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12/08/2009 13:33
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#1041
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![]() Fils de Bazin ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 3,579 Inscrit : 17/01/2009 Membre no 580 Tribune : Viré du stade |
Complément à l'équipe papier du jour :
Citation Romain Leproux a rencontré en début de semaine le supporter (que l'on dit proche du KOB) blessé à un oeil lors du déplacement à Montpellier. Il lui a assuré le soutien du club dans son suivit médical.
Le supporteur, qui a environ 40 ans, est originaire de Châteauroux, travaille dans le secteur automobile et n'a pas d'antécédents judiciaires.Il devrait sortir vendredi de l'hôpital où il est soigné depuis samedi soir. Selon le supporter, il aurait perdu son œil à la suite d'une déflagration alors que la police privilégie l'hypothèse d'un coup donné avec un tesson de bouteille par un Monpelliérain habitant dans le voisinage du stade. Le supporter du PSG a porté plainte contre X |
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13/08/2009 06:39
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#1042
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![]() Pilier du forum ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 14,465 Inscrit : 20/01/2009 Lieu : PARIS 6ème Membre no 639 Tribune : Non précisée |
Citation Soumah tout proche du PSG Sauf coup de théâtre, R. Soumah (22 ans) va quitter Guingamp (L2) pour rejoindre le PSG. Le milieu guingampais également pisté par Lyon, viendrait ainsi pallier le départ attendu de Rothen, en contacts avancés avec Blackburn (Premier League), où il s'est rendu en début de semaine. Le montant du transfert avoisinerait les 3 millions d'euros et le joueur devrait s'engager dans la capitale pour quatre ou cinq ans. source: L'Equipe papier. |
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13/08/2009 11:12
Message
#1043
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation Football – PSG : Rothen : « Toutes les cartes en main pour me décider » La rédaction - Coach Courbis - RMC, le 12/08/2009 Alors que Blackburn tient toujours la corde pour l’enrôler, Jérôme Rothen évoque sa situation et ses envies à quelques jours de la fin du mercato. Jérôme Rothen, vous avez exprimé votre envie de quitter le PSG, lundi vous avez visité les installations de Blackburn. N’y a-t-il plus aucune chance que les choses s’arrangent avec Paris ? Ça peut s’arranger... Je ne suis pas encore parti. Je n’ai pas non plus envie de faire n’importe quoi et de partir dans le premier club venu. C’est pour cela que je me suis déplacé là-bas pour visiter les installations et voir l’état d’esprit des dirigeants. Maintenant, j’ai toutes les cartes en main pour me décider. Il me reste deux ans de contrat avec le PSG. Et même s’il y a aujourd’hui plus de discussions avec Paris qu’il y en avait auparavant, je reste dans le même état d’esprit : si je trouve un endroit où m’épanouir, en tout cas plus que ce que je n’ai connu l’année dernière, je ne vais pas hésiter. Que trouverez-vous de plus à Blackburn, qu’il n’y ait pas déjà au Paris Saint-Germain ? Un peu plus de tranquillité déjà. Là-bas, il n’y a rien de néfaste pour le côté sportif. Quand tu joues au Parc devant 50 000 personnes qui, pour la plupart, te sifflent : c’est pénible. Ce n’est bon ni pour toi, ni pour l’équipe. Comment expliquez-vous ces sifflets ? Vous sentez-vous comme une tête de turc, comme le vilain petit canard ? C’est peut-être de ma faute : avec ce que je dis, ou mon caractère… Car je réagis souvent à chaud. Je devrais la fermer de temps en temps. J’ai fait des erreurs, j’ai appris… Mais ces sifflets au Parc des Princes en fin de saison dernière, je ne les comprends toujours pas. Me faire siffler à l’extérieur, c’est déjà pesant. Mais me faire siffler à domicile aussi, ça commence à faire beaucoup. Le football est une passion pour moi, et il y a des sifflets que je ne comprends pas. Ils m’ont fait vraiment mal. Même si ma saison a été irrégulière, je l’admets, je donne toujours le maximum sur le terrain et je ne triche pas. Je veux bien être l’un des responsables des mauvais résultats de l’équipe. Mais pourquoi suis-je considéré comme étant le seul responsable ?!! Vos déclarations la saison dernière et la sortie de votre livre n’a sans doute pas facilité les choses… C’est vrai qu’avec le recul, je pense que ce n’était pas la bonne période pour sortir mon livre. J’en ai moi-même souffert, mais j’en assume l’entière responsabilité. Maintenant avec les saisons que j’ai faites, j’espérais aussi un peu plus de soutien de la part du club. Je me suis souvent retrouvé seul… Ce que j’ai dit, je l’assume. Et j’ai payé pour ça. Maintenant si mon départ peut arranger tout le monde, tant mieux. Si ça ne se fait pas, il me restera alors deux ans de contrat au PSG… Mais moi, j’ai envie de jouer. Je suis un passionné de foot, et je ne fais pas ça que pour l’argent. Comment se passe la préparation à Paris ? Au Camp des Loges, cela se passe très bien avec les joueurs comme avec le staff. J’ai bien bossé durant cette préparation. Et même si je n’ai pas participé au stage la première semaine, je me suis préparé personnellement. Aujourd’hui, je suis en forme, mais il me manque encore le terrain et la compétition. Aller jusqu’au 31 août sans compétition, c’est terrible mais c’est le choix de l’entraîneur. Je le respecte. Je continue à m’entraîner. J’ai joué avec la CFA ce week-end. Comment ça s’est passé ? Bien. J’ai encore le niveau CFA, c’est plutôt rassurant. (Rires) Avez-vous de bonnes relations avec le nouvel entraîneur Antoine Kombouaré ? Il a vu que j’étais un bosseur, que je ne foutais pas la merde. Il s’est fait sa propre idée. Je pense qu’il est franc comme moi. Il m’a tendu la main, oui. Mais il ne me fait pas jouer. Pourtant je suis opérationnel, mais je respecte son choix. Peut-être attend-il que je dise : « Non je ne pars pas. Je reste au PSG... » Aujourd’hui, il semble que c’est Blackburn qui tienne la corde pour vous recruter. Selon certains médias, l’entraîneur des Rovers Sam Allardyce fait de vous sa priorité. Qu’en est-il exactement ? On a eu un très bon contact. Il est très intéressé, il me veut. Mais il faut déjà qu’on trouve un accord, on est actuellement en discussions. Ensuite, il y aura des négociations entre Blackburn et le Paris Saint-Germain… Ils sont en train de finaliser un départ, et ensuite ils veulent me recruter. On a aussi parlé de Majorque en Espagne… Je n’ai pas fermé de portes. J’ai dit non à certains clubs car je ne veux pas aller dans des pays comme la Turquie, l’Ukraine, la Russie, ou encore le Qatar par exemple. Pour l’instant, je me dis que je suis encore à un âge où je peux apporter à une équipe qui a des ambitions. Moi aussi, j’ai encore des ambitions personnelles. Certains te disent qu’à 30 ans, tu es vieux. J’en ai 31 et je me sens très bien. Je suis en pleine forme. J’ai joué quasiment tous les matches ces deux dernières saisons. Je suis bien dans ma tête, et j'ai envie de ne penser qu’au football maintenant. L’année dernière, je n’ai pas pensé entièrement au foot, mais c’était de ma faute. Aujourd’hui, j’ai envie de ne penser qu’à ça et de m’éclater. Passé la trentaine, on a plus quinze ans (de carrière) devant soi. J’ai envie de prendre du plaisir. La fin du mercato est le 31 août. La Premier League reprend ce week-end. Qu’est-ce qui pourrait précipiter votre départ vers Blackburn ou ailleurs ? Que je me mette d’accord rapidement avec le club, puis que ce club se mette aussi rapidement d’accord avec le PSG. Je me suis fait ma propre idée sur Blackburn. Après si tous les feux sont au vert, c’est à moi qu’il reviendra de dire oui ou non. J’aurais le dernier mot. Mais aujourd’hui, je ne suis pas encore dans cette position. A Blackburn, vous pourriez retrouver des joueurs comme Givet ou El Hadji Diouf ? En avez-vous discuté avec eux ? Ce sont des mecs avec qui je m’entendais bien quand on jouait en France. Gaël, on a joué ensemble à Monaco et c’est sûr qu’il est plus facile de s’intégrer avec quelqu’un que tu connais sur place. Mais moi, de toute façon, je suis un fonceur. Avec ou sans connaissance sur place, je peux y aller. Je me ferai connaître après. Que savez-vous du jeu de Blackburn ? Où vous positionneriez-vous dans l’équipe ? Ils jouent souvent en 4-4-2 à domicile, et j’évoluerais donc au milieu de terrain, côté gauche forcément. A l’extérieur, il aime bien le 4-3-3. A ce moment-là, je pourrais avoir un positionnement un peu plus axial. J’ai toujours aimé ces postes là. C’est là où j’ai toujours su tirer mon épingle du jeu…
-------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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13/08/2009 15:50
Message
#1044
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,811 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé |
Citation L1/ PSG : Sessegnon garde la cote ![]() Malgré l'intérêt prononcé d'Everton, qui serait prêt à casser sa tirelire pour le récupérer, le milieu de terrain Stéphane Sessegnon devrait, sauf revirement de dernière minute, bel et bien rester au Paris Saint-Germain. Mais la donne sera différente dans quelques mois. Plus les jours passent et plus les chances de voir Stéphane Sessegnon (25 ans) quitter le Paris Saint-Germain s'amenuisent. Malgré l'intérêt de plusieurs clubs étrangers, le milieu international béninois a d'ailleurs récemment prolongé son contrat jusqu'en juin 2013 (avec une importante revalorisation salariale à la clé). Débutées en fin de saison passée, les négociations ont pourtant été longues et difficiles. Un départ de l'ancien Manceau a même longtemps été de l'ordre du domaine du possible. Mais les différentes parties concernées sont finalement parvenues à un accord. A l'image du cas de Guillaume Hoarau (qui a aussi rempilé jusqu'en juin 2013), le club de la Capitale a finalement su faire les efforts nécessaires pour conserver son maitre à jouer. Mais ça n'empêche pas certains clubs de rester positionner sur le dossier de l'ex-Cristolien. A l'image d'un recruteur de l'Inter Milan, David Moyes, le manager d'Everton (Premier League), était encore présent dans les travées du stade la Mosson (1-1, 1ere journée de Ligue 1), samedi soir. La prestation de Stéphane Sessegnon a été loin d'être transcendante. Mais l'Ecossais serait particulièrement intéressé par l'ancien Manceau, qui présente le profil idoine pour épauler le Belge Marouane Fellaini au sein de l'entrejeu des Toffees. Aux dernières nouvelles, le club anglais serait disposé à débourser près de vingt millions d'euros pour finaliser l'arrivée du Béninois. Mais avec la reprise du championnat (et l'incertitude qui plane autour de l'avenir de Jérôme Rothen), on voit mal le Paris Saint-Germain lâcher son protégé cet été. « Son départ n'est pas absolument pas envisageable, glisse une source proche du Paris Saint-Germain. Par contre, le club travaille déjà pour compenser son éventuel départ l'été prochain (Ndlr : la piste brésilienne serait notamment à l'étude). » A moins d'un invraisemblable retournement de situation, le Stéphane Sessegnon devrait donc bien rester au club parisien. En revanche, la donne sera différente l'an prochain. Les plus grosses écuries anglaises (Chelsea, Liverpool, Manchester City, Arsenal) auraient d'ailleurs déjà pris date. Football365.fr -------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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13/08/2009 18:12
Message
#1045
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![]() NE CLIQUEZ PAS SUR MES LIENS Groupe : Spiritually Banned Messages : 19,196 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : Angers Membre no 132 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - PSG Giuly préfère jouer dans l'axe Ludovic Giuly est revenu ce jeudi sur son positionnement de milieu droit, retrouvé cette saison après un exil en tant qu'attaquant axial. Milieu droit, son poste naturel mais pas celui qu'il préfère. «Le coach me préfère à droite, j'ai joué toute ma carrière à droite, je retrouve mon côté droit. Il n'y a pas de soucis. Devant, j'ai plus de plaisir, c'est clair. Mais je n'ai jamais dit que je voulais être attaquant !» a-t-il déclaré avant de conclure : «Et si je suis moins bien sur l'aile droite, j'irai m'asseoir sur le banc, c'est comme ça !». L'ancien ailier de Monaco s'est également un peu emporté contre les critiques reçues après le match nul ramené de Montpellier : «On dirait qu'on a perdu un match ! On a pris un point, ce n'est pas la catastrophe. On n'a pas le couteau sous la gorge et Le Mans n'est pas un match couperet. Je vous rassure tout de suite, tout va bien !» - Propos recueillis par Christophe MICHEL, au camp des Loges. lequipe.fr -------------------- Trust Leo
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14/08/2009 00:20
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#1046
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation PSG / LUDOVIC GIULY : « On doit s'en souvenir » Tenu en échec à Montpellier (1-1) lors de la première journée de Ligue 1, le PSG s'était fait égaliser dans les dernières secondes. Pour Ludovic Giuly, qui retrouve le côté droit avec Antoine Kombouaré, rien d'inquiétant. Mais il faudra s'en servir pour ne pas commettre les mêmes erreurs à nouveau. Ludovic Giuly, que pensez vous désormais du match face à Montpellier ? La déception s'est elle estompée ? On aurait voulu revenir avec la victoire, mais c'est quand même un point de pris à l'extérieur sur un premier match de championnat. C'est sûr qu'on aurait pu faire mieux, mais il faut maintenant oublier cela pour se concentrer sur celui de samedi afin de prendre les trois points à la maison. C'est le principal. N'êtes vous pas inquiet après ce mauvais départ ? Ce n'est que le premier match, on a l'impression que c'est la fin du monde. Il faut se calmer, le deuxième match arrive samedi, il ne faut pas se mettre trop de pression. Le groupe va bien, on vit bien. On a bien sûr envie de gagner ce premier match devant notre public, samedi, le premier de la saison au Parc, mais ça ne reste qu'un match. Par rapport aux matchs amicaux, on n'a pas retrouvé les automatismes, revu les échanges montrés. Comment l'expliquez-vous ? Je ne sais pas, c'est vrai qu'on était bien durant nos matchs amicaux mais on n'a pas trouvé la solution samedi. Il faut travailler mais aussi positiver, on est tombé sur un bon promu qui avait envie de montrer qu'il n'était pas là pour faire l'ascenseur. Ils ont de bons joueurs, ils nous ont un peu surpris. Et, à dix contre onze, inconsciemment, on a peut-être cru que le match était plié. Mais rien n'est gagné, il faut toujours se battre, on doit s'en souvenir. La confiance reviendra samedi avec les trois points. Quels sont les points à améliorer pour renouer avec la victoire le plus rapidement possible ? Il faut penser de suite à gagner, ne pas se laisser distancer rapidement. Ce serait donc bien de commencer dès samedi en prenant ces trois points chez nous. « Retrouver la confiance » Après le match, vous disiez que la victoire n'aurait pas été mérité, qu'il y'avait beaucoup mieux à faire au niveau du jeu. Vous en avez parlé ? Dans quel axe faut t'il travailler ? On a travaillé pour, mais on est en reconstruction, on n'a pas dit qu'on avait le meilleur jeu de Ligue 1. On sait qu'il faut travailler mais on est encore en préparation. Maintenant, c'est vrai que le championnat a débuté, il faut retrouver un peu de confiance et ça passe par des victoires et par le jeu. C'est ce qui a manqué à Montpellier, et on essaye cette semaine de travailler tous ces petits points qui nous ont manqué là bas pour être bien mentalement pour ce match face au Mans. Dans le nouveau staff, figure l'ancien entraîneur du Mans (Ndlr : Yves Bertucci, entraîneur du Mans de juin 2008 à janvier 2009), est-ce un gros avantage ? Non pas du tout (rires), il n'y a pas de secret particulier. Cela n'est donc pas un avantage. On vous imagine impatient de retrouver le Parc ? Oui bien sûr, cela fait toujours plaisir de jouer devant nos supporters, on a envie de partager des victoires. C'est hyper important de les retrouver et de leur faire plaisir samedi. Personnellement, comment vous sentez vous ? Je me sens bien, j'ai fait une bonne préparation. Physiquement je suis bien donc le reste suit. « Je retrouve mon coté droit sans problème » Estimez vous que les critiques lorsque vous jouiez dans le couloir droit par rapport à vos prestations en attaque se justifiaient ? Non, c'est vous qui jugez çà, mais moi je me sens bien, tant que l'entraîneur me fait confiance, que je suis bien avec mes partenaires, tout va. Le reste ne m'atteint pas. Ce qui se dit ou s'écrit ne m'affecte pas. Mais pourtant, quand vous jouiez en attaque aux cotés de Guillaume Hoarau, vous marquiez des buts, réussissiez de bons matchs, est ce que le fait d'être aujourd'hui replacé dans le couloir droit ne vous chagrine pas un peu ? Non, il y'a du monde devant, quatre attaquants pour deux places. Et l'entraîneur préfère me voir à droite, j'y ai joué quasiment toute ma carrière. Je sais que ça représente plus d'efforts, mais je me suis préparé pour ça. Malgré le fait que vous ayez pris beaucoup de plaisir en attaque l'an passé ? Oui c'est vrai, on se sent bien, on fait moins d'efforts. Ça m'a plu. Mais il y'a un nouvel entraîneur, de nouveaux choix et je retrouve mon coté droit sans problème. Comment se passe la vie de groupe avec ce nouvel entraîneur ? Stéphane Sessegnon parlait d'un discours très volontaire, guerrier ? Ca se passe bien. Oui, il veut gagner. Comme nous ! Il nous emmène dans cette voie là, cette haine de la défaite pour se projeter sur la rage de vaincre. Je trouve ça bien ! C'est ce qui manquait par rapport à l'an dernier ? Chaque entraîneur est différent, on ne va pas comparer. Mais ça me va bien. Le comportement au bord du terrain est quand même très différent ? Ca nous change c'est sur, mais c'est juste différent. Certains sont au milieu, préfèrent être près des joueurs. J'ai tout connu, que ce soit à Barcelone ou ailleurs. Ce n'est pas un problème, juste une manière de faire. On l'accepte sans problème. football365 |
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14/08/2009 02:11
Message
#1047
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![]() "I'm the one who knocks!!!" ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 12,606 Inscrit : 29/12/2008 Lieu : Nantes Membre no 35 Tribune : Canapé |
Citation Foot - L1 - PSG Coupet : «Viser haut» A 36 ans, Grégory Coupet dit ce vendredi dans un entretien accordé à L'Equipe jouer désormais «pour le plaisir et par orgueil». L'ancien gardien lyonnais, après une saison dans l'ombre à l'Atletico Madrid, a rallié un Paris SG auquel il espère faire partager son ambition. «Ce qui est certain, c'est que je ne viens pas à Paris en préretraite, promet-il notamment. Même disputer des saisons compliquées, ça reste un plaisir. Se prendre la tête, vivre avec la pression, ça maintient en vie (...) Je ne clame pas du tout que le PSG sera champion. Mais ça doit être notre ambition. On est à Paris pour viser haut. A Lyon, si on n'y avait pas cru nous-mêmes, on n'y serait pas arrivé (...) Quand on voit notre centre d'entraînement, notre stade, notre public, pourquoi ne pas y croire ? Il faut absolument atteindre une Coupe d'Europe ». De quoi booster un vestiaire... lequipe.fr -------------------- Peut-être que ce sont les Français qui sont tristes avec leur triple A comme Amorphe, Apathique et Atonique.
Être parisien ce n'est pas naitre à Paris, c'est y renaitre, ce n'est pas y être, c'est en être (Sacha Guitry) |
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14/08/2009 08:23
Message
#1048
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![]() Coeff 7 UEFA ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Rédacteurs Messages : 78,287 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 38 Tribune : Viré du stade |
Citation Football, Ligue 1/PSG Bertucci a tourné la page Le Mans HIER, sa voiture a connu quelques ratés. Au moment de quitter le camp des Loges, sur les coups de 13 heures, Yves Bertucci, l’adjoint d’Antoine Kombouaré, a eu toutes les peines du monde à faire démarrer sa Twingo. Un léger contretemps, à l’image des derniers mois que vient de vivre le nouveau Parisien. Propulsé l’été dernier entraîneur du Mans après dix ans passés à la formation et à la tête de l’équipe réserve, il est déchu de son titre après seulement huit mois d’exercice. Le retour de bâton est violent. Bertucci reste sur le banc, mais en tant qu’adjoint de ses successeurs (Daniel Jeandupeux et Arnaud Cormier). Il y traîne son spleen. « Il y avait un sentiment de frustration car il aurait aimé aller au bout de ses idées, témoigne Alain Pascalou, son ami et responsable du recrutement au sein du club sarthois. Yves était conscient qu’il y avait des choses à rectifier ou à améliorer, c’est pourquoi il espérait retrouver rapidement un poste d’entraîneur. » C’est quasi chose faite quand Boulogne le contacte. Mais le promu nordiste lui préfère finalement Laurent Guyot. Dans ce contexte, la proposition d’Antoine Kombouaré ne se refuse pas. Adjoint à Paris ou au Mans, la donne n’est pas la même. La pression non plus. « Discret, mais pas effacé » Demain, au Parc des Princes, quand il prendra place pour la première fois sur le banc parisien, Bertucci devrait sentir le souffle des tribunes caresser sa nuque et sa fierté. « C’est un match spécial à double titre pour lui, décrypte Pascalou. C’est là, au Parc, qu’il va vraiment prendre conscience qu’il est au PSG et, en plus, ça va se passer contre son club de coeur. Je ne vais pas jouer les anciens combattants, mais après avoir passé onze ans pour lui et quinze pour moi au MUC, on doit faire partie des plus vieux. Et puis, Yves est quelqu’un d’attachant, mais qui s’attache aussi. » Par pudeur sûrement, le nouvel adjoint parisien ne souhaite pas verser dans l’émotion. « Je suis content de les revoir, mais la page avec Le Mans est tournée », affirmait hier celui que ses amis décrivent comme un personnage « discret, mais pas effacé ». Pas sûr pourtant qu’il ait définitivement tiré un trait sur ses années mancelles. Ce jeune grand-père d’à peine 46 ans était dimanche dernier à Saint-Germain-en-Laye pour assister à la rencontre de CFA PSG - Le Mans (0-2). Après la rencontre, alors que la plupart des spectateurs avaient déserté les lieux, il continuait de converser avec des jeunes joueurs sarthois.Ceux-là même qu’il avait dû former quelques années plus tôt. Pas facile de couper le cordon. Le Parisien Papier Citation « Il faut se calmer ! » LUDOVIC GIULY, milieu de terrain du PSG AVEC quelques jours de recul, l’ancien joueur du FC Barcelone dédramatise le nul du club parisien dans l’Hérault (1-1) lors de l’ouverture de la Ligue 1. Quelles leçons avez-vous tirées de ce premier match à Montpellier ? Ludovic Giuly. On a pris un point à l’extérieur. C’est clair qu’on aurait pu faire mieux, mais on est encore en construction. Il faut oublier ce match et se concentrer sur celui de samedi. Il faudra gagner pour ne pas nous laisser distancer et faire plaisir à notre public.Ce sera dur, car Le Mans a de gros gabarits, mais on sait combien il est important d’être intraitables à domicile. La prestation d’ensemble n’est-elle pas inquiétante ? Arrêtez ! Ce n’était que le premier match et on dirait que c’est la fin du monde. Il faut se calmer ! Tout va bien, rassurez-vous. On n’a pas de pression, il y a toujours une bonne ambiance dans le groupe et on ne se met pas le couteau sous la gorge. Ne regrettez-vous pas d’être aligné au milieu, alors que votre association avec Hoarau avait bien fonctionné l’an dernier ? C’est le choix du coach, il y a du monde devant. Milieu droit, je connais. J’ai fait quasiment toute ma carrière à ce poste. Je sais qu’il y a beaucoup d’efforts à fournir mais, cette année, j’ai effectué une bonne préparation. Et si vous vous retrouvez sur le banc ? C’est la règle du foot ! Je n’ai jamais dit que j’étais là pour jouer 30 matchs. Si je suis mauvais, j’irai sur le côté et je travaillerai à l’entraînement. Le Parisien Papier Citation Le coup de main de Sessegnon LA FIN de la séance d’entraînement, Stéphane Sessegnon a pris A une paire de gants de gardien et s’est installé dans les buts pour arrêter les tirs de Makelele et Traoré. Plus à l’aise avec ses genoux qu’avec ses mains, « le gardien du Bénin » a beaucoup fait rire ses coéquipiers. Traoré, un brin chambreur, l’a ensuite comparé à Yohann Pelé, son ancien coéquipier du Mans, aujourd’hui gardien de Toulouse. Citation PSG EXPRESS Hier. Entraînement avec tennis ballon et toros. Aujourd’hui. Entraînement à huis clos à 17 heures au Parc des Princes. Infirmerie. Camara (phlébite au mollet droit). Suspendu. Sankharé. Rendez-vous. PSG - Le Mans, 2e journée de L 1, demain au Parc des Princes (19 heures, Foot +). Citation Jérôme Rothen, 31 ans, milieu de terrain du PSG qui s’est mis d’accord avec Blackburn pour un contrat de trois ans, attend que le club anglais fasse une proposition au PSG. Blackburn garde néanmoins un oeil sur Boudewijn Zenden, l’ex-joueur de l’OM Le Parisien papier -------------------- J'ai eu l'honneur d'être un Parisien © Hans Majestät Zlatan Ibrahimovic 21/05/2016
#JeSuisBaboudiniste © 26/05/2016 Fan Club Michel Leeb Le vrai sujet de l'élection présidentielle, c'est l'indépendance de la France © Général Charles de Gaulle |
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14/08/2009 12:06
Message
#1049
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![]() freelance ![]() ![]() ![]() Groupe : Equipe du site Messages : 5,924 Inscrit : 28/12/2008 Membre no 21 Tribune : Non précisée |
Citation Sans Camara ni Stromstad Paulo Duarte, le coach portugais du Mans, a convoqué vendredi midi 19 joueurs pour PSG - MUC 72 au Parc des Princes (samedi, 19h00). Ibrahima Camara (douleurs ischio-jambiers) est indisponible et Fredrik Stromstad qui est actuellement en reprise avec le groupe n'a pas été retenu. Seul changement par rapport au groupe face à Lyon : Guillaume Loriot cède sa place à Alphousseyni Keita. Le groupe manceau pour Paris : Roche, Ovono - Baal, Bouhours, Ben Frej, Cerdan, Corchia, Louvion, Wague - Coutadeur, Estigarribia, Keita, Thomas, Goulon - Helstad, Le Tallec, Maiga, Lamah, Dossevi. lequipe.fr |
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14/08/2009 16:58
Message
#1050
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Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,971 Inscrit : 11/01/2009 Membre no 333 Tribune : Non précisée |
Citation Foot - L1 - PSG Kombouaré, le conquérant Après le 1-1 à Montpellier, l'entraîneur du Paris-SG voudrait voir un tout autre visage de son équipe contre Le Mans samedi. Et il l'a fait comprendre en conférence de presse vendredi. «L'état d'esprit qu'il faut, c'est un esprit de conquête. Il faut impressionner l'adversaire, lui mettre la pression, profiter de l'ascendant psychologique de joueur à domicile, il faut être meilleur dans les phases offensives, amener de la vitesse, du mouvement être plus proches les uns des autres, il faut avoir l'ambition de gagner ! ». Le programme du technicien kanak est alléchant et il espère aussi que les joueurs sarthois ne «seront pas au top» car «c'est une belle équipe» qui a «imposé son jeu contre Lyon» le week-end dernier. Un match spécial pour le coach Sur un plan plus personnel, l'ancien défenseur, champion de France 1994 avec Paris retrouvera le Parc des Princes comme entraîneur. Alors ? «J'essaie de contrôler mes émotions mais c'est plus facile comme entraîneur ! Comme tous les matches, il ne faut pas se louper, c'est le match qui permet de lancer la saison». lequipe.fr -------------------- j’ai eu le même discours pendant toute ma vie. Chacun choisit en fonction de sa sensibilité.
Je suis subjectif et ne prétends pas à l’objectivité. Je recherche ce qui est plaisant et a de la valeur pour moi seul. Je n’évangélise pas. Je ne veux pas que les gens pensent comme moi. Je dis seulement ce que je pense et n’oblige personne. Je déteste ceux qui imposent une manière de penser. Personne ne m’imposera jamais ce que je dois penser. Ça, je le décide tout seul. |
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14/08/2009 18:08
Message
#1051
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![]() Warren tout-puissant ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 41,883 Inscrit : 13/07/2009 Lieu : Plaisir (78) Membre no 1,152 Tribune : Non précisée |
Citation PSG-MUC : Le groupe du PSG Groupe - vendredi 14 août 2009 à 18:54 Voici la liste des joueurs retenus par l’entraîneur Antoine KOMBOUARE pour le match opposant le PSG au Mans, comptant pour la 2eme journée du championnat de France de Ligue 1, le samedi 15 août 2009 : APOULA Edel ARMAND Sylvain BOURILLON Grégory CEARA Marcos CHANTOME Clément CLEMENT Jérémy COUPET Grégory ERDING Mevlut GIULY Ludovic HOARAU Guillaume JALLET Christophe KEZMAN Mateja LUYINDULA Peguy MAKELELE Claude MAURICE Jean-Eudes NGOYI Granddi SAKHO Mamadou SESSEGNON Stéphane TRAORE Sammy Match PSG-LE MANS Parc des Princes 2eme journée du championnat de France de Ligue 1 Samedi15 août 2009 à 19 heures Match diffusé en direct sur FOOT+ PSG.fr -------------------- "I’m a Catholic whore, currently enjoying congress out of wedlock with my black Jewish boyfriend who works at a military abortion clinic. Hail Satan, and have a lovely afternoon madam."
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14/08/2009 19:40
Message
#1052
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![]() Membre accro ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 5,248 Inscrit : 27/11/2008 Membre no 3 Tribune : Non précisée |
L'interview de Coupet dans L'Equipe :
Citation "Pourquoi ne pas y croire ?" L'Equipe
Grégory Coupet regarde toujours vers la première place. Et espère que le PSG sera porté durablement par une énergie positive. Le 24 juillet, dans France Football, il avait lâché ce que plus personne n'ose lâcher à Paris : que le PSG doit viser le titre de champion. Il demeure persuadé qu'on ne va haut que si on en a l'obsession. Après une saison dans l'ombre à l'Atletico Madrid, Grégory Coupet (36 ans) compte sur son contrat parisien, qui court jusqu'en 2011, pour retrouver du souffle. Avec l'idée, visiblement, de repousser sa retraite le plus tard possible. PSG-Le Mans, demain, est-il déjà un match sans droit à l'erreur ? - Ce sera un match très important. Prendre des points à domicile est indispensable pour réaliser un bon parcours. Il faut retenir les leçons du match à Montpellier (1-1), être plus patient dans la circulation du ballon et mieux écarter le jeu. Il faut mieux poser le jeu et , si on mène 1-0, tout faire pour en mettre un deuxième. Quand tu ne te mets pas à l'abri, tu encours des risques sur coups de pied arrêtés jusqu'à la dernière seconde. On l'a vu... - Venir au PSG pour se refaire un moral, ce n'est pas courant... - Oui, mais j'ai fait comme quand je suis parti de Saint-Etienne à Lyon, je n'ai regardé que l'enjeu sportif. Si j'avais commencé à réfléchir au risque de passer des Verts à l'OL... Ce qui est certain, c'est que je ne viens pas à Paris en préretraite. Même disputer des saisons compliquées, ça reste un plaisir. Se prendre la tête, vivre avec la pression, ça maintient en vie. Mais ce qui me pousse encore, c'est cette envie intacte d'aller en haut. Pour ça, le PSG, ça m'excite. Ici, on ne joue que des gros matches. Ca n'a pas de prix. - Quelle image aviez-vous du PSG avant d'y signer ? - J'ai toujours gardé l'image du PSG dominateur des années Weah, Ginola, Le Guen, Roche, Lama... C'était une équipe fabuleuse. Ils savaient se faire respecter avec classe. Ils ne mettaient pas le feu aux poudres mais, si tu les cherchais, tu les trouvais. Ils en imposaient sans en être arrogants. - Quel statut pensez-vous avoir dans votre nouveau club ? - Comme je suis nouveau, je ne me considère pas comme un cadre. Je me fonds dans la masse. Ce qui me plaît ici, c'est que c'est un gros club qui est beaucoup attaqué. Ca soude les gens. Il y a tout pour réussir. Il faut bosser, c'est tout. - Craignez-vous que Marseillle, Lyon et Bordeaux se détachent durablement dans la hiérarchie du foot français et deviennent difficiles à rattraper pour le PSG ? - Leur budget et leur recrutement en font des favoris pour le titre. Mais des équipes comme Rennes et Paris peuvent empêcher le championnat de tourner en rond. Je ne clame pas du tout que le PSG sera champion. Mais ça doit être notre ambition. On est à Paris pour viser haut. A Lyon, si on n'y avait pas cru nous-mêmes, on n'y serait pas arrivés. Un groupe ne va loin que s'il est convaincu qu'il peut y parvenir. Quand on voit notre centre d'entraînement, notre stade, notre public, pourquoi ne pas y croire ? Il faut absolument atteindre une Coupe d'Europe. "Je joue pour le plaisir et par orgueil" - Quel est l'écart, à vos yeux, qui sépare Paris de Lyon ? - L'habitude de gagner. La victoire te donne des convictions et c'est ce vers quoi on doit tendre ici. Arrêtons d'être tracassés, d'être freinés par la peur de mal faire et soyons portés par l'envie de bien faire ! Ici, on a un public qui te dit "On est derrière vous" mais qui dit aussi "Attention, c'est difficile ici..." Il y a un côté ambivalent. Mais bon, ça ne reste que du football. - Que vous restera-t-il de l'Atletico Madrid ? - En tout cas, aucun regret. Si c'était à refaire, je le referais et si j'avais pu éviter de quitter ce club, je l'aurais fait. Humainement, c'était fabuleux, comme si je reprenais de l'oxygène. Nouveau système, nouveau championnat, nouveaux coéquipiers : c'était ce que j'étais parti chercher. J'étais épanoui, heureux. Mais je suis trop compétiteur pour passer des semaines sans préparer un match par le travail, le repos, la diététique... Quand tu joues, tu as des hauts et des bas. Quand tu ne joues plus, même les bas te manquent. A Madrid, j'avais très peu de communication avec mes coaches. J'attendais les convocations pour connaître mon sort du week-end. A partir de janvier, quand on a perdu en Coupe du Roi, j'ai compris que mon temps de jeu touchait à sa fin. Et je me suis alors tourné vers la saison suivante. - Quelle est la différence la plus frappante entre l'Espagne et la France ? - Ici, quand tu prends un but, c'est comme une chape de plomb qui s'abat sur l'équipe. En Espagne, tu penses déjà à réengager le ballon et à partir en marquer un à ton tour. C'est un état d'esprit assez hallucinant. Il y a une volonté avant tout de marquer plutôt que de préserver son but. - Avez-vous peur d'arrêter votre carrière ?- Bien sûr. J'y pense tout le temps. Je me dis que si je me blessais, ça pourrait arriver à tout moment. Mais je me sens tranquille car j'ai mis mes enfants à l'abri, ce qui était le plus important. Aujourd'hui, je ne joue plus que pour le plaisir et par orgueil. C'est peut-être pour ça que je suis serein depuis que je suis arrivé à Paris. JEROME TOUBOUL |
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15/08/2009 07:15
Message
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,980 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : 92 Membre no 313 Tribune : Canapé |
Citation Face au Mans, le PSG va mettre le turbo Pour ses grands débuts au Parc, Antoine Kombouaré attend une démonstration de force de son équipe. Après son match nul (2-2) contre Lyon, Le Mans rêve de gâcher la fête. Si le PSG est un grand club, il ne le doit pas à ses résultats, souvent décevants, lors des dix dernières saisons. Le PSG demeure un grand club car il a une belle histoire et, surtout, un public fidèle et patient. Beaucoup de villes lui envient également son stade. Trente-sept ans après sa construction, le Parc des Princes reste le plus bel édifice sportif de France. Sa conception unique en fait une caisse de résonance extraordinaire, et le moindre soubresaut de la foule donne des frissons. Certains joueurs l’oublient parfois, mais évoluer au Parc est un privilège. Cette ambiance incomparable devrait les transcender… Mais, au contraire, cet antre sublime a toujours surmotivé les adversaires. L’an passé, les Parisiens ont ainsi perdu 19 points sur leur gazon (12 victoires pour 5 défaites et 2 nuls). « L’esprit de conquête » Ce soir, Le Mans défie le PSG. 15 août oblige, le Parc va malheureusement sonner creux (30 000 spectateurs attendus), mais cela ne doit pas freiner les ardeurs des compagnons de Makelele. Il faut redevenir « intraitable à domicile », comme le souhaite Ludovic Giuly. Il s’agit de se montrer digne de ses couleurs, de son public et de son stade. Antoine Kombouaré, très attaché à certaines valeurs, ne manquera pas de le rappeler à ses joueurs. A Paris, on peut pardonner une faute. On a même appris à pardonner la défaite. « Mais il faut arriver avec l’esprit de conquête, prévient l’entraîneur. On doit profiter de l’ascendant psychologique à domicile. L’état d’esprit est très important. » Cette saison, si le PSG souhaite rivaliser avec Marseille, Lyon ou Bordeaux, il devra compenser son (supposé) déficit technique et collectif par le coeur. Kombouaré, le joueur, est à cet égard un bel exemple à suivre. Il n’était pas le plus doué, pas le plus élégant, mais son âme de guerrier lui a permis de tutoyer les sommets. Si son équipe lui ressemble, elle doit le montrer dès aujourd’hui en prenant son destin en main, sans attendre une erreur ou une expulsion adverse. Si le PSG se montre à la hauteur, il gagnera le soutien de son public. Et la magie du Parc fera le reste. Laurent Perrin Citation PSG-Le Mans : Hoarau dans le groupe Blessé aux adducteurs depuis début mai, le buteur du PSG Guillaume Hoarau effectue son retour dans le groupe parisien mais ne devrait pas débuter la rencontre contre Le Mans, samedi soir au Parc des Princes (19h). Pour ce deuxième acte du championnat de France, Antoine Kombouaré devrait reconduire sensiblement la même équipe que la semaine précédente à Montpellier (1-1). Guillaume Hoarau, meilleur buteur du club la saison dernière et qui n'a plus débuté un match depuis le déplacement à Lyon le 24 avril dernier, est de retour dans le groupe. « Il a fait une bonne semaine de travail mais pour démarrer, ce sera compliqué », expliquait l'entraîneur parisien vendredi après-midi avant le dernier entraînement à huis-clos. Blessé aux adducteurs, Hoarau avait rechuté cet été en match amical et n'a rejoué que la semaine dernière en CFA. L'ancien Havrais devrait donc prendre place sur le banc et, pourquoi pas, entrer en cours de jeu si les circonstances l'exigent. Reste une incertitude, car Antoine Kombouaré a convoqué 19 joueurs mais ne pourra coucher que 18 noms au maximum sur la feuille de match... Un déficit de taille ? Préjudiciable en attaque, l'absence du Réunionnais l'est également en défense et sur les coups de pied arrêtés où son grand gabarit (1m92) rend souvent service. Dans ce domaine, le PSG s'est montré fragile ces derniers temps (contre Glasgow à l'Emirates Cup et contre Montpellier en L1). Suffisant pour amener Kombouaré à revoir sa défense face à une équipe mancelle réputée solide physiquement ? « J'ai réfléchi à tout et cela fait partie des options », a concédé Kombouaré au sujet d'une éventuelle titularisation de Sammy Traoré (1m92) en défense centrale, généralement remplaçant au profit de Grégory Bourillon. « Mais il faudra jouer avec nos armes: un fond de jeu solide, du mouvement, de la vitesse et utiliser les petites gabarits capables de faire la différence », a aussi expliqué l'entraîneur du PSG. Par ailleurs, Claude Makelele, victime d'une béquille à la Mosson, est resté aux soins en début de semaine mais est apte pour la venue du Mans. Jérôme Rothen, toujours en instance de départ après avoir visiter les installations de Blackburn (L1 anglaise), ne figure pas dans le groupe. Le groupe parisien : Edel, Armand, Bourillon, Ceara, Chantôme, Clément, Coupet, Erding, Giuly, Hoarau, Jallet, Kezman, Luyindula, Makelele, Maurice, Ngoyi, Sakho, Sessegnon, Traoré. Le groupe manceau: Roche, Ovono - Baal, Bouhours, Ben Frej, Cerdan, Corchia, Louvion, Wague - Coutadeur, Estigarribia, Keita, Thomas, Goulon - Helstad, Le Tallec, Maiga, Lamah, Dossevi. Citation « Je sais où j’ai mis les pieds » MEVLUT ERDING, attaquant du PSG Acheté 8 M€ cet été à Sochaux, l’international turc de 22 ans n’a pas convaincu lors de sa première sortie à Montpellier (1-1). Il promet mieux dès ce soir face au Mans. Comment jugez-vous votre match à Montpellier ? Mevlut Erding. Moyen… Si j’avais marqué sur mon occasion (NDLR : un face-à-face perdu avec le gardien à la 35 e minute), l’objectif aurait été atteint. Cette semaine, le coach m’a parlé. Il m’a dit qu’il comptait sur moi et que, même si je ne marquais pas, travailler pour l’équipe était le plus important. Il y a une autre occasion, juste avant la pause, où votre pied frôle le ballon sur un centre de Giuly… Là, c’est différent. On en a parlé avec Ludovic. Son centre était trop fort. On n’a pas encore retrouvé le Erding tranchant de ces deux dernières saisons. Pourquoi ? J’ai eu une préparation différente à cause de mes problèmes aux adducteurs. J’ai joué moins de matchs amicaux. A Montpellier, je n’étais pas à 100 %, je manquais d’endurance. Mais cette semaine, je me suis mieux senti et je pense que je serai bien contre Le Mans. Guillaume Hoarau avait, lui aussi, connu des débuts difficiles l’an dernier… (Il coupe avec fermeté.) Moi, je ne connais pas de période difficile. J’ai joué un match et je n’ai pas marqué, c’est tout. Je me sens bien, je n’ai aucun doute. N’existe-t-il pas une pression particulière liée au montant de votre transfert ? Non, mais la pression existe. A Paris, elle sera toujours là. Je sais où j’ai mis les pieds. Vous sentez-vous bien intégré dans le groupe ? Aussi bien qu’à Sochaux. Je pensais que ce serait différent mais, dans le vestiaire, il y a une bonne ambiance entre jeunes et anciens. En plus, je suis assis entre Giuly et Sessegnon, les passeurs quoi ! C’est Ludo qui m’a proposé cette place. Il m’a un peu pris sous son aile. Maké, lui, me fait partager ses vingt ans de carrière. Il me dit d’utiliser les coudes, de bien protéger le ballon. Comment abordez-vous ce premier match au Parc ? Depuis qu’on s’y est entraînés mercredi, j’ai hâte d’y être. J’espère que le public me mettra en confiance. Après, les supporteurs peuvent être sûrs que je vais me battre. Quel serait le scénario idéal ? Gagner, même si je ne marque pas. Si je marque, ce sera parfait, car ce sera le déclic pour moi. Etes-vous touché de voir quelques drapeaux turcs au camp des Loges ? Il y a une grande communauté à Paris et je crois qu’il y aura pas mal de Turcs au Parc. Cela va me motiver encore plus. La semaine dernière, il paraît que vous avez été arrêté par la police. Pouvez-vous nous en dire plus ? (Il sourit.) Je quittais le camp des Loges pour rentrer chez moi et des agents m’ont arrêté et m’ont demandé mes papiers. L’un d’eux m’a dit : « Je vous arrête parce que vous êtes turc ! » Je lui ai dit : « Et alors ? » Il m’a répondu : « Moi aussi ! Je suis supporteur du PSG. » Il était fier. On a bien rigolé ! Le Parisien |
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15/08/2009 09:11
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L'Equipe du 15 août :
Citation Kombouaré pose sa griffe Réputé bouillonnant, le nouvel entraîneur fait preuve de patience, jusqu’à présent, pour imposer sa méthode à Paris. PARFOIS, il était reproché à Paul Le Guen une forme de passivité face aux événements contrariants. Ou, du moins, une réticence à ces discours volcaniques qui peuvent tracer d’autres voies. À la mi-temps du match à Montpellier (1-1), samedi dernier, Antoine Kombouaré a parlé sur un ton nouveau. Sans trop passer par des angles arrondis. « À la Mosson, dans le vestiaire, le coach a très bien recadré les choses, raconte Grégory Coupet. Il nous a secoués car il trouvait qu’on ne bougeait pas assez, qu’on n’osait pas jouer. Il nous a mis un coup de pied au cul en nous disant de ne pas douter. » Les paroles auront un effet relatif, mais Kombouaré a fait sa part du job. Pendant toute la préparation, le nouvel entraîneur parisien a répété à ses joueurs qu’il voulait voir en eux des « guerriers ». Dans un langage plus pacifique, il leur demande de respirer « la gagne », convaincu que la différence technique entre le PSG et les trois puissances dominantes (Bordeaux, Marseille, Lyon) ne pourra être compensée que par un supplément d’âme. La semaine dernière, Stéphane Sessegnon disait, lui aussi, que l’ancien coach de Valenciennes avait apporté « un discours plus volontaire ». Il ajoutait : « Il a vraimentenvie de gagner, et c’est important de sentir ça. » Elle est là, pour beaucoup, la touche Kombouaré. Dans ses mots, sa gestuelle, ses regards, tous tournés vers cette « gagne » qui, inlassablement, se faufile dans chaque causerie, chaque déclaration. Il y a, ici,commeun trait d’union entre Paris et Valenciennes : dans le Nord, l’esprit de combat devait aider à survivre ; à Paris, Kombouaré l’invoque pour rallumer les lumières de l’Europe. Depuis le début de l’été, le Kanak recadre. À ciel ouvert. Quand Paul Le Guen préférait esquiver les questions car il estimait « ne pas avoir besoin de (se) justifier », son ancien coéquipier s’exprime sans détour. Quand Heinze a signé à l’OM, il a expliqué qu’il n’avait pas poussé son dossier à Paris afin de ne « pas condamner Sakho ». Plus tôt, début juin, il était assis aux côtés de Sébastien Bazin lorsqu’il lui fut demandé comment il envisageait le statut de Makelele. Il avait alors laissé les pincettes au vestiaire : « Il ne devra pas passer par le président pour faire passer un message. La relation privilégiée, il devra l’avoir avec moi. » « L’injustice me fait sortir de mes gonds » « Il tient un discours franc et simple, juge Coupet. C’est un sanguin qui ne fait pas dans le non-dit et qui crève les abcès sur-le-champ. » En privé, des joueurs suggèrent l’idée que le coach pourrait faire l’économie de quelques éclats de voix. Excessif peut-être, mais jamais injuste. Début juillet, Kombouaré avait prévenu les joueurs qu’il aurait des frictions avec eux, à la première borne franchie. Le 29, le matin d’un déplacement chez la Fiorentina (3-0), Sammy Traoré est arrivé avec une demi-heure de retard au rendez-vous fixé au Camp des Loges. Le défenseur a essuyé une colère monstre : « Tu dois d’autant plus montrer l’exemple que tu es un joueur cadre ! » Publiquement, Kombouaré n’en a pas rajouté sur cet épisode. Il se dit peu enclin à individualiser les critiques, les positives comme les négatives. Interrogé, le 2 août, sur la créativité explosive de Sessegnon après son match contre l’Atletico Madrid (1-1), lors de l’Emirates Cup, à Londres, il avait d’abord souligné « son côté rigoureux et ses efforts défensifs ». De quoi faire douter un peu, par moments, de ses revendications déclarées pour un football offensif. « Il prône l’envie, intervient Coupet. Il nous dit qu’il préfère perdre en jouant que faire un match nul en bétonnant tout le jeu, en n’allant pas au bout de nos idées. » Le jeu d’attaque a nourri ses années valenciennoises et le Parc est un théâtre qui n’attend que ça. Kombouaré prend garde à ne pas promettre une cascade de champagne, ce soir, face au Mans. « Il me faut encore du temps pour trouver mes marques avec ce groupe. J’apprends à les connaître, à voir comment ils réagissent. Au bout de quatre matches, je saurai quoi attendre de cette équipe. » Suspendu à Montpellier, l’entraîneur du PSG retrouve un banc, ce soir. Il sera en première ligne, lui et son caractère de feu, qu’il a promis de tempérer. « Il est important, pour moi et pour mes joueurs, que je reste concentré sur mon travail. Mais l’injustice mefait parfois sortir demesgonds. »On lui fait remarquer que le PSG vit souvent avec un sentiment d’injustice. Il sourit : « Oui, je sais, c’est ça, le problème… » JÉRÔME TOUBOUL Citation L’incertitude Hoarau L'EquipeLA STAT N’EST PAS NEUTRE : elle dit que le PSG a remporté 52 % de ses matches lorsque Guillaume Hoarau était présent sur la pelouse (17 sur 33) et que le ratio chute à 33 % dès que l’attaquant réunionnais déclare forfait (deux succès sur les six rencontres disputées sans lui depuis son arrivée, l’été dernier). Ce soir, l’ancien Havrais jouera peut-être. Mais l’incertitude subsiste. La tendance, pour lui, dessine un banc au coup d’envoi. Antoine Kombouaré prône la prudence avec le meilleur buteur du PSG la saison passée (17 buts en L 1), dont la souffrance aux adducteurs a perturbé l’été. « Guillaume a effectué une bonne semaine de travail, indiquait l’entraîneur parisien, hier. Mais le faire débuter le match, ce sera très compliqué. » Dans un Parc où 30 000 spectateurs sont attendus, l’impact aérien de l’attaquant de vingt-cinq ans manquera a priori face aux gabarits de l’adversaire du jour (voir ci-contre). Cette donnée a aussi conduit Kombouaré à une réflexion au sujet de sa défense centrale, rouvrant l’hypothèse d’aligner le 1,92m de Sammy Traoré, laissé sur le banc à Montpellier (1-1), samedi dernier. Plus largement, l’entraîneur parisien a mis l’accent sur la nécessité de retrouver du mordant sur coups de pied arrêtés, une semaine après avoir vu son équipe céder sur corner à l’ultime minute. Face à une équipe du Mans qui n’a remporté qu’un seul de ses quinze derniers déplacements en L 1, le PSG sera attendu sur le plan du jeu. Avec une seule opportunité nette à la Mosson – celle du but de Giuly –, la marge pour faire mieux est considérable. « Il faudra amener de la vitesse, du mouvement, insistait Kombouaré, hier. Nos petits gabarits devront faire la différence au sol. Il faut partir avec l’idée d’impressionner l’adversaire. » Rothen ne pourra pas appliquer la consigne. En instance de transfert, le milieu offensif ne figure toujours pas dans le groupe. – J. T. (Pour Le Mans, ils parlent de Cerdan, Goulon et Maïga, les "grands gabarits" dont l'impact athlétique pourrait nous "causer bien des soucis" ce soir.) |
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16/08/2009 07:20
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Citation Ce PSG-là est bien plus séduisant Peu convaincant à Montpellier en ouverture du championnat, le PSG s’est ressaisi pour sa première sortie au Parc des Princes. On ne peut pas parler de match référence mais juste d’une excellente base de travail pour les prochaines échéances. C’est déjà énorme. En s’imposant 3-1 au terme d’une partie bien menée, Paris n’a pas raté son premier rendez-vous à domicile. A Montpellier, l’égalisation dans la dernière seconde avait été difficile à digérer mais le score final (1-1) était logique. On tirera la même conclusion du match d’hier : le PSG n’a pas volé sa victoire. En revanche, au niveau du jeu, c’est le jour et la nuit. « C’est bon pour la confiance » Empruntés dans l’Hérault, les Parisiens ont affiché cette fois un état d’esprit irréprochable et de belles ambitions dans l’animation offensive, dilapidées par un fâcheux manque de réalisme. C’est le seul bémol, tous les autres secteurs offrant de nombreux motifs de satisfaction et d’espoir. « Je retiens d’abord la révolte de mes joueurs, déclare Kombouaré. On aurait pu flancher... Le contenu est super intéressant, c’est bon pour la confiance. Je tiens à féliciter l’énorme performance collective ». Individuellement, on soulignera l’excellence des deux petits nouveaux, Erding et Coupet. En inscrivant le but de l’égalisation sur une action personnelle somptueuse (33e), l’ancien Sochalien a relancé une partie mal engagée. Le Parc l’a déjà adopté et on a hâte de le voir aux côtés de Guillaume Hoarau. Quant au successeur de Landreau, il a réussi deux interventions décisives en milieu de seconde période, empêchant Le Mans d’égaliser. Pour Kombouaré, ce premier match au Parc est un vrai soulagement. « Ça valide mon travail car les joueurs ne croient votre message que si vous gagnez », confie-t-il avec franchise. Grâce à cette belle victoire au Parc face à un adversaire qui a fait souffrir Lyon il y a une semaine (2-2), le PSG marque son territoire. « Je ne peux pas dire qui de Paris ou de Lyon est le meilleur, explique Paulo Duarte, l’entraîneur du Mans. Ce sont deux équipes qui travaillent pour jouer le titre, comme Marseille et Bordeaux. On verra à la fin du championnat qui tient le mieux la distance. » Son homologue parisien ne voit pas si loin et garde les pieds sur terre. Il sait déjà sur quoi insister cette semaine : « On va surtout travailler l’humilité, car le pire serait de s’enflammer. » Laurent Perrin Citation Coupet a fait ce qu’il fallait Coupet (7). Il évite l’égalisation après la pause grâce à deux gros arrêts face à Maïga et Lamah. De quoi se faire pardonner sa faute d’appréciation sur un coup franc lointain de Coutadeur. Ne peut rien sur le but d’Helstad. Ceara (5). Pas vraiment gêné en défense, le latéral n’a pas eu son rendement habituel en attaque. Il provoque quand même le but de Thomas contre son camp. Traoré (4). Une couverture un peu lâche sur le but du Mans. On n’a pas retrouvé le Sammy tranchant de la saison dernière, dont le Parc scandait souvent le nom. Sakho (4). Son association avec Traoré laisse à désirer. Il est devancé par Helstad sur le but manceau. Dommage car, comme à son habitude, il s’est montré costaud dans les duels. Armand (5). Il a été devancé de la tête par Maïga sur le ballon qui amène le but encaissé. Il manque encore d’impact dans les contacts. Giuly (7). A ceux qui se demandent si sa place est bien dans le couloir droit, il a répondu par une activité débordante dans le replacement et son implication dans le jeu. Et en plus, il marque. De quoi faire taire les sceptiques. Remplacé par Ngoyi (83e). Makelele (6). Toujours ce petit retard à l’allumage. Par la suite, il a joué à merveille son rôle de sentinelle devant la défense. Clément (6). Un cran plus haut que Makelele, il a réussi à se projeter vers l’avant et à offrir de bons ballons. Décale Erding sur son but. Sessegnon (7). On avait perdu le Béninois à Montpellier, on l’a retrouvé à Paris. Après une énorme occasion ratée dès l’entame, il a semé la zizanie dans la défense mancelle à chacune de ses initiatives. Remplacé par Kezman (68e), passeur pour Giuly. Erding (7). Il inscrit son premier but parisien en L 1 tout en puissance et en technique. Mais, surtout, il s’est procuré des occasions, ce qu’il n’avait pas su faire le week-end dernier. Remplacé par Jallet (73e) sous les acclamations du Parc. Luyindula (5). Sa disponibilité dans le jeu est exemplaire. Il lui reste à trouver le chemin du but. Au Mans, Coutadeur s’est distingué mais le show a été assuré par l’entraîneur Duarte intenable dans son carré. L’arbitre, M. Malige (6), aurait pu se montrer plus sévère sur quelques tacles mais il a souvent privilégié la continuité du jeu. Citation LA QUESTION Pourquoi Hoarau n’est-il pas entré en jeu ? Si le scénario du match avait été défavorable au PSG, Kombouaré l’aurait lancé, mais à 2-1 il a préféré le préserver. « Guillaume n’a pas joué depuis trois mois et demi et j’aurais eu l’air con (sic) s’il était entré et qu’il s’était blessé de nouveau (adducteurs), explique l’entraîneur parisien. A 2-1, ça m’a permis de ne pas faire n’importe quoi. Le problème de le prendre dans le groupe, c’est d’être tenté de le faire jouer. » Citation « Il était capital de réagir » LUDOVIC GIULY, milieu du PSG « Juste trente secondes parce que je suis pressé. » Finalement, Ludovic Giuly va rester un peu longtemps pour tirer les premières leçons du bon résultat du PSG. Cette première victoire au Parc fait-elle du bien au moral ? Ludovic Giuly. C’est super-important de s’imposer. Et en plus, on marque trois buts, c’est très bien. Il était capital de réagir après ce match nul très moyen à Montpellier (1-1). En plus, nous n’avons pas douté après le but du Mans alors qu’il y a eu une petite faute d’inattention de notre part. C’est finalement une petite frayeur sans conséquences. Ensuite, on pourra toujours dire que nous avons eu un peu de chance sur notre deuxième but. Mais sincèrement, l’équipe a fait un match très intense avec de nombreux duels gagnés malgré la chaleur. Votre prestation personnelle a été nettement plus dense qu’à Montpellier… (Il coupe) … parce que je suis bien sur le côté droit ! Combien de fois faudra-t-il que je le répète pour qu’on me croie (sourires) ? Mon rôle exige une vraie force physique et je crois qu’on la voit sur le terrain. Par rapport à ce que je pouvais faire à la même époque l’an dernier, c’est le jour et la nuit. Pourtant, votre maladresse devant le but a semblé longtemps peser sur votre moral… C’est vrai que j’ai raté quatre grosses occasions en première période. Le pire, c’est que je n’en ai cadré aucune. Et à la mi-temps, j’ai un peu douté. Mais tout le monde m’a rassuré. Mev (NDLR : Erding) m’a assuré que j’aurais une cinquième occasion et que celle-là, je ne la manquerais pas. Et c’est ce qui s’est passé. Racontez-nous votre but… Je reçois un super-ballon de Mateja (Kezman) et je sens que je n’ai plus rien dans les jambes. Je jette vraiment tout ce qui me reste dans la course. Au moment de tirer, je ressens d’ailleurs une petite crampe. C’est pour cela que j’ai demandé à sortir juste après le but. La saison parisienne est-elle lancée ? Cela me paraît désormais clair. Il faut juste éviter de se refaire, lors des prochains matchs, les mêmes frayeurs que contre Le Mans. Avec un peu plus d’attention, cela devrait aller. Le Parisien Citation Erding, buteur de caractère Mevlut Erding est un garçon au caractère bien trempé. Hier soir après le match, le nouvel attaquant parisien n’a pas mâché ses mots. « A Montpellier j’ai été moyen mais la presse a été sévère avec moi. Après, je sais que c’est comme ça à Paris », a souligné l’ancien Sochalien. Ce matin, l’international turc n’aura pas de poussée d’urticaire à la lecture des médias. Son premier but sous les couleurs parisiennes synonyme d’égalisation et son abattage conséquent lui vaudront des louanges méritées. On s’impatiente de le voir associé à Hoarau Le temps d’un soir et plus si affinités il est même devenu la coqueluche du Parc qui a scandé son nom avant de l’acclamer lors de son remplacement. Mais surtout, Mevlut Erding s’est laissé à une confidence qui témoigne de sa détermination et de sa spontanéité. « Si je n’avais pas marqué ce soir ( hier ), je ne serais pas satisfait », a t-il lâché, faisant souffler un vent de fraîcheur sur les propos convenus d’après-match. Car Erding aime marquer et il ne s’en cache pas. Hier soir, c’est ce besoin impérieux de scorer qui a remis Paris dans le droit chemin. « Au départ, j’y vais surtout pour tirer, pas vraiment pour marquer, raconte le néo-Parisien. Son audace et sa réussite ne sont pas sans rappeler celles de Guillaume Hoarau. La saison dernière, le Réunionnais avait lui aussi ouvert son compteur buts, au Parc des Princes lors de la 2e journée, face à Bordeaux (victoire 1-0). On s’impatiente déjà de voir ces deux buteurs enfin réunis. Citation LE MATCH PSG - Le Mans 3-1 (1-1) Arbitre : M. Malige. Spectateurs : 30 558. Buts. PSG : Erding (33e), Thomas (60e,csc), Giuly (81e) ; Le Mans : Helstad (22e). Avertissements. Le Mans : Maïga (37e), Cerdan (51e). PSG. Coupet - Ceara, Traoré, Sakho, Armand - Giuly (Ngoyi,84e), Makelele (cap), Clément, Sessegnon (Kezman, 68e) - Erding (Jallet, 73e), Luyindula. Le Mans. Roche - Corchia, Louvion, Cerdan, Baal (Estigarribia, 84e) - Goulon (Lamah, 56e), Thomas (cap.) - Coutadeur - A. Le Tallec (Dossevi, 77e), Maïga, Helstad. LES BUTS 22e : sur un long dégagement de Roche, Maïga devance Armand de la tête et lance Helstad qui résiste au retour de Sakho et ouvre le score. 0-1. 33e : lancé par Clément, Erding, en puissance, se joue de Louvion, pénètre dans la surface et égalise d’un tir croisé du gauche. 1-1. 60e : sur un coup franc excentré coté gauche de Sessegnon, Thomas dévie de la tête dans son but 2-1. 81e : alerté par Kezman à la limite du hors-jeu, Giuly se présente devant Roche qu’il bat d’une frappe du droit 3-1. LE FAIT DU MATCH 67e : peu inquiété jusque-là, Coupet réalise deux parades en une minute en écartant un coup franc de Le Tallec qui partait dans sa lucarne puis en jaillissant en force dans les pieds de Maïga. LE CHIFFRE 30558 Il s’agit de la plus faible affluence en L 1 du PSG au Parc depuis le 17 janvier 2007 et la venue de Toulouse (0-0) qui n’avait été vue que par 29 158 spectateurs. Détail amusant : ce match était le premier dirigé par... Paul Le Guen, le prédécesseur d’Antoine Kombouaré. Le Parisien ( suite ) |
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16/08/2009 08:22
Message
#1056
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,260 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Paris Membre no 295 Tribune : Canapé |
Citation Erding: «Une soirée parfaite» ![]() Mevlut Erding (attaquant de Paris - Photo Presse-Sports): «C'était une soirée parfaite, je suis vraiment content. Le Parc, c'est encore mieux que ce que je pensais. Sur mon but, dès le début, je sais que je vais y aller pour marquer. J'ai la réussite et cela permet à l'équipe de revenir. Mais on n'a jamais douté. On a toujours pressé sur le porteur et on a été récompensé en 2e période. Le coach amène ce discours de gagneur et on sent que le groupe adhère.» Stéphane Sessegnon (milieu de Paris): «C'était important de ne pas douter car on savait que l'on serait capable de continuer à se créer des occasions. C'est un bon début de saison. L'an passé, on avait commencé par une défaite à l'extérieur et là, on a la chance de mettre trois buts. C'est bon pour la confiance. Il faut continuer à croire en ses chances et défensivement être plus solide, plus méchant. On est passé sur les côtés, dans l'axe, on a varié le jeu. Après Montpellier, on a essayé de corriger le tir mais pour l'instant, on n'a pas vraiment encore d'automatismes. Il faut du temps pour se connaître et Mevlut (Erding) n'a pas joué beaucoup de matches amicaux. Mais il a marqué un super but et c'est important pour lui, qui vient d'arriver, de se mettre tout de suite en confiance. C'est un joueur qui a du tempérament et il a répondu présent.» Paulo Duarte (entraîneur du Mans): «Le match avait bien commencé. Mais sur ces buts encaissés, on peut arrêter les actions en milieu de terrain. J'avais pourtant dit que la force de Paris, c'était la mobilité. Mais à domicile, le PSG a peut-être eu un meilleur contrôle du match et l'a gagné dans la transition attaque-défense. Bon, ce n'est pas anormal de perdre ici et je suis quand même un entraîneur content. On ne perd pas à cause d'un joueur en particulier, on n'encaise pas de but sur une désorganisation ou un déséquilibre causé par l'adversaire mais à cause de la qualité des joueurs de Paris. A 2-1, on a la possibilité de revenir grâce à Maïga et Lamah. Le calendrier n'était pas gentil avec nous et maintenant notre championnat va commencer.» (AFP)
-------------------- Cédric Dufoix, le représentant de Marseille, a tenté de s’y opposer en arguant que les Marseillais n’étaient pour rien dans les débordements du 25 octobre. Il lui a été rappelé que c’était essentiellement des Marseillais qui avaient été interpellés…
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16/08/2009 08:38
Message
#1057
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![]() Keyloriste ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 47,637 Inscrit : 09/01/2009 Lieu : 92 Membre no 112 Tribune : Non précisée |
Citation Sessegnon touché à l'épaule Stéphane Sessegnon devra passer des examens complémentaires dimanche ou lundi pour vérifier l'état de son épaule droite, meurtrie sur un tacle appuyé de Cerdan à la 51e minute de la victoire parisienne contre Le Mans, samedi soir au Parc des princes (3-1). L'equipe.fr |
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16/08/2009 12:02
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#1058
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Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 62 Inscrit : 09/01/2009 Membre no 155 Tribune : Non précisée |
Citation Point médical Camp des Loges - dimanche 16 août 2009 à 12:33 Le point médical du jour concerne deux joueurs : Stéphane Sessegnon et Papus Camara. Touché à l’épaule samedi soir face au Mans, Stéphane Sessegnon souffre d’une entorse acromio-claviculaire de l’épaule droite qui nécessite des soins mais ne compromet pas la pratique du football. Pour sa part, Zoumana Camara soigne toujours une phlébite au mollet droit. psg.fr |
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17/08/2009 09:45
Message
#1059
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 19,257 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée |
Citation Traoré : « Notre marge de progression est importante » Ravi de la victoire parisienne samedi, Sammy Traoré sait que tout n’a pourtant pas été parfait contre Le Mans, notamment en défense. « En deux matchs, on vient d’encaisser deux buts évitables, reconnaît le défenseur parisien. Il y a encore du travail. C’est d’ailleurs logique car nous ne sommes qu’en début de saison». Pour Traoré, les réglages sont principalement d’ordre défensif car l’attaque parisienne, selon lui, est le point fort du PSG. « Si nous arrivons à être costauds défensivement, souligne-t-il, nous allons être vraiment très embêtants à jouer. Car avec le potentiel qu’on a en attaque, les occasions de marquer vont se multiplier. La marge de progression est importante. Nous travaillons énormément l’aspect tactique et je crois que cela se voit déjà sur le terrain. » L’optimisme est donc de mise avant le déplacement à Valenciennes. « Les Valenciennois ont perdu leurs deux premiers matchs. Ils auront le couteau entre les dents, imagine le Malien. Ça tombe bien : nous aussi ! » Le Parisien |
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17/08/2009 11:36
Message
#1060
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![]() Administrator ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Root Admin Messages : 105,976 Inscrit : 13/11/2008 Lieu : Dark Side of the Moon Membre no 1 Tribune : Viré du stade |
Citation Le PSG doit-il lâcher Rothen ? La semaine passée, Jérôme Rothen a passé deux jours à Blackburn. Il en est revenu avec un a priori positif mais depuis, la formation anglaise n’a pas donné de nouvelles. Du côté du PSG, on fait tout pour faciliter son départ. Pourtant, la probabilité de le voir rester grandit. Le club doit-il le lâcher ? Oui, il est usé La dernière saison de Rothen a sans doute été la plus mauvaise de sa carrière. Son influence sur le terrain s’est considérablement réduite. Il semble usé par l’environnement et le risque de le voir effectuer l’année de trop est réel. Surtout pour un joueur qui fonctionne à l’affectif et qui pense que certains dirigeants ne l’apprécient pas au club. En outre, son départ allégerait la masse salariale (il touche 160 000 € brut mensuels), et permettrait au PSG d’avoir les coudées plus franches pour recruter avant la fin du mercato estival, voire cet hiver. Sportivement, son absence ne pèse pas. La solution de Kombouaré (Sessegnon à gauche et Giuly à droite) a montré toute sa pertinence contre Le Mans[. S’il reste, Rothen ne sera donc qu’un remplaçant de luxe. Pas évident à accepter à son âge (31 ans). L’attitude du public parisien, qui a conspué son nom samedi, a aussi son importance. Les supporteurs digèrent mal son envie proclamée de quitter le club et ses dernières prestations. Mais ce désamour n’est pas rédhibitoire. Le public a pardonné à Kezman son jet de maillot la saison dernière, il peut faire de même avec Rothen, dont l’attachement au PSG est indiscutable. Non, il peut rendre service Le PSG ne recrutera personne tant que Rothen est là. Pourtant, il faut absolument doubler le poste de milieu gauche. En ce moment, les deux solutions se nomment Sankharé et Luyindula. Ce dernier s’était montré à l’aise dans cette situation la saison dernière, notamment à Marseille. Mais l’un et l’autre n’offrent pas autant de garanties que Rothen. La réflexion vaut aussi pour Richard Soumah. Jugé pour l’heure hors de prix (3 M€), le jeune Guingampais (22 ans) n’a jamais joué en L 1. Il serait un pari sur l’avenir, avec les risques que cela représente. En gardant Jérôme Rothen, le PSG ne peut avoir que des bonnes surprises. Avec un calendrier allégé, il peut retrouver un très bon niveau de forme. L’esprit de revanche peut en outre le surmotiver. L’histoire n’est peut-être pas terminée. Le Parisien -------------------- A été retweeté par Gianluca Di Marzio, PRINCE des transferts, PAPE des rumeurs, OMNISCIENT du mercato, le dimanche 2 août 2015 à 00h35.
"Derrière chaque surfeur se cache un requin". "ptit binoclard webmaster pour Footix qui occupe son célibat comme il peut ! cousin de dubdadda !" |
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