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#1
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![]() BEAST QUAKE 2.0 ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 52,292 Inscrit : 16/11/2008 Membre no 2 Tribune : Viré du stade ![]() |
Postez ici tous les articles en rapport avec le club SANS commentaires. Faites un effort sur la présentation et la structure. Assurez-vous que l'article n'a pas déjà été posté.
Pensez à indiquer la source en dessous de l'article en question. Merci de ne pas poster les articles provenant de sites tels que maxifoot, football.fr ou autre blog. -------------------- "La potitique de Colony Capital, on peut la comparer à traverser la France sans prendre l'autoroute pour pas payer les péages mais en prenant les routes de campagne : au final ils vont arriver deux jours après, en ayant consommé deux fois plus d'essence avec la voiture défoncée par un sanglier." ElMagnifico
"Joe Dassin mais lui il été indien seulement" Red Dwarf |
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#2
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![]() Membre habitué ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 2,810 Inscrit : 11/01/2009 Lieu : Toulon Membre no 337 Tribune : Canapé ![]() |
Citation Notes du match : Luyindula récompensé Dans un 4-4-2 avec deux changements (Sakho et Luyindula aux places de Traoré et Giuly), le PSG a dominé largement Sochaux en première période. La sortie de Makelele à la pause a perturbé l’équilibre du groupe. Physiquement, Paris a souffert, mais a fini par s’imposer logiquement. Landreau (6). Très peu sollicité en première période, si ce n’est sur corner (10e, 12e). Il est surpris, mais ne peut pas grand-chose sur le but de Sverkos. Belle parade devant Isabey (58e). Ceará (6). Le latéral droit a bien contré Maurice-Belay. Et il a participé aux offensives à plusieurs reprises. Camara (5). Peu à l’aise sur certaines situations en première période. Mieux après, comme devant Maurice-Belay (84e), et décisif sur le second but parisien. Sakho (5). Titulaire surprise à la place de Traoré, il a été présent dans les duels. En difficulté face à Sverkos, il est en retard sur la frappe en pivot du Tchèque qui offre l’égalisation à Sochaux. Armand (6). Le latéral gauche a répondu présent aussi bien offensivement que défensivement, comme sur un bon tacle (23e) sur Erding. Sessegnon (6,5). Milieu droit, il a été bon dans ses provocations, moins dans ses dernières passes. Mais il est toujours aussi important dans la construction du jeu de son équipe. Makelele (4,5). Le capitaine a souvent récupéré le ballon, mais l’a moins bien exploité derrière. Victime d’une grosse béquille au niveau de l’aine, il est sorti à la mi-temps et remplacé (46e) par Bourillon (5,5), qui a fait le boulot. Clément (6). L’autre milieu défensif a été tranchant dans sa zone de récupération. Aurait même pu marquer son second but de la semaine du pied droit (43e). Rothen (6). Plutôt discret dans la première demi-heure, à l’exception d’une bonne frappe d’entrée (2e). Il obtient un penalty litigieux et tire le corner qui amène le second but. Remplacé par Kezman (83e). Hoarau (5,5). Ce n’est pas son meilleur match, mais des combinaisons intéressantes avec Luyindula. Il marque son 12e but sur penalty. Termine épuisé. Luyindula (6,5). Titulaire au côté d’Hoarau, il a été de toutes les offensives parisiennes. Maladroit (21e, 27e) ou peu en réussite (14e, 48e), il a été récompensé en inscrivant le second but des siens. Il confirme qu’on peut toujours compter sur lui. Suppléé par Giuly (70e). A Sochaux, Gavanon a été bon, même s’il aurait dû être expulsé (16e) pour une faute de main en dehors de la surface. Le collectif a été assez quelconque sur la durée. L’arbitre, M. Poulat (3), siffle un penalty peu flagrant pour le PSG (45e+ 3). ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Citation L’actionnaire du PSG écarte Charles Villeneuve La victoire contre Sochaux (2-1) n’a rien changé. Tard hier soir, les administrateurs du PSG réunis au Parc des Princes ont pris la décision d’écarter Charles Villeneuve du poste de président. Une nouvelle période agitée s’ouvre pour Paris. Christophe Bérard et Arnaud Hermant | 19.01.2009, 07h00 Charles Villeneuve n’est probablement président du PSG que pour quelques jours encore. Vers 23 heures, hier, l’épilogue attendu de la crise qui agite le club parisien depuis vendredi, et la révélation dans nos colonnes de la lettre cinglante envoyée par Villeneuve aux membres du conseil d’administration (CA) dans laquelle il demandait plus de pouvoirs, est arrivé brutalement. Simon Tahar, un des administrateurs du club, est sorti pour lire un communiqué extrêmement ferme. « Considérant les contrevérités que contient cette lettre, largement diffusée, sur la réalité du fonctionnement de la gouvernance de la société ainsi que sur la situation financière du club qui n’appelle pas d’inquiétude particulière. Considérant aussi les mises en cause injustifiée des actionnaires et le refus du président de venir s’expliquer devant les administrateurs. Ces derniers jugent que cette attitude traduit un acte de défiance à leur égard de la part d’un président auquel ils ne peuvent plus accorder leur confiance. Dans ces conditions, ils ont décidé de démissionner unanimement du CA afin de provoquer la convocation d’une assemblée générale dans les plus brefs délais. » En clair, un nouveau conseil d’administration va se réunir avec pour objectif de désigner un nouveau président. « Charles Villeneuve est libre de démissionner s’il le souhaite, a lâché Tahar. Pour l’instant, ce n’est pas le cas. » Ce communiqué empli de rage et de colère conclut une réunion commencée quatre heures plus tôt. Vers 19 heures, sitôt le coup de sifflet final du match contre Sochaux, tous les administrateurs du club se sont réunis dans la grande salle du conseil du PSG. Tous sauf un, Charles Villeneuve, qui a refusé d’assister à cette réunion. Ce dernier souhaitait parler directement avec Sébastien Bazin, en tête à tête, pour s’expliquer. La décision a été prise lors d’un vote à main levée Deux tendances lourdes se sont affrontées lors des débats. Certains administrateurs étaient partisans d’une ligne dure et l’ont emporté. Parmi eux, Alain Cayzac, l’ex-président du PSG. Selon certaines sources, il militait hier pour le départ de Villeneuve et la nomination à la présidence d’un de ses proches, déjà membre du CA, Christophe Chenut. L’hypothèse de voir Sébastien Bazin prendre lui-même la présidence a également été évoquée. La décision de pousser Charles Villeneuve vers la sortie a été prise lors d’un vote à main levée. Mais rien ne bougera avant une ou deux semaines. Le temps de respecter les délais légaux régissant le droit des sociétés pour convoquer un véritable conseil d’administration (CA). Hier, avant que les décideurs du club ne se réunissent, aucune décision n’avait été prise par Sébastien Bazin. Mais le patron de Colony Capital Europe, très remonté contre Charles Villeneuve, avait multiplié les consultations. Il est très vite apparu que la majorité des membres du CA avaient été eux aussi choqués par la lettre du président du PSG. En fin de soirée, Sébastien Bazin a finalement appelé Villeneuve pour lui exposer ses griefs. Ce matin, alors que le PSG reste en course pour les places européennes, le club de la capitale se réveille dans une situation totalement confuse. Citation Le film d’une soirée décisive 1 Sébastien Bazin, représentant de l’actionnaire majoritaire du PSG, arrive au Parc des Princes avec ses fils. Il sort du parking souterrain du stade et se dirige directement vers salons du carré VIP après avoir salué le personnel d’accueil. Il ne croisera pas Charles Villeneuve qui a pris soin de rester sur la pelouse puis à proximité des vestiaires parisiens jusqu’au coup d’envoi. Lors de cet avant-match, le président parisien s’entretient avec un Ludovic Giuly, furieux d’avoir appris tardivement qu’il n’était pas titulaire. 2 Le coup d’envoi est sur le point d’être sifflé quand Charles Villeneuve arrive enfin dans la tribune officielle. Le président du PSG discute avec Walter Butler, actionnaire minoritaire du club, avant d’aller rejoindre sa place. Sébastien Bazin, lui, ne se trouve pas dans la corbeille. Depuis le début de la saison, le patron de Colony Capital en Europe suit les matchs d’une loge pour fuir les mondanités. 3 Avant la réunion de la soirée, Sébastien Bazin peaufine les derniers détails au téléphone. Le propriétaire du PSG a multiplié les coups de fil pendant tout le week-end pour sonder les autres actionnaires et les administrateurs du club. Sa stratégie est en place. 4 Charles Villeneuve, encadré par Philippe Séguin (à gauche) et Bernard Laporte, assiste au match depuis la tribune présidentielle. Dans la matinée, le secrétaire d’Etat aux Sports s’est invité au Parc pour témoigner de son amitié et de son soutien au président du PSG sur la sellette. Bertrand Delanoë, le maire de Paris, a lui aussi transmis un message à l’ancien directeur des sports de TF 1. 5 Le visage grave, le représentant de Colony Capital en Europe quitte l’enceinte de la porte d’Auteuil. Le conseil d’administration du PSG vient de démissionner à l’unanimité. Au terme d’une journée décisive pour l’avenir du club, il vient d’enclencher le processus de destitution de Villeneuve, l’homme qu’il avait nommé il y a un peu plus de sept mois. Citation Vers une bataille juridique ? Charles Villeneuve a décidé de faire comme si de rien n’était. Dans les prochains jours, le futur ex-président du PSG va assumer ses fonctions. Malgré la démission en bloc du conseil d’administration du club, hier soir, afin de le pousser vers la sortie d’ici à une quinzaine de jours, l’ancien patron des sports de TF 1 va rester en poste et gérer le quotidien du club. L’action des membres du conseil d’administration s’apparente à une motion de défiance à l’encontre de Charles Villeneuve et fait suite à la révélation dans nos colonnes de l’envoi de son courrier aux administrateurs. Dans l’entourage de l’ancien journaliste, on disait hier soir qu’il avait anticipé cette hypothèse avec ses avocats qui l’ont aidé dans la rédaction de sa missive. Villeneuve aurait encore la capacité légalement, selon ses proches, de différer ou de bloquer cette motion de défiance en raison de son statut de PDG du club et de président du conseil d’administration. Il devait valider cela hier soir ou ce matin avec ses conseils. Le pourra-t-il ou le voudra-t-il ? Ce n’est pas certain. Si Villeneuve décidait de ne pas aller, par des voies judiciaires, contre la décision du CA, il est certain qu’il négocierait alors financièrement son départ. Hier, à l’issue de la rencontre, Villeneuve avait décidé de ne pas participer à la réunion décidée par les actionnaires. Selon sa garde rapprochée, cette réunion allait ressembler à un procès, ce qu’il ne voulait absolument pas. Son souhait était alors de rencontrer Sébastien Bazin en tête à tête pour lui expliquer le pourquoi du comment de sa lettre. Place aux avocats Il n’en aura pas eu l’occasion, même si les deux hommes se sont finalement entretenus brièvement au téléphone en toute fin de soirée, après la décision des administrateurs de démissionner. Le patron de Colony Capital en Europe avait beaucoup consulté ces dernières heures les membres du CA. Et, très vite, il est apparu qu’ils allaient réagir à ce qui ressemblait pour eux à un « putsch ». Ce matin, s’ouvre une nouvelle page de l’histoire déjà très tourmentée du PSG. Les avocats des deux camps vont désormais entrer en scène. Le Parisien -------------------- A triunfar en buena lid defendiendo tu color.
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