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21/08/2009 15:35
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#1081
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,257 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation «Pas de jeûne le jour du match» Alors que le ramadan, mois sacré de l'Islam, débute ce samedi en France, Antoine Kombouaré a tenu à préciser les règles qu'il compte mettre en place avec les joueurs musulmans pratiquants de son effectif. L'entraîneur du Paris-SG est clair : les joueurs qui souhaiteraient observer le jeûne du ramadan «le jour du match» ne seraient pas alignés. «J'ai une règle toute simple, que j'ai mise en place partout où je suis passé: pendant la semaine, il n'y a pas de souci, j'accepte, a-t-il expliqué. Mais les jours de match: interdit. Ceux qui font le ramadan le jour du match restent chez eux, a-t-il poursuivi avant de conclure. Je ne vais pas jouer avec la santé des joueurs ni mettre les autres joueurs en difficulté. Quand on ne s'alimente pas toute la journée, ça devient compliqué», a-t-il ajouté. Pendant toute la période du ramadan, les musulmans doivent s'abstenir de manger, de boire, de fumer et d'avoir des relations sexuelles du lever au coucher du soleil. (Avec AFP) Lequipe.fr Citation A. Kombouaré : « Peiné pour lui » Antoine Kombouaré a fait part de sa tristesse après l'annonce de la grave blessure qu'a subi son ancien gardien à Valenciennes, Nicolas Penneteau. Extrait. Antoine Kombouaré (Entraîneur du PSG) « Je suis très peiné pour lui. Ca arrive en début de saison, et c’est une blessure très grave qui l’éloigne des terrains pour longtemps. Il doit être costaud, solide, et je lui souhaite de revenir le plus vite possible. Sur la durée, ça aura des conséquences sur l’équipe, mais sûrement pas pour le match de samedi et les quelques matches qui vont suivre. En fonction des résultats à venir, ça peut être compliqué pour Valenciennes, mais on verra avec le temps. » PSG.fr |
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21/08/2009 17:13
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#1082
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation PSG : Le groupe face à Valenciennes Antoine Kombouaré, l'entraîneur du Paris Saint-Germain, a retenu un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Valenciennes, samed (3eme journée de Ligue 1). Il s'agit du même groupe qui s'est imposé contre Le Mans moins le jeune Maurice. Le groupe parisien Edel, Coupet - Armand, Bourillon, Ceara, Jallet, Sakho, S.Traoré - Chantôme, Clément, Makelele, Ngoyi, Sessegnon - Erding, Giuly, Hoarau, Kezman, Luyindula Blessé : Z.Camara (mollet) Suspendu : Aucun Choix de l'entraîneur : Grondin (g), Maurice, Baning, Rothen (en instance de départ), Sankharé, Arnaud, Boli, Makonda, Partouche football365.fr reprenant psg.fr -------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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21/08/2009 17:37
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#1083
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,257 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation Kombouaré : « Pas de cadeau » Antoine Kombouaré nous parle de son retour à Valenciennes, samedi à 19h00, ainsi que de la blessure du gardien du club nordiste, Nicolas Penneteau. Antoine, le match de samedi est un peu particulier pour vous… « Il n’y a que deux mois et demi que j’ai quitté Valenciennes ! J’ai passé quatre années fantastiques dans un club convivial et familial. Mais la priorité, c’est d’aller là-bas pour gagner. Il n’y a que ça qui compte. Après le match, je serai certainement gagné par l’émotion, heureux de revoir des gens que j’ai quittés il y a peu. Ces quatre années passées là-bas m’ont fait changer, grandir et progresser. Si je suis aujourd’hui au PSG, c’est parce que je suis passé par Valenciennes, et que mon staff et moi avons fait du bon travail. Je sais ce dont les joueurs sont capables. Ils vont avoir envie de faire un grand match, donc à nous d’être prêts samedi. Il va falloir un grand PSG pour aller gagner à Nungesser. J’ai des joueurs avec une grande expérience qui seront capables de répondre à ces situations qui sont difficiles. » Valenciennes a perdu ses deux premiers matches, n’auriez-vous pas préféré y revenir dans un contexte plus favorable pour le club ? « Oui, mais on fait avec le calendrier. Même si j’adore le PSG, il fallait gagner quand j’affrontais le club. Aujourd’hui j’ai changé de camp et je n’ai qu’une idée en tête, c’est de gagner. Je suivrai leurs résultats après, mais il n’y a pas de cadeau ni de concession à faire samedi. Les Valenciennois, eux, ne m’en feront pas. Ils n’auront qu’une envie, c’est de me prouver qu’ils sont capables de taper le Paris Saint-Germain. » Qu’est-ce qui pourrait vous amener à changer de charnière centrale ? « Il y a beaucoup de paramètres qui rentrent en ligne de compte. J’attends d’avoir davantage de précision sur l’équipe qu’alignera Valenciennes. Il n’y a pas de hiérarchie parmi les joueurs, en défense comme au milieu et en attaque. Rien n’est acquis. Je peux changer l’équipe après une victoire, et la conserver après une défaite. Je fais aussi en fonction de ce que je vois à l’entraînement. J’ai besoin de tout le monde, et je n’ai pas onze titulaires. » Qu’avez-vous ressenti en apprenant la blessure de Nicolas Penneteau, votre ancien gardien à Valenciennes ? « Je suis très peiné pour lui. Ca arrive en début de saison, et c’est une blessure très grave qui l’éloigne des terrains pour longtemps. Il doit être costaud, solide, et je lui souhaite de revenir le plus vite possible. Sur la durée, ça aura des conséquences sur l’équipe, mais sûrement pas pour le match de samedi et les quelques matches qui vont suivre. En fonction des résultats à venir, ça peut être compliqué pour Valenciennes, mais on verra avec le temps. » Guillaume Hoarau est-il capable de jouer un match de championnat aujourd’hui ? « Si il est dans le groupe, c’est qu’il en a la possibilité. Avec le temps et l’accumulation des séances de travail, il se sent plus fort et a plus confiance en lui. » PSG.fr |
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21/08/2009 19:20
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#1084
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,980 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : 92 Membre no 313 Tribune : Canapé |
Citation Kombouaré : « Hoarau se sent plus fort » Pour le déplacement à Valenciennes comptant pour la 3e journée de Ligue 1, samedi soir à 19 heures, Antoine Kombouaré a convoqué, à l'exception de Jean-Eudes Maurice, les mêmes joueurs que la semaine dernière. Edel, Armand, Bourillon, Ceara, Chantôme, Clément, Coupet, Erding, Giuly, Hoarau, Jallet, Kezman, Luyindula, Makelele, Ngoyi, Sakho, Sessegnon et Traoré sont donc du voyage dans le Nord. Huit jours après son retour dans le groupe pro, Guillaume Hoarau y figure donc à nouveau. Concernant une éventuelle titularisation de son attaquant, samedi à Valenciennes, Antoine Kombouaré est resté secret mais a expliqué : « S'il est dans le groupe, c'est qu'il est capable (de jouer 90 minutes, ndlr) . Avec l'accumulation des séances d'entraînement, du travail et du temps, il se sent plus fort et a surtout plus confiance en lui ». Pour une première, l'entraîneur parisien pourrait cependant opter pour une entrée en cours de jeu. L'autre incertitude concerne la charnière centrale. Qui de Bourillon, titulaire à Montpellier (1-1), ou de Traoré, titulaire contre Le Mans (3-1), épaulera Mamadou Sakho en défense centrale ? « C'est d'abord toujours une question d'équilibre par rapport au onze de départ. Mais il y a plein de paramètres qui entrent en ligne de compte. Aujourd'hui, j'attends de voir avec plus de précisions quelle équipe Valenciennes alignera demain [...] Il n'y a rien d'acquis. Je peux changer l'équipe après des victoires et garder la même après des défaites...» Une certitude, en revanche, Jérôme Rothen, qui souhaite toujours partir mais dont la situation n'a pas évolué depuis sa visite à Blackburn (L1 anglaise) en début de semaine dernière, n'est lui toujours pas dans le groupe. L'équipe probable : Coupet- Ceara, Traoré, Sakho, Armand- Giuly, Makelele, Clément, Sessegnon- Erding, Luyindula. Le Parisien |
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22/08/2009 08:50
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#1085
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Valenciennes, un défi à part pour Paris et Kombouaré Pour son retour dans le Nord, Antoine Kombouaré rêve de ramener un bon résultat à la tête du PSG, sa nouvelle équipe. D’autant que les Parisiens n’y ont jamais vraiment brillé. C’est peut-être pour cela, au fond, qu’a été engagé Antoine Kombouaré. Connaître les recettes du monstre du Nord, nommé VA pour Valenciennes, une sacrée terre hostile (lire ci-dessous). Qui mieux que l’entraîneur kanak, deux victoires et quatre nuls en championnat lors des six dernières confrontations VA - PSG, pour vaincre cette malédiction ? L’ex-défenseur vit des semaines à émotions. Samedi, c’était sa première au Parc sur le banc parisien. Aujourd’hui, son premier retour où il est « né » comme entraîneur, où il s’est forgé une solide réputation de technicien. « J’ai passé quatre années magnifiques, fantastiques dans un club familial, convivial, dit-il plein de reconnaissance. On a fait du bon boulot surtout. Ces quatre ans m’ont changé, fait grandir et progresser dans mon travail. Si je suis au PSG aujourd’hui, c’est parce que je suis passé par Valenciennes. Les joueurs m’ont permis cette ascension. » Hoarau sur le banc Deux mois et demi après son départ de Nungesser, le nouvel entraîneur parisien joue les modestes. « Je connais bien les Valenciennois, oui, glisse Kombouaré. L’avantage ? Je sais ce dont ils sont capables. L’inconvénient ? Ils vont avoir envie de briller et d’être performants. » Histoire de prouver qu’ils ont appris la leçon de coach Antoine. Prudent, ce dernier ajoute : « Il faudra un grand PSG pour gagner là-bas. » N’en fait-il pas trop ? Pas dans l’amour, sincère, qu’il voue à ses autres racines, celles du Nord. Mais à propos de cet adversaire féroce qu’il décrit ? Parce que son Valenciennes a changé. Voilà une équipe balayée à domicile par Nancy la première journée (3-1), défaite 1-0 par Lyon la semaine suivante par des Lyonnais aussi efficaces face à Anderlecht (5-1) que maladroits devant VA. C’est aussi une formation qui vient de perdre son gardien pour six mois, Nicolas Penneteau, victime d’une entorse du genou et qui sera remplacé par Jean-Louis Leca, 35 matchs professionnels en six ans dont… 3 en Ligue 1 (2 avec Bastia, 1 à Lyon la semaine dernière). Son « grand PSG » de ce soir, Kombouaré l’imagine sans Guillaume Hoarau si l’on se fie à la mise en place tactique effectuée hier à huis clos. L’entraîneur prône la stabilité en reconduisant son attaque Luyindula-Erding comme il redonne sa confiance à Traoré en défense. « S’il est dans le groupe, c’est qu’il est capable de jouer. Avec le temps et l’accumulation des entraînements, il se sent plus fort », disait hier Kombouaré au sujet de Hoarau. C’est une première information et relative surprise de ce début de saison : Luyindula n’est plus un choix par défaut. C’est l’histoire de Peguy : jamais donné gagnant, à la fin il s’impose. Il vient déjà de modifier la géopolitique offensive du PSG en août. Dominique Sévérac avec Ch.B. Citation Sakho a bien grandi depuis l’épisode du brassard Le stade nungesser n’est pas un stade comme un autre pour Mamadou Sakho. C’est là que le 20 octobre 2007 contre Valenciennes (0-0), il est devenu, à 17 ans et 8 mois, le plus jeune capitaine de l’histoire du PSG. Pour l’occasion, il s’agissait surtout d’une mesure vexatoire décidée par Paul Le Guen à l’encontre de plusieurs cadres, à qui il reprochait un manque de combativité. Par la suite, ce dernier reconnaîtra d’ailleurs avoir fait une erreur en confiant si tôt le brassard à Sakho. Deux ans plus tard, le jeune défenseur central figure parmi les titulaires indiscutables. Mais, peut-être gêné par la lumière de cette époque, Sakho se fait le plus discret possible hors des terrains. En ce début de saison, il répugne à s’exprimer publiquement. Une timidité surprenante au vu de son potentiel physique. Perfectionniste En réalité, Mamadou Sakho reste un joueur qui doute en permanence. Sans trop le dire, il s’est demandé si le nouvel entraîneur, Antoine Kombouaré, allait compter autant sur lui que Paul Le Guen. Sur ce point, il a vite été rassuré. Kombouaré lui a simplement demandé de ne pas partir disputer l’Euro des moins de 19 ans cet été. Ce que Sakho a accueilli comme une marque de confiance. Et la phrase lâchée par le Kanak, « Faire venir Heinze, cela aurait condamné le jeune Sakho », a fini de rassurer le défenseur. Pourtant, Sakho reconnaît s’être mis beaucoup de pression en ce début de saison. Perfectionniste, il a compris que ses deux premiers matchs n’ont pas été exceptionnels et qu’on peut lui reprocher sa passivité sur le but encaissé face au Mans samedi dernier. Dans les duels comme dans la relance, sa marge de progression est grande pour retrouver son niveau de l’an dernier. Cet été, il s’est contenté de quelques jours de détente en Turquie avec des amis qu’il a connus au centre de formation du PSG. Il a aussi passé une semaine auprès de sa famille à Dakar. Au Sénégal, Sakho a joué son rôle préféré : celui d’un petit frère. Christophe Bérard Citation « Trois cents matchs en L 1, ça m’amuse » SYLVAIN ARMAND, défenseur du PSG Ce soir à Valenciennes, Sylvain Armand va disputer son 300 e match de L 1. Au sein de l’effectif parisien, seuls Coupet (438), Luyindula (321) et Giuly (320) ont joué davantage. Est-ce important pour vous d’atteindre la barre des 300 matchs en L 1 ? Sylvain Armand. Ce chiffre rond m’amuse, mais ce n’est pas un objectif en soi. Le but, c’est de gagner des titres, car c’est ce qui reste à la fin d’une carrière. Mais cela prouve aussi que j’ai su faire preuve de régularité. Cela montre que j’ai réussi à échapper aux blessures. Trois cents matchs, c’est un peu la récompense d’une bonne hygiène de vie. Comment jugez-vous votre début de saison ? Je le trouve vraiment très correct. Dans le jeu, je me suis trouvé pas mal dans le travail défensif. Après, bien sûr, il y a ce gros bémol du but égalisateur de Montpellier à la dernière minute (1-1). Car le gars qui marque (NDLR : Spahic), c’est celui que j’avais au marquage. Mais sinon, physiquement, je me sens très bien. Antoine Kombouaré demande à tous les défenseurs de l’équipe de se concentrer surtout sur les tâches défensives avant de penser à attaquer. Comment se passe votre entente sur le côté gauche avec Stéphane Sessegnon ? Bien. Mais c’est différent de Jérôme Rothen que je connais par coeur. Là, c’est à moi de m’adapter au jeu de Stéphane qui est un super technicien mais qui ne reste pas toujours dans le couloir gauche. Il repique souvent au centre, voire à droite. C’est donc à moi de juger s’il faut, ou pas, combler son absence et monter dans le couloir gauche. C’est juste une question d’automatismes. A la fin du match contre Le Mans, vous avez, au micro de Foot +, tenu à dire qu’il ne fallait pas oublier que vous savez aussi jouer avec Jérôme Rothen. Pourquoi ? Parce que je ne veux pas qu’on oublie Jérôme. Il est toujours joueur du PSG même s’il traverse une période pas très amusante. C’est un peu facile de le dénigrer gratuitement. D’un coup, on a l’impression qu’il n’existe plus. C’est mon ami et je sais que ce n’est pas facile pour lui. Je sais que le terrain lui manque. En parlez-vous avec lui ? Un peu. Mentalement, il a du mal à se sentir concerné dans tous les entraînements car il sait qu’il ne jouera pas le samedi d’après. En apparence, il reste toujours chambreur et souriant. Mais je sais qu’il souffre. Il ne faut pas oublier tout ce qu’il a apporté au club. Quelle est votre ambition pour le PSG cette saison ? Le titre, comme Grégory Coupet ? Greg a raison de dire ça. En même temps, si, dans deux mois, on se retrouve 6 e ou 7 e , on nous balancera nos ambitions dans la figure. Mais accrocher la Ligue des champions, ce serait pas mal. Allez, disons qu’il faut se qualifier pour l’Europe grâce au championnat. Mais ce serait un minimum. Propos recueillis par Christophe Bérard Citation LA PHRASE « Pendant la semaine, il n’y a pas de soucis, je l’accepte et je le tolère, mais les jours de match, je l’interdis. Ceux qui font le ramadan le jour de match restent chez eux. Je ne joue pas avec la santé des joueurs et je ne mets pas les autres joueurs en difficulté. » Antoine Kombouaré, entraîneur du PSG (Traoré, Sakho et Erding font le ramadan). Citation LE CHIFFRE 32 En championnat, Paris n’a pas gagné à Valenciennes depuis trente-deux ans ! Il faut remonter au 27 mai 1977 pour trouver trace d’une victoire du PSG (3-0, triplé de François M’Pelé). Depuis, le bilan est de cinq nuls et quatre défaites, la dernière datant du 23 mai 2009 (2-1, but de Kezman). Au total, le PSG n’a gagné qu’une fois en onze matchs. « Les statistiques sont faites pour être fracassées », a déclaré Antoine Kombouaré hier. leparisien.fr |
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22/08/2009 09:44
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#1086
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
L'Equipe du 22 août :
Citation Sessegnon peut être immense Imprévisible, le milieu béninois du PSG peut, à lui seul, débloquer une rencontre fermée. LA FATIGUE est nerveuse, inexorable. Les défenseurs ont beau être préparés physiquement, ils savent qu’ils vont ressortir éreintés de leur confrontation directe avec Stéphane Sessegnon. Parce qu’ils imaginent... Ou plutôt, non, ils n’imaginent pas, jamais, ce que le milieu béninois est capable de réaliser balle au pied. Sa facilité technique, sa lecture du jeu, son explosivité ou encore sa puissance en font un joueur difficile à maîtriser et à cerner. Un Augustin "Jay-Jay" Okocha (*) en plus puissant et régulier. Qui peut affirmer, aujourd’hui, quelle est sa meilleure place, par exemple ? « Derrière les attaquants », assure l’intéressé. La qualité de ses dribbles courts et sa faculté à se retourner sur ses premiers appuis peuvent se montrer précieuses à une vingtaine de mètres du but. Sa frappe, violente, est aussi un atout précieux dans cette zone. La barre transversale de Nicolas Penneteau, lors de PSG-Valenciennes (2-2), le 21 décembre, s’en souvient encore. Cette saison-là, justement, Paul Le Guen l’avait positionné côté droit, où sa percussion et sa vitesse ont largement dépanné le club de la capitale. Dans ce registre de milieu excentré, Sessegnon permet aussi aux attaquants de profiter de sa qualité de passeur. Son flair et son sens du jeu ont ainsi été récompensés de sept passes décisives en Championnat. Il fut également le joueur de L 1 qui a réussi le plus de passes en profondeur (21). À gauche, où Antoine Kombouaré lui demande cette année d’évoluer, l’international béninois utilise moins cette arme. En revanche, il percute autant et pénètre davantage dans l’axe, sur son bon pied, ce qui le place plus facilement en position de tireur, même s’il n’a pas encore cadré une frappe. Il se complique parfois la vie Sa disponibilité et sa volonté d’aimanter les ballons le positionnent par ailleurs souvent dos au but. Là encore, Sessegnon est un cauchemar pour les défenseurs, souvent obligés de monter à deux sur lui. D’abord, parce qu’il est très difficile à bouger en raison de son physique, très musculeux, et de son centre de gravité, très bas. Ensuite, parce qu’il a une grande propension à utiliser ses fesses pour repousser l’adversaire direct et se retourner très rapidement. Enfin, parce qu’il peut éliminer ce dernier d’un simple contrôle orienté dont il maîtrise toutes les données. Dans la phase de préparation de l’action, le milieu parisien est sans doute l’un des joueurs les plus redoutés. Vite en action, fin dribleur, il efface un premier rideau défensif assez aisément. Depuis le début de saison, il a réussi plus de 50 % des dribles tentés (voir par ailleurs). En revanche, lorsqu’il entre dans la phase de finition, le grand ami de Guillaume Hoarau apparaît perfectible. Son côté imprévisible peut aussi perturber ses coéquipiers qui n’auraient pas su lire sa feinte ou compris que leur appel serait servi mais pas nécessairement au moment où ils s’y attendent. Du coup, son nombre de passes décisives gonflerait avec une complicité plus affinée. Paradoxalement, sa volonté de bien faire peut lui nuire. Trop proche et seul face au but, l’ancien Manceau ne choisit pas toujours la bonne solution et a tendance à privilégier le côté fermé. Ce fut le cas, à plusieurs reprises, en fin de saison dernière. En situation d’échec, le joueur a tendance à se compliquer la vie et à tenter des gestes encore plus difficiles. Il devient irritable et s’énerve facilement, un aspect sur lequel il doit aussi progresser. Les défenseurs le savent et n’hésitent pas à le provoquer. Hier, Antoine Kombouaré avouait alors : « Parfois, il n’a pas besoin de prendre des coups pour s’énerver. Stéphane doit apprendre à se maîtriser, être capable de faire gaffe. » Là, il aura encore pris une autre envergure. DAMIEN DEGORRE (*) : Le meneur de jeu nigérian a joué au PSG de 1998 à 2002. Citation 210 Comme le nombre de dribbles tentés la saison dernière par Sessegnon. Il en a réussi 101. Aucun joueur de L 1 n’en avait tenté autant. Citation Avec le même onze de départ ? ANTOINE KOMBOUARÉ NE DEVRAIT PAS tenir compte du début du ramadan, aujourd’hui, pour composer son équipe. Hier, l’entraîneur du PSG a été clair à l’endroit des joueurs de confession musulmane de son effectif (Traoré, Sakho, Erding, notamment) : « Pendant la semaine, pas de problème. Mais le jour de match, interdit. Moi, en tout cas, je ne joue pas avec la santé des joueurs, ni avec les résultats du club. » A priori, tous les joueurs concernés devraient adhérer au discours du technicien et donc s’alimenter les jours de match. Du coup, il ne devrait pas y avoir de changement dans le onze de départ parisien par rapport à l’équipe vainqueur du Mans (3-1), samedi. Hier, lors de la séance à huis clos, Sakho et Traoré ont ainsi été associés ensemble en défense centrale, alors que dans l’équipe adverse, Luyindula et Erding formaient la paire d’attaquants. Hoarau, remis de sa pubalgie, pourrait entrer en cours de jeu selon l’évolution du score. « S’il est dans le groupe, c’est qu’il est capable de jouer, a déclaré Kombouaré, hier. Plus les jours passent, plus il se sent fort et plus il a confiance en lui. » – D. D. Citation HOARAU:POURQUOI LE STAFF EST SI PRUDENT.– C’est avec d’extrêmes précautions qu’Antoine Kombouaré semble appréhender le retour à la compétition de Guillaume Hoarau. Cet été, lorsque le joueur a ressenti de nouvelles douleurs aux adducteurs, le staff médical a même envisagé l’hypothèse d’une opération avant de préférer finalement laisser la blessure cicatriser. Si tous les signaux semblent aujourd’hui au vert, le staff parisien aurait néanmoins décidé d’opter pour l’opération en cas de rechute du joueur en cours de saison. Ce qui se traduirait a priori par quatre à cinq mois d’indisponibilité. – J. T. Citation Valenciennes y pense encore Le club nordiste a été marqué par la personnalité d’Antoine Kombouaré, son ancien entraîneur. Mais la page se tourne doucement. TROIS MOIS après son départ pour le PSG, Antoine Kombouaré, ex-coach de VA pendant quatre saisons (2005-2009), retrouve le stade Nungesser. Attention à ne pas se tromper : pour le vestiaire des visiteurs, c’est à gauche avant le tunnel qui mène à la pelouse. « Je ne vis pas avec le passé, explique celui qui a été remplacé cet été par le duo Montanier-Troin. Les entraîneurs ne sont que de passage. J’ai essayé de hisser Valenciennes le plus haut possible. J’aurais aimé qu’on puisse goûter un jour à la Coupe d’Europe par le biais d’une Coupe nationale et découvrir le nouveau stade en Première Division. Mais là, je veux gagner ce match avec le PSG. » Danic : « Avec lui, c’était un peu sanguin » Contraint de lâcher à Paris celui qui était sous contrat jusqu’en juin 2013, le club du Hainaut digère ce départ sans la moindre nostalgie, mais avec une nouvelle organisation sportive. D’ici peu, Francis Decourrière, qui s’est fait aider pour les transferts cet été par Henri Zambelli, ex-collaborateur de l’agent FIFA Philippe Flavier, sera épaulé par un conseiller sportif. « Le système est en place, les infrastructures sont les mêmes, commente le président de VA, qui a souvent Kombouaré au téléphone. Ce sont les hommes qui ont changé. Mais dans l’esprit, on est restés dans la culture de la gagne, des couleurs, de la région. Avec Antoine, nous avions une direction bicéphale qui ne peut plus fonctionner aujourd’hui au plus haut niveau. Les responsabilités sont plus réparties. Maintenant, au final, il reste quand même deux personnes qui décident : le président et l’entraîneur. » Manager général dont les prérogatives étaient contractuellement élargies, Antoine Kombouaré décidait de tout sur le plan sportif. Et il assumait. Valenciennes en a conservé une certaine rigueur. « Au début, sa discipline nous semblait excessive, rappelle Alain Dhée, le directeur général. Mais elle a fait progresser le club et elle nous a permis d’être au niveau où nous sommes. » « Antoine était un leader, poursuit Decourrière. Quand il est arrivé (après Daniel Leclercq), on venait d’accéder à la L 2. Il a laissé cette trace. Les gens souffraient après l’affaire VA-OM. Il nous a ramenés parmi l’élite. » L’ancien défenseur central est également parvenu à maintenir son effectif en L 1 au terme d’une impressionnante deuxième partie de saison 2008-2009. « On était dans le trou, se souvient Grégory Pujol. Rien que pour ça, ça valait le coup de participer à cette belle aventure humaine. » « C’est vrai qu’avec lui, c’était un peu sanguin, rigole Gaël Danic. Il avait fait le recrutement avec des joueurs qui lui correspondaient, qui étaient en adéquation avec son discours. Moi, j’étais revanchard. J’avais envie de me battre. Il reste cet esprit qu’il entretenait au quotidien. » « C’était quelqu’un d’important pour le club et pour nous, admet Nicolas Penneteau. Mais la page est tournée. Si on peut tuer le père, on ne va pas s’en priver. » JOËL DOMENIGHETTI Citation Montanier s’est senti trahi À LYON (0-1), Philippe Montanier n’a pas apprécié le comportement de son équipe en première période. Il l’a fait savoir à ses joueurs et, pour les piquer au vif, a évoqué une trahison. Ce mardi, l’entraîneur de VA a invité ses troupes à exposer leurs réticences. Elles semblent nombreuses et tiennent aux changements intervenus dans la vie du club (nouveau management, passage du 4-4-2 au 4-3-3, entraînements intensifs la veille des matches, nouveau capitaine). « On sent que les joueurs adhèrent, remarquait mercredi l’entraîneur comme s’il témoignait de l’avancée du dialogue interne. Leur engouement me rend optimiste. » « On est tous restés sur notre belle deuxième partie de saison 2008-2009, estimait Gaël Danic hier. On a tous repris cette saison avec une certaine assurance. Mais les matches amicaux nous ont prouvé que si on ne faisait pas les efforts, il n’y avait pas de continuité dans les résultats. Parler du changement tactique, c’est trop réducteur. On doit être meilleurs individuellement. Moi, je suis à 50 % . » – J. D. Citation Qui dans les buts ? Mercredi, la logique voulait que Jean- Louis Leca soit titularisé pour la deuxiè e suite ce soir face au me fois de, PSG. A Lyon (0-1 2e journée), il avait remplacé Nicolas Penneteau, suspendu après son expulsion face à Nancy (1-3, 1re journée). Mais hier, Philippe Montanier, en phase de réflexion, a tenu un discours différent. Il décidera ce matin, qui de Leca (23 ans, un match en L1) ou de Rolland Ndy Assembe (23 ans, huit matches), récemment prêté par Nantes avec option d’achat, jouera. L’indisponibilité de Penneteau pour au moins cinq mois (blessé au genou droit mercredi, il va se faire opérer sous huit jours d’une déchirure du ligament croisé antérieur) oblige Valenciennes à recruter un troisième gardien dont le profil reste à déterminer. Le club du Hainaut a pris contact avec Rudi Riou, 29 ans, suppléant à l’OM (L’Equipe d’hier). « Ce n’est pas l’urgence de la fin de semaine, atempéré Philippe Montanier hier. On a d’abord un match à gagner. Mais on ne peut pas rester en l’état car si un de nos deux titulaires potentiels se blesse... » - J. D L'Equipe. |
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22/08/2009 12:00
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#1087
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 : Du galon pour Alain Roche ? ![]() Alain Roche est candidat au poste de directeur sportif du Paris-SG dont il a la charge du recrutement depuis six ans.(EQ) En charge du recrutement du Paris-SG depuis 2003, Alain Roche pourrait devenir le directeur sportif du club de la capitale qui doit officialiser son nouvel organigramme au mois de septembre. L'intéressé laisse clairement entendre samedi dans L'Equipe Magazine qu'il est attiré par le poste. «J'ai l'impression de déjà accomplir ce travail. Dans toutes les négociations, je me sens au coeur du décisionnel du club. Je pense que j'aurais la légitimité d'être directeur sportif...» Alain Roche précise encore qu'il souhaite se rapprocher du groupe pro, ce que lui interdisaient de fait ses mauvaises relations avec l'ancien entraîneur du PSG, Paul Le Guen. «Il a un rôle à tenir dans le futur du PSG» (Boindrieux) «Cette coupure me posait des problèmes pour mon travail. J'ai besoin de savoir comment vit le groupe et les personnalités qui le composent. Avec Antoine Kombouaré, nous pourrons faire avancer les choses.» Sans se prononcer sur une éventuelle promotion de l'ancien défenseur, Philippe Bondrieux, le directeur général du club, dresse de lui un portrait flatteur, insistant notamment sur son action en faveur de l'actif joueurs du club. «Il a un rôle à tenir dans le futur du PSG», conclut-il. L'Equipe Mag précise que Kombouaré n'a pas souhaité donner son avis.
-------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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22/08/2009 21:00
Message
#1088
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 684 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 420 Tribune : Non précisée |
Citation Kombouaré : «Heureux et triste» Pour son retour « chez lui », à Valenciennes, Antoine Kombouaré s'est imposé avec Paris au terme d'un match dont le scénario s'est animé en deuxième période (3-2). «Antoine Kombouaré, qu'avez-vous pensé du match de votre ancienne équipe ? Les joueurs valenciennois ne m'ont pas surpris. Je m'attendais à un match difficile, délicat même. A 2-0 ce n'était pas plié. Ce sont les valeurs du VAFC. Même en difficulté, les joueurs font les efforts. J'espère qu'ils vont désormais pouvoir engranger des points. Mais Paris s'est imposé... Oui. C'est une énorme satisfaction car on gagne. Ces trois points sont importants pour avancer dans la sérénité. Après, c'est compliqué car on ne peut pas se contenter de marquer à chaque fois trois buts pour gagner. J'attendais plus de sérénité, de maîtrise, de force mentale quand Valenciennes poussait. A 2-0, on a moins fait les efforts, on a eu moins d'impact dans les duels. Maintenant, on est capable de marquer à tout moment et c'est rassurant car cela veut dire que l'on produit du jeu. Les attaquants marquent et dans le jeu. Il y a du jeu, c'est bien, même si la base du football est d'être solide derrière pour pouvoir se projeter. Que retenez-vous encore de la prestation de votre équipe ? J'ai vu un grand PSG offensivement. Défensivement, on a souffert. Le fait de mener 2-0 a fait qu'on s'est peut-être relâchés. Il va falloir éviter de se mettre en danger. Comment avez-vous vécu ce retour très particulier pour vous ? Je suis encore dans le mach, même s'il s'agit d'une énorme satisfaction car le PSG n'avait pas gagné depuis longtemps à Valenciennes. Je suis heureux et triste en même temps pour Valenciennes. Des fois, il y a des défaites sur lesquelles on peut travailler. Cette deuxième mi-temps a été belle de leur part. Ce n'est pas passé loin pour eux. «C'est un énorme début. J'aurais signé tout de suite pour avoir sept points après trois matchs.» Vous avez aligné en fin de rencontre un tandem Erding-Hoarau intéressant... Il était important de faire rentrer Guillaume en fin de match. Mais Pegguy Luyindula est aussi intéressant. Il est capable d'apporter le danger, de créer du jeu. Néanmoins, il faut plus d'efficacité pour avancer. Sur ce match, on a bien attaqué et mal défendu, mais, en disant cela, je parle de toute l'équipe. Ceci dit, il faut mettre en avant la valeur de cette équipe de Valenciennes. Paris réalise un excellent début de saison... C'est un énorme début. J'aurais signé tout de suite pour avoir sept points après trois matchs. Il faut aussi attendre quatre-cinq matchs avoir un peu plus une idée de la valeur du groupe. C'est bien de grappiller des points. Je suis content car on engrange et on reste dans le haut du panier. Les joueurs sont conscients qu'on n'a pas fait un grand match car on s'est fait bouger, on a été bousculé. Mais si c'est le cas tous les week-ends et que l'on gagne, je signe tout de suite. Ca permet d'accumuler de la confiance. Il est important de gagner, même quand on ne joue pas bien !»
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23/08/2009 09:56
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#1089
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,257 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation « On s’en sort très bien » CHRISTOPHE JALLET, défenseur du PSG L’entrée en jeu de Christophe Jallet a été parfaite hier soir. Auteur d’un but décisif, l’ex-Lorientais trouve peu à peu ses marques au sein de l’équipe. Mais il garde la tête sur les épaules et retient surtout les deux buts encaissés. Quel est le sentiment général à l’issue de cette victoire dans le Nord ? Christophe Jallet. Le soulagement ! C’est le mot évident car la soirée a été difficile. On s’en sort très bien. Cette victoire a été dure à remporter car les Valenciennois nous ont quand même pas mal bougés. La chance était de notre côté, notamment sur notre deuxième but. Pourtant Valenciennes n’avait pas existé en première période… C’est vrai. A ce moment-là, nous étions parfaitement dans le match. Mais dès le début de la deuxième période, nous avons trop reculé. Valenciennes s’est alors procuré quelques occasions qui ont réveillé l’équipe et le public. A partir de là, un autre match a commencé. Ça s’est joué plus au courage qu’au talent. Dans quelles conditions avez-vous inscrit le troisième but ? Je récupère le ballon après un coup franc de Jérémy Clément. Je vois que les défenseurs sont mal placés. Comme je suis frais, je tente un raid et je sers Sessegnon qui temporise parfaitement avant de me rendre le ballon. Là, je vois que Ndy a laissé un côté libre. Je vise et j’entends un cri. Là, je comprends que le ballon est rentré ! C’est une sensation incroyable. En fait, c’est deux minutes après que j’ai réalisé que j’ai marqué ! Il est vrai que vous n’êtes pas un grand buteur… Non. A Lorient ces trois dernières années, mon rythme c’était un but par saison ! Mais comme là, j’ai déjà égalé mon record, je ne vais pas m’arrêter. (Sourires.) Depuis deux matchs, Antoine Kombouaré vous utilise comme milieu droit alors que vous êtes plutôt défenseur. Est-ce gênant ? Pas du tout. J’ai débuté à ce poste à Lorient. Et avec Christian Gourcuff, j’ai appris plein de trucs tactiques dans ce rôle. Je sais comment me placer par rapport à mon défenseur. Mission accomplie, donc ? Oui, mais on a quand même pris deux buts. Dans le vestiaire, l’entraîneur nous a dit que nous ne marquerons pas toujours trois buts à l’extérieur pour nous sauver de notre fébrilité défensive. Mais c’est plus facile de travailler quand on a sept points après trois journées. Citation LES JOUEURS Erding se rend indispensable Sans surprise, Kombouaré a aligné l’équipe victorieuse du Mans une semaine plus tôt, un 4-4-2 avec Traoré en défense centrale et Hoarau sur le banc. La première période est terne, Valenciennes monopolise le ballon sans parvenir à déstabiliser le bloc parisien. Le PSG livre un match sans étincelles jusqu’au but de Luyindula. La deuxième période est beaucoup plus enlevée mais n’atteint pas des sommets de technicité. Au coeur des Nordistes, Paris oppose son sérieux, sa rigueur et son opportunisme. Coupet (5). Mal placé sur le joli coup franc de Tiene, il se laisse surprendre par la frappe de Mater dans les arrêts de jeu. A son crédit, deux excellentes interventions sur des frappes de Danic (47e) et Sanchez (51e). Ceará (5). Calme et appliqué, il cadenasse son couloir droit. Mais, comme Armand à gauche, sa contribution offensive reste insuffisante. Son placement se relâche en seconde mi-temps, il se laisse surprendre de la tête par Danic (70e). Traoré (5). Préféré à Grégory Bourillon, il n’a pas souffert pour museler l’athlétique Samassa. Quelques dégagements mal assurés. Un match sans grosse faute et sans fioritures, comme d’habitude. Sakho (6). Solide au poste, il s’entend parfaitement avec Armand qui sait le couvrir au cas où… Très appliqué dans ses relances. Armand (6). Pour son 300e match, il fait honneur à sa réputation de joueur régulier. Il se signale par un tacle d’école sur Samassa (26e) et bouche son couloir gauche, obligeant Ben Khalfallah à régulièrement repiquer dans l’axe. Giuly (5,5). Dangereux quand il se détache de son couloir droit, il ne rechigne pas à défendre. Une superbe interception aurait mérité meilleur sort (59e). Remplacé par Hoarau (59e), pas encore au top mais qui n’a rien perdu de son toucher de balle. Makelele (5,5). Mal inspiré dans ses passes, à contretemps sur ses interventions défensives, il compense par sa science du placement. Plus à l’aise en seconde période, il a brisé quelques assauts adverses. Clément (6,5). A l’image de ses deux premiers matchs, il s’est montré hyperactif en première période avant de s’essouffler peu à peu. Mais son volume reste impressionnant. Sessegnon (4). Un match moyen pour le Béninois, pas en jambes et moins créatif que d’habitude. Cela démontre que l’attaque parisienne n’est pas complètement dépendante de lui. Luyindula (7). Il a conclu un petit bijou d’action collective et inscrit son premier but de la saison (35e). Il joue par intermittence mais éclaire le jeu par quelques belles inspirations. Après une pige au poste de milieu droit, il a cédé sa place au très intéressant Jallet (71e) qui marque dès sa première occasion (84e). Erding (7). Un but, une passe décisive. Il a fait preuve d’opportunisme sur son but et d’un joli sens du collectif sur l’action lancée et conclue par Luyindula. En outre, sa combativité va vite en faire le chouchou des supporteurs. Remplacé par Chantôme (80e). A Valenciennes, les individualités et le collectif ne sont pas encore à la hauteur du jeu prôné par Montanier. Avec un peu plus de confiance, la réussite peut sourire. L’arbitre, M. Kalt (6). A oublié de siffler un penalty pour le PSG en première période. Il s’est parfaitement fait respecter. Citation A défaut d’être génial, Paris se montre réaliste Vainqueurs à Valenciennes, les Parisiens se hissent à la deuxième place du classement. Mais tout est loin d’être parfait... Un jour, le PSG tombera contre une bonne équipe, encore meilleure que Le Mans, vaincu (3-1) la semaine dernière. Ce jour-là, Paris verra peut-être sa puissance offensive le lâcher, sa défense se révéler encore plus empruntée qu’elle ne l’est actuellement, son mental se fragiliser encore plus qu’en ces instants déjà nombreux en trois rencontres. Ce jour-là, l’équipe d’Antoine Kombouaré sera protégée par son petit matelas de sept points qu’elle s’est construit face à Montpellier, au Mans et hier soir encore à Valenciennes (2-3), que le club de la capitale défait enfin après avoir buté 32 ans sur lui. « C’est un énorme début, se réjouit le technicien parisien. Mais il faudra attendre quatre ou cinq rencontres avant de cerner totalement la valeur du groupe ». Cela tombe bien : la semaine prochaine, Lille s’annonce au Parc et il s’agira enfin du premier test sérieux de la saison, avec une formation engagée en Ligue Europa. On sera loin de Valenciennes, l’un des combos les plus faibles observés depuis longtemps. Cette anecdote à la sortie de Nungesser confirme cette impression. Francis Decourrière, le président de Valencinnes, s’avance vers la presse locale et lance : « Il a encore du boulot le coach ! ». « Philippe ? », lui répond un journaliste, évoquant Montanier, l’entraîneur de Valenciennes. « Ah non, Antoine ! On les a bien bougés en seconde période », rétorque le dirigeant. Efficacité offensive Mais Kombouaré, justement, a adoré cette victoire. Bien sûr parce qu’elle rapporte trois points mais surtout parce qu’elle s’annonce comme une solide base de travail pour les prochaines semaines. Le coach parisien ne s’est pas caché pour le dire : « Les joueurs sont conscients que l’on n’a pas fait un grand match. J’attendais plus de maîtrise, de sérénité et de force mentale. Défensivement, on a beaucoup trop souffert ». Ainsi engagée sur la voie royale du succès et de l’humilité, il ne peut rien arriver de grave en ce moment au PSG. Surtout que la tableau est quand même plutôt rose. Certes, il y a ce relâchement coupable dans le temps additionnel à Montpellier (1-1), cette victoire trop large face au Mans en comparaison des deux équipes ce jour-là, les atermoiements défensifs hier à Valenciennes, mais on retiendra surtout la force de frappe parisienne, auteur de sept buts depuis le début du championnat, la deuxième derrière Nancy et ses huit réalisations. Avec des attaquants qui marquent, ce qui ne gâche rien. La veille du match, Kombouaré exigeait « un grand PSG » pour s’imposer en terre nordiste. Il ne l’a pas vu mais se contentera de « ce grand PSG offensivement », comme il le souligne. Pour l’instant, le PSG tient ses promesses. LE MATCH Valenciennes - PSG 2-3 (0-1) Arbitre : M. Kalt. Spectateurs : 12 927. Buts. Valenciennes : Tiené (58e), Mater (90e) ; PSG : Luyindula (35e), Erding (56e), Jallet (84e). Avertissements. Valenciennes : Cohade (26e) ; PSG : Clément (53e), Hoarau (87e). Valenciennes. Ndy - Mater, Bisevac (cap.), Schmitz (Bong, 46e), Tiené - Sanchez, R. Gomis, Cohade - Ben Khalfallah (Nam, 71e), Samassa, Danic (Pieroni, 80e). PSG. Coupet - Ceará, Traoré, Sakho, Armand - Giuly (Hoarau, 59e), Makelele (cap), Clément, Sessegnon - Erding (Chantôme, 80e), Luyindula (Jallet, 71e). LES BUTS 35e. Servi par Clément devant la surface, Luyindula effectue un une-deux avec Erding et pénètre dans la surface avant de battre imparablement Ndy d’une frappe du plat du pied. 0-1. 56e. Sur une longue ouverture de Sakho, Bong, devant Erding, juge mal la trajectoire. Ndy s’empare du ballon mais le relâche devant le Parisien qui marque dans le but vide. 0-2. 58e. Sur un coup franc côté droit aux 20 mètres, Tiené enveloppe sa frappe et envoie le ballon en pleine lucarne de Coupet. 1-2. 84e. Parti en contre-attaque de son camp, Jallet effectue 60 mètres de course, s’appuie sur Sessegnon et décoche une frappe croisée hors de portée de Ndy. 1-3. 90e.Sans opposition à 25 mètres, Mater expédie un tir qui se loge sous la barre de Coupet. 2-3. LE FAIT DU MATCH 59e. Guillaume Hoarau fait son entrée sur le terrain à la place de Giuly. Cela faisait près de trois mois (PSG - Monaco, le 30mai dernier) que l’ex-Havrais n’avait plus disputé le moindre match officiel. LE CHIFFRE 40% C’est la possession de balle du PSG contre Valenciennes. Ce qui démontre le réalisme et la faculté à contre-attaquer dont a su faire preuve Paris pour s’imposer dans le Nord. Le Parisien |
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23/08/2009 10:20
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#1090
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 6,512 Inscrit : 30/04/2009 Membre no 943 Tribune : Canapé |
Citation Rothen a refusé de jouer en CFA Avant de vivre l'émotion d'un retour réussi à Valenciennes, samedi avec le Paris-SG (3-2), Antoine Kombouaré a connu une fin de semaine mouvementée avec Jérôme Rothen. Selon le récit du Parisien, dimanche, les deux hommes se sont pris le bec jeudi dans le bureau de l'entraîneur parisien. Le milieu gauche parisien, en instance de départ (Blackburn ? Espanyol Barcelone ?) aurait refusé de jouer avec la réserve le derby contre le Red Star ce dimanche, estimant que disputer une telle rencontre - souvent tendue avec les voisins du stade Bauer - pouvait présenter un risque de blessure. Kombouaré, qui souhaitait que son joueur garde le rythme, ne l'entendait pas de cette oreille mais Rothen n'a pas cédé. «Il ne faut pas qu'il se blesse» a sobrement commenté le coach parisien samedi soir. Le Parisien précise que l'éventuel départ de Rothen semble de plus en plus hypothétique. A neuf jours de la clôture du marché, aucun des clubs a priori intéressés n'aurait adressé d'offre aux dirigeants parisiens. L'Équipe(.fr) |
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23/08/2009 17:49
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#1091
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,260 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Paris Membre no 295 Tribune : Canapé |
Citation L1 / PSG : L'équipe aux deux visages dimanche 23 août 2009 - 17h56 Comme face au Mans la semaine passée, le PSG a mené au score à Valenciennes et montré un séduisant visage offensif. Avant une nouvelle fois de se faire peur en fin de match. En revenant de Nungesser avec les trois points, le PSG a mis fin à une terrible série dans l'Artois (9 matchs sans victoire, la dernière remontant au 27 mai 1977). Mais il a su avant tout confirmer un allant offensif indéniable. Avec six buts inscrits lors des deux dernières rencontres, l'attaque parisienne impressionne. Au point de quasiment faire oublier l'absence de Guillaume Hoarau (entré samedi pour la dernière demi-heure). L'association Erding-Luyindula fait en effet déjà merveille tant le Turc s'est rapidement adapté au jeu des hommes d'Antoine Kombouaré. Passeur pour l'international français au terme d'un superbe une-deux dans la surface, l'ancien Sochalien a ensuite profité des maladresses valenciennoises pour inscrire son deuxième but de la saison. Symbole de la vivacité parisienne, il semble bien parti pour devenir l'un des hommes de base de son nouvel entraîneur. Mais, si Erding a flambé, d'autres ont déçu. Dans son nouveau rôle de milieu gauche, Stéphane Sessegnon a une nouvelle fois touché beaucoup de ballons mais les a rarement bonifiés. S'il a su se mettre souvent en position de frappe, son rendement reste très inégal en ce début de saison. Giuly a lui aussi fonctionné sur courant alternatif. Au point d'être remplacé par Hoarau à l'heure de jeu. Jallet prenant ensuite la place de l'ancien Barcelonais sur le côté droit. Antoine Kombouaré, comme la semaine passée, a en effet confié à l'ancien Lorientais le soin d'aider Ceara à bloquer son couloir droit. Une excellente idée tant les joueurs de la capitale ont une nouvelle fois terriblement souffert en fin de match. Une mauvaise habitude, qui s'était révélée fatale à Montpellier, et qui aurait pu leur valoir une nouvelle mésaventure. Il a fallu un solide Grégory Coupet et surtout une coupable inefficacité valenciennoise pour s'éviter pareille mésaventure. Le constat est là. Paris joue bas, ce positionnement lui permet au mieux de profiter de la vivacité de ses joueurs offensifs qui explosent dans les intervalles dès le ballon récupéré. Mais cette solution se retourne contre l'équipe de la Capitale dès que son adversaire parvient à faire davantage de pressing, coupant parfois l'équipe en deux et l'exposant à de nombreuses occasions (20 frappes valenciennoises dont de nombreuses tentatives lointaines de Cohade et le but, magnifique, de Mater). Le Camp des Loges devrait donc voir les Parisiens travailler ces phases défensives cette semaine afin de pouvoir présenter au plus vite un bloc plus compact. Si Paris joue le titre comme le souhaite Grégory Coupet, il sera alors indispensable de s'éviter de nouvelles sueurs froides en fin de match. FOOTBALL365.FR -------------------- Cédric Dufoix, le représentant de Marseille, a tenté de s’y opposer en arguant que les Marseillais n’étaient pour rien dans les débordements du 25 octobre. Il lui a été rappelé que c’était essentiellement des Marseillais qui avaient été interpellés…
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24/08/2009 09:41
Message
#1092
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,257 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation Coupet juge son PSG Gregory Coupet est un vrai Parisien. En quittant le stade Nungesser samedi soir, une seule chose intéresse ce grand fan de rugby : « Qu’a fait le Racing à Toulon ? » Informé de la défaite 27-13 des coéquipiers de Sébastien Chabal, le gardien grimace. L’évocation des statistiques de son équipe lui redonne le sourire. Le PSG ne s’était pas imposé à Valenciennes depuis trente-deux ans, et cela l’inspire : « C’est bon, ça ! Avec Lyon, on avait commencé comme ça en faisant tomber les records.» Une victoire heureuse Selon Coupet, le PSG ne méritait pas de gagner samedi (3-2). « On revient de loin, car Valenciennes nous a fait souffrir en nous faisant visiter les quatre coins du terrain. On a eu plus de réalisme, mais le match nul aurait été mérité pour eux. Ce sont trois points très importants. C’est une grande victoire, mais il faut être réaliste, on l’a échappé belle. » Garder les pieds sur terre Avec deux victoires et un nul, le bilan parisien est bon. « On aurait pu faire le plein sur les trois premiers matchs, mais il faut éviter de se griser et prendre en considération le contenu des matchs, juge le gardien. A Montpellier, on se fait rejoindre à la dernière seconde ; à Valenciennes, on se fait bouger. Heureusement qu’on n’a pas de Coupe d’Europe ! Mais, pour la confiance, c’est bien de s’imposer, surtout dans la difficulté. » Gagner en sérénité De sa surface de réparation, il est bien placé pour mesurer les forces et les faiblesses de son équipe. Et son analyse est pleine d’acuité. « C’est difficile de tout demander d’un coup. Mais il faut gagner en maturité dans la conservation de balle, estime Coupet. En plus, on fait quelques erreurs de placement. Sur le but de Mater, on ne doit pas laisser partir la contre-attaque. Quand Valenciennes est devenu euphorique, on n’a pas réussi à poser le ballon. Il faut mieux le faire. Ça viendra avec une certaine confiance. » Mais l’optimisme est de mise « Cette victoire nous montre qu’on a un gros potentiel et il y a de quoi croire en nos chances et nos capacités, reconnaît néanmoins le portier parisien. Paris mérite d’être pris en considération. Dans l’abnégation, dans la volonté de ne rien lâcher et tout donner, on a été là et c’est de bon augure pour la suite. » Citation « Le vrai test, ce sera Lille » Vahid Halilhodzic, ex-entraîneur du PSG Après chaque match du PSG, « le Parisien » - « Aujourd’hui en France » donne la parole à un supporteur, à un fan ou à un simple spectateur présents dans les tribunes ou devant sa télévision. Cette semaine, Vahid Halilhodzic était présent stade Nungesser samedi soir pour Valenciennes - PSG (2-3). L’ex-entraîneur parisien nous livre ses impressions. « Paris était supérieur à Valenciennes, une équipe pourtant difficile à manoeuvrer à domicile. Les Parisiens n’ont pas eu à forcer leur talent pour s’imposer sur cette pelouse. Ils se sont contentés de jouer pour empocher les trois points sans chercher à faire de grande démonstration dans le jeu. Quand ils décidaient d’accélérer, ils se sont montrés bien plus dominateurs. Leur niveau technique était indéniablement supérieur à celui de VA. Mais les Parisiens ont aussi manqué de constance. J’ai remarqué également une certaine fébrilité défensive et quelques passages à vide. Ils n’ont pas toujours joué en bloc. Parfois, ils se sont laissé dominer, je ne sais pas si c’était fait exprès ou non. Cela aurait pu leur coûter cher ! Ils ont réussi à s’imposer en jouant de cette manière, mais ce n’était que… Valenciennes. Il faudra se montrer plus rigoureux contre les grosses équipes. On saura vraiment ce que vaut ce PSG dimanche contre Lille. Ce sera le vrai test. En revanche, je suis toujours sous le charme de Stéphane Sessegnon, même s’il n’a pas livré son meilleur match hier (NDLR : samedi). Ses qualités techniques sont énormes. A lui seul, il peut faire la différence à condition qu’il décide de jouer à fond, ce qui n’était pas le cas à Nungesser. Quant à Mevlut Erding, c’est un bon avant-centre qui se déplace beaucoup. Mais il manque encore d’agressivité. Je suis convaincu qu’avec plus d’expérience il deviendra un grand attaquant. » Citation VA - PSG en chiffres : 18 Le nombre de ballons joués par Christophe Jallet en vingt deux minutes. Il en a gagné 6, a tiré une fois au but et a marqué. En soixante minutes, Ludovic Giuly, qui a évolué milieu droit comme Jallet, possède exactement les mêmes statistiques (18 ballons joués, 6 gagnés, 1 tir). Selon les chiffres, Claude Makelele affiche la plus grosse activité de l’équipe avec 68 ballons joués et 22 gagnés. (Source : LFP.) Le Parisien.fr |
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24/08/2009 18:59
Message
#1093
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 15,491 Inscrit : 27/11/2008 Lieu : 92 Membre no 4 Tribune : Viré du stade |
L'Equipe
Citation Paris doit s’endurcir
Dans l’animation offensive, Paris séduit. Mais pour que cela dure, il doit solidifier sa défense centrale. C’était le seul motif de mécontentement d’Antoine Kombouaré samedi soir. L’entraîneur parisien trouvait que son équipe avait« beaucoup souffert défensivement » face à Valenciennes (3-2). Sans pointer du doigt un joueur en particulier, il déplorait le manque « de sérénité » du bloc défensif à certains moments de la rencontre. Au premier rang de la critique s’esquisse une charnière centrale qui n’a pas commis beaucoup d’erreurs mais qui a laissé transpirer des inquiétudes, notamment dans la relance et le placement. Le talent offensif du PSG et la maîtrise tactique orchestrée par Makelele en première période ont, en partie, compensé ces lacunes. Mais lorsque VA a poussé un peu plus, la paire Sakho-Traoré n’a pas imprimé l’autorité nécessaire, ni diffusé la confiance qu’on attend d’une défense centrale. En associant ces deux joueurs aux caractéristiques assez proches depuis deux matches, Kombouaré, qui doit se passer de Camara (phlébite) jusqu’en octobre, souhaitait aligner deux défenseurs durs sur l’homme, dotés d’un bon jeu de tête. Mais ni l’un ni l’autre n’ont, jusqu’à présent, montré une solidité à toute épreuve, à l’image du but encaissé contre Le Mans (3-1). Et, dans le Nord, ils ont éprouvé quelques difficultés dans la relance, se contentant de passes latérales, sans prise de risque. À Montpellier (1-1), lors de la première journée, le technicien parisien avait choisi la paire Sakho-Bourillon, a priori plus complémentaire. Les difficultés dans les airs de ce dernier face à Souleymane Camara lui ont coûté sa place face aux grands gabarits manceaux alors que sa prestation d’ensemble avait été plutôt correcte. Ce qui est certain, « c’est qu’on ne marquera pas à chaque fois trois buts à l’adversaire », reconnaissait Kombouaré, qui ne dispose pas non plus d’un panel de solutions très large pour redonner de la confiance à son bloc défensif. Le chantier de la charnière * Celle du moment : Mamadou Sakho/Sammy Traoré (2 matches, 3 buts encaissés) Les + : Rugueux dans le combat, ces deux-là s'avèrent précieux dans les airs. Sakho, le plus jeune (19 ans), peut s'appuyer sur l'expérience de Traoré (33 ans) qu'il écoute plus facilement. Ils ressemblent tous les deux au profil de "défenseur guerrier" qui plait à Kombouaré. Mentalement, aucun ne doute, même lorsqu'il commet des erreurs. Dans les matches où Paris est dominé, cette association présente certains avantages. Les - : Leur complémentarité laisse sceptique. Sur la couverture, par exemple, ils ne sentent pas toujours les coups, à l'image du but du Manceau Helstad, qui après avoir pris l'avantage sur Sakho, a pris Traoré de vitesse. S'ils présentent des qualités identiques, leurs défauts se ressemblent aussi. Dans la relance, aucun des deux n'est capable de prendre l'initiative et de déclencher la première passe. C'est un problème, surtout que ce n'est pas non plus le point fort des deux milieux défensifs, Makelele et Clément. * La première testée : Sakho/Bourillon (1 match, 1 but encaissé) Les + : D'abord, la complémentarité. Dans les domaines où Sakho pèche, Bourillon (25 ans)est en réussite. La relance, par exemple. Dans le jeu court, comme dans le jeu long, il trouve souvent une solution. Son sens du placement et de l'anticipation sont aussi précieux. Plus athlétique, Sakho joue davantage les premiers ballons et l'ancien Rennais, les seconds. Ces deux-là semblaient bien s'entendre en préparation. Les - : Le jeu de tête, l'un des points forts de Bourillon à son époque rennaise, est devenu un point faible. Il doit encore gagner en agressivité pour dissuader les attaquants adverses de trop jouer sur lui. Là où Traoré est capable de booster ses coéquipiers, lui montre encore un peu trop de timidité. * L'autre possibilité : Traoré/Bourillon Cette paire présenterait les mêmes avantages et inconvénients qui celle qui lie Sakho à Bourillon.Seulement, pourquoi Kombouaré devrait-il forcément choisir entre Bourillon et Traoré ? Si Sakho est sans doute celui qui a le plus gros potentiel, il tarde à le démontrer de façon régulière, et ses deux dernières sorties n'ont pas toujours rassuré. Ses qualités défensives sont indéniables, mais l'international Espoir français a encore trop de sautes de concentration dans une rencontre pour être indiscutable. * L'autre possibilité : Armand/Traoré ou Armand/Bourillon A priori, elles ont peu de chances de voir le jour, mais elles ont le mérite d'exister. Capable d'évoluer dans l'axe, Armand présente à la fois des qualités de relance et d'agressivité dans les duels susceptibles de répondre aux goûts de son entraineur et complémentaires à celles de Traoré ou de Bourillon. Cela suppose alors de décaler Sakho en latéral gauche puisqu'il est la doublure "officielle" d'Armand à ce poste. Ses prestations dans ce registre lors des matches amicaux avaient d'ailleurs été séduisantes. Mais pas sûr que l'entraîneur parisien souhaite déséquilibrer son nouveau couloir gauche. -------------------- "If you can't support us when we lose or draw, don't support us when we win". Shankly
Form is Temporary. Class is permanent. |
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25/08/2009 05:13
Message
#1094
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![]() Dieu tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 28,101 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 42 Tribune : Canapé |
Citation Le PSG tiendra t-il la distance ? Avec sept points en trois matchs, le PSG a bien négocié son début de saison. C’est assez rare pour être souligné. La satisfaction ne se réduit pas seulement au bilan arithmétique. Il permet à Kombouaré et à ses joueurs de travailler tranquillement. A Paris, cette sérénité n’a pas de prix… Mais elle ne garantit rien. Le club de la capitale est ambitieux mais sait, au fond de lui, qu’il n’a pas encore les armes pour lutter d’égal à égal avec Bordeaux, Marseille et Lyon. A force de désillusions, le PSG a appris à ne pas se voir trop beau. Sur les cinq dernières saisons, il n’a jamais terminé dans les cinq premiers, et son classement moyen est 11 e … D’où cette forme de prudence, voire de méfiance, de la part des joueurs, des dirigeants et des supporteurs. Des problèmes défensifs L’équipe de Makelele est aujourd’hui troisième de L 1. Pour combien de temps ? Il est trop tôt pour donner un avis définitif, car le niveau des trois premiers adversaires n’est pas assez significatif pour déterminer celui du PSG. Mais, dans ce championnat où les confrontations entre favoris auront une incidence directe sur le classement final, ne pas disputer de Coupe d’Europe est un atout décisif. Quand les Parisiens vont défier Lyon (le 20 septembre) et Marseille (le 25 octobre), ces deux équipes auront joué un match de Ligue des champions quatre jours plus tôt. Pour le moment, d’un point de vue sportif, Paris semble un cran en dessous de ses trois principaux concurrents. Offensivement, l’équipe de Kombouaré semble mieux fournie que celle de Paul Le Guen l’an dernier. Erding s’est bien adapté, Sessegnon reste le meilleur dribbleur de la Ligue 1 et Giuly est en pleine forme. Le retour attendu de Guillaume Hoarau va encore augmenter le potentiel de l’équipe. En attaque, Paris n’a rien à envier aux cadors de L 1. La principale inquiétude vient de la ligne défensive. La charnière s’est fait bousculer à Montpellier et Valenciennes, et l’absence de Zoumana Camara n’explique pas tout. En fin de match, les lignes se desserrent, les joueurs font moins d’effort dans le replacement et sont plus lâches dans le marquage. Voilà le genre de détail qui fait la différence entre une bonne et une grande équipe. Antoine Kombouaré en a sans doute conscience. Il sait aussi que le temps joue en sa faveur et que les premiers bons résultats ont consolidé sa crédibilité auprès des joueurs. C’est tout, sauf anecdotique. Laurent Perrin, Le Parisien -------------------- « Le PSG, c’est autre chose (que le showbiz). C’est le club de l’entrain. Un vrai club populaire à mes yeux. Le club unique d’une ville immense. [...] L’histoire du PSG a toujours suivi un scénario époustouflant, plein de rebondissements. On peut l’aimer ou pas ; la réalité, c’est que ce club respire la vie. »
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25/08/2009 08:28
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#1095
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation PSG/Rothen : Kombouaré dément Interrogé lundi soir sur Europe 1, Antoine Kombouaré, l'entraîneur du PSG a démenti avoir eu une prise de bec avec Jérôme Rothen jeudi dernier suite au refus de l'ancien Monégasque de jouer en CFA le dimanche suivant. Antoine Kombouaré a démenti lundi sur Europe 1 le bruit selon lequel l'entraîneur parisien aurait eu un accrochage avec Jérôme Rothen le jeudi précédent, après que ce dernier a appris de la bouche de son coach qu'il devait aller jouer en CFA face au Red Star le dimanche suivant. « Avec Jérôme, il y a un accord entre lui et moi. On m'a rapporté qu'il y a deux ans, ça c'était très mal passé contre le Red Star. Il faut trouver une solution et je ne suis pas sûr que jouer des matches merdiques (sic) où il prend des coups et est pris à partie par le public en soit une. Si demain, il a une proposition, il faut qu'il puisse partir », a déclaré Kombouaré, faisant ensuite un point sur la situation de son milieu gauche, soumis au même règlement que les autres joueurs du PSG. « J'attends le 31 août. S'il est encore là, il sera à ma disposition et je compterais sur lui. S'il fait un écart, il dégage du vestiaire, c'est très clair entre nous. Je ne ferai pas de cadeaux, car moi on ne m'en fera pas. » football365.fr |
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25/08/2009 23:52
Message
#1096
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation A. Kombouaré : « Encourageant » Antoine, après la victoire à Valenciennes, le PSG est 3e de Ligue 1. Espériez-vous une telle entame de championnat ? « C’est anecdotique, parce que ça ne reflète que les trois premiers matches. L’important c’est de rester invaincu et d’avoir engrangé sept points sur neuf, avec deux déplacements. C’est une très bonne chose et, maintenant, il faut confirmer. Il faut continuer de travailler, garder les pieds sur terre et espérer faire un résultat face à Lille pour avoir une meilleure idée de ce que l’on est capable de faire. » Comment jugez-vous l’intégration des recrues ? « C’est très encourageant, et agréable de les voir s’intégrer si vite. Au PSG, on s’attend à avoir des recrues efficaces le plus tôt possible. Ce sera sur la durée que je pourrai les juger, mais en tous cas ce sont des débuts prometteurs. » Le PSG a-t-il déjà atteint son meilleur niveau ? « On a vu à Valenciennes qu’il y avait encore beaucoup de travail. Des corrections sont à faire sur les plans défensif et collectif. Comment récupérer le ballon, ne pas jouer trop bas, améliorer la transition entre la récupération et les phases offensives. Mais c’est tout de même de bon augure. C’est encourageant et ça nous met en confiance. Les victoires engendrent les victoires, mais il ne faut pas s’enflammer. Il y a encore beaucoup de travail à accomplir. » C’est donc sur une bonne dynamique que Paris reçoit Lille ce dimanche… « Il vaut mieux accueillir Lille après une victoire. On s’attend à un match difficile. Lille a pris un point en trois matches. Face à nous, ils vont vouloir récupérer les points perdus à domicile. Nous sommes avertis et nous savons qu’il faudra faire un grand match pour gagner. » Etes-vous satisfait du retour de Guillaume Hoarau ? « C’est une bonne chose. Guillaume récupère tout doucement. Il a besoin de jouer, de retrouver ses repères et les automatismes avec ses coéquipiers. Je suis très content de son retour parce que cela va me donner des options supplémentaires. J’espère qu’il va être efficace très vite. » PSG.fr Citation PSG : Kezman absent de l'entraînement Une seule absence à déplorer lors de la séance d'entraînement du PSG, mardi au Camp des Loges : celle de Mateja Kezman. L'attaquant se trouvait en Serbie pour des raisons administratives, selon le site officiel du club. football365.fr |
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26/08/2009 07:53
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#1097
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,257 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation Qui paiera le « nouveau » Parc des Princes ? Cette absence résume tout. Au mois de juillet, Jean-Pierre Escalettes, président de la Fédération, et Frédéric Thiriez, son homologue de la Ligue, ont achevé une tournée de plusieurs mois qui les a conduits dans toutes les villes candidates à l’Euro 2016. On les a vus à Lille, Marseille, Bordeaux ou encore Nancy. Douze municipalités ont été visitées. Deux manquent à l’appel : Saint-Denis, où trône le Stade de France, sûr d’être retenu, et Paris, qui tarde à officialiser la candidature du Parc des Princes, un équipement municipal. Ce dernier « oubli » sera bientôt réparé : Bertrand Delanoë, le maire de la ville, va « bientôt » (selon son entourage) rencontrer les deux pontes du football français. Actuellement, le département de la jeunesse et des sports de Paris et une équipe de consultants étudient avec attention le cahier des charges de l’UEFA et les contacts sont réguliers entre la Fédération et la Ville, où l’on estime être dans les temps. La mairie ne participera pas En l’état actuel, le Parc ne peut pas accueillir l’Euro 2016. Il ne répond pas aux exigences d’accueil fixées par l’UEFA qui obligent par exemple les enceintes à se doter de sièges VIP quasiment partout. Il faut également construire des loges, améliorer la luminosité… « Convivialité » est le mot d’ordre instauré par l’UEFA. Avec sa capacité actuelle (environ 47 000 places), le Parc ne peut postuler qu’à l’organisation du premier tour de l’Euro jusqu’aux quarts de finale (40 000 sièges minimum requis). Il ne pourrait pas proposer une demi-finale (50 000 minimum), ce qui l’arrange puisqu’à ce moment-là, le lifting coûterait encore plus cher. La rénovation du Parc des Princes oscille pour l’instant entre 50 et 75 millions d’euros. Selon nos informations, la mairie de Paris ne participera pas au coût des travaux. Après les critiques, recours et pétitions s’abattant sur le nouveau Jean-Bouin (150 millions minimun sur deniers publics), la mairie privilégie cette fois-ci une autre option. Il s’agira donc d’une maîtrise d’ouvrage privé. Colony Capital, propriétaire du PSG et concessionnaire de l’enceinte de la porte d’Auteuil jusqu’en 2014, est prêt à le financer en partie, mais souhaite passer de la forme juridique de la concession à celle du bail emphytéotique (de longue durée) pour en amortir le coût. Ce dossier politique, hypersensible, sera au coeur des discussions ce matin au Camp des Loges où Bertrand Delanoë se rend pour sa visite annuelle. Il s’entretiendra du sujet pour la première fois avec Robin Leproux, le futur président du PSG. Le Parisien |
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26/08/2009 12:35
Message
#1098
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,257 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation B. Delanoë au Camp des Loges Comme chaque année, le Maire de Paris est venu rencontrer les joueurs et le staff au Camp des Loges ce mercredi matin. Après avoir visité les installations du centre d'entraînement en compagnie de Robin Leproux et s'être vu remettre un maillot floqué à son nom, Bertrand Delanoë s'est entretenu avec Antoine Kombouaré qui lui a présenté ses joueurs. PSG.fr |
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26/08/2009 14:46
Message
#1099
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![]() NeyBaF* ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 9,385 Inscrit : 17/01/2009 Lieu : Bandol Membre no 582 Tribune : Viré du stade |
Citation Le Parc est bien candidat Le futur président du Paris SG, Robin Leproux, était mercredi matin au Camp des Loges, le centre d'entraînement du club parisien, pour accueillir Bertrand Delanoë venu saluer les joueurs. Ce fut l'occasion pour le maire de Paris d'évoquer la candidature de la capitale, propriétaire du Parc des Princes, à l'Euro 2016, dont la condition sine qua non est la rénovation de l'enceinte sportive. Des travaux que l'actionnaire majoritaire, Colony Capital, ne veut pas supporter financièrement à lui seul (on parle d'un coût global compris entre 50 et 75 millions d'euros). Robin Leproux a voulu néanmoins se montrer optimiste quant au montage économique du dossier. «On est à l'unisson avec la Mairie de Paris (ndlr : propriétaire du Parc) pour faire un trés très beau stade pour les cinquante ans à venir. Le cahier des charges de l'UEFA est ce qu'il est (sièges VIP, loges, éclairage etc..) mais le Parc fera partie des stades pour l'Euro 2016, on ne peut pas l'imaginer autrement. C'est trop tôt pour savoir qui paiera mais notre projet sera crédible». L'Equipe.fr |
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26/08/2009 14:51
Message
#1100
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 9,395 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Le Mans Membre no 33 Tribune : Canapé |
Citation Paris est magique : L'émission de football arrive le 31 août 2009 sur NRJ Paris !
A partir du 31 août 2009 puis tous les lundis à 18h30, Patrick Boisfer et Florian Gazan prendront les commandes de Paris est magique, la nouvelle émission d'NRJ Paris consacrée au PSG. Tous les lundis à 18h30 à partir du 31 août 2009, NRJ Paris proposera Paris est magique, une nouvelle émission de football consacrée au PSG. Les deux animateurs Patrice Boisfer et Florian Gazan (Le 12 infos d’NRJ 12) y reviendront en image sur l’actualité du club parisien. Chaque semaine, ils s'entoureront d'invités prestigieux, de joueurs, d'entraineurs ou encore de people. Ils évoqueront le match de la veille avec un résumé complet en image, et vous emmèneront dans les coulisses du match. Premiere -------------------- "Le prix de Pastore, c'est dix ans de Sidaction. C'est triste à dire mesdames messieurs, mais c'est le monde dans lequel on vit" Stéphane Guy.
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