J'espere défaite écrasante de Lyon, ça me ferait plaisir pour Aulas, et puis ça l'aiderait aussi à se poser des questions sur le coach (a moins qu'il soit full hypocrite et n'ait juste aucun plan de secours), je vois vraiment pas Monaco revenir au classement, hormis accident d'avion avec les joueurs du PSG dedans

Après avoir échangé avec lui, je peux, sans me tromper, assurer que monsieur Schneider est un prétentieux entêté et sûr de lui... Comme tous les prétentieux, c’est un imbécile... Il est bien regrettable de confier le sifflet à des profils psychologiques aussi caricaturaux

Ce craquage de Ruello

Ce club cotoie les ténèbres en permanence.

Ce club cotoie les ténèbres en permanence.

Apres Armand et Erding, voila qu´on leur refile Oliv.
A quand le Demeure des Cevennes?

Alors qu'il avait gravement blessé Ismaïla Sarr (19 ans) en lui marchant volontairement par derrière sur les tendons de la cheville à la 31e minute de Saint-Étienne-Rennes (2-2, le 24 septembre), Théophile-Catherine n'a pas été sanctionné par la commission de discipline. «Cette décision aura peut-être du mal à passer médiatiquement et la blessure du joueur Ismaïla Sarr est bien malheureuse, mais cette décision provient d'une lecture strictement juridique», a expliqué très tard hier soir Sébastien Deneux, le président de la commission.


Une décision «strictement juridique»

Selon l'article 3 du règlement disciplinaire de la LFP, la commission se réunit à la suite d'un rapport de l'arbitre. Il intervient quand une infraction a été commise par un joueur en dehors du champ de vision des officiels, c'est-à-dire de tout le corps arbitral. Par exemple, un coup de poing donné par un joueur à un autre joueur dans le dos de l'arbitre principal. Un rapport qu'a d'ailleurs rédigé M. Miguelgorry. Après coup, l'arbitre de cette rencontre a reconnu que le geste de Théophile-Catherine méritait un carton rouge et pas jaune. Sauf que sur sa faute, les officiels ont vu quelque chose.

«L'arbitre principal ne voit pas la faute mais son quatrième la voit et cela aboutit à un avertissement. Donc, les officiels ont vu la faute. À partir de là, la commission n'est pas compétente dans la mesure où la faute a été sanctionnée. Nous ne pouvions donc pas sanctionner M. Théophile-Catherine. Tout le cœur du dossier est là. Et je le répète, il est strictement juridique. En d'autres termes, si l'arbitre n'avait pas mis un carton jaune, nous aurions été dans le cas prévu par l'article 3 et M. Théophile-Catherine aurait pu être sanctionné.»

Le Stéphanois pourra donc jouer le prochain match, et ceux d'après. Quant à Ismaïla Sarr, qui a dû être opéré de la malléole le 3 octobre, il ne pourra pas rejouer, au mieux, avant le début de l'année 2018.

c'est du grand n'importe quoi, parce qu'ils ont vu la faute ils ne peuvent pas sanctionner d'avantage qu'un jaune ? Dans ce cas comment ils expliquent les Jaunes qu'ils annulent ? incompréhensible.

Quel est le rapport avec les jaunes qu'ils annulent ? Le règlement est simple (mais débile).

Les jaunes qu'ils annulent, dans ce cas "la commission n'est pas compétente dans la mesure où la faute a été sanctionnée." Cela devrait être dans la même logique.

Complètement grotesque ce règlement.

La partie "la commission se réunit à la suite d'un rapport de l'arbitre. Il intervient quand une infraction a été commise par un joueur en dehors du champ de vision des officiels, c'est-à-dire de tout le corps arbitral."

Donc ils se réunissent quand un arbitre fait un rapport sur quelque chose qu'il n'a pas vu. Arbitrage vidéo, médiatique ?
Mais la commission n'est pas compétente quand l'arbitre dit qu'il s'est trompé sur quelque chose qu'il a vue.

Mais il n'y a qu'une seule logique : l'arbitre a toujours raison sauf s'il se trompe. Et cela ne peut aller que dans une "diminution" de la sanction (on enlève un rouge, on enlève un jaune...). Après, il est évident qu'en mettant le jaune au joueur stéphanois, l'arbitre savait parfaitement qu'il lui évitait une suspension.

Quel est le rapport avec les jaunes qu'ils annulent ? Le règlement est simple (mais débile).

C'est quoi la logique de ne pas ajuster si l'arbitre lui-même le demande ou de saisir la commission sur des rapports sur lesquels on considère que l'arbitre n'a rien vu ?

Et dans ce cas à quoi bon faire un rapport et convoquer le joueur, s'ils savaient très bien qu'il n'aurait rien.

C'est que la ligue part sur l'idée qu'elle ne doit pas déjuger un arbitre. Je ne dis surtout pas que c'est intelligent, je dis juste la manière dont a été pensé le règlement. Cela est sensé (mais c'est une fumisterie) ne pas altérer l'autorité de l'arbitre. Je me suis souvent demandé si justement, cela n'avait pas encore plus détérioré l'autorité des arbitres, et quand je vois en ligue 1 le comportement de ceux ci, j'ai de moins en moins de doute.

Quand l'arbitre n'a rien vu (c'est un humain, il peut louper certaines choses, ayant arbitré au football, je sais à quel point c'est super compliqué juste de bien suivre ce qui se passe dans l'environnement du ballon), la commission peut se saisir d'un dossier.

ARTICLE 3

(...)

Toutefois, un rapport d’arbitre doit être rédigé dans un délai raisonnable et doit se limiter, pour ce qui concerne les infractions réalisées par des joueurs au cours des rencontres :
- aux infractions disciplinaires particulièrement graves hors du champ de vision des officiels ;
- aux erreurs concernant l’identité d’un acteur dans l’attribution d’un carton jaune ou rouge.