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24/09/2009 16:28
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#1221
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![]() Keyloriste ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 47,652 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : 92 Membre no 112 Tribune : Non précisée |
Citation Aulas répond sur L'Equipe TV Pour la première fois depuis le match de dimanche dernier entre le Paris-SG et Lyon (1-1), Jean-Michel Aulas revient jeudi en exclusivité sur les faits qui se sont déroulés à la mi-temps de la rencontre, dans les coursives du Parc des Princes, entre le président lyonnais et l'arbitre, Monsieur Fautrel. Une réaction à découvrir dans l'émission «Le Forum L'Equipe», présentée à 19h00 par Charles Biétry. L'équipe.fr |
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24/09/2009 16:47
Message
#1222
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 2,229 Inscrit : 10/01/2009 Lieu : Hauts-de-Seine Membre no 232 Tribune : Viré du stade |
Citation Huis clos annulé? Le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) a proposé, en tant que conciliateur, d'«annuler» la sanction d'un match à huis clos partiel infligée à Paris dans l'affaire PSG-OM du 15 mars 2009, a annoncé la Fédération française de football (FFF). C'est désormais au Conseil fédéral, gouvernement de la FFF, de prendre la décision d'accepter ou non la proposition du conciliateur, lors de sa prochaine réunion, le 2 octobre à Clairefontaine. En cas de refus, le PSG peut ensuite éventuellement se tourner vers le tribunal administratif. Petit rappel des faits : le PSG avait été d'abord condamné par la commission de discipline de la Ligue à un match à huis clos ferme, assorti d'une amende de 35.000 euros pour des jets de fumigènes, de feux de Bengale et de fusées, et l'irruption sur la pelouse d'un supporter lors du PSG-OM. francefootball.fr -------------------- Autre récompense à destination du club parisien, celle de dirigeant de l'année attribuée à Robin Leproux, le président du PSG. ©France Football
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24/09/2009 16:56
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#1223
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation Sankharé : « On ne retient que le vainqueur » Passeur décisif sur le but de Jean-Eudes Maurice, Younousse Sankharé revient pour PSG.FR sur la qualification acquise mercredi soir à Boulogne-sur-Mer. Younousse, ça n’a pas été facile, mais le PSG a décroché son billet pour les huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue face à Boulogne-sur-Mer (0-1)… « Nous sommes allés à Boulogne dans l’optique d'obtenir la qualification. Nous aurions aimé que ce soit avec la manière, mais on sait que les matches de Coupe sont difficiles. A la fin, on ne retient que le vainqueur. » Comment s’est passé ton match ? « Cela faisait longtemps que je n’avais pas joué. J’ai donc eu des sensations un peu bizarres. J’ai manqué de rythme, mais ça va venir au fil des matches. Nous nous sommes qualifiés donc j’espère jouer au prochain tour et ça va aller de mieux en mieux. » Sur le but, c’est toi qui délivre la dernière passe… « Au départ de l’action, j’anticipe la passe du défenseur, je récupère le ballon et je percute vers l’avant. Jean-Eude (Maurice) passe dans mon dos. Je vois qu’il est bien placé, donc je lui adresse le ballon. Après, il réalise le geste parfait et marque un super but. » Contre Lyon tu étais entré en fin de match. Etait-ce compliqué d’arriver juste après le but égalisateur ? « Je suis entré en jeu sans me poser de question. Le coach m’a demandé d’apporter offensivement et de distribuer des centres. Je n’ai pas vraiment réussi à centrer, mais j’ai essayé d’appliquer les consignes au maximum. Ce n’était pas évident, car mes partenaires ont réalisé un gros match et prendre un but à 5 minutes de la fin c’est rageant. » Comment abordes-tu le déplacement à Lorient ? « Nous l’abordons sereinement. Nous sommes confiants. Nous sortons d’un gros match contre Lyon et malgré un match moyen à Bolougne nous avons gagné, donc nous restons sur une bonne dynamique. Nous irons en Bretagne avec l’espoir de réaliser un bon match et d’obtenir un bon résultat. » PSG.FR |
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24/09/2009 18:35
Message
#1224
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation Communiqué de presse de la Direction du Club Le Paris Saint-Germain se félicite de la proposition du Comité National Olympique et Sportif Français consistant en l'abandon de la sanction de match à huis clos partiel. Le Paris Saint-Germain se félicite de la proposition du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) consistant en l'abandon de la sanction de match à huis clos partiel (fermeture des tribunes Auteuil et Boulogne) infligée au Club pour la rencontre PSG-OM du 15 mars 2009, tout en maintenant une sanction financière. Le CNOSF reconnaît ainsi les efforts du PSG dans la lutte contre l'utilisation d'engins pyrotechniques et préconise une solution de travail en commun entre la Fédération Française de Football (FFF), la Ligue de Football Professionnel (LFP), les pouvoirs publics et le Club. Le PSG tient à rappeler qu'il avait invité dès mars dernier la FFF et la LFP à se réunir pour réfléchir et se mobiliser afin de trouver toutes les solutions possibles face à ces problèmes. PSG.FR |
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25/09/2009 03:46
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#1225
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Sessègnon dit tout Avant de faire son retour à la compétition, samedi (19h00) à Lorient, après deux matches de suspension, Stéphane Sessègnon raconte, ce vendredi à France Football, comment son parcours a déterminé son jeu. Extraits. Son jeu, ses influences, ses inspirations, ses aspirations... Ce vendredi dans un entretien accordé à France Football, Stéphane Sessègnon, de retour de suspension ce samedi (19h00) à Lorient, raconte son parcours et décortique son jeu. Le Béninois revient sur ses premiers pas sur un terrain de football en Côte-d'Ivoire. «Au pays, quand j'étais tout petit, raconte-t-il, on se regroupait sur des parkings et on fermait les routes (...) ! J'ai appris l'essentiel de mon bagage dans la rue, car il s'agissait avant tout de prendre du plaisir, avant un jour de se structurer et d'intégrer une école de foot, pour faire du football son métier. On dribblait, on voulait montrer qu'on était le plus fort techniquement, on se concentrait uniquement sur la créativité... » Ses souvenirs d'enfance, son modèle le Nigérian Jay-Jay Okocha, ses entraîneurs, son jeu, sa polyvalence, ses qualités, ses défauts... Stéphane Sessègnon (photo Presse-Sports) n'occulte aucun sujet et a conscience qu'il lui reste encore du chemin à parcourir : «Je suis encore loin de ce que je suis capable de faire»... A lire dans France Football, daté du vendredi 25 septembre, l'intégralité de l'entretien avec Stéphane Sessègnon : «J'ai appris l'essentiel dans la rue», ainsi que l'avis de trois de ses anciens entraîneurs (Jean-Michel Cavalli, Hubert Velud et Rudi Garcia) sur la marge de progression du Béninois. francefootball.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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25/09/2009 03:52
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#1226
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,401 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 467 Tribune : Non précisée |
Citation ROBIN LEPROUX, président du PSG : « Il perd son sang-froid » LA JOUTE VERBALE se poursuit. Informé des propos tenus par Jean-Michel Aulas dans nos colonnes (voir ci-dessus), Robin Leproux a décidé de réagir vivement. « Jean-Michel Aulas a perdu son sang-froid avec ce terme grossier (NDLR : le président lyonnais a utilisé le mot de « puceau » pour décrire le président du PSG). Pour quelqu’un qui revendique son expérience dans le football, il ne montre pas l’exemple », s’indigne le dirigeant parisien. Il tient également à démentir la version donnée par Jean-Michel Aulas. Ce dernier nie, en effet, avoir été vindicatif à l’encontre de Fredy Fautrel, l’arbitre du match PSG - OL. « Les faits sont là. Même s’il souhaite en donner une autre interprétation, il s’est vraiment énervé et a invectivé l’arbitre à la mi-temps du match, au point que ce dernier a préféré le faire entrer dans son vestiaire pour que cette scène ne se déroule pas devant tout le monde. Si M. Aulas veut se revoir, on tient à sa disposition les images vidéo, poursuit Leproux. Il faut qu’il sache que, face à de tels agissements, il verra toujours les dirigeants du PSG se dresser devant lui. Maintenant, il faut s’arrêter là avec cet incident. Mais il ne faut pas occulter la vérité. » Leparisien |
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25/09/2009 07:43
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#1227
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Armand : «Cette année, j'y crois» Vice-capitaine du Paris Saint-Germain, Sylvain Armand est le plus ancien joueur de l'effectif parisien. Arrivé en 2004 dans la capitale, l'ancien Nantais en connaît un rayon côté soubresauts, et estime que cette saison, son club peut y échapper. Les arrivées de Coupet ou Kombouaré doivent en tout cas y contribuer. « La saison passée, plusieurs joueurs n'étaient pas spécialement « pour » le coach. A un moment, ça s'est vu et ça a craqué, explique Armand dans les colonnes de L'Equipe. Cet été, l'arrivée de Grégory Coupet a fait du bien. Il a une incroyable culture de la gagne. (...) Et puis, il y a aussi un coach qui dit la vérité. » « C'est formidable de jouer ici » Suffisant pour aller chercher une des trois premières places ? Le latéral gauche se veut optimiste : « Je ne peux pas rester sur des échecs. Et puis, c'est formidable de jouer ici. Christophe Jallet m'a dit qu'il avait eu la chair de poule contre Lyon avant d'entrer sur la pelouse. Moi, je me sens bien. J'espère juste que tout se passera bien cette saison. Cette année, j'y crois. Je sais, je le dis chaque saison. Mais là, j'y crois vraiment. Il y a un nouveau staff, un président qui m'a l'air pas mal. » « Quel plaisir j'ai eu à participer à PSG-OL ! » Le début de saison du PSG semble d'ailleurs donner raison à l'optimisme de son défenseur. Malgré la victoire échappée dans les dernières minutes, la rencontre face à Lyon, dimanche dernier (1-1), a permis aux joueurs de la capitale de démontrer leurs progrès. « A la fin du match et contrairement aux années précédentes, on a essayé de ressortir le ballon, souligne Armand. On n'a jamais fermé le jeu. Quel plaisir j'ai eu à participer à cette rencontre ! Ça jouait, personne ne se cachait. » De quoi rêver à des lendemains qui chantent, car, comme le rappelle Armand, « un club comme Paris ne peut pas avoir de problèmes tous les ans ». Francefootball.fr |
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25/09/2009 08:03
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Jallet, la force tranquille C’est le nouveau chouchou du Parc. Celui que personne n’attendait. Cet été, la signature de Christophe Jallet à Paris avait suscité au mieux une indifférence polie. Deux mois plus tard, l’ex-Lorientais de 25 ans est désormais de plus en plus apprécié des supporteurs. « Certains me disent : Finalement, on est heureux que tu sois là », sourit Jallet. Il lui aura suffi de deux entrées en jeu contre Valenciennes (3-2) et Lille (3-0), où il en a profité pour inscrire deux buts et délivrer une passe décisive, pour conquérir le coeur des fans parisiens. Derrière cette statistique flatteuse, le joueur séduit par sa combativité, son visage avenant et un discours clair et franc. Ce mode opératoire tranche avec la langue de bois trop souvent utilisée au camp des Loges. « C’est un garçon de la terre », dit de lui Christian Gourcuff, son ancien entraîneur à Lorient. « Il n’évolue pas à son meilleur poste » Né à Cognac (Charente), fils de viticulteurs, Jallet a su garder les pieds sur terre. A 14 ans, il part en sports-études à Niort pour ne pas trop s’éloigner du domaine familial. Il passe pro à 20 ans à Niort, alors en L 2, descend en National et devient capitaine des Niortais. Repéré en 2006 par Lorient, il débarque comme troisième choix en Bretagne. Mais, avec ses capacités physiques proches d’un coureur de demi-fond et son aisance technique, il se rend pourtant vite indispensable au poste d’arrière droit. A Paris, débarqué avec le statut de doublure de Ceará, il est, pour l’heure, excellent quand il joue milieu droit. « En voyant ses prestations à Paris, je me dis qu’on ne l’a pas vendu assez cher (NDLR : 2,4 M€), sourit Gourcuff. A mes yeux, il n’évolue pas à son meilleur poste. Comme milieu droit, il n’exploite pas tout son potentiel. Il a toute sa place comme latéral, car il est plus à l’aise dans la profondeur, quand il peut partir de loin. Lorsqu’il a marqué contre Lille au Parc, il l’avait fait sur un contre. » De Lorient à Paris, Jallet regrette juste de ne plus voir la mer et d’apercevoir trop de voitures. « Les embouteillages, ça me rend fou, peste-t-il. Je suis obligé d’y penser quand je me déplace. » Mais il passe une grosse partie de son temps libre dans sa maison des Yvelines, voisine de celles d’Armand et Clément. Père d’une petite Lola (18 mois), il s’est marié le 20 juin. En bon camarade, il a logiquement choisi deux ex-coéquipiers comme témoins de mariage, Malik Couturier (Angers) et Rémi Riou (Auxerre). Et son altruisme déborde les frontières de l’amitié : il a ainsi accepté des responsabilités au sein de l’UNFP, le syndicat des joueurs. Christophe Bérard (avec S.D.M. Citation Aulas : « J’ai de l’expérience et de l’éthique » Pour être entré dans le vestiaire de l’arbitre à la mi-temps de PSG - Lyon, Jean-Michel Aulas a déclenché la colère des dirigeants parisiens. Il s’étonne et répond aux accusations. Depuis dimanche soir et le match PSG - Lyon (1-1), le président de l’OL est critiqué pour s’être entretenu à la mi-temps avec l’arbitre Fredy Fautrel. Selon plusieurs témoins, Jean-Michel Aulas aurait invectivé l’arbitre, ce dernier l’entraînant ensuite dans son vestiaire pour terminer cette explication au calme et à l’abri des regards indiscrets. Ce comportement a provoqué de vives réactions du côté parisien, notamment celle du président, Robin Leproux, qui l’a qualifié d’inacceptable. Sarcastique, le patron de l’Olympique lyonnais donne sa version des faits. Que pensez-vous des déclarations de Robin Leproux à votre sujet ? Jean-Michel Aulas. Il a dit que mon attitude était inacceptable… De la part de quelqu’un d’un peu puceau dans le milieu, qui n’a pas totalement tous les paramètres, je pense qu’il a réagi un peu vite à partir d’une situation qui n’est pas celle qui s’est passée. Comment s’appelle-t-il ? (Il marque un temps d’hésitation.) Ah, oui ! Monsieur Leproux voulait aussi se justifier auprès de ses actionnaires qui sont des gens ambitieux et qui veulent que leur équipe gagne plus. Ils ont fait des progrès fantastiques… Quelle est votre version des faits ? Comme l’a confirmé monsieur Fautrel, je lui ai dit que le but de Giuly (pour l’ouverture du score) était valable, puisque je l’avais revu sur les écrans de contrôle, et qu’il n’y avait pas hors jeu. Je me suis excusé pour Joël Bats, qui s’est emporté sur cette action. Enfin, je lui ai dit qu’il s’était un peu fait avoir par la galipette de Giuly sur le tacle de François Clerc et que ce dernier ne méritait pas de carton jaune. Plusieurs témoins affirment pourtant que vous avez invectivé Fredy Fautrel. Et c’est pour cette raison qu’il vous a fait entrer dans son vestiaire ? C’est faux, je n’ai pas été vindicatif. Je descendais de la corbeille pour aller dans le vestiaire de mon équipe au moment où j’ai croisé l’arbitre. Je lui ai dit ce que je viens de vous dire. A partir de là, il m’a demandé de venir dans son bureau. Il m’a parlé et je l’ai écouté. Il m’a dit « qu’au lieu de lui dire des choses en le croisant j’aurais dû les lui dire entre quatre yeux, en face à face ». Il m’a renvoyé dans mes 22 m, si je puis dire. Regrettez-vous votre intervention, puisqu’elle entraîne de la suspicion ? Tout ceci n’aurait jamais dû faire plus d’une demi-ligne ! C’est injuste de critiquer monsieur Fautrel et de le suspecter. L’égalisation de Gomis (en fin de match, sur un but hors jeu) n’est pas une erreur d’arbitrage, mais d’appréciation. Sur cent arbitres, quatre-vingt-dix-neuf n’auraient pas vu que Gomis était hors jeu. Après, il faut être sport et faire preuve d’un peu d’humilité. Il faut arrêter l’amalgame entre ma discussion avec l’arbitre à la pause et le but de Gomis. Il n’y a pas de lien. Si un autre président agissait comme vous l’avez fait, comment réagiriez-vous ? Pas de la même manière en tout cas. C’est un buzz orchestré par les dirigeants du PSG. Cette polémique est stupide et constitue une remise en question de l’éthique. Faisons plutôt confiance aux joueurs, aux arbitres et aux dirigeants. Tous les présidents peuvent faire des remarques aux arbitres à la mi-temps. Ce n’est pas interdit. Donc, vous n’avez rien à vous reprocher ? J’ai été blessé, mais j’ai l’habitude d’être attaqué et je sais me défendre. Ce qui me gêne, c’est que les arguments avancés ne décrivent pas la réalité. J’ai été exemplaire sur cette affaire. J’estime être un dirigeant responsable, qui a de l’expérience et de l’éthique. En revanche, ce n’est pas forcément le cas au PSG. Que voulez-vous dire ? En arrivant au Parc dimanche, j’ai fait de vives remontrances aux dirigeants parisiens, car l’accueil fait au bus de l’OL a été inacceptable. Il y avait deux mille supporteurs du PSG à 1 m qui lui crachaient dessus et insultaient nos joueurs. Les néophytes penseront peut-être que ça peut les influencer, mais, en termes d’éthique, ce n’est pas permis. A Lyon, cela ne se produit jamais. Propos recueillis par Arnaud Hermant Leparisien.fr |
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25/09/2009 11:17
Message
#1229
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation Robin Leproux : « Clore ce débat ! » Le Président du PSG Robin Lepoux souhaite mettre un terme à la polémique ayant suivi la rencontre entre le club de la capitale et l’OL. Président, quel est votre sentiment suite à la polémique ayant démarré après le match PSG-OL ? « Aujourd’hui, mon souhait est de clore ce débat. Même si Jean-Michel Aulas et moi ne sommes pas d’accord sur le fond. Nous nous en sommes expliqués jeudi. Je considère que pendant la durée d’un match et a fortiori à la pause, on ne doit pas interpeller, mettre la pression, sur un arbitre. J’en suis absolument convaincu. Ensuite, il y a la teneur des propos. J’aurai attendu de la part de quelqu’un avec autant d’expérience et un tel palmarès qu’il ait plus de retenue et qu’il soit moins sarcastique et condescendant. Je ne pense pas que ça soit très intéressant pour le football français. Maintenant, on va laisser cette polémique derrière nous, et surtout essayer de travailler ensemble pour que les arbitres puissent exercer leur métier en paix pendant toute la durée d’un match. » Jean-Michel Aulas dit qu’il a été convoqué par l’arbitre et n’est pas allé dans son vestiaire de sa propre initiative. Cet argument ne vous convainc pas… « Je m’en tiens au fait. Il y a une demi-douzaine de personnes qui ont assisté à la scène. Je me suis donné la peine de regarder les images vidéo. Jean-Michel Aulas a couru après l’arbitre en l’interpellant à la pause. C’est très clair, et c’est pour ça que l’arbitre l’invite à régler ça dans le vestiaire pour ne pas se donner en spectacle. Je suis convaincu que le football sortira grandi lorsqu’on sera tous d’accord pour laisser les arbitres en paix. Monsieur Aulas manque un peu de contrôle de soi, je fais allusion aux mots employés à mon égard lors de ses récentes interviews. » Etes-vous choqué par les propos tenus par Claude Puel en conférence de presse ? « Je ne vais pas commenter les propos des collaborateurs de Jean-Michel Aulas. On en a parlé hier et on n’a pas tout à fait la même vision des choses sur le fond. On a le droit d’avoir des avis différents. Laissons maintenant la place au terrain et à la compétition, parce que c’est un peu stérile tout ça. J’ai envie que le Paris Saint-Germain obtienne de bons résultats et produise de grands matches. On a réalisé une superbe prestation face à Lyon, et c’est ce qui nous intéresse aujourd’hui. » PSG.FR |
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25/09/2009 11:58
Message
#1230
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Tirage au sort des Huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue. Les rencontres sont prévues le mardi 12 et mercredi 13 janvier 2010 AS Saint-Etienne - Olympique de Marseille CS Sedan - Clermont Foot Olympique Lyonnais - FC Metz EA Guingamp - Paris Saint-Germain Le Mans UC 72 - FC Girondins de Bordeaux RC Lens - FC Lorient Toulouse FC - AS Nancy Lorraine LOSC - Stade Rennais FC LFP.FR -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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25/09/2009 11:59
Message
#1231
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,741 Inscrit : 22/01/2009 Membre no 666 Tribune : Canapé |
Citation Escalettes «très en colère» Décidemment, la proposition du Comité national olympique et sportif (CNOSF) d'annuler la peine d'un match à huis clos partiel pour le club parisien dans l'affaire PSG-OM* continue de susciter des remous. Le président de la Fédération française de football, Jean-Pierre Escalettes, a fait part de son indignation vendredi. «C'est un président en colère qui vous parle, a-t-il tonné ce vendredi. Je suis très remonté (...) contre cette décision. Elle tombe vraiment très mal, alors que depuis une semaine on s'insurge, à juste titre, à tous les niveaux et dans tous les ministères, contre les incidents de Nice (tentative d'assaut de la tribune présidentielle) et Grenoble (jets de gros pétards)» lors de la 6e journée de L1. L'édifice fédéal détruit Selon lui, cette proposition d'annuler le huis clos, qui résonne comme «un conseil scandaleux» dans ses oreilles, sape le travail réalisé pour lutter contre les débordements dans les stades hexagonaux: «Il faut s'en tenir aux amendes. Mais on sait très bien qu'elles ne sont pas dissuasives ! On détruit complètement l'édifice disciplinaire de la FFF (...) Le PSG est un club emblématique, comment voulez-vous que j'aille après imposer une quelconque sanction à un club, même amateur ? Il va se tourner vers cette avis du CNOSF et il y aura impunité.» Envoyer un message fort Bien conscient «que l'intention du CNOSF n'est pas d'autoriser ce genre de choses», Escalettes ajoute qu'il faut continuer d'envoyer des signaux forts aux supporters problématiques. «Je connais le travail fait par les clubs, au PSG comme ailleurs, pour lutter contre ces débordements, mais il faut mesurer quel message est envoyé aux fauteurs de trouble...» (Avec AFP) * Lors du match entre l'OM et le PSG au Parc des Princes, le 15 mars 2009, il y avait eu des jets de fumigènes, de feux de Bengale et de fusées, et l'irruption sur la pelouse d'un supporter. Source : lequipe.fr -------------------- Membre n°666 : Qui veut signer un pacte avec moi ?
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25/09/2009 14:23
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#1232
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Joga bonito ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,133 Inscrit : 23/01/2009 Lieu : Paris Membre no 687 Tribune : Non précisée |
Citation Affaire PSG-OM: Une "proposition juridique fondée sur des textes" Le président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF) Denis Masseglia a estimé vendredi que la proposition de la commission de conciliation, un organe "totalement indépendant du CNOSF", était une "position juridique s'appuyant sur des textes". "Le conciliateur a pris une position sur un match de mars 2009. Il ne peut être juridiquement influencé par des événements actuels", a déclaré M. Masseglia a l'AFP, évoquant les incidents qui ont notamment émaillé la 6e journée de Ligue 1 le week-end dernier. "Je comprends le sentiment de Jean-Pierre Escalettes", le président de la Fédération de football (FFF) qui s'est dit vendredi "très en colère" contre la proposition du CNOSF d'annuler la peine du Paris SG d'un match à huis clos partiel dans l'affaire PSG-OM (15 mars), a poursuivi M. Masseglia, "mais même si cette position juridique ne tombe pas à un moment opportun, elle s'appuie sur des textes". Jeudi, les deux conciliateurs du CNOSF dans cette affaire, Bernard Foucher et Alain Lacabarats, avaient proposé d'"annuler" la sanction d'un match à huis clos partiel infligée au PSG, et de ne plus prendre de sanctions contre les clubs, en dehors des amendes, tant qu'une réflexion commune n'aurait pas été menée entre les clubs, les pouvoirs publics et les instances du football. "On va refuser la conciliation, on va aller devant le tribunal administratif", a d'ores et déjà prévenu M. Escalettes. Denis Masseglia a rappelé que la commission de conciliation était "totalement indépendante du CNOSF, composée de magistrats et de juristes de compétence reconnue, et bénévoles". "Le CNOSF l'héberge et lui donne simplement les moyens de fonctionner", a-t-il ajouté. Il s'est dit par ailleurs favorable, "au vu des interprétations contradictoires que suscite la position de la commission, à un débat sur les moyens de prévenir les déviances" dans le football.
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25/09/2009 16:40
Message
#1233
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation Kombouaré exonère Fautrel Dans la foulée du président du Paris-SG, Robin Leproux, désireux de «clôre le débat», Antoine Kombouaré, l'entraîneur du club parisien a souhaité vendredi en finir avec la polémique née de l'intervention de Jean-Michel Aulas auprès de l'arbitre Rémy Fautrel, à la mi-temps de Paris-Lyon, dimanche au Parc des princes (1-1). Sans revenir sur ses déclarations reprochant au président lyonnais sa visite à M. Fautrel, Antoine Kombouaré a exonéré l'arbitre de toute responsabilité dans le match nul concédé par ses hommes. «Je vais m'exprimer une bonne fois pour toute car j'ai le sentiment qu'on a eu peu dévié au niveau du débat. Il faut bien comprendre que jamais après le match, je n'ai contesté le résultat. On a été incapable de marquer le deuxième but parce qu'on est tombé sur un grand gardien, Lloris et parce qu'on a été maladroits. Sur le but qu'on prend, il n'y pas qu'une faute de hors-jeu : on n'a pas été bons, on perdu les duels dans la surface, Lissandro à un moment s'est retrouvé tout seul, bref c'est plein de petites erreurs qui cause de gros dégâts. Ce n'est surtout pas sur une faute d'arbitrage que l'on perd les trois points. On a été incapables de marquer le deuxième but qui nous auraient mis à l'abri.» - lequipe.fr |
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26/09/2009 09:21
Message
#1234
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - L1 - PSG Kombouaré : «Taper Lorient» Après la défaite à Monaco (0-2) et le nul contre Lyon (1-1), le message de l'entraîneur du Paris-SG, vendredi, a été très clair. «L'ambition de finir dans les cinq premiers, ça passe par une victoire à Lorient.» Le Kanak annonçait déjà, dimanche, sa volonté de rattraper les points perdu au Moustoir. Il a précisé sa pensée. «Je veux des gars conquérants, forts techniquement car l'épreuve de force se joue à tous les niveaux. Même si on a du respect pour Lorient, il faut montrer qu'on va là-bas pour gagner, assène-t-il. On a marqué les esprits contre Lyon, il faut maintenant prendre les trois points. Il va falloir un gros PSG car Lorient joue beaucoup le contre. Ils ont des joueurs qui vont vite devant. Il faudra être bon et taper Lorient.» «Que Sessègnon soit exemplaire» Antoine Kombouaré ne laissera pas le choix à ses joueurs, et notamment à Stéphane Sessègnon, qui revient de deux matches de suspension après son expulsion à Monaco. Le Béninois est sous surveillance. «Je lui demanderai deux choses. Premièrement qu'il soit déjà exemplaire au niveau de son comportement. Deuxièmement, qu'il nous fasse gagner des matches.» - Ch. M. lequipe.fr |
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26/09/2009 11:17
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#1235
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation Paris veut repartir de plus belle Après une défaite et un nul en Ligue 1, Paris se déplace à Lorient avec l’ambition de reprendre sa marche en avant. Le retour de Sessegnon peut l’aider dans cette voie. La marque d’une grande équipe est de briller aussi face aux clubs modestes. Le PSG a parfaitement assimilé cette vérité intangible du football de haut niveau. Dimanche dernier, au-delà de la frustration née d’un nul immérité (1-1), les Parisiens ont conscience d’avoir livré un grand match contre l’OL. Mais, quelque part, il est facile de se sublimer quand on affronte Lyon, son recrutement à 72 millions d’euros, ses sept titres et son président qui parle aux arbitres à la mi-temps. Cette fois, l’adversaire lorientais est beaucoup moins huppé même s’il navigue à un seul point de Paris au classement. C’est en réussissant à se dépasser partout que Paris peut s’installer durablement dans le quatuor de tête. Cette semaine au camp des Loges, la volonté d’aller chercher les trois points à Lorient se lisait sur tous les visages. Il y avait aussi beaucoup de conviction et de force dans les discours. Rien à voir avec les phrases mécaniques de la saison dernière ressassées avant chaque déplacement du PSG. Celles-ci laissaient surtout transpirer une envie de ne pas perdre. Cette fois, Paris veut vraiment gagner en déplacement et il le dit. C’est nouveau. « Je veux gagner avec la manière » Personne, depuis dimanche, n’a parlé d’injustice sur l’égalisation lyonnaise. Ce n’est pas un détail. C’est comme si Paris avait compris que la plainte est l’apanage des faibles. S’il est bien trop tôt pour dresser le bilan de Kombouaré, celui-ci a déjà réussi à transmettre à ses troupes une assurance égarée depuis des années. « On va à Lorient avec beaucoup d’ambition dans le jeu, explique l’entraîneur parisien. Il faut montrer qu’on est venu pour gagner. Après la qualification contre Boulogne-sur-Mer (1-0), il y a une dynamique de victoires à lancer. Dans l’esprit, je veux des gars ambitieux, conquérants et forts techniquement. » Le retour de Sessegnon, après ses deux matchs de suspension, accentue les certitudes. Le meilleur technicien de l’équipe a conscience d’avoir dérapé en se faisant expulser à Monaco. Il doit une revanche à ses coéquipiers. « Stéphane doit être exemplaire dans son comportement et nous faire gagner des matchs, tranche Kombouaré. C’est ce que j’attends d’un joueur leader. » A la question piège de savoir s’il se satisferait d’un succès au terme d’un match médiocre, Kombouaré n’a pas failli : « Je veux gagner mais avec la manière. C’est elle qui donne des forces. » LORIENT - PSG Ce soir à 19 heures au stade du Moustoir. Arbitre. M. Ennjimi. Lorient. Audard - Sosa, Marchal (cap.), Koscielny, Morel - Amalfitano, Ducasse, Mvuemba, S. Diarra - Gameiro, Vahirua. PSG. Coupet - Ceara, Traoré, Sakho, Armand - Giuly, Makelele (cap.), Clément, Sessegnon - Luyindula, Hoarau. Citation Christian Gourcuff, fan de Luyindula Christian Gourcuff, l’entraîneur de Lorient, sait à quoi s’attendre avec la réception du PSG. Quels sont, selon lui, les principaux dangers de cette équipe parisienne ? Son ex-joueur transféré cet été, Christophe Jallet, Stéphane Sessegnon, de retour de suspension, mais surtout… Peguy Luyindula. Il ne craint pas le PSG. « Paris a retrouvé une certaine sérénité. Leur niveau de jeu est bon, voire très bon comme contre Lyon. Mais dire que je les crains, non. Je sais de qui je dois me méfier. Stéphane Sessegnon revient. Même s’il est irrégulier, il peut faire basculer un match. J’ai également dit à mes joueurs de faire attention à Christophe Jallet. Son volume de jeu est impressionnant. Mais à mes yeux, le principal danger, c’est Peguy Luyindula. J’aime beaucoup ce joueur. Il a un très bon sens du collectif et du démarquage. J’adore sa force de caractère et son style de jeu. » Les armes pour résister. « Nous avons connu une première phase difficile. Nos résultats n’en ont pas trop pâti (deux victoires, un nul, une défaite en août). Mais je n’étais pas satisfait de l’implication de mes joueurs. Certains d’entre eux avaient la tête ailleurs. Bizarrement, lorsque le mercato s’est terminé, notre jeu s’est amélioré. Même si nous avons perdu contre Lyon (1-0), nous avons livré un match de qualité. Idem pour Nancy (victoire 3-1). Aujourd’hui, nous avons les armes pour tenir en échec Paris.» Monterrubio et Gameiro, deux joueurs clés. « Olivier (Monterrubio), je le voulais absolument. Je l’avais déjà fait venir à Rennes en 2001. C’est un passeur exceptionnel (NDLR : 3 passes décisives). Mais avec Olivier, c’est une question de sensation. Il a toujours été comme ça, il fait les efforts quand il le sent. Quant à Kevin Gameiro, il est perfectible mais il nous est indispensable. A 22 ans seulement, il est déjà capable de faire la différence à lui tout seul (4 buts). Mardi, en Coupe de la Ligue (victoire contre Grenoble, 1-0), son entrée en jeu a transformé l’équipe. La qualité de ses appels et sa vitesse peuvent faire mal au PSG. » Citation « Cette saison, on a un vrai staff » SAMMY TRAORÉ, défenseur du PSG Une fine barbe et le crâne parfaitement rasé, le grand défenseur parisien, vêtu d’un survêtement bleu griffé par un couturier italien, s’est confié en toute décontraction. Il n’a éludé aucun sujet. Avec sept buts concédés en six matchs, la défense a été pointée du doigt en ce début de saison… Sammy Traoré. L’ensemble est de mieux en mieux. J’en veux pour preuve notre solide match contre Lyon (1-1) puis notre succès en Coupe de la Ligue à Boulogne (1-0). Ce soir-là, l’équipe avait été pas mal remaniée mais on n’a pas encaissé de buts. A Lorient, on passe un bon test. A quoi attribuez-vous alors vos difficultés défensives ? Défendre, c’est un travail collectif et pas seulement réservé au quatuor de derrière. On a pris des buts en raison de la valeur de l’adversaire comme à Valenciennes (3-2). Celui contre Lyon est hors jeu… Après, on a aussi fait des erreurs comme à Monaco (0-2). Cette saison, l’équipe est davantage portée vers l’avant. Il faut trouver le bon équilibre. Vous suscitez pas mal de réticences.Comment le vivez-vous ? Ces gens-là sont-ils toujours bons dans leur métier ? C’est toujours facile de critiquer quand on est assis en tribune ou devant sa télé. Et à l’image de l’équipe, je réalise un début de saison correct. Quels sont vos objectifs personnels ? Beaucoup jouer et ne pas me blesser. Et finir dans les cinq premiers. Une qualification pour la Ligue des champions, ce serait magnifique. D’ici à la fin de mon contrat au club (NDLR : en juin 2011), je veux disputer cette compétition. Comment jugez-vous le début de saison du PSG ? On est à cinq points du leader. On a perdu quatre points un peu bêtement comme dimanche face à Lyon ou à Montpellier (1-1). Au regard de la préparation et de la qualité des recrues, je ne suis pas surpris par notre début de saison. Quelles sont les forces de votre groupe ? On se connaît bien et on vit bien ensemble. Le staff y est pour quelque chose. Il est beaucoup plus proche de nous que l’ancien. Il n’y a pas d’un côté les joueurs et de l’autre le staff. On a envie de se défoncer les uns pour les autres. J’ai connu cela à Nice avec Antonetti. Même en cas de mauvais résultats, on sera à l’abri de dissensions internes. J’en suis sûr. On se dit les choses entre nous ou avec l’entraîneur. Il n’y a plus de non-dits. On ne laisse plus la place aux rumeurs et au doute. On sent les joueurs proches d’Antoine Kombouaré. Que vous apporte-t-il ? Son envie de ne rien lâcher et sa facilité à dire les choses bonnes ou mauvaises. Il sait fédérer, recadrer et parler. C’est un bon entraîneur. Cette saison, on a un vrai staff aimé du groupe et c’est agréable. Vous jouez ce soir à Lorient votre troisième match de la semaine… On y va pour gagner. Mais ce ne sera pas simple. Lorient joue vite et bien avec des petits gabarits habiles techniquement. On avait souffert l’an passé et Mika (Landreau) avait arrêté un penalty (succès 1-0). Citation Le PSG fait-il tout pour éviter les fumigènes ? A l'heure où les instances du foot et les pouvoirs publics s’unissent pour lutter contre les fumigènes dans les stades, la proposition du CNOSF fait l’effet d’une bombe. Cette instance propose d’annuler la sanction du match à huis clos partiel infligé au PSG après les incidents de PSG - OM la saison dernière. « Je suis très remonté et très en colère contre cette décision », s’indigne Jean-Pierre Escalettes, le président de la fédération française. Par cet avis, le CNOSF donne ainsi raison à Paris qui assure faire le maximum en matière de sécurité. Qu’en est-il vraiment ? En cinq ans, le club a notamment renforcé son dispositif de vidéosurveillance (150 caméras), augmenté le nombre de stadiers, multiplié les fouilles des locaux de supporteurs et des spectateurs. Les dirigeants portent également plainte contre les fauteurs de troubles et résilient leur abonnement si ces derniers sont reconnus coupables. A domicile, le PSG n’est ainsi « que » le quatrième club le plus utilisateur de fumigènes (derrière Monaco, Bordeaux et Marseille). Après les incidents à Monaco, mi-septembre, le PSG a également décidé d’interdire pendant une semaine l’accès du Parc aux supporteurs. Par décision préfectorale, cette mesure est désormais prolongée jusqu’au 31 décembre. « On leur a fait comprendre qu’ils mettaient le club en danger, d’autant plus que la Ligue menace désormais de sanctionner une équipe par un retrait de points », indique un dirigeant parisien. Du coup, dimanche dernier, lors de PSG - Lyon, seulement cinq fumigènes ont été lancés des tribunes. « C’est un club récidiviste » « Nous savons que Paris fait des efforts, précise Jean Lapeyre, directeur juridique de la FFF. Je salue d’ailleurs le courage du président Robin Leproux d’avoir pris cette mesure. Mais ils savent que ce n’est pas suffisant. C’est un club récidiviste, il faut sévir. Et le huis clos partiel est une sanction juste puisqu’elle ne s’adresse qu’aux tribunes responsables des troubles. » « Nous aussi, nous ne rêvons que d’une chose : éradiquer les fumigènes. Et on fait vraiment notre maximum, assure Philippe Boindrieux, directeur général du PSG. Mais un huis clos ne résoudrait rien. Nous avons déjà été sanctionnés de cette façon, et le problème est toujours là. La seule façon de s’en sortir, c’est de s’asseoir autour d’une table et discuter de la meilleure réponse à apporter. » Le Parisien |
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26/09/2009 22:46
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#1236
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,395 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Le Mans Membre no 33 Tribune : Canapé |
Citation Kombouaré : « Nul heureux » Antoine Kombouaré reconnaît que le PSG a obtenu «un nul heureux» à Lorient (1-1), après avoir qualifié de «sieste» la première période de son équipe. «Il y avait en face une belle équipe de Lorient qui nous a posé beaucoup de problèmes, a-t-il analysé. On a eu du mal à défendre et à mettre en place notre jeu. Je suis déçu par ce qu'on a montré. On a beaucoup trop usé de jeu long. Après une première mi-temps catastrophique, on a fait une bien meilleure deuxième période. On a eu de grosses occasions en deuxième mi-temps. Mais peut-être qu'une victoire n'aurait pas été mérité.» Son homologue lorientais Christian Gourcuff dit avoir vu «un excellent match». Il a manqué à son équipe «des jambes en deuxième mi-temps». Sans quoi, «il y avait largement de quoi prendre deux points de plus» a estimé le Breton. «On a vu du football, c'est ce qu'on cherche à faire et c'est comme ça qu'on le conçoit. Il faut savoir se détacher du résultat pour apprécier. Il y a eu un petit peu de déchet en première mi-temps alors qu'on avait le contrôle du match.» Gourcuff a lancé une pique à l'arbitrage de M. Ennjimi conernant Claude Makelele. «Je regrette surtout l'arbitrage. Je suis très content d'avoir vu ce match de la tribune Makelele peut prendre le sifflet, c'est pareil. Je n'ai pas l'impression qu'il y ait une équité complète dans ce type de match. » (Avec AFP) Citation Makelele touché à un tibia Claude Makelele, touché samedi en fin de match contre Lorient dans un choc avec Laurent Koscielny, souffre du tibia. Le capitaine parisien, qui a tenté de revenir quelques minutes sur le terrain avant finalement de céder sa place à Clément Chantôme, ne connaît pas encore la gravité de sa blessure. Mais il en saura plus dimanche après une série d'examens. L'Equipe.fr -------------------- "Le prix de Pastore, c'est dix ans de Sidaction. C'est triste à dire mesdames messieurs, mais c'est le monde dans lequel on vit" Stéphane Guy.
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27/09/2009 10:10
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#1237
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,395 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Le Mans Membre no 33 Tribune : Canapé |
Citation A Lorient, le PSG a montré ses limites actuelles Avec deux points pris sur neuf possibles, Paris marque le pas. La seule bonne nouvelle de la soirée est venue du but égalisateur de Guillaume Hoarau. Le premier but de la saison de Guillaume Hoarau, hier soir à Lorient (1-1), vaut son pesant d’or. D’abord pour le PSG, qui évite ainsi une deuxième défaite d’affilée à l’extérieur après le revers à Monaco d’il y a quinze jours (2-0). Ensuite pour l’ex-Havrais, qui aspire tant à retrouver son niveau de la saison passée avec 17 réalisations pour ses débuts parmi l’élite. Le voilà sans doute remis en confiance et relancé. Mais ces bonnes nouvelles ne doivent pas masquer une réalité plus crue pour Paris. D’abord, l’équipe n’avance plus avec deux points pris sur neuf possibles. Le PSG d’après la coupure internationale n’est pas le même qu’auparavant, celui qui s’était débarrassé sans sourciller de Lille (3-0), du Mans (3-1) ou de Valenciennes (3-2). Mais il est tombé sur des adversaires plus coriaces, avec le Lyon de Lloris la semaine dernière ou le Lorient de Gourcuff, hier, une équipe enthousiaste qui ne renonce jamais. Du mouvement, de la technique, du jeu à une touche de balle : les Merlus ont réalisé leur meilleure première période de la saison. « On peut s’estimer heureux de ce nul » « Notre domination était alors presque outrancière, se réjouit Christian Gourcuff. Je suis un peu déçu du résultat. Mais je préfère retenir la manière. La prestation de mes hommes était belle à voir. » Avec déjà 12 points au compteur, Lorient peut désormais espérer un maintien aisé, son objectif saison après saison, voire viser plus haut encore. Monaco, Lyon et Lorient en disent aussi plus sur le PSG aujourd’hui. Ces trois derniers adversaires jettent un voile sur la possibilité parisienne de se qualifier pour la Ligue des champions, son rêve inavoué. Contre Lyon, les hommes de Kombouaré ont affiché un niveau exceptionnel. Mais ils n’ont pas su rééditer cette prestation alors même que la régularité est la condition sine qua non pour un championnat réussi. « C’est la première fois que mes joueurs ne répondent pas à mes attentes. Notre première mi-temps a été catastrophique, reconnaît Antoine Kombouaré. On peut s’estimer heureux de ce nul. » L’excuse du second match dans la semaine ne tient pas, l’entraîneur ayant largement fait tourner mercredi en Coupe de la Ligue à Boulogne (victoire 1-0). C’est un problème de mental, à coup sûr, Lorient offrant moins de flonflons que Lyon sur le papier. Pour vivre sur son rêve toute une saison qu’il s’appelle Ligue des champions ou Ligue Europa , le PSG va devoir apprendre à élever et maintenir son niveau technique. C’est tout le paradoxe d’un Stéphane Sessegnon, prodigieux hier sur son accélération qui amène l’égalisation, et moyen le reste du match. L’inconstance du Béninois, c’est aussi l’inconstance du PSG. Citation La combativité de Giuly Avec le retour de Sessegnon, Paris a renoué avec son schéma traditionnel en 4-4-2. Mais, avec un milieu défaillant, les Parisiens ont joué beaucoup trop bas pour ne pas s’exposer sur chaque contre lorientais. Coupet (7). Il commence par un gros jaillissement dans les pieds de Gameiro (13e) avant de s’imposer devant Mvuemba (23e). Parfait devant Gameiro (75 e), il ne peut absolument rien sur le but lorientais. Ceará (5). Avec Sigamary Diarra, il était confronté à un sacré client. Le Brésilien a d’abord fait face avec calme. Après le repos, il a davantage souffert. Remplacé par Jallet (66e) qui a cherché à se projeter très vite vers l’avant. Traoré (4,5). Il a eu du mal à démarrer avec un marquage parfois un peu lâche. Il a su se reprendre en coupant proprement les trajectoires. Sakho (4,5). La rapidité de Mvuemba lui a causé de gros tracas. Sur le but de ce dernier, il est beaucoup trop passif face au jeu à une touche de balle des attaquants bretons. Armand (4,5). Plutôt propre dans son rôle défensif, il a eu du mal à relancer correctement ses partenaires. Giuly (6). Il ne s’est jamais découragé et a, sans cesse, cherché à proposer des solutions de passes. Il a l’immense mérite de donner le but à Hoarau (45e+ 1) mais il tergiverse trop devant le but ouvert (85e) alors qu’il pouvait offrir la victoire. Makelele (3). Un festival de ballons perdus et de passes à l’adversaire. Sa combativité n’a pas suffi hier soir à donner le change. A la dérive, il est remplacé par Chantôme (85e). Clément (4). Avec un Makelele aussi absent, il ne pouvait pas faire de miracles. Et c’est lui qui perd le ballon à l’origine de l’ouverture du score des Bretons. Remplacé par Ngoyi (71e). Sessegnon (5,5). Il a toujours cette tendance, revers de sa générosité, à ne jamais suffisamment temporiser quand il le faut. Mais sa vivacité reste essentielle. C’est une de ses fulgurances qui amène l’égalisation d’Hoarau. Luyindula (5,5). Il se bat, il court, il donne et il pense aux autres. Mais toute cette belle énergie se paie au prix d’un léger manque de percussion devant la surface comme sur ce centre de Giuly que Marchal lui enlève sous le pied (49e). Hoarau (6). A force d’empiler les matchs, il retrouve peu à peu le rythme du très haut niveau. C’est ce qui lui permet de couper en force le centre de Giuly et d’inscrire le but égalisateur (45e+ 1). A Lorient, l’inattendu duo Mvuemba - Sigamary Diarra a étalé une vivacité et une percussion impressionnantes. L’arbitre, M. Ennjimi (note 5,5), a dirigé le match avec justesse, même s’il aurait pu expulser Amalfitano (65e). Citation « On ne mérite pas ce point » Sous sa casquette, Grégory Coupet a le regard dur après la rencontre. Son excellente performance personnelle ne lui fait pas digérer la piètre performance de son équipe. Sans prendre de gants, il lâche des mots tranchants de colère. Que vous inspire ce match nul difficile ? Grégory Coupet. Qu’on a d’abord fait une première mi-temps catastrophique. En seconde, on a plus ou moins tenté de revenir et d’imposer la technique que nous avions montrée contre Lyon. Mais il est clair que cela a été très très dur. On est passés au travers et l’équipe peut être soulagée de prendre un point. C’est un très bon point qu’on ne mérite absolument pas. Avez-vous une explication ? Tout ce que je peux dire, c’est que ce n’est pas volontaire. On est tous affectés par ce match. Après Lyon, je pensais qu’on pouvait être rassurés sur notre vrai niveau de jeu. Mais là, on tombe dans les abîmes ! N’oublions quand même pas que Lorient a super bien joué mais le problème vient de nous. C’est-à-dire ? Dans l’esprit, nous devons être plus présents. On joue au PSG et c’est une responsabilité. Nous ne disons pas qu’on va être champions mais il y a un minimum. Le PSG, c’est huppé et respecté. Quand on y joue, on a certains devoirs de combativité. Nous devons nous imposer une certaine pression. En quoi le PSG doit-il progresser ? Dans la régularité, c’est ce qu’il y a de plus dur à obtenir. Briller seulement contre Lyon, ça ne suffit pas. A Lorient, on s’est fait bouger techniquement et physiquement. Et c’est ce « physiquement » qui me dérange le plus. A quel moment avez-vous compris que le match était raté ? A la mi-temps. A ce moment-là, j’imaginais qu’on se mettrait dans une attitude de révolte. Eh bien non ! Alors qu’en face, les Lorientais étaient sûrs d’eux. Et ça, ça me gêne. Comment avez-vous stoppé les attaquants lorientais ? J’ai eu trois arrêts. Les deux premiers sont des jaillissements à la kamikaze. Dans ce cas, c’est simple : tu poses le cerveau et tu fonces sans te poser de questions. Le troisième est moins spectaculaire en fin de match face à Gameiro. Mais là, je réfléchis et je cherche surtout à ne pas me jeter devant l’attaquant. Le spectaculaire serait de plonger alors qu’il fallait être sobre. Avez-vous déjà tenu ce discours à vos coéquipiers dans le vestiaire ? Pas encore. On va voir. Il y a toute une semaine pour ça. Citation LA QUESTION Depuis quand Hoarau n’avait-il pas marqué ? Hier soir, l’attaquant parisien a retrouvé le chemin des filets après cinq mois et sept jours de disette. Il avait en effet marqué pour la dernière fois le 19 avril, lors de la 32e journée de L1, contre Le Havre (3-0). Blessé aux adducteurs en mai, il n’a été titulaire en L1 qu’à trois reprises cette saison (Monaco, Lyon, Lorient). Le Parisien.fr -------------------- "Le prix de Pastore, c'est dix ans de Sidaction. C'est triste à dire mesdames messieurs, mais c'est le monde dans lequel on vit" Stéphane Guy.
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27/09/2009 11:19
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#1238
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,392 Inscrit : 13/01/2009 Lieu : Juan-les-Pins (06) Membre no 544 Tribune : Non précisée |
![]() L'Equipe du jour -------------------- Fabien, ex-gabiheinze73
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28/09/2009 07:39
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#1239
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 867 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : blanc mesnil Membre no 277 Tribune : Non précisée |
Citation Makelele, protégé des arbitres ? Jamais expulsé depuis son retour en France malgré un jeu souvent à la limite, Claude Makelele serait protégé par les arbitres selon Christian Gourcuff. Malgré un jeu très viril, Makelele n'a jamais été expulsé depuis son retour en L1.(EQ) Samedi soir, Christian Gourcuff a lancé une pique à l'arbitrage de M. Ennjimi conernant Claude Makelele. «Je regrette surtout l'arbitrage. Je suis très content d'avoir vu ce match de la tribune. Makelele peut prendre le sifflet, c'est pareil. Je n'ai pas l'impression qu'il y ait une équité complète dans ce type de match», a expliqué l'entraîneur de Lorient. Interrogé dans L'Equipe de lundi, le technicien breton n'a pas changé d'avis malgré le recul : «Makelele n'est pas arbitré comme les autres. (...) Il bénéficie d'une impunité. (...) Samedi, il a commis des fautes grossières qui n'ont pas été sanctionnées. C'est le comportement de l'arbitre qui pose problème.» Christian Gourcuff en a profité pour revenir sur l'entretien donné par le joueur à L'Equipe Mag, le 8 août dernier. «A l'époque, il avait dit qu'il fallait laisser une part d'intimidation sur le terrain. Cela m'a choqué car c'est très grave sur le plan de la moralité et cela mériterait une suspension. De tels propos, c'est terrible», s'est indigné l'entraîneur des Merlus. «Ce que veut faire la FIFA, ce n'est plus du football, avait également déclaré le milieu parisien dans l'interview en question. Je ne dis pas qu'il faut laisser des joueurs casser les jambes d'un adversaire, mais le foot est quand même un sport d'hommes, il faut admettre un peu de contact.» Les arbitres nient en bloc Incriminé, Saïd Ennjimi ne comprend pas les insinuations de Christian Gourcuff : «C'est pénible d'être pris en otage. S'il a un problème avec le joueur, qu'il l'appelle directement. J'aurais préféré que M.Gourcuff vienne me voir dans mon vestiaire pour me dire son ressenti. (...) Je suis très blessé par ce genre de propos.» Son collègue Bertrand Layec a également volé à son secours. «Dire que M.Makelele est protégé, c'est complètement faux. Il est un joueur comme les autres, il est jugé comme les autres. Il n'y a aucun favoritisme», a expliqué l'arbitre international. Le pavé jeté dans la mare par Christian Gourcuff pourrait tout de même l'éclabousser puisque le Conseil de l'éthique pourrait se saisir de l'affaire. L'equipe.fr |
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28/09/2009 07:58
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#1240
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Makelele est-il à bout de souffle ? Les propos de Christian Gourcuff ont créé un certain émoi. A l’issue du nul concédé par son club (1-1), le technicien breton a stigmatisé le comportement de Claude Makelele sur le terrain. Il a également porté un jugement sans concession sur son niveau de jeu. « Il est dépassé et en bout de course », affirmait-il. En Bretagne, le capitaine parisien a perdu un nombre incalculable de ballons. Il a aussi manqué de justesse dans ses passes. On en vient à se demander si, à 36 ans, l’ex-international n’accomplit pas l’année de trop. Son rendement depuis le début de saison semble démonter cette hypothèse. Makelele enchaîne des performances allant de moyennes à très bonnes, comme contre Lyon (1-1). Paradoxalement, c’est au cours des quarante-cinq premières minutes de ce match que l’ex-Madrilène est apparu à court de rythme avant de recouvrer de l’allant après la pause. L’intimidation pour compenser Si ses coéquipiers le surnomment affectueusement le Vieux, Makelele pose un regard lucide sur son niveau physique. « La saison dernière avait été difficile car je n’avais pas pu faire de préparation complète en été, précisait-il voici quinze jours. Cette année, c’est différent. Je pense avoir bien démarré la saison. Mes prestations sont correctes. Je peux et je dois apporter encore plus à l’équipe. Je ne regrette pas d’avoir continué une année de plus. » A Paris, on évoque un « accident » pour justifier son mauvais match à Lorient. « C’est l’équipe qui n’a pas bien joué, indique un dirigeant. Makelele a aussi le droit de se rater sur une rencontre. » Toujours est-il que le milieu de terrain n’a plus 20 ans. Antoine Kombouaré le sait et le ménage. « Il ne peut pas enchaîner tous les trois jours, disait-il samedi soir. C’est pour cette raison qu’il n’a pas joué contre Boulogne en Coupe de la Ligue. » Clément Chantôme ou Granddi Ngoyi, ses doublures, récupèrent bien plus de ballons et courent plus vite. Makelele est d’ailleurs obligé de compenser son manque de vitesse par un impact physique qui confine parfois à l’intimidation et lui vaut quelques cartons jaunes (deux cette saison). Avec son petit gabarit, il a toujours été dur sur l’homme, y compris à ses débuts. Son sens du recadrage et son expérience le classent toujours parmi les éléments indispensables sur le terrain. Du moins, pour huit mois encore. « C’est bizarre, il n’y a qu’en France qu’on critique les vieux. Dans les autres championnats, l’âge ne pose pas tant de problème, remarque René Girard, l’entraîneur de Montpellier, premier adversaire du PSG cette saison (1-1). C’est sûr que Claude n’a pas le même rendement qu’à 25 ans, mais il apporte autre chose. Il est présent, rigoureux, joue le relais de l’entraîneur grâce à son intelligence de jeu. » Un bel hommage pour couper court à un début de polémique. Sylvie De Macedo (avec M.G.) Citation Claude Makelele, touché à un tibia lors d’un choc avec Koscielny samedi, observera quelques jours de soins. Le staff médical se veut optimiste quant à sa présence samedi contre Nancy. Citation « Il n’est pas plus violent qu’un autre » SAID ENNJIMI, arbitre de Lorient - PSG Said Ennjimi a peu goûté les propos de Christian Gourcuff. Le technicien lorientais s’est offusqué d’un éventuel traitement de faveur dont aurait bénéficié Makelele au stade du Moustoir. « M. Gourcuff est un homme intelligent et un grand technicien, explique l’arbitre. Je le pensais plus respectueux. Son équipe devait gagner. C’est cette frustration qui lui a sans doute fait perdre sa lucidité. Il m’a pris en otage dans sa volonté de stigmatiser le jeu de Makelele. C’est navrant. » Au sujet du capitaine parisien, Ennjimi est catégorique. « C’est ahurissant de penser qu’il est arbitré différemment. Sur la faute où je lui donne un carton jaune, je suis formel : il ne méritait absolument pas d’être expulsé. Ce n’était pas la plus grosse faute du match. Makelele est un joueur comme un autre, insiste-t-il. Son jeu fait qu’il est parfois en retard, mais il n’est pas plus violent qu’un autre. Si je constatais chez lui une volonté de faire mal, je l’expulserais immédiatement. Je ne tiens pas compte du statut d’un joueur avant de prendre une décision. » M. Ennjimi ne compte pas laisser sans suite les déclarations de Christian Gourcuff. « Même s’il y a un comité d’éthique pour ça, je vais quand même en parler à mes supérieurs. » Christophe Bérard Leparisien.fr |
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