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#1
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![]() BEAST QUAKE 2.0 ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 52,292 Inscrit : 16/11/2008 Membre no 2 Tribune : Viré du stade ![]() |
Postez ici tous les articles en rapport avec le club SANS commentaires. Faites un effort sur la présentation et la structure. Assurez-vous que l'article n'a pas déjà été posté.
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"Joe Dassin mais lui il été indien seulement" Red Dwarf |
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#2
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,969 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 41 Tribune : Non précisée ![]() |
Citation Bordeaux - PSG, un choc qui va conditionner l’avenir Séparés de deux points, Bordelais et Parisiens se retrouvent ce soir pour l’affiche de cette 20 e journée. Le résultat va influer sur la deuxième partie de saison de ces deux équipes engagées dans la lutte au sommet. Attention, ça tourne ! La superproduction du week-end, Bordeaux - PSG, est donc un tournant, selon le bon vieux cliché en vigueur. Laurent Blanc et Paul Le Guen n’ont eu à la bouche que ce mot dans leur analyse d’avant-match. Vendredi pour le Bordelais : « Quand on analyse la saison dernière, on voit que les rencontres directes ont eu un impact important sur le déroulement du championnat, prévient Blanc. Je dirais que, si on avait gagné un des deux matchs contre Lyon, on aurait été champions. Donc, quand on a des concurrents potentiels comme Paris qui se présentent à Chaban, et comme on a déjà perdu une des deux confrontations contre eux (1-0), on voit ce qui reste à faire sur le match retour… » C’était hier au tour de Paul Le Guen. « On est à la lutte avec eux, il ne faut pas se cacher. Mais j’aurais voulu aborder la rencontre en meilleure situation, regrette le Parisien. A quelques minutes près, on aurait pu avoir deux points de plus, et Bordeaux trois points de moins au classement (NDLR : lors de la 19 e journée, Paris s’est fait rejoindre par Valenciennes (2-2), tandis que Bordeaux a arraché la victoire à Monaco (4-3) après avoir été mené 3-0 ). On ira là -bas avec deux longueurs de retard, ce qui est embêtant pour nous. » « J’espère bien leur passer devant au classement » Deux entraîneurs, dont l’admiration pour l’adversaire du soir déborde dans chaque déclaration. « Paris est un concurrent potentiel pour les cinq premières places, voire les trois premières, soutient Blanc. Les joueurs engagés à l’intersaison ont amené tout ce qu’ils devaient amener, leur équipe a retrouvé un certain équilibre, une certaine maturité, une certaine sérénité. » En écho, Le Guen relève, plein de respect : « C’est un club et une équipe de qualité. Depuis quatre ou cinq ans, ils sont constants et dans les premiers. Ils sont en progression et durs à jouer. » Mais Bordeaux et Paris ne courent pas après le même objectif, même si le classement les rapproche. Secrètement, les Girondins rêvent du titre, de grignoter Lyon journée après journée en attendant de les recevoir à la mi-avril. Ils luttent pour s’extirper de leur catégorie, celle de meilleur concurrent du septuple champion de France. Paris, lui, est encore un novice dans ce domaine. Il se contente de prendre part à la bagarre pour une qualification en Ligue des champions, en espérant dans le futur accéder à ce statut de challenger des Lyonnais. Etape par étape, c’est comme ça que Paris réussit cette saison. Où le ton se veut davantage offensif : « Aujourd’hui, on est meilleur qu’à l’aller, annonce Le Guen. Cela ne veut pas dire qu’on est meilleur que les Bordelais, mais on s’en rapproche. L’objectif sera de rester au contact. Même si j’espère bien leur passer devant au classement. » Citation LA STAT Les Parisiens en terre hostile Au cours de ces dix dernières saisons, le PSG ne s’est imposé qu’une fois à Bordeaux (saison 2005-2006, 2-0, buts de Yepes et Pauleta). C’est un stade où Paris détient un bilan catastrophique sur cette période avec 6 défaites et 3 nuls, 4 buts inscrits, 16 encaissés. Depuis 1998, Paris prend de sacrées gifles : trois fois 3-0, comme l’année dernière, et une fois 3-1 ! En 34 matchs de L 1, le PSG a gagné 6 fois à Bordeaux pour 20 revers. Citation Une préparation perturbée FROID et neige obligent, le PSG s’est entraîné toute la semaine sur un terrain synthétique dans l’ancien camp des Loges. « Ce n’est pas l’idéal, commente Paul Le Guen, mais on s’est adaptés. C’est un terrain tout à fait correct. Je n’ai pas envie de me plaindre, même si le synthétique, ce n’est pas du vrai foot. On a beau essayer de construire les meilleurs du monde, le jeu est dénaturé. Je suis effrayé à l’idée d’imaginer qu’il n’y ait plus que des pelouses de ce genre » (projet récurrent de la Fifa). En attendant, quand les températures chutent à ce point, il n’y a pas de solutions. « Construire un dôme pour 5 ou 6 séances dans l’année, je n’y suis pas favorable », conclut Le Guen. D.S. Citation Le match des actionnaires COLONY CAPITAL et M6, actionnaires respectifs du PSG (à hauteur de 62,5 %), et de Bordeaux (99,76 %) sont deux acteurs atypiques du football français. Dirigées par deux amis intimes, Sébastien Bazin et Nicolas de Tavernost, les deux sociétés se sont engagées pour des raisons différentes. Pourquoi sont-ils venus dans le foot ? Colony Capital. Premier intérêt pour le fonds d’investissement américain : le prix de vente fixé par Canal + en 2006 (26 M€) faisait du PSG une excellente affaire. D’autre part, cette acquisition a permis à Colony de se placer pour d’importants projets immobiliers, à commencer par la rénovation du Parc des Princes, à l’étude. M6. Pour « la petite chaîne quimonte », devenir propriétaire des Girondins en 1999 était l’occasion de s’implanter durablement dans le football. Un premier pas avant l’acquisition de droits de diffusion de matchs de Coupe de l’UEFA en 2003 puis de la Coupe du monde en 2006. En termes d’image de marque, le club correspond parfaitement aux attentes de son actionnaire : un club sain où on vit bien. Combien ont-ils investi ? Colony Capital.Depuis deux ans, Colony a construit un nouveau centre d’entraînement (5 M€) et a surtout épongé le déficit du club. Au total, Colony a injecté 70 M€ en trente mois. M6. Pour devenir propriétaire,M6 a déboursé près de 20 M€. Il faut ajouter à ces sommes le coût du centre d’entraînement construit en 2003 (1,5 M€), le déficit comblé en 2004 (8M€) et les quelque 20M€ alloués au recrutement depuis deux ans. Soit 50 M€ en neuf ans. Quelle est leur stratégie ? Colony Capital. En avril 2006, quand Colony Capital et ses deux partenaires (Butler Capital et Morgan Stanley) rachètent le PSG, leur plan s’échelonne sur cinq à huit ans.Malgré deux saisons catastrophiques, ce bail n’a pas changé. Devenu actionnaire majoritaire en janvier dernier après le rachat des parts de Butler, Sébastien Bazin entend valoriser au maximum le club avant de le revendre entre 2011 et 2014. Selon l’actionnaire, le PSG vaut aujourd’hui 125 M€. M 6. Malgré des rumeurs, M 6 n’est pas vendeur. Au mieux, il pourrait ouvrir le capital à 10 ou 15 %. Les Girondins représentent un actif capital pour l’image de la chaîne et commencent à devenir rentables grâce à une diversification bien dosée (télé, radio, agence de voyages, etc.). L’éventuelle construction d’un nouveau stade offre d’intéressantes perspectives de développement. Qui a le mieux réussi ? Colony Capital. Les deux premières saisons se sont révélées désastreuses en termes sportifs : 15e puis 16e de L 1. La victoire en Coupe de la Ligue face à Lens est le seul rayon de soleil, vite terni par l’affaire de la banderole. Le départ d’Alain Cayzac, après seulement deux ans de présidence, est aussi un terrible constat d’échec. Avec un bon début de saison, Sébastien Bazin retrouve le sourire. M 6. Le bilan est honorable malgré une quinzième place et quelques frayeurs en 2004-2005. Sous l’ère M6, le meilleur classement (2e) a été atteint en 2006 et la saison dernière. Les Girondins peuvent se targuer également d’avoir remporté deux Coupes de la Ligue (2002 et 2007), un Trophée des champions (2008), et disputé trois Ligue des champions. L.P., S.R., S.D.M. Citation « Le plus dur commence » LUDOVIC GIULY, attaquant parisien CETTE SEMAINE, Ludovic Giuly s’est chargé de conduire le véhicule qui a emmené les joueurs jusqu’au terrain synthétique du camp des Loges.Au- delà de l’anecdote, le Parisien (32 ans) est bien décidé à montrer à ses coéquipiers la voie pour réussir la seconde partie de saison. Un match au sommet se prépare-t-il comme une rencontre classique ? Ludovic Giuly. Le premier truc, c’est d’essayer de ne pas trop en parler entre nous. Il est juste dommage de ne pas avoir bénéficié de conditions météo correctes pour le préparer. On sait tous que ce match est capital et qu’il ne faudra pas se louper. Avec mon expérience, je sais que la semaine d’entraînement doit être plus intense en concentration. D’habitude, je ne suis pas un forcené de l’entraînement et je préfère rigoler. Je ne suis volontairement pas à 100 %. Cela me permet d’avoir encore plus faim de compétition quand vient le coup d’envoi. Là , c’est différent. Car pour un gros match, il faut agir différemment : je dois faire encore plus d’efforts que d’habitude. C’est une question de rythme. Lors de la deuxième partie de saison, allez-vous livrer un message différent à vos coéquipiers ? Oui : le plus dur commence. Rien n’est acquis. C’est humain de se relâcher quand les résultats sont au rendez-vous mais c’est un danger. Cela m’est déjà arrivé à Barcelone et je n’aurais pas dû. Mais là -bas, j’avais gagné quelque chose. Ici, on n’a rien gagné ! C’est le problème. Les gens sont contents et commencent à nous adresser des louanges alors qu’on ne les mérite pas encore. L’équipe a simplement prouvé qu’elle allait mieux. Ça ne vaut pas le coup de s’enflammer. L’idéal, c’est de se boucher les oreilles pendant cinq mois. Parlez-vous un peu plus qu’avant dans le vestiaire ? Non. Je continue à observer tout cela dans mon coin. Il n’y a pas lieu de l’ouvrir. Je laisse le groupe vivre gentiment. Je ne parlerai que s’il y a un problème. S’il faut gérer une crise, je serai bien sûr là . « Je n’ai jamais voté de ma vie » En dehors des entraînements, que faites-vous de vos journées ? J’essaie de trouver de bons restaurants ! Sinon, je pars à la découverte de Paris. Je suis allé au théâtre et j’ai visité le Louvre. Je n’ai pas de formation culturelle alors je fais des efforts pour m’instruire. Dès qu’il fera moins froid, je me suis promis d’aller visiter le château de Versailles. Tout le monde me dit que c’est magnifique. C’est cela que j’ai envie de connaître plutôt que de sortir en boîte de nuit. Les gens de la rue vous reconnaissent-ils ? En tout cas, ils me laissent tranquille. Jeudi, je suis allé acheter quelques CD à la Fnac et personne me m’a abordé. Je n’ai pas envie de télécharger de lamusique. Sinon, je passerais tout mon temps devant un ordinateur comme un imbécile. Je ne connais personne dans cette région, alors si je ne me force pas à sortir un peu, j’aurai tout faux. Etes-vous sensibilisé à la crise financière ? Ça me travaille un peu.Mais les placements financiers que j’ai faits sont sains. Je dis aux jeunes joueurs de ne pas faire n’importe quoi avec leur argent. En tout cas, je prends conscience de ma chance et j’ai envie de faire quelque chose de ma petite notoriété. A Monaco, j’étais parrain d’une association d’enfants autistes. Maintenant, au- delà de l’argent, je ressens le besoin d’aider au quotidien les bénévoles. Je vais faire un truc pour les enfants en donnant un peu de mon temps. La politique vous intéresse ? Je n’ai jamais voté de ma vie. Il y a des choses que je ne comprends pas. Par exemple, payer des droits de succession, c’est débile. Nos parents travaillent toute leur vie et il faut payer pour toucher ce qu’ils laissent !Moi, je ne vole pas l’argent que je gagne. Je contribue, par mes impôts, au fonctionnement de la France. Mes impôts aident ceux qui n’ont rien. C’est normal. Mais, ensuite, qu’on me laisse donner ce que je veux à mes enfants ou à mes parents… Propos recueillis par Christophe Bérard Citation Tout a débuté à l’aller pour les Parisiens IL Y A des matchs qui restent gravés dans les mémoires. Le PSG - Bordeaux de la 2e journée du championnat, le 16 août, est de ceux- là . « Il lance la saison », confirme Guillaume Hoarau. La victoire parisienne (1-0) frappe les esprits. Après avoir frôlé la descente en L2 quelques semaines auparavant, le PSG défait Bordeaux, tout frais vainqueur du Trophée des champions face à Lyon. « Ce match nous a prouvé qu’on pouvait hisser notre niveau et que nous étions capables de battre un candidat au titre », précise Ludovic Giuly. Plus tard, Paris battra aussi Marseille (4-2) au Vélodrome et Lyon (1-0) à domicile. Un sans-faute devant les équipes qualifiées en Ligue des champions. Le principe de la « gagne » Le PSG avait pourtant mal commencé sa saison. Lors de la 1re journée, les hommes de Paul Le Guen essuient une défaite à Monaco (1-0). Certains se mettent à penser que l’ère du changement, tant désiré pendant la trêve estivale, n’est pas encore à l’ordre du jour. D’autres doutent aussi de leur capacité à s’imposer à domicile face au dauphin de Lyon. Lors de la saison 2007-2008, Paris avait en effet dû attendre la 20e journée pour remporter son premier succès au Parc en championnat (contre Lens, 3-0). « Le succès contre Bordeaux nous a fait beaucoup de bien, reconnaissait Jérôme Rothen mi-septembre. Et surtout cela faisait deux ans que nous n’avions pas gagné un gros match à domicile. » Qu’a-t-on vu également ce soir-là ? Un PSG qui, sans faire le jeu, est parvenu à arracher les trois points. Une manière de jouer—solidité défensive au détriment du spectacle—qui deviendra l’une des marques de fabrique des hommes de Paul Le Guen. L’influence de Claude Makelele est mise en lumière ce 16 août. L’ex-international insuffle à ses coéquipiers le principe de la « gagne ». Enfin, et surtout, pour son premier match au Parc, Guillaume Hoarau, issu de L 2, trouve le chemin des filets. Le joueur ne tardera pas à confirmer. Après ce match, il marquera encore à dix reprises. Sylvie De Macedo (avec Ch.B. et F.G.) Le Parisien |
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