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21/11/2009 11:51
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#1481
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
Le Parisien
Citation Paris est vraiment sur la mauvaise pente Amorphe et sans imagination, Paris a concédé sa quatrième défaite de la saison. Au classement, le PSG glisse à la treizième place. Il est urgent de réagir. Tel un boxeur groggy, Antoine Kombouaré se présente face aux médias une demi-heure après le coup de sifflet final. Son équipe vient de produire le plus mauvais match de sa saison et s’est logiquement inclinée face à Marseille (1-0). L’entraîneur parisien parle gentiment, il évoque « la première mi-temps très décevante », et la seconde, « bien meilleure ». Il regrette le manque d’impact offensif. Le ton est posé, beaucoup plus calme qu’il y a deux semaines après la défaite au Parc devant Nice. Mais cette placidité n’est qu’une façade. « Oui, je suis en colère. Il y a plusieurs façons d’être en colère. On n’est pas obligé de brailler », lâche-t-il avant de quitter l’assistance. La victoire à Sochaux était un leurre Dès lundi au camp des Loges, ses joueurs peuvent encore s’attendre à une belle explication de texte. L’heure est grave. Treizième de L 1, le PSG ne sait pas où s’arrêtera sa lente glissade vers le fond du classement. Cette saison, Paris a souvent manqué de réussite ou plombé de belles prestations par de stupides erreurs individuelles. Cette fois, l’entraîneur parisien n’a pas besoin de se creuser la tête pour trouver les raisons de ce quatrième revers en championnat. Marseille, loin d’être étincelant, était pourtant trop fort. De ce constat découle une évidence : l’équipe de la capitale n’est pas armée pour jouer les premiers rôles. Le déplacement au Vélodrome était le match idéal pour se relancer. Il restera comme un révélateur des réelles carences des joueurs parisiens, dominés dans tous les secteurs, incapables de venir chatouiller Mandanda, hormis sur un bel enchaînement d’Erding en fin de première période. Paris ne s’est procuré qu’une seule occasion en quatre-vingt-dix minutes… « On n’a pas joué, on subit, on donne le ballon à l’adversaire et, dans les duels, on a mangé, résume Kombouaré. J’avais insisté sur le fait de bien défendre, mais ce n’est pas une raison pour ne pas jouer. » Le point de vue de Didier Deschamps, le coach de l’OM, n’est pas réellement différent : « Le potentiel offensif de Paris n’a pas été impressionnant, mais je pense qu’on y est pour quelque chose. » Hier, entre Sakho et Erding, les seuls à surnager, il y avait un désert. Avec une organisation approximative, les Parisiens ont semblé perdus, sans ressources morales ou physiques. La pelouse du Vélodrome a paru gigantesque. La victoire à Sochaux était un leurre, et l’une des solutions serait sans doute de revenir au classique 4-4-2 qui a fait le bonheur de l’équipe en début de saison. Tant pis pour Sessegnon, inexistant de toute façon. Avec quatre défaites pour autant de matchs nuls et de victoires, le bilan parisien devient critique. L’automne sera long. Et la saison du PSG pénible. Citation LE MATCH OM - PSG : 1-0 (1-0). Spectateurs : 55 623. Arbitre : L. Duhamel. But : Heinze (25e). Avertissements. OM : Valbuena (68e), Cissé (89e). PSG : Sessegnon (71e). OM : Mandanda - Bonnart, Diawara, Heinze, Taiwo - Abriel, Mbia (Cissé, 19e), Cheyrou - Valbuena (Lucho Gonzalez, 76e), Brandao, Niang (cap. ) (Koné, 84e). Entr. : Deschamps. PSG : Coupet - Ceará, Camara, Sakho, Armand (cap.) - Chantôme (Maurice, 79e), Clément - Jallet (Giuly, 70e), Sessegnon, Luyindula - Erding. Entr. : Kombouaré. LE BUT 25e : Coup franc lointain de Benoît Cheyrou. Le ballon arrive au deuxième poteau, Armand se retrouve à la lutte avec Diawara et Heinze. Dans une position acrobatique et dans la confusion, l’Argentin expédie la balle de la tête hors de portée de Coupet. Au départ de l’action, un Marseillais était hors jeu. LE FAIT DU MATCH 41e : Niang, libre de toute pression, s’avance et décoche une frappe en dehors de la surface parisienne. Coupet se détend et, main inversée, parvient à détourner le ballon sur son poteau et évite le 2-0. LE CHIFFRE 4 C’est le bilan équilibré que pré- sente le PSG après 12 journées, avec 4 victoires, 4 nuls et désormais 4 défaites. Un bilan inquiétant si l’on considère que Paris reste sur 3 défaites (Toulouse, Nice et Marseille) pour 1 seule victoire (Sochaux) lors des 4 derniers matchs. Citation Sakho trop seul Coupet (5). Une superbe claquette sur un tir de Niang pour dévier le ballon sur son poteau (41e). Surpris et lobé sur sa ligne sur le but de Heinze. Repousse une frappe de Cheyrou (57e). Cear á(5). Le latéral droit n’a pas été trop gêné par Niang. Son rendement offensif a été limité. Camara (5). De retour comme titulaire en L 1 après sa phlébite au mollet gauche, le défenseur central a livré une prestation correcte. Des relances imprécises et il a parfois semblé chercher ses repères. Sakho (6,5). Axe gauche de la défense, il a été bon. Peut-être un peu spectateur sur le but. Costaud dans les duels et vigilant. Armand (3,5). Le capitaine a peiné en début de match face à Valbuena. Il est battu sur le but même s’il s’est retrouvé à deux contre un. Des absences étonnantes comme devant Brandao (66e). Clément (4). Milieu récupérateur, il a peiné à exister face à l’entrejeu adversaire compact et agressif. Des choix contestables et du déchet sur ses coups de pied arrêtés. Chantôme (4,5). Milieu récupérateur également, il avait pour consigne de sortir davantage que Clément. A tenté d’apporter le surnombre devant mais sans succès. Passif sur le but. Remplacé par Maurice (79e). Jallet (3,5). Milieu droit, il a loupé pas mal de passes. Chargé des coups de pieds arrêtés, il n’a pas vraiment été efficace. Remplacé par Giuly (70e). Sessegnon (3,5). Une nouvelle fois milieu offensif axial, il a été décevant. Comme face à Nice, il n’a jamais pu ou su se défaire du marquage individuel de Mbia puis Cissé. Averti (71e) Luyindula (3). Milieu couloir gauche, il a été trop peu présent. Quelques décrochages mais si l’intention était bonne, la réalisation bien moins. Erding (5). Aligné en pointe, il s’est souvent retrouvé tout isolé. Quand il fait un appel, il n’y a plus personne dans la surface… Discret car trop seul mais une belle frappe en pivot (38e) superbement sortie par Mandanda. Citation Christophe Jallet : « Un signal d’alarme » Titularisé à la place de Ludovic Giuly, Christophe Jallet a rendu une copie médiocre, comme l’ensemble des Parisiens. L’ex-Lorientais en convient et émet des craintes sur la situation du PSG. Comment expliquez-vous ce mauvais match du PSG ? Christophe Jallet. On a fait une non-1ere mi-temps. Dès le début, on les a regardés jouer et ils ont pu mettre tranquillement leur jeu en place. Ça s’est concrétisé rapidement avec une tête de Brandao, et ensuite il y a ce coup de pied arrêté qui nous fait très mal. C’est peu dire qu’on ne s’est pas mis dans les meilleures conditions. On a le sentiment que le PSG a manqué de motivation et d’envie... Je ne crois pas vraiment que ce soit une question d’envie. Non, je le répète : on a vraiment eu du mal à rentrer dans ce match et cela nous a plombés le reste de la partie. C’est dommage, il y avait la place en 2 e mi-temps car Marseille n’a pas montré grand-chose. Les mauvais résultats récents du PSG commencent-ilsàvous inhiber ? Non, il n’y avait pas réellement de pression avant la rencontre. D’habitude, on se crée pas mal d’occasions, mais, ce soir, (hier) on n’y est pas parvenu. Il y avait trop d’imprécisions dans les passes, trop de déchet à la conclusion. On ne peut vraiment s’en prendre qu’à nous-mêmes. Cette défaite face à l’OM est-elle plus dure à avaler que les trois autres (Monaco, Toulouse, Nice) ? Non. On a besoin de points, donc une défaite ici ou face à Nice, ça fait ch… S’agit-il du plus mauvais match du PSG depuis le début de la saison ? Le plus mauvais, je ne crois pas, car il y avait une bonne équipe de Marseille en face. Il est toujours difficile de faire une analyse à chaud juste après la rencontre. En tout cas, ce n’est pas le meilleur. Cette défaite fait-elle du mal sur le plan psychologique ? C’est dur car on n’avance pas et on se rapproche du bas, ce qui n’est pas notre objectif. Il faut juste espérer que cette défaite servira de signal d’alarme pour nous faire réagir. Antoine Kombouaré s’est-il exprimé après la rencontre ? Non, le coach ne nous a pas trop parlé car il y avait des gars au contrôle antidopage, donc tous les joueurs n’étaient pas présents dans le vestiaire. Citation La « tolérance zéro » a fait son effet
Des hélicoptères patrouillent dans le ciel azur d’Aubagne. La ville est en état de siège. Elle attend l’arrivée du TGV spécial transportant les quelque 700 supporteurs parisiens partis de Paris vers midi. Avant 16 heures, le quartier de la gare est bouclé. Une cinquantaine de jeunes d’un quartier de la cité de Marcel Pagnol s’y risquent, mais ils sont repoussés par les forces de l’ordre. « Nous avons eu une quinzaine de voitures dégradées et du matériel urbain brisé par des loubards locaux », constatait un syndicaliste policier. Aucun incident grave A peine descendus sur le quai, les fans parisiens accompagnés par le président du PSG, Robin Leproux et le directeur général, Philippe Boindrieux, rejoignent directement la quinzaine de bus chargés de les emmener au Stade-Vélodrome. Par convoi, les cars prennent la direction de Marseille encadrés de motards et de fourgons de CRS. Sur chacun des ponts surplombant l’autoroute A 50, qui relie Aubagne à la cité phocéenne, des policiers veillent. Le dispositif est efficace. Aucun incident grave n’est à déplorer. Quatre bus sont quand même endommagés et quelques vitres brisées. Arrivés au parc Chanot, collé au Vélodrome, les supporteurs sont fouillés avant de filer dans leur tribune. A Marseille, un millier de CRS et gendarmes, et plus 200 policiers, ont été réquisitionnés avec pour consigne : « tolérance zéro ». Deux heures avant le début du match, premiers contacts entre Parisiens et Marseillais. Insultes et intimidations. En souvenir du match initialement programmé le 25 octobre et reporté pour cause de grippe A, des spectateurs portent des masques. Lors de ce rendez-vous manqué, Thomas Lherm, un supporteur du PSG, avait été renversé volontairement par une voiture et gravement blessé. Le chauffard a été interpellé quelques heures avant ce clasico. Hier soir, onze Marseillais avaient été interpellés pour outrages et jets de projectiles ; trois Parisiens pour ivresse et outrages. Le retour des Parisiens vers la gare d’Aubagne s’est déroulé sans trop de soucis. Quelques projectiles ont été lancés sur le convoi parisien. Vers 1 heure, le train parisien est reparti pour arriver dans la capitale ce matin au lever du jour. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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21/11/2009 18:43
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#1482
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - L1 - PSG Marche pour Julien Quemener Trois ans après la mort de Julien Quemener aux abords du Parc des Princes, l'association des supporters indépendants du KOP Boulogne du Paris-SG va organiser lundi, à partir de 19 heures, une marche silencieuse jusqu'à la porte de Saint-Cloud pour rendre hommage au supporter qui avait perdu la vie à 25 ans. Julien Quemener avait été tué le 23 novembre 2006 par un policier qui tentait de protéger un supporter de l'Hapoël Tev-Aviv, après la victoire du club israélen contre le PSG (4-2). L'an dernier, entre 200 et 250 supporters parisiens (selon la police) avaient défilé en silence sur le même itinéraire pour lui rendre hommage. L'équipe.fr |
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22/11/2009 09:39
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#1483
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Le Parisien
Citation Les solutions pour relancer Paris Après la piètre prestation à Marseille (défaite 1-0), Antoine Kombouaré a donné deux jours de repos à ses joueurs. Chacun pourra, dans son coin, faire son examen de conscience. Paris va mal. Treizième de L 1, il voit (définitivement ?) s’envoler ses espoirs d’Europe. Il faut vite réagir. Voici cinq solutions pour éviter la fameuse crise automnale. 1 Revenir au 4-4-2. Le 1er novembre à Sochaux, Antoine Kombouaré a testé une nouvelle organisation. Pour permettre à Stéphane Sessegnon, dont c’était la demande, d’évoluer dans l’axe et de donner enfin sa pleine mesure, l’entraîneur a opté pour un 4-2-3-1. Paris a gagné 4-1 et pensait avoir trouvé la formule magique. Les deux matchs suivants, face à Nice et à Marseille, ont vite montré les limites de ce système et de Sessegnon, inexistant. A vingt minutes de la fin face à l’OM, le PSG est repassé en 4-4-2 et a retrouvé des couleurs. Dans ce schéma, les joueurs se trouvent mieux et Paris est meilleur. 2 Redonner confiance aux joueurs. Les Parisiens ont quitté le Vélodrome tête basse. L’échec du clasico démontre leurs faiblesses mentales. Pas d’engagement, de prises d’initiative et, surtout, pas de réaction après le but de Heinze. Cette équipe manque de caractère. Et elle est en train de perdre confiance… Après Nice, la colère d’Antoine Kombouaré n’a servi à rien. Pas plus que l’intervention de Robin Leproux. Un bon entraîneur et un bon président doivent aussi être de fins psychologues. A eux de trouver le discours adéquat pour remobiliser le groupe. 3 Remobiliser les cadres. A Marseille, le PSG a manqué de leaders. Certes, les prestations de Makelele ne sont pas toujours convaincantes. Mais c’est quand il ne joue pas qu’on se rend compte à quel point il manque à l’équipe… En cette période trouble, il doit assumer pleinement son rôle de capitaine. Ce qu’il semble moins faire ces derniers temps. Les deux autres poids lourds du groupe, Coupet et Giuly, doivent aussi apporter davantage. L’heure est à la mobilisation générale autour des patrons du vestiaire. 4 Recruter un milieu gauche. Si Paris est si mal en point, c’est en grande partie à cause de son effectif trop limité. La concurrence au sein du groupe est trop faible pour permettre à Antoine Kombouaré d’instaurer une réelle émulation. D’autant que pas mal de pépins physiques ont encore réduit les solutions du coach. En outre, pour équilibrer l’équipe, il est urgent de recruter un vrai milieu gauche offensif. En ces temps difficiles, l’actionnaire doit prendre ses responsabilités en débloquant les fonds nécessaires pour transférer un joueur qui apportera une réelle plus-value. 5 Oublier les objectifs. Il faut remiser les rêves de début de saison. L’équipe n’est pas à la hauteur de ses objectifs initiaux : terminer dans les cinq premiers. La course à l’Europe se transforme peu à peu en lutte pour le maintien. Paris n’a pris que six points lors de ses huit derniers matchs… Pour contourner la crise, le PSG doit remporter ses deux prochains matchs contre Auxerre, leader de L 1, et Boulogne. Pour cela, il faut revenir aux fondamentaux : l’engagement et l’application. A Marseille, rares sont les joueurs qui se sont montrés dignes de leurs couleurs. Un mal récurrent au PSG. Et qui finit par lasser. Citation Un clasico à plus de 400 000 € Marseille - Paris (1-0), disputé vendredi soir, ne restera pas dans les annales des clasicos. Le jeu proposé a été trop faible et décevant pour marquer les esprits. En revanche, ce choc de la 10e journée de la saison 2009-2010 va trouver une place de choix dans l’histoire. En termes de sécurité, il s’agit vraisemblablement du match de L 1 le plus cher ! Après le report de la rencontre initialement, prévue le 25 octobre, après des cas de grippe A au PSG, de nombreux et graves incidents avaient eu lieu dans le centre-ville de Marseille en marge de ce rendez-vous sportif manqué. Pour éviter tout nouveau problème, les pouvoirs publics, en accord avec les deux clubs, avaient mis sur pied un dispositif de sécurité imposant et plutôt efficace. Mais ces moyens déployés ont un prix. Selon nos informations, la facture devrait dépasser les 400 000 €. Le PSG a déboursé environ 200 000 € pour l’affrètement du TGV spécial convoyant ses supporteurs et les 80 stewards chargés de les encadrer. L’OM devrait payer une addition encore supérieure. Le club phocéen doit financer les nombreux stadiers qui ont été employés pour ce match, ce qui devrait coûter plus de 50 000 €. La note la plus élevée à régler pour les Marseillais est celle relative aux forces de police. Environ 1 200 policiers et gendarmes ont été mobilisés vendredi, et cela coûterait près de 150 000 € à l’OM. Enfin, les 15 bus de la Régie des transports de Marseille (RTM) réquisitionnés pour transporter les 700 supporteurs parisiens entre la gare d’Aubagne et le Stade-Vélodrome sont à la charge de la Ligue de football professionnel (LFP) qui aurait déboursé 20 000 €. Citation ECHOS
Quatre supporteurs interdits de stade Seize personnes, dont 11 mineurs, placées en garde à vue pour jets de projectiles, outrages et dégradations avant le match OM - PSG, ont été relâchées hier et seront convoquées devant la justice à partir du 22 décembre. Parmi les cinq majeurs (deux sont supporteurs du PSG), quatre ont été interdits de stade dans le cadre d’un contrôle judiciaire d’ici à leur comparution devant le tribunal. Par ailleurs, la Régie des transports de Marseille va porter plainte pour des dégradations commises dans les 15 bus qu’elle avait affrétés pour acheminer les supporteurs parisiens de la gare d’Aubagne au Stade-Vélodrome. Fabrice Pancrate, 29 ans, libre de tout contrat après son départ du PSG en juin dernier, s’est engagé hier pour deux ans et demi avec Newcastle (L 2 anglaise), bien placé pour retrouver l’élite. « Je suis très content, indique l’ancien Manceau. Newcastle est un très grand club avec de superbes installations et un public magnifique. Je remercie le PSG de m’avoir permis de m’entretenir avec l’équipe réserve pendant ces quatre derniers mois. » Brandao et Mbia, auteurs de gestes dangereux sur Chantôme, Armand et Sessegnon lors de la première période, étaient au coeur des discussions entre dirigeants parisiens après le match. Surpris que les deux Olympiens n’aient pas été avertis, ils espèrent que leur cas sera étudié par le comité de visionnage. Grégory Coupet et Christophe Jallet, de retour de Marseille au petit matin, ont assisté hier après-midi au derby francilien entre le Racing-Métro et le Stade Français. Tous deux sont fans de rugby. PSG - Saint-Etienne, (17e journée) a été décalé au dimanche 13 décembre à 17 heures. PSG - Lens, (11e journée), prévu le 28 octobre, aura lieu le mercredi 16 décembre à 21 heures (Orange Sport). -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
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23/11/2009 09:21
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#1484
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Colony Capital face à ses responsabilités Si on ne parle pas encore de crise au PSG, c’est juste par habitude des mauvais résultats. Paris est une équipe moyenne, incapable de sortir du ventre mou du championnat. A qui la faute ? On peut évoquer les joueurs, indignes des espoirs placés en eux, on peut douter d’Antoine Kombouaré, incapable de transmettre à son groupe sa haine de la défaite. Mais au premier rang des responsabilités, on trouve Colony Capital, actionnaire trop frileux qui n’a pas donné au club les moyens de ses ambitions. Comment en est-on arrivé là ? Le silence de Sébastien Bazin, volontairement en retrait depuis la nomination de Robin Leproux, ne doit pas se traduire comme de l’indifférence. Le patron Europe de Colony Capital est préoccupé par les mauvais résultats de son club. Son objectif était de revoir Paris en Ligue des champions. Il comprend aujourd’hui qu’il existe un gouffre entre ses rêves et la réalité. Une nouvelle fois, les mauvais résultats risquent de plomber les finances du club. En début de saison, les dirigeants ont établi leur budget prévisionnel (environ 80 M€) en misant sur une 4e place en L 1. Si Paris ne remonte pas au classement, le manque à gagner est estimé entre 6 et 7 M€. Depuis sa prise de contrôle en 2006, Colony a comblé les déficits provoqués par les échecs sportifs (environ 20 M€ pour les deux premières saisons). Initialement, ces sommes devaient être affectés au recrutement. L’été dernier, grâce à un exercice financier presque à l’équilibre, le PSG a dépensé 12 M€ pour faire signer Erding, Coupet et Jallet. 8 M€ provenaient directement de Colony. Un effort substantiel, mais ridicule comparé aux investissements de Lyon (72,5 M€), Marseille (41,3 M€) et Bordeaux (30 M€). Le fossé avec les trois grands de province ne cesse de s’accroître. « Dans ce club, on a une difficulté à voir la réalité », résume un dirigeant. Que faire ? Les supporteurs ont souvent un avis tranché : l’actionnaire doit injecter de l’argent ou partir. Ce n’est bien sûr pas aussi simple. La semaine dernière, une réunion financière s’est tenue au club. A aucun moment, l’éventuel recrutement de joueurs lors du mercato d’hiver n’a été évoqué. Il va encore falloir bricoler : prêter deux ou trois jeunes (Boli, Arnaud, Maurice ou Baning) pour recruter un joueur. Et vu les sommes en jeu, ce ne sera pas une vedette. Malgré l’urgence de la situation, Colony ne devrait pas bouger. Pour le fonds d’investissement américain, le PSG n’est pas rentable et, vu la conjoncture économique, il n’est plus question de dilapider l’argent. La marge de manoeuvre de Sébastien Bazin, déjà réduite, va se restreindre si les mauvais résultats perdurent. Et le club pourrait se retrouver dans une impasse. La bonne ambiance du début de saison se détériore. Les choix sportifs commencent à être commentés par les sphères dirigeantes. L’inquiétude gagne tous les niveaux de l’entreprise PSG. En 2010, le club espère célébrer son quarantième anniversaire en grande pompe. Les résultats médiocres, s’ils se confirment, pourraient vite gâcher la fête. Arnaud Hermant et Laurent Perrin Citation Le Parc, dossier prioritaire de l’actionnaire Propriétaire du PSG à hauteur de 95 %, Colony Capital n’a officiellement mandaté aucune banque d’affaires dans l’espoir de trouver un éventuel repreneur. Pourtant, selon certaines informations, une proposition de 80 millions d’euros, soit l’ensemble des investissements de Colony au PSG depuis 2006, pourrait faire réfléchir l’actionnaire. « Faux, indique l’entourage de Sébastien Bazin. Colony capital s’est engagé pour une durée de six ans au PSG. Il reste donc encore deux ans et demi pour atteindre nos objectifs. Les résultats sportifs ne sont pas une question de budget. Auxerre et Valenciennes sont dans les premiers. C’est une question de temps, de motivation et de travail. Il y a de la qualité dans l’effectif du PSG. » Le fonds d’investissement américain ne semble pas vouloir vendre avant d’avoir bouclé le dossier Parc des Princes. Colony espère, en effet, hériter du prochain bail emphytéotique administratif (BEA) qui lui permettra d’exploiter le stade pendant cinquante ou soixante ans. Le Conseil de Paris doit d’ailleurs ouvrir l’appel d’offres aujourd’hui. Plusieurs candidats sont sur les rangs. Pour Colony, l’enjeu est de taille. Il s’agit soit de s’assurer une rente sur plusieurs dizaines d’années, soit de valoriser le PSG afin d’assurer un réel retour sur investissement le jour de sa revente. Le fait d’être, aujourd’hui, propriétaire du club, est un avantage concurrentiel énorme. A.H. (avec L.P.) leparisien.fr |
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23/11/2009 13:36
Message
#1485
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation PSG-Giuly: "Pas de crise à Paris" Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, Ludovic Giuly se refuse à parler de crise après la défaite du PSG à Marseille vendredi (1-0), malgré le modeste classement du club en Ligue 1 (13e). "Il n'y a pas de crise à Paris. Depuis des années, j'en entends parler mais, franchement, ça ne nous atteint pas. On doit tous prendre nos responsabilités, moi le premier, et avancer ensemble." L'attaquant du PSG n'est pas inquiet pour la suite de la saison. "Non, parce que je sens que le groupe est bon. Ceci dit, il faut arrêter de décréter qu'on peut faire des belles choses: on doit surtout le ressentir sur le terrain. On veut jouer les premiers rôles et ce n'est pas comme ça qu'on va y arriver. C'est aussi une question d'envie. Si on n'a pas envie, on perdra encore des matches comme celui de Marseille."
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23/11/2009 15:57
Message
#1486
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,536 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 522 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - L1 - PSG Les joueurs pris pour cible Ils étaient à peine une vingtaine de supporters lundi matin pour la reprise de l'entraînement du Paris-SG. Mais ils ont donné de la voix. Quelques uns ont rapidement fait savoir aux Parisiens leur colère après la défaite à Marseille 1-0 et plus généralement face aux mauvais résultats du club. «Qu'est-ce que vous foutez ? Bougez-vous le c... ». Yves Bertucci, l'adjoint de Kombouaré, a fait comprendre aux intéressés de cesser leurs invectives. Peine perdue. «Vous êtes zéro, vous n'avez pas honte, on se fait marcher dessus !» ont-ils lancé aux joueurs qui effectuaient un footing. Des supporters qui ne s'en sont toutefois pas pris à Antoine Kombouaré. Au contraire. « Ne lâche pas l'affaire Antoine, on compte sur toi ! ». Le technicien kanak leur a fait un signe, discret, du poignet en guise de remerciement. La fronde commence... - Ch. MICHEL, au camp des Loges. léquipe.fr |
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23/11/2009 21:59
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#1487
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![]() CBF/Nolife© Groupe : Banned Messages : 5,560 Inscrit : 10/11/2009 Membre no 1,308 Tribune : Non précisée |
Citation Quemener : plainte du PSG ? Plusieurs centaines de fans du Paris-SG ont défilé lundi aux abords du Parc de princes pour rendre hommage à Julien Quemener, le jeune supporter (25 ans) tué par un policier le 23 novembre 2006, après la victoire de l'Hapoël Tev-Aviv contre le PSG (2-4). La marche silencieuse a réuni entre 500 et 300 personnes, selon les chiffres des organisateurs et de la police. En marge de cette manifestation de soutien, le club parisien a par ailleurs fait savoir qu'il condamnait les banderoles déployées vendredi à Marseille lors du Clasico, «un acte inadmissible» selon lui. En cause, deux messages sur lesquels ont pouvait lire «Trois ans sans Julien, trois ans qu'on est bien» et «Auteuil, c'est renversant» (en souvenir de Quemener et du jeune Parisien volontairement renversé par une voiture le 25 octobre dans la cité phocéenne). Le PSG étudie la possibilité de porter officiellement plainte contre les Winners, un groupe de supporteurs marseillais. (Avec AFP) L'Equipe.fr -------------------- on a vraiment de la chance d'être supporter du PSG, on s'ennuit jamais, hormis pour le truc principal "les matchs". @Ronan
Ta gueule sale connard. Toi, je t'ai jamais traité de sale français (et traité tout court), ce que toi, tu as fais envers moi, alors ferme la. @ slip Je ne t'ai pas oublié @ slip Et jusqu'à preuve du contraire, radio courtoisie n'est pas pas une radio extrêmiste, sinon on aurait déjà compté sur nos moralisateurs pour la fermer. @ Stardust chris ncroayble de sortir ca soit même ! Tu ne te rends pas compte de ta connerie, de tonproselitysme musulman, de ta mocheté. En fait tu ne vis pas dans le même monde que nous je crois. @ Stardust chris |
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23/11/2009 23:50
Message
#1488
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Un hommage à Julien Quemener trois ans après sa mort Il y a trois ans jour pour jour, Julien Quemener, supporteur du PSG, avait trouvé la mort, tué par un policier; après la victoire de l'Hapoël Tev-Aviv contre le PSG (4-2). Ce lundi soir, plusieurs centaines de Parisiens lui ont rendu hommage dans le calme. Les supporteurs, 500 selon les organisateurs de la tribune Boulogne, 300 selon la police, étaient plus nombreux que l'an passé et se sont rendus du Parc des Princes à la Porte de Saint-Cloud, dans le XVIe arrondissement parisien, là même où le jeune homme de 25 ans avait été tué en 2006, Derrière des membres de la famille en pleurs, qui portaient des gerbes de fleurs, plusieurs centaines de personnes marchaient, tenant une banderole à fond noir sur laquelle on pouvait lire «Justice pour Julien». Sous la pluie, le cortège a ensuite déposé les fleurs au sol avant de se recueillir. Les Winners présentent leurs excuses Vendredi à Marseille, la mort de Julien Quemener a, en effet, été douloureusement évoquée avec des banderoles que le PSG a jugé «inadmissibles». On pouvait y lire : «Trois ans sans Julien, trois ans qu'on est bien» et «Auteuil, c'est renversant» (en souvenir de Julien Quemener et du jeune Parisien volontairement renversé par une voiture le 25 octobre dans la cité phocéenne), ainsi qu'un autre représentant une croix celtique. Lundi, le PSG a fait savoir qu'il avait demandé à ses juristes d'étudier la possibilité de porter officiellement plainte contre les Winners, un groupe de supporteurs marseillais. Dans ce cas, les supporteurs parisiens, après avoir consulté la famille de Julien Quemener, pourraient décider de se porter partie civile, a-t-on appris de source proche de la tribune Boulogne. Sur leur site, les South Winners ont tenu ce lundi à présenter des «excuses aux proches de Julien Q. »«Nous ne nous reconnaissons pas dans la teneur de ce message, sorti dans le virage» ont-ils ajouté. «Nous n'acceptons pas cette excuse et nous la rejetons. Il est trop tard», a réagi lundi le porte-parole de la tribune Boulogne... ![]() Le Parisien |
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24/11/2009 08:21
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#1489
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Les banderoles de la haine Si aucun grave n’a été à déplorer lors de Marseille - PSG vendredi dernier, ce match va attiser la haine entre supporteurs des deux camps. Des banderoles déployées dans le virage Sud du Vélodrome font en effet scandale. L’une montrait un supporteur du PSG, arborant une croix celtique, courir devant une voiture. Sur une autre, on pouvait lire : « Auteuil, c’est renversant ». Les Ultras marseillais faisaient référence au supporteur parisien renversé par une voiture, lors des affrontements du 25 octobre dans les rues de Marseille. Le troisième message est encore plus insupportable : « Trois ans sans Julien, trois ans qu’on est bien ». La cible ? Julien Quemener, supporteur tué le 23 novembre 2006 après PSG - Hapoël Tel - Aviv. Les photos des trois banderoles circulent sur de nombreux sites depuis ce week-end et la tension est extrêmement vive. PSG - OM, le 28 février, s’annonce tendu Les Kops Auteuil et Boulogne appellent déjà à la vengeance et certains envisagaient de se déplacer dans le Nord samedi prochain, en marge du match Lens - Marseille. Mais hier soir, après avoir rendu hommage à Julien Quemener trois ans après sa mort au cours d’une marche qui a rassemblé environ 400 personnes entre le Parc des Princes et la Porte de Saint-Cloud , il a été décidé d’attendre avant d’en découdre. Le match retour entre Paris et Marseille, le 28 février, s’annonce déjà d’une dangerosité extrême. Hier, dans un communiqué, le groupe des South Winners, association du virage Sud, a officiellement présenté « ses excuses ». « Ces excuses ne sont pas acceptables, estime Philippe Pereira, porte-parole de la tribune Boulogne. Car, pendant le match, il y a eu des chants contre Julien, qui se sont élevés de leur tribune. Nous sommes très en colère et choqués. Les pouvoirs publics peuvent s’attendre à un PSG - OM chaud-bouillant. » Les dirigeants du PSG envisagent de porter plainte et attendent une réaction de la Ligue nationale et de l’OM. Celle du club marseillais ne s’est pas fait attendre. « Nous condamnons ces banderoles avec la plus grande fermeté, nous a déclaré Jean-Claude Dassier, le président de l’OM. C’est honteux et lamentable. Avec les South Winners, qui se sont désolidarisés de cette action, on va essayer de savoir qui sont les brillants auteurs de cette sottise innommable. » Cela suffira-t-il à éteindre l’incendie ? Laurent Perrin et Sylvie De Macedo (avec M.G. à Marseille) | Citation Ambiance crispée au camp des Loges Des joueurs crispés, un entraîneur au regard noir, des supporteurs mécontents : la crise couve bel et bien au PSG. Hier, après deux jours de repos, les Parisiens ont repris le chemin du camp des Loges. Au menu de cette morne journée : une franche explication de texte de la part d’Antoine Kombouaré. Pour cause de contrôle antidopage vendredi soir, l’entraîneur du PSG n’avait pas pu débriefer la prestation de ses hommes. Il les a réunis hier pendant plus d’une demi-heure. Pas de grosse colère cette fois-ci. Mais le Kanak a tenté de piquer leur orgueil. Il a évoqué le non-match de son équipe, une prestation qualifiée de honteuse et d’indigne au regard du standing du club. Il a également demandé à chacun de procéder à son autocritique. Les mots utilisés n’ont pas été tendres. L’heure n’est pas encore à la désunion. Mais la bonne ambiance du début de saison a bel et bien volé en éclats. En privé, certains joueurs cherchent les coupables. Les piètres prestations de quelques cadres sont pointées du doigt. La fronde gronde aussi chez les supporteurs. Hier matin, pendant l’entraînement, trois d’entre eux ont interpellé les joueurs. Des « Bougez vos c… ! », « Vous n’avez pas honte ! » et autres insultes ont volé. A tel point qu’Yves Bertucci, l’entraîneur adjoint, a dû intervenir pour calmer les esprits. S.D.M. Citation PSG EXPRESS Hier. Exercices physiques, courses, toros, opposition. Clément Chantôme s’est contenté de courir. Claude Makelele a ressenti une douleur au mollet droit et a écourté la séance. Aujourd’hui. Entraînement à 10 h 15 au camp des Loges. Infirmerie. Hoarau (genou), Chantôme (cheville droite), Makelele (mollet droit). Suspendu. Sessegnon (Boulogne). Rendez-vous. PSG - Auxerre, 15e journée de L 1, samedi, à 19 heures, (Foot +). leparisien.fr Citation Mevlut Erding : « Aller de l’avant » Touché par la défaite à Marseille (0-1), l’attaquant parisien Mevlut Erding ne se laisse pas abattre et nous parle de la réception du leader auxerrois samedi au Parc des Princes. Mevlut, on imagine le groupe déçu après la défaite de vendredi à Marseille (0-1)… « Bien sûr. On est déçu après cette défaite à Marseille parce que c’était un gros match. C’était un match qui nous tenait à cœur. Nous avons très mal entamé la rencontre. Je suis aussi déçu personnellement parce que j’avais bien préparé ce match dans ma tête. Maintenant, il faut aller de l’avant. On joue samedi contre Auxerre et on va tout faire pour prendre les trois points. Nous allons travailler dur cette semaine parce que nous sommes obligés de gagner. » Auxerre est leader du championnat et reste sur sept victoires consécutives. Comment faut-il aborder ce match ? « Si Auxerre est premier, c’est parce que l'AJA est une bonne équipe. Il n’y a pas de chance ni de hasard dans le football. Les Auxerrois sont en tête du classement et ce sera à nous, à domicile et avec l’aide de notre public, de remporter ce match. On est le Paris Saint-Germain et on doit montrer sur le terrain toute l’envie qu’on a de gagner cette rencontre. » As-tu suivi le parcours d’Auxerre ? « Je connais bien leur défense. Leur attaque aussi, notamment Jelen. Il n’y a rien à dire, c’est une très bonne équipe, avec Pedretti au milieu qui est lui aussi un très bon joueur. Auxerre mérite sa première place. » Que faudra-t-il mettre en place pour redevenir maîtres au Parc des Princes ? « Il faudra montrer qu’on veut marquer des buts et tout faire pour ne pas en prendre. Sur ce match, la différence se fera à l’envie. L’équipe qui désirera le plus remporter cette rencontre s’imposera. Il faudra montrer dans les duels que nous sommes supérieurs à eux. » PSG.fr |
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24/11/2009 09:17
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![]() Bloodbuzz Hoarau ![]() Groupe : Members Messages : 1,468 Inscrit : 21/05/2009 Lieu : Paris XIXe Membre no 1,011 Tribune : Non précisée |
Citation Colony en pole pour le bail Une fois titulaire d'un nouveau bail, Colony Capital, l'actionnaire principal du Paris-SG, pourrait débaptiser le Parc des Princes. Le Conseil de Paris doit lancer ce mardi la consultation devant aboutir à la conclusion d'un bail emphytéotique administratif (BEA) pour la rénovation et l'exploitation du Parc des Princes, propriété de la Ville de Paris. Ce BEA, dont la durée devrait s'étirer sur cinquante ans, viendrait se substituer à l'actuelle concession, conclue en 1999 et accordée par la Mairie jusqu'en 2014 à la Société d'exploitation sports-Événements (SESE), propriété de Colony Capital, l'actionnaire principal du PSG (95,8 %). Le fonds d'investissements basé à Los Angeles est largement favori pour remporter cet appel d'offres et piloter ainsi les travaux de modernisation du Parc. Estimé à 70 millions d'euros (et financé quasi exclusivement par des fonds privés), ce lifting est envisagé même si la France n'obtient pas l'organisation de l'Euro 2016. En attendant, l'actionnaire américain explore plusieurs pistes pour rendre l'enceinte plus rentable. Parmi ces options, le naming. Autrement dit, la commercialisation du nom du stade. «La fin du Parc des Princes ?» A lire mardi dans L'Equipe, page 9 lequipe.fr -------------------- Ce que fait Zlatan avec une orange, je le fais avec un sandwich.
Roses are red, violets are blue, mange mon Giant Max sale fils de pute. |
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24/11/2009 11:20
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#1491
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation La fin du Parc des Princes ? Colony Capital, l’actionnaire majoritaire, envisage de commercialiser le nom du stade parisien pour accroître les ressources du PSG. ![]() LE CONSEIL DE PARIS doit lancer aujourd'hui la consultation devant aboutir à la conclusion d'un bail emphytéotique administratif (BEA) pour la rénovation et l'exploitation du Parc des Princes, propriété de la Ville de Paris. Ce BEA, dont la durée devrait s'étirer sur cinquante ans, viendrait se substituer à l'actuelle concession, conclue en 1999 et accordée par la Mairie jusqu'en 2014 à la Société d'exploitation sports-Événements (SESE), propriété de Colony Capital, l'actionnaire principal du PSG (95,8 %). Le fonds d'investissements basé à Los Angeles est largement favori pour remporter cet appel d'offres et piloter ainsi les travaux de modernisation du Parc. Estimé à 70 M€ (et financé quasi exclusivement par des fonds privés), ce lifting est envisagé même si la France n'obtient pas l'organisation de l'Euro 2016. En attendant, l'actionnaire américain explore plusieurs pistes pour rendre l'enceinte plus rentable. Parmi ces options, le naming. Autrement dit, la commercialisation du nom du stade. Le nom du Parc est à vendre Samedi 7 novembre. En marge du match contre Nice (0-1), Sébastien Bazin inaugure au Parc des Princes l'auditorium Lionel-Dreksler, du nom de l'ancien directeur général adjoint du PSG, décédé en mai 2008. Devant une centaine d'invités, le patron de Colony Europe se lance dans un discours dans lequel il évoque le naming, un concept apparu dans les stades américains et importé, ces dernières années, par des clubs anglais et allemands. Louer le nom du Parc sur une durée de dix ou quinze ans ? Dans sa quête de nouvelles ressources, le PSG de Colony ne néglige aucune piste, lui qui aspire à dégager à moyen terme 10 à 15 M€ de recettes annuelles supplémentaires, même sans participer à la Ligue des champions. Alors, bientôt un autre Emirates Stadium ou un Nike Arena à deux pas de la porte de Saint-Cloud ? Dans les coulisses du club, l'idée n'est plus taboue. Seule certitude, si le PSG devait se convertir au naming, la Ville de Paris aurait un droit de regard sur l'identité du « parrain » du Parc. Comme en 2006, lors de la vente du club par Canal +, l'Hôtel de Ville reste soucieux de ne pas accoler l'image de la capitale à des compagnies aux ressources troubles. Combien le naming pourrait-il rapporter au PSG ? Selon des spécialistes, le standing actuel du club ne lui permettrait pas forcément d'en tirer plus de 2 M€ par an. Ce serait plus que les 10 M€ sur dix ans que percevra le MUC avec sa future MMArena, qui doit être inaugurée l'an prochain. Mais Paris se situerait encore à des années-lumière d'Arsenal : son contrat avec Fly Emirates lui rapportera 147 M€, entre le sponsoring maillot (jusqu'en 2014) et la « location » du nom du stade (jusqu'en 2021). Le naming a souvent accompagné l'édification de nouveaux stades. Y recourir pour une enceinte historique recèle un plus grand risque d'oppositions parmi les supporters. Mais le PSG ne craint pas de changer le nom du Parc, fort d'un exemple récent : boycotté par des groupes ultras, le nouveau maillot enregistre des ventes en hausse de 30 % sur un an, comparé à la précédente tunique, pourtant jugée plus « symboliquement correcte »... Colony songe à céder le club Même ses proches estiment parfois les intentions de Bazin indéchiffrables. Mais une question circule désormais : et si le propriétaire du PSG vendait le club, une fois assuré le renouvellement de son bail sur le Parc des Princes ? Colony réfléchirait même à l'idée de garder la SESE - donc la gestion du Parc - et de céder uniquement la SASP PSG, soit la vitrine sportive du club. S'occuper uniquement de la dimension immobilière du club renverrait aux intentions initiales de Colony, attiré par le PSG en 2006 pour y exposer son savoir-faire en matière de stades, et non pour y gérer un club de foot. D'ailleurs, selon un document confidentiel révélé cette année, Colony n'avait investi dans le PSG qu'avec l'idée d'y rester deux ans et d'y empocher avec ses partenaires initiaux (Butler Capital Par¬tners et Morgan Stanley) une plus-value de 75 M€ en 2008... Pour la firme présidée par Tom Barrack, l'idéal a été revu à la baisse : il s'agit désormais de récupérer les 80 M€ investis depuis trois ans et demi. L'effondrement du standing sportif du PSG complique cet objectif. La vente globale du club - cédé pour 26 M€ en 2006 - semble devoir plutôt se négocier entre 40 et 50 M€. À l'étranger, l'image de Paris attire encore. Mais personne n'ignore le marasme local depuis la deuxième place en L1 glanée en 2004. Redonner au PSG une équipe compétitive pourrait nécessiter l'injection de 100 à 150 M€ supplémentaires lors des trois premières saisons. Une « addition » qui fait réfléchir les investisseurs potentiels. JÉRÔME TOUBOUL L'équipe (papier) |
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24/11/2009 18:00
Message
#1492
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
L'Equipe
Citation Hoarau, reprise lundi Il sera, peut-être, la première recrue du mercato hivernal pour le Paris-SG. Guillaume Hoarau va reprendre dès lundi prochain «un jeu progressif», selon une information recueillie mardi auprès du staff médical du club. Après les adducteurs au mois de mai et les ischio-jambiers en août, Guillaume Hoarau a été victime d'une rupture du ligament latéral interne du genou droit le 18 octobre dernier contre Toulouse (défaite 1-0). «Pour l'instant, il peut plier la jambe à 60%, il n'a plus de béquilles depuis hier (mardi). Il va reprendre la semaine prochaine, le protocole est en place, développe le médecin du PSG, Eric Rolland. On prévoit qu'il soit à la reprise du stage d'entraînement début janvier». - Ch. M. Camp des Loges Citation Banderole: un signe de la LFP?
Le Paris SG va-t-il porter plainte suite aux banderoles déployées au Vélodrome vendredi dernier à l'occasion de OM-PSG ? Le club de la capitale attend, dans un premier temps, un signe de la Ligue, a fait savoir mardi le club de la capitale. «L'OM s'est excusé, a déclaré Bruno Skropeta, le directeur de la communication du club, mais nous attendons que la Ligue de football se manifeste. On a prévenu la Ligue avant le match que ces banderoles existaient et qu'elles étaient dans le stade, on a protesté auprès du délégué de la Ligue et de l'OM. Maintenant, on attend une réaction de la Ligue, on ne sait pas si elle va se saisir de ça. On verra si on porte plainte mais on ne peut se porter que partie civile». Une banderole visant notamment Julien Quemener a fait scandale vendredi lors du Clasico rejoué (1-0) : «3 ans sans Julien, 3 ans qu'on est bien». Julien Quemener est ce supporter de la capitale tué le 23 novembre 2006 après PSG-Hapoël Tel-Aviv (2-4). Les dirigeants parisiens n'ont pas oublié le tollé qu'avait provoqué les banderoles anti-ch'tis déployées par des supporters parisiens lors de la finale de la coupe de la Ligue le 30 mars 2008 et la réaction rapide la Ligue dans cette affaire. - Ch. M. (au camp des Loges) -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
Form is Temporary. Class is permanent. |
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24/11/2009 18:46
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#1493
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,680 Inscrit : 21/08/2011 Membre no 8,061 Tribune : Canapé |
Citation Hortefeux veut que les clubs de foot "supportent le coût réel" de la sécurité lors des matchs Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a souhaité mardi que les clubs de foot "supportent le coût réel des moyens publics mobilisés" pour assurer la sécurité lors des matchs. "J'estime qu'il serait légitime que les clubs supportent le coût réel des moyens publics mobilisés", a déclaré le ministre, interrogé sur les violences commises à l'occasion de matches de foot, lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale. "Avec Roselyne Bachelot (ministre des Sports, NDLR), nous saisirons très prochainement le président de la Ligue de football pour mettre au point des modalités de tarification mieux adaptées à la réalité des coûts". "C'est en moyenne onze forces mobiles qui sont mobilisées par journée de championnat", a précisé le ministre, ajoutant que ce chiffre peut être supérieur, comme lors du match OM-PSG qui a nécessité "17 unités". "Il ne faut pas confondre deux types d'événements", a expliqué M. Hortefeux. "Il y a d'une part les violences urbaines pour lesquelles les rencontre sportives ne sont en réalité qu'un prétexte aux exactions. Je pense à des matchs (...) entre équipes étrangères qui se sont déroulés en dehors du territoire national", a-t-il souligné, faisant notamment référence au match Algérie-Egypte, qualificatif pour la Coupe du monde, organisé le 18 novembre dernier à Khartoum (Soudan). "Vingt-quatre (unités) mobiles ont été consacrées" aux suites du match de Khartoum et "217 personnes ont été interpellées", a-t-il indiqué. "Il y a à côté de ça les violences qui sont commises par les supporters de football dans et aux abords des stades", a-t-il poursuivi, rappelant la création d'une "Division nationale de lutte contre le hooliganisme pour mieux identifier les supporters violents et leur interdire l'accès aux stades". Le ministre a indiqué à ce sujet que "216 interdiction sont en cours d'exécution". latribune.fr |
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24/11/2009 19:12
Message
#1494
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Banderole : jeudi, dit la LFP La Ligue de football professionnel, interpellée ce mardi par le Paris-SG au sujet de la banderole déployée à Marseille en atteinte à la mémoire de Julien Quéméner, a publié un communiqué exortant tous les acteurs du dossier à patienter jusqu'à jeudi soir. «La Ligue de football professionnel précise que la commission de discipline qui se réunira le jeudi 26 novembre à 18 heures, étudiera les incidents de la rencontre Olympique de Marseille-Paris Saint-Germain avec le déploiement de banderoles injurieuses.» Bruno Skropeta, patron de la communication parisienne, a demandé mardi un signe de la rue Leo-Delibes. «Nous attendons que la Ligue de football se manifeste. On a prévenu la Ligue avant le match que ces banderoles existaient et qu'elles étaient dans le stade, on a protesté auprès du délégué de la Ligue et de l'OM. Maintenant, on attend une réaction de la Ligue, on ne sait pas si elle va se saisir de ça. On verra si on porte plainte mais on ne peut se porter que partie civile». lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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25/11/2009 09:15
Message
#1495
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Cinq clés pour réveiller les joueurs Après la défaite à Marseille, où ses joueurs se sont montrés d’une consternante apathie, et avant la réception du leader, Auxerre, samedi, Antoine Kombouaré doit trouver la méthode adaptée pour rebooster son équipe. Et ce n’est pas simple. « 80 % du travail d’un entraîneur est psychologique », estime Luis Fernandez. 1- Pousser un coup de gueule C’est en général la première solution et la plus simple pour secouer un groupe. « Je me souviens d’avoir traité des joueurs de lâches, raconte Vahid Halilhodzic. Ils m’en voulaient, mais après ils cherchaient à me prouver le contraire. » Une méthode à double tranchant. « Rabaisser les joueurs est souvent contre-productif et de nature à les enfoncer encore plus », estime Christine Le Scanff, psychologue du sport. Le coup de gueule de Kombouaré après Nice n’a pas porté ses fruits. « Pour éviter la rupture, il faut positiver et mettre les formes », explique Frédéric Hantz. 2- Partager les responsabilités « L’entraîneur doit faire son mea culpa, admettre qu’il a aussi une part de responsabilité. Les joueurs seront ainsi plus réceptifs à son discours », explique Halilhodzic. Le coach doit aussi se reposer sur les cadres. C’est ce que fait Kombouaré actuellement, en demandant à Makelele de reprendre le vestiaire en main. « Les leaders arrivent à cerner ce qui se passe à l’intérieur du vestiaire », poursuit Hantz. 3- Organiser des entretiens individuels « Devant tout le monde, il ne faut jamais stigmatiser la performance de l’un ou l’autre, explique Luis Fernandez. On peut faire des entretiens individuels avec ceux qui sont les plus friables. » « On peut redéfinir avec chacun des joueurs ce qu’il peut apporter, ce qu’il doit améliorer, mais toujours en lui tenant un discours positif », précise Christine Le Scanff. 4- S’unir contre l’extérieur « La théorie du tous contre nous marche très souvent, raconte Frédéric Hantz. Surligner les interviews des adversaires ou afficher un article critique, on le fait tous. » La pression médiatique, ou celle des supporteurs, peut donc servir de ciment. « Mais c’est comme les coups de gueule, ça n’a qu’un temps », corrige Elie Baup. 5- Oublier les objectifs « Leur répéter sans cesse qu’ils doivent absolument terminer dans les cinq premiers ne sert à rien, sinon à les bloquer davantage, analyse Christine Le Scanff. Il faut se détacher de l’objectif pour se sentir plus libéré. » Ce qu’Elie Baup résume ainsi : « Mieux vaut parler du jeu que de l’enjeu. » Laurent Perrin et Sylvie De Macedo Citation Un stage début janvier ? Les Parisiens pourraient passer le début de l’année 2010 au soleil. Le club étudie en ce moment le projet de partir en stage du 3 au 8 janvier, la compétition reprenant, pour le PSG, le 9 ou le 10 janvier avec les 32es de finale de la Coupe de France. Deux choix de destination sont possibles : un séjour en Tunisie ou au Cap-d’Agde (Hérault). Pendant ce stage, le PSG a prévu de disputer un match amical. Le choix de l’adversaire pourrait influer sur le lieu de séjour des Parisiens. Pour l’instant, rien n’est encore arrêté. Ch.B. et A.H. Citation PSG EXPRESS Hier. Travail foncier de 80 minutes puis oppositions à cinq contre cinq. Chantôme et Makelele ont couru. Aujourd’hui. Entraînement (10h15). Infirmerie. Hoarau (genou). Suspendu. Sessegnon à Boulogne. Rendez-vous. PSG - Auxerre, L 1 (15e journée), samedi, à 19 heures. Le Conseil de Paris a voté hier une délibération pour lancer la consultation sur un bail emphytéotique administratif pour rénover et exploiter le Parc des Princes, en vue de l’homologuer pour l’Euro 2016. leparisien.fr Citation Antoine Kombouaré : « Ça a du mal à passer » Avant la réception d’Auxerre leader de Ligue 1, Antoine Kombouaré s’est livré en exclusivité pour PSG.FR. Le coach parisien, qui attend une réaction de ses joueurs, évoque notamment l’échéance de samedi. Coach, comment va s’articuler cette semaine d’entraînement avant la réception d’Auxerre ? « Nous avons démarré la semaine un peu plu tôt que d’habitude car nous avons joué vendredi à Marseille. Nous avons donc programmé trois grosses séances en début de semaine (lundi, mardi et mercredi), puis nous allons ensuite entrer dans une phase de récupération, de soins et de régénération afin d’être fin prêts pour samedi. » Avez-vous revu la rencontre face à Marseille et avec le recul, avez-vous toujours la même opinion qu’à l’issue de la rencontre ? « C’est une semaine difficile pour moi car je ne suis pas content de ce que mes joueurs ont montré à Marseille. Au-delà de la défaite, je ne suis pas satisfait car nous nous sommes fait rentrer dedans et nous n’avons pas été capables de répondre. Nous pouvons perdre en commettant des erreurs, nous pouvons perdre en tombant sur un bon gardien, mais perdre avec le sentiment de s’être fait marcher dessus, je ne peux pas l’accepter. Ça a du mal à passer. J’espère que c’est la dernière fois que j’assisterai à ce genre de match. » Recevoir Auxerre, nouveau leader de Ligue 1, n’est peut-être pas l’idéal pour se refaire une santé… « Etant donné la place que nous occupons, beaucoup d’équipes sont devant nous.... Tous les matches qui viennent seront donc difficiles et compliqués. Maintenant, comme on dit quand ça ne va pas, et c’est le cas en ce moment, on ferme sa gueule (sic), on bosse et on répond présent le week-end. J’attends donc une énorme réaction de mes joueurs. » Que pensez-vous de cette formation bourguignonne ? « Pour l’avoir vue jouer plusieurs fois, je trouve que c’est une équipe compacte, rigoureuse et homogène. Son principal souci est de ne pas prendre de but et de bien défendre. Devant, Jelen est capable à tous moments de partir dans le dos et faire la différence. Il joue la « carotte », est patient et peut faire très mal quand il part dans la profondeur. C’est une formation avant tout bien organisée et disciplinée. On ne les bouge pas comme ça. De plus, ils marquent souvent en fin de match, il faudra donc être très vigilent. » Les joueurs blessés en début de semaine, Clément Chantôme et Claude Makélélé seront-ils remis pour samedi ? « Concernant Clem (Chantôme), c’est un peu compliqué. Le tacle de Brandao qu’il a subi vendredi le fait souffrir. Il n’a toujours pas repris avec le groupe. On verra donc pour samedi. Concernant Claude (Makélélé), ça va mieux, il enchaîne séances et soins donc j’espère qu’il sera disponible samedi. » PSG.FR |
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25/11/2009 11:59
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation La Ligue va étudier les banderoles d'OM-PSG ![]() Lors du match OM-PSG, cette banderole est apparue dans une tribune. Elle fait allusion au supporter parisien renversé par une voiture lors des incidents survenus dans le centre-ville de Marseille, le 25 octobre, après le report du match pour cause de Grippe A. LORS DE SA RÉUNION de demain, à Paris, la commission de discipline de la Ligue (LFP) examinera « les incidents de la rencontre OM-PSG (1-0) avec le déploiement de banderoles injurieuses ». Vendredi dernier, lors du match en retard de la 10* journée, des banderoles nauséabondes avaient été déployées dans le virage sud du Stade-Vélodrome, à l'insu des associations officielles de supporters. Sur l'une d'elles, on pouvait lire : « Auteuil, c'est renversant », en référence au supporter parisien renversé par une voiture, lors des incidents dans les rues de Marseille, le 25 octobre. Sur une autre, il était fait référence a Julien Quemener, le supporter parisien tué par un policier le 23 novembre 2006 : « Trois ans sans Julien, trois ans qu'on est bien. » Hier, les dirigeants parisiens ont confirmé qu'ils étudiaient la possibilité de déposer plainte contre X. La Ligue a donc décidé de prendre les devants pour éviter que cette affaire ne prenne plus d'ampleur. Dans un premier temps, la commission de discipline va demander un rapport complémentaire. Elle ne devrait pas prononcer d'éventuelles sanctions - amende, huis clos, voire retrait de points -avant plusieurs semaines. Les sanctions concernant des banderoles outrancières ont régulièrement été contredites par la justice civile. En août 2008, le tribunal administratif de Paris avait ainsi demandé la réintégration du PSG en Coupe de la Ligue, exclu pour le tristement fameux « Pédophiles, chômeurs, consanguins, bienvenue chez les Ch'tis », lors de la finale de l'épreuve face à Lens (2-1). Hier, à l'Assemblée nationale, Brice Hortefeux, le ministre de l'Intérieur, a rappelé que dix-sept unités mobiles (CRS et gendarmes) avaient été réquisitionnées pour cet OM-PSG. Plus généralement, il a expliqué vouloir faire payer aux clubs « le coût réel des moyens publics » mis en œuvre pour assurer la sécurité hors des stades. Il va saisir « très prochainement » Frédéric Thiriez, le président de la Ligue, « pour mettre au point des modalités de tarification mieux adaptées à la réalité des coûts ». - E. C. L'équipe |
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25/11/2009 16:02
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation L'appel d'offres pour le Parc des Princes est lancé ..... Par ailleurs Luc Dayan a réagi à un passage de l'article intiulé "la fin du Parc des Princes?" (voir l'Equipe d'hier). En 2006, l'ancien président de Lille avait piloté un projet de rachat du PSG avec des fonds quatariens dans son tour de table . « Il est faux de laisser entendre que la Mairie de Paris s'est opposée à ce projet parce que ces fonds auraient été jugés troubles. Ils ne le sont pas du tout. Si le projet n'a pas abouti, c'est à cause d'une communication intempestive et parce que ces investisseurs du Qatar se sont sentis à un moment persona non grata » L'Equipe du jour |
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25/11/2009 18:23
Message
#1498
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation Sankharé : « Avoir la confiance du coach » A l'issue de la séance d'entraînement de mercredi matin, Younousse Sankharé évoque son but avec l'Equipe de France Espoirs et les retrouvailles du PSG avec le public du Parc, samedi face à Auxerre. Younousse, comment se déroule la semaine d’entraînement ? « Il nous manque les résultats pour que ce soit parfait mais dans l’esprit tout le monde y est. Les terrains commencent également à se dégrader avec la météo en ce moment, mais on s’adapte et on bosse. » Comment abordez-vous la réception d’Auxerre, le leader du championnat ? « La défaite à Marseille doit nous servir de leçon pour la réception d’Auxerre. Il faudra rectifier les erreurs commises au Vélodrome et aborder ce match avec une grande concentration. La victoire est impérative, j’ai envie de dire peu importe la manière. On se doit de gagner contre Auxerre pour aborder au mieux le déplacement à Boulogne-sur-Mer et basculer dans la première partie de tableau. » Est-ce également important de retrouver votre public au Parc des Princes ? « Les supporters étaient nombreux à Marseille et j’étais très déçu pour eux à la fin du match. Ils ont fait leur boulot, mais sur le terrain ça n’a pas été. J’espère qu’on va rectifier le tir et qu’ils seront là pour nous soutenir face à Auxerre avec la même envie démontrée à Marseille. Avec cet apport-là, on essaiera de donner le maximum pour gagner et enfin leur faire plaisir. » La semaine dernière tu étais retenu en Equipe de France Espoirs et tu as marqué un but décisif contre la Slovénie (1-0)… « C’était un match compliqué. L’entraîneur a fait jouer les joueurs qui ont le plus de temps de jeu dans leur club, donc j’ai démarré sur le banc. Les Slovènes étaient bien en place et ont bien joué au ballon. J’ai la chance d’entrer en cours de match et de marquer le but de la victoire. C’était positif pour l’équipe et pour moi. » Quelques jours plus tôt tu étais même titulaire et capitaine contre la Tunisie en amical. Une belle marque de confiance ? « Lorsque je suis en sélection, le contexte est différent. Être capitaine est très valorisant et c’est une grande marque de confiance qui m’a fait énormément plaisir. J’ai la chance d’avoir la confiance du coach en sélection et maintenant je vais me battre pour avoir la confiance du coach, ici à Paris. » PSG.FR |
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25/11/2009 20:33
Message
#1499
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 6,734 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 359 Tribune : Non précisée |
Citation Jelen forfait à Paris Ireneusz Jelen, l'attaquant et homme-clef de l'AJ Auxerre, s'est blessé mercredi matin à l'entraînement lors d'un choc avec un partenaire. Première conséquence : il sera absent contre le Paris SG samedi, lors de la 15e journée de L1. Les examens passés par le Polonais à la clinique des Lilas ont révélé une petite déchirure du biceps fémoral droit. La durée de son indisponibilité n'est pas encore connue. Jelen subira d'autres examens la semaine prochaine pour surveiller l'évolution de cette blessure. Jean Fernandez, lui, réfléchit à la meilleure façon de se réorganiser. lequipe.fr |
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26/11/2009 09:35
Message
#1500
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Pourquoi Sessegnon ne s’impose pas Depuis quelques semaines, Stéphane Sessegnon a perdu son sourire et sa bonne humeur. Il n’est pas rare de le voir quitter le camp des Loges, le visage fermé, dès la fin de l’entraînement. « Il est agacé et ce qui se passe l’ennuie au plus haut point », explique son entourage. Le milieu parisien a du mal à se satisfaire de ses performances autant que de celles de son équipe. Après une sortie convaincante à Sochaux (4-1), le Béninois est retombé dans ses approximations face à Nice (0-1) et Marseille (0-1). Pourtant, des solutions existent pour qu’il retrouve, enfin, son meilleur niveau. Il doit parler. Sessegnon n’est pas très bavard. « Il est même très secret. Ce n’est pas le mec qui va dire :Je souffre », raconte un proche. Pourtant il semble évident que le milieu parisien a besoin de soutien et d’écoute. Frédéric Hantz se souvient que, au Mans, où il a entraîné Sessegnon lors de la saison 2006-2007, il avait dû aller « chercher » son joueur. « Ses débuts en L 1 avaient été très durs. Il ne jouait pas et souffrait d’un retard athlétique, raconte-t-il. J’avais des discussions fréquentes avec lui mais, pour cela, j’ai dû aller le chercher. Comme beaucoup de joueurs, il a besoin d’écoute mais il faut être patient. Ensuite il se lâche. » C’est ce qu’a compris Claude Makelele. « C’est quelqu’un qui a un talent extraordinaire et qui, bien sûr, vit mal la période actuelle, indique le capitaine parisien. On en discute souvent et je lui dis simplement de continuer à travailler. » Il a besoin de stabilité. C’est le constat récurrent qui s’attache aux joueurs capables d’évoluer à plusieurs postes. « Stéphane est victime de son talent et de sa polyvalence, constate Hantz. En général, quand tu fais ton équipe, tu fais le tour de tes joueurs et ensuite tu le mets là où il reste une place. » Un brin caricatural mais pas totalement faux. L’année dernière, le natif d’Abidjan avait occupé trois postes avant que Le Guen ne l’installe dans le couloir droit. Cette saison, il a déjà joué à gauche et dans l’axe. De son côté, Sessegnon n’est pas exempt de reproches. Depuis trois rencontres, il joue dans l’axe comme il le réclame régulièrement. Malheureusement, ses performances sont inconstantes. Il assume mal son nouveau statut. « Je ne me fais pas de souci, il va revenir à son meilleur niveau, anticipe Frédéric Hantz. Aujourd’hui, il vit un changement de statut qu’il faut assumer. Mais il est normal de passer par des étapes, une progression n’est jamais linéaire. » Paris va devoir apprendre à patienter, même s’il ne s’agit pas de la vertu la mieux partagée dans la capitale. « Ce qu’il vit est frustrant, mais c’est quelqu’un qui a énormément de caractère. Sur ce point, il a de l’avance, commente Makelele. Ce dont je suis certain, c’est qu’il ne doit pas modifier sa façon de jouer. Il ne faut pas lui enlever ses qualités de percussion, c’est important pour lui. » Frédéric Gouaillard Citation PSG EXPRESS Hier. Opposition à onze contre onze, durant laquelle Erding et Luyindula ont été alignés ensemble en pointe. Chantôme s’est contenté d’un footing. Aujourd’hui. Entraînement à 10 h 15 au camp des Loges. Infirmerie. Hoarau (genou). Suspendu. Sessegnon pour Boulogne - PSG, le 2 décembre. leparisien.fr |
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