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31/05/2013 07:24
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#5561
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Paris a un gros problème La suspension de Leonardo pour neuf mois – assortie de trois points en moins avec sursis pour le PSG – rend improbable sa nomination sur le banc parisien. Et Ancelotti est toujours déterminé à partir... Lorsqu'il est apparu, à la sortie de son audition par la commission de discipline de la LFP, hier, aux environs de 20h30, Leonardo n'arborait pas un enthousiasme démesuré, comme s'il se doutait qu'il n'échapperait pas à une lourde sanction. Elle est tombée une heure et demie plus tard: neuf mois d'interdiction de banc de touche, de vestiaire d'arbitre et de toutes fonctions officielles pour le directeur sportif parisien, trois points de retrait avec sursis lors du prochain Championnat pour le PSG. Cette décision compromet surtout les chances de voir le Brésilien prendre la succession de Carlo Ancelotti à la tête des champions de France puisqu'il ne pourra pas s'asseoir sur le banc avant le 8 février 2014 (la sanction prend effet à partir du 8 mai, date de sa suspension à titre provisoire). La commission de discipline a donc retenu la notion d'intentionnalité du coup d'épaule de Leonardo à l'encontre de l'arbitre Alexandre Castro, après PSG-VA (1-1, le 5 mai), et les images issues du circuit interne du Parc n'ont convaincu personne du contraire. « La décision de la commission vous donne une idée de ces images, a répondu Pascal Garibian, le président de la commission. Elles n'ont pas apporté d'élément nouveau. » Cette décision a surtout une portée qui ne se limite pas au cas du seul directeur sportif puisqu'elle rend compliquée, voire improbable, la nomination de Leo à la place de Carlo Ancelotti, aux envies de départ vers Madrid, et doit tourmenter un peu plus les nuits de Nasser al-Khelaifi. Le président parisien a déjà fait savoir, dans son entourage, qu'il comptait faire appel. Dans son esprit, une suspension inférieure à six mois n'aurait pas été rédhibitoire pour que Leonardo prenne le poste dont ne veut plus Ancelotti. L'exemple d'Antonio Conte, l'entraineur de la Juventus, suspendu dix mois avant un appel qui a ramené la sanction à quatre mois, doit nourrir ses espoirs. Mais Conte travaillait déjà avec son équipe depuis un an alors que Leonardo, même s'il a construit l'effectif du PSG, n'a jamais évolué avec au quotidien, sur le terrain. En l'état actuel, nommer Leo exposerait al-Khelaifi à un risque important: il serait considéré comme l'un des premiers responsables en cas de contre-performances en début de saison prochaine. Reste l'hypothèse d'un maintien en place de Carlo Ancelotti. Le président du PSG imagine encore pouvoir le convaincre de rester en lui offrant, peut-être les pleins pouvoirs sportifs, ce qui rendrait la situation de Leonardo bancale. Même si Qatar Sports Investments assure que le Brésilien restera au club, al-Khelaifi n'exclut vraiment pas de s'en séparer, comme pour mieux persuader Ancelotti de rester jusqu'au terme de son contrat, en juin 2014. Mais il n'est pas certain qu'une éviction de Leonardo suffise à faire changer d'avis le technicien italien, visiblement déterminé à rejoindre le Real Madrid. Priorité du président Fiorentino Pérez pour remplacer José Mourinho, Ancelotti avait déclaré, mollement, qu'il irait au bout de son contrat s'il ne trouvait pas d'accord avec Paris. Aujourd'hui, il semblerait que le Real soit disposé à payer une indemnité de transfert pour racheter cette dernière année. Cela placerait alors le PSG dans une situation terriblement inconfortable. Ancelotti parti, Leo pas vraiment en situation de lui succéder, le club de la capitale paierait son obstination à vouloir recruter Arsène Wenger à tout prix. Parce que al-Khelaifi imagine toujours le manager d'Arsenal comme l'entraineur du PSG en 2014. Et du coup, il s'est fermé quelques portes en 2013. DAMIEN DEGORRE Citation La peine la plus lourde en L1 cette saison A l'issue de l'audition de Leonardo, la commission de discipline a infligé au directeur sportif du PSG une suspension de banc, de vestiaire d'arbitres et de toute autre fonction officielle, d'une durée de neuf mois. Le Brésilien risquait jusqu'à un an. Les dirigeants parisiens ne cachaient pas, tard hier soir, leur intention de faire appel de cette sanction, un appel non suspensif. Leonardo passera donc devant la commission supérieure d'appel de la FFF. Sous quels délais? La saison se finissant le 30 juin, le dirigeant parisien devrait, selon toute vraisemblance, passer devant cette instance d'appel dans le courant de ce mois. La saison passée, la dernière réunion de la commission avait eu lieu le 20 juin. Cette saison en L1, la sanction de Leonardo est la plus lourde. Le 6 avril, Michel Padovani, l'entraineur adjoint de l'ESTAC, coupable d' « intimidation physique » sur arbitre pendant Nancy-Troyes, s'était vu infliger cinq mois de suspension ferme de terrain et de vestiaire d'arbitres. En L2, deux dirigeants du GFC Ajaccio purgent des peines plus longues. Auteur d'un coup de pied sur un joueur lensois, le 1er février 2013 lors de Lens-GFCA, Olivier Miniconi, le président du club corse a écopé de dix-huit mois de suspension. Francois Tagliaglioli, le président de l'association, qui avait menacé et insulté l'arbitre du match contre Monaco (le 1er mars 2013), à la mi-temps et à l'issue de la rencontre, a lui pris un an de suspension. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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01/06/2013 07:26
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#5562
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Paris tenté d’attendre Après l’annonce, jeudi, de la suspension de Leonardo pour neuf mois, le PSG miserait sur une réduction de peine en appel pour nommer le Brésilien comme entraîneur. OÙ VA LE PSG ? Pour l’instant, nulle part. Après avoir entendu l’entraîneur Carlo Ancelotti lui annoncer son envie de rejoindre le Real Madrid, Nasser al-Khelaïfi avait porté haut la candidature de Leonardo pour remplacer l’Italien et écarté des pistes comme Rafael Benitez ou Roberto Mancini. À ce titre, le président du PSG rêvait que la commission de discipline de la LFP fasse preuve d’indulgence à l’endroit de son directeur sportif, auteur d’un coup d’épaule sur l’arbitre Alexandre Castro, à l’issue de PSG-Valenciennes (1-1, le 5 mai). Jeudi, les neuf mois de suspension de toutes fonctions officielles annoncés par la commission (soit jusqu’au 8 février 2014) réduisaient presque à néant les intentions du dirigeant parisien. Hier, après avoir fait appel de cette décision, il entretenait pourtant toujours l’idée de voir Leonardo succéder à Ancelotti. Il espère que la commission supérieure d’appel de la FFF allégera la peine d’au moins trois mois. Si ce voeu se réalisait, Leo – qui reste autorisé à se rendre dans le vestiaire de son équipe – pourrait s’installer sur le banc à partir du 8 novembre, ce qui, aux yeux de son président, serait moins rédhibitoire qu’une sanction s’étalant jusqu’en février. Al-Khelaïfi est donc tenté de patienter un peu. Mais cette tactique présente des risques. Elle diffère d’au moins quinze jours le choix du prochain entraîneur, la commission supérieure d’appel ne devant pas se réunir avant la mi-juin. De plus, rien ne permet de certifier que la sanction sera allégée. Le 15 janvier dernier, la même commission avait aggravé celle de Pierre-Marie Géronimi, le président de Bastia. Condamné à trois mois ferme en première instance pour propos injurieux à l’encontre du corps arbitral (Bastia-Troyes, le 6 octobre) et intimidation à l’encontre de l’entraîneur adverse (Jean-Marc Furlan), le dirigeant avait pris six mois en appel. Leonardo n’est à l’abri de rien et surtout pas d’être remercié du PSG, s’il n’était pas en mesure de devenir entraîneur... Sinon ? Sinon, le plan B des dirigeants parisiens s’appelle toujours Carlo Ancelotti. Seulement, aucun nouveau rendez-vous avec lui ne figure à l’agenda. Et convaincre l’Italien (53 ans) d’aller au terme de son contrat, en juin 2014, relèverait du miracle. Hier, à Madrid, l’état-major du Real était convaincu que l’arrivée d’Ancelotti était une question de jours. Resterait alors le plan C : relancer une piste étudiée en mai. Comme celle de Roberto Mancini, par exemple. DAMIEN DEGORRE (avec F. He.) L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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01/06/2013 07:50
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#5563
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Citation Ancelotti n'exclut plus rien Il s’agirait, à l’évidence, d’un retournement de situation invraisemblable. Carlo Ancelotti souhaite toujours quitter le PSG pour rejoindre le Real Madrid comme nous le révélions dans nos éditions du 26 avril. Mais ces dernières heures, au regard de la situation de blocage dans laquelle il se trouve avec le club parisien, l'entraineur italien n'excluait plus aucune hypothèse. Pas même de devoir rester la saison prochaine à Paris, où il dispose encore d'une année de contrat. Ce ne serait évidemment pas de gaieté de coeur mais aujourd'hui cette éventualité ne peut pas être écartée complètement. Si les dirigeants parisiens ont toujours eu en tête de le garder, la position de l'ancien technicien de l'AC Milan a, elle, un peu évolué. L'interview, mercredi, dans « l'Equipe » de son ami et confident Giovanni Mauri, préparateur physique en chef du PSG, avait déjà quelque peu jeté le trouble. Ce dernier déclarait en substance que le projet parisien n'était pas fini. Des propos surprenants quand on connait l'étroitesse des liens entre les deux hommes. Il est difficile d'imaginer que Mauri ait pu agir sans l'aval d'Ancelotti. L'adjoint a peut être voulu préparer le terrain à un possible revirement. Le Real n'a toujours pas formulé d'offre Aucun rendez-vous n'a d'ailleurs eu lieu cette semaine entre le coach italien et sa direction. Ancelotti a cherché à joindre son président Nasser al-Khelaifi. Sans succès. Il a contacté Leonardo mais n'a pas obtenu davantage de réponse. Parti au milieu de semaine à Londres, le Mister patiente. Et s'agace aussi de cette situation. Il aimerait pouvoir avancer sur les modalités de son départ ou écouter les propositions de ses patrons. Mais, depuis le dimanche 19 mai, date du rendez-vous à l'hotel Shangry-La, rien ne se décante. Ce jour-là, Al-Khelaifi, confronté de vive voix aux envies de départ de son entraineur, lui avait rappelé son engagement contractuel. Si Ancelotti est dans l'attente, Nasser al-Khelaifi l'est également. Cet immobilisme l'arrange car il veut continuer avec l'Italien. De son coté, le Real Madrid n'a encore formulé aucune offre au PSG pour racheter la dernière année de contrat du coach champion de France. Florentino Perez attend peut être sa réélection mardi pour finaliser le dossier Ancelotti. Si rien ne devait bouger en début de semaine prochaine, la direction madrilène pourrait alors se tourner vers d'autres pistes comme celle incarnée par Jupp Heynckes qui dirige aujourd'hui le Bayern Munich pour la dernière fois. ARNAUD HERMANT Le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
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03/06/2013 20:09
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#5564
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 3,066 Inscrit : 26/01/2009 Lieu : 77 Membre no 705 Tribune : Viré du stade |
Citation Thiago Silva: «Je suis triste de perdre Carlo» «Thiago Silva, que retenez-vous du match nul de la Seleçao dimanche face à l’Angleterre (2-2) ? C’était un match très agréable à jouer. On a eu du mal par moment car nous avons affronté une équipe déjà prête, mais dans l’ensemble nous avons réalisé de belles choses. Il faisait chaud aussi mais nous avons pu compter sur le soutien de nos supporters et ça je tiens à le souligner. Vous allez retrouver vos coéquipiers du PSG. Comment allez-vous les recevoir ? (Sourires) Il n’y a pas que Matuidi et Sakho dans cette équipe. C’est une formation très dangereuse que je connais bien désormais. Elle est performante en grande partie grâce au travail de l’entraîneur italien (sic). Il va donc falloir se méfier car ça va être compliqué. On joue à la maison, on aura donc l’appui de nos supporters et ça sera important si on veut renouer avec la victoire. «En ce qui concerne la fenêtre des transferts, je suis tranquille. Je laisse tout ça de côté pour le moment.» Allez-vous discuter avec Scolari et lui donner des informations sur l’équipe de France ? Oui de la même façon que David Luiz a participé au briefing pour préparer le match contre l’Angleterre. Il faudra faire attention aux contre-attaques car la France est une équipe très rapide. Et en défense, ils ont des joueurs forts physiquement. Même si vous êtes avec la Seleçao, pensez-vous à votre futur en club ? Aux sollicitations du Barça par exemple ? Je suis préoccupé oui, mais par mon futur proche, en l’occurrence la Coupe des Confédérations. En ce qui concerne la fenêtre des transferts, je suis tranquille. Je laisse tout ça de côté pour le moment. Je suis heureux au PSG. Et maintenant, il faut penser à travailler, l’esprit tranquille, pour réaliser une grande Coupe des Confédérations. Mais votre futur n’est-il pas plus incertain avec le départ de Carlo Ancelotti ? Non, mon futur, je ne pense pas qu’il va changer. C’est vrai que je suis venu au PSG en fonction de la présence de Leo et Carlo mais cela ne veut pas dire que je vais partir. Je suis triste s’il s’en va car c’est quelqu’un pour lequel j’ai le plus grand respect. Je ne peux que lui souhaiter d’être heureux là où il va atterrir. Carlo est un grand ami, il va me manquer… Quelle est sa principale qualité ? J’admire le respect qu’il a pour ses joueurs. Il parvient à laisser tout le monde motivé, même les remplaçants. C’est aussi un technicien qui aime l’offensive. Nous avons joué avec pratiquement quatre attaquants : Ibra, Menez ou Lavezzi, Pastore, Lucas… Pour résumer Carlo est tout simplement un grand pro, il a un CV qui fait peur, il a gagné tellement de titres. S’il doit partir et se frotter à un autre Championnat, il sera prêt, c’est certain. Mais d’un autre côté, s’il s’en va, je vais être très triste. Et l’hypothèse Leonardo sur le banc, ça vous semble une bonne idée ? Je ne sais pas. Il a pris 9 mois de suspension d’après ce que j’ai appris. Dans ces conditions, il peut difficilement occuper des fonctions d’entraîneur. Mais je crois que les dirigeants chargés de régler le problème sont en train de chercher la solution idéale pour le PSG.»
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03/06/2013 22:46
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Citation PSG : Lugano veut revenir Le défenseur central uruguayen Diego Lugano, sous contrat avec le PSG jusqu’en 2014 et prêté ces quatre derniers mois à Malaga, reviendra à Paris en juillet et attend de parler à l’entraîneur pour déterminer son avenir. «J’ai un contrat avec le PSG, je reviendrai en juillet», a dit le capitaine de l’Uruguay lundi en conférence de presse, à deux jours du mal amical contre la France à Montevideo. «Cela dépendra de l’entraîneur, de ses intentions, a-t-il ajouté. Il faudra discuter, mais en principe je reviendrai. Et je suis très content du titre de champion de France, que nous méritions». Recruté à l’été 2011 par le PSG en provenance de Fenerbahçe, Lugano (32 ans) ne s’est jamais imposé et avait été écarté la liste du PSG pour la Ligue des champions 2012-2013. Il en garde une certaine rancoeur à l’encontre d’Ancelotti. «Je suis parti en catastrophe à Malaga pour trouver du temps de jeu, a-t-il rappelé. J’ai laissé ma famille à Paris où mes enfants vont à l’école. Je voulais du temps de jeu pour pouvoir être en forme avec la sélection». Concernant ses coéquipiers parisiens présents en équipe de France pour sa tournée sud-américaine, il s’est montré déçu de l’absence de Christophe Jallet, et a salué Mamadou Sakho et Blaise Matuidi : «Ce sont de jeunes joueurs qui ont un grand avenir. Ils ont fait leur trou dans la sélection française, ce qui est méritoire car c’est une sélection très compétitive. Je suis content qu’ils voient ce qu’est l’Uruguay et l’Amérique du Sud». leparisien.fr |
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04/06/2013 01:54
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Citation Un agent spécial pour débloquer le dossier Ancelotti Le dossier Carlo Ancelotti est-il proche du dénouement ? Un élément pourrait le laisser penser. Ernesto Bronzetti est arrivé à Paris dimanche soir. Cet agent italien, proche de Florentino Perez, le président du Real Madrid, est l’homme qui finalise les arrivées d’éléments italiens au sein de la Maison blanche. Bronzetti a passé une bonne partie de la journée d’hier avec l’entraîneur du PSG, qui se dit très agacé. Al-Khelaifi a rencontré Seydoux pour Digne La présence de l’intermédiaire italien dans la capitale, au lendemain de l’élection de Perez pour un nouveau mandat de quatre ans à la tête du Real, signifie que le club espagnol souhaite rapidement débloquer la situation. Bronzetti joue souvent les médiateurs pour les dossiers épineux. Celui de Carlo Ancelotti en est un. Hier soir, l’entraîneur italien n’avait toujours pas de nouvelles de son président Nasser al-Khelaifi, et donc de date pour un éventuel rendez-vous. Mais le PSG pourrait prendre une décision claire à son sujet aujourd’hui. Si un doute subsiste toujours sur le nom du futur entraîneur du PSG, le recrutement prend forme. En effet, Nasser al-Khelaifi a récemment rencontré son homologue lillois Michel Seydoux pour évoquer le dossier du latéral gauche Lucas Digne. Cette première approche sera suivie dans les tout prochains jours d’un rendez-vous avec le jeune international espoir de 19 ans et son agent afin de lui exposer le projet parisien. Paris devrait lui proposer un contrat de quatre ou cinq ans et compte faire de lui la doublure de Maxwell dans un premier temps avant de lui confier la succession du Brésilien âgé de 31 ans. Le Losc demande 15 M€ pour son jeune espoir lié sous contrat jusqu’en 2018. Cette somme n’apparaît pas rédhibitoire pour le PSG… Par ailleurs, selon plusieurs médias italiens, le club parisien tente toujours de convaincre Marquinhos, 19 ans, le défenseur central de l’AS Roma. Egalement convoité par le FC Barcelone, le prix de ce grand espoir brésilien serait de 20 M€. Le Parisien |
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05/06/2013 07:28
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Matuidi, la promotion continue Auteur d'une saison énorme en club, le milieu du PSG sera le capitaine des Bleus ce soir Il avait commencé la saison promis à un role de doublure à Paris – « enfin ca, c'est vous qui le dites », réplique-t-il – et il s'apprete à la conclure dans celui de capitaine de l'équipe de France. L'ascencion de Blaise Matuidi a quelque chose de vertigineux mais la peur du vide n'atteint pas le Parisien. Face à l'Uruguay, ce soir, le milieu défensif de vingt-six ans (12 sélections) participera à son soixante et unième match de la saison et, même si les jambes deviennent lourdes, il assure: « Je me sens vraiment bien, prêt à jouer le match de mercredi (aujourd'hui), et si on fait encore appel à moi dimanche (au Brésil), je serai prêt. Je suis à 100% pour aborder ces deux matches. » En l'absence d'Hugo Lloris, le capitaine habituel, Didier Deschamps ne parait pas avoir eu beaucoup de doutes au moment de confier le brassard à Matuidi. « Blaise, au-dela de ses qualités, c'est un leader, est convaincu le sélectionneur. Par son poids sur le terrain, son agresssivité, sa générosité, son gros volume de jeu. Par rapport à ce qu'il a réalisé depuis que je suis en fonction, il me semble avoir une légitimité sportive indiscutable. » Une légitimité appuyée par le discours de Carlo Ancelotti, avec qui Deschamps s'est régulièrement entretenu cette saison et qui place Matuidi parmi les meilleurs milieux défensifs européens du moment. Comme Deschamps, l'entraineur italien du PSG avait également confié le brassard à l'international francais, même si les conditions d'attribution n'étaient pas semblables. A Sochaux (2-3, le 17 février), l'ancien Stephanois avait récupéré le capitanat parce que Mamadou Sakho et Zlatan Ibrahimovic l'avaient refusé. Cette fois, il apparait bien comme un premier choix. « Je ne me sens pas comme un patron, déclarait-il hier. Mais cette saison j'ai appris, j'ai découvert la Ligue des champions, les matches de très haut niveau. J'ai pris de l'expérience et de la maturité. Si ca me permet d'aider les plus jeunes, tant mieux. » DAMIEN DEGORRE l'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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05/06/2013 07:48
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#5568
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation « J’ai la chance d’avoir un bon coeur » Blaise Matuidi, milieu de terrain des Bleus et du PSG Après une coupure d’une semaine où il a pu profiter de sa famille à Marbella (Espagne), Blaise Matuidi disputera ce soir contre l’Uruguay son 61e match officiel de la saison. Le milieu de terrain parisien, désormais pilier des Bleus, portera d’ailleurs le brassard pour sa 13e sélection. Le phénomène, qui ne s’avoue même pas fatigué, se raconte en longueur. Physiquement, quel est votre secret ? BLAISE MATUIDI. Il n’y en a pas, si ce n’est de rester le plus pro possible en dehors des rencontres. J’ai désormais deux filles qui ont 4 ans et 1 an, donc je reste tranquille. Je suis près du centre d’entraînement, je n’ai pas la tentation de la vie parisienne. Au club, on a tout ce qu’il faut avec notamment des repas tout prêts à la fin des matchs. Mais il faut aussi faire attention à la maison lorsque les rencontres s’enchaînent. Cela m’arrivait de faire des écarts mais, avec l’âge, on est plus mature et on sait ce qui fait du bien. J’ai appris à me connaître, à repérer les moments où il faut dire stop. Aujourd’hui, je gère plus mes efforts. Et, puis, j’ai la chance d’avoir un bon coeur (sourire). Votre explosion cette saison vous a-t-elle surpris ? J’étais conscient de mes qualités. Mais j’ai été étonné de faire gagner l’équipe. J’ai inscrit 8 buts, mon meilleur total, et j’ai envie de marquer encore plus. J’ai parlé aux gens du staff de Frank Lampard qu’ils avaient connu à Chelsea. Lui aussi a appris à marquer, et c’est ce qui fait la différence entre un bon et un excellent milieu de terrain. La concurrence avec Verratti, Thiago Motta, Sissoko, Chantôme ou Bodmer s’annonçait pourtant féroce… J’ai toujours eu confiance en moi. Lorsque Ancelotti est arrivé il y a dix-huit mois, je suis allé dans son bureau et je lui ai dit que j’allais gagner ma place. J’ai réussi à le faire. Cette saison, je ne me suis pas posé de question. J’avais été blessé durant l’Euro 2012, je suis arrivé en retard et il y avait de nouveaux joueurs ; mais je suis un gagnant. C’est comme cela depuis que je suis tout petit. Je sais que, tôt ou tard, je gagnerai. Comment se traduit votre nouveau statut ? C’est plus difficile d’aller faire ses courses en famille. Mais c’est plutôt agréable et sympa. A Paris, les résultats sont bons et les jugements, positifs. Après, les enfants ne comprennent pas tout, donc il faut leur expliquer. J’ai vu aussi sur les réseaux sociaux le phénomène du « matuidisme » , où l’on me comparait à des héros de bandes dessinées ou de films. Cela m’a touché. Un jour, après un match, Ibrahimovic a vanté vos mérites… Cela fait super plaisir. Ibra, c’est un modèle pour beaucoup de jeunes. Il a réussi partout où il est passé. C’est un compliment de lui qui fait très plaisir. Au-delà des supporteurs, voir aussi les coéquipiers — et pas n’importe lesquels — vous faire des compliments donne envie de se surpasser pour aller plus haut. Allez-vous bientôt vous glisser dans les habits d’un leader en sélection ? Je ne suis pas un aboyeur. Je le suis juste avec le ballon, j’essaie de donner l’exemple. Oui, je pourrais devenir un leader, car je suis quelqu’un qui ne lâche rien pour son club ou sa nation. Tous les 23 (Bleus) se sentent investis d’une mission. Mais il y a une différence entre quelqu’un comme moi, présent depuis l’ère Laurent Blanc, et des jeunes comme Mangala et Guilavogui. On est là pour les aider, même si je n’ai pas 50 sélections non plus. Où se situe votre marge de progression ? Peut-être donner plus de passes décisives. Je dois progresser dans la dernière passe, l’avant-dernière. Je dois progresser partout. Thiago Motta est un bon exemple. Je suis abonné à Video Profile (NDLR : site Internet dédié à la performance). Cela me permet d’analyser ce que j’ai fait de bien ou de moins bien. Je regarde seulement mes actions, je revois chaque ballon dans des extraits condensés sur vingt ou vingt-cinq minutes. Ancelotti semble vous avoir marqué… J’ai beaucoup d’admiration pour lui. Bien sûr, nous ne sommes pas de grands amis et nous ne nous parlons pas au quotidien ; mais, point de vue boulot, c’est un grand entraîneur. Humainement, il est fabuleux. Il nous a beaucoup apporté. Aucun joueur du PSG ne peut dire que Carlo Ancelotti est un mauvais coach. Même ceux qui ne jouent pas. C’est impossible. Pourriez-vous le rejoindre à Madrid ? Il me reste un an de contrat. Pour l’instant, je suis à Paris et 100 % parisien. J’ai entière confiance dans le club, le président ou Leo. Le club a aussi confiance en moi, mais il faut laisser le temps au temps. Ils ont une autre priorité pour l’instant avec le futur entraîneur. Nasser al-Khelaifi vous a déclaré « intransférable » … Si le président le dit (sourire). Pourquoi avez-vous changé d’agent en passant de Jean-Pierre Bernès à Mino Raiola, celui d’Ibra ou Maxwell ? Je n’ai pas changé d’agent. Tout ce que je peux dire, c’est que je suis concentré sur mon football. Je suis avec quelqu’un, cette personne le sait très bien. Mon contrat s’arrête le 30 juin, je vais l’honorer jusqu’au bout. Comment voyez-vous l’émergence de Monaco en L 1 ? On est champions, on a de grands dirigeants, il n’y a pas de souci. Tant mieux pour le foot français s’il y a un nouveau grand concurrent. Cela va aussi pousser Lyon et Marseille, et même Lille et Bordeaux, à hisser aussi leur niveau de jeu. Le Championnat de France est toujours difficile et compliqué. Les joueurs étrangers sont surpris, ils m’en ont parlé. De l’extérieur, la Ligue 1 ne paie pas de mine, mais c’est toujours difficile quel que soit le stade. Citation Ménez bloqué par son dos Jérémy Ménez aurait dû être à Montevideo (Uruguay) ce soir avec l’équipe de France pour affronter en amical la Celeste de son coéquipier Diego Lugano. Mais l’attaquant parisien devra se contenter de regarder le match à la télévision. En effet, le jeudi 23 mai, l’ancien Sochalien a dû déclarer forfait pour cette tournée sud-américaine. Officiellement, son absence est due à une lombalgie qu’il subissait depuis une dizaine de jours. Mais la blessure de Ménez semble plus grave qu’annoncée. Il souffrirait d’une hernie discale qui le handicaperait depuis un petit bout de temps et pourrait justifier ses absences régulières au cours de la saison dernière. Jamais cette explication n’avait été avancée jusqu’alors. Cela pourrait compromettre son transfert Pour tenter d’éradiquer ce mal de dos chronique, l’international est suivi par l’ancien ostéopathe de l’équipe de France de football, Philippe Boixel, qui, par le passé, a soigné des champions du monde 98, dont Zinedine Zidane. Un temps, le staff médical du PSG a même envisagé l’opération, mais cette solution n’a pas été retenue pour l’instant, car elle ne garantit pas une rémission certaine. A un an du terme de son contrat au PSG, Jérémy Ménez, pas toujours heureux de son temps de jeu déclinant depuis le mois de janvier et l’arrivée de Lucas, a manifesté des envies d’ailleurs. Si sa hernie discale devait perdurer dans les prochaines semaines, il n’est pas certain qu’il puisse s’engager avec un autre club aisément. Citation La Ligue de football professionnel (LFP) a annoncé hier son intention de se constituer partie civile aux côtés de l’arbitre Alexandre Castro, victime de menaces de mort. Ce dernier, arbitre de PSG - Valenciennes, dont la bousculade par Leonardo a valu neuf mois de suspension au directeur sportif parisien, a porté plainte dimanche après avoir reçu ces menaces. Mike Maignan, 17 ans, gardien de but formé au PSG, a signé hier un premier contrat pro d’une durée de 3 ans avec le club parisien. Il prendra selon toute vraisemblance la place de 3e gardien occupée par Alphonse Areola. Ce dernier devrait faire l’objet d’un prêt la saison prochaine. le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
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07/06/2013 06:42
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Citation NASSER AL-KHELAÏFI, HÔTE DE PRÉSIDENTS. – Tandis qu’il ne s’empresse pas de finaliser le départ attendu de Carlo Ancelotti au Real Madrid (lire ci-contre), Nasser alKhelaïfi a reçu à déjeuner hier plusieurs présidents de club à une table de Roland-Garros. Le patron du PSG, qui dirige également la Fédération de tennis du Qatar, avait ainsi convié Jean-Michel Aulas (Lyon), Vincent Labrune (Marseille), Bernard Caïazzo (Saint- Étienne), Jean-François Fortin (Caen, L 2), Michel Seydoux (Lille), Jean- Raymond Legrand (Valenciennes), ainsi que Frédéric Thiriez, le président de la LFP. – J. T. Citation DROITS TV DEUXIÈME DE LIGUE 1 cette saison avec douze points de retard sur le PSG, l’OM a triomphé sur le terrain des recettes télévisuelles. Le tableau des répartitions, qui sera communiqué aux clubs de L 1 et de L 2 lors de l’assemblée générale de la LFP jeudi prochain à Nice et que nous nous sommes procuré, consacre en effet Marseillecomme le principal bénéficiaire des droits TV pour la saison 2012-2013. Avec 47,97 M€ encaissés, le club marseillais devance le PSG (44,13 M€) et l’OL (43,95 M€). Un trio qui se détache nettement du quatrième de ce palmarès des mieux lotis (Bordeaux), qui ne reçoit que 32,12M€. Tandis que le dernier (Troyes) n’a droit qu’à 12,90 M€, soit presque quatre fois moins que l’OM ! Si les dotations distribuées cette saison n’épousent pas fidèlement le classement du Championnat, c’est tout simplement parce que le mérite sportif n’est pas le seul critère pris en compte. Dans le détail, tous les clubs de l’élite perçoivent une part fixe de 9,83 M , puis des parts variables en fonction de la place obtenue au terme de la saison, de leur classement sur les cinq derniers exercices et de leur « notoriété » (les diffusions télévisées). (...) ÉTIENNE MOATTI L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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07/06/2013 07:02
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Citation Equipe de France/ Il sera titulaire dimanche face au Brésil « J’ai su combattre ma frustration » Mamadou Sakho, défenseur des Bleus et du PSG Les photos de sa petite fille Aïda sont en fond d’écran de ses deux téléphones et Mamadou Sakho ne peut s’empêcher de les regarder. « C’est dingue comment ça change la vie » , s’émerveille- t- il. Sa paternité lui permet de poser un regard plus détaché sur sa carrière : « Le Sakho d’il y a quelques années a disparu. Maintenant, je sais où je veux aller. Et je sais comment m’y prendre. » Que représente l’équipe de France aujourd’hui ? MAMADOU SAKHO. Une très grande fierté. C’est le summum. Quand on dit Bleus, on pense Zidane, Makelele, Thuram ou Blanc. Ce sera toujours quelque chose de très fort. J’ai conscience de représenter la nation. Et, maintenant, je ne suis plus le petit jeune. Il y a du talent qui arrive derrière, avec Varane, Pogba, Grenier ou Lacazette. Il y a de la force partout. A quoi sert cette tournée en Amérique du Sud ? C’est dépaysant de découvrir une autre culture et un autre football. On sent une passion vraiment très forte pour le foot. Forcément, je suis impressionné par l’idée de jouer au Brésil, qui est le vrai pays du foot. Avez-vous parlé de ce match avec Thiago Silva et Lucas ? Oui, rapidement. Mais, pour eux, c’est juste un match de préparation avant la Coupe des Confédérations. On ne s’est pas vraiment chambré sur ça. C’était juste taquin. Quel rapport avez-vous avec Thiago Silva ? J’ai compris qu’il pouvait m’aider et je ne suis pas du tout gêné d’aller discuter avec lui. Trois ou quatre fois, je suis allé le voir. J’ai pris Maxwell comme interprète et je lui ai demandé des conseils. Notamment sur des actions de jeu du genre « sur un contre avec deux défenseurs face à trois attaquants, à quel moment faut-il intervenir ? Qui doit y aller en premier ? » Il m’a dit que c’était la bonne façon d’agir, il avait fait pareil à Milan avec Nesta et Maldini. Franchement, ne pas utiliser l’expérience du capitaine du Brésil alors qu’il est à côté de toi, ce serait nul (sourire). Il y a trois ou quatre ans, vous ne seriez peut- être pas allé vers lui… Peut- être, mais il faut savoir mûrir. Dans le foot, je crois que la parole des anciens doit être toujours écoutée. Et j’ai encore des choses à apprendre. Comment jugez-vous votre saison ? Elle a été correcte. A chaque fois qu’on m’a appelé, j’ai su être là. Ce dont je suis le plus fier, c’est de ne pas avoir fui. J’ai affronté mes responsabilités et la concurrence. Je peux comprendre qu’il y ait eu des préférences, mais je sors grandi de cette saison. Je me suis battu jusqu’au bout et, aujourd’hui, je peux bomber le torse : j’ai su combattre ma frustration et j’en suis fier. Quels regrets avez-vous ? Je n’ai pas eu la chance de débuter un match de Ligue des champions au Parc… J’aurais vraiment aimé entendre l’hymne de cette compétition en étant sur la pelouse. Suivez-vous l’actualité du PSG ? En ce moment, je m’interdis de taper PSG sur Internet car je sais que je vais y trouver un tas de rumeurs. Et cela va me servir à quoi ? On va annoncer 50 joueurs et 10 entraîneurs. Je ne veux pas perdre de temps avec ça. Même ici, des coéquipiers me demandent : « Alors Ancelotti part ? » Mais je n’en sais rien ! Quand des choses deviendront officielles, là, je m’y intéresserai vraiment. Votre avenir vous préoccupe-t-il ? Avant de partir, j’ai parlé avec le président. Je connais ses intentions. Il veut que je reste car je représente le club à ses yeux. C’est bien. Je suis parisien et il me reste un an de contrat. Si je sentais de la confiance à Paris, cela ne me dérangerait pas d’y faire toute ma carrière. Il y a un si beau projet. J’ai vraiment envie qu’on compte sur moi. Mais là, j’ai besoin de couper. On reparlera de tout ça à mon retour de vacances. Que représente ce premier titre de champion avec Paris ? Quelque chose d’exceptionnel. C’est une fierté. Je n’arrive même pas à trouver les mots tellement c’est fort. Pourquoi avoir chanté « Oh Ville Lumière » au Parc lors de la remise du trophée ? Je l’avais annoncé depuis le début de saison ! Ça, c’est le chant des vrais supporteurs du Parc. C’est un truc de passionné. Et cela me tenait à coeur. C’est quelque chose que seuls les purs supporteurs connaissent. le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
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07/06/2013 18:51
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Citation Lucas : «La France, mon 2e pays» Avant d'affronter les Bleus dimanche avec le Brésil, Lucas a fait part de son «affection» pour la France, un pays qu'il a rejoint l'hiver dernier lors de sa signature au PSG. Avec Thiago Silva et peut-être Fred, il est le plus ‘‘français’’ des 24 Brésiliens actuellement présents à Porto Alegre pour y affronter les Bleus, dimanche (21h00). Arrivé au Paris-SG l’hiver dernier en provenance du Sao Paulo FC, Lucas considère déjà la France comme son «deuxième pays». La France et plus précisément Paris, «une ville où (il) se sent chaque jour un peu plus heureux» et où il «(se) voit vivre le plus longtemps possible». «Ramener le Brésil au sommet» A l’heure de retrouver deux de ses équipiers en club, Mamadou Sakho et Blaise Matuidi, («deux amis», précise-t-il), ses sentiments seront toutefois relégués au second plan. A trois reprises, il a répété : «Aujourd’hui, je défends les couleurs du Brésil. C’est un match important pour nous» dans l’optique de la Coupe des Confédérations que la Seleçao disputera à partir du 15 juin prochain. Même si les derniers résultats de sa sélection, 22e au classement FIFA, sont toujours en demi-teinte, il assure : «Tous les joueurs veulent la ramener au sommet». L'arrivée de Luiz Felipe Scolari en novembre dernier l'a relégué à un rôle de joker alors qu'il était parti pour s'imposer du temps de Mano Menezes. En club, Lucas a pris l’ascendant sur Jérémy Ménez pour occuper le couloir droit de l’attaque parisienne. En sélection, l’arrivée de Luiz Felipe Scolari en novembre dernier l’a relégué à un rôle de joker alors qu’il était parti pour s’imposer du temps de Mano Menezes. «Je dois respecter le choix de l’entraîneur, a-t-il évacué. A chaque fois que je rentre sur le terrain, c’est avec l’envie de donner mon maximum. L’important, c’est d’être utile pour l’équipe.» Dante : «Il est en train de progresser, notamment tactiquement.» En attendant de s’imposer comme un élément indiscutable aux yeux de Scolari, Lucas mesure les progrès accompli depuis son arrivée en France. «J’ai découvert un football différent, avec une philosophie différente, souligne-t-il. Mon jeu a déjà évolué». Joint au téléphone, Dante ne le contredit pas. «C’est un joueur magnifique, s’extasie le défenseur du Bayern Munich. Il est clairement en train de progresser, notamment tactiquement. Il commence à défendre, à respecter les consignes. Je suis content pour lui. Il va devenir un joueur exceptionnel». Citation Lucas : «Leonardo aura l'appui du vestiaire» Présent en conférence de presse, vendredi, à deux jours de Brésil-France, Lucas a évoqué la possibilité de voir Leonardo succéder à Carlo Ancelotti sur le banc du Paris-SG, la saison prochaine. «Pour l’instant, ce ne sont que des spéculations. On n’a aucune certitude, a d’abord souligné le milieu de terrain brésilien. Si ça devait se concrétiser, Leonardo serait le bienvenu sur le banc. C’est un grand nom, qui a de l’expérience à la fois comme ancien joueur et comme ancien entraîneur. Il a déjà été sur le banc de grandes équipes. Il sait comment le club fonctionne. Il aura l’appui de tous les joueurs» L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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08/06/2013 08:10
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Citation Un front pas populaire Le PSG, L’OM et Lyon, arrivés sur le podium de la L 1 cette saison, ne bénéficient pas d’une image favorable dans l’opinion, selon un sondage Ifop - Canal +. CELA ARRIVE à tous les chefs d’État et on ne voit pas pourquoi le foot serait épargné. Au pays de la L 1, le Paris-SG a été élu « président » le mois dernier mais est relégable en termes de popularité. Selon un sondage Ifop - Canal + réalisé du 2 au 5 avril auprès de 902 personnes s’intéressant au foot (1), le club parisien ne recueille que 47 % d’opinions favorables à la question : « Pour chacun des clubs suivants, indiquez si vous en avez une bonne ou une mauvaise opinion. » Un chiffre légèrement supérieur à celui que nous évoquions dans nos colonnes le 6 avril dernier (2), mais à l’époque existait la possibilité de ne pas se prononcer (22,5 %). Cela fait du PSG le dix-huitième des vingt clubs ayant évolué en L 1 au cours de la saison écoulée, juste devant... Bastia et l’AC Ajaccio, signe que le football corse garde une bonne tête de mal-aimé. Mais le principal opposant à Paris lors de cette Ligue 1 2012-2013 n’a fait guère mieux : avec 55 % d’opinions favorables, l’OM n’apparaît qu’en dix-septième place, selon ce sondage. Il se sauve grâce à un très beau 64 % auprès des électeurs... du Nord-Ouest. Qui sort alors vainqueur de ce concours de popularité ? Lyon, comme ce fut le cas dans L’Équipe magazine du 23 février dernier ? Loin s’en faut : avec 74 %, l’OL n’arrive qu’en quatorzième position, loin derrière son grand rival Saint-Étienne, coleader avec Lille et 89 % d’opinions favorables. Avec des différences, tout de même : les Verts sont les rois de la nostalgie, avec 99 % auprès des retraités. Le LOSC, lui, fait plutôt recette auprès des jeunes (84 % auprès des moins de 35 ans) et des... habitants du Sud-Ouest. Un seul club devance les Lillois chez ceux qui n’étaient pas nés lorsque l’Argentine a gagné son premier Mondial, en 1978 : les Girondins de Bordeaux. Très populaires chez les habitants de la région parisienne, ils font aussi un carton chez les femmes (pour qui ils sont premiers, avec 90%). Il faut croire que l’effet Cheick Diabaté est plus fort que l’effet David Beckham (53 % pour le PSG). – R. Laf. (1) Lui-même extrait d’un échantillon représentatif de 3 014 personnes. (2) 37,9 % selon un sondage Ipsos - L’Équipe. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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08/06/2013 08:25
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Citation « Le Brésil n’est plus au-dessus des autres » Lucas, attaquant international du PSG Une cohue médiatique énorme accompagne toujours le Brésil. Malgré tout, Lucas a réservé aux Français quelques minutes, dans une salle de l’Hôtel Deville où réside sa sélection, pour évoquer son actualité et celle du PSG. Il ne devrait pourtant pas débuter demain au stade du Gremio face à son « deuxième pays ». Etes-vous heureux à l’idée d’affronter l’équipe de France ? LUCAS. La France est ma seconde maison mais ici, on est au Brésil et je ne dois penser qu’à la Seleçao. On doit s’imposer. C’est vraiment très important pour nous. L’accueil que j’ai reçu en France a été formidable mais, vraiment, je ne dois pas trop y penser. J’aime la France, et les Français ont toute mon affection. Le Brésil est la 22e nation au classement Fifa. Est-elle désormais une sélection ordinaire ? Il faut savoir accepter le fait que nous ne sommes plus au-dessus des autres. Je crois que le Brésil reste pourtant une équipe très forte. Seulement nous sommes en pleine reconstruction. Il faut un peu de patience, même si la pression est grande avec des supporteurs très exigeants. Mais je crois que le potentiel est là pour redevenir une très grande équipe. Il faut simplement nous respecter car nous faisons tous les efforts possible pour améliorer notre niveau. Tous les Brésiliens ont envie de revenir au sommet. Vous n’êtes que remplaçant au Brésil, pourquoi ? (Amusé.) Il y a d’autres très bons joueurs et je respecte le choix de mon sélectionneur. Mais je donne tout quand je joue. Et en Europe, je pense que j’ai progressé, notamment dans le jeu sans ballon. Cet aspect tactique est beaucoup travaillé à Paris. Etes-vous content de croiser vos coéquipiers Mamadou Sakho et Blaise Matuidi demain ? (Petit sourire.) Oui. Ce sont deux amis et deux très grands professionnels. Cela va être amusant de se revoir sous deux maillots différents. Il y aura de l’affection, mais on va mettre ça de côté pendant le match. Suivez-vous l’actualité du PSG depuis le Brésil ? Bien sûr ! Je reste tout le temps en contact avec mon club pour savoir ce qui se passe là-bas. C’est mon équipe et je dois garder une relation directe. En plus, j’aime cette ville et j’aime y vivre. J’espère y passer encore beaucoup de temps. J’ai envie de gagner encore beaucoup de titres là-bas. Et à chaque fois que je reviens dans cette ville, c’est toujours le même enchantement. On parle de Leonardo pour succéder à Carlo Ancelotti. Qu’en pensez-vous ? Ce ne sont que des spéculations. Il n’y a aucune certitude. Si Leonardo doit prendre l’équipe, il sera le bienvenu dans le vestiaire. Ce serait génial car il connaît très bien le groupe. Leonardo est très connu dans le monde du football et il a une grande expertise de notre sport. Citation Ancelotti, « déçu et fatigué » L'entraineur italien du PSG n'a toujours pas son bon de sortie Calme plat entre Paris et Madrid. Depuis mardi et un premier contact téléphonique direct entre les dirigeants du PSG et du Real, le dossier Ancelotti est au point mort. Rien ne bouge, les discussions n’ont pas repris et l’Italien commence à trouver le temps long. Presqu’un mois après la conquête du titre de champion de France et deux semaines après la fin du championnat, Carlo Ancelotti n’est toujours pas l’entraîneur du Real Madrid, une ambition qu’il caresse depuis des mois sans pouvoir encore l’embrasser. « Carlo est très déçu par le comportement des dirigeants parisiens, rapporte l’un de ses proches. Il n’a aucune nouvelle de leur part et, surtout, il ne comprend pas leur stratégie . A la longue, il trouve cela fatigant. » Si Florentino Pérez, le président du Real, montre très peu d’empressement à régler la situation, Nasser al-Khelaifi, le président du PSG, donne, lui, l’impression de s’accrocher encore et toujours à la dernière année de contrat qui lie Ancelotti au club de la capitale jusqu’en juin 2014. Même si, en privé, son entourage reconnaît que le conserver une saison supplémentaire relève maintenant de la mission impossible. Le dirigeant qatarien, 39 ans, mène donc une guerre d’usure. Mais dans quel but ? Faire payer au prix fort à son entraîneur sa quête de liberté ? Ou veut-il forcer Florentino Pérez à abandonner la piste Ancelotti ? A moins que la manoeuvre ne soit liée à un projet de transfert d’un joueur du Real vers le PSG. Dans ce contexte, al-Khelaifi peut donc se dire que le statu quo favorisera toujours les intérêts du club parisien. Une chose est sûre, les dernières semaines n’ont fait que creuser le fossé qui le sépare désormais de son futur ex-entraîneur. « Il n’y a aucune chance que Carlo fasse machine arrière, surtout après ce que lui fait subir Nasser, croit savoir un proche collaborateur d’Ancelotti. Dans sa tête, Paris, c’est de l’histoire ancienne. » Habitué aux moeurs des grands clubs européens (AC Milan et Chelsea), le Mister ne s’attendait en tout cas pas à une pareille épreuve. le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
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09/06/2013 09:27
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Citation « Monaco a un projet intéressant » MAMADOU SAKHO Titulaire ce soir contre le Brésil, le défenseur parisien évoque aussi son avenir On est loin du dernier Brésil-France de 1977. Mais aussi loin des sommets de 1998 et 2006. À Porto Alegre, la 22e nation au classement Fifa accueille la 18e. La dernière sortie des deux équipes résume ce curieux état des lieux : la Seleçao a concédé un nul au Maracana contre l’Angleterre, qui n’a eu que deux occasions (2-2). À Montevideo, les Bleus ont perdu (1-0) contre l’Uruguay, qui ne leur avait plus marqué un but depuis 1966. Enjeu similaire, donc : éviter l’accumulation de contre-performances. Face à Neymar, Fred et Lucas, la défense française sera mise à l’épreuve. Mamadou Sakho devrait être aligné aux côtés d’Adil Rami. Le défenseur parisien a une actualité brûlante. Il l’évoque avec des non-dits et des sourires qui en disent long. Il sait trop bien que « dans le football, il faut apprendre à ne pas dire tout ce qu’on pense » . Mais les mots s’échappent parfois… La France reste sur trois défaites en quatre matches. Inquiétant ? Le plus important, c’est l’attitude et elle était bonne. Ce n’était pas des matches faciles. Ça sera encore le cas contre le Brésil. Le jouer chez lui est un privilège. C’est le pays du foot, une référence. La Coupe du monde aura lieu ici et ça permet de sentir l’atmosphère des stades. Vous avez vécu des moments difficiles avec les Bleus : la non-sélection pour l’Euro 2012, l’Espagne sur le banc. Ça n’a pas l’air de vous affecter ? J’ai vécu des choses tellement compliquées hors football dans ma jeunesse (le décès de son père quand il avait 13 ans) que j’ai un gros mental. Contre l’Espagne, le coach a fait un choix, je l’ai respecté sans problème. Je prends ma carrière comme elle vient. J’ai mes objectifs en tête et je travaille pour les atteindre. Lesquels ? Gagner ma place de titulaire en équipe de France et le rester le plus longtemps possible. Bien sûr, je suis jeune et je joue à un poste qu’on confie à des joueurs d’expérience. Mais un jeune qui ne joue pas n’en acquerra jamais. Je ne suis pas pressé, juste ambitieux. Vous dites avoir combattu votre frustration au PSG cette saison. Pourquoi les joueurs français ont-ils tant de mal à accepter la concurrence ? Ce n’est pas une question de concurrence. Il ne faut pas être dupe… (Il s’arrête) C’est peut-être un manque d’expérience qui fait que j’ai mal réagi au début. Puis tu comprends que le football de haut niveau est ainsi fait et tu t’adaptes. Ça va me servir pour la suite. Thiago Silva, c’est le meilleur joueur avec qui j’ai joué depuis le début de ma carrière. Vous auriez pu signer à l’OL l’été dernier. C’était quand même une bonne idée de rester au PSG, non ? Lyon me courtisait mais ce n’était pas le seul club. Je demandais juste du temps de jeu. J’en ai eu un… raisonnable, donc très bien. Au final, ça reste une très belle saison personnelle et collective. Seriez-vous prêt à revivre la même ? Je ne sais pas. (Il rigole) Vous aimeriez qu’on vous fasse plus confiance ? C’est évident. Nasser Al- Khelaïfi veut que vous restiez. C’est important ? C’est toujours plaisant. Mais il n’y a pas que les paroles. Il y a aussi les actes. Certaines choses ne dépendent pas que du président. Il y a l’aspect technique… L’identité du futur entraîneur peut jouer ? Bien sûr. On parle de vous à Monaco. Pourriez-vous jouer ailleurs qu’au PSG en France ? On verra. Je suis sous contrat jusqu’en 2014. Je suis tranquille, je laisse venir. Dans le football, tout est possible. Monaco marque les esprits, comme Paris l’a fait avant et comme Paris va continuer à le faire. Mais il y a un projet intéressant là-bas, c’est vrai. le JDD -------------------- Culture Bowl II champion
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09/06/2013 09:50
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Citation Thiago Silva, appétit Monstre Le capitaine de la Selecao et du PSG veut ramener le Brésil au sommet... et voir Wayne Rooney débarquer à Paris pour gagner la Ligue des champions Il flottera bien un air d'opposition au Camp des Loges, aujourd'hui, à l'Arena do Gremio. Face à Mamadou Sakho, Thiago Silva sera apte à piloter le système défensif d'une Selecao en quête d'équilibre et de constance, une semaine après son nul contre l'Angleterre (2-2), au Maracana. « Je me sens bien », a affirmé, hier, le défenseur central, ménagé la veille par Luiz Felipe Scolari. « J'ai peu joué sur la fin du Championnat de France et il m'a fallu retrouver du rythme avec la sélection. Cela m'a provoqué de petites douleurs musculaires sur lesquelles nous avons travaillé avec le staff. Je pourrai jouer contre la France. » Un football francais qui lui a inspiré différents commentaires, hier, en conférence de presse. PRÊT A VOIR LEONARDO... ET ROONEY Même s'il semble très focalisé sur la préparation de la Coupe des Confédérations (15-30 juin), le capitaine des champions de France suit l'actualité de son club. « Je jette un oeil sur ce qu'il se passe là-bas parce que le futur du PSG est important. » Comme Lucas, la veille, Thiago Silva s'est montré assez ouvert à l'idée de voir Leonardo nommé au poste d'entraineur: « J'ai déjà travaillé avec lui à l'AC Milan (2009-2010). Sa suspension pourrait compliquer les choses. Mais s'il doit devenir notre entraineur, le groupe le soutiendra et on travaillera tous ensemble. » C'est surtout sur l'hypothèse de voir Wayne Rooney rejoindre la L1 que Thiago Silva s'est montré enthousiaste. Les deux hommes se sont parlés, dimanche, en marge de Brésil-Angleterre. « Nous n'avons pas discuté de transferts, mais plutot de ce match », a assuré le défenseur. Le message du « Monstre » est clair, cependant: « Rooney est un grand joueur, qui fait souvent la différence. J'espère qu'il va pouvoir venir au PSG. C'est un renfort qui nous aiderait à remporter la Ligue des champions. » En attendant, il ne nie pas l'impression d'un climat brouillé par la tension qui enveloppe le départ attendu d'Ancelotti au Real Madrid: « Ca ne donne pas encore beaucoup de certitudes pour l'avenir. Mais j'ai confiance en nos dirigeants pour recruter de bons joueurs cet été. » A travers son témoignage d'admiration pour l'attaquant de Manchester United, Thiago Silva suggèse sa propre implication dans le projet parisien, malgré les nouveaux appels du pied du Barca. « Comme à chaque début de mercato, il se dit que je pourrais aller à Barcelone. C'était déjà le cas il y a un an. A l'époque, j'avais choisi Paris. Aujourd'hui, je suis très heureux au PSG et j'espère aller au bout de mon contrat. » Un contrat qui expire le 30 juin 2017. « MONACO, NOTRE PRINCIPAL RIVAL » Falcao, James Rodriguez, Moutinho, Ricardo Carvalho... A l'heure où le recrutement du PSG semble mis en veilleuse par le dossier du banc, l'entrée fracassante de Monaco sur le mercato européen ne laisse pas insensible l'un des meilleurs défenseurs du monde. « A Paris, on n'a peur de personne. Mais c'est vrai que Monaco est en train de batir une équipe compétitive. C'est bon pour le foot francais, notamment pour son image à l'étranger. Ce qui se passe à Monaco me fait plaisir même si ce club sera sans doute notre principal la saison prochaine... » « LES EUROPEENS DEVRAIENT RESPECTER UN PEU PLUS LE BRESIL » La publication, jeudi dernier, du dernier classement FIFA, a répandu une onde de choc au Brésil, descendu au 22e rang, son plus bas historique. « Nous progressons et je suis sur que nous serons forts au moment d'aborder chez nous la Coupe des Confédérations et la Coupe du monde », veut se convaincre le défenseur. Hier, Thiago Silva s'est encore dressé pour défendre la réputation du football brésilien. « Les Européens nous méprisent même si j'ai remarqué que face à nous, ils sortent le match de leur vie. Ils devraient respecter un peu plus le Brésil. Aucun autre pays n'a gagné cinq Coupes du monde. » La pique visait à nouveau Joey Barton, dont Silva a encore évité de citer le nom. Mais sa portée était plus large: le capitaine du Brésil sait que son équipe, « en reconstruction », a perdu du crédit depuis la Coupe du monde 2010. JEROME TOUBOUL L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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09/06/2013 10:22
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Citation « Quand tu es vidé, cassé, c’est un plaisir » BLAISE MATUIDI explique comment il a fait évoluer sa préparation pour effectuer une saison de haut niveau sans blessure. Tout en se donnant à fond. Il est l'international francais qui a joué le plus de matches en 2012-2013 (61) et, pourtant, il a encore faim. A vingt-six ans, Blaise Matuidi a amorcé un virage cette saison, la première sans blessure. Le milieu parisien détaille la manière dont il s'est préparé, d'un point de vue physique, technique et psychologique, pour enchainer autant de rencontres en maintenant un niveau de performances constant. « DIDIER DESCHAMPS a dit, jeudi, qu'il vous parlerait avant de savoir s'il vous alignerait ou pas. Peut-on dire à son entraineur qu'on se sent fatigué ? – Impossible ! Quand on joue le Brésil, je ne pense pas (il sourit). Moi, je n'ai jamais eu la chance d'affronter cette équipe. Je pense qu'il pourra poser la question aux vingt-trois, pas un seul ne lui dira qu'il se sent fatigué, même s'il ne faut pas mettre le groupe en difficulté. – C'est votre première saison à plus de soixante matches, et surtout la première sans blessure... – C'est surtout ce que je retiens. Même des petits pépins, je n'en ai pas eu. Avec l'age, je gagne en maturité et j'ai appris à baisser un peu de pied pendant les entrainements, quand il le fallait. Avant, j'avais ce défaut d'être toujours à fond pendant les séances alors qu'il aurait peut-être fallu mieux gérer mon corps, moins penser au moment présent qu'à demain. J'avais un gros défaut: quand je ressentais une douleur, je serrais les dents et me disais qu'elle allait passer. Finalement, elle s'aggravait. – Que signifie "gérer pendant un entrainement" ? – C'est sentir quand on peut se livrer dans les contacts. Si on est un peu fatigué et que, pendant un entrainement, on reste à bloc, on accumule de la fatigue, on tire sur les muscles et ca peut péter, que ce soit au niveau des mollets ou des ischio-jambiers. Moi, c'était surtout les ischio-jambiers. Cela ne signifie pas ne pas être concentré dans les gestes, les exercices. Mais il faut savoir baisser un peu dans l'intensité, sans tricher. – Avez-vous eu peur de la blessure cette saison ? – Au début, oui. Je n'ai pas eu de chance avec l'Euro 2012: je me suis blessé juste avant (à une cuisse) et, quand je suis revenu en club, j'appréhendais un peu. Au fil des matches, cette appréhension s'est estompée. Et puis, on a aussi la chance d'avoir un très bon staff au PSG, qui a insisté sur l'importance de l'hygiène de vie et nous a fait faire un travail de prévention des blessures, à base de gainage abdominal, de travail des ischio-jambiers avec des barres. Cette année, en revanche, j'ai fait un peu moins de musculation. Avec l'enchainement des matches, je préférais me sentir affuté. – A votre poste, on a souvent loué les milieux défensifs puissants, costauds. Ce n'est pas trop votre profil... – Je me suis posé cette question. Mais je me dis que, finalement, ca ne sert à rien de prendre du volume. J'ai la crainte de perdre en agilité. J'ai une force, c'est jaillir. Je n'ai pas envie de perdre ca. – Vous avez évoqué l'hygiène de vie. Passe-t-elle par un régime alimentaire particulier ? – En début de saison, Nick Broad (le nutritionniste du PSG, décédé accidentellement en janvier) m'a beaucoup aidé à ce niveau-là. Il me disait d'avoir un certain régime alimentaire, même si on pouvait parfois s'autoriser quelques écarts. L'idée était de privilégier les féculents au déjeuner, de manger un peu de viande le soir pour l’apport en protéines. Nick m’a aussi conseillé de ne pas trop surcharger le petit déjeuner alors que c’était mon petit défaut. Moi, j’aimais tout ce qui est Chocapic, etc. Il a équilibré ma journée d’un point de vue nutritionnel. Cela a stabilisé mon poids, à 73,5 kilos, mon poids de forme. – Dans une interview au site Rue89, vous avez déclaré “prendre du plaisir à épuiser [votre] corps”… – Le plaisir, c’est de se dire, à la fin : voilà, je suis lessivé, j’ai tout donné. Quand tu as le sentiment d’avoir tout fait, au-delà même du résultat, que tu es vidé, cassé, c’est un plaisir. Alors oui, j’aime épuiser mon corps, j’aime abîmer mes pieds, même s’ils le sont déjà… Après, c’est dur pour la plage ! (Il se marre.) – Certains joueurs sont aussi habités par le stress d’avant-match, parfois à l’origine de blessures. Est-ce votre cas ? – À mes débuts, je stressais un peu, oui. Mais l’équipe nationale m’a fait beaucoup de bien, m’a apporté beaucoup de confiance. Quand vous jouez Espagne- France (1-1) à Madrid, vous vous sentez capable, après, d’aborder un match de Ligue des champions en club. On se sent plus à l’aise. – Sentez-vous, cette saison, que votre jeu a évolué, que vous gérez mieux vos courses ? – Eh bien, merci Claude (Makelele, l’adjoint d’Ancelotti) ! C’est lui qui m’a appris à gérer ça, il ne me lâche pas. Je sais que je cours un peu moins à chaque match mais que je cours mieux. J’ai appris à me placer. Le coach m’a aussi demandé de faire attention à l’équilibre de l’équipe. Cela me permet aussi d’être un peu plus lucide, un peu moins foufou dans l’utilisation du ballon. – Finalement , soixante matches de très haut niveau, c’est la conjonction d’une hygiène de vie et d’une évolution de votre jeu. – Bien sûr. Et puis un peu de chance aussi. (Il sourit.) » DAMIEN DEGORRE L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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13/06/2013 21:54
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#5577
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 78,962 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Paris Membre no 24 Tribune : Viré du stade |
Citation Football, Ligue 1 Le PSG bat son record d’abonnés Par Romain Schneider, 12-06-2013 Le club parisien a franchi la barre des 31 000 abonnements. Grâce à ses stars et à un nouveau plan marketing. 31 600 abonnés à ce jour. Et le Paris Saint-Germain signe un nouveau record. Le club ne pourra guère aller plus loin (environ 32 000), car il doit réserver un certain nombre des places, notamment pour ses partenaires. L’année dernière, à la même époque, seulement 18 800 abonnements avaient été vendus. Le nombre d’abonnés a donc augmenté considérablement depuis la reprise du club par Qatar Sports Investments (QSI). Lors de la saison 2010-2011, ils étaient 9 584 fidèles seulement, dans un contexte particulier il est vrai, avec l’établissement du plan Leproux. Deux ans plus tard, les recrutements de stars et la présence en Ligue des champions ont évidemment changé la donne. Comme la stratégie mise en place par le champion de France. Frédéric Longuépée, directeur général adjoint du PSG, chargé du marketing, explique la démarche du club: «La billetterie n’est pas une variable d’ajustement mais un vrai pôle de revenus qui doit être pensé indépendamment des résultats sportifs. Dans le domaine du football, on plafonne souvent le nombre d’abonnements pour maximiser la recette aux guichets, avec le risque de ne pas remplir pour les affiches faibles. Nous avons pris le parti inverse en travaillant sur la maximisation du nombre d’abonnements pour remplir le stade et générer de la rareté. Les amoureux du football vont comprendre que pour être sûr de voir le Paris Saint-Germain, il faut s’abonner.» En deux ans, le club a changé de dimensions et le prix des abonnements au Parc a connu une sérieuse augmentation, de 11 à 30 %. Le plus accessible se vend 360 euros pour la prochaine saison (tarif «renouvellement virage Auteuil et Boulogne » avec placement aléatoire maintenu), et le plus cher 2 700 euros. Les tarifs, hors places VIP, n’augmentent pas pour la saison 2013-2014 (en cas de renouvellement effectué avant fin avril). «Nous voulons rester un club populaire et avoir la gamme de prix la plus large possible. Il doit y en avoir pour tout le monde. La saison dernière, c’était donc possible de venir au Parc des Princes en tant qu’abonné pour 12 euros par match », rappelle Frédéric Longuépée. Le Parc des Princes ne va donc pas suivre le modèle des stades anglais. «Pour les non-abonnés, les premiers billets pour les matchs sont à partir de 30 € à Arsenal et 45 € à Liverpool. Nous sommes à 15 €. Le prix de l’abonnement le moins cher à Arsenal, c’est 1 200 euros annuels ; nous, c’est 360.» Le record d’abonnés en Ligue 1 est détenu par Marseille, avec 44 115 fidèles en 2003-2004. Le PSG a considérablement augmenté ses revenus ces vingt-quatre derniers mois. Parmi les principaux facteurs d’augmentation des recettes: les revenus de la billetterie et des opérations d’hospitalité les jours de match (52,50 M€). Si les dirigeants réfléchissent toujours à la possibilité de faire passer la capacité du Parc des Princes de 48 527 à 60 000 places, ils doivent tenir compte d’une enceinte de dimensions restant quoi qu’il en soit limitées. Comment maximiser les recettes, alors ? Tout simplement en développant les places VIP. Les tribunes C et D vont être transformées afin d’y installer des places avec prestations: carrés de quatre sièges avec télé, accès salon et dîner. Le PSG va ainsi doubler sa capacité VIP pour multiplier de manière significative ses recettes. En raison de ces changements majeurs, les abonnements vont augmenter à un tarif quatre fois supérieur à cette saison, de 2 700 à 8 500 €. Cette rénovation va s’accompagner de la modernisation globale de l’enceinte de la porte d’Auteuil. Les travaux visant à mettre le stade aux normes imposées par l’UEFA pour les matchs de l’Euro 2016 ont déjà commencé. «L’idée, c’est d’offrir aux spectateurs du Parc les mêmes informations que celles proposées aux téléspectateurs, en fournissant par exemple des statistiques sur les écrans géants », enchaîne le directeur général adjoint. Novateur dans le foot en France, le PSG a notamment mis en place une plate-forme d’échanges qui permet au détenteur d’un billet ou d’un abonnement de remettre en vente sa place, le site sécurisé garantissant à l’acheteur l’authenticité du ticket et au vendeur le paiement de la transaction. Ce service rendu aux abonnés, opérationnel depuis le 1er janvier dernier, constitue un outil de lutte contre le marché noir. 15 000 billets ont ainsi été échangés sur cette plate-forme depuis janvier. Le PSG est, à ce jour, le seul à procéder ainsi en France. En outre, le club offrira la possibilité de s’abonner en ligne ou d’acheter un billet dès le mois d’août avec une nouvelle plate-forme d’e-commerce. Et, par ailleurs, un contrôle d’accès inédit permettra de lire tous les types de tickets à l’entrée du Parc des Princes. «Nous serons également le premier club à mettre en place le billet électronique permettant le contrôle d’identité. Nous maîtriserons la destination finale des billets», précise Longuépée. Le club de la capitale entre ainsi (enfin) de plain-pied dans l’ère du 2.0. ![]() http://www.sport24.com/football/ligue-1/ac...-abonnes-636892 -------------------- Le camp du bien.
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14/06/2013 07:59
Message
#5578
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Leonardo ne sera pas jugé le 20 juin Football, PSG. L’appel de Leonardo, suspendu neuf mois le 30 mai, ne sera normalement pas examiné avant début juillet. Il s’agit d’un nouveau contretemps pour le club parisien. C’est désormais une certitude : Leonardo ne sera pas jugé jeudi 20 juin par la commission supérieure d’appel de la Fédération française de football. Les délais de convocation ne permettent plus d’auditionner le directeur sportif, qui a fait appel de sa suspension de neuf mois infligée le 30 mai par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (nos éditions de lundi). « Mon client n’a reçu aucune convocation pour la séance du 20 juin. A mon avis, l’appel ne sera pas étudié ce jour-là », nous a confié hier Me Patrick Anton, l’avocat de l’arbitre Alexandre Castro bousculé par Leonardo après la rencontre PSG - VA du 5 mai. Normalement, les règlements prévoient qu’un délai de quinze jours doit être respecté entre la tenue de la commission et la notification de la convocation, délai qui peut être ramené à huit jours en cas d’urgence. Un caractère d’exception qui n’a pas été soulevé par le PSG. Désormais, il est trop tard pour convoquer les deux parties, et le dossier « Leo contre Castro » pourrait être abordé lors d’une séance qui devrait se tenir début juillet, très vraisemblablement le 4 juillet. « Plus tard, cela me semble compliqué, car beaucoup de membres de la commission sont en vacances au même titre que M. Castro, qui prend les siennes en juillet, avant la reprise du championnat », avance Me Anton. Ce nouveau report ferme définitivement la porte à la possibilité — déjà très mince — de voir le Brésilien s’asseoir sur le banc de touche du PSG la saison prochaine, d’autant que la commission supérieure d’appel est toujours susceptible d’alourdir la sanction du directeur sportif parisien. Les discussions se poursuivent avec Hiddink Comme nous l’indiquions hier, la direction du PSG s’est donc tournée vers l’étranger pour dénicher son nouvel entraîneur. Les discussions se poursuivaient hier notamment pour tenter d’attirer Guus Hiddink. Dans la soirée, selon certaines sources, le technicien néerlandais aurait cependant montré une certaine réticence vis-à-vis du projet parisien. Outre Hiddink, le PSG étudie d’autres solutions. De son côté, Michael Laudrup, l’entraîneur de Swansea que les médias anglais ont envoyé à Paris, a démenti toute possibilité de mouvement. « Je l’ai répété de nombreuses fois ces trois derniers mois. Mon intention est de rester (NDLR : à Swansea, où il a prolongé jusqu’en 2015) », a confié l’ancien attaquant danois à un journal gallois. Enfin, Carlo Ancelotti attend toujours d’être libéré de sa dernière année de contrat. Hier, alors que Nasser al-Khelaifi, le président parisien, s’est envolé pour Doha, aucun accord n’avait été formalisé entre l’entraîneur italien en poste depuis décembre 2011 et le club de la capitale. Cependant, comme nous l’évoquions dans nos éditions d’hier, ce n’est plus qu’une question d’heures, les discussions entre le Real Madrid et le PSG continuant à bien avancer sous l’impulsion de Leonardo. Citation Luyindula champion de France. Le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
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15/06/2013 07:34
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#5579
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Leonardo en appel le 3 juillet C'est un début de mois de juillet sous les projecteurs qui attend le PSG. Le 1er, les champions de France – du moins ceux qui n'ont pas été convoqués en sélection en juin – ont rendez-vous au Camp des Loges pour ce qui s'annonce comme leur premier entrainement sans Carlo Ancelotti depuis dix-huit mois. Trois jours plus tard, ils décolleront, comme l'été dernier, pour un premier stage d'avant-saison en Autriche, où deux matches sont programmés, le 9 juillet face à Sturm Graz et le 12 contre le Rapid de Vienne. Avant même leur départ pour leur mise au vert à Stegersbach, les joueurs connaitront l'appel de la sanction qui frappe Leonardo, suspendu neuf mois par la commission de discipline de la LFP, le 30 mai, pour avoir bousculé Alexandre Castro, l'arbitre de PSG-Valenciennes (1-1, le 5 mai). Comme l'a révélé L'Equipe, hier, sur son site internet, c'est le mercredi 3 juillet que le directeur sportif du club parisien est convoqué par la commission supérieure d'appel de la FFF, alors que la date du 20 juin était précédemment avancée. Le dirigeant brésilien ne pourra être recu ce jour-là car un délai de quinze jours est nécessaire entre l'envoi de la convocation et la réunion de la commission d'appel de la Fédération. Ce délai aurait pu être ramené à huit jours sur demande de l'instructeur du dossier si ce dernier avait considéré qu'une urgence le nécessitait, ce qui n'a pas été le cas en l'espèce. De son coté, le PSG ne pouvait pas formuler cette demande et tenter d'accélérer un processus qui pourrait clarifier en partie la gestion de son intersaison à l'heure où le départ de Carlo Ancelotti pourrait être officialisé en début de semaine prochaine, selon les médias espagnols proches du Real Madrid. Leonardo, qui pourrait s'installer sur le banc en dernier recours, semble s'activer dans la recherche d'un entraineur d'envergure qui accepterait de ne venir que pour un an, ce qui pourrait faciliter l'arrivée d'un manager comme Arsène Wenger en 2014. Cette semaine, « Leo » a rencontré l'agent de Guus Hiddink à Milan. Hiddink a pu apparaitre tenté mais le technicien néerlandais aurait donné sa parole à son club russe, l'Anji Makhatchkala, de respecter la prolongation automatique de son contrat jusqu'en 2014. De son coté, Michael Laudrup, le manager de Swansea (Premier League), a repoussé une première offre du PSG en raison de cette durée de un an, qui ne lui convient pas. Paris maintiendrait le contact avec l'ancien international danois, tout en gardant un oeil, même lointain, sur l'option Fabio Capello, sous contrat avec la Federation russe jusqu'en 2014 mais disposant d'une clause libératoire de 3 M€. – E.M. et D.D. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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21/06/2013 12:05
Message
#5580
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 874 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 153 Tribune : Canapé |
Citation Foot - Ligue 1 - PSG : Camara prolonge Zoumana Camara disputera une septième saison sous les couleurs du PSG. En fin de contrat, le défenseur de 34 ans a prolongé son bail d’un année avec le club de la capitale, soit jusqu’en 2014. Il a pris part à six rencontres de L1 la saison passée. – E. T. L'Equipe.FR |
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