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02/01/2010 11:35
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#1621
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
Citation Guillaume Hoarau : « Je ne veux plus revivre ça » leparisien.fr
Absent des terrains depuis le 18 octobre, le meilleur buteur parisien de la saison passée se sent prêt pour relever, avec son club, tous les défis de la nouvelle année. Victime d’une rupture des ligaments du genou droit, Guillaume Hoarau a été le grand absent de la première partie de saison du PSG. Avec sept apparitions en L 1 et un but seulement, l’attaquant de 25 ans a beaucoup manqué à son équipe. Le meilleur buteur parisien de la saison dernière (17 réalisations) aperçoit enfin le bout du tunnel. Il attendait ce moment avec impatience. Son club aussi… Comment vous sentez-vous à l’heure de la reprise ? Guillaume Hoarau. Je monte en puissance. J’ai de bonnes sensations et chaque jour j’ai atteint les objectifs demandés. Je me suis arrêté les 24 et 25 décembre. Le 26, j’ai fait une séance et deux par jour ensuite. J’ai la haine de la période que je viens de vivre. Je revis maintenant. Comment avez-vous réagi après votre blessure au genou droit contractée à Toulouse le 18 octobre 2009 ? Sur le coup, ça a été dur, j’avais les boules. Ensuite, ça s’est transformé en frustration, car mes coéquipiers jouaient alors que moi j’étais impuissant et inutile. Au total, en 2009, j’ai été absent des terrains presque six mois (NDLR : de mai, sa première blessure, à fin août, puis d’octobre à aujourd’hui). Le moment le plus dur a été ma rechute, je me suis dit : « Ça s’enchaîne. » Même si je suis optimiste, j’ai cru que j’avais la poisse. Après, je ne suis pas du genre à faire la gueule bien longtemps, je ne peux pas tenir plus de deux jours (sourire) . Aujourd’hui, dans quel état d’esprit êtes-vous ? Il paraît que ça rend plus fort, ce genre d’expérience. Aujourd’hui, je veux montrer ce que je sais faire. J’ai faim, je veux revenir meilleur et tirer mes partenaires vers le haut. Vous avez retrouvé le moral… Oui. J’aurais pu faire ma rééducation aill eurs, mais j’ai préféré rester au camp des Loges. Ça a été un avantage d’être auprès des gens du club. Je remercie les kinés, le préparateur physique et le médecin qui se sont occupés de moi pendant la trêve alors qu’ils auraient pu profiter de ces vacances. On s’est donné mutuellement le sourire et on est en passe d’atteindre les objectifs que l’on s’est fixés. Quels sont-ils ? Terminer la saison à une place européenne pour l’équipe et participer au stage de La Baule, puis rejouer en janvier pour moi. Rester aux côtés de vos partenaires a été un élément important de votre rééducation ? Certains me chambraient en me demandant quand je revenais ou si je restais encore en vacances. J’avais besoin d’être près d’eux. On a démarré une histoire ensemble, j’aurais aimé écrire celle de ces six derniers mois avec eux. Maintenant, ça touche à sa fin. Je ne veux plus revivre ça, même si la blessure fait partie de la vie du footballeur. Je sais que je ne suis pas le seul blessé longue durée. Ce n’est pas un soulagement, mais ça permet de relativiser. Vous faites référence à la blessure de Coupet ? Je me suis inspiré de Grégory. Quand on voit comment il vit la chose, ça aide. Vos blessures à répétition cette saison sont-elles dues à votre intense année précédente ? Je ne sais pas. J’ai sûrement commis des erreurs. Comme partir à Barcelone avec des coéquipiers quatre jours avant un match important… Ma blessure est certes arrivée trois jours après ce voyage à Barcelone, mais là-bas j’ai regardé un match assis au stade et j’ai voyagé en avion. Ça n’a rien à voir. Je connais mon corps. L’an passé, parfois, j’en faisais peut-être un peu trop par rapport à mes capacités. Pendant votre absence, avez-vous parfois rêvé que vous marquiez ? Oui, j’ai eu des flashs de buts ou d’actions. J’ai regardé quelques DVD de la saison dernière, mais je n’aime pas le passé. Comment avez-vous vécu la première partie de saison du PSG ? On est tous dans le même bateau. On a vécu six mois de frustration et de regrets. Mes partenaires ont pu profiter de cette trêve pour décompresser et revenir à bloc pour la seconde partie de saison. On est passé à côté de plein de trucs, mais il ne faut pas vivre avec des regrets. Ça ne mène à rien. Votre ami Edel a été au coeur d’une polémique, qu’en avez-vous pensé ? Je ne lui en ai pas parlé, cela aurait été lui manquer de respect. Cette histoire est absurde, je n’y crois pas une seconde. Ces polémiques sur l’âge, c’est courant avec les Africains. Là, pas de chance, ça tombe sur Edel, comme par hasard au moment où il est titulaire au PSG. Il vaut mieux que la personne qui a lancé cette affaire ne vienne pas au camp des Loges… Que peut-on vous souhaiter pour 2010 ? La santé et rien d’autre. L’année 2009 est terminée, tant mieux. J’attendais 2010 avec impatience. |
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02/01/2010 13:09
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#1622
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![]() Parisard... ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 4,408 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 63 Tribune : Tribune Francis Borelli |
Citation Reprise samedi pour le PSG Les joueurs du PSG n'auront eu qu'une journée pour se remettre des agapes du réveillon. Antoine Kombouaré les a, en effet, convoqués samedi à 15 heures au Camp des Loges pour la reprise de l'entraînement. Au repos depuis le soir du 23 décembre et leur large victoire sur Grenoble (4-0), les Parisiens se préparent à une reprise tonique, avec un départ programmé dimanche pour un stage de quatre jours à La Baule (Loire-Atlantique) Mardi, les coéquipiers de Claude Makelele y affronteront Vannes (L2) en match amical. Le premier match d'une série qui s'annonce longue en janvier. En cas de qualification en Coupe de France et en Coupe de la Ligue, le PSG jouerait en effet sept rencontres : quatre en coupes et trois en championnat. Face à cette avalanche de matchs, Antoine Kombouaré doit envisager avec soulagement le retour de Guillaume Hoarau. Absent depuis le 18 octobre en raison d'une entorse du genou droit, l'attaquant réunionais a poursuivi sa préparation durant les vacances et doit reprendre l'entraînement collectif samedi. Seul Grégory Coupet continue désormais de soigner sa cheville. Le prochain rendez-vous officiel des Parisiens est le 32e de finale de la Coupe de France, dimanche 10 janvier (20h45), au Parc des Princes, face à Aubervilliers (CFA2). Un rendez-vous que manquera Mamadou Sakho, suspendu pour cette rencontre. leparisien.fr Citation Un PSG mention passable sports.frA mi-parcours, le Paris Saint-Germain occupe la septième place du classement de Ligue 1, un rang en-deçà des attentes des dirigeants et des supporters. Trop irrégulier dans ses résultats, le club de la capitale a dû aussi gérer avec un effectif limité, au sein duquel les recrues ont fait leur trou. La deuxième partie de saison est néanmoins placée sous le signe de l'ambition. Au Paris Saint-Germain, rien n'est simple. Et cela s'est une nouvelle fois vérifié lors de la première moitié de saison. Au terme des matches allers, le PSG occupe la septième place du classement de Ligue 1, un rang qui résume bien la situation du club à mi-parcours, quelque part entre regrets et espérances. Regrets parce que l'équipe entraînée par Antoine Kombouaré s'est parfois pénalisée elle-même en abandonnant de nombreux points face à des formations plus faibles sur le papier, notamment contre Nancy (1-1) et Nice (0-1) au Parc des Princes. Espérances parce qu'au niveau comptable, tout est encore jouable avec seulement quatre points de retard sur le podium. Pour le président du club, Robin Leproux, "la vraie place de Paris, c'est dans les quatre premiers". Interrogé dans les colonnes du Parisien, il a réaffirmé l'ambition du PSG de remonter au classement: "Je veux que l'on soit au moins quatrièmes. Mais je dis aux joueurs: la troisième et la deuxième place ne nous sont pas interdites ! On a avancé un peu en crabe jusqu'à présent. Maintenant, on doit foncer tout droit ! Je ne suis pas venu au PSG pour finir huitième ou neuvième." Leproux s'appuie sur des statistiques pour étayer son argumentation: "Il faut que l'on prenne conscience de nos qualités. On est troisième à la différence de buts, troisième attaque, troisième défense (quatrième en fait, ndlr) mais on n'est pas troisième au classement général. Où est l'erreur ?" Kombouaré: "Le PSG se doit de mieux figurer" La faute peut-être à des blessures à répétition qui ont fragilisé l'effectif. A celle de Guillaume Hoarau se sont ajoutés la longue indisponibilité de Grégory Coupet, le mois d'absence de Mevlut Erding en septembre et le début de saison manqué par Zoumana Camara. Le retour de l'ancien Havrais, programmé en janvier, devrait apporter plus de sérénité à l'attaque parisienne, secteur où Erding, élu meilleur joueur de la première moitié de saison par les supporters, s'est parfaitement acclimaté dès son arrivée au club. Parmi les autres recrues, Christophe Jallet donne pleinement satisfaction sur le côté droit, au point de reléguer Ludovic Giuly sur le banc des remplaçants. Ces deux joueurs jouent le rôle de locomotive pour le groupe, aiguillé aussi par les cadres comme Makelele et Armand. Malgré des résultats en dents de scie, les dirigeants gardent confiance en Antoine Kombouaré. Les six premiers mois de l'ancien entraîneur valenciennois ont parfois été marqués par des coups de gueule mémorables, mais sa gestion du groupe est louée par Leproux: "Antoine est le garant de la défense du groupe tout en se montrant intransigeant avec les joueurs. Je me range à ses côtés: dans un autre style, j'ai la même intransigeance. Il vit à 130% pour le club, travaille comme un fou, motive ses joueurs et a un effet d'entraînement formidable." Kombouaré, conscient des lacunes de son équipe, veut croire au réveil de ses joueurs dès la reprise: "Si le début de saison fut décevant, le PSG se doit de mieux figurer en France et la seconde partie de championnat peut nous permettre d'y parvenir. Espérons que la réussite soit de notre côté mais soyez certains que nous travaillerons fortement en ce sens", a-t-il expliqué sur le site officiel du club. C'est tout le mal qu'on leur souhaite. Citation PSG : Le bon souvenir de Sakho
Dans les colonnes du Parisien, Mamadou Sakho, le défenseur central du PSG est revenu sur le match où il avait porté le brassard de capitaine pour la première fois. C'était à Valenciennes en 2007. Mamadou Sakho garde un bon souvenir de son premier match en Ligue 1. Ce 20 octobre 2007, il avait hérité du brassard de capitaine. « J'avais 17 ans, et le coach (NDLR : Paul Le Guen) m'a confié le brassard de capitaine, a-t-il déclaré dans Le Parisien. C'est quelque chose qui a beaucoup marqué les gens à l'époque. Je n'avais pas l'impression de jouer ma carrière sur ce match. Évoluer au milieu de tous mes copains me rassurait. » C.L (Rédaction Football365.fr) -------------------- "Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être."
Sacha Guitry |
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02/01/2010 18:13
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#1623
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,607 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Kezman s'est entraîné Il était attendu. Mateja Kezman était bien présent au Camp des Loges ce samedi à l'occasion de la reprise du Paris Saint-Germain après la trêve hivernale. L'attaquant serbe revient d'un prêt de quatre mois au Zénith Saint-Petersbourg. Il a inscrit 2 buts en 10 rencontres avec le club russe. lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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02/01/2010 19:40
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#1624
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
L'Equipe.fr
Citation Kezman et Hoarau à l'entraînement
De retour de prêt du Zénith Saint-Petersbourg, Mateja Kezman était au rendez-vous du Camp des Loges, pour la reprise de l'entraînement du PSG, samedi. Il était attendu. Mateja Kezman était bien présent au Camp des Loges ce samedi à l'occasion de la reprise du Paris-SG après la trêve hivernale. L'attaquant serbe revient d'un prêt de quatre mois au Zénith Saint-Petersbourg. Il a inscrit 2 buts en 10 rencontres avec le club russe. Kezman a participé à l'intégralité de la séance qui a vu les Parisiens - sans Sessegnon (parti à la CAN avec le Bénin), Yannick Boli (en instance de prêt) et Claude Makelele (resté en salle avec Grégory Coupet entre autres) - enchaîner footing, ateliers techniques et oppositions. Parti sans dire un mot du camp des Loges, Kezman fait partie des vingt-quatre joueurs retenus par Antoine Kombouaré pour participer au stage à La Baule (Loire-Atlantique). Il pourrait même entrer en jeu quelques minutes lors de la rencontre amicale prévue mardi face à Vannes. Les «bonnes sensations» d'Hoarau «"Mate" fait partie de la famille, il a retrouvé sa place dans le vestiaire et dans le groupe sans problème», a déclaré Guillaume Hoarau, qui était revenu dès lundi avec un préparateur physique afin de retrouver sa place dans le groupe le plus rapidement possible. Blessé au genou droit en octobre, Hoarau a trottinéet participé samedi à quelques ateliers avant d'écourter sa séance et rentrer en salle. «Ca va de mieux en mieux, j'ai hâte de reprendre la compétition, mais je ne veux prendre aucun risque», a expliqué le Réunionnais à la sortie de l'entraînement. «Pour l'instant, les sensations sont bonnes mais je vais être à l'écoute de mon corps. J'ai passé six derniers mois difficiles, je suis heureux que 2009 se termine enfin», a-t-il ajouté. (Avec AFP) -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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03/01/2010 10:25
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#1625
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Le Parisien
Citation Kezman revenu mais pas fixé
Après neuf jours de vacances, les hommes d’Antoine Kombouaré ont repris hier le chemin de l’entraînement. Trois Parisiens manquaient à l’appel : Stéphane Sessegnon, retenu par le Bénin pour la Coupe d’Afrique des Nations, Yannick Boli, prêté à Nîmes (L 2) et Claude Makelele, autorisé à ne reprendre qu’aujourd’hui. Mais c’est un autre visage qui a retenu l’attention : celui de Mateja Kezman, de retour d’un prêt de quatre mois au Zenit Saint-Petersbourg (NDLR : le club russe n’a pas levé l’option d’achat) . Le Serbe est passé directement de l’aéroport de Roissy au camp des Loges, avec trois grosses valises dans le coffre. Il a récupéré la place qu’il occupait dans le vestiaire jusqu’à l’été dernier, entre Traoré et Camara, et non loin de Hoarau. Aucune offre pour l’instant « Il est revenu comme s’il n’était jamais parti », souligne Sammy Traoré. « Je suis très, très heureux de le revoir car c’est un ami », confie Peguy Luyindula. A l’entraînement, Kezman a lâché à ses coéquipiers quelques phrases sur son périple en Russie. « Il nous a dit que c’était une très bonne expérience, que tout s’était bien passé, raconte Guillaume Hoarau. Nous n’avons pas été surpris de le voir aujourd’hui (NDLR : hier) . Il a retrouvé sa place comme si de rien n’était. Il fait partie de la famille PSG. Je ne sais pas ce qui se passera pour lui dans les prochaines semaines. Mais pour l’instant, il est là avec nous. » Hier, Kezman n’a pas souhaité s’exprimer sur son avenir. Quelques jours plus tôt, dans la presse serbe, il avait simplement confié : « Je suis Parisien... pour l’instant. Le mois de janvier est long. » A l’évidence, le Serbe ne se voit pas passer les six prochains mois dans la capitale. Un souhait partagé par les dirigeants parisiens. Mais aucune offre, même indirecte, n’est parvenue à Paris. Son salaire de 250 000 euros brut mensuels est particulièrement dissuasif. Même si le PSG ne demande qu’un million d’euros pour finaliser la transaction, un transfert sec semble hypothétique. En revanche, un nouveau prêt peut être envisagé. Légalement cette possibilité existe. Au cours d’une même saison, un joueur ne peut pas être prêté deux fois consécutives mais le championnat russe venant de s’achever, les compteurs sont remis à zéro. La seule certitude, c’est que Kezman partira pour La Baule ce matin avec tout le groupe parisien. Antoine Kombouaré, soucieux de jauger son état d’esprit, l’alignera certainement quelques minutes mardi en amical contre Vannes (L 2). L’opportunité pour le Serbe de démontrer qu’il peut encore rendre des services à Paris cette saison. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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03/01/2010 21:11
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#1626
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Le PSG vient refaire ses gammes à La Baule Les Parisiens sur la pelouse de Moreau-Desfarges dès dimanche après-midi. Les footballeurs du Paris Saint-Germain sont arrivés. L’Union sportive de La Baule/Le Pouliguen, avec une centaine de bénévoles, s’active pour que la réception soit belle. L’expérience, ça paye. Habitué à organiser des matches de football professionnel, le plus souvent avec le FC Nantes, l’USBP reçoit un hôte prestigieux. Le Paris Saint-Germain. Les joueurs et l’encadrement du PSG sont arrivés dimanche midi en gare sud de La Baule. Ils ont pris leurs quartiers à l’hôtel Royal du groupe Barrière où ils resteront jusqu’au mercredi 6 janvier. Décrassage. Dès dimanche, de 15 h à 17 h, ils ont chaussé les crampons et foulé la fragile et inquiétante pelouse du stade Moreau-Desfarges pour un premier décrassage. C’est bien utile pour éliminer les méfaits des réveillons. Chaque jour, les footballeurs de la capitale, sous la direction d’Antoine Kombouaré (ex-FC Nantes) nostalgique de la région, s’entraîneront à huis clos de 10 h à 12 h et de 15 h à 17 h. Supporters attendus. En point d’orgue, pour les passionnés de foot, demain mardi 5 janvier, à 18 h 30, le PSG disputera une rencontre de préparation contre les voisins du Vannes OC. Le club breton évolue en milieu de tableau de la ligue 2 et a été le finaliste malheureux de la Coupe de la Ligue 2009 contre Guingamp. La foule est attendue. Riche mais généreux. Ce bel événement oblige les dirigeants de l’USBP à se motiver pour soigner son image. « La venue du PSG, ce n’est pas anodin. C’est un gros truc », souligne Daniel Lemaine, chargé de la communication. Cela est d’autant plus vrai que l’USBP est pour l’occasion organisatrice en direct de cette manifestation. « C’est la première fois que nous organisons un tel match sans passer par une société événementielle. Tous les frais (billetterie, sécurité, arbitres…) sont à notre charge. Cela représente un investissement de 5 000 € environ », précise Daniel Lemaine. Une vingtaine de stadiers prévus. Dépense supplémentaire, pour la première fois aussi, une vingtaine de stadiers seront en mission. Pour peu qu’une « horde sauvage » de supporteurs parisiens vienne à troubler la quiétude de la station balnéaire… Si le club de la Côte d’Amour prend ce risque financier, c’est en raison du peu d’exigences des deux clubs. Le Voc, tout proche, ne demande que le remboursement de ses frais de déplacement. Quant au PSG, il n’est point question d’exigence particulière. Sans ces beaux gestes, l’USBP n’aurait pas pu présenter une affiche si prestigieuse… Pratique : place en vente au Café des Sports, avenue de Lattre-de-Tassigny à La Baule. Prix : 10 € en tribune et 6 € pourtour du stade. Tarif réduit à partir de 10 places achetées. Ouest France |
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04/01/2010 13:30
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#1627
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Paris s’offre un bol d’air frais « Antoine, il ne faut rien lâcher cette année ! » Il est 8 h 50, hier matin, sur le quai de la gare Montparnasse. Un supporteur vient de reconnaître l’entraîneur parisien qui s’apprête à monter dans le train pour La Baule avec ses vingt-quatre joueurs. Dans les wagons 9 et 10, les Parisiens devisent tranquillement. Camara, Traoré et Luyindula sont de corvée pour ramener, du bar, des boissons chaudes à leurs coéquipiers. Trois heures plus tard, c’est le vent glacial de La Baule qui saisit la délégation à sa sortie de la gare. Au Royal Thalasso Barrière, un des fleurons de l’hôtellerie bauloise, le décor un rien suranné et boisé de l’établissement thermal réchauffe un peu les joueurs. Kombouaré peste après la pelouse La quiétude voulue par le staff technique est au rendez-vous. « Je suis venu ici car je suis un peu le régional de l’étape, sourit Kombouaré. Quand j’étais joueur à Nantes, je m’entraînais à La Baule. Comme entraîneur de Strasbourg et de Valenciennes, j’y ai systématiquement emmené mes troupes. » C’est la basse saison. En conséquence, seuls quelques curistes tiennent compagnie aux joueurs du PSG. L’hôtel offre néanmoins une magnifique vue sur les 14 km de la plage froide et déserte de la célèbre station balnéaire. Sylvain Armand connaît également parfaitement les lieux. Il y a deux ans, il s’est marié à quelques centaines de mètres de là. A 16 heures, le bus est prêt à quitter l’hôtel. Kombouaré s’agace pourtant de voir qu’un joueur manque à l’appel. Il fait signe au chauffeur de démarrer. Quelques secondes plus tard, celui-ci freine net. Mamadou Sakho vient de sortir du hall et a juste le temps de rejoindre ses partenaires en s’excusant pour son retard ! Seul Grégory Coupet, toujours blessé à la cheville, mais qui a tenu à participer au stage, est logiquement autorisé à rester au chaud. C’est par une température glaciale, sur une pelouse annexe du petit stade Moreau-Desfarge, que les Parisiens effectuent une séance de quatre-vingt-dix minutes avec une opposition à onze contre onze. Une dizaine de spectateurs y assistent , dont Pierre Menès, l’animateur trublion de Canal + en vacances. « C’est bien de se remettre au travail, souligne Kombouaré. L’idée, c’est vraiment de se retrouver entre nous pour repartir sur de bonnes bases. Car je n’ai pas peur de dire que la seconde partie de championnat va être très difficile. » Toujours aussi exigeant, l’entraîneur parisien interpelle poliment les responsables du stade pour se plaindre de la piètre qualité de la pelouse. « Serait-il possible, Messieurs, de rouler un peu le terrain pour demain car il est impossible de travailler correctement les appuis ? » Les intéressés obtempèrent avant que l’un d’eux glisse à son collègue : « Tu vois, c’est à ce genre de détail qu’on reconnaît les vrais pros… » Christophe Bérard leparisien.fr Citation Programme de la semaine Dimanche 3 janvier 2010 Départ en matinée en stage à La Baule (Loire Atlantique) Lundi 4 janvier 2010 Stage à La Baule Mardi 5 janvier 2010 18h30 : VANNES / PSG Stade Moreau Desfarges (La Baule) Mercredi 6 janvier 2010 Stage à La Baule Retour à Paris dans l'après-midi. Jeudi 7 janvier 2010 15h15 – Entraînement. Séance ouverte aux médias et au public. Vendredi 8 janvier 2010 10h15 – Entraînement. Séance ouverte aux médias et au public. Samedi 9 janvier 2010 14h15 – Conférence de presse d'Antoine Kombouaré. Salle de presse du Camp des Loges 15h15 – Entraînement. Séance à huis clos. Dimanche 10 janvier 2010 20h45 – PSG / AUBERVILLIERS Parc des Princes 32ème de finale de Coupe de France Match diffusé en direct sur EUROSPORT PSG.fr |
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04/01/2010 20:39
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#1628
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Antoine Kombouaré : « Beaucoup d’envie » L’entraîneur parisien revient sur la reprise de l’entraînement et le retour de Guillaume Hoarau et Mateja Kezman au sein du groupe. Coach, sentez-vous vos joueurs d’attaque pour la deuxième partie de saison ? « Il y a en tout cas beaucoup d’envie. L’état d’esprit est bon. Les joueurs sont contents de se retrouver. Les conditions d’entraînement sont difficiles mais nous sommes là pour travailler. C’est important parce que ça forge le caractère. J’aime bien voir le comportement des gens dans la difficulté. On n’a pas le choix, il faut bosser ! Il faut être prêt pour cette deuxième partie de saison. C’est intéressant parce qu’on va être amener à jouer sur des terrains difficiles au cours des mois de janvier et février. » Comment Guillaume Hoarau se sent-il ? « Guillaume est en phase de reprise. Il a repris avec nous et a encore du travail à faire au niveau des appuis. Mais c’est très encourageant. Les délais sont respectés. Il progresse chaque jour. » Mateja Kezman a réintégré le groupe. Le sentez-vous impliqué ? « Mate est un très grand professionnel. Il n’y a aucun souci de son côté. Le seul problème est que le championnat russe s’est terminé fin novembre. Il a donc bénéficié de plus d’un mois de vacances. Il a travaillé avant de revenir ici et est en phase de reprise. Il fait partie de l’effectif. » Vous avez pensé à faire jouer une équipe réserve face à Aubervilliers. Votre réflexion a-t-elle évoluée ? « C’est la fête du football francilien. On était d’accord pour que ce match ait lieu samedi. On a accepté de jouer dimanche. Après, il y a des heures auxquelles on ne souhaite pas jouer. Pour avoir un maximum de monde au Parc, jouer à 15h, 16h, 17h voire 18h était parfait. Nous faire jouer à 20h45, c’est une aberration. On rejoue mercredi puis samedi, ce qui fera trois matches en six jours. Je pense à la santé de mes joueurs et à leur récupération. Nous avons essayé de mettre un peu la pression sur la Fédé, mais on nous a répondu que les télés décidaient. » Allez-vous être attentif au marché des transferts ? « Oui, mais le plus important pour moi reste l’effectif que j’ai sous la main. Le mercato est une aberration. C’est un gros problème pour les entraîneurs. On travaille avec l’idée de préparer la suite du championnat. Les joueurs de tous les clubs pensent à leur avenir, ce qui est néfaste pour la qualité du travail. J’aimerai que ce système change pour travailler dans les meilleures conditions possibles. » PSG.fr |
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05/01/2010 09:20
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#1629
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Giuly : « J’étais isolé et perdu » Privé d’une place de titulaire en décembre, le milieu du PSG n’avait jamais connu une aussi mauvaise période. Il sort de son silence pour faire son autocritique. Ludovic Giuly avait fini l’année avec le moral en berne. En perte de vitesse sur le terrain, il avait perdu sa place de titulaire et refusait de s’exprimer publiquement. En stage avec le PSG à La Baule, il a accepté de se confier dans un entretien vérité. Quel souvenir gardez-vous de ce mois de décembre qui vous a vu perdre votre place de titulaire ? Ludovic Giuly. Je le vois comme un petit moment de faiblesse, mais qui m’a beaucoup affecté. Aujourd’hui, je suis bien décidé à me reprendre en main. Car, même à mon âge (NDLR : 33 ans), je sais que rien de bon ne m’arrivera si je ne me replonge pas dans le travail. Qui est responsable de cette mauvaise passe ? Moi ! Si vous pensez que je vais m’amuser à critiquer le choix du coach de ne plus me titulariser, vous vous trompez. Personne ne m’a entendu dans cette mauvaise période car il était hors de question de me lancer dans des polémiques inutiles. Je connais ma vraie valeur et il est évident que ce n’est pas celle du dernier mois. Mais pourquoi avez-vous été aussi affecté ? Parce que c’est la première fois qu’un tel truc me tombait dessus. Je n’avais jamais eu un tel creux dans une saison et je n’avais jamais été sorti d’un groupe. Il a fallu me refaire une santé morale. Comment ? Je suis resté en famille, à Lyon, pendant dix jours. Là, j’ai pu à nouveau m’exprimer et me lâcher au milieu de mes proches. Tout le monde sait que je suis un affectif et que, pour que le joueur soit bon, il faut que l’homme se sente bien. Même avec tout mon palmarès et mes titres, j’ai besoin de ressentir de la confiance. A un moment, j’avais perdu le fil. Là, en famille, j’ai pris du recul et je me suis posé les bonnes questions. Lesquelles ? Par exemple, j’ai réalisé que je m’étais trop renfermé sur moi. A un moment, j’avais fermé toutes les portes autour de moi. J’ai cogité tout seul au lieu de m’ouvrir. J’étais isolé et perdu. Le vrai Ludo, ce n’est pas celui qui souffre en silence, c’est celui qui déconne pour évacuer la pression. Je me suis débloqué. Maintenant, le vrai Giuly est de retour. Et tant pis pour ceux à qui cela ne plaît pas. Je me rends compte qu’il y a quand même une mentalité spéciale autour de ce club. Certains me voyaient déjà à la porte et m’annonçaient en fin de carrière. Désolé pour eux ! (Rires.) Qu’espérez-vous de cette seconde partie de saison ? Il reste quatre mois et demi et je maintiens que je veux finir en beauté avec Paris. Même si nous avons encore tout à prouver, je ne vois pas pourquoi on s’interdirait de rêver à finir sur le podium. Mais le dire ne sert à rien si on ne fait pas, moi le premier, les efforts pour confirmer nos ambitions. Je crois toujours en la qualité du groupe. Propos recueillis par Christophe Bérard Citation Kombouaré ne veut plus du mercato hivernal La Baule Antoine Kombouaré n’attend pas grand-chose du match amical de ce soir contre Vannes (L 2) à La Baule (Loire-Atlantique). Avec une séance d’entraînement programmée le matin même, il s’agira avant tout de retrouver des repères dans le jeu et de faire tourner au maximum l’effectif. Les 21 Parisiens valides devraient jouer. « L’objectif est surtout de faire un gros travail physique », concède le coach du PSG. Hier, malgré le froid, Kombouaré avait le sang chaud. Le Kanak est notamment revenu sur l’horaire du 32e de finale de la Coupe de France PSG - Aubervilliers, programmé dimanche à 20 h 45, qu’il ne digère toujours pas. « C’est une aberration, lâche-t-il, agacé. Cela devait être la fête du foot francilien. J’aurais accepté 15 heures ou 17 heures. Mais là… On a essayé de mettre la pression, mais à la Fédération on nous a expliqué que celui qui commandait était celui qui diffusait (NDLR : Eurosport). » Le PSG ne devrait néanmoins pas aligner son équipe réserve, comme il l’avait menacé fin décembre. Une équipe mixte entre cadres et espoirs est attendue. L’autre colère de Kombouaré concerne l’existence même du mercato hivernal. « Là aussi, c’est n’importe quoi, peste-t-il. Je suis pour sa suppression. Ça fausse tout. Je ne suis pas naïf, je sais comment cela se passe, à Paris ou ailleurs : les bons joueurs sont sollicités et ceux qui jouent moins veulent partir. Donc tout le monde y pense. En plus, les tarifs sont prohibitifs. C’est n’importe quoi. Tout est faussé. » Ch.B. Citation PSG Express Hier. Double séance d’entraînement au stade Moreau-Desfarges (La Baule). Ateliers physiques et techniques le matin. Tests de résistance puis opposition l’après-midi. Hoarau n’a pas participé à celle-ci. Il sera encore trop juste pour jouer contre Aubervilliers et Guingamp. Aujourd’hui. Entraînement à 10 heures, puis PSG - Vannes (L 2), match amical, à 18 h 30 à La Baule. Absent. Coupet (cheville), Sessegnon (sélection du Bénin). Suspendu. Sakho pour PSG - Aubervilliers. Rendez-vous. PSG - Aubervilliers, 32e de finale de la Coupe de France, dimanche 10 janvier à 20 h 45 (Eurosport). leparisien.fr |
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05/01/2010 11:16
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#1630
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![]() Parisard... ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 4,408 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 63 Tribune : Tribune Francis Borelli |
Citation PSG - Aubervilliers : Steve Marlet se ménage
Seules les quelques caméras de télévision présentes tranchent avec le décor habituel du stade Karman d’Aubervilliers. Pour le reste, aucun signe d’agitation n’est visible. La perspective d’affronter le PSG, dimanche à 20 h 45 au Parc des Princes, ne change rien aux habitudes du club de CFA 2, qui a repris le chemin de l’entraînement dès le 29 décembre. « Ce sera une semaine normale, prévient l’entraîneur, Abdellah Mourine. On reste des amateurs, on ne va pas devenir des pros en huit jours. Les joueurs risquent de jouer le match cinquante fois dans leur tête avant. Cela ne sert donc à rien de leur ajouter du stress supplémentaire. Il n’y aura pas de mise au vert. On se retrouvera, comme d’habitude, deux heures avant le match. » Une défaite en amical Désireux de « préparer tranquillement » la rencontre, l’entraîneur d’Aubervilliers a néanmoins décidé de limiter les sollicitations médiatiques en ce début de semaine. Pour rester dans le rythme, l’équipe aux 17 matchs sans défaite (11 en championnat, 6 en Coupe de France) a affronté samedi Saint-Ouen-l’Aumône (DH), autre rescapé francilien de la Coupe de France, qui sera opposé à Sedan (L 2) en 32es de finale. Ce match amical, perdu 3-2, a laissé des traces. Stéphane Boulila (ex-Guingamp, Le Mans, Metz, Club africain, Angers) souffre d’une entorse à une cheville. Steve Marlet a, lui, ressenti une alerte aux ischio-jambiers. Si l’échographie passée hier par l’ex-international n’a rien révélé, il s’est ménagé lors de la séance du soir. « Je vais insister sur le renforcement musculaire, on verra comment ça évolue », explique l’attaquant d’Aubervilliers. Le Parisien -------------------- "Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être."
Sacha Guitry |
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05/01/2010 19:20
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#1631
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![]() Membre habitué Groupe : Banned Messages : 2,472 Inscrit : 12/12/2009 Membre no 1,355 Tribune : Non précisée |
Citation Edel va porter plainte contre Philibert Edel devrait bien porter plainte jeudi contre Nicolas Philibert, son ancien entraîneur qui l'accuse d'avoir changé de nom et d'âge. La Fédération camerounaise a récemment envoyé des documents à la FFF prouvant la bonne foi d'Edel et retraçant son vrai parcours. Ces documents mettraient même en cause Nicolas Philibert. Les avocats du joueurs peaufinent actuellement les derniers détails avant le dépôt de plainte. RMC.FR |
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05/01/2010 22:00
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#1632
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Vannes-PSG : 0-4 (0-4) Les Parisiens s’imposent 4-0 face à Vannes en match amical à La Baule, grâce à des buts signés Giuly, Leugueun (csc), Maurice et Erding. Les hommes d’Antoine Kombouaré entament ainsi l’année 2010 de la meilleure des manières. Une large revue d’effectif. C’est ce à quoi Antoine Kombouaré voulait se prêter lors de cette rencontre amicale opposant son équipe à Vannes, onzième de Ligue 2. 21 joueurs parisiens vont en effet prendre part au match. Et les 11 premiers réalisent une belle entame. Sur la première occasion Giuly trompe Gnanhouan sur un bon service de Jallet (0-1, 2e). Les Parisiens mettent alors une pression folle sur le but vannetais, pression qui pousse Leugueun à marquer contre son camp après une parade de Gnanhouan sur une frappe de Maurice (0-2, 29e). Incontrôlable dans son couloir droit, Jallet centre quelques minutes plus tard pour Maurice qui cette fois-ci trompe lui-même le portier vannetais (0-3, 38e). Les hommes de Stéphane Le Mignan ont à peine le temps de souffler que Mevlut Erding s’en va tout seul tromper Gnanhouan, en deux temps (0-4, 41e). L’arbitre siffle la pause qui sonne comme une libération pour les Vannetais, asphyxiés au milieu de terrain par les Parisiens. Antoine Kombouaré procède alors à de nombreux changements : 10 Parisiens entrent en jeu à la pause, et seul Maurice conserve sa place sur le terrain. La détérioration de l’état de la pelouse et le froid empêcheront alors ces nouveaux acteurs de totalement s’exprimer. Mais l’essentiel est là, une belle victoire, quatre buts inscrits, aucun encaissé, et de belles promesses pour la nouvelle année ! Citation Kombouaré : « Reprendre les bonnes habitudes » Antoine Kombouaré (Entraîneur du PSG) « C'est une victoire importante. Nous sommes en stage pour travailler physiquement et reprendre les bonnes habitudes. Les conditions étaient difficiles, mais il fallait jouer et prendre les victoires comme elles viennent. C'était l'occasion de voir tout le monde et de réaliser une revue d'effectif. J'ai aimé ce que j'ai vu, car en janvier et février nous allons aussi jouer sur des terrains difficiles et il faudra s'adapter. J'ai apprécié le comportement de mes joueurs ce soir. » PSG.fr |
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06/01/2010 09:21
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#1633
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Première victoire de l'année pour le PSG en amical (4-0) Le PSG débute 2010 par une victoire. Les Parisiens se sont facilement imposés (4-0) mardi soir devant Vannes (L2) lors d'un match amical disputé à la Baule. De quoi réchauffer un peu les corps meurtris par le froid polaire et valider le travail effectué depuis dimanche lors du stage qui se termine mercredi dans la cité de Loire-Atlantique. Considérant cette rencontre comme une véritable séance de travail, Antoine Kombouaré avait décidé d'aligner deux équipes distinctes lors de chaque mi-temps. La première a largement marqué plus de points que la seconde. Dès la deuxième minute, Giuly créditait le petit millier de spectateurs d'une subtile déviation du pied gauche pour ouvrir le score (1-0, 2e). Paris doublait le score grâce à un but contre son camp de Leugueun après un tir de Maurice repoussé par le gardien (2-0, 29e). Face à une équipe de Vannes dépassée, Maurice enfonce le clou sur un service du serial-passeur Jallet (38e) avant qu'Erding ne renvoie tous ses coéquipiers de cette première période vers une séance réchauffante de balnéothérapie avec un but tout fait, seul face au gardien (4-0, 41e). Le premier événement de la deuxième mi-temps est le retour de Mateja Kezman sous le maillot parisien après un prêt de quatre mois au Zenit Saint-Petersbourg (Russie). Dès son entrée en jeu, le Serbe s'illustre d'une belle frappe détournée par le gardien breton. Le principal fait d'armes de l'avant-centre avant une ultime tentative au ras du poteau jute avant la fin du match. Le stade à demi plongé dans le noir Le second événement se produit à la 67e minute lorsque qu'un des quatre projecteurs du stade Moreau-Desfarges s'éteint juste après un penalty manqué par les Vannetais. M. Bernard, l'arbitre de la rencontre, veut alors interrompre la rencontre mais l'intervention d'Antoine Kombouaré calme les ardeurs du trio arbitral. « C'est bon, ça joue », tonne l'entraîneur parisien, visiblement contrarié. Les débats reprennent donc avec une partie du terrain plongée dans une inhabituelle pénombre. La lumière reviendra finalement au bout d'un quart d'heure mais n'éclairera jamais le jeu de Parisiens tout heureux de se précipiter dans leur car pour rejoindre leurs coéquipiers dans les bains à remous de leur hôtel. Pour espérer voir des éclairs jaillir sur la pelouse, il faudra attendre dimanche et la venue d'Aubervilliers (CFA2) au Parc des Princes (20h45) en 32es de finale de la Coupe de France. La fiche du match PSG - VANNES 4-0 (4-0) Buts. Giuly (2e), Leuguen (29e,csc), Maurice (38e), Erding (41e). PSG (1ère mi-temps). Edel - Jallet, Traoré, Baning, Sakho - Giuly, Makelele (cap), Chantôme, Maurice - Arnaud, Erding. PSG (2ème mi-temps). Grondin, Ceara, Bourillon, Camara, Armand (cap.) - Ngoyi, Clément, Sankharé, Maurice - Luyindula, Kezman. Bertrand Métayer Citation Mateja Kezman signe un retour glacial Mateja Kezman a de nouveau revêtu le maillot du PSG, hier, près de cinq mois après sa dernière apparition sous les couleurs parisiennes, le 15 août 2009 lors de PSG - Le Mans (3-1). A l’époque, il faisait très chaud et le match était important. Hier soir, à La Baule, il faisait très froid, la pelouse était gelée, et la rencontre face à Vannes (L2) n’avait aucun intérêt sportif. Quand Kezman est entré en jeu, après la mi-temps, le match était déjà plié grâce notamment au trio Giuly, Maurice et Erding. L’important était surtout de montrer de la combativité, plus que du beau jeu. Et pour le Serbe, de retrouver (un peu) ses marques aux côtés de Peguy Luyindula. Pour être tout à fait clair, il ne s’est fait remarquer qu’à l’ultime minute avec une jolie accélération, suivie d’un tir trop croisé. Sa dernière course, il l’a gardée pour fuir les micros et foncer se réchauffer dans le bus parisien. Si Kezman n’a rien montré balle au pied, il ne souhaite pas non plus s’exprimer en ce moment. Qu’aurait-il d’ailleurs à dire excepté qu’il est sous contrat avec le PSG jusqu’en juin 2011 ? Il veut évidemment toujours quitter le club de la capitale si une opportunité se présente. Mais pour l’heure, aucune offre, même indirecte, n’est parvenue au PSG ou aux représentants du joueur. Les dernières rumeurs l’envoyant en Grèce, du côté de Salonique, ont même été démenties hier. « Il faut qu’il comble son retard physique » Si Antoine Kombouaré voulait surtout jauger la capacité de ses troupes à évoluer sur un terrain très gelé, il n’avait aucune exigence précise avec Kezman. « C’est particulier, explique-t-il. Mateja a fini le championnat russe il y a cinq semaines et il a eu presque un mois de vacances. Même si c’est un grand professionnel, il faut qu’il comble son retard physique. » Kezman sera donc logiquement dispensé du match contre Aubervilliers dimanche au Parc, en 32es de finale de la Coupe de France. Un rendez-vous qui tracasse d’ailleurs plus Kombouaré que le cas Kezman. « Ce soir (hier), les joueurs ne se sont pas plaints sur un terrain difficile, note-t-il. Ils ont recommencé l’année comme ils ont fini 2009, avec un 4-0 (contre Grenoble). Mais rien ne dit que tout ira aussi bien dimanche… » leparisien.fr Citation Ludo Giuly (Attaquant du PSG) « Ce match ne s'est pas déroulé dans de superbes conditions, mais il était important de s'imposer car nous jouons toutes les rencontres pour cela. Nous avons livré une belle prestation, pour un match de reprise dans le froid et sur un terrain gelé. C'est toujours important de marquer même lors d'un match amical, c'est bien de concrétiser les occasions. C'est bon pour le moral et nous commençons bien l'année. » PSG.fr |
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06/01/2010 15:51
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#1634
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation J.-E. Maurice : « Une victoire collective » L’attaquant parisien revient sur la victoire du PSG face à Vannes (4-0) ainsi que sur les prochaines échéances du club. Jean-Eudes, la fin du stage à La Baule approche… Comment s’est-il déroulé ? « Le stage s’est très bien passé. On a fait ces quatre jours à fond. Je pense que ce stage a été dur pour tout le monde, mais nous avons tous bien bosser et j’espère que cela portera ces fruits. » Comment t’es-tu senti lors du match de mardi face à Vannes (4-0) ? « Ça a été difficile sur un terrain gelé. On a su faire la différence en inscrivant quatre buts en première période. Ça facilite les choses ! D’un point de vue personnel, je marque un but mais c’est d’abord une victoire collective. Ça a été un peu difficile de jouer pendant 70 minutes, mais je commence à retrouver du rythme. » Ce stage dans le froid est-il bénéfique pour préparer les rencontres de janvier et février ? « J’espère ! On va déjà préparer le match face à Aubervilliers (dimanche) qui risque de se dérouler dans les mêmes conditions que face à Vannes, sur un terrain gelé. Nous affronterons ensuite Guingamp et Lille, et je pense que ce stage va nous permettre de bien repartir. » Le PSG va enchaîner trois matches en une semaine. Y en a-t-il un que tu redoutes particulièrement ? « La rencontre face à Aubervilliers. C’est une équipe de niveau inférieure donc les joueurs vont nous attendre de pied ferme. C’est un match piège qu’il va falloir bien négocier. Il faudra mettre de l’intensité d’entrée, que ce soit un calvaire pour eux. Nous devrons marquer rapidement pour les empêcher de prendre confiance. La rencontre a lieu au Parc, chez nous. Nous sommes archi-favoris donc il va falloir prouver. » Que peut-on te souhaiter pour 2010 ? « Marquer des buts et enchaîner les matches ! » PSG.fr |
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07/01/2010 09:33
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#1635
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation 40 ans, enfin l’âge de raison pour le PSG ? Pour fêter ses 40 ans, le PSG a prévu en 2010 une série de manifestations. Ceux qui ont participé à la création du club parisien racontent les coulisses d’une naissance. Cette année, le PSG fête ses 40 ans. Un âge qui fait du club de la capitale la quatrième formation la plus jeune de la Ligue 1, derrière Grenoble (1997), Le Mans (1985) et Montpellier (1974). Les Girondins s’apprêtent à célébrer leur 129e anniversaire, Marseille ses 111 ans et Lyon ses 60 ans. Né le 12 août 1970, une date d’ailleurs contestée par certains, le PSG, à l’échelle du football français, n’est donc qu’un grand enfant. Mais un enfant dont beaucoup envient la popularité ! Le faste des décennies 1980 et 1990 Pierre-Etienne Guyot et Guy Crescent, les pères fondateurs, peuvent se féliciter d’avoir donné à Paris un grand club. Les décennies 1980 et 1990 notamment sont fastes. A cette époque, le PSG accumule les titres : cinq Coupes de France (1982, 1983, 1993, 1995, 1998), deux Coupes de la Ligue (1995, 1998), deux titres de champion de France (1986, 1994) et un titre européen (Coupe d’Europe des vainqueurs de Coupe en 1996). Un enfant doué donc, mais parfois bien turbulent. La trentaine ne lui réussit pas : les crises à répétition ont remplacé les titres (seulement deux Coupes de France en 2004 et en 2006, une Coupe de la Ligue en 2008, et vainqueur de la Coupe Intertoto en 2002). Les années 2000 signent la fin d’un cycle. Au fil des saisons, Paris perd ses lettres de noblesse et frôle même la relégation à deux reprises (2007 et 2008). Une nouvelle décennie s’ouvre désormais pour le PSG. Cet anniversaire sera d’ailleurs célébré en grande pompe par le club. Comme une envie de tourner enfin une page, d’écrire une nouvelle histoire plus paisible et glorieuse. Quarante ans, enfin l’âge de raison ? Sylvie De Macedo Citation Débat sur un acte de naissance Le PSG a quarante ans. Peut-être plus, peut-être moins. Les avis divergent et trois courants s’affrontent. Pour les historiens, il a été fondé en 1904. L’historien Thierry Berthou estime que le PSG aura 106 ans en juin prochain car il n’est que la prolongation du Stade sangermanois, fondé en 1904. En 1970, il évoluait en Troisième Division et s’est transformé avec l’arrivée des investisseurs du PFC. Selon lui, changer de nom n’entraîne pas la naissance d’un nouveau club. Quand un club se crée, il débute forcément tout en bas de la hiérarchie. Or, en 1970, le PSG joue ses premiers matchs en Deuxième Division. Officiellement, il a 40 ans. En 1991, Canal +, le nouvel actionnaire, décide que le club est né le 27 août 1970, jour de la publication des statuts du club au « Journal officiel ». Seul problème, à cette date, le PSG avait déjà disputé son premier match officiel. Pas très logique… Alors, en 2000, les dirigeants optent pour le 12 août 1970, correspondant au dépôt des statuts du nouveau club à la préfecture de police. « Si on veut prendre la fusion de 1970 comme référence, c’est la date du 26 juin 1970 qui est la plus significative, estime Thierry Berthou. Elle correspond à l’assemblée générale extraordinaire nommant le nouveau bureau, mélange du PFC et de Saint-Germain. » Sous l’ère Borelli, il était né en 1973. Durant sa présidence entre 1978 et 1991, Borelli avait retenu 1973 comme date de fondation car il estimait que son arrivée aux côtés de Daniel Hechter, Charles Talar et Jean-Paul Belmondo, avait non seulement sauvé le club mais lui avait aussi donné sa véritable identité. Car cette année-là, le PSG FC devient le PSG tout court. L.P. Citation Un large programme de célébrations A l'occasion de son quarantième anniversaire, le club de la capitale a mis au point tout un programme de festivités. En voici le détail. Une émission sur NRJ 12 dès janvier Le 18 janvier, un programme quotidien d’une heure (de 19 heures à 20 heures) sur le PSG sera diffusé sur NRJ 12. Les dirigeants parisiens se sont ainsi associés à une chaîne de la TNT, accessible à tous les Franciliens, afin d’offrir à l’équipe professionnelle, au centre de formation mais également à la fondation PSG une exposition médiatique d’envergure. Un documentaire en juin La société de production Elephant & Cie d’Emmanuel Chain finalise actuellement un documentaire sur l’histoire du PSG. Ce film, d’une heure et demie environ, traitera des épisodes marquants du club depuis sa création à travers les témoignages d’anciens joueurs ou dirigeants. Il sera retransmis en juin sur Canal +, puis commercialisé en DVD. Les dirigeants parisiens espèrent également organiser des Nuits du PSG au cours desquelles le documentaire serait projeté dans des salles de cinéma à Paris et en Ile-de-France. Un maillot rouge la saison prochaine En juin, le PSG et Nike lanceront le maillot de la saison 2010-2011 qui s’inspirera de celui porté par les Parisiens en 1970-1971, autrement dit un maillot rouge au col et aux manches bleues à bandes blanches. Un tournoi de foot fin juillet En mars, le club proposera une offre d’Urban Football au sein même de l’enceinte du Parc des Princes. Le PSG va également organiser, lors du dernier week-end de juillet, le Tournoi de Paris. Un événement qui n’avait plus eu lieu depuis 1993. Le club aimerait y inviter quatre grandes équipes européennes, dont une portugaise (Porto ou Benfica), une espagnole, italienne ou anglaise. Une cérémonie à l’automne La grande fête d’anniversaire devrait avoir lieu la saison prochaine, certainement en octobre au Parc des Princes, à l’occasion d’un match. Par ailleurs, le PSG réfléchit également à mettre sur pied une action sociale auprès des jeunes Franciliens, éventuellement sur le thème de l’intégration. S.D.M. Citation « Mon émission a servi de déclic » PIERRE BELLEMARE, ex-animateur d’Europe 1 Le 1er Février 1970, Pierre Bellemare lançait sur les ondes d’Europe 1 un appel en faveur de la création d’un grand club de football à Paris. Quarante ans plus tard, le célèbre animateur revient sur la genèse de cette initiative. Avez-vous conscience d’avoir contribué à la création du PSG ? Pierre Bellemare. Pendant longtemps, je ne me souvenais plus que tout était parti d’Europe 1. Et il y a un ou deux ans, quelqu’un m’en a reparlé. J’espère que d’autres choses resteront de ma carrière (rires) . Je suis plus fier d’avoir aidé à la création de blocs opératoires pour opérer des enfants à coeur ouvert. Mais je me rappelle bien des circonstances de l’époque. Il y avait un gros blocage pour la création d’un club à Paris. Et on nous a demandé un coup de main. Pourquoi ? L’émission s’appelait « Vous êtes formidables ». Elle était diffusée le mardi soir à 20 heures et avait une audience considérable. Le but était de livrer un problème à l’antenne et de demander aux auditeurs de le résoudre. Cette fois-là, nous avions consacré toute l’émission au football à Paris. L’émission a servi de déclic pour créer le club. Ensuite, je me suis rendu plusieurs fois au Parc des Princes. J’étais même un peu supporteur. Mais l’époque a bien changé… Aviez-vous déjà parlé de football à l’antenne ? Absolument. Quelques années plus tôt, Le Havre, le plus vieux club de foot de France (NDLR : fondé en 1872) , était menacé de disparition en raison de problèmes financiers. A la suite de l’émission, le club havrais a été sauvé. C’est pourquoi des gens qui voulaient fonder un club à Paris nous ont demandé de refaire le même coup. Si le PSG vous invitait pour commémorer les 40 ans, iriez-vous au Parc ? Avec grand plaisir. Cela me rapprocherait de ma belle-mère qui vit à 200 m du Parc. A cause des nuisances les soirs de matchs, le PSG lui offre deux places chaque année. Mais elle n’y va jamais. Il faut dire qu’à 95 ans on n’est pas très motivée par le foot (rires énormes) ! Propos recueillis par Christophe Bérard Citation « J’ai été l’un des pionniers » JEAN DJORKAEFF, capitaine du PSG FC de 1970 à 1972 « J’étais en fin de contrat avec Marseille. A l’été 1970, Guy Crescent, le vice-président du PSG FC, m’a contacté. C’était un personnage atypique, un gars extraordinaire, animé d’une grande passion pour le foot. A l’époque, j’étais international français. Je prenais donc le risque de perdre ma place chez les Bleus si je jouais pour un club qui évoluait en Division 2. J’ai hésité. Je ne savais pas où je mettais les pieds. Mais Crescent s’est montré très persuasif. Je ne regrette pas. J’ai vécu deux années extraordinaires. Marseille était une ville qui vivait pour le foot. A Paris, ce n’était pas encore le cas. Tout était à construire. Nous disputions nos matchs au camp des Loges ou au stade Jean-Bouin. Les équipements étaient assez vétustes. Cette équipe ne comptait que cinq joueurs professionnels. L’ambiance dans l’équipe était fantastique. Le PSG, c’était notre bébé. Entre joueurs, les liens étaient très forts. A l’issue de chaque match, nous allions tous dîner. On parlait de foot, on discutait des mesures à prendre pour faire grandir le club. Je suis évidemment très attaché au PSG parce que j’ai participé à sa création. J’ai été l’un des pionniers. » Propos recueillis par S.D.M. Citation « Nous étions plein d’espoir » GUY ADAM, simple supporteur à l’origine, devenu dirigeant du club « En 1970, Pierre-Etienne Guyot (NDLR : vice-président du Racing Club de France) et Guy Crescent (patron d’un groupe de transport Calberson) voulaient sortir le football francilien du marasme dans lequel il se trouvait depuis des années et donner à Paris un club digne de ce nom. Ils ont créé le Paris FC. Mais pour que ce club existe, il fallait qu’il puisse se reposer sur une équipe d’amateurs. Le stade saint-germanois a été choisi. A l’été1970, les deux structures ont fusionné et donné naissance au Paris-Saint-Germain Football Club, qui jouera en Deuxième Division dès la saison 1970-1971. J’ai aussitôt adhéré à ce projet. J’organisais notamment les déplacements. Nous étions plein d’espoir. Puis, il y a eu la Nuit du méridien en 1972 (le PSG FC s’est divisé en deux : le Paris FC d’un côté, qui garde la section professionnelle, le PSG de l’autre, qui conserve les amateurs). Le PSG tombe alors en Troisième Division. J’ai pris un grand coup derrière la tête, mais j’ai continué à supporter le club. Dès 1973, grâce à l’aide de Borelli, d’Hechter, Talar et de Belmondo, le club remonte en D 2 puis en D 1 l’année suivante. C’est la deuxième naissance de Paris. » Propos recueillis par SDM Citation « Les joueurs étaient accessibles » DANIEL GERMON, supporteur depuis la création du club «J’habitais porte de Clignancourt, à Paris. Pour assister à des matchs, j’allais voir le Red Star à Saint-Ouen. J’avais 23 ans. Quand j’ai entendu l’appel de Pierre Bellemare à la radio, j’ai tout de suite répondu. On s’est retrouvés à 16 000 cotisants. Nous avons tous versé 40 F de l’époque pour constituer le premier capital du club. Je me souviens du premier match officiel. C’était au camp des Loges car le Parc des Princes était encore en construction. Les maillots étaient rouges avec des shorts blancs et des chaussettes bleues. Ensuite, on a même joué à Jean-Bouin, juste en face du Parc, là où évolue maintenant le Stade Français ! Pour le PSG, j’ai fait beaucoup de bénévolat. J’ai tenu la buvette et vendu des tickets de tombola. Les joueurs venaient en majorité de Saint-Germain-en-Laye et étaient complètement accessibles. Ça change de maintenant… Dès la première saison, on organisait des repas de sections de supporteurs et les joueurs venaient manger avec nous. J’étais responsable du 9e secteur, qui regroupait les supporteurs qui habitaient le XVIIIe arrondissement. En quarante ans, je n’ai jamais lâché club. » Ch.B. Citation Coupe de France Aubervilliers ne change rien Au repos hier, les amateurs d’Aubervilliers (CFA 2) se retrouveront ce soir pour leur troisième séance de la semaine, à trois jours de leur déplacement au Parc des Princes . L’entraîneur Abdellah Mourine (35 ans), adepte de la psychologie et de la préparation mentale, ne dérogera pas à sa ligne de conduite. « Je ne changerais pas ma façon de travailler parce qu’on affronte le PSG », prévient-il. En poste depuis 2005, il n’a ainsi pas prévu de séance vidéo ni de travail tactique en fonction des spécificités du jeu parisien. Mardi soir, sur un terrain gelé, il a répété des exercices de placement avec ses défenseurs pendant que les joueurs offensifs enchaînaient les frappes de balle. « Je n’ai même pas encore vu de matchs du PSG et je ne sais pas si je le ferais, poursuit Mourine. Je raisonne en fonction de mon équipe, pas du PSG. Je n’ai pas envie de donner mal à la tête à mes joueurs en me focalisant uniquement sur le PSG. Le meilleur moyen d’éviter le stress, c’est de faire comme d’habitude. » Le jour du match, Mourine a ainsi fixé l’heure du rendez-vous à 18 h 30 à Aubervilliers. « En fonctionnant autrement, on aurait été hors-sujet, approuve l’attaquant Nacer Lamamiri. A part nos trois ex-pros (Marlet, Boulila, Doukantie), personne chez nous n’a déjà connu une mise au vert. On a tous nos habitudes, on se lève et on se couche plus ou moins tard, donc ce n’est pas plus mal de ne rien changer. » Laurent Pruneta Citation Fausse alerte pour Camara Hier, lors de la dernière journée du stage des Parisiens à la Baule, Zoumana Camara a interrompu l’entraînement cinq minutes avant la fin, se plaignant de la jambe gauche. L’inquiétude était vive après la longue absence du défenseur central (de juillet à novembre) à cause d’une phlébite au mollet. Finalement, l’ex-Stéphanois a simplement ressenti une douleur à l’orteil gauche. Une blessure sans conséquence, assure-t-on au club. Camara et ses coéquipiers ont donc quitté La Baule hier soir après un footing dans la forêt d’Estoublac en matinée, et une opposition dans l’après-midi. De retour à Paris, Edel doit, aujourd’hui ou demain, porter plainte contre Nicolas Philibert, son ancien entraîneur qui l’accuse d’avoir changé de nom et d’âge (28 ans au lieu de 23). La Fédération camerounaise a en effet envoyé des documents prouvant la bonne foi du gardien parisien et retraçant son vrai parcours. Ch.B. et S.D.M. leparisien.fr |
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07/01/2010 12:05
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#1636
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - Coupe lequipe.fr
Le PSG s'est fait une raison Après avoir menacé d'aligner son équipe réserve contre Aubervilliers, dimanche, en raison de la programmation du match à 20h45, le PSG s'en remet à Kombouaré. A qui il a été demandé de qualifier le club pour les 16es. C'était le 18 décembre, juste après la programmation du match PSG - Aubervilliers en clôture des 32es de finale de la Coupe de France, ce dimanche à 20h45. « S'il faut faire jouer l'équipe de CFA le dimanche et les pros le mercredi, on le fera. » Philippe Boindrieux, le directeur général, se disait prêt à employer la manière forte pour faire respecter le droit de son équipe à avoir trois jours de repos complet avant le Guingamp - PSG de Coupe de la Ligue programmé mercredi après-midi (8es de finale). Depuis, de la neige est tombée et de l'eau a coulé sous les ponts. Si « rien ne dit que ce sera l'équipe-type » souffle-t-on au Parc des Princes, la décision de brader ou pas le match appartient désormais au seul Antoine Kombouaré. « Le coach réfléchit à l'équipe qu'il va mettre et il en parlera à sa conférence de presse, nous a déclaré le directeur de la communication du club, Bruno Skropeta. C'est le coach qui gère le sportif. Et quand on a dit ça à l'époque, c'était en accord total avec lui. » Avant de partir en vacances, le président Robin Leproux avait cependant indiqué que son club jouerait la qualification lors des deux matches. En gros : qu'il n'en sacrifierait aucun pour faire passer son humeur. « Le PSG ne va pas saborder la Coupe de France » confirme Bruno Skropeta. Pour un huitième de finale de la Coupe de la Ligue, ce serait assez peu défendable, quitte à donner l'impression de se déballonner. « Ce n'est pas la question, nous répond Philippe Boindrieux. C'est simplement que c'est à l'entraîneur de faire ses choix avec deux matches très rapprochés. » Le PSG estime être le grand perdant de l'histoire Qu'il n'aille pas au bout de son idée initiale ne signifie pas que le PSG a décoléré. « On n'apprécie toujours pas l'horaire ni la façon dont ça s'est déroulé » confirme Bruno Skropeta. « On voulait faire de ce rendez-vous une belle fête francilienne, avec des enfants dans le stade. L'horaire du coup d'envoi fait que ça ne sera pas possible », regrette Philippe Boindrieux. « Le terrain sera gelé et il n'y aura pas une foule énorme, abonde le porte-parole du club. Un dimanche à 15 heures, on pouvait imaginer avoir tous les enfants et 25 à 30 000 personnes. Là, ce sera énorme s'il y en a 15 000. » Le PSG se définit comme « le grand perdant de l'histoire » après avoir inversé l'ordre du match et assumé les frais qui vont avec. Dans ce dossier, le club s'est senti parfaitement impuissant face à la volonté commune de la FFF et du diffuseur, Eurosport. « Nous sommes obligés de nous incliner », regrette Bruno Skropeta. « On nous explique que même si ce n'est qu'Aubervilliers -et je dis ça sans manquer de respect à ce club- l'affiche, en terme d'audiences, est toujours plus intéressante qu'un Monaco-Tours par exemple, lâche Philippe Boindrieux. Au-delà, c'est hallucinant. Ça fait quatre ans que je suis dans le foot, quatre ans que j'entends qu'il faut moins jouer l'hiver ; Or, systématiquement, on nous colle deux matches par semaine en janvier-février. Tant qu'on aura un L1 à 20 clubs avec une Coupe de la Ligue à jouer, on n'y arrivera pas.» La FFF pourra toujours rétorquer que ce problème n'est pas le sien mais celui de la LFP. - Cé. Ro. et E. T. |
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08/01/2010 09:26
Message
#1637
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Le PSG ne fait plus rêver les clubs d’Ile-de-France Sentiment de gâchis, incompréhension, passion déclinante… Avant PSG - Aubervilliers dimanche en Coupe de France, la majorité des dirigeants ou entraîneurs des clubs d’Ile-de-France dresse un constat sévère sur la politique du club de la capitale depuis quelques années. Morceaux choisis avec les acteurs du foot « d’en bas » de la région parisienne. Une instabilité qui dérange. « Chaque saison on espère un renouveau, mais on est à chaque fois déçus », constate Thierry Aimé (Ozoir-la-Ferrière). L’instabilité dans les sphères dirigeantes et les résultats en dents de scie du PSG ont découragé les plus fidèles qui se désespèrent de « revivre la grande période des années 1990 ». « Plus jeune, j’étais un vrai supporteur, mais ma ferveur est redescendue à cause des résultats », reconnaît Chaïb Daoud (Le Mée). « On est le seul pays d’Europe où le club de la capitale n’a pas un standing digne de la ville, déplore Jean-Louis Gautheron (Montgeron). Ils ont une grosse affluence, des moyens, mais ils n’arrivent pas à avoir quelque chose qui se pérennise. » « Le PSG, c’est comme Ben Arfa : on sent qu’il y a de la capacité, mais on est toujours déçus », ironise Jean-François Niangui (Noisiel). La « frilosité » et le « manque de lisibilité » de l’actionnaire Colony Capital sont aussi largement épinglés. « On est déçus de son manque d’investissement dans le recrutement, regrette Benamar Daoud (Corbeil). Cela fait trop longtemps qu’on n’a pas vu un grand PSG sur le long terme. » Une équipe peu charismatique. Si les Raï, Valdo, Ginola ou Weah ont marqué leur époque, ils n’ont pas trouvé leurs successeurs. « Le PSG a des noms, mais c’est une équipe ordinaire qui va finir en milieu de tableau », assure Sébastien Penchemel (Linas-Montlhéry). Jean-Claude Sadou (Les Ulis) est plus sévère : « Aujourd’hui, aucun joueur du PSG ne peut être titulaire dans un grand club européen. Paris est devenu une maison de retraite… Tu as le droit de te tromper sur une ou deux saisons, mais là, ça dure depuis 1996… » « Dans les années 1990, le club avait des noms mais n’était pas très structuré, note Eric Michel (Antony). Depuis, les infrastructures se sont améliorées. Maintenant, il faudrait trouver un panachage entre les deux aspects. » Une image écornée. Marc Vincenti (Lagny) déplore « la mauvaise image donnée par les hooligans et le racisme » autour du club phare de la région. Si beaucoup considèrent « l’arrivée d’un formateur comme Antoine Kombouaré très positive », certains regrettent le manque d’ouverture du PSG. « Il ne fait pas assez attention à tous les petits clubs autour de lui », considère Laurence Demosthene (Savigny-sur-Orge). Même l’action de la Fondation PSG n’échappe pas aux critiques. « Ça marche très bien, mais je trouve les joueurs pas très accessibles lorsqu’on participe en fin de saison à une journée spéciale au Parc. Ils sont très distants avec les supporteurs », lance Laurent Charpentier (Ville d’Evry). « J’admire le PSG, mais autant Paris est la capitale de la France, autant l’OM reste la capitale du football », appuie Philippe Tettamanti (Fontainebleau). Des partenariats contestés. La politique de formation du PSG en direction de la banlieue est souvent critiquée, même si Eric Michel (Antony) considère que « le club est de plus en plus rassembleur » et apporte un signe fort « en alignant régulièrement les Sakho, Sankharé, Chantôme, Ngoyi, tous issus de la banlieue ». Abdenor Touil (Vincennes), dont le club a signé un accord avec… le FC Nantes, ne partage pas cet avis. « Le PSG ne se sert pas de la richesse qui peut exister dans la région parisienne. Mis à part des partenariats bidons, il ne fait pas grand chose pour la banlieue… » Il est rejoint par Charles Kissy (Saint-Brice). « En banlieue, on a cette image d’un club qui vient piller les meilleurs 13-17 ans pour ne jamais leur laisser leur chance en Ligue 1 à l’arrivée », considère-t-il. Enfin, Thierry Kilgus (Garges) n’a guère apprécié le manque de dialogue des dirigeants parisiens alors que les deux clubs étaient partenaires : « Nous étions club filiale du PSG. Ce partenariat, où nous n’avions qu’à donner nos meilleurs jeunes, a été interrompu sans aucune explication, par le biais d’une simple lettre. » Laurent Pruneta Citation Philippe Séguin, sa passion du foot et du PSG Le 5 janvier 2008, Epinal reçoit le PSG en 32e de finale de la Coupe de France. Une forme de déchirement pour Philippe Séguin, fan de foot, supporteur de longue date du PSG mais maire d'Epinal de 1983 à 1997. La veille de la rencontre, le président de la Cour des Comptes, qui vient de décéder le jeudi 7 janvier, avait affirmé, dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui en France, qu'il ne supporterait « aucune (équipe) ou alors les deux. Avec peut-être une petite préférence pour Epinal ». Une infidélité passagère au Paris-Saint-Germain, son club de cœur. Il avait une « télé près de sa baignoire pour regarder Téléfoot » Supporteur du PSG, Philippe Séguin était aussi un acteur du football français. Depuis janvier 2008, il était le président de la commission Grands stades en vue de la candidature de la France à l'Euro 2016 et président de la fondation du football à la FFF. Michel Denisot l'avait vu récemment lors des réunions de cette fondation. Mais le présentateur du Grand Journal sur Canal + l'avait bien évidemment côtoyé quand il était président du PSG (1991-1998) : « Philippe Séguin avait un avis toujours intéressant à écouter. Il recadrait aussi souvent l'histoire du PSG et il était très intéressé par la vie du club. C'était quelqu'un qui avait un avis compétent sur le foot mais il réagissait en simple supporteur », explique Michel Denisot. « Il était très assidu et ratait vraiment très peu de match […] Sur le foot, il était intarissable. Je me souviens d'une anecdote. A une époque, il avait une télé près de sa baignoire pour pouvoir regarder Téléfoot le dimanche matin quand il prenait son bain ». Philippe Séguin : « un grand club comme le PSG ne meurt jamais. » Président du PSG de 2006 à 2008, Alain Cayzac s'est également souvent assis à côté de Philippe Séguin dans les tribunes du Parc des Princes. Il se souvient d'un homme discret. « On pouvait passer une heure et demi à regarder un match et ne pas échanger un mot. Il était dans le match […] Il avait ses points de vue comme tout le monde mais il ne les exprimait pas. C'était l'anti café du commerce. Ce n'était pas quelqu'un qui refaisait le match, qui disait « Untel a été nul, il ne faut pas le mettre... ». Jamais. Il était d'une pudeur, d'une discrétion et d'une humilité formidable », confie l'ancien président parisien. Avant le match entre Epinal et le PSG, Philippe Séguin avait quand même commenté la situation alors difficile de Paris en championnat : « La vie d'un club, ce n'est jamais un long fleuve tranquille. Il y a des hauts et des bas. Mais un grand club comme le PSG ne meurt jamais. » Guillaume Georges leparisien.fr Citation Rothen sur le marché Jérôme Rothen, conscient de son échec à Glasgow, espère rebondir pour les six derniers mois de la saison. Jérôme Rothen, prêté jusqu'à la fin de saison aux Glasgow Rangers par le Paris-SG, est cherche un club. Dans un entretien accordé à L'Equipe, vendredi, il indique que son entraîneur Walter Smith a été clair avec lui sur le fait qu'il devait se trouver un club lors du mercato d'hiver. « Je n'ai plus joué depuis le 20 octobre et la défaite des Rangers contre Unirea Urziceni (1-4), regrette le gaucher, âgé de 31 ans. J'avais pourtant été élu meilleur joueur de mon équipe par les supporters.» De façon générale, Rothen considère comme «un gros point d'interrogation» l'attitude du club écossais à son égard. «J'ai joué huit matches sous les couleurs de Glasgow cette saison, j'ai été élu homme du match à trois reprises, tout en évoluant côté droit, jamais à mon poste. Mais les Rangers ont 35 millions d'euros de dettes et doivent faire des économies» dit-il. Cette expérience est «un échec» reconnaît Rothen. L'ex-international dit avoir «des pistes» mais préfère ne pas communiquer dessus avant qu'elles soient concrètes. Il nie en revanche fermement que l'une d'entre elle soit un retour au Paris-SG. «Contrairement à ce que j'ai entendu ou lu, je n'ai jamais demandé au PSG de me reprendre. Et puis, les dirigeants parisiens ont été clairs : mon retour n'est pas envisageable.» lequipe.Fr |
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08/01/2010 11:18
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#1638
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 10,088 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 54 Tribune : Non précisée |
Citation Edel a porté plainte Sylvie De Macedo | 08.01.2010, 07h00 Enfin ! Trois semaines après le début de « l’affaire Edel », le gardien de but du PSG a déposé plainte hier contre Nicolas Philibert, pour diffamation, auprès du tribunal d’instance de Paris. Le club de la capitale doit en faire autant dans les prochains jours. A la mi-décembre, l’ancien entraîneur d’Edel au Cameroun avait affirmé que le joueur mentait sur son âge (il aurait 29 ans et non pas 23 ans) et sur son identité. « Edel m’a contacté peu avant Noël et m’a demandé de prendre en main l’affaire, explique son avocat, Maître Christophe Bigot, spécialiste des affaires de diffamation. J’ai aussitôt demandé à la Fédération camerounaise de nous envoyer tous les documents prouvant qu’il avait bien 23 ans. A savoir le suivi de toutes ses licences qui montrent qu’il n’y a aucune zone d’ombre ni matière à se poser de question. Nous avons officiellement déposé plainte aujourd’hui (NDLR : hier). » Un juge d’instruction va désormais être nommé. Celui-ci convoquera Nicolas Philibert qui pourrait alors être mis en examen. L’affaire pourrait ensuite être renvoyée devant le tribunal correctionnel. La procédure durera un an avant qu’un éventuel procès ait lieu. « Un homme déterminé à aller jusqu’au bout » « Je n’ai senti aucune hésitation de la part d’Edel. Lorsqu’il est venu la première fois à mon cabinet, j’ai vu un homme parfaitement déterminé à aller jusqu’au bout pour que la vérité soit rétablie, assure Maître Bigot. A mes yeux, d’un point de vue purement juridique, les accusations portées contre le joueur sont très graves et ne se fondent sur rien. Dès qu’Edel est devenu titulaire, cet homme a commencé à l’accuser de mentir et à réclamer de l’argent. C’est curieux, non ? Mais au regard des documents que nous avons en notre possession, il n’y a aucun doute sur l’âge. » Après cette première plainte en diffamation, Edel pourrait en déposer une seconde très rapidement car Nicolas Philibert lui réclame 30 000 €. Le Parisien |
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08/01/2010 11:48
Message
#1639
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - Coupe lequipe.fr
Marlet, ça va mieux Touché aux ischio-jambiers, Steve Marlet a effectué jeudi un test rassurant à trois jours du match que son équipe, Aubervilliers (CFA2) va jouer à Paris en 32e de finale de la Coupe de France. L'ancien Lyonnais, sur lequel son entraîneur était pessimiste en début de semaine, voit ses chances de jouer croître. «C'est encore du 50-50. Je prendrai ma décision samedi», a indiqué à L'Equipe l'ex-international, qui fêtera ses 36 ans le jour du match. |
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08/01/2010 21:46
Message
#1640
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 33,818 Inscrit : 27/05/2009 Lieu : 973 Membre no 1,028 Tribune : Canapé |
Citation Foot - Coupe - PSG S. Traoré : «Match piège» Pour préparer leur 32e de finale de Coupe de France contre Aubervilliers, dimanche (20h45), les joueurs du Paris-SG ont dû s'exiler vendredi sur un terrain synthétique proche du Parc des princes, tous les terrains d'entraînement étant gelés et la pelouse du Parc elle-même protégée par une bâche et une soufflerie pour la préserver du gel. Au programme, une petite séance de 45 minutes (ateliers physiques puis travail devant le but) dans le froid, où tout le monde a participé. «Les dirigeants ont pris les mesures nécessaires pour que la rencontre ait lieu mais nous, joueurs, on sait que l'on aura des conditions difficiles», a commenté Sammy Traoré. «C'est le match piège», a ajouté le défenseur du PSG. Aubervilliers «possède des ex-pros qui amènent de l'expérience. Jouer le PSG au Parc des Princes va les galvaniser. Les conditions avantageront plutôt Aubervilliers: à nous d'élever notre niveau de combativité et d'envie pour passer ce tour», a-t-il dit. Antoine Kombouaré avait déjà protesté cette semaine contre l'horaire du match, estimant que c'était «une aberration» de jouer si tard un soir d'hiver. (Avec AFP) lequipe.fr -------------------- "Me love football because you have to be skilful to play it! Freedom! Football is freedom!" ©Bob Marley
Urban Foot v3.0 : Je suis venu, j'ai vu, et mon genou est vaincu... Claude Makelele : "Christian Gourcuff, au contraire de mon chibre, ne m'arrive pas à la cheville". Sylvain Armand : "Ça ne sert à rien de courir, il faut partir à point, voire bien cuit". |
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