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15/12/2009 19:52
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#1581
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,641 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 498 Tribune : Canapé |
Citation Le groupe parisien Antoine Kombouaré a communiqué son groupe de 18 joueurs pour la réception de Lens mercredi. Au centre d’une affaire pas très claire, Apoula Edel est bel et bien présent dans le groupe parisien et sera titulaire. Guillaume Hoarau est toujours blessé. Le groupe parisien : Edel, Grondin - Armand, Camara, Ceara, Sakho, Traoré - Chantôme, Sankharé, Arnaud, Clément, Makelele, Sessegnon, Giuly, Jallet - Erding, Luyindula, Maurice Sport24 |
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16/12/2009 08:41
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#1582
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Boya : « Edel a été traité comme un esclave » Pierre Boya, l’attaquant camerounais de Grenoble, a connu Nicolas Philibert au centre de formation des Espoirs de Yaoundé (Cameroun). Très proche d’Edel, il livre son témoignage sur les agissements de Philibert. Où avez-vous connu Nicolas Philibert ? Pierre Boya. Au Cameroun. J’avais 16 ans. A 18 ans, il devient entraîneur à Beyrouth (Liban) et m’emmène avec lui. Il a fini par se faire virer. A ce moment-là, mes embrouilles avec lui ont commencé. Il a voulu que je quitte le club et m’a mis la pression. J’ai résisté et un copain a fini par me trouver une place à Belgrade où j’ai joué quatre ans. J’ai réussi à me délivrer de son emprise mais d’autres n’ont pas eu cette chance. Comme Edel ? Absolument. Lui, c’est comme un frère pour moi. Ce que lui a fait Philibert est une honte. Edel était mineur quand, avec deux autres joueurs du même âge, Philibert les a placés en Arménie. Avant de les abandonner comme des chiens. Ils touchaient 150 $ par mois. Quand ils ont voulu réclamer un contrat de joueur, le président du club leur a avoué qu’il avait déjà payé 50 000 $ par joueur à Philibert. Ce type est un négrier. Edel l’a appelé sans arrêt pour qu’il vienne le sortir d’Arménie. Il n’a rien fait. Plus tard, je me suis retrouvé à mon tour en Arménie où j’ai failli signer. Quand Edel m’a expliqué comment il était traité, je suis parti au bout de deux jours. Cela m’a sauvé. Que pensez-vous des doutes exprimés par Philibert sur l’identité et l’âge d’Edel ? Ce sont des conneries. Je le connais depuis l’enfance. Il s’appelle bien Edel et il a bien 23 ans. Philibert fait ça pour se venger. Il a traité Edel comme un esclave et il veut prendre de l’argent sur lui. Nicolas Philibert : «Edel a changé de nom et de date de naissance» Il est à l’origine de toute l’affaire. Joint hier en Côte d’Ivoire où il s’occupe d’une académie de foot, Nicolas Philibert nous donne sa version des faits. Confirmez-vous qu’Edel a changé de nom et de date de naissance ? Nicolas Philibert. Oui, j’ai entraîné celui que vous appelez aujourd’hui Edel pendant deux ans en 1999 et 2000 aux Espoirs FC Yaoundé, un club de L 2 camerounais. Ce jeune homme était mon deuxième gardien et vivait chez moi, où je le nourrissais. Il s’appelait Ambroise Beyamena et avait 19 ans à l’époque. Quelles preuves avez-vous de ce que vous avancez ? J’ai gardé des photocopies de la licence et des papiers d’identité de l’époque d’Ambroise Beyamena. Et c’est moi qui lui ai organisé son transit via Paris lorsqu’il est parti en Arménie. Sur son billet d’avion, il était inscrit Ambroise Beyamena. Pourquoi réclamez-vous aujourd’hui de l’argent que vous dites lui avoir donné ? Je lui ai donné près de 35 000 € après avoir quitté le Cameroun. Je l’ai aidé à trouver un club en Arménie. Il me demandait conseil par mails à chacune des décisions qu’il devait prendre. Et il les terminait par « A Nicolas, mon père ». On s’était mis d’accord pour qu’il me rembourse s’il devenait professionnel. Quand j’ai su cet été qu’il était le gardien numéro deux du PSG, je suis allé le voir à l’hôtel à Montpellier. Il a déchiré la reconnaissance de dettes et m’a dit : « Vous êtes un sentimental, moi je suis un businessman. » Que répondez-vous aux joueurs comme Boya qui vous traitent de « négrier » ? Si donner beaucoup d’argent comme je l’ai fait à Edel ou à Pierre Boya pour les aider, c’est être négrier, alors j’en suis un. C’est moi qui ai fait venir Boya avec moi au Liban et qui l’ai mis ensuite au Partizan Belgrade. L’affaire Edel troublera-t-elle le PSG ? Le PSG reçoit Lens, ce soir au Parc des Princes. Au coeur d’une vive polémique sur son âge et son identité, Edel, le gardien parisien, tiendra sa place dans les buts. Apoula Edima Edel, 23 ans ou plus, sera bien sur la pelouse du Parc des Princes ce soir. La doublure de Grégory Coupet tentera d’aider le PSG à conquérir une deuxième victoire d’affilée à domicile. L’enjeu est important et le contexte très particulier. Comme « le Parisien»-« Aujourd’hui en France» le révélait hier, le gardien parisien est victime de chantage. Nicolas Philibert, son ancien entraîneur au Cameroun, lui réclame plus de 30 000 € . Face au refus de son ancien joueur, Philibert a informé les dirigeants de l’AS Saint-Etienne qu’Edel joue sous une fausse identité. Dimanche, les représentants des Verts ont donc déposé une réserve. Cette histoire abracadabrantesque n’est pas idéale pour préparer un match qui pourrait permettre à Paris de recoller au wagon de tête. Comment Edel vit-il l’affaire ? Selon ses proches, le gardien est « très serein» car il n’a « rien à se reprocher». « C’est un garçon très costaud, assure Kombouaré. Bien sûr, il est embêté par cette histoire. Je lui ai parlé, on veut la vérité. Il m’a répondu avec une grande franchise et une grande honnêteté. Ma crainte est que lui et le groupe soient perturbés, on n’a pas besoin de ça. On l’aide et on l’entoure pour qu’il sorte un grand match. On est à fond derrière lui. Il sera dans la cage, sauf s’il me dit qu’il ne veut pas jouer. Mais ça m’étonnerait, il sera prêt! » Comment réagit le club ? Hier après-midi, Robin Leproux s’est déplacé au camp des Loges pour s’adresser aux médias pour dire à quel point il était « écoeuré» et « révolté». « On attaque en justice et bas les masques! Nous avons un dossier complet avec des documents limpides. Aux autres de sortir les pièces qui justifient ces accusations nauséabondes.» Il dénonce aussi le comportement de l’ancien sélectionneur Michel Hidalgo (ami de Philibert) et Bernard Caïazzo (coprésident de Saint-Etienne) « qui donnent du crédit à ces accusations». « Caïazzo ne sort pas grandi de cette histoire, estime Leproux. Leur réserve n’était qu’une entreprise de déstabilisation. Ils n’ont pas eu de bol, ils ont perdu 3-0! » Que risque le PSG ? Rien pour l’instant car, hier, Saint-Etienne, un brin ridicule dans cette affaire, a décidé de ne pas confirmer sa réserve. La Ligue ne peut donc pas se saisir du dossier. Si les prochains adversaires de Paris posent une réserve, et s’il s’avère après enquête qu’Edel est en possession de faux papiers, le club parisien perdra tous les matchs concernés par ces réserves. Lens va-t-il le faire? « On va étudier le dossier et on prendra une décision dans la journée», confie le président, Gervais Martel. Que risque Edel ? Si le Camerounais a de vrais papiers, il ne risque rien et gagnera son procès. Dans le cas contraire, l’affaire prendrait une tout autre ampleur et le gardien pourrait être poursuivi pour usage de faux, usurpation d’identité et séjour irrégulier. Il serait alors expulsable, et pas simplement du terrain. PSG - LENS, ce soir (21 heures), au Parc des Princes. Arbitre : M. Viléo. PSG : Edel - Ceará, Camara, Sakho, Armand - Jallet, Makelele (cap.), Clément, Sessegnon - Erding, Luyindula. Entr. : Kombouaré. Lens : Runje - Demont, Yahia, Chelle (cap.), Ramos - Hermach, Kovacevic - Boukari, Roudet, Akalé - Maoulida. Entr. : Walemme. Le Parisien |
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16/12/2009 13:40
Message
#1583
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 6,512 Inscrit : 30/04/2009 Membre no 943 Tribune : Canapé |
Citation Kombouaré veut «assumer» «On est favori. J'aime ce statut.» C'est ce qu'a déclaré Antoine Kombouaré avant d'affronter le RC Lens ce mercredi (21h00) au Parc des Princes, à l'occasion de la 11e journée. «Il faut maintenant qu'on l'assume, comme face à Saint-Étienne», a poursuivi l'entraîneur du Paris-SG, qui reconnaît que le Racing est un «adversaire plus fort» que l'ASSE, écrasé (3-0) dimanche. Malgré cette étiquette de favori, Kombouaré se méfie de l'équipe de Jean-Guy Wallemme: «Ce n'est plus le même Lens qu'en début de saison. Sur les six derniers matches, ils restent sur quatre victoires, un nul et une défaite. Ils ont battu dernièrement des équipes comme Marseille et Nice, contre qui nous avions perdu». En ce qui concerne Mevlut Erding, l'entraîneur a avancé qu'«il est en bonne santé, mais pas tout à fait rétabli. Il a encore des petits soucis, mais il est prêt à jouer». (Avec AFP) l'Équipe.fr |
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16/12/2009 15:13
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#1584
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,980 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : 92 Membre no 313 Tribune : Canapé |
Citation Coupe de France : Aubervilliers - PSG se jouera au Parc Le 32e de finale de Coupe de France entre Aubervilliers (CFA 2) et le PSG, prévu le 9 ou le 10 janvier prochain, se déroulera finalement au Parc des Princes. Les deux clubs ont trouvé un accord lors d'une réunion ce matin. Le PSG prendra à sa charge les frais d'organisation. «C'est la meilleure solution possible, estime Karim Belkebla, le directeur sportif d'Aubervilliers. Jouer au stade Marville (à la Courneuve) aurait été compliqué au niveau de la sécurité. Pour nos joueurs, ce sera fabuleux d'évoluer au Parc.» Eurosport devrait restransmettre ce match. Le Parisien |
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16/12/2009 17:58
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#1585
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 7,584 Inscrit : 21/01/2009 Membre no 644 Tribune : Canapé |
Citation La réserve sur Edel invalidée Saint Etienne n'a pas confirmé sa réserve sur l'identité du gardien parisien Apoula Edel, déposée avant le match contre le PSG dimanche, rapporte mercredi la Ligue de football professionnel. Ainsi la réserve, n'ayant pas été appuyée par le club stéphanois dans un délai de 48 heures par lettre recommandée, est annulée. L'équipe.fr |
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17/12/2009 00:26
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#1586
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
L'Equipe.fr
Citation Makelele : «On aurait dû...» Il y a le contenu et le résultat. «Très déçu» par l'égalisation lensoise quatre minute après l'ouverture du score de Makelele, mais «content» de ne pas avoir perdu, Antoine Kombouaré estime que le Paris-SG a fait «un bon match» contre Lens (1-1), mercredi. «Au nombre d'occasions, on peut avoir des regrets», a-t-il souligné. Le technicien kanak avoue tout de même avoir du mal à se délester de son «premier sentiment». Il est «fâché» par ce nul qui laisse les Parisiens à la huitième place, à quatre points du podium. Leproux : «C'est un point important pour aller à Rennes avec un moral de vainqueur» «Il faut reprendre ces points perdus à domicile à Rennes. Il faut être costaud dans la tronche et rebondir, se servir de cette égalisation et de cette énorme déception pour faire le plein à Rennes, a-t-il insisté. On a un objectif de mieux jouer et faire ce qu'il faut pour marquer des buts. On a eu trois belles situations en première mi-temps et on n'a pas été capables de les mettre au fond». Claude Makelele abonde dans son sens. «C'est dommage car on a fait du jeu, on s'est créé des occasions. On aurait dû faire un résultat». En d'autres temps, le PSG aurait peut-être perdu ce match, a-t-il également fait remarquer. Le président du club de la capitale, Robin Leproux, est lui aussi «un peu déçu». Mais il assure voir du positif dans ce «point important pris avant la trêve». «C'est un bon point», a-t-il même lâché. «Les joueurs comme nous tous avons subi un contre-coup après l'égalisation. J'attribue à ça la baisse de régime de l'équipe. On aurait pu mériter la victoire car on n'a pas eu un grand nombre d'occasions contre nous. C'est un point important pour aller à Rennes avec un moral de vainqueur. Edel a fait une prestation de grande qualité. Je l'ai senti très concentré». (Avec AFP) Football365 Citation Lens : Pas de réserve sur Edel
Contrairement à l'AS Saint-Etienne, qui avait déposé dimanche une réserve concernant l'âge et l'identité d'Edel avant de la retirer, le RC Lens n'a pas jugé utile d'alimenter la polémique de ces derniers jours. Pas de réserve lensoise concernant l'âge et l'identité d'Edel. Contrairement à Saint-Etienne dimanche dernier, les dirigeants Sang et Or n'ont pas jugé utile d'alimenter la polémique de ces derniers jours. Avant le coup d'envoi de ce PSG-Lens, les présidents Leproux et Martel avaient discuté sur le bord de la pelouse. NP (rédaction Football365.fr) -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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17/12/2009 09:21
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#1587
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Les Lensois refroidissent les ambitions du PSG Après l’encourageant succès obtenu dimanche contre Saint-Etienne (3-0), les Parisiens sont retombés dans leurs travers. Ils n’ont pas réussi à dominer Lens hier au Parc (1-1). A l'initiative de leur entraîneur, les joueurs parisiens ont dîné ensemble hier soir après le match dans un salon du Parc des Princes. L’atmosphère aurait pu être festive, le but de Makelele, le douzième de sa longue carrière en L 1, aurait pu être fêté dignement dans la joie et la bonne humeur. Mais l’ambiance était plutôt pesante. Car le PSG, une fois de plus, malgré une prestation correcte, a laissé filer les trois points de la victoire. A domicile, l’équipe de la capitale n’a remporté que la moitié de ses matchs (4 sur 8). Dans ces conditions, l’Europe demeure un rêve lointain. On ne sait plus quoi penser de ce PSG, capable de se montrer en moins de cinq minutes enthousiasmant et consternant. Les débats sont ouverts et tous les jugements recevables. Celui de Robin Leproux est néanmoins étonnant. « C’est un point important, je suis plutôt optimiste et c’est bien pour aller à Rennes ( samedi ) avec un moral de vainqueur », commente le président. Discours sincère ou de façade ? Le doute est permis. Hormis le président, personne dans l’entourage du club ne peut se satisfaire d’un tel résultat. Antoine Kombouaré, de moins en moins loquace, ne sait plus comment expliquer les errements fatals de son équipe et plus particulièrement de sa défense. « Je suis très déçu, avoue-t-il. On avait le sentiment d’avoir fait le plus dur. Mais comme je l’ai dit aux joueurs, il faut plus de discipline et plus de rigueur pour garder ses cages inviolées. On n’est pas capables de faire les efforts pour revenir, il faut faire les courses pour se replacer. » L’occasion était belle de recoller au peloton de tête Si on reprochera aux Parisiens leur manque de réalisme offensif en première période, on leur pardonnera difficilement en revanche leur incapacité à gérer le match après l’ouverture du score. « J’ai eu des craintes après leur but, mais j’ai été surpris qu’ils reviennent nous chercher si haut, explique Jean-Guy Walemme, l’entraîneur lensois. A 1-0, je m’attendais à ce que ce soit vraiment plus compliqué pour nous. » Malheureusement, aujourd’hui, toutes les équipes de L 1 savent qu’elles peuvent profiter, à un moment ou à un autre, des largesses parisiennes. Ce fut encore le cas hier soir. Depuis deux jours, les dirigeants parisiens demandaient qu’on laisse leur gardien Edel, soumis à une forte pression, tranquille. Ils ont été entendus par les Lensois qui ne se sont pas procuré une seule occasion avant l’égalisation. Rageant… Pour l’heure, un constat s’impose : le PSG, même s’il ne manque pas de talents, ne mérite pas de jouer les premiers rôles. L’occasion était pourtant belle de recoller au peloton de tête et de redonner espoir à ses supporteurs. Huitième de L 1, le PSG attend que l’automne, qu’il maudit, se termine. Histoire de pouvoir passer à autre chose. PSG - LENS 1-1 (0-0) Spectateurs : 35 000 environ. Arbitre : M. Vileo. Buts. PSG : Makelele (70e) ; Lens : Maoulida (74e). Avertissements. PSG : Erding (18e), Sakho (90e + 2), Sessegnon (90e + 3) ; Lens : Kovacevic (36e), Chelle (38e). PSG. Edel - Ceará, Camara, Sakho, Armand - Jallet (Maurice, 86e), Makelele (cap.), Clément (Giuly, 86e), Sessegnon - Erding (Chantôme, 74e), Luyindula. Entr.: Kombouaré. Lens. Runje - Demont, Yahia, Chelle (cap.), Ramos - Hermach, Kovacevic - Boukari, Roudet, Akalé (Monnet-Paquert, 86e) - Maoulida (Eduardo, 74e). Entr.: Wallemme. Laurent Perrin (avec Ch.B. et F.G.) Citation Affaire Edel : Lens n’a pas posé de réserve La question était sur toutes les lèvres avant le match. Les dirigeants du RC Lens allaient-ils imiter leurs homologues stéphanois et poser une réserve concernant les faux papiers présumés d’Edel, le gardien parisien. Dès son arrivée sur la pelouse, une heure et demie avant le coup d’envoi, Gervais Martel, le président lensois, a levé le suspense. « A Lens, on n’a pas l’habitude de procéder ainsi. Les matchs, on les gagne sur le terrain. » A-t-il hésité ? « Non, pas du tout. En revanche, si j’ai un conseil à donner aux Parisiens, c’est de rapidement transmettre le dossier à la Ligue. » Le cas Edel alimentait de nombreuses discussions hier soir. Sûrs de leur fait, les dirigeants parisiens restent sereins mais ne décolèrent pas sur l’attitude de Nicolas Philibert, à l’origine de l’affaire. Ce dernier persiste à dire qu’Edel joue sous une fausse identité. Hier, il a envoyé à plusieurs rédactions la photo du club qu’il entraînait à l’époque, le FC Yaoundé. Le cliché daterait de 2000 et, selon lui, le gardien serait Edel, alors âgé de 19 ans. Le problème, c’est qu’on ne reconnaît pas Edel… Il va falloir apporter d’autres preuves. Hidalgo : « Je ne crois pas qu’Edel puisse dire qu’il a 23 ans » Pris malgré lui dans cette affaire, Michel Hidalgo, ami de Philibert, cherche à minimiser son rôle. « Moi, j’ai juste essayé d’arranger les choses, de réunir les gens autour d’une table pour résoudre le problème, déclare-t-il. Mon nom est associé à cette affaire alors que je n’ai rien fait de mal. Le PSG n’a rien à se reprocher, car, s’il s’est passé quelque chose, c’est avant l’arrivée d’Edel à Paris. » Mais l’ancien sélectionneur a toujours des doutes sur la probité du gardien parisien : « Je ne crois pas qu’aujourd’hui Edel puisse dire qu’il a 23 ans. » Tiraillé entre son amitié avec Philibert et les proportions prises par cette affaire, Hidalgo prend ses distances. « Si Nicolas Philibert n’a pas les moyens de prouver ce qu’il avance, ça va lui retomber sur le bec. D’après ce qu’il me dit, les preuves qu’il possède sont en France, lui est en Côte d’Ivoire et il retourne bientôt au Liban. » Si, comme prévu, Edel porte plainte contre X aujourd’hui, il serait préférable que Nicolas Philibert fasse entre-temps un petit crochet par la France. L.P., A.H. Citation Makelele : « C’est une leçon à retenir ! » « Vous me connaissez, si on ne m’avait pas forcé à venir, je ne serais pas venu. » Malgré son premier but sous les couleurs parisiennes, Claude Makelele n’avait pas forcément envie de s’exprimer après la déception du nul hier soir. Mais le capitaine du PSG a forcé quelques instants sa nature. Quel est votre sentiment après ce nouveau résultat décevant ? Claude Makelele. C’est vraiment dommage qu’on n’ait pas su maintenir notre avantage plus de quatre minutes. Le plus embêtant, c’est qu’on aurait dû faire bloc. On n’a pas su le faire et nous laissons filer deux points importants. Voilà. Je ne peux donc qu’être déçu. On vous sent même vraiment frustré… Oui car il y a eu un manque de maturité de notre part. Nous avions envie de bien faire, ce n’est pas le problème. Mais cela nous apprendra. C’est vraiment une leçon à retenir ! Il faut maintenant se servir de ça pour la suite. Il reste deux matchs ( à Rennes et contre Grenoble au Parc ) pour bien terminer l’année. A nous de faire ce qu’il faut. Il y a longtemps que vous n’aviez pas marqué en France. (Sourire.) Mais c’est parce que je suis parti longtemps ! Ça fait toujours plaisir de marquer mais j’ai du mal à être vraiment content car ce n’est pas le but de la victoire. Sur l’action, je me suis appuyé sur Erding. Le gardien de Lens est sorti très vite, mais j’ai su frapper le ballon… Et c’est rentré. A cet instant, la joie de vos coéquipiers était énorme… Ils me font le coup à l’entraînement quand j’arrive à marquer. A ce moment-là, ils viennent tous me chambrer. C’est ce qui s’est passé. Je les comprends car je ne leur donne pas souvent l’occasion de me féliciter ! Mais c’est vrai que c’est plutôt agréable de marquer à Paris. Personnellement, qu’avez-vous ressenti ? Je n’ai pas vraiment eu le temps de savourer car Lens a égalisé beaucoup trop vite. Maintenant, tout ce que je souhaite, c’est qu’on se serve de la solidarité démontrée sur mon but afin de revivre d’autres bons moments. Je suis sûr qu’il y en aura bientôt d’autres. Propos recueillis par Christophe Bérard leparisien.fr |
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17/12/2009 09:50
Message
#1588
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Le Parisien
Citation Les notes des joueurs
Antoine Kombouaré avait reconduit l’équipe victorieuse de Saint-Etienne avec Erding et Luyindula en attaque. Mais trois jours après leur large succès (3-0), les Parisiens sont apparus émoussés et incapables de reproduire leur entame de match du week-end dernier. Makelele a marqué son premier but sous les couleurs parisiennes mais cela n’a pas suffi. Edel (5,5). Les pressions dont il fait l’objet de la part d’un ancien entraîneur ne l’ont pas perturbé. Ses interventions sur les ballons aériens sont toujours aussi sûres. Impuissant sur le but de Maoulida. Ceará (4,5). Fautif sur l’égalisation lensoise. Et son apport offensif s’est limité à une saillie sur le côté droit en première période. Trop peu quand on sait que c’est souvent sur son côté que se débloquent les situations. Camara (4,5). Des hésitations qui ont fait frissonner le Parc. Il s’est repris par la suite mais il doit impérativement gommer ces scories qui le sanctionnent autant que son équipe. Sakho (4,5). Il oublie Maoulida dans son dos sur le but lensois. Dommage car jusque-là, sa prestation était plutôt convaincante avec une volonté constante de simplifier son jeu. Armand (3). Trop souvent éliminé par Akalé. Comme depuis le début de la saison, il peine face aux attaquants vifs et techniques. Et quand ça va vraiment trop vite, il se met à la faute. Heureusement pour lui, la concurrence est maigre à son poste. Jallet (5). On a longtemps guetté le Jallet virevoltant et décisif vu contre Saint-Etienne, on ne l’a pas souvent croisé. Mais il n’a jamais renoncé. Remplacé par Maurice (86e). Makelele (5,5). Un début de match porté vers l’avant qui a abouti à son premier but avec Paris. Mais cette réalisation ne doit pas faire oublier un nombre important de ballons perdus. Clément (4,5). La courbe inverse de son capitaine. Timide à l’entame, il a ensuite récupéré des ballons pas toujours bien exploités. Trop peu cependant. Remplacé par Giuly (86e) Sessegnon (5). A cherché à dynamiser le jeu parisien avec des fortunes diverses. Il lui manque encore la constance. A soigné son repli défensif surtout en première période. Erding (4,5). Une volonté de bien faire qui s’est transformée en dribbles ratés et en fautes sur les défenseurs lensois. Pas vraiment inspiré jusqu’à la remise pour Makelele sur l’ouverture du score. Son manque d’entraînement de la semaine dernière s’est fait ressentir. Remplacé par Chantôme (74e) Luyindula (5). L’attaquant parisien le plus dangereux, mais pas décisif pour autant. Des talonnades pas toujours utiles qui gâchent notre plaisir mais aussi le sien. A Lens, Akalé et Maoulida se sont montré à leur avantage en attaque et Yahia a assuré en défense. L’arbitre, M. Vileo (5), a été efficace mais il oublie une faute de Clément en première période sur une contre-attaque lensoise et un pénalty en faveur de Luyindula. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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17/12/2009 11:09
Message
#1589
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation La neige s'invite au Camp des Loges Compte tenu des conditions météo et surtout de l'épaisseur de neige qui recouvre les terrains du Camp des Loges, la séance d'entraînement du Paris-SG prévue à 10h30 aura finalement lieu à 15 heures. Les joueurs n'ont même pas pu se rendre au centre d'entraînement. Seul Grégory Coupet qui réside non loin du camp et Raphaël Févre, le préparateur physique ainsi que l'attaché de presse étaient sur place à l'heure dite. - C. MICHEL. Lequipe.fr |
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18/12/2009 18:11
Message
#1590
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 971 Inscrit : 09/03/2009 Membre no 838 Tribune : Auteuil rouge |
Citation Rothen libre de partir Le milieu Jérôme Rothen, très peu à son avantage avec les Glasgow Rangers, a obtenu son bon de sortie pour le mercato hivernal. Prêté pour une saison par le Paris Saint Germain n'a plus jouer ( lequipe.fr |
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18/12/2009 21:51
Message
#1591
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![]() #Team1erDegré Groupe : Banned Messages : 31,514 Inscrit : 10/01/2009 Membre no 256 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - Coupe Le PSG menace d'envoyer la CFA Le PSG, mécontent de la programmation du 32e de finale de la Coupe de France contre Aubervilliers, le dimanche 10 janvier à 20h45 au Parc des Princes, a brandi la menace d'aligner son équipe réserve si un accord n'est pas trouvé avec la FFF, a indiqué à l'AFP le directeur général du club Philippe Boindrieux. Ce match précède d'à peine trois jours le 8e de finale de la Coupe de la Ligue que le PSG doit disputer contre Guingamp, le mercredi 13 janvier au stade du Roudourou (17h00). «J'ai déjà fait part oralement à la Fédération de notre immense mécontentement, a déclaré M. Boindrieux. Je m'apprête à leur écrire pour qu'on joue au moins le dimanche après-midi. Si la Fédération n'entend pas raison, on en discutera avec le président Robin Leproux, et s'il faut faire jouer l'équipe de CFA le dimanche et les pros le mercredi, on le fera. A un moment donné, ça suffit». «Tout le monde était d'accord pour jouer au Parc, on voulait faire une grande fête pour le football francilien, a encore expliqué le dirigeant parisien. En contrepartie, on avait demandé à jouer le samedi dans l'après-midi pour pouvoir récupérer. Les dirigeants d'Aubervilliers voulaient faire venir des jeunes de la région avec leurs éducateurs. Là, on se retrouve avec ce match un 10 janvier, un dimanche, à 20h45. On cherche quoi? J'entends dire que le football français doit remplir les stades, offrir du spectacle mais il faut éviter de faire n'importe quoi et faire jouer des matches en plein janvier, en soirée et en plus un dimanche. On joue en Coupe de la Ligue le mercredi d'après. On n'aura que deux jours et demi de récupération» [img]http://sd-1175.dedibox.fr/iphone-illumine/icones/L[/img] |
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19/12/2009 11:04
Message
#1592
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Le Parisien
Citation Le PSG doit se racheter en Bretagne Les Parisiens vont tenter de récupérer à Rennes les points abandonnés mercredi au Parc des Princes face à Lens. Claude Makelele, le capitaine du PSG, ne sera pas du voyage. Hier matin, pour préparer leur dernier déplacement de l’année, à Rennes, les Parisiens ont joué… au basket. Antoine Kombouaré et ses hommes ont été contraints de s’adapter aux conditions climatiques et d’effectuer leur séance d’entraînement dans un gymnase de Saint-Germain-en-Laye. « C’est très embêtant, c’est une préparation difficile, dit-il. Les terrains sont enneigés et on n’a pas de synthétique. Mais je l’ai dit aux joueurs, on ne prendra pas ça comme excuse. On est prêts ! » Prêts à effacer le décevant match nul 1-1 contre Lens mercredi. « On est sous le coup d’une grosse déception, poursuit Kombouaré. On avait fait le plus dur… Ce qui est arrivé doit nous servir de leçon, après il ne faut pas trop se poser de questions et se mobiliser. Il faut tout faire pour récupérer les points perdus face à Lens. On ne va pas à Rennes pour ne pas perdre mais pour gagner. » Deux outsiders décevants Entraîneur du PSG n’est pas un métier facile. Il faut notamment avoir beaucoup d’imagination pour renouveler son discours tant les scénarios se répètent avec cette équipe. Depuis le début de la saison, le PSG a concédé cinq matchs nuls, cinq fois sur le même score : 1-1. Quatre des cinq défaites ont été concédées sur la plus petite marge : 1-0. La plupart du temps, les buts encaissés l’ont été alors que Paris maîtrisait la partie. Trop souvent, en fin de match, des erreurs individuelles, de placement ou d’inattention ont sabordé les efforts collectifs. Kombouaré a tout essayé pour inverser la tendance. Mais les discours passionnés, les entretiens en tête à tête ou le lancer de poubelle n’y changent rien. Mercredi, Paris a une fois de plus laissé échapper une victoire qui lui tendait les bras. « Petit à petit, les joueurs comprennent, assure pourtant l’entraîneur. Ce qui me rassure, c’est qu’on n’est jamais passé à travers. Après, excusez-moi l’expression, ce sont toujours des matchs à la con. » Y en aura-t-il un de plus ce soir en Bretagne ? Possible, car avec Rennes (10e) ou Paris (8e), on ne sait jamais à quoi s’attendre. « Ils sont au même niveau que nous, estime Kombouaré. Ils sont à notre image, ils ont de grosses individualités. C’est une équipe capable de bien jouer, de porter le danger à tout moment. A Monaco (NDLR : mercredi) , ils ne méritaient pas de perdre 1-0. » Outsiders décevants de la L 1, Rennes et Paris regardent malgré tout vers le haut et le match du jour pourrait permettre à l’un ou à l’autre des protagonistes de retrouver ses ambitions de début de saison. L’automne se termine demain. Au PSG, c’est toujours une lueur d’espoir. Citation « Il faut viser haut »
STEPHANE SESSEGNON, milieu de terrain du PSG Sans langue de bois, le Béninois du PSG a abordé hier matin la situation sportive du club, ses lacunes, ses frustrations et la polémique Edel. Les erreurs défensives du PSG « Ça nous fatigue un peu. On répète les mêmes erreurs et on encaisse les mêmes buts. Contre Bordeaux, on avait déjà commis une erreur identique qui nous avait coûté un but. Nous nous sommes posé des questions. Si cela nous était arrivé qu’une seule fois, on pourrait dire que c’est psychologique. Mais, là, c’est clairement un problème de concentration. » Son repositionnement sur le côté gauche « Le coach a décidé de revenir à son schéma en 4-4-2 et souhaite que je joue à nouveau à gauche. Je n’ai plus le choix, je dois m’adapter. Je suis un peu déçu, car ce n’est pas en trois matchs que je pouvais revenir à mon meilleur niveau dans un poste axial. J’avais besoin d’un peu plus de temps pour retrouver mes repères. Sur la durée, j’aurais fini par m’imposer. Mais le coach en a décidé autrement. » Le bilan sportif du club « On peut se poser des questions quand on se retrouve, comme nous, au milieu du classement. Au vu de la qualité de notre effectif, nous pouvons vraiment prétendre à mieux. Maintenant, imaginons que nous prenions six points lors des deux derniers matchs : cela irait nettement mieux. On est à Paris ! A un moment, il faut viser haut. » Le soutien à Edel « J’ai déjà connu ces moments où des gens veulent profiter de toi, car tu es devenu titulaire dans une équipe. D’un coup, des mecs viennent te réclamer des choses… Il faut que ces gens arrêtent. Moi, j’ai géré le problème comme il le fallait : celui qui me réclamait des sous a appris qu’il ne fallait pas jouer avec la carrière d’un joueur. Au début, on souriait de cette histoire d’âge et de nom dans le vestiaire. Mais, très vite, les blagues se sont arrêtées. Là, on bafoue la dignité des hommes. Comment les parents d’Edel réagissent-ils quand ils entendent cette polémique ? En tout cas, tout le vestiaire le soutient. » -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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19/12/2009 21:57
Message
#1593
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Citation Kombouaré : «Trop d'insuffisances...»
Battu (0-1) à Rennes, Antoine Kombouaré est très déçu de la prestation d'ensemble de son équipe. Frédéric Antonetti, le coach rennais, estime que son équipe a réalisé l'une des meilleures prestations de la saison. (Photo Presse-Sports). Rennes - PSG : 1-0 Antoine Kombouaré (entraîneur du PSG): «On prend un but juste avant la mi-temps qui nous fait mal. Je suis très déçu de la 2e mi-temps car j'attendais autre chose, un autre visage. On n'a pas été capable de défendre et de jouer, surtout, et pas capable de faire vivre le ballon. Les occasions qu'on a eues en début de match... il faut tuer le match. Il faut être capable de mettre le doute chez l'adversaire et ça passe par un but. Mais on a eu trop d'insuffisances techniques pour mettre nos attaquants dans les meilleures conditions pour marquer. J'attends surtout qu'on relève la tête très vite contre Grenoble. On va faire appel à la fierté, à l'amour-propre et surtout à la qualité de jeu pour partir en vacances la tête haute.» Frédéric Antonetti (entraîneur de Rennes): «C'est un de nos matches les plus aboutis depuis le début de la saison. C'est une victoire qui ne souffre d'aucune contestation même si le score est serré. On peut parler de match référence ce soir. On aurait pu avoir un scénario difficile si Erding marque. Après, on a développé du beau football, avec un beau but qui vient récompenser notre jeu. Je suis satisfait du contenu. On a un un penalty flagrant qui n'a pas été sifflé. Je regrette seulement qu'on n'ait pas mis le 2e. Les deux équipes ont joué donc on a vu un beau match. Mais il y a encore du travail à faire pour s'améliorer. A Monaco, on a joué pour gagner mais on n'a pas trouvé la solution. On est capable de faire de bonnes choses, il faut les répéter. Paris veut jouer le haut du tableau et nous, on a montré qu'on avait des qualités. 29 points c'est bien, il y a eu beaucoup d'aléas. Ce soir, c'était peut-être la première fois où je faisais des choix sportifs car tout le monde était en forme au même moment.» (AFP) France football.fr -------------------- "Le prix de Pastore, c'est dix ans de Sidaction. C'est triste à dire mesdames messieurs, mais c'est le monde dans lequel on vit" Stéphane Guy.
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20/12/2009 10:11
Message
#1594
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Le Parisien
Citation Encore une désillusion pour le PSG Le PSG s’est incliné logiquement hier soir en Bretagne. Les Parisiens devront absolument terminer l’année sur une victoire mercredi au Parc contre Grenoble. Le refrain est connu. Les Parisiens ont quitté le stade de la Route-de-Lorient sous les quolibets de supporteurs déjà les nerfs à vif. Tour d’horizon d’un PSG qui a chaud, mais qui ne brûle pas encore. Cinq changements pour rien. Le PSG s’est présenté dans une composition inédite en Bretagne. Par rapport au nul face à Lens (1-1) mercredi, cinq joueurs nouveaux ont commencé la rencontre (Traoré, Sankharé, Ngoyi, Chantôme, Giuly). Quand un club joue trois matchs en six jours (Saint-Etienne, Lens, Rennes), l’entraîneur est obligé de changer de onze type. Frédéric Antonetti a fait tourner mercredi à Monaco, Laurent Blanc hier soir face à Lorient (4-1) et Antoine Kombouaré a attendu la troisième rencontre. Lors du dernier exemple d’une semaine à trois matchs (Auxerre, Boulogne, Bordeaux), le technicien parisien avait appliqué son turnover au deuxième match (Boulogne, victoire 5-2). Il aurait sans doute dû en faire de même et garder les « titulaires » contre Saint-Etienne et Rennes. « Le résultat ne me donne pas raison, concède Kombouaré. L’idée, c’était de laisser au repos certains, mais surtout de titiller ceux qui jouent parce que je ne suis pas toujours très content d’eux et en relancer d’autres pour instaurer une certaine concurrence. » Raté. Six défaites, cinq fois 1-0. Le PSG est donc l’équipe qui perd tous les trois matchs (6 défaites en 18 matchs). Un constat inquiétant, même si Paris a déjà visité quelques places fortes. Mais il doit encore se rendre à Lille ou Auxerre, coriaces à domicile. Surtout, ces six revers se ressemblent avec cinq sur le même score : 1-0 (à Toulouse, Marseille, Bordeaux, Rennes et face à Nice au Parc). L’étroitesse de la défaite peut indiquer qu’il ne manque pas grand-chose à ce PSG-là. « Ces cinq défaites sont très rageantes. Ce sont des matchs de merde, glisse un Kombouaré, colère rentrée. Pourquoi pas prendre un bon 4-0 d’un coup comme Monaco contre Lille, puis rebondir tout de suite en battant Rennes (1-0)? On a le sentiment que l’on n’est pas loin, mais on n’avance pas.» L’objectif est perdu. Atteindre les 30 points à la trêve : tel était l’objectif des joueurs. Ce sera 29 au mieux, en battant ce mercredi Grenoble au Parc. La saison dernière, à pareille époque, le PSG avait déjà subi six défaites mais comptait six points de mieux (32) à la 18e journée. On connaît la suite : une 6e place, sans Coupe d’Europe. « J’attends que l’on se relève contre Grenoble. Là, on fait appel à la fierté, à l’amour-propre et aux qualités de jeu pour partir en vacances la tête haute. » Même avec tout ça, cela ne suffira pas. Citation Edel n’a rien à se reprocher Pour ce troisième match en six jours, Antoine Kombouaré avait largement chamboulé son onze type et modifié son système en évoluant en 4-1-4-1. Malgré une bonne entame, le PSG a ensuite perdu la bataille du milieu de terrain. Mené au score, il a tenté de revenir après le repos sans parvenir à se montrer vraiment dangereux. Edel (7). Sollicité trois fois en première période, il a d’abord réussi un arrêt (22e), a hésité à sortir sur un coup franc (38e) et a encaissé un but (40e). Mais il s’est surtout montré plusieurs fois décisif après la reprise (68e, 74e, 78e, 85e). Jallet (4,5). Latéral droit à la place de Ceará, il a livré une prestation correcte jusqu’au but rennais où il ne voit pas Bangoura dans son dos. Précieux ensuite. Camara (4). Défenseur central avec Traoré, il commet une grosse erreur de relance (24e) avant de se livrer trop facilement devant Gyan sur le but (40e). Meilleur en seconde période. Traoré (3,5). Sur le but rennais, il sort lui aussi inutilement sur Gyan. Capitaine d’un soir, il a souffert, notamment en seconde période : battu par Briand (78e), il dévie ensuite involontairement un ballon de la main dans sa surface (82e). Sakho (5). Latéral gauche à la place d’Armand, il s’en est bien sorti dans les duels malgré quelques placements hasardeux et des relances parfois osées. Ngoyi (4). Milieu récupérateur devant la défense, il a bien démarré en jouant simple et agressif. Après la 20e minute, il a baissé de pied et se fait bêtement éliminer sur la contre-attaque qui amène le but. S’est repris un peu après le repos. Giuly (3,5). De retour dans le couloir droit, il a été trop discret en première période. Il a eu beaucoup de mal à peser sur le jeu. A peine mieux en deuxième mi-temps. Chantôme (5). Milieu axial plutôt à droite, il a essayé d’apporter offensivement, mais sans réussite. A travaillé défensivement et a récupéré des ballons. Remplacé par Maurice (69e). Sessegnon (4). Milieu axial en position de relayeur, il a défendu. Quelques bonnes passes dans la profondeur, mais il a souvent été gêné par le marquage tout terrain de M’Vila. Une reprise du droit à côté (58e) à 5 m du but. Suppléé par Luyindula (69e). Sankharé (3,5). Milieu gauche, il a bien démarré avant de disparaître. Surtout, il perd le ballon de contre en faisant une talonnade inutile qui amène le but de Bangoura (40e). Averti (72e). Erding (5). Attaquant de pointe, il pèse sur les adversaires, mais a semblé un peu isolé par moments. Seul devant Douchez, il tire sur le poteau (18e). Des situations (12e, 71e). Remplacé par Bourillon (83e). A Rennes, Bangoura, malgré pas mal de déchets, a su être décisif. Cette équipe a le potentiel pour jouer le haut de tableau en gommant ses ratés offensifs. L’arbitre, M. Bien (5), a plutôt bien dirigé cette rencontre. Oublie un penalty pour Rennes. Citation Bruits de couloirs et de tribunes Certains supporteurs parisiens ont retardé leur départ du stade afin de s’expliquer avec les joueurs, dont le bus était stationné à proximité de la tribune visiteuse. Mécontents de la prestation de leurs joueurs, ils leur ont crié « Mouillez le maillot » avant d’avoir un accrochage avec Sammy Traoré, qui a dû être retenu par Luyindula. Le dernier match de l’année contre Grenoble, mercredi, s’annonce tendu. [b][b]Les dirigeants parisiens ne décolèrent pas. L’horaire fixé par la Fédération pour le 32e de finale de Coupe de France face à Aubervilliers (CFA 2) ne leur convient pas et ils ne céderont pas. Pour eux, il n’est pas question de jouer le dimanche 10 janvier à 20 h 45. Le stade sera vide et les conditions climatiques ne seront pas sans risque pour les joueurs. Si Antoine Kombouaré envisage d’aligner son équipe réserve, Robin Leproux va plus loin. « Je suis catégorique, si cet horaire est maintenu, on ne jouera pas au Parc des Princes. On ira au stade Marville (NDLR : à La Courneuve) », assure le président du PSG. Citation LE MATCH
RENNES - PSG 1-0 (1-0) Spectateurs : 26 621. Arbitre : M. Bien. But. Rennes. Bangoura (40e). Avertissement. PSG : Sankharé (72e). Rennes : Douchez - Fanni, Mangane, Hansson (cap.), Danze - M’Vila, Tettey - Bangoura (Saw, 87e), Leroy, S. Marveaux (Lemoine, 84e) - Gyan (Briand, 77e). Entr. : Antonetti. PSG : Edel - Jallet, Camara, Traoré (cap.), Sakho - Ngoyi - Giuly, Chantôme (Maurice, 69e), Sessegnon (Luyindula, 69e), Sankharé - Erding (Bourillon, 83e). Entr. : Kombouaré. LE BUT 40e : Sankharé perd le ballon au milieu de terrain et permet à Rennes de partir en contreattaque. Bien lancé par Leroy, Gyan fixe Camara et Traoré plein axe et décale sur la gauche Bangoura. Seul à l’entrée de la surface, l’attaquant reprend sans contrôle du plat du pied et trompe Edel. LE FAIT DU MATCH 17e : bien lancé en profondeur par Camara, Erding contrôle et se retrouve seul face à Douchez. Son tir heurte le poteau. Malheureusement pour Paris, personne n’a suivi pour reprendre le ballon. LE CHIFFRE Le nombre de changements 5effectués par Antoine Kombouaré par rapport à l’équipe qui avait affronté Lens mercredi. Outre Makelele, resté à Paris, Armand, Ceara, Clément et Luyindula étaient sur le banc. Seul le dernier cité est entré en jeu. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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20/12/2009 10:39
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#1595
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Citation Sammy Traoré : « On a mouillé le maillot » Capitaine d’un soir, Sammy Traoré n’a pu contenir sa colère à l’issue du match en entendant les supporteurs parisiens scander : « Mouillez le maillot ! ». Selon lui, le PSG a fait ce qu’il a pu face à Rennes. Vous avez eu un petit souci avec les supporteurs au coup de sifflet final... Sammy Traoré. Non, rien de grave. Ils étaient un petit peu déçus. Ils ont grogné. Ils scandaient « Mouillez le maillot ! ». Comprenez-vous cette réaction ? Nous, on a mouillé le maillot. On a essayé de prendre des points, on n’a pas lâché, on n’a pas baissé les bras. Les supporteurs ont fait le déplacement de Paris jusqu’à Rennes, il faisait froid... Ils ont envie de voir leur équipe gagner. Il y a de la frustration des deux côtés. Ils voient le match des tribunes avec tout l’enthousiasme qu’ils ont pour le club. Nous, on est sur le terrain et on se défend le mieux possible. Mais ils seront avec nous mercredi au Parc. Je ne m’en fais pas. Pourquoi le PSG a-t-il autant souffert face à Rennes ? Vous trouvez qu’on a souffert ? Malgré le but encaissé, je trouve qu’on fait quand même une bonne première mi-temps. On a l’occasion d’ouvrir le score. La deuxième période est plus difficile, avec beaucoup de vagues rennaises qui nous ont contrariés. Faire cinq changements par rapport au match précédent, est-ce rendre service aux joueurs ? Tous ceux qui font partie du groupe postulent pour une place de titulaire. Quand on fait des changements, les joueurs doivent s’adapter et élever leur niveau de jeu pour prouver qu’ils ont leur place dans cette équipe. Le coach prend des décisions, après on joue et on essaie de faire le mieux possible. Comment trouver des repères avec une équipe autant remaniée ? On s’entraîne tous les jours ensemble alors les repères on les a. Après, un match n’est pas un entraînement. C’est la compétition, il faut répondre présent. Comment jugez-vous la prestation des jeunes comme Ngoyi ou Sankharé ? Ils font le mieux possible... Je ne suis pas là pour juger les uns ou les autres. Je suis là pour faire mon travail le mieux possible en essayant de tirer le groupe vers le haut. Le PSG prend de plus en plus de retard sur son tableau de marche. Est-ce inquiétant ? On a malheureusement mal négocié les deux derniers matchs. La première moitié de saison est en dents de scie. Un deuxième championnat va commencer après la trève. Si on s’accroche et si on gomme certaines erreurs de concentration, on aura notre mot à dire. Citation Les doublures n’ont pas convaincu «Certains sont passés à côté. Quand on joue, il faut savoir saisir sa chance », a déclaré Antoine Kombouaré hier soir après la rencontre. Pour ce déplacement à Rennes, le technicien parisien avait décidé d’effectuer cinq changements et de modifier son organisation en passant de l’habituel 4-4-2 à un 4-1-4-1 inédit. Ce coup tactique a échoué. Malgré la défaite (1-0) et la triste prestation collective vue en seconde période, les choix du coach ont, semble-t-il, été bien compris par le groupe. « Tout le monde a envie de jouer. Mais en enchaînant quatre matchs en douze jours, si on ne tourne pas, on explose et on s’expose à des blessures, confie Christophe Jallet. Il fallait faire tourner. » Stéphane Sessegnon ajoute : « Le coach a estimé qu’il fallait faire tourner, mais ce n’est pas une excuse, même si Rennes a mis beaucoup d’impact physique. » « On a essayé de s’adapter, poursuit le jeune Younousse Sankharé, un des titulaires surprises hier soir. Nous les jeunes, on a eu du temps de jeu et on a essayé de prouver. Mais je suis déçu, car c’est moi qui perds le ballon sur le but. » La jeune classe parisienne (Sankharé et Ngoyi), lancée au coup d’envoi, a montré certaines limites malgré une bonne entame. En dépit des points abandonnés ici et là, les Parisiens continuent de croire en des jours meilleurs. « On méritait mieux, cette défaite est frustrante, car Rennes était prenable », confie ainsi Zoumana Camara. « On n’est pas loin de la 5e place, notre objectif de début de saison. On sait qu’avec une série on peut recoller », positive Jallet qui oublie que certains de ses coéquipiers s’imaginaient plutôt disputer une place en Ligue des champions. Le PSG misait sur neuf ou dix points lors des quatre derniers matchs avant la trêve. Au mieux, il n’en prendra que sept en battant Grenoble mercredi au Parc. Pas vraiment de quoi se réjouir. Le Parisien -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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20/12/2009 11:05
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#1596
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
L'Equipe
Citation Aubervilliers - PSG à La Courneuve?
Irrités par la décision de la FFF de programmer le trente deuxième de finale de Coupe de France contre Aubervilliers (CFA 2) le dimanche 10 janvier, à 20h45, soit trois jours avant un huitième de finale de Coupe de la Ligue à Guingamp (Ligue 2), les dirigeants du PSG pourraient finalement renoncer à jouer ce match au Parc des princes, comme ils l'avaient proposé. La direction du club a demandé, par courrier, à la FFF de déplacer cette rencontre en milieu d'après-midi et, si possible, le samedi. En cas de refus sur le premier point, le PSG renoncera de prendre à sa charge le coût de la location du Parc que ne peut supporter le club de CFA 2. La rencontre aurait alors lieu au stade Marville, à la Courneuve (Seine-Saint-Denis). Mais le PSG enverrait une formation composée exclusivement de jeunes. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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20/12/2009 21:15
Message
#1597
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![]() NeyBaF* ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 9,385 Inscrit : 17/01/2009 Lieu : Bandol Membre no 582 Tribune : Viré du stade |
Citation Edel : Nicolas Philibert insiste Nicolas Philibert, l'homme qui accuse depuis une semaine Apoula Edel de mentir sur son âge et son identité, a confirmé dimanche soir l'intégralité de ses accusations et expliqué les raisons pour lesquelles il demandait 35.000 euros au gardien camerounais du PSG. «Je souhaite qu'il porte plainte lundi, ça me permettra de me faire entendre par la police judiciaire et de donner tous les éléments dont je dispose», a-t-il déclaré au micro de Canal+, qu'il a reçu au Liban. «Si, en 2000, il avait 19 ans, c'est difficile de penser que, dix ans plus tard, il en ait vingt-trois», a souligné celui qui se présente comme l'ancien entraîneur et protecteur du gardien du PSG, dont le vrai nom serait selon lui Ambroise Beyaména. Nicolas Philibert a expliqué qu'il avait, à l'époque du départ du gardien vers l'Arménie, envoyé de l'argent à Edel, à sa demande, et qu'il sollicite aujourd'hui le remboursement de ce qu'il présente comme un prêt. Il assure qu'Edel l'a éconduit en déchirant sous ses yeux un papier lié à ce dossier, dans un hôtel à Montpellier. Le club de la capitale a toujours présenté ces accusations comme fantaisistes et toujours soutenu qu'il porterait l'affaire devant la justice. L'Equipe.fr |
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21/12/2009 09:29
Message
#1598
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Y a-t-il encore des raisons d’espérer? Englue au milieu de tableau, défait tous les trois matchs, en panne d’efficacité (4 buts lors des 4 derniers matchs), le PSG ne répond pas (plus) aux attentes. Deux jours avant de boucler l’année 2009 au Parc face à Grenoble, l’équipe de Kombouaré ne peut pas être sûre que 2010 sera meilleure. Existe-t-il des raisons d’espérer ? OUI. Hoarau va revenir et tout changer. Blessé depuis le 18 octobre (genou droit), l’attaquant réunionnais va rejouer après la trêve. Même s’il ne faudra pas être trop exigeant avec lui après trois mois d’arrêt, il va transformer le jeu parisien. A priori parfait complément de Mevlut Erding, il devrait offrir de la variété à ses coéquipiers sur des séquences aussi essentielles que le jeu long ou aérien, dos au but, en déviation et sur coup de pied arrêté pendant que le Turc prendra la profondeur. Surtout, Hoarau est un buteur. Il sera la première recrue du PSG cet hiver. OUI. Les joueurs vont finir par s’améliorer. Kombouaré ne cesse de le dire. A force de répéter aux joueurs qu’ils doivent corriger les petites erreurs défensives qui coûtent si cher, les choses vont forcément finir par changer. En 2010, avec un brin de confiance supplémentaire, Paris devrait arrêter d’offrir des cadeaux à ses adversaires. NON. Il n’y a pas de banc et pas d’argent. A Boulogne, la rotation voulue par le coach avait fonctionné (victoire 5-2). Mais dès que le niveau s’élève, comme samedi à Rennes (défaite 1-0), les remplaçants ne « titillent » pas les titulaires, selon l’expression même de l’entraîneur. Même avec le retour de Hoarau, l’effectif reste juste, notamment qualitativement en défense. En plus, Paris n’aura pas les finances pour recruter (ou alors très peu) lors du mercato d’hiver. Au mieux, il s’agira d’un second choix. NON. Les statistiques sont effrayantes. Avec une moyenne de 1,44 point par match, le PSG avance à un rythme d’escargot. Il est sur les bases d’une formation qui terminera la saison autour des 55 points, ce qui la saison dernière ne permettait qu’une 8e place. Or, le vrai objectif était d’accrocher la Ligue des champions. En ne cadrant aucun tir à Rennes, Paris a étalé une nouvelle fois ses insuffisances offensives. Pourtant, il dispose de la 6e attaque de L 1. C’est oublier que l’équipe a inscrit un tiers de ses buts (9 sur 27) lors de matchs contre des adversaires modestes (4-1 à Sochaux et 5-2 à Boulogne). Cela veut dire que sur les 16 matchs joués, elle a marqué… 16 fois. Pas de quoi décrocher la lune. Laurent Perrin et Dominique Severac Citation Les supporteurs expriment leur ras le bol Cinq supporteurs, de différentes tendances, donnent leur point de vue sur les résultats actuels du PSG et leur vision sur la deuxième partie de saison. « Colony Capital responsable » PAUL SERVIN, 25 ans, abonné à Auteuil « Le recrutement n’est pas à la hauteur de nos espérances et de nos objectifs. On ne fait plus peur. L’effectif est trop faible, quantitativement et qualitativement. Colony Capital est le premier responsable. Qu’ils investissent dans la rénovation du Parc des Princes plutôt que dans l’amélioration de l’équipe est inadmissible. On va finir dans le ventre mou, on devient un club moyen. » « Un début de saison pourri » CYRIL NOLOT, 25 ans, abonné à Auteuil « C’est un début de saison pourri. On n’arrive pas à enchaîner deux bons résultats. Kombouaré n’y est pour rien. Lui, c’est un bon. C’est surtout la faute de Colony Capital qui n’investit pas. Ce ne sont pas Maurice ou Sankharé qui vont changer le cours d’un match. Quand Traoré dit après Rennes qu’il a mouillé le maillot, ça me fait bien rire ! On peut se redresser au classement si on recrute au mercato. Mais comme Colony est radin… » « On n’est plus un grand club » FRANÇOIS JOLY, 44 ans, membre de la tribune Boulogne « On est à notre place. Les dirigeants ne sont pas du tout réalistes, on n’a pas les moyens de jouer les premiers rôles. Et quand j’entends le président Robin Leproux se satisfaire du nul face à Lens (1-1), quand je vois Stéphane Sessegnon rigoler avec Bangoura cinq minutes après le but rennais, ça me révolte ! On a tout essayé, que se soient différents présidents ou différents entraîneurs, mais finalement il n’y a rien qui marche. Le PSG ne fait plus peur : on n’est plus une grande équipe, on n’est plus un grand club. » « Il n’y a pas d’âme » FRANCK PARAIRE, 39 ans, de l’association PSG Var Paca « Les joueurs ne se remettent pas en cause. Selon moi, le principal problème vient de la défense centrale. Quand je pense qu’on n’a pas voulu de Gabriel Heinze ! Quels que soient les joueurs, l’entraîneur ou même le président, c’est toujours la même chose. Il n’y a pas d’âme. J’ai du mal à croire qu’on accroche une place européenne. En fait, je ne comprends plus ce que les dirigeants veulent faire de ce club. Je suis supporteur depuis trente ans, mais là, j’en ai vraiment ras le bol, je suis désespéré. » «Trop tôt pour accabler le coach » AMAR BENNACER, 35 ans, porte-parole des Lutèce Falco « J’étais à Rennes, j’ai vu une purge. C’était dramatique ! Ils n’ont rien fait. On les a vus marcher, c’est honteux ! Il est trop tôt pour accabler le coach. Quand on n’a pas d’argent pour recruter, on a plus de chances de se tromper. Techniquement, l’équipe n’est pas très forte. Mentalement, elle est ultra faible. Du côté des supporteurs, il y a une vraie lassitude. » Propos recueillis par L.P. et D.S. LeParisien.fr |
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22/12/2009 09:20
Message
#1599
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Kombouaré : « J’ai ma méthode » Après une semaine délicate qui a vu le PSG ne prendre qu’un point en deux matchs (Lens et Rennes), le coach parisien réaffirme sa ligne de conduite avant la réception de Grenoble. Hier après-midi, Antoine Kombouaré a encore poussé un coup de gueule. Alors que la défaite à Rennes (1-0) n’était pas digérée, il s’est adressé au groupe dans l’intimité du vestiaire du camp des Loges. A sa manière. Passé les préliminaires, il a tenté de savoir si certains aspects de son management perturbent ses joueurs. Tour à tour, il a interrogé Giuly, Sankharé, Sakho et Sessegnon : « Est-ce que c’est parce que je donne l’équipe deux heures avant le début du match que tu n’as pas été bon ? » Tous ont répondu par la négative. Contacté hier soir, Antoine Kombouaré ne renie pas ses propos, mais tient à préciser qu’il a désigné ces quatre joueurs par hasard, juste parce qu’ils étaient devant lui au moment où il parlait. « Je visais tout le monde, nous a-t-il confié. J’ai voulu leur faire comprendre que j’ai ma méthode et que c’est à eux de s’adapter. Mais n’allez pas faire croire que je passe mon temps à me mettre en colère, c’est faux ! » « Je suis proche de mes joueurs, enchaîne le coach. Je leur explique ma façon de fonctionner. A Valenciennes et à Strasbourg, je donnais aussi mes équipes deux heures avant le match. Je ne vais pas changer pour leur faire plaisir. Si tout le vestiaire venait me voir en me disant que ça pose un problème, j’écouterais. Mais si c’est seulement un ou deux mécontents…» Quelques fissures apparaissent L’entraîneur parisien essaie surtout de faire comprendre à ses joueurs qu’ils doivent se remettre en question et ne pas se cacher derrière de fausses excuses. L’échange d’hier reste pour l’heure anecdotique. L’immense majorité du groupe est soudée derrière son entraîneur. Mais comme toujours quand les résultats ne suivent pas, les doutes bourgeonnent. Le changement de système de jeu à Rennes en a surpris certains. D’autres se plaignent de l’absence de mise en place tactique la veille des matchs. Rares sont ceux qui osent dire à leur entraîneur que sa méthode pourrait être améliorée. L’édifice n’est pas en train de s’effondrer. Le PSG, 9e de L 1, n’est pas en crise, mais quelques fissures apparaissent. Une victoire face à Grenoble serait le meilleur moyen de rapidement les colmater. Laurent Perrin Citation Edel n’a pas encore déposé plainte Edel, le gardien du PSG, n’est toujours pas passé au commissariat. Le portier camerounais devait déposer plainte, hier, contre Nicolas Philibert, l’un de ses anciens entraîneurs, qui remet en cause son âge et son identité. Initialement, Edel était censé s’acquitter de cette tâche la semaine dernière, mais l’enchaînement des matchs face à Lens et Rennes l’en a empêché. Hier, sur les conseils de son club et de son avocat belge, le successeur de Coupet dans la cage parisienne a encore repoussé cette formalité. Il a pris le temps de consulter un avocat pénaliste parisien afin d’affiner et de consolider son dossier. Preuve s’il en est que cette affaire Edel est prise très au sérieux du côté du PSG. « Il va déposer plainte. C’est une certitude, il me l’a confirmé dimanche soir mais ce n’est pas un dossier facile », assure l’agent du gardien. F.G. et L.P. Citation Aubervilliers - PSG, ça coince toujours Ce qui devait être la fête du football francilien est en train de virer à la pomme de discorde. La Fédération française a programmé le 32e de finale de Coupe de France entre Aubervilliers (CFA 2) et le PSG le dimanche 10 janvier à 20 h 45, afin d’être retransmis sur Eurosport. Problème : les deux clubs n’y trouvent pas leur compte. Ils l’ont fait savoir à la FFF et depuis… rien ne bouge. « L’horaire tardif ne nous convient pas car la ville avait prévu d’emmener plusieurs milliers de jeunes, explique Karim Belkebla, directeur sportif d’Aubervilliers. Le PSG a eu un geste élégant en acceptant d’inverser le match au Parc, mais, à cause du froid et de l’école le lendemain, beaucoup risquent ainsi de ne pas pouvoir venir. » De son côté, le PSG craint les gelées nocturnes et éventuellement les trente minutes de prolongation alors qu’il rejoue trois jours plus tard à Guingamp en Coupe de la Ligue. Si les dirigeants parisiens n’obtiennent pas de jouer dans l’après-midi ou, au pire, à 18 heures, ils refuseront que la rencontre se déroule au Parc. Il faudrait alors qu’Aubervilliers trouve un stade de repli, ce qui ne serait pas une mince affaire. Hier, la FFF est restée sur sa position. Ce serait vraiment dommage que la fête tourne au fiasco. F.G., L.P. et L.Pr. Citation PSG Express Hier. Entraînement à huis clos. Séance sur un terrain synthétique du stade Georges-Lefevre. Aujourd’hui. Entraînement à huis clos à 15 heures au camp des Loges. Infirmerie. Hoarau (genou), Coupet (cheville), Makonda (déchirure cuisse). Rendez-vous. PSG - Grenoble, 19e journée de L 1, demain au Parc. (19 heures, Foot +). Lille - PSG, match de la 20e journée de L 1, se jouera le samedi 16 janvier à 21 heures. leparisien.fr Citation Apoula Edel : « Tout faire pour l’emporter » Le gardien parisien revient sur sa belle prestation malgré la défaite à Rennes et sur son désir de rachat face à Grenoble. Edel, les conditions météorologiques ne sont pas idéales pour s’entraîner. Comment les séances se déroulent-elles ? « Je compense par beaucoup de travail en salle. Abdos, saut à la corde… car c’est vraiment difficile dehors. Cet après-midi, le terrain synthétique était enneigé, on ne pouvait donc pas faire grand-chose. Il y a un risque de blessure. Tu n’as pas d’appui et tu peux donc glisser facilement. On peut se faire mal sur un ballon anodin. » Es-tu déçu après la défaite à Rennes ? « C’est une grosse déception. Durant le match, je sentais qu’on pouvait revenir. J’étais vraiment déçu lorsque l’arbitre a sifflé la fin de la rencontre. » Tu as permis à l’équipe de rester dans le match grâce à tes nombreuses parades… « Nous n’avons pas été bons. Si j’avais vraiment réalisé un bon match, j’aurais arrêté le tir de Bangoura et nous serions repartis de Rennes avec quelque chose. C’est dommage. » Le groupe souhaite-t-il se racheter face à Grenoble ? « Oui. C’est le dernier match avant la trêve hivernale. Il reste une rencontre à la maison et nous n’avons pas le choix. Il faut la gagner de la plus belle des manières. Ca va être un match difficile car Grenoble va sûrement venir pour prendre un point alors que nous allons tout faire pour l’emporter. » Quel est ton programme pour les vacances de Noël ? « Je ne vais pas au Cameroun. Je reste en France et vais trois jours chez mes potes, à Montélimar. Je reviendrai ensuite pour me mettre au boulot. En janvier, c’est reparti ! » PSG.fr |
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22/12/2009 10:37
Message
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,381 Inscrit : 19/01/2009 Lieu : 95 Membre no 602 Tribune : Canapé |
Citation Kombouaré : «Au Mercato, il faudrait un joueur important» Propos reccueillis par Romain Schneider Antoine Kombouaré : «On peut encore prétendre aux cinq, six premières places. Je n'ai aucun doute là-dessus. Plus haut, c'est autre chose.» À mi-parcours, l'entraîneur du Paris SG se confie au «Figaro» avant de recevoir Grenoble mercredi. Après 18 journées de L1, le club de la capitale, 9e (avec déjà six défaites), traîne loin des objectifs initiaux. S'il refuse encore de dresser un bilan, Antoine Kombouaré attend encore plus de ses joueurs. LE FIGARO. - Quel est le sentiment qui prédomine aujourd'hui ? Antoine KOMBOUARÉ. - De la frustration. Je suis déçu et en recherche de solutions. On ne fait pas de mauvais matchs. On en fait même de bons. À Bordeaux, on s'est créé plus d'occasions que le champion de France. Mais au final on perd... Depuis le début de saison, sur six défaites, on ne s'est incliné qu'une seule fois avec deux buts d'écart (à Monaco). Prendre une bonne claque, ça remet des fois les pendules à l'heure. Ça remobilise tout le monde. Quand tu t'inclines 1-0, il y a toujours un décalage, car les joueurs se disent : on n'est pas loin, ça va passer, on n'est pas encore en situation d'urgence... Qu'attendez-vous de vos joueurs ? J'aimerais leur faire comprendre que, quand tu es à Paris, tu dois élever ton niveau de jeu et ton mental, car tu sais que tous les week-ends tu vas te faire rentrer dedans. Le PSG est toujours considéré comme un grand club. Quand j'entraînais Strasbourg ou Valenciennes, Paris faisait partie, au même titre que Lyon, Bordeaux ou Marseille, des équipes qu'on avait envie de «taper». Depuis que je suis entraîneur, j'essaye d'inculquer la culture de la gagne. Mais ce n'est pas toujours la chose la plus facile... Le PSG pointe en milieu de tableau. Quelles peuvent être ses ambitions d'ici à la fin de saison ? On peut encore prétendre aux cinq, six premières places. Je n'ai aucun doute là-dessus. Plus haut, c'est autre chose. Chercher la première place sera très compliqué. Chercher les places européennes, cela reste dans nos cordes, car les équipes avec qui on lutte sont largement à notre portée. Vous aimez les équipes qui jouent. De ce point de vue, êtes-vous satisfait par le jeu produit par votre équipe ? Globalement oui, car presque tous nos buts ont été inscrits dans des phases de jeu. On se crée des occasions mais on ne peut pas toujours tout demander à des garçons comme Péguy Luyindula ou Mevlut Erding. On fait le dos rond depuis le début de saison. En attaque, je ne peux pas faire jouer la concurrence. Luyindula a dû jouer tous les matchs en raison de la blessure de Guillaume Hoarau. On attend le retour d'Hoarau avec impatience (il est prévu en janvier, NDLR). Allez-vous recruter au mercato ? J'y pense beaucoup, mais on ne va pas faire n'importe quoi. Une certitude, il va falloir améliorer l'équipe. Il faudra prendre un joueur qui apportera un plus. Il ne faut pas prendre pour prendre. On a déjà eu des expériences malheureuses. Il faut quelqu'un qui fédère. Un joueur important. Après, on fera en fonction des moyens qu'on aura. On pourra de toute façon frapper plus facilement à la porte de l'actionnaire si ça se passe bien lors du dernier match. Mais des joueurs de haut niveau, ça coûte cher, et disponibles, ça ne court pas les rues… Alors que Sessegnon va partir pour la Coupe d'Afrique des Nations, les retours de Kezman et de Rothen sont-ils envisageables ? Pour Kezman, le Zénith Saint-Pétersbourg décidera. Je ne suis pas décideur. Si le joueur doit revenir, il reviendra. Je ne vais pas à l'encontre des lois. Quant à Jérôme Rothen, il voulait quitter le PSG, il est toujours à ma connaissance aux Glasgow Rangers. Quel regard portiez-vous sur Paris avant votre arrivée ? C'est un club qui a besoin de stabilité. Il a été fragilisé car il n'a plus les mêmes moyens qu'il y a quelques années. Il reste fragilisé par l'extérieur. Je ne suis pas parano du tout, mais la pression médiatique demeure forte. C'est un club qui se doit d'être costaud en interne, avec des joueurs solides pour le pérenniser en haut du tableau. J'arrive, il faut du temps, même si en football il n'y en a pas. Défendre Makelele , attaqué par l'entraîneur de Lorient, Christian Gourcuff, vous a renforcé auprès de vos joueurs ? J'ai aussi défendu Edel. C'est l'essence même de mon travail. Quand on vient agresser un membre de votre famille, vous n'êtes pas content. Je les protège quand on les attaque. Je suis en même temps très dur avec eux, car j'ai beaucoup d'exigences. Je les protège. J'attends d'eux des victoires. Même si on n'est pas toujours d'accord au quotidien. C'est la famille PSG. C'est plus compliqué d'entraîner aujourd'hui que lorsque vous étiez joueur ? C'est sûr. À l'époque, on travaillait sans la pression médiatique. Il n'y avait pas l'urgence d'aujourd'hui. Et puis les joueurs gagnaient beaucoup moins d'argent. L'éducation était différente. Mais c'est l'évolution de la société, ce n'est pas propre au football. On pourrit nos enfants aujourd'hui. Quand j'étais jeune, avant de parler aux parents, il fallait lever le doigt. Quand vous êtes en tête à tête avec les mecs, ça se passe très bien, mais après, il y a tout ce qu'il y a autour. Les agents par exemple. Le mercato d'hiver, c'est souvent un désastre. Les joueurs ne sont plus concentrés. À l'époque, quand j'étais sur le banc, je travaillais pour gagner ma place. Maintenant en septembre-octobre, certains joueurs pensent déjà au mercato. C'est le business. C'est comme ça. Il faut en faire abstraction. C'est le plus dur. Le Figaro |
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