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22/01/2013 15:11
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#5221
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Camara est là, pas Ibra Blessé à la cuisse droite depuis le match à Bordeaux (1-0) dimanche et donc incertain pour la venue de Toulouse mercredi soir en 16es de finale de Coupe de France, Zoumana Camara sera finalement apte. Son entraîneur Carlo Ancelotti l'a retenu dans le groupe et lui qui devrait de nouveau aligner la charnière centrale Sakho - Camara car les autres défenseurs centraux Alex et Thiago Silva sont toujours sur le flanc. Le technicien italien sera également privé de Rabiot, Ibrahimovic et Thiago Motta, tous trois suspendus, alors que Sissoko et Tiéné sont à la CAN. Lugano est, lui, parti à Malaga. Le jeune défenseur de la réserve Antoine Conte en profite pour faire son apparition dans le groupe. A noter que Nicolas Douchez sera titulaire dans le but et que Lucas débutera sur le banc, a annoncé Ancelotti ce mardi en conférence de presse. - D. Mi. Le groupe du PSG contre Toulouse Douchez, Sirigu - Armand, Arrondel, Camara, Conte, Jallet, Maxwell, Sakho, Van Der Wiel - Bodmer, Chantôme, Matuidi, Pastore, Verratti - Gameiro, Lavezzi, Lucas, Ménez lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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22/01/2013 22:35
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#5222
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation CARLO ANCELOTTI : «REGARDER DEVANT» A la veille de l’affiche des 16es de finale de la Coupe de France contre Toulouse, Carlo Ancelotti s’est présenté en conférence de presse. Très affecté par la disparition de Nick Broad, le technicien italien a tenu à lui rendre hommage. Avant de se recentrer sur le sportif. Extraits. Coach, on vous sait très touché par la perte de l’un de vos plus proches collaborateurs, Nick Broad… « Nick était un ami et un très grand professionnel. Il a fait un travail fantastique ici, a changé beaucoup de choses. Nous avons notamment mis en place la technologie avec les GPS, grâce à son idée et son expertise. Nous avons perdu une personne très très professionnelle. C’est la vie, nous devons regarder devant et je veux remercier tous les gens qui étaient proches de nous, car ce n’était pas facile de travailler ces derniers jours. Mais les supporters, les médias et tous ceux qui entourent le club ont montré beaucoup de respect et nous en sommes heureux. » Malgré ce terrible contexte, l’équipe a réussi à s’imposer au courage à Bordeaux dimanche soir (0-1). Un mot sur ce succès à Chaban Delmas ? « Dimanche ce n’était pas évident pour tout le monde. Les joueurs ont fait quelque chose d’extraordinaire, beaucoup de sacrifices pour jouer. Ça aurait peut-être été mieux de ne pas jouer ce match, mais ce n’était pas possible. En gagnant à Bordeaux dans ces conditions, les joueurs ont montré beaucoup de caractère. C’était un bon signal. » Et dès ce mercredi soir, c’est de nouveau la compétition qui vous attend face à Toulouse, en Coupe. Comment sentez-vous l’équipe ? « Alex et Thiago Silva seront absents, et Camara a un petit souci, nous allons prendre une décision le concernant très rapidement. Nous avons du coup convoqué un jeune, Antoine Conte comme défenseur central. J’envisage aussi d’aligner une charnière centrale Sakho-Armand. Thiago Motta et Ibrahimovic seront également suspendus ce mercredi, mais l’équipe sera compétitive. A noter que Nicolas Douchez sera titulaire dans le but. Nous voulons donner le meilleur de nous-mêmes car la Coupe de France est une compétition importante pour nous. » Comment jugez-vous les premières prestations de Lucas sous le maillot parisien ? « Il a joué deux matches en championnat. Le premier contre Ajaccio s’est très bien passé, et sur ce qu’on a vu de lui à Bordeaux, il doit encore travailler les combinaisons avec ses nouveaux partenaires, mais ça va venir très vite. Son arrivée a renforcé la concurrence mais ce n’est pas difficile de trouver une formule offensive, car les joueurs sont polyvalents. Nous pouvons changer de système devant pendant les matches, comme à Bordeaux où Ménez a permuté avec Lucas. Avoir Lucas avec nous renforce la concurrence, mais c’est avant tout une nouvelle force qui nous aide à gagner. » Avec l’enchainement des rencontres en ce début d’année, ne craignez-vous pas que cette période soit difficile à négocier pour Paris ? « Plus nous allons jouer, et plus la condition de chacun s’améliorera. C’est par contre forcément difficile de gérer tous ces matches avec quelques blessés dans l’effectif, mais cet enchainement de rendez-vous est bénéfique. Avoir une équipe solide est la clé pour s’imposer. L’objectif est que tout le monde soit en condition optimale début février. » PSG.fr |
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23/01/2013 08:08
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Paris ne veut pas lâcher la Coupe Privé de cinq titulaires, Paris reste néanmoins favori d’une compétition qui lui tient à coeur. Ce seizième de finale permettra de rendre un dernier hommage public à Nick Broad, l’un des adjoints de Carlo Ancelotti, décédé la semaine dernière dans un accident de la route extrêmement violent. « Il y aura quelque chose avant le match », confie l’entraîneur italien, qui s’exprimait hier pour la première fois depuis ce drame. Comme à Bordeaux, les joueurs porteront un brassard noir et observeront une minute de silence pendant laquelle la photo du défunt s’affichera sur les écrans géants. Les supporteurs ne l’oublieront pas non plus en applaudissant aux 38e et 75e minutes (son âge et sa date de naissance). Avec pudeur et son élégance habituelle, Ancelotti a salué « un ami », « toujours très professionnel dans son travail. Il a accompli un job fantastique ici. Il a changé beaucoup de choses depuis son arrivée. Nous avons perdu un grand pro. C’est la vie, on doit regarder devant ». Profondément bouleversé, le technicien ne s’est pas laissé trahir par son émotion. « Tout le monde a montré beaucoup de respect pour lui, les supporteurs, les médias, et je veux remercier tout le monde pour ça, ajoute Carletto. Ce n’était pas facile dimanche à Bordeaux (victoire 1-0). C’est vrai qu’on n’a pas fait un bon match, qu’il aurait été mieux de ne pas le disputer, mais les joueurs ont réalisé quelque chose d’extraordinaire dans un contexte difficile. » L’ambiance sera peut-être un peu moins lourde ce soir face à Toulouse, 9e de Ligue 1 et pour qui la Coupe de France est devenue un objectif prioritaire. Paris, lui, ne se cache pas non plus : il rêve d’un doublé Coupe-championnat, inédit dans sa courte histoire. Face aux Sudistes, le PSG sera pour la première fois de la saison amputé de cinq titulaires indiscutables : Douchez remplace Sirigu au nom de la rotation en coupes, Thiago Silva (cuisse) et Alex (mollet) sont blessés, Thiago Motta et Ibrahimovic, suspendus. En outre, Lucas soufflera et Camara, titulaire (et excellent) dimanche en Gironde, est forfait en raison d’une lésion à la cuisse droite. Ancelotti avait annoncé qu’en cas d’absence de Camara, la charnière serait composée d’Armand et Sakho. Ces multiples défections n’inquiètent plus au sein d’un PSG dimensionné pour faire face. « Nous avons beaucoup d’absents mais nous avons aussi les joueurs pour les remplacer. L’équipe sera compétitive », promet l’Italien. Lugano prêté à Malaga. Alors qu’il aurait sans doute été titulaire ce soir en Coupe de France face à Toulouse, Diego Lugano a été prêté six mois avec option d’achat à Malaga, cinquième du championnat espagnol. «Il est parti pour Malaga pour trouver du temps de jeu, expliquait hier Ancelotti. Il a toujours été sérieux. Il a toujours travaillé alors qu’il ne jouait pas. C’est une leçon de professionalisme pour les autres joueurs». Le Parisien Citation La mairie lance un ultimatum pour le Parc Alors que la Fédération française a présenté la semaine dernière les 10 stades retenus pour l’Euro 2016, dont fait partie le Parc des Princes, la mairie de Paris s’impatiente. La Ville va envoyer prochainement un courrier au PSG, à Colony Capital et à Vinci Constructions, leur demandant d’adopter rapidement une position commune sur le dossier du Parc des Princes. A l’origine, les trois entités s’étaient associées dans un groupement pour concourir au bail emphytéotique administratif (BEA) afin d’assurer la gestion du Parc pour les 60 prochaines années. Mais au printemps dernier, le PSG a décidé qu’il mènerait seul les travaux de rénovation pour l’Euro 2016 en partenariat avec la Ville. En contrepartie, le club de la capitale s’engageait à discuter avec ses deux anciens partenaires (Colony et Vinci) pour mettre fin au groupement. L’enjeu est de taille car le club ne peut pas lancer de travaux sans l’accord de ces deux associés. Mais à ce jour, les discussions patinent. Vinci et Colony souhaitent être rétribués pour les dépenses engagées lors de la préparation du projet, mais le PSG refuse de verser la moindre indemnisation. La Ville de Paris a donc décidé d’adresser un ultimatum aux trois associés afin qu’ils trouvent un accord avant la fin du mois de janvier. « Le but est d’être au rendez-vous de l’Euro 2016 », glisse un proche du dossier. La Ville envisage de relancer un nouveau BEA ou une convention d’occupation (comme celle en cours à Roland-Garros) si les trois entités ne parviennent pas à s’entendre. Ce qui pourrait faire les affaires du PSG qui, cette fois, pourrait concourir en solitaire. Frédéric Gouaillard pour Le Parisien |
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23/01/2013 09:19
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Paris, un air d’avant Pour pallier les blessures, Sylvain Armand et Mamadou Sakho seront associés en défense centrale, comme lors de la saison 2010-2011. Zlatan Ibrahimovic, lui, est suspendu. (Douchez- VDW, Armand, Sakho, Maxwell- Verratti, Matuidi- Lavezzi, Pastore, Menez- Gameiro) « C'est la vie... » Ces trois mots-là, banals mais chargés d'émotions, Carlo Ancelotti les a prononcés, hier lors de sa première conférence de presse depuis la mort de son adjoint et « ami » Nicholas Broad (voir par ailleurs). Dimanche dernier, à Bordeaux (1-0), les Parisiens ont su trouver les ressources pour surmonter ce deuil. Ils ont repris la tête de la L1, sans briller, en s'appuyant sur des vertus collectives. « Ce n'était pas facile, on n'a pas fait un bon match, mais les joueurs ont été solidaires et ils ont montré beaucoup de caractère », a confirmé l'entraineur du PSG, qui était resté muet après la victoire en Gironde, dimanche. Ce soir, face à Toulouse, un autre match capital attend l'équipe parisienne. Capital parce que le PSG vise le doublé Coupe-Championnat. Mais le technicien italien doit faire face à de nombreuses suspensions et blessures. En l'absence de Zlatan Ibrahimovic (suspendu), le « Mister » ne manque pas de solutions offensives, même s'il devrait privilégier l'option Kevin Gameiro en pointe. Au milieu, sans Thiago Motta (suspendu), Mohamed Sissoko (CAN) et Mathieu Bodmer (indigestion), Marco Verratti ou Clément Chantôme peuvent être associés à Blaise Matuidi. Trois jeunes du centre intégrés dans le groupe Mais la défense, qui s'est imposée comme la plus imperméable de France (12 buts encaissés en 21 matches de L1) et constitue la « clé » pour Ancelotti des bons résultats du PSG, présente des choix limités. À tel point que l'entraineur du PSG a dû intégrer à son groupe trois jeunes issus du centre de formation, qui évoluent en CFA: les défenseurs Alvin Arrondel (19 ans) et Antoine Conte (18 ans), mais aussi le milieu Philtzgérald Mbaka (20 ans demain), après le forfait de dernière minute de Mathieu Bodmer. En l’absence de son duo Thiago Silva (cuisse)-Alex (mollet), encore indisponibles deux semaines, Ancelotti pensait aligner Zoumana Camara au côté de Mamadou Sakho, comme à Bordeaux, où les deux joueurs « ont fait un très grand match », a souligné l’Italien. Mais le défenseur central (33 ans) est rentré de Gironde avec une douleur à la cuisse droite et a dû déclarer forfait, hier, après des examens médicaux. Diego Lugano ? Ancelotti a officialisé son prêt à Malaga (voir page 7) et a finalement opté pour Sylvain Armand. Titulaire à six reprises depuis le début de la saison, mais comme doublure de Maxwell au poste de latéral gauche, le défenseur du PSG n’a plus évolué à ce poste depuis la réception de Nice en Championnat (2-1, le 21 septembre 2011) sous l’ère Kombouaré. Ancelotti l’apprécie et mise sur son expérience et sa qualité technique. Même s’il joue à un autre poste et moins (503 minutes en L 1), le défenseur (32 ans) se présente comme un recours fiable, d’autant qu’il a déjà évolué en charnière centrale avec Sakho, lors de la saison 2010-2011. « Nous ne sommes pas inquiets. L’équipe sera compétitive », a conclu l’entraîneur du PSG. ALEXANDRE CHAMORET Citation DERNIER HOMMAGE À BROAD. – Depuis le décès de Nicholas Broad à la suite d’un accident de la circulation vendredi, auquel un dernier hommage sera rendu ce soir au Parc des Princes, le PSG avait observé un long silence médiatique. Carlo Ancelotti, très affecté par la perte de son adjoint, en est sorti hier. « C’était un ami, qui faisait un travail formidable. Il avait changé beaucoup de choses ici. Nous avons perdu une personne très professionnelle » , a pudiquement déclaré l’entraîneur italien, avant d’adresser un message de remerciements aux supporters, aux médias, « à tout le monde » « pour le respect » qui a été témoigné. – A. C. Citation DÉBUTS RÉUSSIS POUR NENE. – Pour son premier match de Championnat du Qatar avec Al-Gharafa, Nene a marqué hier un but et délivré une passe décisive contre Al-Kharitiyath (3-1). L’ancien Parisien (31 ans) a évolué au côté de Djibril Cissé, autre recrue hivernale, prêté par QPR. Cinquième après treize journées, Al-Gharafa est à cinq longueurs de la zone de qualification en Ligue des champions d’Asie. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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23/01/2013 23:45
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#5225
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Tranquille comme Paris Trois jours après sa victoire à Bordeaux (1-0) en Championnat, le Paris-SG a facilement battu Toulouse mercredi soir (3-1) et se qualifie pour les huitièmes de finale de la Coupe de France. Paris peut encore rêver d’un hypothétique doublé Championnat-Coupe de France. Mais plus que cette qualification pour les 8es de finale aux dépens de Toulouse (3-1), c’est la manière avec laquelle le club de la capitale l’a obtenue qui satisfera probablement Carlo Ancelotti. Alors qu’il était permis de s’interroger sur sa capacité à surmonter les absences conjuguées de Thiago Silva, Alex, Thiago Motta et Ibrahimovic, le PSG a maîtrisé son sujet (presque) de bout en bout. Seul son manque de réussite l’a empêché de tuer le suspense avant même la mi-temps. De belles séquences de jeu, un très bon pressing, des occasions franches : Paris a retrouvé mercredi soir tout ce qui lui avait manqué face à Ajaccio (0-0), mais aussi Bordeaux (1-0), où il avait toutefois su faire preuve de pragmatisme. En première période, Toulouse n’est parvenu à s’approcher de la cage de Nicolas Douchez qu’à trois reprises. Suffisant tout de même pour pousser Verratti à commettre une main (non signalée par M. Duhamel) dans sa surface (17e), mais surtout pour permettre à Franck Tabanou (18e) de répondre à l’ouverture du score rapide de Gameiro (8e). Entrée remarquée de Ménez Sans une parade spectaculaire de Blondel devant Pastore (37e) ou si le montant du portier toulousain n’avait pas repoussé une tête de Sakho (39e), Paris serait rentré aux vestiaires avec un avantage mérité. Il a finalement attendu la rentrée de Ménez, à la place de Gameiro qui avait manqué deux occasions franches avant la pause, pour reprendre les devants. L’international français a d’abord profité d’une relance manquée de Yago pour servir Pastore (2-1, 48e). Sur un contre, il s’est ensuite de nouveau mué en passeur décisif pour le but du 3-1 signé Lavezzi (66e). Si Chantôme a manqué l’occasion d’alourdir le score (75e), l’essentiel était déjà fait. Pour son 2000e match toutes compétitions confondues, et au terme d’une soirée une nouvelle fois chargée d’émotions avec le dernier hommage rendu par le PSG et le Parc à Nicholas Broad, décédé vendredi dernier, mais aussi l’apparition de Nene à la mi-temps, Paris ne s’est pas manqué. L'Equipe.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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24/01/2013 07:33
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Le PSG remet la couleur Décevant dans le jeu en L 1, Paris a profité de la Coupe pour renouer avec un certain éclat. Entré à la mi-temps et auteur de deux passes décisives, Ménez a fait la différence. Paris s’est imposé facilement face à Toulouse, hier soir, en seizièmes de finale de la Coupe de France, au terme d’une journée où Meaux (DH) est passé tout près d’un exploit retentissant face à Saint-étienne Du côté toulousain, l’actualité n’est pas particulièrement heureuse. Dans nos colonnes, Moussa Sissoko, puni pour avoir refusé de prolonger son contrat, s’exprime pour la première fois depuis sa mise à l’écart par ses dirigeants. LE 2 000e MATCH officiel du PSG, toutes compétitions confondues, laissera derrière lui le parfum d’une victoire et l’idée d’une marche en avant qui se poursuit. Trois jours après avoir reconquis le leadership de la L 1 en s’imposant à Bordeaux (1-0), le PSG a étiré son parcours en Coupe de France, hier, un peu moins de trois semaines avant d’aller défier Valence, en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions (le 12 février). Il y a la dynamique de résultats, remise à l’endroit après le couac face à l’AC Ajaccio (0-0, le 11 janvier). Et il y a eu un peu plus que cela dans la construction de cette victoire face au TFC (3-1), la septième d’affilée face à cet adversaire. Paris avait entamé 2013 dans un certain brouillard technique. Ce rendez-vous en Coupe a redonné des couleurs à l’animation offensive du PSG, un soir où Zlatan Ibrahimovic était suspendu. À l’exception d’une intensité déclinante entre la 15e et la 30e minute – une tranche du match qui vit Tabanou dévorer Van der Wiel pour égaliser de la tête (1-1, 18e) –, l’équipe de Carlo Ancelotti aura quasiment vécu dans le temps fort permanent. La victoire à Bordeaux avait fait ressortir l’impact de la charnière Camara-Sakho. En l’absence du premier, dont la blessure à la cuisse est venue s’ajouter à celles de Thiago Silva (cuisse) et Alex (mollet), Armand s’est fondu dans un système défensif que les Toulousains, après leur but, ne feront un peu vaciller que sur un tir croisé d’Aurier, à côté du cadre de Douchez (44e). Le bloc toulousain a souffert de la comparaison au fil d’un match dont Moussa Sissoko avait été écarté par son club dans le contexte d’un mercato crispé (lire ci-dessous). Lucas, des initiatives assez confuses Le TFC a rarement impressionné par son imagination pour ressortir le ballon et la constance du pressing parisien imposé par Matuidi, Verratti et Chantôme aura contribué à alimenter ses maux de tête. Solidement assis au milieu, Paris a pris possession du match, en partie parce que son effectif recèle un contingent de dribbleurs et d’accélérateurs du jeu sans doute sans équivalent dans le pays. En seconde période, l’entrée de Ménez à la place de Gameiro (46e) aura donné un impact dévastateur au jeu parisien, bien plus que celle de Lucas, qui a remplacé Lavezzi (76e), aux initiatives assez confuses. Le Français a été sympa avec les Argentins : une passe pour Pastore (2-1, 48e), une autre pour Lavezzi au bout d’un contre impulsé par Sakho (3-1, 66e), et deux jolis buts du gauche face à un Blondel qui avait repoussé l’échéance en détournant d’un réflexe une tête du « Flaco » (37e), avant de voir une tête de Sakho cogner son poteau gauche sur un centre de Maxwell (39e). Toulouse n’avait pas le coffre pour résister au souffle du PSG, hier soir. En s’offrant le luxe de quelques pertes de ballon vertigineuses, comme cette relance dans l’axe de Yago sur le deuxième but adverse, le TFC aura un peu plus serré la corde autour de son cou. La seconde période n’a jamais semblé pouvoir maintenir le semblant d’équilibre qui avait émergé au coeur de la première période. Puissance, fluidité et plusieurs gestes délicatement ciselés auront nourri le succès du PSG, de l’ouverture du score de Gameiro, servi par Lavezzi (8e, 1-0), à une dernière grosse occasion de Chantôme, qui frappa de peu à côté dans la surface (75e). Venu recevoir une immense ovation à la mi-temps, Nene s’est peut-être dit qu’en quittant Paris pour le Qatar, il venait de tourner le dos aux frissons des belles soirées du Parc. JÉRÔME TOUBOUL SUÈDE-ARGENTINE : IBRA FACE À LAVEZZI. – Le milieu offensif du Paris-SG Ezequiel Lavezzi (27 ans) a été convoqué par Alejandro Sabella, le sélectionneur de l’Argentine, pour affronter la Suède, le 6 février, en amical à Stockholm. L’ancien joueur de Naples sera donc opposé à Zlatan Ibrahimovic (31 ans), son partenaire au PSG. Javier Pastore (23 ans) n’a, pour sa part, pas été retenu. Citation Alain CASANOVA (entraîneur de Toulouse) : « Il y avait deux classes d’écart entre les deux équipes. On pensait qu’avec les absences d’Ibra et de quelques autres l’équipe serait amoindrie. On est tombés sur une équipe de tout premier plan. Je regrette notre manque de puissance au milieu pour avoir une meilleure récupération… On a égalisé. En début de seconde période, on a une situation pour mener. Mais je regrette nos erreurs sur les buts parisiens. À Paris, il y avait des joueurs qui jouent un peu moins, qui avaient envie de se montrer. Il ne faut pas se fier au match de Paris à Bordeaux car le PSG était mentalement affecté. C’est une équipe qui depuis deux, trois mois est devenue une grande équipe, avec beaucoup de principes, beaucoup de jeu. Sur l’absence de Sissoko, je me suis déjà exprimé. On est plus forts avec Moussa Sissoko, c’est un crève-coeur, mais le club est plus important que chacune de nos individualités. Le président paye de sa personne et de sa poche. Il fait beaucoup pour tous les jeunes. Personne ne doit l’oublier. » – G. D. Carlo ANCELOTTI (entraîneur du Paris-SG) : « Il y a eu beaucoup de concentration, beaucoup de qualité. Je pense que l’équipe a bien joué, avec de la vitesse, en utilisant les couloirs. C’était un beau jeu collectif. Les attaquants ont marqué et Ménez a fait un travail fantastique en seconde période. Les latéraux ont aussi bien travaillé avec un apport offensif. Je suis heureux de la prestation. Gameiro est sorti pour un petit problème musculaire à la cuisse. J’ai été surpris par la belle prestation de mon équipe. Les joueurs sont focalisés sur un objectif. Pastore est comme Ménez, c’est un joueur avec beaucoup de qualités mais qui ne peut pas reproduire de bonnes prestations à tous les matches. La Coupe de France est une compétition dangereuse, c’est bien d’être passé. » Citation « Huit mois sans se parler » Prêté à Malaga jusqu’au 30 juin, regrette l’absence de dialogue avec Carlo Ancelotti et explique ce qui l’a convaincu de quitter le PSG. En signant à Malaga à trente-deux ans, Diego Lugano (sous contrat avec Paris jusqu’en 2014) met les pieds dans son cinquième club après le Nacional Montevideo, le Sao Paulo FC, Fenerbahçe et le PSG, où il touchait 330 000 brut par mois. Avec lucidité, le défenseur central et capitaine de l’équipe d’Uruguay – prêté sans option d’achat– qualifie son passage à Paris d’ « échec » . Hier, il a accepté de nous raconter comment il avait vécu les tourments de sa deuxième saison parisienne, à zéro minute de jeu. « À MALAGA, avez-vous des garanties en termes de temps de jeu ? – Non, ce n’est pas quelque chose que l’entraîneur (Manuel Pellegrini) peut promettre. Mais la logique, quand vous recrutez un joueur au milieu de la saison, est plutôt de vous appuyer sur lui. Alors, oui, je pense disputer certains matches tout en sachant que j’arrive dans une équipe forte, où la paire de défenseurs centraux (Weligton et Demichelis) a été très sollicitée. – En quittant le PSG sans une minute de jeu cette saison, dans quel état physique et psychologique vous sentez-vous ? – Physiquement, très bien. Je me suis toujours entraîné dans l’idée de me maintenir en condition, de montrer que je ne laissais pas tomber. Avoir joué en sélection m’a aussi aidé. Bien sûr, aujourd’hui, après plusieurs mois sans match, je ne m’imagine pas à cent pour cent. Psychologiquement, je dois avouer que ce passage à Paris a été parfois très étrange. Par moments, j’ai beaucoup souffert. À Malaga, je vais me vider la tête. À Paris, j’avais fini par perdre un peu patience. « Malgré tout, Paris restera un bon souvenir » – Comment expliquez-vous votre mise à l’écart ? – Je n’aurais jamais pensé vivre une telle situation. Je n’ai pas compris comment j’avais pu en arriver à ne pas jouer une seule minute… J’ai toujours beaucoup respecté les décisions de l’entraîneur, car c’était aussi une façon de respecter mes coéquipiers qui étaient titulaires. Ce qui est dommage, c’est que le club ne m’ait pas dit l’été dernier qu’il ne compterait pas sur moi. Je l’ai compris fin août, au moment de mon absence sur la liste des joueurs inscrits en Ligue des champions. Si je l’avais su plus tôt, j’aurais demandé à partir. Là, il était trop tard… À cause de cela, j’ai perdu presque six mois. Mais je tiens à dire que je n’ai eu aucun problème, ni avec l’entraîneur ni avec Leonardo (directeur sportif du PSG). Avec le coach, on a passé pratiquement huit mois sans se parler. Elle est là notre erreur, à lui comme à moi. Il n’a peut-être pas mesuré ma situation, et moi, ce n’est pas mon genre d’aller demander des explications. – Avez-vous sondé votre sélectionneur (OscarTabarez) avant de prendre votre décision ? – Non. En réalité, le déclic n’est pas venu d’une discussion avec mon sélectionneur, mais avec mes coéquipiers en équipe d’Uruguay. En octobre, on a vécu deux défaites en Argentine (0-3, le 12) et en Bolivie ( 1-4, le 16), en éliminatoires de la Coupe du monde 2014. Des joueurs sont alors venus me voir et m’ont dit : “S’il te plaît, change de club. Il faut que tu partes dans une équipe où tu garderas le rythme de la compétition.” Cela a été un moment très fort, un signe de confiance très grand autant qu’une pression très forte par rapport à ma situation en club. – Quel bilan tirez-vous de votre saison et demie au PSG ? – Sportivement, c’est un échec parce que j’ai peu joué. Mais j’en pars aussi avec le sentiment de ne pas avoir pu montrer ce que je valais, non pas sur un match de temps en temps, mais sur la durée. Malgré cela, j’ai toujours ressenti une affection sincère du club, des supporters et de mes coéquipiers, des joueurs de haut niveau. Paris, malgré tout, ça restera un très beau souvenir… » JÉRÔME TOUBOUL L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
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25/01/2013 10:39
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Citation La galaxie Ibrahimovic Personnage atypique, la star du PSG a très peu d’amis intimes, mais il voue une fidélité et une confiance sans borne à ses conseillers. Personnalité complexe et fascinante, mélange de spontanéité, d’humour et d’agressivité, Zlatan Ibrahimovic cultive depuis toujours une certaine méfiance vis-à-vis du monde extérieur. L’héritage sans doute d’une enfance chaotique marquée par le divorce de ses parents. Ceci expliquant peut-être cela, sa garde rapprochée est réduite et extrêmement stable. C’est l’un des secrets de sa réussite. En dehors de sa compagne Helena Seger, il est entouré d’un homme de communication, d’un agent et d’une avocate. Les amis intimes, eux, se comptent sur les doigts d’une main. Mino Raiola (44 ans), italo-néerlandais, l’homme de confiance C’est l’homme qui escorte la carrière d’Ibrahimovic depuis dix ans. Leur relation professionnelle a débuté en 2003 à Amsterdam par l’entremise de Maxwell, déjà sous contrat à l’époque avec Raiola. Depuis, ils forment un duo de choc. Raiola est toujours prêt à monter au créneau dès que leurs intérêts sont en jeu. « Nous sommes amis depuis la première minute où nous nous sommes rencontrés, s’enflamme l’agent. Pourquoi? Peut-être parce que nous sommes tous les deux des personnes extrêmes. Avec Zlatan comme avec moi, il n’y a jamais d’hypocrisie. Avec nous, c’est tout ou rien. » « Mino est bien plus qu’un agent pour moi », confirme de son côté Ibrahimovic. Grâce aux cinq transferts successifs de son protégé, Mino Raiola aurait encaissé près de 20 M€ de commission en dix ans. Mika Lepistö (46 ans), finlandais, le pro de la com Depuis 2010, le couple Zlatan-Helena s’est adjoint les services de ce professionnel de la communication et du marketing. « Je m’occupe de la marque Zlatan dans tous les secteurs hors foot : les contrats publicitaires, les œuvres caritatives et la communication sur les réseaux sociaux », explique le Finlandais. Parmi ses dossiers : le contrat avec Nike, la vente des droits à l’étranger de l’autobiographie de Zlatan ou la relation avec Bris, une ONG suédoise qui œuvre en faveur des enfants. En première ligne dès qu’il s’agit de défendre l’image du couple le plus célèbre de Suède, il a par exemple pris soin de rédiger un communiqué de deux lignes pour démentir une grossesse d’Helena Seger en août. Helena Seger (42 ans), suédoise, la femme de sa vie Zlatan et Helena sont en couple depuis dix ans. Après avoir mené une carrière dans le marketing, Helena s’occupe du foyer et veille sur leurs enfants, Vincent et Maximilian dit Max. Chaque matin, elle les emmène avec son chauffeur dans une école privée parisienne et vient les rechercher le soir. Très attentive à l’éducation de ses garçons, elle fréquente aussi les salles de sport. Ancienne directrice du conseil d’administration de la compagnie aérienne FlyMe, elle est réputée pour être très exigeante… De onze ans son aînée, son influence auprès du buteur s’avère essentielle. « Elle joue un rôle de mère-épouse, explique un proche. Car Zlatan a eu une relation délicate avec sa mère dans sa jeunesse. » Maxwell (31 ans), brésilien, l’ami fidèle Ils se sont rencontrés à l’Ajax d’Amsterdam, où ils ont évolué ensemble entre 2001 et 2004. Entre le Brésilien Maxwell, jeune homme de bonne famille, et Ibra écorché vif, l’alchimie est presque instantanée. Chose assez rare, les deux copains ont suivi des carrières quasi parallèles. Ils ont joué sous le même maillot à quatre reprises : Ajax Amsterdam, Inter Milan (2006-2009), FC Barcelone (2009-2010) et maintenant Paris. Leurs épouses s’entendent très bien et les deux familles passent régulièrement du temps ensemble. A Paris, ils habitent à proximité l’un de l’autre. Pour sceller leur amitié, ils se sont désignés mutuellement comme le parrain de l’un de leurs enfants. Daniel Majstorovic (35 ans), suédois, le confident Après le match nul contre Ajaccio, le 11 janvier, Zlatan s’est offert un week-end chasse sur la petite île de Dävensö, près de Stockholm. Ces terres réputées pour leurs troupeaux de cerfs, appartiennent à Daniel Majstorovic. Coéquipiers sous le maillot de la sélection nationale depuis 2003, ils sont petit à petit devenus des amis intimes. Physique de Golgoth (1,94 m comme Ibra), originaire lui aussi de l’ex-Yougoslavie, ce défenseur central n’a jamais connu les ors du très haut niveau. En février 2012, pendant un entraînement de la sélection suédoise, Daniel Majstorovic est victime d’une rupture des ligaments croisés. Une blessure infligée par… son ami Zlatan. Rafaela Pimenta (39 ans), brésilienne, la conseillère Comme Maxwell ou Mino Raiola, elle est proche de la star depuis une dizaine d’années et son passage à l’Ajax Amsterdam. Cette avocate brésilienne vit en Europe et travaille avec Mino Raiola pour le compte d’autres footballeurs. Mais Ibra est son client le plus célèbre. Rafaela Pimenta intervient en particulier pour finaliser les contrats de transfert. « Zlatan a de bons principes de vie, c’est quelqu’un de confiance, nous a-t-elle déclaré. Il dégage beaucoup d’énergie et de forces. Je conseille d’autres jeunes footballeurs et je leur dis de s’inspirer de Zlatan car il est vraiment très professionnel. » Citation Demain soir, Canal + lui consacre un documentaire inédit Pas moins de 94 minutes avec Ibrahimovic! Demain soir à 20h55, Canal + offre à ses abonnés et aux fans de l’attaquant parisien cet instant de bonheur. « Zlatan l’intégrale » est un documentaire qui retrace la carrière et un peu la vie du géant suédois. La chaîne cryptée promet « un savant mélange d’images d’archives, pour la plupart inédites, et d’autres, plus actuelles ». De ses premiers pas à Malmö à ses exploits parisiens, on comprend mieux la personnalité déconcertante et fascinante de la star de la Ligue 1. Des joueurs, entraîneurs ou dirigeants qui l’ont côtoyé doivent le décrire en un mot. Morceaux de bravoure avec Fabio Capello (son entraîneur à la Juventus Turin), qui le compare à « Salvador Dali » pour « sa fantaisie et sa folie », Leo Beenhakker (son directeur technique à l’Ajax Amsterdam) qui lance un : « Pour moi, c’est le plus grand », ou encore un Christophe Jallet, prudent, qui glisse : « Tatoué! » Citation PSG EXPRESS Hier. Décrassage. Aujourd’hui. Entraînement à huis clos au camp des Loges à midi. Infirmerie. Thiago Silva (cuisse), Alex (mollet), Bodmer et Camara (cuisse). Absents. Sissoko et Tiéné (Coupe d’Afrique des nations). Rendez-vous. PSG - Lille, dimanche 27 janvier à 21 heures, 22e journée de L1 (Canal +). Le Parisien.fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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25/01/2013 11:30
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#5228
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![]() Keyloriste ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 47,652 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : 92 Membre no 112 Tribune : Non précisée |
Citation « Je ne comprends pas » Nene, L'ancien milieu parisien, recruté par Al-Gharafa au Qatar, évoque son départ du PSG et des rapports complexe avec Leonardo. « AVEZ-VOUS ÉTÉ ému par l’hommage que vous a rendu le Parc des Princes mercredi ? – Oui, c’était très intense. Sentir ça, c’est énorme. Je devais dire au revoir aux supporters. Ils m’ont marqué à vie. Je leur ai donné, mais eux aussi m’ont beaucoup donné. Je joue pour ça. Mon carburant, c’est eux, et ils ont toujours été derrière moi. Je les remercie vraiment. Ce n’est pas de la communication. Je n’oublierai jamais ce que j’ai vécu ici, ce club, ce stade, les supporters. – Quel est votre meilleur souvenir ? – Chaque fois que je marquais au Parc des Princes, j’étais dans un état exceptionnel, dans un autre monde. Mais là, je pense à mon premier classique contre l’OM (2-1, le 7 novembre 2010). Je fais la passe décisive à Guillaume (Hoarau). C’était magique. Je me souviens aussi du but que j’ai marqué à Valenciennes (2-1, le 11 décembre 2010), cet enroulé dans la lucarne. – Et les mauvais moments ? – La finale de la Coupe de France contre Lille (0-1, le 14 mai 2011) et le Championnat la saison dernière, qu’on n’aurait jamais dû perdre. – Et puis il y a votre départ de PSG, non ? – Je pensais rester ici, oui, mais bon... – Expliquez-nous. – Je ne comprends pas pourquoi Leonardo (le directeur sportif du PSG) n’a pas voulu me prolonger, après la saison que j’avais faite (21 buts, 10 passes décisives en 2011-2012). Je ne sais pas. Posez-lui la question. – Il nous répond qu’à trente et un ans et à six mois de la fin de votre contrat vous ne faisiez plus partie de l’avenir. – Leonardo ne m’a jamais dit que je ne faisais plus partie du projet. Il ne m’a jamais rien dit. J’ai dû comprendre tout seul qu’il fallait que je parte. – Et votre entraîneur, Carlo Ancelotti, que vous disait-il ? – Qu’il avait besoin de moi, qu’il était content de moi. Il ne voulait pas que je parte. Lui non plus ne comprenait pas. – Mais il y a bien une raison... – Mais je n’en sais rien ! J’étais bien et je pouvais faire comme la saison dernière. Sauf que je n’en ai pas eu trop l’occasion. J’ai été souvent sur le banc (5 titularisations seulement en L 1). – Vous pensez que c’est parce que ce n’est pas Leonardo qui vous a recruté ? – Ce n’est pas la raison principale, mais c’est sûr que ça ne m’a pas aidé. – N’est-ce pas dû à certains de vos caprices, lorsque vous ne jouiez pas, comme à Nancy (1-2, le 31 mars 2012), où vous aviez ostensiblement boudé ? – Peut-être. Mais si c’est la raison principale, ce n’est pas juste, vu tout ce que j’ai pu faire de bien ici. Et puis ce n’était pas la fin du monde, il ne faut pas exagérer. J’ai eu tort, mais j’ai juste eu une réaction intempestive. Je voulais jouer, aider l’équipe. On peut continuer à chercher les raisons, mais moi, je ne sais rien. Il faut demander à Carlo et à Leo. – Y a-t-il eu un clash avec Leonardo ? – Non, pas de clash mais des discussions, parce que je ne comprenais pas pourquoi on ne respectait pas ce que j’avais fait. J’étais un peu énervé. La saison dernière, je marchais sur l’eau. Je n’ai pas eu de baisse de régime physique. C’était incroyable. J’aurais aimé rester, mais je n’ai pas de regrets. Parce que je suis heureux de ce que j’ai fait avec le PSG. Et ça, les gens le sentent. Le meilleur moment de ma carrière, c’est le PSG et ça le restera. – Certains estiment aussi que Paris a perdu le titre de champion la saison dernière à cause d’une passe que vous n’avez pas faite à Kevin Gameiro, à Auxerre (1-1, le 15 avril 2011)... – C’est vraiment abuser. Vous croyez vraiment qu’on perd un titre de champion sur une action ? Les points, on en avait perdu avant. Mon jeu, c’est dribbler, provoquer et faire la passe, mais là, je n’ai pas vu Kev. C’est tout, et personne n’est parfait. – Aviez-vous des relations tendues avec Zlatan Ibrahimovic ? – Non, vraiment pas. À l’entraînement, ç’a été chaud une fois sur un tacle, mais cela arrive partout, chaque semaine, sauf qu’on n’en parle pas parce que ce n’est pas Ibra ou moi. Il n’y avait aucun problème. On mangeait même l’un à côté de l’autre. – Schalke 04 vous a fait une grosse offre. Pourquoi l’avoir déclinée ? – J’y ai réfléchi. Mais c’était compliqué. Il y avait d’autres clubs aussi, Besiktas, Galatasaray, et même l’AC Milan, qui s’est à nouveau renseigné. West Ham aussi, Malaga et cinq ou six clubs au Brésil. J’ai discuté avec Santos jusqu’au bout. Mais l’offre n’était pas si élevée et mon pourcentage de chances d’être appelé en sélection était faible. – Comprenez-vous les critiques qui vous reprochent d’avoir fait le choix de l’argent en optant pour le Qatar ? – Je vais gagner beaucoup plus d’argent, mais je dirais que c’est un choix de raison avant tout. Il fallait que je pense à l’avenir, que je mette à l’abri ma famille, mes enfants, ma mère. Avant Monaco et Paris, j’ai joué dans des clubs moyens (Palmeiras, Santos, Alavés et Celta Vigo). Ma vie, je ne la gagne vraiment bien que depuis cinq ans. Les gens ne comprennent pas, mais il ne faut pas oublier que je viens d’un milieu très modeste. Ce choix n’a pas été facile à faire. Mais je ne suis au Qatar que pour deux ans. Je rejouerai au Brésil. Si je n’ai pas de blessure, je jouerai jusqu’à trente-sept ans. Le truc qui est un peu dur au Qatar, c’est que les stades sont vides et que je marche à l’adrénaline. Il faudra que je me motive tout seul. Je ne m’inquiète pas, mais il faut que je sois vigilant pour ne pas lâcher. » ALEXANDRE CHAMORET Citation Un talent compliqué Pendant ses quatre ans et demi en France, il y a souvent eu un fossé entre les qualités de l’ancien milieu brésilien du PSG et l’image qu’il a renvoyée. À MONACO, il se définissait comme un joueur qui « explose vite, que ce soit avec le coach ou mes partenaires, mais ça ne dure pas ». À Paris, Nene a eu l’occasion de mettre en pratique cette théorie à plusieurs reprises. Et, à la fin, c’est vrai, cela n’a pas duré. Le milieu brésilien (31 ans) a fini par partir de la capitale, là où il aurait pourtant aimé prolonger, à cause d’un comportement qui, aux yeux de ses dirigeants, a dissipé la portée de deux saisons et demie de statistiques convaincantes (36 buts, 23 passes décisives en 79 matches de L 1 de 2010 à janvier 2013). Sa dernière incartade, contre le FC Porto en C 1 (2-1, le 4 décembre), où il avait multiplié les gestes d’humeur sur le banc de touche après avoir appris qu’il n’entrerait pas tout de suite en jeu, a conduit Carlo Ancelotti, son entraîneur, à l’écarter du groupe pour les deux matches qui suivirent. Il ne fit plus aucune apparition en compétition officielle avec le club. Doué mais caractériel, épatant mais agaçant, Nene a quitté la semaine dernière la L 1, où il a marqué cinquante-cinq buts et offert trente-sept passes décisives en 142 matches en quatre saisons et demie (entrecoupées d’un prêt à l’Espanyol Barcelone, en 2008-2009), mais où rien ne fut jamais vraiment simple, pas même son départ vers le Qatar, à Al-Gharafa. En brésilien, nene signifie « bébé » et certains Parisiens ont vite compris pourquoi ce surnom était devenu celui d’Anderson Luis De Carvalho, né à Jundiai (État de Sao Paulo) en 1981. Dès qu’une décision d’un entraîneur ne lui plaît pas, cet épatant milieu gauche boude. Ce fut le cas à Nancy (1-2, le 31 mars 2012), lorsque Carlo Ancelotti l’avait laissé sur le banc. Ce jour-là, Nene était resté au vestiaire pendant l’échauffement de ses coéquipiers et, vexé de ne pas être entré en jeu, avait juré, dans un accès de colère, devant certains joueurs, qu’il ne porterait plus le maillot du PSG. Ancelotti et Leonardo, le directeur sportif parisien, n’ont jamais digéré. Ce fut également le cas à Rennes (1-1, le 13 août 2011), où Antoine Kombouaré l’avait déjà collé avec les remplaçants. Là encore, contrarié, limite excédé, il avait tapé dans une bouteille d’eau à l’issue de la rencontre et provoqué l’ire de son technicien. Un an plus tôt, c’était Guy Lacombe, sous les couleurs de Monaco, qui l’avait mis à l’écart, l’espace d’une journée, histoire de lui faire comprendre qu’une équipe de foot reposait sur un collectif. Cet aspect du métier, Nene ne l’a pas toujours bien saisi lors de son passage en France, où il fut souvent adulé par les publics côtoyés mais isolé dans les vestiaires fréquentés. Si pas grand monde n’a parié sur le fait qu’il serait le premier à se frictionner avec Zlatan Ibrahimovic, c’est parce que la cote était trop faible. Un mois à peine après l’arrivée du Suédois, les deux hommes se chauffaient à la suite d’un tacle un peu trop appuyé du Brésilien. La saison précédente, Nene avait déjà eu un accrochage comparable avec Mathieu Bodmer qui aurait pu très mal se terminer pour l’ancien Monégasque (2007-2010). « À ta place, je lui en aurais collé une », avait confié Kombouaré au milieu défensif français, une fois le calme revenu. Et pourtant, le technicien kanak n’a jamais effacé de son esprit le talent de celui qu’il a dirigé pendant un an et demi (juillet 2010-décembre 2011). Cet hiver, il aurait bien aimé le recruter dans son club d’Al-Hilal, en Arabie saoudite, disposé à offrir à Nene un pont d’or. Dans ces colonnes, Guy Lacombe déclarait de son côté : « J’ai été le roi des cons de ne pas taper du poing sur la table pour le faire resigner en novembre 2009 (à Monaco). » (Voir L’Équipe du 27 septembre 2012.) Seulement, personne ne dicte à Nene ce qu’il doit signer. Le PSG aurait pu s’en rendre compte à l’été 2010. Alors que tout est réglé avec son agent de l’époque et que la visite médicale s’est parfaitement déroulée, le Brésilien relit le contrat une dernière fois et n’est plus d’accord sur le montant de la prime. Il jure qu’il ne signera pas si elle n’est pas revue à la hausse. Il faudra une bonne dose de ruse de la part d’Alain Roche, le directeur sportif de l’époque, pour éviter au transfert de capoter au dernier moment. Ceux d’Al-Arabi (D 1 qatarienne) et de Santos (D 1 brésilienne) n’auront pas témoigné des mêmes qualités. Les premiers pensaient avoir obtenu l’accord de Nene sur un contrat de dix-huit mois et un salaire de 5 millions d’euros net, début janvier, jusqu’à ce qu’une surenchère de Lekhwiya (D 1 qatarienne) change la donne. De son côté, le milieu parisien croit toujours en ses chances de participer à la Coupe du monde dans son pays, en 2014, et estime qu’un retour à Santos, en dépit d’un salaire moins élevé, peut l’aider dans son entreprise. « Je dois choisir entre le sportif et le financier », lâchait-il sur RMC le 8 janvier. Alors ce sera le sportif, puisqu’il donne son accord verbal aux dirigeants de Santos. Et puis non, le financier ! Al-Gharafa, un troisième club qatarien, entre dans la danse quelques heures plus tard et lui propose le contrat de sa vie : 11 millions d’euros net sur deux ans et demi. Il est sur le point de dire oui. Mais continue d’entretenir l’illusion d’un retour à Santos. Sportif, financier, sportif ? Ce sera financier. Nene avertit ensuite le PSG de son choix de rejoindre Al-Gharafa. Mais, avant de signer, il prend aussi le soin de négocier une indemnité pour ses six derniers mois de contrat avec Paris, évalués à 1 million d’euros et sur lesquels il ne comptait pas s’asseoir. DAMIEN DEGORRE L'équipe papier |
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25/01/2013 15:03
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#5229
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation ITW Armand : «Sans Ibra, on joue différemment»
Le défenseur du PSG Sylvain Armand, auteur d'un match plein mercredi en Coupe de France contre Toulouse (3-1), savoure sa titularisation et la qualification en Coupe de France. Et reconnaît que Paris joue dans un autre style sans sa star Ibrahimovich. «Sylvain Armand, cela vous a fait quoi d’évoluer 90 minutes mercredi contre Toulouse ? Ça fait du bien, car c’est l’objectif de chacun. Ce qui est surtout plaisant, c’est d’avoir participé à une belle victoire, à un bon match et à une qualification. C’était important de continuer cette aventure en Coupe de France. Entre nous, il y avait de solidarité parce que, sur le terrain, beaucoup de joueurs n’avaient que peu joué dernièrement. Il fallait donc s’encourager et vraiment être tous ensemble pour assurer. Vous avez une nouvelle fois montré à Ancelotti qu’il pouvait compter sur vous. C’est un gros défi à chaque fois ? Pour ceux, comme moi, qui jouent moins, on se doit de répondre présent même si ce n’est pas toujours évident car on a moins de repères. Pour la plupart des joueurs, ça se passe toujours bien. Cela montre qu’il y a un vrai collectif, que tout le monde travaille ensemble à l’entraînement et ça se ressent sur le terrain. Comment faire pour être totalement au point quand vous jouez ? Cela demande plus de travail que les autres (les titulaires, ndlr) à l’entraînement. Et, le jour J, quand on fait appel à nous, il s’agit d’être vraiment très concentré. «Ibra nous a sorti plusieurs épines du pied» Le jeu du PSG est-il plus fluide sans Ibrahimovic ? Si Ibra a mis 19 buts, ce n’est pas un hasard. Sans lui, on joue différemment. Quand il est là, il est capable de marquer à tous moments, de faire des gestes incroyables. Il nous a sorti plusieurs épines du pied cette saison. Face à Toulouse, on a joué en faisant plus circuler le ballon, en utilisant plus les côtés, comme le souhaitait le coach. Ça nous a plutôt bien réussi. On est capable de gagner avec tout le monde, avec ou sans Ibra. Marseille sera sans doute votre adversaire au prochain tour en Coupe de France. C’est un bon tirage selon vous ? On ne sait pas encore si ce sera l’OM mais, si c’est le cas, ce sera bien. C’est toujours plaisant de jouer des matches comme ça plutôt que d’affronter des petites équipes où ce n’est pas toujours évident. Quelle est la marge de progression du PSG ? Elle se situe dans le jeu. Nous devons évoluer plus souvent comme cela a été le cas mercredi. Il faut être plus constant et faire davantage peur. On peut encore progresser sur ces deux points-là. Aujourd’hui, on peut estimer que la mayonnaise, malgré toutes les arrivées, a bien pris. Il a, au départ, fallu un peu de temps mais tout le monde s’est bien adapté. L’équipe est désormais soudée.» Recueilli au Camp des Loges par David MICHEL et Jérôme TOUBOUL pour l'Equipe |
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25/01/2013 17:15
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 7,364 Inscrit : 24/10/2012 Membre no 9,006 Tribune : Canapé |
Citation Christophe Jallet a participé au premier hangout PSG/Google en direct du camp des Loges. « On s’est adapté au style des adversaires, regroupés, en bloc derrière, en passant d’un 4-3-3 au 4-4-2. Cela nous évite des contres aussi. Mais il n’y a jamais rien de facile. On doit toujours jouer en équipe parce que les points, on nous les donnera pas, a expliqué le défenseur. L’OL, l’OM? Lyon développe un beau football avec un effectif assez stable malgré des départs. Marseille a un effectif plus restreint, ils jouent moins bien mais ils sont décisifs dans les zones importantes. Ils ont souvent gagné 1-0 d’ailleurs. Il faudra compter sur eux et être costaud. On a vu la saison dernière, à nos dépens, qu’il y a toujours des équipes qui s’accrochent. Lille? Ils sont un plus en difficulté que les saisons passées mais ça reste une grosse cylindrée de la L1. » Interrogé sur la vie de groupe, le latéral droit s’est montré positif : « Il y a plusieurs colonies dans le groupe, ça parle en français, en italien, en anglais, en portugais. Mais tout le monde est concerné et s’inscrit dans le projet. Il y a eu un tournant avec le match de Porto. On était dans une mauvaise passe et on voulait vraiment faire un résultat. D’ailleurs on a plus encaissé de but en championnat depuis ce match. » Au sujet de la Champions League, Christophe Jallet ne se projette pas mais croit aux chances du PSG face à Valence. « Sortir des poules, c’était le premier challenge parce que le PSG n’avait pas participé depuis longtemps à la compétition. A Mestalla, il y aura une grosse ambiance et une équipe qui joue au ballon. Les équipes qui jouent en général nous réussissent. Mais ça ressemble à un match piège même si c’est à notre portée. Après on verra et peu importe l’adversaire, ce sera un gros si on passe » a déclaré le joueur. « Je n’ai pas de compte Twitter, a-t-il enfin précisé au sujet du « fake » parfois repris par des médias. C’est une longue procédure pour le faire fermer. Je vais devoir m’y mettre en créant un compte officiel. » Canal Supporters |
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26/01/2013 13:15
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#5231
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 7,364 Inscrit : 24/10/2012 Membre no 9,006 Tribune : Canapé |
Citation Avec la Côte d’Ivoire, qui affrontera la Tunisie à la CAN 2013 ce samedi (16h), Siaka Tiéné retrouve un temps de jeu dont il ne bénéfice pas au PSG. A 30 ans, le latéral gauche espère que sa situation se débloquera avant la fin du mercato.
Siaka, cette Coupe d’Afrique des Nations est l’occasion pour vous de retrouver la compétition… Exactement. Avec Paris, je n’ai pas eu le temps de jeu que je voulais (aucune apparition en Ligue 1 cette saison, ndlr). Avec la sélection et un entraîneur comme Sabri Lamouchi qui me fait confiance, ce n’est que du bonheur. Je ferais tout pour participer à cette merveilleuse aventure. - N’avez-vous pas envie de montrer aux dirigeants parisiens que vous avez le niveau international à travers cette CAN ? Non, je n’ai rien à prouver à qui que ce soit. Je connais mes qualités et eux aussi. Actuellement, je suis concentré sur ma CAN et le plus important pour moi est de finir avec le trophée de champion d’Afrique. - Avez-vous le sentiment que les joueurs recrutés par le PSG avant l’arrivée des Qataris sont moins considérés ? Non, je ne vais pas trop rentrer dans ce sujet-là. Pour ma part, c’est vrai que je joue moins depuis l’arrivée des Qataris, ce que je déplore. Je suis arrivé à Paris pour jouer et j’ai manifesté mon mécontentement lors d’une interview. Après, je ne veux pas rentrer dans cette polémique. - On imagine que vous avez été touché par la disparition de Nick Broad… Oui. Tout d’abord, je présente mes condoléances à sa famille. C’est un triste moment. Nick était un super mec. Il n’y avait aucune histoire avec lui. Il était toujours là à nous donner des consignes sur la nutrition. C’est Sakho qui m’a appris la nouvelle. J’étais abattu. - Comment s’annonce votre avenir, à quelques jours de la fin du mercato ? C’est vrai qu’il ne reste que quelques jours, mais pour l’instant, je reste concentré sur ma CAN et on verra après. Il y a mes agents qui s’occupent de ça, on verra bien. - Cette saison au PSG est quand même longue et difficile pour vous… Oui, forcément, elle est super longue. Les week-ends sont pénibles pour moi. La semaine, ça va, on s’entraîne. Tu te lâches, tu te défonces. Et dès que le week-end arrive, on te met de côté, c’est… Après, Carlo Ancelotti fait ses choix. Je n’ai jamais été dans son bureau pour lui demander pourquoi il ne me faisait pas jouer, parce que je suis un gagneur et un battant. J’accepte donc ses décisions. - Un mot sur Zlatan Ibrahimovic. C’est un bonheur de côtoyer un tel joueur ? Oui, c’est un super joueur. Je m’entends super bien avec lui d’ailleurs. Il donne cet air de méchant alors que derrière ça, c’est un super mec. Il a beaucoup d’humour. Il me taquine souvent, on se chambre. Il m’appelle « african brother» ou « Kunta Kinte » ( - Entre Zlatan Ibrahimovic et Didier Drogba, quel est votre choix ? On ne va pas les comparer. Didier, je le côtoie depuis longtemps, je fais tout avec lui. « Ibra », je ne le vois qu’à l’entrainement. Mais footballistiquement, on ne peut pas les comparer, ce sont deux talents différents. Après, ce sont tous les deux des gagneurs. Ils poussent leur équipe, l’encouragent, et donnent envie à leurs partenaires d’aller de l’avant. RMC |
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26/01/2013 15:23
Message
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Armand devrait encore dépanner
Carlo Ancelotti a retenu un groupe de 20 joueurs pour affronter Lille dimanche soir au Parc des Princes (21h00), en clôture de la 22e journée de L1. L'entraîneur parisien, qui sera privé d'Alex, Camara et Thiago Silva, devrait de nouveau titulariser Sylvain Armand en charnière centrale au côté de Mamadou Sakho, comme ce fut le cas mercredi face à Toulouse (3-1) en Coupe de France. Blessés, Bodmer et Gameiro manquent aussi à l'appel, tout comme Sissoko et Tiéné, présents à la CAN. Le groupe parisien Areola, Douchez, Sirigu - Armand, Arronel, Jallet, Maxwell, Sakho, Van Der Wiel - Chantôme, Conte, Matuidi Blaise, Thiago Motta, Pastore, Rabiot, Verratti - Ibrahimovic, Lavezzi, Lucas, Menez |
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27/01/2013 10:18
Message
#5233
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 26,528 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 165 Tribune : Canapé |
Citation La LFP refuse de reporter PSG-Bastia La Ligue a récemment repoussé la demande de report du match PSG-Bastia du 8 février (24e journée) émise par le club parisien qui voulait jouer 24 heures plus tard. Selon nos informations, le PSG aurait invoqué le nombre important de ses joueurs retenus pour les rencontres internationales du 6 février (dont l'amical France-Allemagne). Le match aura donc bien bien lieu le vendredi 8, quatre jours avant le 8e de finale de Ligue des champions des Parisiens à Valence. Lequipe.fr |
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27/01/2013 11:32
Message
#5234
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,395 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Le Mans Membre no 33 Tribune : Canapé |
Citation Un vrai tournant pour Paris S’ils souhaitent reprendre les commandes du championnat et montrer aux Lyonnais qu’ils ont du répondant, les Parisiens ont intérêt à ne pas flancher. Il y aurait donc un particularisme français, une donnée atavique propre à la Ligue 1. Partout en Europe, un leader s’échappe, assoit son autorité sur le reste du championnat et domine avec une belle avance en points (entre 5 et 8 en moyenne) les concurrents. Ici, non. Pour l’instant, il y a bien un gagnant et un perdant dans cette journée, avec Lyon vainqueur à Valenciennes (2-0) et l’OM réduit au nul à Rennes (2-2). Mais rien ne sera joué après cette 22e journée, il n’y aura aucun confort pour personne. Quel que soit son résultat, le PSG restera dans la course. Comme ses deux autres rivaux. Mais il aurait une bonne idée en s’imposant devant Lille. Rester premier, ne céder aucun terrain à Lyon devient une urgence, sinon une priorité. Car l’OL ressemble de plus en plus au Montpellier champion de France la saison passée. Pour les amoureux de statistiques, il faut même dire que la dernière fois que l’équipe rhodanienne s’est imposée à Valenciennes, elle a remporté l’un de ses sept titres. Carlo Ancelotti a trouvé une parade à cette coïncidence, de plus en plus ennuyeuse : « Pas d’inquiétude. Lyon ressemble peut-être un peu à Montpellier, mais je crois que Paris, lui, est différent de la saison dernière. » Quand il dit différent, il pense plus fort. Le souci, c’est que cela ne se voit pas tous les jours. Mais ce n’est pas son PSG du moment qui est en cause, c’est celui d’août à début décembre qui a mis un temps fou à se trouver. Aujourd’hui, Paris se comporte vraiment comme une équipe, même un jour de tristesse comme à Bordeaux la semaine dernière (1-0). « Le PSG possède un très bon équilibre parce que les attaquants font plus de sacrifices qu’en début de saison », souligne l’entraîneur italien. Plus de temps à perdre En cette fin janvier qui doit montrer un progrès dans la condition physique après la coupure toujours dangereuse de Noël, le PSG n’a plus de temps à perdre : ni dans le résultat, essentiel, ni dans le jeu, après le beau mois de décembre, ni au Parc, où il a abandonné la majorité de ses points (déjà douze), dont deux lors de sa dernière production en L1 (0-0 devant Ajaccio). Et qu’il ne se prive plus de ses festivals offensifs, la différence de buts s’affirmant journée après journée comme un critère essentiel (+ 25 et + 19 ce matin entre Paris et Lyon). C’est tout le problème de ce PSG dont on se demande à chaque sortie sur quel mode il va s’élancer. Depuis l’arrivée des Qatariens, le mal viscéral, chronique, endémique du PSG — son irrégularité — n’a pas changé. Sinon, avec les Thiago Silva, Ibra et Lavezzi, il aurait déjà une sacrée avance. Le doute est permis. C’est un soir pour le chasser. Citation Futur camp des Loges : le PSG cherche de nouveaux terrains Que se passe-t-il concernant le futur centre d’entraînement du PSG ? L’annonce du choix du site qui accueillera le Milanello à la parisienne ne cesse d’être repoussée. Prévue initialement à l’automne dernier, la communication a été décalée à fin décembre 2012 puis à janvier 2013. Et voilà maintenant que le verdict vient d’être encore ajourné… Pourquoi? Selon certaines sources, les responsables parisiens attendent l’élection du nouveau président de la chambre d’agriculture d’Ile-de-France jeudi prochain. Mais, plus vraisemblablement aujourd’hui, l’explication se trouve ailleurs. Les dirigeants ne sont simplement pas satisfaits, pour diverses raisons, des trois dossiers qu’ils avaient pourtant présélectionnés il y a quelques semaines : les sites de Saint-Germain-en-Laye, Poissy et Montigny-le-Bretonneux. A tel point d’ailleurs qu’ils viennent de mandater un promoteur immobilier pour trouver de nouveaux espaces susceptibles de leur convenir davantage pour installer leur centre de la performance. Et, pour une fois, ces nouveaux hectares pourraient ne pas être situés dans les Yvelines. Ce qui constituerait une vraie rupture avec l’histoire du club. « On n’est au courant de rien, confie un élu de Saint-Germain-en-Laye. Plein de rumeurs circulent sans que le PSG ne nous donne de réponse. Cela sent mauvais. » Du côté de Montigny-le-Bretonneux, même manque d’information : « On n’a plus de nouvelles depuis plusieurs jours. Si ça traîne, il y a deux possibilités : soit le PSG cherche ailleurs, soit il a tranché, mais ne veut pas communiquer trop vite », croit savoir un proche de cette candidature. Seul Poissy se montre optimiste. « Le dossier suit son cours. La ville de Poissy a des contacts avec l’actionnaire qatarien et le propriétaire des terrains avec Jean-Claude Blanc », nous confie Karl Olive, conseiller général des Yvelines et soutien de la première heure de Poissy. Malgré cet optimisme, le PSG étudie donc d’autres solutions. Citation Christophe Dugarry : « Je ne suis pas antiparisien » Ce soir, le champion du monde commentera sur Canal + PSG - Lille. La semaine dernière, ses analyses pendant Bordeaux - PSG ont suscité beaucoup de critiques, principalement sur les réseaux sociaux, les supporteurs parisiens lui reprochant une virulence inhabituelle. Celui que l’on décrit souvent comme le meilleur consultant de France revient sur cet épisode. Etes-vous un antiparisien ? Christophe Dugarry. (Rires.) Bien sûr que non ! Je ne suis pas antiparisien ! Le PSG face à Bordeaux, je ne l’aime pas. En revanche, le PSG devant Toulouse, je me suis régalé et je l’aime bien. C’est aussi simple que ça. Au grand désarroi de certains, je n’ai jamais eu l’âme d’un supporteur. Je suis un consultant, un observateur et, avant tout, un passionné de football. J’ai toujours été plus sensible au contenu d’un match plutôt qu’à son résultat. Depuis toujours, je vais dans un stade pour voir un spectacle. Quand je m’ennuie, je le dis. Que celui qui n’a pas trouvé Bordeaux - PSG soporifique me jette la première pierre. N’avez-vous pas la dent plus dure quand vous commentez le PSG ? Pendant Bordeaux - PSG, j’ai reçu au moins dix textos pour me dire : Mais qu’est-ce que c’est chiant! Je sors de Chaban-Delmas, je croise du monde et on me dit : Quel ennui! Je ne suis pas le seul à le penser. On me fait les mêmes reproches à chaque fois. Je n’ai pas de circonstances atténuantes à trouver à une équipe. Je dis ce que je pense. Je suis consultant. Je ne suis pas coach. C’est Ancelotti qui a parlé de crise, pas moi. C’est lui-même qui a souvent dit que c’était insuffisant, qu’il n’y avait pas d’identité de jeu, que ses joueurs n’en faisaient pas assez. Sur l’action du but à Bordeaux, vous stigmatisez le manque de solutions de Sakho alors qu’il trouve Lucas, lequel sert Ibra pour le but… Mais Sakho n’a pas de solutions! Tout le monde est statique. Lucas décroche et Henrique ne le suit pas. Si Henrique le suit comme n’importe quel défenseur deux cents fois dans un match, il n’y a pas but. Je ne suis pas Madame Irma : je ne peux pas deviner qu’Henrique va lâcher Lucas. Je n’ai pas de boule de cristal. Vous l’avez souvent dit sur le plateau du « Canal Football Club » : vous n’aimez pas le PSG d’Ancelotti… C’est faux. Pourquoi n’aimerais-je pas Ancelotti? C’est un monsieur remarquable. Quand il a signé à Paris, j’ai eu Zizou au téléphone parce que c’est l’un de ses entraîneurs préférés. Il s’est régalé avec lui. Zizou m’a dit que c’était un super entraîneur. Je n’ai aucun doute là-dessus. Après, quand je rencontre Carlo, qu’il m’explique comment il entend faire jouer son équipe et que je regarde le match, je vois bien qu’il y a un décalage énorme et qu’il existe plusieurs choses que je ne comprends pas. Mais ce n’est pas parce que je ne comprends pas que j’ai raison ou que je détiens la vérité. Etes-vous déçu par le jeu proposé par le PSG ? Par moments, oui, même si cela va mieux depuis décembre. J’aurais commenté PSG - Toulouse, je me serais régalé et je l’aurais dit. C’était super! Quand je me pose dans mon canapé pour suivre Barcelone, le Real, Manchester United ou le PSG, ces équipes où il y a d’immenses joueurs, je m’attends à prendre du plaisir. Vu les joueurs qui composent le PSG, son classement n’est pas hyper flatteur par rapport à ce qu’ils pourraient et devraient faire. Je ne leur demande pas la même qualité collective que le Barça ou Manchester, mais j’attends individuellement un peu plus de certains, à moins que je ne surestime ces joueurs et le PSG, ce que je ne pense pas. Citation Elana, de l’ombre à la lumière Finalement, Steeve Elana n’est pas resté doublure très longtemps. En moins de six mois, l’ancien Brestois est passé du statut de remplaçant à celui de titulaire. « J’avais fini par accepter ce rôle de doublure après avoir pesé le pour et le contre, explique-t-il. A Lille, beaucoup de paramètres pouvaient me faire progresser. » En décembre, il est sorti de l’ombre de Mickaël Landreau en quelques secondes, le temps que Rudi Garcia lui annonce qu’il garderait désormais les buts à temps plein : « Il y a eu un peu d’incompréhension, qui s’est vite dissipée. Je venais de me rendre compte que j’avais un nouveau statut à défendre. » Elana a vu son quotidien changer du jour au lendemain. Sollicité par les médias, il répond à toutes les demandes et passe beaucoup de temps avec les supporteurs. « Il est toujours souriant et d’une gentillesse extrême », souligne l’un d’entre eux. « C’est important et flatteur d’être no 1 du Losc. Surtout à 32 ans. Je suis obligé de savourer », explique-t-il simplement.Dans le vestiaire aussi, son rôle a changé.« Steeve est arrivé sereinement et s’est fait sa place sans se prendre la tête, raconte Nolan Roux, ex-Brestois lui aussi. Prendre la parole devant tout le monde, ce n’est pas son style. Il est plutôt du genre réservé et bosseur. » Sur le terrain, il affiche déjà une belle constance. Depuis que Landreau est parti, le Losc ne mise plus que sur les relances au pied de son gardien. « Le coach n’est pas fou, rigole Elana. Micka était fort dans ce domaine, moi j’ai d’autres qualités. Faire le ménage dans la surface et rassurer tout le monde, par exemple. » Des qualités qui lui seront nécessaires ce soir face aux attaquants parisiens. Mais le gardien lillois, né à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), à quelques kilomètres du Parc des Princes, ne s’en fait pas une montagne. « Je ne vais pas changer ma façon d’être parce que c’est Zlatan en face », souffle-t-il. Quand il récupérera son maillot, à quelques minutes du coup d’envoi, il ressentira cette fierté si particulière : « Un maillot à mon nom, ça reste exceptionnel. Quel que soit l’adversaire, j’ai toujours ce sentiment. Ça me permet de ne jamais oublier d’où je viens. » Le Parisien.fr -------------------- "Le prix de Pastore, c'est dix ans de Sidaction. C'est triste à dire mesdames messieurs, mais c'est le monde dans lequel on vit" Stéphane Guy.
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27/01/2013 12:03
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Le parfum a changé Depuis le match aller, un fossé s’est creusé entre le PSG et Lille. DOUZE POINTS d’écart à dix-sept journées de la fin d’un Championnat ne suffisent pas à dessiner une hiérarchie définitive. Mais ils permettent de situer les positions des uns et des autres : le PSG reste dans les temps de passage d’un champion quand le LOSC, un an et demi après son titre, n’a encore jamais semblé prendre sa saison par le bon bout, ou du moins jamais sur une durée qui changerait vraiment son destin, comme l’atteste sa défaite à domicile contre Nice (0-2) dimanche dernier. Sur le papier, en début de saison, Lille incarnait le principal rival des Parisiens. Désormais, dans un contexte brouillé par les absences – Mavuba (genou), Béria (ischiojambiers), Kalou et Mendes (CAN) – et une récupération rétrécie après un seizième de finale de Coupe de France dans la boue brestoise contre Plabennec (CFA, 3-1), vingt-quatre heures après la joyeuse qualification du PSG face à Toulouse (3-1) au Parc, Rudi Garcia, l’entraîneur du LOSC, verrait dans une victoire à Paris « un exploit ». Première victoire parisienne de la saison, le match aller (2-1, le 2 septembre) avait sensiblement contribué à asseoir la réputation foudroyante de Zlatan Ibrahimovic, qui avait inscrit le premier de ses deux buts dès la 27e seconde. Cette semaine, la victoire face au TFC, un soir où le Suédois était suspendu, a entrouvert un débat plutôt inimaginable à l’époque : le PSG jouerai t-il mieux quand sa star ne peuple pas la pelouse de ses regards autoritaires ? Sans Ibra, Paris joue plus vite, c’est évident, mais le simple poids de ses dix-neuf buts en L 1 – dont celui de la victoire à Bordeaux (1-0) dimanche dernier – rappelle l’envergure incontournable de l’ex-Milanais. Porté par son buteur massif, Paris a justement besoin d’une soirée à trois points pour recoller à l’OL, vainqueur à Valenciennes (2-0) vendredi, et distancer l’OM, tenu en échec à Rennes (2-2) hier. Alors que Carlo Ancelotti, l’entraîneur parisien, peut se demander qui choisir entre Jérémy Ménez et Lucas pour occuper au mieux son couloir droit, Garcia n’a pas ce problème : il n’a plus de spécialiste du poste sous la main et les flottements de Djibril Sidibé, le successeur de Mathieu Debuchy, peuvent lui promettre quelques migraines face au bouillant Ezequiel Lavezzi, acteur en forme du PSG. Au-delà de ce duel particulier, le sens de l’histoire semble parisien. Mais Ancelotti commence à connaître la maison : « Dans le foot, on ne peut jamais être tranquille. Chaque match peut te poser des problèmes et te faire retomber dans des difficultés. » Cette saison, ce n’est pas Garcia qui le contredira. – J. T. (avec R. Te.) Citation 6 PSG est invaincu lors de ses 6 derniers matches de L 1 (5 victoires, 1 nul). C’est la meilleure série en cours. 0 Lille n’a gagné aucun de ses treize derniers déplacements au Parc des Princes en L 1 (7 défaites, 6 nuls). Son dernier succès à Paris en Championnat remonte au 27 avril 1996 (1-0, but de Patrick Collot). Opta Citation LE PSG VOULAIT DÉCALER SON MATCH CONTRE BASTIA. – Le PSG a sollicité récemment la LFP pour tenter de reporter de vingt-quatre heures son match à domicile face à Bastia, prévu le 8 février à 20 h 30. Le club parisien aurait invoqué le nombre important de ses joueurs sollicités par les matches internationaux du 6 février pour justifier sa demande. Cette requête a été refusée par la Ligue. Le PSG jouera donc bien le vendredi 8, quatre jours avant son huitième de finale aller de Ligue des champions, à Valence. – J. T. THIAGO SILVA SERA PRÊT POUR VALENCE. – Touché à la cuisse gauche contre l’AC Ajaccio (0-0, le 11 janvier), Thiago Silva pourra disputer le huitième de finale aller de Ligue des champions à Valence, le 12 février. C’est ce qu’a affirmé, hier, Carlo Ancelotti, qui a indiqué que Kevin Gameiro (cuisse gauche) et Zoumana Camara (cuisse droite) reprendront un entraînement normal la semaine prochaine, tandis qu’Alex (mollet gauche) restera encore en soins pendant huit jours. À noter que Douchez, touché à une main, n’est pas sûr de pouvoir s’installer sur le banc, ce soir, face à Lille. – J. T. Citation Sirigu en pleine extension À douze minutes du record d’invincibilité de Bernard Lama en Championnat avec le PSG, le gardien italien se rapproche des références à son poste. À VINGT-SIX ANS, Salvatore Sirigu peut donc écrire quelques lignes d’histoire ce soir s’il dépasse les 697 minutes sans but encaissé de Bernard Lama lors de l’édition 1996-1997 du Championnat. Cela émoustillera les statisticiens plus que le Sarde, qui semble partager avec le Guyanais une même indifférence face aux chiffres qui restent. Ce record n’est pas la trace la plus grande que ce gardien de 1,92 m puisse laisser un jour au PSG. Jusqu’ici, l’ancien rempart de Palerme frappe surtout par sa faculté à avoir dissipé les scepticismes qui pouvaient l’entourer. On ne voyait pas en quoi son recrutement s’avérait nécessaire quelques semaines après la signature de Nicolas Douchez en 2011 ? Personne ne songerait aujourd’hui à égratigner sérieusement son statut de titulaire. On s’interrogeait l’été dernier sur sa capacité à se mettre au niveau de la Ligue des champions ? Depuis le match à Porto (0-1, le 3 octobre), il ressort que l’Italien répond bien aux critères européens. Il a pris langue avec la France Les observateurs ne voient toujours pas en lui un crack dans les sorties aériennes ou dans le jeu au pied. Mais son talent est peut-être de rendre ses points forts toujours plus forts (placement, jeu sur sa ligne, capacité d’analyse). « Au contraire de Bernard (Lama), Salvatore n’ira jamais capter un ballon aérien aux seize mètres, souligne Jérôme Alonzo, l’ancien gardien du PSG (2001-2008). Il n’a pas non plus un jeu de jambes très rapide sur dix, douze mètres comme peut l’avoir Stéphane Ruffier. Mais Sirigu est encore meilleur cette saison parce qu’il s’est concentré sur ce qu’il sait bien faire, alors que les gardiens commettent souvent l’erreur de vouloir travailler leurs points faibles. » Prédécesseur de l’international italien (4 sélections) dans le but parisien (2009-2011), Grégory Coupet « aime son style sans fioritures » . « On voit qu’il est à bonne école avec Gianluigi Buffon, ajoute l’ex-portier des Bleus. Quand Sirigu peut bloquer le ballon, il le fait ; quand il faut repousser proprement sur les côtés, il le fait aussi. Il ne cherche pas à se montrer spectaculaire, il veut être sobre et efficace. » Et il veut pouvoir communiquer avec tous. Sirigu est l’une des rares recrues de l’ère Leonardo à s’être révélé motivée par l’apprentissage du français. « Tes coéquipiers viennent plus facilement vers toi quand tu parles leur langue », glisse Coupet. Il vit avec une Française, travaille au quotidien avec deux Français, Gilles Bourges, le préparateur des gardiens, et Douchez, sa doublure. « Il savait que la maîtrise de notre langue serait primordiale pour son travail et son intégration à Paris, poursuit Alonzo. Si Pastore, lui, traverse des périodes plus compliquées, c’est entre autres parce qu’il ne s’est pas donné cette peine. » Ce soir, Sirigu le francophile ne pourra pas gommer tout le patrimoine parisien de Lama : avec 868 minutes d’invincibilité au Parc en Championnat (saison 1993-1994) contre 415 minutes pour l’Italien (série en cours), le « Chat » garde encore la main sur un record. JÉRÔME TOUBOUL Citation Ils déménagent dans leur couloir FACILE DE VIVRE dans l’ombre de Zlatan Ibrahimovic. Pourtant, Ezequiel Lavezzi, modèle d’engagement, de puissance, de vitesse et de précision, y parvient. Après un début de saison marqué par les blessures et la scoumoune, l’Argentin, arrivé de Naples l’été dernier, est en train de conquérir le Parc, et ce n’est peut-être qu’un début. Après une première saison lilloise passée dans l’ombre d’Eden Hazard, l’ancien Stéphanois Dimitri Payet a pris son envol, réclamant sans arrêt le ballon, dans le jeu comme sur coups de pied arrêtés. Quand il n’est pas bon, il ne se passe rien, et quand il est bon, ça ne suffit pas forcément. Seul Nolan Roux (7 buts en L1) parvient à s’accrocher à son efficacité, les autres gâchettes supposées du LOSC – Kalou, Mendes (2 buts), Martin ou De Melo (0) – sont à l’arrêt. – R. Te. ![]() L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
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27/01/2013 16:19
Message
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation CARLO ANCELOTTI : « L’ÉQUIPE A TROUVÉ SON ÉQUILIBRE » Samedi soir, Carlo Ancelotti a évoqué en conférence de presse la réception de Lille, dimanche au Parc des Princes. Carlo, Lille était présenté comme un prétendant au titre en début de saison. Qu’en est-il aujourd’hui ? « Lille n’a pas réalisé un bon début saison et a eu des difficultés en Champions League, mais c’est une bonne équipe avec des joueurs de qualité. Lille reste l’une des meilleures équipes de Ligue 1. Ils rêvent de venir ici et gagner, c’est normal. Tout le monde veut faire un grand match ici au Parc. A nous de réaliser une belle performance pour gagner. » Salvatore Sirigu pourrait battre dimanche le record d’invincibilité de Bernard Lama dans les buts du Paris Saint-Germain… « Ce record n’est pas important pour nous. L’important c’est que l’équipe ait bien travaillé défensivement. Sirigu enchaîne également les bonnes performances. L’important pour gagner, c’est de marquer un but de plus que l’adversaire. » Pensez-vous que votre équipe ait trouvé son équilibre ? « En début de saison, nous étions très portés vers l’avant. Nous jouons avec beaucoup d’attaquants et des défenseurs offensifs comme Jallet, Maxwell ou Van der Wiel. L’équipe a trouvé son équilibre car les attaquants font plus de sacrifices qu’en début de saison, là était la clé. Cependant je connais très bien le football et on ne peut pas se reposer là-dessus. Il faut rester vigilants. Après de bons résultats contre Toulouse et Bordeaux, on va voir dimanche ce que l’on sera capables de faire pour gagner. » Lyon est aujourd’hui à la hauteur du Montpellier de l’an dernier. Craignez-vous de rejouer le même scénario ? « J’ai beaucoup de respect pour Lyon et Marseille, qui font une très bonne saison jusqu’à maintenant. Lyon est peut-être comme le Montpellier de l’an dernier, mais Paris est différent, donc je n’ai pas d’inquiétude. La saison est encore longue. Tous les matches seront importants pour le résultat final. » PSG.fr |
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27/01/2013 16:32
Message
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Salvatore Sirigu, le gardien de la paix
Assurément la recrue la moins chère de l’ère QSI, le gardien Italien est à un quart d’heure d’inscrire son nom au livre des records du club parisien. Un détail pour ce joueur qui fait l’unanimité depuis sa signature. Et douze minutes qui feront 697. S’il ne prend pas de caramel avant la 13e minute de jeu contre Lille, Salvatore Sirigu effacera le record d’invincibilité en championnat de Bernard Lama, qui date de 1996-1997. Depuis le but de Rémy Cabella, planté au cœur du mois de novembre, le gardien aux yeux bleus délavés n’a plus jamais été perforé (C’est Douchez qui jouait dans les bois lors du déplacement à Nice, perdu 1-2). Une sacrée performance qui passe pourtant inaperçue. Il faut dire que l'Italien évolue dans la même équipe que Zlatan Ibrahimovic et derrière Thiago Silva. Forcément, difficile de rivaliser médiatiquement avec les deux monstres. Même Bernard Lama, le toujours recordman, minimise un peu la performance de son confrère dans les colonnes du Parisien en affirmant que « l’imperméabilité défensive, c’est d’abord la marque d’une grande équipe avant d’être celle d’un gardien », avant de revenir sur les critiques qu’il avait adressées à l’Italien lors de son arrivée dans la capitale. « J’ai juste dit que, s’il améliorait sa prise de balle, son jeu au pied et ses sorties aériennes, il deviendrait un grand gardien. J’avais même dit qu’il était probablement le meilleur de la L1 sur sa ligne de but. Et j’ai quand même l’impression que Sirigu attrape mieux le ballon maintenant. Comme quoi, je ne dis pas que des conneries. » Si, un peu. Car même si le félin reste le plus grand gardien de l’histoire du club (qui a quand même connu Pantelic, Baratelli et Bats), Sirigu a quelque chose de rare en lui. Derrière une grande carcasse élancée d’un mètre quatre-vingt douze, un regard de lover, des cheveux longs et humides 23 heures par jour et cette franchise permanente, on découvre un gardien très complet. Oui, Salvatore ne capte pas trop le ballon. Ce n’est pas son truc. Un peu comme ses sorties aériennes, que l'on pourrait assimiler à une loterie permanente (même s'il a pris de l'assurance). Mais là, on enfile les mouches parce que sur sa ligne et en un contre un, le mec est une machine. Et les stats parlent pour lui : 19 matches joués en Ligue 1, 8 buts encaissés, et 40 arrêts ou parades. Globalement, l’ancien joueur de Palerme est très peu sollicité (deux fois par match en moyenne), il n’a donc aucune excuse en cas de bourde. La concentration, le maître-mot. Avec lui, on peut dormir tranquille. Langue vivante En dix-huit mois, il s'est déjà attribué une place prépondérante dans le vestiaire francilien. C’est simple, c’est la seule recrue qui maîtrise le français. Mieux, il est loquace et n'hésite pas à laisser tomber la langue de bois quand il s'agit de jouer cartes sur table face aux médias, quitte à envoyer des salves verbales bien senties. A peine débarqué dans la capitale, il apprend le verbe de Molière à travers son iPhone. Puis, par la langue de sa compagne. Une Française rencontrée dans un restaurant parisien où il avait l’habitude de s’aérer le palais. Une femme pour laquelle il n'a pas hésité à se filer en plein Paris car un renégat la regardait avec beaucoup trop d'insistance. Une manière de ne faire qu'un avec son environnement local. Comme à l'armée. Pour conquérir un territoire, il faut le maîtriser, l'occuper. Ce n’est pas pour rien que Carlo Ancelotti a fait de son bel éphèbe de 27 ans la base de sa colonne vertébrale issue de la Serie A : Sirigu-Silva-Motta-Ibra. Une colonne bien solide entre les gants de l’Italien. Surtout quand on est adoubé par Gianluigi Buffon : « Il a le potentiel pour devenir un immense gardien. Même au niveau mondial. Ça me fait plaisir parce que c’est un mec bien, bien éduqué, qui ne fait jamais de déclarations de travers. C’est un garçon comme ça que j’ai envie d’encourager » a balancé le Turinois dans Téléfoot. En voulant pousser le vice un peu plus loin, on pourrait presque avancer que Jean-Louis vient d'adouber son successeur dans les cages de la Nazionale. Avec le recul, on cherche encore à comprendre comment Palerme a pu vendre son gardien pour 3,5 millions alors qu'il lui restait quatre ans de contrat. Et puis, dans la même réflexion, on se demande comment Palerme a pu vendre Pastore 42 millions d'euros. Et puis on comprend. Et puis on s'en fout parce qu'en une saison et demie sous le maillot parisien, le Transalpin a déjà validé sa place au Hall of Fame. Une temple de la renommée que les Landreau, Coupet ou même Letizi n'auront jamais le plaisir de connaître. par Mathieu Faure pour So Foot |
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28/01/2013 08:20
Message
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 912 Inscrit : 23/01/2012 Lieu : Prague Membre no 8,295 Tribune : Canapé |
Citation Paris s’en sort plutôt bien Dominateurs mais peu inspirés, les Parisiens doivent leur succès à un but contre son camp du Losc. Suffisant pour reprendre la place de leader. Par le trou de la souris. Sans aucune envergure, dans la lignée de ses prestations en championnat en 2013, le PSG reprend sa première place au classement de la Ligue 1 sans convaincre. Il aura même fallu un but contre son camp d’un Lillois pour débloquer une partie que les Parisiens n’auront jamais vraiment su emballer. Le mano a mano avec Lyon (et sûrement Marseille) se poursuit donc, mais son issue demeure complètement incertaine. On a bien compris que le champion de France se trouvait dans l’un de ces trois-là, on ne pariera toutefois pas notre paye du mois de mai pour imaginer l’heureux élu. Le banc parisien finira peut-être par faire la différence mais ce n’est même pas sûr, la Ligue des champions s’invitant bientôt dans le calendrier parisien sans savoir dans quelles proportions. Il faut donc considérer que le mois de décembre était une exception dans la saison parisienne. Ces beaux matchs, ponctués de succès probants, face à Porto, Lyon, Valenciennes ou Brest, restent des parenthèses et, hier, le PSG s’en est remis au cours ordinaire des choses. C’est une attaque anémique, un jeu en souffrance, une engueulade spectaculaire entre Sirigu et Sakho (51e), un manque de sérénité général et de convictions. Le bilan pèse lourd à la 22e journée. Cette nouvelle prestation laisse perplexe Le talent des Parisiens ne suffit plus pour faire basculer un match. Après le 0-0 devant Ajaccio, le 1-0 sans relief à Bordeaux, cette nouvelle prestation offensive sans densité ni occasions franches laisse perplexe. Face à tout cela, Carlo Ancelotti est venu avec quelques munitions en conférence de presse : « Sur les dix derniers matchs (NDLR : toutes compétitions confondues), nous en avons gagné neuf et fait un match nul, précise l’entraîneur. J’espère rééditer cela lors des dix prochaines rencontres. Lille est la meilleure équipe venue jouer au Parc cette saison. On a gagné contre Bordeaux et Lille sans bien jouer, mais on ne peut pas toujours bien jouer. » Un « pas toujours » qui est devenu la règle au PSG. Il ne faudrait pas qu’Ancelotti en vienne à dire bientôt : «On ne pouvait pas espérer gagner tous nos matchs en jouant aussi mal. » C’est bien là la question: jusqu’à quand Paris pourra-t-il tenir sur les sommets avec aussi peu de souffle ? Paradoxe total, c’est Rudi Garcia qui s’affichera après coup avec le sourire : « On a été supérieurs au PSG dans tous les domaines.» Salvatore Sirigu, décisif et sauvé par son poteau, a battu le record d’invincibilité de Bernard Lama. Cette nouvelle marque statistique montre bien que c’est derrière que le PSG construit en ce moment ses succès. Avec toutes les stars alignées devant, on n’aurait pas forcément vu ça comme ça. PSG 1 Lille 0 Mi-temps : 0-0. Spectateurs : 42 029. Arbitre : M. Fautrel. But. PSG : Chedjou (68e, c.s.c.). Avertissements. PSG : Thiago Motta (17e), Verratti (87e); Lille : Martin (40e), Pedretti (66e). PSG : Sirigu - Jallet (cap.), Armand, Sakho, Maxwell - Lucas (Chantôme, 76e), Thiago Motta (Verratti, 57e), Matuidi, Lavezzi - Ménez (Pastore, 65e), Ibrahimovic. Entr. : Ancelotti. Lille : Elana - Sidibe, Basa, Chedjou (cap.), Digne - Payet, Balmont (Bruno, 82e), Gueye, Martin (Pedretti, 57e) - Rodelin, Roux (De Melo, 67e). Entr. : Garcia. LE but 68e. But contre son camp de Chedjou. Sur un centre de Lavezzi, Elana laisse échapper le ballon qui rebondit sur la poitrine du capitaine lillois. Le fait du match 82e. Excentré, Payet décale De Melo. Le Brésilien ouvre son pied et croise sa frappe mais le ballon termine sa course contre le poteau parisien. Le Parisien Citation Salvatore Sirigu : « La chance, il faut savoir la provoquer » Une nouvelle fois décisif hier soir, Salvatore Sirigu a étiré sa série d’invincibilité à 775 minutes. Le gardien italien du PSG n’a plus encaissé le moindre but en championnat depuis le 1er décembre et la défaite à Nice (2-1). Dans un match que le PSG aurait pu perdre, la chance est aussi venue à son secours. Notamment en fin de match, lorsque la frappe de Tulio de Melo a échoué sur son poteau. Comment expliquez-vous les difficultés rencontrées par le PSG ? Salvatore Sirigu. Dans ce genre de situation, il n’y a pas qu’une explication. Il y en a plusieurs. Nous avons d’abord fait une bonne entame de match. Les vingt premières minutes ont été intéressantes avec pas mal d’occasions et un bon dynamisme. Après, nous avons ralenti le jeu. Face à une équipe de Lille bien organisée avec des joueurs qui attaquent très bien la profondeur, nous avons été mis en difficulté. Comment comprenez-vous la décision de l’arbitre qui a annulé un but lillois valable ? Sur cette action, Nolan Roux me gêne dans ma sortie et l’arbitre assistant a estimé qu’il était hors jeu. Ce n’est jamais facile d’arbitrer ce genre de situation. Le secteur défensif a-t-il sauvé le PSG ? C’est évidemment très important de ne pas prendre de but. Nous n’étions pas dans un bon soir. Notre jeu n’était pas bien en place et, dans ces cas-là, il faut que la défense soit irréprochable. Quel effet cela vous fait de battre le record d’invincibilité de Bernard Lama ? Bien sûr, cela fait plaisir de rentrer d’une certaine manière dans l’histoire du club mais, honnêtement, ce n’est pas très important. Je préfère retenir la victoire. Elle nous permet de rester en tête du championnat et de ne pas laisser Lyon prendre de l’avance. Avec cette troisième victoire de suite en une semaine, estimez- vous que le PSG s’en sort bien ? Je ne suis pas d’accord. Dans les derniers matchs, nous avons parfois été bons et nous nous sommes imposés avec la manière. Là, c’est vrai que nous avons eu beaucoup de chance. Mais une saison est aussi faite de matchs comme ceux-là. Je ne vois rien d’inquiétant pour l’avenir. Et puis, la chance, il faut savoir la provoquer. Propos recueillis par RONAN FOLGOAS pour le Parisien Citation Lucas et ses fulgurances .Lucas cherche mode d’emploi. Titulaire pour la troisième fois d’affilée en championnat, la recrue du mercato hivernal s’acclimate progressivement à son nouvel environnement. La semaine passée à Bordeaux, Carlo Ancelotti l’avait fait débuter sur le côté droit pendant les vingt premières minutes avant de le replacer dans l’axe aux côtés d’Ibrahimovic. La seconde option s’était avérée plus convaincante. Le Brésilien avait même délivré la première passe décisive de sa carrière parisienne pour le Suédois. Hier soir, le transfuge de São Paulo a fréquenté assidûment le flanc droit de l’attaque parisienne sans beaucoup de succès. Son début de match a pourtant été sinon tonitruant, du moins extrêmement prometteur. Dès la 6e minute, il s’engage dans un slalom spécial dans l’axe de la défense lilloise. Au prix de deux passements de jambes très brésiliens, il efface autant d’adversaires et tente de servir Ménez dans la profondeur. Parfait pour réchauffer le public du Parc des Princes mais inefficace. Le numéro 29 du PSG retente sa chance une action plus tard. Sa frappe lobée soyeuse à l’entrée de la surface de réparation passe de peu à côté des buts d’Elana. Un jeu tourné vers la percussion et l’exploit individuel Entreprenant et volontaire sur chacune de ses actions, le jeune international brésilien, 20 ans, n’a pas son pareil pour éliminer ses gardes du corps d’un simple contrôle orienté. Mais c’est ensuite que les choses se compliquent. Est-ce l’envie de trop bien faire? De plaire à son nouveau public? De justifier le prix d’un transfert record pour un Brésilien vers un club européen (43 M€)? Lucas pèche pour l’instant par un jeu trop systématique, tête baissée, tourné quasi exclusivement vers la percussion et l’exploit individuel. On ne peut lui en tenir complètement rigueur dans un match comme celui d’hier soir, où l’animation offensive du PSG a longtemps ressemblé à un vaste chantier. Où personne, ni Ibra, ni Ménez, ni Lavezzi, ne savait où poser la première pierre. Après un mois de décembre triomphal à l’issue duquel il avait enfin trouvé la bonne formule, Carlo Ancelotti cherche maintenant un nouvel équilibre. C’est un problème de riche mais il n’est pas simple pour autant. Par ses qualités intrinsèques et la classe dont il fait déjà étalage par moments, Lucas Moura ne devrait pas constituer très longtemps un souci pour l’entraîneur italien. Remplacé à la 76e minute par Clément Chantôme sous les acclamations bienveillantes du Parc, il lui reste toutefois à parfaire une condition physique incertaine Le Parisien Citation Trop de blessures et de suspensions Quoi de neuf au PSG en ce début d’année 2013 ? Pas grand chose. Paris continue de gagner sans briller ou avec de la réussite. Pour un match abouti de temps en temps comme face à Toulouse (3-1) mercredi en Coupe de France, il produit des prestations le plus souvent médiocres, comme hier soir devant Lille (1-0). Sinon, ses cadres se blessent régulièrement. Depuis hier soir, c’est Thiago Motta qui vient compléter la liste de l’infirmerie parisienne. Il rejoint deux autres titulaires indiscutables : Alex et Thiago Silva. L’Italo-Brésilien s’est blessé à la cuisse gauche et souffrirait d’une élongation, selon ses dires d’après match. Pour Carlo Ancelotti, son entraîneur, l’ancien joueur de l’Inter est même déjà forfait pour le déplacement à Toulouse vendredi. Et, comme il a reçu un carton jaune hier, il sera aussi suspendu la semaine d’après pour la réception de Bastia. Selon le docteur du club, « la blessure n’est pas trop méchante », mais des examens seront pratiqués dans les prochaines heures afin d’en connaître la nature exacte. C’est en tout cas la quatrième blessure de Motta depuis le début de saison : victime d’une déchirure en finale de l’Euro 2012, il avait manqué le début de saison, avant de se faire un lumbago puis de se blesser au mollet. Un 8e carton jaune pour Verratti cette saison Dans un autre registre, la saison avance et Marco Verratti n’évolue pas. Le jeune Italien a encore été bêtement averti à la 87e minute pour avoir contesté le carton jaune reçu par son collègue Lavezzi, une minute auparavant. Si seulement c’était la première fois… Mais l’ancien milieu de Pescara est coutumier du fait et a reçu hier son 8e avertissement. Il a déjà été suspendu deux fois cette saison pour deux séries de trois cartons jaunes en moins de dix matchs. A ce rythme — il avait déjà été sanctionné à Bordeaux leweek-end dernier —, il y a fort à parier que Verratti sera prochainement suspendu. Le Parisien Citation «La chance» du champion ? Les Parisiens ne sont vraiment pas malheureux d'avoir gagné, dimanche contre Lille (2-0). Mais «la chance, il faut la chercher», ont-ils estimé après coup. Ils restent leaders, à égalité de points avec Lyon. Malgré la victoire face à Lille (1-0), dimanche, le sentiment général dans les rangs parisiens n’était pas à la joie après la rencontre. Pas à l’euphorie en tout cas. Car tous étaient bien conscients que ce succès n’était pas forcément mérité au vu du scénario du match. «On s'en sort bien, a reconnu de bonne grâce Salvatore Sirigu. La chance d’aujourd’hui, c’est celle qu’on n'a pas eue à d'autres occasions. La chance, il faut la chercher», a poursuivi le gardien parisien, bien heureux non seulement de voir un but lillois refusé injustement, son poteau repousser une frappe de De Melo et surtout son équipe gagner grâce à un but contre son camp de Chedjou. «Il y a des matches où la chance est avec nous, d’autres aussi où on en a manquée, a estimé Carlo Ancelotti. On prend les trois points et c’est le plus important», a-t-il aussi ajouté, pragmatique. «Je suis content parce que tu ne peux pas toujours produire un jeu fantastique. L'essentiel, c'est de gagner.» (Carlo Ancelotti)«Oui on a eu de la réussite, a également lâché Sylvain Armand dans un sourire. On n'a pas fait notre meilleur match. Mais ce sont trois points qui comptent et qui compteront peut-être en fin de saison», a-t-il également indiqué, sans pour autant s’éterniser sur les circonstances de la rencontre. Son entraîneur n’a pas fait la fine bouche non plus. «Tous les matches sont compliqués, surtout ceux contre les très bonnes équipes. Lille est sans doute la meilleure qui est venue au Parc cette saison. Le match a été difficile parce qu’on a donné beaucoup de contre-attaques. Nous n’avons pas eu un bon contrôle du terrain, a-t-il expliqué. Mais je suis content parce que tu ne peux pas toujours produire un jeu fantastique. Tu dois être solide et l’essentiel, c’est de gagner.» Peu importe comment… «Encore plus de plaisir comme ça» «Parfois, ça fait encore plus plaisir de remporter les trois points comme ça», a précisé Sirigu. Son coach aurait néanmoins apprécié voir ses attaquants rencontrer moins de «problèmes». «C’était difficile pour eux de trouver des espaces», a regretté le technicien italien. Au rang des satisfactions, à l’inverse, Ancelotti a beaucoup aimé le comportement de ses défenseurs : «Les performances de Sakho sont exceptionnelles en ce moment. Armand a aussi très bien joué ces deux derniers matches où j’ai eu besoin de lui». Qu’elle souffre ou qu’elle impressionne, son équipe gagne ces temps-ci. C’est avant tout ce qu’il a souhaité retenir. «Sur les 12 derniers matches, nous en avons gagné neuf, a rappelé Ancelotti. J’espère que sur les dix prochains, nous en gagerons encore neuf.» Cela voudra dire que Paris ne sera pas loin du titre de champion. Et si c’est le cas, tout le monde oubliera la manière. H.S., au Parc des Princes pour L'Equipe.fr Citation CARLO ANCELOTTI : «UNE VICTOIRE TRÈS IMPORTANTE»
Retrouvez les réactions dans le camp parisien, quelques minutes après le succès du club de la capitale face au LOSC (1-0), ce dimanche au Parc. Carlo Ancelotti (Entraîneur du Paris Saint-Germain) : « C’était très difficile ce soir mais cette victoire est très importante. Lille a fait un beau match, de notre côté nous avons très bien commencé, et ensuite c’était plus délicat de trouver de l’espace. Le match était équilibré mais gagner était la chose la plus importante. Nous avons gagné 9 fois sur nos 10 derniers matches toutes compétitions confondues, alors nous pouvons dire chapeau à l’équipe. Nous sommes solides, nous devons chercher plus de vitesse devant, pour avoir davantage de solutions offensives mais défensivement on est bien. » Salvatore Sirigu (Gardien de but du Paris Saint-Germain) : « Cela a été difficile jusqu’au bout. On a souffert mais on a tenu le score. On marque un but avec de la chance. On a tenu ce résultat jusqu’au bout et nous sommes très satisfaits. J’ai essayé de ne pas me focaliser sur ce record d’invincibilité, surtout lors d’un match aussi important que celui-là. Mais je suis très content ce soir. Nous avions plus d’espace contre Toulouse cette semaine, alors que ce soir c’était très fermé derrière et ça a été plus compliqué de se procurer des brèches dans leur défense. Nous avons aussi manqué d’intensité, sachant qu’il fallait également surveiller les attaquants adverses très dangereux. Encore une fois, il faut parfois se contenter des 3 points. » Maxwell (Défenseur du Paris Saint-Germain) : « C’était un match compliqué. On a finalement réussi à s’imposer, l’essentiel était de gagner ce soir. On a pris des points très importants pour la suite du championnat, c’est donc très positif, même si nous devrons encore nous améliorer. Le record de Salvatore ? On essaie tous d’effectuer le travail défensif, des attaquants jusqu’aux lignes arrières pour l’aider. Mais il faut le féliciter car quand le ballon arrive devant sa ligne c’est lui qui fait le travail et c’est un grand gardien. » PSG.fr |
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29/01/2013 07:52
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#5239
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![]() Bend It Like Vairelles ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 37,648 Inscrit : 20/12/2008 Lieu : Copenhague, DK Membre no 15 Tribune : Canapé |
Citation Paris tourne en rond Sur le plan comptable, en janvier, le leader de la L 1 a avancé (sept points sur neuf), mais dans le même temps il n’a marqué que deux buts. Et fait resurgir le débat sur son animation offensive. GRÂCE À SON SUCCÈS contre Lille (1-0), dimanche, le Paris-SG a étiré sa série d’invincibilité en L1 à sept matches (6 victoires, 1 nul) et repris la tête du Championnat à Lyon, à la différence de buts. Mais, depuis la reprise, un constat s’impose, paradoxal. Entre Ajaccio (0-0, le 11 janvier), Bordeaux (1-0, le 20) et Lille, la formation parisienne a écorné son statut de meilleure attaque de L 1 (38 buts inscrits, un de plus que l’OL) et semble perdre le fil. Face au LOSC (seulement deux tirs cadrés), les attaquants parisiens se sont à nouveau illustrés par leur inefficacité et leur désorganisation. Et le PSG ne doit son succès qu’à un but contre son camp d’Aurélien Chedjou. Carlo Ancelotti, son entraîneur, déclare ne pas nourrir d’inquiétudes mais ce maigre bilan interpelle, alors que son équipe semblait avoir trouvé une vraie dynamique en décembre. À Bordeaux, Zlatan Ibrahimovic a marqué ; avant-hier, il a heurté le poteau de Steeve Elana, le gardien lillois. Mais la star suédoise, qui marche et rouspète régulièrement sur le terrain, apparaît nettement moins précise et incisive qu’avant la trêve. Du coup, le débat s’est rouvert au lendemain d’une éclatante victoire sur Toulouse, en seizièmes de finale de la Coupe de France (3-1, le 23 janvier), la seule référence offensive du club en 2013 : le PSG ne jouerait-il pas mieux sans son meilleur buteur ? Les arguments contre l’international suédois (31 ans), suspendu lors de ce match, tourne autour de l’idée qu’il ralentirait le jeu ou que son absence désinhiberait ses partenaires. En 4-3-3 contre Toulouse ? Mais Ibra fait partie des joueurs d’exception, imprévisibles, capables de marquer à tout moment. Et sans ses dix-neuf buts en L 1, où serait le PSG aujourd’hui ? « C’est un faux débat, balaie Christophe Dugarry, qui a commenté le match de dimanche pour Canal +. Il est un peu moins bien dans ses courses, ses frappes sont un peu molles. Mais c’est aux autres de montrer du caractère, de s’affirmer. Ibra n’est pas la solution à tout, non plus. (Jérémy) Ménez et (Ezequiel) Lavezzi sont aussi moins bien physiquement. Ils ont été plus statiques. Avant, tous faisaient la différence, surtout individuellement. Ils la font moins parce qu’ils ont moins de jus. Mais ils vont le retrouver, je ne me fais aucun souci. » Moins fringants, moins percutants, Lavezzi et Ménez exploitent moins bien les côtés (9 centres contre 27 pour le LOSC) et effectuent aussi moins les efforts défensifs nécessaires. Un défaut auquel s’ajoute celui du manque de rigueur dans le placement. Face à Lille, les attaquants parisiens se sont trop souvent laissé prendre au piège du hors-jeu (huit fois). Enfin, Ancelotti a-t-il eu raison de titulariser aussi vite Lucas, arrivé au début du mois du Sao Paulo FC, qui n’est pas encore prêt physiquement et manque d’automatismes ? « Il ne vient pas de la Lune non plus mais l’entrée de (Javier) Pastore (*) au milieu a fait du bien », observe Dugarry. Face à Toulouse, vendredi, la qualité de passe de Pastore, longtemps insuffisant mais en meilleure forme, ou l’option d’un milieu défensif de plus (en 4-3-3) pourrait contribuer à remettre de l’ordre et de l’efficacité dans le secteur offensif du PSG. ALEXANDRE CHAMORET (*) L’Argentin a remplacé Ménez à la 65e minute, avant que Lucas ne cède sa place à Clément Chantôme (77e). Citation THIAGO MOTTA FORFAIT À VALENCE ? – Thiago Motta, qui s’est à nouveau blessé (ischio-jambiers), dimanche, contre Lille (1-0), pourrait être absent jusqu’au huitième de finale aller de Ligue des champions, à Valence (le 12 février). Le milieu du PSG, averti pour une simulation face au LOSC, sera en outre suspendu pour un match par la commission de discipline de la Ligue, jeudi, car il se trouvait sous le coup d’un match de suspension avec sursis. – A. C. LE PSG PRÉSENT AUX OBSÈQUES DE NICK BROAD. – À l’issue du décrassage, hier matin, tous les joueurs parisiens, accompagnés par l’état-major du PSG, ont décollé pour l’Angleterre par avion spécial pour assister aux obsèques de Nick Broad. Le nutritionniste et performance manager du club de la capitale (38 ans) est décédé le 18 janvier à la suite d’un accident de la circulation. La cérémonie s’est déroulée en milieu de journée au crématorium de Mortlake, près de Richmond, au sud de Londres. C’était un proche de Carlo Ancelotti, qui l’avait connu à Chelsea (2009-2011) et fait venir au PSG dès son arrivée en janvier 2012. Une délégation du club anglais, avec notamment John Terry, était d’ailleurs également présente. – A. C., J. T. L'Equipe -------------------- Culture Bowl II champion
Monarch Bowl I, II champion |
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29/01/2013 11:59
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#5240
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Des stars plus vraiment d’attaque Derrière, tout va bien. Avec 12 buts encaissés, le PSG avance avec l’une des défenses les plus hermétiques d’Europe. Devant, ça coince. En 2013 et en Ligue 1, le PSG n’a inscrit que 2 buts en 3 matchs, dont 1 seul par l’un de ses joueurs face à Ajaccio, Bordeaux et Lille, soit une seule formation du top10. Avec 38 buts en vingt-deux journées, le secteur offensif ne répond pas au potentiel des joueurs qui le peuplent : Ibrahimovic, Lavezzi, Ménez, Pastore, Lucas aujourd’hui, Nene hier. Ibra hors de forme Depuis la fin de la trêve, le Suédois paraît hors du coup physiquement. L’homme qui marque la moitié des buts de son club est resté muet face à Ajaccio et à Lille. D’ailleurs, il n’a trouvé que 6 fois le chemin des filets au Parc des Princes, en 19 réalisations. Ses notes dans « le Parisien » témoignent d’une reprise grippée (3 face à Ajaccio; 5,5 à Bordeaux; 4 contre Lille), bien qu’il reste l’auteur du seul éclair offensif aperçu dans le mois avec son but en Gironde. La star fait partie de ces joueurs qui traversent les hivers avec plus de difficulté. « Il est beaucoup moins bien, observe Jacques Crevoisier, consultant sur Canal +. Il a même pris un petit pont et n’a jamais pesé face à Lille. » Carlo Ancelotti remarque que des joueurs ne sont pas « dans une condition optimale » et, s’il ne cite pas de noms, c’est sans doute que son attaquant phare en fait partie. Une absence de jeu Si le PSG a donné autant de plaisir en décembre, il le doit à son jeu. Avec un Pastore enfin au top, le PSG a offert une orgie de mouvements, de décalages, de jeu en mouvement et quelques festivals offensifs (4-0 à Valenciennes et devant Evian, 3-0 à Brest). L’entraîneur constate : « On a joué contre des équipes serrées, c’est difficile de trouver l’espace. » Ce n’est pas faux, mais on ne peut pas en vouloir à Ajaccio, Bordeaux ou Lille qui lisent au coup d’envoi les noms d’Ibrahimovic, Lavezzi, Lucas ou Ménez de vouloir bétonner pour éviter la raclée. Quand une équipe ouvre le jeu, comme Toulouse en Coupe de France, elle se voit vite débordée (3-1). C’est au PSG de trouver les solutions face à cet ordinaire qui va se répéter. Et l’absence de la première relance de Thiago Silva manque énormément en ce moment. « Paris ne possède pas une équipe en place et cela fait un moment que ça dure, glisse Crevoisier. Pourtant, je suis un pro-Ancelotti. La mayonnaise ne prend pas. On se pose des questions et on n’a pas les réponses. » Citation Une délégation aux obsèques de Nick Broad Nick Broad a été incinéré hier après-midi à Londres (Royaume-Uni), entouré de ses proches et d’une délégation du PSG. L’entraîneur adjoint du club parisien a été victime d’un terrible accident de la circulation le 17 janvier sur l’autoroute A 13 près de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Leonardo, le directeur sportif, Carlo Ancelotti, l’entraîneur, et l’ensemble de son staff ont assisté à la cérémonie dans la capitale anglaise. Depuis leur collaboration à Chelsea, le coach italien et son adjoint Paul Clement formaient un trio indissociable avec Nick Broad, le responsable du projet performance du club parisien âgé de 38 ans. Alors que le PSG avait spécialement affrété un avion pour effectuer le déplacement, la plupart des joueurs se sont décommandés dans la matinée et seule une poignée d’entre eux ont finalement accompagné Nick Broad dans ce dernier voyage, au grand dam de leur entraîneur. Le Parisien .fr -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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