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Poupou70
posté 04/08/2013 19:29
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PSG : Hervin Ongenda, héros d'un soir

Le PSG a remporté son premier titre de la saison en dominant Bordeaux lors du Trophée des Champions. Mais on retiendra surtout l'avènement d'un jeune joueur parisien : Hervin Ongenda. A seulement 20 ans, l'attaquant a brillé aux côtés d'Ibrahimovic et consorts.



Alors qu'André Poko a été élu homme du match, la performance d'Hervin Ongenda n'a pas laissé les observateurs indifférents. Le jeune joueur du PSG a marqué des points lors du Trophée des Champions.

Une entrée gagnante

Malgré un match en demi-teinte, le PSG a remporté samedi soir le Trophée des Champions face à Bordeaux (2-1). Le sursaut est notamment venu d'un remplaçant : Hervin Ongenda. Le jeune attaquant parisien, entré en jeu à la soixante-dixième minute, a entamé la révolte parisienne en égalisant à moins dix minutes de la fin de la rencontre. Résultat, en ce lendemain de victoire, le joueur de 20 ans fait la une de tous les médias sportifs.

« La confiance du coach »

Considéré comme le héros du soir, Hervin Ongenda savoure, pour sa part, le moment .« Je suis très heureux. J'entre en jeu, Zlatan me fait une passe magnifique et je parviens à égaliser. Le scénario est exceptionnel pour moi » a-t-il déclaré sur le site officiel du PSG. L'attaquant, formé par le club de la capitale depuis l'âge de 12 ans, a su saisir la chance que lui a donné Laurent Blanc : « Le coach nous a fait confiance. La preuve on est trois jeunes issus du centre de formation dans le groupe. C'est motivant. »

« Beaucoup de qualités »

Et justement, l'entraîneur du PSG ne tarie pas d'éloges concernant Hervin Ongenda : « Il est le buteur qui déclenche cette réaction parisienne. C'est un très très bon joueur. Techniquement, il est vraiment au-dessus de la moyenne. Il sent bien le jeu, se déplace très bien, et devant le but, il est adroit. Ça fait beaucoup de qualités ». Laurent Blanc a d'ailleurs utilisait le jeune joueur lors de tous les matches de préparation. Le néo-pro avait ainsi marqué à deux reprises dont un but magnifique face au Sturm Graz.

Prochaine occasion pour Hervin Ongenda de briller : vendredi à 20h30 face à Montpellier, lors du premier de Ligue 1.

Source sur MYTF1 : PSG : Hervin Ongenda, héros d'un soir


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DelSpooner
posté 06/08/2013 12:03
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Les Parisiens Kingsley Coman et Roli Pereira De Sa ont été appelés par le sélectionneur de l'Equipe de France U18 Pierre Mankowski pour participer à un stage de pré-saison, du lundi 12 au mercredi 14 août à Clairefontaine.

PSG.FR


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Varino
posté 07/08/2013 06:31
Message #203


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Le Parisien Ikoko en renfort ?

Récent finaliste de l’Euro U 19 avec l’équipe de France (défaite 1-0 face à la Serbie), Jordan Ikoko (19 ans), le jeune défenseur latéral droit du PSG, est sur le point d’être prêté à Créteil. Comme pour Alphonse Areola (prêté à Lens, L 2), les dirigeants du PSG souhaitent qu’il s’aguerrisse en emmagasinant du temps de jeu. Son arrivée pourrait être finalisée dans les prochaines heures. Originaire de Seine-et-Marne où il a débuté à Mitry et Villeparisis, Ikoko est arrivé au PSG en 2007 et a été international dans chaque catégorie de jeunes. Son arrivée permettrait de renforcer un effectif cristolien encore très juste quantitativement. D’ici à la fin du mercato (3 septembre), un milieu de couloir est encore attendu.

Le Parisien


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roro10
posté 09/08/2013 13:35
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Sharkfoot


Le PSG, roulez jeunesse !


Par charles.chevillard
Mis à jour: août 9, 2013

Lorsque le spectateur lambda s’exprime sur le Paris Saint-Germain, l’argent et les stars sont les principales redondances. Pourtant, dans la capitale, la formation se porte bien. Vice-champion de France U19 en 2011/2012, le PSG continue à truster les places d’honneur dans les catégories jeunes (U17 ou U19) en participant – presque chaque année – aux play-offs du championnat. Avec Hervin Ongenda et son but lors du trophée des champions (victoire du PSG face à Bordeaux) ou encore les nombreux « titis » parisiens ayant participé à l’Euro U19 ou à la Coupe du Monde U20, les médias s’intéressent de plus près à ces jeunes joueurs. Sharkfoot avec LTDPSG vous offre un panorama des espoirs parisiens.

Le plus connu : Alphonse Areola (en prêt à Lens)

« Je serais tout simplement sa doublure. De toute façon avec Alphonse, il n’y a jamais eu de véritable concurrence. Depuis le début c’est comme cela que ça se passe. » La punchline est franche et incisive. Elle provient de Mickaël Salamone sur le site des Titis du PSG. Dorénavant gardien à Evian, le grand (1m90) portier a toujours vécu dans l’ombre d’Alphonse Areola. Le Franco-Philippin est un gamin de la capitale. Arrivé à l’âge de 13 ans au PSG, le gardien du RC Lens est champion de France en U14 nationaux dès la saison suivante. Cette même année, il remporte le tournoi Nike France et termine quart de finaliste du mondial des 15 ans à la Manchester United Premier Cup. Un palmarès déjà costaud pour le titi parisien. En 2008, il prend la direction de Clairefontaine pour peaufiner son apprentissage. Déjà réputé pour sa grande taille, mais aussi ses capacités intrinsèques hors du commun, il est surveillé par les plus grands clubs anglais. Le PSG ne réfléchit pas plus longtemps et lui fait signer son premier contrat professionnel à l’âge de 16 ans. Le garçon fait son chemin. Au contact d’Edel et Coupet, il apprend vite. En 2010, Kombouare le propulse même sur le banc contre le Stade Malherbe de Caen. Alphonse profite des blessures des autres gardiens. « C’est un garçon pétri de qualités. Il est imposant, ce qui le rend très bon dans les airs. Et au contact de Coupet et Edel, il progresse vite. Je n’ai aucun souci quand il est numéro deux, car j’ai pleinement confiance en lui », expliquait à l’époque, le coach du PSG au Parisien. « Je l’ai retenu pour la première fois en août dernier contre le Danemark. Alphonse a d’énormes qualités physiques. Il m’a paru tout de suite assez complet avec une bonne lecture du jeu, de la présence et de la vivacité pour sa taille. En plus, il a la tête sur les épaules, il est lucide et simple », confiait le sélectionneur de l’équipe de France des 18 ans de l’époque, Pierre Mankowski. Le temps est passé et l’ancien sélectionneur des U18 continue à suivre son poulain. Champion du monde U20 sous l’égide de Pierre, Alphonse Areola s’est envolé pour le nord, plus précisément le RC Lens (L2) où il y retrouvera un certain Antoine Kombouare… Un prêt pour s’aguerrir et revenir plus fort au PSG ? Quoi qu’il en soit, Alphonse sera attendu au tournant de cette saison. Il a toutes les cartes en main pour se faire une réputation chez les « grands ».

L’œil de l’expert des Titis : Gros travailleur, depuis son entrée à l’INF et au PSG il a pour seul objectif de garder les buts du PSG, il n’a pas fini sa progression. Même lorsqu’il venait jour en CFA ou en U19 il a fait le travail en grand professionnel qu’il est déjà. Très fort sur sa ligne, il ne manque pas de caractère dans sa surface de réparation lui qui est discret dans la vie.

Le discret : Jordan Ikoko (en prêt à Créteil)

Jordan Ikoko, c’est sûrement le moins connu de la bande. Pourtant, l’année dernière, au fil de la saison et des blessures de Jallet et des mauvais matchs de Gregory Van Der Wiel, certains supporters soufflaient son nom. Moins mis en valeur que Rabiot (1995) et Conte (1994) lors de l’Euro U19, le latéral droit a fait le « job ». Né dans le 77, le joueur originaire de Montereau est arrivé en 2007 à Paris. Avec une progression constante, il a dévoré petit à petit les obstacles pour frapper aux portes du groupe pro l’année dernière. Titulaire indiscutable en CFA la saison passée, il se distingue par son endurance, sa capacité à relancer. Un poil fluet, il devrait prendre de la masse pour faire partie définitivement du groupe professionnel. Conscient des efforts à faire, Jordan est déjà très lucide sur la différence de niveau entre le championnat amateur et pro. « En pro, il y a très peu de déchets techniquement, et à l’entraînement c’est plus physique selon les séances… », expliquait-il la saison passée sur LTDPSG. Gros relanceur, il est capable de monter d’un cran. Plus jeune, il occupait le poste de milieu de terrain et portait même le brassard de capitaine. Régulier, il est titulaire au poste de latéral droit chez les Bleuets. Selon les dernières infos, il ne devrait pas faire long feu au PSG et a été prêté à Créteil, voisin francilien et promu en Ligue 2. Pour mieux rebondir par la suite dans le club de la capitale ou faire une carrière à la Brice Dja Djédjé ? Latéral comme Jordan, le Franco-Ivoirien côtoie le centre de formation pour s’engager librement à Evian et devenir titulaire en Ligue 1 !

L’œil de l’expert des Titis : Auteur d’une très bonne saison avec la CFA et en U19, Jordan va lancer sa carrière professionnelle avec l’US Créteil Lusitanos. Très simple sur le terrain, intelligent dans la relance et dans son placement défensif. Avec de l’expérience, il peut prétendre à une place dans le groupe pro du PSG à l’avenir.

Le surdoué : Adrien Rabiot

La gueule d’un BB Brunes, le physique d’un mannequin (1m89), la nonchalance des plus grands, Adrien Rabiot a déjà fait son trou en Ligue 1. Alors que lors du mercato d’été dernier le PSG enchainait les recrutements de stars mondiales, le jeune milieu de terrain de la capitale fait son trou dans l’effectif « galactique » de Paris. Surprotégé par sa mère, Véronique, le n° 8 français a toujours été un joueur à part. Après avoir débuté à Créteil, il signe en 2008 à Manchester City. Mais pour d’obscures raisons – financières d’après les infos – il revient 6 mois après à Pau pour être finalement admis au pôle espoirs de Castelamorou. En mai 2010, il s’envole vers la région Parisienne pour intégrer le centre de formation du PSG. Il s’entraîne pour la première fois avec le groupe professionnel dès mars 2012. Il est même retenu dans le groupe pro pour le match contre Sochaux en avril. Carlo Ancelotti aime son jeune milieu. Rabiot signe son premier contrat professionnel en juillet 2012. Il prend ainsi part à la tournée du club francilien pré 2012/2013. Un défi qui ne lui fait pas peur. Solide dans sa tête, le jeune n° 8 vit avec un père malade. Victime d’un AVC massif en 2007, Michel est coincé dans un fauteuil. Il est atteint d’une paralysie totale et ne peut communiquer qu’avec ses yeux. Après avoir survolé ses matchs en CFA lors de la saison 2011/2012, il joue une mi-temps en match amical face à Barcelone. « Il mérite de jouer. C’est un joueur jeune. Il est très habile et a une personnalité. Lui aussi a su montrer ses qualités », a indiqué l’entraîneur du PSG après la rencontre. Même son de cloche pour Léo à l’époque. « Il n’a que 17 ans et il est déjà formé. Sur le terrain comme en dehors, Adrien montre une très grande personnalité », rajoute l’ancien directeur sportif du club. Pourtant, l’histoire se gâte quelque peu. N’ayant trop peu de temps de jeu d’après ses dires et ceux de maman, le milieu de terrain est prêté à Toulouse où il s’éclatera sur le terrain. Jouant toujours la tête haute, Adrien a un énorme coffre et une qualité technique au-dessus de la moyenne lui permettant de réguler l’entrejeu. Toujours intelligent dans ses choix, le jeune Titi parisien est à l’aise en n° 8, une sorte de milieu offensif reculé. Cette année, Laurent Blanc semble compter sur lui. À moins qu’un nouveau prêt (vers l’ASSE ?) lui permette d’avoir un temps de jeu plus conséquent et de progresser tranquillement. Finaliste de l’Euro U19, il sera épié par le public et les observateurs.

L’œil de l’expert des Titis : Adrien voit le jeu rapidement, joueur élégant jouant très simplement. Il donne de la vitesse à l’équipe. Véritable relais entre la défense et l’attaque. Adrien est timide dans la vie, l’histoire de son papa a renforcé son caractère sur et en dehors du terrain.

La valeur sûre : Antoine Conte

Le 1er février 2013 sera une date qui restera dans les annales pour le jeune défenseur central parisien. Déjà dans le groupe professionnel pour les entrainements, Antoine Conte a disputé son premier match en Ligue 1 face à Toulouse (0-4). Rentré à la place de l’exemple à suivre – Mamadou Sakho –, l’international français U19 avait des étoiles dans les yeux. « Mon cœur avait déjà fait boum lors de mon premier entrainement avec les pros. J’étais grave content (sic) quand le coach m’a permis d’être sur le banc. Mais à Toulouse, je n’ai pas compris tout de suite ce qu’il m’arrivait », s’exprimait-il au Parisien. Pur parisien, il est arrivé au club en 13 ans DH. Il a par la suite franchi tranquillement les obstacles. En 2009, il faisait preuve déjà de bienveillance quant à ses progrès et son intégration en CFA sur LTDPSG. « Honnêtement, j’avoue me poser quelques questions… J’espère qu’il y règnera une bonne ambiance et que l’intégration se fera en douceur. Il paraît qu’il y a beaucoup plus de liberté qu’à Verneuil. Ce n’est pas forcément bien, car on peut très vite être amené à faire quelques conneries », expliquait-il. Champion de France des moins de 17 ans en 2011, il a très vite intégré les équipes de France de jeunes. Un mec solide dans le jeu et très fier de porter le maillot tricolore. « Être retenu avec les Bleus, cela veut dire que tu es le meilleur à ton poste. La première fois, ça m’a fait bizarre d’entendre la Marseillaise. J’en étais ému jusqu’au coup d’envoi », répondait Antoine au Parisien. Avide de travail, il continue à faire des efforts pour atteindre le haut niveau. Son modèle ? Mamadou Sakho. « Je me fais tout petit en écoutant les conseils des coachs et ceux que me prodigue Mamadou Sakho, qui est comme un grand frère. Je ne risque pas d’avoir la grosse tête. Si cela devait arriver, j’ai un bon entourage qui me recadrerait aussitôt », poursuit-il. Cette année, Antoine aura de la concurrence en défense centrale. À moins qu’un prêt lui permette d’avoir du temps de jeu et continuer à progresser (comme à Reims). Il devra confirmer au plus haut niveau après avoir tenu la baraque lors de l’Euro U19 cet été.

L’œil de l’expert des Titis : Véritable roc de la défense parisienne. Il peut jouer latéral droit ou en défenseur centrale. Il possède un très bon sens du placement ce qui lui évite pas mal de duels. Il est réellement impérial dans le 1 contre 1. Il va obligatoirement progresser au côté des Sakho, Thiago Silva … s’il ne part pas en prêt.

La pépite : Hervin Ongenda

« Franchement, rien à dire ». Ce sont les mots d’Hervin à l’antenne de BeInSport. Heureux comme un gosse (né en 1995), il est buteur lors du trophée des champions remporté par le PSG face à Bordeaux au Gabon (2-1). À 18 ans, il confirme les bonnes prestations entrevues lors des matchs de préparation. Décrit comme la future star depuis l’âge de 13 ans, le sosie non officiel de Gary Coleman a déjà fait sa réputation dès sa préformation. Selon la légende (et Wikipédia), en 2007, il marque près de 18 des 25 buts du PSG lors d’un tournoi benjamins en Espagne ! Sur les forums spécialisés, on parle de lui comme un buteur athlétique ayant une grosse explosivité et une intelligence de jeu bien au-dessus de la moyenne. Suivi par de nombreux clubs étrangers dont l’Angleterre, Hervin a finalement choisir de rester au PSG pour progresser et se faire une place dans cet effectif platonique. En juin 2013, la jeune pépite du club de la capitale est liée avec les Rouge et Bleu pour une durée de trois ans, soit jusqu’au 30 juin 2016. « C’est motivant ! Je suis très heureux ce soir. J’entre en jeu, Zlatan me fait une passe magnifique et je parviens à égaliser. Le scénario est exceptionnel pour moi ce soir », s’exprimait-il au site internet du PSG après la victoire lors du trophée des champions. Laurent Blanc lui fait confiance et n’a pas hésité à saluer la performance du jeune joueur. « Il est le buteur qui déclenche cette réaction parisienne. C’est un très très bon joueur. Techniquement, il est vraiment au-dessus de la moyenne. Il sent bien le jeu, se déplace très bien et devant le but, il est adroit : ça fait beaucoup de qualités », explique l’ex-sélectionneur à France 24. Avec le départ de Kevin Gameiro pour Séville, le petit (1m70) attaquant a une carte à jouer pour faire partie de la rotation durant cette saison. Néanmoins, attention à ne pas griller le jeune joueur de la capitale. Il a déjà bien géré la pré saison. À lui de confirmer.

L’œil de l’expert des Titis : Le phénomène, lui qui a joué très peu de matchs en CFA la saison dernière, saute dans le grand bain. Élu titis d’or 2012, il est à la fois buteur et créateur à la fois. C’est un génie technique. Très timide dans la vie, accordant que très peu d’interviews jusque là… la seule fut accordée aux Titis du PSG à l’époque. À coup sûr il aura du temps de jeu, même chose que pour Conte. Il va énormément progresser aux côtés de Ibra, Cavani Lavezzi…


http://www.sharkfoot.fr/2013/08/le-psg-roulez-jeunesse/
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Wormy
posté 26/09/2013 22:29
Message #205


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http://www.psg.fr/fr/PSGTV/800102/Video/8067/This-is-Paris
Lorenzo Callegari présente le centre de formation à 13:45

Ou ici en version courte : http://www.psg.fr/fr/PSGTV/800102/Video/80...re-de-Formation
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xo157
posté 27/09/2013 09:31
Message #206


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Merci pour le lien, sympa smile.gif.
Sinon c'est qui le noir balaise a 15:41 ?
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Philo
posté 27/09/2013 10:08
Message #207


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Samuel Essende, avant centre des U17 (oui oui, il est né en 98)


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A été retweeté par Gianluca Di Marzio, PRINCE des transferts, PAPE des rumeurs, OMNISCIENT du mercato, le dimanche 2 août 2015 à 00h35.

"Derrière chaque surfeur se cache un requin".

"ptit binoclard webmaster pour Footix qui occupe son célibat comme il peut ! cousin de dubdadda !"
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Noreaga
posté 12/10/2013 07:22
Message #208


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A 17 ans, le milieu offensif Coman se confie sur son avenir au Paris SG


Kingsley Coman se définit comme un « amoureux de la passe décisive ». - photo stéphane lefèvre

À l’heure où les Qataris investissent des millions d’euros dans des « stars », quelle est la place pour les talentueux jeunes du centre de formation du PSG ? Tentative de réponse avec le jeune Kingsley Coman.

En début de saison, vous avez remporté à 17 ans le Trophée des Champions aux côtés de Thiago Silva, Ibrahimovic et les autres. Qu'avez-vous ressenti au moment de soulever le trophée ? Beaucoup, beaucoup, beaucoup de joie. C'était l'une des premières fois que j'étais dans un si grand stade et ce fut une expérience agréable. Ce n'était pas encore un rêve comme une victoire en championnat ou en Ligue des Champions mais ce titre est important pour moi.

Vous attendiez-vous à jouer si tôt avec les pros ? Je pensais qu'à 17 ans je serais encore chez les jeunes mais les choses se sont passées plus vite que prévue.

C'est-à-dire ? J'ai fait de bons matches chez les jeunes et sur des compétitions où l'entraîneur de l'équipe pro était présent. Puis, j'ai profité de blessures pour être appelé..

Avec les importantes sommes dépensées sur le mercato par les Qataris depuis deux ans, les jeunes du cru ne semblent pas prioritaires au PSG… La place n'est pas fermée. Elle est plus petite qu'avant, on a moins de chances d'y arriver qu'auparavant, mais elle existe. C'est à nous de faire de bonnes prestations dès qu'on a du temps de jeu. On nous donne nos chances : on est plusieurs joueurs de 17, 18 ans issus du centre de formation à avoir réussi à faire des matches cette saison.

Vous comprenez cette politique sportive et ce recrutement à coups de millions ? Les Qataris voulaient des résultats immédiats et pour cela ils avaient besoin d'enroler des joueurs confirmés. Mais, maintenant que les bonnes performances s'enchaînent, je pense que, dans les années à venir, ça pourra changer pour les jeunes. On leur fera plus confiance.

« Avec le départ de Sakho, Paris a perdu une icône »

Mamadou Sakho, le représentant de la formation parisienne, a quitté le club pour avoir du temps de jeu. C'est un signal fort pour vous ?
Ça fait bizarre, c'était une référence, l'idole des jeunes. Grâce à lui, on se disait qu'on pouvait y arriver, que c'était possible. Avec son départ, Paris a perdu une icône.

Malgré tout, Adrien Rabiot, qui n'a qu'un an de plus que vous, semble s'imposer comme un élément à part entière du groupe. C'est un exemple pour vous ? Oui, même si ce n'est pas le même poste, pas le même style, c'est l'exemple à suivre. Je le répète : la porte est plus petite, c'est plus dur de réussir à Paris mais c'est faisable.

A 16 ans et 8 mois, vous êtes devenu le plus jeune joueur de l'histoire du club à faire vos débuts en championnat. Les commentaires sont flatteurs à votre égard. N'avez-vous pas peur qu'on vous perde de vue comme Ogbeche, le précédent détenteur du record ? Je me suis donné une ligne à tenir. Qu'on parle de moi en bien ou en mal, j'en tiens compte mais sans plus. Je sais ce que j'ai à faire, je dois travailler dur et ne jamais relâcher mon effort que ça soit dans la difficulté ou dans les moments d'euphories.

Comment faire, selon vous, pour ne pas terminer dans les oubliettes comme tous ces talentueux espoirs parisiens qui ont un jour brillé avec les pros avant de disparaître de la circulation ?
On a conscience que ces choses-là peuvent arriver. Ne pas les imiter est une forme de motivation. Et pour y parvenir, on sait qu'il faut travailler très dur.


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Noreaga
posté 30/10/2013 09:29
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Football. Tournoi du Val-de-Marne (U16)/France - Serbie 4-0

La relève du PSG, c’est peut-être lui


Stade Gabriel-Péri (Vitry-sur-Seine), hier.L’attaquant du PSG Jonathan Ikoné a inscrit le premier but des Tricolores.

Devant 1500 spectateurs, l’équipe de France des moins de 16 ans a signé une entrée tonitruante dans le Tournoi du Val-de-Marne, hier à Vitry-sur-Seine. Les Bleuets de la génération 1998, emmenés notamment par l’attaquant du PSG Jonathan Ikoné, auteur de l’ouverture du score d’une belle frappe croisée du pied droit, ont dominé la Serbie sur le score de 4-0 (buts d’Ikoné, Nordin, Diani et Cognat). Les voilà bien partis pour conserver leur trophée.

Trois réalisations en autant de sélections

« Ça fait plaisir de débuter le tournoi de cette manière », lâche timidement Jonathan Ikoné (15 ans depuis le mois de mai), grand fan de Franck Ribéry. Son style de jeu fait de rapidité et de percussion balle au pied se rapproche d’ailleurs étrangement de celui de l’attaquant du Bayern Munich. « Au PSG, je joue sur les côtés, alors qu’en équipe de France j’évolue plutôt en pointe », confie ce gamin d’origine congolaise, repéré puis recruté en benjamins à Bondy par Pierre Reynaud, membre de la cellule recrutement du PSG.

« Le jour où on est venu me chercher, j’étais heureux. Mais ce qui m’a fait encore plus plaisir, c’est que ma famille, mes parents, mes deux frères et ma sœur, étaient très fiers de moi. » Au PSG depuis 2010, Jonathan honorait hier sa troisième cape avec cette nouvelle génération de Bleuets. Sur les 11 buts inscrits en trois matchs par l’équipe de France, l’attaquant du PSG en compte 3 à son actif. « J’ai envie d’être à la hauteur à chaque fois que je porte le maillot de l’équipe de France. La Marseillaise me fait vibrer, je suis fier de la chanter. Je l’ai apprise plus jeune à l’école, mais j’étais loin de penser que je la chanterais un jour avec les Bleus. »

Outre ses qualités de joueur, c’est aussi cet aspect de la personnalité de Jonathan qu’apprécie l’entraîneur national, Jean-Claude Giuntini : « C’est franchement agréable de diriger des garçons respectueux du contexte et du maillot de l’équipe de France. C’est un plaisir de constater un tel état d’esprit. » L’attaquant le plus efficace des Bleuets ne l’est pas moins sur les bancs de l’école, où il est un brillant élève de 3e. « Les études se passent bien, mais mon rêve est de devenir footballeur professionnel. Je n’ai pas d’autre idée en tête. Je travaille pour ça tous les jours. »

Hier. Pays-Bas - Belgique : 2-1; FRANCE - Serbie : 4-0.
Demain. 14 heures : FRANCE - Pays-Bas (stade Jack-Baudequin à Thiais);
16 heures : Belgique - Serbie (complexe Philippe-de-Dieuleveut au Plessis-Trévise).


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Vasco
posté 18/11/2013 21:24
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à la découverte de Jordan Ikoko, le prometteur latéral droit des Espoirs

U16, U17, U18, U19, U20 et maintenant les Espoirs. Entre l’équipe de France et Jordan Ikoko (19 ans), c’est une véritable histoire d’amour qui dure depuis très longtemps. « La sélection, c’est toujours un bonus, un plus. J’ai toujours été appelé dans les différentes catégories. Ça me fait plaisir. J’ai fait deux championnats d’Europe, une Coupe du monde, c’est cool. Je suis content », a-t-il confié au micro de Foot Mercato. Une progression linéaire qui ravit son agent Jonathan Maarek et toute l’équipe de Classico Sports Management. « Nous sommes heureux et fiers de ce qui arrive à Jordan. C’est le fruit de son bon travail ces dernières semaines », nous a-t-il confié. Sa sélection dans le groupe de Willy Sagnol, le pur produit du centre de formation du Paris SG la doit à son travail donc et son bon début de saison du côté de l’US Créteil-Lusitanos, où il est prêté jusqu’en juin 2014.

« Je me suis très bien adapté au club, on m’a très bien accueilli. Je connaissais déjà le coach donc ça a été plus rapide et mes premiers matches se sont bien passés. Il y a une différence entre le CFA et la L2. Même si elle n’est pas énorme, on la sent quand même. Plus de gens qui ont de l’expérience. On apprend plus vite », a-t-il indiqué. Chez les Béliers, le latéral droit (10 apparitions en L2 au compteur, fait déjà l’unanimité, comme le confirme l’expérimenté défenseur Vincent Di Bartoloméo (32 ans). « Jordan s’est très très bien intégré au groupe. C’est un jeune qui écoute beaucoup, c’est bien pour l’équipe. Ses prestations sont bonnes. Il va encore progresser, parce qu’il a beaucoup de qualités. J’espère que ce prêt va lui servir pour la suite avec le PSG », a-t-il expliqué.

Même son de cloche pour son concurrent direct, Boris Mahon de Monaghan (28 ans). « Il s’est bien adapté, on a su l’accueillir comme il faut. On ne se connaît pas encore énormément, mais on apprend tout doucement. Il est en équipe de France et au PSG, ce n’est pas pour rien. Il a des qualités. Je pense qu’il manque encore un peu d’expérience, mais on voit qu’il a une grande marge de progression, c’est important pour le club et pour lui à l’avenir », a-t-il avoué. Le coach de l’USCL Jean-Luc Vasseur, qui l’avait déjà eu sous ses ordres au PSG, en U17, pense lui aussi que le jeune défenseur a un bel avenir devant lui s’il se remet sans cesse en question et s’il gomme ses petits défauts de concentration.

« Il apprend, il tâte avec des fortunes diverses, mais, en règle générale, c’est assez satisfaisant. (...) S’il se met à comprendre et à bien mettre en place son apprentissage, il ira loin, c’est certain, il a des qualités indéniables », a glissé l’entraîneur cristolien, repris par son adjoint Francis de Percin. « C’est un garçon qui est à l’écoute. Les débuts de Jordan sont prometteurs. Il s’est intégré très vite au sein du collectif. Les bons joueurs s’adaptent toujours facilement au reste du groupe. Il a montré de belles choses », a-t-il commenté. L’intéressé, lui, souhaite profiter pleinement de son expérience dans le Val-de-Marne pour engranger toujours plus d’expérience. « À titre personnel, je veux engranger un maximum de temps de jeu. Après on verra ce qui se passera par la suite. À titre collectif, on vise le maintien et pourquoi pas plus haut. On verra », a-t-il déclaré, pleinement concerné par l’aventure des pensionnaires du Stade Dominique Duvauchelle en Ligue 2.

Ensuite, il sera temps de penser à son retour au PSG, son club de cœur, où il souhaite évidemment réussir à s’imposer à l’avenir, à l’instar de son ami Adrien Rabiot (18 ans). « Pourquoi pas m’imposer au PSG ? Mais pour cela, d’abord, il faut que je joue et m’impose ici à Créteil. C’est difficile au PSG. On le voit, avec tous les grands joueurs. Maintenant, il faut que je fasse une saison pleine avec Créteil. Pour le reste, on verra par la suite », a-t-il analysé. Les Rouge-et-Bleu, eux, suivent sa progression. « Le coach a souvent Olivier Letang (directeur sportif adjoint) au téléphone, donc je sais que le PSG me suit », a-t-il conclu. S’il continue sur sa lancée, Jordan Ikoko pourrait bien continuer à en surprendre plus d’un.


Foot Mercato

(désolé si déjà posté)


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« Le PSG, c’est autre chose (que le showbiz). C’est le club de l’entrain. Un vrai club populaire à mes yeux. Le club unique d’une ville immense. [...] L’histoire du PSG a toujours suivi un scénario époustouflant, plein de rebondissements. On peut l’aimer ou pas ; la réalité, c’est que ce club respire la vie. »
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Alex177
posté 10/01/2014 13:04
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Liewig : « Les joueurs décidaient en AG s'ils s'entraînaient ou pas »
Ancien entraîneur de jeunes au Paris Saint-Germain, le coach Patrick Liewig a beaucoup voyagé (des Emirats à la Tanzanie) et vécu des moments d'histoire de l'intérieur comme la guerre en Côte d'Ivoire ou le printemps arabe en Tunisie. S'il a insisté pour ne parler « que » du sportif, son parcours permet de mieux cerner le quotidien des fameux « sorciers blancs ».

Vous avez été formateur au PSG dans les années 90. Une période où on a l'impression que la formation parisienne avait du mal à émerger... Un constat que vous partagez ?
De 89 à 1999, l'année où je suis parti, de nombreux joueurs comme Jérôme Leroy, Sylvain Distin, Nicolas Anelka et d’autres encore sont sortis du centre de formation du PSG. On a gagné la Gambardella et dans un autre club, certains auraient pu commencer une carrière pro. Le problème, c'est qu'à Paris, il n'y avait pas une politique adéquate pour l'intégration des jeunes. On voulait des vedettes qui attirent du public au Parc des Princes... Et un jeune n'attire pas grand monde. C'est ce qu'il s'est passé sous la présidence de Michel Denisot suite à la reprise du PSG par Canal + par exemple. Des joueurs de grand talent tels que Le Guen, Ginola, Guérin, Weah ou bien Lama ont rejoint Paris. Et en plus pour eux, c'était tout le temps une mentalité de compétition. Ils voulaient jouer non-stop ! Aucune notion de turnover et force est de constater que cet esprit a fait le succès de cette période... Mais quoi que l’on puisse penser, la formation existait au PSG. On a bien travaillé, il y avait des hommes de terrain novateurs en termes de formation, tels que Gérard Houiller, Erick Mombaerts, Paul Jurilli ou Gérard Banide; aux philosophies de jeu bien précises. Et à leur contact, j'ai pu acquérir beaucoup d'expérience au niveau de la formation et de l’entraînement.

Le départ de Sakho, c'est un nouveau désaveu pour la politique de formation du PSG ?
C'est difficile pour un joueur international d'être sur le banc, surtout au cours de l’année qui précède une Coupe du Monde et notamment au Brésil. Dommage qu'un vrai Parisien ne puisse pas continuer sa carrière au club, mais quand on est un jeune joueur, il n'y a pas de secret : il faut jouer. Il fallait qu'il parte pour garder son potentiel. Aujourd'hui, un jeune qui sort du centre doit tenter de concurrencer le gros recrutement effectué par les dirigeants et doit réussir à s'adapter à cette nouvelle pression autour de l'équipe. C’est paradoxal car le PSG, pour devenir un grand club européen, se doit d’avoir une politique de recrutement agressive et attractive comme aujourd’hui même si cela implique de perdre un petit peu de son âme. Au niveau des espoirs d'aujourd'hui, Rabiot a le talent et le potentiel pour réussir. Mais seulement si l’on continue à lui faire confiance et qu’il gagne en temps de jeu...

Après le centre de formation du PSG, vous avez quitté la capitale pour les Emirats. Pourquoi et comment ?
Pendant des années, les jeunes du Paris Saint-Germain étaient invités à un tournoi international à Abu Dhabi, tournoi qui regroupait les équipes des meilleurs clubs européens et africains. Et lorsque l'on réussit de bonnes performances là-bas, on est forcément sollicité par les dirigeants locaux, les cheikhs et les présidents de clubs, pour y former leurs jeunes. Quand j'étais sous contrat, je n'ai jamais cédé à la « tentation » malgré les sommes proposées. Après que nous ayons perdu la finale de la Gambardella aux tirs aux buts face à Saint-Etienne - un souvenir qui me reste en travers de ma gorge - j’ai poursuivi au club avant de saisir, en juin 1999, l’opportunité qui m’était offerte de rejoindre l’équipe d’Al Wahda (Abu Dhabi, ndlr). Je l'ai saisie parce que je connaissais la culture du pays et ses us et coutumes, les infrastructures de qualité mises à ma disposition et le groupe de jeunes talents qui évoluaient puisque j’avais pu les observer au travers de nos confrontations. Le challenge sportif était motivant puisque je devais de former les meilleurs afin qu’ils intègrent l’équipe pro dans les deux ans.

« Act Local but Think Global »

Ça reste un bon souvenir ?
Absolument ! J'y suis resté quatre ans. J’y ai laissé des amis émiratis. Je suis quelqu'un qui a toujours eu besoin de contacts avec les différentes directions que j'ai connues. Les présidents Borelli et Denisot au PSG et les Princes aux Emirats. Et par la suite le président Roger Ouegnin à l’ASEC Mimosas. Au fil du temps, ma famille et moi avons intégré le milieu familial et culturel de mes responsables et amis Emiratis. Ce qui est loin d'être le cas pour tous les expatriés... Ils ont une culture ancestrale qui leur est propre et qu’ils conservent au fil des années. J'ai toujours pensé par rapport à ma profession, à ma culture d'entraîneur européen, mais aussi vis-à-vis de la culture du pays où je vivais et de garder le «Act Local but Think Global» comme ligne de conduite.

Spoiler :
Vous y étiez lors du 11 septembre, vous n'avez pas perçu un changement de comportement ?
Non, pas vraiment de gros changement. Bien que les Emirats étaient une force d'appoint dans le soutien logistique lors de l'invasion de l'Afghanistan. En tant que Français, je n'ai pas eu le moindre souci ou perçu la moindre agressivité à mon encontre. Sans doute du fait que je bossais qu'avec des Emiratis et non avec des expatriés mais plus encore par les bonnes relations qu’entretiennent les Emirats avec la France depuis la création des Emirats Arabes Unis par son président Cheikh Zayed.

Cette stratégie "culture locale + expérience occidentale", vous l'avez également utilisé avec succès en Côte d'Ivoire, si l'on en croit votre palmarès (triple vainqueur du championnat de Côte d’Ivoire et de la Coupe Nationale, demi-finaliste de la Ligue des Champions africaine, ndlr) ?
En Côte d'Ivoire, on a réalisé un grand parcours, une grande aventure professionnelle. J'ai quitté la sélection des Emirats espoirs, la Coupe du Monde des moins de 20 ans ayant été reportée, et on m'a proposé le poste d'entraîneur de l'équipe professionnelle de l'Asec Mimosas. Mon vécu en tant qu’entraîneur-formateur et toute l’expérience acquise au contact de grands entraîneurs (et plus particulièrement Gérard Banide qui m’a imprégné sa philosophie de jeu, de travail et son sens de l’humain) m’ont permis de faire face à mes responsabilités d’entraîneur principal. A l’Asec Mimosas, j’ai bénéficié de l’infrastructure d’un centre d’entraînement digne des grands clubs européens. Je n'ai pas pu atteindre le but ultime qui est de remporter cette LDC africaine (élimination en demi contre le club égyptien d’Al Ahly en 2006, ndlr), mais ça reste quelque chose de très fort...

Souvent, les entraîneurs expatriés ne font pas forcément reconnus à leur juste valeur...
Un entraîneur professionnel qui est à la tête d'un club africain a les mêmes challenges qu'un entraîneur européen. Il doit gagner le championnat local, participer à la Ligue des Champions de ce continent avec les désagréments que ça peut apporter comme de longs déplacements au travers de l’Afrique et des reports de matchs de championnat. La pression est la même, les supporters sont aussi, voire plus, exigeants que leurs homologues européens. C'est la stabilité qui fait le succès du club, en Afrique comme en Europe. Heureusement, il y a des présidents forts qui soutiennent leurs coachs... Parfois, les entraîneurs expatriés peuvent être sous-estimés. Alors que c’est le challenge sportif qui domine, pas le financier. Du moins la plupart du temps. Certains réfléchissent à partir, ils ont peur du nouveau. Personnellement, je suis né à Madagascar et ai vécu au Sénégal à l’âge de 7 ans. C'est quelque chose qui est en moi. Mais quand on part, il faut prendre ses responsabilités. Et sur le plan affectif, ça peut-être très difficile...

A propos de moments difficiles, vous avez dû en connaître en Côte d'Ivoire, non ?
Lorsque l’armée française a détruit l'aviation ivoirienne en novembre 2004, il y a eu des répercussions sur les expatriés avec des manifestations anti-françaises. A ce moment, le championnat se terminait tout juste et je suis parti le mercredi, juste au moment où ça s’est aggravé. La situation stabilisée, je suis revenu pour préparer la saison 2005 sachant que les matchs se déroulaient pour la plupart à Abidjan où à la limite de la zone nord.
« Dans ce genre de situations, on sait que cela peut péter à tout instant »

Il y a eu des séquelles par la suite ?
Naturellement, il y avait des tensions. Je n’étais pas coupé de ce qu'il se passait vraiment dans le pays. Le football permettait d’échapper aux problèmes politiques et tensions du quotidien avec le souci majeur du président Roger Ouegnin de ne pas nous mettre en danger. Du fait de mon statut d’entraîneur principal et de l’investissement de tous les jours au service du club, ma vie était facilitée comparativement aux autres expatriés. Nous organisions des matchs amicaux et détections dans les différents quartiers, nous rencontrions des éducateurs de centre de formation de quartiers pour poursuivre notre mission d’éducateur ou partager la vie de nos joueurs dans leur famille. Donc il y avait une sorte de « protection naturelle », toujours sous la vigilance du président. Mais dans ce genre de situations, on sait que cela peut péter à n'importe quel instant. Il faut faire attention, prendre des précautions dans ta vie de tous les jours.

Et après, vous avez enchaîné avec la Tunisie... Et le printemps arabe !
J'avais déjà été contacté par l’Espérance de Tunis lorsque j’étais sous contrat avec l'ASEC Mimosas. Mais une fois arrivé, ce projet sportif a été stoppé net suite à la révolution du 14 janvier 2011 et le printemps arabe... Il n'y avait plus de matchs, plus de sponsors, ni de recettes. C'était donc compliqué pour la direction de subvenir aux besoins du club et de payer les salaires. J'ai tenté de faire le tampon entre la direction et les joueurs, afin de sauver l’essentiel au niveau humain, de maintenir une certaine ligne sportive malgré les événements. Je poussais les joueurs à venir au stade et ils décidaient le jour même en AG s'ils s'entraînaient ou pas. Après deux mois, le championnat a pu reprendre. On a réussi à se maintenir, à se hisser en demi-finale de la Coupe Nationale malgré les grandes difficultés rencontrées.

« L'hôtel bloquait notre mini-bus »

Présent en Tunisie à ce moment, comment avez-vous vécu le printemps arabe ?
Je l'ai vécu auprès de mes joueurs et de mes amis tunisiens et avec expérience. J'ai quand même vécu six années en Côte d'Ivoire où nous avions des barrages à gérer chaque jour. Ou quand nous devions rester au centre d'entraînement et ne pas revenir dans nos maisons parce que c'était déconseillé... Cette révolution spontanée a fini comme elle a commencé. Il n'y a jamais eu réellement de danger pour moi ou pour les autres étrangers vivants en Tunisie.

Après un rapide passage en Algérie, vous avez été en Tanzanie ?
J'ai eu une proposition pour le Mouloudia, dans un contexte algérien où l'on est rapidement sur un siège éjectable, mais que j'apprécie. Beaucoup de pression, cette adrénaline, se remettre en question tout le temps... Peut-être que c'est ma destiné (rires). Malheureusement, le président en place, aujourd’hui radié à vie du football algérien, n’a jamais été en mesure d’honorer ses engagements. On avait fait une très bonne préparation, le président a vu que nous étions très pro', mais comme nous ne marchions pas dans ses «combines», des tensions sont vite apparues entre lui et mon équipe. Des gens au club m'ont dit de laisser tomber, de partir. Le président Borelli par exemple, c'était un homme de parole. Michel Denisot aussi, des hommes qui avait une éthique... En décembre, le Simba FC, un club tanzanien qui jouait la Ligue des Champions, a remercié son entraîneur et m'a contacté. Le club venait de transférer le meilleur attaquant de l'équipe à l'Etoile du Sahel. Et ils comptaient sur cet argent pour gérer le club. Or l'Etoile du Sahel n'a jamais pu honorer ce transfert. Le Simba FC a donc commencé lui aussi à avoir des dettes, l'hôtel dans lequel j’étais a commencé par bloquer un minibus du club et ma voiture de fonction pour mettre la pression... On a tout de même terminé troisième du championnat.

« Dans l'Hexagone ont une mauvaise image des entraîneurs avec un vécu africain »


Maintenant, vous en êtes où ?

J'ai arrêté en Tanzanie en juin avec beaucoup de dossiers administratifs et juridiques en suspens à régler. J'ai pu récupérer un peu depuis. Je suis entraîneur pro' depuis 2000, c'était important de faire un break, mais j'ai encore une grande envie de coacher. Je n'ai pas le DEPS, mais j'espère avoir une validation d'acquis par expérience pour obtenir la licence pro UEFA nécessaire pour certains postes aujourd’hui.
Vous avez envie de continuer votre carrière à l'étranger ou vous songez à rentrer en France ?
Les gens dans l'Hexagone ont une mauvaise image des entraîneurs avec un vécu africain. On peut même parler d'a priori... C'est bien qu'Hervé Renard soit à Sochaux, son expérience africaine lui a été profitable et il faut qu'on lui donne sa chance. Me concernant, j'ai 63 ans et aujourd'hui ça devient difficile d'entraîner. C'est un rapport de réseaux, d'agents...

Pas trop dur de concilier vie de famille et carrière d'entraîneur à l'étranger ?
Quand tu deviens entraîneur, il faut qu'il y ait une compréhension, une complémentarité avec ta famille. Par exemple quand j'étais avec les moins de 17 ans du PSG, ma femme venait régulièrement, même à l’extérieur. C'est une vie, enfin, un choix de vie. Les Emirats, j'y suis allé parce que je connaissais, mais aussi parce que je savais qu'une de mes filles, qui rentrait en sixième à cette époque, allait pouvoir suivre ses études normalement. Pour mon fils qui rentrait en terminale, c'était plus difficile, il était obligé de quitter ses copains. Mais il a, comme le reste de la famille, vécu une expérience unique, et possède maintenant une ouverture d'esprit exceptionnelle dans la société actuelle. Ils n'ont pas pu me suivre dans les autres pays, mais ils me rendaient souvent visite.

On suppose que vous avez dû les élever dans le football...
Si ma première fille est moins dedans, les deux derniers sont à fond pour le PSG. Mais plus que dans le football, ils ont davantage bénéficié du côté sportif/compétitif. Ma femme a eu un cancer il y a trois ans et avec tout ce que l'on avait vécu, la famille était soudée comme une véritable équipe... Le "meilleur" challenge…


Propos recueillis par Antoine Aubry pour SoFoot.fr
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NeiBaF
posté 20/01/2014 18:46
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Paris, meilleur club de jeunes !

Le Paris Saint-Germain se classe en tête du classement du Challenge FFF de meilleur club professionnel chez les jeunes pour la saison 2012-2013.



Déjà récompensé en 2011, le Paris Saint-Germain monte sur la première marche et devance l'Olympique Lyonnais et le FC Nantes dans un classement prenant en compte les résultats des U17 et U19 en championnat, le parcours des U19 en Coupe Gambardella, le nombre de joueurs sélectionnés en équipes nationales, le nombre de joueurs en sélection U15 de la Ligue de Paris, le classement du centre de formation, le nombre d’éducateurs et licenciés, de licenciées féminines et de jeunes arbitres.


Kingsley Coman en Youth League avec les U19

En fin de saison dernière les U17 et U19 du club de la capitale avaient atteint les phases finales nationales, comme chaque saison depuis quatre ans. Et depuis le début de la saison, plusieurs jeunes issus du centre de formation évoluent régulièrement auprès des pros à l'entraînement comme en match. On pense notamment aux internationaux U19 : Mike Maignan, Kingsley Coman et Hervin Ongenda.


Les jeunes parisiens à l'entraînement

« C'est évidemment une grande satisfaction, a confié Bertrand Reuzeau, Directeur du Centre de formation. C'est le deuxième classement sorti cette année après le classement des centres de formation par la CTN, également pris en compte avec d'autres critères (voir ci-dessus), pour ce challenge FFF des clubs pros. Il y a 43 clubs en compétitions et on termine devant des centres de formation comme Lyon, Nantes, Rennes et Saint-Etienne. C'est une récompense pour les entraîneurs. Après notre priorité c'est d'avoir des jeunes qui intègrent le groupe pro, et depuis 8 ans on a fait signer près de 60 contrats professionnels. C'est une belle performance. »

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fenomeno
posté 22/01/2014 11:10
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PSG: l'argent ne rachète pas la jeunesse

Alors que le PSG vient d’être élu meilleur club de jeunes pour l’année 2013 par la FFF, d’aucuns s’interrogent sur l’avenir de certaines pépites de la formation francilienne, Hervin Ongenda en tête. Pourtant, c’est la logique même d’un club qui tente de mener une politique de stars tout en formant des pépites : y a toujours de la casse.



On confond souvent potentiel et niveau réel. Ce qui fait que de simples proclamées pépites – par Football Manager ou le bouche à oreille – se retrouvent placées au même niveau que des joueurs confirmés. C’est le cas d’Hervin Ongenda. Depuis peu, son nom a disparu des feuilles de matchs du Paris Saint-Germain après un début de saison prometteur (deux titularisations, quelques buts et l’adoubement par Zlatan Ibrahimović). D’aucuns s’inquiètent pour l’avenir du jeune attaquant de 18 ans. Au-delà de la logique de groupe et de choix, puisqu'après tout, il est plus facile et moins dangereux pour l’équilibre du vestiaire de ne pas prendre Ongenda dans les 18 plutôt que Ménez, Lavezzi ou Lucas quand tout le monde est apte à jouer, l’absence du jeune Parisien est avant tout la conséquence d’une maladie répandue dans le football moderne : la « melonite ». Hasard ou pas, les intérêts du joueur ont récemment été confiés aux mêmes personnes qui, à un moment donné, n’avaient pas forcément bien aiguillé Mamadou Sakho.

Avec le retour de tout son potentiel offensif, Laurent Blanc a donc fait le choix de renvoyer le joueur gratter du temps de jeu avec la réserve. Surtout, le Président commençait à s’agacer de voir Ongenda arriver tous les matins en retard et/ou avec la tête dans le brouillard quand des mecs comme Ibrahimović ou Silva sont au taquet dès potron-minet. Pis, le fait de devoir s’entraîner et jouer avec les U19, ce qu’il est réellement ne l’oublions pas, aurait été pris comme une punition par le joueur. Rien que ça.

Oui, Hervin traîne les pieds quand ses collègues Coman et Maignan, pourtant proches du groupe professionnel eux aussi, se sont fixé comme objectif de gagner la Gambardella avec les U19 parisiens. Et avec le sourire. Le cas Ongenda montre à quel point il est difficile d’être jeune au PSG. Même quand on pue le talent. Kingsley Coman, présenté par les éducateurs du PSG comme l’un des cinq plus gros talents français chez les U19, ne sait toujours pas où il évoluera la saison prochaine, par exemple. Toujours stagiaire, le jeune milieu de terrain veut garder la main. Très protégé par sa famille, Coman aimerait voir ce que le club compte faire de lui avant de se lancer dans le grand bain. Dans les arcanes du club, on espère s'éviter une nouvelle affaire Moussa Dembélé. En 2012, cet espoir né en 1996 avait pris la route de Fulham car les dirigeants parisiens n’avaient jamais réussi à coucher sur le papier ce qu’ils avançaient en paroles.


Récompensé par la FFF

Ce bordel ne doit pas noircir le tableau des jeunes du PSG qui, depuis quelques années, commencent à briller. D’ailleurs, la Fédération française de football vient de récompenser le club francilien pour sa politique de formation. En effet, le PSG vient d’être élu meilleur club de jeunes. Ce classement prend en compte les résultats des U17 et U19 en championnat, la Gambardella, le nombre de joueurs sélectionnés en équipes nationales, etc. Une vraie fierté pour un club dont la formation se limitait alors à Edwin Murati, Fabrice Kelban, Nicolas Anelka et Didier Domi.

Depuis huit ans, le PSG a fait signer 60 contrats professionnels à ses mômes. L’arrivée des Qataris n’a pas changé la donne puisque Nasser Al-Khelaïfi a toujours voulu faire du club parisien une copie conforme du Barça. Dès lors, il faut « Masia-iser » le PSG et trouver le nouveau Messi sur les pelouses de l’Île-de-France. À défaut de choper le nouveau Lionel, les Parisiens sont déjà bien heureux d’avoir sorti de leur sein un ersatz de Xavi en la personne d’Adrien Rabiot. À 18 ans, le milieu de terrain chevelu s’est solidement imposé dans la rotation au milieu de terrain (25 matchs joués, 2 buts). Comme quoi, l’entourage du joueur a eu raison de gueuler. Aujourd’hui, maman Rabiot, qui gère les intérêts de son fils, n’a pas changé d’avis sur l’avenir de Bob l’éponge. Grosso modo, le clan Rabiot aimerait que le fiston émarge au même salaire que Lucas Digne. Surtout que le fiston peut se vanter de jouer deux fois plus que l’ancien Lillois. Ce qui est drôle, c’est qu’en menant une politique de stars, c’est finalement avec les jeunes que le PSG se retrouve le plus emmerdé à l’heure actuelle. Pourtant, difficile de taxer les coachs parisiens de fronde anti-jeunes. Que ce soit Rabiot, Lucas, Marquinhos, Digne, Verratti ou encore Ongenda, tous ont plus ou moins joué dans ce nouveau PSG. Finalement, ce n’est pas l’âge qui détermine un début de carrière. C’est le talent et la mentalité. Cela semble tellement évident que certains l’ont déjà oublié.

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roro10
posté 07/02/2014 15:08
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PSG : Laurent Blanc dresse le tapis rouge pour deux espoirs du centre de formation


07/02/2014 - 14 h 31 Foot français » Ligue 1

Le Paris Saint-Germain, bien que comptant de nombreuses stars dans son effectif, ne lâche pas ses pépites. Laurent Blanc l'a confirmé une fois de plus ce vendredi, en se montrant on ne peut plus élogieux à l'égard de Mike Maignan et Kingsley Coman.

Alors que le PSG peut s’appuyer sur ses stars que sont notamment Zlatan Ibrahimovic, Edinson Cavani, et Thiago Silva pour dérouler cette saison, le club de la capitale n’en oublie pas pour autant de respecter ses jeunes. Il faut dire que, notamment en ce qui concerne les listes à envoyer à l’UEFA pour la Ligue des Champions, les jeunes du cru ont une importance tout bonnement fondamentale, puisque l’instance européenne exige que chaque club engagé en C1 inscrive au moins quatre éléments formés au club. Rien d’étonnant à voir donc bien des pépites franciliennes figurer dans cette liste.

Les champions de France en titre ont donc parfaitement compris l’importance que peuvent avoir les jeunes, et ont décidé de les choyer comme il se doit. La preuve avec Adrien Rabiot (18 ans), dont le temps de jeu dans cet exercice est tout à fait respectable, auteur d’un but en 17 matches dans le championnat de France de Ligue 1. Et si, ces dernières semaines, Hervin Ongenda a fait grincer des dents au sein de la direction, son père réclamant son départ en prêt durant le mercato d’hiver, d’autres jeunes s’attirent eux les louanges de Laurent Blanc.

C’est notamment le cas de deux jeunes pousses franciliennes, sur lesquelles le Cévenol a exceptionnellement accepté de s’attarder en conférence de presse. En effet, en ce vendredi, l’ancien sélectionneur national a pris le temps d’évoquer les situations du gardien de but Mike Maignan (18 ans) et de l’attaquant Kingsley Coman (17 ans). Interrogé sur le comportement et la progression de ses deux poulains, le technicien passé par les Girondins de Bordeaux a tenu à saluer comme il se doit l’évolution des deux hommes :

« Ils représentent la jeunesse du PSG. Paris a des joueurs confirmés, des stars, mais aussi des jeunes. Ils sont là pour progresser, s’améliorer. Je suis content d’eux. Mike est un gardien d’avenir, avec des qualités physiques importantes. Kingsley (présent dans le groupe convoqué pour le déplacement à Nantes en Coupe de la Ligue mardi dernier), je l’ai découvert durant le stage de préparation. On l’a conservé car on pensait qu’il avait les qualités pour s’entraîner avec le groupe pro toute la saison. Il a participé à des matches en début de saison (deux rencontres, le Trophée des Champions, et le déplacement à Bordeaux en championnat, pour deux entrées et 26 minutes de temps de jeu). Il doit s’accrocher, c’est l’un des jeunes qui a le plus gros potentiel. À lui de le perfectionner, on est là pour ça, on compte beaucoup sur lui pour l’avenir ». Reste à passer de la parole aux actes.

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Wormy
posté 22/02/2014 15:06
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Interview Pierre Bourdin (PSG) : « Zlatan a la rage de vaincre »

Stagiaire pro au Paris Saint-Germain, Pierre Bourdin côtoie les stars parisiennes à l’entraînement. En attendant de débuter avec les professionnels. Morceaux choisis.


« Pour un jeune, le centre de formation du PSG n’est pas un choix comme les autres. Un ou deux joueurs de chaque génération, au maximum, deviennent pros. Le niveau attendu est élevé, le challenge excitant. On suit nos performances attentivement. Il y a une démarche de la part des dirigeants de vouloir compter sur les jeunes. En arrivant, les responsables qataris ont d’abord cherché à améliorer les résultats immédiats en recrutant de grosses pointures mondiales, c’est logique. Désormais, ils se consacrent aussi au centre de formation. Ils ont voyagé un peu partout en Europe pour observer les différentes méthodes de travail, notamment à la Masia du Barça. Ils essayent d’importer ces modèles en France.



Par exemple, les entraînements avec ballon ont été imposés dans toutes les catégories d’âge. On a également gagné en professionnalisme. A chaque entraînement, tous les gars sont équipés d’un GPS et d’un électrocardiogramme pour optimiser les performances de chacun. Le staff s’est agrandi. Il y a 5 kinés et 6 préparateurs physiques dont un qui s’occupe exclusivement des blessés. D’ici quatre ou cinq ans, tout cela va porter ses fruits. Déjà, le recrutement de jeunes tels Lucas, Verratti, Marquinhos ou Digne est un message envoyé à tous. Il y a du long terme dans ce projet. Le président Nasser tient souvent des discours lors des entraînements. En plus, il parle français, ça prouve son implication.



J’ai effectué plusieurs entraînements avec les Pros et j’ai même été convoqué pour le stage de préparation en Autriche, l’été dernier. Au début, c’est impressionnant de se retrouver au milieu de tels joueurs. Le PSG, ce n’est pas juste le haut niveau français, c’est le plus haut niveau européen avec des cadors à tous les postes. Et toi, tu es là pour apporter et mener à bien ta tâche. Comme un grand. Il n’y a pas d’échanges individuels comme chez les jeunes.



De l’extérieur, Zlatan Ibrahimovic peut paraître inabordable, mais c’est tout le contraire. C’est un gars qui déconne beaucoup au sein du vestiaire même s’il est très impliqué dans son travail. Il bosse énormément, il veut gagner même les petits jeux à l’entraînement. Il se montre très exigeant envers lui-même, c’est normal qu’il en attende autant en retour. Il crie, il râle, il a la rage de vaincre, car il veut tirer le groupe vers le haut. Ça m’a marqué. Par rapport à l’année dernière, il y a une meilleure ambiance dans le groupe. Tout le monde se mélange, ça vit bien ensemble, l’apprentissage de la langue y contribue aussi. De toute façon, il y a toujours moyen de communiquer : en français, en anglais, en espagnol ou avec la langue des signes.



J’ai obtenu mon bac scientifique, car mes parents ont insisté sur les études. Le football réserve parfois des surprises. Mon contrat touche à sa fin en juin prochain, je réfléchis à mon avenir. Dans un sens, ça fait peur de ne pas savoir de quoi demain sera fait. Je mets toutes les chances de mon côté. En général, je me lève à 8h30. Je prends un bon petit déjeuner, puis je file au centre d’entraînement. J’habite seulement à trois minutes, à Saint-Germain-en-Laye. Je démarre la journée avec une mise en route musculaire en salle avec les kinés. Après la séance en groupe, j’effectue des étirements, des soins et on débrieffe avec les copains. Très souvent, on mange ensemble. Je suis très proche de Rafik Gerard et Sorel Chemin. Ensuite, c’est sieste, balade en ville, cinéma ou playstation. Enfin, pour finir la soirée, il n’y a rien de mieux qu’un bon match de football. De toute façon, je suis branché foot toute la journée avec les notifications sur mon téléphone. »


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Ballack Odrama
posté 03/03/2014 17:54
Message #216


Bloodbuzz Hoarau
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Claudio Gomes, d'Evreux au Paris-St-Germain

Ma vie rêvée au PSG



Après deux saisons à l'EFC 27, le jeune Claudio Gomes (13 ans) découvre un nouveau monde: celui du Paris-St-Germain où il vient de rentrer en pré-formation...

Vingt-quatre heures après le succès du Paris-St-Germain à Leverkusen (4-0), Claudio Gomes était toujours sur son petit nuage. "Très bon match, les Parisiens ont eu la maitrise du jeu" résume le jeune homme, des étoiles plein les yeux et un tee-shirt du... PSG sur le dos!
Depuis sept mois en effet, il défend les couleurs du club de la capitale. "Plusieurs clubs étaient sur les rangs: Nice, Lyon, Bordeaux, St-Etienne, Bordeaux, Monaco, Valenciennes. Mais on a opté pour le PSG, c'était le seul qui proposait un projet à long terme qui court sur sept ans" commente la maman dont les deux autres fils, Noah (7 ans) et Ylan (11 ans), taquinent également du ballon rond...

Élu stagiaire du mois!

Dès 2012, Claudio aurait pu intégrer le centre de pré-formation du PSG.
"Mais j'ai préféré terminer ma 5e avec les copains du collège Jean Rostand, à St-Michel" rappelle Claudio Gomes, désormais inscrit à Verneuil-sur-Seine. Où il suit une scolarité "classique" avec un faible pour l'histoire et la Révolution Française! Le soir venu, le pré-ado (il est né le 23 juillet 2000) enfile short et chaussure, pour deux heures d'entrainement. "Le mercredi et le vendredi, on va au Camp des Loges". Comprenez sur le site historique du club où suent à grosses gouttes Ibrahimovic, Cavani, Matuidi, Cabaye et autre Thiago Silva.
"Mais je n'ai pas encore eu la chance de lezs croiser. Pourtant, je suis allé une fois au Parc des Princes pour la photo officielle de notre équipe, celle des U14" poursuit Claudio, récemment invité à suivre un match de ses idoles face à Sochaux.
Ce privilège résulte de son statut de meilleur stagiaire. "Chaque mois, le club récompense un joueur. En octobre, c'était moi". Repositionné en numéro 10 - à l'EFC 27, il évoluait plutôt milieu droit - notre apprenti-footballeur a déjà secoué dix fois les filets adverses et distillé nombre de passes décisives.
Mais le paradoxe, c'est que Claudio et ses amis ne participent pas au championnat d'Ile-de-France. "A une époque, le PSG survolait tellement la compétition que cela ne présentait plus d’intérêt. Par ailleurs, la jalousie aidant, les garçons prenaient pas mal de coups" suggère le père de famille, Amarildo, lui-même ancien footballeur de bon niveau...

Bilan positif

Depuis l'arrivée des Qataris, les joueurs doivent être exemplaires. Sur toute la ligne.
"Tenue, langage, comportement, la direction du club ne tolère aucun écart de conduite. Que ce soit sur ou en dehors du terrain" apprécie Mme Gomes, également rassurée par la synthèse du coach parisien.
En effet, lors du point d'étape effectué à mi-parcours, Saad Ichalalène a dressé un bilan plutôt flatteur de la "pépite" ébroïcienne: aisance technique, bonnes dispositions tactiques, sens du but.
"Par contre il attend davantage de lui sur le plan athlétique" concède le papa, un oeil (attendri) sur sa "crevette" d'1,51 m et 45 kg!

Cap sur le Qatar!

Féru d'histoire, Claudio Gomes n'en néglige pas moins la géographie. Et pour cause: depuis qu'il a déserté le monde amateur, l'Ébroïcien jongle avec les latitudes, de Tenerife à Milan, des Pays-Bas au Portugal.
"Cette saison, l'équipe devrait également se déplacer en Suède et en Allemagne pour prendre part à différents tournois" s'enthousiasme le chef d'orchestre du PSG qui, en décembre, a même bouclé ses valises à destination du Qatar. Le pays du président parisien, Nasser Al-Khelaïfi.
Pendant cinq jours, Claudio et ses amis ont vécu dans un autre monde, teinté de luxe et de démesure. "On était hébergés dans un palace cinq étoiles. Sur place, on a visité le souk de Doha, le centre commercial de la ville et son complexe sportif. C'était grandiose, une autre dimension" n'en revient toujours pas le jeune Normand qui, entre deux escapades touristiques, a affronté, balle au pied, l'Esperance Tunis et Aspire Qatar.
Aujourd'hui, il a refermé le livre des Mille et une nuits. Mais il cultive un autre rêve: "Signer un contrat pro et fouler la pelouse de mon club formateur". Auquel cas, il deviendrait le prince du parc...

Alain Guillard


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L'oeil du coach

"Un leader naturel"

Responsable des U14 au Paris-St-Germain, Saad Ichalalène décrypte le "phénomène" Claudio Gomes. Entre qualités et promesses...

- Connaissiez-vous Claudio Gomes avant son arrivée au PSG?
- Avec les responsables du Centre de formation nous l'avions supervisé à plusieurs reprises quand il portait encore les couleurs de l'EFC 27. Je l'ai également observé à titre personnel, la cellule de recrutement a complété le travail lors de divers tournois disputés par Claudio.
- Quelles ont été alors vos impressions?
- Très favorables. C'est un footballeur qui déploie énormément d'activité, avec des qualités techniques largement supérieures à la moyenne. Il est particulièrement performant dans ses prises de balle et dans l'élimination de l'adversaire. Bonus appréciable: Claudio ne baisse jamais les bras. C'est fondamental pour un sportif qui doit se fondre dans un moule collectif.
- Son caractère va de pair avec des dispositions sportives?
- A treize ans, il affiche déjà une belle maturité. C'est donc naturellement qu’il s'est imposé comme leader. Il respecte le groupe, et il a le respect de ses partenaires.
- Dans quels domaines doit-il encore progresser: physique, athlétique?
- L'aspect physique intervient en dernier ressort. A cet âge-là, les enfants vont naturellement progresser et s'étoffer. Ils ont le temps de gagner en volume athlétique. Songez qu'ils s’entraînent déjà cinq fois par semaine.
- Par contre, ils ne disputent pas de championnat!
- Le club a pris l'initiative de sortir les U14 et les U15 de la compétition. On préfère les voir progresser en interne. Mais ils disputent des matches intéressants face à des adversaires de qualité lors de tournois internationaux. Le 8 mars par exemple, au Camp des Loges, Claudio et ses amis vont recevoir leurs homologues de Chelsea. A cet âge-là, c'est une chance unique, voire un privilège rare...

Recueillis par A.G.


La Dépêche - Edition Evreux du Vendredi 28 février 2014

Spoiler :
Si ma mémoire est bonne c'est un joueur sur lequel Noreaga et des mecs d'Espoirs du foot cherchaient des infos. A partager si ça botte quelqu'un wink.gif


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Ce que fait Zlatan avec une orange, je le fais avec un sandwich.

Roses are red, violets are blue, mange mon Giant Max sale fils de pute.
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roro10
posté 04/03/2014 14:18
Message #217


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Le PSG recrute chez les jeunes ardennais


VILLERS-SEMEUSE (08). Le football ardennais a de beaux jours devant lui. Selim Badi, jeune Villersois de 11 ans, a effectué un stage de deux jours dans les locaux du PSG.

Le jeune footballeur Selim Badi, 11 ans revient d’un stage au PSG de deux jours. Cela fait maintenant six ans qu’il fait partie du club de football de sa ville, Villers-Semeuse.

« Lors d’un tournoi à Rethel, il y avait un recruteur du Paris Saint-Germain (PSG) qui regardait tous les joueurs », raconte Selim. Au milieu du match, le recruteur est allé voir le père du jeune garçon pour lui demander ses coordonnées : Selim a retenu son attention. À partir de là, c’est « allé très vite » comme l’explique le père. Trois ou quatre jours après le tournoi, le recruteur a appelé pour proposer un stage à Selim.

De Villers-Semeuse à Paris

Ce dernier s’est déroulé au Camp des Loges (à Saint-Germain-en-Laye) qui est le centre d’entraînement des joueurs du PSG. Lorsqu’on lui a annoncé ce stage, Selim était « content ». Pas stressé ni angoissé d’aller vers l’inconnu, c’est tout naturellement qu’il s’est rendu en banlieue parisienne le jeudi 27 Février. « Le premier jour, nous n’étions que six à l’entraînement. Il y avait des jeunes de partout, Lille, Marseille… Le deuxième jour, on était plus d’une vingtaine. Les gens de la région parisienne sont arrivés »

Mais jouer au football n’est pas uniquement ce qui a rythmé la vie du jeune homme durant ces deux jours. « On a visité tout le Camp des Loges, presque tous les terrains d’entraînement, et aussi le centre de formation. Voir tout ça m’a permis de découvrir comment cela se passe dans les grands clubs. Mais surtout, ça m’a donné envie d’y aller ».

Sur le stage en lui-même, Selim reste dubitatif : « Je n’ai pas vraiment appris quelque chose de nouveau au niveau de la technique. Mais je sais maintenant que je veux jouer au foot. »

Même s’il s’est rendu sur les lieux serein, les locaux du PSG ont quand même paru « impressionnants » à ses yeux. « Le PSG est un club qui m’intéresse. C’est un grand club. Même si je préfère quand même Barcelone »

Repartant avec des étoiles pleins les yeux et la tête remplie de souvenir, Selim a tout de même un regret : « On n’a pas pu voir de grands joueurs du club, ils ne voulaient pas… » Mais cela ne l’a pas découragé pour autant. Quand on lui demande s’il serait prêt à repartir dès demain pour un nouveau stage, c’est avec un sourire malicieux et des yeux qui pétillent qu’il acquiesce d’un grand « oui ».


Publié le 04/03/2014
Par Marie BOUQUET

L'union-L'Ardennais
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Dubdadda
posté 05/03/2014 23:10
Message #218


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Wormy
posté 18/03/2014 09:37
Message #219


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Vers un Championnat des réserves pros?
L'idée n'est pas nouvelle mais elle est en train de faire son chemin dans les couloirs de la FFF et de la Ligue, sous l'impulsion du DTN, François Blaquart. Plutôt que de faire participer les équipes réserves des clubs professionnels aux championnats de CFA et CFA2, pour la plupart, il s'agirait de créer une compétition qui leur serait réservée selon des modalités restant à définir. Les entraîneurs et formateurs y sont dans l'ensemble favorables.

France Football
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roro10
posté 14/04/2014 15:58
Message #220


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PSG : K. Coulibaly signe à Charleroi
Lundi 14 avril 2014 - 15:32

Jamais apparu en équipe première au PSG, Kalifa Coulibaly va tenter de percer au plus haut niveau en Belgique. Charleroi a officialisé la signature de ce grand attaquant (1m97) de 22 ans. Le Malien a signé pour deux ans (+ deux autres années en option), lui qui reste sur deux saisons à 12 buts en CFA.
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