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15/03/2013 10:45
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#5381
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Ligue des champions : trois géants à éviter pour Paris Le PSG connaîtra aujourd’hui l’identité de son adversaire en quart de finale. Il peut s’attendre au pire comme au meilleur. C’est à un sommet du G8 que le PSG est convié aujourd’hui au siège de l’UEFA en Suisse, sur les rives du lac Léman. Les dirigeants des huit meilleures équipes d’Europe du moment ont rendez-vous à l’occasion du tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions. Ils vont d’abord se faire de grands sourires avant de se dévorer les uns les autres, sous forme de matchs aller et retour, début avril. Le PSG redécouvre cette ambiance, dix-huit ans après sa dernière participation aux quarts de finale de la prestigieuse compétition de clubs. A l’époque, les Parisiens s’étaient mesurés avec succès au FC Barcelone. Aujourd’hui, plusieurs routes s’offrent au PSG. Les monstres. A eux trois, le FC Barcelone, le Real Madrid et le Bayern Munich totalisent dix-sept victoires en Ligue des champions. Ces puissances historiques et économiques du foot européen règnent aussi sur l’époque moderne. En témoigne leur fidélité aux quarts de finale de la Ligue des champions. Le Barça est ainsi présent pour la sixième saison consécutive à ce niveau. Sa remontée fantastique aux dépens de l’AC Milan au tour précédent (victoire 4-0 au Camp Nou après une défaite 2-0 à l’aller) n’a fait que renforcer la légende des Catalans. Pas de quoi effrayer Mamadou Sakho. « Je n’ai pas de préférence pour le tirage au sort, mais un Paris - Barcelone, ce serait pas mal! » a déclaré le défenseur parisien. Dans un sens, on peut le comprendre. Face à un adversaire d’un tel calibre, le PSG n’aurait pas grand-chose à perdre. Une élimination ne serait pas forcément vécue comme une immense déception alors qu’une éventuelle qualification passerait pour un exploit retentissant. L’effet serait à peu près semblable face au Real ou au Bayern. Les cadeaux empoisonnés. Pas certain que le PSG soit mieux loti s’il hérite de la Juventus Turin ou du Borussia Dortmund. Ces formations, respectivement championnes d’Italie et d’Allemagne en titre, sont en effet les deux seules à demeurer invaincues cette saison en Ligue des champions. L’une comme l’autre ont d’ailleurs largement dominé tous leurs adversaires au tour précédent et développent à chaque sortie européenne un football offensif et séduisant. « Autour de Mario Götze, le joyau du football allemand, le Borussia Dortmund est une équipe dynamique et hyper mobile, apprécie Patrick Guillou, spécialiste de la Bundesliga pour Canal +. Son seul point faible, c’est peut-être la défense, qui est assez lente. » Les invités surprises. Restent donc Galatasaray et Malaga, deux équipes moins attendues. Les Turcs, tombeurs de Schalke 04 en huitièmes de finale, peuvent compter depuis le mercato hivernal sur deux recrues de premier plan : Didier Drogba et Wesley Sneijder. Quant aux Espagnols, en pleine tourmente financière depuis que les propriétaires qatariens du club se sont mis aux abonnés absents, ils constituent sans doute l’adversaire le plus prenable pour le PSG. Au moins sur le papier. Citation Rendez-vous à midi… Le tirage au sort a lieu à midi à Nyons, au siège de l’UEFA (en direct sur BeIN Sport, Eurosport, Infosport +, l’Equipe 21 et i>télé). A partir des quarts de finale, l’UEFA procède à des tirages intégraux. Il n’y a plus de têtes de série et les duels entre clubs de même nationalité sont possibles. Outre l’identité de son adversaire, le PSG connaîtra à l’issue du tirage effectué par l’Anglais Steve McManaman (ancien de Liverpool et du Real), deux informations essentielles : l’ordre et les dates des matchs. L’équipe tirée la première reçoit lors du match aller. Un match retour au Parc des Princes augmenterait considérablement les chances de qualification du PSG. Les matchs aller auront lieu les 2 et 3 avril, les matchs retour une semaine plus tard, les 9 et 10 avril. Les huit qualifiés pour les quarts de finale. Real Madrid (Esp), FC Barcelone (Esp), Malaga (Esp), Borussia Dortmund (All), Bayern Munich (All), PSG, Juventus Turin (Ita), Galatasaray (Tur) Citation Robert Pires : « Il faut toujours de la chance au tirage » Consultant sur BeIN Sport, l’ancien milieu de terrain d’Arsenal et de l’équipe de France apporte son regard d’expert sur le tirage au sort et les chances du PSG. Le PSG en quarts de finale de la Ligue des champions, est-ce une surprise pour vous ? Robert Pires. Non. Avec son effectif et son entraîneur, Paris fait partie des huit meilleures équipes d’Europe. Le match à Valence a été impressionnant et ils peuvent s’appuyer sur l’expérience d’Ancelotti, d’Ibrahimovic et de Thiago Silva. Jusqu’où le PSG peut-il aller ? On aura un élément de réponse après le tirage au sort… Mais c’est une équipe qui n’aura rien à perdre. L’objectif était d’atteindre les quarts et désormais tout est du bonus et du positif. Il n’y aura pas de pression. Cependant, je ne pense pas que le PSG puisse remporter cette Ligue des champions, pas cette année. Mais une place en demi-finale est très possible, surtout en cas de tirage favorable. Il faudra donc un peu de chance au tirage… Il faut toujours de la chance au tirage! Il reste des équipes bonnes à prendre. Ce n’est pas comme s’il y avait sept FC Barcelone ou Real Madrid encore dans la compétition. Malaga, Galatasaray, même le Borussia Dortmund sont prenables pour Paris. Selon vous, Paris aurait peu de chances face aux quatre autres équipes ? Oui. Le Barça, le Real Madrid et le Bayern Munich sont les trois clubs vraiment au-dessus avec la Juventus juste derrière. Pour le spectacle et l’excitation, ce serait magnifique que le PSG affronte l’une de ces équipes, mais la qualification serait alors beaucoup plus compliquée qu’en affrontant une des autres équipes. Jouer le match retour à domicile fait-il encore la différence ? Bien sûr. On l’a vu avec le match de Barcelone par exemple, où l’avantage du terrain au retour a rendu l’exploit possible. Ce n’est pas toujours gage de qualification, mais c’est tout de même mieux de jouer le retour à la maison. Quel est votre favori ? Le Real Madrid. Mais l’écart entre le Real, le Barça, le Bayern et la Juventus est minime. C’est dommage qu’il manque Manchester United ou Arsenal, mais la suite de la compétition va tout de même être fascinante. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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15/03/2013 13:21
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![]() Terriblement humain ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 17,802 Inscrit : 23/03/2010 Membre no 1,600 Tribune : Viré du stade |
Citation Ligue des champions : le PSG défiera le FC Barcelone en quarts de finale Le PSG affrontera le FC Barcelone en quarts de finale de la Ligue des champions. C'est le verdict du tirage au sort effectué ce vendredi midi à Nyon (Suisse) au siège de l'UEFA. Le match aller aura lieu au Parc des Princes, le mardi 2 ou le mercredi 3 avril. Le match retour se déroulera la semaine suivante, à Barcelone, le mardi 9 ou le mercredi 10. «C'est le tirage le plus difficile. Pire tirage c'était difficile. Et je ne parle pas seulement de leur dernière performance (NDLR: remonter 4 à 0 au Camp Nou un AC Milan qui avait battu les Catalans 2 à 0 à l'aller) mais pour ce qu'ils ont fait ces dernières années, a dit Leonardo, directeur sportif du club parisien. C'est la meilleure équipe de foot du moment, elle est même dans les trois meilleures de l'histoire du foot, a précisé Leonardo. Le Barça est le favori absolu depuis que la compétition a commencé», a-t-il ajouté. Paris vainqueur... il y a 18 ans «On va jouer notre chance. Il faudra jouer à fond chaque minute», a réagi Carlo Ancelotti, l'entraîneur parisien sur BeINSport. «Le PSG n'aura pas Ibra à l'aller, mais nous n'aurons pas Pedro», a pour sa part déclaré Andoni Zubizarreta, l'ancien gardien espagnol devenu directeur sportif de Barcelone, toujours sur BeINSport. Le club parisien a gagné sa place en éliminant les Espagnols de Valence, en huitièmes de finale. Vainqueurs 2-1 au match aller, à l'extérieur, ils avaient fait match nul 1-1 au Parc des Princes au match retour. Lors de la phase de groupes, le Paris Saint-Germain avait dû affronter Kiev (Ukr), Zagreb (Cro) et Porto (Por). Avec une seule défaite 1-0 à Porto, le PSG avait pris la première place grâce a ses cinq victoires. Le FC Barcelone a rejoint les quarts de finale après avoir éliminé l'AC Milan. Défaits 2-0 en huitièmes de finale aller, les Catalans ont inversé la tendance (4-0) au retour. Le PSG et Barcelone se sont déjà rencontrés cette saison, lors du Trophée de Paris, un match amical de gala, en août 2012. Barcelone l'avait emporté 2-2 (4 t.a.b. 1). La dernière fois que le PSG a disputé les quarts de finale de la Ligue des champions remonte à la saison 1994-1995. Il avait alors éliminé un certain... FC Barcelone, avant de se faire sortir de la compétition par l'AC Milan en demi-finale. Le Parisien.fr -------------------- "Que certains continuent de faire les rageux, mais dans 10 ans tout le monde aura oublié Messi parce qu'aussi beau à voir jouer, il est laid, teubé et inintéressant : il fera ambassadeur du Barça et on le verra lors des tirages aux sort du Barça avec ses costards cheum. Il se butera au Coca et restera assis sur son canapé parce qu'il n'est jamais sorti de sa zone de confort."@Filet-o-fish
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15/03/2013 14:34
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Citation Le PSG jouera le Barça ! En quarts de finale de la Ligue des champions, le Paris-SG sera opposé au FC Barcelone ! C'est le pire tirage pour le club de la capitale... Le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions a eu lieu ce vendredi midi à Nyon au siège de l'UEFA et le Paris-SG, unique représentant français dans cette compétition, a hérité du FC Barcelone. Le club de la capitale jourera le match aller à domicile au Parc des Princes le 2 avril (20h45). Le retour se jouera une semaine plus tard le 10 avril au Camp Nou. C'est le tirage le plus compliqué auquel pouvait s'attendre le PSG, qui espérait plutôt tomber sur Malaga ou bien encore Galatasaray. Les Catalans, leaders de la Liga et emmenés par le meilleur joueur du monde Lionel Messi, se sont qualifiés pour les quarts après un 8e de finale retour incroyable face à l'AC Milan (4-0) après avoir perdu à l'aller (0-2). En tête de la Ligue 1, le Paris-SG s'est lui qualifié pour les quarts en sortant une autre équipe espagnole, le Valence CF (3-1, 1-1). Il y a 18 ans, le PSG avait éliminé le Barça En Coupe d'Europe, le Paris-SG et le FC Barcelone se sont déjà affrontés à trois reprises. La première fois, c'était déjà en quarts de finale de la Ligue des champions lors de la saison 1994-1995 et les Parisiens avaient éliminé les Blaugrana en arrachant le match nul au Camp Nou (1-1) puis en s'imposant ensuite au Parc des Princes (2-1). La troisième opposition avait eu lieu en finale de la Coupe des Coupes lors de la saison 1996-1997. Et cette fois, le Barça avait eu le dessus en remportant le trophée grâce à un penalty de Ronaldo (1-0). En amical, les deux clubs s'étaient rencontrés au Parc en août dernier et le Barça avait remporté le Trophée de Paris lors de la séance de tirs au but (2-2, 4-1 tab). Le Real s'en sort bien Le Real Madrid jouera, lui, son quart de finale contre Galatasaray. Le club espagnol aura néanmoins le désavantage de se déplacer en Turquie pour le match retour. Le tirage a également été favorable au Borussia Dortmund, qui affrontera Malaga, quatrième de Liga. La rencontre Bayern Munich - Juventus Turin sera l’affiche des quarts de finale. «Je connais très bien la Juventus. C'est la meilleure équipe italienne en ce moment. C'est une grosse écurie», a commenté Jupp Heynckes, l'entraîneur du Bayern. Les deux équipes se sont déjà affrontées à six reprises en Coupe d'Europe. Ce sont les Italiens qui mènent au bilan des confrontations : trois victoires, un nul et deux défaites. La finale aura lieu le samedi 25 mai à Wembley. Le tirage des quarts de finale Malaga - Borussia Dortmund Real Madrid - Galatasaray Paris-SG - FC Barcelone Bayern Munich - Juventus Turin Citation Ancelotti : «Très excitant» Carlo Ancelotti et Leonardo ont accueilli le nom du futur adversaire du PSG en quarts de finale de la Ligue des champions, soit le FC Barcelone, avec excitation. Carlo Ancelotti a estimé vendredi au micro de la chaîne BeIn Sport que le tirage des quarts de finale de la Ligue des champions, qui a réservé le FC Barcelone à son club, était à la fois «magnifique», «très difficile» mais aussi «très excitant». «Tomber sur le FC Barcelone, c’est magnifique même si ce sera très difficile, a réagi l'entraîneur du Paris-SG. Le Barça et le Real sont les meilleures équipes de la compétition et donc les clubs qui ont le plus de chances de gagner à la fin. On a déjà joué le Barça en début de saison (2-2, 1-4 tab en amical au mois d’août), mais cette fois l’ambiance sera différente. Là, en quarts, tout peut arriver. Barcelone est une équipe avec beaucoup de qualités et d’expérience. On jouera avec nos atouts. A l’aller (au Parc des Princes), il n’y aura pas de réflexion particulière. Il faudra jouer les 90 minutes à fond. Le match sera très difficile mais très excitant pour tout le monde. » Leonardo : «Prendre ça avec beaucoup de joie» Quant à Leonardo, il ne tarit pas d'éloges sur les qualités du Barça. « C’est le tirage le plus difficile, a déclaré le directeur sportif du PSG, toujours sur BeIn Sport. C’est vraiment le pire si on prend en compte ce qu’ils (les Catalans) ont fait ces dernières années. Barcelone, c’est de toute façon le favori de la compétition, ils ont tout ce qui est capable d’avoir de mieux dans une équipe. Le match retour aura lieu chez eux, et ce ne sera vraiment pas facile. Mais on doit prendre ça avec beaucoup de joie. Ce sera un grand match, ce sera même la fête du foot pour Paris. C’est une grande opportunité pour le PSG de pouvoir se mesurer à la meilleure ou à l’une des trois meilleures équipes de l’histoire du football. » L'Equipe.fr Citation Le Barça pour le PSG ! Le tirage au sort de la Ligue des champions a livré son verdict pour le Paris Saint-Germain. Le club de la capitale française affrontera le FC Barcelone en quarts de finale de la C1. Le match aller se disputera au Parc des Princes, le retour au Camp Nou. Pour rappel, Zlatan Ibrahimovic, le buteur du PSG passé par le Barça lors de la saison 2009-2010, est suspendu pour la première des deux rencontres. Citation Ancelotti : «Difficile, mais excitant» Tout sourire, Carlo Ancelotti a livré sa première réaction après le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions, qui mettront aux prises son Paris Saint-Germain au FC Barcelone. «Ce sera un bon test, a-t-il expliqué au micro de BeIn Sport depuis le Camp des Loges. C'est un tirage magnifique. On sait très bien que ce sera difficile. Nous avons déjà joué contre eux en pré-saison (2-2 en amical, ndlr). Ce sera différent. Le Barça a plus de chances de gagner. Ils ont plus d'expérience, mais nous allons jouer notre chance à fond. Nous aurons besoin de tous les joueurs pour cette rencontre. Ce sera difficile, mais excitant.» Leonardo : «Paris doit vivre une fête du foot» De son côté, Leonardo évoque «le tirage le plus difficile». «Pire tirage c'était difficile, a avoué le directeur sportif. Et je ne parle pas seulement de leur dernière performance (remonter 4 à 0 au Camp Nou un AC Milan qui avait battu les Catalans 2 à 0 à l'aller, ndlr) mais pour ce qu'ils ont fait ces dernières années. Ce ne sera pas facile, mais ces matches (aller et retour) doivent nous apporter beaucoup de joie, ce seront des grands matches de foot, Paris doit vivre une fête du foot. Déjà, être arrivé en quarts, c'est très important, mais on va jouer quand même la suite. C'est une grande opportunité pour nous, c'est la meilleure équipe de foot du moment, elle est même dans les trois meilleures de l'histoire du foot, a précisé le Brésilien. Le Barça est le favori absolu depuis que la compétition a commencé. Ils ont tout ce qu'il est possible d'avoir. Il faudra tout faire pour bien représenter notre club dans cette compétition.» Citation Beckham va partir en Chine David Beckham va prendre ses fonctions d'ambassadeur du Championnat de Chine à partir de mercredi avec une tournée de trois villes en cinq jours, ont annoncé les médias chinois vendredi. Le milieu de terrain du Paris Saint-Germain débutera sa visite par une rencontre avec les médias à Pékin puis se rendra ensuite à Qingdao (Tsingtao) et enfin Wuhan. Le voyage de la vedette anglaise se déroulera pendant la trêve internationale en Europe, en raison des qualifications pour le Mondial 2014. France Football.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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16/03/2013 13:01
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Et si Paris y croyait ? Barcelone comme advesaire, match retour au Camp Nou : le tirage au sort des quarts de finale de la C 1 n’a pas gâté le PSG. Mais, s’il veut rêver à l’exploit, Paris a une idée du mode d’emploi. DE L’EXCITATION et de la crainte. En regardant, hier à la mi-journée, le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions, les joueurs du PSG ont eu des réactions contrastées face à l’immensité de leur adversaire, le FC Barcelone. Un peu plus tard, sur beIN Sport, Carlo Ancelotti – qui a déjà croisé deux fois le club catalan en tant qu’entraîneur (*) – laissait transparaître une envie d’y croire : « Le Barça a plus de chances de gagner, mais on peut y arriver. » Christophe Jallet, lui, soulignait que « Barcelone a le meilleur jeu en Europe, mais il s’est déjà fait éliminer par des équipes qui jouaient moins bien… » Devant Paris, qui joue parfois beaucoup moins bien, se dresse une montagne plus haute que jamais. À Ancelotti de trouver – s’ils existent – les moyens de la franchir. FAUT-IL REVENIR AU 4-3-3 ? L’un des paramètres majeurs de cette double confrontation se situera dans l’absence de Zlatan Ibrahimovic au match aller, le 2 avril au Parc des Princes, sauf décision contraire de l’UEFA (voir par ailleurs). « Sans lui, ils perdent pas mal dans le jeu aérien », estimait, hier, Jordi Alba, le latéral gauche du Barça. « Quand il faut jouer long, il est bon d’avoir un attaquant capable de garder le ballon le temps que le bloc remonte, note Alain Roche, l’ancien défenseur et dirigeant du PSG. À Paris, Ibra est un peu unique dans ce profil. » Plus largement, la question se pose de savoir si l’absence du Suédois pourrait inciter Ancelotti à revenir au 4-3-3 pour densifier le milieu parisien face au redoutable trident adverse dans l’axe (Xavi, Busquets, Iniesta). Lors du premier match de suspension d’Ibra, en huitièmes de finale retour contre Valence (1-1, le 6 mars), Ancelotti avait maintenu le 4-4-2 auquel il ne déroge pas depuis la venue du FC Porto (2-1, le 4 décembre). Pour tenter d’endiguer le jeu barcelonais, des efforts considérables dans le pressing seront demandés aux quatre joueurs offensifs si Ancelotti garde le 4-4-2. Ce travail de sacrifice des attaquants n’est pas toujours un trait majeur du PSG cette saison, même s’ils s’impliquent plus en C 1 qu’en L 1. Roche pressent que ce sera compliqué : « Au milieu, il faudra bloquer Busquets, couper la relation entre Xavi et Iniesta, sans parler des montées de Daniel Alves et de Jordi Alba… » COMMENT TENTER DE NEUTRALISER MESSI ? Vincent Guérin, l’un des héros de la qualification en 1995, ne voit pas cinquante solutions : « Pour neutraliser Messi, soit on tente un marquage individuel à l’ancienne, soit on met de la densité. Il faut alors des lignes très compactes et défendre assez bas pour faire en sorte qu’il ne puisse pas accélérer balle au pied. » Alain Roche, lui, n’est pas partisan d’un marquage individuel. « Messi s’en servirait pour décrocher et un de ses coéquipiers plongerait dans l’axe pour prendre l’espace. » Jallet élargit le problème : « Messi, c’est le joueur hors norme mais, d’avoir Pedro (suspendu à l’aller) sur un côté, ce n’est pas du gâteau non plus… » L’affaire s’annonce délicate. Et excitante : PSG-Barcelone verra Messi se frotter à Thiago Silva, souvent considéré comme le meilleur défenseur du monde. BIEN JOUER LES CONTRES « On peut imaginer que le PSG va s’organiser en un bloc assez bas et miser sur son jeu de contres », pronostique Vincent Guérin. « Il y aura des opportunités, d’autant que le Barça s’expose avec les montées de ses latéraux », poursuit Alain Roche. « Sur ces contres, ne surtout pas perdre rapidement le ballon », insistent les deux anciens Parisiens. Avec Lavezzi, Lucas et Ménez, le PSG possède trois joueurs très explosifs. Mais ces joueurs, comme Pastore, ne sont pas toujours efficaces dans l’utilisation du ballon. Tout en se projetant vite vers l’avant, Paris devra ainsi se montrer d’une grande précision technique, comme sur les coups de pied arrêtés. Car le reste du match pourrait être pénible à vivre. Roche : « Une fois que le Barça récupère le ballon et le confisque par sa qualité de passes, l’adversaire ne sait jamais quand il va le revoir… » JÉRÔME TOUBOUL (avec A. C. et L. D.) (*) Alors entraîneur de l’AC Milan, Ancelotti a affronté deux fois le FC Barcelone en C 1, en 2003-2004 et en 2005-2006. Bilan des 4 matches : 1 victoire, 1 nul, 2 défaites. Citation LA QUEUE DEVANT LE PARC DES PRINCES. – Dès hier après-midi, plusieurs dizaines de supporters se pressaient devant la billetterie du Parc des Princes dans l’espoir d’acheter des places pour le quart de finale aller, le 2 avril. Face à un afflux massif de demandes, également par téléphone et sur Internet, le club n’a pas tardé à lancer deux packs, en pensant à d’autres affiches printanières moins reluisantes. Les tarifs du « Barcelone + Valenciennes (35e journée) » vont de 50 à 340 €. Quant au pack « Barcelone + Brest (37e journée, le 18 mai) », il a été mis en vente pour un montant de 50 à 350 €. Citation En 1995, « un combat de boxe » PARMI LES GRANDES heures du club parisien, la soirée du 15 mars 1995 conserve une place de choix. Deux semaines après un match aller maîtrisé au Camp Nou (1-1), le PSG de Luis Fernandez était venu à bout du Barça de Johan Cruyff, des buts de Rai (73e) et Vincent Guérin (83e) répondant à l’ouverture du score du milieu José Maria Bakero (50e). Deux ans après avoir éliminé le Real Madrid en quarts de finale de la Coupe de l’UEFA (1-3, 4-1), le PSG version Canal + – avec George Weah, David Ginola (notre photo, ici face à Ronald Koeman) et Rai comme têtes d’affiche – faisait chuter l’autre grand d’Espagne, cette fois en quarts de finale de la Ligue des champions. « On avait déjà réalisé un très bon match au Camp Nou à l’aller, se souvient Vincent Guérin, l’ancien milieu parisien. Au retour, cela avait été un match âpre, très dur. Avec le Barça de cette époque, il y avait les prémices du Barça actuel dans la possession de balle, la recherche patiente d’une faille chez l’adversaire. La clé du match aura été de leur imposer un pressing assez fort et de ne pas perdre le ballon trop vite pour essayer de les faire courir. C’était un duel intense, presque un combat de boxe. » Dix-huit ans plus tard, on parle encore à Guérin de son but décisif, sur une frappe rasante. Il en sourit : « Ce n’est pas un but d’anthologie, c’est certain ! La frappe n’était pas d’une puissance exceptionnelle, mais elle était bien placée et avec un effet de surprise car l’adversaire pensait que j’allais m’appuyer sur Weah... » – J. T. Citation Ibra sait ce qui l’attend ZLATAN IBRAHIMOVIC, qui sera suspendu pour le quart de finale aller, n’a joué qu’une saison sous le maillot du FC Barcelone, en 2009-2010 (21 buts en 45 matches, toutes compétitions confondues), et son passage mitigé ne lui a pas permis de susciter l’affection du public catalan. Le 10 avril, le Camp Nou devrait donc le siffler, comme il l’avait fait au soir de son premier retour, le 3 avril 2012, avec l’AC Milan, en quarts de finale retour de la C 1 (1-3). « Maintenant, je comprends Mourinho quand il vient ici et qu’il se plaint, avait lâché le Suédois après la rencontre. Il y avait penalty sur moi en seconde période, et à chaque fois qu’on touchait un joueur du Barça, il tombait et l’arbitre sifflait faute. » Si l’attaquant du Paris-SG entretenait une relation houleuse avec Pep Guardiola, auquel il reprochait de privilégier Lionel Messi, il reste un joueur très respecté par ses anciens partenaires. « Ibra, tu ne peux pas l’arrêter au duel, expliquait Carles Puyol, la veille de ce match. Physiquement, c’est lui qui commande, et, techniquement, c’est un phénomène. La seule manière de le rendre moins dangereux, c’est de l’éloigner de la surface. » La semaine dernière, Gerard Piqué défendait aussi son ancien partenaire : « Quand il était ici, il a montré qu’il était un mec bien et un joueur extraordinaire. » – L. D. Citation L’APPEL D’IBRAHIMOVIC ÉTUDIÉ LE 26 MARS.– LE 27 FÉVRIER, la commission de discipline de l’UEFA infligeait deux matches de suspension ferme à Zlatan Ibrahimovic, expulsé deux semaines plus tôt à Valence pour une semelle sur le Mexicain Andres Guardado, lors du huitième de finale aller de Ligue des champions (2-1). L’attaquant du PSG et son club, qui ont fait appel de cette décision, seront définitivement fixés le 26 mars prochain. L’UEFA a en effet retenu cette date pour examiner le cas du Suédois et décider si sa peine est réduite ou… allongée. Ibrahimovic a purgé un match de suspension, le 6 mars, lors du huitième de finale retour face à Valence (1-1) et devrait être privé du quart de finale aller face au Barça, le 2 avril. Car la sanction a des chances de demeurer inchangée, au vu de la jurisprudence pour un carton rouge direct, qui donne à chaque fois deux matches ferme à l’expulsé. – E. M. Citation Le Barça ne va penser qu’à ça Largement en tête de la Liga, le club catalan va pouvoir consacrer toute son énergie au double affrontement contre le Paris-SG. LE RAYO VALLECANO (8e de Liga) ce dimanche, à domicile, un déplacement à Vigo (19e) trois jours avant le match aller, et la réception de Majorque (18e) entre les deux manches : le programme du FC Barcelone en Championnat, autour du double affrontement contre le Paris-SG, les 2 et 10 avril, n’a rien d’effrayant. Avec leurs treize points d’avance sur le Real Madrid, les Catalans ont même de quoi voir venir et peuvent préserver leurs forces pour la Ligue des champions, comme ils l’avaient fait avant le huitième de finale retour contre l’AC Milan (4-0), mardi. Ducoup, même si neuf Barcelonais (Valdés, Jordi Alba, Piqué, Busquets, Fabregas, Iniesta, Xavi, Pedro et Villa) disputeront le France-Espagne qui aura lieu une semaine avant le match aller, même si les Argentins Messi et Mascherano auront, le même jour, un déplacement pénible à La Paz (3 600 mètres d’altitude), en Bolivie, il ne faudra pas trop s’inquiéter pour la forme physique du Barça, où Xavi, actuellement blessé (ischio-jambiers), aura le temps de se remettre. L’absence de Carles Puyol, opéré hier du genou droit (voir ci-dessous) est, en revanche, un handicap, dans l’optique de ces quarts de finale. L’équipe catalane a certes réussi sa démonstration, contre l’AC Milan, avec une défense centrale Piqué-Mascherano, mais l’Argentin devra être prudent au Parc des Princes, puisqu’un carton jaune le priverait du match retour. Vilanova bientôt de retour L’autre point noir, c’est la suspension de Pedro, à l’aller. Même si l’absence de l’ailier espagnol ne revêt pas la même importance pour le Barça que celle de Zlatan Ibrahimovic pour le Paris-SG, sa vitesse et ses courses défensives peuvent manquer à son équipe. Le staff de l’équipe catalane aura cependant deux matches pour trouver la meilleure solution de remplacement, qui pourrait être incarnée par Alexis Sanchez ou Cesc Fabregas, puisque David Villa, titulaire et buteur mardi, a sans doute gagné sa place dans l’équipe type, pour les prochaines grandes échéances. Victor Valdés, lui, ne jouera qu’en sélection d’ici à la double confrontation contre les Parisiens. La sanction de quatre matches de suspension du gardien catalan ayant été confirmée en appel, les seules rencontres que disputera Valdés seront celles de la Roja contre la Finlande (le 22 mars) et la France (le 26), en raison de la blessure au pouce gauche d’Iker Casillas. Dans la vie de groupe, ces contrariétés devraient cependant peser assez peu au regard de l’élan qu’est susceptible d’apporter le retour de Tito Vilanova auprès de ses joueurs. Soigné à NewYork depuis le 21 janvier, pour une tumeur à la glande parotide, et remplacé depuis par son adjoint, Jordi Roura, l’entraîneur barcelonais est attendu à Barcelone le 25 mars, selon une confidence faite mardi par Carles Rexach, conseiller de la direction du club. L’ancien adjoint de Pep Guardiola sera donc probablement revenu pour préparer ce quart de finale et, si sa santé le lui permet, pour diriger son équipe au Parc des Princes. – L. D. Citation OPÉRÉ, PUYOL NE VERRA PAS PARIS. – L’information, révélée dans la soirée par deux médias catalans, a surpris tout le monde : Carles Puyol a été soumis, hier, à une arthroscopie du genou droit. Un peu plus tôt dans la journée, Vicente Del Bosque avait justifié son absence de la liste communiquée pour les matches contre la Finlande (22 mars) et la France (26 mars), en expliquant qu’il avait une « gêne ». Sa non-titularisation contre l’AC Milan (4-0) mardi pourrait aussi s’expliquer par ce problème au genou droit, déjà opéré le 12 mai 2012 et qui l’avait empêché de participer à l’Euro. Ces derniers jours, Puyol aurait de nouveau ressenti une douleur à la même articulation. Cette opération est aussi la seconde de la saison pour Puyol, après sa luxation du coude, le 2 octobre, à Lisbonne contre Benfica (2-0). Il sera forfait pour les quarts de finale de la Ligue des champions, contre le Paris-SG, et pourrait manquer un mois et demi de compétition. – L. D. Citation Nom: Alex Lentement mais sûrement Ours sur un terrain, nounours en dehors, Alex figure parmi les valeurs sûres du PSG quand son corps le laisse tranquille. À 30 ans, « le Tank » cultive son profil de toujours. Celui d’un défenseur à la vitesse raillée, parfois, mais à la puissance jamais contestée. IL EXISTE donc une machine à remonter le temps. Un Brésilien du PSG, l’un des rares footballeurs de ce siècle sans identité numérique sur les réseaux sociaux, presque une pièce manquante sur la Toile. Un joueur rétif aux consoles de jeu, qui vibre comme pas deux lorsque l’écran, dans le salon, diffuse une telenovela aux lumières surannées. Alex Rodrigo Dias da Costa vit notre époque à distance des carcans de la bulle footballistique. Il ne fuit pas les médias, anciens ou nouveaux, pour cultiver une quelconque énigme. C’est plutôt qu’il ne les aime pas. Pas assez charismatique sur les terrains, trop tranquille en dehors : il n’est jamais trop compliqué de trouver un motif de ne pas s’intéresser à cet homme, né comme Leonardo à Niteroi, juste en face de Rio de Janeiro. Qui se cache derrière ce « zagueiro » de trente ans, ce défenseur central que des clubs comme le Real Madrid, l’AC Milan, le Bayern Munich et Arsenal ont envisagé un jour de recruter ? Que vaut ce joueur qui recueille les faveurs de l’immense Thiago Silva pour composer la charnière du Paris-Saint-Germain ? Emerson Leao, l’ancien gardien international brésilien, sélectionneur express des Auriverde (2000-2001), garde les yeux de l’amour pour celui qu’il a lancé à Santos, en 2002, aux côtés d’André Luis, ce « central » furtivement passé par l’OM (2005-2006). « Pour moi, dit Leao, Alex fait encore partie du top 10 des meilleurs défenseurs du monde. Je regrette qu’il ne soit pas plus respecté dans le milieu. C’est un joueur sous-coté. » Il y a onze ans, Leao avait opté pour un choix à contrecourant. « Alex n’était pas utilisé dans les équipes de jeunes. Personnellement, j’étais convaincu qu’il deviendrait un très grand. Malgré son gabarit, il était très rapide. Et très puissant. » Au fil du temps, on peut toujours voir en Alex un rempart très puissant. Très rapide? Il faut croire Leao sur parole, parce que l'image européenne du défenseur a rarement brossé l'idée d'un tank qui reviendrait comme une furie essuyer ses chenilles sur ses adversaires quand le ballon s'échappe dans son dos. De sa voix zen, il souligne lui-même l'érosion évidente - «A trente ans, tu ne cours plus aussi vite qu'à vingt-trois... » - et souffle que ses douleurs au genou droit, objet d'une arthroscopie en novembre 2010, ont froissé son âge d'or. Il garde sa main posée sur ce genou lorsqu'il en parle: « Un défenseur atteint sa plénitude à partir de vingt-huis ans. Moi, c'est à cet âge que j'ai eu ma grave blessure au genou. Ce n'est pas la meilleure chose qui puisse vous arriver pour vous permettre de rayonner par la suite. » Alex ne laisse transparaitre aucun agacement lorsqu'on insiste sur l'état de son corps, une charpente forte qui semble s'abimer mécaniquement dès que s'enchainent des matches à haute intensité. « Il est dur pour un footballeur de jouer sans la moindre petite douleur. Le problème, c'est surtout de retrouver toutes ses sensations après une grave blessure. Je n'ai plus de douleurs à mon genou, mais je dois toujours le soumettre à un travail spécifique pour que tout se passe bien. Deux ans auparavant, cela avait été plus difficile à gérer parce qu'il y avait eu une infection après l'opération. J'ai du beaucoup travailler, ensuite, pour retrouver ma masse musculaire. Au fond, cette histoire m'a fait perdre un an dans ma carrière. » Cette carrière n'a pas toujours couru après le temps. En 2004, Alex a vingt-deux ans lorsqu'il quitte Santos après avoir été repéré par Pete de Viser, un recruteur néerlandais qui prospecte alors au Brésil à la fois pour le PSV Eindhoven et pour Chelsea. Le premier n'a pas les moyens de l'acheter; le second, si. Mais parce qu'il n'a pas encore mis les pieds en Selecao, la recrue axiale ne peut pas rejoindre les Blues de William Gallas (*). Chelsea embauche Alex contre 7,5 M€, puis négocie un accord avec le PSV: le joueur restera au moins deux ans aux Pays-Bas, le temps d'obtenir son permis de travail anglais. « Quand Alex est arrivé ici, il paraissait tellement lourd lors du premier entrainement que tout le monde s'est dit: mais qui sont-ils allés acheter? » se souvient Jeroen Kapteijns, ex-specialiste du PSV pour le quotidien néerlandais De Telegraaf. Pedro Salazar, lui, était à l'époque le directeur de la communication du club. Chilien d'origine, il apportait un soin particulier à l'intégration des recrues sud-américaines. « Alexinho », comme il l’appelle, est devenu son ami. « Les fans du PSV étaient sceptiques, observe-t-il. Parce que Alex était gros et défenseur. Pour eux, recruter un Brésilien n’avait d’intérêt que si c’était un attaquant. Ce public avait quand même vu passer Ronaldo et Romario... » Alex va devoir chasser le brouillard qui enveloppe ses premiers pas en Europe. Après Leao à Santos, un autre entraîneur, Guus Hiddink, renifle alors le potentiel du défenseur brésilien, qu’il associe tour à tour à deux Oranje en place, Wilfred Bouma et André Ooijer. « Il a eu besoin de quelques semaines pour s’adapter au climat, à la nourriture, se remémore Pedro Salazar. Peu à peu, il s’est fondu dans la petite colonie sud-américaine du PSV autour d’Heurelho Gomes, son compatriote gardien de but, et de Jefferson Farfan, l’attaquant péruvien. Il est toujours resté exemplaire, toujours à l’heure aux retours de vacances, ce qui n’était pas toujours le cas des joueurs brésiliens. Au fond, il a vite pris ses marques : au bout de deux mois, il était déjà considéré comme le meilleur défenseur du Championnat... » Jeroen Kapteijns, le journaliste du Telegraaf, dresse cette comparaison : « Il jouait comme un animal. Il mangeait ses adversaires. Ne leur donnait ni espaces pour bouger ni air pour respirer. » À Eindhoven, au milieu des Robben, Cocu et autres Van Bommel, le volumineux Alex finit par éloigner les critiques initiales pour éveiller une admiration encore vivace aujourd’hui. Alex, le gros Alex, devient « le Tank », un tank dévastateur qui livre une guerre sans merci dans les airs et pilonne les adversaires de ses coups francs de tueur qui éclateront plus tard à la face de l’Europe, notamment lors d’un légendaire quart de finale retour de C 1 entre Chelsea et Liverpool (4-4, le 14 avril 2009). Le coup franc, cet art devenu difficile à exercer en 2013, dans le PSG de David Beckham et Zlatan Ibrahimovic. Il accepte la nouvelle donne sans faire de vagues, une ligne directrice de sa carrière : « Ce n’est pas un problème de ne plus tirer les coups francs, surtout s’ils se transforment en but. Bien sûr, parfois, ça me démange. Je sens bien le coup, surtout sur les coups francs à longue distance. Mais Ibra, ceux-là, il les adore... » Le 2 août 2007, les autorités britanniques lui délivrent le permis de travail tant attendu, le signe qu’Alex, entre-temps, a vu s’ouvrir les portes or et vert de la Seleçao. En juillet 2007, Dunga l’alignera même avec Juan dans la défense centrale du Brésil qui remporte au Venezuela la Copa America 2007. Un instant en haute altitude, avant l’enlisement de sa brève histoire auriverde, bouclée au pays par une quinzième et ultime sélection contre le Venezuela (0-0, le 14 octobre 2009). Trois ans après son arrivée en Europe, le Tank quitte donc sa caserne néerlandaise pour rallier le régiment de Chelsea, son club propriétaire, où José Mourinho traverse ses derniers mois sur le banc. Fin 2007, Avram Grant, le successeur israélien du Portugais, recrute le Serbe Branislav Ivanovic. Un concurrent de plus pour Alex, déjà contraint, pour gratter du temps de jeu, de batailler face au monument John Terry et au solide Ricardo Carvalho. L’arrivée de Luiz Felipe Scolari durant l’été 2008 semble un temps affermir sa position dans la hiérarchie, aux côtés de Terry. Pas assez au goût du Brésilien, qui demande à quitter les Blues. Nous sommes en janvier 2009. Un mois plus tard, une lueur : Guus Hiddink, son ex-mentor au PSV, succède à Scolari. Un intérim de quelques mois qui précède, l’été venu, l’ouverture d’un nouveau cycle chapeauté par un certain Carlo Ancelotti. Face à ce tourbillon de coaches, Alex peine à trouver ses repères. Mentalement, le Tank tangue. « Il a pu ressentir un manque de confiance, remarque Christophe Lollichon, entraîneur des gardiens à Chelsea. Comme beaucoup de Brésiliens, il avait besoin d’être bien dans sa tête pour s’épanouir sur le terrain. Le turn over en défense centrale et le nombre élevé de managers à se succéder ont semblé le perturber par moments. Alex a de la personnalité, mais il ne sait peut-être pas se faire entendre. Ou disons qu’il essaye de comprendre la situation et attend la limite avant d’aller voir l’entraîneur pour lui demander des explications. » À partir de 2008, des blessures commencent à pourrir ce séjour londonien qu’Alex vit à l’ombre des ego des cadors défensifs de l'effectif. L'engagement, alors, pour compenser les divers pansements: « C'est quelqu'un qui cherche un peu son jeu et qui donne parfois l'impression de subir son corps, poursuit Lollichon. Mais c'est un battant, un monstre physique, qui n'aime pas être pris en défaut. Comme c'est un gabarit massif qui manque de vitesse, il est obligé d'avoir une très bonne lecture du jeu et d'anticiper en permanence. » Des qualités qui ne suffiront jamais à l'enraciner complètement dans la colonne vertébrale de Chelsea. En janvier 2011, le recrutement de Davi Luiz, transféré de Benfica pour 24 M€, enclenche un processus de rupture qui s'achèvera tristement, un an plus tard, dans le vestiaire des jeunes de l'Academy de Chelsea, aux cotés de Nicolas Anelka, l'autre banni de la « First Team ». A Cobham, le Brésilien - 135 matches avec Chelsea - n'est même plus autorisé à garer sa voiture sur le parking de l'équipe première. Quatorze mois après qu'un entraineur italien lui a tendu la main au PSG, Alex a-t-il remonté la pente? Oui, globalement, dans un club où Mamadou Sakho semblait parti pour incarner un cadre local inamovible. Recruté pour 5 M€, le rigoureux Brésilien a ébranlé la hiérarchie, aidé aussi par la préférence manifestée, début octobre par Thiago Silva, l'un des joueurs de poids, avec Ibrahimovic, à avoir l'oreille d'Ancelotti. A Paris, Alex s'est immergé dans un petit monde brésilien, celui de Silva, Maxwell, Lucas et Thiago Motta, le naturalisé italien. Cet été, au plus tard le suivant, au terme de son contrat, il envisage de revenir à Santos pour y boucler sa carrière. En attendant, l'homme paisible a déjà le sentiment qu'en passant de Londres à Paris, il s'est rapproché de sa terre. « Parfois, je me dis que les Francais vivent le foot comme les Brésiliens. Il y a cette forme de fanatisme. A Chelsea, c'était plus calme au quotidien. J'aime bien l'atomsphère de Paris. Sentir cet engouement te fait mesurer le poids de tes responsabilités. Il te donne envie de rendre les gens heureux. Je les sens impatients de voir Paris champion. » Si le PSG gagne le titre, le tank Alex aura mérité son défilé sur les Champs. JEROME TOUBOUL (avec E. F. et R. B.) (*) Pour obtenir un permis de travail en Angleterre, un joueur originaire d'un pays hors-UE doit avoir disputé 75% des matches de compétitions internationales de son pays au cours des deux années précédant sa demande de permis. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
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16/03/2013 15:23
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Citation Un immense défi pour Paris Affronter le FC Barcelone de Messi ressemble à un challenge insurmontable. Mais le PSG n’aura rien à perdre. A l’issue du tirage au sort organisé hier au siège de l’UEFA, tous les voyants sont au rouge. Le PSG a hérité de l’épouvantail de la compétition, le FC Barcelone, leader du Championnat d’Espagne, quadruple vainqueur de la Ligue des champions, dont deux fois lors des quatre dernières éditions (2009 et 2011). Comme si cela ne suffisait pas, les Parisiens devront disputer le match retour à l’extérieur, mercredi 10 avril, au Camp Nou, l’antre du Barça et de ses 100 000 socios, le terrain de jeu de Leo Messi, Xavi, Iniesta et de leurs amis. Difficile, dans ces conditions, d’envisager sérieusement une qualification pour les demi-finales. L’équipe de Carlo Ancelotti, novice à ce stade de la compétition en dépit de l’expérience individuelle de ses cadres, est donc condamnée à réaliser un incroyable exploit. Finalement, la situation est moins inconfortable qu’il n’y paraît. En n’ayant presque rien à perdre, le PSG se retrouve en position idéale pour écrire l’une des plus belles pages de son histoire. Il peut même espérer, à cette occasion, rentrer dans le cœur de tous les Français. Une approche festive et décontractée de l’événement que fait sienne Leonardo. « Impossible d’imaginer un tirage plus difficile que celui-là, estime le directeur sportif parisien. Le Barça, c’est l’équipe parfaite. Mais il faut prendre cela avec beaucoup de joie. C’est une grande opportunité pour le PSG de pouvoir se mesurer à l’une des trois meilleures équipes de l’histoire du football. Et puis ce sera une grande fête pour Paris. » Les supporteurs l’ont bien compris. Dès l’annonce du tirage, plusieurs dizaines d’entre eux se sont rendus au Parc pour acheter les premiers billets. L’expérience du match amical disputé au Parc des Princes début août face aux Catalans (2-2, victoire du Barça aux tirs au but) servira-t-elle à quelque chose? « L’ambiance sera très différente, prévient Carlo Ancelotti, double vainqueur de la Ligue des champions avec l’AC Milan (2003 et 2007). Là, en quarts, tout peut arriver. Barcelone est une équipe avec beaucoup de qualités et d’expérience. On jouera avec nos atouts. A l’aller, il n’y aura pas de réflexion particulière. » Les Parisiens sauront-ils alors imiter les Milanais, tombeurs du Barça à San Siro lors du tour précédent (2-0)? « Il est très difficile d’avoir une stratégie face à eux, soupire Leonardo. Ils marquent des buts même en jouant mal. En plus, ils ont dans leur équipe un petit numéro dix, un Argentin, vous le connaissez? » Oui, merci, Messi, le pape du football, vainqueur des quatre derniers Ballons d’or. « On va essayer de minimiser les points forts du Barça, ajoute tout de même le directeur sportif parisien. Au fond de nous, on aura quand même l’envie de se qualifier… » Citation A Barcelone, la confiance règne Du côté du Barça, le tirage au sort a été plutôt bien accueilli. Comme l’a rappelé Andoni Zubizarreta, le directeur sportif catalan, « nous avons d’excellentes relations avec le club parisien. Le PSG veut faire son trou parmi les meilleurs et va nous faire souffrir ». Dans la tête des Catalans moins diplomatiques, le PSG se réduit à deux mots : « Qatar et Ibrahimovic ». Avant le 8e de finale contre Valence, rares sont ceux qui s’étaient intéressés à l’équipe de Carlo Ancelotti. La Ligue 1 n’étant pas diffusée en Espagne, les occasions sont rares d’analyser le jeu du PSG. Sur les Ramblas, l’heure est à la réjouissance Hier, les journalistes venus couvrir la conférence de presse de Jordi Alba ont assailli leurs confrères français de questions du genre « D’où vient Jallette? », « Qui jouera à la place d’Ibrahimovic? » ou « Matuidi est-il vraiment fort? ». Pas vraiment expert du Championnat de France, le défenseur international Jordi Alba se limita, lui, à des impressions d’ordre général. « Je suis encore dans l’euphorie de la qualification contre l’AC Milan, mais il va falloir passer à autre chose, expliquait-il. Je crains particulièrement Lucas car il est dans ma zone. Il est rapide, c’est un grand contre-attaquant. L’absence d’Ibrahimovic? Une bonne nouvelle, surtout dans le domaine aérien. Mais la meilleure chose est que nous recevons au match retour. » Sur les fameuses Ramblas de Barcelone, l’heure était là aussi à la réjouissance. « Nous ne voulions ni le Bayern ni la Juventus, notait Arnau, un supporteur, vu le portable en main en train de prendre des informations sur le PSG. On est content, car il y aura des grands noms. Mais cela ne fait pas une équipe. A Barcelone, nous avons les deux. » Citation Jean-Pierre Papin : « Le PSG a de vraies chances » Comment attaquer une pareille montagne ? Rolland Courbis, ancien entraîneur de l’OM et consultant RMC, nourrit peu d’espoirs : « Sans Zlatan au premier match, Paris a une chance sur cent. Surtout s’il s’agit du Barcelone du match retour face à Milan (4-0). Cette remarque concerne toutes les autres équipes avec un Barça de ce niveau. Si Paris affronte le Barcelone du 8e de finale aller, leurs chances montent à 50%! » Barcelone, Vincent Guérin peut en parler. Le consultant RTL, auteur du but de la qualification pour les demi-finales de la Ligue des champions le 15 mars 1995 (2-1) face aux Catalans, salive. « Ce quart de finale semble déséquilibré, mais tout dépend de quel Barcelone on parle. Celui du 8e de finale aller à Milan laisse de l’espoir, celui du retour beaucoup moins. » Son cœur 100% parisien parle au moment de jauger les espoirs de qualification. « L’absence de Zlatan au match aller pèsera, mais le PSG n’a rien à perdre... » Vincent Guérin rêve. Mais pas trop : « Barcelone maîtrise les rencontres avec en général 70% de possession de balle. Son milieu de terrain avec Xavi et Iniesta est exceptionnel. Et puis leur petit lutin Messi réalise des choses inhumaines. Je n’ai jamais vu un joueur pareil. » A l’opposé, l’ancien Marseillais Jean-Pierre Papin, consultant pour BeIN Sport, considère les chances parisiennes : « Ceux qui pensent que Paris n’a aucune chance se trompent. Si Barcelone possède effectivement 70% de chances de qualification, avec une prestation au niveau du match aller à Valence, le PSG a de vraies chances. Enfin, les grands joueurs se subliment toujours dans les grandes occasions et Paris a de grands joueurs. » Un Marseillais supporteur du PSG. On aura tout vu. Citation Zoumana Camara : « Difficile mais faisable » Hier, peu après midi, des cris se sont échappés des locaux du camp des Loges. Les joueurs parisiens, regroupés devant un écran de télévision, venaient de découvrir l’identité de leur adversaire en quart de finale. Zoumana Camara traduit le sentiment général. Quelle a été la réaction de vos coéquipiers quand ils ont vu le nom du Barça apparaître ? Zoumana Camara. Ça a fait rire tout le monde ! L’étau s’était resserré (NDLR : il ne restait plus que le Barça, la Juventus et le Bayern Munich) et l’ambiance était sympa. Pour certains d’entre nous, c’était nouveau. Ces dernières années, on regardait ces tirages au sort de Ligue des champions avec détachement. Leonardo a parlé du « pire des tirages ». Est-ce aussi votre avis ? Barcelone est l’équipe référence de ces cinq dernières saisons. C’est ce qui se fait de mieux au monde. Ils ont eu une petite période de turbulences ces derniers temps, mais ils se sont remis dans le droit chemin face à Milan (victoire 4-0). Ils sont redoutables. Je ne sais pas si c’est le pire tirage, mais c’est une belle affiche. L’exploit est-il réalisable ? Bien sûr. Ce sera difficile mais faisable. Se retrouver outsiders face à Barcelone, c’est logique. Mais ça ne met ni plus ni moins de pression. Le match aller sera très important. Jouer le match retour à Barcelone constitue-t-il un désavantage ? Je ne sais pas si recevoir ou se déplacer au match retour a une incidence. Il n’y a plus vraiment de logique à ce niveau-là. On voit que certaines équipes se qualifient grâce à leur résultat à l’extérieur. Ce ne sera donc pas un désavantage majeur. Aura-t-on droit à une opposition de styles entre Barcelone qui tient le ballon et Paris adepte des contre-attaques ? On peut le voir comme ça. Mais toutes les équipes qui affrontent Barcelone sont privés de ballon. Donc ça devient de fait une opposition de styles. Même si le PSG était une équipe qui fondait son jeu sur la possession du ballon, face à Barcelone, nous aurions du mal à le conserver. Cela dit, c’est vrai que nous sommes plus une équipe de contres. Vous avez joué un match amical face à Barcelone au mois d’août (nul 2-2). Est-ce que cela peut vous servir ? C’était un match de gala, mais on a pu juger le niveau collectif et individuel de ces joueurs-là. Surtout, on avait fait un début de match un peu timide où on les avait regardés. On s’était lâchés par la suite, mais c’était un bon test. Cette fois-ci le contexte sera différent. Citation Les premiers billets s’arrachent déjà Ce quart de finale face au Barça excite les supporteurs parisiens. Dès la fin du tirage au sort, ces derniers se sont démenés pour tenter d’acheter les premiers billets pour le match aller. Le site Internet du club a connu un bug dans l’après-midi et une centaine de fans ont pris d’assaut les guichets du Parc des Princes pour acquérir le précieux sésame. Devant cet afflux, le PSG a décidé de procéder à la vente des premiers tickets sous la forme de deux packs, soit Brest et Barcelone, soit Valenciennes et Barcelone. Les prix vont de 50 € à 350 € euros. Ces premières ventes enterrent quasi définitivement l’option Stade de France. Un temps évoquée, la possibilité de délocaliser cette affiche dans l’enceinte de Saint-Denis n’aura pas lieu. La direction parisienne a jugé qu’un déménagement n’aurait aucune logique sportive. Citation Quand Leonardo imite Domenech Scène surréaliste hier en direct sur une chaîne italienne. Quelques minutes après le tirage au sort, Leonardo s’arrête face à la caméra de Sky Sport Italia. Il commence par saluer sa compagne Anna Billo, 36 ans, qui présente l’émission depuis les studios de Milan. Alors que l’interview touche à sa fin, Leonardo se lance dans un dialogue avec sa compagne. « Vous n’avez plus de question? » demande-t-il à la cantonade. « Non, c’est bon ». « Dans ce cas, moi, j’ai une question. Anna, voudrais-tu m’épouser ? » Stupéfaction puis réponse évasive de l’intéressée. « Je ne sais pas, on peut en parler ce soir à la maison, non ? » Au bout d’un certain temps, alors que Leo insiste, Anna Billo finit par esquisser un début de réponse positive. Le procédé, pour le moins cavalier, n’est pas sans rappeler la demande en mariage faite en direct sur M 6 par Raymond Domenech à Estelle Denis, après la rencontre France - Italie de l’Euro 2008. A la différence près que Domenech n’avait, lui, obtenu aucune réponse de la part de sa compagne… Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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17/03/2013 08:51
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Citation Paris face à son mur Le PSG reste sur deux défaites en déplacement et retrouve Saint-étienne, sa bête noire cette saison et un rival pour le titre, selon Carlo Ancelotti. S’ils gagnent ce soir, les Verts seront sur le podium. ON PEUT MARCHER VERS UN TITRE national attendu depuis dix-neuf ans, se préparer à défier Barcelone, posséder Thiago Silva, Beckham et Ibrahimovic dans son effectif, avoir Carlo Ancelotti sur son banc et s’approcher avec appréhension d’un match chez un adversaire classé neuf points derrière. Un simple adversaire ? Un vrai rival, suggère désormais Ancelotti. « Saint-Étienne est très proche de nous au classement et peut très bien se mêler à la course au titre » , a lancé hier l’entraîneur parisien. Le scénario reste difficile à imaginer mais la lecture du classement dégage une perspective claire : s’ils faisaient chuter le PSG, les Stéphanois se hisseraient dans un premier temps sur le podium. À deux points, seulement, d’un Lyon qui s’efforce scrupuleusement de ne surtout plus froisser le leader parisien. Au moment où l’OL rentre en miettes de Bastia (1-4), le pôle de la contestation anti-PSG peut-il se déplacer vers le Chaudron ? Le dernier suspense pour le titre peut-il reposer sur ces Verts qui ont déjà dit non deux fois aux Parisiens, au Parc des Princes, en Ligue 1 (2-1, le 3novembre 2012) et à Geoffroy-Guichard, en quarts de finale de la Coupe de la Ligue (0-0, 5-3 aux tirs au but, le 27 novembre) ? Verratti forfait « Si on battait Paris, on ne pourrait plus se cacher » , souffle Christophe Galtier, l’entraîneur de l’ASSE. Un rêve de podium assumé ? Pas encore, publiquement du moins, à écouter la suite du discours, plus ciblé sur Lille ou Nice que Lyon ou Marseille : « En cas de victoire, on serait encore en course pour la Ligue Europa. On pourrait maintenir l’écart sur des équipes qui reviennent très fort. » Saint-Étienne s’avance vers ce choc avec les acteurs en forme de son animation offensive (Aubameyang, Brandao, Mollo) mais sans Jérémy Clément, la clé de voûte de son entrejeu. En face, le PSG doit composer avec le forfait inattendu de Marco Verratti, touché à une cuisse. L’absence de l’international italien, conjuguée à celle, plus habituelle, de Thiago Motta (mollet) réduit le champ des possibles pour épauler Blaise Matuidi. L’indisponibilité de Jérémy Ménez (adducteurs) pourrait amener Ancelotti à positionner Clément Chantôme en milieu droit, la tendance, depuis un mois, quand Lucas n’est pas sur le terrain. La deuxième place dans l’axe se jouerait alors entre David Beckham, dont ce serait la première titularisation en Ligue 1 (55 minutes de temps de jeu en trois apparitions), et Maxwell, déjà utilisé comme recours au milieu, même si son association avec Matuidi serait celle de deux gauchers. Avant le grand vertige barcelonais (2 et 10 avril), Ancelotti aimerait voir son équipe mettre de l’ordre dans ses affaires domestiques, un peu mieux que lors des deux derniers déplacements, à Sochaux (2-3, le 17 février) et à Reims (0-1, le 2 mars). Cette feuille de route en Ligue 1 implique de repartir la tête haute d’une confrontation sur le terrain de la seule équipe française invaincue en 2013, au fil de treize matches, toutes compétitions confondues. Depuis la trêve, l’ASSE n’a repris que deux points au PSG. En en grignotant trois de plus, les Verts continueraient de façonner un nouveau rapport de force dans les hauteurs du classement. JÉRÔME TOUBOUL (avec B. Li.) Sirigu- Jallet, Alex, Silva, Armand ou Maxwell- Chantome, Beckham ou Maxwell, Matuidi, Pastore- Ibrahimovic, Lavezzi Citation 24 Depuis le retour de la L 1 à vingt clubs en 2002-2003, Ibrahimovic (24 buts) est le premier joueur à compter plus de vingt buts après vingt-huit journées de Championnat. L’ancien Lillois Moussa Sow, meilleur buteur de la saison 2010-2011, est celui qui se rapproche le plus d’Ibra. Il comptait, à pareille époque, 19 buts (25 en fin de saison). 7 Le Stéphanois Pierre-Émerick Aubameyang, deuxième du classement des buteurs derrière le Parisien Zlatan Ibrahimovic (16 buts contre 24), a marqué lors des sept dernières journées de L 1. Aucun joueur n’a réussi cette performance lors de huit journées d’affilée depuis Shabani Nonda, alors attaquant de Monaco (entre avril et août 2003). Opta Citation Une attirance mutuelle? Le PSG a un oeil sur Pierre-Emerick Aubameyang, le buteur des Verts, et sur d’autres joueurs de Ligue 1. Mais en cas de transfert, ceux-ci n’auraient aucune certitude d’être titulaires à Paris. EN JANVIER, entre l’accueil de Lucas et l’arrivée de Beckham, Leonardo s’est renseigné sur quelques joueurs de Ligue 1, dont le défenseur lillois Lucas Digne, le milieu toulousain Étienne Capoue et l’attaquant stéphanois Pierre-Émerick Aubameyang. Ces prises de température n’augurent pas forcément une nouvelle politique de recrutement de Qatar Sports Investments (QSI), très tourné vers l’exposition internationale du PSG. Depuis la prise de contrôle du club par QSI, en juin 2011, Paris a recruté vingt joueurs. Seuls cinq d’entre eux – dont le gardien Ronan Le Crom (libre) – proviennent de Ligue 1. Mais, même si cette démarche n’entre pas dans sa culture, le PSG version Qatar sera sans doute forcé, à plus ou moins court terme, d’acheter made in France (*). Pas facile, en l’état, de dresser une liste épaisse de joueurs de Ligue 1 susceptibles de s’inscrire dans le « projet » parisien. Aubameyang peut en faire partie, au même titre que Payet ou Mavuba (Lille), Valbuena ou Nkoulou (Marseille), voire Trémoulinas (Bordeaux) ou Cabella (Montpellier). Dans chaque cas se poserait, en parallèle, une question cruciale : est-il dans l’intérêt d’une valeur sûre de la Ligue 1 de signer au PSG au risque de fragiliser son temps de jeu, à l’image de Douchez et Gameiro, submergés par la concurrence venue d’Italie ? Ancelotti : « Il y a beaucoup de joueurs intéressants en France » « Aucun joueur de L 1 ne peut revendiquer un statut de titulaire au PSG aujourd’hui, estime Jean-Pierre Bernès, l’agent de Blaise Matuidi et Jérémy Ménez. Il y a quelques très bons joueurs en France, mais Aubameyang ne pourrait pas jouer à la place d’Ibrahimovic ni Payet à celle de Lavezzi. Lorsqu’un joueur va être contacté par le PSG, il va demander : “Est-ce que je vais jouer ?” Le PSG va répondre : “Oui, mais on ne peut pas t’assurer que tu seras titulaire.” Après, c’est une question de calcul. Un jeune joueur peut décider de venir à Paris en sachant qu’il ne sera pas titulaire au départ mais qu’il pourra apprendre au contact des stars et profiter aussi de la notoriété du PSG... mais c’est une situation qu’il acceptera sans doute deux ans au maximum. » Consultant pour beIN Sport, Omar Da Fonseca ne voit pas le PSG prospecter dans une Ligue 1 en manque de cracks. « Leonardo cherche des grands noms, comme tous les grands clubs, souligne l’ancien attaquant argentin. Le PSG, c’est le haut de la pyramide, l’excellence, il cherche de la super viande mais pas du surgelé ou de la cuisine sous vide ! » Interrogé sur le sujet hier, Ancelotti a livré un sentiment plus policé : « Il y a beaucoup de joueurs intéressants en France, puissants physiquement et aux qualités tactiques intéressantes. Alors recruter en L 1, pourquoi pas ? » On verra, cet été, si Paris s’est réellement ouvert à cette idée. – J. T. et A. C. (*) En début de saison, lorsqu’un club s’inscrit en Ligue des champions, il doit déposer une liste de joueurs sur laquelle figurent au minimum huit joueurs formés dans son pays, dont quatre au sein même du club. Citation Beckham retrouve le Chaudron ![]() SAINT-ÉTIENNE, STADE GEOFFROY-GUICHARD, 30 JUIN 1998. – C’est un très mauvais souvenir pour David Beckham et tout le football anglais. En huitièmes de finale de la Coupe du monde, l’Argentine s’était qualifiée face aux partenaires de « Becks » (2-2, 4-3 aux t.a.b.), expulsé à la 47e minute pour avoir donné un coup de pied àDiego Simeone, qui en avait rajouté des tonnes. Le carton rouge de Beckham, vingt-trois ans à l’époque, lui fut lourdement reproché par une bonne partie de la presse et de l’opinion anglaises. Quinze ans plus tard, le milieu parisien y pensera sans doute en retrouvant le Chaudron pour la première fois. Citation Ménez forfait pour les Bleus ? BLESSÉ À LA CHEVILLE GAUCHE, il y a huit jours contre Nancy (2-1), Lucas pourra reprendre l’entraînement collectif d’ici à une semaine. Hier, Carlo Ancelotti a affirmé que le Brésilien serait a priori rétabli pour la venue de Montpellier, le 29 mars, comme Thiago Motta (mollet). Jérémy Ménez, lui, souffre des adducteurs depuis un mois, et ne jouera pas à Saint-Étienne. « Il ira faire le point, lundi, à Clairefontaine », a précisé Ancelotti, qui a semblé estimer plus prudent que l’attaquant renonce au rassemblement en vue des matches contre la Géorgie et l’Espagne (les 22 et 26 mars). – J. T. ANCELOTTI N’IMAGINE PAS IBRA À LA JUVE. – Depuis plusieurs jours, les médias italiens évoquent un possible transfert, l’été prochain, de Zlatan Ibrahimovic à la Juventus, où il a déjà évolué entre 2004 et 2006. Une hypothèse qui a d’abord inspiré ce commentaire, hier, à Carlo Ancelotti : « Un joueur peut toujours décider de son futur… » Avant de se montrer un peu plus ferme au sujet de son attaquant de trente et un ans, sous contrat jusqu’en 2015 : « Pour l’entraîneur comme pour le club, Ibra est très important pour le futur du PSG. Il sait qu’il est très important ici, non seulement pour ses buts mais aussi par son caractère et son expérience. Je ne pense pas qu’il songe en ce moment à aller à la Juve. » – J. T. BECKHAM À PÉKIN MERCREDI ? – Durant la trêve internationale, David Beckham ne devrait pas être très présent à l’entraînement au Camp des Loges. La star anglaise aurait en effet rendez-vous à Pékin à partir de mercredi pour endosser ses fonctions officielles d’ambassadeur du Championnat de Chine. Beckham devrait effectuer une tournée éclair de cinq jours, avec visite d’académies de football à Qingdao puis à Wuhan, à l’est du pays. – A. C. 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Citation C’est un tournant pour Paris Football, Ligue 1/ Saint- Etienne - PSG. Face à la meilleure équipe de 2013, Paris a l’occasion, en cas de succès, de reléguer Lyon, défait hier à Bastia, à sept points. Le titre, c’est maintenant ! Si le PSG veut décrocher le trophée le plus accessible de sa saison — la Ligue des champions et la Coupe de France restant deux compétitions aléatoires —, une victoire à Saint- Etienne ce soir lui donnerait une avance de sept points, un écart presque rédhibitoire pour ses poursuivants. Lyon a rendu hier ce défi possible en s’écroulant à Bastia ( 4- 1), confirmant son ralentissement en 2013 avec un troisième revers déjà, alors qu’à la trêve Paris, Lyon et Marseille franchissaient la ligne ensemble, uniquement séparés par la différence de buts. En parlant de 2013, Paris s’attaque à la meilleure équipe du cru, un Saint- Etienne invaincu en neuf rencontres ( 6 victoires, 3 nuls), séduisant dans le jeu, solide en défense, explosif en attaque. « Saint- Etienne n’a pas perdu cette année. Il est temps de perdre quelques matchs » , sourit Carlo Ancelotti. L’entraîneur parisien peut aussi se dire que les hommes de Rémi Garde lui créent ce matin une double difficulté. La première ? Paris n’est jamais aussi mou que quand il se sait doté d’un joker. Une défaite dans le Chaudron figerait les positions connues avant le déroulement de la journée et on parlerait d’une 29e étape blanche. La seconde ? Le désastre lyonnais rend plus que jamais le rêve des Verts possible. En s’imposant, les coéquipiers de Ruffier reviendraient à deux points de l’OL. Ancelotti devra composer avec un milieu décimé Portés par leur saison canon et l’horizon d’un premier titre depuis celui de champion de France de L 2 en 2004 avec cette finale de la Coupe de la Ligue contre Rennes le 20 avril, les Verts s’avanceraient comme des candidats crédibles aux places qualificatives pour la Ligue des champions. Comme un candidat crédible au titre de champion, aussi, à seulement six longueurs de ce PSG qui lui réussit tant cette saison (NDLR : victoire 2- 1 à Paris, qualification aux tirs au but en Coupe de la Ligue). Pour éviter un nouveau couac quand les dix dernières journées ressemblent plus ou moins à l’idée de sprint final, Ancelotti devra composer avec un milieu, défensif ou offensif, décimé, sans Verratti, Thiago Motta, Ménez et Lucas, tous blessés. Suffisant pour lancer David Beckham ? Vu de loin, l’intensité promise n’envelopperait pas cette première titularisation en L 1 dans du papier cadeau. Mais s’il s’agit de renforcer le tout avec Matuidi et Chantôme, on comprendra mieux l’idée, celle de ne pas perdre, d’abord. Un point dans le Forez prend des allures de bonne affaire aujourd’hui. « Nous sommes privés de quatre joueurs mais nous aurons une équipe très compétitive » , soutient le technicien italien. C’est peut- être l’An vert mais Ancelotti a planté le décor. Sirigu- Jallet, Alex, Silva, Armand- Chantome (ou Beckham), Matuidi, Maxwell, Pastore- Ibrahimovic, Lavezzi Citation 0,64 C’est la moyenne de buts encaissés par le PSG, meilleure défense de L 1 avec 18 buts encaissés (en 28 matchs), juste devant Saint- Etienne, 21 buts (0,75 par rencontre). Citation Beckham, 15 ans après… C’est sans aucun doute l’un des pires moments de sa carrière. Le 30 juin 1998, l’Angleterre affronte l’Argentine à Geoffroy- Guichard en huitième de finale de la Coupe du monde organisée en France. A la 47e minute, David Beckham répond à une charge dans le dos de Diego Simeone par un petit coup de pied au mollet. L’Argentin en rajoute et l’arbitre danois Kim Milton Nielsen expulse l’Anglais. La sélection de Batistuta et Zanetti finit par s’imposer aux tirs au but malgré un but magnifique de Michael Owen. De retour au pays, Becks, étoile montante de Manchester United, 23 ans à l’époque, est considéré comme un traître et un paria. Sifflé sur tous les terrains par ses propres compatriotes, dont certains brûlent des photos à son effigie. SaintEtienne marque à jamais l’histoire de celui qui deviendra l’un des footballeurs les plus connus au monde. Ce soir, quinze ans après, le Spice Boy retrouve « sa » pelouse maudite, cette fois avec le PSG. Avec forcément beaucoup d’émotion mais sans amertume. « Je pense qu’il est important d’avancer dans la vie sans aucun regret. On me demande encore : Aimerais- tu revenir en 1998 pour éviter ce carton rouge contre l’Argentine ? J’aurais aimé que ça n’arrive pas, bien évidemment. Mais si ça n’était pas arrivé, serais- je le même joueur aujourd’hui ? La même personnalité forte, sur et en dehors du terrain ? Donc, non, je ne regrette rien » , a- t- il confié récemment dans une interview sur Canal +. Citation Camara souhaite prolonger son bail Peu utilisé cette saison (8 matchs, 477 minutes de temps de jeu), Zoumana Camara n’a pas vraiment la bougeotte. Alors que des discussions pour prolonger son bail de deux ans sont programmées avec la direction du club, le défenseur central (34 ans le 2 avril) se verrait bien terminer sa carrière à Paris. « Je suis en fin de contrat en juin. L’important, pour l’instant, c’est de remporter un ou plusieurs titres et on aura tout le temps de discuter de mon avenir, explique- t- il. Mais je suis issu de Colombes, en banlieue parisienne, ça fait six ans que je suis ici ; donc, pourquoi ne pas finir ma carrière au PSG… » L’international tricolore (1 sélection) admet que sa position n’est pas des plus aisées, mais il en prend son parti. « Il ne faut pas se cacher. Ce n’est pas toujours évident au quotidien, mon temps de jeu est réduit et c’est nouveau pour moi. Mais ça fait partie d’une carrière et vivre ce virage avec le PSG, c’est quand même quelque chose » , affirme l’ancien Stéphanois (1996-1998 et 2004-2007). « A chaque fois qu’on me donne du temps de jeu, enchaîne- t- il, j’essaie d’être irréprochable. J’essaie aussi d’être positif, d’apporter de l’expérience et d’aider ceux qui arrivent parce que j’ai la chance de parler italien et anglais. J’ai eu la chance de connaître ça quand j’ai joué à l’étranger, ça vous aide à vous épanouir. » Citation Ils veulent tous voir le Barça Parc des Princes (Paris), hier. Plus de 1 000 fans se sont pressés hier devant le stade afin d’acquérir des billets pour le quart de finale aller face à Barcelone le 2 avril. Les premiers d’entre eux patientaient depuis 6 heures du matin, soit trois heures avant l’ouverture des portes. Cet afflux de supporteurs a nécessité l’intervention d’une compagnie de CRS afin d’éviter tout débordement. Citation « LE PSG, ça peut m’intéresser » Pierre-Emerick Aubameyang, buteur franco-gabonais des stéphanois Pierre-Emerick Aubameyang fonce. L’attaquant franco-gabonais de Saint-Etienne, 23 ans, a marqué lors de chacun de ses sept derniers matchs en championnat et totalise 16 buts, son objectif initial. Le joueur formé à l’AC Milan ne se fixe aucune limite et rêve de jouer dans un grand club. Comment un attaquant peut- il rester deux mois et demi sans marquer en Ligue 1 (de la 12e à la 22e journée) puis enchaîner 8 buts en sept matchs ? PIERRE- EMERICK AUBAMEYANG. J’ai eu un passage compliqué, physiquement comme mentalement. Je n’ai pas effectué de préparation d’avantsaison (NDLR : il a participé aux JO avec le Gabon). On savait qu’il y aurait une période comme ça. C’est tombé au mois de décembre. J’espère que cette série me servira de leçon et que je vais marquer 12 fois de suite. Pouvez- vous rejoindre Zlatan Ibrahimovic au classement des buteurs ? Il n’y a pas de duel, il est loin devant moi (24 buts contre 16). J’aimerais le dépasser sur le nombre d’actions décisives (28 contre 23 en comptant les buts et les passes), parce que les passes comptent aussi pour moi. Il faut que je participe encore à cinq buts et que lui s’arrête là… Quelles sont vos différences ? Il est imposant grâce à son gabarit alors que je suis davantage dans la finesse. Techniquement, il est vraiment fort. Il a déjà tellement démontré alors que tout reste à faire pour moi. Je n’entends pas trop parler de lui en dehors du terrain. C’est bon signe. Moi, je suis assez extravagant parce que j’aime les paillettes, mais je suis quelqu’un de tranquille et de simple. Il donne souvent une image de guerrier. Ce n’est pas mon délire. Mesurez- vous le chemin parcouru depuis votre arrivée à Saint- Etienne, il y a deux ans, quand vous étiez jugé rapide mais maladroit ? C’est clair que ma réputation a changé. Si vous aviez dit ça à papa (Pierre Aubame a notamment joué à Laval et au Havre), il vous aurait fracassé parce qu’il savait depuis longtemps. Moi, je me surprends un peu parfois, c’est sûr. Je savais que j’avais les buts en moi depuis tout petit, et que ça viendrait, mais autant… La Ligue des champions est-elle désormais l'objectif pour les Verts? Le mot Europe n’est plus tabou. Il nous reste des gros matchs contre des concurrents directs. C’est là qu’on verra si on peut parler de Ligue des champions. Une qualification vous inciterait-elle à rester à Saint- Etienne cet été ? Elle amènerait une réflexion, c’est sûr. Qu’elle me fasse rester ou pas, je n’en sais rien. Vous sentez- vous prêt à rejoindre un grand club ? Pour savoir si j’en suis capable, il faut m’en donner l’occasion. Moi, je me sens prêt à tout. Il y a deux ans, je marquais deux buts par saison… Si je suis amené à partir, j’aimerais peut-être passer par un club intermédiaire. Cela me permettrait de ne pas faire le grand saut tout de suite, sauf si j’ai vraiment une belle proposition dans un club où je peux m’installer, jouer. Le PSG peut- il vous intéresser ? Oui, c’est sûr, ça peut m’intéresser. Après, est- ce que les dirigeants parisiens me veulent ? Je ne sais pas, on verra. Ce serait pas mal devant, avec Ibra, non ? Le Parisien -------------------- Culture Bowl II champion
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Citation « Paris, c'est l'avenir » Révélation de la saison, Blaise Matuidi a pris la dimension du nouveau PSG. En fin de contrat en 2014, le milieu défensif des Bleus se voit bien poursuivre l’aventure dans la capitale. Cet homme était à l'Euro 2012 en Ukraine et personne ne s'en souvient. Il est aujourd'hui l'égérie de l'équipementier des Bleus et tout le monde l'adoube. Blaise Matuidi, 25 ans, est le joueur francais des six derniers mois, « un des meilleurs milieux d'Europe » selon Carlo Ancelotti. Rencontré juste après le tirage de la Ligue des champions, il avait l'air content de croiser Barcelone, quoique... « On aurait été plus heureux de prendre Malaga. » Content de retrouver ce soir « la ferveur » de Saint-Etienne, où il a joué quatre saisons (2007-2011), sans tomber dans le mélo: « Ca fait quelque chose, mais j'ai le coeur parisien. » De l'espoir stéphanois à la nouvelle star internationale, genèse d'un phénomène. A quoi ressemble votre enfance? J'étais un gosse de quartier, issue d'une famille modeste même si on ne manquait de rien. Mon père et ma mère viennent d'Angola. Ils ont quitté le pays à cause de la guerre et ont vécu pas mal de temps au Zaire avant de tenter leur chance en Europe. Je suis allé en Angola pour la première fois il y a deux ans. Je vais bientot y retourner. Ma grand-mère vit là-bas. J'ai surtout gardé la culture congolaise. Je parle le lingala, alors que je ne parle pas le portugais. Quel genre d'élève étiez-vous: travailleur comme au foot? Jusqu'à un certain age. A partir du moment où je suis rentré à l'INF Clairefontaine, j'ai mis l'école de coté. Ca m'a desservi, je n'ai pas pu avoir mon Bac. J'ai un BEP vente. J'ai voulu retourner en 1re d'adaptation, mais j'ai intégré le monde professionnel à ce moment-là. Si je n'avais pas été footballeur, j'aurais bien aimé travailler dans l'informatique. Mais j'ai toujours adoré le foot. Mon premier souvenir, c'est un flash: j'ai trois ans et je veux jouer avec mes grands frères sur la plateforme à Toulouse, le terrain en béton au milieu de lacité où on habitait. Vous avez ensuite déménagé à Fontenay-sous-Bois et vous êtes devenu fan du PSG. Pourquoi ne pas y avoir tenté votre chance? Parce qu'à l'époque, c'était difficile d'en sortir. Le PSG me voulait quand j'avais 12, 13 ans. J'avais fait des essais. J'ai même joué un tournoi avec Clément (Chantome). On avait le choix entre Verneuil (où se trouve le centre de préformation du PSG) et Clairefontaine. Lui a choisi la filière PSG, moi l'INF et on se retrouve au même endroit aujourd'hui. Nous sommes des Parisiens de base comme Mamadou (Sakho), Kévin (Gameiro) ou Jérémy (Ménez). Se retrouver dans ce PSG-là, c'est un mérite supplémentaire. Vous vous imaginiez évoluer au PSG avec David Beckham, un jour? Bien sur que non. Petit, c'était un rêve de jouer pour mon club. J'allais aux matches à l'époque d'Okocha. Les changements d'aile en diagonale de Jay-Jay, j'adorais. Cette période était un peu pénible. Mais quand tu viens de la capitale, le coeur est toujours là même si les résultats ne suivent pas. En grandissant, mes ambitions ont évolué. Je me voyais beaucoup plus haut que le PSG. Je ne pensais pas que ce club deviendrait ce qu'il est. Je suis arrivé dans le contexte qui correspondait à ce que je désirais. Le bonheur. Comptez-vous y rester pour toujours comme l'a suggéré Nasser al-Khelaifi? Tout peut arriver. Mais avez-vous envie de prolonger? Il ne vous restera plus qu’un an de contrat en juin prochain. Je me sens bien à Paris, mais il y a plein de paramètres qui entrent en compte. J’ai toujours envie d’aller plus haut. La question, c’est : le PSG est-il ce qui se fait de mieux aujourd’hui? Ça, je ne le sais pas. Certains clubs comme Barcelone ont une identité depuis très longtemps, mais Paris c’est l’avenir. C’est un club qui aspire à jouer à ce niveau-là. C’est un projet plus qu’intéressant et j’en fais partie. Donc pourquoi ne pas continuer, oui… Prenez-vous autant de plaisir à jouer au foot aujourd'hui que quand vous étiez gamin? Oui, mais il y a l'enjeu en plus. C'est notre gagne-pain. En même temps, petit, j'avais déjà cette mentalité de gagneur. Quand je perdais, je pleurais. Mes amis me rappellent souvent ces moments. Si j'en suis là, c'est que j'ai un peu de talent. Mais mon point fort, c'était la volonté. L'été dernier, quand vous regardez l'effectif du PSG, vous vous dites quoi? « Blaise, faut que tu montres que, toi aussi, t'as des qualités à faire valoir. Il y a de la concurrence? Normal, t'es dans un grand club et c'est ce que tu voulais. » Au fond, j'étais content: ca me plait de me sentir en danger. J'ai eu une discussion avec le coach. Je lui ai dit que j'étais prêt à me battre et à montrer que j'avais ma place. Quand Carlo Ancelotti est arrivé en milieu de saison dernière, on a annoncé que je n'allais plus jouer. Au final, j'ai fait une saison à 29 matches et si je ne m'étais pas blessé, j'aurais joué un peu plus. Mais de là à devenir incontournable en club comme en sélection... J'enchaine et j'essaie d'être régulier. Quand je fais un bon match, je le sais. Mais je me remets toujours en question. C'est le regard extérieur qui a changé. Aujourd'hui, j'ai beau mettre la capuche, il n'y a pas un endroit où on ne me reconnait pas. Je ne vais pas me plaindre, c'est ce dont je rêvais quand j'étais petit. Mais quand t'es en famille, t'as envie d'être un peu tranquille. Mes enfants ne comprennent pas trop ce qui se passe. C'est le boulot. Quand ca s'arretera, je me dirai: « Putain, c'était bien. » Vous avez déjà disputé 46 matches cette saison. Pas trop fatigué? Je l'étais après Nancy (2-1). Je ne suis pas une machine mais j'ai un bon coffre et une grosse capacité de récupération. Je ne me prends pas la tête. Les saisons précédentes, à force de cogiter, je me blessais et je rechutais. Quand je suis sur le terrain, je mets les oeillères et je fonce. J'ai des copains qui jouent beaucoup moins et je vois leur déception: ce serait leur manquer de respect de me plaindre. On me donne la chance de jouer: « Blaise, ferme ta bouche même si t'es fatigué! » le JDD -------------------- Culture Bowl II champion
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Citation Electrique jusqu’au bout Le choc entre les Verts et le PSG a accouché d’un duel très vivant, devenu bouillant pour finir. Après avoir mené 2-0, le leader n’a pu endiguer le retour des Stéphanois. C’était une soirée où Paris pouvait creuser un écart presque irréversible sur la concurrence. Mais l’équipe de la capitale n’a pas su préserver l’avantage de deux buts qu’elle s’était forgé après vingt minutes. Si le PSG possède à nouveau cinq points d’avance sur Lyon, il n’a pas vraiment dégagé sa situation en Championnat. Saint-Étienne, qui s’est compliqué la vie en début de match, a manqué une opportunité de grimper sur le podium. IL NE RISQUAIT PAS d’y avoir une panne de courant, hier soir, à Geoffroy-Guichard tant un joueur comme Brandao aura été un générateur d’électricité d’un bout à l’autre du match. Même après le coup de sifflet final, on verra David Beckham venir se frotter, tête contre tête, au bouillant brésilien, dont on retiendra l’opiniâtreté, hier, mais aussi ce vilain geste sur une cheville de Thiago Silva (72e), juste avant l’égalisation des Verts (2-2), qui fit craindre le pire. Pour sa première titularisation en L 1, Beckham a pris part, tantôt discrètement tantôt avec envie, à un beau choc du Championnat qui peut laisser les deux équipes sur leur faim. Les Verts parce qu’une erreur individuelle aura compliqué une soirée qui semblait à leur portée avec plus de régularité dans le jeu. Et le PSG, parce qu’il a vu lui glisser entre les doigts un scénario qui semblait lui sourire sous l’influence, une fois de plus, de Zlatan Ibrahimovic, même s’il a déjà réalisé de bien plus grands matches, dans le jeu, qu’hier soir. Ce joueur a tort lorsqu’il prétend qu’avant lui, il n’y avait rien à Paris. Mais il aurait raison de penser, ce qui est sans doute le cas, que le PSG de son temps ne serait pas grand-chose sans sa contribution quasi-hebdomadaire à la marche en avant des Parisiens. En inscrivant, hier soir, son 25e but en L1 après avoir été indirectement à l’origine de l’ouverture du score, le Suédois est à nouveau apparu commel’ acteur-roi du Championnat en général, du PSG en particulier. En cette 29e journée, il aura longtemps flotté le sentiment que rien ne devait contrarier les desseins du club de la capitale. La France est ce pays où les rivaux supposés du leader s’étaient déjà efforcés, au fil du week-end, de ne surtout pas gagner, voire de perdre quand il existait une chance raisonnable d’y parvenir. Hier, Saint-Étienne y aura mis du sien, au moment où Bayal cafouillera un ballon sous la pression de Pastore, transformant en geste décisif une passe en profondeur d’Ibra qui n’était pas forcément vouée à le devenir (0-1, 9e). Brandao aurait pu briser la cheville de Thiago Silva Au bout de vingt minutes, après une panenka du géant suédois sur penalty, le PSG semblait avoir toutes les clés pour passer une soirée confortable. Ibra restera un long moment à interpeller les arbitres à la fin du match. Il était moins intervenu, à cet instant du match, quand Antony Gautier avait sifflé le penalty après un plongeon très litigieux de Lavezzi sur une sortie de Ruffier… Plus tard dans le match, l’arbitre pèsera en sens inverse lorsqu’il ne sanctionnera pas Brandao pour avoir marché sur la cheville de Thiago Silva (72e). Un oubli loin de rester sans conséquence : dans la foulée de ce duel violent, Clerc marquera d’une frappe puissante dans la lucarne droite de Sirigu, permettant à Saint-Étienne d’effacer le 2-0 qui plombait sa soirée après vingt minutes. Les Verts n’ont pas inversé la tendance par la seule grâce d’un oubli arbitral. Leur mérite est à situer dans la persévérance qu’ils ont mise à rééquilibrer les débats et à laisser derrière eux, peu à peu, la fébrilité qui compliquait leurs relances en début de match. Avant l’égalisation de Clerc, au coeur de la forte poussée verte de la seconde période, la chance s’était mêlée à leur combat : sur un centre d’Aubameyang, Alex avait marqué contre son camp de la cuisse gauche (1-2, 37e)… Le PSG, lui, a eu du mal à développer le jeu de contres qui fait souvent sa force. Son impact offensif s’est rétréci au fil du match. Seuls Pastore (60e), Ibra (70e) et un coup franc enroulé de Beckham (89e) ont laissé penser, par moments, que Paris pourrait reprendre la maîtrise des événements. Sans le travail colossal de Thiago Silva, mais aussi sans l’arrêt capital de Sirigu sur une frappe croisée d’Aubameyang (68e) avant une action confuse dans les six mètres qui aurait pu profiter à Clerc (90e), le leader aurait pu vivre une soirée encore plus contrariante. Il ne perd plus à l’extérieur, c’est déjà ça. Mais ce n’était pas un week-end à faire gagner un gros. – J. T. Citation 16 Zlatan Ibrahimovic a transformé les 16 derniers penalties qu’il a tirés en Championnat. Il faut remonter au 11 septembre 2010 pour le voir rater sa tentative (avec Milan contre Cesena). Citation Pastore, la transformation LES JOUEURS PARISIENS. – Impliqué défensivement, auteur de l’ouverture du score, l’Argentin a également envoyé Lavezzi obtenir le penalty. SIRIGU (6) : après un tête contre tête avec Brandao (21e), il a réussi deux bons arrêts (44e et 68e). Mais il a été surpris et battu par Alex, son coéquipier (1-2, 37e), puis par Clerc (2-2, 73e). VAN DER WIEL (4) : il s’est fait houspiller par Thiago Silva pour son marquage sur Brandao. Et quand il l’a pris, ce fut compliqué pour lui. Son apport offensif fut également insuffisant. ALEX (4) : marquer un temps de retard sur Brandao lui a été fatal sur le premier but des Verts, qu’il a inscrit contre son camp (37e). En retrait. THIAGO SILVA (8) : il a joué juste et orchestré sa défense. Il amême lancé « Ibra » au but (8e). Une faute de Brandao l’a empêché d’intervenir sur l’égalisation. Impressionnant. MAXWELL (4) : il n’a guère apporté en attaque et parfois peiné défensivement. CHANTÔME (5) : lui aussi a connu du déchet avant d’être remplacé poste pour poste par JALLET (non noté) (63e). BECKHAM (6) : il a joué à son rythme, adressé quelques belles passes et sauvé un ballon dangereux dans sa surface (59e). Hargneux. MATUIDI (6) : le milieu a moins rayonné qu’à l’habitude mais a réalisé une performance très correcte et remisé de la tête sur l’avant-dernière passe de l’action amenant au penalty parisien (17e). PASTORE (7) : En ouvrant vite le score, l'Argentin s'est rappelé au bon souvenir de l'ASSE, qui ne l'avait pas conservé après un essai en plein hiver, dans sa jeunesse. Il a aussi adressé la dernière passe à Lavezzi qui alla provoquer le penalty (17e) et raté de peu le cadre du droit (60e). Il a également fourni des efforts défensifs considérables. LAVEZZI (4) : il a beaucoup joué. Il est donc fatigué. Cela s’est vu, même s’il a obtenu le penalty (17e). IBRAHIMOVIC (5) : s’il a lancé Pastore au but, il a raté l’action du 3-1 (70e). Auparavant, il avait inscrit son 25e but sur penalty d’une belle panenka alors que l’arbitre lui avait demandé de le refrapper. – B. Li. Citation Brandao : «Je n’ai pas fait le méchant» BRANDAO (Saint-Étienne) : « Je n’ai pas fait le méchant (sur le second but stéphanois). J’y suis allé pour jouer le ballon mais le foot est un sport de contact. Je suis un guerrier et je ne lâche rien, c’est comme ça. » – J.-B. R. Zlatan IBRAHIMOVIC (Paris-SG) : « On est toujours leaders et on compte cinq points d’avance, donc c’est une soirée très positive. Bien sûr, on n’a pas su conserver nos deux buts d’avance mais ce sont des choses qui arrivent. On a livré une première période fantastique, avec de véritables idées dans le jeu. On a perdu ce fil directeur en seconde période, c’était plus confus mais ce n’était pas évident car le terrain était vraiment très mauvais. Ma discussion avec les arbitres à la fin du match ? C’était un simple échange de points de vue. Où est le problème ? On n’a pas le droit de parler ? Ils m’ont demandé de rester calme. Je leur ai dit de rester calme aussi… » – J. T. Salvatore SIRIGU (Paris-SG) : « On prend un point contre une équipe très difficile à jouer chez elle. C’est donc un point important car même si on pouvait espérer en ramener trois, il nous permet de mettre Lyon à cinq points. Mais je regrette l’épisode sur l’égalisation. Il y a une faute dangereuse sur Thiago Silva. Tout le monde l’a vue. Mais le but a été validé et c’est dur à accepter. C’est pour ça qu’il y a eu de l’énervement après. C’est normal. Un joueur de Saint-Étienne s’est fait mal comme ça (Jérémy Clément sur une semelle du Niçois Eysseric, le 2 mars) et ce but aurait dû être annulé. » – B. Li. Carlo ANCELOTTI (entraîneur du Paris-SG) : « Nous avons gagné un point contre une équipe très dangereuse et cinq points d’avance, c’est bien à ce moment de la saison. On a fait une bonne première période, on a bien entamé le match sur une pelouse difficile mais la seconde a été plus compliquée pour gérer la possession parce que Saint-Étienne a beaucoup poussé. La clef, c’est peut-être le but qu’on prend en fin de première période. Beckham ? Il a montré qu’il pouvait jouer 92 minutes dans la continuité mais comme pour toute l’équipe, la seconde période a été plus difficile. » – J.-B. R. Christophe GALTIER (entraîneur de Saint-Étienne) : « À 2-0, j’étais très inquiet. J’ai vu beaucoup de têtes baissées. Certains joueurs ont raté des passes assez faciles, par précipitation ou par nervosité. Mais je suis fier de ce que j’ai vu après, dans un match rythmé et face à un adversaire de qualité, qui est sûrement le futur champion. Mes joueurs ont tout donné, il y a eu beaucoup de qualité dans le jeu et de générosité pour créer les décalages. C’est une grande performance d’être revenu après avoir été mené 2-0. Le deuxième but ? Je n’ai pas vu ce qui s’est passé, j’ai vu un ballon arriver dans la lucarne. Il y a eu de l’engagement mais je n’ai pas vu d’excès d’engagement. Parfois, ça se joue à une fraction de seconde pour prendre la bonne décision. » – J.-B. R. Pierre-Emerick AUBAMEYANG (Saint-Étienne) : « On a raté notre entame de match. Nos premières minutes n’ont pas été bonnes. Mais on a su faire preuve de courage et se rattraper en seconde période. C’est normal qu’il y ait eu de l’engagement. C’est le propre des grands matches. J’ai l’impression qu’on est peut-être un peu plus crédible après cette rencontre comme candidat à la Ligue des champions. Continuons notre chemin comme ça. » – B. Li. Loïc PERRIN (Saint-Étienne) : « Peut-être qu’on pouvait espérer mieux mais on était déjà content de revenir à 2-2. L’arbitrage ? C’était un match un peu chaud mais il est difficile d’avoir une analyse à vitesse réelle, il faudra revoir les images. Maintenant, c’est un bon point et pour la Ligue des champions, on est toujours là. » – J.-B. R. Bernard CAIAZZO (président du conseil de surveillance de Saint-Étienne) : « Je suis très satisfait d’être revenu au score. Cela n’est pas donné à toutes les équipes de revenir face au Paris-SG après une entame difficile. Saint-Étienne possède une équipe talentueuse. Tant mieux si on peut offrir du jeu et du spectacle. Les joueurs ont rempli leur mission et j’en suis très heureux et fier. » – B. Li. Citation Beckham, sérieux puis furieux UN HOMME DANS LE MATCH. – Titulaire en L 1 pour la première fois, l’Anglais, irrité par les décisions de l’arbitre, a fait simple dans le jeu. DAVID BECKHAM renvoie l’image d’un homme poli. Aussi, quand, à la descente du bus parisien, Roland Romeyer a salué d’une bise Nasser al-Khelaïfi et Leonardo, avant de lui souhaiter la bienvenue à Geoffroy-Guichard, la star anglaise a répondu d’un sourire courtois au président du directoire de l’ASSE. Sur le terrain, c’est autre chose. L’ancien joueur de Manchester United, qui retrouvait le Chaudron pour la première fois depuis son expulsion en huitièmes de finale du Mondial 1998 contre l’Argentine, a confirmé qu’à trente-sept ans il avait toujours du tempérament. Et l’envie de se faire entendre par l’arbitre, dont il n’a pas goûté toutes les décisions hier. Alors que Lavezzi était à terre mais que l’arbitre, M. Gautier, n’avait pas arrêté le jeu, il a ainsi commis une faute grossière – mais pas méchante – sur Guilavogui pour l’interrompre (43e). Et quand il y eut de la friture entre Brandao et Thiago Silva, c’est-à-dire une bonne partie du match avant même la grosse semelle de l’attaquant des Verts juste avant l’égalisation (2-2, 72e), Beckham fut rarement absent des débats. Et parfois véhément. Jusqu’à avoir une explication musclée avec Brandao, qui lui repoussa le visage, juste après le coup de sifflet. Si c’est le signe de son implication, alors il a rassuré sur ce plan-là. Et dans le jeu ? Titulaire pour la première fois de la saison en Championnat depuis son arrivée au mercato hivernal, après l’avoir été contre Marseille en Coupe de France (2-0, 27 février), le numéro 32 s’est attaché à faire simple. Positionné à côté de Blaise Matuidi dans le 4-4-2 d’Ancelotti, on l’a vu moins hardi dans ses déplacements que l’international français. Exerçant un pressing limité sur le porteur du ballon et n’apportant le surnombre que par saupoudrage. Balle au pied, en revanche, son élégance ne se dément pas et on a senti une volonté d’aérer le jeu parisien en jouant à deux ou trois touches. Tout n’a pas été parfait : sur les coups de pied arrêtés, dont il avait la charge hier soir, son pied droit fut beaucoup moins précis que dans le jeu, où il a réussi quelques passes savoureuses, notamment pour essayer de trouver Ibrahimovic plus directement en fin de rencontre. À l’arrivée, il est le Parisien qui a touché le plus de ballons (73), même si son nombre de passes ratées (12) ne plaide pas en sa faveur. Mais comme il le disait en souriant peu après son arrivée au PSG, il peut « encore jouer au foot » . L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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18/03/2013 12:30
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#5390
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Citation Paris manque son envol Pour n’avoir pas su préserver son rapide avantage de deux buts, Paris a gâché une belle opportunité de prendre le large. Il s’agit d’une 29e journée paradoxale, « bizarre », selon Carlo Ancelotti, pour le PSG et ses rivaux. Sur le fond, le club de la capitale a réalisé la meilleure opération du week-end, creusant l’écart avec Lyon, porté à cinq points. C’est toujours mieux dans ce sens-là que quand Paris en comptait autant de retard sur l’OL, au soir d’une défaite à Nice (2-1), le 1er décembre. Mais le PSG s’en voudra peut-être longtemps, peut-être jusqu’à la 36e journée et ce Lyon - PSG tellurique qui s’annonce. Car il aurait pu passer la trêve internationale au chaud, avec sept longueurs d’avance sur l'équipe de Rémi Garde. C’est sans doute à cela qu’il a pensé quand il a mené 2-0 après 19 minutes. Corollaire : en s’endormant sur l’idée de son triomphe dans le Forez, le PSG a réveillé le géant Vert, invaincu en 2013. Ce scénario révèle un PSG un peu nouveau, un Paris qui craque, s’oublie, se fait remonter de deux buts, une première cette saison en championnat de France. Il y a comme un goût d'inachevé, amer, un brin de suffisance peut-être, le week-end où toute l’élite de la Ligue 1 a semblé tomber dedans. Paris aussi, donc. L’entraîneur du PSG pense peut-être la même chose, mais ne le dit pas, se contentant d’un satisfecit général : « On a très bien fait en première période. En seconde, Saint-Etienne était meilleur, mettant beaucoup d’intensité. Je suis content de notre début de match. Ce n’est pas une occasion manquée de prendre plus de points. En posséder cinq d’avance, c’est bien à ce moment-là de la saison. » On ne peut s’empêcher d’imaginer qu’en combi verte devant sa télévision, Jean-Michel Aulas a esquissé un sourire, caressant l’idée d’un 8e titre, le plus fou de tous. Pour l’heure, le PSG a seulement ébloui son environnement en décembre. Il progresse dans sa saison avec des défauts grossiers mais manifestement pas rédhibitoires pour le titre de champion. Sa défense, malgré un Thiago Silva impérial, s’ouvre à la porosité face à Nancy, Reims, Sochaux ou Saint-Etienne. Et comme Lavezzi et Ibrahimovic, auteur de son 25e but en L 1 – quand même ! – ne peuvent pas toujours régaler l’assistance, surtout un soir sans dynamiteur (Lucas ou Ménez), la victoire marche en permanence sur un fil. « Tous les matchs sont difficiles, je le dis souvent, insiste Ancelotti. On a manqué de confiance et de possession à 2-0. » Ça aussi, c’est un danger : s’abandonner constamment à l’idée du contre sans insister là où ça fait mal. A 3-0, Paris n’aurait pas revu les Verts. Finalement, c’est Leonardo qui a tort : le PSG aime tellement la Ligue 1 qu’il laisse un peu d’espoir à ses poursuivants. Saint-Etienne 2 - 2 PSG Mi-temps : 1-2. Spectateurs : 25 036. Arbitre : M. Gautier Buts. Saint-Etienne : Alex (37e c.s.c.), Clerc (72e). PSG : Pastore (9e), Ibrahimovic (19e s.p.). Avertissements. Saint-Etienne : Ruffier, Bayal (17e), Hamouma (79e), Brandao (90e). PSG : Alex (55e), Matuidi (90e). Saint-Etienne : Ruffier - Clerc, Bayal, Perrin (cap.), Brison (Ghoulam, 76e) - Lemoine (Bodmer, 56e) , Guilavogui, Cohade - Aubameyang, Brandao, Mollo (Hamouma, 64e). Entr. : Galtier. PSG : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Thiago Silva (cap.), Maxwell - Chantôme (Jallet, 63e), Beckham, Matuidi, Pastore - Lavezzi (Gameiro, 76e), Ibrahimovic. Entr. : Ancelotti. Citation Ibrahimovic : « On a perdu le fil du match » Auteur, sur penalty, de son 25e but hier soir en Ligue 1, Zlatan Ibrahimovic a semblé satisfait au moment de quitter le stade Geoffroy- Guichard. Pour le Suédois, le PSG a réalisé une bonne opération dans le Forez. Mais il n’a pas raté l’occasion de lancer une petite pique à l’arbitre Antony Gautier. Est-ce que Paris a raté l’occasion de tuer le championnat après ce match nul ? Zlatan Ibrahimovic. Nous sommes toujours premiers. Bien sûr, nous menions 2-0, et nous nous sommes fait remonter. Mais ça peut arriver. Nous avons réussi une première mi-temps fantastique. La seconde était un peu moins bonne mais nous avons désormais cinq points d’avance (NDLR : sur Lyon, le deuxième). C’est très positif ! Pourtant, il nous a semblé qu’il y avait beaucoup de frustration à la fin du match... C’est normal. On fait tous des erreurs, même l’arbitre en a fait. C’est un être humain comme nous les joueurs. Qu’est-ce qu’il vous a manqué pour gagner ce match ? On a commis plusieurs erreurs en seconde période. On a perdu le fil du match après une bonne première mi-temps. Notre jeu était plus confus. Mais ce n’était pas facile de jouer car le terrain était vraiment mauvais. C’est le pire terrain sur lequel j’ai joué. Que s’est-il passé au coup de sifflet final. Vous sembliez en colère ? Non. L’arbitre m’a demandé d’être calme, je lui ai juste demandé de rester calme, lui aussi. Citation Beckham a exorcisé son passé C’était Noël, hier, pour un jeune supporteur stéphanois. Un petit gamin aux cheveux bruns a eu l’immense honneur d’entrer sur la pelouse de Geoffroy-Guichard en tenant la main de David Beckham. Titulaire surprise dans l’entrejeu parisien, la star anglaise a connu sa pre-mière titularisation en Ligue1 pour son grand retour à Geoffroy-Guichard, quinze ans après un premier passage douloureux. C’était en juin 1998, en 8e de finale de la Coupe du monde en France contre l’Argentine, et le Spice Boy avait été expulsé après un accrochage avec Diego Simeone. Sa soirée d’hier, sous un temps typiquement britannique, a été plus heureuse, puisque le PSG a obtenu un nul dans le Forez au terme d’un match globalement maîtrisé. Et la prestation de Beckham, 38 ans le 2 mai, a été à la hauteur de ce choc entre le premier et le quatrième du championnat. Souriant, la mèche impeccable, il a traversé l’échauffement avec décontraction, même si on l’a vu faire preuve d’une grande concentration pendant les exercices. Son échange de passes avec Lavezzi et Ibrahimovic était un régal pour les yeux. Milieu récupérateur droit, au côté de l’infatigable Matuidi, l’Anglais s’est évertué à jouer simple. On l’a vu faire le pressing quand il fallait et venir colmater les brèches devant sa défense dès que nécessaire, comme à la 59e minute devant Bodmer au cœur de la surface de Sirigu. Des statistiques honnêtes Quand le jeu s’est accéléré, l’ex-Mancunien est apparu davantage en difficulté, mais il est toujours parvenu à compenser. Preuve de sa bonne tenue, ses statistiques à la pause n’avaient rien à envier à celles des autres joueurs : 39 ballons joués dont seulement 5 perdus, 91% de passes réussies et 5,9 km parcourus. Comme chaque fois qu’il entre sur les terrains, Beckham est un véritable acteur des débats. Il n’hésite pas à discuter avec les arbitres, comme hier soir avec M. Gautier. Avec Brandao aussi. Dès la 3e minute du match, les deux hommes ont eu plusieurs échanges oraux plus ou moins vifs, Becks reprochant au Brésilien un engagement à la limite sur certaines actions comme sur l’égalisation de la 72e minute. Avant ce rendez-vous stéphanois, David Beckham n’avait été qu’une seule fois titulaire depuis son arrivée dans la capitale, c’était en Coupe de France contre Marseille le 27 février. En L1, son temps de jeu était seulement de 59 minutes en trois apparitions. Hier soir, il a ajouté une heure et demie à son compteur. Le Père Noël est resté longtemps sur la pelouse à Geoffroy-Guichard. Citation Brandao et l’arbitre dans le collimateur C'est ce qu'on appelle ne pas se quitter d'une semelle. David Beckham et Brandao ont passé une bonne partie du match ensemble à discuter plus ou moins vivement. Après le coup de sifflet final, il a même fallu les séparer. Les Parisiens et leur vedette anglaise en veulent au Brésilien, jugé trop agressif dans les contacts tout au long de la rencontre. Ils reprochent aussi à l’arbitre Antony Gautier de ne pas avoir été plus sévère. Notamment lors de l’égalisation stéphanoise où il n’a pas sanctionné une faute caractérisée de l’ancien Marseillais sur son compatriote Thiago Silva. «On était un peu nerveux sur cette action, confirme Salvatore Sirigu. Le geste est très dangereux et ça change quand même les choses puisque Saint-Etienne a égalisé.» «Il n'y a rien du tout, se défend Brandao. On va tous les deux sur le ballon et après il y a contact, c'est le football. C'est l'arbitre qui décide s'il y a but ou non.» «Je n'ai pas trop vu ce qui s'est passé mais ce sont toujours des matchs tendus», tempère François Clerc. Zoumana Camara avance une autre explication. «Il n'y avait peut-être pas penalty sur Lavezzi, mais ce n'est pas une raison pour compenser après. Sur le coup franc de Beckham, le mur bouge avant...» Ce match pourrait connaître un prolongement. La commission de discipline de la Ligue est en effet susceptible, sur la foi des images, de se saisir du dossier Brandao. Citation Saint-Etienne - PSG : un Chaudron en ébullition « Välkommen ! » Le nonchalant Zlatan Ibrahimovic est un brin surpris par l’accueil chaleureux de Bernard Caïazzo, à sa descente du bus. Le président du conseil de surveillance stéphanois s’essaie au suédois pour souhaiter la bienvenue à la star, juste après avoir glissé quelques mots d’anglais à David Beckham. A quelques mètres de là, Roland Romeyer, le président du directoire, claque des bises à tout va, au président Nasser al-Khelaifi comme à Zoumana Camara et Blaise Matuidi, ses anciens protégés. La réception décontractée témoigne de la confiance des Foréziens après un début d’année inespéré : 13 matchs sans défaite et une qualification pour la finale de la Coupe de la Ligue et les quarts de finale de la Coupe de France. « On n’a aucune pression, résume Didier, un fan des Verts qui a connu la finale de Glasgow en 1976 et les années noires. Nos adversaires directs ont perdu ce week-end, la configuration est idéale. » Son ami Franck, écharpe du PSG autour du cou, considère Paris comme « favori » mais voit bien les deux équipes représenter la France en Ligue des champions l’année prochaine : « Déjà, les Verts vont laisser Marseille sur place. » Double coup de massue L’avant-match oscille entre excitation et interrogation : Saint-Etienne peut-il battre Paris pour la troisième fois cette saison et faire le grand saut vers de plus grandes ambitions? « Là, on va en savoir plus, piaffe Stéphane, un quadra aveyronnais. Si on ne prend pas une déculottée… » Pour le bouillant Chaudron, même amputé d’une tribune et demie, la question ne se pose pas. Une demi-heure avant le coup d’envoi, les kops s’époumonent déjà. « Continuez à honorer nos couleurs jusqu’au sommet du championnat », réclament les Green Angels, en préambule. Le double coup de massue parisien tiédit l’ambiance qui bascule dans une frénésie rarement vue cette saison lorsque les Verts reviennent dans le match juste avant la mi-temps. Ce public a déjà le niveau européen. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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19/03/2013 00:17
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 53,524 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 60 Tribune : Canapé |
Citation PSG: queue interminable et grogne pour la vente des billets de Ligue des champions Par AFP | AFP – il y a 7 heures La vente des billets aux guichets du Parc des Princes pour le quart de finale aller de la Ligue des champions Paris SG-Barcelone le 2 avril s'est poursuivie et achevée ce lundi matin, entre queue interminable et grogne du public, a constaté l'AFP. Le PSG a annoncé en milieu de journée lundi que la vente des places pour le grand public était terminée et se poursuivrait uniquement pour les abonnés. "L'organisation, elle est lamentable, dénonce Tomek, pourtant abonné au PSG. Il y a des gens qui sont abonnés, on a reçu un mail comme quoi on est prioritaires, on est prioritaires aujourd'hui (lundi) à 10 heures et vendredi, ils vendaient des places aux gens non abonnés". "Il y a des gens qui ne sont même pas pour le PSG, il y en a, ils viennent voir le match, c'est pour Messi, Xavi, je ne sais pas qui. Ils font la queue, ils ne sont pas abonnés et ils ont des billets avant nous. Comment c'est possible ?", pestait-il encore. "Depuis 7 heures du matin, on est là. Réveil à 6 heures. Regardez le monde, on ne peut pas avancer, ça fait cinq minutes et ça n'avance pas, ça n'avance pas. C'est n'importe quoi, c'est géré n'importe comment, c'est n'importe quoi", renchérissait Jean-Baptiste, supporteur du PSG. D'autres personnes avaient pris leurs précautions, comme Josiane, mère d'un supporteur, venue prendre des places pour lui: "J'ai ma polaire de montagne, j'ai mon livre, j'ai mon siège, et j'ai tout mon temps parce que je suis une jeune retraitée". Allan, supporteur du PSG, a eu ses places après une très longue attente: "On est là depuis une heure du matin nous. Donc j'ai des cernes, je ne sais pas si ça se voit, mais on est content, on a nos sésames, ça va être la folie maintenant". "C'est la +Brinks+ là, les mecs ils nous regardent... C'est un peu dangereux de sortir avec ça. On va les mettre au chaud dans le placard, on va les ressortir le 2 avril", glissait-il avec humour. Il n'y avait pas que des supporters parisiens dans la file d'attente, à l'instar de Janet, amatrice de foot finlandaise. "Samedi, j'ai fait la queue pendant 6 heures. Et ce matin, depuis huit heures, je suis de Finlande et là-bas, on ne voit pas des matches comme ça", racontait-elle. Sans surprise, cette affiche se jouera à guichets fermés (50.000 places). AFP |
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19/03/2013 10:22
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#5392
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Ligue 1 : cinq points d’avance suffiront-ils au PSG ? C’est l’histoire qui se répète. Lyon a remplacé Auxerre mais, pour le reste, le décor est quasi identique. Dix-sept ans après, Paris se retrouve leader de la Ligue 1 avec cinq points d’avance sur son principal rival à neuf journées de la fin du championnat. En 1995-1996, le sprint final avait été fatal aux joueurs de la capitale, qui s’étaient totalement effondrés lors des neuf derniers matchs. Les Bourguignons, troisièmes avec un match en retard après la 29e journée, avaient finalement été sacrés champions avec 4 points d’avance sur des Parisiens, tout juste auréolés de leur victoire en Coupe des Coupes. « Je me souviens qu’on comptait même 11 points d’avance à la trêve (NDLR : 7 en réalité), relate José Cobos, l’ancien latéral. Mais on avait laissé de l’influx nerveux dans cette Coupe d’Europe et, surtout, il faut se souvenir que, à l’époque, ce n’était plus l’équipe de la saison précédente. On avait perdu Ricardo, Weah, Ginola, Valdo, donc on manquait de profondeur de banc. Le titre était à notre portée, mais on a dû faire tourner. » Ce raté sans précédent peut-il se reproduire à l’heure où Paris n’a pris que un point lors de ses trois derniers déplacements et se retrouve encore en lice dans trois compétitions (championnat, Ligue des champions et Coupe de France) ? « Le contexte est différent, entrevoit Cobos. Sans vexer personne, nos poursuivants de l’époque étaient meilleurs que les équipes actuelles derrière Paris. A Auxerre, il y avait Laurent Blanc, Lionel Charbonnier, Lilian Laslandes, Bernard Diomède, Taribo West et j’en oublie. Surtout, le PSG actuel a un effectif plus complet que le nôtre à l’époque. Pour moi, cette 29e journée de L1 a conforté le statut de leader de Paris et a donné une bonne info sur ses rivaux, incapables de battre des équipes à leur portée. » L’exemple lyonnais de 2001-2002 Depuis la saison 1994-1995 et l’introduction de la victoire à 3 points, les exemples d’une remontée à l’auxerroise ne sont pas légion. Seul Lyon en 2001-2002, avec un handicap de 6 points sur Lens à neuf journées du terme, s’était hissé sur la plus haute marche du podium. « L’époque n’est plus la même. On savait qu’on allait jouer notre dernier match à domicile face aux Lensois et, surtout, on avait enchaîné des victoires qui avaient fait douter Lens », se souvient Philippe Violeau, l’ex-milieu lyonnais et… auxerrois en 1996. Ce dernier ne croit guère à un exploit similaire de ses successeurs. « Je pense que ce sera compliqué pour l’OL, prévient-il. Paris a un effectif que Lyon n’a pas, donc le PSG est armé pour ne pas connaître la défaillance de Lens à l’époque. Si Lyon conserve cet écart de 4ou 5 points et gagne le match à Gerland (NDLR : lors de la 36e journée), tout est jouable. Mais ce ne sera franchement pas simple. » Citation Huit joueurs du PSG en sélection Ils seront huit internationaux parisiens à manquer à l’appel cet après-midi lors de la reprise de l’entraînement au camp des Loges. Outre les quatre Français retenus chez les Bleus (Matuidi, Sakho, Jallet et Ménez, finalement apte), Carlo Ancelotti devra aussi se passer d’Ibrahimovic (Suède), Lavezzi (Argentine), Sirigu (Italie) et de Thiago Silva (Brésil). C’est moins que du côté de Barcelone, qui compte 21 appelés dans leurs différentes sélections nationales. D’ailleurs, le gardien numéro deux, José Manuel Pinto, risque de se sentir seul à l’entraînement, puisque les trois autres joueurs censés l’accompagner (Adriano, Abidal et Puyol) sont blessés ou en phase de reprise. Côté Paris, David Beckham sera également absent. Il passe trois jours en Chine pour promouvoir le championnat local. Citation PSG - Barça, la bataille des places fait rage Il fallait de nouveau s’armer de patience hier pour acheter des places pour le match PSG - Barcelone du mardi 2 avril. Comme depuis vendredi, l’aurore était encore loin lorsque les plus courageux se sont installés devant la billetterie. Au petit matin, ils étaient des centaines et la queue s’étirait autour de la moitié du Parc des princes. « Voir Barcelone à Paris, c’est un événement qu’on ne pouvait pas manquer, sourit Olivier. Cela vaut bien un peu d’attente. » Mais au bout de quelques heures, les esprits s’échauffent et les forces de l’ordre interviennent. Les derniers arrivés sont priés de rentrer chez eux. Les autres patientent, compressés entre deux rangées de barrière. La plupart pestent contre le numéro surtaxé censé leur éviter cette mascarade. Mais celui-ci est saturé depuis quatre jours… Certains organisent le ravitaillement, d’autres font appel à des livreurs de sushis qui stationnent leur mobylette à quelques mètres de la foule. Dans la mêlée, on se bouscule, on essaie de doubler, on s’invective, on crie un peu et certains font des malaises après des heures passées debout sans pouvoir bouger un orteil. Plus aucune place n’est à vendre « C’est n’importe quoi, s’emporte Ahmed. On est abonnés depuis des années et on est parqués ici comme du bétail. Avant, chaque tribune venait à une date précise et tout allait bien. » A l’intérieur, une dizaine de personnes se relaient aux guichets, mais la vente s’éternise. L’offre est effectivement compliquée entre les billets réservés au grand public, ceux pour les abonnés, les places uniquement pour le match de Barcelone ou celles vendues en pack avec les rencontres contre Valenciennes (4 mai) ou Brest (18 mai). Ce matin, même les abonnés ne peuvent plus espérer trouver leur bonheur : plus aucune place n’est à vendre. « J’en ai eu deux pour 280 €, s’enthousiasme Kamel après plus de sept heures de patience. J’espère voir le PSG battre la meilleure équipe du monde. » A quelques mètres de lui, les grossistes du marché noir attendent la sortie des marathoniens du billet. A peine achetées, certaines places sont déjà revendues au triple ou au quadruple de leur valeur. Et sur Internet, les annonces fleurissent avec des tarifs dépassant parfois 1000 €. Un des derniers endroits où il est possible de se procurer une place… Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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19/03/2013 11:48
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Citation Lucas : «Ibra se plaint beaucoup» Arrivé au PSG en janvier dernier, Lucas Moura a évoqué ses premiers pas en Ligue 1 dans un entretien accordé à Fox Sports. «L’adaptation fut difficile, je ne peux pas le nier. Le climat est très froid mais mes coéquipiers m’aident tous, ils m’ont bien reçu. Je suis pratiquement intégré au groupe maintenant, a expliqué l'international brésilien, actuellement blessé à la cheville et forfait pour affronter l'Italie jeudi en match amical. Sur le terrain, la technique ici est pratiquement du même niveau qu’au Brésil. Mais la discipline tactique est plus grande. Ici, je peux difficilement aller sur le côté gauche, comme je le faisais auparavant.» L'ancien joueur de Sao Paulo a surtout été marqué par la qualité du jeu et le comportement de Zlatan Ibrahimovic sur le terrain. «Ce que je peux déjà dire, c’est qu’il est très fort ! Il est parfois arrogant, il se plaint beaucoup et réclame souvent le ballon. Ibra est un joueur compliqué ! Il insulte beaucoup. Une chose est sûre : quand il crie, vous arrivez toujours à le comprendre, quelle que soit la langue», a-t-il ironisé. lequipe.fr |
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20/03/2013 09:41
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation 700 000 demandes pour PSG-Barça Depuis lundi soir, plus aucune place pour l'affiche entre le PSG et Barcelone le 2 avril prochain n'est disponible. Le club de la capitale a rapidement écoulé les billets pour la venue du club catalan, la file d'attente devant les guichets du Parc des Princes ayant atteint des proportions historiques. «Le phénomène a été comparable à une tournée des Rolling Stones, explique dans nos colonnes Frédéric Longuépée, le directeur général adjoint du PSG chargé du marketing. Quelques chiffres pour comprendre: on a un stade qui fait 45 000 places, on a 25 000 abonnés qui, pour 95% d'entre eux, bénéficiaient d'un place pour ce match. 5 000 places étaient bloquées par l'UEFA et le Barça. Il restait donc 15 000 places à commercialiser pour...700 000 à 1 million de demandes. Lundi matin, on a reçu 100 appels à la seconde dès l'ouverture de la billetterie pour les abonnés. Il aurait fallu entre 1000 et 1500 opérateurs pour gérer. Mettre la logistique du Téléthon en place en deux heures, c'est compliqué.» D'où certains couacs dans la vente du précieux sésame, qui atteint déjà les 1000 euros sur le marché noir... L'Equipe.fr |
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20/03/2013 10:05
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation PSG-Barça : Paris victime de son succès Le club parisien a enregistré plus de 700 000 demandes de billets pour le match de Ligue des champions face à Barcelone. Un engouement auquel il n’était pas préparé. Dès l’annonce du match contre le Barça, les supporteurs du PSG ont pris d’assaut les guichets du club pour acheter un billet. Résultat, la pagaille ambiante a généré quelques tensions avec les forces de l’ordre (à g.). Le jour même, certains billets étaient revendus sur les trottoirs du Parc au marché noir La vente des billets pour le quart de finale aller de la Ligue des champions entre le PSG et Barcelone, le 2 avril, a donné lieu à une sévère pagaille durant trois jours sur les trottoirs du Parc des Princes. Centre d’appels saturé, file d’attente interminable, spectateurs compressés derrière des barrières et tension avec les forces de l’ordre : la quête du Graal s’est transformée en galère pour les supporteurs parisiens. Le club avance une situation « extraordinaire ». « Il y a 25 000 abonnés qui bénéficient de 5 000 places supplémentaires, 5000 billets sont réservés par l’UEFA pour Barcelone, il ne restait donc que 15 000 places à vendre, explique Frédéric Longuépée, le directeur général adjoint du PSG. Nous avons reçu entre 700 000 et 1 000 000 de demandes. Faire face à un afflux d’une telle ampleur dans des délais aussi courts relève de la mission impossible. » Explications. Comment les billets ont-ils été mis en vente ? Dès l’annonce du tirage au sort vendredi, des centaines de personnes se sont ruées vers le Parc des Princes où elles ont pu acheter directement leur billet. « Nous avons procédé comme pour le 8e de finale contre Valence, explique Longuépée. Le grand public pouvait acheter ses places dès le vendredi et les abonnés étaient conviés à venir à partir de lundi. » En l’occurrence, les deux catégories de place ont pourtant été vendues en même temps. « Il est difficile d’interdire à un abonné de se glisser dans la file d’attente », se défend le dirigeant parisien. Samedi et lundi matin, les premiers acheteurs se sont présentés avant le lever du soleil. La billetterie a fermé ses portes à minuit. Pourquoi une telle pagaille ? Le numéro surtaxé de la billetterie a rapidement été saturé avec des pics de 100 appels par seconde. Au Parc, le service de sécurité n’était prévu que samedi. Les guichets de vente, eux, n’étaient qu’au nombre de dix. « Lorsque Apple ouvre une boutique, elle n’est pas plus grande le premier jour. Ils ne font que gérer une file d’attente, constate Longuépée. Mais on ne peut pas se satisfaire de gens qui font des malaises. Quand on souhaite devenir un grand club, il est fondamental de regarder comment accueillir correctement nos spectateurs, qui sont aussi des clients, dans la limite des moyens humains et technologiques. » Comment lutter contre le marché noir ? Dès vendredi, certains billets étaient déjà revendus sur le trottoir même du Parc. Sur Internet, les propositions fleurissent à des tarifs astronomiques. Les billets ne sont en effet pas nominatifs. « Ils portent un numéro, ce qui nous permet de les désactiver s’il est avéré qu’ils ont été vendus frauduleusement, prévient Longuépée. La revente d’un billet est pénalement répréhensible. On essaie de faire respecter la loi. En achetant au noir, vous prenez le risque de tomber sur un faux billet. » Pour lutter contre cela, le PSG a mis en place sur son site un système de revente qui garantit l’authenticité et le paiement. Qu’est-il prévu pour le match retour ? Les candidats au voyage à Barcelone sont également nombreux. Le PSG n’a pas arrêté son organisation pour le déplacement au Camp Nou mais prévoit de réserver entre 3 500 et 5 000 places à ses supporteurs. « Les conditions de vente ne sont pas encore fixées, précise le PSG. On doit se rendre à Barcelone à ce sujet. Nous réfléchissons également à notre organisation pour une éventuelle demi-finale. » Citation Lucas : « Ibra mérite le respect » Les jeunes de 20 ans se montrent parfois insolents. Lucas ne déroge pas à la règle lorsqu’il évoque son coéquipier Zlatan Ibrahimovic. « C’est un immense joueur mais parfois un peu arrogant, il râle souvent, demande la balle sans arrêt, dit des gros mots, mais il est sympa avec moi, sourit le Brésilien dans une interview à la radio sud-américaine Fox Sport. Il m’a bien reçu et il me connaît déjà. Ibra est compliqué! Mais il se trompe rarement. Il crie et on arrive à le comprendre, dans n’importe quelle langue. On se chambre pas mal, et, de toute façon, il mérite le respect. » Vu l’émoi suscité par les déclarations du joueur, le PSG a précisé hier soir que ces propos avaient été « mal interprétés et déformés ». Touché à la cheville gauche le 9 mars à Reims (1-0), Lucas a dû décliner sa sélection avec l’équipe du Brésil et se soigne actuellement au camp des Loges. Il devra attendre le retour du capitaine de l’équipe de Suède, dans une semaine, pour connaître sa réponse Citation Ce que Beckham va faire en Chine C’est aujourd’hui que David Beckham entame sa tournée en Chine où il va devenir l’ambassadeur du championnat national de football. Le milieu de terrain du PSG va effectuer une visite de trois villes en cinq jours. Il débutera par une rencontre avec les médias à Pékin, avant de se rendre ensuite à Qingdao (Tsingtao), puis Wuhan, deux villes situées dans l’est du pays, pour notamment visiter des académies de football. La nomination du Spice Boy comme ambassadeur du Championnat de Chine vise à redorer le blason du football local entaché par des scandales de matchs truqués sur fond de paris et de corruption chez les dirigeants. Le néo-Parisien devrait effectuer deux nouveaux voyages en Chine cet été et en novembre. Il participera également à une série d’interventions et à des programmes télévisuels pour promouvoir le football dans l’empire du Milieu. Il s’apprête à manquer une semaine d’entraînement C’est la première fois que la China Super League, via le gouvernement chinois, se choisit un ambassadeur. Le montant de la transaction n’a pas été révélé mais le chiffre de 50 M£ (58 M€) a été avancé et aussi démenti par Jeff Slack, vice-président de la branche football chez IMG, la société de marketing sportif à l’origine de la venue de la star anglaise. Beckham manquera donc la semaine d’entraînement avec le PSG et ne devrait être de retour que lundi ou mardi prochain. Cette absence confirme le statut à part de l’Anglais au sein de l’effectif parisien. Le mois dernier, Becks avait rejoint ses coéquipiers le 12 février à Valence, alors qu’il avait signé avec le PSG le 31 janvier. Entre-temps, il avait dû régler des affaires personnelles et avait assisté au défilé de sa femme Victoria lors de la Fashion Week à New York. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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21/03/2013 11:13
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Citation Ibrahimovic, héros de BD De la balle aux bulles. Le PSG est devenu tellement incontournable qu’on va même en parler dans les rayons bandes dessinées. Leonardo, Nasser al-Khelaifi et surtout Ibrahimovic vont devenir les héros d’une BD. « Paris vaut bien un cheikh. Quand le Qatar achète le foot », à paraître le 28 mars prochain aux Editions 12 bis. Scénarisée par le journaliste Arnaud Ramsay, elle est mise en image par Philippe Bercovici, un vieux routier de la BD (« les Femmes en blanc », 34 tomes, aux Editions Dupuis). A travers une fiction, les exploits de Hatem Ben Arfa, meneur de jeu du PSG et entraîné par Arsène Wenger, les auteurs se sont amusés à dépeindre une savoureuse galerie de portraits des vedettes parisiennes. Nasser al-Khelaifi y apparaît colérique, Zlatan boursouflé d’égocentrisme et Leonardo prompt à se défausser auprès des médias. La dernière case de la planche 54 semble avoir été dessinée juste après Reims - PSG (1-0) : après une défaite, le directeur sportif brésilien explique ainsi : « C’est un complot contre Paris. Les arbitres ne nous aiment pas. On nous jalouse tellement on est beaux. Nous allons porter plainte! » La réalité rattrape parfois la fiction avec Paris… Bercovici a eu un peu de mal à croquer Zlatan « Cela m’a demandé quatre mois de travail à temps plein, explique Philippe Bercovici. Il est fréquent de voir la BD s’emparer de mythes et ce nouveau PSG prétend devenir un mythe. C’est logique de se pencher dessus. La satire des puissants a toujours été une matière passionnante pour les dessinateurs. » Bercovici avoue avoir eu quelques difficultés pour croquer Zlatan Ibrahimovic. « Ce n’est pas qu’un gros nez, sourit-il. Il a un visage assez particulier avec un menton pointu et une grosse tête. J’en ai fait la caricature d’un joueur qui est déjà une caricature ! » Bercovici a pris beaucoup de plaisir à dessiner Ibra : il prépare, toujours aux Editions 12 bis, deux autres ouvrages consacrés au Suédois et qui paraîtront début mai. « Il y aura d’abord « Ainsi parlait Zlatan », un dictionnaire de citations inventées de l’attaquant parisien et écrit par le scénariste Pat Perna (« Joe Bar Team »), annonce-t-il. Et je prépare aussi un recueil de gags en une planche, Dans la peau de Zlatan, où Ibrahimovic sera un personnage qui n’accepte pas le débat et qui fonce dans le tas au moindre problème. On va s’amuser avec ce PSG. » Citation Beckham à l’heure chinoise Pékin (Chine), hier. David Beckham profite de l’intermède international pour effectuer une tournée de cinq jours en Chine. La star a tombé la veste et a pris part à une partie. « Je ne suis pas ici pour nettoyer quoi que ce soit, a déclaré le néo-Parisien, 37 ans, alors que le foot chinois est empêtré dans des affaires de paris et de corruption chez les dirigeants et les arbitres. Je prête main-forte à l’éducation de jeunes enfants et d’apprentis footballeurs. C’est aussi simple que cela. » Après Pékin, Beckham doit se rendre à Qingdao, puis Wuhan, à l’est du pays, pour visiter des écoles de foot. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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22/03/2013 14:37
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Citation La Fifa attaque l’agent d’Ibra La Fifa, l’instance qui régit le football mondial, ne goûte que modérément les critiques. Surtout lorsqu’elles s’expriment sur la place publique par la voix d’un agent de joueur comme Carmine Raiola, l’un des plus puissants de la profession. A l’automne dernier, l’agent de Zlatan Ibrahimovic dénonçait le système de type « mafieux » qui prévaut, selon lui, à l’UEFA et à la Fifa. Il avait développé ses convictions dans des interviews données au journal suédois « Expressen », le 30 octobre, et dans les colonnes du « Parisien », le 2 novembre. A la suite de ses déclarations fracassantes, l’organisation européenne, présidée par Michel Platini, a décidé de ne pas réagir. La Fifa, à l’inverse, a contre- attaqué en ouvrant une procédure disciplinaire le 1er mars dernier. L’agent d’Ibrahimovic, de Balotelli ou encore du jeune Français Pogba, a été convoqué le même jour par le comité de discipline de la Fifa. Sa licence pourrait être suspendue Quelques phrases attribuées à Raiola et extraites de l’interview d’« Expressen » sont dans la ligne de mire de la Fifa. « La Fifa et l’UEFA sont exactement les mêmes. Elles sont tout sauf transparentes. Elles pourraient être décrites comme des organisations mafieuses qui ont des choses à cacher. » Ou encore : « Michel Platini n’a jamais rien fait d’important pour le football. Juste des choses pour son propre bénéfice. » Et enfin : « Sepp Blatter (NDLR : président de la Fifa) est un dictateur dément. » Au lieu de porter plainte pour diffamation devant une juridiction de droit commun, la Fifa s’est donc lancée dans une procédure interne. « Cette situation me paraît irréelle et en contradiction avec ma liberté d’expression », a réagi Mino Raiola. Il risque une sanction pouvant aller du simple blâme jusqu’à une suspension provisoire de sa licence d’agent. Un document attribué par les fédérations nationales… sous l’égide de la Fifa. Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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22/03/2013 16:01
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Citation Ils se lèvent tous pour Matuidi Ils l'ont dirigé en club ou bien en sélection, et ils sont unanimes : le milieu international est aujourd'hui indispensable, que ce soit au PSG ou avec les Bleus. Le "bon Blaise" plaît évidemment à tout le monde. Cette unanimité ne date pas d'aujourd'hui et de ses performances énormes avec le PSG ou l'équipe de France depuis le début de saison. "Magistral" à Madrid contre l'Espagne en octobre dernier, l'ex Troyen s'est imposé comme un rouage essentiel du système Deschamps. Ses premiers pas chez les Bleus remontent à l'ère Blanc et à un autre match charnière, le 7 septembre 2010, à Sarajevo, contre la Bosnie-Herzégovine (2-0). Les Tricolores étaient allés chercher une victoire précieuse sur la route de l'Euro 2012. L'ancien Stéphanois vivait alors dans l'ombre de M'Vila, A. Diarra et Diaby et était entré en fin de rencontre. Deux ans et demi plus tard, avec l'arrivé de Didier Deschamps aux commandes, le Parisien est devenu un titulaire incontournable après avoir traversé l'Euro ukrainien sur le banc. Hormis la rencontre amicale contre l'Uruguay (0-0 au Havre, le 15/08), il a pris part à tous les matchs pour afficher aujourd'hui dix sélections. Ce joueur aux "trois poumons", comme le définit Alain Perrin, son coach à Saint-Etienne, est le joueur français qui a disputé le plus grand nombre de matchs, toutes compétitions confondues, depuis le mois d'août : 41 avec le PSG, 6 en sélections pour un total de cinq buts. De Troyes, où il a été formé après un passage à l'INF Clairefontaire, au PSG en passant par Saint-Etienne, l'infatigable et indispensable Matuidi compte déjà huit saisons dans l'élite à bientôt vingt-six ans. "C'est l'un des meilleurs milieux défensifs d'Europe", juge Carlo Ancelotti, l'entraineur italien du PSG, qui en a fait une pièce majeure de la colonne vertébrale de son équipe au même titre que Sirigu, Thiago Silva et Ibrahimovic. L'ancien Vert au gabarit passe-partout (1m75, 70kg) jouit désormais d'un crédit énorme. "Blaise ne quittera jamais le PSG", a d'ailleurs prédit Nasser al-Khelaïfi, le président Parisien. Encore sous contrat pour un an avec le club de la Capitale, le milieu défensif et son agent Jean-Pierre Bernès ont les cartes en main, car l'Europe est à ses trousses avec quelques cylindrées de prestige comme le FC Barcelone, le Real Madrid et Manchester City en tête de liste. Citation Jean Marc Furlan (son entraîneur à Troyes de 2005 à 2007) : "La seule différence, c'est qu'il a pris confiance" "Un jour, Christian Caminiti vient me parler d'un joueur qu'il avant dans son équipe des 18 ans de l'ESTAC. Il me dit que le gamin n'a rien à faire avec lui. J'étais sceptique, mais je lui ai dit de me l'envoyer, et c'est ainsi qu'on a vu arriver Blaise à l'entraînement. Il n'a plus jamais quitté l'équipe première. Il était évident qu'il avait le potentiel pour devenir un excellent joueur de Ligue 1. De là à ce qu'il ait une telle popularité aujourd'hui, puisqu'on parle de lui comme d'un élément indispensable au PSG et à l'équipe de France, peut-être pas. Il peut se passer tellement de choses à cet âge-là. Mais il avait une qualité essentielle pour progresser : la science du jeu. Il avait déjà cette capacité à lire le jeu plus vite que l'adversaire et même le partenaire. Heureusement, d'ailleurs, car c'est essentiel quand, comme lui, on n'est pas doté d'un physique hors norme. L'autre gros atout qu'il possédait déjà, c'était sa faculté à la récupération du ballon, à la destruction du jeu de l'adversaire, dans le bon sens du terme évidemment. Le reste, il l'a acquis en travaillait, mais aussi en prenant confiance. C'est la seule différence. Être responsabilisé à Saint-Etienne lui a permis de grandir encore. Quand tu as dix-sept ans, tu gères, tu te contente de faire ce que dit l'entraîneur pour rester dans l'équipe. Ce n'est qu'après, quand tu as de l'expérience, que tu te permets des choses, car tu vois mieux sur le terrain qu'en dehors. Ca ne fait aucun doute qu'il a progressé ces dernières années sur sa capacité à aller de l'avant, à faire la passe décisive ou à marquer. Ca, il ne le faisait pas à Troyes. Mais c'est très lié à la confiance, finalement. Il a pris de l'assurance et s'est libéré avec le temps." Citation René Girard (sélectionneur des Espoirs de 2006 à 2008) : "Il était déjà exemplaire dans l'investissement" "J'ai eu Blaise durant deux saisons. Quand il est arrivé chez les Espoirs, il avait à peine dix-neuf ans et jouait à Troyes. Autrement dit, sa marge de progression était encore énorme. Il y avait pourtant deux choses qui ressortaient chez lui alors. D'abord, il était déjà exemplaire dans le respect, l'écoute et l'investissement. C'était un garçon irréprochable dans l'état d'esprit et le travail, facile à intégrer et qu'on l'on pouvait associer, au fond, à n'importe qui. Aujourd'hui, ce n'est pas si évident que ça à trouver, une telle mentalité dans la jeune génération... Ensuite, même s'il manquait de maturité, de justesse et de rigueur dans son jeu ou bien de puissance dans l'impact physique, il était néanmoins très intéressant par son volume, sa présence, sa générosité, son envie, sa volonté de s'accrocher, mais aussi par sa patte gauche. A l'époque, je l'ai souvent utilisé en duo devant la défense, avec Gourcuff, Cabaye ou encore Chantôme. Avec Cabaye, par exemple, leur association fonctionnait déjà bien et offrait un bon équilibre à l'équipe. Je l'ai fait aussi jouer quelquefois milieu gauche dans un 4-32-3-1 ou un 4-4-2, mais ce n'était pas forcément le registre ou il était le meilleur. Malgré un certain déchet technique, qu'il a totalement gommé à présent, il était bien plus efficace et performant dans l'ace. Pour qu'il puisse continuer à grandir, il fallait simplement qu'il franchisse d'autres étapes, qu'il mûrisse dans l'analyse tactique, qu'il gagne en puissance, qu'il se disperse moins dans son jeu et qu'il soit plus constant et rigoureux sans perdre pour autant ses qualités naturelles, par exemple sa façon d'aller harceler et presser l'adversaire pour récupérer les ballons. C'est ce qu'il a fait. Et aujourd'hui, il est époustouflant..." Citation Alain Perrin (son entraîneur à Saint-Etienne de nov. 2008 à déc. 2009) : "Il a trois poumons" "Blaise était au club depuis une saison quand je suis arrivé à Saint-Etienne. Il avait vingt et un ans, mais j'en avais fait quand même mon capitaine à un moment donné de la saison. Je lui ai confié le brassard assez jeune pour une club comme les Verts, car il était déjà exemplaire sur le terrain. C'était un leader de combat, de jeu. Il affichait une grosse générosité et ne ménageait pas ses efforts. On sentait chez lui un potentiel immense, et ce qui lui arrive aujourd'hui, aussi bien avec le Paris-SG qu'avec l'Equipe de France, ne me surprend pas du tout. Il a été énorme au match aller contre l'Espagne ! Blaise a trois poumons ! C'est un élément moteur sur le terrain. Sa progression a été rapide et je trouve qu'il a encore franchi un palier sur le plan technique. Sa générosité faisait parfois qu'il n'avait pas le geste juste à la sortie. il a progressé sur ce plan en lucidité. Sa qualité principale est d'avoir une caisse énorme Il peut courir et répéter les efforts. Il harcèle l'adversaire, va au duel et récupère un nombre important de ballons proprement. Il a aussi progressé dans le registre de l'utilisation du ballon après la récupération. Son physique en fait également un joueur "box to box", capable de se projeter rapidement vers l'avant comme tout milieu défensif moderne. Il a pris du volume dans la construction du jeu avec la répétition des matchs et la connaissance du haut niveau. C'est aussi quelqu'un de foncièrement gentil, de généreux, un bon gars de vestiaire, sans problème, presque timide à l'époque. J'ai le souvenir d'un garçon aussi un peu tendre pour communiquer. En franchissant les étapes, il a dû forcer sa nature. Mais, avec lui, l'exemple vient du terrain. Et de ce côté-là, sur ce que je vois, il n'a pas changé" Citation Christophe Galtier (son entraîneur à Saint-Etienne de déc. 2009 à juin 2011) : Il était facile à gérer "Quand je l'ai eu, il avait les mêmes qualités qu'aujourd'hui. Mais il était un peu timide dans le jeu. Il avait cette capacité à gratter les ballons, cette capacité à répéter les efforts, mais il était timide dans la projection vers l'avant. Il se cantonnait aux tâches défensives. Le but de l'entraîneur, c'était de lui montrer et de lui expliquer qu'au plus haut niveau il était aussi là pour aller de l'avant. Ca rejoint ce que j'ai lu récemment de lui au PSG. Chez nous, il avait déjà réalisé ce progrès-là : cette capacité à, d'une passe vers l'avant, transpercer la ligne adverse. Il avait aussi intégré l'importance de ne pas perdre le ballon facilement, de savoir éliminer et prendre un risque dans la passe. Depuis, je crois qu'il a rajouté cette capacité à se projeter lui-même vers l'avant. Il a aussi gagné en maturité. Il était facile à gérer. C'est quelqu'un de respectueux, investi dans sa mission. C'est d'ailleurs pour ça que j'en avais fait le capitaine de l'équipe durant la blessure de Perrin. Je l'avais choisi par rapport à son investissement. Mais il est plus à l'aise quand il doit se concentrer sur sa tâche. Quand je l'ai découvert, il a quatre ans et demis (Galtier était l'adjoint de Perrin à l'ASSE), il était quand même influençable. Sans aller jusqu'à faire des bêtises. Mais il faut qu'il fasse attention au très haut niveau." Citation Laurent Blanc (sélectionneur de l'équipe de France de 2010 à 2012) : Un des premiers noms dans chacune de mes listes "Quand j'ai lancé Matuidi en Equipe de France, tout le monde s'est moqué de moi ! Et puis il s'est imposé comme un des piliers de la sélection. Quand il fallait établir ma liste, son nom apparaissait toujours dans les premiers. Pour l'Euro en Pologne-Ukraine, il était blessé. Je n'ai malheureusement pas pu l'aligner et l'équipe en a été pénalisée. Blaise a toutes les qualités. C'est un travailleur hors du commun et il ne pense qu'à progresser et progresser encore. Il est irréprochable au niveau de l'état d'esprit. Avec lui, tout est facile, net et carré, on ne peut pas avoir de problèmes. Qu'il soit titulaire ou appelé à rentrer en cours de match parce qu'on est dans l'embarras, on peut compter sr lui. Même si c'est pour jouer cinq ou dix minutes, on sait qu'il apportera tout ce qu'il peut apporter. Ce qu'il réalise aujourd'hui à Paris ne me surprend pas. Il confirme simplement. Son problème, c'est qu'il évoluait à Troyes puis à Saint-Etienne. Quand on évolue au PSG, l'oeil et l'avis de certains observateurs changent. On s'aperçoit maintenant que Matuidi est indispensable et qu'il a d'énormes qualités phsiques. Je reconnais qu'il a progressé au niveau technique et qu'il perd moins de ballons. Il court toujours autant et il est toujours aussi précieux dans le pressing, mais il est devenu plus mature. Dans le jeu vers l'avant, il s'est également amélioré, c'est peut-être aussi pour cette raison qu'il marque désormais quelques buts (trois en L1 cette saison). Le futur dira jusqu'où il peut aller. Mais il évolue dans un club de très haut niveau, et c'est un garçon stable qui a tout pour réussir." France football papier -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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22/03/2013 16:15
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#5399
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Citation Ibra: «J'ai besoin de m'énerver» Présent en Suède avant le match éliminatoire pour le Mondial 2014 entre son pays et l'Irlande, Zlatan Ibrahimovic a évoqué son comportement fougueux sur les terrains. «J'ai besoin de m'énerver pour bien jouer, a-t-il expliqué. Je dois crier et mal parler pour marquer des buts. Mais avec l'âge, je suis plus calme et je ne crie plus vraiment sur mes équipiers. D'ailleurs, ça me tue d'être devenu comme ça !» Ses collègues parisiens peuvent être rassurés... L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
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23/03/2013 12:06
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#5400
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,641 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 498 Tribune : Canapé |
Citation PSG: Les places pour le déplacement à Barcelone seront tirées au sort Un fiasco a suffi. Très critiqué pour sa gestion de la vente des places pour le quart de finale aller de ligue des champions entre le PSG et Barcelone le 2 avril, le club parisien a décidé d’opter pour le tirage au sort pour le match retour. Selon Le Parisien, le PSG a envoyé un mail à ses abonnés pour les informer que les 4 000 places attribuées aux supporters du PSG dans les tribunes du Camp Nou pour le match retour à Barcelone le 10 avril seront tirées au sort. Une opération effectuée sous le contrôle d’un huissier, précise le PSG dans son mail. 20 mn Citation Jordi Alba absent contre Paris ? Blessé à la cuisse lors du match nul de l’Espagne contre la Finlande (1-1) vendredi soir à Gijon, Jordi Alba a très peu de chances de tenir sa place contre la France, mardi au Stade de France. Le défenseur du FC Barcelone est également incertain pour le quart de finale aller de Ligue des champions contre le PSG le 2 avril au Stade de France. Sport 24 |
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