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[Club] Revue de presse, Seulement les articles de la presse, aucun commentaire
Kiolm
posté 04/11/2009 22:14
Message #1421


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Christophe Jallet : « Le Parc me manque »

Double passeur décisif à Sochaux, Christophe Jallet revient sur cette rencontre avant d’aborder les futures échéances du PSG.

Christophe, samedi dernier tu as fêté tes 26 ans. Le lendemain à Sochaux tu as réalisé deux passes décisives. Tu te bonifies avec l’âge où tu t’es simplement offert un petit cadeau ?
« Un peu des deux. J’avais marqué à Valenciennes pour l’anniversaire de mon père, contre Lille pour celui de ma femme donc il fallait bien que je me fasse plaisir pour le mien (Sourires). C’est important et cela donne pas mal de confiance pour la suite. »

Plus sérieusement, il était indispensable de prendre trois points contre Sochaux afin de ne pas trop décrocher au classement…
« C’est sûr et à différents niveaux. Aussi bien pour la confiance que le bilan comptable. Ces trois points ne seront cependant « validés » uniquement si nous réalisons une bonne prestation et si nous battons Nice samedi. Notre objectif est de prendre un maximum de points jusqu’à la fin de l’année nous allons donc essayer de s'y tenir. »

Nice est plutôt en forme en ce moment y a t il des joueurs que tu redoutes en particulier ?
« Loïc Remy. C’est un vrai poison, un super attaquant qu’il faut surveiller tout le temps. Nice était en difficulté en début de saison, mais ils ont su rebondir. A l’image de Sochaux, les Niçois restent sur deux victoires, face à Nice et Le Mans. Je pense que la rencontre sera engagée et compliqué mais nous allons tout faire pour nous imposer. Sochaux restait également sur une bonne série et nous avons su la casser. »

Après un mois sans matches à domicile, l’ambiance du Parc te manque-t’elle ?
« Complètement ! Un mois sans jouer à domicile c’est très long. Comme nous n’avons pas joué à Marseille nous avons, en plus, joué moins que les autres. J’ai donc vraiment hâte de retrouver cette ambiance car le Parc me manque. »

Après quelques mois passés à Paris tu sembles totalement épanoui…
« C’est le cas. Je me sens vraiment bien ici et ma famille également. J’ai trouvé un super groupe avec un très bon état d’esprit. Je suis heureux d’être à Paris et j’espère que cela va durer. »

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keyzer söze
posté 05/11/2009 10:08
Message #1422


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Ce que risque le PSG

Les représentants du club parisien sont convoqués jeudi par la commission de discipline pour s'expliquer sur les incidents de la rencontre Monaco - PSG (0-2) du 13 septembre dernier.

Déjà sanctionné à plusieurs reprises par la commission de discipline de la Ligue, le PSG est de nouveau convoqué par l'instance ce jeudi. Ses dirigeants devront s'expliquer sur les incidents provoqués par ses supporters à Monaco (0-2) le 13 septembre : jets de fumigènes ayant provoqué une interruption du match pendant trois minutes.

La commission, présidée par l'ancien arbitre Pascal Garibian, prendra connaissance du rapport d'instruction et entendra les représentants du club. Il est peu vraisemblable qu'elle donne sa décision dans la soirée, mais devrait s'accorder une semaine pour délibérer. Côté parisien, le pessimisme est de rigueur, comme l'a déclaré une source parisienne à l'AFP: «Vue l'attitude de la Ligue a l'écart du club, la commission devrait entrer une nouvelle fois en voie de sanction. Mais ce match était à l'extérieur, à Monaco, où il y a une réglementation particulière et la logique voudrait que la sanction soit moins lourde qu'au Parc».

Plusieurs sanctions envisageables

Le panel des sanctions est assez vaste: le PSG pourrait écoper d'une sanction financière, d'un matchs à huis-clos. À ce sujet, le club parisien, sous le coup d'un huis clos avec sursis après PSG-Saint-Etienne en février et d'un autre partiel après PSG-OM en mars, pourrait voir ces sanctions se transformer en huis clos total. Dans le pire des cas, le club parisien pourrait être pénalisé d'un retrait de point(s).
Les dirigeants parisiens auront une idée de ce qui les attend ce soir, puisque leurs homologues de Montpellier, convoqués la semaine dernière pour une autre interruption de match (Nice - Montpellier (0-3) le 29 août), connaîtront la décision de la commission ce jeudi. - A.D.


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Fan de Camelia Jordana la nouvelle star!!!
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Dude
posté 05/11/2009 16:40
Message #1423


Léon Marchand de CulturePSG
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Foot - L1 - PSG
Traoré et le petit «animal»

Sammy Traoré est venu défendre, jeudi, l'idée que la victoire à Sochaux (4-1) n'aurait pas beaucoup de sens sans être bonifiée samedi contre Nice. «On a fait un gros coup à Sochaux maintenant, il faut récidiver contre Nice, a déclaré le défenseur. On restait sur deux matches nuls Nancy et Lyon et là on met quatre buts à l'extérieur. On a perdu trop de points, il faut enchaîner des victoires !».

En 4-2-3-1, encore? Traoré s'est montré séduit par l'organisation mise en place contre Sochaux après un début de saison en 4-4-2. «Steph (Sessegnon) avait émis le souhait de jouer plus axial, il a pu s'exprimer pleinement. Peguy (Luyindula) sur le côté, il est embêtant à charger. On reste compact en défense et on a notre petit animal qui travaille devant. Erding, il entre, il marque même s'il n'était pas à 100% de ses moyens. Il est super». Autre actualité plus personnelle: le retour programmé de «Papus» Camara en défense centrale après des soins pour phlébite n'inquiète pas Traoré. « Il va falloir qu'il se batte pour gagner sa place. Rien n'est acquis!»
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Kiolm
posté 05/11/2009 19:47
Message #1424


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Foot - L1 - PSG
Traoré défend les supporters


A l'évocation d'un match à huis clos partiel (contre Auxerre ?) que devra disputer le PSG suite aux incidents lors du match PSG-OM du 15 mars dernier et sous le coup d'un huis clos total après l'interruption du match Monaco-PSG, le 12 septembre, Sammy Traoré a pris la défense des supporters de la capitale. «C'est toujours embêtant de jouer sans les supporters de Boulogne et Auteuil. On aime bien sanctionner Paris non ? Je trouve qu'ils (les supporters) sont responsables dans l'ensemble. Il y a bien des jets de fumi mais ce n'est pas méchant». - Recueilli par Ch.M. au camp des Loges

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Kiolm
posté 06/11/2009 07:21
Message #1425


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Football, Ligue 1 / Report de Marseille - PSG
Le drôle de jeu de l’OM

Le report du match OM - PSG continue de faire des remous. Et ce malgré la réunion organisée mardi au ministère de l’Intérieur pour valider le déplacement des supporteurs parisiens à Marseille le 20 novembre pour cette rencontre et les conditions de leur voyage. Le communiqué du ministère, publié mardi, n’évoque pas noir sur blanc le principe de réciprocité entre les deux clubs pour le déplacement de leurs fans lors d’OM - PSG et de PSG - OM.
Cette question cruciale a pourtant été débattue lors de l’entrevue et actée de fait. A Marseille, les dirigeants continuent néanmoins de le nier.

La teneur de la réunion au ministère. Dans le communiqué, on peut lire : « Des mesures analogues de sécurité, adaptées aux circonstances du moment, seront prises pour le match retour. » C’est-à-dire limitation du nombre de billets (a priori autour de mille pour l’adversaire comme ce sera le cas le 20 novembre pour les Parisiens) et encadrement complet. Cette formule du communiqué, selon un participant de la réunion, a pour but de ménager la susceptibilité des supporteurs de chaque club. Pourtant, lors des débats, Michel Bart, le directeur de cabinet de Brice Hortefeux, a clairement évoqué la réciprocité entre les deux clubs au sujet du nombre de billets. En substance, le haut fonctionnaire a déclaré : « Il y aura réciprocité dans le respect de la sécurité (…) On peut tout expliquer aux supporteurs, mais il faut traiter PSG - OM comme OM - PSG. » Il a aussi parlé de « bulle » où doivent être placés les supporteurs afin d’éviter tout incident. Bart a enfin laissé entendre qu’un match à huis clos pourrait être envisagé pour le retour en cas de nouveaux dérapages.

La pression des fans marseillais. Contacté hier, Jean-Claude Dassier, le président olympien, reste sur la même ligne : « C’est une invention. Nous avons fait une mise au point par Cédric Dufoix, présent à la réunion, et Antoine Veyrat. Il n’est pas question d’une quelconque réciprocité, martèle l’ancien patron de LCI. La seule réciprocité sera dans les moyens de police mis en place par les pouvoirs publics. Mais il est hors de question que cela concerne les moyens de transport et les quotas de billets. » Si les responsables marseillais agissent ainsi, c’est qu’ils savent que leurs supporteurs ne veulent pas entendre parler d’un nombre de places limitées au match retour. Ils l’ont fait savoir à Dassier lors d’une réunion houleuse samedi soir. En interne, à l’OM, on souhaiterait que cette mesure soit imposée par les pouvoirs publics afin de ne pas devoir l’imposer aux ultras.

Arnaud Hermant (avec M.G. à Marseille)

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« Il y aura réciprocité au match retour »
JEAN-PIERRE HUGUES, directeur général de la LFP

Le directeur général de la L igue de football professionnel évoque le PSG - OM du 28 février 2010.

Vous étiez au ministère de l’Intérieur mardi. Le principe de réciprocité entre les deux clubs a-t-il été évoqué ?
Jean-Pierre Hugues. Oui, il a bien été évoqué et s’exercera au match retour.
Pour le ministère de l’Intérieur, il y a obligation qu’il y ait autant de précautions de prises en matière de sécurité pour les deux rencontres. Le communiqué du ministère ne donne ni chiffre ni autres précisions sur le déplacement des supporteurs.

Pourquoi Antoine Veyrat, le directeur général de l’OM, dit-il le contraire ?
A la Ligue, nous trouvons le communiqué très clair. Il se suffit à lui-même, nous n’avons pas de commentaire à faire. Monsieur Veyrat fait ce qu’il veut. Je crois que ce principe de réciprocité ne plaît pas aux supporteurs de Marseille et qu’il y a des pressions exercées. Aujourd’hui, faisons en sorte que le match du 20 novembre se passe bien, on verra ensuite pour celui de fin février. Il y a du boulot.

Propos recueillis par A.H.

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Commission de discipline
Le PSG ne se fait pas d’illusions


La commission de discipline de la Ligue a mis en délibéré sa décision concernant les incidents qui avaient provoqué l’interruption de Monaco - PSG le 13 septembre. Le PSG devra donc attendre plusieurs jours, voire quelques semaines, pour savoir s’il écope d’un match à huis clos ou, pis, d’un retrait de point. Philippe Boindrieux, directeur général, Jean-Philippe D’Hallivilée, directeur de la sécurité, et Romain Voillemot, responsable juridique, ont été reçus au siège de la LFP pour s’expliquer.
En quittant les lieux vers 21 h 30, ils ne se faisaient pas beaucoup d’illusions sur la sentence, mais exprimaient leur intention de faire appel dans n’importe quel cas.
Après avoir entendu le rapport de l’instructeur (un ancien policier), les membres de la commission de discipline ont interrogé les représentants parisiens sur deux points. Ils ont d’abord cherché à savoir pourquoi les stewards n’étaient pas intervenus pour empêcher les supporteurs de « craquer » des fumigènes. Le PSG a expliqué que ce type d’intervention engendre de nombreux risques. La Ligue s’est également émue de la présence d’interdits de stade (IDS) dans les tribunes de Louis-II. Monaco appartenant à une juridiction différente, les IDS n’ont aucune obligation de pointer au commissiariat quand des matchs se tiennent en Principauté et ils peuvent même y assister.

Un délai de réflexion


« On ne sent pas soutenus par nos instances, déplorait Philippe Boindrieux en quittant le siège de la Ligue. On est souvent condamnés pour la forme et pour servir d’exemple au football français. »
Le PSG a en effet essuyé lundi une nouvelle déconvenue. Le tribunal administratif a refusé la demande de suspension de la sanction de huis clos partiel (fermeture des tribunes Boulogne et Auteuil) infligée au club pour les incidents lors de PSG - OM le 15 mars. Les Parisiens ont tenté un dernier recours devant le Conseil d’Etat. Cette démarche n’étant pas suspensive, la sanction pourrait être applicable d’ici la fin du mois. Toutefois, la Ligue, pour éviter tout retournement de situation en sa défaveur, se donne un délai de réflexion avant de choisir la date du huis clos partiel.

Montpellier a été sanctionné hier d’un match à huis clos, par révocation du sursis, pour le comportement de ses supporteurs lors de Nice - Montpellier le 29 août (jets de fumigènes provoquant 22 min d’interruption).

Sylvie De Macedo et Laurent Perrin

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Ballack Odrama
posté 06/11/2009 10:15
Message #1426


Bloodbuzz Hoarau
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Paris refuse de prêter Arnaud

Lanterne rouge de Ligue 2 avec seulement 13 buts inscrits depuis le début de la saison, le Racing Club de Strasbourg a tenté d'obtenir le prêt de Loris Arnaud, jeune attaquant de 22 ans du Paris Saint-Germain. Les dirigeants du club de la capitale ont refusé cette option, selon Le Parisien. L'international Espoirs, qui a subi une rupture des ligaments croisés du genou droit il y a un an, n'a pas disputé la moindre rencontre de Ligue 1 cette saison.


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Ce que fait Zlatan avec une orange, je le fais avec un sandwich.

Roses are red, violets are blue, mange mon Giant Max sale fils de pute.
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Peyton
posté 06/11/2009 12:37
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Le plaisir selon Jallet

Arrivé au PSG dans l’anonymat, le milieu polyvalent est la grande surprise du début de saison. Et un bonheur pour son entraîneur.

CHRISTOPHE JALLET au PSG ? Un Christophe Landrin bis. Un nouveau Stéphane Pichot. Une trajectoire à la David Hellebuyck. Les réactions estivales au transfert du milieu lorientais à Paris se voulaient presque toutes aussi péremptoires que pessimistes. Jallet avait beau avoir réussir trois saisons pleines chez les Merlus, sa progression serait forcément interrompue à Paris, c’était écrit.

Trois mois plus tard, ses statistiques décoiffent. Avec quatre passes décisives et deux buts, Jallet est le Parisien le plus souvent impliqué dans les buts de son équipe. Il est aussi celui qui a évolué dans le plus de postes différents avec toujours la même régularité : milieu droit dans un schéma en 4-3-3 puis en 4-2-3-1, arrière droit ou encore arrière gauche. Quand d’autres tirent une tête de dix pieds parce qu’ils préféreraient être utilisés dans tel ou tel registre, Jallet prend le sien à chaque fois qu’il foule le terrain. « Vous pourriez le faire jouer gardien, il s’éclaterait, assure Benjamin Genton, son ancien coéquipier à Lorient. Son meilleur poste, c’est latéral droit. Mais, il lit aussi très bien le jeu, il anticipe les coups et peut jouer en défense centrale avec efficacité. En plus, il a une très bonne première relance. » Jusqu’à présent, c’est surtout comme milieu droit qu’Antoine Kombouaré compte sur lui. Et l’ex-Lorientais n’a jamais trahi la confiance de son entraîneur, au point qu’aujourd’hui, il se rapproche un peu plus d’un statut de titulaire en puissance. « Je n’aime pas trop ce mot “statut”, coupe Jallet. Ça revient à dire qu’il n’y a que onze joueurs capables d’être titulaires. Moi, je pense qu’on est tous prétendants. » Seulement, quand les performances des uns les rapprochent du banc, les siennes l’en éloignent un peu plus à chaque weekend. « Je sais qu’au niveau des stats, je suis déjà, en dix matches (9 en L 1, 1 en Coupe de la Ligue), au-dessus de ce que j’ai fait avec Lorient en une saison, reprend-il. Mais, jouer à Paris m’a permis d’éleve rmon niveau. Je suis entouré de joueurs de grande qualité et, même si on a pu douter légèrement pendant un mois, on sait qu’on est capables de faire de grandes choses cette saison. »

Réjoui, épanoui, sûr de lui et de son choix, Christophe Jallet est pourtant loin de l’image show et paillettes du club. « J’ai toujours rêvé de jouer à Paris, mais honnêtement, jusqu’en mai dernier, lorsqu’on m’a contacté, je n’y pensais pas, sourit ce défenseur milieu passeur-buteur de vingt-six ans. Aujourd’hui encore, je ne réalise pas toujours. J’avais des frissons avant d’entrer dans le Parc pour ma première titularisation, contre Lyon (1-1, le 20 septembre). Des fois, quand je vais à l’entraînement, c’est comme si j’allais à l’entraînement à Niort et que je retrouvais mes potes. Je prends juste du plaisir. Mais, c’est sans doute ce qui fait ma force. »

DAMIEN DEGORRE


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Kiolm
posté 06/11/2009 18:19
Message #1428


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Foot - L1 - PSG
Kombouaré : «Nice, mieux que nous»

Avant de retrouver samedi le Parc des princes, où le PSG n'a plus joué depuis plus d'un mois, Antoine Kombouaré a tenu à mettre en garde son équipe après sa large victoire à Sochaux, le week-end dernier (4-1). Car Nice, son prochain adversaire, débarque aussi dans la capitale avec le plein de confiance, emmagasiné suite à ses deux succès d'affilée. «Ils ont pris neuf points sur douze lors des quatre derniers matches, a rappelé vendredi le coach parisien en conférence de presse. C'est mieux que nous ! »

« Rester maîtres chez nous »

«Pas superstitieux» pour un sou mais observateur, Kombouaré a aussi noté que quatre anciens Parisiens figuraient désormais dans l'effectif niçois (Hellebuyck, Mabiala, Paisley et Letizi). «Les ex-Parisiens veulent toujours briller contre leur ancienne équipe, c'était mon cas aussi, j'avais envie de gagner», a-t-il relevé. Néanmoins un homme averti en vaut deux. «Il faut rester maître chez nous, a insisté le technicien, et ça passe par une victoire».

Sessegnon «peut faire beaucoup plus»

Sans Zoumana Camara, à nouveau laissé à disposition de la réserve, Kombouaré attend de son équipe une performance telle que celle réalisée dans le Doubs. Malgré tout, «les trois points contre Sochaux ne seront valables qui si on gagne demain (samedi)», a-t-il prévenu. Pour ce faire, il compte à nouveau replacer Stéphane Sessegnon dans l'axe, à «la place où il peut être efficace», même «s'il s'inscrit dans le collectif». «Il peut faire beaucoup, beaucoup, beaucoup plus, a toutefois annoncé son entraîneur. (...) J'ai le sentiment que quand il y a moins de pression (médiatique) sur les joueurs, on se laisse aller.» - Avec Ch. M., au Parc des Princes.

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Kiolm
posté 06/11/2009 19:07
Message #1429


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Camara absent, Makelele revient


Antoine Kombouaré s'est montré prudent au moment de composer son groupe, à la veille du match de samedi face à Nice. L'entraîneur parisien n'y a pas inclus le nom de Zoumana Camara, par mesure de précaution et surtout pour permettre à son défenseur de retrouver le rythme de la compétition, après trois mois d'absence dûs à une phlébite. «J'attends que "Papus" enchaîne les matches avec la réserve», a-t-il expliqué, sans préciser pour autant le moment où il se décidera à l'appeler de nouveau en équipe première.

Par ailleurs, suspendu à Sochaux (4-1), Claude Makelele effectue logiquement son retour. Le capitaine parisien devrait aussi retrouver sa place dans l'entrejeu, et ce même si en son absence, Clément Chantôme a parfaitement assuré l'intérim. Enfin légèrement touché au dos, et sorti en seconde période dans le Doubs, dimanche dernier, Sammy Traoré a semble-t-il bien récupéré puisqu'il est lui aussi bien présent.

Le groupe parisien :

Coupet, Edel - Armand, Bourillon, Ceara, Sakho, Traoré - Clément, Chantôme, Clément, Makelele, Ngoyi, Sankharé, Jallet, Arnaud, Sessegnon - Erding, Giuly, Luyindula

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11G
posté 07/11/2009 02:25
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Paris retrouve son Parc

Sur le chemin de la rédemption après avoir retrouvé la victoire, Parisiens (10es) et Niçois (14es) s'affrontent ce samedi à 19 heures au Parc des Princes en espérant confirmer leur bonne forme. Ce match permettra également à Larrys Mabiala, désormais chez les Aiglons, d'effectuer son retour au Parc des Princes.

LES ENJEUX
Après cinq résultats mitigés (3 nuls, 2 défaites), le Paris Saint-Germain a retrouvé de belles couleurs le week-end dernier face à Sochaux (4-1). La machine n'est plus grippée et les coéquipiers de Mevlut Erding espèrent bien poursuivre leur remontée vers les hauteurs du classement. Ils doivent en outre reconquérir le Parc des Princes, où ils n'ont plus évolué depuis un mois ! Du côté de Nice, après la claque subie à Lorient (1-4), l'heure est aux sourires puisque les Aiglons viennent d'enchaîner deux succès de suite (Lyon 4-1 et Le Mans 1-0). La confiance est là.

L'ETAT DE FORME
La mise en quarantaine est oubliée, la grippe A s'est évaporée en même temps que la victoire est revenue dans le camp parisien. Seuls Guillaume Hoarau (genou) et Zoumana Camara, toujours en phase de reprise après sa phlébite au mollet, sont indisponibles. Tout le reste de l'effectif est à disposition d'Antoine Kombouaré, qui pourrait aligner de nouveau un 4-2-3-1 avec Luyindula à gauche, Sessegnon dans l'axe et Giuly à droite. Erding serait alors en pointe, prêt à inscrire son quatrième but de la saison. Pour les Niçois, une seule absence est à noter, mais pas des moindres : celle de Julien Sablé. Celui qui revit véritablement sur les bords de la Méditerranée après son passage sans éclat du côté de Lens, souffre d'une lésion à la cuisse droite. Il doit déclarer forfait et ne pourra pas aider ses partenaires qui n'ont plus connu la victoire loin de leur base depuis le 8 août. Ça fait long.

LES PRÉCÉDENTES CONFRONTATIONS
En Ligue 1, les Niçois se sont déjà déplacés à 24 reprises du côté du Parc des Princes. Et ils apprécient régulièrement leur montée dans la capitale, puisqu'ils n'y ont perdu que dix fois. Toutefois, la saison dernière, ce sont bien les coéquipiers de Guillaume Hoarau qui s'étaient imposés (2-1) et le Réunionnais avait même marqué. Blessé au genou, il sera absent. Aux Aiglons d'en profiter.

LE MATCH DANS LE MATCH : TRAORÉ CONTRE MABIALA
Le parallèle est frappant. Il y six mois à peine, ils étaient encore partenaires. Concurrents même. Désormais, ils sont adversaires. Car si Sammy Traoré est bien resté au Paris Saint-Germain, Larrys Mabiala a, lui, quitté le club de la capitale cet été pour trouver du temps de jeu. Il a donc atterri à Nice. Un club que connaît bien Traoré pour y avoir passé trois saisons. Les deux défenseurs de métier, désormais titulaires au sein de leur formation respective, resteront, malgré leurs points communs, adversaires avant tout...


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Homer
posté 07/11/2009 10:00
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Paris doit maintenant gagner sur ses terres


Relancé par sa victoire à Sochaux, le PSG a l’obligation de s’imposer ce soir face à Nice. La dernière victoire à domicile remonte déjà au 30 août.

La belle victoire à Sochaux (4-1), dimanche dernier, n’a pas suscité de longs commentaires. Entre le report du match OM - PSG, la question du déplacement des supporteurs et la confirmation du huis clos partiel, l’actualité dense du club parisien n’a pas laissé beaucoup de place au volet sportif. L’immense majorité des joueurs ne s’en plaindra pas, tant il est plaisant à Paris de se préparer à l’écart des projecteurs.

Ce soir, pour la réception de Nice, les regards seront aussi immanquablement tournés vers les tribunes. Les supporteurs ont préparé plusieurs banderoles de protestation contre la Ligue, coupable à leurs yeux de s’acharner sur eux. Les messages ne seront sans doute pas accompagnés d’une flambée de fumigènes. Car jusqu’au 1er janvier, à la suite d’une décision préfectorale, les associations n’ont toujours pas accès à leurs locaux du Parc en semaine, ce qui rend plus compliqué l’introduction d’engins pyrotechniques.

Un mois loin de ses bases

Les tensions extrasportives n’ont pour l’heure aucun impact sur l’équipe. La victoire à Sochaux a été vécue comme un gros soulagement. Afin de poursuivre la lente remontée au classement, il faut immédiatement enchaîner avec un nouveau succès. « Notre victoire à Sochaux ne sera valable que si on bat Nice, estime Antoine Kombouaré. C’est un match à ne pas rater. Il faut prendre les trois points à tout prix pour préparer notre déplacement à Marseille (NDLR: le 20 novembre) dans les meilleures conditions. »
Bizarrerie du calendrier, le PSG n’a pas évolué au Parc depuis plus d’un mois. Une éternité… Après deux matchs nuls 1-1 concédés face à Lyon puis Nancy, les Parisiens doivent vite retrouver le goût de la victoire à domicile, la dernière en date remontant au… 30 août. « On a déjà perdu quatre points au Parc, c’est beaucoup trop, s’agace l’entraîneur du PSG. Je suis hyper exigeant avec mes joueurs parce que je sens qu’il y a le potentiel. On a envie de rejouer au Parc, mais on a surtout envie de gagner. » Quatorzième de L 1, Nice ne représente pas un obstacle infranchissable. Mais Kombouaré rappelle la bonne dynamique des Aiglons, qui ont remporté trois de leurs quatre dernières rencontres, dont un mémorable 4-1 face à Lyon. « Ils ont retrouvé confiance et les quatre anciens Parisiens (NDLR: Paisley, Hellebuyck, Gace et Mabiala) voudront briller. » Didier Ollé-Nicolle, l’entraîneur de l’OGC Nice, fait profil bas mais n’exclut pas une belle surprise. « Le PSG a une bonne maîtrise du jeu et des individualités offensives. Il faut surtout faire attention à Erding et Sessegnon.
On a néanmoins un coup à jouer à condition d’être dans un grand jour. »


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Ce que le succès à Sochaux a changé

La victoire à Sochaux marquera-t-elle un tournant dans la saison du PSG ? Le changement tactique (un 4-2-3-1 à la place de l’habituel 4-4-2) s’est révélé extrêmement efficace et pourrait être reconduit ce soir par Antoine Kombouaré. « On était bien, confirme Sammy Traoré. On a été très compacts et on a pu se projeter plus vite vers l’avant.» Mercredi, lors d’un entraînement à huis clos, ce dispositif a été de nouveau travaillé. « Peu importe le système, le plus important, c’est l’animation », confiait hier le coach pour tenter de brouiller les pistes. Décryptage des gagnants et des perdants de ce changement tactique.

Les gagnants
Abonné au couloir gauche, Sessegnon avait souvent demandé à son entraîneur de glisser dans l’axe. Sa prestation à Sochaux a été encourageante mais pas totalement convaincante. « Il s’inscrit dans un collectif, explique Kombouaré. Je ne le fais pas jouer à la place qu’il souhaite mais à la place où il est le plus utile à l’équipe. Il peut faire beaucoup mieux qu’à Sochaux. » Certains restent sceptiques. « Sessegnon me rappelle Okocha, dit un familier du PSG. Il est spectaculaire mais souvent maladroit dans ses derniers gestes. » Malgré son manque de réalisme, Luyindula apporte beaucoup côté gauche. Kombouaré apprécie sa vitesse et sa capacité de percussion. Erding est, quant à lui, indispensable. Puissant, rapide et efficace, « il pèse et fait peur à l’adversaire », résume son entraîneur. Jallet est, lui aussi, l’un des grands gagnants du remodelage parisien. Milieu droit, il a été impliqué sur trois des quatre buts de son équipe. Avec de telles statistiques, difficile de le remettre sur le banc. Concernant Chantôme, qui devrait retrouver le banc, l’entraîneur parisien dit ceci : « J’attendais qu’il montre des choses, il a gagné des points mais il doit le montrer sur la durée. »

Les perdants
Encore indisponible plusieurs semaines en raison de sa blessure au genou droit, Hoarau pourrait faire les frais du changement tactique si les promesses observées à Sochaux se confirment. Sans lui, le jeu est plus rapide et se joue au sol. Cela colle mieux aux qualités d’Erding ou Luyindula. Giuly a sans doute perdu du terrain le week-end dernier car la comparaison avec Jallet est de moins en moins à son avantage. Enfin, Makelele, absent dimanche car suspendu, n’est plus sur un piédestal. Offensivement, Chantôme apporte davantage. « Claude peut jouer dans tous les systèmes », estime Kombouaré avant de conclure : « Je le répète, le système n’est pas important. »


Citation
Ceará : « Je ne suis pas comme les autres »

Sur sa casquette, on peut lire « Jésus, j’adore ». A côté de son statut de joueur du PSG, le Brésilien prêche aussi la bonne parole. Ce footballeur pasteur organise tous les jeudis soir des réunions sur Dieu. « J’ai invité presque tout l’effectif à y participer. Mais peu sont venus », raconte-t-il. Avant ce match si primordial contre Nice, Ceará se confie.

La victoire est-elle impérative ce soir pour confirmer votre bon résultat (4-1) à Sochaux ?
Ceará. En effet. Nous avons besoin d’enchaîner plusieurs victoires pour effacer nos mauvais résultats de ces deux derniers mois. Notre situation n’est pas catastrophique mais depuis septembre, nous avons chuté de la 2e à la 10e place. Nous devons retrouver un classement digne de notre statut ! Le retour d’Erding nous fait beaucoup de bien. Les faits sont là. Sans lui, nous n’avons gagné aucun match de L 1.

Antoine Kombouaré estime que vous devriez apporter plus offensivement. Etes-vous d’accord ?
C’est vrai. Je ne suis pas encore à mon meilleur niveau. Mais si j’hésite à monter, c’est pour ne pas mettre en danger la défense car on nous demande aussi de tout faire pour ne pas encaisser de but. Par ailleurs, depuis le début de saison, j’ai dû m’adapter au jeu de Giuly, puis à celui de Jallet. C’est plus difficile de trouver des automatismes.

Vous parlez désormais parfaitement français. Avez-vous réussi à vous lier d’amitié avec certains de vos coéquipiers ?
Je suis un homme assez réservé. Je m’entends très bien avec tous les joueurs. Mais je ne les fréquente pas beaucoup à l’extérieur du camp des Loges. Je consacre mon temps libre à ma famille. Je pense que mon dévouement à Dieu constitue aussi un obstacle.

C’est-à-dire ?
Certains joueurs n’aiment pas parler de religion. Ça les gêne. Or, c’est essentiel dans ma vie. Je n’ai pas les mêmes centres d’intérêt qu’eux. J’ai bien compris qu’en France la foi relève de la sphère privée. Mais il m’est difficile de me rendre à des dîners si je ne peux pas parler de Dieu. Je ne suis pas un joueur comme les autres.

Au Brésil, était-ce mieux accepté ?
Un peu plus mais j’ai aussi été victime de discrimination. En 1998, lorsque j’étais au centre de formation de Santos, mon président m’a interdit de pratiquer ma religion. J’ai refusé, il m’a renvoyé. Jamais je ne renoncerai à Dieu, quitte à sacrifier ma carrière.

Vous êtes à Paris depuis deux ans. Vous sentez-vous un peu français ?
Je serai toujours brésilien. Mais je m’attache de plus en plus à ce pays. J’aimerais d’ailleurs que mes trois enfants aient la nationalité française. Nous nous sommes habitués aux traditions hexagonales. Aujourd’hui, mon plat préféré, c’est la raclette !

Si vous n’étiez pas devenu joueur de foot, qu’auriez-vous fait ?
Ma famille était trop pauvre pour me payer des études. Je pense que j’aurais travaillé dans une usine ou dans les champs. Ou alors je me serais engagé dans la police. Mais je n’aurais pas le même salaire qu’aujourd’hui.
(Sourires.)

Que faites-vous de votre argent ?
Je ne suis pas du genre à faire des folies. J’ai investi dans des projets immobiliers au Brésil. Je donne aussi 10 % de mon salaire à ma paroisse (NDLR : il touche environ 100 000 € brut mensuels) et je finance des missions évangélistes. Je dois tout à Dieu. Je le remercie comme je peux.


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Homer
posté 07/11/2009 13:30
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PSG, Le Film

Canal + consacrera une soirée événement à la célébration du quarantième anniversaire du PSG, en diffusant en juin 2010 un film d’environ une heure et demie sur l’histoire du club. Le club de la capitale a confié la réalisation de ce documentaire à la société de production Elephant & Cie, d’Emmanuel Chain, un ami du président Leproux.
Ce film a déjà été acheté par Canal +. La chaîne gardera « un contrôle éditorial », comme le signale Cyril Linette, directeur du pôle sport de Canal +. Ce documentaire va retracer les riches heures du PSG mais aussi ses heures plus sombres.


Le Parisien


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guiclay
posté 07/11/2009 22:51
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Coupet : «On s'est pris une chiasse !»


Les Parisiens n'ont voulu s'exprimer à l'issue de la défaite concédée face à Nice (0-1), samedi soir. Seul Grégory Coupet a ses responsabilités et c'est à sa façon, qu'il a expliqué comment Antoine Kombouare à jugé ce revers au Parc, le premier de la saison à domicile.

«Vous connaissez le coach, on a pris une belle chiasse dans le vestiaire, a-t-il affirmé. Est-ce inquiétant ? Bien sûr. Quand on n'arrive pas à gagner contre Nice à la maison, on ne va pas aller à Marseille en pleine confiance. Le coach avait les boules. Il n'est pas le seul. On s'attend à quinze jours difficiles, le coach va être tendu et il va falloir se plier à ses exigences, il va falloir bosser...»

L'entraîneur parisien a fait part d'une «énorme déception». «Je suis en colère parce que je m'attendais à un autre match». Parmi les reproches adressés à ses joueurs : le manque d'efficacité. «On est capables de défendre, de jouer, de se créer des situations. Mais une grande équipe doit répondre présent le jour J, et je me mets dedans. On s'est cru une grande équipe, il va falloir se remettre au boulot.» - C.MICHEL au Parc des Princes (Avec AFP)



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sylvain
posté 08/11/2009 00:22
Message #1434


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France Football (extrait des réactions)

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Antoine Kombouaré (entraîneur du Paris-SG) :
«C'est une énorme déception. Déjà, c'est la première défaite à domicile. Je n'accepte pas, ça a du mal à passer. Je suis en colère parce que je m'attendais à un autre match. Je félicite cette équipe de Nice, qui a su se montrer solide, ils ont laissé passer l'orage et nous ont fait mal. Il fallait plus de mouvements. Sur le plan technique, on aurait pu réussir de meilleurs enchaînements. On est tombé sur une équipe de Nice au milieu très fourni, et on a eu du mal à trouver les intervalles. Quels reproches j'adresse à mes joueurs ? Le manque d'efficacité. On est capables de défendre, de jouer, de se créer des situations. Mais une grande équipe doit répondre présent le jour J, et je me mets dedans. On s'est cru une grande équipe, il va falloir se remettre au boulot. On a encore un long chemin à faire. Il faut faire plus; la victoire il faut la vouloir. J'avais dit que la meilleure façon de préparer le match à Marseille, c'était de gagner contre Nice. Tant pis, il faut se remettre à bosser. On est convalescent et il nous reste beaucoup de boulot. Après Sochaux j'étais content mais vigilant. J'attendais une confirmation, ce n'est pas arrivé: ce n'est pas grave, on va reprendre le boulot».


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sylvain
posté 08/11/2009 00:35
Message #1435


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Makelele manquera Marseille

Le capitaine du Paris SG, Claude Makelele, averti contre Nice (1-0), sera suspendu pour le déplacement à Marseille, le 20 novembre, en match en retard de la 10e journée de L1. Le milieu de terrain était sous le coup d'une suspension depuis la sanction - un match de suspension ferme et un autre avec sursis- que lui a infligé la commission de discipline pour un geste dangereux sur le Lorientais Diarra le 26 septembre (7e journée, 1-1). Il a purgé son match de suspension à Sochaux dimanche dernier (victoire parisienne 4-1). Son sursis tombe avec le nouvel avertissement reçu samedi


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sylvain
posté 08/11/2009 01:56
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Paris retombe dans ses travers.

Une semaine après son large succès à Sochaux (4-1), le Paris-SG n'est pas parvenu à confirmer contre Nice (0-1). Comme trop souvent, il a craqué en fin de match.

La victoire obtenue à Sochaux (4-1) n'aura été qu'un feu de paille. Le Paris-SG est retombé dans ses travers contre Nice (0-1) samedi. Incapables de traduire leur domination au tableau d'affichage, Mevlut Erding et ses équipiers se sont faits punir en fin de match sur un contre assassin de Loïc Rémy (88e). Ils stagnent à une décevante douzième place en attendant les matches de dimanche et leur déplacement en retard à Marseille, le 20 novembre prochain. Pour les protégés d'Ollé-Nicolle, ce troisième succès d'affilée est synonyme de dixième place. On ne les avait plus vus dans la première partie de tableau depuis la deuxième journée.

Positionnés en 4-2-3-1 comme dans le Doubs avec Chantôme, Giuly et Jallet titulaires, les joueurs d'Antoine Kombouaré se sont montrés bien trop statiques pour désorganiser le bloc niçois. Leur domination stérile n'a débouché sur aucune occasion franche en première période malgré quelques fulgurances de Stéphane Sessegnon et une kyrielle de coups de pied arrêtés. En face, Nice s'est montré sérieux, appliqué et à l'affût de la moindre contre-attaque. Une grosse bourde de Sammy Traoré juste avant la pause aurait pu profiter à Bagayoko sans un énorme retour de Mamadou Sakho (45e).

La barre pour Erding et Sessegnon

Plus dangereux que son adversaire, à l'image de Loïc Rémy (33e) et Mounier (56e), les Aiglons ont continué à subir pour mieux se projeter vers l'avant. Côté parisien, la menace s'est précisée, mais la réussite n'a pas été au rendez-vous. A la retombée d'une frappe d'Erding repoussée par Ospina, Giuly a échoué sur la transversale du portier colombien (68e). Il a été imité dans la foulée par Stéphane Sessegnon (72e). Paris venait de laisser passer sa chance. Sa première défaite de la saison à domicile s'inscrit dans la crise de résultats qui semble sévir depuis quelques semaines. Sur les sept dernières journées, il n'a pris que 6 points sur 21 possibles... - E. T.


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sylvain
posté 08/11/2009 10:28
Message #1437


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Une rechute qui fait très mal au PSG

Piégé par Nice, Paris est retombé dans ses travers. Cet échec, le premier à domicile de la saison, ne manque pas d’inquiéter avant le périlleux déplacement à Marseille du 20 novembre.


Le doute n’est plus permis, le PSG est bien malade. Et il n’est plus question de la grippe A. En subissant sa première défaite de la saison à domicile face à Nice (1-0), l’équipe parisienne s’enlise dangereusement. Avec deux petits points pris lors de ses trois dernières sorties au Parc, et seulement une victoire lors de ses sept derniers matchs, Paris sombre en plein doute et ne doit plus se faire de grandes illusions sur sa saison.
Collectivement, cette équipe n’a pas l’étoffe pour jouer les premiers rôles en L 1. Le 20 novembre, les Parisiens se déplaceront au Stade-Vélodrome en modestes outsiders et sans Claude Makelele, suspendu. Les deux semaines de préparation vont être pénibles. L’analyse est facile, les solutions moins évidentes.

Cette équipe ne progresse pas. Les matchs se suivent et le constat perdure. Le PSG ne progresse pas.
Collectivement, il semble même régresser. Brillant face à Lyon (1-1) et dominateur contre Nancy (1-1) lors de ses deux précédents rendez-vous au Parc des Princes, il s’est montré fébrile et brouillon hier soir. Incapable de concrétiser ses occasions, quand elle s’en est créé, l’équipe parisienne a livré face à Nice un de ses matchs les moins aboutis de la saison. Défensivement, elle continue d’encaisser au moins un but par rencontre, presque toujours dans le dernier quart d’heure. Tant que ces buts seront concédés sur des erreurs individuelles comme celles de Sakho sur le but de Rémy, le problème apparaît insoluble.

Antoine Kombouaré était particulièrement énervé hier après le match. Même si son équipe ne méritait pas de perdre, elle n’avait pas livré une prestation rassurante. Le coach commence à douter de la valeur de son groupe. Il l’a dit en conférence de presse. Le plus optimiste depuis le début de saison, Grégory Coupet, qui n’hésitait pas à parler du titre cet été, pense la même chose. Si les nouveaux Parisiens cèdent à la résignation, la suite de l’exercice 2009-2010 s’annonce pénible car les plus anciens au club ont pris l’habitude de vite baisser pavillon lorsque les difficultés s’amoncellent. Kombouaré va devoir démontrer ses talents de psychologue pour remonter le moral des troupes.

L’OM en point de mire.

En raison des nombreuses absences (Erding convalescent, Sakho, Clément et Giuly grippés), certains membres du club n’étaient pas forcément mécontents du report de OM - PSG le 25 octobre dernier. Le 20 novembre prochain, Paris devra se passer de Hoarau (blessé) et Makelele (suspendu). Le contexte entourant ce match s’annonce particulièrement tendu et les joueurs marseillais seront remontés. A cause de sa première défaite à domicile, Paris, piètre douzième de L 1, ira à Marseille avec une réelle pression. Il n’avait déjà pas besoin de ça alors que le spectre de la crise automnale se précise.

Trois voitures garées à proximité du Parc des Princes ont été incendiées après le match.


Citation
LE MATCH


PSG - NICE 0-1 (0-0)
Spectateurs : 36 300 environ. Arbitre : M. Gautier.
But. Rémy (88e).
Avertissements. PSG : Makelele (27e) ; Nice : Coulibaly (30e), Gace (83e). PSG : Coupet - Jallet, S. Traoré, Sakho, Armand - Makelele (cap.), Chantôme (Ngoyi, 60e) - Giuly (Sankharé, 70e), Sessegnon, Luyindula - Erding.
Entraîneur : Kombouaré.
Nice : Ospina - Mabiala, Apam (cap.), Paisley, Gace - K. Coulibaly (M. Traoré, 76e), Diakité - Rémy, Hellebuyck, Mounier - Bagayoko. Entraîneur : Ollé-Nicolle.

LE BUT
88e. A la suite d’un coup franc mal tiré par Sessegnon, les Niçois partent en contre. Mounier, côté gauche, centre pour Rémy, seul au second poteau. La puissante tête croisée de l’attaquant ne laisse aucune chance à Coupet. 0-1

LE FAIT DU MATCH
68e et 72e. Par deux fois les Parisiens tirent sur la barre. Giuly d’une jolie reprise puis Sessegnon d’une frappe très puissante font trembler la cage d’Ospina qui était battu.

LE CHIFFRE
7 Le but inscrit par le Niçois Rémy est le septième encaissé cette saison par les Parisiens dans le dernier quart d’heure, sur les douze concédés au total. Paris a ainsi laissé filer cinq points entre la 75e et la 90e minute.


Citation
Nice plonge le PSG en plein doute : 1-0


Alors que les Parisiens s'étaient procuré de nombreuses occasions, butant sur le gardien niçois Ospina, c'est le jeune international Loïc Rémy qui a donné la victoire à l'OGC Nice (88').


Paris n'a pas su confirmer son réveil sochalien. Battu en fin de match par Nice (0-1), le PSG paie son manque d'efficacité, à l'image des trois tentatives qui ont échoué sur les montants du but niçois. Au classement, le PSG chute au 12e rang et a gâché toute la confiance accumulé dans le Doubs, à treize jours d'un bouillant clasico contre Marseille au Vélodrome.


Un match qui se jouera sans Claude Makelele, suspendu après son avertissement reçu à la 37e minute.

Sessegnon remuant, Jallet inspiré

Convaincu par la belle prestation de son équipe à Sochaux, Antoine Kombouaré avait décidé de réitérer le système en 4-2-3-1 avec Erding seul pointe, Giuly sur le côté droit et Chantôme au soutien de Makelele. Un choix qui muscle le début de match des Parisiens. Très mobiles et insiprés autour d'un Sessegnon remuant, les Parisiens bousculent un bloc niçois très regroupé. Giuly déclenche la première frappe sur une mauvaise relance azuréenne mais son ballon est contré (4e).

Dans la lignée de sa performance dans le Doubs, Jallet est très saignant au poste d'arrière droit et n'hésite pas à prêter main-forte à ses attaquants. Sur un centre au deuxième poteau de l'ex-Lorientais, Chantôme se retrouve tout seul mais sa reprise de la tête file directement dans les gants d'Ospina (17e).

Nice encaisse et réagit sous l'impulsion d'un Rémy, auteur d'une belle frappe de 20 mètres que Coupet détourne en corner (33e). Mais c'est finalement sur une erreur de Traoré qui laisse filer Bagayoko sur une passe en retrait de Giuly que le PSG se fait sa plus belle frayeur en première période. L'avant-centre niçois s'avance seul devant Coupet mais le retour in-extremis de Sakho l'oblige à frapper au dessus (44e).

Trois tirs parisiens sur les barres

Pressant plus haut en deuxième période, Nice gène beaucoup plus le PSG qui peine à contourner le bloc azuréen. A l'arrachée, Jallet réussit pourtant à s'infiltrer dans la surface et centre pour Erding. Seul devant le but, l'avant-centre parisien place sa tête sur le poteau (55e). Dans la foulée, les Niçois haussent le ton et au terme d'un raid dans la défense du PSG, Mounier vient buter sur Coupet. En embuscade, Bagayoko reprend mais Traoré détourne le ballon du pied sans que l'arbitre ne siffle corner (56e).

Le match s'emballe alors et Ospina est doublement décisif sur un frappe de près de Giuly et la tête sur corner de Luyindula (61e). Le PSG prend totalement le jeu à son compte et se rue sur le but d'Ospina. Mais c'est la déveine qui frappe les attaquants parisiens. Après un raid tout en puissance d'Erding, Giuly expédie une belle volée sur la barre (68e). Dans la foulée, c'est au tour de Sessegnon de voir sa stupéfiante frappe croisée repoussée par le montant du but niçois (74e). Et lorsque le PSG trouve enfin le cadre à l'image de la tête d'Erding sur un très longue ouverture d'Armand, c'est Ospina qui se montre intraitable (85e).

Rémy marque, laissé libre par Armand et Sakho

Des échecs qui resteront longtemps dans les têtes parisiennes au vu de la fin de match niçoise. Esseulé côté gauche, Mounier adresse un centre tendu vers Rémy, laissé libre par Armand et Sakho. L'international tricolore place une tête imparable et replonge le PSG dans le doute (88e).

Déjà promis à une température bouillante, le prochain OM-PSG pourrait prendre des allures dramatiques pour des Parisiens désormais au bord du gouffre.


Citation
LA QUESTION

Pourquoi Ceará et Clément n’étaient-ils pas titulaires ?

Vendredi, à l’issue de l’ultime entraînement, Ceará a ressenti une douleur à un mollet. Un mal récurrent qui a conduit Kombouaré à ménager le Brésilien en le plaçant sur le banc et à le remplacer par Jallet au poste de latéral droit.
Pour Jérémy Clément, qui n’a même pas succédé à Chantôme sorti sur blessure, il s’agit d’une décision purement sportive. « C’est mon choix », a simplement déclaré l’entraîneur parisien.


Citation

« On n’est pas une grande équipe »

ANTOINE KOMBOUARE, entraîneur du PSG


Mâchoire serrée, regard noir, Antoine Kombouaré a du mal à cacher sa colère. C’est d’ailleurs l’un des premiers mots qu’il trouve pour traduire le goût de sa première défaite au Parc dans son costume d’entraîneur.

Cette défaite est-elle rageante, inquiétante, les deux à la fois ?
Antoine Kombouaré. C’est une énorme déception.
(Il réfléchit).Je n’accepte pas ça, ça a du mal à passer. Je suis en colère. Si on veut faire un bon parcours en championnat, il faut rester maître chez soi. Il y a du boulot… Je m’attendais à un match difficile, mais j’avais espoir. On voulait marquer les premiers pour les faire sortir.

Que reprochez-vous à vos joueurs ?
Leur manque d’efficacité. Avant de prendre le but, on est solides. On défend pas trop mal, mais on finit toujours par faire une erreur qui nous coûte un but. Il fallait plus de mouvement. Sur le plan technique, on aurait pu réussir de meilleurs enchaînements. On est tombé sur une équipe de Nice au milieu très fourni et on a eu du mal à trouver les intervalles. Il faut faire plus. Il ne faut pas penser qu’on a manqué de réussite, la victoire, il fallait aller la chercher. Nice a bien joué le coup, ils ont laissé passer l’orage et nous ont fait mal. Quand on a de l’ambition, on doit répondre présent le jour J, une grande équipe doit s’imposer dans ce genre de match.

Le PSG est-il une grande équipe ?
Aujourd’hui non. On n’est pas une grande équipe et je me mets dedans. Si on a cru être une grande équipe, maintenant, on sait qu’il y a encore un long chemin à faire. Il va vite falloir se remettre à bosser.

Commencez-vous à regarder le bas du classement ?
Non, je regarde vers Marseille. On essaiera d’aller chercher une victoire là-bas (NLDR : le 20 novembre).
Une victoire aurait été le meilleur moyen de préparer ce match. On a quinze jours pour relever la tête et aller faire un résultat là-bas.

Comment le PSG peut-il se montrer aussi séduisant à Sochaux et aussi décevant une semaine plus tard ?
Ça veut dire qu’on est convalescent et qu’il nous reste beaucoup de boulot. Après Sochaux, j’étais content, mais vigilant. J’attendais une confirmation, ce n’est pas arrivé. Ce n’est pas grave, on va reprendre le boulot.


Citation
Comme un air de crise



Ce n'est pas la crise à Paris, assure-t-on dans les couloirs du Parc des Princes. Mais l’attitude des joueurs laisse à penser le contraire. A l’issue du match, seuls Grégory Coupet et Mevlut Erding, sont venus s’exprimer. Cette saison, l’ensemble de l’effectif est pourtant tenu de se présenter devant la presse. Mais hier soir, une grande majorité a préféré dribbler les caméras pour rejoindre directement le parking.
L’UJSF, chargée d’encadrer les relations entre les clubs et les médias, entend dénoncer ces comportements dans le procès-verbal adressé la Ligue de foot.

« Notre défaite est très inquiètante »

Après le coup de sifflet final, les Parisiens n’ont pu, en revanche, se soustraire à la cinglante mise au point d’Antoine Kombouaré. « Il nous a passé un sacré savon, confirme Grégory Coupet. On a senti qu’il avait les boules. Mais il faut qu’il sache que nous aussi. On va essayer de se rattraper. » Avec sa franchise habituelle, le portier parisien ne mâche pas ses mots. « On peut parler de malchance. On peut aussi évoquer la maladresse, poursuit-il. Mais il serait temps de ne plus se cacher derrière des excuses. Il faudrait qu’on soit plus durs envers nous-même. Sur ce match, on n’a pas su être décisifs. C’est une grande désillusion car nous n’avons pas réussi à bonifier notre bon résultat à Sochaux (NDLR, 4-1) . »
Les traits tirés, Mevlut Erding dresse également un bilan sans complaisance. « La semaine dernière, on a eu de la réussite. Pas ce soir (hier soir) . Mais il ne faut pas se réfugier derrière ça. Nous n’avons pas su être efficaces devant le but. » En raison de la trêve internationale, les Parisiens ne joueront plus avant deux semaines et un déplacement à Marseille, le 20 novembre. « Notre défaite est très inquiètante en vue de la préparation de ce match. Si on n’est pas capables de gagner contre Nice à domicile, on n’arrivera jamais à gagner au Vélodrome, indique Coupet, visiblement désabusé. Le coach va nous faire bosser comme des malades. Il va être très tendu et très exigeant. Les quinze prochains jours vont être costauds. »


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Kiolm
posté 08/11/2009 14:02
Message #1438


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Foot - L1 - PSG
Makelele :«On est à notre place»


AU lendemain de la défaite à domicile contre Nice (0-1), le capitaine du Paris-SG Claude Makelele a assuré dimanche que son club était à sa place (12e) au classement et que son entraîneur Antoine Kombouaré n'avait «pas tort» en disant que le PSG n'était pas «une grande équipe». «On est à notre place, le coach n'a pas tort», a répondu le milieu de terrain à l'issue du décrassage dominical. «On s'est fait planter, a-t-il ajouté. On aurait mis les occasions, le reflet du match aurait été différent. On n'a pas été réalistes, et eux (les Niçois) ont bien joué le coup. Il faut se remettre en question. On veut gagner, donc on a poussé, parce qu'on savait qu'il y avait la place».

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Biz Markie
posté 09/11/2009 06:11
Message #1439


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Paris a-t-il déjà plombé sa saison ?


« Le coach n’a pas tort quand il dit qu’on n’est pas une grande équipe. On est à notre place. » Malgré son sourire poli, Claude Makelele cache difficilement son amertume. Contrairement aux belles promesses de l’été, Paris n’est qu’une équipe lambda de L 1. Avec six points pris en sept matchs, les joueurs de Kombouaré ont glissé à une triste treizième place.

La situation est inquiétante à moins de deux semaines du déplacement à Marseille. Samedi soir, le président Robin Leproux était très énervé. Sébastien Bazin, directeur Europe de Colony Capital, l’actionnaire majoritaire du PSG, a préféré lui ne pas descendre dans le vestiaire. « Il y a un changement de ton et d’état d’esprit des dirigeants. Ils sont inquiets alors qu’ils s’imaginaient relancés après Sochaux », note un proche du club.

Des ambitions revues à la baisse. Si l’on excepte la victoire à Sochaux, tous les matchs du PSG depuis deux mois débouchent sur le même constat. Paris manque cruellement de réalisme et plombe ses prestations par des erreurs individuelles. Les symptômes sont connus. Kombouaré cherche encore le bon remède. Il a cru le trouver en changeant de tactique. Mais le 4-2-3-1 expérimenté à Sochaux a déjà montré ses limites face à Nice. Le bilan comptable ne permet déjà plus de rêver. Paris n’a pas l’étoffe d’un prétendant à la Ligue des champions, et, à ce rythme, il aura même du mal à recoller aux cinq premières places, objectif annoncé en début de saison.

Des cadres défaillants.
Même si Paris fait du surplace depuis deux mois, les joueurs n’ont pas encore trop perdu confiance. Cela vient d’une cohésion non feinte dans le vestiaire et de l’expérience des cadres qui aident l’ensemble de l’effectif à rester concentré sur les objectifs. Malheureusement, sur le terrain, Makelele, Armand, Traoré ou Giuly n’apportent pas tout ce que l’on est en droit d’attendre d’eux. Leader technique, Sessegnon est lui aussi décevant.

Sakho, comme un symbole. L’écart entre ce que le PSG pourrait être et ce qu’il est réellement ne cesse de s’accroître. Bien malgré lui, Mamadou Sakho symbolise ce constat. Présenté comme l’un des futurs grands défenseurs du football français, il multiplie les prestations de haute tenue, mais les ternit régulièrement par des bourdes. Responsable du but niçois, il s’est pris un énorme savon par son entraîneur. Pour passer un nouveau cap, il doit simplifier son jeu et ne plus prendre le moindre risque en fin de match. Personne ne l’accablera car on en demande beaucoup à ce jeune homme de 19 ans, trop souvent chargé de compenser les erreurs de ses partenaires défensifs.

Le prochain mercato ne changera rien.( ph34r.gif ) Les supporteurs n’ont pas beaucoup d’illusions à se faire. Faute de moyens (et sauf à espérer la vente de Kezman, prêté au club russe du Zénith Saint-Pétersbourg), le PSG ne devrait pas recruter lors du prochain mercato. Si l’occasion se présente, Paris aimerait accueillir un milieu gauche mais la probabilité de trouver l’oiseau rare, pour une somme modique, est quasiment nulle. Pour relancer Paris, Kombouaré devra se débrouiller avec son effectif actuel. Sa marge de manoeuvre est réduite. Il a déjà musclé son discours. Il peut encore mettre quelques cadres sur le banc. Mais cette option n’est pas sans risque. Paul Le Guen, son prédécesseur, en sait quelque chose.

Le Parisien


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Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.

Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être
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Schultzy
posté 09/11/2009 09:30
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Quand la poubelle vole…

Et soudain, la poubelle s’écrase sur le mur du vestiaire parisien ! Samedi soir, Antoine Kombouaré, furieux de la première défaite (1-0) de son équipe au Parc face à Nice, éructe comme un volcan quelques minutes après le coup de sifflet final. L’entraîneur parisien est hors de lui et ne trouve qu’une poubelle pour se défouler.
Il hurle sur ses joueurs, surpris d’une telle colère, la plus mémorable du coach depuis qu’il a pris les commandes de l’équipe de la capitale cet été.
Kombouaré ne tient plus en place et enchaîne en critiquant sévèrement Mamadou Sakho, coupable d’une double erreur qui a plombé sa bonne prestation et offert la victoire aux Niçois. L’ancien technicien de Valenciennes lâche, en substance, à son jeune défenseur : « T’as pris le melon… » Kombouaré ne s’arrête pas là et poursuit ses remontrances. Cette fois, tous les coéquipiers de Makelele sont visés. Il leur reproche d’avoir encore encaissé un but dans les dernières minutes, de ne pas avoir su se contenter du nul ; le manque de réalisme offensif est aussi pointé du doigt…
Hier matin, avant le décrassage au camp des Loges, changement de décor et changement de ton : devant son groupe réuni, le Kanak revient sur son emportement de la veille. Sans se renier sur le fond, il reconnaît une réaction « à chaud ». Puis, calmement cette fois, reformule les mêmes reproches et insiste pour une remise en question collective. Kombouaré promet enfin à ses joueurs de grosses séances d’entraînement cette semaine et leur glisse ce conseil : « Profitez bien de vos deux jours de repos ! »


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« L’efficacité offensive fait défaut »

Elie Baup, ancien entraîneur
Ancien entraîneur de Bordeaux et Toulouse, notamment, Elie Baup, aujourd’hui consultant de Canal +, a commenté PSG - Nice. A l’entendre, le problème de Paris est avant tout offensif.

Depuis deux mois, le PSG manque de réalisme et finit toujours par encaisser un but sur une erreur individuelle.
Est-ce un hasard ?

Elie Baup. On peut se poser cette question.
Il y a un danger dans la chronicité, les joueurs reconnaissent leur manque d’efficacité dans les zones importantes, à savoir les surfaces. C’est surtout l’efficacité offensive qui fait défaut. La victoire à Sochaux n’était pas une référence car je n’avais pas reconnu les Sochaliens, ils n’étaient pas dans un grand jour. Cette fois, Paris est tombé sur une équipe de Nice très solide.

Quel est le problème du PSG ?
Les interrogations tournent surtout autour du rôle de Sessegnon. Le milieu de terrain niçois Diakité l’a très bien pris au marquage, mais ce sera toujours le cas. Un joueur comme Sessegnon, aucun adversaire ne le laissera jamais seul.

Paris doit-il revoir ses ambitions à la baisse ?
Avec une bonne série, ça peut vite basculer. Regardez Auxerre ou Nice ! Le PSG a sa place dans la première moitié du classement. Pour revenir dans les cinq premiers, il lui faut retrouver l’enthousiasme et la fraîcheur du début de saison. J’ai aimé le PSG face au Mans (3-1) et Lyon (1-1), avec Erding et Luyindula en attaque et Sessegnon et Giuly dans les couloirs. Il y avait beaucoup de mobilité. Face à Nice en attaque, il y a eu moins de surprises. Quand Erding joue seul en pointe, il n’a pas de solutions.


Le Parisien


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"Le prix de Pastore, c'est dix ans de Sidaction. C'est triste à dire mesdames messieurs, mais c'est le monde dans lequel on vit" Stéphane Guy.
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