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#1
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![]() BEAST QUAKE 2.0 ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 52,292 Inscrit : 16/11/2008 Membre no 2 Tribune : Viré du stade ![]() |
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"Joe Dassin mais lui il été indien seulement" Red Dwarf |
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#2
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![]() Millonario ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 57,409 Inscrit : 28/11/2008 Membre no 9 Tribune : Viré du stade ![]() |
Citation Paris, les raisons du fiasco Le naufrage du PSG en Gironde a révélé d’inquiétantes carences à tous les niveaux. Il impose une rapide remise en question pour espérer tenir les belles promesses de la première partie du championnat. Laurent Perrin et Dominique Sévérac | 13.01.2009, 07h00 Surclassés, écrasés et finalement humiliés. La lourde défaite à Bordeaux (4-0) va laisser des traces. Ce revers n’est pas catastrophique. Il peut permettre au PSG de rebondir dès demain en Coupe de la Ligue face à Lens. En cas de succès, Paris pourrait retrouver Bordeaux le 3 février en demi-finale. Ce serait une belle occasion de laver l’affront. Avant cela, et afin de retrouver une dynamique positive, Claude Makelele et ses partenaires doivent analyser calmement les trois principales raisons du fiasco. L’excès de confiance. Ce n’est pas de la suffisance mais plutôt la sensation que tout allait devenir plus facile après un début de saison convaincant. Sylvain Armand employait juste après la rencontre le terme de « confort » dans lequel tous les joueurs se seraient installés, s’imaginant plus solides qu’ils ne le sont vraiment. A Bordeaux, les Parisiens ont sans doute davantage pensé aux bons coups à jouer qu’aux efforts à fournir pour déstabiliser un adversaire d’un tel calibre. Avant la reprise, le staff redoutait l’excès de confiance. Ces craintes se révèlent justifiées. Avoir battu Bordeaux (1-0), Marseille (4-2) et Lyon (1-0) lors des matchs aller n’offre aucune garantie pour la suite. La remise en question doit être permanente. Le PSG ne possède pas assez de marge pour se permettre le moindre relâchement. Une équipe devenue trop prévisible. Paris ne surprend plus. Depuis deux mois, la même équipe est alignée en championnat et ses adversaires ont désormais eu tout le temps d’analyser ses points forts et ses points faibles. Ainsi, Laurent Blanc a constaté le manque de taille sur les coups de pied arrêtés et la faiblesse défensive du duo Sessegnon-Cear ácôté droit. L’entraîneur bordelais a donc appuyé là où ça fait mal. Même si le 4-4-2 parisien a démontré sa valeur fin 2008, il pourrait évoluer par petites touches en fonction de l’adversaire, peut-être en incorporant des joueurs comme Luyindula, Chantôme (à la place de Clément) ou Sakho dans l’axe ou à gauche (Armand pouvant monter d’un cran). Un déficit athlétique. Face à une équipe bâtie pour la Ligue des champions, Paris n’a pas fait le poids. Jamais depuis le début de la saison, les joueurs parisiens n’avaient paru aussi frêles. Tous ont souffert du rapport taille-poids. Devant, Hoarau et Giuly ont été bousculés par la charnière Diawara-Henrique. Derrière, Camara et Traoré ont semblé surpris par la puissance de Chamakh et la présence de Cavenaghi. Le constat est encore plus criant au milieu de terrain où Makelele, Clément, Rothen et à un degré moindre Sessegnon ont terriblement souffert de l’impact des Diarra et Gourcuff. Bien sûr, les joueurs parisiens ont d’autres atouts comme la vitesse, la technique et une certaine forme de réalisme. Mais à Bordeaux, ils ont montré leurs limites. A eux de prouver qu’ils sont capables de les repousser. Le Parisien |
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