Football Sud-Américain, Clubs, joueurs, sélections Options

[Dagoberto]

Non je crois pas, ils semblent avoir 9 pts d'avance sur le premier relégable.

edit: ah ben si confirmation

River Plate, le cauchemar sans fin? :

River Plate, club argentin le plus titré nationalement, joue sa survie parmi l'élite lors de la dernière journée samedi (20h00) contre Lanus. Pourtant, le système mis en place par la Ligue était sensé le protéger...

Les supporters de River Plate nagent en plein cauchemar depuis des mois. Comment le club aux 33 titres nationaux peut-il se retrouver dos au mur à une journée de la fin du Championnat de clôture, sans même avoir son destin en mains ? Le système mis en place par la ligue argentine est pourtant sensé protéger les grands clubs locaux de la descente, grâce à un système compliqué d'indice prenant en compte les trois dernières années. Oui, mais voilà, les Millonarios sont au fond du trou depuis leur dernier titre obtenu en 2008 avec six Championnats confondants de médiocrité en termes de points et de classement : dernier puis 8e lors des tournois 2008-2009, 14e et 13e en 2009-2010, 4e lors de l'ouverture 2010. Actuellement 8e du Championnat de clôture 2011, River joue son avenir contre Lanus (2e) au Monumental.

Pour éviter de jouer un barrage contre le 4e de D2, comme c'est le cas en Allemagne par exemple, deux équipes se battent avec le club entraîné par Juan José Lopez : Olimpo et Tigre. Ainsi, le suspens sera total samedi (20h00, heure française) non seulement au Monumental pour River-Lanus mais également lors des rencontres opposant Quilmes (déjà relégué) à Olimpo et les Argentinos Juniors à Tigre. Les calculettes sont sorties depuis plusieurs jours sur les bords du rio de la Plata. Ainsi, si River gagne, il sera sauvé en cas de défaite de Tigre ou si Olimpo ne gagne pas. Si les trois équipes l'emportent, les Millonarios devront effectuer un match d'appui contre Olimpo pour savoir qui jouera le barrage... Si River et Olimpo prennent trois points et que Tigre fait nul, il faudra un mini-Championnat à trois pour séparer tout ce petit monde ! Tous ces cas de figure valent en cas de succès des pensionnaires du Monumental mais s'il y a nul ou défaite face à Lanus, les hypothèses sont encore plus compliquées. Des litres de maté ne suffiraient alors pas à faire passer le mal de tête résultant des calculs...

Si River évite le barrage, il jouera... la Copa Sudamericana !
C'est dans cette ambiance très mathématique que River, jamais relégué, prépare l'un des matches les plus importants de son histoire. Les coéquipiers de l'excellent meneur de jeu Lamela sont mis au vert depuis plusieurs jours à Ezeiza, le Clairefontaine local. L'espoir Lanzini a déclaré forfait pour ce match capital, Buonanotte est écarté et Arano est suspendu. Comble de l'histoire : si River a le bonheur d'éviter le barrage de relégation, il participera à la prochaine Copa Sudamericana, l'équivalent de la Ligue Europa. Cela grâce à ses 31 points enregistrés lors de l'Apertura 2010... Des fois, il vaut mieux éviter de chercher à comprendre.

[sylvain]

Enfin, visiblement, dans le pire des cas ils ne seront pas condamnés ce soir mais ils seront barragistes.

[D'Alessandro]

Enfin, visiblement, dans le pire des cas ils ne seront pas condamnés ce soir mais ils seront barragistes.

Ce sera le cas Contre Belgrano de Cordoba.

[Dagoberto]

Un supporter du club argentin de River Plate, est décédé samedi après une crise cardiaque pendant le match qui opposait son équipe favorite à Lanus (2-1).

Le supporter en question était âgé de 63 ans et a été victime d’une crise cardiaque alors qu’il se trouvait dans les tribunes du Stade Monumental où évolue habituellement River Plate. L’équipe mythique du championnat d’Argentine était en train de perdre une nouvelle fois face à Lanus (2-1). Une défaite qui va obliger l’ancien club des Gallardo ou Francescoli de disputer un barrage pour se maintenir en Première division locale.

River Plate, grand club argentin avec ses 33 titres de champion, devra jouer un barrage contre le club de Belgrano Cordoba, champion de deuxième division en match aller retour mercredi et dimanche prochain. Le vainqueur jouera en Première division argentine lors de la saison suivante.

[Panenka]

Le système mis en place par la ligue argentine est pourtant sensé protéger les grands clubs locaux de la descente, grâce à un système compliqué d'indice prenant en compte les trois dernières années.

C'est énorme ça quand même
Ca me rappelle les "couineries" du Real et du Milan notamment pour créer la ligue des champions parce que c'était une honte que ces grands clubs n'y soient pas chaque année...

[Dagoberto]

5ème journée du championnat brésilien avec la grosse interrogation: Pourquoi font ils tous la même chorégraphie après un but? Mystère

América MG 1-1 Cruzeiro
15" Fabricio pour Cruzeiro
54" Junior F pour América MG


Palmeiras 5-0 Avaí
18" Lincoln, 22" Luan, 41" Guerrero M, 43"et 71" Kleber


Grêmio 1-1 Vasco da Gama
73" Bernardo pour Vasco da Gama
81" Roberson pour Grêmio


Figueirense 2-0 Atlético Paranaense
18" Heber et 22" Juninho


Flamengo 0:0 Botafogo

Ceará SC 0-2 São Paulo FC
35" Marlos et 64" Lucas 64"


Atlético Mineiro 2-2 Atlético GO
85" Guilherme et 76" Oliveira R pour Atlético Mineiro
31" Marcao et 81" Junior V pour Atlético GO


Coritiba 1-1 Internacional
50" Glaydson pour Internacional
76" Davi pour Coritiba


Fluminense 0-1 Bahia
90" Jobson


Lucas dans l'équipe type 2 semaines de suite et un gros gros match de Rogerio Ceni dans la cage de Sao Paulo


Top10 des buteurs
4 buts: Bernardo(vasco), Luan(palmeiras)
3 buts: Alessandro(america-mg), Anderson Aquino(coritiba), Borges(santos), Elton(vasco), Jobson(bahia), Kleber(palmeiras), Lucas(sao-paulo), Willian(corinthians)



Classement

1 São Paulo FC - 15
2 Palmeiras - 11
3 Corinthians - 10
4 Figueirense - 10
5 Atlético Mineiro - 8
6 Botafogo - 8
7 Vasco da Gama - 8
8 Flamengo - 7
9 Atlético GO - 7
10 Grêmio - 7
11 Internacional - 6
12 Fluminense - 6
13 Santos FC - 5
14 Bahia - 5
15 América MG - 5
16 Coritiba - 4
17 Ceará SC - 4
18 Cruzeiro - 3
19 Atlético Paranaense - 1
20 Avaí - 1 -

[Philo]

Le Luan du Tef' carbure pas mal aussi j'ai l'impression.
Surprenant quand on se souvient la chèvre que c'était

[Guest_Rodriguez_supprimé]

Marco et Rogerio Ceni

[Dagoberto]

Ce soir 2h45 sur Ma Chaîne Sport

Santos(Bre) - Peñarol(Uru)
Copa Libertadores - Finale retour

Santos ''nouvelle génération'' face à l'histoire

Déjà vainqueur en 1962 face au Peñarol, Santos reçoit, mercredi soir (2h50 HF), le champion en titre uruguayen en finale retour de Copa Libertadores. Au match aller, à Montevideo, les deux équipes se sont quittées sur un match nul 0-0.

Quarante-huit ans après avoir survolé le continent sud-américain, remportant par deux fois la Copa Libertadores en 1962 et 1963 sous le commandement du roi Pelé, Santos s'apprête, mercredi soir (2h50 HF), à disputer le match le plus important de l'histoire du Peixe.

Face aux Uruguayens du Peñarol, champion d'Uruguay en titre, Santos pourrait remporter la plus grande compétition sud-américaine. Une simple victoire sur Peñarol (0-0 à l'aller), au stade Pacaembu de São Paulo, suffirait à décrocher le titre. Les idoles de tout un peuple santista, Neymar et Ganso, marqueraient ainsi éternellement l'histoire du club.

Des retours en pagaille

Mais pour cela, il faut gagner et le match nul ramené de Montevideo mercredi dernier donne des espoirs aux hommes de Muricy Ramalho, quadruple champion du Brasileirão mais toujours malchanceux en Libertadores. Mercredi soir, l'entraîneur santista pourrait aligner sa meilleure équipe puisque le meneur de jeu international brésilien, Paulo Henrique Ganso, a été déclaré apte par le staff médical pauliste. Ganso, blessé à la cuisse depuis le 8 mai dernier, devrait être aligné d'entrée par Muricy Ramalho, de même que le latéral gauche, Léo, un des joueurs les plus expérimentés du groupe, blessé lors du match aller.

Dernier renfort de luxe, le retour du capitaine de Santos Edu Dracena, suspendu en Uruguay et simplement ravi de disputer le match retour « Mercredi soir, j'ai la chance de pouvoir soulever le trophée. Alors même mort, je monterai sur l'estrade... Conquérir le titre serait une émotion énorme. Que dieu soit avec nous » (Redebomdia.com)

Avec ces nombreux retours, Muricy Ramalho pourrait effectuer quelques réajustements. Danilo devrait débuter dans le couloir le droit tandis qu'Elano reculerait d'un cran, laissant l'entre-jeu à Paulo Henrique Ganso. Les milieux récupérateurs santistas, Adriano et Arouca, joueront quant à eux un rôle majeur dans le système défensif du Peixe.

Neymar « Attention, danger »

De leur côté, les joueurs uruguayens s'attendent à un match des plus difficiles. Leur principal danger comporte six lettres, Neymar. Le défenseur du Peñarol, Carlos Valdez, donne Santos comme favori de la finale retour. Mais selon le défenseur, les chances uruguayennes dépendent en premier lieu de la performance du « crack » de la Seleção « Neymar est un super joueur et pour lequel on ne doit pas lui laisser le moindre espace, comme l'a très bien fait notre défenseur, Alejandro González, lors du premier match. J'espère qu'il aura la même chance ce mercredi. La clé pour être le champion ? Ce sera cette concentration maximale en défense comme au milieu de terrain. Nous devrons débuter le match avec le maximum de solidarité. »

Si le Peixe pourrait « seulement » remporter sa troisième compétition sud-américaine, le club uruguayen, vainqueur à cinq reprises, reste le troisième club le plus titré de la Copa Libertadores les clubs argentins de Boca Juniors (six titres) et Independiente (sept titres).

sambafoot.com

SANTOS: Rafael, Danilo, Edu Dracena, Durval et Léo; Adriano, Arouca, Elano et Paulo Henrique Ganso; Neymar et Zé Eduardo. Entraîneur: Muricy Ramalho.

PEÑAROL: Sebastián Sosa, Alejandro González, Carlos Valdez, Guillermo Rodríguez et Darío Rodríguez; Nicolás Freitas, Luis Aguiar, Mathías Corujo, Matías Mier et Alejandro Martinuccio; Juan Manoel Olivera. Entraîneur: Diego Aguirre.

[Dagoberto]

Victoire 2-1 du FC Santos!

[Dagoberto]

Le géant du football argentin River Plate a perdu (2-0) mercredi le match aller de son barrage contre Belgrano, équipe de deuxième division, et devra gagner largement au retour dimanche à domicile pour éviter la première relégation de son histoire.

Le club de Buenos Aires est le seul, avec son grand rival Boca Juniors et Independiente, à ne jamais avoir quitté l'élite depuis l'avènement du professionnalisme en 1931.

Après le deuxième but de l'équipe de la province de Cordoba (centre), signé Pereyra (49), le match a été interrompu 20 minutes en raison de l'invasion du terrain par des supporters de River, qui ont déchiré le grillage de protection.

L'un d'entre eux, le visage couvert, a même pris à parti le défenseur paraguayen de River, Adalberto Roman, auteur d'une main à l'origine du pénalty qui a permis à Belgrano d'ouvrir le score par Mansanelli (25), avant de retourner en tribune.

River Plate a remporté 33 titres nationaux sous l'ère professionnelle et cinq internationaux, dont deux Copa Libertadores (1986, 1996), l'équivalent latino-américain de la Ligue des Champions.

C'est chaud pour River Plate la ...

[Shalashaska]

Un résumé plus complet de la finale retour de la Libertadores


Apparemment, Ganso a fait un gros match. Sa talonnade pour Arouca (milieu défensif ) sur l'action du premier but

Sinon, c'est très tendu pour River. J'aimerai pas être à la place du défenseur qui met sa main comme un con...

[Dagoberto]

River Plate, chronique d’une chute annoncée
River Plate est au bord du précipice. S’il ne veut pas connaître les affres d’une descente pour la première fois de sa longue histoire (110 ans), le club le plus titré d’Argentine devra battre, dimanche, Cordoba pas plus de deux buts d’écart. Comment ce club prestigieux en est-il arrivé là ?

Le club navigue à vue depuis bien trop longtemps. River est un paquebot sans capitaine, promis, depuis quelques années, à percuter un iceberg avant d’échouer et de toucher le fond. En Argentine, beaucoup de sympathisants du club avaient prévu l’inimaginable. Car ce géant d’Amérique du Sud est mal géré depuis trop bien longtemps. Aujourd’hui, ce club historique est en pleine déliquescence et pas seulement sur le terrain.

Le pathétique match aller de barrage contre le très modeste Club Atletico Belgrano de Cordoba est assez symbolique de la situation que traverse River Plate. En 90 minutes, tous les maux d’un club à la dérive ont été étalés au grand jour. Commençons par la classe dirigeante. Le président, Daniel Passarella, n’avait pas fait le voyage jusqu’à Cordoba. Pathétique. Le Kaiser Argentin, véritable idole du club, en poste depuis 2009, connu lorsqu’il était joueur et entraîneur pour ses qualités d’harangueur hors norme, a brillé par son absence. Trop stressé ? Peur du vide ? Il a préféré regarder son club couler à la télévision.

Les joueurs ensuite, ils ont été en-dessous de tout, tout au long de la saison. Et ce n’est pas un Matias Almeyda, sorti de sa retraite il y a un an, pour jouer les pompiers de service qui a réussi à inverser la tendance. La dernière petite perle du club, Erik Lamela, promis à un brillant avenir, s’est seulement fait remarquer mercredi soir, pour avoir balancé un coup de poing dans le ventre de son chien de garde. Tous les joueurs étaient comme paralysés par l’enjeu. Il faut dire que la pression sur leurs épaules est énorme et elle ne vient pas seulement des médias et de leurs dirigeants.

Les joueurs argentins, c’est un secret de polichinelle, sont soumis à une forte pression de leurs supporters. Alors, mercredi, ce qui devait arriver arriva. En seconde période, quelques énergumènes se sont invités sur la pelouse. Ils sont allés dire ce qu’ils pensaient directement aux joueurs. Scène surréaliste. Car après vingt minutes d’arrêts de jeu, le match a repris, comme si de rien n’était. Dimanche, si le cauchemar devient réalité, les supporters pourraient bien s’énerver pour de bon et là, tout sera possible.

Aguilar a vendu son club et son âme

Depuis la présidence de José Maria Aguilar, entre 2001 et 2009, tout part à vau-l'eau chez les “millionarios”. Aguilar a créé un système mafieux dans lequel les barras bravas (les ultras) se sont engouffrés. Ils ont aujourd’hui un pouvoir insoupçonnable. Certains, les “capos” (chefs) sont même directement salariés par le club. Ils sont grassement payés pour ne rien faire. Sous Aguilar, ils ont réussi à avoir leur pourcentage dans la billetterie et même dans les transferts de joueurs. Il y a, par exemple, de fortes probabilités que certains aient touché de l’argent lors du transfert d’Higuain (malgré lui) au Real Madrid.

Aguilar a vendu son club et son âme au business noir du football. A son arrivée à la tête de cette institution, l’une de ses premières décisions, très polémique, a été de virer le plus grand formateur de l’histoire du club : le Brésilien Delem. C’est lui qui avait formé les Ortega, Crespo, Gallardo, Aimar, Saviola et plus récemment Gonzalo Higuain et Radamel Falcao. Depuis son départ, la formation riverplatense bat de l’aile. Officieusement, Delem n’acceptait pas que les agents et le club vendent au plus vite et au plus offrant ses petites pépites.

Sous Aguilar en effet, vendre des joueurs du centre de formation est devenu monnaie courante. Pour éponger une dette qui se creusait à vitesse grand V, Aguilar a passé son temps à dealer avec des hommes d’affaires (souvent les mêmes) un pourcentage des droits de ses joueurs les plus prometteurs. En clair, River Plate n’était plus propriétaire de ses propres footballeurs. Si le club touchait immédiatement une partie des droits du joueur, il en perdait énormément à sa vente, puisqu’il ne récupérait au final que 30, 40 ou 50% de la somme et de la valeur des joueurs. Lors de ces fameux transferts, de nombreux intermédiaires touchaient leur commission, à tel point que, par exemple, les 6,5 millions d’euros qu’on rapporté Belluschi (lors de sa vente à l’Olympiakos avant qu’il ne rejoigne Porto) ont totalement disparu de la circulation.

Pendant plusieurs années, beaucoup d’argent a été détourné. C’est donc en toute logique que la justice court après José Maria Aguilar. Lorsque Daniel Passarella est arrivé à River Plate, le club était endetté jusqu’au cou. Depuis, le panorama n’a pas vraiment changé. Il n’y a plus d’argent dans les caisses et le centre de formation n’est plus aussi rentable qu’avant. Depuis que River est menacé sportivement, Passarella ne cesse donc de clamer qu’il n’y est pour pas grand chose et que les coupables d’un tel fiasco, il faut aller les chercher ailleurs. N’empêche, depuis son accession à la présidence après des élections contestées (il n’a gagné que par 6 voix d’écart), les entraîneurs se sont succédés (cinq en deux ans) et le club n’a été que l’ombre de lui-même sur le terrain.

Finalement, au regard de l’état de ce club mythique, tant sur que en dehors des terrains, faire un petit tour par la case deuxième division pourrait lui faire du bien. A condition de ne pas y rester trop longtemps. Le transfert d’Erik Lamela voir de Rogelio Funes Mori et de Manuel Lanzini sur le Vieux Continent vont permettre au club de récupérer quelques millions d’euros. De quoi reconstruire un édifice qui s’effondre, d’injecter de l’argent frais dans la formation et de permettre à ce paquebot historique de se maintenir à flot…

eurosport.fr

[Babass]

Il passe à la télé le match de River?

[11G]

[Dagoberto]

Il passe à la télé le match de River?

En france il semblerait que non

[Vita]

Match de River dispo sur Canal + Futbol (Espagne)

Sinon :

[Dagoberto]

River Plate relégué pour la première fois de son histoire


Club historique du championnat d'Argentine, puisqu'il est celui qui a gagné le plus de titres (33), River Plate a été relégué à l'échelon inférieur dimanche soir après avoir été tenu en échec à domicile (1-1) par Belgrano en match retour des barrages de maintien. Battue (2-0), à l'aller, la formation de Buenos Aires, où a évolué de nombreuses stars du foot argentin, telles que Francescoli, Battistuta, Salas, Crespo ou bien encore Mascherano ou Higuain, pour ne citer qu'eux, jouera la saison prochaine à l'échelon inférieure, ce qui est évidemment une désolation pour les nombreux supporters de River Plate qui croyaient encore au miracle dans ce Monumental qui a vu tant d'exploits.

évidemment on a eu le droit a des larmes et du sang (et un mort dans les tribunes il semblerait)
Vive le sport

[Ronan]

Descendre pour River avec le système argentin c'est quand même fort

[11G]

Buenos Aires > Vancouver



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