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#1
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![]() BEAST QUAKE 2.0 ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 52,292 Inscrit : 16/11/2008 Membre no 2 Tribune : Viré du stade ![]() |
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"Joe Dassin mais lui il été indien seulement" Red Dwarf |
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#2
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![]() Débutant ![]() Groupe : Members Messages : 1,969 Inscrit : 29/12/2008 Membre no 41 Tribune : Non précisée ![]() |
Citation La nuit des chasseurs Lancés à la poursuite de l’OL, Bordeaux et le PSG ont beaucoup à gagner ce soir à Chaban-Delmas AVANT QUE NE DÉBUTE, hier soir, dans une France prise par le froid, la 20e journée de L 1, l’idée assez excitante que ça pourrait chauffer pour l’attribution du titre modifiait sensiblement le climat général du Championnat. Et pour Bordeaux et le Paris- SG, opposés tout à l’heure à Chaban-Delmas, ce n’est sûrement pas le match nul concédé hier soir par Lyon face à Lorient (1–1) qui risque de faire tomber la température. Il a tout bonnement prévenu qu’un succès ramènerait Bordeaux à une longueur du rival, autant dire rien. En cas de victoire, le PSG peut, lui, revenir à trois points, une marge qu’on aurait jugée utopique il y a encore quelques semaines. Il faut dire que la chasse au Lyon, apparue à l’aube de ce siècle, n’a jamais autant obsédé la meute. On note, en 2009, que les poursuivants n’ont jamais été aussi près de s’approcher de la bête. Et si on attendait Bordeaux à ce rendez-vous, on n’est pas fâché d’y rencontrer le club de la capitale. Pour commencer l’année, une affaire des plus sérieuses occupera donc l’affiche du dimanche soir avec deux équipes ayant bouclé 2008 dans un bel élan. Hoarau-Cavenaghi, duel de buteurs Les Girondins ont superbement franchi l’écueil que constituaient les deux derniers matches à l’extérieur, pourtant de nature à pouvoir les plonger dans le doute. Victorieux au Mans (3-1) puis à Monaco (4-3) où, menés 0-3, ils ont retourné une situation catastrophique, les hommes de Laurent Blanc sont dans une vraie dynamique. L’élimination contre Saint-Étienne (0-1), en Coupe de France, avec une équipe remaniée, affectée notamment par l’absence des Sud-Américains, est à considérer avec distance. La grande maladresse de David Bellion avait suffi à jeter au feu un match largement maîtrisé par les Girondins. En L 1, Bordeaux vient de réussir une enfilade, inédite cette saison, de trois succès de rang. Elle a permis de réduire à trois unités l’écart avec Lyon avant Noël. C’est mieux que la saison dernière, quand Bordeaux avait entamé les matches retour avec un débours de six points. Quelque chose peut alors désigner Bordeaux comme le rival le plus dangereux pour l’OL. Cette équipe a si peu changé d’une année à l’autre qu’elle est autorisée à spéculer sur l’assise de son jeu. Elle a de vrais repères et une qualité d’ensemble que l’apport de Yoann Gourcuff a bonifié. Si elle traverse le deuxième cycle de la saison avec le même entrain que celle passée, elle sera au-delà des prudentes projections de son entraîneur : une place dans les cinq premiers, voire sur le podium. Ne nous dirait-on pas tout ? Bordeaux ressemble à un vrai client pour le titre. Il repensera, ce soir, au match aller perdu au Parc (0-1), malgré une large domination, et s’obligera à une nécessité de percuter qui lui a quelquefois manqué cet automne. En L 1, Bordeaux n’a plus perdu à domicile depuis le 7 octobre 2007 (1-3 face à Lyon), soit vingt-trois matches de suite, c’est une bonne raison d’aborder l’affaire avec une réelle confiance. Et il en faudra pour espérer faire plier un PSG dont la constance est la nouvelle marque de fabrique. Dans un environnement qui ne lui a pas toujours été favorable, Paul Le Guen a trouvé la bonne formule et éteint les critiques. La complémentarité entre Ludovic Giuly et Guillaume Hoarau est un succès, Stéphane Sessegnon a parfaitement assimilé ses prérogatives sur le côté droit. La composition de l’équipe ne change plus depuis le match contre Lille (1-0), le 9 novembre. Le Guen s’appuie donc sur des certitudes. À distance, on se réjouit du duel opposant Guillaume Hoarau et Fernando Cavenaghi, deux des meilleurs buteurs de notre Championnat, onze buts chacun. Les Bordelais ont déjà désigné Hoarau, leur bourreau au match aller, comme l’homme à surveiller en priorité. Marouane Chamakh, lui, a eu vingt cinq ans hier. Il peut très bien se faire un cadeau lui-même. JEAN-MARC BUTTERLIN Citation LES CLÉS DU MATCH UNE QUESTION D’EFFICACITÉ. – La défaite contre Saint-Étienne (0-1), en Coupe de France, a surtout mis en lumière le manque de réalisme des Girondins devant la cage adverse. Le retour de Fernando Cavenaghi (11 buts), sans doute associé à Marouane Chamakh en attaque, peut inverser la tendance. REPARTIR COMME EN 2008. – La saison dernière, Bordeaux avait réussi une deuxième partie de Championnat remarquable qui lui avait permis de taquiner Lyon jusqu’à la dernière journée. Les hommes de Blanc repartiront-ils sur les mêmes bases ? LES EFFETS DU SYNTHÉTIQUE. – Les pelouses du Camp des Loges recouvertes de neige, les Parisiens n’ont pu travailler cette semaine que sur un terrain synthétique. « C’était des séances proches de ce qu’on fait d’habitude, explique Le Guen. Mais le synthétique,ce n’est pas du vrai foot.On a donc essayé de ne pas exagérer le tempspassé dessus, même s’il fallait bien travailler quand même. » PAS DE PLAN ANTI-GOURCUFF.– Paul Le Guen est conscient de l’influence de Yoann Gourcuff sur lejeu desGirondins,mais pas questionpour autant de dresserun plan contre le meneur de jeu. « Maintenant, à la faveur d’une bonne organisation, on va tout faire pour réduire son impact. » Citation Armand, l’âge mûr Le latéral gauche du PSG est à l’image de son équipe : resplendissant. EN JUIN 2004, quand Sylvain Armand avait préféré Paris à Marseille, il avait motivé son choix : « À Paris, je vais jouer des rencontres exceptionnelles (...) Paris va me rapprocher considérablement de l’équipe de France. » Il y a eu tromperie sur la marchandise. Le latéral gauche, qui venait disputer la Ligue des champions, confirmer son éclosion nantaise, et pourquoi pas s’installer chez les Bleus, a surtout galéré : 9e de L 1 les deux premières saisons, 15e puis 16e les suivantes. Emporté par le marasme parisien, Armand ne regrette rien. « À un moment, il fallait faire le grand saut, dans un club où il y avait plus de pression. On m’avait prévenu, mais je me sentais prêt. Il fallait que je m’endurcisse. Nantes, c’est un cocon.À Paris, les choses sont vraiment différentes... » Au PSG, Armand a laissé filer le train bleu, et une proposition lyonnaise alléchante en 2007. « Je n’ai pas été insensible à l’OL, mais Paris ne voulait absolument pas me lâcher, explique-t-il. Je ne suis pas du genre à entrer en conflit avec mon club, et je ne regrette jamais mes choix. Ici, je suis loin d’être malheureux, sportivement et dans ma vie. » « Je ne voulais pas rester sur des échecs » Armand (28 ans) n’a pas complètement perdu son temps. Vice-capitaine de Pauleta puis de Makelele, il démontre une maturité réelle ces derniers mois. Et l’environnement lui plaît, enfin : « L’état d’esprit a complètement changé. L’an dernier, c’était plus délicat, nous n’étions pas tous sur la même longueur d’ondes. Certains étaient en fin de contrat, il y avait plus de conflits. Depuis que je suis ici, c’est la première fois que je sens quelque chose de sain, de sincère. » L’excellent exercice qui se dessine valide son esprit pantouflard. Dans sa carrière professionnelle, Sylvain Armand n’a connu que deux clubs, Nantes et Paris. Par les temps qui courent, sa fidélité peut intriguer : « Mais j’aime ce club, je suis bien ici. Je préfère ça à me poser la question tous les six mois : est-ce que je dois partir ou rester ? Ici, je ne voulais pas rester sur des échecs. Je voulais vivre une bonne saison, constante. Jouer deux saisons de suite le maintien, ce n’était pas digne du PSG. » Il a noté l’indice imparable du renouveau : « Dans cette équipe, tout le monde veut le ballon. C’est bon signe. » Et, espère, à titre personnel, retrouver le brin de folie qui l’accompagnait à ses débuts professionnels, avec Nantes. « J’étais insouciant. Je ne faisais jamais la sieste, je sortais... Quand tu es jeune, célibataire, tu fais tout sans réfléchir. Tout s’est tellement bien passé, c’était idéal... La première saison, je suis champion, la deuxième je dispute la Ligue des champions, j’y marque un but incroyable du droit (*), je suis appelé en équipe de France ! C’était presque la vie rêvée. Aujourd’hui, j’en souris. » La saison dernière, quand sa voiture a été esquintée par les supporters au retour d’une funeste soirée caennaise (0-3, 34e journée le 19 avril), il se sentait très loin de l’euphorie nantaise. Mais Sylvain Armand a la foi. Il a récemment acquis un bolide encore plus luxueux. C’est sans doute le signe que tout roule : à Nantes, il avait acheté deux voitures avant même d’avoir le permis. À la fin de la saison, il était champion de France. RÉGIS DUPONT (*) Au premier tour de la Ligue des champions 2001-2002, il avait marqué du droit sur le terrain de la Lazio Rome (3-1, 2e match du groupe D le 19 septembre 2001). C’était la première victoire de l’histoire du FCN en Italie. L'Equipe |
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