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23/04/2009 17:01
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,680 Inscrit : 21/08/2011 Membre no 8,061 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - PSG - Le Guen : «C'est passionnant»
L'entraîneur du Paris SG, Paul Le Guen, est «excité» à l'idée de se rendre à Lyon vendredi. Selon lui, tous les ingrédients sont réunis pour que cette rencontre tienne ses promesses. «Le public de Gerland sent l'urgence, la nécessité d'être derrière son équipe, a-t-il expliqué. Je m'attends à beaucoup d'ambiance, une union sacrée. Ils seront revanchards après leur défaite contre Bordeaux (0-1). Je m'attends à une chaude réception, mais c'est bien, c'est passionnant ! Pour la course au titre, Lyon a besoin de points et pour les places européennes aussi. Un résultat est impératif pour eux. Pour nous aussi, c'est un impératif pour pouvoir se mêler à cette bagarre là, rester à la lutte». Côté terrain et en cas de victoire, Le Guen assure que les ambitions du club restent inchangées. «On est là pour gratter quelque chose, pour une place éventuelle en Ligue des Champions. On est impatient de jouer ce match, ce sera compliqué mais ils sont capables (l'attaque parisienne, ndlr) de marquer à Lyon. On va tout faire pour inquiéter leur défense». lequipe.fr |
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23/04/2009 19:40
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,255 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation Paul Le Guen : "Se mêler à la bagarre" L’entraîneur du PSG s'est exprimé en conférence de presse jeudi après une séance à huis clos au Camp des Loges. Paul Le Guen s’attend à un match compliqué mais intéressant à jouer. Comment abordez-vous la rencontre à Lyon ? « J’éprouve du plaisir à retrouver le stade Gerland et jouer un match comme celui-ci. Ce sera une rencontre très intéressante. Difficile à jouer, mais passionnante. » Le PSG est lancé dans un sprint final en championnat… « Nous sommes impatients de jouer ces dernières journées. On est plutôt bien placés mais nous avons des déplacements difficiles qui viennent. » N'est-il pas plus simple d'affronter une équipe lyonnaise qui semble diminuée… « Lyon est blessé mais l’OL a besoin de points dans la course au titre et pour une place en Champions League. C’est un résultat impératif de leur côté. Nous aussi nous voulons rester dans la lutte, se mêler à cette bagarre. Nous verrons donc certainement un beau match. » Quelle sera l’ambiance à Lyon pour ce choc ? « Je m’attends évidemment à beaucoup d’ambiance. Je pense que le public lyonnais sera derrière son équipe. C’est peut-être la dernière chance pour eux de rester au contact de Marseille et Bordeaux. Les joueurs seront mobilisés, revanchards, donc on aura droit à une chaude réception. Cependant, je suis excité de jouer un tel match. » Jouer ce genre de rencontre doit vous faire plaisir après une saison difficile l’an dernier… « Je n’ai jamais boudé mon plaisir, j’ai toujours été content et fier d’être ici. On a tenu bon l’an dernier et nous avons disputé deux finales de coupes. Bien entendu, il est plus agréable de vivre des fins de saisons comme celles-ci. » PSG.fr |
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24/04/2009 08:27
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,641 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 498 Tribune : Canapé |
Citation Lyon - PSG, choc capital dans la course au titre En cas de succès ce soir, Lyon ou Paris conservera toutes ses chances d’être sacré et prendra une option sérieuse pour accéder à la Ligue des champions. Ce soir, c’est jour de Ligue1, et la Ligue 1 en ce moment, c’est passionnant, renversant, bluffant, étonnant. Lyon - PSG, ce sera donc beau, ce sera grand et ce sera à Gerland. L’ordinateur magique de la Ligue avait prévu un week-end génial, nourri de trois confrontations entre les sept premiers du championnat, avec en sus Rennes - Bordeaux et Lille - Marseille. La finale de la Coupe de la Ligue demain entre Bordeaux et Vannes, décalant à mercredi prochain le déplacement des Girondins en Bretagne, vient un poil gâcher l’immense tournant que représente cette 33 e journée. Elle commence par l’épique duel entre Lyon et Paris, ou la rencontre entre un grand blessé et un jeune effronté cherchant à s’inviter dans le grand monde. Mais, pour entrer dans la caste des clubs appelés à jouer la Ligue des champions, Paris va devoir fournir un effort héroïque. Marseille et Bordeaux pourraient en profiter Non pas qu’il soit impossible d’assaillir Gerland, un endroit où le septuple champion de France a déjà abandonné 17 points cette saison. C’est juste le moment et le contexte. Après son nul face à Monaco (2-2) et sa visite infructueuse en Gironde (défaite 1-0), Lyon va jouer des biscoteaux ce soir, vouloir montrer que le patron possède encore le même nom et de quel bois il se chauffe. Paul Le Guen a pris toute la mesure des secousses telluriques qui l’attendent: « Le public lyonnais sera derrière son équipe. Il sait que c’est la dernière chance peut-être de rester au contact de Marseille et de Bordeaux. Il va y avoir une union sacrée, ils seront mobilisés et revanchards. Je m’attends à une chaude réception, mais je suis excité à l’idée de disputer un tel match.» Si le match va conditionner l’avenir européen de chaque équipe, son vainqueur potentiel lorgnera du côté du titre. Un match nul serait également décisif, mais ni pour Lyon ni pour Paris qui figeraient leur position et remettraient leur duel à plus tard. Il serait décisif pour Bordeaux, qui resterait deuxième sans jouer et pour Marseille qui n’aurait plus qu’à s’envoler vers son 9 e titre de champion de France en battant Lille après-demain. La Ligue 1, c’est comme ça qu’on l’aime : servie show! Citation Paris a tout à gagner Accrocher la Ligue des Champions en fin de saison permettrait au PSG de renflouer ses caisses et de lever quelques incertitudes sur son avenir. Une rentrée d’argent bienvenue. Cette saison encore, le déficit devrait être supérieur à 10 millions d’euros. Paris doit également débourser près de 8 millions d’euros pour lever l’option de prêt de Kezman (3,71 millions d’euros) et finir de payer le transfert de Sessegnon. Autant dire qu’une participation à la C1 permettrait à Sébastien Bazin de limiter les dégats. Le PSG bénéficierait ainsi d’une rentrée d’argent conséquente, entre 15 et 20 millions d’euros. Et sans compter les retombées économiques en terme de merchandising et de billeterie. Enfin, une qualification pour la Ligue des Champions pourrait aussi attirer plus d’investisseurs. Le club de la capitale n’aurait plus besoin de vendre ses meilleurs élements (Sessegnon, Hoarau) pour renflouer ses caisses. Un club plus attractif. Le PSG ne disposerait pas pour autant d’une meilleure enveloppe au mercato cet été (pour l’instant, aucune n’est prévue). Mais avec une participation à la C1, il sera plus facile d’attirer des joueurs de renom. Il lui faudra notamment renforcer son côté gauche et éventuellement trouver un sucesseur à Landreau. Surtout, Paris disposerait d’arguments de taille pour convaincre un joueur comme Stéphane Sessegnon de poursuivre l’aventure sous le maillot parisien. Le Béninois, dans une interview à Orange sport cette semaine, laisse entendre qu’il ne ferme pas la porte à un éventuel départ à Chelsea. Claude Makelele pourrait aussi se laisser séduire à l’idée de jouer, une dernière fois, cette compétition mythique. Une qualification n’aurait pas d’incidences en revanche sur la décision de Paul Le Guen, qui repose sur d’autres critères (organigramme, fonctionnement). « Je n’ai pas encore pris ma décision », a affirmé hier l’entraîneur parisien. Le Parisien |
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24/04/2009 09:41
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,255 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation Dugarry : « Je sens les Lyonnais résignés » « Je vois un 2-2. Avant Bordeaux-Lyon, j’avais dit que si l’OL perdait, il ne serait pas dans les trois premiers. Je persiste, réaffirme cet autre consultant de la chaîne cryptée. Contre Paris, c’est vraiment le match de la dernière chance. Mais je sens Lyon complètement résigné et amorphe. Le PSG est une équipe qui semble au maximum depuis le début de saison. On se dit que les jambes vont céder et que la réussite va fuir. Mais Paris est toujours dans le coup. Cette équipe, avec les joueurs expérimentés qui l’encadrent, peut finir sur le podium. » Citation Papin : « Un Lyon conquérant » « Je mise sur un 2-1 pour l’OL, assure JPP, consultant pour Canal +. J’imagine un Lyon conquérant qui jouera sa dernière chance et qui voudra faire taire ceux qui disent que le champion est mort. On va voir un visage de Lyon bien différent de celui des derniers matchs. Ce sont néanmoins deux formations qui sont sur la pente descendante. Mais n’oublions pas que le titre, lui, se jouera au mental et, à ce petit jeu, il ne faut pas oublier que ce sont les Lyonnais, grâce à leur expérience, qui sont les mieux armés. » Le Parisien Citation Le Guen, remember 2005 L’entraîneur gère sa fin de contrat à Paris de façon assez comparable à la fin de son épopée à l’OL. Pour la même issue ? QUI SERA L’ENTRAÎNEUR du PSG la saison prochaine ? La question ressemble à celle que se posaient les dirigeants lyonnais il y a quatre ans. À l’époque, le technicien de l’OL se nommait Paul Le Guen. Il arrivait en fin de contrat, comme avec le PSG, restait sur une belle saison, (presque) comme avec Paris, et se montrait aussi bavard avec les médias qu’il l’est aujourd’hui. Les similitudes avec la fin de la période lyonnaise du breton et sa façon de gérer l’incertitude sur son avenir sont évidentes même si le contexte n’est pas tout à fait identique. À Lyon, Jean-Michel Aulas tenait à tout prix à conserver Le Guen à la tête de son équipe. Dès janvier 2005, le président lyonnais, convaincu que son entraîneur allait rester, lui avait formulé des propositions de prolongation. À Paris, la position de Sébastien Bazin ne paraît pas aussi tranchée. L’actuel président – non exécutif – du PSG ne sait pas quelles sont les intentions et les envies de son technicien. Il l’a rencontré au camp des Loges, au lendemain de l’élimination en Coupe de l’UEFA à Kiev, mais les deux hommes n’ont évoqué que les sept derniers matches et les objectifs à atteindre. Le Guen « fait comme si… » Ils doivent se revoir pour évoquer l’après-30 mai, date de la dernière journée, et devraient profiter de la première semaine de mai, sans échéance le week-end suivant, pour se rencontrer. Comme Aulas, Bazin apprécie Le Guen. Mais, si ce dernier a réussi à faire languir le président de Lyon de longs mois, s’il est parvenu à différer sa réponse à chaque fois que JMA revenait à la charge, il n’aura pas la même latitude avec le second. Avec le club qu’il a conduit à trois titres de champion, un simple signe de tête aurait validé sa prolongation. À Paris, une éventuelle intention de rester ne sera pas une condition suffisante. Le technicien breton, même s’il conduit l’équipe en Ligue des champions, devra convaincre son patron qu’il est l’homme de la situation pour deux années supplémentaires. « Il devra le surprendre », dit-on du côté de Colony Capital, l’actionnaire majoritaire du PSG. Aujourd’hui, si l’actionnaire s’est montré surpris, c’est surtout par les dernières déclarations de son entraîneur. À Colony, personne n’a compris où Le Guen voulait en venir lorsqu’il a évoqué, avant le match de Kiev, « les 450 euros que coûte une pension complète pour un joueur » lors des déplacements européens ou encore « les petits moyens » du PSG, alors comparé à Chelsea et à Liverpool. Était-ce une façon de préparer une sortie différente de celle mise en place à Lyon ? Six mois avant son départ des bords du Rhône, Le Guen s’était arrangé pour faire passer le message qu’il partirait en juin, sans jamais le confirmer publiquement. Personne – et surtout pas Aulas – n’y avait cru. Cette fois, la méthode est sensiblement distincte. L’entraîneur parisien refuse d’évoquer son avenir en conférence de presse, n’accorde aucune interview individuelle mais glisse quelques mots sujets à interprétation et controverse. Surtout, il assure « préparer la prochaine saison, comme si… », ce qu’il ne faisait pas à Lyon lors de sa dernière année. Une certitude : Le Guen connaît trop bien le monde du foot pour se sentir redevable de quoi que ce soit. Il aurait pu l’être envers Aulas pour lui avoir maintenu sa confiance en dépit d’une élimination humiliante en Coupe de France contre Libourne-Saint-Seurin (0-1), en 2003, comme il pourrait l’être envers Bazin de ne pas l’avoir remercié après la pénible saison 2007-2008. Cet argument n’aura que peu de poids dans sa réflexion. En revanche, savoir que dire « oui, j’ai envie de rester » pourrait ne pas suffire risque de peser lourd. Citation Paris retrouve son bloc LES VOYAGES DU PSG cette saison n’ont pas souvent été désagréables. À l’extérieur, les Parisiens figurent parmi les quatre meilleures équipes de L 1 grâce, notamment, à un bloc défensif plutôt hermétique. Sur trois de ses quatre derniers déplacements – à Grenoble (0-0), Lorient (1-0) ou Lille (0-0) –, Paris est parvenu à ne concéder aucun but. Cela en fait-il un candidat au succès, ce soir, au stade de Gerland, où il n’a plus gagné depuis quatre ans ? « On a eu quelques matches difficiles avec la réception de l’OM (1-3) et le déplacement à Toulouse (1-4), reconnaît Paul Le Guen. Depuis, il y a une nette volonté de repartir sur le bonnes bases défensives. Mais ça ne concerne pas que la défense. C’est une attitude. » C’est sur ce point qu’insiste l’entraîneur parisien depuis quelques semaines, fidèle à une ligne de conduite inspirée par Artur Jorge selon laquelle, pour gagner un match de foot, il est nécessaire de ne pas prendre de but. À Lyon, Paris alignera son équipe type avec une défense retrouvée, ce qui n’était pas le cas à Toulouse par exemple. Le PSG a besoin de se rassurer et connaît l’importance de ne pas être trop vite mené au score, comme, récemment, face à l’OM ou Toulouse. « On a l’habitude de faire des cadeaux dans les dix premières minutes, expliquait Claude Makelele, mercredi. Ça nous handicape souvent. À Gerland, faudra faire très attention car si on se comporte de la même façon, on ne reviendra pas dans le match. » À Lille, lors de son dernier déplacement, le PSG avait déjà su remédier à ce problème. Mais à force de penser à bien défendre, il avait péché dans la construction offensive et ne s’était pas montré dangereux dans le Nord. Lequipe |
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24/04/2009 10:01
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Citation Djorkaeff : « Gare à la bête blessée » «JE VOIS un 1-1. Je m’attends à une rencontre de très haut niveau, comme le match aller (victoire du PSG 1-0), avec beaucoup d’engagement physique et de la qualité technique, estime l’ancien Parisien d’origine lyonnaise, consultant d’Orange Sport. Lyon est certes une bête blessée mais ce sont elles qui se révèlent les plus dangereuses. Ils seront revanchards ! Ce sera une finale, comme tous les matchs d’ici à la fin de la saison. Je vois Lyon finir premier, à l’expérience. » Roux : « La dernière chance » «LYON- PSG va entrer dans la catégorie des grands matchs de l’année,mais je ne joue pas au jeu du pronostic, souligne Guy Roux (Canal+). Je pense que l’OL va rassembler toutes ses forces dans ce match. Jéremy Toulalan revient lentement de plusieurs semaines d’inactivité. Il sera bien meilleur ce soir, un peu comme François Clerc. Ce sera le match de la dernière chance pour l’OL. Pour le championnat, j’ai une certitude : je vois Bordeaux sacré. Je le dis depuis le début, je ne vais pas changer d’avis aujourd’hui!» Bravo : « Je crois moins en Paris » «JE DIRAIS 1-1. Paris a des difficultés à finir la saison. Son classement est flatteur et sa large victoire contre Le Havre, dimanche dernier, est un trompe-l’oeil. Je crois moins en elle qu’il y a quelques semaines. En face, Lyon est également prenable.Mais il ne faut pas croire que cette équipe ne vaut plus rien. Elle donne des signes de faiblesse. Cela ne veut pas dire qu’elle est devenue faible. Pour le titre, je mise sur Bordeaux pour détrôner Lyon. » Larqué : « Les Parisiens vont souffrir » «JE DIS 1-1. Je lis un peu partout que Lyon est résigné. Contre Bordeaux, son premier quart d’heure me persuade du contraire. C’est une équipe qui est loin d’avoir abdiqué, juge le consultant de TF 1.A l’image de Benzema, qui change sans arrêt de positionnement, elle se pose des questions. Mais elle reste dangereuse. Paris va souffrir. Sur le titre, il est trop compliqué d’avoir des certitudes. Sincèrement, cette Ligue 1 est une équation à trop d’inconnues. Et je ne suis pas assez bon mathématicien pour la résoudre aujourd’hui. » Citation Du classique L’ULTIME ENTRAÎNEMENT à huis clos hier après-midi n’a pas révélé de surprise. Après des exercices avec trois équipes de sept joueurs, les Parisiens ont poursuivi la séance par une opposition où les titulaires habituels étaient partagés de part et d’autre. Giuly et Hoarau ont évolué ensemble et devraient donc composer le duo d’attaque ce soir à Gerland. Kezman, comme prévu, n’est pas remis de son problème au tendon d’Achille gauche. Il est remplacé dans le groupe par Gaëtan Charbonnier, 20 ans, le prometteur buteur de l’équipe réserve. Citation Le quatuor de tête au banc d'essai PARIS Les plus. 1. C’est l’équipe qui a le moins de pression et qui ne visait pas, au départ, le podium. 2. L’expérience de Giuly etMakelele est précieuse pour appréhender le sprint final. 3. Le calendrier, avec quatre derniers matchs contre des équipes du milieu de tableau. 4. Le Parc des Princes joue parfaitement son rôle de douzième homme et pousse ses joueurs à se sublimer. 5. Hoarau, révélation de la saison, peut marquer à tout moment. Les moins. 1. L’effectif n’est pas assez étoffé et les doublures ne sont pas du même niveau que les titulaires, notamment chez les arrières latéraux. 2. L’incertitude concernant l’avenir de Paul Le Guen au poste d’entraîneur et de celui Makelele comme joueur peut également peser dans les esprits parisiens. Le Parisien |
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24/04/2009 10:36
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 2,229 Inscrit : 10/01/2009 Lieu : Hauts-de-Seine Membre no 232 Tribune : Viré du stade |
Citation OL-PSG : Armand a la taille ! vendredi 24 avril 2009 Loin, très loin de ses rêves de titres fêtés sur le balcon de l’Hôtel de Ville, voilà bientôt cinq ans que Sylvain Armand surnage dans les eaux troubles de la Seine. Même s’il aurait pu quitter le navire en cours de route pour rejoindre le yacht de Jean-Michel Aulas, le vice-capitaine du radeau PSG a toujours maintenu le cap, et peut même se payer ce soir le luxe de doubler le hors-bord lyonnais... Si ce soir, Paris bat Lyon, Sylvain Armand aura peut-être finalement gagné son pari. Nul n’a oublié que depuis bientôt deux ans, chaque mercato constitue une occasion pour le latéral du PSG de recaler le sextuple champion de France. L’été dernier, ce fut même JMA himself qui le déclara comme une cible prioritaire de son recrutement. Car depuis le départ d’Abidal, le club rhodanien rame sévère avec son flanc gauche. Quand Fabio Grosso rêve de jouer ailier et ne se consacre qu’à l’offensive, Kim Kallstrom redoute de jouer latéral et ne pense qu’à défendre. Dès lors, quoi de plus normal pour l’ogre lyonnais que de convoiter un joueur qui sache faire les deux, et sans rechigner ! Oui mais voilà, Sylvain Armand est né à Saint-Étienne, le majeur levé vers l’OL... Formé chez les Verts, il débute sa carrière en National sous les couleurs du Clermont Foot, avant de signer son premier contrat pro au FC Nantes à l’orée de la saison 2000-01. Pour sa première campagne dans l’élite, il s’impose rapidement comme un titulaire indiscutable dans la défense nantaise et se pose d’entrée en grand artisan de la quête du Graal suprême. Lorsqu’il choisit de quitter les Canaris à l’été 2004, après quatre saisons de bons et loyaux services, Armand laisse derrière lui un titre de champion de France et deux convocations chez les Bleus. Plutôt encourageant, mais légèrement insuffisant pour s’imposer sous le maillot frappé du coq. En bon provincial, il décide donc de monter à Paris, histoire d’étoffer un peu son palmarès. Suivi par son pote Mario Yepes, il s’enrôle alors sous la bannière d’un PSG qui vient de boucler sa saison comme dauphin de l’OL. Beau mirage, mais très mauvais virage. Dans la capitale, Sly Armand a d’abord connu le ventre mou du championnat, avant de finalement retrouver ce qu’il avait fui en Loire-Atlantique : la lutte pour le maintien. Point de titre à l’horizon, adieu les rêves de C1, il ne se console qu’avec les coupes nationales. Englué dans un collectif parisien plus que médiocre, il est pourtant l’un des rares à surnager. Solide dans les duels, intraitable au marquage, et constant dans ses montées, il fait le métier tant bien que mal. Son association avec Jérôme Rothen étant sans doute la seule chose qui fonctionne correctement au milieu du joyeux bordel que constitue le jeu du PSG. La première approche Aulassienne, au mercato 2007, vise d’ailleurs le tandem dans sa globalité. Qu’importe, l’un comme l’autre, Sylvain et Jérôme restent fidèles à leurs valeurs et rempilent en rouge et bleu. Pourtant, durant ses quatre premières saisons à Paris, le numéro 22 n’a pas perdu que son temps, il a également du abandonner sa carte de membre du groupe France, et ce même s’il a toujours été opérationnel. Seulement dix petits matchs de L1 ratés depuis sa découverte du Parc de Princes, une statistique qui explique mieux pourquoi sa doublure se nomme Tripy Makonda... Bye bye l’EdF donc, la lose parisienne est à ce prix. Pourtant aujourd’hui, derrière Patrice Evra, Sylvain Armand peut prétendre à une place dans le cœur de Raymond et mériterait d’être mis en concurrence avec Gaël Clichy (le Gunner n’ayant toujours pas montré grand chose à l’échelon international). Seulement, s’il veut retrouver les Bleus, il sait que son club doit à nouveau tutoyer la Ligue des Champions. Et si ce soir, le chemin vers les sommets passe par une victoire à Gerland, Sylvain Armand pourra définitivement lever l’autre majeur... So foot -------------------- Autre récompense à destination du club parisien, celle de dirigeant de l'année attribuée à Robin Leproux, le président du PSG. ©France Football
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24/04/2009 11:27
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,655 Inscrit : 15/04/2009 Lieu : Paris Membre no 899 Tribune : Non précisée |
Citation PSG / PAUL LE GUEN : « ON NE JOUE PAS LE TITRE » Malgré les qualités de son effectif, Paul Le Guen refuse encore de parler de course au titre. Surtout à l'heure de se rendre à Gerland pour y défier Lyon. L'entraîneur parisien rêve en revanche d'accrocher la Ligue des Champions. Paul Le Guen, que ressentez-vous avant ce choc à Lyon ? Beaucoup de plaisir d'aller disputer un match comme celui-ci et de pouvoir retrouver le stade de Gerland. C'est un match très intéressant et passionnant à jouer, bien qu'il va être difficile. Quel est l'état d'esprit de votre équipe après la victoire à domicile face au Havre ? Nous sommes impatients de jouer ces dernières journées car nous sommes plutôt bien placés. Nous avons un déplacement difficile qui arrive mais ce sont des matchs excitants à jouer. Craignez-vous cette équipe lyonnaise, sûrement très revancharde après sa défaite face à Bordeaux ? Lyon a besoin de points pour se maintenir, à la fois dans la course au titre et pour les places qualificatives pour la ligue des Champions. Une victoire est un résultat impératif de leur côté. Mais pour nous également car nous voulons rester à la lutte et pouvoir nous mêler à cette bagarre. Ce sera donc un beau match. Jouez-vous la course au titre de champion de France ? Non mais la qualification pour la Ligue des Champions est éventuellement notre objectif. Nous sommes là pour essayer de gagner des places et de profiter d'une éventuelle opportunité. En cas de victoire contre Lyon, vos ambitions seront-elles à la hausse ? Nous n'en sommes pas là. Et puis, cela dépendra surtout des résultats de nos concurrents. « Nous avons le talent nécessaire » Etant un ancien entraîneur lyonnais, comment le PSG va-t-il être accueilli ? Je m'attends évidemment à beaucoup d'ambiance. Le public lyonnais va être derrière son équipe. C'est aussi une des dernières chances de Lyon pour conserver le contact avec Marseille et Bordeaux. Je pense qu'il y aura une union sacrée de leur part. Ils seront complètement mobilisés et revanchards par rapport à leur défaite face aux Bordelais. Je prévois donc une chaude réception mais je regarde le bon coté des choses et je suis enthousiaste à l'idée de disputer un tel match. A domicile, les lyonnais ont perdu beaucoup de points cette année. Est-ce un paramètre à prendre en compte ? Eventuellement mais encore une fois, le contexte est compliqué car ils restent sur une défaite a Bordeaux et il y a donc une situation d'urgence. Ils vont être complètement concentrés sur leur sujet. Mais c'est vrai que depuis le mois de novembre, ils ont eu beaucoup de coups durs et de pépins, ce qu'il les a pénalisés dans leur course vers le titre. Comment expliquez-vous le retour de la solidité défensive du PSG qui avait avaient été mis à mal avant la trêve ? Nous avons eu quelques matchs difficiles avec la réception de Marseille et le déplacement a Toulouse. Mais il y a une vraie volonté de notre part de reprendre sur les bonnes bases que nous avions précédemment. Cela ne concerne pas seulement la défense mais c'est également une attitude et une démarche générale de la part de toute l'équipe. Il faut continuer dans ce sens-la. Même si nous n'avons pas encaissé de but ces derniers matchs, nous n'avons pas été aussi performants qu'à l'automne dernier. En 2009, le PSG possède la meilleure attaque en Ligue 1. Est-ce que vous sentez vos joueurs capables d'aller marquer à Lyon alors qu'ils ont tendance à être un peu moins performants ces derniers temps ? Le PSG possède un quatuor offensif talentueux. Même les joueurs sur le banc sont capables d'intervenir et d'apporter un plus. Nous avons le talent nécessaire pour nous créer des situations favorables face à l'adversaire. J'ai visionné l'ensemble des buts que nous avons marqués et c'est souvent sur des actions collectives ou des attaques placées. Je trouve que cela démontre les capacités de mes joueurs à réaliser de bonnes choses. Donc nous allons les mettre dans de bonnes conditions et continuer à faire ce qu'il faut pour avoir le jeu capable de contrarier l'équipe lyonnaise. Le début de rencontre entre Bordeaux et Lyon fut très intense et engagé. Vous attendez-vous au même type de scenario à Gerland ? Je les ai trouvés très bon en début de match à Bordeaux. Ensuite, les erreurs d'arbitrage les ont lourdement pénalisés. Mais c'était impressionnant, très costaud. Je m'attends à ce genre de départ. « Je n'ai pas encore pris ma décision » Quels sont les moyens pour contrer ce pressing lyonnais ? Nous allons essayer de répondre à l'engagement auquel nous serons confrontés et de limiter cette pression. Il faudra tenter de jouer et d'inquiéter leur défense pour pouvoir marquer des buts. Claude Makelele a expliqué que c'était très dur de revenir au score quand Lyon marque en premier. Êtes-vous d'accord avec le capitaine de votre équipe ? C'est vrai qu'à Lyon, c'est compliqué. Il y a un bon public et il sent la nécessité d'aider ses joueurs. Mais ce ne sera pas perdu pour autant s'ils parviennent à ouvrir le score avant nous. Pensez-vous que ce match peut se jouer sur un détail ? Evidemment qu'un détail peut débloquer le match. De leur côté, ils ont un exceptionnel tireur de coup-franc et des joueurs de talent dont Karim Benzema. Je reste un fan de ce joueur malgré son manque de réussite par moment. Mais du talent, nous en avons aussi. Que pensez-vous des nombreuses rumeurs concernant vos joueurs, notamment Stéphane Sessegnon, ainsi que celles concernant votre éventuelle reconduction de contrat ? Ce sont des rumeurs et je me méfie considérablement de ce que je peux lire ou entendre. J'ai confiance en mon groupe : ils savent que c'est la période qui veut ça. Je parle de temps en temps avec eux et je sais qu'ils resteront concentrés sur le terrain et sur nos prochains matchs. Préparez-vous la saison prochaine avec le PSG ? Evidemment, plusieurs réunions et rencontres pour la saison prochaine ont eu lieu. C'est une nécessité par rapport à l'effectif et au programme d'avant saison. Mais je n'ai pas encore pris ma décision concernant la saison prochaine. Football365.fr |
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24/04/2009 13:40
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 2,229 Inscrit : 10/01/2009 Lieu : Hauts-de-Seine Membre no 232 Tribune : Viré du stade |
Citation Rothen, la tête haute Alors qu'il réalise une saison mitigée, Jérôme Rothen a réussi une belle performance et s'est montré efficace, dimanche face au Havre (3-0). Le gaucher a envie de finir la saison en beauté. Et d'aller le plus haut possible avec le PSG. Avant de partir vers d'autres cieux ? "La note de Rothen ? Il aura certainement 12/10." Quand la presse a demandé à Paul Le Guen de juger la prestation de Jérôme Rothen dimanche face au Havre (3-0), l'entraîneur du Paris Saint-Germain, habituellement réservé, a brisé l'armure et félicité son milieu gauche, auteur d'un match accompli avec, à la clé, un but et deux passes décisives pour Ludovic Giuly et Guillaume Hoarau. Ajoutant même que Rothen "est quelqu'un que j'aime beaucoup. Il a des côtés irritants mais aussi attachants." On ne sait pas si le principal intéressé a eu vent du compliment. Si tel est le cas, cela a dû le toucher, lui qui jusque-là réalise une saison mitigée. Performant la saison passée alors que le Paris Saint-Germain luttait pour ne pas descendre, Jérôme Rothen (31 ans) n'a pas réussi à se maintenir à ce niveau de performances en 2008/2009 alors que le club de la capitale a retrouvé les hauteurs du classement. Si Stéphane Sessegnon a explosé sur le côté droit, que Guillaume Hoarau réalise une première saison de qualité, le milieu gauche, à Paris depuis cinq ans, vit dans l'ombre de ses partenaires et n'est plus vu comme un pion indispensable par l'état-major du club. S'il avait décidé de rester l'été dernier, il pourrait cette fois prendre la poudre d'escampette. Le PSG serait d'ailleurs sur la piste d'un remplaçant. "Nous aurions signé pour être là" D'ici l'été et l'ouverture du marché des transferts, Jérôme Rothen a un travail à terminer avec le Paris Saint-Germain. S'il part, le gaucher aimerait le faire la tête haute et avec la satisfaction du devoir accompli. Reste à savoir que ce l'on entend par devoir accompli. "Un bon championnat pour le PSG, c'est une place dans les cinq premiers. En début de saison nous aurions tous signé pour être là. Aujourd'hui, nous travaillons et nous ne lâchons pas. Nous avons eu pas mal de hauts et quelques bas, mais nous nous en sommes toujours remis." Actuellement quatrième de Ligue 1, le club de la capitale garde le podium et la Ligue des Champions en point de mire. Ceci d'autant plus que les Parisiens ne sont qu'à une petit longueur de Lyon. Et que les deux équipes vont croiser le fer ce soir à Gerland. Même si Lyon traverse une période de doutes, pas question de prendre les hommes de Claude Puel de haut : "Sur le terrain, Lyon reste à mon avis la plus belle équipe du championnat, même si ils se font accrocher, lance Jérôme Rothen. A Gerland, c'est toujours un peu spécial. Nous irons avec beaucoup d'ambition, mais ce ne sera pas facile." Sur ses gardes, le Parisien sait néanmoins que le jeu en vaut la chandelle : "Il reste désormais six matches. Ce sont six finales, vu que nous n'avons pas la chance cette année de jouer une finale de coupe. A nous de ne pas lâcher, d'être là jusqu'au bout et si nous avons une bonne surprise au bout, tant mieux." Jérôme Rothen pourrait découvrir de nouveaux horizons le coeur léger. Fier du travail accompli durant cinq ans.
-------------------- Autre récompense à destination du club parisien, celle de dirigeant de l'année attribuée à Robin Leproux, le président du PSG. ©France Football
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24/04/2009 16:05
Message
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
So Foot.com
Citation OL-PSG : Paris juge et partie
vendredi 24 avril 2009 Paris va t-il relancer le championnat ou relancer son championnat ? Voilà tout le sel de cet OL-PSG, bien loin des canons des saisons précédentes. L’enjeu d’un OL-PSG pour les Parisiens ? Depuis plusieurs années, l’ambition des protagonistes de la capitale se réduisait à de l’accessoire : soigner des ego malmenés, abimés par trop d’humiliations et de renoncements. Le temps d’un soir, les éternels éconduits aspiraient à pénétrer dans la cour des grands, pour laver tant d’affronts infligés par Nancy, Caen ou Lorient. En général, ces prétentions orgueilleuses accouchaient de matchs plutôt serrés entre le leader maximo de la L1 et la capitale en minuscule. Totalement au taquet, Rothen, Armand, Pauleta et le reste de la clique, rivalisaient, avant de finir immanquablement par craquer à force de surjouer. Le lendemain, Le Parisien titrait quelque chose comme « Paris n’a pas à rougir », les joueurs rageaient devant les micros d’être passés si près d’un exploit, et les supporters se donnaient une dernière raison de croire en cette armée de bourriques. Cette saison, l’excitation parisienne sera de toute autre nature. Le PSG aperçoit la queue du Lyon et ses yeux d’envieux ont enfin une chance d’être comblés. Le grand malade du foot français s’est redressé, et si chaque pas qu’il fait vers la guérison est accueilli comme un miracle, ou presque, par des supporters tellement échaudés qu’ils en craignent la réception de Nantes ou de Grenoble (ils n’ont pas tort d’ailleurs), Paris pourrait bien boucler la saison avec les joues rougeaudes d’un bien portant. Il pourrait aussi se contenter d’un quotidien paisible. Car si le PSG perd vendredi à Gerland, alors bye bye la Ligue des Champions, et il s’agira se s’échiner pour une qualif’ en UEFA, la compétition que Le Guen joue à moitié jusqu’au bout. Auteur d’une saison aussi inattendue que la Parisienne, mais en mode verso, l’OL ne demande que ça. Avec une victoire, Boumsong and co passeraient devant Bordeaux, de corvée de Coupe de la Ligue samedi (il jouera à Rennes mercredi), et se rapprocheraient à un jet de caillou de Marseille, qui pourrait bien se prendre une Bastos chez les Dogues, dimanche à Villeneuve d’Ascq. On aurait pourtant plutôt tendance à envisager un scénario inverse. D’abord, parce que cette saison, Lyon a manqué toutes les occasions de se racheter : contre le Barça, en Ligue des Champions, en Coupe de France (éliminé par Lille en huitième) et face à Bordeaux, la semaine dernière. Aussi, parce que la colonie capitale regorge de joueurs profilés pour achever une bête blessée. Luyindula et Giuly sont deux anciens des écuries d’Aulas, donc deux traîtres potentiels. Paris le sait mieux que personne, si souvent humilié par ses ex. Cas encore plus critique, les gauchistes Armand-Rothen : l’OL a souvent joué son allumeuse auprès des deux blondinets sans que l’on connaisse vraiment ses intentions. Vendredi, il s’agit sans doute pour eux de leur dernière chance de se dire que Paris valait bien ça. L’occasion aussi de rendre la saison lyonnaise totalement indécente. De quoi jouir enfin un bon coup. Thomas Goubin -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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24/04/2009 22:59
Message
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Citation Les réactions Paul Le Guen, Claude Puel, Mickaël Landreau et Papus Camara reviennent sur le match nul entre l'OL et le PSG (0-0). Paul Le Guen « Nous avons presque réalisé ce qu’il fallait. Nous avons eu un peu de chance et Mickaël Landreau a réalisé deux-trois arrêts décisifs. Nous pouvons nous contenter de repartir de Lyon avec un point. L’idéal aurait été d’être un peu plus opportuniste et de marquer sur l’occasion de Guillaume Hoarau. Ce point est important dans l’optique de la qualification en Champions League ou en Coupe UEFA. ON va s’accrocher. » Claude Puel (entraîneur de l’OL) « C'est une déception, nous avions besoin de ces trois points. Nous avons réalisé un gros match. Cela s'est joué sur des détails. On mérite beaucoup mieux. C’est préjudiciable mais on va attendre les autres résultats de la journée. » Mickaël Landreau « Nous sommes contents du résultats. C’était notre dernier match contre un adversaire direct pour la Champions League. Il ne fallait pas perdre de point et après le bon match que nous avons réalisé à Lille, nous avons confirmé. Ce n’était pas facile mais nous sommes toujours dans la course. IL faudra désormais confirmer dimanche prochain au Parc des Princes face à Rennes. » Zoumana Camara « On a été solide, comme c’est le cas depuis certains matches. Cette rencontre laisse cependant quelques regrets. Nous restons en embuscade sachant que Lyon a un calendrier difficile. Il y avait la place ce soir. Mais c’est bien, il faut continuer ainsi et on espère récupérer quelque chose de bien à la fin de la saison. » PSG.fr Citation Lyon sans réaction Lyon et le Paris-SG ne sont pas parvenus à se départager (0-0) vendredi soir à Gerland. Ce troisième match sans victoire laisse l'OL à la troisième place, un point devant son adversaire du soir. Il l'expose surtout à un retard potentiel de six unités sur Marseille, qui se rendra à Lille, dimanche. Cette fois, on voit mal comment l'Olympique lyonnais pourra décrocher un huitième titre de champion de France. La venue du Paris-SG à Gerland devait être le match de la reconquête. Elle a sans doute scellé la fin de son règne. Mathématiquement, Lyon n'est pas mort. Dans le pire des cas, il accusera un retard de six unités sur la tête en cas de victoire marseillaise à Lille, dimanche. Mais ce qui inquiète, c'est son incapacité à gagner même lorsqu'il se trouve dos au mur. Sur leurs dix derniers matches toutes compétitions confondues, les joueurs de Claude Puel n'ont goûté aux joies de la victoire qu'à deux reprises. Même lorsqu'ils ont semblé vouloir reprendre leur destin en main, ils ont donné le sentiment de devoir lutter contre des évènements contraires. Le penalty réclamé pour une main involontaire de Ceara et l'énervement de Benzema devant M. Layec (44e) contribuent à cette impression. Moins d'une semaine après la défaite concédée à Bordeaux (0-1), Claude Puel n'est pas resté passif. En décidant de titulariser le trio Pjanic-Bodmer-Mounier en lieu et place d'Ederson, Makoun et Keita, l'entraîneur lyonnais a d'une certaine manière approuvé la nécessité pour l'OL de changer sa manière de jouer. Cela n'a pas eu d'effets immédiats. Dans la lignée de leurs dernières sorties, la première période a une nouvelle fois illustré l'incapacité des Lyonnais à libérer des espaces lorsqu'ils se heurtent à une défense très regroupée. Hormis sur une erreur de Sakho mal négociée par Benzema (30e), ils n'ont jamais été en mesure d'inquiéter Mickaël Landreau. Juninho (22e, 44e) puis Toulalan (37e) ont essayé de le solliciter de loin. Seul le Brésilien y est parvenu, sans que cela ne débouche sur l'ouverture du score. Benzema échoue sur le poteau Côté parisien, les joueurs de Paul Le Guen pourront simplement regretter de ne pas avoir exploité correctement leurs possibilités de contre-attaques. Les transmissions approximatives de Sessegnon, sorti à vingt minutes du terme, expliquent en partie cette carence. La classe de Hugo Lloris, décisif devant Hoarau (57e), a fait le reste. Toujours aussi solide derrière, Paris s'est exposé en fin de match, lorsque la fatigue a commencé à se faire sentir. Il a pu compter sur un très bon Mickaël Landreau (71e, 78e, 80e) pour enchaîner un troisième match sans encaisser de but. Le portier parisien a été aidé dans sa mission par son montant gauche sur lequel est venu échouer Karim Benzema (84e). Comme un nouveau symbole du manque de réussite qui semble toucher le septuple champion de France. Ce point du match nul permet au club de la capitale de rester en course pour une éventuelle qualification pour la Ligue des champions. - Emery TAISNE Lequipe |
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25/04/2009 11:43
Message
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Citation PSG / MICKAEL LANDREAU : « ON MÉRITE CE NUL » Très présent face aux attaquants de Lyon, Mickaël Landreau n'est pas pour rien dans le résultat nul ramené vendredi par le PSG à Gerland. Le gardien parisien se satisfait de ce résultat et revient sur sa performance avec philosophie. Mickaël Landreau, ce point du nul pourrait s'avérer très important dans la lutte pour la Ligue des Champions… Oui, c'était notre dernière grosse rencontre face à un adversaire direct. On a déjà pris un bon point à Lille. On savait que les Lyonnais avaient besoin de ces trois points. Ça a été un gros match au niveau de l'intensité. Pour vous ce nul est mérité ? On a fait une belle prestation collective. Je pense qu'on mérite ce nul. Après, il y a eu des actions de part et d'autre. Il y avait une grosse pression sur ce match. Vous êtes donc très satisfait… Oui, nous sommes contents, mais ce n'est pas fini. C'était un match important, un tournant, mais il faudra confirmer dès dimanche prochain face à Rennes et après, il faudra assumer pour prétendre aller plus loin. Vous comptez mettre encore la pression sur Lyon ? Surtout sur Bordeaux, sur Marseille… Vous pensez donc au titre ? Non, on ne pense pas au titre, mais aujourd'hui, Bordeaux et Marseille ont regardé attentivement ce match aussi. Même si Lyon était un peu moins bien, nous sommes contents d'être venu prendre un point ici. Ça n'arrive pas souvent. A titre personnel, après les critiques suite au match de Kiev, cette belle prestation doit vous réjouir ? Oui, mais vous avez ma saison continue, ma carrière continue… Si vous voulez vous acharner, continuez à vous acharner sur moi (rires). Ça fait partie du jeu. Être gardien, ce n'est pas simple. Au PSG, c'est encore plus difficile. Moi, je suis content de ce qu'il se passe, je suis content de mon quotidien. J'aime mon métier. Je continue à avancer. J'ai la chance d'être au plus haut niveau et tant mieux ! Sport365 Citation Puel: «C'est une déception» Claude Puel (entraîneur de Lyon, au micro d'Orange Sport): «C'est une déception, on avait besoin de ces trois points. On fait un très bon match, il manque très peu de choses, ça se joue à peu de choses. On a fait une très bonne première mi-temps au niveau du ballon, on a baissé de qualité en début de deuxième mi-temps puis on est revenu fort vers la fin. On a eu de belles phases, cette frappe sur le poteau, et je pense qu'on mérite beaucoup mieux. On verra les autres résultats, mais c'est vrai que c'est préjudiciable. Mais bon, on va continuer jusqu'à la fin». Zoumana Camara (défenseur du Paris SG, au micro d'Orange Sport): «On a été solides, ces derniers temps on arrive à l'être, avec Sammy (Traoré) qui malheureusement s'est blessé, et là avec Mamadou (Sakho), ça s'est bien passé. Ce match laisse un peu de regrets, parce qu'on sent qu'il y avait la place pour ramener trois points. On reste à un point devant eux (en fait derrière, ndlr), mais ils ont un calendrier difficile, tout peut arriver pour la qualification à la Ligue des champions. Dans cette deuxième partie (de championnat), face aux concurrents directs dans le haut du classement, ça ne s'est pas très bien passé. Ca nous tenait à coeur après les lourds revers contre Bordeaux ou Toulouse. On s'était bien repris à Lille, déjà, et là il fallait qu'on produise du jeu, on ne pouvait pas faire que défendre. On s'est créé des situations, et il a manqué cette envie de ramener trois points, parce qu'encore une fois, je crois qu'il y avait la place». Paul Le Guen (entraîneur de Paris Saint-Germain) : «Nous prenons un point. C'est bien. Nous avons presque fait ce qu'il fallait. Nous avons eu un peu de chance et il y a deux ou trois arrêts importants de notre gardien. Nous repartons de Lyon avec un point et nous avons le devoir de nous en satisfaire. L'idéal aurait été de marquer sur l'action de Guillaume Hoarau et de tenir ensuite. J'ai des regrets sur des ballons perdus bêtement. Parfois, nous avons gâché bêtement des situations qui auraient pu les faire douter et instaurer un début de relation difficile avec leur public. Nous allons nous en contenter. Nous allons récupérer et tenter de bien finir le championnat pour nous qualifier en Ligue des champions ou en Coupe de l'UEFA. Terminer plus haut ? Cela dépendra des résultats du week-end. Nous avons aussi à l'esprit la puissance des effectifs contre lesquels nous jouons. Nous avons la volonté d'accrocher quelque chose. Ce serait une juste récompense de notre saison. Quatrième ne serait pas une déception mais nous allons essayer de faire mieux. Au niveau de Lyon, leur problème est dépendant des autres maintenant. Je leur souhaite de conserver leur titre mais cela dépend des autres.» Jérôme Rothen (milieu de terrain du Paris SG, au micro d'Orange Sport): «On a eu une très belle occasion, puis deux trois possibilités sur des contres, où on a fait des mauvais choix, comme en première mi-temps. Mais il faut retenir que tout le match, on a été dangereux, on a réussi à bien les contrer. Le nul est plus que mérité, même si Karim (Benzema) frappe sur le poteau en fin de match. 0-0, c'est bien pour nous, c'est moins bien pour eux. (sur l'occasion de Hoarau) Guillaume a le temps de regarder, mais il se l'emmène mal au départ, en faisant deux touches. Sur le premier contrôle extérieur, s'il se la met bien dans la course, il peut marquer tout de suite. Après, il y a le talent de Hugo (Lloris) qui fait un super arrêt, il faut le reconnaître. On les tuait si on marquait là». (Avec AFP) Aujourd'hui Sport Citation Le PSG garde ses chances de terminer sur le podium Paris a réussi son coup à Lyon mais pas LE coup. En décrochant un point chez le champion de France en titre (0-0) — une expression amenée à s’évanouir tant elle ne paraît pas connaître de suite —, le PSG maintient intactes ses chances de qualification pour la Ligue des champions. C’est un point qui en vaudra bientôt sûrement plus quand Lyon ira offrir le spectacle de ses insuffisances à Marseille ou Toulouse pendant que Paris recevra des terreurs nommées Auxerre ou Monaco. « On va se contenter de ce point, analyse Paul Le Guen. Il nous reste cinq matchs très importants. On va s’accrocher. » C’est donc un point que Paris se met de côté et fera fructifier plus tard en l’arrosant évidemment par un sans-faute entre-temps face à des équipes encore au sort incertain (réception de Rennes six jours avant la finale de la Coupe de France, déplacements au Mans et à Valenciennes, maintenus ou non). Mais LE coup était possible, incarné par un face-à-face perdu par Hoarau devant Lloris peu avant l’heure de jeu au coeur d’une période que dominera Lyon. Pourtant, c’est avant la pause que le PSG aurait dû se découvrir des habits de fossoyeur quand on a vite compris que même l’orgueil ne suffisait plus à Juninho et aux siens pour conquérir un 8 e titre qui relève désormais plus du mirage que du miracle. « On démontre que l’on mérite cette place » Avec une meilleure justesse technique, les Parisiens auraient pu rendre la vie infernale à une équipe lyonnaise décidément en plein cauchemar, où tout se délite, même la chance partie faire son nid ailleurs. « J’ai des regrets car on a perdu des ballons bêtes, confirme Paul Le Guen, qui doit viser sans le citer Sessegnon. On avait le souci de partir de l’avant mais on a gâché des situations qui auraient dû les faire douter et accentuer un début de relation difficile avec leur public. » En attendant, Paris vient d’aider Marseille ou Bordeaux à décrocher le titre mais ce n’est plus son affaire. La Ligue des champions, impossible horizon au début de saison, tend les bras au PSG, synonyme d’un formidable redressement après deux saisons pathétiques et un exercice en cours tantôt brillant tantôt solide, malgré trois trous d’air à Bordeaux (4-0), à Toulouse (4-1) et devant Marseille (3-1) au Parc. « On démontre depuis le début du championnat que l’on mérite cette place même si on a connu des coups de moins bien, plaide l’entraîneur parisien. On a toujours eu la volonté de rebondir après des claques et la volonté de décrocher quelque chose. Ce serait une juste récompense au vu de la saison. » Le Parisien Citation Puel manque son coup de poker Claude Puel n’a pas aimé cette semaine qu’on le considère comme un entraîneur frileux. « Arrêtez de dire que j’empêche mes joueurs de passer la ligne médiane ! », s’est emporté l’entraîneur, d’ordinaire si mesuré. Hier, le coach lyonnais a fait preuve d’une audace imposée par la dégringolade de son équipe. L’ex-Lillois avait prévenu qu’il faudrait attendre la feuille de match pour savoir s’il estimait que Lyon « avait besoin de changement ». Sa réponse a été sans ambiguïté. Le technicien effectue trois changements dans son onze de départ en remaniant quasi totalement son attaque. Seul l’intouchable Karim Benzema a survécu à la défaite bordelaise (1-0). Out Ederson et surtout Kader Keita, joueur le plus décrié de l’effectif. Place à la jeunesse. Anthony Mounier, 21 ans et 14matchs de L 1 au compteur, et Miralem Pjanic, 19 ans, sont titularisés dans les couloirs. Le retour dans le onze de départ de Mathieu Bodmer à la place de Jean II Makoun répond, lui, à un choix tactique. Car, en plus de changer les hommes, Puel a aussi retouché son système pour offrir un soutien plus appuyé à Benzema. Objectif : « accompagner les attaques », le principal souci de Lyon ces dernières semaines, comme le répètent joueurs et staff à l’envi. En début de match, l’OL se montre dangereux à la 21e minute sur une belle combinaison entre Benzema et ses trois nouveaux partenaires offensifs. Mais le centre de Mounier pour Pjanic, après un une deux entre Benzema et Bodmer, ne donne rien. Comme un symbole des approximations non résolues de l’attaque olympienne. Pjanic manque de rythme Individuellement, Mounier, qui ne compte pas ses efforts, fait preuve de culot face à Ceará. Il tente sa chance d’une frappe en pivot (12e) et multiplie les tentatives de débordement, comme à la 46e, où il sème la panique dans la surface parisienne, sans parvenir à frapper. Si le milieu gauche lyonnais peine dans le dernier geste, Pjanic, son pendant à droite, n’a jamais saisi sa chance, manquant cruellement de rythme. Il faut dire que le Bosniaque n’avait disputé que soixante-trois petites minutes en L 1 depuis début mars. Ce coup de poker de Puel, opéré à six journées de la fin du championnat, dénote le refus de Lyon d’abdiquer. Mais il prouve surtout que l’OL est toujours loin d’avoir trouvé la formule gagnante. Le Parisien Citation Luyindula : « Je ne peux pas attendre indéfiniment » Peguy Luyindula évoque en exclusivité son avenir. L’attaquant parisien, qui réaffirme son amour pour le club de la capitale, souhaite cependant être fixé au plus tôt sur son sort. D’autant que plusieurs clubs étrangers (Stuttgart, Wolfsburg) le suivent de près. Peguy Luyindula, où en êtes-vous avec le PSG ? Pouvez-vous nous en dire plus sur votre situation ? Cela reste compliqué. La situation est comme elle est. Ce n’est un secret pour personne que j’aime ce club et que je m’y sens bien. En même temps, je ne peux pas continuer à attendre et rester inactif comme ça. Il faudra bien que je prenne une décision à un moment donné. Sous prétexte que je me sente bien ici, je ne peux pas attendre indéfiniment qu’on daigne me regarder. Vous-êtes vous fixé une échéance ? Non. Il faut d’abord que j’en rediscute avec mes dirigeants dès que ce sera possible. Si ça se trouve, tout va bien se passer et tout se règlera en une heure. Mais si ce n’est pas le cas, je prendrai la décision adéquate. C’est vrai que j’aurais aimé être fixé dès le mois de janvier (le PSG avait alors proposé une prolongation de contrat de deux saisons que Luyindula n’a pas accepté, ndlr). Malheureusement, cela n’a pas été le cas. J’aimerais être fixé au plus tôt maintenant. Sinon, il faudra que j’adopte une certaine position. Imaginez-vous retourner jouer à Lyon un jour ? L’OL est un beau club. Je le connais, et j’apprécie toutes les personnes qui sont là-bas. Je ne peux pas vous dire si je rejouerais là-bas un jour. Je ne dis pas non, mais ce n’est pas non plus un oui. Pour l’instant, je suis à Paris. Je vous le répète : j’aime beaucoup ce club, et je m’y sens bien. RMC Citation Aulas fustige l'arbitrage Tenu en échec par le Paris Saint-Germain (0-0), l'Olympique lyonnais continue sa mauvaise série au stade Gerland (5 nuls, 1 défaite en 8 matches) et offre à l'OM la possibilité de prendre ses distances en cas de succès à Lille dimanche soir (21h). Manifestement irrité par la décision de M. Layec de ne pas accorder un penalty à Lyon pour une main involontaire de Ceara dans la surface, le président de l'OL Jean-Michel Aulas estime que l'arbitrage joue un rôle de plus en plus prépondérant dans la course au titre. «L'arbitre de touche avait signalé penalty» «Il y a un manque de réussite. Ce soir, l'Olympique lyonnais fait un très bon match, le Paris SG aussi, plus défensif. Mais on ne peut pas ne pas s'interroger sur un certain nombre de décisions, a expliqué le président de l'OL. Est-ce que la pression est trop forte pour les arbitres quand un certain nombre de gens les critiquent, ou suspectent que la force de Lyon réside dans cette capacité à gagner ses matches dans les temps forts? Au moins sur les deux derniers matches, et il y a eu deux autres matches dans la saison, on peut s'estimer déçus parce qu'on avait fait ce qu'il fallait. On se retrouve convaincu, en regardant les images, qu'il y a vraiment un problème. C'est une main complètement volontaire. Ce qui est grave, c'est que l'arbitre de touche avait signalé penalty, M. Layec me l'a d'ailleurs confirmé». Sessegnon aurait dû être expulsé selon Aulas L'homme fort de l'OL s'est également indigné de la décision de l'arbitre de ne pas expulser Stéphane Sessegnon, coupable d'un tacle virulent sur Jean-Alain Boumsong. Pour Aulas, la sanction était évidente : «La décision aussi de maintenir Sessegnon en jeu alors qu'il y a une agression... redoublée d'une tentative de coup de poing sur Cris dans la foulée, ça méritait carton rouge. Si c'est le poteau (de Karim Benzema) qui prive l'OL d'un 8e titre, on sera beau joueur, malheureusement je pense que la vérité est plus complexe que ça». Forcément déçu, l'entraîneur Claude Puel estime quant à lui que ses joueurs ont bien joué, et ne se laisse pas abattre pour la suite : «C'est une déception, on avait besoin de ces trois points. On fait un très bon match, il manque très peu de choses, ça se joue à peu de choses. On a fait une très bonne première mi-temps au niveau du ballon, on a baissé de qualité en début de deuxième mi-temps puis on est revenu fort vers la fin. On a eu de belles phases, cette frappe sur le poteau, et je pense qu'on mérite beaucoup mieux. On verra les autres résultats, mais c'est vrai que c'est préjudiciable. Mais bon, on va continuer jusqu'à la fin». Lequipe Citation PSG/Le Guen : «Décrocher quelque chose» Après le nul à Lyon, le PSG peut encore viser le podium en fin de saison. Mais terminer quatrième ne décevra pas Paul Le Guen, conscient de la qualité des autres candidats au podium. Paul Le Guen, ce nul à Lyon vous satisfait-il ? On se contente de ce point. On a eu quelques situations délicates. On s'en est bien sorti. On va s'en contenter et puis récupérer et essayer de bien finir. On a cinq matchs très important dans cette course à la Ligue des Champions et éventuellement à l'UEFA. On va s'accrocher. Votre calendrier est favorable, pensez-vous pouvoir gagner des places au classement ? Ces lectures là sont toujours très délicates. On va aller à Valenciennes, tout dépendra de la situation de Valenciennes On recevra Rennes, ça dépendra de la façon dont ils vont aborder le championnat en fonction de la finale de la Coupe de France. Faire des prédictions en lisant le calendrier, ça n'a pas vraiment de sens car il y a tellement de facteurs qui entrent en ligne de compte. Avez-vous envie d'aller au-delà de la quatrième place ? On le démontre depuis le début du championnat, on a eu des coups de moins bien mais on a aussi eu beaucoup de volonté. Quand on a pris des claques, on s'est resserré. Décrocher quelque chose serait une juste récompense au vu de la saison. Et terminer quatrième serait-ce une déception ? Franchement, on va essayer de faire mieux? Mais non. Non. On fait le maximum, mais on a aussi à l'esprit la puissance des effectifs contre lesquels on joue. On a encore pu voir la difficulté de résister à la qualité technique d'ensemble d'une équipe comme Lyon. On est lucide et réaliste. A votre avis, Lyon peut-il garder son titre ? Lyon est dépendant des autres. Faire carton plein pourrait ne pas leur suffire. Je leur souhaite de conserver leur titre mais après ça dépend des autres. Ouest France Citation «Créer la surprise» Moins performant vendredi qu'il y a quelques semaines, Stéphane Sessegnon se satisfait du résultat nul du PSG à Lyon (0-0) et voit le PSG terminer fort en cette fin de saison. Etes-vous satisfait de ce match nul ? Stéphane Sessegnon : Satisfait, je ne sais pas. On était venu à Gerland dans le but de gagner. Maintenant, c'est bien de ne pas avoir perdu. Même si je suis un peu déçu car je pense qu'il y avait la place pour gagner. Après, on ne va pas faire la fine bouche, c'est bien de repartir de Lyon avec ce point du match nul. Paris est bien rentré dans le match après ça été un peu plus difficile... Stéphane Sessegnon : C'était un match très équilibré. On savait que cette équipe lyonnaise avait à coeur de rebondir, de faire un gros match devant son public. C'était important pour nous de tenir le coup. On avait conscience que nous étions capables de s'imposer face à Lyon. Finalement, le match nul est mérité pour les deux équipes. N'avez-vous pas des regrets par rapport à la grosse occasion de Guillaume Hoarau ? Stéphane Sessegnon : Si forcément. C'était une belle opportunité d'ouvrir la marque et de nous mettre à l'abri. C'est dommage. Ce n'était pas un match évident pour lui, c'est la seule occasion nette qu'il a eu. Mais c'est le foot, il y a des jours comme ça où l'on est moins en réussite. Je note aussi que c'est le deuxième match consécutif où l'on n'encaisse pas de but. C'est quelque chose de positif. Terminer quatrième, ça serait une déception ? Stéphane Sessegnon : Non. On sait que ça va être difficile jusqu'à la fin. Il y a encore quelques matches à disputer, on va se bagarrer jusqu'au bout. On est quatrième, pas loin du trio de tête, il va falloir continuer à bosser et essayer d'obtenir une qualification pour la Ligue des Champions. Pensez-vous encore au titre ? Est-ce encore un objectif pour le PSG ? Stéphane Sessegnon : Quand je me couche le soir, il m'arrive d'y penser (sourire). Non, mais on est encore loin du compte . Le plus important pour l'instant, c'est de continuer à faire des matches comme on l'a fait ce soir (Ndlr : vendredi). S'il y a la possibilité de créer la surprise, on ne va pas s'en priver. Cela fait partie de l'ambition d'un grand club et de n'importe quel joueur. On parle beaucoup de vous en ce moment notamment dans la rubrique des transferts. Etes-vous sûr de rester au PSG la saison prochaine ? Stéphane Sessegnon : Je pense d'abord au collectif. C'est le plus important. Essayer de tirer l'équipe vers le haut. Concernant mon avenir, mon club, on verra ça plus tard. Ce n'est pas le moment d'en parler. Sport24 Citation « Au moins accrocher la Ligue des champions » STEPHANE SESSEGNON, milieu parisien Après le nul obtenu hier à Gerland, le Béninois laisse pointer sa déception. Toutefois, il croit encore aux chances de son équipe de finir sur le podium, voire de remporter le titre. Ce nul, est-ce un bon résultat ? Stéphane Sessegnon. Ce n’est pas vraiment satisfaisant. Certes, on l’obtient contre les tenants du titre. Et Lyon est une très grande équipe. Mais je suis déçu car il y avait vraiment de la place pour faire un autre résultat. On voulait les trois points. Regrettez-vous l’occasion manquée par votre coéquipier Guillaume Hoarau avant l’heure de jeu ? Il n’avait pas eu beaucoup de ballons à se mettre sous la dent. Et là, il avait une très belle occasion… C’est dommage. Mais, au cours de ce match, on a su se montrer solides en défense. C’est une grande satisfaction. On encaissait beaucoup de buts dernièrement, notamment face aux gros du championnat. Et là, depuis trois matchs, on n’en a pris aucun. Est-ce que finir quatrième serait une déception ? (Il hésite). On a envie de plus. On veut au moins finir sur le podium et accrocher la Ligue des champions la saison prochaine. Vos cinq prochains adversaires sont des équipes de milieu de tableau, à l’exception de Rennes… Ce ne sera pas plus facile pour autant. Au contraire. Ce sont des équipes qui n’auront plus rien à jouer, qui seront détendues. La pression sera de notre côté. On devra faire très attention, aborder ces matchs très sérieusement si on veut atteindre nos objectifs. Le titre en fait-il partie ? Je ne vais pas dire que je n’y songe pas. Bien sûr qu’on y pense. Surtout en se couchant. Mais on est encore loin du compte. Tout est possible, le meilleur comme le pire. On vous a senti un peu nerveux sur la pelouse… Non, même si j’aurais aimé être meilleur. Je reconnais que ce que j’ai fait (NDLR : une grosse faute sur Boumsoung, sanctionnée d’un carton jaune), c’était peut-être un mauvais geste. Mais je n’avais pas l’intention de faire mal. Il se dit que Chelsea s’intéresse à vous. Pouvez-vous nous dire si vous serez toujours parisien la saison prochaine ? Pour l’instant, la seule chose qui m’importe, c’est le titre. Je pense d’abord au titre et à tirer mon équipe vers le haut. Le Parisien Citation Jérôme Rothen : « Créer la sensation » Jérôme Rothen est revenu sur le match nul du PSG vendredi soir à Lyon(0-0) et qui permet au club parisien de rester sans la course à la Ligue des champions. Jérôme Rothen, il y a-t-il des regrets après ce match nul (0-0) contre Lyon ? Des regrets je ne sais pas. On ne peut pas avoir des regrets quand on prend un point ici à Lyon. Quand on connaît le niveau de Lyon et après leurs contre-performances, je crois qu’ils avaient envie de prendre trois points. On a été solide. On a fait le match qu’il fallait sur le plan défensif et en plus on a essayé d’être dangereux, ce qu’on a très bien fait par moments même si on a manqué de réalisme pour marquer ce but. C’est donc la satisfaction qui prime ? Oui, l’objectif en venant ici était de rester à distance de Lyon, c'est-à-dire à un point, voir des les sauter. Aujourd’hui on est à un point de la troisième place, il reste cinq journées de championnat. On sait que les objectifs des trois équipes de tête sont la Ligue des champions, nous ça serait vraiment une grosse surprise si on réalisait ça. On a envie, pourquoi pas, de créer une sensation et d’accrocher une place en Ligue des champions. Votre calendrier est bon, Lyon était votre dernier gros morceau. Le calendrier est bien c’est vrai, mais les matches il faut les gagner et ils ne sont pas simples à gagner. On va penser à Rennes. Pour bonifier ce point pris à Lyon, il faut gagner contre Rennes au Parc. Est-ce que le PSG a été surpris par la composition de l’équipe lyonnaise ? On s’y attendait un peu, Paul Le Guen nous avait mis en garde et il ne s’était pas trompé dans la composition qu’il nous avait donnée le matin. Il devait être bien renseigné. Il y a une balance, la taupe est de retour (rires). La fin de match a semblé physiquement très compliquée pour le PSG ? C’est vrai. On n’avait pas envie de perdre à cinq minutes de la fin sur une bêtise. On aurait pu car Karim Benzema à une belle occasion. C’est le risque quand on recule comme ça. On s’est serré les coudes et je crois qu’o na montré une solidité qu’on avait perdu depuis pas mal de temps à l’extérieur. Sur les contres, on peut dire qu’il y a des opportunités que vous n’avez pas bien négociées, vous n’avez pas manqué de lucidité ? Oui c’est vrai. On a manqué de simplicité et de lucidité. On a un peu la tête dans le guidon parfois et on ne voit pas la passe à faire. C’est ce qui nous fait défaut depuis quelques matches et c’est ce qui nous manque contre ces équipes bonnes en défense. Il nous manque d’écarter le jeu. Vous les avez mis en difficulté dans le premier quart d’heure mais les 20 dernières minutes c’était compliqué. On a reculé et la rentrée d’hommes frais du côté lyonnais a joué. Quand vous avez Keita et Ederson qui rentrent, qui vont vite avec leurs grandes jambes, on a tendance trop reculer et nous, les milieux, nous étions collés aux défenseurs et on avait du mal à ressortir le ballon. Ce sont des choses qu’on doit corriger parce que contre ce genre d’équipe on est jamais à l’abri. Un mot sur Stéphane Sessegnon, à cause de lui, vous avez encore failli finir à 10, sur un tacle très dur. Ce n’est pas la première fois qu’on le voit nerveux.Je n’ai pas vu son geste en direct. C’est quelqu’un qui a un fort caractère et qui a un jeu de provocation aussi. Quand il prend des coups ou quand il perd un ballon il a tendance à réagir bizarrement mais là Monsieur Layec a été gentil en ne mettant qu’un carton jaune. Comment était Guillaume Hoarau après avoir raté une très belle occasion à la 55e ? Ca fait parti des aléas et du charme d’un match. Il a mis 17 buts cette saison et il rate ce face-à-face, on ne peut pas lui en vouloir. Je pense qu’il a un contrôle trop dans l’axe et il perd du temps mais Lloris fait un arrêt extraordinaire. RMC Citation Landreau a paradé LES JOUEURS PARISIENS. – Le gardien du PSG a réalisé un match rassurant, repoussant plusieurs ballons brûlants. L’HOMME CLÉ : LANDREAU (7) Une semaine après une soirée très pénible à Kiev (0-3), le gardien parisien s’est montré beaucoup plus rassurant. Très sollicité, il a repoussé une frappe flottante de Juninho (44e) et un coup franc du Brésilien (80e). Il s’est aussi montré décisif sur un tir de Clerc dans la surface (71e) et une sortie dans les pieds de Cris et Benzema (51e). Sauvé par son poteau sur une frappe de Benzema, il n’a réalisé qu’une petite fausse note : une sortie aérienne trop courte sur un corner (59e). LANDREAU (7) : voir ci-dessus. CEARA (5) : assez offensif au début avant de rester confiné plus bas, où il souffrit parfois face à Mounier. Auteur d’une main pas nette dans la surface (44e) et d’une ouverture parfaite vers Hoarau (57e). CAMARA (8) : il a laissé peu de marge à Benzema. Un impact constant dans les duels, de la maîtrise dans ses gestes. Une valeur très sûre. SAKHO (6) : une ou deux relances mal gérées, mais il a aussi contrôlé la situation. Tonique dans les anticipations et appliqué dans les relances. ARMAND (4) : secoué par Pjanic sur certains duels, il n’a jamais existé offensivement. SESSEGNON (5) : s’il a mis le feu dans les petits espaces, ses initiatives sont restées inabouties, pour avoir tenté le dribble de trop ou lâché le ballon dans le mauvais tempo. Sa vilaine semelle sur Boumsong prouve qu’il reste trop sanguin (62e). MAKELELE (5) : un match à la « Make », pas forcément monstrueux dans les duels, avec un déchet technique qui est allé crescendo, mais avec une lecture du jeu précieuse. CLÉMENT (6) : du volume dans les duels et une énergie incessante pour couvrir les espaces. ROTHEN (3) : face à Clerc, il a fait très peu de différences, voire aucune. Même ses centres rentrants ont manqué de poids. Un léger sursaut en fin de match. GIULY (5) : il a pesé sur le début de match avant de se faire strapper la cuisse droite et de décliner sensiblement en seconde période. HOARAU (3) : il a remporté quelques duels aériens face à Boumsong. Mais son jeu au sol a été d’une tristesse infinie. Ce qui a plombé sa soirée, c’est sa frappe capitale manquée face à Lloris (57e), dont le poids véritable ne pourra se mesurer qu’en fin de saison. Citation Main décollée, main sanctionnable ? SUR LE CORNER tiré par Källström à la 44e minute, le défenseur parisien Ceara, sous la pression de Benzema,touche le ballon de la main droite et enraye l ’ a c t ion l yonnaise. L’arbitre assistant signale la faute en levant clairement son drapeau, mais Bertrand Layec, son central, lui indique qu’il n’y a pas lieu de siffler penalty. M. Layec considère que Ceara, dos au jeu, ne pouvait pas percevoir la trajectoire du ballon et deviner qu’il allait toucher son avant-bras. On en revient donc, comme M. Layec l’avait lui-même rappelé la semaine dernière à Grenoble (*), à cette notion de main, certes pas délibérée, mais décollée du corps. En agissant ainsi, les joueurs peuvent en toute impunité amplifier leur surface corporelle défensive. Il serait temps de clarifier ce cas de figure. Quant au milieu parisien Sessegnon, auteur d’une semelle sur Boumsong au risque de le blesser (63e), il s’en sort bien avec un carton jaune. (*) Lors de Grenoble-Toulouse (1-0) samedi dernier, M.Layec avait sifflé penalty contre Toulouse pour une main de Capoue dans la surface. Joël Quiniou Lequipe |
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25/04/2009 16:00
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Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,545 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 143 Tribune : Non précisée |
Citation La réponse de Bertrand Layec à Jean-Michel Aulas. Accusé par le président gone d'être responsable du match nul (0-0) entre l'Olympique Lyonnais et le Paris Saint-Germain, vendredi soir, en ouverture de la 33e journée de Ligue 1, l'expérimenté sifflet français revient sur l'incident de la rencontre, une main de Ceara en pleine surface qui n'a logiquement pas provoqué de penalty pour les Gones, le geste du Brésilien étant involontaire. L'arbitre breton assure une nouvelle fois que l'OL et son président ne sont pas désavantagés... Football.fr: M. Layec, que vous inspirent les critiques de Jean-Michel Aulas après la rencontre ? Bertrand Layec: Je préfère penser que ces propos ont été dits sous le coup de la déception. Sur certaines situations, l'OL s'est senti lésé, d'autant que la rencontre s'achève sur un match nul. M. Aulas exprime donc sa frustration et rejette la faute sur l'arbitre. Ce n'est pas la première fois... Aulas qui préfère parler d'arbitrage, cela fait partie du jeu... Oui et non. On ne peut pas laisser les arbitres se faire critiquer après chaque rencontre, surtout lorsqu'il n'y a pas d'erreurs commises. M. Aulas analyse la rencontre et il a le droit de parler d'arbitrage, à chaud. On le sait tous, ce n'est pas la première fois que le président lyonnais le fait. Soyons clair : l'OL n'a pas à être avantagé ou désavantagé. Les arbitres font tout pour juger en leur âme et conscience. Il y a une part d'interprétation qui est propre à chaque homme et les clubs ne peuvent pas tout le temps comprendre, car ils ont chacun leur intérêt. Il faut arrêter de croire que les arbitres persécutent ou avantagent les gros clubs comme l'OL. Quelle est votre interprétation concernant la main de Ceara dans la surface ? Avec mon arbitre assistant, nous avons eu une interprétation différente sur cette action. Il voit une main qui peut être sanctionnée. Mais de mon côté, je pense avoir la meilleure position, le meilleur angle de vue, donc je vois parfaitement que cette main n'est pas sujette à une intention délibérée. Il n'y a pas les ingrédients réunis pour signaler un penalty. J'ai revu les images et on constate que Ceara ne voit même pas le ballon. La règle est ainsi faite... Exactement ! Une main, que ce soit dans le rond central ou la surface de réparation, doit être considérée comme volontaire pour être sanctionnée d'un coup franc ou d'un penalty. C'est simple et complexe à la fois, car l'arbitre n'est pas dans la tête du joueur. Par exemple, on ne sait pas si le défenseur fait exprès de défendre avec les bras décollés du corps. C'est à l'appréciation de l'arbitre. Cela m'amène d'ailleurs à l'utilisation de la vidéo, qui envenimerait cette situation par exemple. Les dirigeants lyonnais réclament également un carton rouge à l'encontre de Stéphane Sessegnon... Ce n'est pas une petite faute, mais ce n'est pas une agression non plus. Les images m'ont conforté dans ma décision de sanctionner le joueur du Paris Saint-Germain par un avertissement. Il y a une intention certaine d'aller au contact et de faire faute. Mais les clignotants ne sont pas au vert pour décider d'une exclusion. Les arbitres ont des critères bien précis pour décider de sortir un carton rouge, notamment la gravité de la blessure. Jean-Alain Boumsong est légèrement touché et a continué la rencontre. Ce choc a-t-il été compliqué à arbitrer ? Pas vraiment. Je n'ai pas retrouvé l'intensité d'autres grands matches. Ce n'était pas le plus difficile de la saison. J'ai vu deux équipes se respecter sportivement et ne pas tomber dans l'agressivité méchante. C'était un tournant du championnat et cela a joué plutôt prudemment. Ce score de 0-0 est logique au vue de la physionomie de la partie. Football.fr |
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26/04/2009 15:18
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,255 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation Paris, les points qui pèsent L’occasion manquée par Hoarau à Lyon est venue rappeler que le PSG a déjà perdu des points précieux dans la course à la C 1. QUAND LA COMPÉTITION rendra son dernier souffle, hormis le champion les déçus se demanderont où ils ont pu lâcher les points qui ont compromis leurs ambitions. Le nul du PSGà Lyon (0-0), vendredi soir, n’est pas fondamentalement une mauvaise opération, a fortiori sur un terrain où Paris n’avait gagné qu’une fois – en 2004-2005, (1-0) – lors de ses dix derniers déplacements. Mais l’occasion royale qui vit Guillaume Hoarau perdre son duel face à Hugo Lloris, à la 57e minute, est venue nourrir la déception perceptible dans certains discours parisiens. « C’est le genre de match qu’on doit remporter si on veut prétendre à mieux », a notamment lâché Zoumana Camara. En zone mixte, personne n’est venu accabler Hoarau, qui reste désormais sur huit matches de Championnat à l’extérieur sans marquer depuis son but au Havre (3-1), le 15 novembre. Mais on a senti les joueurs du PSG frustrés par le résultat, comme s’ils étaient habités par la conviction que la Ligue des champions se jouerait à un point près. Alors que se profile un calendrier abordable –réceptions de Rennes, Auxerre, Monaco, déplacements au Mans et à Valenciennes –, les joueurs de la capitale espèrent ne pas avoir à regretter cette opportunité gaspillée à Gerland, qui se cumule à d’autres points égarés en chemin. Maladroitement ou injustement. NANCY-PSG (1-1, 6 octobre 2008, 8e journée) : ce jour-là, le PSG se déplace en Lorraine sans Makelele, Giuly, Rothen ni Sakho. De la tête, Hoarau ouvre le score dès la 2e minute. Macaluso, le défenseur uruguayen de l’ASNL, égalise une demi-heure plus tard. Le PSG domine très largement la deuxième période mais enchaîne les occasions gâchées, notamment lors d’un duel perdu par Pancrate face à Bracigliano et au moment où Luyindula manque le but vide au bout d’un centre de Hoarau. En fin de rencontre, Kezman et Chantôme ratent aussi la balle de match. PSG-TOULOUSE (0-1, 29 octobre 2008, 11e journée) : déjà défaits au Parc par Grenoble (0-1) le 28 septembre, les Parisiens rechutent un mois plus tard. Incapables de prendre le dessus sur des Toulousains très fébriles en première période, les hommes de Paul Le Guen s’effondrent lorsque Camara marque de la tête contre son camp sur un corner côté droit tiré par Didot. « Dans les moments clés, il faut savoir reculer et se contenter d’un point », souffle Makelele, après le match. PSG-VALENCIENNES (2-2, 21 décembre 2008, 19e journée) : à la77e minute, Paris mène 2-1 quand Sessegnon, de vingt-cinq mètres, déclenche une frappe énorme. Penneteau est lobé et le ballon s’en va heurter le bas de la barre transversale. Il rebondit alors derrière la ligne avant de ressortir. L’arbitre, M. Layec, ne valide pas le but. Sept minutes plus tard, Tiéné égalise pour l’équipe nordiste… JÉRÔME TOUBOUL Citation LE « ON VERRA »DE SESSEGNON.–Interrogé sur son avenir la saison prochaine, vendredi soir à l’issue de Lyon-PSG, Stéphane Sessegnon a répondu : « Je pense d’abord au collectif, à l’idée de tirer l’équipe vers le haut. L’objectif est de bien négocier les derniers matches pour finir dans les trois premiers. Après, concernant ma situation personnelle, on verra en temps voulu… » Une petite phrase qui ne ferme pas vraiment la porte aux courtisans de l’international béninois, de Chelsea et d’ailleurs. – J. T. Lequipe |
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27/04/2009 07:56
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Le Parisien
Citation Sessegnon, les nerfs à vif
Jeudi dernier, la décision de la commission de discipline, en n’infligeant qu’un match de suspension (plus un avec sursis) à Lorik Cana, avait stupéfié le PSG. Là où Stéphane Sessegnon avait écopé de trois matchs ferme pour une tentative de coup de tête sur le Stéphanois Blaise Matuidi, le capitaine marseillais n’en prenait qu’un à Lorient pour un début de bagarre digne de la cour de récréation. L’instance y a vu un « geste excessif (…) dépassant la mesure », qui selon les règlements équivaut à une sanction d’un match. A Paris, on continue de penser qu’il existe une justice à deux vitesses dont le club de la capitale ferait les frais, avec des sanctions « spéciales » pour le PSG. Le Guen défend son joueur Mais il ne le dira pas trop fort après le nouveau dérapage de Sessegnon à Lyon (0-0) vendredi, qui n’est pas le premier de la saison. Cette fois, le Béninois s’en sort bien, avec un simple carton jaune quand sa méchante semelle sur Boumsong (64 e ) aurait pu lui valoir un carton rouge. Onze minutes plus tard, Paul Le Guen le remplacera par Fabrice Pancrate. Dans les couloirs de Gerland, l’entraîneur parisien expliquera : « Mon devoir est de l’aider. J’en ai déjà parlé avec lui. Il faut qu’il arrive d’abord à se contrôler. Je le dis et je le répète : c’est un joueur qu’il faut aider, encourager. Il me fait parfois penser à Michael Essien qui avait aussi ce genre d’attitudes et qui aujourd’hui en a de moins en moins. » Magnifique de talent mais aussi agaçant d’inconstance, Stéphane Sessegnon est un artiste sanguin qui a déjà écopé de six avertissements en trente titularisations. Vendredi soir, il admettait d’ailleurs qu’il avait eu un mauvais geste. « Mais je n’avais pas l’intention de faire mal », précisait-il. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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27/04/2009 13:08
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 86 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 512 Tribune : Non précisée |
Citation L1 - Paris tenu lundi 27 avril 2009 Les rêves de titre marseillais, la confirmation bordelaise, la chute lyonnaise, la bonne saison parisienne. La meilleure depuis un bail. Qu’il se qualifie ou non pour la Champion’s, le PSG va mieux. Vraiment. Merci Charly ? Tu parles. Merci Paul Le Guen ouais. Certes, le recrutement de l’ancien présentateur du “Droit de Savoir” a contribué au redressement du club de la capitale. Claude Makélélé n’est plus le meilleur milieu de terrain de la planète, mais il a vraiment stabilisé Paris. Le genre de joueur grâce auquel il est difficile de perdre. Ludovic Giuly a planté quelques buts décisifs et insufflé de la bonne humeur dans le vestiaire. Mateja Kezman n’a rien foutu. Paul Le Guen, lui, a œuvré. En début de saison, en toute honnêteté, personne ne pensait le club parisien à même de sortir une saison pareille. Il y a encore quelques mois, ça causait relégation, banderoles et centres au troisième poteau de Bernard Mendy. Alors quoi, que s’est-il passé ? Il a déjà fallu se remettre des traumas, oublier la trouille de la descente en Ligue 2 et reprendre confiance en soi. Quoi de mieux pour ça que de prendre des points, ou en tout cas de ne pas trop en perdre. Comme le disait Arthur Jorge, un philosophe moustachu : « Pour gagner un match, il est nécessaire de ne pas prendre de but ». Frileux ? Certes. Et alors ? Il ne s’agit pas de jouer au con. Le but est de gagner des matchs, à coups de 1-0 s’il le faut. Paris collecte les points. La confiance revient. Paris commence même à y croire. Même avec Sammy Traoré. Paul a mis au point un plan. Simple le plan. Un 4-4-2 basique, appliqué et résistant. Des spécialistes du rôle à chaque poste. Claude Makélélé. Jérémy Clément. Pas d’improvisation, pas de milieu alambiqué, pas que ça à faire. Paris sort du coma. Paul met les meilleurs à chaque match, les meilleurs à chaque poste. Tire tout ce qu’il peut d’un effectif limité et panse les plaies. Sérieux, sobriété, sérénité. Paul joue sans prétention mais son Paris s’avère gagnant. Prendre le jeu à son compte ? Gagner la bataille de la possession ? Ravir les esthètes ? Et pourquoi pas cent balles et un mars tant qu’on y est ? Avant tout, Paris résiste. Et compte sur un exploit des gars de devant. Les têtes de Hoarau, les déviations pour Giuly, les rares centres de Rothen, les coups de rein de Sessegnon, puis ses coups de sang, les rentrées de Peguy. Paris capitalise. C’est p’tet tout ce que cette équipe sait faire, mais c’est ce qu’elle sait faire de mieux. Paris tient bon. Paul sur-rentabilise le talent mis à sa disposition. Paris aurait même pu jouer le titre si l’effectif n’était pas un peu juste. Paul a beau avoir fait tourner autant qu’il a pu, ses joueurs ont marqué le coup. Physiquement. En off, Claude MC l’avait déjà dit dès janvier. Il avait peur de voir carrément chuter son équipe dans le ventre mou et bien jugé le niveau des remplaçants. Paul a su voir venir, quitte à faire quelques sacrifices. Sus à la Coupe de l’UEFA. De toute façon, Paris n’avait pas besoin de ça, Marseille ne s’est pas qualifié pour le quart que tout le monde attendait. Alors à quoi bon ? Paul a remis Paris dans le droit chemin, ni plus ni moins. Il peut partir en paix. S’il reste, en revanche, va falloir se sortir les doigts du cul. Ici c’est Paris ! Les supporters ont attendu trop longtemps, ils n’ont plus de temps à perdre. Simon Capelli-Welter www.sofoot.com |
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28/04/2009 07:36
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Le Parisien
Citation L’Europe, ça se mérite de plus en plus
En attendant le résultat de Rennes - Bordeaux demain soir, une tendance se dessine. Lyon, 3e , et Paris, 4e , devraient se disputer la troisième marche du podium, strapontin pour la Ligue des champions. Mais attention, contrairement à une idée reçue, cette position tant convoitée par les Parisiens ne sera pas un aller simple vers la piste aux étoiles. Si les deux premiers du championnat accèdent directement à la phase de groupe, le troisième doit passer par un tour préliminaire. Jusque-là, rien de nouveau. A de rares exceptions (Toulouse face à Liverpool il y a deux ans), ces matchs de barrage n’étaient souvent qu’une formalité pour les représentants français. Ce ne sera plus le cas lors de la prochaine édition, car la formule évolue sensiblement. Ce ne sont plus seize, mais vingt-deux équipes qui sont directement qualifiées (les champions d’Ecosse, de Turquie et d’Ukraine ainsi que les troisièmes d’Angleterre, d’Italie et d’Espagne). Conséquence : le dernier tour de qualification ne concerne plus trente-deux clubs, mais vingt. Ce resserrement rehausse automatiquement le niveau. Ainsi, le PSG peut craindre de tomber face aux quatrièmes du championnat d’Angleterre, d’Espagne, d’Italie, au troisième de Bundesliga ou aux vice-champions du Portugal, des Pays-Bas ou de la Turquie. La liste des adversaires potentiels n’est guère rassurante Si tous les championnats européens s’arrêtaient aujourd’hui, voici quelques exemples d’adversaires pour le troisième de L 1 en cas de tirage défavorable : Arsenal, Bayern Munich, FC Valence, Sporting Portugal, Glasgow Rangers ou Shakhtar Donetsk. Le coefficient UEFA du PSG devrait lui permettre d’éviter ces « épouvantails », mais la suite de la liste de ses adversaires potentiels n’est guère plus rassurante : Fiorentina, Twente, Besiktas Istanbul, Standard de Liège, Sparta Prague ou CSKA Sofia… Des noms moins clinquants, mais qui représentent des obstacles très délicats, surtout au mois d’août. Nul doute que les actionnaires du PSG prendront en compte cet aspect pour minimiser les risques financiers et dépenser le moins possible pendant le marché des transferts. En effet, rappelons-le, les 15 millions d’euros promis aux participants à la Ligue des champions ne sont distribués qu’aux équipes qui accèdent à la phase de poule. Laurent Perrin -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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28/04/2009 11:01
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 26,559 Inscrit : 11/12/2008 Membre no 13 Tribune : Canapé |
Citation Kezman reprend… et attend Hier, en fin d'après-midi, Mateja Kezman a participé à un footing sur les terrains du Camp des Loges, entouré de Sammy Traoré et de Ludovic Giuly. L’attaquant serbe devrait reprendre l’entraînement collectif ce matin, débarrassé des douleurs au tendon d’Achille gauche qui l’ont fait déclarer forfait pour les matches contre Le Havre (3-0) et Lyon (0-0). Au sein du club, des doutes étaient apparus sur l’intensité réelle de ces douleurs au regard des rapports compliqués qu’entretient le joueur avec Paul Le Guen. À des proches, Kezman aurait confié que son problème au tendon découlait d’une « situation de stress inhabituelle ». Cette blessure est en tout cas apparue peu de temps après une nouvelle discussion entre l’attaquant et son entraîneur. Un échange assez tendu qui aurait confirmé le fossé séparant les deux hommes. En privé, Kezman estimerait que Le Guen, dans sa gestion des hommes comme dans le contenu de ses séances, se situe à des années lumière de l’envergure de ses anciens entraîneurs, comme Éric Gerets, Guus Hiddink ou José Mourinho. Et il ne s’en serait pas caché auprès du coach parisien lors de leur dernière entrevue. Aujourd’hui, Kezman n’a plus aucun espoir que sa relation avec son entraîneur se normalise, et ce alors que le PSG doit lever son option d’achat auprès de Fenerbahçe : le club de la capitale est supposé verser, l’été prochain, 3,5 M€ au club turc ; Kezman, qui a fêté ses trente ans le 12 avril, se retrouvera alors sous contrat jusqu’en 2011. À ceux qui l’entourent, le Serbe montre un visage déterminé, répète son envie d’oublier cette saison noire et de réussir à Paris la saison prochaine. Il assure également bien s’entendre avec Sébastien Bazin, le président du PSG. Mais il ne cache pas qu’il attend de connaître le sort réservé à Paul Le Guen pour savoir s’il doit ou non se mettre en quête d’un nouveau club, qui serait son septième en dix ans en cas de transfert cet été. – J. T. L'EQUIPE |
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28/04/2009 13:32
Message
#578
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,255 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation Vos questions à Sylvain Armand Vous avez été nombreux à solliciter le latéral gauche parisien sur le forum de PSG.FR. Vos questions, ses réponses… kevinpsg55 -. L'Équipe de France fait-elle partie de tes objectifs? « L’Équipe de France fait partie de mes objectifs car je pense avoir le potentiel pour y aller. J’y ai déjà goûté donc j’ai envie d’y retourner. Cependant, il y a du monde devant moi et un sélectionneur qui fait des choix. Il faut reconnaître que j’ai du retard mais être appelé est toujours une fierté. » Irenou2 -. Aimerais-tu terminer ta carrière au PSG ou es-tu tenté par une expérience à l'étranger ? Si oui, quel championnat ? « Terminer ma carrière au PSG ne me dérangerait pas du tout. C’est un club que j’aime et où j’ai voulu venir. Même s’il y a eu des moments difficiles, je n’ai pas baissé les bras et j’étais persuadé qu’il y avait la possibilité de faire quelque chose. J’ai eu la sollicitation de Lyon mais le club n’a pas voulu que je parte. Ça m’a démontré que le PSG comptait sur moi. » psgced -. Comment expliques-tu le fait qu'en jouant tous les matches, tu sois encore plus performant qu'avant ? « J’ai toujours fonctionné ainsi, plus je joue et plus je me sens bien physiquement. Je ne sais pas comment le décrire. J’essaye d’avoir la meilleure hygiène de vie possible pour éviter toute blessure. J’ai également la confiance du coach qui me fait jouer. Je ne vais pas me plaindre aujourd’hui et j’espère continuer ainsi. » jojo_asticot -. S'il n'y avait qu'une seule chose qui ait changée par rapport aux saisons précédentes et qui fait qu'aujourd'hui le PSG arrive aux résultats que l'on sait, laquelle serait-elle ? « S’il n’y avait qu’une chose, ce serait l’état d’esprit du groupe et la volonté des joueurs de tirer dans le même sens. Ce n'était pas forcément le cas les saisons précédentes. Malgré les turbulences de cette année, comme le changement de président, le groupe est resté soudé. On s’est dit les choses en face, sans se préoccuper de l’extérieur. Si cette année les résultats sont là, c’est dû en partie à l’état d’esprit qui règne dans ce groupe. » parisienmagic -. Pourquoi ne frappes-tu jamais les coup-francs de près, alors que tu en as mis plusieurs lorsque tu étais à Nantes, dont un au Parc ? « Il y a des joueurs qui ont la capacité de tirer les coup-francs, qui se sentent bien en match. A partir du moment où les joueurs se sentent bien, s’ils les mettent au fond c’est l’essentiel pour le bien de l’équipe. Si un jour, personne n’aura la volonté de les tirer, je les frapperai volontiers et on verra ce que ça donnera. Je me souviens d’en avoir mis un au Parc face à Lionel Létizi. Il me semble que l’on avait d’ailleurs gagné. » Man5on -. Penses-tu que Tripy Makonda pourrait-être ton remplaçant dans quelques années ? « Il a encore de l’expérience à acquérir car il débute. Ce qu’il a démontré en tant qu’arrière gauche, c’est très prometteur. Je ne suis pas surpris qu’il s’adapte rapidement car je l’avais déjà vu évoluer en CFA. Il arrive à faire des matches intéressants. A mon avis, il peut prendre ma place et postuler à un poste de titulaire. Pas tout de suite, je l’espère pour moi (rires), mais je le lui souhaite car il aime ce club et il travaille beaucoup. » Rooney57 -. Comment se passe la vie de groupe, notamment la relation entre les jeunes et les plus expérimentés, la différence d'âge étant très prononcée dans l'effectif Rouge et Bleu ? « La vie de groupe se passe très bien. Claude Makelele et Ludovic Giuly sont arrivés l’été dernier et ils ont été clair : il ne doit pas y avoir de différence dans le groupe. Il faut que les jeunes respectent les anciens comme dans n’importe quel métier, mais sur le terrain tout le monde a le droit de parler. Il fallait se baser sur cela pour réussir et avoir un groupe qui veuille avancer ensemble. Tout le monde a accepté. Les plus jeunes doivent le respect aux plus anciens mais sur le terrain, qu’il soit jeune ou vieux, chacun peut s’exprimer. » zagzag55 -. Comment s’est passée ta rééducation ? N'est-ce pas trop difficile ? « Ma rééducation s’est bien déroulée car j’ai été suivi par un spécialiste. Ma blessure s’est guérie beaucoup plus rapidement que prévu et j’ai ainsi pu gagner trois semaines. C’était un peu délicat au départ car c’était ma première vraie blessure. J’avais quelques semaines d’arrêt donc il fallait encaisser, surtout avec la fin de championnat excitante à jouer. Mentalement, j’ai essayé de surpasser cela pour revenir dans le groupe le plus vite possible. J’ai effectué pas mal de soin et du travail de musculation. » goldenboy -. Penses-tu que le PSG sera en Champions League la saison prochaine ? A quelle place peut terminer le club ? « A cinq journées de la fin, je l’espère ! Si on a la possibilité de le faire ce sera avec plaisir car tout le groupe cherche à la disputer. On souhaite terminer dans les trois premiers. » PSG.fr |
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28/04/2009 15:14
Message
#579
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Citation Le Guen : "Garder ou améliorer cette quatrième place" Le coach parisien revient sur le point précieux obtenu à Lyon avant d’aborder le prochain match au Parc face à Rennes et le retour de Loris Arnaud. Paul, ce point du match nul obtenu à Lyon permet au PSG de rester dans la course… « On reste au contact. Nous sommes à la quatrième place. C’est une bonne position à cinq journées de la fin. Nous avons espoir de l’améliorer ou de la garder. Tout reste ouvert, il y a des possibilités. Nous devons encore avoir de la marge par rapport à Toulouse. » Comment abordez-vous la réception de Rennes dimanche prochain ? « On va bien se préparer. On a laissé deux jours de repos après le match à Lyon. C’était l’occasion d’avoir un week-end différent après avoir joué vendredi. Il faut se remettre au travail. Soigner nos blessés également, car il faudra compter sur l’ensemble du groupe pour les derniers matches. » Comment jugez-vous cette équipe rennaise ? « Rennes est une équipe très athlétique, de valeur, avec un bon mélange d’expérience et de jeunesse. Ils ont peu perdu cette saison. On espère qu’ils auront la tête au Stade de France pour la finale de la Coupe de France. » Loris Arnaud a effectué son retour samedi en CFA. C’est un retour qui doit lui faire du bien … « Je suis content car il a beaucoup travaillé. Il s’est vraiment accroché. Je suis également heureux pour le staff médical puisqu’il a bien été accompagné. Les choses se déroulent comme prévues. Il doit retrouver de la confiance et effectuer quatre ou cinq matches au mois de mai. Il faut qu’il continue à se préparer en juin, ne pas être en vacances afin d’être prêt pour la saison prochaine. » PSG.fr |
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28/04/2009 17:33
Message
#580
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 7,584 Inscrit : 21/01/2009 Membre no 644 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - PSG - C. Ronaldo au Parc C'est officiel, l'attaquant portugais de Manchester United sera au Parc des Princes le dimanche 31 mai pour le jubilé de son compatriote, Pedro Pauleta. «Les deux hommes se connaissent bien, ils ont joué en sélection. Cristiano a donc répondu favorablement à Pedro» fait-on savoir au PSG. Sont attendus également Porte d'Auteuil, Lilian Thuram, Bernard Mendy, Gabriel Heinze, Jérôme Alonzo, Youri Djorkaeff et des joueurs portugais à l'image de Nuno Gomes, Fernando Couto, Ricardo Costa pour ne citer qu'eux. - Ch. M. Equipe.fr |
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