[Médias] TV/Presse/Radio, La boîte à caca Options

[Kaionedirection]

J'espère qu'il sera moins cité ici désormais.
Libre à chacun de l'écouter mais on se passera bien de ses analyses. Si on veut les entendre, on sait ou aller.

[johncoltrane]

Oui c'est pas ici puisque ses propos y sont systématiquement coupés et déformés.

[Oyé Sapapaya]

Oui puis on attend les virements, Nasser.

[succo]

Ce sera amusant d'observer si le PAF se sent aussi concerné qu'en 1993 (2020 il y avait l'excuse covid).

[CAPTAIN PLANETE]

https://twitter.com/lachainelequipe/status/1924374768259564007

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

[wakabayashi]

Je suis tombé là dessus

https://rmcsport.bfmtv.com/football/ligue-1...2505120829.html

Ces guignols quand même sans parisiens mais avec Chevalier et Cherki

[Azel]

Ca fait 30 ans qu'on sait que les infiltrations bouffent les cartilages.
Après je comprends qu'un joueur à son prime accepte le risque même si on est encore loin des footballeurs US.

[Rjay]

J'ai vu Archechour avec des larmes en post match pour analyser la victoire parisienne.

Ses commentaires m'ont toujours fait penser qu'il était marseillais.

[Sakavomi]

J'ai vu Archechour avec des larmes en post match pour analyser la victoire parisienne.

Ses commentaires m'ont toujours fait penser qu'il était marseillais.

Et il a été excellent dans ses tirades

J'espère un article complet de Philo sur le traitement/la narrative du match par les médias internationaux.
Je sens que ça va bien nous régaler

[super-mario]

J'ai vu Archechour avec des larmes en post match pour analyser la victoire parisienne.

Ses commentaires m'ont toujours fait penser qu'il était marseillais.

J'ai l'impression qu'il est surtout passionné de foot.

[Oyé Sapapaya]

Fan du Psg à la base

[Lask]

J'ai vu Archechour avec des larmes en post match pour analyser la victoire parisienne.

Ses commentaires m'ont toujours fait penser qu'il était marseillais.

J aimais toujours assez et jamais.senti.qu il nous aimait pas, le jour où c est le plus mauvais du paf, on sera bien.

[florian]

Franchement, faut arrêter de lui en parler de sa fille partie trop tôt je pense. Lui en parle ouvertement quand il veut, mais les questions, les flocages, et même la bâche aussi belle soit-elle, etpartant d'un bon sentiment j'en doute pas, je trouve que c'est trop s'approprier ce qui appartient à lui et sa famille. C'est trop rentrer dans leur intimité.

La lourdeur d'Ophélie Meunier là-dessus sur M6 hier soir était inqualifiable et je répond ici pour ne pas salir le topic du guide ultime avec ça

[NumeroStar]

J'ai vu Archechour avec des larmes en post match pour analyser la victoire parisienne.

Ses commentaires m'ont toujours fait penser qu'il était marseillais.

Il chialait a cause du pollen, véridique

[KuroNeko]

Revue de presse dans le torchon :

Spoiler :

Au lendemain du triomphe du PSG en finale de la Ligue des champions face à l'Inter Milan, la presse européenne célèbre « le chef-d'oeuvre de Luis Enrique » et l'avènement de « la nouvelle star » Désiré Doué.

Rédaction publié le 1 juin 2025 à 10h48
mis à jour le 1 juin 2025 à 11h25

« Pas comme ça », se désole La Gazzetta dello Sport en une avec une photo des Interistes médaille de perdant au cou et tête basse après l'humiliation subie par les Nerazzurri en finale de Ligue des champions. Sur son site, le média italien titre aussi « Inter, c'est un cauchemar, le show Doué » et observe : « Le PSG exagère. Une finale remportée en dominant dans tous les domaines. On se demandera longtemps quelle était la kryptonite qui a paralysé une Inter méconnaissable dès les premiers dribbles du duo Kvara-Doué. L'arme tactique de Luis Enrique, Doué au nom prédestiné, est le garçon portant le numéro 10, l'alter ego de Mbappé sorti de l'ombre après ses adieux, alors que Dembélé - 33 buts cette saison - avait reçu une consigne : mordre les pieds de Sommer, principal instigateur du jeu. »

« Sauver sa dignité et son honneur »

Pour Tuttosport, qui rappelle à son tour, que Luis Enrique est le deuxième entraîneur de l'histoire à remporter le triplé (C1, Championnat, Coupe de France) avec deux équipes différentes après Guardiola, c'est « L'Inter humiliée ». « Les Nerazzurri débordés, une finale à sens unique. Doué rend fous Acerbi et ses coéquipiers, gloire aussi pour Kvaratskhelia ».
Le quotidien italien rapporte notamment la réaction de l'ancien attaquant Paolo Di Canio dans le studio Sky après le premier but parisien. « Inacceptable, incompréhensible, inacceptable ! On ne peut pas jouer comme ça en finale de Ligue des champions, en encaissant des buts comme des buts de foot à cinq. J'espère qu'Inzaghi comptera sur sa dignité, l'Inter doit revenir d'une manière complètement différente pour sauver sa dignité et son honneur ».

En Espagne, Marca salue l'enfant du pays « Luis Enrique signe son chef-d'oeuvre et couronne le PSG de son premier titre en Ligue des champions », avant d'analyser : « Gagner la Ligue des champions n'est pas la même chose que de la gagner en tant que « grande équipe. Et le PSG de Luis Enrique l'a fait. Ils ont battu l'Inter Milan à Munich, l'éliminant de la carte en seulement 20 minutes et lui ont ensuite infligé une raclée historique. Désiré Doué, MVP de la finale avec deux buts et une passe décisive, a mené le PSG à son premier titre en Ligue des champions... et l'Inter à la plus grande déroute de l'histoire d'une finale de Coupe d'Europe ou de Ligue des champions. »

Pour AS, « une Ligue des champions d'une valeur de 2,283 milliards d'euros »

Doué est bien sûr l'attraction du jour pour Marca qui évoque « une nuit de cauchemar pour Dimarco, et une nuit de fête pour le Français. Le deuxième plus jeune joueur à marquer et à faire une passe décisive lors d'une finale de Ligue des Champions... après Brian Kidd en 1968 avec Manchester United (contre Benfica). Gloire à l'ancien joueur du Stade Rennais, parti sous une standing ovation de plus de la moitié du stade quelques minutes plus tard. Doué, la nouvelle star du PSG, porte bien son nom. Il est arrivé l'été dernier en provenance de Rennes pour 50 millions d'euros. Il a atterri au Parc des Princes sur la pointe des pieds, sans faire beaucoup de bruit. En fait, il a commencé la saison comme remplaçant de Barcola... mais a fini par le manger... et nous faire oublier, au moins en partie, Mbappé. Son style irrévérencieux et imprévisible a donné un nouveau souffle à l'attaque du PSG. »

As, rival de Marca, est moins dans l'émotion et titre sur « Une Ligue des champions d'une valeur de 2,283 milliards d'euros ». « Par une chaude nuit de mai, après un excellent match, le football a accepté le PSG pour toujours, la Ligue des champions a accueilli dans ses mains un nouveau champion, construit par le Qatar, qui a investi 2,283 milliards en recrutements en moins de 15 ans jusqu'à son couronnement. Il restera également écrit dans les annales que celui qui y est parvenu fut Luis Enrique, ce génie désapprouvé dans la moitié de l'Espagne mais idolâtré dans le reste du monde, cet entraîneur qui a fait comprendre à l'émir et à al-Khelaïfi que la gloire s'obtient sur le banc, et non auprès des stars. Son projet, plus footballistique que médiatique, a une fois de plus donné raison aux connaisseurs : dans ce sport, les stratèges gagnent et les mégalomanes perdent. Toujours. »

Pour El Mundo Deportivo, « ''Monsieur'' Luis Enrique offre au PSG sa première Ligue des champions ». « Luis Enrique avait un plan et il l'a exécuté parfaitement pour atteindre l'objectif qui ces dernières années était devenu une obsession pour le Paris Saint-Germain. Coïncidant avec le départ de Kylian Mbappé au Real Madrid, l'entraîneur asturien a affirmé que le PSG allait être une meilleure équipe cette saison qu'il ne l'avait été jusqu'alors. À peine dit que c'était fait. Luis Enrique a réussi à mener l'équipe parisienne au premier titre de Ligue des champions de son histoire, et il l'a fait en restant fidèle à lui-même à tout moment.

Une équipe « tout simplement trop bonne », analyse Bild

Son arrivée au Parc des Princes il y a deux ans a coïncidé avec l'été où Leo Messi et Neymar sont partis, et c'est sans eux et sans Mbappé qu'il a pu créer une équipe où le collectif prime sur toute individualité, parvenant à donner à Nasser al-Khelaïfi la coupe aux grandes oreilles qu'il désirait tant ».
Pour El Mundo Deportivo, le MVP est forcément Doué, « un héros pas si inattendu. Il est probable qu'avant la finale, une partie du grand public du football ne connaissait pas Désiré Doué (19 ans), mais ce qui est clair, c'est qu'après son exhibition à Munich contre l'Inter Milan, ils ne l'oublieront pas de sitôt. »

En Allemagne, Bild s'enthousiasme : « Quelle finale ! » : « Paris en émoi, l'Inter en pleurs. Trop de rythme, trop de technique, trop de classe, cette équipe du PSG était tout simplement trop bonne ! Pendant des années, les dirigeants du club du cheikh ont misé sur des talents exceptionnels tels que Mbappé, Neymar et Messi pour ramener le trophée en France. Cependant, cette victoire historique a été remportée par une équipe sans superstar évidente ».
Pour les Anglais de la BBC, « le PSG relooké entre dans l'histoire lors d'une soirée émouvante pour Luis Enrique » : « Le brillant adolescent Désiré Doué a confirmé son statut de moitié d'un nouveau duo de jeunes superstars - aux côtés de Lamine Yamal de Barcelone - qui ont le génie de dominer le jeu pour les années à venir. »

[Ashura]

Marca Et elle a coûté combien l'équipe qui a privé le Barça (très raisonnable sur ses dépenses comme chacun sait, la santé de leurs comptes en atteste) de finale ? C'est limite encore plus seumard que la provence.

[florian]

Revue de presse dans le torchon :

Spoiler :

Au lendemain du triomphe du PSG en finale de la Ligue des champions face à l'Inter Milan, la presse européenne célèbre « le chef-d'oeuvre de Luis Enrique » et l'avènement de « la nouvelle star » Désiré Doué.

Rédaction publié le 1 juin 2025 à 10h48
mis à jour le 1 juin 2025 à 11h25

« Pas comme ça », se désole La Gazzetta dello Sport en une avec une photo des Interistes médaille de perdant au cou et tête basse après l'humiliation subie par les Nerazzurri en finale de Ligue des champions. Sur son site, le média italien titre aussi « Inter, c'est un cauchemar, le show Doué » et observe : « Le PSG exagère. Une finale remportée en dominant dans tous les domaines. On se demandera longtemps quelle était la kryptonite qui a paralysé une Inter méconnaissable dès les premiers dribbles du duo Kvara-Doué. L'arme tactique de Luis Enrique, Doué au nom prédestiné, est le garçon portant le numéro 10, l'alter ego de Mbappé sorti de l'ombre après ses adieux, alors que Dembélé - 33 buts cette saison - avait reçu une consigne : mordre les pieds de Sommer, principal instigateur du jeu. »

« Sauver sa dignité et son honneur »

Pour Tuttosport, qui rappelle à son tour, que Luis Enrique est le deuxième entraîneur de l'histoire à remporter le triplé (C1, Championnat, Coupe de France) avec deux équipes différentes après Guardiola, c'est « L'Inter humiliée ». « Les Nerazzurri débordés, une finale à sens unique. Doué rend fous Acerbi et ses coéquipiers, gloire aussi pour Kvaratskhelia ».
Le quotidien italien rapporte notamment la réaction de l'ancien attaquant Paolo Di Canio dans le studio Sky après le premier but parisien. « Inacceptable, incompréhensible, inacceptable ! On ne peut pas jouer comme ça en finale de Ligue des champions, en encaissant des buts comme des buts de foot à cinq. J'espère qu'Inzaghi comptera sur sa dignité, l'Inter doit revenir d'une manière complètement différente pour sauver sa dignité et son honneur ».
En Espagne, Marca salue l'enfant du pays « Luis Enrique signe son chef-d'oeuvre et couronne le PSG de son premier titre en Ligue des champions », avant d'analyser : « Gagner la Ligue des champions n'est pas la même chose que de la gagner en tant que « grande équipe. Et le PSG de Luis Enrique l'a fait. Ils ont battu l'Inter Milan à Munich, l'éliminant de la carte en seulement 20 minutes et lui ont ensuite infligé une raclée historique. Désiré Doué, MVP de la finale avec deux buts et une passe décisive, a mené le PSG à son premier titre en Ligue des champions... et l'Inter à la plus grande déroute de l'histoire d'une finale de Coupe d'Europe ou de Ligue des champions. »

Pour AS, « une Ligue des champions d'une valeur de 2,283 milliards d'euros »

Doué est bien sûr l'attraction du jour pour Marca qui évoque « une nuit de cauchemar pour Dimarco, et une nuit de fête pour le Français. Le deuxième plus jeune joueur à marquer et à faire une passe décisive lors d'une finale de Ligue des Champions... après Brian Kidd en 1968 avec Manchester United (contre Benfica). Gloire à l'ancien joueur du Stade Rennais, parti sous une standing ovation de plus de la moitié du stade quelques minutes plus tard. Doué, la nouvelle star du PSG, porte bien son nom. Il est arrivé l'été dernier en provenance de Rennes pour 50 millions d'euros. Il a atterri au Parc des Princes sur la pointe des pieds, sans faire beaucoup de bruit. En fait, il a commencé la saison comme remplaçant de Barcola... mais a fini par le manger... et nous faire oublier, au moins en partie, Mbappé. Son style irrévérencieux et imprévisible a donné un nouveau souffle à l'attaque du PSG. »
As, rival de Marca, est moins dans l'émotion et titre sur « Une Ligue des champions d'une valeur de 2,283 milliards d'euros ». « Par une chaude nuit de mai, après un excellent match, le football a accepté le PSG pour toujours, la Ligue des champions a accueilli dans ses mains un nouveau champion, construit par le Qatar, qui a investi 2,283 milliards en recrutements en moins de 15 ans jusqu'à son couronnement. Il restera également écrit dans les annales que celui qui y est parvenu fut Luis Enrique, ce génie désapprouvé dans la moitié de l'Espagne mais idolâtré dans le reste du monde, cet entraîneur qui a fait comprendre à l'émir et à al-Khelaïfi que la gloire s'obtient sur le banc, et non auprès des stars. Son projet, plus footballistique que médiatique, a une fois de plus donné raison aux connaisseurs : dans ce sport, les stratèges gagnent et les mégalomanes perdent. Toujours. »

Pour El Mundo Deportivo, « ''Monsieur'' Luis Enrique offre au PSG sa première Ligue des champions ». « Luis Enrique avait un plan et il l'a exécuté parfaitement pour atteindre l'objectif qui ces dernières années était devenu une obsession pour le Paris Saint-Germain. Coïncidant avec le départ de Kylian Mbappé au Real Madrid, l'entraîneur asturien a affirmé que le PSG allait être une meilleure équipe cette saison qu'il ne l'avait été jusqu'alors. À peine dit que c'était fait. Luis Enrique a réussi à mener l'équipe parisienne au premier titre de Ligue des champions de son histoire, et il l'a fait en restant fidèle à lui-même à tout moment.

Une équipe « tout simplement trop bonne », analyse Bild

Son arrivée au Parc des Princes il y a deux ans a coïncidé avec l'été où Leo Messi et Neymar sont partis, et c'est sans eux et sans Mbappé qu'il a pu créer une équipe où le collectif prime sur toute individualité, parvenant à donner à Nasser al-Khelaïfi la coupe aux grandes oreilles qu'il désirait tant ».
Pour El Mundo Deportivo, le MVP est forcément Doué, « un héros pas si inattendu. Il est probable qu'avant la finale, une partie du grand public du football ne connaissait pas Désiré Doué (19 ans), mais ce qui est clair, c'est qu'après son exhibition à Munich contre l'Inter Milan, ils ne l'oublieront pas de sitôt. »

En Allemagne, Bild s'enthousiasme : « Quelle finale ! » : « Paris en émoi, l'Inter en pleurs. Trop de rythme, trop de technique, trop de classe, cette équipe du PSG était tout simplement trop bonne ! Pendant des années, les dirigeants du club du cheikh ont misé sur des talents exceptionnels tels que Mbappé, Neymar et Messi pour ramener le trophée en France. Cependant, cette victoire historique a été remportée par une équipe sans superstar évidente ».
Pour les Anglais de la BBC, « le PSG relooké entre dans l'histoire lors d'une soirée émouvante pour Luis Enrique » : « Le brillant adolescent Désiré Doué a confirmé son statut de moitié d'un nouveau duo de jeunes superstars - aux côtés de Lamine Yamal de Barcelone - qui ont le génie de dominer le jeu pour les années à venir. »

Désolé je vous spoile les débats des prochains jours de nos médias sportifs

[Pauloo]

Marca Et elle a coûté combien l'équipe qui a privé le Barça (très raisonnable sur ses dépenses comme chacun sait, la santé de leurs comptes en atteste) de finale ? C'est limite encore plus seumard que la provence.

C’est AS, rival de Marca journal madrilène, qui titre cette merde.
Et du coup ils font d’une pierre deux coups cf ta remarque

[Ashura]

C’est AS, rival de Marca journal madrilène, qui titre cette merde.
Et du coup ils font d’une pierre deux coups cf ta remarque

Ah oui exact Mais c'est limite pire du coup, vu que le Real est encore moins un exemple sur les dépenses.

[jp.sorin]

Revue de presse dans le torchon :

Spoiler :

Au lendemain du triomphe du PSG en finale de la Ligue des champions face à l'Inter Milan, la presse européenne célèbre « le chef-d'oeuvre de Luis Enrique » et l'avènement de « la nouvelle star » Désiré Doué.

Rédaction publié le 1 juin 2025 à 10h48
mis à jour le 1 juin 2025 à 11h25

« Pas comme ça », se désole La Gazzetta dello Sport en une avec une photo des Interistes médaille de perdant au cou et tête basse après l'humiliation subie par les Nerazzurri en finale de Ligue des champions. Sur son site, le média italien titre aussi « Inter, c'est un cauchemar, le show Doué » et observe : « Le PSG exagère. Une finale remportée en dominant dans tous les domaines. On se demandera longtemps quelle était la kryptonite qui a paralysé une Inter méconnaissable dès les premiers dribbles du duo Kvara-Doué. L'arme tactique de Luis Enrique, Doué au nom prédestiné, est le garçon portant le numéro 10, l'alter ego de Mbappé sorti de l'ombre après ses adieux, alors que Dembélé - 33 buts cette saison - avait reçu une consigne : mordre les pieds de Sommer, principal instigateur du jeu. »

« Sauver sa dignité et son honneur »

Pour Tuttosport, qui rappelle à son tour, que Luis Enrique est le deuxième entraîneur de l'histoire à remporter le triplé (C1, Championnat, Coupe de France) avec deux équipes différentes après Guardiola, c'est « L'Inter humiliée ». « Les Nerazzurri débordés, une finale à sens unique. Doué rend fous Acerbi et ses coéquipiers, gloire aussi pour Kvaratskhelia ».
Le quotidien italien rapporte notamment la réaction de l'ancien attaquant Paolo Di Canio dans le studio Sky après le premier but parisien. « Inacceptable, incompréhensible, inacceptable ! On ne peut pas jouer comme ça en finale de Ligue des champions, en encaissant des buts comme des buts de foot à cinq. J'espère qu'Inzaghi comptera sur sa dignité, l'Inter doit revenir d'une manière complètement différente pour sauver sa dignité et son honneur ».

En Espagne, Marca salue l'enfant du pays « Luis Enrique signe son chef-d'oeuvre et couronne le PSG de son premier titre en Ligue des champions », avant d'analyser : « Gagner la Ligue des champions n'est pas la même chose que de la gagner en tant que « grande équipe. Et le PSG de Luis Enrique l'a fait. Ils ont battu l'Inter Milan à Munich, l'éliminant de la carte en seulement 20 minutes et lui ont ensuite infligé une raclée historique. Désiré Doué, MVP de la finale avec deux buts et une passe décisive, a mené le PSG à son premier titre en Ligue des champions... et l'Inter à la plus grande déroute de l'histoire d'une finale de Coupe d'Europe ou de Ligue des champions. »

Pour AS, « une Ligue des champions d'une valeur de 2,283 milliards d'euros »

Doué est bien sûr l'attraction du jour pour Marca qui évoque « une nuit de cauchemar pour Dimarco, et une nuit de fête pour le Français. Le deuxième plus jeune joueur à marquer et à faire une passe décisive lors d'une finale de Ligue des Champions... après Brian Kidd en 1968 avec Manchester United (contre Benfica). Gloire à l'ancien joueur du Stade Rennais, parti sous une standing ovation de plus de la moitié du stade quelques minutes plus tard. Doué, la nouvelle star du PSG, porte bien son nom. Il est arrivé l'été dernier en provenance de Rennes pour 50 millions d'euros. Il a atterri au Parc des Princes sur la pointe des pieds, sans faire beaucoup de bruit. En fait, il a commencé la saison comme remplaçant de Barcola... mais a fini par le manger... et nous faire oublier, au moins en partie, Mbappé. Son style irrévérencieux et imprévisible a donné un nouveau souffle à l'attaque du PSG. »

As, rival de Marca, est moins dans l'émotion et titre sur « Une Ligue des champions d'une valeur de 2,283 milliards d'euros ». « Par une chaude nuit de mai, après un excellent match, le football a accepté le PSG pour toujours, la Ligue des champions a accueilli dans ses mains un nouveau champion, construit par le Qatar, qui a investi 2,283 milliards en recrutements en moins de 15 ans jusqu'à son couronnement. Il restera également écrit dans les annales que celui qui y est parvenu fut Luis Enrique, ce génie désapprouvé dans la moitié de l'Espagne mais idolâtré dans le reste du monde, cet entraîneur qui a fait comprendre à l'émir et à al-Khelaïfi que la gloire s'obtient sur le banc, et non auprès des stars. Son projet, plus footballistique que médiatique, a une fois de plus donné raison aux connaisseurs : dans ce sport, les stratèges gagnent et les mégalomanes perdent. Toujours. »

Pour El Mundo Deportivo, « ''Monsieur'' Luis Enrique offre au PSG sa première Ligue des champions ». « Luis Enrique avait un plan et il l'a exécuté parfaitement pour atteindre l'objectif qui ces dernières années était devenu une obsession pour le Paris Saint-Germain. Coïncidant avec le départ de Kylian Mbappé au Real Madrid, l'entraîneur asturien a affirmé que le PSG allait être une meilleure équipe cette saison qu'il ne l'avait été jusqu'alors. À peine dit que c'était fait. Luis Enrique a réussi à mener l'équipe parisienne au premier titre de Ligue des champions de son histoire, et il l'a fait en restant fidèle à lui-même à tout moment.

Une équipe « tout simplement trop bonne », analyse Bild

Son arrivée au Parc des Princes il y a deux ans a coïncidé avec l'été où Leo Messi et Neymar sont partis, et c'est sans eux et sans Mbappé qu'il a pu créer une équipe où le collectif prime sur toute individualité, parvenant à donner à Nasser al-Khelaïfi la coupe aux grandes oreilles qu'il désirait tant ».
Pour El Mundo Deportivo, le MVP est forcément Doué, « un héros pas si inattendu. Il est probable qu'avant la finale, une partie du grand public du football ne connaissait pas Désiré Doué (19 ans), mais ce qui est clair, c'est qu'après son exhibition à Munich contre l'Inter Milan, ils ne l'oublieront pas de sitôt. »

En Allemagne, Bild s'enthousiasme : « Quelle finale ! » : « Paris en émoi, l'Inter en pleurs. Trop de rythme, trop de technique, trop de classe, cette équipe du PSG était tout simplement trop bonne ! Pendant des années, les dirigeants du club du cheikh ont misé sur des talents exceptionnels tels que Mbappé, Neymar et Messi pour ramener le trophée en France. Cependant, cette victoire historique a été remportée par une équipe sans superstar évidente ».
Pour les Anglais de la BBC, « le PSG relooké entre dans l'histoire lors d'une soirée émouvante pour Luis Enrique » : « Le brillant adolescent Désiré Doué a confirmé son statut de moitié d'un nouveau duo de jeunes superstars - aux côtés de Lamine Yamal de Barcelone - qui ont le génie de dominer le jeu pour les années à venir. »

Le niveau tactique des journaux italiens compares aux autres (torchon compris)

Ca donnerait presque envie d'apprendre l'italien