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05/02/2013 07:47
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#5261
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Le championnat a-t-il basculé? Grand favori du championnat, le PSG a enfin pris quelques distances avec ses rivaux. Jusque-là, le club de la capitale avait occupé seul le fauteuil de leader uniquement lors de la 10e journée avec un petit point d’avance sur Lyon. Il en a désormais trois de plus que l’OL et six que Marseille. De quoi briser leurs ambitions? « Ça a été un super week-end… pour le PSG, reconnaît Joey Barton, le milieu anglais de l’OM. Mais on regarde toujours vers l’avant. » Un PSG inarrêtable Meilleure attaque, meilleure défense, Paris n’a plus perdu en L1 depuis le 1er décembre à Nice (1-2). Même laborieux en janvier, Paris a engrangé sept points. Les voyants semblent tous au vert. « Il s’est passé un truc, confirme Olivier Rouyer, consultant sur Canal +. Lyon et Marseille ont des absences inquiétantes. Paris, en revanche, dégage une grande sérénité collective. Ils sont passés au-dessus des autres et cela risque de s’accentuer. » « Je ne crois pas que le championnat soit plié, coupe Eric Di Meco, consultant pour BeIN Sport. Paris peut aussi avoir encore des soucis. Ils vont devoir gérer les matchs autour de la Ligue des champions. » Lyon et Marseille dans une mauvaise passe Le début de l’année 2013 a coûté cher aux deux rivaux du PSG, alors que les trois équipes étaient encore à égalité à la trêve. En moins d’un mois, l’OL a laissé échapper cinq points et Bastos, l’OM a perdu Rémy tout en voyant huit points s’envoler. « On a dit plusieurs fois que Marseille était mort, note Eric Di Meco. L’OM est une équipe à réaction capable de perdre contre n’importe qui mais qui peut également gagner face à tout le monde. Lyon, de son côté, a certes des trous d’air mais ils sont plutôt réguliers depuis le début de la saison. Il ne faut pas tirer d’enseignements trop hâtifs. » Fin du suspense dans un mois? Le 10 mars, l’OL reçoit l’OM. Deux semaines plus tôt, les Marseillais se seront rendus à Paris. Une double confrontation qui devrait permettre de cerner l’issue du championnat. « Lyon et Marseille auront une énorme pression car ils n’auront plus de droit à l’erreur sur ces matchs », prévient Vincent Guérin, l’ancien milieu parisien. « Contre Lyon, ce sera un tournant de la saison, confirme Barton. Mais le PSG reste le favori logique. » Les rivaux de Paris semblent d’ailleurs déjà un peu résignés. « Je pense que le PSG dispute un autre championnat que le nôtre, estime Rémi Garde, l’entraîneur lyonnais. On s’efforce de rester accrochés le plus longtemps possible, mais il ne faut pas regarder seulement devant. Notre objectif, c’est le podium. » Cela ressemble presque à une abdication… Le Parisien Citation Beckham étrenne sa nouvelle tenue
Cette fois, c’est du sérieux. David Beckham a enfilé sa tenue d’entraînement du PSG pour la première fois dimanche après-midi. L’événement a eu lieu en catimini sur un terrain de rugby du sud-ouest de Londres. Trois jours après la signature de son contrat de cinq mois, la dernière recrue parisienne a entamé un programme d’entraînement individuel aux côtés de Paul Clement, le premier adjoint de Carlo Ancelotti, Simon Colinet, le préparateur physique, et du kinésithérapeute Gaël Pasquer. Comme nous l’a confirmé un proche de la star anglaise, Beckham doit se préparer physiquement toute la semaine à Londres, mais il ne bénéficiera plus des installations d’Arsenal. Son premier entraînement au camp des Loges est prévu mercredi 13 février. La veille, il pourrait faire le voyage avec le PSG à Valence à l’occasion du 8e de finale aller de Ligue des champions. Mais sa présence en Espagne n’est pas encore confirmée. Lors d’une interview accordée à BeIN Sport hier, Carlo Ancelotti a balayé les doutes sur l’utilité sportive de la star anglaise. « Maldini a gagné la Ligue des champions à 39 ans. Beckham en a 37... Si tu as encore la motivation, si tu es encore bien physiquement... Il n’a pas eu beaucoup de blessures dans sa carrière. Beckham est le joueur le plus sérieux et le plus professionnel que j’ai eu dans ma carrière. » Le Parisien |
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05/02/2013 10:01
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Et pendant ce temps, Beckham... David Beckham a porté pour la première fois le maillot - d'entraînement - du Paris-SG. Le milieu de terrain anglais (37 ans) a effectué une séance avec une partie du staff du club parisien. Une séance qui s'est déroulée... à Londres, comme le signale le Daily Mail, photos à l'appui. Depuis la rupture de son contrat avec le Los Angeles Galaxy, "Becks" et sa famille ont de nouveau élu domicile dans la capitale anglaise. Sa femme et ses enfants n'habiteront d'ailleurs pas avec lui à Paris, comme l'ancien joueur de MU l'avait annoncé lors de sa présentation à la presse, jeudi dernier. Beckham avait aussi expliqué avoir besoin de plusieurs semaines pour être apte à retrouver la compétition. Il devrait prendre part le 13 février à sa première séance avec ses nouveaux coéquipiers parisiens. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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05/02/2013 11:49
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Beckham au PSG, du donnant-donnant
David Beckham est beau, riche, doué et vient de débarquer « gratuitement » au PSG dans ce qui ressemble à l’une des opérations marketing les plus importantes de l’histoire du foot français. Tentative d’analyse d’un business pas comme les autres avec deux économistes spécialistes du monde du sport. Parce qu’il fallait au moins ça. 30 David Beckham n’est pas qu’un simple joueur de foot. C’est une multinationale. Et ça, le PSG l’a bien compris. Son impact sur le club de la capitale peut marquer un avant et un après dans la stratégie d’expansion des dirigeants qataris. Car c’est bien de cela dont qu’il s’agit, d’expansion. Et, à ce jeu, Becks apportera forcément plus au PSG que l’inverse. La preuve : même s’il n’est présent que pour cinq petits mois, le Spice Boy a déjà permis aux dirigeants qataris de faire disparaître de la bouche des journaleux le mot « Qatargate ». « Il crédibilise le projet du PSG » Pour Frédéric Bolotny, consultant en économie et en marketing du sport, la « marque » Beckham est un atout de taille : « Pour l’instant, le PSG est encore un club challenger par rapport à des machines comme Manchester United ou le Real Madrid. Le club a besoin de faire des coups pour se montrer à l’international. Et quoi de mieux pour cela que de faire venir Beckham ? Ce joueur est un portail ouvert sur un paysage global. » Un paysage dans lequel pourraient se bousculer de nombreux sponsors. Le beau gosse n’en finit plus de vendre. Même à 37 piges, son pouvoir d’attractivité peut permettre à n’importe quelle entreprise d’amasser pas mal de gros billets via un marketing bien huilé. Bien au-delà de la simple vente de maillots. Le PSG ne devrait pas déroger à la règle. « Paris réalise une très belle opération financière. Et je ne parle pas que de la vente des maillots qui est difficile à quantifier. Il faut voir plus loin. Un joueur comme David Beckham crédibilise le projet du PSG. Il sera plus facile pour Paris de séduire des sponsors. Quand vous pouvez montrer à ces derniers que les meilleurs joueurs du monde sont prêts à jouer gratuitement pour vous, ça facilite forcément les choses », explique Bastien Drut, stratégiste dans une société de gestion et auteur de plusieurs ouvrages sur l’économie dans le foot. Ibra pour l’Europe, Becks pour le monde Beckham est donc une mine d’or. Jusque-là, rien de nouveau. Pourtant, une question se pose : pourquoi maintenant ? Si, d’un point de vue marketing, la présence de l’ancien joueur de United pouvait pleinement se justifier l’an passé, aujourd’hui la donne a changé. Avec Zlatan ou Thiago Silva, Paris n’est-il pas déjà entré dans une nouvelle dimension ? Pas assez pour combler l’ambition des Qataris selon Drut : « Ibrahimović a permis de séduire un public plutôt européen, Beckham, lui, permet de faire connaître le club sur d’autres continents, notamment en Asie et aux États-Unis. Son arrivée élargit encore un peu plus les perspectives de développement du club. » Becks va donc offrir un nouveau rayonnement au PSG sur la scène internationale, comme il l’avait fait au Real Madrid en 2003. À l’époque, Florentino Pérez, président de la Casa Blanca, avait déjà perçu l’attrait exercé par le Spice Boy. « La dimension internationale de David Beckham a été l’une des raisons principales de son acquisition », avait-il lâché au moment de son transfert. Sa présence en Espagne a clairement consolidé la marque Real Madrid outre-Manche, aux États-Unis et, surtout, en Asie où le joueur est adulé. En 2011, l’Anglais était toujours le troisième sportif préféré des Chinois. Un statut qu’il a obtenu en grande partie à Madrid où des tournées estivales étaient réalisées pour promouvoir son image. Résultat : 440 millions d'euros de revenus liés aux ventes de produits dérivés pendant ses quatre saisons en Espagne. Pas mal, hein ? Sa célébrité en Asie ou aux States joue également un rôle clé dans la guerre des droits télévisés. « Il faut prendre en compte que QSI va de pair avec Al-Jazeera qui est en pleine négociation pour vendre les droits de la Ligue 1 à l’étranger, rappelle Frédéric Bolotny. L’arrivée de Beckham, c’est un très bon retour sur investissement. Paris veut nourrir le fond de marque PSG et baser le développement économique du club sur une stratégie mondiale comme le réalisent les grandes institutions du sport depuis 15 ans, en prenant exemple sur le Tour de France ou la Premier League dont la moitié des recettes des droits TV proviennent de l’étranger. » Le PSG est donc gagnant sur un troisième front. « Paris, le projet le plus hype » Et il n’est pas le seul. Car le choix de Beckham n’est pas anodin. En rejoignant Paris gratuitement (2 200 euros en fait, en vue de contourner l'imposant fisc français, mais il aurait toutefois négocié des royalties de 20% sur les ventes de maillot à son nom) le nouveau numéro 32 du PSG signe, avant tout, un joli coup de comm' et renforce son image de mec parfait. Forcément positif pour son business. Selon Bastien Drut, il ne serait d’ailleurs pas surprenant de voir le natif de Leytonstone signer de nouveaux contrats publicitaires dans les mois à venir : « Beckham a choisi le projet le plus « hype » du moment. Pour lui, salaire ou pas, minutes de jeu ou pas, l’important c’est d’être vu au PSG. Les sponsors de Beckham voient sûrement d’un bon œil cette association et ils sauront le rétribuer comme il se doit. » Des rétributions qui représentent la plus grande partie de sa fortune. Car il ne faut pas oublier que son salaire généreusement offert à une œuvre caritative ne représente qu’une « petite » partie de ce que touche DB chaque année. Aux Los Angeles Galaxy, le milieu de terrain ne percevait, ainsi, « que » 4,5 millions d’euros par an. Une anomalie largement corrigée par ses 31,5 millions d’euros de contrats publicitaires. « Il est le seul footballeur dont les revenus en marketing représentent environs les trois quarts de ses revenus globaux sur une année », précise Bolotny. Stratosphérique. Exilé depuis six ans aux États-Unis, le clan Beckham se devait de revenir par la grande porte en Europe. Pour cela, rien de mieux qu’une ville au glamour unique comme Paris. « L’association de son nom avec la ville de Paris et tout ce qu’elle représente est une plus-value certaine pour ce qu’il réalisera une fois qu’il prendra sa retraite », explique Bolotny. Car oui, un jour, le doyen de Ligue 1 arrêtera de gambader sur les terrains de foot. Dans 5 mois ? Impossible à dire. En tout cas, l’ancien Milanais prépare déjà le terrain. En se rapprochant de QSI, Beckham s’assure un avenir comme ambassadeur du Qatar. Un atout de poids dans l’optique de la Coupe du monde 2022. En attendant, Madame, elle, pourra toujours profiter des prochains mois pour développer sa marque de fringue en Europe continentale. Histoire de consolider l’empire. Par Grégory Blasco, Romain Duchâteau et Lucas von Dorpp pour So Foot |
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05/02/2013 14:41
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 15,193 Inscrit : 25/03/2012 Lieu : Asnières-sur-Seine Membre no 8,382 Tribune : Canapé |
Citation Alex de retour, les Thiago en reprise Ce mardi matin, les joueurs du PSG qui ne sont pas partis en sélection se sont entraînés au Camp des Loges sous les ordres de Carlo Ancelotti. Touché au mollet depuis plusieurs semaines, Alex a repris l’entraînement collectif, comme annoncé la semaine dernière. Le défenseur brésilien devrait donc être opérationnel pour le match de vendredi face au SC Bastia, au Parc des Princes. En revanche, Thiago Motta et Thiago Silva sont toujours en phase de reprise et se contentent d’un entraînement spécifique. Les deux anciens pensionnaires de Série A devraient toutefois être opérationnels pour le déplacement à Valence, mardi prochain en Ligue des Champions. parisfans.fr |
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05/02/2013 19:36
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 15,193 Inscrit : 25/03/2012 Lieu : Asnières-sur-Seine Membre no 8,382 Tribune : Canapé |
Citation EDF : Deschamps ménagera les joueurs du PSG Alors que le PSG recevra Bastia vendredi soir en championnat, Didier Deshcamps a assuré mardi en conférence de presse que Jérémy Ménez, Blaise Matuidi et Mamadou Sakho ne devraient pas disputer le match amical face à l’Allemagne dans son intégralité : « J’ai eu l’occasion d’en parler avec Leonardo et Carlo Ancelotti. C’est un cas de figure que j’avais déjà eu à gérer avec Lille et j’avais déjà géré cela avec Rudi Garcia. Evidemment, je tiendrai compte de tout cela pour le match de demain. J’ai été entraîneur de club aussi, je sais les problèmes que cela peut poser ». Le10sport.fr |
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05/02/2013 22:30
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation MAXWELL : «RESTER TOUT EN HAUT» La semaine sans les internationaux au Camp des Loges, la venue de Bastia vendredi au Parc et le déplacement dans une semaine jour pour jour à Mestalla : Maxwell fait le point pour nous sur l'actualité parisienne. Entretien. L’équipe a de bons résultats en ce moment. On sent que Paris a trouvé son équilibre. Qu’en penses-tu ? « On se sent très à l’aise sur le terrain, plus confiants puisque nous développons un jeu plus solide, une véritable identité, et que nous travaillons au quotidien pour toujours l’améliorer. Grace à cela, nous avons obtenu de bons résultats, en jouant bien lors de pas mal de matches. Le plus important est de continuer à prendre des points pour arriver à rester tout en haut du championnat. » Comment l’équipe aborde-t-elle la venue de Bastia, sachant que Paris partira logiquement favori ? « Par expérience, je sais très bien qu’il n’existe pas de match facile. Nous devrons être concentrés au maximum vendredi, parce que Bastia va venir ici avec l’envie de faire un résultat. Ce ne sera pas facile, il faudra faire preuve de motivation, de concentration et trouver le bon moment pour nous exprimer. Mais nous devrons avant tout prendre des points, c’est fondamental. » En cette semaine internationale, le groupe est réduit à l’entrainement. Comment gérez-vous cette situation ? « On travaille normalement, en continuant à donner le meilleur de nous-mêmes. Bien sûr, c’est un peu particulier comme situation, car le vestiaire est un peu vide ! Mais ce sont des semaines qui permettent de travailler physiquement, pour être à un niveau optimal vendredi. On doit donc être au top, puisque l’on sait que nos coéquipiers travaillent également de leurs côtés avec leurs sélections, pour eux aussi être à 100%. » Dans une semaine tout juste, Paris se déplacera à Valence. Que penses-tu de cette équipe qui vient de faire match nul contre le Barça ce week-end (1-1) ? « C’est une grande équipe, typiquement espagnole, qui met l’accent sur la possession de balle, avec des joueurs très à l’aise techniquement. Ils sont également très rapides et techniques devant. Mais je pense que les conditions sont réunies pour réaliser un bon match. Valence va nous mettre une très forte pression, on s’attend à avoir beaucoup de travail mais nous sommes prêts à les affronter et à remporter un face-à-face éliminatoire, qui s’annonce très spécial pour le club. » Y-a-t-il des joueurs que tu crains plus particulièrement dans cette équipe ? « Il y a beaucoup de très bons joueurs dans cette formation. Je pense à Ever Banega, un garçon très technique, qui donne beaucoup de rythme au jeu. Jonas et Roberto Soldado sont des attaquants qui marquent très régulièrement. Au milieu de terrain, je pense aussi à Andrés Guardado, qui est très vif et abat un travail défensif conséquent. De façon générale, je décrirais donc cette équipe comme rapide et technique, et nous devrons bien entendu nous en méfier. » Est-ce un match qui peut permettre d’établir le véritable niveau de Paris sur la scène européenne ? « Dans ce type d’oppositions à élimination, tout peut arriver. Le résultat dépend de beaucoup de choses. Nous avons réalisé une bonne entame en phase de groupes dans cette Champions League , avec de bons résultats et de belles prestations à l’arrivée. Nous arrivons à un stade de l’épreuve que le club n’a plus connu depuis un bon nombre d’années. Beaucoup de facteurs peuvent entrer en jeu sur une double confrontation, et l’histoire nous dira qui en sortira vainqueur. Mais nous donnerons bien évidemment le maximum. » LP/EC pour Psg.fr |
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06/02/2013 09:17
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Beckham pourrait en surprendre plus d’un Que vaut le footballeur David Beckham ? Cette question alimente les conversations depuis que l’Anglais, 38 ans le 2 mai, a signé au PSG, jeudi dernier. Des doutes existent sur son réel niveau physique. Sera-t-il compétitif et capable d’apporter un plus à son nouveau club ? « Oui, il apportera sa pierre à l’édifice, assure Pierre Barrieu, ancien préparateur physique de Beckham au Los Angeles Galaxy. Il y a toujours un point d’interrogation vu son âge. Mais la dernière fois que je l’ai vu à l’entraînement, en novembre dernier, il était performant. Selon moi, on ne pourra pas dire : Qu’est-ce que c’est que ce joueur ? Il n’y a pas de mauvaises surprises à attendre avec lui. Il sait ce qu’il peut apporter. Tout est réfléchi. Beckham est là pour le challenge sportif, il va vouloir marquer le PSG de son empreinte comme il l’a fait partout où il est passé en remportant des titres. » Concrètement, son recrutement intervient alors que le PSG s’est séparé dans les derniers jours du mercato hivernal de trois milieux axiaux (Sissoko, Bodmer et Rabiot). Leonardo n’en doute pas Le Spice Boy a évolué six ans aux Etats-Unis. Ceux qui l’ont côtoyé ou affronté pendant cette période sont unanimes et vantent son bon niveau physique. « Je ne le connais pas, mais il est de notoriété publique qu’il travaille très dur à l’entraînement pour garder une bonne forme, confie Cyril Moine, préparateur physique de l’Algérie et ancien du PSG. En vieillissant, il a perdu en puissance et en explosivité, mais il a gagné en endurance. Pour moi il n’aura aucun mal à répéter les efforts. Son rendement dépendra de sa position sur le terrain. S’il joue sur un côté ce sera plus difficile que s’il évolue milieu axial. A ce poste, il n’aura pas besoin de beaucoup courir d’autant qu’il jouera dans une équipe qui possède le ballon très souvent. Ça devrait donc bien se passer. » Pour appuyer encore un peu plus ses certitudes sur la valeur sportive de la star, Pierre Barrieu contredit certains clichés sur le niveau exact du championnat américain. « Si l’on compare avec la Ligue 1 actuelle, je dirai que le niveau moyen de la MLS équivaut au bas de classement. Après, il y a des clubs, comme le Los Angeles Galaxy, où évoluait Beckham, qui rivaliseraient avec les équipes de milieu de tableau, voire de la première moitié de la L1 », avoue ce Français qui a été entraîneur adjoint de l’équipe nationale américaine. Economiquement et en termes d’images, Beckham au PSG apparaît déjà à coup sûr comme un bon coup. Sportivement, il pourrait en étonner plus d’un. Leonardo n’en doute pas. Vendredi dernier, avant de quitter Toulouse, le directeur sportif brésilien a lancé aux journalistes : « Beckham sera une grande surprise pour vous. » Citation Il semble déjà très affûté… Qui a dit qu’à 37 ans David Beckham n’était plus au top de sa forme? Le nouveau milieu du PSG a publié hier sur les réseaux sociaux les premiers clichés de la nouvelle campagne H&M (photo) dont il est l’égérie. Bien que la date de ces prises de vue ne soit pas précisée et que les photos aient sans doute été retouchées, les joueurs parisiens devraient découvrir un Spice Boy très en forme dans une semaine pour son premier entraînement au camp des Loges. Citation Retour à l'entraînement pour Alex Touché au mollet depuis le 19 janvier, le défenseur brésilien Alex a retrouvé le chemin des terrains pour l'entraînement au Camp des Loges aujourd'hui mardi. Le joueur a déjà manqué trois rencontres de championnat face à Bordeaux, Lille et Toulouse et le 16e de finale de la Coupe de France encore contre Toulouse.. Le défenseur brésilien du Paris SG Alex a repris l'entraînement ce mardi après plus de deux semaines d'indisponibilité sur blessure, comme le confirme le site internet du club de la capitale. Les autres blessés, le défenseur et capitaine Thiago Silva et le milieu de terrain Thiago Motta sont toujours en convalescence. Ils ne devraient pas être disponibles vendredi pour la réception de Bastia en Ligue 1 (24e journée). Le Parisien.fr Citation PSG EXPRESS
Hier. Musculation, échauffement, ateliers de circulation et de conservation du ballon, combinaisons attaque-défense et opposition sur terrain réduit. Alex a repris avec le groupe et postule pour une place de titulaire contre Bastia. Aujourd’hui. Entraînement à huis clos à 11 heures, au camp des Loges. Infirmerie. Thiago Silva (cuisse), Thiago Motta (cuisse). Absents. Matuidi, Sakho et Ménez (équipe de France), Ibrahimovic, Verratti, Sirigu, Lavezzi, Lucas, Areola, Tiéné, Sissoko (sélections). Suspendu. Thiago Motta (contre Bastia). Rendez-vous. PSG - Bastia, vendredi 8 février, à 20 h 30, 24e journée de L 1. Siaka Tiéné fait bien partie de la liste des joueurs inscrits pour la seconde phase de Ligue des champions, tout comme Lucas et David Beckham. -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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06/02/2013 12:31
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Mamadou Sakho : « Je ne peux plus me permettre de faire des bouts de match en club »
Mamadou Sakho est le seul joueur de champ à avoir disputé tous les matchs des Bleus depuis l’arrivée de Didier Deschamps. Mais le jeune défenseur central (22 ans) sait que ce statut, en apparence favorable, pourrait vite s’éroder si son temps de jeu diminuait à nouveau avec le PSG. France - Allemagne, ça vous parle ? Mamadou Sakho. Pour ma génération, l’Allemagne, ce n’est pas une revanche (NDLR : de la demi-finale du Mondial 1982 à Séville). C’est juste une équipe presque tout le temps dans le dernier carré des grandes compétitions. Et Ribéry me parle souvent du Bayern en me disant à quel point c’est une chance de jouer là-bas. Vous êtes quasiment assuré d’être titulaire en bleu alors que votre statut au PSG est plus compliqué. Est-ce dur à vivre ? C’est une sensation agréable de sentir de la confiance quand tu portes le maillot de ton pays. C’est très fort. Concernant Paris, le truc, c’est que, de l’extérieur, les gens ont l’impression qu’au PSG je suis derrière Thiago Silva et Alex. Mais, dans ma tête, je ne suis pas un no 3, même si c’est mon numéro de maillot (sourire). Je ne le serai jamais. Je suis un joueur à part entière à Paris. Ensuite, il y a forcément des choix que je respecte, même si je ne les comprends pas forcément. Je ne doute pas de mes qualités. Jamais ! Elles n’ont pas disparu. Rater l’Euro 2012 pour avoir perdu votre place au PSG reste-t-il douloureux ? Plus maintenant. Cela m’a fait mal, je l’avoue, mais c’est du passé. Cela reste dans un petit coin de ma tête car je suis rancunier, mais cela ne sert à rien de ressasser le passé. Je ne veux plus revivre ça. Tout ce que je peux faire, c’est regarder devant. Au plus haut niveau, on n’a jamais le temps de s’apitoyer sur son sort. Il faut avancer. Là, je pense à tout faire pour jouer la prochaine Coupe du monde. Mais vous êtes pourtant le joueur de champ le plus utilisé par Didier Deschamps, alors que vous avez manqué l’Euro… Je ne viens pas de nulle part. J’avais quand même été souvent appelé avant de rater l’Euro. J’ai eu la chance de bénéficier d’entrée de la confiance de Didier Deschamps. Et, ensuite, comme cela ne va pas trop mal pour moi, je ne suis jugé que sur ce qui se passe sur le terrain. C’est agréable. Avez-vous l’impression que les Français portent un regard plus positif sur les Bleus désormais ? Ce qui est sûr, c’est que le nul en Espagne (1-1) nous a rapprochés de nos supporteurs. On en avait besoin. Avant, je sentais un peu plus de méfiance dans le regard des gens. Avec tout ce qui s’était passé avant, c’était un peu logique. C’est mieux d’être encouragés que d’être, disons, surveillés. Vous êtes ami avec Yann M’Vila. Qu’avez-vous pensé de sa sanction (privé de toute sélection jusqu’en mars 2014 pour une sortie nocturne avant un match des Espoirs) ? Tout le monde lui est tombé dessus au départ et, quand la sanction est arrivée, les gens ont trouvé ça trop lourd. Il a fait une bêtise et on en a longuement parlé en privé. Il en a pris conscience. Mais, là, on avait l’impression qu’il avait tué quelqu’un. D’un coup, il fallait faire un exemple avec lui. Comme si Yann devait payer pour tout le foot français. Résultat, il a reçu une punition très dure. Mais il reviendra un jour chez les Bleus car c’est un joueur exceptionnel. L’an prochain, pour jouer la Coupe du monde, seriez-vous prêt à quitter Paris pour être certain d’avoir du temps de jeu ? Cette question risque de se poser pour moi cet été et il est évident qu’il faudra que j’en discute avec mes dirigeants. Je ne peux plus me permettre de faire des bouts de matchs en club. S’il faut partir pour garder ma place en bleu, je le ferai; mais je vous promets que je ne prends pas la tête avec ça pour l’instant. Je ne pense qu’à être champion avec Paris. Le PSG a-t-il encore une identité parisienne aujourd’hui ? Tant que, Chantôme et moi, on sera là, l’identité restera. Je me sens toujours un ambassadeur du club. A chaque fois qu’un jeune monte chez les pros, je vais le conseiller. Je prends mon pied à chaque fois qu’un môme comme Ongenda ou Conte entre en jeu. Vous allez bientôt côtoyer David Beckham. Est-ce une surprise pour vous ? Oui. Pour moi, Beckham, c’est la génération énorme de Manchester avec Dwight Yorke et Andy Cole. C’est le premier footballeur fashion. Mais je sais déjà que ce sera avant tout un coéquipier. Et je suis sûr que je vais apprendre des choses avec lui. Le Parisien Propos recueillis par Christophe Bérard |
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06/02/2013 23:31
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#5269
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 53,524 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 60 Tribune : Canapé |
Citation PSG : Pour El Confidencial, Carlo Ancelotti est déjà condamné El Confidencial affirme que le départ de Carlo Ancelotti du PSG au Real Madrid, et son remplacement par José Mourinho sur le banc parisien, sont déjà acquis. L’information vient d’un quotidien considéré comme sérieux en Espagne. Pour El Confidencial, la situation de Carlo Ancelotti est très claire : l’Italien quittera la PSG à la fin de la saison et il le sait déjà. "Tamin Bin Hamad Al Thani veut un changement d’entraîneur. Il doute de l’ancien Milanais, et il l’a d’ores et déjà condamné depuis la perte du titre au profit de Montpellier l’an passé. Ancelotti est resté uniquement parce que les candidats possibles pour le poste ont dit non", affirme le média espagnol. José Felix Diaz, l’auteur de l’article, va même encore plus loin. Selon le journaliste du quotidien madrilène, Ancelotti et les joueurs du PSG considéreraient déjà comme acquis le fait que José Mourinho devienne le nouvel entraîneur de Paris la saison prochaine. El Confidencial annonce en effet que le cas du coach madrilène est lui aussi réglé : il quittera le Real le 30 juin. Les dirigeants du club merengue estiment que Mourinho est "fatigué", et que les distances prises par rapport à son équipe et son sentiment de persécution par rapport aux journalistes de la péninsule ajoutent à la certitude qu’il quittera la capitale espagnole à la fin de la saison d’après le quotidien. "La tenue des élections au mois de juin va accélérer le processus de recherche d’un successeur au Portugais", affirme aussi El Confidencial. Tout en précisant que seulement deux noms seraient sur la liste du président Florentino Pérez : celui d’Ancelotti, donc, et celui d’Arsène Wenger. Mourinho oui, Cristiano Ronaldo non Cependant, la piste menant au manager alsacien est mentionnée mais pas développée dans l’article. C’est tout l’inverse concernant Carlo Ancelotti. El Confidencial souligne que l’Italien a un profil "diamétralement opposé" à celui de José Mourinho, qu’il cherche particulièrement à éviter les conflits avec les joueurs et les dirigeants, qu’il n’impose pas ses recrues et qu’il ne met "jamais en avant son intérêt personnel au détriment de celui de l’équipe." José Felix Diaz rappelle que l’entraîneur du PSG a travaillé durant une dizaine d’années avec Silvio Berlusconi, "ce qui indique sa capacité à trouver des points d’accord avec un chef", et que la femme de l’Italien est espagnole. El Confidencial estime également que le transfert d’Ancelotti ne coûterait pas plus de 6 millions d’euros. Cette éventualité d’un "échange" des coaches entre le PSG et le Real Madrid n’est pas vraiment une nouveauté, les deux entraîneurs ayant même déjà été amenés à réagir sur ce sujet. Elle a déjà été évoquée dans les médias espagnols, qui n’ont pas oublié que Carlo Ancelotti était le deuxième choix de Florentino Pérez au moment où le président du Real a choisi de confier le banc de son équipe à José Mourinho. Cependant, aucun d’entre eux ne l’avait affirmé avec autant de certitudes jusqu’ici. Par ailleurs, José Félix Diaz paraît convaincu qu’une éventuelle arrivée de Mourinho au PSG ne serait pas accompagnée de celle de Cristiano Ronaldo. "Un transfert de Cristiano Ronaldo au PSG s’éloigne de jour en jour. Le président est convaincu que CR7 va finir par prolonger son contrat avec le Real, ce qui écarte toute opération concernant le Portugais", conclut-il dans son article. Eurosport.fr |
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07/02/2013 08:00
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Un nouveau sponsor dans les bagages de Beckham ? Cela pourrait être l’un des premiers effets commerciaux de l’arrivée de David Beckham à Paris. Un nouveau partenaire pourrait en effet s’engager prochainement avec le PSG. Il s’agit de Herbalife, une société américaine spécialisée dans les produits nutritionnels, qui a pour ambassadeur Lionel Messi et qui est le sponsor maillot des Los Angeles Galaxy, l’ancien club du Spice Boy. Beckham pourrait en surprendre plus d’unL’icône David Beckham débarque à Paris Avant même la signature de l’Anglais, les responsables du club de la capitale négociaient déjà avec la direction américaine de Herbalife, grâce à l’aide d’un cabinet de conseil basé aux Etats-Unis, Gallagher Sports. Nick Broad, l’ancien chef du projet performance du club parisien, décédé accidentellement il y a quelques semaines, militait pour ce partenariat et souhaitait associer son travail de diététique et d’analyse de la santé des joueurs aux compétences de cette société. Herbalife France, par la voix de son représentant communication Jean-Christophe Danchaud, assure ne pas être au courant de ce dossier et refuse de faire le moindre commentaire. Le Parisien Citation UIC : « La Ligue 1 commence à avoir un poids médiatique grâce au PSG »
L’Université Internationale de Catalogne a publié son rapport sur la « valeur médiatique » des clubs européens et des joueurs qui en font partie pour la première partie de saison 2012/2013. « La Ligue 1 commence à avoir un poids médiatique grâce au PSG et ses nouveaux joueurs, Pastore, Silva, Ibrahimovic, Lucas, et maintenant Beckham », peut-on lire dans ce rapport. Au classement « Merit » des valeurs médiatiques, le PSG fait son entrée dans le top10 avec une 9e place, au même niveau que Zlatan Ibrahimovic chez les joueurs. ![]() ![]() Le Classement "Merit" de l'UIC Si Ibrahimovic a généré au PSG une Zlatanmania, son poids médiatique par rapport à son club reste dans la moyenne chez les grandes stars qui est de 25%, avec un 24.7%. Radamel Falcao représente par exemple 40.9% du poids médiatique de l’Atletico Madrid. ![]() Dépendance médiatique à la star du club Par Marc Alvarez pour CS |
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07/02/2013 09:27
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation « On s’est quittés sur un malentendu » Depuis le 30 mai 2009, Jérôme Rothen n’a pas refoulé la pelouse du Parc des Princes. Ce soir-là, face à Monaco (0-0), le Parisien, arrivé au club en 2004, avait été remplacé à la 57e minute sous les sifflets du public. Demain, le milieu de terrain et capitaine de Bastia (34 ans) retrouvera ce stade qu’il adore. Un moment chargé d’émotion pour celui qui a perdu, en début de semaine, son grand-père, à l’origine de sa découverte de l’enceinte de la porte d’Auteuil. « VOILÀ, ON Y EST. Dans quelques heures, vous allez retrouver le Parc des Princes. – S’il y avait une date qui me tenait à coeur, c’était celle-là. Dès que le calendrier de la Ligue 1 a été dévoilé, j’ai aussitôt regardé. Maintenant, j’y suis. – Avez-vous le trac ? – Oui, je prépare ce match comme un grand match de Ligue des champions. Depuis la fin de la rencontre contre l’Évian-TG ( 0-0, samedi), je n’arrête pas d’y penser. De plus, en début de semaine, j’ai perdu mon grand-père qui m’emmenait au Parc quand j’étais gamin. J’aurais aimé qu’il voit ce match. Ce sera encore plus fort, je jouerai pour lui. – Qu’est-ce qui vous excite le plus : jouer au Parc des Princes ou contre le PSG ? – C’est jouer au Parc, revenir dans un stade que j’ai fréquenté pendant plus de cinq ans (2004-2009). – Qu’aimez-vous dans ce stade ? – C’est le stade où j’ai le plus de souvenirs. Je suis parisien. (Il est né à Châtenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine.) Gamin, je venais avec mon père, mon grand-père. Dès que je suis devenu professionnel, j’ai rêvé d’y jouer. J’aime la configuration du stade, il est fermé, le bruit reste. C’est encore le plus beau en France. Les gens sont proches de la pelouse. Et être au milieu de ce terrain, avec ce monde, c’est un truc énorme. Après, il y a tout ce que j’ai pu partager avec mes potes et les supporters. – Pourtant, ce fut compliqué avec eux… – Je ne vais pas garder comme seul souvenir mon dernier match avec le PSG, c’était contre Monaco. J’étais sorti sous les sifflets. Je m’en souviens bien. Les dirigeants de l’époque (1) avaient raconté que certains joueurs avaient lâché, souhaitaient partir, dont moi. C’était complètement faux. Mais, quand on dit ça à un supporter, il n’a pas envie d’applaudir son joueur. – De quels dirigeants parlez-vous ? – En résiliant mon contrat (2), j’ai accepté de respecter un droit de réserve. Ces dirigeants sont partis et le club a changé. Car, avec eux, il stagnait et je n’étais pas là pour stagner. Les dirigeants manquaient d’ambition. – À quel accueil vous attendez-vous ? – J’y ai déjà pensé, j’espère juste que l’accueil… Enfin, je ne m’attends pas à ce que mon nom soit scandé. Le public ne va pas m’acclamer, j’espère que je serai simplement respecté et que les sifflets lors de mon dernier match seront oubliés. – Vous parlez beaucoup de ce dernier match. – On s’est quittés sur un malentendu. Avec du recul, je ne méritais pas cette sortie. Je crois que le public m’a apprécié durant mes années parisiennes. Pourquoi tu siffles un ancien joueur ? Parce qu’il a triché envers le club ? Ça n’a jamais été mon cas. Parce qu’un mec n’a jamais été performant ? Ça n’a jamais été mon cas. Parce que le mec a profité d’une offre mirobolante d’un autre club pour partir ? Ça n’a pas été mon cas. Je n’ai jamais triché. Je suis amoureux de ce club. « Beckham ? Ç’a toujours été un exemple (…) J’avais un peu les mêmes caractéristiques » – Quand vous voyez que Sylvain Armand, arrivé en même temps que vous au club, et Zoumana Camara, arrivé en 2007, sont encore au PSG… Avez-vous des regrets ? – Non, aucun. Je n’ai pas les boules. Chaque histoire est différente. Quand je suis arrivé au PSG, j’avais un but, c’était de gagner le titre… Cela ne servait à rien de mentir aux supporters, de vendre du rêve, de parler de titre alors qu’on ne se donnait pas les moyens. Et la dernière année, même si on finit loin (6es de L 1), à onze journées du terme on est deuxièmes du Championnat à un point de Lyon. Et là, on apprend que Paul Le Guen, pour des raisons obscures, n’est pas conservé. Cela m’a choqué. L’entraîneur avait pourtant fait un boulot remarquable et fait progresser le club… Là, tu te dis qu’il n’y aura aucune stabilité et que ce n’est pas la peine de continuer avec ces gens-là. – Y a-t-il encore de la colère, de l’incompréhension en vous ? – De l’incompréhension, non, car j’ai tout compris. Je ne vous dis pas que je suis le mec le plus intelligent de France, mais j’avais compris que la stratégie de la direction n’était pas bonne. Mais j’ai adoré jouer dans ce club même quand on a galéré, qu’on a joué le maintien lors des dernières journées du Championnat (en 2007-2008, notamment quand le PSG avait terminé 16e)… – David Beckham, l’un de vos joueurs préférés, qui s’est engagé jusqu’à la fin de la saison avec le Paris- SG, ne sera pas là demain (3). – Beckham, c’est… J’ai joué contre lui, la première fois en 1998, quand j’étais à Caen. Lui préparait la Coupe du monde en France. Pour moi, il a toujours été un exemple. Il jouait à droite, moi à gauche. Sa qualité de centre était remarquable. C’était mon point fort aussi. J’avais un peu les mêmes caractéristiques : ce n’est pas un dribbleur de folie, ce n’est pas un joueur qui jouait sur sa vitesse. J’ai eu la chance de jouer contre lui avec Monaco et l’équipe de France. (Il compte 13 sélections, 1 but.) À chaque fois, j’ai croisé un grand joueur, un grand homme. Quand j’étais à Monaco (2002-2004), je me souviens d’articles dans lesquels les journalistes me comparaient à Beckham, oui, le Beckham français ! (Il rigole.) – Quelle a été votre réaction quand on a annoncé son arrivée au PSG jeudi dernier ? – Je me suis dit pourquoi pas moi, je suis plus jeune que lui… Non je rigole ! Je ne vais pas parler de l’aspect marketing. Je trouve ça beau que l’on fasse confiance à un joueur de trente-sept ans, parce que beaucoup de gens pensent qu’après trente ans c’est fini. Sa présence fera progresser le PSG… Dans le Championnat, je ne vois pas un mec qui possède sa qualité de passes, qui lui arrive à la cheville. – À quoi vous attendez- vous demain ? À courir, à une lourde défaite ? – Un exploit est toujours possible. Certaines équipes ont réussi à perturber le PSG. Il faudra être exemplaire, ne pas commettre la moindre faute, technique et tactique. Et même en faisant ça, ça peut ne pas suffire. Mais, moi, je ne m’avoue pas vaincu. Ce match me tient à coeur. Je n’ai pas envie de passer à côté. Qu’est-ce que c’est bon de préparer ce genre de rencontre ! » GUILLAUME DUFY (1) En mai 2009, le club était présidé par Sébastien Bazin, qui avait succédé, en février, à Charles Villeneuve, avec lequel Jérôme Rothen avait eu un contentieux (voir L’Équipe du 22 septembre 2012). (2) Après des prêts en Écosse (Glasgow Rangers) puis en Turquie (Ankaragücü), Rothen revient au PSG, où il lui reste un an de contrat, à l’été 2010. Mais le club ne veut pas le réintégrer au groupe pro. Après deux mois de conflit, il trouve un accord à l’amiable pour résilier son contrat le 19 octobre 2010. (3) La star anglaise doit rejoindre ses nouveaux coéquipiers pour le huitième de finale aller de Ligue des champions à Valence qu’il ne jouera pas mais auquel il assistera. Citation Lucas s’adapte, même si Ibra râle EN MARGE D’ANGLETERRE-BRÉSIL, Lucas a expliqué qu’il était toujours en phase d’acclimatation au PSG. « Je suis encore en train de m’adapter au football européen, a confié le milieu de terrain brésilien du PSG. Je joue au même poste qu’à Sao Paulo mais en France, la difficulté, c’est qu’il faut jouer de manière plus tactique, être plus concentré et appliqué. Tout le monde doit marquer et courir. Le jeu est plus rapide. C’est un peu difficile car je ne suis pas habitué à cela mais je m’y fais tout doucement. » Lucas, déjà titularisé à trois reprises en L 1 (3 passes décisives), s’est par ailleurs déclaré agréablement surpris par Zlatan Ibrahimovic. « Mon premier contact avec lui a été très positif, à l’opposé de ce que me disaient les gens sur lui, a apprécié le Brésilien. Il est très chambreur mais il m’apporte aussi son soutien et son aide. Sur le terrain, il râle beaucoup et demande beaucoup à ses coéquipiers mais c’est quelque chose de normal. » Hier, le groupe parisien, sans ses neuf internationaux, a privilégié des petits jeux et la musculation. Alors qu’Alex a réintégré les séances collectives mardi, Thiago Silva et Thiago Motta (cuisse) poursuivent toujours leur programme individuel de reprise. Ils ne devraient pas figurer dans le groupe face à Bastia, demain. – A. C., E. F. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
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07/02/2013 11:06
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,536 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation PSG : un nouveau sponsor dans les bagages de Beckham ? Cela pourrait être l’un des premiers effets commerciaux de l’arrivée de David Beckham à Paris. Un nouveau partenaire pourrait en effet s’engager prochainement avec le PSG. Il s’agit de Herbalife, une société américaine spécialisée dans les produits nutritionnels, qui a pour ambassadeur Lionel Messi et qui est le sponsor maillot des Los Angeles Galaxy, l’ancien club du Spice Boy. Avant même la signature de l’Anglais, les responsables du club de la capitale négociaient déjà avec la direction américaine de Herbalife, grâce à l’aide d’un cabinet de conseil basé aux Etats-Unis, Gallagher Sports. Nick Broad, l’ancien chef du projet performance du club parisien, décédé accidentellement il y a quelques semaines, militait pour ce partenariat et souhaitait associer son travail de diététique et d’analyse de la santé des joueurs aux compétences de cette société. Herbalife France, par la voix de son représentant communication Jean-Christophe Danchaud, assure ne pas être au courant de ce dossier et refuse de faire le moindre commentaire. Leparisien.fr |
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07/02/2013 12:15
Message
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Beckham : un montage fiscal et financier unique "On a conclu quelque chose d'unique avec le PSG", annonçait David Beckham lors de sa conférence de presse, jeudi... Un montage effectivement inédit sur le plan financier et fiscal qui permettra à la star anglaise de lâcher au fisc français un minimum d'euros. . Beckham est-il résident fiscal français ? C'est clair, et à ce titre la conférence de presse de la recrue du PSG fut honnête puisque tout y fut mis sur la table: tout est fait pour éviter à David Beckham de basculer dans le statut peu avantageux de résident fiscal français. "Il faut au moins remplir l'un des quatre critères suivants pour être résident français", détaille Marie-Josée Aregui, avocate fiscaliste spécialisée dans le droit du sport: "que le foyer fiscal soit en France, qu'il y réside pendant au moins 183 jours (six mois), que le centre de ses intérêts économiques soit en France", trois premières conditions que Beckham ne remplit pas, "et qu'il y ait son activité professionnelle principale et à temps complet et non accessoire". C'est ce dernier point qui est sujet à débat. . Sur quoi sera-t-il imposable ? Si David Beckham ne perçoit que le minimum syndical dû à tout footballeur professionnel, soit 2200 euros, il ne sera taxé par le fisc que sur cette somme ainsi que sur le prorata des produits dérivés vendus par le club sur son nom, selon une part négociée par un contrat parallèle. "En aucun cas il ne peut être taxé sur ses revenus mondiaux s'il n'est pas résident fiscal français", note Me Aregui. . Que peut faire le fisc français ? Bercy peut jouer sur le seul critère litigieux en tentant de démontrer que son emploi au PSG est, du moins durant cinq mois, son activité principale malgré la modicité de son salaire et que le joueur est donc résident fiscal. Afin de requalifier une partie de ses autres revenus, l'administration fiscale doit déclencher un contrôle fiscal. Comme c'est au contribuable de prouver sa bonne foi, ce serait alors à David Beckham de faire une réclamation et le cas échéant de saisir le tribunal administratif. Le fisc français peut également éplucher les contrats d'image -sur lesquels ni Beckham ni le PSG n'ont communiqué- afin d'y rechercher une rémunération déguisée . Quid des 800.000 euros de salaire reversés à des associations caritatives ? Ils échappent totalement à Beckham, et à sa feuille d'impôt, puisqu'ils seront reversés directement par le club à des associations caritatives. Le PSG pourra le cas échéant en déduire une partie de ses impôts selon une procédure très encadrée. Et plafonnée. . Et d'une éventuelle rémunération versée directement par QSI ? Si tel était le cas, un avantage en nature ou financier versé directement par le Qatar à un Beckham devenu son ambassadeur ès football serait taxable dans son pays de résidence fiscale, soit aujourd'hui l'Angleterre. . Quel contrat d'image ? La question titille Maître Didier Poulmaire, avocat spécialisé dans la gestion de l'image des sportifs. "Ce qui m'étonne, c'est que l'on dispose aujourd'hui d'outils très pointus et innovants qui ne nécessitent pas le recours à toutes ces circonvolutions", explique le conseil de Yoann Gourcuff. "On dispose en effet de schémas juridiques efficaces qui permettent d'exploiter l'image individuelle des sportifs par un transfert de la propriété des droits à l'image à un tiers spécialisé, sans que cela puisse être remis en question a posteriori par l'administration. Cela se fait beaucoup en Angleterre et en Espagne, pas en France car les schémas d'exploitation utilisés par le passé étaient souvent artificiels et presque systématiquement remis en question par les juges. En tout cas, si ce n'était pas le cas, ce serait bien la première fois qu'un club de ce niveau fait signer un tel joueur sans négocier l'acquisition de droits spécifiques d'exploitation de son image". Sachant que les revenus tirés de la stricte exploitation du droit à l'image individuel ne sont pas assujetis aux charges sociales, il parait en effet probable qu'un tel accord existe entre les deux parties. "En tout cas, cela pourrait donner à l'administration fiscale l'envie d'aller voir. Sachant que la jurisprudence est abondante en matière de contrats d'image, notamment lorsque la rémunération de l'exploitation de l'image est significative par rapport au salaire, le fisc français va probablement chercher là du grain à moudre. Par Françoise CHAPTAL | AFP |
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07/02/2013 15:11
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#5274
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Beckham s'entraîne... à Londres David Beckham, qui s'est engagé avec le PSG jeudi dernier, n’a toujours pas rejoint ses partenaires. Le milieu anglais s’entraîne bien sous les couleurs du club, mais il le fait à Londres, où vivent sa femme et ses enfants, en attendant sa venue à Paris. Citation T. Silva de retour dans 10 jours Touché le 11 janvier contre Ajaccio (0-0), Thiago Silva (lésion du biceps fémoral gauche) sera de retour «dans dix à quinze jours», a déclaré Carlo Ancelotti jeudi en conférence de presse. «Sa récupération prend un temps normal», a-t-il rajouté. Quant à Thiago Motta, touché contre Lille (1-0), «il travaille individuellement jusqu’à vendredi et va essayer de s’entraîner avec le reste de l’équipe samedi». Ancelotti espère récupérer son milieu italien pour la rencontre de Ligue des champions mardi contre Valence, mais il «n’en est pas sûr» Citation Beckham à Paris la semaine prochaine «David Beckham travaille jusqu’à vendredi à Londres avec deux préparateurs physiques», a expliqué Carlo Ancelotti jeudi en conférence de presse. «Il a un problème personnel qui l'a contraint à rester à Londres», a poursuivi l’Italien. Le milieu anglais sera à Paris la semaine prochaine. Selon Ancelotti, «Beckham a besoin de deux semaines de travail. Il termine la première. Il fera sa deuxième avec nous. Il sera peut-être disponible contre Sochaux ou la semaine d’après. C’est possible qu’il joue à Sochaux». En revanche, le milieu anglais ne sera pas en tribune vendredi, pour la réception de Bastia. «Il va peut-être venir avec nous à Valence», a précisé l’entraîneur du PSG. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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07/02/2013 15:24
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Verratti : «Je suis bien ici» A Paris depuis six mois, Marco Verratti a avoué mercredi soir qu'un retour en Italie pouvait le tenter. «Mais dans le futur, le plus loin possible», a-t-il précisé jeudi en conférence de presse. Sans doute une erreur de jeunesse. Mercredi soir, après le nul arraché par l'Italie aux Pays-Bas (1-1) grâce à son but, Marco Verratti a déclaré qu’il «pourrait retourner en Italie». Une phrase sur laquelle il est revenu ce jeudi en conférence de presse : «Je n’ai pas dit ça exactement. Je suis très bien à Paris, j’ai fait ce choix alors que des clubs de Serie A étaient intéressés l’été dernier. Je suis fier et je prends du plaisir à jouer avec les Lavezzi, Ibrahimovic, Thiago Silva et les autres. Mais dans le futur, le plus loin possible, c’est clair que ça pourrait se passer car je suis Italien. Les jeunes joueurs ont plus de chance de jouer maintenant avec la crise économique. Hier, nous étions même cinq ou six aux alentours de la vingtaine dans l’équipe d’Italie.» «Nous sommes très contents de l'avoir avec nous. C'est un joueur du PSG pour beaucoup de temps»Quelques minutes plus tôt, Carlo Ancelotti a également rappelé que le PSG comptait sur son jeune milieu de terrain de 20 ans. «Verratti a un contrat ici. Nous sommes très contents de l'avoir avec nous. C'est un joueur du PSG pour beaucoup de temps», a souligné le coach parisien. S’il a été titularisé vendredi dernier à Toulouse, l’Italien a peu à peu perdu sa place de titulaire depuis le retour de Thiago Motta. Ce qui ne pose aucun problème à Verratti : «Tout le monde a le droit de jouer. Si je ne suis pas dans l’équipe, ça part d’une idée réfléchie de la part du coach. Et quand je joue, c’est à moi de prouver. Il y a une concurrence saine puisque tout le monde joue. Moi par exemple, j’ai déjà joué au-delà de mes attentes.» Il postule pour Bastia Avec l’arrivée retentissante de David Beckham, le temps de jeu de Verratti risque encore de diminuer. Lui voit plutôt l’Anglais comme un exemple et non comme un nouveau concurrent : «C’est un honneur de pouvoir jouer avec lui. Je suis très content qu’il soit ici. Il a énormément d’expérience et ça ne peut qu’être un exemple pour nous les jeunes.» En attendant que Beckham rejoigne ses nouveaux partenaires à Paris, Verratti aura encore quelques séances d'entraînement pour se montrer. «C'est le joueur qui montre le plus d'attitude à l'entraînement qui jouera», a rappelé Ancelotti. Verratti peut-il postuler malgré son match avec l'Italie mercredi ? «Certainement, je n'ai joué que 30 minutes. C’était un bon entraînement pour moi et il en reste un aujourd’hui. Je serais prêt et je me tiens à disposition de l’équipe pour demain.» A.M. pour l'Equipe.fr |
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07/02/2013 17:17
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation CARLO ANCELOTTI : « METTRE LA PRESSION »
A la veille de retrouver la Ligue 1 en leader, ce vendredi au Parc face à Bastia, Carlo Ancelotti a clairement affiché les ambitions parisiennes. Un discours relayé dans la foulée par Marco Verratti, auteur de son premier but en sélection ce mercredi. Temps forts. Coach, est-il compliqué de préparer ce match face à Bastia, qui se déroule deux jours seulement après les matches internationaux ? « Oui car, naturellement, nous n’avons pas le temps de travailler collectivement puisque nous venons de récupérer tous nos joueurs ce jeudi. Un joueur comme Sakho, qui a joué quatre-vingt-dix minutes avec la France mercredi (défaite 2-1 contre l’Allemagne au Stade de France), sera au repos ce week-end. C’est un match très important car nous pouvons mettre la pression sur le deuxième (Lyon, qui compte trois points de retard), il faudra être prêts mentalement et physiquement. Les joueurs qui étaient ici cette semaine seront privilégiés pour le match de ce week-end. Alex est de retour en charnière centrale. Il jouera avec Armand ou Camara. » Ce match constitue-t-il un tournant ? « Je dirais que c’est un moment très important, car nous sommes sur une belle série en championnat. Être six points devant ce vendredi soir serait idéal pour préparer le déplacement à Valence, mardi. L’équipe est en bonne condition, nous sommes prêts et il faudra l’emporter, pour la confiance. » Quelle équipe alignerez-vous ce vendredi ? « Je mettrai en place une équipe compétitive. Chantôme, Pastore, Jallet et les autres ont bien travaillé cette semaine. Il faudra gagner. Tout le monde sait que c’est essentiel de gagner et de continuer notre belle dynamique. Ceux qui ont joué quarante-cinq minutes en sélection pourront entre utilisés sans problème. » Comment la préparation de David Beckham se déroule-t-elle ? « Il a fait un très bon travail individualisé ces derniers jours, à Londres. Il travaille là-bas jusqu’à vendredi et au retour de Valence, il travaillera ici, avec nous, au Camp des Loges. Deux préparateurs physiques du staff sont là-bas car il devait rester à Londres pour des raisons personnelles. Il a besoin de deux semaines de travail pour être prêt physiquement. Peut-être qu’il sera disponible contre Sochaux, ou la semaine d’après. » PSG.fr |
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08/02/2013 09:54
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation PSG: Salvatore Sirigu a encore du chemin Salvatore Sirigu peut devenir le dauphin de Gaétan Huard en matière d'invincibilité en L1, s'il ne prend pas de but face à Bastia ce soir (20h30). Mais le gardien du PSG n'est même pas encore dans le Top 100 mondial en la matière. LIGUE 1: SIRIGU DAUPHIN DE HUARD DES VENDREDI? Après le match à Toulouse la semaine dernière, Salvatore Sirigu a porté son invincibilité en Ligue 1 à 866 minutes. Il n'a plus encaissé le moindre but depuis le 17 novembre et la défaite du PSG au Parc face à Rennes (1-2). Sa série le place d'ores et déjà à la cinquième place dans l'histoire du Championnat de France. Gaétan Huard est encore très loin devant avec ses 1176 minutes. Il manque donc 310 minutes (soit un peu plus de trois matches) à l'Italien pour égaler l'ancien gardien des Girondins de Bordeaux. Mais dès vendredi soir, le cerbère parisien pourrait s'installer à la deuxième place derrière Huard dans la hiérarchie. Si Bastia ne marque pas lors des 35 premières minutes de la rencontre au Parc, Sirigu dépassera en effet d'un coup Bruno Martini, Joseph-Antoine Bell et Jean-Luc Ettori, qui se tiennent en 22 minutes. Curieusement, trois des quatre plus longues séries d'invincibilité datent de la même saison, en 1992-93: celles de Huard, Ettori et Bell, et quasiment aux mêmes périodes (de novembre à février pour Ettori et Bell, de décembre à avril pour Huard). Monaco (Ettori), Bordeaux (Huard) et Saint-Etienne (Bell) avaient terminé la saison respectivement aux 3e, 4e et 7e places, avec les trois meilleures défenses de L1. ![]() MONDE: SIRIGU AUX PORTES DU… TOP 100 Si Salvatore Sirigu est déjà bien installé dans le palmarès de la Ligue 1 avec ses 866 minutes, elles ne pèsent pas encore grand-chose au regard de l'histoire du football. Il ne figure même pas dans la liste des 100 plus longues séries d'invincibilité au niveau planétaire. Il est pour l'heure au 118e rang, à près de 1000 minutes du record absolu, détenu depuis 35 ans par Mazaropi. Avec le Vasco de Gama, le Brésilien avait gardé sa cage inviolée pendant plus de vingt rencontres. Il est intouchable. Le deuxième de classement, le Koweitien Al Khalidi, s'est arrêté à 1435 minutes la saison dernière. Au total, 54 gardiens ont réussi à passer dans un championnat le cap des 1000 minutes. Dans cette liste, beaucoup de portiers totalement inconnus, issus de "petits" championnats. Parmi les noms les plus ronflants, on retrouve Edwin Van der Sar (Manchester United, 2009), Vitor Baia (Porto, 1992), Petr Cech (Chelsea, 2004-2005) ou Shoubeir (Le Caire, 1994-95), l'ancienne légende de l'équipe d'Egypte. Si Salvatore Sirigu ne prend pas de but vendredi, il se hissera aux alentours de la 70e place. ![]() GRANDS CHAMPIONNATS: VAN DER SAR, LE NUMERO UN Il est assez rare de dépasser le cap des 1000 minutes d'invincibilité dans un championnat majeur. Si l'on prend en compte les cinq principales ligues européennes (Angleterre, Espagne, Italie, Allemagne et France), seulement quatre gardiens de but ont franchi cette barre. Petr Cech (1025 minutes), Gaétan Huard (1176), l'ancien portier de l'Atletico Madrid "El Gato" Abel (1275 minutes en 1990-91) et Edwin Van der Sar. Le Néerlandais est resté invaincu pendant 1311 minutes entre le 8 novembre 2008 et le 4 mars 2009, ce qui le situe à la 7e place dans l'histoire. En Italie, le record est détenu par Sebastiano Rossi. Le dernier rempart de l'AC Milan au début des années 90, bien calé derrière sa défense de fer (Tassoti, Baresi, Maldini, Costacurta) avait tenu 929 minutes lors de la saison 1993-94. Enfin, en Bundesliga, la performance de référence est à mettre au crédit de Timo Hildebrand (885 minutes avec Stuttgart en 2003), mais à cheval sur deux saisons. Au cours d'une même saison, personne n'a fait mieux qu'Olivier Kahn avec le Bayern (803 minutes). Si on élargit aux autres championnats du Vieux Continent, le "record d'Europe" est détenu par le Belge Danny Verlinden: 1390 minutes avec le FC Bruges en 1990. ![]() Eurosport Citation Ligue 1: Le PSG est largement favori face à Bastia Bastia se fait tout petit avant de défier le PSG (20h30). Mais à Paris, le déplacement à Valence est déjà ancré dans les esprits. Une chance pour le SCB ? Carlo Ancelotti l'a assuré, il n'y a "aucun risque" que le Paris Saint-Germain ait déjà la tête au huitième de finale aller de la Ligue des champions que le club de la capitale jouera mardi à Valence. Doit-on le croire pour autant ? Le résultat du match aller à Bastia (0-4), l'écart de niveau et la confiance engrangée depuis le succès à Bordeaux (0-1) puis démultipliée par le carton à Toulouse (0-4) vendredi dernier sont autant d'armes à double tranchant pour le club de la capitale. Face à une formation corse qui prépare ce déplacement "comme un match de coupe", dixit Wahbi Khazri, les Rouge et Bleu restent sur leurs gardes. Malgré tout, on voit mal comment le PSG pourrait commettre un faux pas devant son public. D'autant plus que les partenaires de Zlatan Ibrahimovic ont déjà prouvé que l'excès de confiance n'était pas forcément un problème. Cela donne des prestations à la limite du décevant parfois, mais la victoire est généralement au bout. Avec le temps de jeu accumulé par les internationaux en milieu de semaine, le Paris Saint-Germain devrait jouer à l'économie, plier l'affaire sur des coups de collier çà et là, puis s'imposer tranquillement pour rester sur sa bonne dynamique avant le périlleux déplacement à Valence. C'est en tout cas l'ordre des choses dicté par le PSG depuis qu'il se comporte en patron du championnat. LA STAT' : 8 Comme le nombre de victoires consécutives à domicile du Paris Saint-Germain contre des clubs promus. La dernière formation tout juste arrivée dans l'élite à ne pas avoir perdu dans l'enceinte de la Porte d'Auteuil est Montpellier, qui l'avait même emporté 3-1 le 15 mai 2010. Bastia espère un miracle pour ne pas être le n°9 de cette série. Mais comme le Sporting n'a jamais gagné au Parc des Princes en 24 matches... LA DÉCLA : Jérôme Rothen, milieu de terrain de Bastia et ancien joueur du PSG (2004-2009), dans L'Equipe : "Je prépare cette rencontre comme un grand match de Ligue des champions. Depuis la fin de la rencontre contre Evian, je n'arrête pas d'y penser. S'il y avait une date qui me tenait à coeur, c'était celle-là. Dès que le calendrier de la Ligue 1 a été dévoilé, j'ai aussitôt regardé." LES COMPOSITIONS PROBABLES : Si Bastia peut compter sur presque tous ses éléments, Carlo Ancelotti doit jongler entre blessures, suspensions et désir de faire souffler ses internationaux. Thiago Silva étant blessé depuis la réception d'Ajaccio (0-0) et Mamadou Sakho étant préservé pour le match contre Valence, le technicien italien doit composer sa charnière centrale avec Alex, Sylvain Armand ou Zoumana Camara. Il a néanmoins prévenu en conférence de presse que les joueurs restés au Camp des Loges cette semaine seraient privilégiés. On peut donc s'attendre à voir Clément Chantôme débuter à la place de Marco Verratti, sauveur de l'Italie aux Pays-Bas (1-1), en l'absence de Thiago Motta. En attaque, Zlatan Ibrahimovic, Jérémy Ménez, Lucas, Javier Pastore et Ezequiel Lavezzi sont frais. ![]() Citation Carlo Ancelotti (PSG) : "Aucun risque que le Paris SG ait la tête à Valence" Alors que le PSG reçoit Bastia vendredi soir, son entraîneur Carlo Ancelotti, a assuré qu'il n'y avait aucun risque que son équipe ait la tête à Valence, cinq jours avant le déplacement en Espagne en 8e de finale aller de la Ligue des champions. Carlo Ancelotti, dans sa préparation du match, le PSG a-t-il été perturbé par la trêve internationale ? C.A : Oui c'est compliqué. On n'a pas le temps de récupérer tous les joueurs. Le temps manque mais il faut rester concentré. On doit gagner pour prendre des points sur le deuxième. Les joueurs qui sont restés ici pour travailler seront privilégiés pour le match de vendredi. En voulez-vous à Deschamps d'avoir utilisé Sakho 90 minutes et pas 45 avec les Bleus ? C.A : J'ai parlé avec Didier, il n'y a pas de problème. C'est bien qu'il ait joué 90 minutes. Il va récupérer demain et il sera prêt pour Valence. Alex est disponible, donc avec Camara et Armand il n'y a pas de problème. Le problème, ce ne sont pas les matches internationaux, c'est de devoir jouer deux jours après. Faut-il redouter ce match en apparence facile contre Bastia après les matches internationaux et avant un déplacement en Ligue des champions ? C.A : Demain (vendredi, NDLR) on sera compétitif. Beaucoup de joueurs ont travaillé ici, comme Pastore, Jallet, Chantôme, Van der Wiel... Il n'y a pas de risque qu'on ait la tête à Valence. Tout le monde sait que c'est important de gagner contre Bastia. Il faut prendre des points. On est à un moment très important je pense. Demain, on peut être à six points devant, ce serait très bien pour préparer Valence. Et puis il y aura la C1, la coupe contre Marseille... Mais l'équipe est prête et en confiance. Comment jugez-vous le comportement de votre défense en l'absence de Thiago Silva ? C.A : Thiago Silva est très important. Mais depuis qu'il n'est pas là, les autres ont très bien fait. Alors peut-être que ça ne sera pas gênant de ne pas l'avoir contre Valence. Demain (vendredi, NDLR), ça sera Alex, avec Armand ou Camara. Qu'avez-vous pensé des déclarations de Sakho qui aimerait jouer plus ? C.A : Sa saison est très positive. Je pense qu'il a compris comment gérer la concurrence. Quelquefois, il n'a pas joué mais il n'a pas perdu confiance et quand il a joué il a été très bon. Ca a été un très bon exemple pour les autres. Il s'est beaucoup amélioré, il est très solide. Il s'est amélioré tactiquement et techniquement. Question concurrence, Ménez doit-il aussi s'inquiéter sur son rôle ? C.A : Lucas a joué trois-quatre matches. Quelquefois, Ménez a joué, d'autres fois Pastore. C'est comme pour Sakho, il y a plus de concurrence avec Lucas et il y en aura encore plus avec Beckham. La première partie de saison de Ménez a été très bonne, même s'il n'a pas marqué beaucoup. J'espère qu'il va continuer. Ménez s'entend bien avec Ibra, qui peut reculer pendant que Ménez prend la profondeur. Ca marche bien, comme avec Lavezzi et Gameiro. Verratti vient juste d'indiquer qu'un retour en Italie pouvait le tenter... C.A : S'il veut retourner en Italie, il peut le demander. Non, je pense qu'il a un peu plaisanté. Il a un contrat, il est content ici, on est content de l'avoir. Il va rester longtemps ici. Verratti est N.1, comme Beckham, Motta et les autres. Joueront ceux qui ont montré qu'ils pouvaient jouer. Ca se passe à l'entraînement, je déciderai comme ça. J'au vu qu'il avait marqué un beau but pour l'Italie. C'est bien. Eurosport avec l'AFP Citation PSG: Les débuts de David Beckham face à Sochaux ? David Beckham pourrait faire sa première apparition dans le groupe du PSG à l'occasion du match de Ligue 1 du 17 février à Sochaux. La date des grands débuts de David Beckham sous le maillot du PSG se précise. Interrogé au sujet du milieu de terrain anglais, engagé lors de la dernière journée du mercato, Carlo Ancelotti a annoncé qu'il pourrait jouer face à Socheux le 17 février, lors de la 25e journée de Ligue 1. "Il a besoin de deux semaines de travail. Il sera peut-être disponible contre Sochaux ou la semaine suivante. Il n'y a pas de problème particulier, seulement améliorer la condition physique", a déclaré le technicien italien. "Sochaux c'est possible, oui", a-t-il répété en réponse à une deuxième question sur le sujet. Ancelotti a ensuite confirmé que l'Anglais participerait mercredi prochain à sa première séance d'entraînement avec le groupe, au Camp des Loges, au lendemain du match de Ligue des champions à Valence. "Il a fait du très bon travail (à Londres, ndlr) et il va continuer jusqu'à vendredi. La semaine prochaine, au retour de Valence, il sera avec nous", a-t-il conclu. Actuellement à Londres pour peaufiner sa condition physique avant de reprendre avec le PSG, Beckham reviendrait à un moment clé de la saison du club si son retour face à Sochaux se confirmait. Une semaine plus tard, le dimanche 24 Paris affrontera en effet Marseille au Parc des Princes pour l'un des chocs de la saison de Ligue 1, avant de retrouver l'OM trois jours plus tard en 8e de finale de la Coupe de France. Et après avoir joué Reims en championnat le 2 mars, le PSG retrouvera Valence le 6 mars au Parc en huitième de finale retour de la Ligue des champions, compétition pour laquelle Beckham est qualifié. Eurosport - V.B. (avec AFP) Citation Maxwell, la gauche silencieuse Arrivé dans l'anonymat en janvier 2012, le Brésilien s'est tranquillement installé dans son couloir gauche, entre buts et caviars, pour en devenir le titulaire indiscutable. Celui qu'on a trop longtemps présenté comme le « meilleur pote de Zlatan » est surtout un très bon joueur de football. Peut-être même le meilleur arrière gauche de Ligue 1. Oui, soyons fou... Maxwell, qualité défenseur Doit-on accorder une certaine crédibilité à un homme qui se fait prendre en photo avec Mickey lors de son escapade familiale à Eurodisney ? Il faut croire que oui. À 31 ans, Maxwell Sherrer Cabelino Andrade est dans la forme de sa vie. On parle quand même d'un type qui s'est enfilé les titres nationaux à la vitesse grand V sans jamais tirer la couverture sur sa gueule d'ange (2 avec l'Ajax, 3 avec l'Inter et 2 avec le Barça). Pourtant, dans un pays où les sélections nationales se distribuent quasiment gratuitement à tous les coins de rue - souvent idéal avant de vendre un joueur en Europe - Maxwell n'a jamais connu les joies du maillot auriverde. En fait, Mawxell n'a jamais connu la lumière tout court. Saloperie d'homme de l'ombre. Que ce soit à Cruzeiro, son club formateur, à l'Ajax, à Milan ou à Barcelone, le Brésilien n'a jamais été considéré comme un crack. Au mieux, il était une doublure « plus ». Un mec capable de bouleverser la hiérarchie sur un laps de temps très court, sans jamais réclamer autre chose que du respect. Le mec est besogneux, beaucoup trop intelligent pour être un saltimbanque, beaucoup trop discret pour être un joueur incontournable. Du Brésil, Maxwell n'a pas ramené grand-chose. Pas sa technique en tout cas. Ni son style de vie. « À l'entraînement, il est très sérieux. Jamais un mot plus haut que l'autre », avançait son ancien coéquipier Benoît Cauet dans les colonnes du Parisien au moment de signature. Un sentiment partagé par Olivier Dacourt, dans les mêmes colonnes, où le milieu de terrain parlait d'un joueur atypique : « Il n'a rien d'un Brésilien. Ce n'est pas du tout un fêtard ni un extraverti. Il est plutôt casanier, très porche de sa famille. Je ne l'ai jamais vu s'énerver. » Un OVNI qui a comme meilleur ami dans le milieu un certain Zlatan Ibrahimović, avec qui il partage sa chambre en déplacement depuis l'Ajax (ils ont également joué ensemble à l'Inter, au Barça et donc au PSG). Bizarre, le mec. Meilleur latéral gauche de Ligue 1 ? À 31 ans, Maxwell va sûrement pulvériser son record de matchs joués en une saison. À mi-parcours, il en est déjà à 30 toutes compétitions confondues (son record est de 45, avec l'Ajax en 2002-2003). La raison ? L'absence de concurrence tout d'abord. Que ce soit Tiéné ou Armand, Max a un boulevard devant lui au sein du club. Son niveau ensuite. En Ligue 1, le gaucher n'a pas d'équivalent. Avec deux buts et trois passes décisives, il est le latéral gauche le plus performant du championnat. Sérieux, appliqué, physiquement endurant et déterminé, le numéro 17 fait le boulot alors qu'il n'a pas une palette technique très développée : pas de pied droit, jeu de tête quasi inexistant, physique quelconque (1m76, 70 kilos en crampons) et aucun vice (un seul carton jaune). En Ligue 1, qui peut présenter une telle assurance depuis le début de saison ? Digne, Trémoulinas. Et encore. Le premier manque encore de bouteille, quand le second semble avoir la tête ailleurs. Force est de constater que Maxwell rend pour le moment une copie assez propre. Presque sans erreur (on serait tatillon, on lui reprocherait son CSC de la première journée contre Lorient...). Pourtant, Carlo Ancelotti ne le repose jamais. Quand il ne joue pas sur le côté gauche de la défense, Maxwell dépanne au milieu de terrain. Que ce soit en Ligue 1, en Ligue des champions ou dans les coupes nationales, le Brésilien est systématiquement de la partie. Increvable. Un joueur de devoir, expérimenté, utile et réservé. Dans une équipe montée de toutes pièces, le joueur fait figure de stabilisateur. Notamment parce qu'il a connu des clubs au moins aussi bordéliques (Inter notamment) avec lesquels il a toujours su tirer son épingle du jeu. Autrement dit, le PSG tient à son talisman. Un cadre ? Même pas. En coulisses, les dirigeants essaient désespérément de trouver un crack au poste de latéral. On a longtemps parlé d'Ashley Cole, de Patrice Évra ou de Fédérico Balzaretti, tous internationaux. Sur le plan national, Maxwell fait largement l'affaire. C'est au niveau des joutes européennes que le bel éphèbe est un peu léger. Mais bon, après tout, même s'il n'a jamais fait lever les foules au point de vendre des maillots à son nom, un type qui arrive systématiquement à gagner des titres partout où il passe peut-il être foncièrement mauvais ? par Mathieu Faure pour So Foot Citation Leonardo s’en prend à la Ligue Le PSG compte beaucoup d’internationaux. Alors jouer seulement 48 heures après des rencontres amicales un peu partout en Europe ne lui plaît pas. « Le problème, ce ne sont pas les matchs internationaux, commente Carlo Ancelotti, c’est de devoir jouer deux jours après. » Leonardo, le directeur sportif, est allé encore plus loin. Football : Chanceux vainqueur de Lille (1-0), le PSG prend la tête de la Ligue 1Al-Khelaifi : « Trois ans pour gagner la Ligue des champions » Interrogé sur le cas Mamadou Sakho, qui a disputé l’intégralité de France - Allemagne, le directeur sportif précise : « On était d’accord avec Didier Deschamps. Le problème, ce n’est pas ça. Le problème, c’est la décision sans logique de la Ligue de nous faire jouer vendredi (aujourd’hui). » La Ligue, elle, a créé cette nouvelle case du vendredi soir pour des raisons lucratives (un créneau supplémentaire pour une retransmission) et afin de donner aux clubs davantage de récupération quand elles jouent le mardi en Ligue des champions. Le Parisien Citation La priorité du PSG, c’est Bastia Cinq jours avant son déplacement à Valence en Ligue des champions, Paris doit accentuer son avance en championnat. On sait bien que le football ne se joue ni sur le papier ni avec des statistiques, mais on ne voit pas comment les Bastiais pourraient s’en sortir ce soir. Le 11 janvier, on ne voyait pas non plus d’autres Corses, ceux d’Ajaccio, venir tenir tête à l’armada zlatanesque du PSG (0-0). Mais en un mois le visage de Paris a changé, en bien si l’on se réfère au succès à Toulouse (4-0) la semaine dernière. Les éventuelles excuses du PSG qui viendraient équilibrer les débats ne tiennent pas. Ses internationaux ont joué deux jours plus tôt? Avec son effectif, l’équipe de Carlo Ancelotti possède assez de solutions pour qu’aucune absence ne se voie, aucune fatigue n’affaiblisse les siens. La tête à Valence? Ce n’est pas au moment où le club de la capitale creuse enfin un petit écart sur Lyon qu’il peut se permettre le moindre relâchement, qui plus est face à un adversaire du calibre de Bastia, empêtré dans sa 13e place, à seulement six points du premier relégable (Reims). « Demain (ce soir), on sera compétitifs, annonce Ancelotti. Beaucoup de joueurs ont travaillé ici, comme Pastore, Jallet, Chantôme, Van der Wiel… Il n’y a pas de risque qu’on ait la tête à Valence. Tout le monde sait que c’est important de gagner contre Bastia. Il faut prendre des points. On est à un moment très important. On peut prendre six points d’avance, ce serait très bien pour préparer Valence. L’équipe est prête et en confiance. » Bastia, après avoir pris 4-0 à l’aller, va bétonner? Peut-être. Mais c’est l’ordinaire parisien face aux petits. Et les Corses, même avec Mickaël Landreau, restent très poreux (47 buts en 23 sorties). Rothen revient au Parc et a envie de tout casser? Le football est trop sérieux pour plaisanter. Comme d’habitude, les Parisiens devront se méfier d’abord d’eux-mêmes, de leur motivation, parfois suspecte, de leurs enchaînements offensifs, quelquefois suffisants, de leur manque d’idées, récurrent. Sur le papier, c’est joué. Sur le terrain, tout reste encore à faire. Le Parisien Citation PSG - Bastia : Ibrahimovic et Lucas sur le banc ? Coincé entre des matchs internationaux (mercredi) et un grand rendez-vous en Ligue des champions (mardi), le match face à Bastia va obliger Carlo Ancelotti à faire les bons choix. Alex revient, Sakho se repose Blessé deux jours avant le match contre Bordeaux, Alex fait son retour ce soir en défense centrale. La seconde place se joue entre Zoumana Camara et Sylvain Armand. Hier, à l’entraînement, le Brésilien a été associé à Armand lors de l’opposition. Ce duo est a priori le plus complémentaire (Alex dans l’axe droit, Armand à gauche). Mamadou Sakho, qui a disputé l’intégralité de France - Allemagne, est laissé au repos. « Il va récupérer et il sera prêt pour Valence », a précisé Ancelotti. Sur le côté droit, Van der Wiel devrait être préféré à Jallet au nom du principe d’alternance. Jérémy Ménez de retour « Pour faire la composition d’équipe, je vais privilégier les joueurs qui se sont entraînés au camp des Loges cette semaine », a indiqué Ancelotti. Manière de dire que les internationaux sollicités mercredi soir devraient souffler un peu. Outre Mamadou Sakho, trois joueurs majeurs pourraient ainsi débuter sur le banc : Ibrahimovic, Lucas et Matuidi. Le Suédois et le Brésilien ont chacun disputé une mi-temps mercredi et ne se sont pas entraînés avec le groupe hier. L’entraîneur du PSG pourrait relancer Kevin Gameiro (une seule titularisation lors des trois derniers mois, face à Toulouse en Coupe de France) et laisser Ibra sur le banc. Quant à Lucas, sollicité lors des cinq derniers matchs du PSG (quatre titularisations), il devrait laisser sa place à Jérémy Ménez. Remplaçant à Toulouse, ce dernier n’est entré qu’à la 86e minute de France - Allemagne. Thiago Silva toujours convalescent Touché contre Ajaccio (0-0) le 11 janvier, Thiago Silva (lésion de la cuisse gauche) sera de retour « dans dix à quinze jours », selon les mots d’Ancelotti. Initialement, le capitaine brésilien devait pourtant faire sa rentrée à l’occasion du 8e de finale aller de Ligue des champions. Ce contretemps est un authentique coup dur pour le PSG. Quant à Thiago Motta, touché à la cuisse contre Lille (1-0) et suspendu ce soir, il doit reprendre l’entraînement collectif demain. Le milieu de terrain italien sera-t-il disponible mardi prochain à Valence? « C’est possible mais ce n’est pas sûr », répond Ancelotti. Le Parisien Citation Gare à la baisse de motivation A quatre jours de l’importantissime déplacement en Espagne, la motivation des Parisiens face à l’anonyme 13e de la Ligue 1 peut être mise en doute. Entre la peur de se blesser et celle de trop se fatiguer, les joueurs parisiens seraient-ils enclins à prendre la venue des Corses à la légère ? « Je n’y crois pas du tout, explique Luis Fernandez, l’ex-entraîneur du PSG (94-96 puis 2000-2003). En quatre jours, les joueurs auront le temps de récupérer de leurs efforts. Les internationaux ont été bien gérés par leur sélection et ne sont pas entamés physiquement. Et de toute façon, le seul message que doivent entendre les joueurs, c’est que le meilleur moyen de préparer Valence, c’est quand même de battre Bastia sans trembler! » De son côté, Vahid Halilhodzic, qui a dirigé le PSG de 2003 à 2005, est réaliste. « Evidemment, pour un joueur, c’est plus facile de se motiver quand il entend la musique de la Ligue des champions que quand il affronte Bastia, reconnaît-il. Sauf que si j’étais l’entraîneur, le message serait probablement le même que celui que va donner Ancelotti. Il faut insister sur le fait que ce match contre Bastia peut être l’occasion de consolider la première place au classement. Le PSG n’a pas le droit de gaspiller encore des points sur sa pelouse. Et vous imaginez ce que les Espagnols pourraient penser s’ils apprenaient que les Parisiens n’ont pas battu Bastia… » Grégory Coupet, ancien gardien de Lyon et du PSG, qui a disputé soixante-douze matchs de Ligue des champions, ne nourrit aucun doute sur l’investissement des Parisiens ce soir. « Si Paris ne jouait pas le titre, il pourrait y avoir des tentations, note-t-il. Mais là, le PSG a besoin des trois points. Au club, l’objectif principal de la saison, c’est quand même d’être champion. En fait, c’est simple, le PSG sera sûrement très motivé contre Valence. Mais il sera déterminé contre Bastia. A Paris aujourd’hui, tout est important. » Le Parisien |
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09/02/2013 15:05
Message
#5278
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Le PSG l'emporte face à Bastia 3 à 1 Le PSG a pris les trois points face aux Corses et prend le large en tête de la Ligue 1. A quatre jours de leur huitième de finale aller de Ligue des Champions à Valence (Espagne), les Parisiens se mettent à l'aise grâce à Ménez, Ibrahimovic et Lavezzi qui ont marqué durant la seconde période. A l'occasion de cette rencontre, Carlo Ancelotti a décidé de faire tourner son effectif deux jours après les différents matchs internationaux. Ibrahimovic, Lavezzi, Matuidi ont débuté ainsi la rencontre sur le banc. Le technicien italien a laissé au repos Sakho qui a disputé l'intégralité de France - Allemagne (1-2) mercredi et a relancé Alex en défense centrale. De retour de blessure, le Brésilien a été associé à Armand, à nouveau capitaine. Chantôme et Verratti ont été positionnés dans l'entrejeu tandis que Lucas et Pastore ont animé les couloirs. En l'absence d'Ibra, c'est Gameiro, associé à Ménez, qui a mené l'attaque parisienne avant de laisser sa place peu avant l'heure de jeu. Paris SG : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Armand (cap), Maxwell - Lucas, Chantôme Verratti, Pastore - Gameiro, Ménez. Bastia : Landreau - Cioni, Marchal, Harek, Palmieri - Yatabaré, Sablé - Thauvin, Rothen, Beauvue - Ilan. Citation Une bonne chose de faite Paris, qui compte ce matin six points d’avance sur Lyon, peut aborder sereinement son match de Ligue des Champions, mardi à Valence Jusqu'à demain soir, le PSG va contempler la Ligue 1 avec six points d’avance, renforçant son statut de favori au titre de champion de France. Lyon et Marseille tenteront tout (respectivement devant Lille et à Evian) pour coller aux sommets du championnat, Paris en restera le leader, incontestable et tranquille.. Si ses concurrents trébuchent, cela ressemblera même à une échappée. En attendant, le PSG peut s’envoler lundi le coeur léger à Valence, changer de dimension et d’épreuve pour l’immense défi de la Coupe d’Europe, la grande, une histoire qui n’arrive pas tous les jours à un club français. « Ce sont trois points importants pour le classement et pour préparer le prochain match, analyse Carlo Ancelotti. On peut y aller en confiance. Des joueurs ont pu récupérer et ona le temps de bien préparer la rencontre physiquement et mentalement. C’est le meilleur moment pour aborder un match aussi important. » Fin de l’invincibilité de Sirigu Ibrahimovic, Matuidi et Lavezzi ont ainsi d’abord soufflé avant de fouler la pelouse en seconde période et de changer le décor de la partie, la présence d’Ibra (21e but de la saison, le 3e contre Landreau) rendant tout de suite tout le monde plus concerné, surtout à Paris. « Ibra a très bien compris de rester sur le banc, expliquera le technicien italien. Jouer deux fois en 48 heures augmente le risque de blessure et l’idée était surtout d’en éviter une. » A partir de mercredi, le PSG accueillera une nouvelle star, David Beckham, et la fête sera peut-être encore plus folle. « Il peut jouer à la place de Verratti ou de Lucas mais pas comme Lucas bien sûr, sourit Ancelotti. Il va nous amener son expérience et sa passe. » Les deux n’auraient pas fait de Mal au PSG, qui a subi un vent de panique monumental dans les dix dernières minutes, ponctuées par la fin de l’invincibilité de Sirigu, portée désormais à 948 minutes. « C’était un beau record, regrette Carletto. Sirigu n’est pas très content ce soir (hier).» Comme beaucoup de rencontres parisiennes en L1, ce PSG - Bastia ne passera pas la postérité, à cause principalement de sa première période. Mais comme souvent aussi, le club de la capitale en a juste fait assez pour s’imposer, disposant en plus d’une botte secrète, utile sur le premier but perte de balle de Rothen et boulette de Landreau. Il a donc joué un instant à treize et les supporteurs ont adoré l’apport des anciens de la maison sur ce coup-là. « Ce but fait basculer le match », soufflera Frédéric Hantz, l’entraîneur bastiais. Paris SG 3-1 Bastia Mi-temps : 0-0. Arbitre : M. Thual. Buts. Paris SG : Ménez (57e), Ibrahimovic (71e s.p.), Lavezzi (89e); Bastia : Khazri (83e). Paris SG : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Armand (cap.), Maxwell - Lucas (Lavezzi, 75e), Verratti, Chantôme, Pastore (Matuidi, 72e) - Ménez, Gameiro (Ibrahimovic, 66e). Entr. : Ancelotti. Bastia : Landreau - Cioni, Marchal, Harek, Palmieri - Yatabaré (Khazri, 80e), Sablé (Faty, 57e) - Thauvin, Rothen, Beauvue (Modeste, 63e) - Ilan. Entr. : Hantz. LES BUTS 57e. Rothen perd un ballon au milieu du terrain. Pastore sert Ménez à 25 m du but bastiais. L’ancien Romain élimine Sablé et Harek d’un crochet du droit avant d’ajuster Landreau d’une puissante frappe du gauche à ras de terre. 71e. Palmieri déstabilise Lucas à la limite de la surface de réparation. M. Thual siffle un penalty qu’Ibrahimovic transforme en force à droite de Landreau, impuissant. 83e. Sur un coup franc à près de 30 m décalé côté gauche, Khazri trouve la lucarne d’un Sirigu, trop avancé, qui avait anticipé le centre. 89e. Le long de la ligne de but, Chantôme adresse un centre en retrait que Landreau détourne du bout des gants. Le ballon revient sur Lavezzi qui marque en force sans opposition. LE FAIT DU MATCH 85e. Sur un ballon perdu par les Parisiens, Van der Wiel sauve le PSG sur une nouvelle incursion de Khazri qui avait effacé Sirigu, sorti trop aventureusement. Citation Ménez dans tous les bons coups C’était un soir pour se montrer, le pari est gagné. Jérémy Ménez a saisi sa chance hier soir contre Bastia. Alors que Carlo Ancelotti avait laissé une partie de ses internationaux au repos, l’ancien Romain était titulaire à la pointe de l’attaque en compagnie de Kevin Gameiro, deux jours après avoir disputé les dernières minutes du match des Bleus contre l’Allemagne, mercredi (1-2). On l’a d’abord vu redescendre jusque dans le rond central pour quémander quelques ballons avant que son entraîneur ne lui intime l’ordre de remonter d’un cran. La tête baissée le plus souvent, Ménez s’est longtemps enferré dans des dribbles stériles face à un bloc bastiais très regroupé devant la cage de Mickaël Landreau. Preuve de sa détermination, il s’est saisi avec autorité du ballon quand un coup franc à 20 m s’est présenté à l’entrée de la surface, mais l’international a dû le laisser à regret à Lucas. Gameiro s’est alors précipité vers lui pour le réconforter. Ses partenaires savent en effet qu’un Ménez en confiance est un danger de tous les instants. Un deuxième but cette saison en L 1 Sa frappe trop croisée après avoir éliminé trois défenseurs corses aurait pu se transformer en passe décisive et débloquer une soirée plus compliquée que prévu, mais le tacle désespéré de Gameiro n’a propulsé le ballon que sur le poteau (35e). Pas de quoi arrêter un Ménez dont l’année 2013 ressemble parfois à une piste de ski pleine de verglas. Le mercato hivernal a en effet brisé son statut de titulaire indiscutable. Quand en décembre le PSG avait trouvé un bel élan collectif, il évoluait à la pointe de l’attaque au côté de Zlatan Ibrahimovic. Le Suédois a même souligné son talent à plusieurs reprises. Mais Lucas est arrivé et s’est incrusté à droite du 4-4-2 parisien. Lavezzi est monté d’un cran et Ménez se retrouve en concurrence avec Pastore pour la quatrième place, côté gauche. Dans ce match à distance, l’Argentin a souvent gagné des points, à l’image de son match étincelant à Toulouse (4-0) la semaine dernière. Mais Ménez, qui cherche également à séduire Didier Deschamps dans l’optique du Mondial 2014, n’a pas dit son dernier mot. Sur une passe de Pastore après un ballon perdu par Rothen, son crochet du droit enrhume Sablé et Harek et sa frappe enchaînée du gauche passe sous les mains de Mickaël Landreau. Un deuxième but cette saison en L1 qui relance un Ménez tout près de signer un doublé sur une Madjer après une passe d’Ibrahimovic (68e) ou sur un rush dans la défense stoppée par un Landreau autoritaire (73e). Et ce sera encore lui qui débloquera la situation sur le but du 3-1 inscrit par Lavezzi. Citation Leonardo : « La vie d’entraîneur me manque » Volubile comme il sait l’être lorsqu’il veut passer des messages, le directeur sportif du PSG a balayé l’actualité récente et à venir. David Beckham, la Ligue des champions et même son avenir personnel,«Leo» dit tout. Enfin presque tout. Comment analysez-vous cette nouvelle victoire du PSG ? Leonardo. Bastia était très compact en première mi-temps et très difficile à bouger. Après, les choses ont été plus simples. C’est une victoire de plus qui arrive après une série de très bons résultats. Il suffit de regarder le classement pour se rendre compte du travail qui a été fait depuis début décembre. C’est fantastique. Le retour de la Ligue des champions arrive-t-il au meilleur moment ? L’équipe est en pleine confiance. Je trouve même que le groupe dans son ensemble est vraiment bien en ce moment. Les joueurs qui n’ont pas beaucoup de temps de jeu sont bons quand on fait appel à eux. Après, Valence est aussi une équipe en pleine forme. Franchement, ce ne sera pas simple de passer ce tour. Les quatre équipes espagnoles sont toujours en course et ce n’est pas un hasard. Ce sont des équipes très compétitives. Quel est le programme de David Beckham ? Il s’est entraîné cette semaine à Londres et vient de partir quelques jours aux Etats-Unis. Ensuite, David rentrera à Paris et fera le déplacement avec nous à Valence. Il sera dans l’avion du PSG lundi matin. On verra ensuite dans quelle condition physique il est et à quel moment il peut jouer. Pourquoi le PSG a-t-il choisi de le recruter ? Beckham ne vient à Paris que pour des raisons sportives. J’ai entendu beaucoup de choses à propos de la fiscalité, de la politique avec le Qatar ou je ne sais quoi. Mais la vérité, c’est que Beckham veut terminer sa carrière en beauté au PSG. C’est tout. Quant au don que le PSG et David vont faire à des associations ou à une fondation qui travaillent au service d’enfants en difficulté, tout n’a pas encore été décidé. Nous nous sommes mis d’accord sur le montant du don, mais pas sur l’identité des associations qui vont en bénéficier. Comment voyez-vous votre avenir personnel ? Je suis très bien à Paris, le projet est très motivant et je ne m’imagine pas ailleurs. Après, c’est vrai que l’Italie me manque beaucoup, encore plus que le Brésil. Sur un plan professionnel, la vie d’entraîneur me manque, c’est vrai,mais Carlo (Ancelotti) n’a rien à craindre (rires). Dans le futur, je me verrais bien retrouver un banc de touche. L’idéal, ce serait même en Angleterre dans un rôle de manageur. Le Parisien.fr Citation Paris, mission accomplie Vainqueur de Bastia (3-1) au Parc, vendredi, le PSG relègue provisoirement Lyon (2e) à six longueurs. Et se rassure à quatre jours de son déplacement à Valence en Ligue des champions. Entre les matches internationaux et un huitième de finale aller de Ligue des champions à Valence mardi, Paris retrouvait la Ligue 1, son objectif principal, sans beaucoup de certitudes. En dominant Bastia vendredi au Parc des Princes (3-1), le PSG s’est offert une marge provisoire de six points sur son dauphin lyonnais. Mission accomplie, sans plus. Car si les troupes de Carlo Ancelotti ont nettement dominé et se sont procuré les occasions les plus nettes, elles sont loin d’avoir eu la partie facile face à des Corses accrocheurs. En laissant Ibrahimovic sur le banc au coup d'envoi, le technicien italien a fait comprendre l’importance du déplacement en Espagne la semaine prochaine, quitte à prendre le risque de souffrir face à Bastia. Ménez libère le PSG Titularisé à la place du Suédois à la pointe de l’attaque parisienne, Kevin Gameiro s’est procuré les occasions d’ouvrir le score mais la réussite l’a fui pendant ses 65 minutes de présence sur le terrain. Il a notamment trouvé le poteau sur un centre-tir de Ménez (25e) avant de buter à deux reprises sur Landreau, d’abord sur une superbe ''Madjer'' (55e) puis sur un duel face au gardien corse (60e). Entre ces deux dernières opportunités, Jérémy Ménez a libéré le leader de la Ligue 1 sur une frappe du gauche à l’entrée de la surface qui semblait pourtant à la portée du dernier rempart du Sporting (1-0, 60e). Les ''Merci Landreau !'' moqueurs des supporters parisiens resteront d’ailleurs comme un mauvais souvenir pour l’ancien portier du PSG. Sirigu s'arrête à 949 minutes d'invincibilité Ce dernier n’a en revanche rien pu faire sur le penalty d’Ibrahimovic, entré en jeu cinq minutes plus tôt, qui a fait suite à une faute sur de Palmieri sur Lucas à la limite de la surface (2-0, 70e). A l’image de sa nouvelle équipe, le Brésilien a été très bon dans les 25 premières minutes, avant de nettement baisser le pied. Ses premières touches de balle et ses décalages ont fait la différence et il aurait pu marquer son premier but avec Paris s’il n’avait pas manqué le cadre, seul au point de penalty (25e). Cela aurait récompensé la belle entame de Paris, bien plus timide par la suite. Les sifflets à la mi-temps sont venus rappeler que Paris peut encore beaucoup mieux faire. Et la fin de la rencontre a confirmé que cette équipe n’est pas encore le monstre qui est censé tout écraser en Championnat. Le superbe coup-franc de Khazri (2-1, 82e), en plus de stopper la série d’invincibilité de Sirigu à 949 minutes, a ainsi fait trembler le PSG, qui aurait pu se faire rejoindre sans un sauvetage de Van Der Wiel (84e) et une tête trop enlevée de Modeste (85e). A l’affût, Lavezzi s’est occupé de tuer le suspense (3-1, 88e) mais Paris s’est offert une belle frayeur. Un avertissement sans frais avant de retrouver les joutes européennes. Citation Ancelotti : «Le travail a été fait» Même si le «match n'a pas été parfait», Carlo Ancelotti se contente des trois points pris face à Bastia vendredi soir (3-1). Désormais, tous les Parisiens sont tournés vers le déplacement à Valence mardi, en 8e de finale aller de la C1. «On voulait gagner, on a gagné, c’est bien.» Pas très bavard après la victoire de ses joueurs contre Bastia ce vendredi (3-1), Carlo Ancelotti a résumé le sentiment des Parisiens à la sortie des vestiaires. «Il fallait prendre les trois points pour se tourner sereinement vers Valence. Maintenant, on peut y penser», a enchaîné Blaise Matuidi, qui est entré à 20 minutes de la fin, lui qui en a disputé 45 mercredi avec l’équipe de France. Sans sortir un grand match, le PSG a accompli sa mission, à savoir mettre la pression sur Lyon, qui se retrouve à six points avant la réception de Lille dimanche. «Certains joueurs ont pu récupérer (Ibrahimovic et Matuidi étaient sur le banc, Sakho en tribunes, ndlr), il n'y a pas eu de blessures, donc c'est l'essentiel.» Carlo Ancelotti De là à affirmer que la venue de Bastia a permis de préparer au mieux le déplacement de mardi en Ligue des champions, il y a un pas que certains n’ont pas franchi. «Le match n’a pas été parfait, a résumé Ancelotti. On a joué sur un faux rythme en première période. C’était mieux ensuite. Disons que le travail a été fait.» Sans plus. Autre point positif pour le coach parisien : «Certains joueurs ont pu récupérer (Ibrahimovic et Matuidi étaient sur le banc, Sakho en tribunes, ndlr), il n’y a pas eu de blessures, donc c’est l’essentiel.» Et Leonardo de se réjouir «du bon comportement» des joueurs alignés vendredi soir. «Ils ont voulu cette victoire, ils l’ont méritée, a affirmé le directeur sportif. En ce qui concerne le turn-over, on n’a pas le choix. On ne peut pas jouer 48 heures après un match international. C’est déjà difficile de préparer un match quand 10 joueurs importants sont avec leur sélection dans la semaine, alors là… Je ne veux pas entrer dans la polémique mais où est la logique de cette programmation ?» La tête déjà à Valence Si Paris n’avait pas récupéré les 3 points, la question aurait pu se poser mais avec la victoire, le cœur n’était pas à la polémique, mais plutôt à ce match de mardi. «Enfin le retour de la Ligue des champions !» en souriait Leonardo. «Je suis impatient d’y être, a quant à lui déclaré Matuidi. Ça va être une première pour moi (de jouer un huitième de finale de Ligue des champions), ce sont des matches excitants à jouer. On sera tous très motivés.» Surtout si tout se passe pour le mieux en Championnat. Finalement, dans cette soirée presque parfaite, seule la fin de l’invincibilité de Sirigu, battu sur un coup-franc de Khazri après 949 minutes sans encaisser de but, a fait office d’anicroche. «Je ne l’ai pas réalisé sur le coup, des coéquipiers me l’ont dit dans le vestiaire», en a plaisanté le buteur bastiais. «On voulait faire durer cette série et on n’a pas réussi, tant pis», a quant à lui lâché, presque fataliste, le gardien parisien. Lui aussi n’avait pas trop envie de traîner vendredi soir. Comme ses équipiers, il est déjà tourné vers Mestalla et une affiche européenne qui promet… Citation Gameiro : «Ça fait du bien » Titularisé vendredi soir face à Bastia (3-1), Kévin Gameiro s'est procuré des occasions nettes mais n'a pas réussi à marquer. «Il ne m'a manqué qu'un but pour être content», a affirmé l'attaquant parisien, néanmoins ravi d'avoir du temps de jeu. «Kévin Gameiro, Paris a assuré l’essentiel ce soir… On s’attendait à un match difficile, il l’a été. On a très bien débuté, on les a mis sous pression mais après, en fin de première période, on a joué sur un faux rythme. Cela a été mieux en deuxième période. On aurait pu éviter la réduction du score de Bastia. On s’est un peu fait peur tous seuls sur la fin, mais c’était bien de prendre les trois points avant d’aller à Valence mardi… «Ce soir, je n'ai rien à me reprocher.» On imagine qu’être titulaire vous a fait plaisir… Ca fait toujours du bien, c’est sûr. Je sais depuis le début de la saison qu’il va falloir se battre pour avoir du temps de jeu. Ma situation n’est pas forcément facile à vivre, mais je m’accroche et je me bats tous les jours à l’entraînement. Je suis fort mentalement et dès que je peux aider le club, je le fais avec plaisir. Face à Bastia ce soir (vendredi), vous avez trois belles occasions mais pas de but au final. Êtes-vous frustrés ? J’ai déjà marqué quelques buts cette saison (cinq en Ligue 1) donc je ne suis pas trop frustré. Ce soir, je n’ai rien à me reprocher. Sur ma première occasion, je ne sais même pas comment j’arrive à reprendre le ballon de Jérémy et ça finit sur le poteau. Les deux autres fois, je tombe sur un très bon gardien. C’est comme ça… Je ne vais pas baisser les bras pour autant. «Le sélectionneur a été clair sur ce sujet. Il faut du temps de jeu pour être appelé. Je n'en ai pas beaucoup donc c'est compliqué pour moi». L’équipe de France est-elle toujours dans un coin de votre tête ? Ca reste un objectif, c’est sûr. Après, le sélectionneur a été clair sur ce sujet. Il faut du temps de jeu pour être appelé. Je n’en ai pas beaucoup donc c’est compliqué pour moi. Après, je sais que je peux avoir ma place dans ce groupe. A moi de grapiller quelques minutes, de marquer quelques buts avec Paris et on verra. En tout cas, l’acclamation à ma sortie (à la 65e minute) m’a fait plaisir. Ca motive pour la suite…» L'Equipe.fr Citation Beckham, folie annoncée Situation inédite au Camp des Loges, le centre d'entraînement du Paris-SG : pour le premier entraînement de David Beckham, programmé mercredi prochain à 15h00, les journalistes devront être accrédités, une décision jamais vue, liée au déferlement médiatique attendu. L'accès sera également limité pour la conférence de presse de Carlo Ancelotti, le coach parisien, samedi prochain, avant le déplacement du PSG à Sochaux, où "Becks" pourrait faire ses grands débuts sous le maillot parisien. La star anglaise sera mardi à Valence pour le 8e de finale de Ligue des champions, mais en simple spectateur. Il rejoindra le groupe parisien en Espagne depuis Los Angeles à bord d'un jet privé. L'Equipe.fr Citation Beckham à l'entraînement mercredi David Beckham fera ses grands débuts avec le PSG à l'entraînement le mercredi 13 février, comme l'a officiellement annoncé l'entraîneur Carlo Ancelotti : «Il vient mercredi, il commence à travailler au Camp des Loges avec l'équipe et nous allons voir sa condition physique pour peut-être le match de Sochaux (dimanche 17 février)». L'entraînement du PSG ne sera pas ouvert au public, seulement aux médias, sur accréditation, pour éviter une trop grande foule. D'ici là, Beckham devrait effectuer le déplacement à Valence avec ses coéquipiers pour le match de Ligue des champions, mardi. Concernant l'état de forme du joueur et sa place dans l'équipe, le coach est resté évasif : «Je ne sais pas, je n'ai pas de nouvelles sur son état de forme. Il peut jouer à la place de Verratti, ou à droite, mais il n'a pas les mêmes caractéristiques que Lucas. Mais il sera utile». Enfin, Leonardo a précisé que le club allait «communiquer» au sujet du salaire que le joueur anglais souhaite reverser à une association. «Le montant est déjà défini entre nous», a ainsi précisé le directeur sportif brésilien. «On n'a jamais parlé de politique ou de fiscalité, rien de tout ça, poursuit-il. C'est un très grand joueur qui vient finir sa carrière chez nous. Beckham va nous apporter beaucoup et il ne s'agit pas de la vente de maillots, ça n'a rien à voir». Citation Ancelotti : «Une bonne préparation» Ravi de la victoire de ses joueurs sur Bastia (3-1), malgré beaucoup de déchets, Carlo Ancelotti peut aborder avec confiance le match de Ligue des champions contre Valence, mardi. De son côté Frédéric Hantz, satisfait de la combativité de son équipe, a fustigé l'arbitrage. Carlo Ancelotti (entraîneur du Paris-SG) : «Nous avons gagné et pris trois points, ce qui était notre objectif. Ce sont trois points importants pour le classement et pour préparer le prochain match. Les autres équipes doivent jouer maintenant, pour nous, l'important était d'avoir une continuité dans les résultats. On peut aller au prochain match de Ligue des champions en confiance. C'est une bonne préparation car des joueurs ont pu récupérer et on a le temps de bien préparer la rencontre physiquement et mentalement. Menez a fait un très bon match et a été déterminant. Ça n'a pas été difficile de convaincre Ibra de rester sur le banc. Il a compris tout comme Matuidi et Sakho. Il y a toujours des risques de blessures et l'idée était de l'éviter.» Frédéric Hantz (entraîneur de Bastia) : «Des regrets, oui, le bilan est mitigé par rapport au résultat et aux trois buts. Je suis en recherche perpétuelle de progression et il y en a eu au niveau tactique et mental. La victoire des Parisiens est logique, même si le premier but fait basculer le match. Après, il y a des erreurs d'arbitrage, un penalty qui apparemment n'y est pas, même s'il y a faute, mais ce qui m'embête le plus, c'est l'immunité qu'ont certains joueurs de grands clubs. Je pense à Verratti, qui prend le ballon à la main après chaque faute contre lui et qui n'est pas sanctionné, alors que celui qui réagit, Khazri, l'est. On a l'impression que les joueurs des clubs huppés sont plus protégés, et ce n'est pas que Paris. Je pense que l'exploit était possible, car on était dans une semaine internationale avec de l'investissement psychologique et des déplacements. Mais nous n'avons pas pu concrétiser.» France Football.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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10/02/2013 09:21
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#5279
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Citation Leonardo sème le trouble Le directeur sportif du PSG laisse de plus en plus planer le doute sur son avenir au sein du club parisien. AVEC LEONARDO, rien n’est jamais dit par hasard. En bon communicant qu’il est, le directeur sportif du PSG sait aussi laisser une part à l’ambiguïté. Vendredi, au Parc des Princes, après le match contre Bastia (3-1), le Brésilien a, en effet, jeté un froid en répondant aux questions de la presse transalpine sur sa nostalgie de l’Italie et son éventuel retour à un poste d’entraîneur. « Vous touchez un point sensible, a-t-il déclaré à Sky et la Gazzetta dello Sport. (…) Ce que je fais aujourd’hui au PSG, j’aime et cela m’intéresse beaucoup. C’est un projet presque unique dans le football. C’est même un privilège. Mais, aujourd’hui, je ne fais plus de projet. » Joint hier, « Leo » (43 ans) a confirmé ses propos, qui ont jeté le trouble sur son avenir. « À la question de la presse italienne qui me demande si l’Italie me manque, la réponse sera toujours oui, a-t-il précisé. J’ai vécu quatorze ans là-bas. Je formulerai la même réponse si on me pose la question sur le Brésil. Je ne serai jamais entraîneur au PSG, mais j’aimerais un jour devenir manager en Angleterre. » Concernant son futur à court terme au PSG, là aussi il persiste : « Je vis des résultats. (…) Je suis libre et indépendant. » Plutôt étonnant à quelques jours d’un déplacement capital à Valence, en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions (mardi). Un an et demi après son arrivée, le directeur sportif pense-t-il déjà à son départ cet été ? A- t- il passé une annonce en direction de la Premier League ? Prépare-t-il une éviction qu’il pressent, alors que la thèse de l’arrivée d’Arsène Wenger (Arsenal) ou de José Mourinho (Real Madrid) circule toujours du côté de Doha ? Ce n’est en tout cas pas la première fois qu’il sème le trouble sur la durée de sa mission au PSG. Ces dernières déclarations font écho à une mise au point effectuée le 9 janvier dernier dans nos colonnes : « Je représente un projet sportif. Je travaille pour moi, je suis peut-être même égoïste par rapport à ça. (…) L’image du PSG, c’est Nasser (Al-Khelaïfi, le président), pas moi. » Cette volonté de prendre du recul déclarée publiquement pour la première fois donnait déjà l’impression qu’il cherchait à préparer sa sortie. ALEXANDRE CHAMORET Citation L'AS ROME VOULAIT VERRATTI EN PRET. - Alors que Leonardo, le directeur sportif du PSG, étudie la possibilité d'un transfert du milieu international italien de l'AS Rome Daniele De Rossi (29 ans, sous contrat jusqu'en 2017), le club italien s'est, lui, renseigné sur Marco Verratti (20 ans). L'AS Rome a même voulu se faire prêter le joueur lors du dernier mercato d'hiver, mais le club de la capitale, qui considère le jeune Italien, sous contrat jusqu'en 2017, comme intransférable, a opposé une fin de non-recevoir. - A.C. LE PSG RECRUTE À TOTTENHAM. - Pour étoffer son département commercial, le PSG est allé faire son marché du côté de la Premier League. Le club de la capitale a récemment recruté Alistair Spiers au titre de directeur des opérations hospitalités, une fonction qu'il a occupée à Tottenham pendant plusieurs années. Spiers, qui ne parle pas encore francais, sera essentiellement en charge de la vente de loges au Parc des Princes. - D.D. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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10/02/2013 09:44
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#5280
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Citation Le grand défi du PSG Paris se déplace mardi, en 8e de finale, à Valence. Un adversaire piège, qui doit permettre d’affirmer la nouvelle dimension du club Alors que les favoris vont se dévorer entre eux (Arsenal- Bayern, Milan AC- Barcelone, Real- MU), le PSG échappe au pire en affrontant Valence, mardi, en 8e de finale aller de la Ligue des champions. Mais il devra se méfier terriblement du club espagnol, estiment cinq experts. L’HISTOIRE « C’est un bon tirage :-) » La réaction spontanée du défenseur Adil Rami sur Twitter s’appuie sur une réalité: Valence est la bête noire des clubs français. Son bilan est sans pitié: 13 victoires, 4 nuls, 1 seule défaite (1- 2 face à Nantes en demi- finale aller de la Coupe des coupes 1980, avant une victoire 4- 0 au retour). En Ligue des champions, c’est pire: 6 victoires en autant de confrontations. Avec 245 matches européens, 4 Coupes d’Europe et 6 titres de champion, son palmarès fait de l’ombre à celui du PSG (165 matches, 1 Coupe des coupes, 2 titres nationaux). « Valence part toujours outsider, parce qu’il n’a pas le renom du Barça et du Real, mais il ne doit surtout pas être sous-estimé. J’ai eu deux mauvaises expériences avec Arsenal. On était trop confiants et on s’est fait sortir (en 2001 et 2003). Ça va être très compliqué pour le PSG » , prévient Robert Pires, qui a vécu à Valence lorsqu’il jouait à Villarreal. Valence 70 % – Paris 30 % L’EXPÉRIENCE Le club espagnol a perdu deux finales de Ligue des champions (2000, 2001) et gagné une Coupe de l’UEFA (2004), preuve de sa constance récente. Il n’en reste qu’un survivant, le milieu David Albelda, 35 ans. Aujourd’hui, son effectif totalise moins de rencontres de C1 que celui du PSG (299 contre 326), sans même compter l’icône David Beckham (100 matches), qui verra l’aller en tribunes. Mais le cumul des expériences peut- il tenir lieu de vécu collectif ? « J’ai un doute. Ça fait des années que Paris n’a pas joué un match aussi important. On a vu à l’aller contre Porto que ça lui manquait parfois » , estime Pires. « Les joueurs de Valence ont joué plus de matches ensemble. Cela donne la sérénité qui permet de ne pas paniquer, comme récemment face au Barça [1-1] » , note Jocelyn Angloma, un ancien du PSG qui a également disputé les deux finales de C1 du club espagnol. Le directeur sportif du PSG, Leonardo, a lui aussi évolué deux ans à Valence (1991- 1993) avant sa saison au PSG. Il saura mettre en garde ses joueurs. Valence 55 % – Paris 45 % LES INDIVIDUALITÉS L’effectif parisien est plus clinquant dans toutes les lignes. Mais en défense, il manquera Thiago Silva, ce qui n’est pas rien. Alex, en revanche, tiendra sa place. Tant mieux pour Paris, estime Angloma: « Car attention, l’avant- centre Soldado peut faire la différence. Derrière lui, il y a beaucoup de percussion et de mouvement au milieu. J’aime leur petit gaucher Piatti, au style proche de Messi, très rapide et capable de faire la différence. » Battu à deux reprises par Valence en phase de poule cette saison (2-0, 0-1), l’entraîneur du Losc, Rudi Garcia, a apprécié « l’attaquant brésilien Jonas et surtout le milieu argentin Banega ». En revanche, il est attendu que Valence souffre en défense, où Cissokho, blessé à la cheville, est incertain. « Ibrahimovic est intelligent, il sait décrocher pour se faire oublier. Or Rami a des problèmes de concentration, il a tendance à sortir du match » , pointe Angloma. « Adil est très à l’aise dans le combat physique » , relativise Garcia, qui l’a entraîné au Losc. « Zlatan est l’un de ces grands joueurs qui font basculer un match, comme Messi, Cristiano Ronaldo ou Rooney. Je sens qu’il va être déterminant » , pronostique Gérard Houllier. Le Suédois n’a jamais gagné la Ligue des champions. Sa motivation sera d’autant plus forte. Valence 35 % – Paris 65 % LE JEU Directeur technique du football chez Red Bull, Houllier connaît bien l’entraîneur espagnol, Ernesto Valverde, qu’il a envisagé de faire venir à New York. Il résume l’opposition : « La force de Valence est collective, avec une construction plus élaborée depuis que Valverde a remplacé Pellegrino. Celle du PSG réside dans le talent extraordinaire de certaines individualités. » Même constat de Rudi Garcia : « Valence possède une force collective éprouvée depuis plusieurs années. Ancelotti a un groupe taillé pour gagner la Ligue des champions, pourvu qu’il évite un complexe de supériorité. » Pour Angloma, « Paris peut gagner sa qualification au milieu, là où Valence manque de puissance. Laisser jouer les milieux espagnols, c’est risquer de se retrouver très vite devant le but de Sirigu. » Garcia opine : « Je conseille un gros pressing sur Banega et Tino Costa. Ils ne sont pas à l’aise pour passer rapidement d’une situation offensive à un placement défensif. Toute leur équipe peut en être déséquilibrée. » Consultant sur l’Espagne pour beIN, Omar da Fonseca estime que « la technicité est du côté de Valence. La présence athlétique, le dynamisme, la tonicité sont dans le camp de Paris. Il y a les moyens de passer. Mais attention, car la Liga prépare mieux à ce niveau que la Ligue 1 » . Il rappelle que la saison dernière, en Ligue Europa, Valence avait éliminé Manchester City, futur champion d’Angleterre, et l’Athletic Bilbao avait surpassé Manchester United. « Pour rivaliser avec un club espagnol, Paris doit passer un cap. Je suis sûr qu’il a les moyens de le faire » , conclut- il. Valence 49 % – Paris 51 % Citation Les Espagnols n’aiment pas les matches au couteau L’HISTORIQUE DES CLUBS FRANÇAIS face aux Espagnols en Ligue des champions montre l’accentuation progressive de la domination de nos voisins. En vingt ans (1992- 2012), les Français ont gagné 11 fois, pour 11 nuls et 26 défaites. Mais l’écart s’est nettement creusé lors des cinq dernières saisons : une seule victoire ( Lyon face au Real en 2010) pour 5 nuls et 10 défaites. Les rencontres à élimination directe relativisent toutefois la domination espagnole. Nos clubs ont en effet remporté 4 des 6 duels depuis vingt ans : Lyon (2010, 8e de finale) et Monaco (2004, quart de finale) face au Real Madrid, Lyon contre la Real Sociedad (2004, 8e de finale) et le PSG face à Barcelone (1995, quart de finale). le JDD -------------------- Culture Bowl II champion
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