en revanche pas échappé à M. Lannoy. Plutôt discret jusque-là, Ibrahimovic en a profité pour tromper le portier breton et porter à 14 son nombre de buts en Ligue 1 (0-2, 52e). Deux accélérations auront donc suffi à Paris pour faire la différence face à des Rennais bien timides. Après le coup de patte d’Alessandrini (1-2, 65e), ils n’ont pas trouvé l’énergie nécessaire pour inquiéter de nouveau l’arrière-garde parisienne. Il faut dire qu’ils ont passé beaucoup de temps à courir derrière le ballon. Juste avant le coup de sifflet final, ils n’ont pas pu tenir Cavani qui, après avoir récupéré le ballon à 30 mètres de son but et un relais avec Verratti, est allé tromper Costil (1-3, 90e+1). Thiago Motta-Ibrahimovic-Cavani, les trois buteurs du soir sont aussi les hommes forts de ce PSG intraitable… quand il est au complet.


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Alex177
posté 14/12/2013 20:20
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Blanc : «Être conquérants»
Laurent Blanc était très satisfait de la prestation de ses troupes à Rennes (1-3). «Les joueurs ont retrouvé cet état d'esprit qui fait qu'on est difficiles à battre», a souligné l'entraîneur parisien, qui n'avait pas apprécié les défaites face à Evian et Benfica.

«Laurent Blanc, Avez-vous eu un peu peur de concéder le nul à 2-1 en votre faveur ?
Non. Je ne dis pas que rien ne pouvait nous arriver, mais de mon côté, je n'avais de doutes. On a fait un très bon match dans l'utilisation du ballon, les appels. Quand on a perdu le ballon tout le monde s'est battu pour le récupérer le plus vite possible. Si je regarde les stats que j'ai dans les poches, c'est très bon match de notre part. Marquer trois buts à l'extérieur, il faut le faire. Après un prend un but sur coup de pied arrêté, mais l'équipe n'a pas paniqué, a continuer à jouer son jeu.

«Si on veut devenir une très grande équipe il faut avoir la mentalité qui va avec. On n'avait pas cette mentalité à Evian et Benfica»

Etes-vous d'autant plus satisfait qu'il fallait réagir à l'extérieur après deux défaites à Evian puis au Benfica Lisbonne ?
Oui on a raté deux matches à l'extérieur car je pense qu'on n'a pas mis suffisamment les ingrédients que nécessite un match de haut de niveau. Si on n'en a pas pris conscience après ces deux matches, c'est qu'on n'a rien compris. Mais ce soir (samedi), outre la victoire, le contenu m'a beaucoup plu. Les joueurs ont retrouvé cet état d'esprit qui fait qu'on est difficiles à battre quand on met ces ingrédients. C'est ça le plus haut niveau: il faut être conquérants, quand on n'a pas le ballon que tout le monde soit concerné. Tous les grands joueurs, toutes les grandes équipes le font, si on veut devenir une très grande équipe il faut avoir la mentalité qui va avec. On n'avait pas cette mentalité à Evian et Benfica.

On a parfois l'impression que votre équipe joue à l'économie, gère...
Ah bon ? Les gens me disent souvent que ça paraît facile vu des tribunes... Je veux bien... Qu'on donne cette impression est une bonne chose, mais croyez-moi il faut jouer les matches, se proposer, ne pas paniquer, défendre et attaquer. Donner cette impression demande beaucoup d'efforts. C'est peut-être une impression agréable, mais la réalité est plus difficile.»
AFP

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Homer
posté 14/12/2013 21:38
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Maxwell touché aux côtes

Forfait de dernière minute à Rennes, Maxwell souffrait des côtes. «Il a eu une blessure avant hier (jeudi) au niveau des côtes, un choc, a expliqué Laurent Blanc après le match. Il ne pouvait vraiment pas jouer. Je ne sais pas s'il pourra revenir contre Saint-Etienne mercredi (en 8e de finale de Coupe de la Ligue), il faut voir l'évolution.» (Avec AFP)

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posté 16/12/2013 09:47
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Jean-Claude Blanc : « Le Paris Saint-Germain peut devenir une marque mondiale »

Hormis gagner des titres, quelle est votre ambition pour le Paris Saint-Germain ?
Notre ambition, c'est de faire du Paris Saint-Germain une marque mondiale dans le sport. Nous voulons entrer dans le Top 10 des marques comme le Real Madrid, le FC Barcelone, Manchester United, Ferrari ou les All Blacks. Dans le sport, il y a des clubs qui, quel que soit leur talent, ne peuvent guère rayonner au-delà d'une ville ou d'un pays. Une équipe comme Dortmund est excellente, mais son potentiel médiatique est naturellement limité. Notre chance est que nous pouvons nous appuyer sur l'image de Paris. Nous pouvons associer la popularité du football à l'aura de Paris. Nous pouvons en plus nous appuyer sur des joueurs connus dans le monde entier, de David Beckham, la saison passée, à Zlatan Ibrahimovic, en passant par Thiago Silva. Et sur des marques partenaires mondiales comme Panasonic, Nike ou Microsoft. Nous avons en plus la chance d'être les seuls à pouvoir préempter le territoire parisien alors que Londres compte six équipes de Premier League, et Madrid, Rome ou Barcelone, deux clubs chacune.

Comment atteindre cet objectif de création d'une marque mondiale ?
On ne peut rien accomplir sur la durée sans résultats sportifs. Il faut gagner mais il faut aussi se donner les moyens de gagner. C'est pourquoi nous voulons arriver, d'ici à 2015, à un budget de 500 millions d'euros. Nous serons ainsi dans la même catégorie qu'un Real Madrid. Nous partons de loin, en 2011 notre budget était inférieur à 90 millions d'euros. Nous sommes à 400 millions. Il nous reste 20 % du chemin à parcourir.

Le Paris Saint-Germain a-t-il vocation à devenir un grand club omnisports ?


Notre vocation est d'être, effectivement, un club multisport. Nous ne nous interdisons rien, mais ne brûlons pas les étapes. Commençons par faire bien dans le football masculin et féminin ainsi que dans le handball. Un jour, nous aurons encore envie de grandir, mais ce n'est pas la priorité.

Comment comptez-vous atteindre les 500 millions d'euros de budget ?
Tous les clubs s'appuient sur les recettes du stade avec la billetterie, la restauration, les loges, les boutiques, mais aussi sur les droits télé nationaux et des compétitions européennes, le merchandising et, bien sûr, le sponsoring. A nous, qui voulons aller vite, de nous inspirer de ce qui a déjà fonctionné, mais aussi de trouver de nouvelles pistes. Dans les partenariats par exemple, nous allons chercher des revenus dans les investissements réalisés par les Etats pour assurer leur promotion. C'est un marché mondial de 200 milliards d'euros par an. Certains dans le sport, comme la Fifa, l'UEFA, le Comité international Olympique ou la Formule 1 captent déjà, et depuis longtemps, une partie de ces recettes pour les grandes compétitions qu'ils organisent. Quand Abu Dhabi décide d'organiser une course de F1, elle dépense 250 millions pour un circuit et un événement qui durera tout juste un week-end. Nous, nous proposons à l'Autorité du tourisme du Qatar un partenariat sur une saison complète.

Mais que rapporte au Qatar l'association avec le Paris Saint-Germain ?
Le Qatar a attiré en 2011 2,5 millions de touristes. Dubaï en a attiré 8 millions. L'ambition du Qatar, c'est de progresser et de faire du tourisme une activité économique qui, d'ici à 2030, générerait avec 8 millions de visiteurs plus de 10 milliards de dollars de recettes. Ce pays, qui vit aujourd'hui à 60 % de l'exploitation de ses ressources naturelles, veut diversifier son économie. Il investit 50 milliards dans la construction d'infrastructures de transport, dans des stades, dans un aéroport. Et il s'appuie sur un club comme le PSG pour booster sa notoriété. En s'appuyant sur le Paris Saint-Germain, la destination s'appuie aussi sur l'image de Paris. En 2011, le Qatar était à la 105e place du classement mondial des destinations qui font rêver. Les Emirats arabes unis étaient à la 45e. Gagner une place au classement a un impact direct sur les investissements étrangers.

Le Qatar lie son image à Paris. Or Paris, c'est aussi la ville des droits de l'homme et de la démocratie. N'y a-t-il pas une contradiction ?
Nos actionnaires Qataris n'ont cessé de proclamer que le Paris Saint Germain était et restait un club français et que toutes les lois et les règlements du pays seraient scrupuleusement respectées sans qu'aucun commentaire ne soit fait par eux. De même je ne commenterai pas ce qui se passe au Qatar, je n' ai ni raison ni légitimité à le faire

Pour certains, l'investissement de l'Autorité du tourisme du Qatar, d'une centaine de millions d'euros par an, serait une aide déguisée qui vous mettrait en infraction avec le « fair-play financier » cher à l'UEFA ?
Nous avons expliqué à l'UEFA notre stratégie qui est atypique mais légitime. L'UEFA doit nous donner une première indication en janvier. Nous aurons peut-être à apporter des compléments d'information, mais soyons clairs. L'objectif du [i]« fair-play financier » ne doit pas être de figer les positions, de prolonger les situations existantes ou de faire du football un club fermé. Nous sommes dans l'une des plus grandes villes du monde et nous ne voulons pas avoir plus d'argent que les autres, mais nous pouvons devoir développer un grand club européen en bénéficiant du même niveau de ressources que nos concurrents européens.[/i]

Quelle place occupe le Parc des Princes dans votre stratégie ?
Le Parc des Princes est le stade historique du club et le restera. Nous venons de conclure une nouvelle convention de trente ans avec la Ville de Paris (lire ci-contre). Celle-ci prévoit que nos loyers passeront de moins de 500.000 euros par an à plus de 1 million, plus une part variable indexée sur nos recettes. Nous, nous n'allons pas augmenter le nombre de places avec le projet déposé. Le Parc continuera d'accueillir 47.000 personnes, 47.000 et non pas 45.000 car nous allons libérer 2.000 places aujourd'hui inutilisées. Mais nous allons, en revanche, améliorer l'accueil, le confort et les recettes. Nous allons investir 75 millions d'euros pour changer les sièges, supprimer les grilles, combler les fosses, développer les loges.

Vous allez faire un club de riches ?
Le PSG doit rester un club populaire. Nous n'allons pas réduire les 30 % de places situées dans les virages. Aujourd'hui, un abonnement complet pour la saison dans ce secteur coûte 13 euros par match en moyenne. Nous réfléchissons à l'évolution de ce prix, le plus bas parmi les grands clubs européens, tout en voulant conserver le caractère populaire de ces tribunes. En parallèle, nous augmenterons la qualité et donc le prix des prestations VIP. Comme dans les autres clubs, nous voulons que 10 % des places soient premium, en passant de 1.400 places à 4.500 et qu'elles représentent 45 % des recettes du stade.

Donc l'idée d'augmenter le nombre de places est abandonnée ?
La nouvelle convention, comme la précédente, ne l'exclut pas, mais rien n'est prévu aujourd'hui dans ce programme de travaux. Nous avons toujours l'envie de pouvoir le faire un jour, mais cela devra s'inscrire dans un projet plus global.

Qu'entendez-vous par un projet global autour du Parc des Princes ?
Le Parc s'inscrit dans un quartier. Il y a de nombreuses installations sportives. Roland-Garros, Jean-Bouin, le Stade Français Géo-André, la piscine Molitor qui sera bientôt rénovée… Il y a aussi des écoles et des riverains. Un parking, une enseigne de sport… Nous avons conscience que les matchs du PSG peuvent créer des nuisances. A nous de travailler sur un projet qui implique tout le monde. Peut-on par exemple réfléchir à des espaces verts ou des terrains d'entraînement ouverts aux fans, aux enfants les jours de match, aux scolaires et au sport amateur le reste de la semaine ? Aujourd'hui, nous ne demandons rien. Simplement que, lorsque certaines concessions accordées par la Ville arriveront à échéance, leur renouvellement s'inscrive dans un projet global.

Vous voulez aussi pouvoir changer le nom du Parc ?
La nouvelle concession prévoit une possibilité de « naming » qui nous permettrait d'adosser le nom d'une entreprise au nom du Parc des Princes. Ce n'est qu'une possibilité dont nous évaluons les retombées potentielles à 8 millions d'euros par an, mais rien n'est prévu aujourd'hui et la Ville de Paris bénéficiera d'un droit de regard sur le nom proposé.

Vous avez débuté votre carrière aux Jeux Olympiques d'Albertville 1992 et êtes proche de Jean-Claude Killy. Paris doit-il poser sa candidature pour l'organisation des J0 de 2024 ?
Paris a une légitimité à poser sa candidature. Mais une telle candidature devrait être française. Les JO sont un événement susceptible de mobiliser une population autour d'un projet d'avenir auprès de plusieurs villes. C'est un vrai projet fédérateur.

Quel est votre point de vue sur la taxe à 75 % sur les hauts revenus qui va impacter les clubs de football ?
Le PSG sera le premier concerné puisque, pour le club, cela représenterait 20 millions d'euros. Mais il faut faire attention à ne pas déstabiliser l'ensemble du football professionnel, qui constitue une véritable filière économique et d'emplois. Nous avons, par exemple, créé plus de 60 emplois depuis notre arrivée. Le football est un secteur que l'on ne peut pas délocaliser. Il faut aussi veiller à ne pas accentuer le déséquilibre avec les autres championnats. Rappelons que, sur le salaire d'un joueur, le Bayern Munich paie 3 % de charges sociales contre 33 % pour nous. Le danger est d'effrayer les investisseurs étrangers alors que de nombreux clubs cherchent à ouvrir leur capital.

Le football professionnel se caractérise par l'emploi de jeunes salariés qui, pour beaucoup, gagnent des fortunes. Sont-ils difficiles à gérer ?
Les footballeurs sont de jeunes gens. Ils sont très entourés par des conseillers et des membres de leur famille. Mais il y a beaucoup d'affectif dans la relation avec eux. L'argent compte. Ils ont conscience d'être sur un marché mondial. Mais le côté personnel compte aussi. Tout comme le projet sportif. Ce sont des compétiteurs. Ils veulent jouer et gagner des titres. Aujourd'hui, le Paris Saint-Germain les attire pour cela. Ils sont jeunes. Notre rôle en tant que club est de les aider à se projeter.


http://www.lesechos.fr/economie-politique/...iale-637422.php
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BiBi
posté 16/12/2013 13:26
Message #5838


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Le Bayer Leverkusen pour le PSG
Le PSG a été plutôt épargné lors du tirage au sort des huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Le club de la Capitale affrontera le Bayer Leverkusen.

Le PSG a hérité d’un tirage plutôt favorable lors des huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Le club de la Capitale affrontera le Bayer Leverkusen.

Matchs aller : 18, 19, 25 et 26 février 2014
Matchs retour : 11,12, 18 et 19 mars 2014


FOOT365

Tirage complet
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C1 / 8EMES DE FINALE
Manchester City (ANG) - FC Barcelone (ESP)
Olympiacos Le Pirée (GRE) - Manchester United (ANG)
Milan AC (ITA) - Atletico Madrid (ESP)
Bayer Leverkusen (ALL) - PSG
Galatasaray (TUR) - Chelsea (ANG)
Zenit Saint-Pétersbourg (RUS) - Borussia Dortmund (ALL)
Arsenal (ANG) - Bayern Munich (ALL)
Schalke 04 (ALL) - Real Madrid (ESP)

Matchs aller : 18, 19, 25 et 26 février 2014
Matchs retour : 11,12, 18 et 19 mars 2014
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Steff14
posté 16/12/2013 14:01
Message #5839


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Laurent Blanc (coach du PSG) en conférence de presse, suite au tirage au sort des 8e de finales de C1 : «Leverkusen, on s'y était préparé. Il ne faut pas oublier qu'ils se sont qualifiés dans un groupe très difficile. Ce n'est ni un bon, ni un mauvais tirage, mais ça aurait pu être pire. Nous avons beaucoup de respect pour cette équipe. Tous les matches sont difficiles en 8e de finale de Ligue des champions. Il y a des très grosses affiches : quand on voit le premier match qui est sorti (Manchester City - FC Barcelone)...

Ne croyez pas que ce match ne sera pas pris sérieusement. On va le préparer comme il faut et étudier cet adversaire. On va peut-être regarder un peu plus le championnat allemand que d'habitude, mais s'ils sont deuxièmes derrière le Bayern, c'est que c'est une équipe de qualité. Je connais bien l'entraîneur, Sami Hyypiä (...) La plupart de mes joueurs étaient encore sur le terrain au moment du tirage. Ils terminaient leur séance d'entraînement.»

Adrien Rabiot (PSG) au micro de BeIN Sport : «Leverkusen, c'est un bon tirage, ça aurait pu être plus compliqué. On sait que toutes les équipes arrivées à ce niveau-là veulent aller en quart, mais ça aurait vraiment pu être plus difficile. Ils vont essayer de jouer leur va-tout. On ne va pas se plaindre, on va jouer comme on sait le faire, comme on l'a fait en phase de poules. Si on veut aller plus loin, c'est favorable de tirer Leverkusen. Notre objectif, c'est de faire mieux que l'an passé, et cela passe par une victoire en 8e.»

Völler : «On sera outsiders»

Rudi Völler (directeur technique du Bayer Leverkusen) au micro de Sky : «On n'a encore jamais affronté Paris, ce qui rend ce match encore plus intéressant. C'est évidemment une équipe dotée de joueurs de classe mondiale. Il faudra faire meilleure figure chez nous que face à Manchester United (0-5), mais je suis persuadé qu'on en sera capables. Il ne s'agit pas seulement de stopper Ibrahimovic. Ils ont d'autres super joueurs comme Cavani et Lavezzi, pour n'en nommer que deux. On essaiera de faire bonne impression. On sera outsiders mais il y a souvent des surprises en compétition européenne. On respecte Paris mais on se présentera très confiants».
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Alex177
posté 17/12/2013 10:21
Message #5840


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Barthez en «consultant de luxe» ?
Selon France Football, le PSG souhaiterait faire appel à Fabien Barthez dans un rôle de «consultant de luxe» pour tous ses gardiens, de l'équipe professionnelle jusqu'au centre de formation. Comme lorsqu'il occupait les fonctions de sélectionneur de l'équipe de France, Laurent Blanc serait décidé à confier cette mission à son ancien partenaire et ami. Elle commencerait début janvier, à la reprise après la trêve hivernale. L'ex-gardien international en profiterait pour être en quelque sorte un ambassadeur de prestige des Qataris, qui ont toujours affiché leur volonté de solliciter des stars pour crédibiliser leur projet.

QSI principal sponsor de son écurie en championnat de France GT FFSA

En échange, le Qatar via QSI deviendrait le sponsor principal de l'écurie du champion du monde 98 reconverti en pilote automobile. Car en parallèle de ces nouvelles activités au sein du club parisien, Barthez poursuiverait sa carrière dans le championnat de France de GT FFSA, dont il est le tenant du titre, et pourrait aussi préparer dans les meilleures conditions les 24 Heures du Mans auxquelles il rêve de participer.

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