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[Club] Revue de presse, Seulement les articles de la presse, aucun commentaire
Hari
posté 16/04/2009 08:41
Message #521


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Tribune : Non précisée



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Il faudra un grand PSG pour continuer l’aventure


Tenus en échec à l’aller (0-0), les Parisiens doivent tout donner ce soir à Kiev pour ne pas avoir de regrets. Une demi-finale de Coupe d’Europe peut récompenser leurs efforts.


La première envie, quand on voit le triste état de l’aéroport international de Kiev-Borispol, c’est de reprendre aussitôt l’avion. Puis, en se rapprochant de la capitale, on devine une Ukraine valsant entre deux ères, un pied presque dans le XXI e siècle, un autre solidement ancré dans le précédent. Ce pays en mutation est un gigantesque chantier qui manque d’infrastructures mais pas de moyens.

Il suffit de regarder les berlines allemandes rutilantes qui sillonnent les rues pour s’en persuader.
Coorganisateurs de l’Euro 2012 (avec la Pologne), les Ukrainiens vont devoir se montrer à la hauteur de l’événement. En visite officielle dans l’ancienne république soviétique , Michel Platini a gommé hier les derniers doutes qui subsistaient quant à l’aptitude du pays à faire face à une telle compétition. Le président de l’UEFA n’assistera pas ce soir à Kiev - PSG, quart de finale retour de la Coupe du même nom. Les Ukrainiens le regrettent car le spectacle proposé par leurs clubs représente leur plus beau fleuron.

Le Dynamo Kiev et le Shakhtar Donetsk, deux remarquables échantillons du football business façon bloc de l’Est, possèdent des moyens qui feraient pâlir d’envie la majorité de leurs homologues européens. S’ils passent le barrage français dressé par le PSG et l’OM, ces deux clubs se retrouveront en demi-finale de la Coupe de l’UEFA et offriront une promotion inespérée à leur pays.

Si les médias locaux sont quasiment convaincus de la qualification de Donetsk, ils ne savent pas quoi penser de ces joueurs du PSG ravis du match nul (0-0) concédé au Parc des Princes il y a une semaine. Après avoir gagné à Wolfsburg (3-1) et à Braga (1-0), rien ne leur semble impossible.

« On n’a pas envie de lâcher »

« On a fait une bonne première étape en n’encaissant pas de but à l’aller, estime Paul Le Guen. Mais le plus dur reste à venir. Il faudra être très costaud et marquer. Quand on a fait autant d’efforts dans une compétition depuis le début, on n’a pas envie de lâcher. La victoire à Wolfsburg est un bon exemple à suivre, mais on s’était trop exposés pendant les vingt premières minutes. Kiev va exercer une pression dès le début de la partie. Alors il faudra vite entrer dans le match, et on sait que c’est parfois notre problème. »
En tout cas, ce ne sera pas dû à un manque de motivation car cette Coupe d’Europe suscite de plus en plus d’enthousiasme chez les joueurs. « On va vraiment tout faire pour atteindre les demi-finales », résume Zoumana Camara. Cette aventure européenne sera peut-être le vrai rayon de soleil de la saison. Ne nous emballons pas car le Dynamo est redoutable, surtout dans son joli stade Lobanovski (33 buts inscrits en 13 matchs de championnat)… Mais quand le PSG est outsider, il sait souvent en tirer profit.

Laurent Perrin


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Makelele et Makonda d’entrée ?

Le PSG s’est entraîné, pendant une petite heure, dans une ambiance décontractée, hier, en fin d’après-midi, sur le stade Lobanovski, du Dynamo de Kiev. Après un footing et un échauffement, les joueurs ont fait des exercices de passes avant de finir par une opposition à dix contre dix sur terrain réduit, à laquelle Paul Le Guen a participé.

L’entraîneur parisien devrait choisir une équipe assez proche de celle alignée au Parc, voici une semaine. Devant Landreau, on trouvera un quatuor formé de Ceará, Camara, Traoré et Makonda, toujours préféré à Sylvain Armand. Ce dernier, remis de sa blessure à un genou, est peut-être encore un peu juste pour débuter une rencontre de cette intensité. Au milieu, à en croire la séance à huis clos, Makelele et Chantôme pourraient être associés à la récupération, ce qui permettrait à Clément de souffler un peu. A droite, Sessegnon devrait tenir sa place. Idem à gauche pour Rothen, même si, hier, le jeune Maurice figurait dans l’équipe des probables titulaires. Devant Hoarau et Luyindula devraient de nouveau débuter. Reste à connaître le schéma tactique et le positionnement de Sessegnon et de Rothen. A l’aller, Le Guen avait opté pour un 4-3-3.

A.H.


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Dans le même hôtel que Platini


Les années passent mais l’aura du PSG demeure intacte. Chacun de ses déplacements européens suscite ainsi la curiosité des pays hôtes. On a encore pu le mesurer hier à Kiev, à l’aune du grand nombre de journalistes ukrainiens présents, lors de la conférence de presse de Paul Le Guen et de Zoumana Camara.
Dans la capitale ukrainienne, le club parisien était descendu dans un splendide 5 étoiles, situé aux abords de la vieille ville, à la façade de verre et au design contemporain.
C’est dans cet établissement, avec bar à vins, piscine et chambres spacieuses, que séjournait aussi un certain Michel Platini. Le patron de l’UEFA avait fait le voyage afin de juger de l’avancée des travaux de l’Euro 2012 organisé conjointement par l’Ukraine et la Pologne. Hier en fin d’après-midi, Paul Le Guen n’avait toujours pas croisé l’ancien sélectionneur national dans les couloirs de l’hôtel. Il faut dire que la petite délégation parisienne, où figuraient Philippe Boindrieux, le directeur général, et Simon Tahar, le président de l’association, n’était sur place que depuis un peu plus d’une heure. Interrogé sur les raisons qui l’avaient incité à condenser, au maximum, son séjour à Kiev, Paul Le Guen eut une réponse inattendue : « Je n’aime pas faire partir le groupe trois ou quatre jours pour ce type de déplacement. Il y a aussi une considération économique. La pension complète d’un joueur coûte 450 €… » En conséquence, les Parisiens quitteront l’Ukraine aussitôt après la fin du match. Hier, il leur a fallu deux heures quarante-cinq pour rallier Kiev. Dans l’avion, l’ambiance était détendue : certains jouant aux cartes pendant que d’autres regardaient leur lecteur DVD ou dormaient. « On a fait un bon voyage dans un avion spacieux. L’hôtel est très bien », s’est réjoui Zoumana Camara.
Et comme cela fait, paraît-il, partie des charmes de l’Ukraine, le défenseur parisien a été amené à donner son avis sur les femmes du pays. Gêné par cette question formulée par une journaliste locale, Camara a coupé court en répétant qu’il était là « pour parler football. »

Arnaud Hermant


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Un oligarque russe a voulu racheter le club parisien


L’histoire en fera frémir certains et rêver d’autres. Alors que Paris se prépare à défier une formation issue de l’ex-URSS, le PSG pourrait aujourd’hui appartenir à un oligarque russe et crouler sous les pétrodollars. Cet épisode est évoqué dans un livre sur le club parisien à paraître à la fin du mois*.
Il remonte à 2003. Fraîchement nommé à la tête du PSG, Francis Graille est effectivement approché par des émissaires russes de la société Gazprom. A l’époque, Gazprom n’est pas encore très connu en France et Graille reçoit ces représentants avec défiance.

« Gazprom, c’est énorme ! »

Il se renseigne, en parle notamment à Vahid Halilhodzic qui connaît très bien les pays de l’Est. L’anecdote associe au technicien franco-bosniaque cette répartie : « Gazprom, c’est énorme ! Ils ont toutes les stations-service en ex-Yougoslavie. » Gazprom, c’est bel et bien énorme ! Premier exploitant de gaz au monde, cette société est également un poids lourd de l’industrie pétrolière. Elle est aujourd’hui la plus grosse entreprise de Russie et a généré, en 2005, 20 % des recettes budgétaires de l’Etat russe. Son patron, Alexeï Miller, proche de Vladimir Poutine, est multimilliardaire, encore plus riche que Roman Abramovitch, le célèbre propriétaire de Chelsea. Abramovitch inspire Miller, qui décide d’acquérir un grand club de football pour s’acheter une respectabilité en Europe occidentale. Il jette d’abord son dévolu sur l’AS Rome. Les discussions aboutissent très vite sur une vente à hauteur de 300 millions d’euros, payé cash. Mais le richissime russe se rétracte car ses interlocuteurs italiens lui avaient caché avoir contracté quelques dettes faramineuses.
Miller ramasse ses billes et envoie ses conseillers prendre la température à Paris. Ils rencontrent Graille une fois, puis une deuxième. Entre-temps, le président du PSG s’est renseigné. Il sait désormais que ses interlocuteurs sont crédibles. Il sait aussi qu’en leur donnant accès à Canal +, il plombe son propre plan de reprise. Mais par honnêteté, il informe la direction de la chaîne cryptée. Un rendez-vous entre Bertrand Méheut et Alexeï Miller est organisé. Miller attend juste de connaître le prix pour dire : « Banco ». Méheut hésite, le fait patienter et ne donne pas suite. Le patron de Canal + doute de la traçabilité des fonds de Gazprom. Miller ira proposer ses pétrodollars ailleurs. Depuis, il n’a toujours pas acheté de club. Mais en 2006, il est devenu le sponsor principal de Schalke 04, adversaire du PSG cette saison en Coupe de l’UEFA. Montant du contrat ? Entre 70 et 100 millions d’euros (selon les résultats sportifs) sur six ans…

*« PSG, ton univers impitoyable », Alain Azhar, Editions Solar, 204 pages. Parution le 30 avril 2009.

Laurent Perrin


leparisien.fr
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corto-news
posté 16/04/2009 12:13
Message #522


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Tribune : G rouge



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Kiev craint Make et Giuly

Interrogé par le site de l’UEFA, Miloš Ninković, le milieu de terrain du Dynamo Kiev, a confié qu’il espérait voir Claude Makelele et Ludovic Giuly sur le banc lors du quart de finale retour de la Coupe UEFA contre le PSG jeudi.

«Nous n'avons pas montré nos qualités à l’aller : on a défendu pendant presque tout le match, et ce n'était pas le plan que Yuri Semin avait défini. Aujourd'hui, c'est du 50-50. Le PSG est une très bonne équipe, avec un groupe de joueurs de grande classe. En plus, Giuly et Makelele joueront certainement, cette fois. Ce sera un match très difficile pour nous. Giuly et Makelele sont des joueurs expérimentés de très grande classe, et on préfèrerait qu'ils restent une nouvelle fois sur le banc.»


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Traoré pense au public

Sur le site du Paris SG, Sammy Traoré a évoqué le quart de finale retour de Coupe UEFA contre le Dynamo Kiev, avec l'envie d'offrir une demi-finale au public parisien.


«En ayant obtenu le match nul 0-0 sur notre terrain nous conservons toutes nos chances de qualification. Ils vont devoir attaquer et je pense que nous aurons donc des opportunités. Il faudra donc les concrétiser pour se qualifier (...) Quand tu es en quarts de finale, tu n’es plus très loin du titre. Nous allons donc tout faire pour aller en demi-finale. Ensuite, nous verrons bien se qu’il se passera. Ce sont de très beaux matches à jouer et nous allons essayer d’offrir une demi-finale à notre public.»


www.sport24.com


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sylvain
posté 16/04/2009 14:28
Message #523


Légende
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So Foot.com

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C3 - Pourquoi le PSG va se qualifier
jeudi 16 avril 2009




Le Dynamo Kiev ? Oui, et alors ? Contre toute logique sportive, Paris va passer ce soir et se qualifier pour les demi-finales de C3. La preuve par 10, et en toute objectivité.


1. Parce que Paris a déjà gagné à Kiev
Souvenez-vous, c’était hier. En 1994-95, le PSG triomphal de coach Luis n’avait fait qu’une bouchée du Dynamo Kiev en l’emportant 1-0 au Parc et 2-1 dans la steppe. C’était facile à l’époque ? A d’autres. En 95, le Dynamo faisait jouer un certain Andreï Chevtchenko. Et Paris Patrick Colleter. Comme quoi…

2. Parce que 0-0 à domicile est un bon score
Selon les statisticiens, Paris n’aurait que 33% de chances de se qualifier après avoir concédé le nul 0-0 au Parc. Sauf que Paris se fout des statistiques. Et aime renverser la vapeur au retour. Braga au tour précédent, Anderlecht en 92-93 (Kombouaré forever), l’AEK Athènes en 1997 (triplé de Patrice “Pénis” Loko en terre hostile) le prouvent : quand Paris fait 0-0 chez lui, c’est qualif’ au retour. Et c’est une règle.

3. Parce que Hoarau n’a pas marqué depuis deux matches
Que les Ukrainiens se le disent, Hoarau passe rarement plus de 180 minutes dans la raquette sans dunker. Depuis le début de saison, sa période de sécheresse la plus longue remonte au mois de septembre. A l’époque, l’attaquant était resté trois matches entiers sans scorer. Que c’est loin…

4. Parce que Paris aime le menu trio
Bon, la C2, c’est fait. La C1, ça se fera un jour, quand les Qataris auront enfin compris le potentiel du club de la capitale de Phrance. Ce qui veut dire que si le PSG s’arrache la C3, il deviendra le seul club français à remporter les trois coupes d’Europe pour l’éternité. En fait, seuls le Bayern, le Barça, la Juve et l’Ajax ont déjà réussi cela. Des voisins corrects, sans plus.

5. Parce que Paris, c’est un peu l’Equipe de France
Des noms ? En voilà garçon : Landreau, Makelele, Giuly, Hoarau, Luyindula, Rothen, Camara, Armand, et Thuram en tribune présidentielle. Oui, le PSG est gorgé d’internationaux. Et encore, Sakho, Clément et Chantôme n’en sont qu’à l’échauffement. Pancrate aussi, d’ailleurs.

6. Parce que Sessegnon doit gagner un trophée avant Chelsea
Oui, la Premier league. Oui, la Champions. Oui, le compte en banque en Suisse. Et oui, le salaire à la semaine claqué en hôtesses. L’an prochain, Sessegnon rejoindra le gratin à Chelsea. Mais en attendant, il en doit bien une à Paris. La C3 et on te libère, mon grand !

7. Parce que le Dynamo est beaucoup trop fort
On va pas se mentir, Kiev est environ trois fois supérieur au PSG. Dans l’effectif, le palmarès, la circulation de balle, et le niveau de jeu. Logiquement, Paris devrait donc se qualifier, vers la 89ème minute. Comme tout grand club.

8. Parce que Kiev est une ville de joie
Entre les bars à putes, les restos lounge ambiance “Promesses de l’Ombre”, les Magnums bien frais et les fights sur la place centrale, Kiev, c’est un peu le Club Med du footballeur et supporter parisien. En plus, c’est le printemps et les armes sont en vente libre.

9. Parce que Mateja a rendez-vous avec l’histoire
Il est moche, il est hors de forme, il est mauvais et il coûte un bras au club. Mais il a la rage, et il a déjà joué à Istanbul. C’est écrit, Mateja Kezman embrassera la Tour Eiffel devant le kop parisien en finale de l’UEFA. Au bout des prolongs, comme toute star qui se respecte.

10. Pour faire chier l’OM
C’est pas nous qui le disons, ce sont les supporters parisiens...


Ennio Noddo


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"If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly

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Baghib!
posté 16/04/2009 16:31
Message #524


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Foot - C3 - Armand et ''Make'' titulaires, pas Rothen

Comme au match aller, le Paris-SG évoluera en 4-3-3 sur la pelouse du Dynamo Kiev en quarts de finale retour de la Coupe de l'UEFA (0-0 à l'aller). Le club de la capitale présentera une défense classique avec Sylvain Armand dans le couloir gauche. L'ancien Nantais était éloigné des terrains depuis fin mars et une blessure au genou gauche contractée contre Toulouse (1-4). Les deux autres surprises dans le onze choisi par Paul Le Guen concernent la présence sur le banc de Jérôme Rothen et la titularisation de Claude Makelele. Côté ukrainien, l'ancien Manceau, Ismaël Bangoura, retrouve une place de titulaire. Il était remplaçant, il y a une semaine, au Parc des Princes. - G.D et D.D (à Kiev)

Le onze parisien : Landreau - Ceara, Camara, Traoré, Armand - Chantôme, Makelele, Clément - Sessegnon, Hoarau, Luyindula.

lequipe.fr
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Biz Markie
posté 16/04/2009 20:06
Message #525


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Le Paris-SG n'ira pas en demi-finales de la Coupe de l'UEFA. Les joueurs de Paul Le Guen ont été éliminés par le Dynamo Kiev (0-0, 0-3), jeudi soir, en Ukraine. Menés 0-2 après un quart d'heure de jeu, le club de la capitale n'a même pas eu le temps d'y croire.

Par le mauvais bout. Le Paris-SG a pris son quart de finale retour de Coupe de l'UEFA à l'envers, jeudi soir, sur la pelouse du Dynamo Kiev (0-3). Menés au score dès la troisième minute, les joueurs de Paul Le Guen n'ont jamais donné l'impression de pouvoir répondre au défi collectif proposé par les Ukrainiens. Ils ont littéralement sombré à l'image de leur gardien de but, Mickaël Landreau. Pour la première fois de son histoire, le club de la capitale a perdu un quart de finale de Coupe d'Europe. Pour la première fois de son histoire, il est tombé contre une formation ukrainienne. Les statistiques ne sont pas une science exacte, sauf lorsqu'elles touchent l'efficacité des protégés de Youri Semine. Avec 44 buts en 21 matches, le Dynamo mérite sa réputation de machine à marquer dans son stade Lobanovski.

Paris s'est compliqué la vie tout seul. Il n'a même pas eu le temps d'entrevoir une éventuelle qualification pour les demi-finales. Au bout d'un quart d'heure de jeu, une frappe puissante de Bangoura (3e) et une terrible bourde de Landreau (15e) avaient déjà douché ses espoirs. Sur un centre de Milevskyi, le portier parisien a boxé le ballon dans ses propres filets. Difficile de ne pas évoquer sa responsabilité dans l'échec de son équipe. C'est également lui qui est directement à l'origine du troisième but ukrainien. Sur un boulet de canon d'Aliyev, il n'a pu que repousser le ballon dans les pieds de Vukojevic (61e). Comme la saison dernière lorsqu'il accumulait les boulettes, Landreau se retrouve sur le banc des accusés. Il ne peut cependant pas être tenu comme le seul responsable du fiasco parisien.

Paris pourra regretter son entame de match catastrophique. Il a semblé la traîner comme un boulet durant toute la rencontre. Malgré le retour d'Armand dans le couloir gauche, l'arrière-garde parisienne a considérablement souffert devant la vivacité des Bangoura, Milevskyi et autres Ninkovic. Si cette rencontre s'était jouée aux points, le club de la capitale aurait été K-O avant même la mi-temps. Paris n'a pas montré grand-chose si ce n'est une certaine fébrilité. Même la présence au coup d'envoi de Claude Makelele ne lui a pas donné l'assise qu'il espérait. Alors que le rendement global de l'équipe semble de plus en plus dépendre de Sessegnon, l'international béninois a confirmé la légère baisse de régime dont il semble être victime depuis une dizaine de jours. Entre mauvais choix, précipitation et approximations, il a été à l'image de la prestation parisienne. - E. T.

L'Equipe.fr


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Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.

Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être
(Sacha Guitry)
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Baghib!
posté 16/04/2009 21:45
Message #526


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Foot - C3 - PSG - Landreau «malheureux»

Mickaël Landreau s'est montré pragmatique à l'issue de l'élimination du Paris-SG par le Dynamo Kiev (0-0, 0-3), en quart de finale de la Coupe de l'UEFA. Impliqué sur deux des trois buts concédés par son équipe, le portier parisien estime qu'«il y a des soirs comme ça» où rien ne va. Sans se dégonfler, il a tenté d'expliquer sa mauvaise sortie des deux poings qui a abouti à un c.s.c au quart d'heure de jeu. «Le ballon monte avec beaucoup d'effet, apparemment on se touche avec Guillaume (Hoarau), a-t-il commenté. Je suis malheureux sur ce but, ça fait partie de mon poste».

D'une manière plus générale, l'ancien Nantais a fait part de la «déception» qui habite le clan parisien. S'il loue la prestation du club ukrainien, «un adversaire dont on savait que c'était l'un des plus forts qu'on allait avoir à jouer», il estime qu'il y avait la place «pour en mettre un». «C'est dur mais ça reste un parcours exceptionnel».

Le Guen : «A moi d'assumer»

De son côté, Paul Le Guen a qualifié ce revers de «bonne claque». «Mais il va falloir s'en remettre, a-t-il insisté. Quand on prend 3-0, il faut juste reconnaître la supériorité de l'adversaire. On n'a pas fait tout ce qu'il fallait, même si à 2-0 on n'a pas abdiqué. Jusqu'au troisième but, on continue à avoir des situations favorables. Si on revient à 2-1, ça peut être différent, mais on n'a pas réussi à réduire le score, et à 3-0, ça devient différent, c'est sûr.»

Le technicien ne veut pas accabler Mickaël Landreau. «Il faut le laisser digérer, il a montré sa capacité de rebond, il a montré des qualités exceptionnelles à ce niveau-là, il va devoir le montrer à nouveau. Dans sa personnalité, ça fait partie de ses forces. Je compte sur lui.» Il dit assumer complètement l'échec de son équipe. «Je suis leur responsable, c'est à moi d'assumer d'abord et avant tout». (Avec AFP)

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Biz Markie
posté 17/04/2009 07:00
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17/04/2009 07:58
Foot - L1 - PSG - Bazin a contacté Bouchet blink.gif (presse)

Christophe Bouchet, patron de l'Olympique de Marseille de 2002 à 2004, pourrait faire son retour à la tête d'un club de Ligue 1... à Paris. Selon Aujourd'hui Sport, vendredi, Sébastien Bazin, l'actionnaire majoritaire du PSG et proche de l'intéressé, a évoqué le sujet avec lui. Dans une interview au quotidien, Christophe Bouchet, actuel directeur général de Sportfive, le leader européen dans la gestion des droits marketing et audiovisuels sportifs (groupe Lagardère), reconnaît de fréquents contacts avec le Paris-SG dans le cadre de son activité mais dément avoir «jamais eu de propositions du PSG» pour en prendre la présidence exécutive. «Soyez cool, n'affirmez pas que je brigue le poste», lance -t-il au journal, avant d'ajouter : «Il est naturel de penser à moi. J'ai le profil pour occuper ce poste.» Outre ses fonctions chez Sportfive, l'ancien journaliste occupe depuis janvier dernier le poste de vice-président du FC Tours où il s'occupe bénévolement, dans la ville où il réside, des relations extérieures du club.

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aleksandre08
posté 17/04/2009 07:42
Message #528


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Pour Paris, la marche était bien trop haute

Surclassé par le Dynamo Kiev, Paris quitte la Coupe de l’UEFA sans gloire. C’est Mickaël Landreau, coupable d’une erreur grossière, qui a sans doute précipité l’élimination de son club.

La scène se déroule peu après l’élimination du PSG dans le confortable auditorium du stade Lobanovski. Paul Le Guen accepte de répondre aux questions des journalistes ukrainiens. Ce ping-pong verbal tourne exclusivement autour de Mickaël Landreau. Après avoir concédé que son gardien n’avait pas réalisé un bon match et précisé qu’il n’avait pas songé à le remplacer, il se lève, visiblement las, et quitte la salle, le regard noir.

Il sait tous les débats que va susciter la correction reçue par son équipe (3-0). Et surtout, l’énorme bourde de Landreau sur le deuxième but. « Je ne vais pas l’accabler, c’est un de mes joueurs et quand ça ne marche pas, je suis derrière eux. Il a déjà montré sa capacité à rebondir. Je compte sur lui. » A propos de certaines prestations indignes, il poursuit : « Je ne veux pas parler des uns et des autres. Je suis agacé par certaines fautes mais pas en colère, ça ne servirait à rien. » Malgré son début de match calamiteux où il se retrouve mené 2-0 après un quart d’heure de jeu, Paris n’a pas de regrets à nourrir. S’il a réussi à entretenir un mince espoir en fin de première période, il a ensuite constaté le fossé qui le sépare d’une équipe initialement qualifiée pour la Ligue des champions. « L’écart n’est pas aussi important que le montre le score, relativise l’entraîneur parisien. Wolfsburg est aussi fort que Kiev. Mais nous, nous n’avons pas été aussi bons qu’à Wolfsburg (NDLR : victoire 3-1) . Moi, j’y ai cru, on pouvait les bousculer en revenant au score. On a eu des occasions. » Des occasions si rares qu’elles sont passées inaperçues, comme cette tête de Luyindula qui s’écrase sur le poteau (5e). Dans le stade, personne ne l’a vue ! Les spectateurs étaient trop occupés à conspuer Viktor Iouchtchenko, dont la présence venait d’être signalée par le speaker. Le président ukrainien aura davantage porté chance à son équipe que Nicolas Sarkozy, qui avait assisté au match aller.

Lyon dans une semaine

Paris achève donc sans gloire une longue et belle campagne européenne à laquelle peu de gens s’attendaient. Au passage, Le Guen rappelle que, dans cette compétition, son équipe n’a finalement perdu que deux matchs sur douze. Elle peut désormais mettre toutes ses forces dans la course à la Ligue des champions. « Il faudra se remettre de cette bonne claque car les derniers matchs de championnat seront très intéressants à jouer », note Le Guen. Face au Havre, dimanche, la défaite sera interdite. Il faudra ensuite préparer le déplacement à Lyon. En une semaine, Paris trouvera-t-il les ressources pour hisser son jeu au niveau d’un autre habitué de la Ligue des champions ?



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DYNAMO KIEV - PSG 3-0 (2-0)
Spectateurs : 18 000.
Arbitre : M. De Bleeckere (Bel).
Buts : Bangoura (4 e ), Landreau (15 e , c.s.c.), Vukojevic (61 e ).
Dynamo Kiev : Bogush - Betao, Sabljic, Yussuf (Nesmachniy, 81 e ), El Kaddouri (cap.) - Eremenko, Vukojevic, Aliyev, Ninkovic (Ghioane, 83 e ) - Milevskiy, Bangoura (Correa, 69 e ).

PSG : Landreau - Ceará, Camara, Traoré (Bourillon, 16 e ), Armand - Chantôme, Makelele (cap.), Clément (Rothen, 46 e ) - Sessegnon, Hoarau (Giuly, 67 e ), Luyindula.

LES BUTS
4e : le Dynamo récupère un ballon côté droit dans le camp parisien après une perte de balle de Sessegnon. Bien servi, Bangoura fixe Traoré et place un tir entre ses jambes qui bat Landreau. 1-0.
15 e : corner pour Kiev. La balle est contrée par Ceará et monte en chandelle. Landreau sort, Hoarau est sous la retombée avec un Ukrainien. Le gardien rate son intervention et boxe le ballon vers sa cage. 2-0.
61 e : frappe tendue d’Aliyev de 30 m. Landreau relâche le ballon et Vukojevic, qui a bien suivi, marque dans le but vide. 3-0.

LE FAIT DU MATCH
6e : le PSG est mené 1-0 depuis à peine 120 secondes lorsqu’il développe une offensive. Sur une touche, Ceará envoie le ballon dans la surface du Dynamo. Chantôme dévie et Luyindula, de la tête, trouve le poteau extérieur de Bogush. Cette occasion a été la meilleure du match, côté parisien.

LE CHIFFRE
1 Comme la première défaite du PSG face à un club ukrainien en six confrontations. Avant le revers d’hier soir, le PSG comptait quatre succès et un nul. Paris n’avait encaissé qu’un but, c’était déjà contre le Dynamo, en phase de poule de la Ligue des champions 1994-1995, lors d’un succès 2-1 (buts de Guérin et Weah).

LA QUESTION

Depuis quand Paris n’a-t-il plus participé à une demi-finale européenne ?

Il faut remonter à l’édition 1996-1997 de la Coupe des Coupes. Tenant du trophée, le PSG se hissait dans le dernier carré après avoir éliminé en quart de finale l’AEK Athènes (0-0, 3-0). En demi-finale, Paris sortait Liverpool (3-0, 0-2) avant d’échouer en finale face à Barcelone (1-0).



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Landreau a eu tout faux


Comme à l’aller, Paul Le Guen avait opté pour un 4-3-3 afin de contrer les offensives ukrainiennes. Rothen laissé sur le banc, Makelele débute la partie comme milieu récupérateur axial. Dépassé par la vitesse ukrainienne, le PSG est revenu à son 4-4-2 classique après avoir encaissé un deuxième but au quart d’heure de jeu.


Landreau (1,5). Il a vécu un cauchemar. Il coûte deux buts à son équipe. Souvent décisif depuis août, il expédie d’abord le ballon dans son but lors d’une sortie aérienne (15 e ), avant de relâcher un coup franc (61 e ).

Ceara (3,5). Souvent à la peine et trop imprécis dans ses centres, l’arrière droit s’interpose cependant devant Bangoura en première période.

Traoré (non noté). Amoindri par une blessure aux adducteurs, il a souffert le martyre en début de partie et a rapidement cédé sa place à Bourillon (16 e ). Absent depuis le 7 février, ce dernier a fait avec les moyens du bord (note : 4,5).

Camara (4). A souffert devant la rapidité et les appels de balles des attaquants ukrainiens. Du bon et du moins bon.

Armand (4,5). De l’appréhension au début après presque un mois sans jouer. Le latéral gauche s’est contenté de défendre, pas toujours dans le tempo.

Chantôme (4,5). A tenté d’apporter de la pénétration au jeu parisien. Il n’a pas toujours réussi ce qu’il a entrepris. Des pertes de balles évitables.

Makelele (3). Incapable de contenir Aliyev et le milieu ukrainien. Il est apparu souvent en retard dans ses interventions.

Clément (4,5). Accrocheur, mais pas toujours pertinent dans ses choix. Remplacé par Rothen (45 e ), toujours en manque de repères et de percussion (note : 3,5).

Sessegnon (3). Bien pris par El Kaddouri, il n’a jamais su démêler le fil de ce match compliqué. Il perd la balle sur le premier but de Kiev.

Hoarau (3,5). Une énorme occasion gâchée (35 e ). Il a beaucoup proposé, mais souvent dos au but. Remplacé par Giuly (67 e )

Luyindula (4). S’est senti mieux quand le PSG est repassé en 4-4-2. Une tête sur le poteau en début de partie.

A Kiev Milevski et Bangoura, les deux attaquants, ont été de véritables poisons toujours bien soutenus par un remarquable Aliyev.

L’arbitre belge, M. Debleeckere (6,5), n’a rien à se reprocher.

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Des fans discrets et très déçus


Deux mille policiers environ pour une soixantaine de supporteurs du PSG : hier soir, les autorités ukrainiennes n’avaient pas lésiné sur les forces de l’ordre. La petite délégation de fans parisiens ne s’est pas fait remarquer, d’autant qu’au sein même de leur tribune se trouvaient des vigiles, camescope en main. Et leurs espoirs de qualification ont vite été douchés par les deux buts du Dynamo survenus dans le premier quart d’heure.

« C’est dommage, raconte Hervé, venu seul avec son copain Mathieu et qui a trouvé des places dans une partie du stade où les Français n’étaient pas nombreux. C’est dommage mais on va profiter de la ville maintenant. » Les deux amis sont arrivés hier et prolongent le séjour jusqu’à demain pour des raisons économiques. « C’était moins cher de rester jusqu’au week-end avec la compagnie ukrainienne », raconte cet autre supporteur, abonné au Parc depuis 15 ans.
Ils ne sont pas les seuls à avoir agi ainsi. La majorité des soixantes fans du PSG à s’être déplacés à Kiev ont fait de même. Certains se sont logés dans des hôtels, d’autres ont loué des appartements à 40 euros la nuit. Tous se montrent discrets car les Ukrainiens ne leur ont pas toujours réservé le meilleur accueil.

« C’est dur comme résultat »

Un petit groupe est même venu de Brive en voiture pour encourager son équipe sans posséder de ticket d’entrée avant de rejoindre l’ancien grenier à blé de l’ancienne Union Soviétique. C’est Paul Le Guen, en les croisant devant l’hôtel du PSG, qui a solutionné pour eux la question des places.
Il y avait aussi dans les travées du vieillot stade du Dynamo des Français installés en Ukraine. Comme Olivier et Marc, deux expatriés qui travaillent chez Orangina et qui ont invité pour l’occasion des clients locaux. Enfin, Jean-David et son fils Paul étaient là en voisin puisqu’ils habitent à 150 mètres de l’enceinte. « C’est sympa de voir jouer le PSG mais c’est dur comme résultat », confie ce directeur du collège français de Kiev qui compte deux cents élèves.


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Baghib!
posté 17/04/2009 08:34
Message #529


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Foot - L1 - PSG - Sans Traoré face au Havre ?

Remplacé dès la 16e minute à Kiev lors de l'élimination du Paris-SG par le Dynamo, jeudi soir (3-0, 1-0 à l'aller (popcorn.gif)), Sammy Traoré souffre des adducteurs, un mal qui gênait depuis déjà quelques semaines le défenseur central malien et qui s'est réveillé en Ukraine. Le joueur, qui boîtait très bas après la rencontre, sera sans doute incapable de tenir sa place dimanche contre Le Havre en Championnat.

lequipe.fr
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Dubdadda
posté 17/04/2009 10:40
Message #530


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Le Guen: «Une bonne claque»

Paul Le Guen assure que la lourde défaite du Paris SG jeudi à Kiev face au Dynamo (3-0), synonyme d'élimination de la Coupe de l'UEFA au stade des quarts de finale, est une «bonne claque» mais que c'est à lui «d'assumer».

C'est la déception qui domine...

Paul Le Guen : «Oui, quand on prend 3-0 en quart retour de Coupe de l'UEFA, c'est une bonne claque, mais il va falloir s'en remettre, penser très vite au match de dimanche.
Quand on prend 3-0, il faut juste reconnaître la supériorité de l'adversaire. On n'a pas fait tout ce qu'il fallait, même si à 2-0 on n'a pas abdiqué. Jusqu'au 3e but, on continue à avoir des situations favorables. Si on revient à 2-1, ça peut être différent, mais on n'a pas réussi à réduire le score, et à 3-0, ça devient différent, c'est sûr.»

Est-ce que certains joueurs ont lâché ce soir ?

«Non, non, je ne veux pas parler comme ça. Je suis leur responsable, c'est à moi d'assumer d'abord et avant tout. Je ne veux pas évoquer les situations des uns et des autres, c'est à moi d'assumer tout ça. Quant à Mickaël Landreau (auteur d'un but contre son camp), il faut le laisser digérer, il a montré sa capacité de rebond, il a montré des qualités exceptionnelles à ce niveau-là, il va devoir le montrer à nouveau. Dans sa personnalité, ça fait partie de ses forces. Je compte sur lui.»

Ce revers remet-il en cause le beau parcours en C3 ?

«Pas dans mon esprit, sûrement pas. On est en quart de finale de la Coupe de l'UEFA, on a donné, on a donné (sic), on a fait ce qu'on a pu. Ce soir, ce n'était pas suffisant, mais dans mon esprit on a quand même avancé. C'est le deuxième match qu'on a perdu sur douze en UEFA. C'est vrai que ça fait lourd, mais on s'en remettra.»


Le Parisien

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Kiev/PSG (3-0) : Paris plie les gaules

Venu avec des ambitions en Ukraine, Paris est reparti avec une valise. Pas besoin de se mentir ni d’être déçu : en face, c’était trop fort.

Ici c’est Landreau !

Mené 1-0 rapidement sur la première action du Dynamo Kiev, donc encore en course pour la qualification à condition de jouer intelligemment les 85 minutes restantes, le PSG a fêté sa sortie d’UEFA façon hara kiri, comme il en a le secret depuis plusieurs décennies : un bon vieux csc des familles à la 14ème, puis encore un cadeau à l’heure de jeu. C’est cette fois Mickaël Landreau qui s’est dévoué pour faire les deux toiles, en déviant un centre dans ses buts, puis en relâchant un coup franc dans les pieds sadiques de Ognjen Vukojevic. Forcément, cela faisait longtemps qu’il était discret. 3-0, carottes cuites, haricots finis, et on rentre à la capitale.

Doit-on parler du match ?

On peut. Pour faire synthétique, le Dynamo Kiev a commencé pied au plancher, a encore accéléré après le premier quart d’heure, puis s’est fait plaisir en contre. Belle équipe, le Dynamo Kiev. Plus belle que son coach, sorte d’André Rieu alcoolique. Plus belle que son stade actuel, aussi, qui, après le caillou de Braga en huitièmes, a fait beaucoup pour discréditer la coupe UEFA : on se serait cru à Romorantin sur Toundra.
Le football ukrainien, on commence à connaître. Ça sort le ballon proprement, ça dédouble les passes, ça écarte, ça revient, et ça se permet même des fantaisies techniques comme des extérieurs fouettés déclenchés depuis l’entrée de la surface, ou des ché-cros qui tuent dans les six mètres. Objectivement, c’était largement plus fort que ce qu’on voit en L1. Après le CSKA Moscou en 2005 puis le Zenith l’an dernier, il est fort probable que ce soit un ex-URSS qui fasse encore main basse sur la coupe d’Europe cette saison.

Salauds de pauvres.

Le pire, c’est que Paris n’a pas été nul. Enfin moins que le score. Venu avec Giuly et Rothen sur le banc mais avec Chantôme, puis rapidement Bourillon (oui : Bourillon) sur le terrain, le PSG s’est efforcé de faire des passes et de pousser quand il fallait pousser. Hélas, Hoarau ne peut pas tout faire, et Sessegnon a tout l’air d’avoir chopé un sacré boulard. Depuis qu’on lui a dit qu’il était bon, le Béninois s’est mis en tête de gagner les matches tout seul. Il crochète quand il peut passer, tire quand il peut centrer, temporise quand il peut remiser. Bon, il faut bien se trouver un bouc émissaire.
On résume : après y avoir cru comme jamais, Paris est éliminé de la C3, éliminé de la Coupe de la Ligue, éliminé de la Coupe de France, et pas loin d’être éliminé de la course au titre en championnat. C’est décevant ? Bof. Tout le monde vous le dira à Paris : le football, c’est très surfait.

Ennio Gnocchi


SoFoot

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Paul Le Guen : «se replacer en championnat»

L’entraîneur parisien, Mickaël Landreau et Sylvain Armand reviennent sur l'élimination du PSG en quart de finale de la coupe UEFA.

Paul Le Guen (entraîneur du PSG)

« Nous avons eu un début de match extrêmement compliqué, il fallait s’y attendre. On n’a pas su apporter les bonnes réponses. Même à 2-0, on pouvait y croire. En marquant un but, on pouvait les perturber avec plusieurs actions favorables que l’on n’a pas su concrétiser. Il faudra tout faire dimanche pour que cela fonctionne et se replacer en championnat. Ainsi, nos derniers matches seront intéressants à jouer. »

Mickaël Landreau (gardien du PSG)
« On a perdu 3-0, ce qui est bien évidemment une grosse déception. Nous prenons rapidement un premier but, puis un dernier à un moment compliqué. Nous avons joué une équipe très forte collectivement, surtout à domicile, avec un fort potentiel. Sur ce second but, le ballon monte très haut avec beaucoup d’effet. Il y a des soirs difficiles. »

Sylvain Armand (défenseur du PSG)

« Nous sommes tombés sur une bonne équipe, c’est le football. A 1-0, on y croyait. Ce n’est pas le premier but qui nous met en difficulté. Il fallait absolument marquer. Nous avons commis quelques erreurs techniques mais le point positif de cette rencontre est que nous n’avons jamais renoncé. »


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Dubdadda
posté 17/04/2009 10:51
Message #531


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« J’assume totalement » MICKAEL LANDREAU, gardien du PSG

Mickaël Landreau a été parmi les premiers à quitter le vestiaire parisien du stade Lobanovski. Il n’a pas fui les questions et assume sa responsabilité dans cette défaite.

Dans quel état d’esprit êtes-vous après cette lourde défaite ?

Mickaël Landreau : C’est bien évidemment une grosse déception. Le premier but est venu trop vite, mais surtout on a pris des buts à des mauvais moments du match. On était face à une équipe qui dispose d’un gros potentiel et qu’on savait très forte surtout à domicile.

Que se passe-t-il sur le deuxième but que vous dégagez dans votre propre cage ?


Le ballon est monté très haut dans le ciel avec beaucoup d’effet. Je parle à Guillaume (NDLR : Hoarau) malheureusement… Et voilà (il semble résigné) .

Sur le dernier but, il vous est impossible de bloquer le ballon ?

La balle est forte et elle flotte un peu. Ce n’était pas évident de la garder.

Est-ce un moment difficile à supporter ?

J’assume totalement cette situation. Parfois il y a des matchs où on fait une super-prestation, d’autres où c’est plus difficile. On souhaiterait que ça n’arrive jamais. Mais à ce poste de gardien, on sait que ça peut arriver. C’est la loi du milieu.

Avez-vous le sentiment que cette erreur scelle définitivement votre élimination ?

C’est malheureux car à 2-0 il n’y avait plus vraiment de match. Mais je ne sais pas si la qualification se joue sur mon erreur.

Vous pensez malgré tout que votre équipe aurait pu revenir dans la partie ?

On n’a pas su, surtout, mettre les buts quand il fallait. C’est aussi une frustration.

Allez-vous vous en remettre ?

Quand on a joué autant de matchs que moi dans une carrière, on sait que ça peut arriver.

Paris aurait-il pu faire mieux dans cette compétition ?

Quand on est compétiteur, on a toujours envie d’aller plus haut. C’est un peu tôt pour faire un bilan. Ce soir (hier) , il y a surtout de la déception.


Le Parisien
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Hari
posté 17/04/2009 13:53
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Foot - L1 - PSG - Trois absents face au Havre

Le défenseur Sammy Traoré, le milieu de terrain Clément Chantôme et l'attaquant Mateja Kezman sont tous trois forfait pour la réception du Havre, dimanche, a-t-on appris vendredi matin auprès du staff médical du Paris-SG. Les deux premiers nommés se sont blessés lors de la défaite du club de la capitale à Kiev, jeudi soir (0-3). Traoré, qui a du céder sa place à Grégory Bourillon dès la fin du premier quart d'heure de jeu, souffre de l'adducteur droit. C'est une béquille à la cuisse droite qui empêchera Chantôme de postuler pour le match contre le dernier. Kezman, qui n'était pas du déplacement en Ukraine, traîne pour sa part une douleur persistante au tendon d'Achille gauche. - Christophe MICHEL, au Camp des Loges.


lequipe.fr

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PSG : BOUCHET CONTACTÉ


Selon le quotidien Aujourd’hui Sport, Sébastien Bazin, l’actionnaire majoritaire du PSG se serait entretenu avec Christophe Bouchet, ancien président de l’Olympique de Marseille, pour évoquer une possible arrivée dans la Capitale.

A la recherche d’un successeur à Charles Villeneuve à la présidence du PSG, Sébastien Bazin aurait noué des contacts avec l’ancien président de Marseille (de 2002 à 2004), Christophe Bouchet, indique Aujourd’hui Sport. Dans une interview accordée au quotidien, le directeur général de Sportfive reconnaît être en contact régulier avec le club parisien tout en précisant qu’il n’a « jamais reçu de propositions du PSG » et qu’il ne « brigue pas le poste ». « Il est naturel de penser à moi, j’ai le profil pour occuper le poste », indique-t-il.


Rédaction Football365.fr
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aleksandre08
posté 17/04/2009 19:19
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Hoarau : « On ne se fera pas de cadeaux »

Le meilleur buteur du club en L1 avec 16 buts revient sur l’élimination en coupe d’Europe avant d’aborder la rencontre face à son ancien club, Le Havre, dimanche au Parc des Princes.

Guillaume, comment réagit le groupe après cette élimination de la Coupe UEFA ?
« Nous sommes tristes, déçus. C’est sûr que le parcours avait été beau jusqu’ici. Malheureusement, il faut accepter la défaite. On aurait aimé jouer une finale de Coupe UEFA mais ce n’est pas pour cette année. Dans tous les cas, il faut retenir la leçon. Dimanche il y a un match, nous n’avons pas le temps de gamberger. »

Cette défaite, c’est la fin d’un beau parcours…

« Le Président nous a dit que si en début de saison on lui avait dit que nous jouerions les quarts de finale, il aurait signé. Sortir comme cela fait mal mais c’est le football. La saison peut encore être riche et belle donc il faut rebondir dimanche. »

Est-ce que jouer face au Havre, qui est mal classé, est le meilleur match pour rebondir ?

« Il n’y a pas de match simple. Le Havre a été gagner à Monaco qui a fait match nul à Lyon. Rien n’est facile dans ce championnat. Ils vont venir ici décomplexés. Ce sera une première au Parc pour quelques joueurs, avec cette envie de prendre du plaisir dans une très bonne ambiance. Dans ces conditions, cette rencontre peut être un match piège pour nous. Il faudra être vigilant et tout faire pour répondre présent. »

A l’aller, tu avais marqué un doublé… Comptes-tu rééditer l’exploit face à ton ancien club ?

« A ce stade de la compétition, nous avons des objectifs. Leur saison a été difficile. Ils vont tout faire pour respecter le maillot et le porter avec fierté. Ils ne vont rien lâcher et il faudra tout tenter pour gagner ce match. Ils ne me feront pas de cadeaux, moi non plus. C’est mon rôle de marquer des buts, que ce soit contre Le Havre ou n’importe qui d’autre. Il va falloir marquer pour continuer à avancer parce que rien n’est perdu pour nous en championnat. Il faut gagner nos matches, cela commence dimanche. »

Il reste de belles choses à obtenir en championnat finalement…
« On a réalise une saison complète. On aurait pu faire mieux car on peut toujours mieux faire. On n’a rien volé, on est allé chercher tout ce qu’on pouvait. Il reste sept matches avec pas mal de points à grappiller. J’espère que les comptes seront en notre faveur à la fin, pour que l’on puisse jouer une coupe d’Europe la saison prochaine. »

Finir meilleur buteur, est-ce un objectif pour toi ?

« Aider le club à finir le plus haut possible est mon objectif. Si je suis performant et que tout le monde l’est à son poste, c’est sûr que le club se retrouvera bien placé. Je veux continuer de marquer jusqu’à la fin mais, que je sois meilleur buteur ou pas, ce sera secondaire. Cela fait toujours plaisir mais ce n’est pas une priorité. D’abord le collectif, ensuite, si on peut prendre du plaisir et marquer des buts, c’est du bonus. »


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Panenka
posté 17/04/2009 20:19
Message #534


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Foot - L1 - Paris-SG - Bazin face aux joueurs

Au lendemain de l'élimination du Paris SG de la coupe de l'UEFA par le Dynamo de Kiev (3-0), les joueurs de la capitale ont eu droit, avant l'entraînement, à la visite de Sébastien Bazin, le président non exécutif du club, accompagné par le directeur général, Philippe Boindrieux. Une visite cordiale de l'actionnaire majoritaire qui a également tenu a recadrer certaines choses.

« Il a eu un discours positif, mais il nous a demandé maintenant de nous concentrer sur le championnat. Ca ne va pas être trop compliqué vu qu'il ne reste que ça » nous a confié un joueur. Sébastien Bazin s'est donc adressé à l'ensemble des joueurs rappelant leurs « devoirs » et notamment le fait que leur avenir personnel doit passer après les intérêts du club. Le responsable de Colony Capital Europe a demandé aux hommes de Paul Le Guen de se concentrer sur les objectifs de fin de saison en précisant qu'il y avait un coup à jouer.

« Il reste sept matches et donc sept finales » a-t-il déclaré en substance avant de quitter le centre d'entraînement. Ce « recentrage » pour certains ou « recadrage » pour d'autres apparaît comme une mise en garde avant la venue du Havre ce dimanche à 17h00 au Parc des princes.


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aleksandre08
posté 18/04/2009 08:33
Message #535


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Sébastien Bazin exige la Ligue des champions

L’événement est d’importance. Hier matin, Sébastien Bazin est venu au camp des Loges. Juste avant le décrassage, vers 11 heures, il s’est présenté dans le vestiaire au côté de Philippe Boindrieux, le directeur général. Au lendemain de l’élimination en Coupe de l’UEFA à Kiev (3-0), face à des joueurs fatigués par le retour en pleine nuit, le président du PSG a tenu un discours « courtois et musclé », selon un témoin de la scène.

Il n’a pas cherché à les rassurer ni à les enfoncer mais il a rappelé le challenge qui les attend en cette fin de saison. « Il reste sept matchs, ce sera sept finales », a-t-il lancé en substance avant de poursuivre : « Vous avez effectué un beau parcours en Coupe d’Europe alors que ce n’était pas dans nos ambitions au départ. Je vous en félicite. Vous avez une chance de couronner cette belle saison, ne la laissez pas passer. »

A propos de Ligue des champions, Bazin a répété, comme il l’avait fait au Parc des Princes la veille de PSG - Nice (2-1), le 4 avril, l’importance de finir dans les trois premiers. Pour le patron de Colony Capital Europe, il y a un coup à jouer afin de décrocher un billet pour cette épreuve continentale, synonyme aussi de rentrées financières.

Il tient les commandes


Outre ses encouragements ou ses fermes incitations, l’homme d’affaires a mis en garde l’effectif. Il s’est montré intransigeant en disant clairement aux joueurs de laisser de côté leurs états d’âme personnels d’ici à la fin de saison et de ne pas les répandre dans la presse. Ceux qui ne respecteraient pas cette demande présidentielle ne seraient « plus au PSG en 2009-2010 », selon Bazin. Enfin, ce dernier a évoqué l’un des dossiers chauds du club : celui du futur entraîneur. « Ne vous préoccupez pas de cela, restez concentrés sur votre fin de saison. La direction travaille et vous serez informés des décisions prises », a-t-il confié. Invités à lui poser des questions, les joueurs sont restés sans réaction.

Juste avant de parler aux coéquipiers de Makelele, Sébastien Bazin s’est entretenu avec Paul Le Guen. Cette visite présidentielle n’est pas anodine. Sa démarche démontre que, même à distance, il tient les commandes du PSG. Ces derniers temps, il multiplie les rencontres avec des personnages de tous horizons pour les sonder sur la situation du club. Il a aussi évoqué avec Alain Roche , la semaine passée, les contours du futur effectif sportif.

Enfin, Bazin cherche à se rapprocher de certains joueurs. Mardi dernier, il a déjeuné avec Ludovic Giuly. Selon l’entourage du patron du fonds d’investissement, ce repas a permis aux deux hommes de faire connaissance. Bazin s’est aussi félicité du travail accompli par l’équipe et a confié son souhait de voir Le Guen prolonger sur le banc parisien et Makelele sur le terrain.


Le Parisien
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sylvain
posté 18/04/2009 17:42
Message #536


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Tribune : Viré du stade



Résumé de l'enquête de l'equipe magazine.

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CV cherche toujours du coté du Moyen Orient. Il aurait rencontré des gars à Al Jazeera, proche de la famille du gars qui a repris City. Moutier, qui a aussi des contacts là bas, confirme qu'on lui a dit que CV était là bas il y a un certain temps.Il sait qu'il ne pourra revenir au PSG qu'avec quelqu'un qui reprend le controle du club et pas seulement les 40% que propose CC. Mais Moutier ets moins affirmatif. ""Ne croyez pas non plus qu'aux Emirats, on achète tout et n'importe quoi. Le PSG n'a pas de stade à disposition et il n'y a pas de business à y faire. Juste un nom qui ne vaut pas des dizaines de millions d'euros. Villeneuve a sans doute de bons contacts à Abu Dhabi. Mais il aura tout de même beaucoup de mal à trouver des dizianes de millions d'euros."

CV a refusé plusieurs offres de job pour continuer à prospecter. En outre, il garde contact avec certains au club. Ainsi, il appele de temps en temps Luyindula, Giuly et Sakho. Il a aussi déjeuné avec Makélélé. Enfin, Skropeta lui raconte ce qu'il se passe au club. D'ailleurs on apprend que lors de son départ, CV a obtenu de Bazin que Skropeta soit gardé au moins jusqu'à la fin de la saison...
CV a aussi déjeuné il y quelques semaines avec Luc dayan qui était candidat au rachat du PSg avecdes gens du Moyen Orient derrière lui, avant d'être devancé par Colony Capital.
Dernière personne gravitant autour du PSG que CV a rencontré dernièrement: Matthieu Pigasse. Cet homme travaille pour la banque Lazard et c'est lui qui est chargé de trouver un acquéreur aux parts de Stanley (33.3% du club)..


L'espoir de CV pour réussir, ce serait que l'état des finaces au club seraient telles (ils parlent de 40 millions de dettes cumulées) que Tom Barrack serait tenté de vendre le club.


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PSG=125 millions??
Pour Sébastien Bazin, le club vaut 125 millions. Un chiffre surpenant qui ne repose en réalité que sur trois actifs: les joueurs, le nom du club et le montant des droits télés. le Parc des Princes, en revanche, appartient à la mairie de Paris et l'utilisation du Camp des loges repose sur un accord avec la ville de St Germain en Laye. Difficile dans ces conditions, d'estimer la valeur réelle du PSG, sans doute bien en deça des prétentions de Sébastien Bazin. Il suffit pour s'en convaicre de constater que Morgan Stanley cherche depuis des mois un repreneur afin de vendre ses actions. Charles Villeneuve le sait et n'attend qu'un retrait officiel de Tom Barrack, le grand patron de Colony Capital, confronté à la crise et lasser de devoir injecter sans cesse de l'argent dans les caisses. Le PSG vaudrait alors beaucoup moins que 125 millions d'euros...



France Football

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Landreau est comme Sisyphe


Après ses deux erreurs regrettables contre le Dynamo Kiev (0-3) jeudi en Coupe de l'UEFA, Mickaël Landreau (Photo Presse-Sports) a, une nouvelle fois, essuyé de nombreuses critiques. Auteur de l'une de ses saisons « les plus abouties », le gardien du Paris-SG a l'habitude d'enchaîner les hauts et les bas. Avant de défier Le Havre lors de la 32e journée de Ligue 1, dimanche (17h00), le portier formé à Nantes assume ses responsabilités mais admet qu'il regrette d'être jugé plus durement que d'autres. Au point de se comparer lui-même au Sisyphe, personnage de la mythologie grecque condamné à pousser en haut d'une montagne un rocher qui retombe à chaque fois dans la vallée. « Je ne fuis pas, au contraire, assure-t-il. Je me sens responsable sur le deuxième but, je fais une erreur comme cela peut arriver au cours d'une saison. Mais bon, avec moi, c'est toujours particulier. Je suis un peu vu comme le Sisyphe du foot français: un jour tout en haut, le lendemain au plus bas. On ne me passe rien. Jamais (silence). Mais je commence à avoir l'habitude».

Ça ne gâche pas le travail accompli
Mais le dernier rempart du club de la capitale, armé d'un mental d'acier, en a vu d'autres et ne se laisse pas abattre. «Je me savais très très attendu cette année. J'ai bossé, bossé à l'entraînement et je pense avoir prouvé que j'étais solide mentalement. Même s'il reste encore sept journées, cette saison fera certainement partie de mes plus abouties. Et ce n'est pas une erreur à Kiev, qui reste un fait de match, qui va venir gâcher la totalité du travail accompli.» (Avec AFP)


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"If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly

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Iaropolk14
posté 19/04/2009 09:36
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Le PSG n’a pas le droit à l’erreur face au Havre

Les Parisiens ont impérativement besoin d’une victoire, cet après-midi, contre Le Havre pour garder le contact avec les meilleurs. L’objectif de Ligue des Champions est à ce prix .

« Excessivement important. » Voilà comment, hier en fin d’après-midi, Paul Le Guen a qualifié le match du jour contre Le Havre. Quand on connaît la prudence habituelle de langage de l’entraîneur parisien et sa capacité à peser ses mots, l’adverbe employé plante à lui seul le contexte de ce 32 e rendez-vous de L 1 pour Paris.

Surtout après le passage de Sébastien Bazin, le président et actionnaire majoritaire du club, venu vendredi matin exhorter ses joueurs à décrocher une place en Ligue des champions.
Le Guen dit avoir apprécié cette visite présidentielle au lendemain de l’élimination en Coupe de l’UEFA : « J’aime bien quand il (Bazin) passe, j’aime bien quand il prend du temps pour échanger. C’est toujours précieux. J’aime bien quand il fait sentir sa présence. »

« On a vraiment la possibilité de recoller »

Inavoué officiellement jusqu’à ces derniers jours, peut-être par superstition, l’objectif de la Ligue des champions passe forcément par un succès contre le doyen des clubs français. Il s’agit d’une « obligation, d’une nécessité, dixit Le Guen. On a vraiment la possibilité de recoller (aux meilleurs), il ne faut pas la gâcher ».
Car, en cas de faux pas, « ce serait compliqué, même pour une place en Coupe UEFA », estime l’entraîneur parisien. « On est largement favoris, ajoute-t-il. J’insiste sur l’importance de ce match. Il faut avoir cela à l’esprit, la nécessité de bien le préparer, de bien récupérer et pas simplement se dire que l’on joue contre les derniers et que c’est forcément mission facile. Si on ne fait pas l’effort nécessaire, ça peut être un match difficile. »
Paul Le Guen a prévu de répéter ce discours à ses joueurs dans sa causerie d’avant match. Jeudi dernier, avant le match retour contre le Dynamo Kiev, il avait insisté sur l’importance de ne pas prendre de buts trop tôt dans la partie… Ses joueurs en avaient pourtant concédé deux dans le premier quart d’heure. Cet après-midi, ils seraient bien inspirés de mieux suivre les recommandations de leur entraîneur. Sous peine de vivre un dernier mois et demi de compétition sans saveur et loin des espoirs suscités par les huit premiers.
Sammy Traoré et Clément Chantôme, forfait cet après-midi, devraient également manquer le déplacement à Lyon vendredi prochain.


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Sakho de retour ?

L’ultime entraînement à huis clos hier au parc des Princes a été léger. Mamadou Sakho, victime d’une nouvelle blessure à la cheville à Braga le 19 mars dernier, a participé à la séance. Il devrait être titulaire dans l’axe défensif aux côtés de Camara. « Il est apte », a souligné hier Paul Le Guen, qui a néanmoins convoqué un groupe de 19 éléments.
Si Sakho devait finalement ne pas débuter, c’est Bourillon qui serait titulaire. Compte tenu des forfaits sur blessure de Traoré, Kezman et Chantôme, on devrait, devant Landreau, retrouver Ceará, Camara, Sakho donc et Armand. Au milieu, de droite à gauche : Sessegnon, Makelele, Clément et Rothen. Pour épauler Hoarau devant, Giuly sera préféré, comme ces dernières semaines en L 1, à Luyindula.


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Dubdadda
posté 19/04/2009 10:21
Message #538


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Le Guen : «Une opportunité à ne pas gâcher»

Comme chaque veille de match, Paul Le Guen s'est exprimé en conférence de presse. L'entraîneur parisien a notamment insisté sur l'importance de ne pas « gâcher une possibilité de recoller au classement ».

Paul, Sébastien Bazin est passé vendredi matin au Camp des Loges...

« Et j’aime bien quand il passe nous voir, quand il prend du temps pour discuter et échanger. C’est toujours précieux. »

Certains de vos joueurs ont déjà joué plus de quarante rencontres cette saison. Comment gèrent-ils cette accumulation de matches ?

« Il faut qu’ils intègrent ce paramètre. J’espère pour eux qu’il y aura d’autres saisons comme ça, car cela montre que nous sommes allés plutôt loin en Coupe de la Ligue et en Coupe d’Europe. Il faut qu’ils apprennent et tirent profit de cette expérience. Les grands joueurs doivent aussi être capables d’enchaîner les matches et de rester constants sur une saison. Je trouve qu’ils ont fait globalement un bon apprentissage. »

Comment abordez-vous la réception du Havre dimanche ?

« Nous sommes largement favoris, c’est vrai, mais le Havre vient de gagner à Monaco (1-0). Nous avons une opportunité à saisir face au dernier du championnat qui a gagné assez peu de matches, mais qui va jouer libéré. Nous avons la possibilité de recoller et il ne faut pas la gâcher. Le danger principal provient du programme récent auquel nous avons eu à faire face. C’est ma principale préoccupation. Dimanche, ce sera un match de Ligue 1 qu’il faudra gagner. Nous sommes assez matures pour respecter l’adversaire. »


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mat2t
posté 19/04/2009 19:51
Message #539


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Réactions d'après match :

Paul Le Guen
,
Q: Tous les espoirs sont-ils désormais permis?
R: "On a l'espoir de terminer devant 7e, devant 6e, etc., c'est déjà intéressant. On a un peu de marge sur Rennes, la marge s'est un peu agrandie, et on va regarder attentivement le match de ce soir (Bordeaux-Lyon). La bonne opération était surtout pour Marseille, en gagnant à l'extérieur. Nous, on s'est mis en bonne position avant un déplacement difficile à Lyon la semaine prochaine. Mais Lille et Toulouse peuvent revenir, c'est une lutte qui continue, avec des ballottages favorables ou non. On est mieux qu'il y a quinze jours, c'est loin d'être fini".
Q: Comment expliquer que vous soyez la meilleure équipe à domicile?
R: "C'est lié à la relation avec notre public. On en a souffert la saison passée, logiquement. Cette année, ils nous aident beaucoup, je les trouve très +foot+ dans leurs réactions: ils sont derrière l'équipe, et ils ont à l'esprit les difficultés qu'on peut rencontrer, comme l'enchaînement des matches".
Q: Quel regard portez-vous sur la prestation de Jérôme Rothen?
R: "Il a été excellent, je l'ai trouvé très bon. Il aura peut-être 12 sur 10 demain (rires). C'est quelqu'un que j'aime beaucoup. Il a des côtés irritants mais aussi attachants. Je suis là depuis deux ans, et j'ai contribué à ce qu'il puisse beaucoup jouer".


Cearà (défenseur du Paris SG): "On est contents, c'était important après la défaite à Kiev. On regarde maintenant en haut, on peut mieux faire. Cette semaine, nous avons parlé entre nous, ce qui est normal après une défaite 3-0. Cette victoire est le résultat de cette discussion. On a six matches à jouer, on verra à la fin ce que ça va donner, même si notre objectif est de terminer dans les trois premiers. On peut y arriver mais il faudra faire les efforts ensemble. Pour le titre, c'est plus difficile, avec Marseille devant. (sur OL-PSG) Lyon sera favori, ce sera un match difficile mais dans le foot, tout peut arriver".


Nicolas Dieuze (capitaine et milieu de terrain du Havre): "C'est une défaite sévère mais pas illogique, même si on a eu deux ou trois opportunités en début de match. Ce soir, on a encore mesuré l'écart avec ces équipes qui ont tout pour jouer les premiers rôles. C'est donc une déception, mais mesurée. C'est vrai que pour nous les carottes sont cuites, mais on va essayer de montrer le meilleur visage possible pour respecter l'éthique sportive, et qu'on ne dise pas que Le Havre a galvaudé le Championnat. On ne vit pas un calvaire. Certes, c'est un peu difficile d'être la risée du foot français, mais il y a pire comme métier. On fait quand même du foot, et sincèrement, on prend du plaisir".


Christophe Revault
(gardien du Havre): "Je sais très bien que ce sont mes derniers matches de Ligue 1. Jusqu'au premier but, c'était équilibré, et après ils ont eu la mainmise de la seconde période. Si je prends ce 3e but, c'est peut-être parce que je suis en train de savourer et de profiter d'être dans ce stade. Je suis moins concentré parce que je regarde les tribunes, pour la première fois de ma carrière. Ils ont cadré trois frappes, ils ont mis trois buts. Je fais tout pour qu'ils soient sur le podium, j'espère qu'ils m'enverront un SMS quand ils y seront (rires). Ce match avait la saveur d'une équipe qui vient au Parc avec des couleurs et un maillot à défendre. Qu'on soit 20e, 18e ou 2e, c'est toujours un réel plaisir de jouer dans une telle enceinte, on ne peut pas parler de calvaire. (sur Guillaume Hoarau) On a du plaisir à le retrouver, mais on préfère le retrouver avant et après que pendant. Je suis passé par là à son âge et j'ai complètement échoué. Lui, on disait qu'il allait faire banquette et il confirme ce qu'il a fait l'année dernière avec nous, et il n'a pas fini de surprendre".


Frédéric Hantz (entraîneur du Havre): "C'est un peu comme toujours, les semaines sont difficile pour nous, les week-ends aussi. Sur un match comme ça, je n'ai pas de reproche à faire aux joueurs. On a eu de la volonté, on aurait pu ouvrir le score. Sur une erreur, on prend un but avant la mi-temps qui fait mal. Il y a plus de frustration que de déception, mais il n'est pas anormal que le PSG batte Le Havre, même si le score est un peu sévère. Il nous manque toujours un petit quelque chose, dans les domaines technique, tactique ou athlétique. Nous allons continuer à travailler, à progresser, parce qu'il reste six matches à jouer. Dans notre situation, il faut rester digne, travailler sérieusement dans l'aspect tactique et les placements, et de manière ludique sur le plan du jeu, et gagner, surtout à domicile, où notre public a été déçu, à juste titre".



Jérôme Rothen
(milieu de terrain du Paris SG, auteur du 2e but): "On a fait le boulot, c'était important de garder la bonne dynamique, on reste sur un nul et une victoire. Ce n'était pas gagné d'avance, contrairement à ce qui pouvait être dit, c'est des matches compliquer à aborder. On se place, on fait un petit trou par rapport à Toulouse, Rennes et Lille et il y aura un gros rendez-vous à Lyon. On va récupérer, travailler dans la bonne humeur. On était au rendez-vous à Lille, on a tenu. J'espère qu'on va équilibrer les débats et pourquoi pas gagner là-bas. Sur le terrain, ça reste la plus belle équipe du Championnat, même s'ils sont accrochés. Pour le titre, aujourd'hui on parle plus de Lyon, Bordeaux et Marseille, c'est logique, nous on est petits à côté. On s'est réveillés, parce qu'il paraît qu'on faisait la sieste. Il nous reste six matches, qu'il faudra aborder comme six finales, parce qu'on n'a pas la chance de faire de finale de coupe cette saison".


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sylvain
posté 19/04/2009 23:14
Message #540


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9/04/2009 21:07
Foot - L1 - PSG - Rothen : «Par le bon bout»

Avec un but et deux passes décisives, Jérôme Rothen a logiquement contribué à la victoire des siens contre Le Havre. Le Parisien préfère cependant mettre l'accent sur le collectif du club de la capitale. Les Parisiens ont, selon lui, pris le match «par le bon bout».

«Ce n'était pas facile car Le Havre n'a plus rien à gagner en championnat, a-t-il expliqué. L'équipe reste opérationnelle avec cette victoire. C'est important de rester au contact des autres équipes de tête. On est réalistes mais il n'est pas interdit de venir se mêler au sprint final». Sur un plan personnel, Rothen savoure mais avec retenue. «Perso, c'est une bonne soirée pour moi. On fait du foot pour être décisif. Ce soir c'est moi, demain ce sera un autre joueur. Je ne suis pas usé!». - C.Michel au Parc des Princes


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19/04/2009 21:00
Foot - L1 - PSG - Le Guen : «Une belle opération»

Paul Le Guen n'a pas fait la fine bouche à l'issue de la victoire (3-0) de son équipe sur la lanterne rouge du Championnat, Le Havre, dimanche. L'entraîneur du Paris-SG a apprécié la prestation de ses joueurs. Elle leur permet de s'emparer seuls de la quatrième place, devant Lille et Toulouse, tous deux battus samedi. «C'est un week-end intéressant pour nous au regard des autres résultats, a confié le technicien. On regarde un tout petit peu devant, on a un peu plus de marge avec ces trois points. On est quatrièmes à six journées de la fin et on est bien placés pour lutter. C'est une belle opération».

« On creuse l'écart »
Le fait de ne pas avoir encaissé de but est aussi un facteur positif pour l'entraîneur breton.. «On a rejoint Lille au goal average (14 contre 13) et c'est un élément qui peut compter, a-t-il expliqué. Ce sont des points qui nous font vraiment du bien. Je craignais ce match après l'élimination jeudi en Coupe de l'UEFA mais on a su prendre les points et on creuse l'écart ». Les Parisiens vont pouvoir se reposer avant le match qui va les opposer vendredi à Lyon. Le décrassage de lundi est annulé par Le Guen et les joueurs se retrouveront mardi après-midi.

Propos recueillis par C. MICHEL au Parc des Princes.


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